de Pierre Assouline

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La République des livres
Comment on est passé de « Fatma de Prisunic » à « Bayadère de carnaval »

Comment on est passé de « Fatma de Prisunic » à « Bayadère de carnaval »

S’il est un classique qui a éprouvé de longue date les foudres du politiquement correct, c’est bien Hergé. Son œuvre ayant régulièrement été dénoncée comme colonialiste, raciste et misogyne, il s’était résolu dès l’après-guerre à la modifier dans les rééditions de ses albums. Non par conviction mais pour céder aux pressions de son éditeur lui-même soumis à la pression des associations ad hoc (en deux mots). Pour lui, la cause était entendue : il s’agissait de « Noirs de fantaisie », caricaturaux comme tous les personnages de son oeuvre. L’examen de sa correspondance avec Casterman est à cet égard édifiant.

La refonte de ses albums avait commencé pendant l’Occupation mais pour des raisons purement techniques (mise au format etc). Après la guerre, il s’agira aussi de rectifier le tir. Techniquement mais aussi moralement et politiquement. Très tôt soucieux de faire accéder son héros à l’universel, Hergé l’avait de fait rendu de moins en moins belge et catholique, de plus en plus européen et laïc. En 1946, Casterman lui avait forcé la main pour « blanchir » une mère et son bébé, le portier d’un hôtel ainsi qu’un gangster, tous noirs de peau, dans Tintin en Amérique. A la demande de Simon&Schuster, il en fit autant dans Le Crabe aux pinces d’or tout en se défendant de blanchir les personnages ainsi qu’il s’en expliqua dans une lettre :

« Ils sont, dirais-je, de race indéterminée. On voit qu’ils ne sont pas de « chez nous », mais quant à savoir d’où ils sont, mystère… Le souhait de l’éditeur américain était : pas de Noirs. Et pas plus de bons Noirs que de mauvais Noirs. Car les Noirs ne sont ni bons ni mauvais : ils n’existent pas (comme chacun le sait aux USA)… ».

Le matelot noir du Karaboudjan ne l’étant plus, les insultes durent s’adapter et passer de « Moricaud ! Anthracite ! » à « Emplâtre ! Doryphore ! ». Sauf que ces aménagements à l’intention du public américain s’étendirent également à tous les lecteurs. L’Etoile mystérieuse reflétant un peu trop l’air du temps de sa création (1941), après la guerre le quartier général des « méchants » se déplaça de New York à Sao Rico, capitale d’un Etat imaginaire ; leur chef, le banquier Blumenstein, fut rebaptisé de manière plus anodine Bohlwinkel, ainsi que l’on nomme les confiseries du côté de Bruxelles, et la courbe de son nez, rectifiée… Ce qui n’empêcha pas une Madame Bohlwinkel de s’en plaindre auprès d’Hergé !

Pour la refonte de l’Île noire en 1965, il s’agissait avant tout de moderniser des détails (voitures, paysages, billets de banque) ou de corriger des erreurs (uniformes des policiers censés être ceux du Sussex, architecture des maisons etc). Mais deux ans après, pour celle de Coke en stock, Hergé dut désamorcer tout reproche de racisme envers les Noirs et les Arabes. On lui demanda d’atténuer les traits des pèlerins se rendant à la Mecque, d’éviter que des personnages parlent « petit nègre ». C’est ainsi qu’une dizaine de vignettes virent leur lexique bousculé, « Toi, pas te fâcher, missié » se métamorphosant en « Ecoute, m’sieur… Faut pas te fâcher… », les « nègres » en « noirs », « la graisse d’anthracite » en « graisse de hérisson », un « par la barbe de votre prophète ! » très mal vu par un plus œcuménique « par tous les diables ! », le très imagé « bougres de zouaves à la noix de coco » en « bougres d’ectoplasmes à roulettes » et l’historique « Fatma de Prisunic ! » cédant la place à « Bayadère de carnaval » !

Quant à Tintin au Congo, quoique refondu, il était introuvable car épuisé, moins par crainte de la réaction des Africains que par « celle des pro-Africains de France » comme disait le dessinateur par allusion au lobby intello-tiers-mondiste. Il dut menacer son éditeur de rééditer l’album ailleurs pour ce que lui-ci consente à le faire circuler à nouveau en 1970. Ce qui n’empêchera pas alors les écologistes de demander son remaniement au motif qu’on y massacrait gazelles, crocodiles, serpents et buffles ! Pas question de céder. Un avertissement fut juste concédé en liminaire.

De nos jours, l’air du temps n’a jamais été aussi favorable aux associations antiracistes qui, depuis des années, exigent que Tintin au Congo soit cantonné au rayon » Adulte » des librairies ; elles aimeraient, à force d’actions en justice, que l’ouvrage soit retiré de la vente ou, à tout le moins, précédé d’un avertissement dénonçant « ses préjugés racistes » de manière à « repositionner l’album dans son contexte historique ». Comme Mein Kampf et les pamphlets de Céline ! D’autres fronts pourraient s’ouvrir. Pas de quoi déboulonner son statut mais tout de même. Tintin étant racisé depuis des dizaines d’années, va-t-on désormais s’aviser de ce qu’il est étrangement genré ?

(« Tintin au Congo », Hergé/ Moulinsart)

Cette entrée a été publiée dans Bandes dessinées.

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commentaires

1 430 Réponses pour Comment on est passé de « Fatma de Prisunic » à « Bayadère de carnaval »

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mardi 28 juillet 2020 à 8 h 31 min.

…la parenthèse de hier, sur les propos de la préférence à la prostitution et ses parasites- divins,…commerces des prospecteurs de silence à l’or – social,…

…Oui,!…çà existe, dans les pays des profits – mixtes,…affaires et cinémas de toutes sortes,… » alambiqués  » par chimies – sociales,…et robinets du crédit,…à vivre au dessus de ses moyens, et prévoir les taxes de toutes sortes en plus,…par la complicité forcé de l’ordre à l’état,!…
…of course,!…
…pour restez simples,…l’art de la facilité pratique,…
…la marchandises, les clients  » isolés express « , diminués de toutes sortes, maniables à merci,…et à complexes,!…
…des gens rendus minables collaborateurs et complices,!…

…pour les profits des,…à esprits faibles et débiles, et survivre comme dans une forme de  » bourgeois  » vernis.
…sans d’autres choix,!…
…d’apparences irremplaçables, nationalistes, protecteurs de tout – bio, d’opinion de libérateur, prodigue de soins,!…et ou autres banquiers ou directeurs de ressources diverses,…la confiance et arnaqueurs en fin de comptes,!…

…la réalité plus simple encore,…comment peut t’on être d’accord, de payez quelque argent,…pour une relation fugace avec une personne,!…
…sans que cette personne, ne vous paye,!…vous-même,!…pour vous avoir,!…

…payez pour du caca de pute,!…et vivre ensemble,!…c’est inimaginable en fin de compte,!…

…la mort masquée au temps du carnaval, de Venise ou d’ailleurs, en fêtes champêtres,!…
…vacances et illusions,pour quelles conséquences en familles,!…
…des Waterloo en séries,!…des Bérézina en familles délétères aux choix, les droites en veux tu en voilà,!…
…C.Q.F.D.
…des modèles pour artistes, et sciences des comportements divers,!…
…des virus, au dicton; si tu ne vient pas à Lagardère, Lagardère viendra à toi,!…
…envoyez,…

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mardi 28 juillet 2020 à 8 h 45 min.

…film  » le Bossu  » 1958, si tu ne vient pas à Lagardère, Lagardère ira à toi,!…

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mardi 28 juillet 2020 à 9 h 21 min.

…Médiaculture, un site pour journalistes,!…

Janssen J-J dit: à

Déjà répertoriée…, je crois, la 2ème drivée par karajan, celle que j’aime la moins.
Tout le monde a l’air à l’affût en standby, sauf le Marc Long Jhissé revenu de déchéance avec ses sempiternelles sentences de coupe-jarret imbues d’elles-mêmes,
Bàv.
28.7-9.58

et alii dit: à

Une entreprise australienne change le nom raciste d’un de ses fromages
Le produit s’appelait «Coon», ce qui signifie «nègre» en anglais. La marque de produits laitiers Saputo Dairy Australia, qui commercialise notamment du fromage… INFO SLATE
et que dit notre erdélien marquis de gorgonzola?

Jazzi dit: à

« et que dit notre erdélien marquis de gorgonzola ? »

Vous parlez de renato, et alii ?

Jazzi dit: à

« et que dit notre erdélien marquis de gorgonzola ? »

Vous parlez de renato, et alii ?

et alii dit: à

UNE DAME GRANDE ET BELLE ME DIT QU’ELLE EST D’ORIGINE SENEGALAISE et ajoute moi, je suis une « moyenne »;
je lui dis que quand on est grande, ça doit être difficile de s’habiller;elle me répond surtout les chaussures et précise qu’elle elle fait du 39 MAIS qu’il y en a qui font du 42

et alii dit: à

RENATO ne bande pas ses abdos en disant qu’il est noble

Bloom dit: à

Pourquoi j’aime les prostituées ?
Parcequ’elles ne demandent que l’essentiel : L’argent.

Va falloir les subventionner mahousse, les travailleuses du sexe, car le coronamachin les fout dans la panade.
Clients réguliers, c’est le moment de prouver son amour & de devenir sous-maquereau.

Janssen J-J dit: à

Ce n’est pas Tintin au Congo…, cela se passe à Paris en 2020 !
https://www.streetpress.com/sujet/1595760037-policier-revele-centaines-cas-maltraitance-racisme-dans-tgi-paris-police-justice-prefecture-violences
Il va falloir rester particulièrement vigilant sur le sort de ce policier exemplaire. Bien qu’ayant largement calculé les risques professionnels et privés de la mise à jour des pratiques immondes chez « les siens », son calvaire ne fait que commencer. J’espère que la rdl en son entièreté va lui apporter un soutien indéfectible. Car ce citoyen est l’honneur de notre blog.

Marc dit: à

Entre et alii et Renato c’est le grand amour.
Les amours d’une foldingue et d’un snobinard !!!
J’adore ce blog…

Jazzi dit: à

« Clients réguliers »

Pas vraiment, mais en tant qu’arpenteur parisien, mon premier souci après déconfinement fut d’aller faire un tour du côté de la rue Saint-Denis, Bloom !

« Déconfinement J+6 (samedi 16 mai)

Il n’était pas loin de 18 heures lorsque je suis sorti à la station de métro Châtelet-les-Halles, du côté de la place Sainte-Opportune.
Place des Innocents, devant la librairie d’occasion Boulinier, deux jeunes femmes et un vieux monsieur recherchent avidement parmi les étals les « trois livres de poche à 0,50 centimes » susceptibles de faire leur bonheur.
Devant les boutiques de fringues des Halles, de jeunes élégantes et jeunes élégants n’hésitent pas à prendre leur place en bout de longues files d’attentes afin de pouvoir s’offrir leurs habits neufs de printemps. Les banderoles des vitrines annonçant jusqu’à 70% de rabais !
Dans la rue Saint-Denis, les sexe-shops sont rouverts.
Après la rue Réaumur, là où d’antique mémoire s’échelonnent selon leur degré de fraîcheur les filles de joie pas une d’entre elles ne répond à l’appel. Au point que je peux enfin accéder, sur la gauche, à l’impasse Saint-Denis, où habituellement elles se concentrent et empêchent le quidam de pénétrer sous peine d’obligation de consommer. Vision parfaite d’une ruelle pavée à réverbères digne des Mystères de Paris d’Eugène Sue.
Peu avant la porte Saint-Denis, deux hétaïres rescapées n’ont pas hésité à déjouer les interdits de la préfecture de police, sauvant ainsi l’honneur de la profession. L’une, passablement fanées, montre généreusement ses appâts, tandis que l’autre, plus jeune et avenante, se présente sous un aspect plus sobre. La première me fusille du regard alors que la seconde se contente de me sourire gentiment. Néanmoins, aucune d’entre elles ne prononcent leur fatidique : « Tu viens, chérie ! »
Rue du Faubourg-Saint-Denis, des Parisiens moins volages font leur marché aux étals des magasins de fruits et légumes. D’autres attendent devant les boulangeries ou les boucheries. Les trottoirs sont tellement animés que je suis contraint de marcher au milieu de la rue, où passent encore quelques rares voitures.
Progressivement, les « spécialités turques » aux vitrines des traiteurs cèdent la place aux « spécialités kurdes ».
Peu à peu, les populations rencontrées se métissent sensiblement.
Je tourne à droite dans la rue du Château-d’Eau, royaume des coiffeurs africains.
Tandis qu’à l’extérieur des hordes de Blacks démasqués se postillonnent au visage, en parlant fort et agitant les bras, à l’intérieur, sans respect du mètre réglementaire, des clientes décolorées se font lisser le cheveu ou implanter de fines tresses serrées multicolores.
Au carrefour de la rue de Strasbourg, des groupes de policiers, le visage extatique, se contentent de s’adonner à de la figuration muette.
En poursuivant dans la rue du Château-d’Eau, je suis surpris de voir que les portes de la caserne des pompiers, juste derrière la mairie du Xe arrondissement et face au marché couvert Saint-Martin, sont entièrement closes.
La rue redevient moins fréquentée.
Place de la République, une longue file rangée devant le café Fluctuat Nec Mergitur attend de recevoir des aliments et même des vêtements. Un jeune resquilleur tentant de couper la file se fait violemment rejeter par les suivants.
La place à des allures de jour de manifestation.
Au centre, des groupes de CRS, portant dans le dos les lettres A ou B*, témoignent pour l’instant d’une autorité toute symbolique.
En quittant la place, à l’autre extrémité, une deuxième association humanitaire distribue des repas.
Au 42 boulevard Beaumarchais (ex boulevard du Temple), une plaque nous rappelle que Gustave Flaubert vécut là entre 1855 et 1869. En face, dans la vitrine de la librairie L’Acacia, parmi les nouveautés éditoriales, l’ouvrage « Paris, notes d’un Vaudois » de C.F. Ramuz est recouvert d’un bandeau rouge signalant au lecteur la préface d’un certain Pierre Assouline…
Après la Bastille, dans la rue du Faubourg-Saint-Antoine, je me hâte d’acheter une baguette de pain dans une boulangerie encore ouverte, avant de rentrer chez moi en bus.

*Fonctionnaire d’état de catégorie B (gardien de la paix) ou de catégorie A (lieutenant) de la filière police-sécurité. »

Marc dit: à

C’est quand on baise qu’on se venge de tout ce qui est chiant dans l’existence.
Contre la chienlit du monde rien ne vaut une baise barbare.

D. dit: à

J’aime bien Milou en mai.

Lucienne dit: à

on revient un an après et l’andouille de JC n’a toujours rien à dire ou à écrire… décidément

Marc dit: à

Les romantiques, ça sentimentalise. Des impuissants.
Les baiseurs, ça concrétise. Des bandants.

Jazzi dit: à

« Va falloir les subventionner mahousse, les travailleuses du sexe, car le coronamachin les fout dans la panade.
Clients réguliers, c’est le moment de prouver son amour & de devenir sous-maquereau. »

Sans être client, mais plutôt arpenteur de Paris, Bloom, dès le déconfinement, je suis allé voir ce qu’il en était…

« Déconfinement J+6 (samedi 16 mai)

Il n’était pas loin de 18 heures lorsque je suis sorti à la station de métro Châtelet-les-Halles, du côté de la place Sainte-Opportune.
Place des Innocents, devant la librairie d’occasion Boulinier, deux jeunes femmes et un vieux monsieur recherchent avidement parmi les étals les « trois livres de poche à 0,50 centimes » susceptibles de faire leur bonheur.
Devant les boutiques de fringues des Halles, de jeunes élégantes et jeunes élégants n’hésitent pas à prendre leur place en bout de longues files d’attentes afin de pouvoir s’offrir leurs habits neufs de printemps. Les banderoles des vitrines annonçant jusqu’à 70% de rabais !
Dans la rue Saint-Denis, les sexe-shops sont rouverts.
Après la rue Réaumur, là où d’antique mémoire s’échelonnent selon leur degré de fraîcheur les filles de joie pas une d’entre elles ne répond à l’appel. Au point que je peux enfin accéder, sur la gauche, à l’impasse Saint-Denis, où habituellement elles se concentrent et empêchent le quidam de pénétrer sous peine d’obligation de consommer. Vision parfaite d’une ruelle pavée à réverbères digne des Mystères de Paris d’Eugène Sue.
Peu avant la porte Saint-Denis, deux hétaïres rescapées n’ont pas hésité à déjouer les interdits de la préfecture de police, sauvant ainsi l’honneur de la profession. L’une, passablement fanées, montre généreusement ses appâts, tandis que l’autre, plus jeune et avenante, se présente sous un aspect plus sobre. La première me fusille du regard alors que la seconde se contente de me sourire gentiment. Néanmoins, aucune d’entre elles ne prononcent leur fatidique : « Tu viens, chérie ! » »

Jazzi dit: à

« Tu viens chéri ! »

D. dit: à

Jazzi, je me suis acheté récemment un vieux bout de Munster qui pue incroyablement mais moi j’aime bien ça. Le simple fait de toucher à son emballage me fait des mains qui puent pour la journée, même après lavage minutieux.
J’adore ça.
Ce matin j’en ai fait un sandwiche que j’ai amené au bureau pour le manger à quatre heures. Il aura eu le temps de se réchauffer un peu. Miam.

D. dit: à

Moi, Marc, je ne suis ni romantique ni baiseur. Un commentateur helvète disait autrefois à mon sujet que j’étais vierge de partout, eh bien il avait raison et il a toujours raison.

Janssen J-J dit: à

@ Bl. Pourquoi j’ai mal aux prostitué.es coronavirées ?…
Parce que vendre son corps aux temps du choléra n’est jamais une solution pour personne. Même les femmes abolitionnistes n’ont pas toujours été très clair.es à cet égard, ni les hommes au sujet des divers régimes de domination et d’exploitation qui en consolident ou perpétuent le système. Des arguments intéressants, chez le sociologue Lilian Mathieu dans « La fin du tapin ».
https://journals.openedition.org/champpenal/8787

et alii dit: à

je m’en moque de vos salades;moi, j’aime le parmesan;j’aime tout dans ce mot parmesan

D. dit: à

les sexeu-shops

On voit que jazzu est un gars du midi.

D. dit: à

Oui c’est bon le parmesan.

et alii dit: à

aux prostitué.es
il n’a pas « hétaïres » que je sache
De manière littérale, ἑταίρα / hetaíra signifie « bonne amie ». Elles possèdent généralement une éducation soignée et sont capables de prendre part à des conversations entre gens cultivés, par exemple lors des banquets. Seules entre toutes les femmes de Grèce, Spartiates exceptées, elles sont indépendantes et peuvent gérer leurs biens. La concubine reçoit des dons de quelques « compagnons » (hetairoi) ou « amis » (philoi), qui assurent son entretien, et à qui elle accorde ses faveurs.

Janssen J-J dit: à

@ Bl. Pourquoi j’ai mal aux prostitué.es coronavirées ?…
Parce que vendre son corps aux temps du choléra n’est jamais une solution pour personne. Même les femmes abolitionnistes n’ont pas toujours été très clair.es à cet égard, ni les hommes au sujet des divers régimes de domination et d’exploitation qui en consolident ou perpétuent le système.
Des arguments intéressants, chez le sociologue Lilian Mathieu dans « La fin du tapin ».
https://journals.openedition.org/champpenal/8787

Pablo75 dit: à

Tiens, je vois qu’il y a du « nouveau » sur ce blog: l’énième déguisement du Pétomane, cette fois faisant son Cioran de La Canebière, travesti en aphoriste nul (on reconnait le même ton de médiocre inguérissable qui veut à tout prix péter plus haut que son cul, qui est sa signature reconnaissable entre mille).

Et pour ceux qui auraient des doute:

Marc dit: à
J’adore ce blog…

hamlet dit: à
j’adore ce blog !

hamlet dit: à
j’adore ce blog, j’adore les articles de passou

hamlet dit: à
j’adore ce blog, pas vous ?

puck dit: à
j’adore ce blog quand…

hamlet dit: à
J’adore ce blog littéraire

Etc, etc

Jazzi dit: à

Vos faveurs sont-elles encore accordables, et alii ?

D. dit: à

Macroniste d’hemicycle ! Prix littéraire des collégiens ! Euh… Goncourable du mammouth !

Non là c’est trop, pardon. Je dépasse les limites.

D. dit: à

T’es reviendu mon Pablo ?
Avec Chaloux ?

D. dit: à

T’es reviendu mon Pbloa ?
Avec Chlouxa ?

Janssen J-J dit: à

@ un sandwiche que j’ai amené au bureau

On imagine mal ce qu’un jeune rentier fromageux fout « au bureau » à 16 heures de l’aprèm à la fin du mois de juillet. Sauf à venir s’émietter.

Jazzi dit: à

Parmi les insultes du capitaine haddock, il y en a une qui semble s’adresser particulièrement à Marie Sasseur : « Bouloteur de kilomètres » !

Jazzi dit: à

« un sandwicheu que j’ai amené au bureau »

Un autre gars du sud !

Jazzi dit: à

« Elles possèdent généralement une éducation soignée et sont capables de prendre part à des conversations entre gens cultivés, par exemple lors des banquets. »

Les « hétaïres » sont-elles les ancêtres des « geishas » ou est-ce l’inverse, et alii ? Des Sénégalaises aux petits pieds…

et alii dit: à

j’ai déjà dit de ne pas oublier WBenjamin:
« Commençons par l’exemple, classique, de la prostituée : relevant la place éminente qu’elle occupe dans la poésie et la fantasmagorie baudelairienne, Benjamin dit que ce qui la distingue (du travailleur notamment), c’est qu’elle est « à la fois vendeuse et marchandise ». En d’autre termes, ce qui la caractérise, c’est cette capacité de se dédoubler entre un sujet humain (la vendeuse) et un objet (le corps vendu) qui, pour autant qu’il entre dans les circuits de la marchandise (le marché) tend à entrer dans un jeu d’équivalence avec tous les autres. Si bien que l’on voit distinctement ici que, dans le rapport prostitutionnel (la relation de la prostituée à son client), se produisent des métamorphoses ou des conversions qui sont propres à nous donner le tournis : un sujet humain se convertit lui-même en objet (la prostituée comme « femme-objet » par excellence), mais un objet au statut instable et transitoire puisque cet « objet » n’en demeure pas moins un sujet humain et que son « objectivation » ne persiste à proprement parler que dans le temps où s’effectue la transaction – la passe.
Pour Baudelaire (dans le regard de son commentateur et double Benjamin), « la putain incarne l’apparence mercantile trompeuse de la nature [marchandise] ». En d’autres termes, la prostituée devient une allégorie (Benjamin oppose constamment l’allégorie au mythe) de la Femme-Marchandise, de la femme objet. On ne saurait mieux dire que rien n’est plus « trompeur », pour reprendre le mot de Benjamin, qu’une opposition (si bien validée par le sens commun) entre l’objet, dans son sens courant, d’un côté, et l’être vivant, en particulier l’être humain, de l’autre. Le phénomène moderne par excellence du fétichisme de la marchandise bouscule ces distinctions d’origine, notamment aristotélicienne.
La « nature » est, dans nos sociétés, totalement investie par la marchandise – « C’est cet éclat mercantile de la nature [je souligne, A.B.], écrit Benjamin, qui s’incarne dans la putain ». Du coup, c’est toute la hiérarchie traditionnelle (dans la métaphysique occidentale) des êtres et des choses qui se trouve bousculée : le souteneur vend sa femme comme une « chose » sur le marché- et c’est cela (ce brouillage de la distinction entre un être humain et une « chose »), ajoute Benjamin, qui excite « l’imagination sexuelle de la bourgeoisie ». Dans cet esprit, la publicité moderne, n’est rien d’autre que l’art de vendre du vivant, notamment humain, en tant que chose, en lui donnant l’éclat de la marchandise : « La publicité moderne prouve (…) à quel point les charmes de la femme et ceux de la marchandise peuvent se confondre ». La prostitution révèle la façon dont, dans les sociétés modernes, la femme tend à se transformer en « article de masse » (je commente ici un passage situé p. 186).
https://ici-et-ailleurs.org/contributions/politique-et-subjectivation/article/metamorphoses-et-migrations

et alii dit: à

lien cité:
: Benjamin rapporte (p. 99) l’anecdote d’un officier de marine, ami de Baudelaire, qui avait « rapporté d’Afrique une petite tête monstrueuse taillée dans un morceau de bois par un pauvre nègre (sic, Benjamin). ’Elle est bien laide’, dit le marin. Et il la rejeta dédaigneusement. ’Prenez garde ! Dit Baudelaire inquiet. Si c’était le vrai dieu ! ’ ’C’était la parole la plus profonde qu’il ait jamais prononcée, ajoute Anatole France, qui rapporte cette anecdote. Il croyait aux dieux inconnus, surtout pour le plaisir de blasphémer…’, ajoute France (La vie littéraire, III. 1891).

Janssen J-J dit: à

Un sandwich au sureau amené au burlingue ?
(va donc… eh, garde-côte à la pie de main, cornichéon du dimanche, caneberge de cioran, va-nu-pied superbe, clorokine raboutée, vierge de partoutze, mandibule fasciste, ver-missel de flitoxérable ! tchétéralii…)

et alii dit: à

lien cité:
 » Le journaliste affecte de « flâner » sur les Boulevards, en badaud, en oisif, ou bien à l’affût d’un « sujet », d’une chronique – en quête d’inspiration. En vérité, en arpentant le boulevard, il met ses pas dans ceux de la prostituée, il accroît sa valeur d’usage, il s’expose lui-même sur le marché (de la presse) comme marchandise disponible (p. »

Jazzi dit: à

« L’ouverture des maisons de thé (お茶屋, ochaya?) dans les quartiers de plaisirs en 1712 marque le début du métier de geisha. Les geishas sont le résultat de l’évolution des taikomochi (太鼓持?) ou hōkan (幇間?), équivalents au Japon des bouffons du Moyen Âge en Europe. Ainsi, les premiers geishas étaient des hommes, dont le travail était principalement de divertir, par des chants et de la musique, les clients des maisons de thé. »

Jazzi dit: à

« En vérité, en arpentant le boulevard, il (le journaliste) met ses pas dans ceux de la prostituée, il accroît sa valeur d’usage, il s’expose lui-même sur le marché (de la presse) comme marchandise disponible. »

Et oui, et alii, Passou appartient bien à la race des péripatéticiens, like me !

Jazzi dit: à

La bouloteuse de kilomètres est-elle une pute motorisée ?

Bloom dit: à

J’espère que la rdl en son entièreté va lui apporter un soutien indéfectible. Car ce citoyen est l’honneur de notre blog.

Il est surtout l’honneur du corps policier, JJJ.
Il a fait remonter à la hiérarchie et rien, ou presque, n’a été fait. Pas de vagues. Sous le tapis la merd.re…
Entre autres choses, c’est cette culture de la non-résolution des problèmes qui mine ce pays. La maxime d’Henri Queuille est une description fidèle de la réalité: pour l’administration, il n’est pas de problème qu’une absence de solution ne finisse par régler.
C’est non seulement cette maxime, mais cette réalité qu’il faut inverser, car ras-le-bol des irresponsables.
Sus aux fossoyeurs de la république & de la démocratie. Mot d’ordre: il n’est pas de problème qu’une absence de solution ne fasse empirer.

renapatatras dit: à

Jazzi dit: à

« et que dit notre erdélien marquis de gorgonzola ? »

Vous parlez de renato, et alii ?

Il y a un peu de cela, c’est tout mou par dessus avec des vergetures et ça sent insupportablement fort de la bouche dès qu’elle s’ouvre!

renato dit: à

« Déjà répertoriée… »

Un qui suit et se souviens, c’est gratifiant.

Marc dit: à

Pablo, le nabot castillan, se sent orphelin sans hamlet et ch-al-oux.
Le pauvre débile.

Jazzi dit: à

Tintin étant un(e) page vierge, chacun y projette ses fantasmes, D.
D’où son succès inattendu, qui étonnait même Hergé !

En revanche, on en apprend de bien bonne sur le site d’Eric Naulleau

« 23 juil.
Les faits après le délire. Silence assourdissant de Caroline de Haas et des autres. Parce que la victime du viol est est un homme ? Parce que le coupable n’est pas un bon coupable pour la galerie médiatique ?

Adama Traoré aurait obligé son codétenu à lui faire des fellation ! »

D. dit: à

La situation impose désormais de fermer les frontières entre la France, l’Espagne et la Belgique.

JJJ, pouvez-vous vous charger de cela svp ?

Janssen J-J dit: à

@ bloume et D.

L’honneur du blog, c’est l’hiommage du blog à Henri Queuille, celui-là même qui arbitra en 49 sur la parité indiciaire des différents corps de fonctionnaires… Parfois, un technocrate s’en souvient quand il répond à un parlementaire au sujet du statut des gendarmes et des policiers assujettis différemment… Le p’tit père Q. savait trouver des solutions aux questions qui ne posaient pas vraiment. Tellement même que le principe dit de « parité Queuille » fait quasi jurisprudence dans la FP d’Etat sous la 4e ET la 5e Répu. Personne n’est jamais revenu là-dessus… Voyez :

[Réponse du ministère : Défense
publiée dans le JO Sénat du 22/12/1994 – page 3026 – La discussion du projet de loi d’orientation et de programmation sur la sécurité est de nature à susciter un certain nombre d’interrogations parmi le personnel de la gendarmerie nationale, qui craint que des dispositions nouvelles viennent remettre en cause, ou du moins porter partiellement atteinte, au principe fortement établi de la nécessaire parité entre la situation des policiers et celle des gendarmes. Dans tous les textes qui ont concerné la fonction publique depuis l’après-guerre, de l’arbitrage Queuille en 1949 aux discussions de l’accord portant rénovation de la grille indiciaire de la fonction publique, cette parité a été réaffirmée par tous les gouvernements successifs. Le ministre d’Etat, ministre de la défense, continue de veiller, depuis plusieurs années, à ce que la situation des gendarmes ne se détache pas de celle qui est réservée aux policiers. Ainsi, durant les débats à l’Assemblée nationale du 12 octobre 1994, il a été précisé qu’aucune mesure de ce projet de loi ne remet immédiatement en cause cette parité. Par ailleurs, l’un des amendements adoptés par l’Assemblée nationale indique qu’il serait inconcevable que la mise en œuvre des dispositions relatives à la modernisation du statut spécial des personnels de police et à l’instauration d’indemnités exceptionnelles, conduise à un abandon du principe fondamental de parité entre la police et la gendarmerie. Une étude de fond, diligentée par le ministère de la défense, est en cours de réalisation aux fins, de manière concertée, d’examiner les problèmes suscités par l’application de la parité et de proposer éventuellement des éléments concrets de solution].

_______
Non, je ne ferais rien, D., pour remettre des barrières aux gestes politiques fondamentaux, car je suis CONTRE le fait d’entraver la libre circulation du coronavirus dans l’espace Schengen, petite commune du Luxembourg à juste titre chérie par la Belgique, la France, le Portugal et l’Espagne. Désolé.

Janssen J-J dit: à

Excuses plates pour le replay, mais la RDL déconne pas mal en ce moment. Prend, prend pas, … le machin sait plus quoi faire avec tous ces pseudos d’hamlet & Ozman qui changent sans arrêt.

Janssen J-J dit: à

Y’aura toujours un sale type pour insinuer que les Adama Tra.oré se comporteraient comme des Nafiss.atou Dialo. Et la présomption de couleur innocente, qu’en fais-tu, tête de Moricaud d’Anthracite, d’Emplâtre, de Doryphore ?

Jazzi dit: à

« pour insinuer »

Les faits, JJJ, rien que les faits. Nous vous laissons les insinuations, qui font tant de mal à la France !

Jazzi dit: à

Dans « Le génocide voilé », l’un de ses ouvrages les plus remarqués, Tidiane N’Diaye se livre à une véritable enquête historique sur ce qui fut sans aucun doute la plus grande tragédie du continent noir : à savoir, la traite négrière arabo-musulmane. Après avoir soumis et islamisé l’Afrique du Nord, puis s’être tournés un temps vers l’Espagne, les Arabes, dès le milieu du VII siècle, razzièrent méthodiquement l’Afrique subsaharienne durant treize siècles sans interruption, massacrant ou réduisant en esclavage des millions d’Africains. Curieusement, cette page douloureuse de l’histoire africaine de nos jours encore est pratiquement occultée, tandis que la traite négrière pratiquée par les Occidentaux du XVIe au XIXe siècles fait toujours couler beaucoup d’encre ?

DHH dit: à

@Jazzi
parce qu’il a voulu redonner sa place à la traite arabe au cours des siècles génocidaires qui ont saigné l’Afrique l’universitaire Petre -Grenouilleau a dechaîné une polemique il y a quelques années

et alii dit: à

par la houpette de tintin, aujourd’hui, la RDL se traîne

Janssen J-J dit: à

@ Nous vous laissons les insinuations

Mes excuses, jzmn, je n’avais pas revérifié que c’était vous… D’accord pour les faits, « rin que les faits », ce qui entre nous, est pas mal difficile, à établir avec des témoignages indirects quand « la justice » professionnelle n’y arrive pas elle-même… alors, pensez bien que les erdéliens qui linkent à chaud derrière leur screens, les albums de Tintin. Cela dit, hein… comme dirait not’passpoul, il faut bien « déboulonner les statuts » !

Janssen J-J dit: à

Tiens, justement on n’entend plus trop parler de la CARSED et des statistiques ethniques. Un livre majeur du frère de la romancière des femmes fortes, jzmn… https://journals.openedition.org/gradhiva/1594 – Rien à voir avec l’ex porte parole du gouvernement, pas mal en son genre langue de bois. Pas rire avec ces choses là
(Tintin-Nabulée). Bàv,

D. 🎖 dit: à

Qui a reçu ici une habilitation « honneur du blog » ? Y a-t-il un organisme certificateur ?
Ma question peut paraître naïve mais j’aimerais bien faire suivre mon pseudo d’un petit macaron à ruban « Honneur du blog ».

D. dit: à

Qui a reçu ici une habilitation « honneur du blog » ? Y a-t-il un organisme certificateur ?
Ma question peut paraître naïve mais j’aimerais bien faire suivre mon pseudo d’un petit macaron à ruban « Honneur du blog ».🎖

et alii dit: à

tintinnabuler
YA QUELQUE CHOSE QUI CLOCHE

et alii dit: à

D, espèce de gyroscope à réaction

Pablo75 dit: à

T’es reviendu mon Pablo ?
D. dit:

Non, je suis passé.

À la prochaine…

Janssen J-J dit: à

@ j’aimerais bien faire suivre mon pseudo d’un petit macron à ruban « Honneur du blog ».🎖

Suffit d’en faire la demande au musée des hochets, on la lui fait passer rapidement, il les accorde très facilement.

Janssen J-J dit: à

Tintin a bullé ?… YA QUELQUE CHOSE QUI CLOCHE
Tontine à brûler, peut-être ?
MS : les carottes sont cuites, la picote volante. ‘Les pétroleuses’ avec Bridgett Bardo et Claudina Cardinal (un vieux film de Christian-Jaque, 1971),

DHH dit: à

@JJJ
plutôt une formulation plus militante actant l’ancienneté et la constance des elus comme RDL canal historique

renato dit: à

Quelqu’un a lu Broken de Don Winslow ?

et alii dit: à

étoiles filantes cette nuit!tenez bien le coup!

Marie Sasseur dit: à

Ca alors…

«  » Je n’ai nullement envie de pourrir ma vie plus longtemps et de m’emmerder à me justifier en permanence pour quelque chose qui n’existe pas. » C’est notamment avec ces mots que Christophe Girard avait motivé sa démission du poste d’adjoint à la culture de la mairie de Paris, le 23 juillet dernier.

datant de 2019, aurait été justifiée par Christophe Girard comme rentrant dans le cadre de la préparation de la journée écriture-manuscrit, tenue par la Ville le 15 mai 2019, précise le site.

Des repas qui ne sont pas niés par l’intéressé. Auprès de Mediapart,Christophe Girard reconnaît avoir « déjeuné ou dîné », « de mémoire, entre 2001 et 2018, quatre ou cinq fois avec Matzneff », mais sans dire si ces repas avaient à chaque fois fait l’objet de notes de frais auprès de la mairie de Paris.

Pour l’ancien élu, il était « normal et courant qu’[il] invite dans le cadre de [ses] fonctions à la culture artistes et écrivains, et que ces rendez-vous étaient inscrits à [son] agenda professionnel, avec noms des participants ».

Anne Hidalgo réitère son soutien à Christophe Girard

Mediapart indique qu’Anne Hidalgo a transféré la note de frais datant de 2019 au parquet de Paris, qui a ensuite été incluse à l’enquête préliminaire pour viols sur mineurs visant Matzneff. 

Selon Mediapart, c’est un agent du bureau de l’appui aux élus qui a d’abord découvert cette note de frais, le 22 juillet au soir, après avoir décidé de procéder à des vérifications face à la montée de la polémique autour des liens entre Girard et Matzneff. Il l’a ensuite transmise au cabinet de la maire récemment réélue, qui a demandé davantage de vérifications.

Entre-temps, le jeudi 23 juillet en début d’après-midi, Christophe Girard est informé de la découverte de cette note de frais. Il n’est pas poussé à la démission, même s’il lui aurait été expliqué qu’il « met l’exécutif dans une situation intenable », relate Mediapart.

La maire a considéré que cette nouvelle pièce n’était pas incriminante

« La maire a considéré que cette nouvelle pièce n’était pas incriminante, puisqu’on savait que Christophe Girard avait eu de toute façon des liens, qu’il avait été entendu par la justice et qu’il n’est visé par aucune plainte, rien du tout, explique le cabinet d’Anne Hidalgo auprès de Mediapart, assurant que la validation de ces dépenses est « administrative » et non « politique ». « Elle le transmet dans un souci de transparence et de coopération. Et elle réitère évidemment son soutien à Christophe Girard. »

Le 23 juillet en fin d’après-midi, les deux autres notes sont découvertes à leur tour. L’adjoint finit par annoncer sa démission à 18 heures, à l’AFP. 

Comme le souligne Mediapart, Anne Hidalgo n’a pas mentionné l’existence de ces notes de frais lorsqu’elle s’est insurgée contre la démission de Christophe Girard, qu’elle a imputée à la pression des militantes féministes et du parti écologiste. Elle a d’ailleurs annoncé « saisir la justice », estimant que de « graves injures publiques » ont été proférées à l’encontre de son ancien adjoint lors de la manifestation du 23 juillet.

Les liens entre Christophe Girard et Gabriel Matzneff

En mars dernier, Christophe Girard a été entendu en tant que témoin dans le cadre de l’enquête visant Matzneff.

S’il n’est pas mis en examen, il lui est reproché de lui avoir payé des séjours en hôtel entre 1986 et 1987, au nom de la fondation Yves Saint Laurent, à la demande de son président, Pierre Bergé. Séjours qui permettaient à Matzneff d’échapper aux visites de la brigade des mineurs à son domicile, et durant lesquels il aurait violé Vanessa Springora. Si Christophe Girard a reconnu ces prises en charge, il dit ne pas avoir su, à l’époque, que Matzneff cherchait à se cacher de la police.

L’ancien adjoint à la Culture sous Delanoë affirme ne pas être « ami » avec l’écrivain, mais avoir « une relation amicale » avec lui. Au Parisien, il a aussi affirmé ne pas avoir été au courant, à l’époque, des agissements pédocriminels de Matzneff, bien que ce dernier lui ait dédié un de ses livres, La Prunelle de mes yeux (1993).

Christophe Girard est aussi soupçonné d’avoir rédigé une lettre de recommandation pour permettre à Matzneff de percevoir une allocation à vie, qui lui a été retirée depuis.

La pédocriminalité de Matzneff était connue du monde littéraire parisien, puisque racontée dans ses « carnets intimes » publiés dans de grandes maisons d’édition, dont un qui lui a valu le prix Renaudot en 2013. »
Site de Marie-Claire

et alii dit: à

ce n’est pas être une féministe extrêmiste et cinglée de remaer la mort de gisèle HALIMI.JE CROIS QU’ELLE A ETE COMPLICE » de Romain GARY aussi

et alii dit: à

. RG a refusé de répondre aux questions qui lui étaient posées, notamment à propos du refus du prix annoncé par son avocat, Me Gisèle Halimi, jouant même des poings pour échapper aux journalistes.
LE MONDE

D. dit: à

Magnifique le cake.

Marie Sasseur dit: à

@ »ce n’est pas être une féministe extrêmiste et cinglée de remaer la mort de gisèle HALIMI »

Certainement pas Dr Lecter. Surtout pour celles qui peuvent découvrir ses plaidoiries,.
Proces de Bobigny de Marseille, d’Aix ?

Jazzi dit: à

« Un fonctionnaire de police affirme qu’en deux ans, «plus de mille prévenus ont été maltraités». Des «propos racistes» réguliers auraient été prononcés à leur encontre. »

ça donne à réfléchir sur les autres fonctionnaires de police, non racistes (j’ose espérer qu’ils sont majoritaires, vu le métissage grandissant chez les flics), qui ont tous préféré fermer les yeux et boucher leurs oreilles !

Et le maire écolo nouvellement élu de Colombes, qui compare la police actuelle à celle de Vichy !

Marie Sasseur dit: à

# »Et le maire écolo nouvellement élu de Colombes, qui compare la police actuelle à celle de Vichy ! »

Quand on découvre ce qui se passe au tripot de Paris, il n’a pas tort. Les bâtards !

Marie Sasseur dit: à

Avec une inspectrice du travail, orwellienne comme aucun, AUCUN, de ses prédécesseurs, aux affaires, Paris est devenue une ville de stupre, pour paraphraser celui qui mérite la médaille d’honneur sur la rdl.

B dit: à

Mediapart,Christophe Girard reconnaît avoir « déjeuné ou dîné », « de mémoire, entre 2001 et 2018, quatre ou cinq fois avec Matzneff », mais sans dire si ces repas avaient à chaque fois fait l’objet de notes de frais auprès de la mairie de Paris.

Mince alors, moi-même, je pense avoir été en contact avec des gens pas clairs côté petits enfants. Quelle chance, ils n’étaient nullement inquiétés par les services concernés.La pédophile est malheureusement un fléau plus répandu que beaucoup ne le croient. Pour revenir à ce volet peu fameux, quelqu’un me disait récemment sa « conviction » à propos d’Outreau. L’affaire. selon lui, tous les protagonistes étaient coupables et le juge aurait été dessaisi pour permettre d’alléger les peines. Cette histoire restera dans les annales et bien qu’elle ne soit pas comparable à celle de GM, il reste assez difficile de statuer sur une vérité dans certains dossiers consternants.

B dit: à

La pedophilie. Correcteur.

B dit: à

Revenir sur Tintin au Congo quatre-vingt ans après sa parution (en 1931), nous paraît intéressant non seulement pour interroger le regard que pouvaient porter dans les années 30 les sociétés européennes sur l’Afrique et les Africains, mais aussi notre propre regard concernant cette œuvre.  »

https://www.cairn.info/revue-etudes-2012-7-page-75.htm

Janssen J-J dit: à

Telle Michelle Perrot, je préfère me souvenir des progrès liés aux combats de Gisèle Halimi aux rebondissements actuels des affaires de G. Matzneff qui ne m’intéressent pas du tout.

Marie Sasseur dit: à

Dr Lecter, serait- ce de la pudeur, de ne pas exposer clairement ce que les femmes doivent à G. Halimi ?

« Les avocates des victimes, Anne-Marie Krywin, Marie-Thérèse Cuvelier, Gisèle Halimi, ayant obtenu le renvoi de l’affaire devant une cour d’assises, le procès s’ouvre le 2 mai 1978devant la cour d’assises des Bouches-du-Rhône, à Aix-en-Provence. Gilbert Collard fait partie des avocats de la défense. Gisèle Halimi, ayant fait le choix de médiatiser l’affaire[3], s’emploie à faire du procès une tribune politique et refuse notamment le huis-clos. Le procès est à l’époque particulièrement suivi par la presse : les deux victimes reçoivent le soutien de nombreuses personnalités ainsi que des mouvements féministes[5].

Au terme de débats houleux, lors desquels les plaignantes sont accusées d’avoir été « consentantes », voire provocantes, Serge Petrilli, le meneur, est condamné à 6 ans de prison, Guy Roger et Albert Mouglalis à quatre ans[6]. Petrilli est le seul à être condamné pour viol, les deux autres prévenus étant reconnus coupables de tentative de viol. La circonstance aggravante de crime en réunion n’est pas retenue par le jury[7].

Dans la foulée de l’affaire, Gisèle Halimi, ainsi qu’Agnès Fichot qui avait été sa collaboratrice pendant le procès, défendent d’autres victimes de viol sur l’ensemble du territoire. S’appuyant sur leur travaux, la sénatrice Brigitte Gros dépose l’année du procès une proposition de loi sur le viol[5],[8].

En 1980, à la suite du vote de la loi qui remplace la précédente législation datant du Premier Empire (Code pénal de 1810), le viol devient en France un crime puni de 15 ans de réclusion criminelle. »

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Affaire_Tonglet_Castellano

B dit: à

par la houpette de tintin, aujourd’hui, la RDL se traîne

Oui, même vous, êtes moins présent. Ça nous fait des vacances ou est-ce une rémission ?

Marie Sasseur dit: à

Puisqu’il est évoqué Romain Gary…

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OPINION

Column: How the FBI and the Los Angeles Times destroyed a young actress’ life 50 years ago

Jean Seberg on location for “Bonjour Tristesse,” 1957

(©1978 Bob Willoughby / mptvimages.com)

By NICHOLAS GOLDBERGCOLUMNIST 

JUNE 7, 2020

3 AM

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Fifty years ago, a senior editor at the Los Angeles Times came into possession of a dangerous piece of gossip, leaked to the paper by the FBI. The Times printed it without fact-checking it, and the life of a famous young actress was destroyed.

The leak was malicious and the information was almost certainly wrong. It was intended by the FBI to damage the reputation of the actress, Jean Seberg, as punishment for what the bureau saw as her radical political beliefs. When Times gossip columnist Joyce Haber published the item in the spring of 1970, Seberg — the 31-year-old star of Jean-Luc Godard’s “Breathless” and Otto Preminger’s “St. Joan,” among other films — spiraled into a long-term depression that led directly to her suicide on a Paris street a decade later.

On its 50th anniversary, the story seems every bit as tragic as it was at the time, but also relevant again. This was an example, after all, of what can happen when unbridled power rests in the hands of irresponsible officials. It’s about the accountability and influence of the media, and the danger of dishonest, ad hominem attacks by government on individuals. It’s about the subversion of the rule of law.

In the spring of 1970, the FBI was at the height of its war against radical movements in the United States. The bureau’s unscrupulous director, J. Edgar Hoover, had for years been working to undermine the antiwar movement, civil rights leaders and black militant organizations. Among the latter was the Black Panther Party, a group of self-styled revolutionaries challenging police brutality and white authority through “armed self-defense.”

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Seberg was one of a number of Hollywood supporters of the Panthers. She had donated more than $10,000 and may have been in a relationship with one of its members (leading the bureau to describe her internally as a “promiscuous and sex-perverted white actress”). On April 27, a cable was sent from the FBI’s Los Angeles office to Hoover requesting permission to “publicize the pregnancy of Jean Seberg, well known actress, by [name deleted] of the Black Panther Party by advising Hollywood gossip columnists.” The cable said this could “cause her embarrassment and serve to cheapen her image.”

Headquarters responded: “Jean Seberg has been a financial supporter of the BPP and should be neutralized.”

When the tip came in, a Times reporter passed it to the Metro editor, who sent it on to gossip columnist Haber. She ran the item on May 19 with no names attached — but with enough details that Seberg was easily identifiable. In it, Haber noted that Seberg, whom she called “Miss A,” was “pursuing a number of free-spirited causes, among them the black revolution.” Haber said that the father of her child was “said to be a rather prominent Black Panther.” A similar item ran in Newsweek a few weeks later, this time using Seberg’s name.

The information was malicious, manipulative and most likely untrue. Certainly the FBI didn’t know if it was accurate (it leapt to a conclusion based on transcripts of a wiretapped call) and neither did The Times. Seberg and her family always denied it.

https://www.latimes.com/opinion/story/2020-06-07/fbi-los-angeles-times-jean-seberg-50-years

et alii dit: à

B, occupez vous de vos ami-e-s;j’ai l’honneur de ne pas désirer de conversations avec vous;et depuis longtemps;je vous ai prévenuE de ne plus vous adresser à moi ;

christiane dit: à

« […]L’automne est un songe qui tarde à se défaire, c’est le dernier adieu de la solitude et de la violence ; il peut tituber dans un faste byzantin, plein de bruits de cloches et de cuivres, ou, de méchante humeur, en dépit de sa fatigue, pressentir non la décadence qu’il évoque, mais le renoncement du songe. Et où trouver automne plus magique, moins résigné qu’en ce triangle où les eaux confluent de toutes parts, champ de bataille de la mer et des fleuves ? […] et cet automne est comme une lame dans les fumées, quelque chose à la fois de tendre et de tendu, de fiévreux et de maternel.
Ah ! il y a ici aujourd’hui des effets admirables ! Peintre, je ne pourrais m’arracher à ces lieux […] il faut voir ici les peupliers, la cime presque volatilisée par les panaches de l’humidité, se couvrir, à la moindre oscillation, d’un tremblement d’écailles ! Jetée comme un dé au milieu d’un champ, une maison d’un rouge flamboyant aux persiennes vert perroquet semble, parmi les iridescences et les traînées de brume, sortir du four du faïencier.
Et de ce soir aussi, que diriez-vous ? De rouge, il n’y a guère qu’une très étroite bande, et c’est un rouge lavé ; mais au-dessous, ouvrant un espace sans bornes, prolongeant la plaine à l’infini, il y a un ciel horizontal qui imite la mer, un incroyable ciel de porcelaine. Aucune mélancolie ne peut surpasser celle-ci : la terre, réduite à une ombre, errant vers cette alcôve, vers ce ciel lunatique. […] »

En novembre 1932, Giuseppe Ungaretti voyage en Vénétie, entre le Pô et l’Adige. C’est pour Ungaretti « le pays de l’eau », une terre plate et nue comme le désert, en grande partie immergée, attirée par l’abîme marin ; terre biblique, submergée et gorgée d’eau, comme si l’on était après le Déluge… Il raconte ce voyage dans un chapitre de son ouvrage Il deserto e dopo – Traduit par Philippe Jaccottet (À partir du désert, Éditions du Seuil)

(Trouvé sur le blog d’un ami qui aime tant la littérature italienne et souvent, la traduit.)

B dit: à

Je ne concerne pas avec les fous dont vous êtes, psychopathe. Je vous crache au visage, très cher et alii, génie des psychanalystes. Occupez vous de votre pauvre tête. Il serait grand temps bien qu’il soit trop tard. N’êtes vous pas conscient des atteintes qui vous fèlent ? Non, vraisemblablement pas, mauvais chrétien, ou cela vous arrange comme chez tous les malades de votre espèce. Le tri est sélectif. Taré.

B dit: à

Converse. Correcteur.

Janssen J-J dit: à

@ b / Ça nous fait des vacances ou est-ce une rémission ?

Je m’adresse à vous, b., pour vous signaler que cette question/affirmation m’apparait tout à fait bienvenue…

NB/ La chaleur juillettiste épuiserait un brin les meilleures volontés, dans tous les ehpad électroniques de France. Et le retour de la covid commencerait à faire de nouveaux ravages parmi nos aînées affaiblies.
Bàv,

B dit: à

Hergé n’a jamais usé d’insultes à caractère sexuel ou criminel comme, assassin, violeur, pédophile, me trompe-je?

et alii dit: à

je crois, B, que vous ne savez pas choisir vos modèles;j’écoutais aujourd’hui une video où l’auteur appelait l’écrivain papiste bien connu comme bon chrétien et filmé dans des églises , tatuflettes à bagouse, et mégalo paranoïde, c’était assez drôle quand même !
foutez moi la paix avec votre érotisme erdélien;vous n’avez qu’à lire tintin et vos chèr-e-s ami-e-s;

Janssen J-J dit: à

Foufounez-nous la paix…, bayadère de prise unique, harangère de karnaval !

B dit: à

Mon érotisme réélu en? Une volonté diffamatoire, très cher, et si j’aborde la sexualité, ce n’est jamais trop insistant. Je ne fais pas partie des obsédés ou des frustrées usant du pouvoir de l’évocation pour satisfaire un appétit. Voyez chez un ou une autre. Votre extrapolation ou votre interprétation de mes commentaires est fantaisiste, un brin faussée par votre foi, mauvaise egalement. Sale fin.

B dit: à

Rdelienne. Correcteur.

et alii dit: à

on connaît par coeur le travail de Tisseron;je l’avais envoyé sur la RDL moi-même; d’ailleurs Tisseron est très intéressant, LUI,j’ai connu de ses élèves et « échangé » avec ELLES

B dit: à

Quant aux ami es, quelle transparence! Je ne les aime Q’eau pure ou propre, honnête, sans concessions, ni compromissions. Je ne trempe pas dans les égouts. Bravo pour la technique déstabilisante, je pleure, sniff. Pauvre type.

Brinqueballe dit: à

je crois, B, que vous ne savez pas choisir vos modèles

Suivons étalii,
psys, au pluriel sinon rien!
Fernandel Lacan et sa Marguerite que l’on a pu voir à ses séminaires, ce curé!
Derrida avec Cixous à la clef,
De qui nous croit-elle la vache et le prisonnier?
Legendre à sa mémé,
et tout le toutim.

par la houpette de tintin, aujourd’hui, la RDL se traîne (sic)

B dit: à

on connaît par coeur le travail de Tisseron;je l’avais envoyé sur la RDL moi-même; d’ailleurs Tisseron est très intéressant, LUI,j’ai connu de ses élèves et « échangé » avec ELLES

On dirait du Sasseur.

ramassis d’échos demeurés !

Brinqueballe dit: à

par la houpette de tintin, aujourd’hui, la RDL se traîne

Jeannot Lapin
dès bon matin
broute la sarriette et le thym,
dans la clarté de la clairière
on voit la houppette de son derrière!
(Cela se chante aux enfants.)

et alii dit: à

c’est triste pour ceux qui n’ont pas reconnu l’écrivain chrétien papiste qui connaît bien etles psys et les femmes !
j’en sais assez sur les erdélien-ne-s,je ferme l’ordi
bonsoir les glavioteurs et glavioteuses polluant de corona

Marc dit: à

JJJ,

Décidément, tu es de plus en plus con.
Pas drôle pour un sou.
Chiant comme la mort.
Un sale vieux connard qui se prend pour je ne sais qui ou je ne sais quoi.
Suicide-toi, euthanasie-toi et débarrasse la terre de ton poids inutile.
Crève comme un rat empoisonné et fout le camp d’ici sale enculé.

B dit: à

Tant mieux. Nous n3 sommes pas des fuyards, regardez vous donc un peu dans votre psyché, morpion, poux de bois, vermine lettrée, admirateur(triche d’André Gide !

B dit: à

Tubards. (trice).

Marie Sasseur dit: à

La houppette de Tintin, ce serait…

Mais non, le kairos c’est autre chose.

«S’il n’y a qu’une façon de faire le bien, il est bien des manières de le manquer. L’une d’elles consiste à faire trop tôt ou trop tard ce qu’il eût fallu faire plus tard ou plus tôt. Les Grecs ont un nom pour désigner cette coïncidence de l’action humaine et du temps, qui fait que le temps est propice et l’action bonne: c’est le Kairos, l’occasion favorable, le temps opportun.»

Pierre Aubenque, La prudence chez Aristote, Paris, PUF, 1963, pp. 96-97.) Cité par Richard Conte dans Qu’est-ce qu’une pratique?

Site Encyclopédie Agora.

a bientôt, demain, j’ai de la route.

Marie Sasseur dit: à

28 juillet 2020, 23h00

B dit: à

Ah, enfin un enseignement utile aux épidémiologistes. Bravo.
Il ne passera pas par moi, qu’importe le microbe!

et alii dit: à

si jazzi ne veut pas que son baratin sur la bible soit jugé comme une sollertiade à la sauce kristeva, il a intérêt à lire des auteurs plus cultivés que ses copains et ses copines de la RDL dont on a apprécié ce soir le peu de talent

B dit: à

Un bonjour de politesse conventionnelle aux bourgeois vérolés. Bonne journée à tousse.

christiane dit: à

Hier au soir, un coucher de soleil un peu mélancolique (Ungaretti en Vénétie), ce matin, un ciel bleu lumineux lavé de frais. Déjà, un oiseau chante.

Bloom dit: à

« Que dirions-nous si les Egyptiens ou les Péruviens venaient, chez nous, ouvrir les tombeaux de nos rois?…Hein, que dirions-nous? »

Album?
N°de page?

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mercredi 29 juillet 2020 à 8 h 41 min.

…tout est facile, dans l’enseignement, le bon droit pour tous,…il faut juste savoir expliquer à bonnes températures conformément à l’élève,…sans concurrences d’opinions déloyales  » préétablies « ,…
…chacun aux ressorts de  » sa  » civilisation, en points de mires,!…

…aucun zèle,…
…des profs ad-hoc,…tous chimistes, techniciens, mathématiciens, biologistes, architectes, acteurs, avocats, médecins,…même artistes,!…
…le  » bon sens nationaliste  » et stratèges des services secrets, dans sa poche pour son pouvoir,!…C.Q.F.D.
…le leurre du pouvoir aux anges,!…
…envoyez,!…

Marc dit: à

J’aime bien insulter Gigi la visqueuse qui est conne comme c’est pas permis.
Contre les cons et les lâches, on se lâche.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mercredi 29 juillet 2020 à 9 h 04min.

…bien entendu,  » au sens  » du poil,…

…ne pas oublier, les  » comptables « , en tout sens,…pour régulariser les projets, sans obvenir ou déroger aux mœurs et profits escomptés,!…
…of course,…

et alii dit: à

ça, bloom, j’en ai gros sur le cigare!et je ne fanpharaonerai pas que vous êtes bien le premier à me l’offrir alors que tout le monde sait que je suis une incorrigible fumeuse et lectrice de S.ZAG

et alii dit: à

Alors je vais vus dire un autre de mes secrets:non seulement je lis PETER SLOTERDIJK,mais pour me détendre, je m’assieds en lotus bleu; position idéale!

Janssen J-J dit: à

1 – Ce matin, une charitable entreprise de P. Engel pour sortir Lucien Levy-Bruhl de son enfer… Aucun jugement de valeur chez lui sur le concept de « mentalité prélogique ». Ce qu’il vaudrait mieux savoir. (in EAN, n° 100).

[je cite / … »En fait, Lévy-Bruhl était, comparé aux anthropologues structuralistes qui l’ont mis aux oubliettes, en avance sur son temps. Car, à la différence de ceux-ci qui partaient d’une théorie des signes et du symbolique, il entendait partir de la psychologie. Sa notion de « mentalité » était trop vague, mais il était à la recherche d’une théorie unifiée de l’esprit humain, en étudiant les formes d’inférence et de formation de croyance des sociétés. C’est la voie que suit aujourd’hui l’anthropologie cognitive »].

2 – Je rends aujourd’hui hommage à l’époux de Gisèle Halimi en oubliant volontiers celui de Margaret Thatcher qui ne lui a vraiment pas rendu service en l’encourageant dans leurs tâches d’épiciers britanniques.
J’espère que la loi française sur la PMA en discussion va être votée par la constellation droit-de-l’hommiste de bonne volonté politique, au delà des disciplines partisanes éculées, car ce projet constitue un immense facteur de progrès.

3 – Pourquoi tant de haine au demeurant ?… Se faire du bien ou du mal par où ça passe ? Se la mettre à l’arrière-train dès le matin ?… Il ne faut jamais s’en priver si ça peut calmer des chaleurs inassouvies.

Bàv, (J. Ext, 29.7 – 9.53)

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mercredi 29 juillet 2020 à 9 h 59 min.

…le sens du  » trou noir « , dans l’espace,…

…tout capturer et régulariser à nouveau,…

…comme un prospecteur  » gardien  » naturel des travaux à niveler,…
…remettre les moisissures des génies au compteur  » zéro « , après lui, plus rien de rien,!…
… » le trou noir « ,…comme l’instrument de l’orpailleur céleste,!…
…merci  » Fort Knox « , et autres amoncellements,…
…imagination,…gratuite,…of course,…

Janssen J-J dit: à

@ Bonjour Chritiane,
Hier, nous avons retrouvé les racines du dernier Van Gogh, à Auvers sur Oise. Le coucher de soleil était un peu mélancolique, mais ce matin, mais oui, un ciel bleu lumineux l’a lavé de frais. Et déjà, deux oiseaux chantent, fauvette et pinson.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

… une expression populaire renversante à revisiter : est-il permis d’être conne et brune, barbie ?

Janssen J-J dit: à

Des nouvelles de Jean Langoncet ? de JM-B ? de Chantal ? des calanques de Marseille ? de J. Prunier ? De D.-hamlet-Auzamandes ? De Gisèle ? De Pirandello ?…
Bàv, Giovan SA.

et alii dit: à

‘et de Clopine?

et alii dit: à

COMMENT RECONNAITRE LES FAUX VAN GOGH?
IL Y EN A PLETHORE, des faux, mais il me semblait que dans les vrais, on retrouvait une histoire de fractale;je ne trouve pas sur la toile,et je suis crevée ce matin, malgré une bonne nuit

Janssen J-J dit: à

Oui, elle va beaucoup mieux d’après les réponses parvenues de son adresse mail.
Se demande comment elle a bien pu s’aveugler sur sa situation personnelle depuis des années. L’essentiel est qu’elle ait pris fin. Il lui faut aller de l’avant. Chercher une nouvelle voie, une chambre à soi, comme Virginia.
Bàv,

Phil dit: à

hello dear Passou, Tintin ou Simenon, chevau-léger de votre prestigieux blog aussi inoxydable que le virus chinois. drôle d’époque indeed, les lecteurs de Tintin au Congo naïfs comme ceux du Stamboul train de G. Greene qui prennent tout au pied de la lettre. Question de pif probablement, pas communiste, notez que celui rastapopoulos n’a pas été rectifié.

Janssen J-J dit: à

@ et je suis crevée ce matin

Comment est-ce possible…, etalii ?
Bàv,

D. dit: à

Ce midi c’est Toulouse-Purée de pois cassés.

et alii dit: à

Purée de pois cassés.
avec des croutons
(un peu de crème pour la rendre onctueuse)

gisèle dit: à

@ JJJ, Vous avez la mémoire longue ! Gisèle marche au son et à la voix et à l’oreille plutôt qu’aux yeux,qui tous les deux sont en période de grands travaux…Pas très bavarde,mais en reconstruction .

@ Phil,grâce à vous j’ai exhumé  » le flagellant de Séville » auquel vous faisiez allusion dans un post qui ne date pas d’hier. Plongée dedans, en lisant et en écoutant. C’était un joli post sur les footballeurs et  » les ruines de l’Europe » . Très goûteux,et passionnant. A suivre.

et alii dit: à

à propos de Cassirer (dont je vous avais déjà parlé à DAVOS;
 » On ne peut pas grand-chose contre qui dit en substance : « Vous voyez bien qu’un Noir n’est pas de la même couleur qu’un Blanc ! » Le fait est censé avoir valeur probante et, quand il suggère une pensée autre que celle que l’on voudrait, on invente des faits. C’est à Gobineau et à son Essai sur l’inégalité des races humaines que Cassirer s’en prend avec cette vigueur et cette justesse, mais ses arguments ne porteraient pas moins contre ceux qui, de nos jours, persistent à opposer à la force du raisonnement des faits inventés ou niés, à la manière de ce président d’un grand pays qui invente la réalité et qualifie de fake news tout ce qui va contre les « évidences » qu’il assène.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/04/15/heure-irrationnel-cassirer/

et alii dit: à

toulouse:c’est une idée!
Édouard Toulouse, né le 10 décembre 1865 à Marseille et mort le 19 janvier 1947 à Paris, est un psychiatre et journaliste français, directeur de la revue Demain à laquelle collabora Jean Paulhan, et dont le secrétaire, après Tony Dubois, fut ponctuellement Antonin Artaud.
Il est devenu médecin avec une thèse sur la mélancolie et interne à Villejuif.

En 1901, Édouard Toulouse ouvre un Laboratoire de psychologie expérimentale à Villejuif1,2.
voir wiki
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89douard_Toulouse

et alii dit: à

depuis le temps que je vous en parle
suite wiki toulouse
Émile Zola a par ailleurs été son « sujet d’étude » sur la question du rapport entre le génie et la folie5. Zola a en effet accepté que Toulouse publie ses observations qui comprenaient entre autres des détails sur sa vie intime.

Par ailleurs, il était aussi franc-maçon. Un hôpital psychiatrique de Marseille porte son nom.

Ses archives sont conservées à la bibliothèque Méjanes d’Aix-en-Provence.

et alii dit: à

toulouse
Dans la psychiatrie, il est intéressé par la mise au point de thérapeutiques médicales efficaces, mais aussi et surtout par la définition des modes d’assistance aux aliénés qui soient respectueux de leur personne et qui leur offrent les meilleurs possibilités de guérison, ainsi que par la mise en place de dispositifs de prévention.

5Autant qu’un savant, Toulouse est donc aussi un militant social. Son militantisme, facilité par des contacts étroits avec les élus du parti radical et radical socialiste, et servi par une intense activité journalistique, a porté ses fruits dans deux domaines :

celui du développement du mouvement psychiatrique ;

celui de la création du Centre de prophylaxie mentale du département de la Seine où il a montré qu’il était possible de soigner les fous sans les interner et que des actions systématiques pouvaient être entreprises pour préserver la santé mentale.
in
M. Huteau. Psychologie, psychiatrie et société sous la troisième république. La biocratie d’Édouard Toulouse (1865-1947)
Paris : L’Harmattan
https://journals.openedition.org/osp/3216

Janssen J-J dit: à

@ Contre les cons et les lâches, Marc se lâche.

Entre nous… a beaucoup de courage, cet homme-là ! Me fait panser à Baderne-Powell 🙂

et alii dit: à

Le dernier chapitre, « La question féminine, la sexologie et l’eugénisme », traite du statut de la femme, des questions sexuelles et du contrôle de la procréation. Sont présentées les positions défendues par Toulouse pour promouvoir l’égalité juridique et économique des sexes, ainsi que ses idées sur la morale sexuelle, le mariage et le divorce, l’eugénisme négatif et positif et la crise de la natalité.

Janssen J-J dit: à

Un bel hommage à Michel Chaillou beaucoup pratiqué jadis. Suis très étonné par l’hommage de Bourdieu à cet auteur, qui m’avait échappé dans les « règles de l’art »…
——-
Après un roman d’aventures, Jonathamour, Michel Chaillou traverse le vers classique (Collège Waserman), L’Astrée (Le sentiment géographique), Montaigne (Domestique chez Montaigne), Pouchkine (La rue du capitaine Olchanski, roman russe), etc. La petite vertu, anthologie de prose courante sous la Régence, en 1980, est peut-être son chef-d’œuvre. La préface, « Avant-propos sur les affaires du temps », est un manifeste magnifique. Dans le plaisir du texte mais d’autres textes, comme l’inconscient, la littérature ignore le temps – la chronologie – et l’espace – le champ littéraire. Michel Chaillou fut paradoxalement l’inventeur de l’expression « extrême contemporain »
(dans le lien cité précédemment).

et alii dit: à

ce matin, avec mon amie, nous avons parlé de la puissance-force des racines des arbres ,soulevant même le bitume des trottoirs, je l’avais vu à Paris,sur les boulevards, et prévenu le kiosquier à côté duquel était cet arbre entêté, que les gens qui tra versaient très vite manquaient de culbuter:ce qui arriva à une amie de mon amie qui se fractura le bassin;
j’avais suggéré au kiosquier de prévenir la mairie .
Malgré ma réserve sur les histoires de « racines » cette puissance me suggéra une fable ; c’était si imprévu , inoui, et « catastrophique »

renato dit: à

Janssen J-J, Broken reçu dans l’ed. HarperCollins-Italia. Ma question pour savoir dans quelle pile le ranger.

À propos de « Contre les cons et les lâches… »
Il est probable qu’il soit parti en guerre contre soi-même.

PS — incidemment, je suis peut-être un vieux con, mais il m’a fallu un temps pour comprendre que cet r. c’était moi. Je sais que l’usage de la seule initiale c’est on ne peut plus chic, mais on pourait nous limiter au marges du gars lambda qui préfère dédier son temps de reflexion à des sujets plus stimulants :

https://blogfigures.blogspot.com/2013/02/thomas-ruff.html

Janssen J-J dit: à

Ulysse Baratin semble spécialisé dans le domaine de la littérature gaie. A partir du CR d’un petit roman :
« William Marx remarque cependant : « La plupart des minorités sont déjà constituées en communautés », alors qu’« un gai naît dans une famille non gaie, parfois hostile à sa propre existence, et dont la haine se découvrira à lui brusquement – ou peu à peu. Le voici plongé en milieu étranger comme dans un cauchemar ».
En « milieu étranger » ?, se demande Ulysse Baratin, sceptique : L’auteur insiste : « Être gai, c’est vivre par principe dans un monde qui t’est étranger. »
Un débat non tranché… en réalité. Bàv, Jissé.

christiane dit: à

Janssen J-J dit: à

@ « Bonjour Chritiane,
Hier, nous avons retrouvé les racines du dernier Van Gogh, à Auvers sur Oise. Le coucher de soleil était un peu mélancolique, mais ce matin, mais oui, un ciel bleu lumineux l’a lavé de frais. Et déjà, deux oiseaux chantent, fauvette et pinson.
Bàv, »
Oui, j’ai vu et entendu cela ce matin et cette nouvelle m’a rendue heureuse. Van Gogh était un sacré dessinateur. Sa dernière toile…
J’ai vu de ces arbres dont les racines enserrent les rocailles en Haute Corse (paysages sauvages et maquis, roches, chênes-verts, oliviers, châtaigniers et la mer indomptée…. C’est très impressionnant. Terre, roche et bois de l’arbre ne font plus qu’un : une grande force d’union et d’entraide qui traverse le temps et fait mémoire car certains de ces arbres sont très vieux. Seul le feu peut les détruire, surtout l’été avec la sécheresse et le vent.
Bonne journée aussi à vous.

D. dit: à

Non sans croûton et sans crème.

et alii dit: à

la dame qui s’est fracturé le bassin en butant contre des racines est aussi corde et peint;c’est d’elle que mon amie a pris le goût de dessiner ;

et alii dit: à

corse, pas corde;je rêvasse

et alii dit: à

Non sans croûton et sans crème.
comme vous voulez, et même pour la soupe

et alii dit: à

mes amij-e-s ne sont pas des bathyscaphes de baignoires (au théatre erdélien)

JiCé..... dit: à

Bien à vous Gigi !

Nous sommes ravis que cette hyène meurtrière de Sauvage, 47 ans de préméditation, ait fini par payer son crime.

Le Temps est un tueur juste ….

Janssen J-J dit: à

seule la mort met fin aux tourments des violenteurs de tueuses…, et sans ranckune sauvage, hollande a graciée cette dame, la seule décision correcte dont il ait usé avec le pouvoir que la Constitution lui a donnée. Elle peut enfin reposer en paix. Mais vous, le pourrez-vous vraiment, JiSSé ?
Bàv.

@ r=renato. Oui, j’avais cru faire chic car vous l’êtes indéniablement, -et il y a même longtemps de cela-, mais les gens ne se lisent pas assez assidument sur ce blog, on mesure bien la somme de malentendus qui sévit, et qui aurait pu nous éviter pas mal d’injures gratuites. Mais le genre s’est toujours bien porté icite, que faire ?

Pat V dit: à

Hier, nous avons retrouvé les racines du dernier Van Gogh, à Auvers sur Oise.

Et de notre côté, des tableaux de l’un de ses premiers acheteurs nous sont passés entre les mains!

Jazzi dit: à

« mes ami-e-s ne sont pas des bathyscaphes de baignoires »

Seulement de bassin, on avait bien compris et alii !
Mais ils, elles, feraient mieux de regarder leurs pieds…

Pat V dit: à

Le patissier Eugène Murer achetant un Van Gogh, ce n’est pas rien!
Magnifiques gouaches de 1905, dans leur jus, passe partout et sous carte doré avec un cartel parfaitement dessiné avec le nom des lieux peints.
Une merveille avec toute l’histoire de la peinture qui va avec!
Collectionneur X, connu dans l’exportation et la diffusion de la littérature française de qualité dans le monde entier.
Ah, les grands plaisirs de la petite peinture!

https://publicationscalamar.wordpress.com/tag/murer/

Jazzi dit: à

« r=renato »

Parfois vous l’employez aussi pour rose, JJJ.
Comment faire pour qu’il n’y ai pas de confusion, car l’un est chic et pas l’autre ?

Pat V dit: à

Collection Murer :

Les Fritillaires :

acquis par Murer en 1887 directement de Van Gogh
cédé en 1897 – collection E. Blot
puis collection Druet
depuis avril 1907 : collection Isaac de Camondo
légué en 1911 pour le Musée du Louvre.

On voit qu’au cours de vingt premières années, le tableau a changé de propriétaire au moins quatre fois.

lmd dit: à

«La houppette de Tintin, ce serait…
Mais non, le kairos c’est autre chose ».
Certes,le Kairos du palais Ricci-Sacchetti a la houpette plus facile à saisir :
https://www.pinterest.fr/pin/436215913883892380/
Mais il faut observer que le capitaine Haddock a souvent manqué de cette faculté de saisir l’occasion et d’enfin dépasser les bornes qu’on lui imposait. Jamais il n’a crié, agrippé au bastingage : Tafiole d’eau douce, grec de mes deux, pédopsychiatre ! .

D. dit: à

Je doute que Van Gogh ait peint à la gouache.
Connaissant le bonhomme.
Par contre il a Gachet peint.

Pat V dit: à

D. dit: à

Je doute que Van Gogh ait peint à la gouache.

C’est Eugène Murer qui peint à la gouache, il vous faut suivre,D!
( Bien sûr j’ai pris quelques photographies pour archivage, mais ne les mettrais pas en ligne. Discrétion oblige…)

Pat V dit: à

Je doute que Van Gogh ait peint à la gouache.

C’est comme d’avoir entre les mains une planche ou un dessin original de Tintin entre les mains pour l’encadrer ou le nettoyer.
Cela vaut tous les copiés/collés du monde! 😉

Pat V dit: à

entre les mains

Je n’ai pas quatre mains, vous en enlevez deux et ce sera parfait!

Jazzi dit: à

« ( Bien sûr j’ai pris quelques photographies pour archivage, mais ne les mettrais pas en ligne. Discrétion oblige…) »

Vous avez des Van Gogh à vendre, Pat V !
A quel prix ?

Bloom dit: à

Hier, nous avons retrouvé les racines du dernier Van Gogh, à Auvers sur Oise.

70 huiles sur toile peintes en 2 mois. Frénésie créatrice culminant dans l’auto-destruction.
Enterrement dans les blés, avec les corbeaux, sur le plateau battu par les vents…Avant le pont, un panneau indique la direction de Zundert.

et alii dit: à

« mes ami-e-s ne sont pas des bathyscaphes de baignoires »
l’une est une vieille dame veuve et très dynamique,qui abuse peut être de sa forme alerte:elle compte sur son téléphone de poche pour se faire secourir,
j’ai par l’autre des nouvelles régulières de la Corse! et c’est elle me gate en fleurs, en gateaux !c’est une femme pleine de ressources dans sa vie

JiCé..... dit: à

« Elle peut enfin reposer en paix. Mais vous, le pourrez-vous vraiment ? »

Question idiote…!

D. dit: à

Coup de tonnerre :

Dati vient de dénoncer Hidalgo à la justice pour favoritisme et détournement de fonds publics pour des avantages qui auraient été accordés au groupe Unibail dans le cadre du projet Tour Triangle Porte de Versailles.

et alii dit: à

Aux Antilles, le fromager est lié à l’histoire de l’esclavage. Cet arbre solide a servi à plus d’un pour se pendre et échapper à ces conditions de vie inhumaines. Les esclaves étaient persuadés que s’ils se pendaient à ses branches, leur âme pourrait voyager au-dessus des mers et retrouver celle de leurs ancêtres. Rien d’étonnant à ce que le fromager ait gardé une mauvaise réputation.

La légende dit d’ailleurs que ce sont des arbres à zombis ou à soucougnan, qui accueillent l’esprit des morts. Les soucougnan sont des sortes de vampires, volants, plutôt féminins.

Mais bien avant cela, les Indiens Caraïbes qui peuplaient les Antilles évitaient d’utiliser le coton du fromager, car selon eux, leur sommeil en eût été hanté.

D. dit: à

Dati, s’appuyant sur le rapport de la Chambre régionale des comptes et une information du Canard enchaîné, a transmis des courriers au procureur financier et au procureur de Paris pour des faits qu’elle estime qualifiables pénalement.

D. dit: à

La somme serait colossale, 263 millions d’euros…

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mercredi 29 juillet 2020 à 16 h 20 min.

…tout est possible, entre la valeur  » côté  » de l’artiste, et la valeur réelle de ses créations, en somme.

…quels artistes, pourquoi faire ?, du nationalisme à notoriété,!…du répétitif dur au machinisme des créations de style, impressionnisme, art-nouveau, cubisme, futurisme, moderne-poubelles-arts,…

…Pourquoi l’artiste se bloque dans l’évolution de son style ?, la raison de vivre à plaire, ou une apogée auto-stimulante de croire à être enfin parvenu,!…et ou çà ?,…

…cinéma ou pas,…pour la notoriété de joué son christ, aux bourgeois ?,…marchands d’art satisfaits ou remboursés,!…
…quels rôles,!…
…le zoom ( ) limité, chez les artistes, se plantez, et rester toujours le même , comme une tapisserie,!…

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