Débattre de la fin du « Débat »
Au fond, si l’histoire des idées devait retenir la revue Le Débat pour l’inscrire à une date sur la frise de notre histoire culturelle, ce n’est pas tant celle de sa naissance que celle de sa mort qui devrait être retenue. Après tout, quand une nouvelle revue apparaît, elle n’est riche que d’annonces, de projets, de promesses, et on ignore ce qu’on y gagnera ; mais lorsqu’elle met la clef sous la porte quarante ans après l’avoir ouverte, on sait ce qu’on perd.
En fait, les deux phénomènes qui signent la mort du Débat, avec la parution de son dernier numéro sous forme de bilan, avaient fait leur apparition il y a près de vingt ans déjà. L’un est purement intellectuel : la publication en 2002 du pamphlet de Daniel Lindenberg Le rappel à l’ordre : enquête sur les nouveaux réactionnaires (Seuil, 2002) dont les importants effets médiatiques se sont traduits par la difficulté croissante, sinon l’impossibilité, de dialoguer avec certains intellectuels dès lors qu’on les censure en les disqualifiant d’emblée dans un bel élan d’intolérance. L’autre relève de l’anthropologie des techniques : le numérique, les réseaux sociaux, les sites ont ringardisé le principe même de la revue d’antan, celle dont on disait qu’elle était le laboratoire des idées de demain. Désormais, c’est en ligne que ça se passe et nulle part ailleurs. On s’adapte ou on arrête, marche ou crève.
Le débat sur la fin du Débat offre un formidable tableau, un terrible précipité et un accablant révélateur des maux qui rongent notre vie intellectuelle -et le faux procès (dérive droitière, oubli de la question sociale etc) que certains lui intentent pour expliquer son jet de l’éponge en est une risible illustration ; les mêmes jugent que cette interruption volontaire de publication est un non-événement qui ne mérite pas débat. Un jour les historiens feront leur miel de ce terreau d’archives (des milliers de textes d’analyses et de réflexions contradictoires dans les domaines littéraire, politique, économique, artistique, historique, sociologique, philosophique etc un certain nombre ici en accès libre) lorsqu’il s’agira de restituer l’esprit, les arguments et les sensibilités des échanges d’idées du demi-siècle échu. Ils prendront la mesure de ce qui a paradoxalement disparu à une époque où les gens n’ont de cesse d’« échanger », intransitivement et sans interlocuteur défini, comme si seul importait le principe et non le contenu. J’échange, donc je suis ! Les forums en ligne débordent de cette exigence permanente d’un universel bavardage.
On n’a jamais raison tout seul. Nous ne sommes rien lorsque nous ne frottons pas notre intelligence à celle des autres. Dans « Fête de paix », l’un de ses Hymnes, le poète Hölderlin évoquait « l’entretien que nous sommes », ce dialogue ininterrompu entre les hommes dans le fol espoir que « bientôt nous serons chant ». La disparition du Débat, l’un des rares lieux où s’exprimait tout et son contraire, nous éloigne de cette perspective enchantée. La conversation devrait demeurer un écho bien tenace du monde d’avant. Le Débat en était un puissante et stimulant vecteur. Outre quelques revues (la Nrf, La Revue des deux mondes, Esprit, Commentaire, Etudes, Critique, Europe…), qui résistent tant bien que mal au vent mauvais qui a emporté celle de Pierre Nora et Marcel Gauchet, et dont on voit mal comment elles pourront renouveler et rajeunir leur lectorat (nul doute que ce sera discuté au 30ème Salon de la Revue, qui doit se dérouler « en principe » du 9 au 11 octobre à Paris), ce type de conversation n’est plus pratiqué que dans le cadre de « Répliques », l’émission d’Alain Finkielkraut sur France Culture. On y discute autant qu’on s’y dispute dans l’esprit de la disputatio chère à la scolastique médiévale.
Apaisé ou passionné, le débat d’idées peut devenir vif, nerveux, véhément, à condition de ne pas oublier que la colère n’est pas un argument, non plus que l’indignation, l’invective ou l’insulte. Or, non seulement l’art si français de la conversation s’est crispé au point de sombrer dans la violence, mais il tire l’opinion publique vers le bas. Comme le disent les animateurs du Débat :
« Le grand public est passé du prix Nobel François Jacob, dont La logique du vivant incarnait le meilleur de la science, à la vulgarisation façon Yuval Noah Harari ».
L’honnête homme serait-il une espèce en voie de disparition ? Cela va sans dire, mais va mieux en l’écrivant : la fin du Débat ne relève même pas d’une question d’argent. Comme la majorité des revues, celle-ci en perdait, Gallimard la finançant à perte depuis le début (entre 3000 et 4000 exemplaires par trimestre alors qu’entretemps le nombre des étudiants a triplé). Le rappel est douloureux : les revues, comme les civilisations, sont mortelles. Le constat rend d’autant plus pessimiste lorsque l’une incarne l’esprit de l’autre à son meilleur.
(« Visiteurs au Louvre d’Abu Dhabi » photo D.R. ; « Rome, 1959 » photo Henri Cartier-Bresson)
1 147 Réponses pour Débattre de la fin du « Débat »
et alii dit: la question est de savoir ce que nous nous cachons à nous-mêmes.
je ne conçois pas qu’on se lance dans de semblables conversations sur la toile
»
sur la toile non ! mais sur un blog littéraire oui…
vous n’avez pas lu la « conscience de Zeno » d’Italo Svevo ? c’est le sujet du livre.
Les causes ? des parents mal éduqués produisent des enfants mal éduqués. Et que l’on ne me parle pas de l’influence de facteurs mésologiques : il y a des gens défavorisés qui donnent une bonne éducation à leurs enfants.
fumant comme je fume, comment n’aurais-je pas lu svevo,hamlet;et pourtant je ne parle pas de mon addiction avec un fumeur de mon entourage qui a été opéré pour la même addiction!
Gigi, la visqueuse machinelle, c’est toi qui nous a parlé de tes lobes cérébraux avachis et de ta mère légumineuse. Ta vieille correctrice méritait amplement les fessées qu’elle a prises. Qu’elle ait désormais de la couperose au derrière n’est que justice. J’ai reçu un exemplaire gratuit, avec une lettre. Aucun fantasme là-dedans. Que du vrai!
Hurkhurkhurk!
Est-ce que vous n’auriez pas un problème de stade oral difficilement dépassé, et alii ?
C’est le cas de l’immense majorité des fumeurs. Ils croient têter. N’hésitez pas à répondre par la négative, je vous croierai.
D, je crois que j’avais demandé comment était habilléle psychanalyste? Je ne demanderai pas comment est son divan et si c’est du design italien, pour fumeur! je me souviens d’un temps où les aznalysants offraient à leur psy des mini divans en céramiques et des capteurs de rêves
https://www.laredoute.fr/ppdp/prod-500812698.aspx?dim1=1000&dim2=1000&cod=PSN00094558FR&gclsrc=aw.ds&kard=1&gclid=CjwKCAjw2dD7BRASEiwAWCtCb9EQtWS8NTLa4PEVT3qljFTnpXxNEB0SpVGHlxNOzjiNAGalSoy4bxoCJcgQAvD_BwE
capteur de rêve:https://www.pinterest.fr/pin/688628599250541222/?nic_v2=1a4I6Fzm8
En fait je suis en train de psychanalyser et alii et il ne s’en rend même pas compte.
Pour y remédier je vais lui envoyer une facture à régler sur le champ en espèces.
Et voilà une autre bêtise hamletienne : la verité. La verité de qui ?
L’’origine de la légende de l’attrape-rêves
Parmi les nombreuses légendes qui content l’origine des attrape-rêves, j’en ai retenu trois que je vous propose ici.
En effet, chaque tribu amérindienne possède sa propre légende sur les attrape-rêves et il existe beaucoup de tribus.
Le rêve permet l’échange entre l’homme et le Grand Esprit.
>>> Le chasseur
La légende raconte qu’un chasseur était parti plusieurs jours loin de sa famille et de sa tribu afin d’apporter de la nourriture.
legende-attrape-reves
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Après plusieurs jours de marche, épuisé, il s’aventura dans une grotte en quête de quelques heures de sommeil à l’abri des bêtes sauvages.
grotte-attrape-reves
Au lieu de trouver le calme et la tranquillité qu’il espérait, il tomba sur une bête monstrueuse qui lui fit très peur et il fut obligé de s’enfuir de la grotte.
S’ensuivirent alors plusieurs nuits de cauchemars. Hanté par la vision de cette créature, il était incapable de retrouver un sommeil paisible.
Un soir, épuisé de toutes ces journées de chasse et de ces mauvaises nuits, il tomba de sommeil au pied d’un arbre.
Les premières lueurs du jour apparaissant, il se réveilla reposé, calme, et s’étonna d’avoir dormi toute la nuit sans sursaut ni cauchemar.
Une araignée avait tissé une magnifique et grande toile juste au-dessus de lui. La rosée du matin perlait sur la toile.
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Le chasseur déduisit que l’araignée avait tissé sa toile afin de protéger son sommeil et filtrer les mauvais rêves du malheureux homme.
Il rentra chez lui et conta son aventure.
C’est alors que la tribu commença la fabrication d’attrape-rêves :
Le tissage représentant la toile d’araignée, les perles représentant la rosée du matin, la grosse perle au centre représentant l’araignée au centre de sa toile.
perle-dreamcatcher
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Des plumes et breloques apportent de la légèreté.
Les plumes permettent également de laisser glisser les rêves jusqu’au dormeur.
On peut imaginer qu’étant en pleine forêt sous un arbre, le chasseur a aperçu des plumes d’oiseau au-dessus de la toile ou prises dans la toile.
dreamcatcher-origine
>>> L’ancien et le Grand Esprit
Cette légende d’attrape rêve raconte que le peuple d’une tribu amérindienne était hanté de cauchemars et mauvais rêves depuis longtemps.
Le chef du village décida alors de rassembler les sages afin d’envisager une solution. Les chasseurs étaient fatigués et faisaient des rêves jugés inutiles et pollueurs d’esprit, les enfants étaient apeurés.
L’un des anciens se retira dans la montagne afin de réfléchir sereinement à un moyen de filtrer les mauvais rêves.
dreamcatcher-origine
Il eut alors la vision lors d’une méditation, d’un cercle en saule au sein duquel était tissée une toile d’araignée. Le Grand Esprit lui est alors apparu sous la forme d’une araignée et il lui donna ses conseils tout en tissant sa toile.
Le Grand Esprit expliqua à l’homme que les forces positives et négatives influençaient fortement les hommes et qu’ils avaient besoin d’un filtre pour ne garder que les bonnes énergies.
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A la fin de cet entretien, l’araignée offrit la toile tissée au sage en lui indiquant qu’elle l’aiderait à le guider dans ses choix.
A son retour, tous les membres du village travaillèrent ensemble à la fabrication des premiers attrape-rêves ; ajoutant au fur et à mesure des plumes et des rubans.
attrape-reves-indien
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>>> L’araignée protectrice
Pour la tribu Ojibwé, l’araignée tissait une toile toutes les nuits afin de piéger les premiers rayons du soleil, et ramenait ainsi le soleil dans le village.
Cette toile permettait également de protéger les enfants des mauvais rêves.
Quand la tribu Ojibway se dispersa, l’araignée ne pouvant plus fabriquer de toile pour toutes les familles éparpillées, elle enseigna aux femmes le tissage afin qu’elles puissent reproduire cette toile protectrice. La fabrication d’attrape-rêves commença.
tissage-dreamcatcher
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Elles y ajoutèrent des plumes qui volaient au contact de l’air au-dessus des berceaux des bébés.
Dans cette légende, le cercle en saule représente le soleil. Les 8 points de contact représentent les 8 pattes de l’araignée.
***
Une seconde légende de la tribu Ojibwé raconte qu’il y a très longtemps, les animaux parlaient aux humains.
Une grand-mère partageait ainsi son tipi avec une araignée nommée Iktomi.
toile-araignee-tissage
Cette dernière lui enseigna comment tisser une toile qui protègerait tous les enfants de la tribu des mauvais rêves qui les hantaient.
Ces toiles furent agrémentées de symboles comme la perle centrale qui représente l’araignée par exemple.
La grand-mère qui se prénommait Nokomis transmit son savoir aux autres femmes de la tribu et l’attrape-rêves considéré comme le protecteur des mauvais rêves.
Symboliquement, cette légende amérindienne nous sensibilise sur le respect des animaux et de la nature, comment vivre en harmonie avec eux et nous apprend comment en protégeant une araignée, nous protégeons le monde et le cycle de la nature.
La symbolique de l’attrape-rêves
La symbolique de l’attrape-rêves et sa signification nous vient des tribus amérindiennes, premières à avoir fabriqué cet objet mystique fait-mains.
Du point de vue amérindien, l’attrape-rêves doit être fabriqué pour soi-même ou offert directement de la personne qui l’a fabriqué à la personne qui le reçoit.
Si vous vous intéressez à la culture amérindienne, cet ouvrage vous invite à un voyage spirituel chez les amérindiens, symboles, mythes et légendes :
En Europe, on connait le dreamcatcher en tant qu’objet de décoration tendance. Il est commercialisé en masse que ce soit en magasins de souvenir, sur les marchés, ou sur internet.
legende-attrape-reves
attrape-reves-commerce
Les attrape-rêves commercialisés passent par de nombreuses mains et perdent leur « pouvoir » et sont inefficaces.
Dans mes tutos Youtube je vous propose le côté ludique de la fabrication de dreamcatchers en tant qu’objet de décoration.
Vous réalisez ainsi vous-même votre dreamcatcher.
Quelques tutos pour fabriquer un attrape-rêves facilement chez soi :
Symbolique du cerceau
Le cerceau de l’attrape-rêves représente le cycle de la vie. Le cercle de la vie n’est pas seulement celui de notre vie mais englobe la Terre, le Soleil, la Lune, les planètes, le cycle du jour, de la nuit, les saisons etc..
legende-attrape-reves
cerceau-attrape-reves
Selon la légende, il représente aussi le soleil.
En forme de cercle, le cerceau du reamcatcher prend parfois la forme d’une goutte.
La symbolique du tissage
Le tissage traditionnel de l’attrape rêves représente une toile d’araignée.
legende-attrape-reves
tissage-attrape-reve
Le nombre de points de contact avec le cerceau a une signification différente selon la création :
– 7 points de contact représentent les 7 fondements de la culture amérindienne (j’y reviens dans l’article un peu plus bas)
– 8 points de contact correspondent aux 8 pattes de l’araignée
– 13 points de contact représentent les 13 phases de la lune (j’y reviens dans l’article un peu plus bas)
Le trou au centre de l’attrape-rêves est le passage pour les rêves.
dreamcatcher
dreamcatcher
La toile (le tissage) capture les mauvais rêves (on entend par mauvais rêves, ceux qui sont inutiles et pas seulement les cauchemars) puis les premiers rayons du soleil les brûlent.
Symbolique de la perle centrale
La perle que l’on trouve au centre du tissage représente l’araignée.
L’araignée représente le Grand Esprit selon certaines tribus amérindiennes.
C’est le grand Esprit qui est apparu sous la forme d’une araignée à un chef de tribu qui était parti s’isoler en montagne pour méditer et être guidé. Elle lui a donné des conseils et l’a orienté vers sa destinée.
La symbolique des plumes
Les plumes représentent l’air, le premier des 7 fondements de la culture amérindienne.
legende-attrape-reves
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Les plumes ont aussi la fonction de laisser glisser les rêves jusqu’au détenteur de l’attrape-rêves faisant ainsi le lien entre les hommes et le Grand Esprit
Si vous souhaitez fabriquer votre attrape-rêves à la maison, voici le KIT ATTRAPE-REVES en vente sur notre boutique, avec notice et photos pour une réalisation étape par étape et lien pour la vidéo Youtube avec ralentis pour les réalisation du tissage :
kit-attrape-reve – 2 au choix
Pour l’acheter, cliquez ici
La culture amérindienne
Les sept fondements
L’Air
Il s’agit du souffle, de l’air que nous respirons, indispensable à la vie sous sa forme terrestre, mais également du vent.
Sans air, la vie n’existe pas.
Les Esprits
Les esprits de nos ancêtres peuvent apparaitre sous différentes formes, sous différentes apparences. Les amérindiens suivent les conseils des esprits qui indiquent la voie à suivre.
Les points cardinaux
Le Nord, le Sud, l’Est et l’Ouest sont les points de repères. Utilisés pour les cérémonies et les rituels amérindiens, ils indiquent la direction à prendre.
La Terre
La culture amérindienne considère la Terre comme notre mère. La mère la Terre nous accueille et notre devoir est de la respecter et de vivre en harmonie, de l’entretenir et enseigner aux générations suivantes le respect de la Terre.
Le cycle
Dans la culture amérindienne, tout est cyclique : les saisons, les jours, les nuits, le mouvement de la Terre, du soleil, des planètes et le cercle de la vie de la naissance à la mort.
La prière
Dans la culture amérindienne, la prière n’est pas une demande. Les amérindiens prient pour l’âme et la vie des autres et jamais pour des choses matérielles.
Le nom
Chez les amérindiens, le nom n’est pas donné arbitrairement par les parents comme nous le faisons chez nous.
Les noms ont une forte signification, et on les donne en l’honneur d’un proche disparu ou suite à une vision ou un rêve.
Les 13 phases de la lune
L’année amérindienne est composée de 13 phases correspondant aux 13 cycles lunaires. Les amérindiens ne se basent pas sur le calendrier de 12 mois. Chaque lune porte un nom spécifique selon la période où elle survient.
legende-attrape-reves
legende-attrape-reves
Voilà pour la légende de l’attrape rêves, son origine et sa signification.
Si vous souhaitez en découvrir plus sur les légendes amérindiennes, je vous invite à lire ce livre :
Terre indienne : Spiritualité, légendes et prophéties amérindiennes
Ce livre « entraîne le lecteur à la découverte des mythes, légendes et symboles des tribus indiennes, puis l’initie aux messages délivrés »
Cet article vous a plu ?
Est-ce qu’il vous a éclairé sur les attrape-rêves ?
Si vous l’avez trouvé intéressant n’hésitez pas à le partager ! Et envoyez-moi vos créations !
Faîtes de beaux rêves !
Kris
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« ation > Capteur de reves Signification: Histoire, légende et origines des Dream Catchers
CAPTEUR DE REVES SIGNIFICATION: HISTOIRE, LÉGENDE ET ORIGINES DES DREAM CATCHERS
Publié par L’équipe dans Capteur de reves Signification le 03/07/2019 à 11:06
Capture d’écran 2019-07-03 à 10.47.51
Quelle est la signification et l’histoire de l’attrape-rêves? Vous avez probablement déjà vu un capteur de rêves accroché à un arbre, à un porche ou même dans un magasin de souvenirs et vous vous demandez quel est son but et sa signification.
En savoir plus sur l’histoire et la légende des origines du capteur de rêves.
Capteurs de rêves amérindiens authentiques
Créés à l’origine par des Indiens d’Amérique, les capteurs de rêves se déclinent aujourd’hui dans une variété de tailles et de styles. Ils consistent généralement en un petit cerceau en bois recouvert d’un filet ou d’une toile de fibres naturelles, contenant des objets sacrés qui ont du sens, comme des plumes et des perles, qui pend au bas du cerceau. Les véritables capteurs de rêves traditionnels et authentiques sont fabriqués à la main et fabriqués uniquement à partir de matériaux naturels, mesurant seulement quelques centimètres. Les cerceaux sont généralement constitués d’une branche de saule rouge courbée, recouverte de tendons tendus. Envelopper le cadre dans du cuir est une autre touche finale courante pour les «vrais» capteurs de rêves.
Histoire du capteur de rêves: Origines Ojibwe ou Lakota?
Aujourd’hui, l’attrape-rêves est associé à la culture amérindienne en général, mais on pense souvent que les capteurs de rêves sont originaires de la tribu des Ojibwa Chippewa en particulier. La tribu des Lakota a également sa propre légende sur les origines du capteur de rêves , mais la plupart des ethnographes pensent que les capteurs de rêves ont été transmis des Ojibwé aux mariages et aux échanges commerciaux. Le mot ojibwé désignant dreamcatcher asabikeshiinh signifie en réalité « araignée », en référence à la toile tissée pour recouvrir vaguement le cerceau. Les motifs de l’attrape-rêves sont similaires à ceux de la sangle que ces Amérindiens utilisaient également pour fabriquer des raquettes.
Légende Ojibwa et histoire du capteur de rêves
Des légendes anciennes sur l’histoire et l’origine du capteur de rêves existent dans plusieurs tribus amérindiennes, mais principalement dans les nations Ojibwé et Lakota. Alors que de nombreuses cultures considèrent que les araignées sont de terribles rampants, les Ojibwe le considèrent comme un symbole de protection et de confort. Selon l’histoire des Ojibwa, une « femme araignée » mystique et maternelle aurait servi de protecteur spirituel à la tribu, en particulier pour les jeunes enfants, les enfants et les bébés. Alors que le peuple Ojibwé continuait de grandir et de s’étendre à travers le pays, la Spider Woman avait du mal à continuer à protéger et à surveiller tous les membres de la tribu alors qu’ils migraient de plus en plus loin. C’est pourquoi elle a créé le premier dreamcatcher. Suivant son exemple, les mères et les grands-mères recréeraient le souvenir de la mère comme un moyen de protéger mystiquement leurs enfants et leurs familles de loin.
esomondo.com/blog/capteur-de-reves-signification/capteur-de-reves-signification-histoire-legende-et-origines-des-dream-catchers.html
renato dit: Et voilà une autre bêtise hamletienne : la verité. La verité de qui ?
»
pourquoi donc ?
c’est exactement ce que j’ai dit à Jazzi : la vérité de qui ?
kneel cela se prononce /gn/
—
Kneel se prononce /ni:l/, exemple d’un K qui ne sert à rien, sinon dénoter une étymologie nordique, comme tous les KN: know, knife, knight, knob, knoll, knot,knuckle knave, knickerbockers, etc.
‘Le nombre de K inutiles est en augmentation.’ (signé Franz)
non seulement la vérité de qui : moi la vérité je sais même pas ce que c’est.
c’est tous ces écrivains qui écrire pour révéler une « vérité » : c’est tout du flan.
la vérité c’est comme l’objectivité : une vue de l’esprit, pour le dire autrement : un enfumage.
renato : c’est comme l’agression de ces jeunes femmes ce que vous en dites n’est que votre vérité à vous, mais de là à dire que c’est la vérité…
Enfin Dexter ! il y a eu agression ? oui. Donc ce n’est pas ma verité, mais un fait. Vous devriez vraiment lire Musil, dire que vous l’avez lu ne suffit pas.
Ça vous fait quel âge?
B
—
Toujours plus jeune que Dracul & Renfield, le duo fétide de vieux fafs pervers qui n’ont d’autres vies que de hanter ce lieu pour dauber sur les autres. Zombie N°1, dit « Le Répugnant », qui gerbe un coup avant de pousser un gloussements à la Tarzan (sic-k); Zombie N°2, surnommé « Le Nauséabond », qui agite son fichier de corbeau et vaporise son obsession de la dénonciation.
Hurkhurkhurk!
Signé : Tarzan…
Hurkhurkhurk!
Halte au feu!
on a atteint le point Godwin, once more.
Et dépassé tous les autres!
Bon, à plus, hein…
« Que la « moisissure » se mette à fonctionner en évoluant, il y a de quoi s’étonner. Qu’elle réussisse à durer en se transmettant il y a de quoi s’étonner davantage. Qu’elle tende, irrépressiblement dirait-on, vers la beauté, il y a de quoi s’ébahir ! Au petit bonheur la chance donc, la matière est devenue belle. A moins que, dès le commencement, la matière ait contenu, en potentialité, la promesse de la beauté, la capacité à la beauté ? Et qu’une fois l’univers formé, elle ne pouvait pas ne pas aboutir à ce ciel étoilé qui éblouit, à ces paysages qui subjuguent, à ce visage qui émerveille et émeut ? »
François Cheng – « Œil ouvert et cœur battant », lors de son passage au Collège des Bernardins pour une conférence « Envisager et dévisager la Beauté », le 5 novembre 2010.
Deux phénomènes extrêmes le hantent, celui du mal et celui de la beauté.
Sur ce blog, dans l’espace commentaires où règne si souvent le cynisme, suivre son chemin librement, se retirer pour méditer loin des batailles, est-ce donc être scandaleux ?
Je reviens du musée Cernushi. Je me suis arrêtée longuement devant un grand rouleau représentant un paysage immense dans lequel un tout petit personnage, relégué à l’arrière-fond, autour duquel se déployait le paysage noyé de brume.
Il semblait le contempler humblement dans une posture d’accueil, attentif, immobile, éclairé par sa beauté. Quelle présence…
Holding a mirror to nature, disait Hamlet, le vrai.
Aucun doute, la liane est bien tordue.
on a atteint le point Godwin
—
Un de mes auteurs favoris, William, papa de Mary Godwin-Wollestonecraft-Shelley. Son ‘Lives of the Necromancers’ est d’une pertinence troublante!
@Bloom ouai le vrai il a un grand « H » : demandez à Pablo, lui sait le poids hégelien de la Majuscule.
@renato : l’agression est effectivement un fait, mais toutes les digressions que vous en déduisez ne sont, elles, pas des faits.
vous avez eu un ou des enfants renato ?
La mauvaise education de ces abrutis est un fait, Puck.
Ma situation familiale est connue, pas envie de me répéter.
La situation familiale de l’hippocampe en revanche est moins connue.
« La reproduction est particulière puisque c’est le mâle qui effectue la gestation de 5 à 1 800 œufs pondus dans sa poche ventrale par la femelle[6]. La gestation dure de 2 à 3 semaines et une autre recommence presque immédiatement avec des ovocytesprovenant de la même femelle. Les petits mesurent alors 8 à 16 mm de long selon les espèces.
La fameuse parade est souvent terminée par la femelle qui enlace alors le mâle pour introduire son ovipositeur dans son partenaire et pondre ses œufs. Celui-ci s’appuie sur le sol et ondule pour permettre aux ovocytes de bien rouler au fond de sa poche. Il y a fécondation dans les voies génitales mâles. Les partenaires sont souvent de même taille. En l’espace de 10 secondes, le mâle reçoit une ponte de 100 à 200 ovocytes qu’il va incuber pendant 4 semaines. La parturitionpeut durer 4 jours. Souvent les bébés se regroupent et s’accrochent par la queue à une algue. »
Wiki
Jacques, comment pouvez-vous penser une seconde que je me trompe ?
Le plus drôle est que vous LA lisez sous d’autres pseudonymes chez Paul Edel, et L’avez lue chez Annelise…
Chaloux, puisque vous aimez Jane Austen, la thèse porte essentiellement sur « Mansfield Park ».
On va tout savoir du toquard qui trolle a droite, a gauche.
Pauvre Bloomie, c’est ta plume qui est tordue. Où donc es-tu allé chercher ce style de sergent-fourrier (Unteroffizier) de la Wermacht? Je ne dis pas que cela t’aille mal, en fait cela te va plutôt bien, mais ce choix me semble tout de même bizarre.
Tu me donnes du travail, il va falloir que je trouve un sobriquet comme à tes autres amis…
Hukhurkhurk!
Oui C.P., j’aime beaucoup Jane Austen, et sa critique d’une société, critique acerbe, radicale et pourtant quasi indécelable pour beaucoup de lecteurs. Elle enseigne aux écrivains à presque tout dire sans presque rien dire. C’est un mets de roi.
ON M4A PARL2 TOUT 0 L4HEURE D4UNE HISTOIRE DE BUS à Marseille, peut-être attentat, mais je ne vois rien;vrai ou pas?
C’était un avion qui passait le mur du çon, Et Al?
Mafalda
https://i1.wp.com/nuovasocieta.it/wp-content/uploads/2020/09/Mafalda.jpg?resize=696%2C392&ssl=1
Je suis en mesure de vous révéler que certains patrons de bars et restos sont entrés en resistance, dans l’agglo Aix- Marseille.
Refusant de voir leur sort suspendu au man in black, qui tel un croque- mort surveille le taux d’occupation des 15 LITS DE REA a la Timone, préfèrent qu’on continue de déjeuner dans des conditions décentes et épargnent à la communauté qui raque, encore et TOUJOURS, la mise AU CHOMAGE de leur personnel.
Qu’est-ce qu’un véritable ami ?
https://www.philomag.com/articles/quest-ce-quun-veritable-ami
Autre debat: le délai de recours à l’IVG pourrait passer à un délai de 14 SEMAINES, sur proposition de macroniens incapables de faire respecter la LOI, dans des communautés extrémistes religieuses, où le statut de LA FEMME ne correspond en RIEN, aux statuts de la Republique française.
Alors que s’accroissent la colère et le mécontentement devant les injustices sociales, de nombreuses manifestations citoyennes sont l’objet d’une répression de plus en plus violente. « Un pays qui se tient sage » invite des citoyens à approfondir, interroger et confronter leurs points de vue sur l’ordre social et la légitimité de l’usage de la violence par l’Etat.
DEBAT DONC
Découvrez la bande-annonce du film
https://www.franceculture.fr/evenement/sortie-du-film-un-pays-qui-se-tient-sage-de-david-dufresne?actId=ebwp0YMB8s0XXev-swTWi6FWgZQt9biALyr5FYI13OpVgbqTOoeKQh7JKoFLC2fE&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=612631#xtor=EPR-2-%5BLaLettre30092020%5D
« DESORMAIS C’EST EN LIGNE QUE CA SE PASSE » billet
Que croyez-vous qu’il arriva ? Olivia se sentit insultée par l’évocation d’un « moule » à laquelle elle semblait ne pas correspondre. Elle ne répondit donc pas à la lettre de Mrs Spellman. Mais plusieurs semaines après, elle entama, sur Facebook, a une campagne contre la doyenne. Une copie de la lettre, à ses yeux, insultante, était accompagnée du commentaire « Je ne rentre donc pas dans le moule de notre cher Claremont McKenna. Sentez-vous libres de partager. »
Tout le campus fut bientôt en émoi. Des manifestations furent organisées en soutien à Olivia. Deux étudiants entamèrent une grève de la faim. Les cours furent perturbés. On réclamait le renvoi de la doyenne « insensible » à la souffrance de l’étudiante. Mrs. Spellman avait pourtant fait preuve d’une empathie manifeste et d’un désir sincère d’aider l’étudiante à se sentir plus à l’aise dans l’université.
https://www.franceculture.fr/emissions/le-tour-du-monde-des-idees/ces-etudiants-americains-si-terriblement-susceptibles
hêtre ou ne pas hêtre…
pénible de plus pouvoir changer de pseudo, on se retrouve bloquer dans son identité.
j’en avais trouvé un bien : Momo13
bloqué !!!
renato dit: La mauvaise education de ces abrutis est un fait, Puck.
»
vous pouvez me donner le lien où l’on retrouve ce fait ?
Un lien ?! quoi, Hobgoblin, vous manquez à ce point d’instruments crutiques ?
Pas de temps à perdre avec vous : prenez l’agression de Strasbourg et analysez-la.
Rentrée musicale (1934)
Times have changed
[…]
But now, God knows
Anything goes
Good authors, too, who once knew better words
Now only use four-letter words
Writing prose
Anything goes
[…]
The world has gone mad today
And good’s bad today
And black’s white today
And day’s night today
[…]
https://www.youtube.com/watch?v=Wd1w5tn040g
(Cole Porter, « Anything goes »)
Je me demande si celui qui signe renato est bien renato. Depuis un bon moment. Ce n’est pas vous, renato, n’est-ce pas ?
renato : l’analyse critique d’un fait n’est pas un fait.
renato : l’analyse critique d’un fait n’est pas un fait, mais une analyse critique : le fait n’est pas réfutable et ne dépend pas de l’observateur, l’analyse critique l’est et elle dépend de la personne qui la fait.
ça c’est un fait.
non ce n’est pas un fait ce sont des définitions.
non ce ne sont pas des définitions, ce sont des prolégomènes.
non des définitions ! quand on sait de quoi on parle on la boucle !
Bien envoyé, dear Renato. Décidément, plus que des corniauds sur ce prestigieux blog en soirée (rétrospective de Funès à la cinémathèque de Berri Bercy pour les amateurs, nombreux ici)
sauf dear Chaloux qui sait causer des nouvelles orientales; pourquoi diable seule la première serait lisible
Viens de lire que Simenon serait le plus grand romancier du siècle passé. Selon Chardonne. on choisit pas toujours ses amis en littérature, de quoi réjouir le prestigieux passou.
tu dis ça parce que tu sais même pas ce que sont des prolégomènes !
c’est ça et toi tu utilises des mots que tu sais même pas ce qu’ils veulent dire !
retourne à l’école !
t’y connais rien ! demande à Phil il va te dire la différence entre des prolégomènes et des définitions !
t’y connais rien parce que t’es qu’un communiste !
et toi t’es un sale facho ! et quand on est un facho on n’a pas droit à la parole !
non c’est les communistes qui doivent la boucler avant de parler !
retourne dans ton goulag !
c’est ça et toi retourne dans ton camp de concentration !
là tu viens de te mélanger les pinceaux le facho c’était moi et le communiste c’était toi !
non c’est toi que tu t’es mélangé les pinceaux et ça c’est un fait !
non c’est pas un fait, c’est des prolégomènes !
Allons les enfants.
Il est tard et il y a école demain.
Au dodo. Maman va passer vous border et vous faire un bisou.
Hé merdre, Dexter ! 2 énergumènes bloquent une jeune femme et un troisieme la bat parce que à leur goût sa joupe était courte ! Je suppose qui peut croire que les trois énergumènes ont reçu une éducation ? Vous, peut-être ?
Incidemment, que cela vous plaise ou pas, l’analyse critique d’un fait est un fait. Bon, maintenant vous m’avez vraiment fatigué.
Effacer le « Je suppose »
n’empêche que dire « c’est parce qu’ils ont reçu une mauvaise éducation » ça ne peut pas être un fait.
parce que si c’était un fait cela voudrait que toutes les personnes qui se conduisent mal ont reçu une mauvaise éducation.
hors il existe des tas de personnes qui ont reçu une bonne éducation et qui se conduisent très mal.
donc je suis désolé, mais cela ne peut pas être un fait.
une victoire juridique pour le type qui n’intégrera pas le cnrs./.. On peut toujours se consoler… la gangrène macronienne a même gagné les procédures de recrutement /// Y’a du progrès, Petit !…
https://www.liberation.fr/debats/2020/09/30/recherche-scientifique-le-cnrs-recale-par-la-justice_1800966
BFM nous a chié des pendules toute la soirée sur un pauvre Rafale qui a volé à Mach 1,6 pendant quelques minutes. Grotesque. Si on s’équipe d’avions multirôles capables d’interception c’est pour les utiliser jusqu’à preuve du contraire.
Heureusement que c’eût pas été un Mig-25 à intercepter par le Rafale parce que… il n’aurait jamais pu le rattraper.
c’est évident ! je connais mieux les autres que moi-même.
hamlet dit:
Si les autres te connaissent mieux que toi-même, comment tu sais alors que ce que je dis sur toi est faux, Gros Crétin?
@ C.P. Je suis triste et un peu étonnée que vous révéliez sans vraiment le révéler, qui est le pseudo « x » . Cela me semble indélicat et fait disparaître beaucoup de charme. Sur ce blog on soupçonne que le pseudo dissimule, cache une identité qui voudrait échapper à je ne sais quelle justice, et l’on se met en chasse sans se lasser. Pour ma part, j’avais été victime des propos diffamatoires de Clopine; j’ai alors disparu. Plus tard, Christiane hurlait que je n’existais pas. M.Court m’insultait d’une façon grotesque. JJJ enfin s’était livré à une envolée cynique dévoilant mes 3 pseudos que d’ailleurs je n’utilisais plus ..2 n’ont jamais changé.
Cela m’avait servi de leçon, je ne poste à peu près rien, rien que de fade. Mes amis, qui savent qui je suis ! sont étonnés; ailleurs, je m’exprime autrement ! Il se trouve que dans ma famille nous avions tous des pseudos et cela ns amusait follement. Sur ce blog, que je lis irrégulièrement, je me moque de passer inaperçue, et je ne cherche pas à déshabiller les pseudos, ce qui est écrit m’importe ,seul. Et ceux qui m’ont vilipendée ne viennent pas troubler mes rêves!ni me tirer par les pieds!
Excusez cette homélie. Précision pour Rose: je ne suis pas un homme , curieuse supposition . Pour M.Court,je n’ai pas inventé la poudre, comme il a raison ! et j’ai une « culture » mille fois moins étendue que celle de son amie Christiane!
Je suis en fait une amateure qui aime les chevaux, aime la danse;et la littérature, les livres; peste de moi, on va me classer parmi les mémères en loques.
Je file lire P. Klossovski , pour rivaliser avec ? jenesaisqui .
Un excellent salut à « x » dont j’ai apprécié et apprécie la finesse et l’enthousiasme.
( je dois changer de longitude, à bien plus tard.)
Pétomane, quand tu interprètes ce que je dis en clé marxiste (un marxisme de coco marseillais), de façon totalement délirante (« il essaie de définir des catégories dont certaines (auxquelles il appartient) auraient le droit de parler de musique et d’art, et d’autres (auxquelles il n’appartient pas) n’en n’auraient pas le droit. c’est le moyen qu’il a trouvé lui-même pour se ranger lui-même dans la bonne catégorie ! ») tu ne fais que te décrire toi-même, tes complexes de classe, ta jalousie de la réussite et du fric des autres, ton ressentiment de mec nul, sourd et inculte, tes frustrations de romancier raté.
Tout ce que tu écris ici pue le ratage de ta vie. Et tu ne te rends même pas compter que tu ne fais ici qu’exhiber les ravages que cela a produit dans ton psychisme.
Gisèle j’aime beaucoup votre prénom.
@ Gisèle, /JJJ enfin s’était livré à une envolée cynique dévoilant mes 3 pseudos que d’ailleurs je n’utilisais plus ..2 n’ont jamais changé/.
Vous devriez revérifier, Gisèle, vous devez confondre… ou alors je suis un devin sans en avoir conscience, et en plus dans une « envolée cynique !!!! » Ben ça alhors !… il s’en passe des choses par icite, c hallucinatoire…
Des fois que vous pourriez me préciser les 3 pseudos dont je vous aurais affublée, ça m’arrangerait bien, voyez. Merci. Bàv,
Andrada Ion, Vienna State Opera Ballet
📷 Ronnie Boehm
https://pbs.twimg.com/media/EjLXI5vXYAAw5Lx?format=jpg&name=900×900
home, sweet home…
Pseudonymisez-moi
pas si vite
pas trop vite
Sachez me prénommer
me nommer
pour m’aimer
comme Roméo aima
autrefois
Juliette
et comme Léo
la belle Gréco.
@D. dit: à
Allons les enfants.
Il est tard et il y a école demain.
Au dodo. Maman va passer vous border et vous faire un bisou.
Des deux cotés de la manche, on a eu chauD
https://www.youtube.com/watch?v=N1oLQ55IfPA
Christiane
Je réponds tardivement, mais ce n’est pas passé.
La Bibliothèque est de toute manière une somme d’antagonismes. Corneille et Racine. Je ne faisais qu’attirer votre attention sur les divergences à mon sens irréversibles des auteurs cités.
On peut toujours trouver une phrase qui semble, comme vous le dites, « ouvrir un rapprochement », reste que ce n’est qu’un élément, et non la somme de la pensée.
Sur le personnage être de papier, et sur la subjectivité dont nous faisons preuve à son égard, lui conférant une existence qu’il n’a pas, x a en partie raison. C’est comme cela que ça devrait se passer.
Reste que cette vision technicienne, qui a sa légitimité n’exclut pas, et elle vous le dit, une lecture naïve, qui, n’étant pas prisonnière d’une tradition antérieure, découvre parfois plus facilement des choses que d’autres ne voient pas.
C’est un peu ce qu’après un cours de métrique française très détaillé, un grand professeur tentait de faire comprendre en posant la question:
-« Et maintenant, avec quoi scande-t-on?
(Silence)
-On scande avec sa sensibilité! »
Je ne suis pas sur d’ailleurs que cette approche psychologique soit nulle s’agissant par exemple des personnages de théâtre, sans tomber dans les excès du style « la bonté de Bélise » etc. Mais quand on a fait un peu de dramaturgie, il faut bien employer aussi -pas seulement!- cette clé là.
Si x insiste sur le point technique, c’est qu’elle a appris, comme votre serviteur, à essayer de ne pas se laisser emporter par le texte. Je comprends cela très bien, l’ayant appris moi-même! Réussit-on à tous les coups? Non, pas toujours! ah ces auteurs dont nous ne sommes que les scribes…
Bien à vous.
MC
gisèle, c’est par inadvertance -elle le sait- qu’en disant il y a deux mois « ma chère x » j’avais révélé (!) que x était le pseudonyme d’une femme.
Je passe par ici de temps en temps, je sais qui je lis avec intérêt, j’interviens rarement, vous savez que je ne « décanille », comme dirait Jacques, personne. J’ai été étonné hier de retrouver pour x des « il », et quelqu’un disant que je me trompais, j’ai confirmé, voilà tout.
Chère Gisèle, il était d’ailleurs facile de situer x, par ses bons échanges avec Bloom sur la littérature anglaise et par ses citations italiennes.
J’échange avec elle, depuis la mort de mon fils, des courriels dans lesquels nous parlons simplement, entre autres, de littérature -y compris policière-.et … de chevaux et et de chats. J’ai pour elle beaucoup d’estime et d’affection. C’est de la même façon que je corresponds avec Annelise Roux, cela me regarde et ne lèse personne.
Christian Pouillon.
@ M.Court,
je crois surtout qu’elle veut imposer un silence après ses citations, or ces textes ne lui appartiennent pas et n’importe quel commentaire posé ici peut être suivi d’une réaction. Elle intervient avec abondance sur un certain blog comme l’a rappelé C.P. où un brillant critique littéraire ne se prive pas d’analyser les caractères des personnages des romans et les biographies de leurs auteurs. Quand elle suggère avec mépris que je ne fais que des résumés des romans, elle singe B. et ne lit pas attentivement ce que j’écris. Ainsi réagissant à votre suggestion concernant les filiations possibles entre Gracq, La Varende et Barbey d’Aurevilly, je ne « racontais » pas l’histoire du « Beau Ténébreux » ou du « Château d’Argol » mais le lien entre les décors qui présidait au deux romans, les atmosphères gémellaires dans lesquelles circulaient les personnages, les thèmes récurrents de la mort, du mal, les formations de trios et leur jeu d’attirance / jalousie. Idem, pour la façon dont j’abordais les autres romans. Je crois plutôt que c’est une personne vaniteuse, un tantinet précieuse avec laquelle je me suis déjà accrochée sous d’autres pseudos et ailleurs. Je n’ai donc, après le dernier commentaire méprisant et péremptoire qu’elle a posté à la suite des précédents sans que j’ai eu le temps de lui répondre, aucune envie d’échanger avec elle. Le patronage de C.P. n’y changera rien qu’elle soit fille, nièce ou amie. Qu’elle prenne donc quelques leçons de modestie auprès de DHH, de Bloom, de nota ou de vous qui savent lier savoir, diplômes et dialogue agréable. Elle me donne juste envie de gerber cette pédante et ses salamalecs (quand elle remercie avec afféterie sur le ton de Magdelon se prenant pour Aminte certain commentateur qui pour le coup, comme le remarqua Closer, était dans la provocation).
« Vite, voiturez-nous ici les commodités de la conversation »…
Enfin, son pilonnage offrant manières et prétentions intellectuelles aura permis à certains marauds de déverser leur haine à mon égard tout en se moquant de son ton ridicule qui leur firent imaginer qu’à nouveau un clown bien connu resurgissait ici.
J’aurais toujours plaisir à échanger avec vous sur tout autre personne.
@Jibé
Je poste à nouveau, pour vous, ces mots de F.Cheng, pour clore ce passage nocturne.
« Que la moisissure se mette à fonctionner en évoluant, il y a de quoi s’étonner. Qu’elle réussisse à durer en se transmettant il y a de quoi s’étonner davantage. Qu’elle tende, irrépressiblement dirait-on, vers la beauté, il y a de quoi s’ébahir ! Au petit bonheur la chance donc, la matière est devenue belle. A moins que, dès le commencement, la matière ait contenu, en potentialité, la promesse de la beauté, la capacité à la beauté ? Et qu’une fois l’univers formé, elle ne pouvait pas ne pas aboutir à ce ciel étoilé qui éblouit, à ces paysages qui subjuguent, à ce visage qui émerveille et émeut ?»
François Cheng – «Œil ouvert et cœur battant», lors de son passage au Collège des Bernardins pour une conférence «Envisager et dévisager la Beauté», le 5 novembre 2010.
Deux phénomènes extrêmes le hantent, celui du mal et celui de la beauté.
Sur ce blog, dans l’espace commentaires où règne si souvent le cynisme, suivre son chemin librement, se retirer pour méditer loin des batailles, est-ce donc être scandaleux ?
Je reviens du musée Cernuschi. Je me suis arrêtée longuement devant un grand rouleau représentant un paysage immense dans lequel un tout petit personnage, relégué à l’arrière-fond, autour duquel se déployait le paysage noyé de brume.
Il semblait le contempler humblement dans une posture d’accueil, attentif, immobile, éclairé par sa beauté. Quelle présence…
Marie Sasseur dit: à
La situation familiale de l’hippocampe en revanche est moins connue.
« La reproduction est particulière puisque c’est le mâle qui effectue la gestation de 5 à 1 800 œufs pondus dans sa poche ventrale par la femelle[6]. La gestation dure de 2 à 3 semaines et une autre recommence presque immédiatement avec des ovocytes provenant de la même femelle. Les petits mesurent alors 8 à 16 mm de long selon les espèces.
La fameuse parade est souvent terminée par la femelle qui enlace alors le mâle pour introduire son ovipositeur dans son partenaire et pondre ses œufs. Celui-ci s’appuie sur le sol et ondule pour permettre aux ovocytes de bien rouler au fond de sa poche. Il y a fécondation dans les voies génitales mâles. Les partenaires sont souvent de même taille. En l’espace de 10 secondes, le mâle reçoit une ponte de 100 à 200 ovocytes qu’il va incuber pendant 4 semaines. La parturitionpeut durer 4 jours. Souvent les bébés se regroupent et s’accrochent par la queue à une algue. »
Wiki
Ils ondulent tout le temps. À la verticale. Ce n’est pas donné à tout le monde.
La gestation c une chose.
Je ne sais pas où est l’orifice par lequel la femelle met ses petits dans la poche ventrale du papa.
Dans la poche ventrale du papa, ah ah.
Ne sais pas non plus , comment, après l’éclosion des oeufs en centaine de mini hippocampes se reconstitue la poche ventrale qui s’est déchirée pour permettre le passage.
Il y en a au zoo de Berlin.
À l’aquarium de Banuyls.
Ils sont d’une beauté inouïe.
Avec les baleines, ils sont mes animaux marins favoris.
Ils ne nagent pas trop ensemble pourtant.
Ça, je ne le comprends pas trop non plus.
« Il y a fécondation dans les voies génitales mâles. »
Comment ça se passe. Faudrait éclairer la lumière.
Franchement, cela a un côté sélect que je déteste, le je te connais, moi pas.
Moi, pas.
Sur Gisèle, je ne sais rien et ne crois pas avoir signifié un changement volontaire de sexe. Ni dit quoi que ce soit.
Sur petitixe non plus.
Ai trouvé passionnant l’échange entre x et christiane sur les personnages de roman, êtres de papier, certes, mais si vivants lorsqu’on les fait siens. Alors, ils deviennent chairs et prennent vie.
Ils n’appartiennent plus à l’auteur, dès lors.
> B l’autre jour a fait un commentaire sensible et bienvenu sur ka rivalité,
Où son contraire, loin d’inférioriser l’individu, conjointerait des forces pour aller plus loin, ensemble.
je moi-même rose de mon pseudo, terrassant les dragons de mes deux prénoms séparés par une virgule, ai tenté, d’admettre avec moult difficultés que l’on peut se pseudonymiser femme avec des intentions louables.
Et pas pour arnaquer les femmes et pénétrer en loucedé leur univers.
Billal Hassani y a sûrement contribué. Plus que Conchita Wurst.
En ce moment, issu d’une grande douleur, proche d’envies de suicide, un ici accouche de lui-même.
Je lui voue une immense tendresse. Depuis treize ans échus.
Je le regarde faire.
Il ondule, comme les hippocampes.
J’assiste, émerveillée, à sa naissance difficile.
Il n’est pas tout ce qu’il dit de lui. Il est ailleurs.
Je nous souhaite, à nous, dans la salle d’accouchement, beaucoup de tendresse et de bienveillance pour ce bébé qui va nous venir au monde.
Des mains ouvertes et aimantes pour l’accueillir à vivre avec nous.
Il a le droit d’être lui, même si cela s’avère relativement compliqué.
Il est notre parturiente.
Pas de forceps, gueulé-je au stagiaire.
Prolégomène, c’est une mise en bouche.
Faut bien amener le sujet.
C comme perdre les eaux. Cela permet la suite.
« Je reviens du musée Cernuschi. Je me suis arrêtée longuement devant un grand rouleau représentant un paysage immense dans lequel un tout petit personnage, relégué à l’arrière-fond, autour duquel se déployait le paysage noyé de brume. »
Pouvez-vous nous dire, christiane, si c’est chinois ?
Cela suit ce que vous dites de François Cheng.
Je crois que nous avons beaucoup à apprendre de la Chine.
Christiane
Ds votre réponse à Marc Court concernant x, je n’ai rien lu de tout cela.
Ni mépris ni critique.
Mais sans doute étais-je obsédée par mon intérêt pour les personnages et ce que vous en disiez.
Nous ne devrions pas, cela nuirait à notre ensemble, constituer des groupes ; l’ouverture à l’autre étant synonyme d’enrichissement.
Merci de vos divers apports, christiane, précieux.
Nota : in fine, je blackboule volontiers ce qui m’a été dit par un prof d’École Normale inférieure « on ne s’identifie pas aux personnages ».
Vingt ans après, je lui réponds :
« Monsieur, on fait ce qu’on veut. Ils nous appartiennent. »
À l’auteur, il se pourrait être dit, reposez-vous en paix. » Si ce n’était que l’écrivain/e est déjà reparti sans cesse sur le métier à remettre son ouvrage.
L’activité bouillonnante est de notre côté désormais avec polyphonie interprétative. Chic, on joue.
Qq prolégomènes pour Noël
Elle dit le mixter mais on s’en fout.
Elle coupe sa maman au montage, idem.
Rose,
laissons x de côté…
Revenons aux personnages de romans et aux lecteurs.
Pour aller à eux je prends le chemin de l’art. Ruptures/ continuités, emprunts, citations… Je pense au portrait d’Innocent X peint par Vélasquez interprété en 45 variations !!! par Francis Bacon. Ou à Picasso reprenant l’Olympia ou le déjeuner sur l’herbe de Manet, les Ménines de Vélasquez. Ou à Juan Gris interprétant une nature morte de Chardin.
Correspondances et résonances… ainsi en est-il du lecteur. Chaque lecteur établit ses propres relations avec les personnages. Certains resteront des êtres de papier d’autres surgiront du livre pour hanter le lecteur. Souvenez-vous d’Oscar Wilde s’écriant « L’évènement le plus triste de mon existence est la mort de Lucien de Rubempré » en pensant à un personnage de Balzac, qui, lui-même meurt en appelant un de ses personnages, Horace Bianchon, le grand médecin de la Comédie humaine, à son chevet. Ou de vous-même vous éprenant de Romain Gary ou d’Antoine de Saint-Exupéry par personnages fictifs et biographies mêlées.
Bien sûr que tout cela est vivant et devient rapt du lecteur.
Je pense aussi au très envoûtant film de W.Allen, « La rose pourpre du Caire », cette jeune serveuse se consolant de sa vie triste en allant au cinéma, merveilleusement interprétée par Mia Farrow. Elle revient de nombreuses fois voir « La rose pourpre du Caire » et voilà que Tom Baxter sort de l’écran et l’entraîne dans le film… il dit s’être inspiré de « Six personnages en quête d’auteur » de Luigi Pirandello.
La magie du regard et de l’imaginaire… lecteur, artiste, cinéaste…
Il y a un roman aussi, déconcertant, que j’adore de Gilbert Sorrentino « Salmigondis » ou un personnage a ses propres interventions, venant dans le roman critiquer le destin que lui donne l’auteur qu’il juge médiocre et reprenant l’histoire à sa façon.
Comment dit-on ? Bonne nuit ou bon matin ?
Année LvB, Sonate pour violon n 1 op. 12 n 1 :
Dédiée à Antonio Salieri
1.10 — 6.00
Bon matin Christiane
Il y a aussi Fernando Pessoa avec ses hétéronymes qui joue de ses multiples identités.
Il y a les plusieurs facettes du même personnage. Les docteur Jekyll et mister Hyde.
Et puis ceux qui focalisent tant, haine et désir qu’ils en appellent incessamment au débat. Emma. Frédéric et autres.
Quant à l’art et ce que vous en dites, c’est comme s’il y avait une appropriation totale par le peintre de son sujet. Une interprétation une re-création. Je ne sais si l’effet désiré est le même que chez l’écrivain.
« hors il existe des tas de personnes qui ont reçu une bonne éducation et qui se conduisent très mal. »
Donc il n’ont pas réellement reçu une bonne éducation. Ce n’est pas diffucile à comprendre.
Portrait
Portrait
. » Sur ce blog, que je lis irrégulièrement, je me moque de passer inaperçue »
« Je passe par ici de temps en temps, je sais qui je lis avec intérêt, j’interviens rarement »
Big brother is watching us
Je répète » les chants désespérés sont les chants les plus beaux »
» le coq chantera trois fois »
» le grand-duc vole de nuit »
Je répète: le clan surveille tout, il lit tout, se moque de tout
Le clan se surveille.
renato
Cela dépasse l’éducation ds ce sujet de la femme battue à Strasbourg. Ce sont des vandales.
Y a des gens qui foulent aux pieds ce qu’ils ont appris.
Paysage
https://artsandculture.google.com/asset/wheatfield-with-crows/dwFdD5AMQfpSew?hl=fr&avm=2
Les champs les plus beaux
Zut j’ai oublié de signer.
Zorro
1er octobre 2020, 6h40
rose, fini mon café du matin, pour « foulent aux pieds » je vous reponds plus tard.
Je ne vous pas ce qui diffère, ce qui diffère rancis, les vieux mâles blancs de plus de 70 ans des agresseurs de rue, dans leur » idee » de » la femme » qu’ils ont chacun plus présentable les uns que les autres.
Je ne sais toujours pas si Renato va chercher son ado en crop-top, a la sortie des cours.
Je ne vois pas grand chose, en vérité. Au petit matin, encore tout plein de nuit.
Les vieux mâles blancs entre 60 et 70, à ce moment critique de leur carrière de phallocratres quand ils déclinent sérieusement. Après 70, je crois qu’ils commencent à renoncer, ils acceptent de n’être plus que de vieilles choses . La phase 60/70 les rend plus arrogants et méprisants qu’ils ne l’étaient. Ils sont ri di cules les de prétentions.
Voyez certains de ceux qui s’expriment ici. Je me demande par exemple si Chaloux s’applique à créer un personnage sans correspondance avec ce qu’il est ou si c’est son être qui s’exprime et pas un personnage créé méchant et de théâtre. Si c’est théâtre, il lui faudrait varier les répliques, il est lassant. Pablo quant à lui est moins virulent avec les femmes sur leur physique, lui s’attaque aux caractères supposés des hommes pour les descendre. Bien que je ne puisse supposer qu’il soit un séducteur, il reste à remarquer que ces derniers – les séducteurs- souvent cherchent à éliminer d’une façon ou d’une autre les rivaux pour rester seul en course et maximiser leur chance .
Gisèle, pour le méridien de Greenwitch ? Que de mystère et de poésie pour emballer ce cadeau que vous nous offrez de votre absence. Cela réconforte, et si vous n’êtes sous ce pseudo qu’une facette d’une multiple identité, qu’est ce que ça fait bien de vous lire. Encore, encore! Pour une fois, pas question de prendre la vessie pour une lanterne .
…jeudi 1 octobre 2020 à 8 h 11 min.
…
…en deux phases,…mondes – pervers,!…pour fantaisies de riches-prédateurs,…
…même l’élite à se consommée,!…pour pétrole – dollars,!…
…
…les populations, en cultures d’esclaves – soumis,!…
…les dons, pour offrir des P.C.,…aux jeunes à corrompre, en gadgets sans » esprits de châteaux ou clans « ,…
…la virtuelle réalité des enjeux soumis,!…
…à offrir, échanger ses conquêtes,!…
…
Tokup la vieille.
Hurkhurkhurk!
…jeudi 1 octobre 2020 à 8 h 25 min.
…
…l’art de » maquereau « ,…en culture,…
…
…tout çà, pour çà,!…pour évitez les guerres,!…en social-politique,…ou-çà,!…
…
Rose,
« Quant à l’art et ce que vous en dites, c’est comme s’il y avait une appropriation totale par le peintre de son sujet. Une interprétation une re-création. »
J’évoquais le lecteur, Rose, pas l’écrivain.
Si vous le pouvez comparez deux créations : le très connu Guernica de Picasso et le Massacre des Innocents de Nicolas Poussin.
Pour mieux saisir le lien entre les deux œuvres, je suis allée voir dans la collection du duc d’Aumale dans le château de Chantilly, cette toile de Poussin.
Les deux femmes du tableau de Picasso sont directement inspirées de la mère à l’enfant de celui de Poussin et le bras du guerrier allongé, mort, au premier plan, tenant une épée brisée, très proche de celui qui s’apprête à égorger l’enfant chez Poussin.
Le regard de Picasso est juste, il s’est imprégné de la structure du tableau, des personnages de Poussin pour peindre sa vérité dans ce massacre de la population de Guernica.
Ce n’est pas la différence qu’il faut noter mais la continuité entre les deux œuvres, leurs correspondances, les résonances de l’une à l’autre.
Idem, pour Innocent X de Francis Bacon qui montre avec quelle attention extrême cet artiste a scruté le tableau de Vélasquez.
Le lecteur reçoit par les mots et le papier un roman, des paysages, une atmosphère, des personnages. Une image naît en lui. S’il l’évoque, un autre lecteur dira : avons-nous lu le même livre ?
Qu’importe… et qui sait d’où venait ces images pour l’écrivain, de quel chaos personnel, de quelle mémoire elles ont surgi, provoquant la révolte de ceux qui, lisant son livre achevé, s’y reconnaissent sans avoir consenti… Croiser la route d’un écrivain est toujours un grand risque, vous regardant, vous écoutant n’est-il pas déjà en train d’écrire, de prendre des notes même sans carnet et crayon…
Débattre ou combattre, faut-il choisir ?
en ligne:
e jeudi s’ouvre l’édition 2020 du Forum mondial Normandie pour la paix. Cette manifestation, dont The Conversation France est partenaire, se tient pendant deux jours à l’Abbaye aux Dames à Caen, autour du thème : « Prévenir la guerre : répondre aux nouvelles menaces ». Si vous vous trouvez à proximité, n’hésitez pas à venir assister à ces débats ouverts au public, qui seront par ailleurs diffusés en direct sur Facebook.
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgxwJZJSxKpKfJrCwhDjCJCzCvbbb
et clopine que fait-elle?
https://caen.fr/evenement/forum-mondial-normandie-pour-la-paix
, les nouvelles technologies et la paix sur le thème : » Prévenir la guerre : répondre aux nouvelles menaces « .
La brouille entre Christiane et x permet de s’interroger sur le rôle du lecteur, sa posture en tant que récepteur. Que fait-on de cela que l’on découvre, que l’on parcourt en tournant les pages d’un livre ? De cet univers, de ces situations, de ces personnages qui déboulent dans notre paysage mental qui peuvent être plus ou moins familiers, ou bien éloignés de notre réalité, parfois aux antipodes du monde dans lequel on vit. Quelle que soit la manière de les aborder, ils offrent un moment singulier –le temps de la lecture, quelquefois davantage- de nous transporter ailleurs, dans un autre réel, de percer dans les murs de notre clôture une fenêtre sur autre chose que notre décor quotidien parfaitement domestiqué. Pure distraction ? Moyen de tromper l’ennui, de passer le temps, de rompre avec la fadeur des routines, de meubler la solitude, de s’offrir à peu de frais un changement d’horizon, d’air, un dépaysement ? Peut-être. Après tout, pourquoi pas ?
Pour ce qui est d’en faire part, du désir d’en parler, d’énumérer ses lectures, de livrer ses impressions à propos d’un ouvrage, d’en raconter les développements, pimentés ou pas de petites anecdotes sur l’auteur, en livrer des analyses savantes ou non, pourquoi pas dès l’instant que le but poursuivi n’est pas uniquement un affichage, une vantardise, un petit coup de fard sur l’ego légèrement fané. Encore que cela, ces petites vanités, restent vénielles.
Sous les hashtags #balancetonbahut et #14septembre, des collégiennes et lycéennes revendiquent depuis la rentrée le droit de s’habiller comme elles le souhaitent, pointant le sexisme d’établissements scolaires plus stricts vis-à-vis des tenues portées par les filles que par celles des garçons.
Interrogé sur ce sujet par RTL le 21 septembre, le ministre de l’Éducation nationale Jean‑Michel Blanquer a déclaré qu’il fallait venir « à l’école habillé de façon républicaine ». Une expression qui a depuis fait couler beaucoup d’encre, réactivant le débat sur le retour de l’uniforme en classe.
NOTRE BLOUSE AU LYCEE ETAIT BISE, et non « grise
Oseront-ils donner le Goncourt à Emmanuel Carrère ?
quand ma fille a été au lycée, la guerre s’est portée sur les chaussures (claquettes interdites)
Est-ce le lecteur qui fait l’écrivain ou l’écrivain qui fait le lecteur ?
à questions bébêtes, réponse bébête : « poser la question c’est y répondre »…
Nous voilà bien avancés à la descente du lit, jzm, bàv.
Id. bàv pour AN (Encore que cela, ces petites vanités, restent vénielles). Oui.
« claquettes interdites »
Seraient-elles incompatibles avec des pieds républicains ?
Dans le privé, la sandale ne fait pas scandale !
Tokup la vieille.
Hurkhurkhurk!
Nous pourrions concourir, côté vieillesse. Votre cerveau aux hémisphères gonflés à je ne sais quelle substance l’emporterait. Côté conquêtes , vous seriez un grand collectionneur alors que je ne suis qu’un élément sans qualités ni signes distinctifs et ne cherche absolument pas et depuis toujours à conquérir des territoires quelle qu’en soit la nature. Je m’en fous. Cette question m’apparut hier évidente(il m’arrive de penser à vous de façon interrogatif) avec le seul échantillon en contradiction avec la thèse de cette mauvaise definition qu’est la méchanceté. Votre voix, un soir. A côté du paquetage que vous m’avez concédé et de ce que j’ai vent de vous, c’est bien peu. Mais vous êtes vieux à présent. Le problèmes gens riches mais cependant dotés d’autres qualités que celle ci réside dans le doute: les aimera t on pour cet avantage plaisant uniquement et qui leur permet d’accéder aux jeunesses et maturités en accord avec leur grandeur d’esprit ou pour leur physique additionné d’une plu value culturelle et spirituelle. Ce doit être l’objet d’un débat interieur. Pour quoi l’amour encore passée la verdeur, l’ardeur, la fraîcheur.
Jazzi, je pencherais pour L’écrivain à les lecteurs qu’il mérite . Abstraction faite des systèmes marchands et promotionnels.
claquettes: bon pied bon oeil!mais ma fille s’est vengée;elle a appris à danser des claquettes
– Singin In The Rain (Scène Mythique)
https://www.youtube.com/watch?v=3pgJxekKjDc
je ne pense pas à une vraie brouille entre Ch. et x, ou entre Ch. et jzmn ou entre Ch. et machin. Non ce ne sont que des dépits amoureux. Elle réagit un peu vive, moi je n’arrive pas à me fâcher avec Ch. et ch., rôz, b.-cg, x, CT et ms, an, ed, dhh, giz, txfldg, etc. Je ne sais pas pourquoi, je ne ressens pas de réelles méchancetés gratuites en aucune d’elles. De la positivité plurielle, plutôt.
Aucune méchancetés non plus chez JB, ni vraiment chez jzmn, D., H., r., JL, MC, phil, PC, PE, JMB, etc. Pour les 3 restes, ne comprends pas trop leur animus. Pourquoi perdent-ils tant de temps à pourrir la vie des gens, le bon WGG par exemple, vouloir les tuer, les humilier, les excréter, en combattre les d-ébats ?
(1.10.20_10.39)
christiane, désolé de vous le dire, mails il me semble que vous êtes totalement à côté de vos pompes : je ne vois vraiment pas où vous voyez de l’immodestie dans le fait de partager sur ce blog ces textes ?
relisez plutôt ce qu’en pensent AN, Mr Court et CP et vous verrez que vous faites fausse route !
ce monsieur ou madame x est tout sauf immodeste ! c’est évident ! et de tous les commentaires que je lis ici les siens sont de loin kes plus intéressants à lire.
comme quand Mr Court écrit des commentaires avec des auteurs qu’on ne trouve nulle part ce n’est pas pour frimer, c’est juste pour partager avec des personnes qui n’ont pas ses compétences : pareil pour x !
d’autant plus drôle que sur ce blog vous êtes entourée d’une brochette de gens immodestes, et vous trouvez de l’immodestie juste là où il n’y en a pas.
ou alors il faut vous interroger vous-mêmes sur les raisons de votre réaction irraisonnée ? sur ce vous appelez « immodestie ».
ce blog est vraiment devenu hallucinant.
et ce que vous dites christiane veut dire une chose simple : que des personnes comme x n’ont plus leur place sur ce blog.
et ça ce n’est pas le problème de x mais le problème de ce blog et de ce qu’il est devenu au fil du temps.
christiane, puisque vous vous montrez malveillante et médisante, et choisissez d’attaquer pour dissimuler vos faiblesses, je me vois obligée de vous répondre à ce niveau-là, qui ne m’intéresse pourtant pas (la querelle de personnes).
J’ai la nette impression que vous prenez la modération et la politesse pour des faiblesses ou de la préciosité.
Donc, ça suffit.
— Je constate que quelqu’un qui inonde la Rdl de commentaires (je ne vais pas m’amuser à les compter sur chaque fil) estime que j’interviens « avec abondance », que je suis trop présente ici et chez Paul Edel. Il semblerait qu’un ou deux commentaires de ma part, comme autrefois de celle de Gisèle, soient déjà de trop pour elle ; ceux des hommes, y compris quand ils l’insultent grossièrement, la dérangent apparemment beaucoup moins.
— Je constate surtout qu’une ancienne enseignante me traite de « pédante » et reprend à mon propos la ligne d’insultes anti-intellectuelles lancée par d’autres.
Je constate qu’une femme « se lâche » dans les injures quand elle comprend qu’elle a affaire à une autre femme.
Dans l’un et l’autre cas, ne voit-elle même pas qu’elle scie la branche sur laquelle elle prétend s’asseoir ?
— Quant à dire que je « singe » une autre commentatrice, je crois qu’avec la « singerie », l’imitation de surface, la reprise du vocabulaire ou des formules pour tenter de faire illusion faute de comprendre les enjeux, on arrive précisément à ce qui la caractérise, elle.
Ce n’est pas mon genre de dédaigner une approche spontanée, y compris affective, non académique — une réponse personnelle même ingénue (d’ailleurs personne n’est spécialiste de tout, nous nous montrons tous naïfs dans les domaines qui ne sont pas les nôtres et que nous ne pouvons nous empêcher d’aborder). Une large curiosité intellectuelle, le désir d’apprendre sont des qualités.
Je n’ai rien non plus contre les autodidactes (voir la parenthèse ci-dessus), même si ça se gâte un peu quand ils me prennent de haut et décident de m’enseigner ce qu’ils viennent de découvrir grâce à internet sans avoir eu le temps de l’assimiler (il n’y a pas que Christiane).
Ce qui m’exaspère donc chez Christiane c’est ce « faire semblant », ces prétentions, cette manière de s’approprier le jargon de disciplines que l’on ne maîtrise pas. J’ai l’impression de ne pas être la seule et que plusieurs personnes réagissent de la même façon quand on aborde leurs domaines de compétence.
Pour ne rien dire de l’alternance de flatterie et d’agression selon qu’on entre ou non dans son jeu.
Le plus souvent je ne dis rien, je ne réagis pas, par manque de temps ou d’énergie.
Ainsi je ne suis pas intervenue dans une récente discussion sur les traductions, ancienne et nouvelle d’Edith Wharton : en premier lieu parce que je n’avais pas le livre sous la main (et aussi parce que j’arrivais après la bagarre). Mais quelqu’un a réagi, soit une traductrice soit une personne très au fait des enjeux de la traduction, parce que christiane avait comparé deux traductions sans (apparemment) consulter le texte en version originale (en s’aidant de l’appareil critique des ouvrages ou de renseignements glanés à droite à gauche). Affreux soupçon de ma part ?
Disons que Christiane a montré à plusieurs reprises sur la Rdl que des citations en anglais, même très courtes et ne présentant pas de difficultés particulières, lui posaient un problème de compréhension.
(De cela non plus il n’y a pas de raison de se moquer : l’apprentissage précoce des langues étrangères, les séjours linguistiques à l’étranger sont des chances que tout le monde n’a pas eues et on sait bien qu’il est plus difficile de s’y mettre à l’âge mûr. Là n’est pas la question.)
En revanche, passer de cette ignorance (non coupable, je le répète) à des prétentions à une analyse subtile des nuances d’un texte littéraire il y a tout de même un grand pas. À son interlocutrice (qui ne la pratiquait pas depuis des années), Christiane a simplement signalé qu’elle-même n’avait pas une connaissance « parfaite » de la langue ; il faut donc être bien pédante pour lui chercher des noises… (ce que j’aurais fait si j’avais été la persécutrice acharnée que christiane décrit).
« Est-ce le lecteur qui fait l’écrivain ou l’écrivain qui fait le lecteur ? »
Les livres, les textes subissent les infortunes du hasard. Un lecteur passe… fait un travail de seconde main… Il lit un livre et quelques semaines plus tard, il ne sait plus vraiment ce qu’il a lu. Chaque lecteur dispose librement de ce qu’il vient de recevoir.
Le travail mémoriel aura besoin de nombreuses relectures surtout si c’est un grand lecteur quittant un livre pour bientôt en retrouver un autre.
Mais l’écrivain aussi est un lecteur. Lire lui est terreau, inquiétude. Documents, presse, dictionnaires, encyclopédie… tout lui fait langue. Son œuvre est celle entamée des prédécesseurs, une remémoration, une continuation, presque une œuvre collective, chacun avançant à son rythme dans le monde du langage, y imposant sa structure, son émotion. Écrire pour lui, n’est-ce pas maintenir un lien infini avec les livres ?
Dans le livre que je lis : « L’évolution du monde entier est le fruit du temps, les choses passent nécessairement d’un état à un autre, aucun ne reste semblable à soi, tout s’en va, tout change, tout se métamorphose… » (Lucrèce – De natura rerum).
chrsitiane dernière chose : votre réaction aura sans doute pour conséquence de faire fuir x, vous priverez ainsi ceux qui appréciaient lire ses commentaires, vous en porterez la responsabilité.
et au final il ne restera plus sur ce blog que quelques débiles comme pablo, chaloux et moi !
« je ne pense pas à une vraie brouille entre Ch. et x, ou entre Ch. et jzmn ou entre Ch. et machin. Non ce ne sont que des dépits amoureux. »
Vous croyez sincèrement que tous les erdéliens sont amoureux de Ch., JJJ !
x dit: à christiane, « puisque vous vous … »
Ça va mieux ?
Allez donc chercher l’aile protectrice de C.P. , Gisèle alias x., pour vous consoler de ma malveillance. B. aussi est prête à vous accueillir, vous vos chevaux et vos oiseaux…
Quant à moi, vous êtes déjà loin dans mes préoccupations. Un conseil, sautez mes commentaires vous respirerez mieux.
Et surtout construisez un mur épais autour de votre « jargon de disciplines que nous, pauvres non-universitaires ne maîtrisons pas et vos domaines de compétence ». Il y a des voleurs de savoir ici…
hamlet dit: à chrsitiane « dernière chose : votre réaction aura sans doute pour conséquence de faire fuir x, vous priverez ainsi ceux qui appréciaient lire ses commentaires, vous en porterez la responsabilité. »
Ne vous inquiétez pas, elle revient toujours avec une valse de pseudos somptueuse.
hamlet dit: à »et ce que vous dites christiane veut dire une chose simple : que des personnes comme x n’ont plus leur place sur ce blog. »
Ah, j’ai dit cela ? où ça ?
Elle est bien implantée, ici et ailleurs, amlette. Comme vous. Il suffit de se dire que différents pseudos désignent le même clown.
Janssen J-J dit: « je ne pense pas à une vraie brouille… »
Je pense que vous vous trompez mais vous me faites sourire. Vous êtes si plein de bonté. Moi, j’ai passé ce temps… « On apprend à hurler, dit l’autre, avec les loups. »
« Vous êtes si plein de bonté. »
Aie, JJJ, je sens que la claque va suivre !
Enfant des années 1950, je ne garde aucun souvenir d’avoir jamais porté de blouse à l’école, républicaine et publique.
Seulement à la maternelle où je peux voir, grâce aux photos de classes en N&B en ma possession, que nous portions des tabliers, non pas gris, mais à petits carreaux. Probablement en bleu et blanc pour les petits garçons et en rose et blanc pour les petites filles.
En ce temps-là, l’Education nationale était pour l’affirmation des genres !
Inspirez-expirez et écoutez !
https://www.ask.com/youtube?q=jean%20ferrat%20raconte%20moi%20la%20mer&v=5dsGWM5XGdg&o=0&l=dir&qo=saLink
rose, ceux foulent aux pieds ce qu’ils ont appris, sont les fils de gens qui n’ont pas su transmettre des somples valeurs, peut-être parce que ils n’ont rien à trasmettre — rien ou que des survivances. Des mauvaises parents, en simples mots, et sans discriminations de sortes.
« Nous croyons que nous pourrons parler d’un tas de choses avec l’un ou l’autre et nous constatons qu’avec eux tous nous ne pouvons parler de rien du tout. » Extinction, de Thomas Bernhard.
@ Aie, JJJ, je sens que la claque va suivre !
Oui je le sens aussite, mais pas de là où vous pensez qu’elle viendra. Je suis prêt pour tendre l’autre joue. Et puis, le ‘dépit amoureux’ de presque tous.tes à l’égard de Ch., tout le monde ou presque la lit assidument, et tente de trouver la moindre objection stupide pour lui rentrer dans le lard. Seul.es les quelques sereins à son égard, qui l’admettent à égalité des autres sans grandement faire cas de son besoin d’en découdre, restent exempts de ce syndrome de dépit amoureux, jzmn, c’est mon cas comme celui de rôz et de JB. Ch. ne me pose aucun pb d’identité professionnelle. Je la trouve toujours passionnante, c’est la seule qui essaie de justifier et de défendre ce qu’elle avance, sous la pluie des quolibets habituels. Elle est à la seule à avoir au moins cette élégance, cette exigence. Je pense qu’elle renvoie à leur mauvaise conscience celzéceux qui l’attaquent gratuitement, vu qu’ils seraient bien incapables d’avoir la même constance au long cours. Pour le reste de son « caractère », c’est le sien, pas plus ni moins pire qu’un autre, jzmn ! Allez, soyez fair-play avec elle, même si elle vous a « échaudé » une fois…
Je dis ça, mais in fine, chacun fait comme il veut, hein. Je ne moralise aucunement, je suis plutôt pour la concorde, épicétou. Bàv,
Paul Edel dit:
«Nous croyons que nous pourrons parler d’un tas de choses avec l’un ou l’autre et nous constatons qu’avec eux tous nous ne pouvons parler de rien du tout.» Extinction, de Thomas Bernhard.
Exact !
Janssen J-J répond à Jazzi :
@ Aie, JJJ, je sens que la claque va suivre !
« Oui je le sens aussite, mais pas de là où vous pensez qu’elle viendra. Je suis prêt pour tendre l’autre joue. »
Il est un tantinet jaloux mais que voulez-vous, JJJ, « qui sème le vent récolte la tempête ».
Quant à vous, pas de claque en vue et merci pour ce jugement.
Il semblerait que le monde soit coupé en deux, Paul.
D’un côté, ceux qui se réjouissent d’être au monde, j’en suis ; et de l’autre, ce qui regrettent d’être nés, MàC en était.
Décrire les travers de l’homme en société est un thème récurrent de la littérature : poème, pièce de théâtre, livret, roman, récit, essai…
Pour ma part, je préfère en rire avec Molière que m’en abominer avec Thomas Bernhard !
@ jzm, merci pour cette chanson magnifique de jferrat. Vous avez l’art de calmer le jeu avec la mare nostrum. Vous êtes plein de bonté !
Peut-être, Janssen J-J, qu’elle n’a jamais dit l’une de ses bêtises dans la zone de vos compétences professionnelles et que donc vous n’avez pas ramassé un « sot » venant d’une bas bleu présomptueuse et ignorante.
@ Quant à vous, pas de claque en vue
encore heureux, Ch. ! de vous non…, mais d’ailleurs, nous verrons bien.
Dommage que vous croyiez devoir hurler avec les loups…, la tempête, on la récolte tous ensemble, la responsabilité des semences, elle se perd dans la nuit des temps… voilà ce que je pense, (les « fiches » sont inutiles, de toute façon, il en manquera toujours une).
Bàv,
@ r., vous avez sans doute raison, en effet, cela se tient… J’ai pas mal de points aveugles sur le ressenti des internautes… Bien évidemment, j’ai eu mes prises de bec avec Ch. à propos d’un commentaire sur un texte de sergio, notamment… Mais bouh, tout cela est enterré depuis des plombes. Et franchement, se faire traiter pour un homme de « sot » par une femme, ce n’est tout de même pas si vexatoire, si ? Est-ce que ça fait encore vraiment si mal que ça à l’ego… au bout de quelques secondes ?
les clowns aussi ont le droit d’exister.
il fut un temps où sur ce blog le futile cohabitait avec le sérieux, perso je trouvais ça plutôt bien bien parce que futilerie et sérieux sont les deux mamelles de la littérature.
renato dit: à « Peut-être, Janssen J-J, qu’elle n’a jamais dit l’une de ses bêtises dans la zone de vos compétences professionnelles et que donc vous n’avez pas ramassé un « sot » venant d’une bas bleu présomptueuse et ignorante. »
Occupez-vous donc de votre image mise si justement à mal par certains ici. Vous voudriez être une sommité en art… et de là vous vient cette arrogance quand j’écris ici ce que je ressens face à une toile. Je me crois aussi légitime que vous pour parler art. Mais j’aime bien les photos que vous empruntez à la banque d’images pinterest pour égayer notre quotidien ou y poser une énigme. Contrairement à M.Court qui vous a défendu un jour… je ne crois pas à votre bienveillance ni à votre culture.
@ dexterg, il fut un temps où sur ce blog le futile cohabitait avec le sérieux,
et c’est toujours le cas !… Pourquoi cet éternel besoin christo-marxiste de croire à un âge d’or révolu ou espérer en une parousie quelconque ? Soyez plutôt présentiste, au contraire, carpe diem, non ? Bàv,
Tout à fait, puck !
https://www.youtube.com/watch?v=EWIxvhG6eK0
puck dit: « les clowns aussi ont le droit d’exister. »
Certainement, Puck,
mais si vous enfilez le rôle de moralisateur à deux belles, vous allez me trouver face à vous. On triera ensemble les costumes pour vous redonner celui plus sympathique de fanfaron funambule.
Il suffit d’une aile… et plouf !
@ et de là vous vient cette arrogance quand j’écris ici ce que je ressens face à une toile. Je me crois aussi légitime que vous pour parler art.
Et là, en effet, on détecte une énorme faille dans la riposte. Car il n’y a pas de rapport nécessaire et suffisant entre les deux phrases, bien sûr. A chacun son point aveugle. Mais enfin, quoi, reconnaissons à chacun.e le soin de plaider sa cause comme il veut, non ?
@«Nous croyons que nous pourrons parler d’un tas de choses avec l’un ou l’autre et nous constatons qu’avec eux tous nous ne pouvons parler de rien du tout.» Extinction, de Thomas Bernhard.
»
TB n’aurait aimé perdre du temps à parler avec aucun de nous ici, même pas vous Paul Edel.
par contre je suis certain à mille pour cent que Jane Austen aurait adoré rencontrer, connaitre et discuter avec x…
Mon cher Jazzi, je suis d’accord avec toi sur ta division, mais je crois que tu te trompes complètement sur Thomas Bernhard. Il y a chez lui une délivrance COMIQUE des petitesses humaines, une liberté d’écrire avec un éclat jubilatoire, une grandeur souriante si évidente.. une grandeur dans le sarcasme ; on trouve chez lui une conquête de la liberté de ton dans chaque mot, dans chaque phrase sur l’étroitesse humaine et son gout pour les endoctrinements….. oui, une rigolade métaphysique, un rire souverain bernhardien aussi bien contre l’asphyxie politique catholico -nazie que contre l’asphyxie familiale. Que contre la maladie –cette pleurésie qui l’a fait réfléchir sur la vitalité, la santé, cet immense cadeau-, et c’est admirable. Oui, le rire bernhardien est aussi large, humain, ouvert, et philosophique que celui de Molière ; et comme Molière il dérègle la machine sociale qui veut imposer ses règles asphyxiantes à l’humanité dans chacun de ses lignes, la même attaque chez les deux de la cellule familiale, du catholicisme, et des mondanités Viennoises moquées dans « Maitres anciens » qui renvoient directement au « Misanthrope » de Molière.. Bien sûr, il sur-joue du dénigrement et du sarcasme comme un violoniste en rajoute dans le vibrato, ça fait partie de sa joie d’écrire.
Ne jamais oublier qu’il dit et répète dans plusieurs textes qu’il est au théâtre !!!-et qu’il fait -même sa « commedia d’elle arte « autobiographique avec toujours en évidence sa révolte si viscérale contre les contraintes qui pesaient sur l’enfant qu’il fut, sur l’ado, sur le journaliste, et cette incompréhension de la bourgeoisie de Salzbourg devant son art de marionnettiste imprécateur. Sa prose, comme sa poésie nous montre que malgré son enfance , en internat dans le nazisme triomphant, ,malgré ses rapports si violents avec sa mère, malgré l’absence de son père, malgré sa pleurésie, qui le place dans les mourants, son écriture catharsis renverse tout ;elle libère par son ironie si particulière, sa musicalité évidente, c’est un souffle de libération qui traverse son œuvre. Quel grand bonhomme !
christiane dit: mais si vous enfilez le rôle de moralisateur à deux balles
»
je ne moralise rien du tout, je dis simplement que vous vous trompez en parlant d’immodestie chez x.
où voyez-vous de la morale là-dedans ?
Rose,
je découvre la réponse que vous donnez à renato. Il n’a quand même pas osé induire que la femme battue à Strasbourg « l’était pas manque d’éducation de ses agresseurs » ! Oui, Rose, « Cela dépasse l’éducation ds ce sujet. Ce sont des vandales, des barbares. C’est violent, sale, pervers et tellement lâche.
Ce qui est aussi révoltant c’est qu’une quinzaine de personnes ont assisté à la scène sans bouger, ni lui porter secours après son agression, ni appeler les secours. La loi du silence…
Comment expliquer que le machisme, la misogynie, la volonté d’assujettir continuent d’exister en 2020 ?
et l’on voit bien la différence entre Paul Edel et x : Edel théorise TB, il en fait un objet théorique de connaissance, il le décortique, l’analyse, le dépoile etc… tout ce que Bernhard aurait détesté qu’on lui fasse.
par contre x est austenien(ne) dans l’âme, dans sa nature, sa façon méthodique et HUMBLE d’aborder les choses est exactement celle de Jane Austen.
et ça c’est absolument merveilleux, et je remercie un million de fois ce blog de m’avoir permis de se dire que dans ce monde de brutes une telle chose existe.
@Christiane à propos de François Cheng:
« Deux phénomènes extrêmes le hantent, celui du mal et celui de la beauté »
ils ne pas les extrêmes l’un de l’autre, n’Est-ce pas? Entendu comme cela, le mal d’une part et la beauté, d’autre part (l’un et l’autre pouvant s’associer, aussi vrai que Lucifer est le « porteur de lumière » et que le mal peut être créateur, en art, je dis bien en art), donc ces deux notions sont sans doute avec l’amour les seuls sujets qui me tracassent et me portent.
Pourquoi le mal? Qu’est-ce que la beauté? D’où vient ce besoin viscéral d’amour, à recevoir, à donner? Il se trouve que ces thèmes alimentent la littérature depuis que le roman existe, et la philosophie, et la théologie. Toutes les sociétés n’y apportent pas la même réponse, non plus que chaque individu. C’est vertigineux et essentiel.
ET qd vous dites : »dans l’espace commentaires où règne si souvent le cynisme, suivre son chemin librement, se retirer pour méditer loin des batailles, est-ce donc être scandaleux ? » Bien sûr, Christiane, puisque le scandale, c’est ce qui dérange, alors même que le mode de fonctionnement ici, c’est le dézingage (je ne peux même pas dire conflit, ça ne le vaut pas).
puck dit: « je ne moralise rien du tout, où voyez-vous de la morale là-dedans ? »
« hamlet », c’est bien un de vos quatre pseudos ici ? Donc, vous écrivez cette ineptie : « chrsitiane dernière chose : votre réaction aura sans doute pour conséquence de faire fuir x, vous priverez ainsi ceux qui appréciaient lire ses commentaires, vous en porterez la responsabilité. »
J’ai beaucoup aimé « Le Neveu de Wittgenstein », Paul, mais pour le reste j’ai un peu de mal à accrocher avec Thomas Bernhard, trop sombre, trop noir à mon candide goût !
« Je reviens du musée Cernuschi. Je me suis arrêtée longuement devant un grand rouleau représentant un paysage immense dans lequel un tout petit personnage, relégué à l’arrière-fond, autour duquel se déployait le paysage noyé de brume »
dans certains tableau de Van Eyck, en fond, dans une brume qu’on n’appelait pas encore sfumato, des personnages regardent on ne sais quoi, et c’est exactement ce que vous dites, moi je les vois contempler comme moi ce qui nous sépare et qui se passe en premier plan. C’est reposant, apaisant, central et silencieux.
rien n’est moins facile à faire qu’associer le « méthodique » et le « humble ».
Mr Court y parvient bien : il arrive à balancer trente références savantes à la file avec une humilité déconcertante.
à l’inverse de Phil, chez lui le snobisme prend tellement le dessus qu’il pourrait dire qu’il est en train de manger des nouilles en faisant croire que cela relève d’une savance.
Ici, gaffe, le procès en incompétence et en inculture va virer au procès en sorcellerie. Tous les Savonarole de tous les sexes et obédiences construisent le bûcher -et sans instruire de procès, couic, coupable!
Le débat, mon c.l!
« Je L’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, plus que tout, pas du tout ». Qui est L ? Christiane, x, Thomas Bernhard, Macron, le crottin de Chavignol, Isabelle Huppert, la neige, la littérature, le concierge, Francis Bacon, Napoléon III, l’airbus A380… ?
chrsitiane où y voyez-vous une ineptie :
votre réaction aura sans doute pour conséquence de faire fuir x, vous priverez ainsi ceux qui appréciaient lire ses commentaires, vous en porterez la responsabilité.
c’est juste un fait qu’il dirait le renato.
La Cricri n’a pas seulement des problèmes d’interprétation avec les phrases simples de la langue anglaise mais avec toutes les phrases de toutes les langues, y compris la langue française qui, moins que toute autre, semble être sa langue maternelle. Peut-être faudrait-il lui parler « canard » ou « punais », par exemple?
Hurkhurkhurk !
La Cricri n’a pas seulement des problèmes d’interprétation avec les phrases simples de la langue anglaise mais avec toutes les phrases de toutes les langues, y compris la langue française qui, moins que toute autre, semble être sa langue maternelle. Peut-être faudrait-il lui parler « canard » ou « punais », par exemple?
Hurkhurkhurk !
Chaloux dit: La Cricri n’a pas seulement des problèmes d’interprétation avec les phrases simples de la langue anglaise mais avec toutes les phrases de toutes les langues, y compris la langue française
»
vos propos auront sans doute pour conséquence de faire fuir christiane, vous priverez ainsi ceux qui appréciaient lire ses commentaires, vous en porterez la responsabilité !
« Nous croyons que nous pourrons parler d’un tas de choses avec l’un ou l’autre et nous constatons qu’avec eux tous nous ne pouvons parler de rien du tout. » Extinction, de Thomas Bernhard.
Paul Edel dit:
On dirait une phrase sortie de « Le bonheur de séduire, l’art de réussir. Le savoir-vivre du XXIe siècle » de Nadine de Rothschild.
Jibé,
c’est bon de vous lire… c’est bon aussi de lire François Cheng. C’est une chance, un grand bonheur.
Il a des intuitions fulgurantes. J’aime suivre le cheminement de sa pensée.
Dans la vie, il y a des scènes qui détruisent, comme les combats stériles, ici, l’entrechoquement des mots, le mépris, les insultes, mais la beauté, c’est ce qui permet de conserver dignité et droiture, de dépasser la tristesse, l’écœurement pour retrouver l’harmonie.
Il écrit : « La beauté nous transfigure, car elle nous sort de l’habitude, nous permet de revoir les choses qui nous entourent comme au matin du monde, comme pour la première fois. »
C’est pour cela que dès que je le peux je vais me poser longuement face à une œuvre d’art, comme à Cernuschi, un de mes musées préféré si paisible près du parc Monceau…
Il faut avouer que l’Alexia n’est pas beaucoup mieux.
Dix lignes de sa prose filandreuse et toujours aucune information à retenir.
Rappelons à Gigi visqueuse que l’ineffable Videgogue est parti après de copieux échanges avec le taulier de ce coupe-gorge. Ni Pablo ni moi-même n’étions en cause.
Chaloux dit: à
« Il faut avouer que l’Alexia n’est pas beaucoup mieux. »
Tout à fait exact. C’est une opinion que je partage. Je ne suis rien. Ni ne m’en vante, ni ne le déplore. Rien. Comme – à de très rares exceptions près- le reste de l’humanité. Seulement, pour ma part, je le sais.
Il y a des voleurs de savoir ici…
je trouve ça aberrant quand on pense à tous ceux et celles qui suivent ce blog sans contribuer:des voleurs? Certainement pas à mon avis
Tiens ! la maîtresse du copier-coller se sent légitime, wow !
légitime par copier-coller ?
Moment hilarant. x parle de Der Untergeher, apres deux peut-être 3 heure, la bas bleu, qui ne l’avait pas encore lu, prétend en parler. Sur la base de quoi ? Un résumé vit fait trouvé sur le net ?
La fondation Thomas Bernhard à Vienne se trouve dans l’allée du sang, Blutgasse. Pauledel donne une analyse séduisante de ses textes mais oublie un peu ce goût persistant d’un ressassement qui reste après lecture de Bernhard.
Trop sombre? trop noir pour toi Jazzi ce TB? mais écoute le grand Pablo qui a des intuitions fulgurantes en comparant Thomas Bernhard à Nadine de Rothschild.On sent des lectures très poussées de l’une et de l’autre.
Pablo, tu es dur avec Bernhard. Je suis en train de relire le Naufragé et je trouve que c’est un très beau texte, et, Paimpopol a raison, animé par une excellente veine comique.
Quant à Tureck, je ne sais pas comment tu fais pour l’écouter, c’est pour moi un calvaire. La lecture de Gould (je crois que désormais cette notion de lecture importe davantage pour moi que celle d’interprétation) est irremplaçable. Zimerman et Tureck sont mes deux bêtes noires depuis longtemps.
Quand j’aurai terminé Bernhard, je reprendrai la Guerre du Feu, roman à grosses ficelles mais très attachant.
alors même que le mode de fonctionnement ici, c’est le dézingage
oui, et quelqu’un l’a demandé :de même la guignolisation et l’esprit cours de récré; vous avez voulu voir comme chantait l’autre et maintenant vous vous plaignez que ce n’est pas hymnique nique nique nique
ce goût persistant d’un ressassement qui reste après lecture de Bernhard.
de musique planante !
Quand j’aurai terminé Bernhard, je reprendrai la Guerre du Feu, roman à grosses ficelles mais très attachant.
Oui.
Et le film ❤❤❤
Alexia, souvenez vous du grand mot de Raymond Devos : »Quand on est poussière, il faut d’abord se mettre en tas ».
Ramassez vous, vous vous ramasserez moins.
excuse, je voulais dire répétitive comme GLASS
Tout comme Beckett, Bernhard peut se révéler comique, il suffit de trouver le bon registre de lecture.
[rose, je vous ai répondu.]
Bon, on peut dire que sur Thomas Bernhard le débat est ouvert !
Comique ou ironique ?
Phil, je comprends qu’on cale devant ce qui apparait comme un « ressassement » chez Thomas Bernhard,mais c’est comme un système de prose qui repose sur une musicalité en variations et fugue et cela demande accommodation..Chaque phrase remarquez le est une étape qui fait avancer la pensée berhnardienne. Si vous souffrez de ce ressassement, il vaut mieux lire de lui « un enfant » ou « l’origine » car sa prose là, autobiographique, revient vers un certain classicisme.Mais voyez vous, , moi je souffre chez Proust devant les minutieuses et labyrinthiques explorations des bêtises qui se disaient chez les Vinteuil, cet espèce de grattouillis de phrases si accidentées, si labyrinthiques dans ses incidentes que parfois il faut relire quatre fois une page pour essayer d’y comprendre quelque chose Proust parfois se perd dans le minuscule.. Alors que,par exemple,ce même Proust mêle lucidité et la féerie dans ces pages magnifiques quand il parle de son enfance à Combray . Souvent les grand auteurs ont des passages lumineux et d’autres plus difficiles à comprendre ou carrement faibles.Comme dans Balzac,qui charrie le pire et le meilleur..
L’un de mes plus amusants souvenirs : le regard perdu dans neant du poète Zanzotto écoutant une dame sachante lui expliquant la poesie de Zanzotto.
« Il y a des voleurs de savoir ici… »
Le savoir n’est-il pas fait pour être volé, voire violé, gratuitement et collectivement ?
Qui a dit que seuls les génies ont le droit de nous ennuyer? Cioran? Pour Proust, parfait désaccord. Le modèle stylistique de Proust me semble plutôt à chercher du côté de Mozart, mais il faut certainement avoir beaucoup lu le premier et joué le second pour s’en apercevoir.
Et surtout ne pas placer la musique juste avant « le temps qu’il fait » comme la pauvre idiote qui hante Céans.
Les voleurs de savoir sont souvent des passeurs, Jacques, ce sont les faux-monnayeurs qui ennuient avec leur souci de masquer leur escroquerie.
@ l’ineffable Videgogue est parti après de copieux échanges avec le taulier de ce coupe-gorge
je crois me souvenir de sa déception, dès qu’il s’avisa que passoul ne pouvait pas venir dans son école, alors qu’il l’avait promis à ses élèves… Comment cela dégénéra après entre eux, ne m’en souviens plus. Je me souviens cependant de votre constance dans votre harcèlement et souhait qu’il dégageât, puisque wgg vous donnait à l’évidence pas mal de complexes d’ombrages littéraires… Après quoi, enfin libéré, vous respirâtes mieux avant de vous attaquer vaillamment au « tôlier de ce coupe-gorge »… Personne ne comprend très bien pourquoi vous vous obstinez à vivre si dangereusement, parfois oublié dans les CDBF, alors que nul ne vous oblige à pareille obstination visqueuse.
Bàv,
Gigi la visqueuse, tu donnes là ton interprétation de vers solitaire décérébré. En réalité c’est Videgogue qui n’a plus voulu d’Assouline, lequel était très enthousiaste à l’idée de le visiter dans sa classe. Rendons à César. Le conflit a eu pour origine une toute autre chose que les crétins comme toi n’ont même pas vu passer. De l’histoire entre Blabla et moi, tu ne sais rien non plus et ce n’est certes pas moi qui suis allé le chercher. Quant à son immense culture, elle était surtout faite de bavardages, tout comme ses trouductions.
À propos de musique, Mahler chef d’orchestre et la Neuvième de Beethoven :
https://davidpickett.wordpress.com/2009/06/17/mahlers-version-of-beethovens-ninth-symphony/
Mr Court […] arrive à balancer trente références savantes à la file avec une humilité déconcertante.
hamlet dit:
Le Pétomane est tellement Crétin qu’il est le seul ici à ne pas voir que l’Érudit Analphabète au Cerveau en Compote c’est le plus grand Vaniteux du blog, un type incapable de donner son opinion sans pontifier, y compris sur des thèmes qui le dépassent complétement, comme la musique.
Les éloges du Pétomane sont toujours très suspects.
Jazzi l’ironie!!!!!!!!!!
tu sais pourquoi ? la différence entre les 2 ?
TB procède exactement comme Musil : il se moque jamais des problèmes eux-mêmes, en révélant le comique qu’on peut trouver en eux.
non ! TB se moquent des solutions approtées à ces problèmes, et des personnes qui apportent ces solutions, leurs croyances dans ces solutions susceptibles de résoudre le problème.
tu vois la différence ? le comique s’en prend au problème lui-même et l’ironie à ceux qui pensent le solutionner.
j’te rassure c’est pas de moi, je crois que c’est Bouveresse qui le dit qq part.
Edel, dire que Thomas Bernhard écrit des phrases qui auraient pu être écrites par Nadine de Rothschild (ou par n’importe qui d’autre) ce n’est pas comparer les deux. C’est constater un fait tout simplement.
Tu ne pourrais pas nous citer des phrases de T.B. qu’on ne puisse lire que dans ses livres?
parce que les gens qui apportent ces solutions sont en principe ce que l’on appelle des « théoriciens ».
le job des théoriciens c’est quoi ? de pondre des théories.
aujourd’hui on dirait des « experts », ou des « éthiciens », ou des gens qui participent à des revues genre le Débat.
comme quand Pablo parle de Glenn Gould ou de Haydn à partir de ce qu’il en a lu dans les livres.
ou quand Pablo estime son savoir sur une chose à partir du nombre de livres qu’il a lu ce ce sujet, en citant tous ces livres sans oublier leur nombre de pages.
pas vrai que c’est important Pablo le nombre de pages ?
Dexter, vous ne devriez pas falsifier les propos d’autrui ! Je n’ai jamais dit « c’est juste un fait ».
et je comprends qu’un type comme Pablo ne puisse pas aimer un livre comme les Maitres anciens de TB parce que justement il y épingle tous les imbéciles dans son genre et leurs discours imbéciles.
dear Paul Edel, vous rendez bien la respiration qui convient à la lecture de Bernhard. cependant la prose de Proust bénéficie d’une atemporalité qui rend supportable ses descriptions lyophilisées, tandis que Bernhard ne lâche pas d’une semelle son Autriche honnie autant que les catholiques. le lisez-vous en allemand ? Déguster un bon crémeux viennois comme « une tranche du cardinal » en lisant Bernhard doit être un exercice profitable.
@ jzm / sur Thomas Bernhard le débat est ouvert
Il fut un temps où je tressautais dans mon lit des nuits entières tellement je riais… Je ne pouvais pas sortir de l’effet d’ensorcellement des récits provoqués par TB. Pour moi, la construction géniale des ressassements de ses personnages produisait des effets de rire aux larmes inextiguibles. Ce fut le seul auteur qui ait jamais réussi à provoquer cet effet. J’en redemandais tant et plus. Puis j’allais voir Serge Merlin au théâtre… Car je n’aimais pas lire TB en son théâtre… Et les fous rires me reprenaient, c’était une autre expérience… Un rire nerveux et sans doute désespéré. L’effet du phrasé dont Aldo Gargani avait si bien montré comment aucune phrase prononcée par l’autrichien ne pouvait le sauver. Mais comment l’écriture, le récit de ses phrases, avait elle ce pouvoir de le protéger de la folie et de la mort, et nous autres lecteurs fascinés, avec…
Dans le nouveau texte de Mendelsohn (trois anneaux, un conte d’exils), ce dernier fait la part belle à ce linguiste nordique, van Otterlo, qui lui apprit tout de la « composition circulaire » chez Homère. Je ne suis évidemment pas un spécialiste, mais je n’arrive pas à me départir de l’idée que cette métaphore poussée à son absolu vaut exactement pour la la construction des récits de Bernhard… A ceci près qu’Homère ne m’a jamais vraiment fait rire.
Pardon, chers spécialistes, pour ce parallèle sans doute illégitime (qui n’est juste qu’un ressenti, pas un fait). Je me permets de le donner, puisque jzm nous sollicite, mais sans vouloir m’enfermer dans son alternative comique/ironique. J’évoquerai plutôt des tragédies construites sur une narrativité de composition circulaire en abysse, provoquant une hilarité désespérée.
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