Bonsoir tout le monde !
I’m not there ? En effet. Comme prévu, Bob Dylan aura donc brillé par son absence samedi aux cérémonies de remise du prix Nobel de littérature à Stockholm. Il avait un autre engagement au même moment (la twittosphère a persiflé qu’il avait piscine). Son attitude est dans le droit fil de la désinvolture avec laquelle il n’avait pas daigné décrocher son téléphone pendant deux semaines à l’appel du comité Nobel chargé de lui annoncer la nouvelle, puis entretenu le suspens sur sa venue en Suède.
Samedi, c’était donc le grand jour. Point de récipiendaire. Point de discours non plus. Les Suédois n’ont pas accepté qu’il ait pu être lu par un autre, il y a des limites. Précédemment, des lauréats empêchés avaient pu lire le leur en l’envoyant par vidéo. Il est vrai que Harold Pinter, traité pour la cancer qui l’emporta, Doris Lessing et Alice Munro également malades, et Elfriede Jelinek, notoirement agoraphobe et aérophobe, n’avaient pas réagi avec une tel j’menfoutisme, il s’en faut (quand on pense que Knut Ahnlund avait démissionné de l’Académie suédoise afin de protester contre le choix de la romancière et essayiste autrichienne jugé « indigne de la réputation du prix”, on se dit qu’aujourd’hui, c’est la moitié de l’Académie qui aurait dû se tirer eu égard à la virulence des débats qui s’y sont déroulés pendant le vote).
Samedi, Azita Raji, l’ambassadrice des Etats-Unis en Suède a juste lu un message de l’élu, lequel, commençant par un trop cool « Bonsoir, tout le monde ! », après avoir esquissé une audacieuse analogie entre son cas de conscience et celui supposé de Shakespeare, remercia. Morceaux choisis :
“Si jamais quelqu’un m’avait dit que j’avais la moindre chance de gagner le prix Nobel, j’aurais pensé que mes chances étaient aussi grandes que d’être sur la lune… Pas une fois j’ai eu le temps de me demander : ‘Est-ce que mes chansons sont de la littérature ? »… Il n’y a vraiment pas de mots pour décrire l’honneur de voir mon nom rejoindre ceux de géants de la literature tells que tels Rudyard Kipling, George Bernard Shaw, Thomas Mann, Pearl Buck, Albert Camus ou Ernest Hemingway… Je suis désolé de ne pas pouvoir être parmi vous, mais sachez que je suis assurément avec vous par l’esprit et je suis honoré de recevoir un prix si prestigieux… (l’intégrale ici en anglais)
Mon Dieu, il nous aura donc tout fait subir et nous aurons donc vécu assez longtemps pour entendre Bob Dylan citer Pearl Buck en référence ! Le discours en réponse de Horace Engdahl, académicien représentant le comité Nobel, fut rien moins qu’ampoulé. On le comprend car, pour être fidèle à lui-même, Bob Dylan ne s’en est pas moins, publiquement et internationalement, payé leur tête. Qu’on en juge ici. Après quoi Patti Smith, représentant l’absent (elle, manifestement, n’avait pas d’autres engagements), a chanté A Hard Rain’s A-Gonna Fall en s’emmêlant les pinceaux. Disons qu’elle avait un peu oublié les paroles (l’émotion !), ce qui n’a d’ailleurs pas déplu au public. Patti, on t’aime !
Il n’est plus permis de qualifier Dylan de chanteur, qualité désormais trop ordinaire pour l’héritier en ligne directe d’Orphée et de sa lyre, récompensé pour avoir su relever la tradition des bardes et troubadours. Il a peut-être une voix de shrapnel rouillé, n’empêche que de tous les lauréats du Nobel de littérature, c’est celui qui chante le mieux. Nous avançons dans un temps où on n’aura plus le droit de dire que Blind Willie ou Hurricane sont des chansons et leur auteur, un chanteur. Non, que des poèmes échappés de l’esprit d’un poète
On dira que ce n’était pas la première fois. Sauf que Sartre avait, lui, excipé d’une position morale et politique : l’écrivain doit rejeter les institutions. En fait, la dernière fois que le comité Nobel de littérature a pris une décision véritablement jugée incongrue, c’était en 1953, pour Winston Churchill. Son œuvre d’historien étant manifestement discutable, on loua le mémorialiste oubliant dans le même temps ce qu’il devait à un atelier de nègres. La récompense était de toute évidence politique. Cette fois aussi en quelque sorte car on ne saurait mieux dire le mépris dans lequel sont tenues tant la littérature que la poésie américaine. Ce qui laisse un goût amer, ce n’est pas tant le choix que le principe : la caution apportée à l’idée que seuls les chanteurs sont les vrais poètes de notre époque. Le fait est que la plus prestigieuse des récompenses littéraires a un effet canonisateur. Aussi, dans cette affaire, le vrai problème ce n’est pas Dylan mais le comité Nobel et sa responsabilité. Pour ne rien dire du chèque de sur lequel ne cracherait aucun poète lorsqu’on sait ce qu’est le plus souvent leur situation matérielle, et dont on n’imagine pas qu’il fasse cruellement défaut au quotidien d’un Bob Dylan.
Que cela ne vous empêche pas de lire Chroniques, le seul livre de Bob Dylan, premier tome lumineux de ses mémoires, ceint du bandeau magique « Prix Nobel de littérature », ce qui est assez rare pour un livre au format de poche (Folio). Il n’y est pas question de poésie sauf au début en passant (il en a lu quand il était jeune, lui aussi), se souvenant qu’un sonnet de Milton avait « l’élégance d’une folk-song », et à la fin lorsqu’il a la révélation de Rimbaud et son « Je est une autre ». Mais quand ils en parlent, de même que lorsqu’ils évoquent ses centaines de chansons, les dylanolâtres n’ont que la Poésie du Poète à la bouche, avec tant d’emphase qu’on entend les majuscules. Lui-même ne s’est jamais considéré comme un poète, mot qu’il déteste :
« Il n’est pas nécessaire d’écrire pour être un poète. On peut travailler dans une station-service et être un poète ».
Dans Chroniques, on appelle « chanson » une chanson. Pour combien de temps encore ? Car depuis que les académiciens suédois ont fait leur coup, et que leur secrétaire perpétuelle a inscrit le lauréat dans la tradition d’Homère, il a convenu que, en effet, quand on y pense, The Ballad of Hollis Brown, Joey, A Hard Rain sont d’une qualité, comment dire, “homérique”. Peut être ont-ils pris au mot et au premier degré l’idée selon laquelle on reconnaît un écrivain a sa voix, alors que c’est bien entendu le son qui se dégage du texte. Seuls les musiciens ont compris que ses chansons étaient plus que des paroles.
Le charivari provoqué par l’annonce du Nobel s’inscrit dans un contexte rongé par le relativisme culturel, le brouillage des frontières, la confusion des genres littéraires, et les protestations du romancier Stephen King contre les critiques de ce Nobel n’y changeront rien. Au même moment, l’hebdomadaire allemand Der Spiegel a dressé l’inventaire des « 50 romans de notre temps ». Un seul écrivain a l’honneur d’y apparaître trois fois, et ils se sont retenus pour la quatrième : Michel Houellebecq, aussitôt consacré « le poète de notre époque » (sic !) De quoi accabler ceux qui ont vraiment lu ses recueils de poésie. Si Houellebecq est un poète, alors Baudelaire était un crooner.
Mais quand y a-t-il poésie ? Lorsqu’un mot en rencontre un autre pour la première fois, disait Jean Tardieu. Ou lorsqu’il y a une ouverture sur les profondeurs appuyée sur un vocabulaire du secret, selon Philippe Jaccottet. Les générations de lycéens et d’étudiants à venir devront faire plutôt avec Dylan et Houellebecq. Leur point commun ? Pareillement menteurs et insaisissables, ils sont plus intelligents que leurs admirateurs et tellement plus malins ! Après leur statufication, on n’ose plus se dire romancier ni même écrivain de peur de déchoir. Allez, tous poètes !
Ils se sont crus cool et ils se sont ridiculisés. Et dire qu’il y en a encore dans les medias français pour juger le choix du comité Nobel « historique », audacieux et pourquoi pas subversif et radical, dans sa remise en cause salutaire du statut poussiéreux de la littérature … Quelle misère intellectuelle ! Si les Nobel ont voulu à tout prix couronner un poète, ils n’ont donc trouvé que celui-ci dans la masse internationale ? S’ils ont voulu célébrer un américain vingt-trois après avoir couronné Toni Morrison, ils n’ont donc trouvé que celui-là ? Mais qu’est ce que la poésie et l’Amérique leur ont fait pour qu’ils lui vouent un tel mépris ?
Souvenirs, souvenirs… En 1969, le prix du Gouverneur général pour la poésie, la plus prestigieuse récompense littéraire du Canada, récompensa l’auteur de l’anthologie Selected Poems 1956-1968 ; mais sans arrogance, assez embarrassé mais déterminé, le poète-lauréat l’avait refusé au motif que « la poésie elle-même l’interdit absolument’. Un certain Leonard Cohen. Quelle classe, quelle élégance…
(Photos Kevin Winter et D.R.)
1 194 Réponses pour Bonsoir tout le monde !
je vous mets eric clapton tout seul.
https://www.youtube.com/watch?v=rj4J6i_vw0w
Lorsqu’il compte « one, two, three, four », c’est pour le public. Il est tout seul sur scène.
Comme Dylan, au fond.
C’est un solo.
clapton ctune voix dbite rose..
Mise en ligne le 7 août 2010
Esta genial cancion, interpretada por Eric Clapton, Paul McCartney, Billy Preston, Andy Fairweather-low, y muchos mas, en este concierto dedicado al gran George Harrison
les petits jeunots qui le suivent c’est parce qu’ils ne s’ennuient pas avec lui. Pour qui, seul, le public compte. Dylan l’a dit cela. Aux journalistes. Il a dit « mon public, je le regarde droit dans les yeux, et je joue pour eux seuls. »
Dans les caves des immeubles des quartiers défavorisés, la Callas nique off est souvent de sortie
Odette du nanan, eric clapton une voix de bite. Mon chou fleur a cramé et je n’ai plus de pignons pour les croissants. La cocote aussi a cramé.
Ce soir, j’attaque le Rhum.
La journée ne se terminera pas décadente.
serdgio fait vroumvroum..mais en plus y saurait faire pouette pouette ? faut qu’il le prouve
Dernière cartouche (va falloir songer à se replier) : il a apprécié (aimé, est- il capable d’aimer quelqu’un ce type poète ? Hormis lui-même ?) Johnny Cash
8 809 442 vues cela fait du populo qui aime aussi
https://www.youtube.com/watch?v=4GvD_NQrLFo
12 septembre 2003 mort à Nashville Tennessee Johnny Cash. Country music.
Dylan, Robert Zimmerman, lui, est du Minnesota. Il s’y est ennuyé mortellement durant son enfance a’t-il dit, et moi j’ai tout retranscrit je n’ai pas tranché, faites ce que vous voulez.
Oh ! Oh ! Oh ! Les amis ! C’est un blog de littérature ou de musique pour débiles, ici … !
bouguereau dit: 12 décembre 2016 à 16 h 54 min
faut qu’il le prouve
Dans trois cents ans je devrais être à même de jouer Au clair de la lune avec mon Csound… Ou halor la cinquante-trois errohique tant qu’à faire c’est pas plus cher…
Havant j’en mettais sur mon blogounet des mélodies à quatre sous ; mais chais plus ouisson, ou alors c’est du midi et le midi c’est affreuquss…
Bob Dylan, c’est aussi en moyenne 100 concerts par an, depuis 28 ans, un gros risque de surmenage comme Polnareff, qui lui est maintenant malmené par son producteur. Ce dernier l’accuse presque de simuler sa maladie.
merci lavie, le sieur Dylan rejoint effectivement le rayon pipeul. Pour faire la pub d’un de ses disques, Polnareff s’est accroché le chapeau à la bite; Dans une dizaine d’années les nobel comprendront la valeur du geste.
Quittons nous définitivement sur une merveille d’écriture, à tomber à genoux devant le maitre absolu du calame…
Lisez le billet SIGNES, chronique n°114 du 11 décembre 2016, sur le blog de l’ami Millet. Oui ! Richard Millet.
N’ayez pas honte : on parle de style…
Lorsque vous écrirez comme ça faites nous signe…
la vie dans les bois dit: 12 décembre 2016 à 17 h 19 min
Polnareff, qui lui est maintenant malmené par son producteur. Ce dernier l’accuse presque de simuler sa maladie.
Faut qui demande sa doublure à Johnny on sait jamais i peut peut-être faire les deux…
Le meilleur bouquin sur Dylan, Rose, est le pavé de Clinton Heylin, (900 pages), Beghind The Shades, à m-chemin entre bio et auto-bio. Extrait du programme:
1961: Hard Times in NY Town : 1964: On the Heels of Rimbaud / 1968: Drifters, Immigrants, Messengers & Saints/ 1973-74: Into the Flood /1976: A Hard Reign / 1987-88: Raised From the Dead / 1994-2010: An Artist, He Don’t Look Back…
En français, il y a François Bon, pour ceux qui supportent les biographes qui s’écoutent biographer…Et son Dylan est bien meilleur que son Led Zep, c’est dire…
P.700-1: (…) the story broke that Dylan had been nominated, by a professor at the Virginia Millitary Institute, for the Nobel Prize for Literature. The professor in question, Gordon Ball, asserted that « Dylan has restored the oral tradition with its minstrelsy (chants). His work qualifies as both poetry and music. ».
Pas si surprenant que cela. Que cela vienne de the Virginia Military Institute, en revanche, peut étonner…come ye masters of war….
Behind…
Phil, Mrs Danius peut être contente, elle va pouvoir écouter son singer sans larsen .
Deutsche Bank, ma belle Deutsche Bank, vas-tu t’effondrer demain ou après-demain ?
@boudegras dit: 12 décembre 2016 à 14 h 11 min
Et où avez-vous cela ? Quelle amitié ? JC est un internaute comme un autre avec ses délires et ses monologues. Je ne suis pas sa mère, ni sa copine. Il vit sa vie, moi la mienne. Parfois je trouve l’accumulation de ses post racistes imbuvable et je le dis, parfois il pose des questions intéressantes et je lui réponds. Le reste (scooter et cie- déclarations fofolles) ne me concerne pas.
phil 17h23, écologiste avant l’heure, il recyclait la fonction primordiale, les avant-gardistes courent souvent le risque d’être mal perçus.
faut qu’il le prouve
c’st l’homme à tout faire au sens noble du vocable, inventeur, initiateur, aviateur, baroudeur, accélérateur.
« Si les gens du monde littéraire grognent, rappelons-leur que les dieux n’écrivent pas, ils dansent et ils chantent. » (extrait du discours de Horace Engdahl)
Pablo, le bouquin ( Paradiso) ne me semble pas si inaccessible à posteriori, mais bon ne suis pas très avancée dans ma lecture, j’extraie une phrase pur vous:
« Après ce plat aux couleurs généreuses et d’un aspect si réussi, semblable à un art flamboyant déjà très voisin d’un baroque, mais restant encore gothique par la cuisson de la pâte au four et les allégories qu’esquissaient les langoustines, Mme Augusta avait voulu apaiser le rythme du repas avec une salade de betteraves bénéficiant du coup de spatule jaune de la mayonnaise et mélangée d’asperges de Lübeck. »
http://www.germany.travel/fr/loisirs-et-detente/routes-touristiques/ancienne-route-du-sel.html
rose, je n’ai pas bien compris s’il renonce à son poids en or ce Dylan?
18h03 il leur arrive de boire, Bacchus, de se mettre en colère de mijoter des vengeances , enfin un tas de trucs que les hommes depuis que les dieux ne font plus qu’errer entre les pages sèches des livres se sont appropriés.
je télékinése dédé bouguereau 16h40
http://www.mystere-tv.com/les-experiences-parapsychiques-du-kgb-v781.html
Mais qu’est ce que la poésie et l’Amérique leur ont fait pour qu’ils lui vouent un tel mépris ?
henfin lassouline..c’est dla basse flagornrie..cest la nouvelle confusion des sentiments..vraiment honteux dayeur pour s’en défende autant
Un certain Leonard Cohen. Quelle classe, quelle élégance…
pour sfaire mettre on a toujours des préférences..c’est humains
aïwououdpréfèrenotou..mais vla..c’est trop cher
Aucune, bouguereau, en ce qui me concerne, les voies du Seigneur sont impénétrables.
« le sieur Dylan rejoint effectivement le rayon pipeul. »
pfff
Ils ont été lamentablement refoulés à la frontière turque :
« La délégation, composée de Cécile Duflot, Hervé Mariton et Patrick Mennucci, tentait de traverser la frontière dans le but d’alerter sur la nécessité d’une aide humanitaire pour la ville syrienne. »
Et dire que le moindre lycéen parvient, lui, à rejoindre Daesch en Syrie ou en Irak !
fais ta diane chasseresse béré..une culotte en soie un paquet de piteur stuivezan et tu fras comme grand manman..
bougue, j’ai culottes en soie et marlboro light, j’ai assez mal connu mes aïeules toutefois je puis vous assurer de leur malheureuse destinée en cela peut-être elles furent victimes.
dommage..sur qu’les les ote grand manman hont pris leur pied..
« Les générations de lycéens et d’étudiants à venir devront faire plutôt avec Dylan et Houellebecq »,
menteurs comme des arracheurs de dents.
De quoi faire criser le biographe, hein, hein, et les étudiants en 3ème cycle d’odontologie quand ils lisent Michel Houellebecq.
Dylan lui, c’est plutôt niveau pré-scolaire, dernière année de maternelle : mat’ sup.
Pour les petits-enfants qui vont au zoo ou au musée d’histoire naturelle, c’est peut-être aussi interessant :
« Although his observations are by no means profound, his subject is appropriate for preschoolers: “[Man] saw an animal leavin’ a muddy trail./ Real dirty face and a curly tail./ He wasn’t too small and he wasn’t too big./ ‘Ah, think I’ll call it a pig.’ ”
moi lassouline j’aurais préféré..ha c’est dur d’avouer..chais pas..heu suzzy quatro..hou joan..mais attation les copains y auraient pas eu ldroit dregarder
https://www.youtube.com/watch?v=xTfHhNg1iII
Delaporte les lycéens ou des jeunes gens acquis à cette cause y vont pour se battre d’autre part après les attentats meurtriers d’hier le moment était peut-être mal choisi cependant qu’Erdogan se pose en défenseur de la cause sunnite, courant religieux majoritaire et bien qu’Assad soit Alaouite et que des libanais chiites combattent dans ses rangs, bref purée de pois , torture, arrestations arbitraires, 200 000 morts viennent s’ajouter rien que par ce chemin à la liste des victimes occasionnées par les combats. Quel bilan pour un tyran.
non bouguereau, l’histoire familiale pour ces générations est du genre catastrophique.
trop fière de mon 18h54, j’aurais dû mettre une conclusion: prends ça dans les dents.
Pour les petits-enfants qui vont au zoo ou au musée d’histoire naturelle
je ne connais pas plus Dylan qu’hier, lvdlb cependant j’adore ces endroits malgré la captivité regrettable des bêtes, elles ont un pouvoir apaisant et toujours entretiennent un mystère, une envie sincère de communication.
Mais c’est plus courtois de conclure par: et tac.
tatata béré celles là tu les comptais pas dans les victimes..relis toi
oui vous pouvez bien maquiller votre méchanceté par de l’infantilisme, personne ne s’y trompe ou alors intéressé l’un fera semblant jusqu’à obtention du résultat escompté, ensuite ciao bye bye Berthe.
officiellement Bouguereau 300 000 civils auxquels s’ajoutent 200 000 emprisonnés, disparus victimes de tortures et de mauvais traitements inimaginables. un demi million de morts pour maintenir ce pourri au pouvoir.
Je constate qu’il y en a qui n’ont pas assimilé une leçon de management: » le principe de Peter », tel qu’on l’a découvert récemment. Autrement dit: que les pré-scolaires restent avec les pré-scolaires.
Monumental
http://68.media.tumblr.com/tumblr_ma22feVAnX1r0z28io1_400.gif
Excellente réponse Jean Langoncet. 😉
il ira, sûrement bérénice, cf article anne francois hivert
« « La réaction de Bob Dylan n’était pas attendue, mais les lauréats sont imprévisibles », résume Per Wästberg, qui rappelle que si l’artiste veut toucher l’argent qui accompagne le prix (850 000 euros), il devra se rendre à Stockholm pour y livrer son discours officiel, avant le 1er juin 2017. En avril, peut-être ? Lundi 12 décembre, Bob Dylan a ajouté trois nouvelles dates à sa tournée de 2017: il sera à Stockholm les 1er et 2 avril, puis à Lund, dans le sud du pays, le 9. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/musiques/article/2016/12/12/les-mots-de-bob-dylan-l-emotion-de-patti-smith_5047412_1654986.html#pQ8yGMia23dV8Czb.99
Un athée frénétique, Jean Soler (qui est-ce ?) (Richar Millet, chronique n°114)
________
Eh bien Jean Soler c’est un antisémite notoire qui est la principale source d’Onfray dans son bouquin, son traité d’athéologie. Ce qui m’avait fait dire à Clopine, et à juste raison parce qu’elle le défendait bec et ongle alors, qu’elle-même ne pouvait être dés lors qu’antisémite. Faut assumer ses choix, ma grande Clopine. Ou alors les renier clairement.
lvdlb, les plus jeunes avec les plus jeunes accompagnés en tout par un adulte porteur de sagesse et d’enseignement avec comme en grammaire quelques exceptions qu’il est préférable de ne pas oublier à moins d’assumer comme vous peut-être sereinement le zéro de conduite et ses conséquences.
jean, cette scène a pour lieu un ailleurs( Grande Bretagne?) qui ne paraît pas meilleur qu’ici, pauvre homme qui ne peut pas s’entraîner au lancer de poids sur un terrain de sport avec un matériel adéquat. C’est qui? est-il connu, la légende ne dit pas car absente, un pavé sur le gazon, et après, quésaco?
Et au printemps 2017, si Dylan ne connaît pas de problème comme Polnareff, après la Suède, Bob Dylan continuerait son tour en Europe. Belgique, et puis Wales, England, Scotland, Ireland.
Tickets on sale dès demain et après-demain.
Pour l’instant, il n’y a pas de date en France.
a priori je respecte l’homme mais je ne me ruinerai pas pour le chanteur, quoique pays de Galles, Irelande, Ecosse, suède continuent de hanter mes rêves de voyage. On sale en raison d’une neige lv?
Je constate, une fois de plus, que la RdesL joue fort bien son rôle thérapeutique qui consiste à offrir aux fielleux un lieu d’aisance.
Sauf pour «Like a Rolling Stone» qui a sa place dans ma collection de musiques informatisées, je n’ai rien d’autre de ce monsieur Dylan dont la voix m’irrite, les mélodies m’ennuient, et les paroles me laissent bien indifférent. Tant qu’à y être, c’est à Charles Trenet qu’il eut fallu remettre le Nobel. Qu’on lui ait refusé l’Académie française est déjà affligeant, et j’espère que ce n’est pas à cause de ses moeurs, à moins bien sûr qu’il y ait un numerus clausus pour les tantes quai Conti.
Je ne sais pas. Aspect d’outre-manche ? Vraisemblable, plausible. Je penche pour Peter House college, à Cambridge (ah ces weeping willows) et des clichés shootés durant le 1965 concert tour in England … Le tout consigné dans le documentaire intitulé Dont Look Back
19h47, mes parents soutenaient la thèse des mœurs pour expliquer ce refus. Pédérastie.
« Tant qu’à y être », fielleux, vous déclinez BdeB
A croire comme je l’ai lu ce qui m’a fait rire, qu’Elkabbach encore sur les ondes à 79 ans, prouve bien que Prisunic existe toujours.
«lvdlb 19 h 52 « Tant qu’à y être », fielleux, vous déclinez BdeB
Expliquez vous …
A cet âge une artériole pétouille rapidos et vous envoie dans le musée plumitif à Chirac. Robbe-grillet a donné son discours à l’académie dans la tombe. certes le pactole des nobel incite au régime pamplemousse avant le déblocage des fonds.
polnareff supporterait pas, faut reconnaitre, c’est une qualité d’artiss.
BdeB, si vous avez encore votre vieux poste RTF:
Widergänger dit: 12 décembre 2016 à 12 h 56 min
Blabla : « Toute cette polémique repose sur la séparation, qui est née à l’âge classique mais n’existait pas encore vraiment à l’époque de Rabelais, c’est-à-dire sous François 1er, entre la culture populaire et la culture savante. »
Ça pour une perle c’est une perle.
chaloux, on peut être sans exister et exister sans être.
On attend dédé pour la dissertation.
Il y a évidemment une culture savante au XVIe siècle. La culture moderne est née à l’hôtel de Rohan. C’est une culture pour les femmes, qui n’ont pas reçu l’éducation à l’antique des hommes. Benedetta Craveri fait un excellent résumé de tout cela dans son livre l’âge de la conversation.
Une fois encore, Blabla mélange tout et raconte n’importe quoi.
Il écrit ce qu’il pense être vrai et attend son contradicteur ou une affirmation qui viendrait consolider l’idée qu’il possède.
l’éducation à l’antique, en quoi consistait ce mode d’éducation?
Bérénice, les femmes, qui ne recevaient pas la même éducation que les hommes, ne pouvaient pas goûter la culture savante à base de références antiques. Le roman moderne et toute la culture qui s’ensuivit sont nés de la nécessité d’offrir aux femmes une culture raffinée dans laquelle elles puissent entrer de plain-pied sans avoir recours au corpus antique qu’elles ne possédaient pas. La culture dite « moderne » est une culture dont l’origine est féminine.
Port Royal?
L’hôtel de Rohan. Port-Royal c’est tout à fait autre chose. Pour Port-Royal voyez l’anthologie de Laurence Plazenet à laquelle P. Assouline avait consacré un article (Flammarion).
Too Much of Nothing
Now, too much of nothing
Can make a man feel ill at ease
One man’s temper might rise
While another man’s temper might freeze
In the day of confession
We cannot mock a soul
Oh, when there’s too much of nothing
No one has control
Say hello to Valerie
Say hello to Vivian
Send them all my salary
On the waters of oblivion
Too much of nothing
Can make a man abuse a king
He can walk the streets and boast like most
But he wouldn’t know a thing
Now, it’s all been done before
It’s all been written in the book
But when there’s too much of nothing
Nobody should look
Say hello to Valerie
Say hello to Vivian
Send them all my salary
On the waters of oblivion
Too much of nothing
Can turn a man into a liar
It can cause one man to sleep on nails
And another man to eat fire
Ev’rybody’s doin’ somethin’
I heard it in a dream
But when there’s too much of nothing
It just makes a fella mean
Say hello to Valerie
Say hello to Vivian
Send them all my salary
On the waters of oblivion
Bob Dylan
Night all (Scorsese’s a pen in the ass)
https://vimeo.com/120975823
Il se dit que le never ending tour* conduira Dylan en Suède au printemps prochain et qu’à cette occasion il passera récupérer le prize pack que lui a décerné le Nobel ; Assouline a de quoi tenir en haleine son audience jusque-là
*https://en.wikipedia.org/wiki/Main_Page
21h37 merci Chaloux une info que je n’aurai pas volée et dont vous n’êtes pas avare, vous êtes pour nous tous une véritable mine d’or, le savoir à l’état pur. Je ne pense pas néanmoins en disposer , vos amitiés périphériques en feront leur quatre heures, à n’en pas douter.
Jean et nous aurons le temps de parcourir votre intérêt passionné pour le poète, le musicien, l’artiste, son présent son passé. Quelle aubaine.
Je ne suis pas un spécialiste de Dylan mais le documentaire de Scorsese me semble assez médiocre, plus encore que The Last Waltz.
Il a justement été souligné qu’il ne couvrait que la période allant de 61 à 66 ; beaucoup d’eau a passé sous les ponts depuis lors.
A commencer par les enregistrements réalisés à Big Pink avec The band.
Je suggère de s’y référer avant d’aller plus avant.
On peut se procurer les dites Basement Tapes pour une misère et se faire une idée de la manière dont Dylan a revu avec talent tout ce qui fait la musique traditionnelle américaine des XIX et XXèmes siècles; d’ici au printemps 2017: go, cat, go
https://www.youtube.com/watch?v=Bm5HKlQ6nGM
Mais un shrapnel ça fait pas ce bruit-là… Ou alors si, ça siffle !
Il faudrait trouver une comparaison dans l’outillage, les râpes, les limes des Dalton ; ou sinon, la voix de rogomme chère à Richard Millet…
La dernière chronique de Richard Millet est d’un humour cinglant. Le pire c’est qu’il a, pour l’essentiel, raison.
Dylan + les chroniques de Millet, ça donne le vertige… Quelle époque, mes pov’ chéris, quelle époque !
Je ne parle pas de l’imbécilité croissante sur ce blog, parce qu’on finirait pas déprimer…
On ne sait jamais trop bien si bérénice fait de l’humour (noir) ou si elle est sérieuse…
WGG, c’est l’humoeur noir comme dirait Johnny.
Là, j’applaudis des deux mains, bérénice !
Widergänger dit: 12 décembre 2016 à 22 h 32 min
« Je ne parle pas de l’imbécilité croissante sur ce blog. »
Et encore, on résiste. Moi aussi j’applaudis des deux mains en lisant cette première phrase d’autocritique (globalement positive).
cela dit WGG, mieux vaut être riche et cultivé que pauvre analphabète. D’une main ça le fait pas à moins de vous taper sur la cuisse mais vous vous esclafferiez et ce n’est pas le cas. Voyez vous aussi n’êtes pas franchement joyeux, d’ailleurs il nous arrive d’applaudir par convention.
par lâcheté en somme, pour avoir la paix. Bravo, Chaloux.
… A pen in the ass
Easy there!
70 ans après, l’Espagne continue à s’aligner sur l’heure de Berlin, comme l’avait décidé Franco, maitre du temps…
christiane dit: 12 décembre 2016 à 17 h 51 min
« Quelle amitié ? JC est un internaute comme un autre avec ses délires et ses monologues. Je ne suis pas sa mère, ni sa copine. »
Sois ma fille, ô Christiane ! Sois ma fille aimée ! Sensible, fine, intelligente … Je n’ai jamais eu que des garçons, rudes, incultes, bêtes comme leur géniteur, matheux, informaticien ! Des fils sans charme, sans vertu, des brutes sans affection pour un pauvre vieillard qui fêtera ses 100 ans demain !
Accepte, ô mon enfant d’adoption …!
Quand je vois, avec horreur, la tignasse blonde en balai de pont de ce Bob Dylan des cambrouses, ce Leonard Cohen de superette, Michel Polnareff, je lui souhaite une prompte calvitie ou le départ de son figaro pour la Syrie. Comment peut on vivre tant de laideur au quotidien ?
Il n’y a pas dans ces évènements moyen-orientaux guerriers, où tant de forces restent au service de bêtises et d’abrutissements divers, la moindre parcelle de raison.
Dans la Carte du Tendre, il n’y a pas de place pour ces régions …
bérénice dit: 12 décembre 2016 à 19 h 44 min
Béré, never ending tour c’est sa manière de vivre – des décennies qu’il se balade, à part des pauses de temps à autre
Ses tableaux sont exposés de temps à autre de çi de là (Suisse, GB notamment) il n’y est pour rien ce
Il est plein aux as , n’a pas besoin du nobel pour rouler sur l’or
Tout ça énerve les c.ns
Pas la peine de répondre, du moins pas le temps de m’attarder plus que ça
Bon courage avec les cinglés biturés et traités
@JC….. dit: 13 décembre 2016 à 5 h 40 min
Non, Dark Vador, tu n’es pas mon père !
Que la Force soit avec toi !
(jogging, now …)
T’as raison guigui- étudiant- en- retard, dans le billet qui reconnait que ton gourou continue son petit bonhomme de chemin de son grand tour : « les protestations du romancier Stephen King contre les critiques de ce Nobel n’y changeront rien. »
Et tu sais why ?
Parce que dans les régions reculées du Maine, Dylan reste celui qui leur donnait des infos à la TSF, sur la marche du monde comme il va.
King par exemple, quand il a su que Dylan avait eu le Nobel de littérature ça lui a fait un effet, comme quand tu fumais des joints à woodstock:
« It’s like remembering where you were when Kennedy was shot. »
http://www.rollingstone.com/music/features/stephen-king-why-bob-dylan-deserves-the-nobel-prize-w453966
Un poète ? Le commissaire Matthäi in « La Promesse » de Dürrenmatt.
Moi j’ai rien compris, Dylan c’est bien le mec de Brenda? Pourquoi un mec qui habite sous les palmiers irait se cailler les miches en Suède? Sont pas futfut aussi.
Theodore Roethke, Night Journey :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/07/theodore-roethke-night-journey.html
« J’aime les catastrophes aériennes parce qu’elles répondent toujours à une logique précise qu’on peut découvrir d’après des indices parfois ténus; et j’aime le scrabble parce qu’il ravale à l’arrière plan la question du sens des mots et permet de faire autant de points avec « asphyxie » qu’avec « oxygène ».(…)
On nous serine à plus grande échelle qu’il nous faut à la fois abattre les dictatures et vendre au tyran des armes pour équilibrer notre balance commerciale; produire plus de voitures et diminuer les émissions de gaz d’échappement; supprimer les fonctionnaires et améliorer le service public; restreindre la pêche et manger plus de poisson; préserver les ressources en eau douce et saloper les aquifères au gaz de schiste. »
Ce roman Marcher droit, tourner en rond d’E.Venet (Verdier), est un véritable jeu de massacre, sous fond de monologue pendant les funérailles d’une grand-mère, où sont dégommées les hypocrisies
de sa famille et de la société.
« Je ne comprendrai jamais pourquoi, lors des cérémonies de funérailles, on essaie de nous faire croire (…) que le défunt n’avait, de son vivant, que des qualités. »
Qu’aurait pensé le narrateur de ce banquet des Nobel ?
@ JC
« …une merveille d’écriture, à tomber à genoux devant le maitre absolu du calame… Lisez le billet SIGNES, chronique n°114 du 11 décembre 2016, sur le blog de l’ami Millet. Oui ! Richard Millet. »
« Un athée frénétique, Jean Soler (qui est-ce ?), déclare que les gens de son espèce, les athées, sont plus intelligents que les croyants : j’ai pour ma part toujours eu du mal à prendre les athées au sérieux… » (Richard Millet. SIGNES, chronique n°114 du 11 décembre 2016)
http://richardmillet.wixsite.com/siteofficiel/single-post/2016/12/11/Signes
En pleine poire !!
@ D.
« Deutsche Bank, ma belle Deutsche Bank, vas-tu t’effondrer demain ou après-demain ? »
Mais ses engagements sur produits dérivés ne sont que des broutilles: autour de 50.000 milliards dollars (l’équivalent de 16 fois le PIB allemand) !!!
« Jean Soler c’est un antisémite notoire qui est la principale source d’Onfray dans son bouquin, son traité d’athéologie. Ce qui m’avait fait dire à Clopine, et à juste raison parce qu’elle le défendait bec et ongle alors, qu’elle-même ne pouvait être dés lors qu’antisémite. Faut assumer ses choix, ma grande Clopine. » (Widergänger)
Et c’est un admirateur fou de Heidegger et de Blanchot qui ose écrire ça !
Il y a des gens dont l’indécence mentale et le cynisme intellectuel sont sans limites.
@ Chaloux
Sur Blabla: « Ça pour une perle c’est une perle. »
Question perles, Widergänger en produit à un tel rythme qu’il pourra bientôt mettre une bijouterie…
« Eh bien Jean Soler c’est un antisémite notoire »
Oui, c’est d’ailleurs pour cela que le Ministère des Affaires Etrangères l’a nommé deux fois, pour neuf ans en tout, Conseiller culturel à l’ambassade de France à Jérusalem…on peut être surpris que le gouvernement israelien ait accepté « un antisémite notoire » dans le personnel diplomatique français.
C’est simple, pour WG, tout critique du monothéisme est un « antisémite notoire »…
Pauvre type…
Tout ça énerve les c.ns
l’étudiant, on peut marquer son désaccord sans être pour autant stupide, les avis sont motivés et bien que ne connaissant que peu ou pas du tout l’horizon de la production littéraire américaine et actuelle on peut comprendre la frustration des amateurs et spécialistes de la dite littérature après cette nomination.
Pablo,
Connaissez-vous l’équivalent du Nobel pour les arts. En 2016, c’est l’étonnante Annette Messager qui l’a obtenu :
http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2016/09/13/03015-20160913ARTFIG00324-imperiale-annette-messager.php
Je vous laisse savourer cette chronique.
Pablito,
J’ai écrit :
« …une merveille d’écriture, à tomber à genoux devant le maitre absolu du calame… Lisez le billet SIGNES, chronique n°114 du 11 décembre 2016, sur le blog de l’ami Millet. Oui ! Richard Millet. »
mais l’honnêteté implique d’aller jusqu’au bout de mon commentaire :
« N’ayez pas honte : on parle de style… Lorsque vous écrirez comme ça faites nous signe… »
Ne pas confondre l’admiration pour le style de Millet, fabuleux, et le fond de son propos, critiquable …
C’est marrant comment pas mal de journalistes descendent Macron l’impudent, faudra faire attention à ne pas trop persifler dans son petit nid…
« Jean Soler c’est un antisémite notoire… »
(Widergänger)
Il va de soi que pour Blabla tout ce qui contredit l’idée qu’il se fait du judaïsme c’est de l’antisémitisme.
@ gontrand
Et qu’il a collaboré à une « Histoire universelle des Juifs » (Hachette,1992) sous la direction d’Élie Barnavi, directeur du département d’histoire à l’université de Tel-Aviv. Et que Edgar Morin a fait l’éloge de son « L’Invention du monothéisme ».
« De quoi le scandale Jean Soler est-il le nom? »
http://blogelements.typepad.fr/blog/2013/02/q1-de-quoi-le-scandale-jean-soler-est-il-le-nom-.html#more
… » le pouvoir féminin est implacable, surtout pour ce qui touche au ventre ; et tout le monde en a peur : les hommes, les homos – et même les femmes… »
Pablo, patial on sent que cette liberté conservée mais cependant remise en cause par le FN ne lui plaît pas trop, il ne dit rien de la violence faite aux femmes, en 2015 une femme sur cinq est victime de violence conjugale- le pouvoir des femmes qui fait peur vraisemblablement- sans compter celles qui en meuent – un euthanasie librement consenti? rien d’une parité qui se fait attendre, rien des différences salariales à qualification égale … si ce monsieur a besoin de tirer un coup pour penser et écrire plus objectivement au moins concernant la condition féminine, qu’il ne s’en prive pas, je le lirai avec plaisir ensuite.
meurent du verbe mourir, coup et blessure volontaires, homicides avec ou sans intention de donner la mort, effectivement les femmes dérangent les plans de tous ces bons hommes, il nous faudrait savoir encore ramper.
« Jean Soler c’est un antisémite notoire… »
Encore une perle pour son dossier judiciaire.
Si j’étais Soler, je lui collerai un procès au cu.l à Widergänger qui lui enlèverai toute envie d’aller dans les blogs débiter des énormités d’irresponsable pathologique.
@ berenice
« Pablo, patial on sent que cette liberté conservée mais cependant remise en cause par le FN ne lui plaît pas trop, etc »
De quoi, de qui tu parles?
Il me semble avoir extrait l’attaque du billet de Richard Millet que vous donnez à lire . Partial, donc.
http://richardmillet.wixsite.com/siteofficiel/single-post/2016/12/11/Signes
Excusez moi Pablo je vouvoie tout le monde par mesure d’hygiène . Vous devriez faire attention, la contamination par des idées dissimulées et qui pourtant n’en sont pas moins aigres pourrait vous transformer en un de ces ovins à troupeau.
voilà une bonne tranche de chorizo administrée par Bérénice, tout en gants poudrés
vous avez dit soler ?
https://tobienathan.wordpress.com/lectures/%E2%80%A2-qui-est-jean-soler/
Bérénice, ce n’est pas de gaité de cœur que nous frappons nos femmes, soyez en sûre !
Il faut bien les remettre dans le droit chemin ! Eviter qu’elles tentent les hommes, qu’elles baissent la tête en les croisant, s’occupent convenablement de leurs époux, mettent bas puis élèvent nos fils dans l’amour de notre dieu….
Croyez moi ! si nous les battons – oh, à peine quelques bleus – c’est pour les corriger de leurs défauts, à ces têtes de linotte sans cervelle !
@ christiane
Merci pour l’article, que j’ajoute à ma collection de délires sur l’Art.
Ils vont rire les lecteurs de ce genre de textes dans 100, 200 ans. J’imagine déjà les livres qu’on écrira dans 2, 3 siècles sur notre époque de tarés. On aura du mal à comprendre nos « goûts » officiels, si bien représentés par les prix, comme nous on a du mal à comprendre le goût officiel du XIXe siècle pour les pompiers en peinture et pour toute une flopée d’écrivains nuls et pourtant célèbres dont aujourd’hui on connaît même pas le nom – comme on peut le voir dans « La Lorgnette littéraire. Dictionnaire de grands et des petits auteurs de mon temps (1857) », de Charles Monselet, par exemple.
@ bérénice
Oublie-moi, ma poule.
J.C. avant jogging. Signes n°114 excellent. Le style, admirable, le fond critiquable ? quand on y apprend que la propriétaire de William Saurin lègue toute sa fortune pour créer une fondation pour animaux, et en premier lieu pour bichonner son caniche….C’est ce qui s’appelle l’humour ou l’amour vache.
Le billet sur Castro est tout autant éloquent.
L’hygiène c’est important, demandez à Ĺaszlo Carreidas…
Je voulais vous poser une quouestion, Bérénice ; le choix de votre pseudonyme est-il en relation avec une photographe américaine qui a travaillé à Paris avec Man Ray dans les années folles, qui s’est liée d’amitié avec Atget veillissant, qui a racheté tout son fonds après sa mort ?
Ceux qui pensent que Dylan est non seulement un poète, mais un Grand Poète digne du Nobel, au lieu d’insulter ceux qui le considèrent comme un auteur de quelques bonnes chansons et d’une grande quantité de médiocres chansonnettes ennuyeuses, n’ont qu’à nous le démontrer. C’est facile de démontrer que Baudelaire ou Rimbaud sont des poètes.
Samedi dernier aux Puces j’ai trouvé pour 2 euros l’anthologie « Somnambule du jour » d’Anise Koltz (coll. de poche Poésie Gallimard, 2015), une poète luxembourgeoise que je connaissais de nom et qui a aujourd’hui 88 ans. Contrairement à Dylan, elle c’est une vraie poète.
À la mort de son mari (décédé prématurément des suites des tortures qu’il avait subi de la part des nazis) elle a cessé d’écrire en allemand et a commencé a le faire en français.
Elle écrit de très petits poèmes, denses, clairs et profonds, comme celui-là, par exemple:
« OUVERTE
Je traverse les mots
en marchant sans boussole
ma poésie est ouverte
comme une plaine
Je ne rencontre personne
si ce n’est moi
qui passe
sans me regarder. »
Ou celui-là:
« SOUS LE LIT
Je serai seule
à mourir
avec sous le lit
mes souliers déroutés. »
Ou encore celui-là, qui va plaire beaucoup plus aux femmes du blog qu’à JC:
« JE T’AIME
Je t’aime
parce que ton amour
inventé pour voler
est un faucon
qui s’est posé sur mon poing. »
Trois autres poèmes d’Anise Koltz:
« LE CORBILLARD
Mes souliers
sont troués
Mes béquilles
souillées de boue
Je regarde passer le corbillard
qui emporte
tout ce que je n’ai pas vécu. »
« LA VIE
Le temps répète ses jours
comme l’homme répète ses questions
Rien ne change –
la vie nous renvoie
au crime initial
Chacun de nous
a déjà sa place en enfer. »
« LE VENT
Le vent
rôde parmi les arbres
Il déplace le temps
en sifflant. »
Pas besoin d’attendre 100 ans pour s’apercevoir que Pablo75 est un toréador de ces opérettes ringardes qui plaisent tant au Petit Rappel aïe aîe aîe
pablo yavé il l’a fait havec une cote de cochon breton..moi c’est pas compliqué si qu’on devait svautrer dans la cordilière..plutot crever que d’en manger..voilà c’est dit comme dirait dédé
je vouvoie tout le monde par mesure d’hygiène
..
Je ne rencontre personne
si ce n’est moi
qui passe
sans me regarder
dailleurs jme vouvoie..hon sait jamais pablo
bouguereau dit: 13 décembre 2016 à 10 h 41 min
Pablo, ma cloche sonne aussi pour toi.
C’est la cloche à tout le monde.
« Je ne comprendrai jamais pourquoi, lors des cérémonies de funérailles, on essaie de nous faire croire (…) que le défunt n’avait, de son vivant, que des qualités. »
la culture c’est compliqué cricri
https://fr.wikipedia.org/wiki/De_mortuis_nihil_nisi_bonum
@ Chaloux
« bouguereau dit… »
J’ai rien compris (il faut dire que je ne lis jamais bouguereau).
Je pensais Lacenaire débile léger ! A la réflexion, ce serait plus sérieux : que fait la Police des Mœurs ?
la vérité c’est que les morts peuvent se venger cricri..on les vouvoit par mesure d’hygiène dirait béré
David Gascoyne, grand poète anglais passablement torturé, ami des surréalistes, aurait, comme beaucoup d’autres, mérité le Nobel. Disparu en 2001, il laisse une oeuvre de tout premier ordre encore mal connue en France.
(…)
Ours is the ornate birdcage
The brimming cup of water
The preface to the book
And all the clocks are ticking
All the dark rooms are moving
All the air’s nerves are bare.
Once flown
The feathered hour will not return
And I shall have gone away.
-The Cage
que fait la Police des Mœurs ?
elle vouvoit elle passe sont temps a ça..on tutoie bien un peu les sans papières..mais c’est pour les mettre à l’aise
Pablo75 dit: 13 décembre 2016 à 9 h 10 min
@ D.
« Deutsche Bank, ma belle Deutsche Bank, vas-tu t’effondrer demain ou après-demain ? »
Mais ses engagements sur produits dérivés ne sont que des broutilles: autour de 50.000 milliards dollars (l’équivalent de 16 fois le PIB allemand) !!!
–
C’est toute ? Vous me rassureze.
La BCE pourrait baissere un peu plus ses taux d’intérêts, ça pourrait faire que du bieng.
Qui c’est qu’a pas des pièces dor au fond d’une cassette perso ? Vous, Madame ? vous Monsieur, là-bas ? C’est ben dommage…
Surtout qu’avec Hollande pour gérer ça, à quatre pattes devant Merkel, on a gagné le pompon parmi les pompons.
Signes n°114 excellent. Le style, admirable
..bof..ça tutoyes reinhart
Vous, Madame ? vous Monsieur, là-bas ? C’est ben dommage…
et toi tonton t’en as l’cul cousu
Pablo,
impossible de vous mettre un lien intéressant sur Anise Koltz dont j’apprécie l’écriture.
Z’avez voulu l’Europe, toute l’Europe et rien que l’Europe, bercés par vos idéologies et vos illusions, vous allez en effet vous la prendre de plein fouet dans toute son abjecte réalité.
@ Bloom
De David Gascoyne, j’ai lu il y a longtemps son « Journal de Paris et d’ailleurs, 1936-1942 ».
Je n’en ai pas le moindre souvenir.
Pablo75 dit: 13 décembre 2016 à 10 h 57 mi
« J’ai rien compris ».
Preuve que tu es un bon lecteur. Ma cloche sonne : rien à comprendre. Elle sonne.
@ christiane
J’ai déjà regardé pas mal de choses sur elle. Merci. On peut la voir sur Youtube.
En cas de décès de votre serviteur, j’ai prévu une tchatche simpliste où le parler-vrai sera respecté. J’en ai écrit le texte. Un texte fort mal foutu, mais excitant car rien de lamentable de sordide de secret ne sera épargné aux fidèles éplorés !
Tout le mal que je pense de moi, depuis longtemps, sera mis à la disposition des proches pour action violente. Crachats autorisés. Vérités inavouables. Aveux tardifs. Saletés enfin au grand jour. Révélations gênantes… !
Je souhaite que les disputes conduisent à des coups sur la gueule, à des scènes insupportables d’un point de vue du mourir-ensemble ! Que ça vive, nom de dieu !
Il faut dire que j’ai horreur des enterrements calmes…Y a rien de plus c.on !
Il n’est pas impossible qu’ils me jettent à la décharge municipale malgré la pression des héritiers et celle des corps constitués ! Ce serai un retour aux sources…
Bref on verra ! Rien ne presse …
@ D.
On dit que la richesse totale des Français serait de 10.000 milliards d’euros. Même si celle des Allemands était le double (ce que je ne crois pas), ils sont encore loin de pouvoir sauver la Deutsche Bank en cas d’effondrement s’ils le voulaient.
Mais les grosses banques françaises c’est presque pareil, et les européennes, et le reste. Tout le système bancaire est en faillite virtuelle. Le total des produits dérivés dans le monde est de 700.000 milliards de dollars. Dix fois le PIB mondial.
bouguereau dit: 13 décembre 2016 à 11 h 05 min
Tu retires ça tout de suite, Bougboug ! Sinon je vend mes parts de Bougboug Industries fabrication de gode ceinture parlant, à Bolloré.
L’opposition entre culture populaire et culture savante est absolument centrale dans le cas de Dylan. Widerganger a au moins le mérite de le souligner. Lorsque la haute culture décline, lorsque certaines formes s’épuisent, il est courant que les artistes cherchent à se renouveler en puisant dans le réservoir immense de la culture populaire. Les romantiques n’agirent pas autrement en exhumant les trésors oubliés de leur patrimoine national, contes, légendes, chansons, musiques, pour faire pièce aux classiques en pleine sclérose. Le risque étant qu’en légitimant une partie de la culture populaire, celle-ci s’embourgeoise, s’affadisse et dépérisse à son tour, comme coupée de ses racines. Ne pas oublier que le premier disque de Bob Dylan est constitué de reprises de chansons traditionnelles américaines, blues & folk. Dylan n’a jamais vraiment été un subversif, de ce point de vue ; il procède du fonds culturel américain comme très peu d’artistes (Woody Guthrie, Lead Belly, Hank Williams). C’est un chanteur traditionnel – du moins jusqu’à sa « trahison » qui va lui aliéner les puristes et les fans des débuts. On peut donc être un génie dans son domaine – ce qu’il est, incontestablement – sans être nécessairement un grand poète – ce qu’il n’est sans doute pas, je laisse à d’autres le soin de le dire.
C’est très finement observé, Diogène. Comme quoi un tonneau reste toujours intéressant, qu’il contienne du vin, des anchois ou vous-même, sauf votre respect.
Je nuance néanmoins mon propos et tiens à ajouter: toujours intéressant, sauf lorsqu’il s’agit de Merkel.
(même pleine de choucroute)
« On peut donc être un génie dans son domaine – ce qu’il est, incontestablement – sans être nécessairement un grand poète – ce qu’il n’est sans doute pas, je laisse à d’autres le soin de le dire. » (diogene)
Tu peux retourner dans ton tonneau, l’ami : Bob Dylan est un grand chanteur, pas du tout un grand poète… n’en déplaise aux bouffeurs de hareng suédois qui ont de si jolies et si serviables filles !
« Widerganger a au moins le mérite de le souligner. »
A mon avis, il est aussi dans le tonneau.
@bouguereau dit: 13 décembre 2016 à 10 h 58 min
Oui, bien sur mais là pour ce personnage, le narrateur, le mensonge n’est pas possible, il se cabre devant tout ce qui n’est pas exactitude et vérité.
Il assiste aux obsèques de sa grand-mère, et entend les propos de l’officiante qui, pour lui, ne sont qu’un immense tissu de mensonges. Sa grand-mère n’était pas ni épouse fidèle (elle a trompé son mari pendant des années), ni mère dévouée, ni femme généreuse, (elle « préférait l’argent aux êtres humains, voulait rendre la France aux Français, considérait les handicapés comme des parasites et les homosexuels comme des malades mentaux, et regrettait amèrement la peine de mort au moins pour les assassins, les meurtriers, les violeurs, les braqueurs et les incendiaires »).
Et comme la messe dure, chaque membre de la famille en prend pour son grade, personne n’échappe à son portrait peint au vitriol. C’est un personnage atypique, autiste, ingénu, un peu fragile, très solitaire, pas forcément sympathique.
Dans la réalité ? oui, ne dire que du bien ou ne rien dire, dans un roman, tout est permis. E.Venet est un écrivain subtil, à l’humour féroce, intelligent. Ce roman, très court, est aussi très drôle.
Je parlais du poète David Gascoyne, Pablo75, pas du diariste.
Très bien vu, Dioèene. Vous devriez sortir plus souvent de votre tonneau…
Le célèbre concert de Newport en 65 quand il attaque à la Strat Maggie’s Farm & Like a rolling Stones avec ses compères du Paul burrerfiled Blues Band…Un des nombreux tournants du périple dylanesque (accident de moto, conversion…).
Les années 60 c’est l’avènement de la culture de masse les enfants, voir Edgar Morin, Dylan, Les Beatles etc De plus je remarque que personne n’a regardé Inside Lewyn Davis des frères Cohen… Bref Bob Velbecq est un poète mineur.
Quelqu’un connaît des poètes etatsuniens ?
Il n’y a pas que des rabbins qui qualifient Jean Soler d’antisémite. Mais également Shmuel Trigano dans un article savant qui analyse les sources du Traité d’athéologie d’Onfray, notamment tout le discours de Jean Soler avec des arguments très forts contre ses ouvrages, dans une revue savante où écrit ce grand sociologue (juif). Pablo75 toujours dans l’injure grave se contente de nier la réalité. Les imbéciles ont toujours raison avec des crétins pareils.
Nico, on est las de tes questions enfantines. Passou t’en a cité un bon nombre. Il suffit de savoir lire…
Au temps pour moi, c’est à dire que cet article sur Bob Velbecq dont je n’ai strictement rien à foutre m’inspire comme un parpaing dans une marre de boue.
Je propose qu’on réouvre les camps rien que pour Billy.
Oublie-moi, ma poule. pablo 75
et pourquoi devrai-je ( ce serait un devoir!) je vous réponds car je ne suis pas de la même façon équipée que vous ce qui fait de moi une femme qui pense sans tomber dans une pensée sexiste. Désolée de vous redire que si vous vivez dans un poulailler qui caquette à tors et travers je n’y loge pas exactement. Gardez vos appellations d’origine contrôlée pour faire ce que de droit si vous vous prenez pour le coq de basse-cour.
Nicolas dit: 13 décembre 2016 à 12 h 25 min
« Quelqu’un connaît des poètes etatsuniens ? »
Bien sûr ! Jimmy Carter, Barack Obama … et si on est pas trop regardant Edgard Hoover !
Obama est le seul susceptible d’avoir un prix Nobel puisqu’il est vivant, mais l’a déjà eu. Vous savez qui c’est Olivier Faure? Jamais entendu parlé.
D, 10h30, je ne connais malheureusement pas cette Bérénice ni même celle Racine, ne me reste que celle d’Aragon dans Aurélien que j’ai lu il y a environ 33ans:
« Bérénice mêlée à la caresse de l’eau, à la souplesse de la nage, à cette intimité solitaire de son corps nu, à cette paresse jointe à l’effort, à toute la merveille de la rêverie et du mouvement. […] Il se retourna, nageant, comme on fait dans un lit dormant avec une femme ; et dans cet enroulement d’un corps d’homme et d’une image, elle le suivit comme fait la femme, inconsciente, qui épouse la courbe du dormeur. »
D, Il y a aussi le chevelure de Bérénice, constellation sans que j’aie la moindre prétention à pouvoir l’évoquer.
Vous savez qui c’est Olivier Faure? Jamais entendu parlé.
Famille d’Edgar? Grand serviteur de l’Etat.
J’ai enterré Carter un peu vite. lol Pour le Nobel de peinture Bush fils ferait l’affaire.
Quittons nous sur cette intéressante question de Chaloux !
En dehors du mousse qui apprend à vivre une sexualité passive, de Wiwi et de Diogène propriétaire du dit tonneau … qui y a t il d’autre, dans le tonneau ?
Question subsidiaire…
Et dans un foudre ?
Merci JC pour cet élément que je découvre:
Dans la mythologie grecque et romaine, le foudre (en grec ancien κεραυνός / keraunós), au masculin, est un faisceau de dards enflammés en forme de zigzag représentant la foudre.
Le foudre est notamment l’arme et l’attribut de Zeus (Jupiter).
« mousse qui apprend à vivre une sexualité passive ».
Une école de la modestie :
« Je ne m’étendrai pas sur moi-même, beaucoup d’autres l’ont déjà fait’.
(même pleine de choucroute) D
un tonneau plein de choucroute! la belle affaire, il faudrait en sortir pour mendier les saucisses!
apollinaire
C’est aussi l’apothéose quotidienne de toutes mes Bérénices dont les chevelures sont
devenues des comètes
Ces danseuses surdorées appartiennent à tous les temps et à toutes les races
10 h 33 min
c’est nul
WG
Ça peut peut-être vous intéresser
https://tobienathan.wordpress.com/lectures/%E2%80%A2-qui-est-jean-soler/
Les années 60 c’est l’avènement de la culture de masse les enfants
..1760..havec le turbo sur les chromos?..c’est pas con
toi dracul yavé t’as fait autour d’une certaine pastille que mon larbin sucze goulument..
..et ne dis pas à mon larbin que tu ne me lis pour passer pour un bon lecteur..pablo comprendrait pas
Dans la réalité ? oui, ne dire que du bien ou ne rien dire, dans un roman, tout est permis
..comment ça..ha oui..c’est un faux mort..bon dieu mais c’est bien sûr..dans les romans c’est que pour du beurre
Lorsque la haute culture décline, lorsque certaines formes s’épuisent, il est courant que les artistes cherchent à se renouveler en puisant dans le réservoir immense de la culture populaire
..c’est pas con..djef counz il a surdoré le chien en baudruche et l’a mis a versailles..yourcenar est faite au patte..c’est pas dure hon dira
C’est vrai que des ovins y en a dans les clapiers…
J’oppose un ferme démenti, Sergio : il n’y a jamais eu d’ovnis dans les cĺapiers. Le contraire, par contre, oui. Nous ne l’avons jamais caché,nous abductons chaque nuit des dizaines de lapins dont la libido effrénée nous fascine.
D. dit: 13 décembre 2016 à 15 h 25 min
des dizaines de lapins dont la libido effrénée nous fascine.
C’est pas net, en effet, l’acclaire est pas faire… I doivent… Chais pas, moi… Bouffer des condiments, des produits… Lire des revues !
C’est vrai que c’est bien marrant tout ça, « Ces jours-ci, je donne des cours aux Beaux-Arts sur le thème du silence. » On dirait du Wgg dans le texte, heureusement qu’il est là pour dépoussiérer les Beaux Arts, que ferait t’on sans Sylvain!!! http://www.lemonde.fr/livres/article/2016/11/04/silvain-vanot-dylan-a-depoussiere-la-poesie_5025283_3260.html
Apparemment il ne parle pas d’Alep http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/silvain-vanot-ithaque/
Tu entends le silence…
des ovins y en a dans les clapiers…
et dans le poulailler un coq ovin.
Billy m’a saoulé une fois de trop, je vois souhaite bonne chance.
Le patron de l’opus dei est crevé
a crevé
gargouille à raclures
dont la libido effrénée nous fascine
deux trois coup et dédé y’est à mettre en hibernation thérapeutique
c’est l’effet délétère des vaisseaux spatieux..dans un vévé aménagé c’est pas pareil
des ovins y en a dans les clapiers
à poil laineux halors
bouguereau dit: 13 décembre 2016 à 17 h 35 min
outre glauque
Je n’ai vraiment pas de temps à perdre avec Soler et son bréviaired e la haine.
WG
c’est une critique de Tobie Nathan, de 2012
une critique PAR TN
étudiant sérieux dit: 13 décembre 2016 à 17 h 09 min
Le prétendu étudiant se dit sérieux mais il a toujours du mal avec le français.
Le feuilleton Bob Dylan continue. Le chanteur joue au chat et à la souris avec l’Académie suédoise, et il y a longtemps que cela n’intéresse plus personne :
« L’Académie suédoise, qui attend de lui un discours de réception, traditionnellement plus fourni, a dit ne pas savoir s’il profiterait de sa venue pour ses concerts à Stockholm les 1er et 2 avril, et à Lund le 9. »
A suivre (pour les masochistes).
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