de Pierre Assouline

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La République des livres
Du silence de Pascal Quignard « Deo Soli Gloria »

Du silence de Pascal Quignard « Deo Soli Gloria »

Qui d’autre que Pascal Quignard imagine-t-on prononcer une conférence sur « Les ruines de Port-Royal » en la cathédrale de Coutances, un soir de l’été dernier, en compagnie de Jean-François Détrée à l’orgue puis au clavecin ? Pour ceux qui n’en étaient pas, un éditeur attentif a pensé à la publier, non sans la réunir à d’autres prises de parole du même, mais improvisées celles-là, sous le titre Sur l’idée d’une communauté de solitaires (75 pages, 8 euros, Arléa).

Est-ce dû à leur oralité première, fût-elle corrigée après coup ? Toujours est-il que ces paroles souvent lumineuses sont plus accessibles, en tout cas moins hermétiques, que Mourir de penser, le plus récent volume (IX) de son ambitieux cycle Dernier royaume dont l’ample dessein lui était apparu tout armé par un froid sec de 1997 alors qu’il était convalescent « dans un état de lassitude post mortem ». Les citations latines ou grecques y sont rares, et lorsqu’elles interviennent, elles permettent par exemple de déployer un mot tel que « requiem » dans une citation fameuse de L’Imitation de Jésus-Christ :

Quaesivi in omnibus requiem, et nusquam inveni nisi in angulo cum libro / « J’ai cherché partout dans le ce monde le repos/un abandon/une halte, et je ne l’ai nulle part trouvée que dans un coin avec un livre ».

Pourquoi Port-Royal des Champs ? Parce que cet écrivain se sent une dette envers les ruines depuis son enfance havraise passée dans un paysage de décombres suite aux bombardements de la Libération. Parce que Port-Royal fut une ruine sans ruines, Louis XIV ayant exigé la tabula rasa jusque sous la terre, ayant ordonné l’exhumation de trois mille corps qui furent déchirés par les crocs des animaux avant d’être jetés, coupables à jamais de lui avoir fait de l’ombre en osant l’orgueil de réserver leur conscience. Et parce que l’abbaye fut par excellence le lieu où s’inventa une communauté de solitaires dans l’acception janséniste du terme.

C’étaient des hommes de la société civile, et non des religieux, qui choisissaient de se plier à des règles conventuelles, dont le silence, sans pour autant s’y lier par des vœux. Gloire à Sainte-Beuve qui leur éleva son monument de papier, ces solitaires qui inventèrent de se regrouper autour de leur désir de fuir.

On y retrouve le ton, le rythme, la cadence de certains de ses Petits traités, et l’ombre portée de toute une réflexion sur le langage et le non-dit entamée depuis des tous premiers livres au début des années 70, sous l’influence du vénéré Bavard de Louis-René des Forêts (en 1978, Quignard avait signé la quatrième de couverture de sa réédition dans « L’Imaginaire « ). Il substitue le silence de la théosigie au discours de la théologie. La musique est partout, souterraine, jusques et y compris dans l’apologie des silences. Il n’est pas le premier à composer de la littérature en palimpseste d’une composition musicale, allant jusqu’à nommer des parties ou des chapitres sur le modèle d’une partition, comme Claude Lévi-Strauss entre autres le fit dans ses Mythologiques afin de creuser plus encore l’analogie entre mythe et musique.port_royal1

L’arrière-petit-fils de l’organiste d’Ancenis (Loire-Atlantique) confesse avoir composé le plan de Villa Amalia sur la ligne mélodique de O Solitude de Purcell, et le premier tome du cycle Dernier Royaume sur celle des Ombres errantes de Couperin ; quant à la première page de Tous les matins du monde, elle doit tout à deux lignes mélodiques tressées dans le plan mixte du récit, mais davantage de la suite française pour violoncelle en ut mineur de Bach que la pièce en mineur pour deux violes concertantes Les Pleurs de Sainte Colombe :

 « C’est comme si j’avais eu besoin de m’assurer que Sainte Colombe était un grand musicien, dont la musique souffrait la comparaison avec celle de Bach et qu’il me fallait le prouver. Qu’elle la souffrait si bien qu’elle pouvait s’y mêler. »

Quignard reconnaît ne pas penser par arguments mais par images et débris de rêves, et pour tout dire : par fugues. Il suffit de le lancer sur un mot étrange et captivant, tel « languissamment » chu de la partition des Ombres errantes, justement, s’échapper à son tour. Là, c’est le petit-fils du grammairien, maître des étymologies, qui se manifeste en lui. Il est à son meilleur, souvent étincelant, en improvisateur. Tel Froberger louant « l’instant extemporaire », il oublie la ligne, lâche la partition, se défait de la règle, lui aussi :

« On s’envole soudain dans le ciel comme l’oiseau qui exulte. On plonge dans la nuit du cosmos comme un plongeur dans la mer Tyrrhénienne. On cesse d’être « contemporain », on devient « extemporain ».

Que les quignardophobes passent leur chemin, que les autres se procurent sans tarder ce petit livre lumineux prolongé par un autre qui paraît ces jours-ci et lui renvoie ses propres silences en écho. Il est vrai que le poète Alain Veinstein, auteur des Ravisseurs (284 pages, 19 euros, Grasset), est l’un de ses amis de longue date. Celui qui fut longtemps la voix la plus magnétique de France-Culture y raconte l’aventure artistique par laquelle se constitua non un collectif mais une famille d’esprit autour de la revue L’Ephémère lancée par la Fondation Maeght ; une vingtaine de cahiers entre 1967 et 1972, regroupant Gaëtan Picon, Yves Bonnefoy, Louis-René des Forêts, André du Bouchet, bientôt rejoints par Michel Leiris et Paul Celan, autour  de Jacques Dupin.

TousLesMatinsDuMondeDiscrets parmi ces discrets et prestigieux aînés, Veinstein et Quignard y faisaient figure de petits jeunes. Le premier, qui y fit connaissance du second, le décrit comme un solitaire absolu, se tenant à l’écart de tout, toujours prêt à se retirer du trafic, totalement mutique, tenant la désocialisation comme une condition de l’écriture, « peut-être une sorte de Bartleby, quelqu’un avec qui le dialogue n’était pas des plus faciles », délicieuse litote. Et quand il parlait enfin, c’était pour récuser le qualificatif de « solitaire », puisqu’il se voulait, et se veut toujours, d’abord et avant tout un lecteur : « Or, lire, pour lui, c’est le contraire d’être seul, même s’il faut être seul pour lire ».

On trouve dans ces pages inspirées, mais baignées d’une profonde mélancolie, l’idée d’une oralité silencieuse comme étant le propre de la littérature, et le rappel d’une distinction qui fait rêver entre le langage de gorge et la voix qui sert des lèvres. Nul doute en lisant Les Ravisseurs que ces deux hommes sont au diapason.

Un mot encore à propos d’un autre livre récent, où Pascal Quignard n’est pas cité mais où son ombre errante est repérée, à la page 99 de Solitude du témoin (167 pages, 17 euros, Léo Scheer), titre-programme qui dit déjà l’essentiel du projet de Richard Millet. C’est un bref tombeau de Louis-Isaac Lemaître de Sacy, touché par la grâce poétique et spirituelle lorsqu’il fut maître d’œuvre de la traduction de la Bible à Port-Royal-des-Champs, mais aussi des Confessions de saint Augustin et de l’Imitation.

L’auteur évoque la pérégrination de sa dépouille à travers Paris à la demande de la duchesse de Lesdiguières jusqu’à l’abbaye. « Il me semble que le corps de Sacy continue de traverser la nuit parisienne, que c’est ce cortège dont j’entends, ce soir, non loin de la rue de Lesdiguières, la rumeur traverser la langue française » écrit Richard Millet en regrettant que nul écrivain n’ait encore songé à faire le récit de ce voyage.

On aimerait être celui qui s’en emparera, ne fût-ce que pour le pur plaisir d’y mettre le mot « Fin » à la manière de Bach et de Haydn au terme de leurs partitions : « Fine/DSG ». Autrement dit : Deo Soli Gloria/ « A la gloire de Dieu seul ». Ce que Pascal Quignard commente : « A la gloire de Dieu et seulement lui c’est-à-dire à l’adresse de personne ».

(« Pascal-Quignard-aux-Champs » photo Passou ; « Oratoire qui se dresse à la place du choeur de l’ancienne abbaye, construit en 1891 en style néo-gothique » photo D.r. ; « Jean-Pierre Marielle de Sainte Colombe dans Tous les matins du monde » photo D.R.)

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commentaires

991 Réponses pour Du silence de Pascal Quignard « Deo Soli Gloria »

la plume de ma tante dit: à

une conférence universitaire a Southampton dont le sujet est , a peu prés, : Israël a-t-elle le droit d’exister ?’, supportée par des universitaires de par le monde, vient d’être annulée…la pression des lobbies sionistes a été trop forte…un chef de cabinet d’avocats, d’ethnie juive, a meme déclaré : ‘mon cabinet ne recrutera plus aucun diplômé de Southampton s’ils n’annulent pas cette conférence’…l’université de Southampton aurait du le poursuivre en justice, ce fils de sanglier…la liberté d’expression est a géométrie très variable, on dirait…on nous dit que rien n’est tabou, et tout est sujet a discussion en Occident…a l’évidence, ce n’est pas toujours le cas…personne pour dire ‘je suis Southampton’ ?

http://www.theguardian.com/uk-news/2015/mar/31/southampton-university-cancels-event-questioning-israel-existence#comments

l'autre pour the same dit: à

pas l’habitude de lire « d’ethnie juive ».de le dire moins encore. next one?

l'autre pour the same dit: à

israel plutôt au masculin a-t-il le droit.

la vie dans les bois dit: à

J’ai retrouvé dans « La barque silencieuse », chapitre XX, cette idée, « Genoi autos essi mathôn », apprendre à être désarçonné. Ne deviens pas idem. C’est une bien belle idée.

la plume de ma tante dit: à

ben si…le Guardian avait senti le besoin de le dire…what’s your problem?

la plume de ma tante dit: à

l’autre pour the same dit: 31 mars 2015 à 21 h 07 min
israel plutôt au masculin a-t-il le droit.

z’etes prof?

Düpaul dit: à

Mauvaise nouvelle pour le tenant-lieu de l’I.S.S, on a jamais vu un tonneau aussi élevé.

la vie dans les bois dit: à

Il est très magnétique Pascal Quignard. C’est rien de le dire.

l'autre pour the same dit: à

la plume de ma tante dit: 31 mars 2015 à 21 h 10 min vous éprouvez de drôles de besoins, si vous voulez aussi connaître mon ethnie?

la vie dans les bois dit: à

Et puis qui, a part Pascal Quignard est capable de vous dire tout à trac que Whitcomb Judson inventa la fermeture éclair.

l'autre pour the same dit: à

c’est newman qui inventa le zip, barnett (bb) newman

la vie dans les bois dit: à

une Quignardise
Addictus en latin désignait l’esclave pour dettes. Etre émancipé signifie « sans addiction »

la plume de ma tante dit: à

l’autre pour the same dit: 31 mars 2015 à 21 h 16 min
la plume de ma tante dit: 31 mars 2015 à 21 h 10 min vous éprouvez de drôles de besoins, si vous voulez aussi connaître mon ethnie?

euh…non pas specialement…je voulais savoir c’est tout…l’obsession avec l’ortho et la grammaire, c’est souvent un truc de prof…

M OU MME dit: à

Je me souviens d’un billet récent sur un poète faisant l’éloge du caractère unique de la langue française en raison de sa référence implicite à l’écriture. (Bab)

Qui faisait l’éloge ? le billet ou le poète ? Il faut être précis car le florilège des sottises exige des attributions inattaquables. Ceux qui viendraient vous dire que le français partage ce privilège avec le latin, le grec, l’anglais, l’allemand, le chinois, l’italien et quelques autres langues du monde sont de mauvais patriotes.

hamlet dit: à

renato, je sais que Gaston de Pawlowski a inventé le boomerang qui ne revient pas vers celui qui le lance pour éviter les accidents (c’est plus prudent quand les enfants jouent avec), il y a une vingtaine d’années j’avais déposé un brevet qui avait pas mal marché où j’améliorais ce modèle en accompagnant ce boomerang d’un petit caniche qui le ramène à l’envoyeur, les enfants adorent.

M OU MME dit: à

On connaissait le Neveu de Rameau. Maintenant on connaîtra également le Neveu de Bruneau ! (Widergänger)

Bruneau cuit ou Bruneau cru ?

la vie dans les bois dit: à

J’aime, beaucoup énormément, ce poème en quelque sorte dédié à Ann Hidden; son pseudo, à lui tout seul, est toute une (belle) histoire.( encore non dévoilée, huit ans plus tard, comme je viens de le lire)

 » O Solitude
O solitude, my sweetest choice!
Places devoted to the night,
Remote from tumult and from noise,
How ye my restless thoughts delight!
O solitude, my sweetest choice!
O heav’ns! what content is mine
To see these trees, which have appear’d
From the nativity of time,
And which all ages have rever’d,
To look today as fresh and green
As when their beauties first were seen.
O, how agreeable a sight
These hanging mountains do appear,
Which th’ unhappy would invite
To finish all their sorrows here,
When their hard fate makes them endure
Such woes as only death can cure.
O, how I solitude adore!
That element of noblest wit,
Where I have learnt Apollo’s lore,
Without the pains to study it.
For thy sake I in love am grown
With what thy fancy does pursue;
But when I think upon my own,
I hate it for that reason too,
Because it needs must hinder me
From seeing and from serving thee.
O solitude, O how I solitude adore! « 

D. dit: à

Tu nous les broutes. Cause français et ensuite on verra.

M OU MME dit: à

Les intégristes de l’Islam n’accepteront jamais que des incroyants se penchent sur leur livre sacré et en identifient les contradictions, les inepties, les horreurs, le loufoqueries. (Baron Bitonniau de Bellefente)

si on va par là, dans le genre frappadingue la Bible (ancien et nouveau texticule) n’est pas mal non plus.

M OU MME dit: à

Tu nous les broutes (D.)

A force de vivre dans les bois, on attrape de vilaines manières.

D. dit: à

C’est acceptable parce que c’est en ré bémol majeur, sinon bof.

la vie dans les bois dit: à

On ne retrouve aucune trace de Pascal dans les écrits de Pascal Quignard. Something quite different about Solitude, between them, à Port Royal.

hamlet dit: à

dernièrement j’ai repensé à Jean de Sainte Comlombe en voyant un film américain : Whiplash (c’est le nom d’un standard de jazz composé par Hank Levy où la noire se joue à un tempo d’environ 180.
Dans ce film on voit un professeur d’une école de jazz new yorkaise : Terence Fletcher, une Sainte Colombe du 21è s.,je ne sais pas s’il a existé mais il est comme Sainte Colombe : sale caractère, hyper exigent avec ses élèves, il ne pardonne rien, un vrai perfectionniste.
Comme ça se passe passe aux Etats Unis on ne peut s’empêcher de faire le lien entre la musique et la capitalisme : la compétition, l’hyper concurrence où le meilleur gagne.
Du coup je me suis dit que si Fletcher possède toutes les tares du capitalisme Sainte Colombe devait, à sa manière les portaient aussi à son époque, ma foi je me suis arrêté en route dans la comparaison…
En fait c’est l’histoire d’un jeune batteur qui veut devenir le nouveau « Budy Rich » ! et ça pour devenir un Buddy Rich il faut vachement travailler. Comme les américains ne font jamais les choses à moitié on voit ce gamin les bras en croix au dessus de sa batterie avec le sang qui sort de ses mains, et ça même avec les sparadraps, c’est dire le niveau de souffrance qu’il faut endurer pour parvenir au top !
Mais comme c’est américain il y parvient, à la sueur de son front parce que c’est un winner ! Même s’il ne vient pas d’un milieu favorable, comme les plupart des st
D’ailleurs pour ceux qui ont eu l’occasion de fréquenter un peu ce milieu ils savent que plus encore que les écoles de commerces et les prépas hec on trouve les conservatoires de musique, question sélection c’est le top du top : un vrai panier de crabe où chacun est capable du pire pour piétiner ses concurrents ! un conservatoire de musique ignore tout du mot mot « bienveillance ».
Mais c’est c’est la règle du jeu, si on veut produire de l’excellence on est bien obligé de passer par là, d’ailleurs Fletcher justifie sa cruauté dans ce sens.

la vie dans les bois dit: à

J’ai pour ainsi dire terminé de lire Pascal Quignard, avec « la barque silencieuse ». Je l’ai découvert avec  » Vie secrète ». Il s’éloigne lentement sur des chemins littéraires, qui conduisent à un Royaume, une déréalisation ( c’est français, ça ?), un peu. Trop, pour moi.
Reste la musique.
« Elle n’aimait que les oeuvres, et dans les oeuvres, des morceaux. L’ensemble de ce qu’elle vénérait au sein de la musique qui avait été écrite ou transcrite aurait tenu dans un unique petit volume. un livre qui aurait pu s’appeler Nativity of Time, pour peu que l’éditeur eût accepté de reprendre les mots de Katherine Philips. L’essentiel se transporte si aisément ».

hamlet dit: à

ce jeune batteur y parvient quand même s’il n’a pas un grand père grammairien du jazz, ça c’est très américain.
la compétition, la concurrence c’est le seul moyen pour produire des talents comme ce pianiste chinois qui fait des pubs pour Allianz et les pianos Steinway : on en revient toujours à cet assemblage entre art et codes capitalistes.
D’ailleurs quand on regarde de près le public de, par exemple, la salle Pleyel, 80% de ceux qui y vont viennent du 8ème arrondissement ! et les autres du 16è, du 5è , du _8è…,
Et pour l’opéra Bastille c’est pareil ! avec comme sponsor les comptables de Ernst & Young, ceux qui calculent les salaires des pdg du cac40 forcément, tout de suite, ça pose le décor et d’emblée ça limite les choses.

Le pire dans les conservatoires de musique c’est les concours, il suffit d’avoir un juré mal luné et hop il vous fout les 10 années de travail d’un gamin en l’air, mal luné ou frustré si le gamin a du talent, encore qu’ils le font souvent juste par cruauté, comme ces gens qui aiment enlever les ailes des mouches pour les voir ensuite ramper, c’est de la cruauté gratuite, les conservatoires de musique connaissent bien cette forme de cruauté encore plus que les industries ou les petits commerces.
Mais il faut en passer par là pour arriver à filtrer et produire le top du top du talent, comme chez les traders.
C’est sans doute Dieu qui a voulu que les choses se passent de cette manière.

Düpaul dit: à

Non mais ça c’est proposer la réplique. Donc c’est être un peu schyzo.

la vie dans les bois dit: à

Au fait, oui, pour ceux qui ont perdu tout sens de la nature, première quinzaine de juillet, on récolte encore des cerises, en France.

hamlet dit: à

d’ailleurs sur cette question il y a un livre qu’il faut lire, c’est le Docteur Faustus de Thomas Mann, dans mort à Venise c’est Mr Cendres et dans Dr Faustus c’est Mr Audace ! c’est un livre assez compliqué, je n’ai peut-être pas tout compris de ce que veut dire Mann, mais il est question d’Adorno, et de la fin de l’histoire de la musique.

Paul Edel se fâche à chaque fois qu’on comprend mal un livre, vraiment je ne comprends pas pourquoi à chaque fois il se fâche contre ceux qui font des boulettes de lecture, c’est pas une chose facile de lire. Il s’est fâché contre Clopine pour l’histoire de Goncourt, et après contre moi pour une histoire abracadabrante de Thomas Mann et Bernhardt, vraiment c’est pas cool d’être autant soupe au lait.
Lire c’est facile pour des professionnels du monde littéraire, et aussi pour des agrégés comme Bloom ou Alba, mais pour nous lire c’est un chemin de croix !
Mais pour ceux qui aiment la musique la fin de ce roman de Mann c’est magnifique ! Quand il oppose la virtuosité, la technicité, l’ingéniosité à quelque chose dont je ne sais pas comment il faut l’appeler, peut-être faut-il lui donner le nom d’âme, l’âme musicale qui se situe au delà de la connaissance, et notre Mr Audace fait un pacte avec le diable pour échanger son savoir musical contre cette âme musicale.
Alors c’est vrai que je ne sais pas ce que cal signifie, et ¨Paul Edel va encore se fâcher parce que je ne sais pas, j’ignore ce que veut nous dire Thomas Mann dans cette conclusion, il ne s’agit pas de faire le choix d’une vie éthérée, d’une sorte de mysticisme du genre le monde musical n’est pas de ce monde, où inciter à vivre perché dans les arbres ou dans les étoiles du genre je joue de l’ogue dans les églises, non !!! qu’est-ce qu’on en à taper de ceux qui jouent de l’orgue dans les églises, non, il s’agit d’autre chose, il faut trouver, relire Mann et le comprendre, parce qu’il est aussi question de Nietzsche dans ce livre, et de l’aristocratie, les gens de goût qui vont à Pplyel parce qu’ils vievnet dans le 5ème de Paris : la musqiue ne se résulme pas à une histoire d’arrondissement, alors il faut le relire et comprendre ce dont nous parle Thomas Mann, c’est important pour tout le monde.

Widergänger dit: à

Hamlet, quand aurez-vous fini de faire le pitre ? Si vous croyez que c’est drôle ! Arrêtez aussi de persécuter Paul Edel. Vous êtes vraiment inhumain.

Widergänger dit: à

Être un bon lecteur, Hamlet, n’est pas une question de diplôme mais de cœur. Pour être un bon lecteur, il faut être sensible. Pour être sensible, il faut avoir un cœur. Si vous êtes un mauvais lecteur, Hamlet, il faut vous en prendre à vous-même. C’est simplement que vous n’avez pas de cœur. Et ça, Hamlet, c’est sans remède. L’intelligence du lecteur est entièrement dans son cœur.

Widergänger dit: à

C’est pourquoi la littérature est un art hautement aristocratique. Une aristocratie de l’esprit, s’entend. Parce que très peu d’homme ont du cœur.

La plupart ne sont que de braves bovins sans cœur. Un grand lecteur est un homme accompli. On ne verra jamais un grand lecteur qui soit une brute.

Widergänger dit: à

C’est aussi pourquoi il existe une grande justice dans le monde de la lecture. Seuls ceux qui ont un cœur peuvent comprendre ce qu’ils lisent en lisant les grands écrivains. Avoir l’esprit fin n’est réservé qu’aux hommes bons et généreux. Les méchants sont exclus de cette joie.

si dit: à

« Pour lire, pas lu »

renato dit: à

C’est bien parce que le comique ne meurt jamais…

Chaloux dit: à

Pauvre WGG qui n’a plus que son cœur à vendre. Il faut dire, c’est une affaire, il s’en est très peu servi…

Bonne nuit les petits.

Widergänger dit: à

Les sans cœur viennent de se reconnaître…!

renato dit: à

Ha! ces gens qui parlent de cœur! ils en parlent, ils en parlent… C’est vrai qu’en parler c’est déjà quelque chose…

D. dit: à

Je suis un grand lecteur. Mon dernier livre lu remonte à 2001. Et j’ai eu du mal à le finir.

Widergänger dit: à

Eh oui, mon petit chéri, c’est pas à toi que viendrait une telle idée !

Widergänger dit: à

D. vous avez une capacité de lecture proche du zéro absolu. C’est bien connu ici.

Widergänger dit: à

Un viatique pour la nuit, mes petits chéris :
à peine sentie déjà cendres la vie
qui nous fuit fait de nous inconscients des ombres
errantes aux murs sales du temps et qui
dans des eaux verdâtres qu’il faut boire sombre

en vain on se souvient anonyme et froide
de la vie qu’on a rêvée dans son enfance
dès lors sans illusion dans une noyade
infinie où ne meurt jamais l’espérance

vide on vit et on meurt dans la confusion
seul sans rien savoir sans seulement comprendre
quand tout n’a au mieux ni rime ni raison

tout n’est que bruit vaine la rumeur du monde
sur l’éclat bref d’un jour en déshérence qui
se meurt et renaît des moires de l’oubli

Comme n'importe qui dit: à

Tu t’en donnes de la peine, à quoi bon encore aller chercher d’autres petits cache-autarcie ? Allez, bonne nuit…

Giovann! Sant'Angelo dit: à


…les imaginations en tout collèges d’esprits,!…entrer, la porte,!…ouverte,!…

…souvient tant,!…mais qu’était ce encore,!…en pureté des muscles en familles déjà,!…au moins au niveau bourgeois à tout prendre,!…

…vous étiez  » lesbienne « , de roman du cul,!…votre amie, avait un amant, une personne en partage,!…
…que vous aimiez, en partage,!…
…Oh,!Ah,!…les fripouilles d’aises,!…toujours en digue, et pour vous mariez  » vierges « , les précautions,!…
…je peux vous y mettre, un doigt plus long, de la guerre de bouton,!…
…mais, ou allez- vous,!…plus bas, à votre train,!…c’est pas vrais,! déjà, plus que professionnel,!…
…les à nos vierges apparitions,!…tenez la bien, ma dulcinée, aux  » dons  » qui sautent, à Go…al,!…
…aux autres se le mettre souple en toys en solo,…
…mon amie, quels habitudes vous avez-pris, en m’attendant avec tant de vertus,!…
…tout ces  » outre-mer « ,!…les canailles,!…Ah,!Ah,!…des K.K.K.,!…blanches polies au noir de protection, en allusions,!…
…vous nous en couper, de la mémoire en lingots d’or,!…
…c’est qu’il en faudrait, de vrais couvents,!…pour nous faire  » psy-inquisiteur « ,!…à quand dira t’on,…

…aux directeurs, aux autres,…et votre  » curriculum vitae fabuleux « , of course,!…
…sur mes genoux, votre certificat de bonne conduite,!…
…qui s’en plaindra, jamais, de suite en campagne,!…
…vous êtes agrégée aussi,!…tout ces docteurs en droit,!…
…morale, quand tu nous tient, en jarretelles,!…de Saute mûres,!…aussi,!…

…jamais, marié,et tout ces lingots à porter, histoire pour Fort-Knox,!…
…c’est bien envelopper, presque transparent,!…au doigt levé,!…
…pas de trop, Ah,!Ah,!, à gober,!…Ah,!Ah,!…un vieux collège du bonheur,!…
…vivez, le ciel,…sur les genoux d’un curé de campagne,!…toute ces mains en l’air,!…marivaudage,!…pour son dard,!…
…aux écritures,!…si, si enceinte de par les dieux,!…encore, ou papa aux christ’is,!…Ah,!Ah,!…
…Oh, ces tableaux, ses esquisses,!…ses escots-girls, sans plis en liesses,!…
…bienvenus aux liasses,!…
…la cuisson d’un porc au naturel,!…
…mais souffler sur le feux,!…ou çà,!…
…etc,!…

Bloom dit: à

Pour rénover ses deux bureaux d’ancien directeur de l’Ina, Mathieu Le Boulet a dépensé 125 000 euros, soit 5 000 de plus que l’enveloppe globale annuelle de la subvention d’équilibre que reçoivent les 16 établissements culturels français en Inde (près d’un million d’apprenants de français à elles toutes). Quelque chose de pourri au royaume des pourris.
Un bon lecteur…un écrivain a les lecteurs qu’il mérite. Nos en aurons un excellent en résidence cet été, japonisant critique. Plaisirs du texte et de la conversation.

Comme n'importe qui dit: à

A la réflexion, ce mot est moins cynique qu’il n’y paraît et, sans aucun doute exagérément optimiste, voire naïf. Il serait plus juste de dire : l’homme a des droits tant qu’il sait les défendre et qu’il le peut.

C’est ce qu’on dit – surtout pour tuer le droit tout en pointant un autre bourreau ! – on peut aussi se la jouer lézard se chauffant au soleil tout en vivant planqué dans la merde qui tient chaud. C’est magicocynique…

JC..... dit: à

La doyenne de l’humanité, une Japonaise, est morte à 117 ans. Pauvre femme ! Vivre si longtemps…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…au fond, je ne connais le spécialiste en  » ergots,!…
…dit on, porca misèria,!…ou porca madona,!…del culs,…à demi-vide encore, ou à un coté plus bas, juste plein à niveaux,!…

…tout ces Archimède, çà me fend le coeur,!…une pyramide dans le dôme cylindrique,…une mesure graduée,!…de châteaux,…
…çà me botte,!…à l’attendue,!…
…vérifiés vos tests, encore,!…

Et dire que JC..... ne sait même plus relativiser dit: à

Mais des vivants il en faut et un maximum, même ceux qui paradent éternellement sur les morts ne seraient rien sans eux !

JC..... dit: à

Comme n’importe qui dit: 1 avril 2015 à 4 h 22 min
« on peut aussi se la jouer lézard se chauffant au soleil tout en vivant planqué dans la merde qui tient chaud. C’est magicocynique… »

Franchement, à vivre dans la merde, ne vaut il pas mieux se la jouer lézard se chauffant au soleil. Bien planqué ?

Comme Pascal Quignard entre ses bouteilles dans son domaine…
Comme moi, à Porquerolles entre ciel et mer…
Comme vous, je suppose !…

JC..... dit: à

Pascal Quignard, implorant le ciel main ouverte, l’apostrophant d’un « Mais, qu’avons nous fait, pour mériter ça ? » fait allusion bien entendu au génie français à l’œuvre chez Radio France…

Ceux qui ont du pouvoir sont des incompétents, gaspillant l’argent public en mauvaise gestion.

La Cour des Comptes, compétente, mettant en lumière gabegie et remède, n’a elle aucun pouvoir !

JC..... dit: à

TWEET TWEET

« Le Collège de France inaugure jeudi une chaire sur l’étude du Coran. Titulaire : le paléographe François Déroche. »

Nous nous associons totalement à cet acte fort qui va mettre à la disposition d’un petit nombre d’élus trouvant place assise, les connaissances intellectuelles les plus raffinées sur ce livre considéré comme sacré par beaucoup de gens …

La branlette au petit coin collégial, ça fait plaisir, ça soulage, ça mange pas de pain, et ça fera avancer certainement les choses en banlieues …. uhuhuhu !

JC..... dit: à

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L’ère du deuil
30/03/2015

« Lorsqu’il n’est pas sur son scooter pour aller lutiner quelque actrice de troisième catégorie, François Hollande marche dans Paris-Charlie ou dans Tunis-Bardo, ou encore se tient à peu près droit devant un cercueil, une effigie, un drapeau en berne, une stèle…/… »

Le début du dernier billet sur le blog de Richard Millet. Ne me remerciez pas !

Comme n'importe qui dit: à

Comme vous, je suppose !…

C’est cela, dites en prime que je cherche à faire l’intéressant en fourguant de la vieille merde tant que vous y êtes. Faut pas vous gêner…

JC..... dit: à

Acceptez toutes mes excuses, Commenimportequi, si je vous ai choqué !

Je comprend que nous ne sommes pas du même monde : vous vivez, dynamique, affairé et visible, dans un immeuble de 11 étages situé au cœur du 93 pluvieux, entouré d’amis dévoués. Loin de la merde ensoleillée des planqués méditerranéens !

Grand bien vous fasse.

sam dit: à

Le blouc de PQ de plus en plus perturbé: Deux milliards d’ovins menacés par la peste des petits ruminants (lemonde)

JC..... dit: à

Les petits ruminants ? Vous êtes concerné, sam …!

renato dit: à

« … génie français à l’œuvre chez Radio France… »

Tiens! c’est au Mobilier National qui vont être contents… bien que… faut voir la qualité récente…

Cela dit, pourquoi se plaindre pour ces quelques sous dépense pour le prestige de l’institution?

sam dit: à

« un truc de prof… »

abdel nul en classe en voudra toute sa vie aux profs de l’’avoir mal noté

devi nette dit: à

Qui donc ne s’est pas présenté ce mardi matin devant les juges chargés de l’entendre dans l’affaire des pénalités de l’UMP. Il a demandé à être entendu ultérieurement, en toute discrétion (l’obs).

renato dit: à

dépense > dépensÉ

JC..... dit: à

Ne soyez pas injuste ! Abdel le Grand est grand, en armes, sur son chameau de combat !

Evidemment, si vous enlevez le sable, le sabre, le chameau, le harnachement de combat, l’Alcoran anti-mécréant, la promesse des houris toujours vierges, il reste un bolo en costume trois-pièces banal, comme des milliers à la City ….

Normal …

JC..... dit: à

Le chômage baisse significativement ce trimestre !

POISSON D’AVRIL !

Comme n'importe qui dit: à

Grand bien vous fasse.

Considérant votre indécrottable point de vue que tout le monde a des prétentions de plouc ou doit s’y plier on se demande vraiment quelle différence cela pourrait bien faire. (Et pour vous donner une petit sussucre correspondant à vos poses de beau, loin de vos bruits et vos odeurs cela ne peut être que préférable…)

JC..... dit: à

Commenimportequi dit n’importe quoi….

POISON D’AVRIL !

JC..... dit: à

Renato, je me réjouis que les personnels de Radio-France jouissent de 14 semaines de congés payés … je ne puis croire à un poisson d’avril de la part de Didier Migaud !

Et puis … leur travail est si difficile.

... mais pas chez tout le monde dit: à

(- Ce pauvre Pujadas, l’autre jour qui essayait de faire dire, à je ne sais plus qui, qu’il y avait des morceaux de cadavres partout (« Fais du Delahousse, y a que ça qui paye »), y revenant trois fois, obstinément, comme un vautour nain, pour finir par être remis expertement à sa place)

(Chaloux)

Une bonne télé dans un coin ou pas est une télé éteinte. (Depuis longtemps)

JC..... dit: à

Le commentaire est pas de moi et est indigne et je peux le prouver

renato dit: à

La conspiration des horloges…

renato dit: à

Attention, vous montrez la corde… et… parler d’imitation de voix deviendra de plus en plus ardu…

M OU MME dit: à

Sur la photo du haut, j’ai bien reconnu cette râclure de P.Q.

M OU MME dit: à

Je proteste pas de moi (JC)

Barbe à papa

Giscard Destin dit: à

ABOU, MONSIEUR,
ABOU, MADAME,
ABOU, MADEMOISELLE !

Fons dit: à

Wow! On pouvait s’en douter que ce jour va être jour plein d’inspirations en Playmobil Land!

jms dit: à

 » Bonnard, l’éphémère ébloui, le plus vrai et le plus accompli des peintres poètes, au musée d’Orsay et dans les livres. »

Mais quand va t-on nous expliquer ce que signifie exactement un peintre poète?

contrepèteur dit: à

Pascal Quignard écrit des livres mignons.

sam dit: à

Fons dit: 1 avril 2015 à 9 h 54 min

le pauvre (playmobil), tant chahuté!(bien fait!!)

M OU MME dit: à

Mais quand va t-on nous expliquer ce que signifie exactement un peintre poète?

L’expression est tautologique en effet. Pour peu qu’il soit créatif, tout peintre est poète, par définition étymologique.

Shlomo Birkenau dit: à

La Palestine devient le 123e Etat membre de la Cour pénale internationale !!!

Je la verrai plutôt passer la soi-disant Autorité en Cour pénale Internationale pour terrorisme d’Etat.

renato dit: à

« Mais quand va t-on nous expliquer ce que signifie exactement un peintre poète? »

Vous savez, même au bistrot on n’entend pas des conneries de cette taille… et puisque la conscription obligatoire c’est fini… peut-être quelque chose dans ces eaux là au siège de EELV, mais moins amusant… et sur tout autre argument… la valeur intrinsèque d’un 2%, par exemple…

burntoast dit: à

>M OU MME dit: 1 avril 2015 à 10 h 26 min

J’ai un voisin, peintre en bâtiment, amateur de poésie. Plain and simple.

le mère deuxlavilles dit: à

il est prévu de construire sous peu une mosquée à porquerolles un certain jc serait à l’origine du projet

renato dit: à

« Plain and simple. »

Support – surface?

Décathlon dit: à

Il est exact que nous avons livré poste restante dans une ile du sud de la France une de nos tente-mosquées ignifuge, 4 places accroupis, entièrement équipée de moustiquaires anti-juifs, et d’un mihrab lavable, orientable par GPS.

jms dit: à

 » L’expression est tautologique en effet. Pour peu qu’il soit créatif  »
Plutôt expliciter ce qui ressort du pictural et du poétique.
Qu’ est-ce qui fait le « ciment » du pictural, qu’ il existe en fait.
De même pour le poétique.
Deux entités ( « essence » dirait un philosophe ) foncièrement différentes.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pour en remettre des pendules à l’heure,!…

… » Manuel des confesseurs  » et KRAFFT-EBBING en bandes dessinés, J.M.lo Duca,…édition avant +- 1980,!…

…en plus sur un autre livre, d’image moral ,illustration d’une fille qu’y se la joue, des petits soldats de plombs de son frère à se mettre,!…çà me reviendra, en main,…

…pour, les autres variantes, aux PlayMobilles,…des fonds d’autres greniers,!…toujours plus haut, les soldats à se mettre devant son miroir,!…
…images,!…etc,!…et autres contorsionnistes,!…des passions illustrées,!…Ho,!Ho,!…Gloria,!…etc,!…
…suivant,!…plus outre,!…

Comme n'importe qui dit: à

Et puis … leur travail est si difficile.

Alors là, vous vous êtes un spécialiste en pénibilité, c’est certain ! Peut-être même ai-je pu l’apprécier chez mon employeur précédent…

Pour évoquer un autre truc inusable chez les démago, à côté des fumistes, feignasses, etc, les profiteurs et les impôts. Oh vous allez aimer, il y a des chances: j’ai lu il n’y a pas si longtemps un chiffre sur le nombre de ménages payant l’IFD comme on dit ici, et ben ça sort pas souvent un truc pareil, faut dire qu’il y a de quoi laisser songeur sur qui peut bénéficier d’infrastructures sans etc etc vous connaissez les discours. Mais comme c’est rarement signalé des trucs pareils, c’est pas croyable j’vous jure ma bonne JC…

Comme n'importe qui dit: à

(et cachez un peu votre joie, vous me rappelez un gardien de la loi bedonnant qui me regardait passer un soir, c’est pas très sexy…)

Comme n'importe qui dit: à

(oups, en tapant trop vite je vous ai fait un signalement hot cops 3 en un, pardonnez-moi…)

JC..... dit: à

Commenimportequoi, vous auriez été comme moi, mannequin garçonnet pour La Redoute, premier communiant lubrique généralement apprécié, puis pompier volontaire incendiaire au service de promoteurs non-écologiste, CRS pacifiste et haltérophile, pour finir enfin ! tortionnaire dans la Préfectorale, plus rien ne vous étonnerait…

en effet dit: à

Décathlon dit: 1 avril 2015 à 11 h 05 min

en effet l’individu du nom de JC l’avait commandé (pour le bunker de son jardin) en poste restante par discrétion

renato dit: à

2% et même pas une question relative à la pertinence de l’action politique conduite…

Brad P...t dit: à

Angelina Jolie racontant son ablation des ovaires,

ça va être quoi la prochaine fois?

JC..... dit: à

La fiente à la Guérini s’écoule, nauséabonde, socialiste, corrompue, du CG13 qui est en déménagement à Marseille.

Elus volent ! cartons volent !

Les Bouches ayant changé de langue, peut être de langage (?), on va peut-être enterrer définitivement ce Vieux Porc de Gastounet, ses bébés, et l’eau du bain de WWII.

Comme n'importe qui dit: à

renato, ce n’est certes pas à vous que quelqu’un devra apprendre combien la pertinence est chose relative et qu’une bonne présentation peut faire la différence. Bon, bref, laissons cela, si on parlait de vie privée comme tout le monde ?

Comme n'importe qui dit: à

Vous avez fâcheuse tendance à surestimer mon intérêt pour les courants d’air déguisés en coups de vent, JC, ça vous donne un petit genre Moka sous papier argenté.

Comme n'importe qui dit: à

On dira que ça fait plus peroxydé bronzé que vermine de cuisine fuyant la lumière. Je n’aime ni l’un ni l’autre, vous n’avez donc rien à craindre… Et si vous vivez vraiment à Porquerolles, avec l’image de mouilleur permanent que vous tenez à défendre ici, ben logiquement cela doit être le plus pratique, pour le drainage aussi.

renato dit: à

Apparement la présentation n’a pas fait la différence, parce que 2% c’est un pourcentage comique plus qu’autre chose… mais… c’est vrai qu’informés par leur grznde culture politique, ils ont cru possible se passer de D C-B…

Comme n'importe qui dit: à

Oui bon, la seul authentique parler clair en politique c’est souvent le comique, justement. Ce n’est pas pour rien que vous n’allez pas développer, suivant votre habitude.

En voyant la carte d’un autre territoire dernièrement, je me suis par ailleurs demandé si la dictature de la vision « bipartite » n’était pas encore plus létale pour la démocratie qu’un parti unique. Pas le courage de développer non plus, après tout ce ne sont que brèves réflexions, hein, pas envie d’en faire un péplum non plus…

la vie dans les bois dit: à

Repenser à ces quelques mois d’une vie passée à côté de Magny les Hamaeux, à quelques minutes de Port-Royal. Et découvrir aujourd’hui ce vivier, j’y vois comme un poisson, du sort.
http://ekladata.com/k1YK3d_jakWfR0Ak7bPNuNhq_Vc.jpg

la vie dans les bois dit: à

Ne pas en faire une bouillabaisse, mais quand on voit la  » couleur » du résultat du second tour des départementales dans le département du Var, on comprend un peu mieux l’étymologie langagière du playmobil. La même que celle de Philipot. (je le cite, un exemple comme un autre, pour ne pas froisser un certain genre verbeux, en détresse psy, à la recherche de sa mère)

Comme n'importe qui dit: à

La vie, l’étymologie langagière est une chose, rendre tout débat impossible passe aussi par d’autres, et cela réussit assez souvent, hélas !

la vie dans les bois dit: à

Que certains veuillent en savoir plus sur mère Angélique, ça se comprend.

« On a donné le nom de Petites écoles de Port-Royal à des réunions formées de quelques enfants qu’on élevait loin du monde, dans les dehors de ce monastère. Ce n’étaient point, comme leur nom semble l’indiquer et comme on pourrait le croire, des écoles primaires dans lesquelles on se bornait à enseigner les éléments, ni des écoles préparatoires à renseignement qui se donnait alors dans les collèges de l’université et qui ne commençait qu’à la sixième. Non : la plupart des jeunes gens qui les ont fréquentées en sont sortis avec une instruction complète. Si ce nom fut adopté de bonne heure et consacré pour les établissements d’instruction fondés par Port-Royal, c’est sans doute parce que les élèves y étaient peu nombreux ; mais ce dut être surtout aussi parce qu’on ne voulait pas paraître faire concurrence à l’université de Paris, très jalouse de ses droits. On espérait que leur titre si modeste empêcherait qu’on en prit ombrage. »
http://www.inrp.fr/edition-electronique/lodel/dictionnaire-ferdinand-buisson/document.php?id=3422

M OU MME dit: à

La Palestine devient le 123e Etat membre de la Cour pénale internationale !!! (Shlomo B.)

Excellente nouvelle pour tous les amis de la justice.

M OU MME dit: à

Il a dû s’en passer de belles, dans ces petites écoles. Après tout nos solitaires n’étaient pas forcément des adeptes inconditionnels du plaisir solitaire. On conserve un billet de l’un d’entre eux qui dit : « Hier soir, j’ai pris Racine ». Honni soit…

M OU MME dit: à

La Palestine devient le 123e Etat membre de la Cour pénale internationale !!! (Shlomo Bibinot)

J’imagine la tronche dégoulinante de bave haineuse de Shlomo Bibinot. Jouissance extrême.

Martin Guerre dit: à

le ménage a été fait contre le vrai JC, reste l’imposteur, dommage

pour résumer dit: à

« l’étymologie langagière du playmobil. »

le playmobil: un scato se prélassant dans une porcherie

Comme n'importe qui dit: à

reste l’imposteur, dommage

Ben comme ceux qui tirent les numéros prennent ici grand soin de ne pas préciser les concernés qu’est-ce que ça change ?

thomas dit: à

à 13 h 20 min

c’est le pendant des islamofascistes

Martin Guerre dit: à

scoop : d’après de discrets informateurs, le métier de JC : policier municipal supplétif à Porquerolles

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…depuis 11 h 20 min,…et en revenant de mes courses,!…et etc,!…

…le second livre,…avec illustrations en gravures,…avec les soldats de plomb,!…à se mettre,!…


… » Frans von Bayros « , Les Cinq Sens, peintre – artiste, ( Marquis de Bayros ),…

…chacun à sa causticité libre,!…
…les dons en partage,!…chacun à ses gloires;…ses fantasmes,!…
…les coups de foudre,!…pour s’y laisser prendre lier,!…et dans dix ans, au labour, vous  » pué « ,…monsieur,…et votre dame?,…
…reprise à d’autres fonctions perpétuelles,!…
…des règnes à se farcir,!…
…à l’esprit coquin,!…de la méduse,!….
…etc,!..

renato dit: à

Et maintenant un qui se met des soldats de plomb… non… mais… enfin… il y a des enfants!

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…pour répondre aux utilisateurs de Playmobils,!…à se mettre, en miroir,!…de grâce,!..
……….aux maris, façons  » civet – télé « ,!…piégés par ruses,…
….aux genres, les filles à sa mère,!…piégés comme des fripons & rustres,!…sans lustres, ni panaches,!…
…etc,!…

renato dit: à

trallallerotrallalla
zumpapazumpa

JC..... dit: à

Didier François : «A la vue de la silhouette de Nelson Mandela, les jeunes filles partent en cris stridents dignes d’un concert des Beatles. Les familles qui étaient venues avec les enfants comme on va à un pique-nique se transforment en fanatiques. Et les “jeunes lions” en uniforme, dont le rêve est visiblement de rejoindre la branche armée de l’ANC, oublient sur le coup toute discipline. C’est la ruée.»

La planète des singes dit: à

C’était un carré, ils l’ont pas vu.

renato dit: à

Bonne idée, demain, au marché, un carré de Sanbucano…

il effraie mon poisson! dit: à

Giovanni Sant’Angelo adapté pour le théâtre au prochain festival d’Avignon.

SIX GARES DE LÀ À VANNES dit: à

A Vannes, un poivrot a tenté, en vain, de ranimer un canot pneumatique en lui faisant du bouche à bouche.

Edouard dit: à

Apres avoir donne dans Villa Amalia, les Solidarites mysterieuses, la petite barrette et la natte dans le dos des Escaliers de Chambord, mon tribut est suffisamment paye au grand Chaussee aux Moines laic, extatique devant son saladier de quetsches. Priorite accordee desormais au trop rare Michon, ou Millet, hormis les qonneries proferees.

Pour faire connaissance plus ample avec le Havre, voir Kaurismaki.

la vie dans les bois dit: à

Je ne savais pas du tout que Pascal Quignard avait écrit  » Les désarçonnés ». (je viens de lire le billet de septembre 2012) J’ai envie de hurler, tellement des analyses me semblent hors de propos. Mais je le fais en silence.
Le pire qu’il puisse lui arriver, à Pascal Quignard, c’est de continuer d’être classé « mélancolique » dans le DSM de la RDL.

la vie dans les bois dit: à

« Avec ses Désarçonnés, il nous rend, nous aussi comme lui, hors d’atteinte »
ça , ça m’étonnerait fort.

bab el-oueda dit: à

SIX GARES DE LÀ À VANNES dit: 1 avril 2015 à 19 h 31 min
A Vannes, un poivrot a tenté, en vain, de ranimer un canot pneumatique en lui faisant du bouche à bouche.

Une fois ranimée, et en possession de toutes ses forces, elle a flanqué une gifle à ce goujat.

bab el-oueda dit: à

« Je pense que je ne connais pas du tout la ville de Sens. Et que l’une de mes locutions favorites, c’est Nunc dimittis.
Si vous permettez, ave la zique. »

Je trouve ce post con.

Et l’auteure de ce post me trouve con, moi aussi.

Ce relativisme assumé est une vertu de ce blog.

bab el-oueda dit: à

Edouard dit: 1 avril 2015 à 19 h 33 min
mon tribut est suffisamment paye au grand Chaussee aux Moines laic,

Je comprends parfaitement ça.
Pascal tous les soirs.

Je pense que Quignard aussi.

La contradiction performative entre ce qu’il pense et ce qu’il fait (ou ce qu’on lui fait faire) doit, aussi bien, le fatiguer.

Le laconique bavard, l’ermite in the crowd, l’anachorète médiatisé…
C’est crevant!

bab el-oueda dit: à

JC….. dit: 1 avril 2015 à 18 h 45 min
Et les “jeunes lions” en uniforme, dont le rêve est visiblement de rejoindre la branche armée de l’ANC, oublient sur le coup toute discipline. C’est la ruée.

Ça fout la trouille.
Et la ruée sur quoi, de grâce?

la vie dans les bois dit: à

Et je dois l’avouer. Heureusement pour moi, Pascal Quignard coupe les fils; de fait il n’est pas connecté à internet.

bab el-oueda dit: à

« à 4 grammes comme tu dois l’être, ne t’étonne de rien.
C’était mon petit plaisir de Sens. »

Pèpèpe.
Pour le plaisir des sens, j’ai le droit de choisir ma partenaire.

Quatre grammes?
C’était ce matin, quand je suis encore islamophile.

— L’article de Frodon n’est pas mauvais.

la vie dans les bois dit: à

(…)Il y a une réticence du robot devant la fait que Pascal Quignard est hors d’atteinte; en un sens, il ne pratique pas l’internet.

la vie dans les bois dit: à

fatigue, lire: devant le fait.
Pour ceux des p’tites écoles ( dino, t’es pas concerné), la logique et l’art de penser de Port-Royal.
« l’art de bien conduire sa raison dans la connaissance des choses tant pour s’instruire
soi-même que pour instruire les autres. Cet art consiste dans les réflexions que les hommes ont faites sur les quatre principales opérations de leur esprit, concevoir, juger,
raisonner et ordonner.»

hamlet dit: à

Alba, merci, vous avez sans doute raison, vous savez Alba je vous aime bien alors qu’il est connu que les névrosés dépressifs supportent mal les psychotiques, en général.
Vous avez combien de phobies ? Deux ou trois maximum ? Les psychotiques en général ont peu de phobies, moi je compte plus les miennes, chaque semaines j’en ai une nouvelle, maintenant je supporte plus la vue des livres, avant je faisais un malaise dès que je mettais les pieds dans une salle de concert maintenant c’est pareil avec les bibliothèques.
Mon pseudo c’est hamlet, pas Hamlet, Hamlet c’est l’autre foldingo de Rodia Raskolnikov, vous connaissez ? c’est celui qui se prend pour un fou parce qu’il est phobique aux injustices, vous saviez que Shakespeare s’était inspiré de Crime et Châtiment pour écrire Hamlet ? Pour prendre à contrepieds ces gens si sensés et raisonnables qui rendent le monde aussi fou.
Alba vous connaissez Clément Rosset, le Réel et son double etc blablabla… il y a deux genres d’amoureux de la musique : les psychotiques qui disent la beauté de la musique embellit le monde, mais ça c’est du flan, vous et moi savons que rien ne peut embellir ce monde, et les dépressifs qui disent la beauté de la musique nous console de la laideur du monde, et ça aussi c’est du flan, rien ne peut nous en consoler, alors il reste quoi ? je vous le demande vous qui êtes un garçon à la fois sensible et intelligents ? il reste les névrosés ! c’est pour ça que même si on me donnait dix millions je n’échangerais pas un gramme de ma névrose contre votre débile psychose !
la névrose c’est la maladie des mélancoliques, comme Hamlet, la conscience malheureuse de Raskolnikov ! comment y échapper à ça Alba ? aucun moyen ! et ça Nietzsche l’a compris en lisant ce livre et ça l’a fait disjoncté mais tous ces crétins de nietzschéens ils l’ont pas encore compris ! ils s’inventent des fables soi disant pour mieux accepter le réel mais le réel est inacceptable, même en écoutant du matin au soir Savall et sa viole de gambe ! Jordi Savall et la grande comédie du grand spectacle baroque, mon Dieu quelle misère.
En cette période de Pâques vous trouvez un tas de petites chorales amateurs qui vont chanter les passions de Bach, la journée ils ont leur boulot, ils sont docteur, boucher charcutier, garçon coiffeur, infirmière, plombier, assistance sociale, comptable, prostitué, garagiste… des vrais gens comme on les aime et le soir ils se retrouvent et ils vous chantent la cantate 21, vous la connaissez ? ce passage où le groupe des infirmières alto chante sa partie et ensuite celui des garagistes sopranos l’autre, vous la connaissez Alba ? il faut écouter la fin, l’aria : Sei nun wieder zufrieden, meine Seele, maintenant nous allons trouver le repos de notre âme, c’est tiré du psaume 116, vous avez lu la Bible au moins Alba ? vous qui voulez être juif il faut lire la Bible, la lire tous les jours parce qu’il n’y a que là que nous pouvons trouver le seul repos de l’âme possible, toutes ces voix qui se surajoutent les unes après les autres, celles des infirmières, des garçons coiffeurs, des prostitués et des plombiers.
l’aristocratie de l’âme ? l’aristocratie du coeur ? pourquoi faire ? faire comme Quignard ? ne connaître que la joie du monde et jamais la déception ? Comment ne pas éprouver de la déception ? une immense et terrifiante déception ? il n’y aucune beauté dans ces notes, juste une amère déception parce qu’elles nous disent ce qui aurait pu être et ce qui a été. Mais comme dit Dostoïevski il faut laisser l’histoire des hommes aller à son rythme, pourquoi vouloir construire des phalanstères alors que leur âme n’est pas encore prête à l’accepter ? le sera-t-elle un jour ? probablement pas.
https://www.youtube.com/watch?v=0DRdxT7XE1E

hamlet dit: à

renato, j’ai fait un trop long ? désolé j’ai pas fait attention.

christiane dit: à

@Céline
Merci pour le rappel « Maison de la poésie » chez P.E.
Olivier Rollin, Chloé et François Marthouret étaient magnifiques. Beau choix de textes et beaucoup de sincérité et de lucidité d’O.R.
Les bottines rouges étaient craquantes. Je n’ai pas vu Julie !

D. dit: à

Moi, renato, je travaille demain. Je vais pas me promener au marché.

D. dit: à

Je trouve que vous avec bien du temps à perdre, d’un seul coup. Ce serait-y pas que vous seriez pensionné ?

La planète des singes dit: à

un seul mot de français, 2 couacs, et un gout certain pour l’aventure. Et alors?

CELINE dit: à

Christiane, je vous retrouve avec plaisir mais presque par hasard à mon retour de la Maison de la Poésie. C’est que le billet m’a intéressée et que je lis les commentaires sans trop oser intervenir, aimant bien Pascal Quignard « écrivain » et ses goûts musicaux, mais ne sachant pas bien dire en revanche que ses réflexions plus philosophiques m’ennuient un peu, ou me dépassent ?

Oui, cette première soirée « Olivier Rolin » à la Maison de la Poésie était riche, bien que la captation du spectacle adapté de « L’Invention du monde » soit peu claire, non ? C’est demain que Marthouret, Chloé, Julie et Olivier lisent des extraits d’oeuvres d’auteurs qu’il aime. Après-demain, la soirée est consacrée, avec Julie et Olivier, à la Russie et l’on y retrouvera des textes de lui.

JC..... dit: à

Lower, rate, rentals. And cheesecake.

renato dit: à

Un peu long en effet, hamlet. Il n’est pas évident qu’avec le temps j’apprendrai à apprécier, mais je vous lis, entre un insulte et l’autre je vous lis…

Cela dit, des deux choses l’une: ou vous pouvez compter sur un groupe fort en nombre de garagistes femmes ou alors vos sopranos sont des sopranistes ou falsettistes… D’accord, vous êtes dans la fiction, mais vous savez bien que je n’apprécie pas les trucs pas clairs. Donc, s’il s’agit de garagistes femme, des mécaniciennes s.v.p.!, ne pas donner un brin de profondeur à la chose serait dommage; s’il s’agit de garçon, tenez en compte qu’ils pratiquent une discipline ardue et qu’ils méritent que l’on les appelle avec leur nom: contre-ténor.

D. dit: à

Trop long, Hamlet. Et toc. Je m’en doutais pour tout vous dire.

D. dit: à

Je vous trouve excessif en tout, comme d’habitude, hamlet. Et compulsif.

D. dit: à

Et même impertinent.

D. dit: à

Je me demande si vous ne vous faites pas trop d’idées fausses de la vie par manque de vécu. Ça n’est qu’une interrogation.

Ŵ̈iderganger dit: à

Bonne nuit les petits chéris

Widergänger dit: à

Ne me demandez pas comment j’ai réussi à faire ça, je suis incapable de vous le dire…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…à ,…19 h 21 min,…choisir quelle évolution,!…
…restez soi-même,!…si, libre, encore meilleur,!…
…aux faites des connaissances, un plus certain, à se modéliser, en patchwork harmonieux de couture en culture,!…

…1)… » mais ce sont les poètes occitans qui, les premiers, ont eu l’idée du style personnel ou chaque mot est  » effet  »

…2 )… » la lyrique d’Oc apparait toute constituée, avec Guillaume IX d’Aquitaine, le premier grand poète de la nouvelle Europe.  »

…1 ),…et…2 ),…textes repris,!…
…etc,!…

Bloom dit: à

Martin Guerre dit: 1 avril 2015 à 15 h 11 min
le ménage a été fait contre le vrai JC, reste l’imposteur, dommage

Ah bon?
J’ai toujours eu à faire le ménage dans les institutions que l’on m’a confiées, parfois littéralement, toujours figurativement. Ailleurs, j’avais eu droit au fausses accusations de scandale sexuel & de détournement de fonds, ce qui en Asie est un classique. Et j’avais travaillé pendant des années avec ces gens-là! On est toujours trop naïf. Exit les mafieux.
Ces temps-ci, ce sont les petits cercueils dans des lettres forcément anonymes (avec une croix, un comble…!); ou des avertissements du genre: « Vous êtres père de famille n’est-ce pas? Faites attention en traversant la rue. »
Peu me chaut, on respire bien mieux depuis le ménage de printemps. Exit les malsains & les torves. On fait du bon boulot. Et ça se sait.

bérénice dit: à

Le monde ne comporte aucune signature, on l’attribue à Dieu, pour les amateurs d’art un sans titre convient aussi bien au point où en sont les choses. J’aime beaucoup vos affirmations, elles sont comme ce monde sans auteur, dérivant vers l’abstraction sur son orbite en attendant l’éternité du néant.

bérénice dit: à

D 31/03 21h46
C’est surtout ça que j’a-dore

moi aussi, que cette musique ne nous quitte .

bérénice dit: à

Ce n’est pas de l’ex-temporané, sont-ils encore en grève? Bon je quitte le sujet sans peine ne l’ayant pas atteint ni même parcouru, c’était couru d’avance…

JC..... dit: à

Il y a du vent….une petite brise… libre

Approchez vous du Stade… celui où la commune entretient à grand frais un gazon impeccable… bien taillé…pas un brin plus haut que l’autre… tous identiques…

… hop ! plongez à plat ventre dans le gazon …voila…!… tournez la tête… collez votre oreille, n’importe laquelle, vers le gazon…. écoutez le gazon qui bruit….

Vous entendez le vent léger qui fait parler chaque brin d’herbe immobile ? toujours le même ! ….Toujours à la même place ? …Sans aucune chance de vivre un ailleurs ? …Cela bruit ! cela bruit ! cela chante un peu…

Toujours la même et unique chanson… Oui !…. Vous êtes en République des Livres !

M OU MME dit: à

Le Monde publie une enquête sur l’inquiétante progression du salafisme

On ne voit pas pourquoi cette progression serait « inquiétante » . Le salafisme est une option religieuse parmi tant d’autres, tout aussi admissible que les autres. Un salafiste qui respecte les lois de la République ne représente aucun danger. Il est libre de pratiquer sa religion comme il l’entend.

vents contraires dit: à

Tel le bouc dominant le troupeau de moutons et chèvres, le ruminant de pq est l’incarnation de l’être supérieur, qui se détache du lot et il peut le prouver: il le dit lui-même

JC..... dit: à

Le salafisme ne m’inquiète pas, car cette religion d’amour de tolérance et de paix est parfaitement soumise aux lois de la République. Les exemples de cette soumission abondent !

Non ! Moi … ce sont les Bouddhistes qui me font peur. Pas les gentils salafistes républicains.

christiane dit: à

@Céline
Des impossibilités uniquement techniques m’empêchant de dialoguer avec vous tous chez P.E, je me glisse entre deux commentaires, ici, pour vous répondre.
Quignard… Boutès…Les ombres errantes…Villa Amalia… Une rencontre toujours silencieuse. Plaisir, envoûtement de la lecture.
Pour Olivier Rollin, que je suis là où il parle (Petit Palais – Maison de la poésie…), j’aime écouter ce qu’il évoque de son cheminement dans l’écriture et dans l’idéologie. Hier, c’était embrouillé car il essayait vraiment d’élucider (Pourquoi écrire ? les pièges du style – la mémoire des lectures qui l’ont fondé…). Les lectures de ce trio talentueux étaient autant de plages nous faisant renouer avec le clos reposant du lire.
La « captation »… desservie par une image très sombre et un montage kaléidoscopique répondait toutefois à ce désir de se saisir de toutes les palettes du langage, des voix multiples sur cette terre. « L’invention du monde »…. Ne pas oublier le texte de Paul Claudel qui ouvre le roman (« Et que chacun retrouve dans mes vers ces choses qui lui sont connues ») et dans le chap. 4 :  » Le Verbe, un univers en expansion infinie (…) une cascade de bruits ». Le « roman »(?) donne le même tournis, le même vertige. On y plonge ou on fuit. Mais quel écrivain ! « Il n’a pas dit son dernier mot » (je cite !).
Donc, suite attendue avec impatience.

M OU MME dit: à

Le Monde publie une enquête sur l’inquiétante progression du salafisme en France..

La niaise assurance de l’épithète « inquiétante » affiche la prétention de M. Assouline à maquiller en vérité universelle ce qui n’est que sa préférence personnelle. Pour qui « inquiétante » ? Pour M. Assouline, sans aucun doute, et pour ceux qui partagent ses préventions, rien de plus. Laissons donc M. Assouline à ses inquiétudes.

JC..... dit: à

MOUMOUNE, ton monsieur Assouline a peur des Salafistes et les trouve inquiétants car il n’a pas beaucoup connu de Bouddhistes.

Le jour où il saura tout ce que préparent les Bouddhistes sous leur djellaba orange pour « améliorer la République Française », il considèrera les Salafistes pour ce qu’ils sont : des illuminés sympathiques qu’il faut prendre dans nos bras, en les serrant très fort !

hamlet dit: à

renato, oui, je sais bien mais reconnaissez-le je m’en suis excusé, que faire de mieux que m’excuser ?
moi-même, ce matin, à jeun je suis d’accord avec vous et j’ai honte.
C’est promis je ne dépasserai plus jamais les 10 mots…

C’est à cause de cette phrase de Quignard : « à la gloire de Dieu et seulement lui c’est-à-dire à l’adresse de personne », ça m’a foutu en boule, mais comme Monsieur Assouline a demandé de ne pas critiqué Quignard j’ai rien dit.
Le problème est que personne n’a relevé ce commentaire stupide, je n’imagine même pas qu’il puisse le penser, sans doute a-t-il répondu trop rapidement, c’est le problème aujourd’hui, nous faisons tous les choses trop rapidement sans réfléchir.
à la limite il aurait dit « à l’adresse de personne d’autre que soi », j’aurais compris parce que Dieu n’existe pas en lui-même mais en soi-même, mais même ça c’était encore une facilité trop facile.
Parce que soi c’est encore égoïste, Dieu vu sous l’angle de la musique : une relation de soi à soi, entre soi et soi, entre-soi.
Mais le « soi » dans le cas de « Dieu seul » c’est forcément plus qu’un soi même, c’est un soi transcendant, c’est un soi de tous, c’est un soi de l’humanité entière, le Dieu seulement devient alors alors un pour personne d’autre que notre humanité, c’est à dire un ordre transcendant, mais ça Quignard, même s’il le sait il a préféré sortir une facilité qui ne veut rien dire, et ça c’est un truc qui fout les boules et qui peut excuser le fait qu’effectivement j’ai fait un peu long.

Le problème est que si, parmi vous, quelqu’un savait lire il l’aurait remarqué avant et ça nous aurait évité tout ce ramdam, mais le problème est que soit tout le monde s’en fout soit personne ne sait lire, et ça aussi ça fout les boules.

Mais là c’est bon, c’est le matin, il fait beau, les oiseaux chantent, tout va bien renato, tout va bien super bien dans le meilleur des mondes.

JC..... dit: à

Quignard et sa phrase à la khon ?

Il serait bien venu que tout le monde s’en foutât ? foutît ? foutût ?….

JC..... dit: à

les derniers commentaires signés JC….. ne sont pas de moi mais de mon ami usurpateur

JC..... dit: à

Le commentaire de 9:07 n’est pas de moi, mais d’un avatar venu d’un autre univers, utilisant une faille spatio-temporelle littéraire assoulinienne !

renato dit: à

Enfin, hamlet, pourquoi donc « écrire trois mots quand il n’en faut que deux » ?!

JC..... dit: à

On ne m’ôtera pas de l’idée que les Montebourg, Taubira, Aubry, Duflot sont des fous furieux ne représentant qu’eux mêmes, engraissés à la politique gaucho-rétrograde, spécialiste du job payé au déficit public.

Mon dieu ! ….

Faites qu’ils ne s’enferment pas dans le cockpit du gros porteur France, emportant ses 65 millions de passagers angoissés …. uhuhu !

M OU MME dit: à

C’est à cause de cette phrase de Quignard : « à la gloire de Dieu et seulement lui c’est-à-dire à l’adresse de personne », ça m’a foutu en boule, mais comme Monsieur Assouline a demandé de ne pas critiqué Quignard j’ai rien dit. (Hamlet)

Sur le fond, Quignard a raison. Dieu n’existe pas. Mais c’est son commentaire qui est lourdingue au possible, comme je l’ai signalé plus haut. Cette docte prétention pour enfoncer une porte ouverte, c’est trop.

M OU MME dit: à

Sur le fond, Quignard a raison. Dieu n’existe pas. (moi)

Excellente raison pour juger inquiétante la montée du salafisme. Au fond, Assouline n’a pas tout-à-fait tort.

JC..... dit: à

Tu préfères enfoncer les portes fermées ? Mauvais choix ….

ZEUS..... dit: à

Vous devriez, M OU MME, dans vos affirmations de la non-existence de la divinité être beaucoup plus prudent ! Vous devriez….

Il y en quelques uns, ici en Olympe, qui me sont proches et qui brûlent d’envie de sécher vos fruitiers, affoler vos chats, embêter vos voisins en votre nom, EROS parle même de s’occuper personnellement de votre Josette…

Prudence ….

Sirius dit: à

 » Un salafiste qui respecte les lois de la République ne représente aucun danger. »

Contradiction dans les termes. Pour un salafiste aucune loi ne peut être supérieure à la loi de Dieu, autrement dit à la charia.

Sirius dit: à

« Cette docte prétention pour enfoncer une porte ouverte, c’est trop. »

D’accord avec MME pour une fois.

renato dit: à

“Contradiction dans les termes.”

Faut quand même pas trop demander, MouMme fait ce qu’il peut…

JC..... dit: à

A la réflexion, Sirius, je me demande si MOUMOUNE, souvent distrait car absorbé dans des pensées profondes comme des verres à liqueur, ne confond pas « salafiste » et « philatéliste » ?

Il pourrait alors avoir raison : les philatéliste ne présentent aucun danger pour le respect des lois de la République, c’te garce laïque !

david dit: à

hamlet.22.01
les phalansteres du kiboutz ont echouer ils voulaient creer un homme nouveau laique dans une petite societe egalitaire sans ame sans spiritualite un homme de la terre qui a fini par baisser les bras devant la consommation,la tele cable et la voiture ont eu raison des phalansteres

JC..... dit: à

Les religions les meilleures ont ce petit côté sympathique des phalanstères à la Godin, Considérant, Fourier et autres joyeux rêveurs, coupant les têtes à tout ce qui dépasse, créant prison idéales pour prisonniers volontaires…

Pour preuve, la censure qui fut administrée à ce fada génial de Fourier, trop libertaire, trop bandeur, trop créatif, y compris avec ses nièces. Charlie Fourier, que les phalanstériens intégristes castrèrent par ci par la pour le bien de l’homme nouveau, c’est à dire l’homme entièrement vidé de toute singularité, de tout jugement critique, de toute liberté.

CELINE dit: à

Chère christiane, j’ai lu avec plaisir Tous les matins du monde, Villa Amalia et Boutès, mais franchement j’ai du mal avec les Petits traités et les tomes successifs du Dernier Royaume.

Olivier Rolin : il y a aussi dans L’Invention du monde des passages narratifs simplement réjouissants et drôles, comme dans Tigre en papier. Je ne pourrai pas être à la MdlP ce soir, mais il y aura, outre mes soeurs aux côtés de François Marthouret et Olivier, C.P. bien sûr et d’autres lecteurs et amis. Bonne soirée, entre Tchekhov et Malcom Lowry !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…J.C.,…à 7 h 11 mn,…

…Non,…n’imitez pas mon style,!…manque de sel,…et de poivre,!…au moins,!…


…déjà,!…en cet état, de crise,…tout ces jeunes sans héritages…pour garder leurs premiers  » Jobs « ,…avant, les devoirs aux canapés,!…
…toutes ces leçons de petites choses,!…pour en gravir, des expériences forcées,!…en heures supplémentaires, pour des petites fautes en  » guet-apens « , à la clientèle,!…tout l’échelon environnemental à satisfaire, pour présenter, la nouvelle innocente pour la direction du soir,!…
…des devinées,…chastes – pervers,…en express,!…
…comme qui dirait, elle est à même de toucher les lingots du jour au coffre,!…
…l’avenir,
…des cache-caches, déjà,…pour des saintes en bouteilles,!…les vignobles des filles au-paires pour s’agrandir aux glands de chênes aussi,!…
…de sortie,…à compter les nuages,!…
…et escroqueries d’usages aux mariages déjà, vidés des  » cinq sens « ,!…
…à toutes ces dogmes de la finition du travail,!…des robots, pour s’enfiler mieux, avec les critères aux  » choix « , compatibles,!…
…la horde sauvage, sur son denier en partage, & la terre à pervertir,!…
…c’est déjà fait,…on attend vos enfants abrutis déboussolés,!…à terre à pipe,!…
…très beau, mais déjà, trop funeste pour se remplir de joie,!…
…etc,!…

christiane dit: à

@Céline
Quand même, un moment très drôle et émouvant, quand O.Rollin avec un visage de plus en plus radieux entonnait « L’orient rouge » :
« la la lala, la lala lala, l’Orient est rouge, le soleil se lève, lala lala lalala, en Chine-ee paraît Mao Zedong…. »
et ces lignes qu’il a volées en riant à la lecture de Chloé (« Tigre en papier »): « … on a commencé tous les deux à gueuler ça, nous prenant par l’épaule, lançant la jambe en un grotesque french-cancan, puis la lançant de moins en moins haut, trop pliés de rire… »
Pour en revenir à « L’invention du monde », j’imagine l’avalanche de journaux (500) reçus du monde entier en date du 22 mars (1989 ?). Décrire une journée du monde dans un livre qui « s’affranchit de la coutume, qui ne ressemble à aucun autre qui parfois ne ressemble à rien.(…) objectif démesuré. Histoires réellement advenues », comme les programmes de cinéma, la météo, les taux des monnaies… fou… fou… Fou…
Il écrit lui-même (dit à Molly) ce qu’on retrouvera dans le travail de la MJC de Bobigny : un livre « qui mêlera l’épique, le lyrique, le sordide, le comique, l’astronomique, un théâtre catoptrique, une machine à métamorphoses, un proliférant cancer d’images, un édifice ayant un bruit de multitude… »

Bullier dit: à

« C’est promis je ne dépasserai plus jamais les 10 mots » …Hamlet

Excellent, qui ne dix mots consent.

JC..... dit: à

Toi, Tarzan ?
Moi, fatigué …

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…ils vont finir, par faire le tour du monde, mes petits textes sans l’amoral de biais,!…
…tout ces artistes, qui se mettent à plus cours,!…pour les oeuvres encadrées des noblesses obligent,!…
…le fond de l’air est frais,!…en douceurs,…l’équipage toujours en rêves,!…
…nom de Dieu, qu’elle sauce, pour des boulettes de viandes,!…etc,!…

JC..... dit: à

david dit: 2 avril 2015 à 10 h 15 min

Impossible de parler de Godin, de Considérant, de Fourier…. le robot au smic est contre !

hamlet dit: à

m’enfin renato comment voulez-vous faire ?
« A la gloire de Dieu et seulement lui c’est-à-dire à l’adresse de personne ».
en deux mots : pas possible, ou en un : impossible, et si je dis : idiot, on va croire que je pense que Quiganrd est idiot et on va dire pour qui il se prend celui-là, qu’est-ce qu’il fait, qu’est-ce qu’il a, qui c’est celui-là ? complètement toqué, ce mec-là, complètement gaga, il a une drôle de tête ce type-là, qu’est-ce qu’il fait, qu’est-ce qu’il a ? Et puis cha bagnole les gars, elle est drôlement bizarre les gars, ça s’passera pas comme ça….

voilà renato ce qui arrivera si je le dis en 2 ou 3 mots !
regardez tous ces commentaires sur les salafistes, qu’est-ce qu’on en a à cirer des salafistes ? on nous bassine avec les salafistes alors qu’il s’agit de savoir si Dieu est tout ou rien !

mais bien, c’est d’accord, c’est promis je vais faire un effort et me limiter à trois mots grand maximum, et même à deux mots si c’est possible, encore que la différence entre deux et trois mots assez mince si vous me le permettez, mais je vais faire cet effort pour vous, mon Dieu quelle misère de devoir si Dieu est tout ou rien seulement en trois mots, je ne suis pas sûr d’y parvenir, il va falloir que je m’entraine un peu avant, si vous êtes d’accord renato je vais diminuer progressivement, parce que d’un coup ça va être dur, je risque de faire un choc hypomot, vous connaissez ? c’est comme un choc anaphylactique mais avec les mots.

bon j’essaie : « A la gloire de Dieu et seulement lui c’est-à-dire à l’adresse de personne ».
?

c’est bien non renato ? c’est moins qu’un mot, et ma foi, curieusement ça s’est bien passé, si ça se trouve vous aviez raison.

JC..... dit: à

hamlet, t’es c.n !

« Dieu est mort »… les voila tes trois mots !

JC..... dit: à

Bonne journée les petits choux, je pars pour le continent…

hamlet dit: à

renato, vous savez ce qui est drôle dans cette histoire de dire « A la gloire de Dieu et seulement lui c’est-à-dire à l’adresse de personne » ?
c’est que c’est une réflexion marquée dans notre époque, un truc daté 2015, alors qu’on demande aux musiciens baroques de jouer avec instruments anciens.
quel intérêt d’avoir des violons du 17è et d’arriver à l’opéra en carrosse avec une perruque et une redingote si on pense avec des idées du 21è s. ?
nous nous sommes mis nous-mêmes dans une situation totalement ridicule et croyez-moi renato nous allons avoir du mal pour en sortir.

bab el-oueda dit: à

la sociologue Nadia Marzouki expliquant que l’Islam français n’a pas de problème avec la République

Il faudrait un nouveau Jean-François Revel pour écrire un « À quoi bon des sociologues? »

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