La thèse universitaire, alibi de fantasmes
« Tout finit en Sorbonne. Tout se décompose en thèses » soupirait déjà Paul Valéry en ses Cahiers des années 20. Depuis, ça ne s’est pas arrangé. Les gens qui s’adonnent à ce vice impuni sont appelés des thésards, version sardonique de « doctorants » qui sent déjà la pharmacie. Charles Coustille en fait le constat ironique dans Antithèses (312 pages, 24 euros, Bibliothèque des idées, Gallimard). Rien n’est académique comme l’idée de thèse, longtemps synonyme de révérence vis à vis des maitres, respect de l’ordre établi, conformisme. Longtemps, elle est passée pour un exercice formel effectué sous la pression normative, collection de lieux communs sans originalité et purement descriptive, ce que Jules Ferry déplorait déjà en 1880.
En fait, la forme d’une thèse change plus vite que le cœur d’un mortel mais il n’y a pas à s’en plaindre. Faut-il être pervers pour éprouver de la nostalgie à l’endroit de la thèse d’Etat, cette chose obèse que l’étudiant, vieillissant avec elle, mettait des années à ne pas terminer. Le doctorat de IIIème cycle, après soutenance d’une thèse ou la présentation de travaux, les en a libérés. Si elle n’est plus tenue comme le premier travail scientifique d’un jeune professeur, elle n’en donne pas moins le coup d’envoi public de sa carrière. Céline perçait-il déjà sous Louis Ferdinand Destouches lorsqu’il consacra sa thèse de médecine à l’hygiéniste hongrois Semmelweis ? Elle prend de telles libertés avec la rigueur biographique qu’il vaut mieux la lire comme un roman prometteur. D’ailleurs, au moment de vendre les droits de ses œuvres aux Américains, l’auteur songea même à une adaptation cinématographique de sa thèse, ce qui aurait été le cas échéant une grande première !
Antithèses aborde maints exemples, jusqu’au plus subliminal dès lors que La Nausée de Sartre a été lu comme « un roman à thèse » (son livre sur L’Imaginaire ne pouvant plus être présenté comme thèse après avoir été publié par Gallimard, il songea à la remplacer par « un machin sur le Néant ou n’importe quoi si la fantaisie m’en prenait » confia-t-il à Beauvoir). L’enquête de Charles Coustille est particulièrement réjouissante lorsqu’il développe le cas de deux auteurs.
Tout d’abord Charles Péguy dont on a oublié qu’à partir de 1906, tout occupé qu’il fut par les Cahiers de la Quinzaine, il se lança dans une thèse en Sorbonne consacrée à… la critique de l’enseignement en Sorbonne. Il y a travaillé des années jusqu’à ce qu’elle sorte de ses priorités. Il en reste un long poème en prose de près de 300 feuillets. L’écrivain y prend prétexte d’une soutenance de thèse d’histoire pour y exposer son antithèse : à savoir que lorsqu’une thèse est bonne, tout ce qu’on peut encore lui reprocher, c’est de « ne pas épuiser la réalité de l’événement ». Il présente le candidat non comme celui qui est jugé par un jury lors de la soutenance mais comme celui qui « instruit le procès de son jury » (de Jeanne d’Arc à Dreyfus, Péguy reste Péguy !) ; il raille les historiens méthodiques disciples de Seignobos, la prétention scientifique de leur lecture critique des sources manuscrites et leur écriture mortifère ; à celle-ci, il oppose une écriture vivante, une narration intensive, seuls moyens selon lui pour éviter que, à l’image de la mystique dreyfusiste dégradée en politique jaurésienne, la mémoire ne se dégrade en histoire… Une thèse étant censée soutenir une thèse, celle de Péguy était insoutenable. D’ailleurs elle ne fut pas soutenue. Mais il en reste quelque chose : la « respectueuse répulsion » (la formule est de Pierre Macherey dans son essai sur La Parole universitaire, 2012), des écrivains pour l’Université tenue pour une menace
Le cas de Roland Barthes est tout aussi délectable. Lui qui n’a jamais pu terminer son doctorat n’en a pas moins encadré un grand nombre de thèses et siégé au jury de plus de cent cinquante soutenances. Le plus remarquable est qu’il ait consacré tant de pages au sujet. Jusqu’à trancher :
« Les thèses de troisième cycle, pour les neuf dixièmes, sont des alibis de fantasmes »
Elles refoulent le fantasme du livre. Quant au dixième restant, Barthes le divisait en deux catégories : celles qui correspondent au principe de réalité (une niche libre indiquée par le directeur de recherches) et celles qui sont réellement fantasmatiques et, partant, vouées à l’échec car « l’institution ne saurait tolérer le désir non canalisé ».
Il est vrai que le désir d’écriture des aspirants universitaires est le plus souvent bridé par les exigences du cadre institutionnel ; l’oublieraient-ils que le regard des Anciens, sous lesquels ils s’expriment dans la salle Louis-Liard de la Sorbonne, les rappelleraient aussitôt à l’ordre et modéreraient toute théâtralisation excessive de l’exposé. J’arrête là ce compte-rendu, paralysé par un cruel rapport de thèse signé Barthes :
« Nous sommes une civilisation sans haïku : c’est un peu ce que disent, non sans grandeur, vos 800 pages ».
Dois-je préciser que pour chacun de mes livres, biographies ou romans, la lecture d’un certain nombre de thèses, le plus souvent consacrées à ce qui est généralement considéré comme un micro-sujet au sein d’un point de détail, me comble de bonheur par les pistes de réflexion qu’elles offrent et par l’approfondissement sans pareil qu’elles présentent d’un sujet… J’en fais mon miel. C’est pourquoi je suis de ceux qui les citent au même titre que des ouvrages dans mes bibliographies.
(Photo Passou)
1 182 Réponses pour La thèse universitaire, alibi de fantasmes
« Oui, bien sûr, closer, où avais-je la tête ! »
On se le demande…
Non seulement ce n’est pas juste mais c’est intellectuellement malhonnête, (puisqu’on en parlait hier).
Quand à ce qu’on promet à Vincent Lambert, pauvre parmi les pauvres, menacé d’etre affamé et déshydraté, c’est à la fois immonde et symptomatique de l’état de la pensée de notre civilisation décadente.
Article 411-4 du Code pénal
« Le fait d’entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d’agression contre la France, est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d’amende.
Est puni des mêmes peines le fait de fournir à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents les moyens d’entreprendre des hostilités ou d’accomplir des actes d’agression contre la France. »
Défini par la volonté des citoyens français pour les citoyens français.
JC musicien de jazz : où peut-on trouver vos nombreux enregistrements, notamment celui avec John Coltrane ?
Maintenant j’ai fini d’intervenir ici et ce, définitivement. Adieu.
La maison d edición espagnole Siloe prepare la clonation de 889 exemplaires su Codex Voynich, le seul livre au
monde dont on ne comprend encore rien
William Legrand,
J’ai joué une saison avec ton père, Michel, qui était à l’époque avec Rosa Luxembourg !…. Il adorait mon jeu au triangle.
Par contre au Carnegie Hall de NYC … ses blagues en anglais, un désastre, le bide absolu … nulles.
delalourde, pourquoi parlez vous de la « bande de Coupat »…? Faudrait peut-être changer de logiciel et de nous parler de la « bande d’alliot-marie et bauer » qui ne firent qu’enfumer un pitoyable Sarko, un pitoyable JI obstiné et un pitoyabl’ procureur fermant les yeux sur les témoignages incohérents de pitoyabl’ pandores. L’insurrection qui vient, ça foutait la pétoche à tout le monde apparemment, pendant que le monde agonisait sous les coups de la crise financière mondiale et du reste… après Madrid et Londres…
Mon pauv’delalourde ! Ne vous préoccupez pas d’autre chose que du Vatikan et du revenu universel, car vos chroniques judiciaires sont vraiment bestiales.
Un peut de tenue, voulez-vous §
L’analogie est pourtant frappante entre le sacrifice d’Isaac par son père Abraham sur l’ordre de D.ieu et le sacrifice d’Iphigénie par son père Agamemnon sur l’ordre des dieux.
C’est justement à cet aveuglement tragique à l’égard des dieux dans la tragédie que s’en prend Lucrèce dans son De rerum natura (I, 62-101), qui a l’ambition de révéler le ystème de la nature et des dieux contre le crime de nature religieuse commis au nom des dieux.
Par ailleurs, pour en revenir à Francis Ponge qu’éviquait Clopine l’autre jour, cet auteur se réclame justment de Lucrèce dans ses Entretiens avec Ph. Sollers, publiés en 1970 : « Si je pense à des auteurs comme Lucrèce ou Tacite, il est clair que c’est là que je trouve mes maîtres. Et pourquoi parle-je de Lucrèce et de Tacite ? Parce que c’est chez eux que la densité de la langue latine, qui est déjà fort dense par elle-même, se trouve portée à son comble, et c’est là aussi que se trouve le tragique. » Voulant ainsi signifier que se trouve la contestation d’une vision religieuse tragique du monde par Lucrèce. Francis Ponge, au contraire, se réclame d’une pensée matérialiste qui travaille à la fois le monde des objets et le langage pour en faire des objets littéraires ou « objeux » grâce à la matière ludique qu’est le langage, à sa fonction poïétique, de fabrique du monde comme un artisan potier qui tourne la terre glaise pour fabriquer un vase.
Ce que Francis Ponge n’avait pas très bin saisi, c’est que tout matérialisme est nécessairement tragique comme le montre Clément Rosset puisque le hasard en son cœur vient détruire toute rationalité. Mais francis Ponge était un émule de son siècle, il croyait en grand naïf à la rationalité du monde et aux âneries du génial Cédric Vilani, qui prétend que dans l’univers tout est mathématique ! En voilà encore un qui n’a rien compris à Pascal…!
…
…fin de crise – mondiale,…
…donc, bientôt, de nouveau, les années, 1960,…
…
…et, les gouvernements, depuis,…devant, le mur, qu’ils construisent,…
…pour retourner, adorer, » le veau d’or « ,…
…préparer-vous, gentes gens é dames,…
…
…le commerce aux » bidons » d’essences à pétroles sous les fagots,…
…
…comment, recycler, toutes nos armes destructrices,…mystères et boules de gommes,…aux adorateurs du veau d’or,…
…
…etc,…installer boutique, » à la fritte d’or « ,…etc,…avec » omelettes au carré « ,…
…
Ce n’est pas parce qu’il y a des partis religieux à la Knesset à Jérusalem que l’État juif serait religieux. Israël est un état laïc. Je rappelle que jusqu’au XIXè siècle, la France était un état théologico-politique, et qu’il en reste des traces dans le dernier discours de Macron qu’admire tant cet idiot de Delaporte qui vient si mal à propos taper sur Israël !
L’univers repose sur le paradoxe suivant : tout est à la fois mathématique et rien n’est rationnel car né du hasard, un hasard qui dure certes mais un hasard quand même. Einstein était, lui, plus futé que Cédric Vilani, certes grand mathématicien, mais un peu con dès qu’il s’agit de penser en dehors des mathématiques.
De même on se demande comment les extraterrestres font pour venir sur terre alors qu’ils habitent si loin de notre planète. Ils empreintent un « pont de Rozen » qu’Einstein avait déjà mis en équation dans la mécanique quantique. Un « pont de Rozen » est une pliure de l’espace en quelque sorte. Les extraterrestres ont trouvé le moyen d’avoir suffisamment d’énergie pour plier l’espace : ils emprinetent donc des raccourcis pour venir nous visiter régulièrement grâce à une technologie adaptée à un « pont de Rozen ». Ils doivent avoir quelques milliers d’années d’avance sur nous, ça suffit pour un « pont de Rozen ».
D’ailleurs des Américains qui prétendent avoir été enlevés par des extraterrestres qui leur ont fouillé l’intérieur du corps pour en extraire apparemment du sperme et des ovules pour faire des hybrides, affirment que l’espace dans le vaisseau spatial où « on » les a opérés étaient en fait beaucoup plus vaste une fois qu’ils y avaient pénétré que vu de l’extérieur. L’espace est plié à l’intérieur du vaisseau et contient de nombreux étages avec des ascenseurs, selon le témoignage de certains Américains, qui ne sont pas forcément tous cinglés pour affabuler…
Chères lectrices, chers lecteurs,
Clément Rosset nous a quittés le 27 mars dernier, lui que Santiago Espinosa considérait comme le
« philosophe du tragique et de la joie ».
Nous publions aujourd’hui avec émotion son dernier livre chez Encre Marine, L’Endroit du paradis, un recueil de trois courts essais consacrés à la joie — thème exploré tout au long de sa vie — qu’il nous lègue en ces mots :
« Ce petit livre est consacré à une dernière (je l’espère pour moi et pour mes lecteurs) tentative d’analyse et de description de la joie de vivre et de la joie d’exister. »
Défenseur d’un réalisme radical, auteur d’ouvrages essentiels pour la philosophie, nous retiendrons aussi de son œuvre son style clair et sans jargon, empreint de finesse et d’un humour décapant.
Publié aux Belles-Lettres.
@widergänger
Vous dites des choses sur Sumer et sur l’histoire ancienne telle qu’elle a été résumée par jean bottero, mais vous ne citez pas son nom… ce n’est pas un reproche. Pour ma part j’ai sur l’origine des sémites et donc du peuple juif des infos qui me viennent directement de lui. Je partage par ailleurs votre enthousiasme pour les recherches de ces dernières décennies qui nous font voir l’antiquité avec un regard plus avant, plus profond et très différent de ce qui nous a été enseigné. On recule sans arrêt la date de l’invention de l’écriture par exemple ou on approfondit le rôle des Sémites dans le croissant fertile. J’ai l’impression parfois que les chercheurs en histoire prégrecque (ça existe ce mot?) découvrent tout autant que les astronomes sur les planètes inconnues. D’où vos délires sur les extraterrestres qui m’amusent bien. A quand l’introduction dans nos « humanités » de l’écriture du temps de Sumer? Nous disposons de milliers de tablettes d’argile qui contiennent sans doute autant de matière à rêver que les textes grecs ou latins (Jean Bottero prétend que ces textes n’ont aucun intérêt littéraire…à voir). Autant de planètes anciennes à décrypter… sciences ou humanités? Telle est la question. Astronomie ou histoire ? C’est au choix… Mais les gens du futur choisiront pour nous.
@widergänger
J’ai pour Clément Rosset la même passion que vous manifestez. La notion de joie, d’allégresse tragique est au centre de ses rêveries réelles. Fabuleux lecteur de Nietzsche. Un type formidable.
Je n’ai pas lu Bottero. Mais je le lirai.
Ce que je dis à propos des extraterrestres n’est pas de moi mais d’un grand physicien américain d’origine chinoise très connu, dont j’oublie le nom.
19.09, Oui, monsieur prunier, vous avez raison de mentionner Jean Bottero souvent pillé et peu cité. Cet historien à écrit entre autres un livre magnifique dont je garde un souvenir ébloui et ému, Naissance de Dieu…, sa remarquable démonstration notamment de la façon dont un peuple s’auto-convainquit de l’unicité de son Dieu… Et des romanciers comme Erri de Luca surent en faire leur miel littéraire avec bien du talent.
http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio-histoire/Naissance-de-Dieu
Les erdéliens vous espèrent toujours en bonne forme et santé. Bonjour à votre charmante épouse, également.
« Tout finit en Sorbonne. Tout se décompose en thèses »
pour finir par « oui-oui » à l’école.
http://www.liberation.fr/france/2018/04/12/le-professeur-macron-en-roue-libre-chez-pernaut_1642951
@Widergänger
merci d’avoir répercuté ses propos au sujet des extraterrestres. Sujet on ne peut plus drôle, on ne peut plus « anthropomorphique »… ça mériterait un long développement.
La date de l’invention de l’écriture remonte à Sumer, c’est quelque chose qui voisine avec – 3000 et des poussières. La date de l’invention de l’alphabet est, elle, connue, ainsi que le lieu, c’est -1600 dans le désert du Sinaï à partir des hiéroglyphes égyptiens. Certainement l’invention humaine la plus géniale de toute l’histoire de l’humanité.
@Janssen
je transmettrai à ma charmante épouse, mais je pensais en effet comme vous à « La naissance de Dieu » qui valut à son auteur l’incroyable histoire que vous savez: perdu pour l’Eglise il a dû se résigner à n’être que « chercheur »… étrange destinée d’un savant qui aurait dû être prêtre. Par ailleurs vous avez l’autre jour parlé de François George… pouvez vous me contacter pour que nous parlions de lui?
19.23 halors, la doublette bourdindin-pléplénelle, ça risque de swinguer un brin. Mais pas sûr qu’ils fassent mieux que delahousse-pernault à voulir se tirer la couv’.
A quand un duo Léasalam-Langot ?
Je ne crois pas que les extraterrestres constituent un sujet comique. Les crup circle en Angleterre sont des œuvres d’art qui sont effectivement réalisées par des engins extraterrestres; un Britannique en a même filmé un en action au-dessus d’un champ. Dernièrement les extraterrestres de ce type (car il en existe de plusieurs types, originaires de plusieurs planètes, qui se font la guerre sur terre, ou que les Américains ciblent pour détruire leurs vaisseaux à coups de laser comme le montre un film pris de l’espace par un astronaute depuis une navette spatiale) sont venus faire un crup circle dans le département du Cher.
À mon avis, les autorités américaines en connaissent long à ce sujet, mais c’est top secret pour l’instant. Trop dangereux pour la paix du monde.
Il est clair que Macron nous prend tous pour de sacrés couillons.
19.28 @ perdu pour l’Eglise, il a dû se résigner à n’être que « chercheur »…
Tout comme moi, toutes proportions gardées, hein ! Mais nous avons quand même su éclairer le monde de Delaporte, et il en a fallu des comme ça pour faire reculer l’obscurité.
François George ? vous devez m’confondre… Oui, ce prof à T., qu’a-t-il bien pu devenir ? L’avez vous connu après mai 68 ?… moi, c’est surtout de son bouquin sous le pseudo de mathurin maugarlone qui m’avait tant amusé, au point que j’ai dû parler un jour, il y a bien longtemps. Notamment quand Jankélévitch le complimentait sur ses chaussures. Je vais essayer de le retrouver dans le fatras de mes notes impayables à ce sujet, à condition que vous m’y encouragiez, sinon à quoi bon ?
19h23 oui tout évolue et s il perdure dans la politique il sera comme beaucoup, un homme politique chauve, Ô temps suspend ton vol …Profitez lvdlb de l image éphémère.
Je suggère de mettre la France totalement en grève au mois de Mai pour lui faire comprendre qu’on n’est pas dupe ! Il commence sérieusement à nous courir sur le haricot comme dirait l’autre…!
TOUS EN GRÈVE LE 22 MAI !
les chercheurs du cénénérès ?
En voilà un autre qui lit des tablettes de Mésopotamie…
« La tablette mathématique la plus célèbre est sans doute la tablette Plimpton 322 [9], actuellement conservée à l’Université Columbia. NY (fig 7). Elle a été trouvée en 1920 à Larsa (aujourd’hui Senkereh, en Irak, à 300 km au sud de Bagdad) et date d’environ 1 800 ans av. J.-C. »
Qui était Jean Brette ?
« Il avait été le chef du département de mathématiques du Palais de la découverte pendant de nombreuses années jusqu’à son départ en 2004. »
http://www.palais-decouverte.fr/fr/ressources/revue-decouverte/n-409-mars-avril-2017/hommage-a-jean-brette-1946-2017/
Pour qui veut feuilleter les premières pages du dernier livre de Clément Rosset. Le dernier, c’est bien triste quand même, même s’il est consacré à la joie de vivre. Clément, je te dois tellement, tu m’as aidé à vivre !
J’oubli l’essentiel :
https://fr.calameo.com/read/005295962a3add277de15
@A quand un duo Léasalam-Langot ?
et pourquoi pas un duo Angot- Junot Diaz ( en tweet)?
https://www.newyorker.com/magazine/2018/04/16/the-silence-the-legacy-of-childhood-trauma
TOUS EN GRÈVE LE 22 MAI !
–> excellente idée, c’est ce que je ferai aussi.
NB : ce matin sur France Inter, Hollande n’a pas épargné Macron. Il l’a dépeint d’une façon remarquablement lucide et a mis en garde les auditeurs. Un peu tard, Flamby. Dommage. fallait pas le prendre comme ministre des Finances.
Les mathématiques chaldéennes montrent une nouvelle preuve de l’intrication très grande entre toutes ces cultures bien avant ce qu’on appelle le « miracle grec » qui n’a rien en fait de miraculeux mais repose sur des influences de la Mésopotamie sur les mondes hébreu et grec depuis des siècles. On doit aux Grecs certainement beaucoup dans l’effort d’abstraction mais le gros du travail les avait précédé de plusieurs siècle pour leur permettre cet effort qui fut comme la cerise sur le gâteau. Il s’agit de réévaluer l’importance des uns et des autres et de comprendre qu’on n’y comprend rien tant qu’on ne connecte pas ces cultures les unes aux autres. C’est tout l’enseignement de l’Antiquité qu’il faut repenser en fonction de ces données nouvelles de la recherche.
Les mathématiques chaldéennes montrent une nouvelle preuve de l’intrication très grande entre toutes ces cultures bien avant ce qu’on appelle le « miracle grec » qui n’a rien en fait de miraculeux mais repose sur des influences de la Mésopotamie sur les mondes hébreu et grec depuis des siècles. On doit aux Grecs certainement beaucoup dans l’effort d’abstraction mais le gros du travail les avait précédé de plusieurs siècles pour leur permettre cet effort qui fut comme la cerise sur le gâteau. Il s’agit de réévaluer l’importance des uns et des autres et de comprendre qu’on n’y comprend rien tant qu’on ne co.nnecte pas ces cultures les unes aux autres. C’est tout l’enseignement de l’Antiquité qu’il faut repenser en fonction de ces données nouvelles de la recherche.
Je trouve que la littérature-thérapie permet à bien des auteurs de mettre un masque. Comme ce Junot Diaz, que je ne connaissais ni d’ Eve ni des dents, mais enfin, le genre d’incurable à fuir. Tant ils ont un effet destroy pour leur entourage.
Cette séance de dédicaces qu’il raconte m’en rappelle une autre. Une histoire de viol d’enfant qui conduit à la littérature, masqué.
Toutes choses égales par ailleurs, il n’y avait pas là d’histoire de racisme, et de communauté particulièrement atteinte par ces monstruosités.
Sous un charmant sourire, tu devines un peu le truc vénéneux, au finish.
Donc tu prends le bouquin, tu dis merci, mais tu vas lire à l’abri, tranquille, dans la mesure où le fait de démasquer – attendu et recherché- n’est pas vraiment ton trip de lectrice open-minded. Et tu préfères découvrir l’histoire bien loin de celui qui la partage, ne pas risquer de conforter l’auteur de ce roman dans la certitude que chaque mot que l’on en dirait est inutile. Une autre manière de vouloir réduire au silence…
Jusqu’au jour, où tu retrouves par hasard cet auteur sans fard, -et sans pseudo d’ailleurs- dans sa vie quotidienne. Et là, c’est un peu le choc.
…
…les vases communicants, des très pauvres d’esprits, qui s’ignorent,…
…
…à nos alchimistes au mercure,…déjà, prévoir, son encadrement, à sa récupération,…tient,…etc,…
…
…au veau d’or, la couche, microscopique aux illusions participatives,…pour soumis à tout égards,…
…Ah,!Ah,!…Go,!…
les extra terrestres
à la photo Vadim Ioussov.
retour illico sur planète terre.
oui, on sent que votre dette à clément rosset est sincère – que votre ironie sur les hardeurs du céenérès reste un brin pathétique – que d’intervenir sur tout et n’importe quoi, jean brette ou gérald junot-diaz – ne plaide pas toujours pour un capesse de substitution jamais décrochté – que tous ces liens balancés sont pas toujours des preuves de branchitude -,comme de ce que francis ponge croyait aux vilanies d’Aneries. Et de ce philosophe Alain que vous aduliez, qui se révèle notoire antisémite, d’après l’Onfraie vite passou, un billet sur le sujet, c votre partie). Et de ce mec qui dit qu’il peut pas l’être, AS, même que ça l’indiffère vu qu’il sait même pas ce qu’est le sémitisme.
Des fake-news ou des news de fucks ? let’s go and swim,
Les américains sont pas mal cinglés mais adorables et bien élevès.
On a les transgenres les papas (où? ds la tête) qui vivent avec papa les mamans qui vivent avec maman alors les hybrides exit rapidos.
Trop compliquè.
Et les lignes de Nazca ce sont les indiens mapuches qui les ont tracées.
20h25 qui avez vous rencontré finalement, je n’ ai pas saisi.
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A moins que vous entrepreniez le mystère , sinon pour éviter de s égarer qu est ce qui vous à heurtée, la distance entre l homme et l écrivain? Vous vous seriez laissèrent abuser par l’ écriture, le fantasme? Cela tombe bien j ai cru discerner cet élément dans le billet bien que tous les écrivains n aient de thèse à leur actif et les thésard de velléité d accéder à la position d écrivain reconnu.
Quand à ce qu’on promet à Vincent Lambert, pauvre parmi les pauvres, menacé d’etre affamé et déshydraté, c’est à la fois immonde et symptomatique de l’état de la pensée de notre civilisation décadente. (D)
Depuis longtemps, Vincent Lambert n’est plus qu’un déchet humain. S’il est encore vivant, c’est par l’effet de trois instances nocives pour la santé de notre société : une démocratie « libérale » obsolète, des « droits de l’homme » grotesques, et une morale puérile et honnête ridicule. Vincent Lambert fait partie des trop nombreux déchets humains qui peuplent nos hôpitaux, nos EPHAD, nos prisons (patients incurables, vieillards grabataires, criminels irrécupérables), mais qui, lâchés dans la nature, polluent aussi notre société ( zadistes, militants CGT, cheminots rebelles, migrants inassimilables ). La santé de notre société, son avenir, exigent que ces inutiles, ces nuisibles, soient éliminés. Ce n’est pas aux équipes soignantes, aux directeurs et gardiens de prisons, aux ONG et autres associations (d’ailleurs dangereuses) de décider qui doit vivre et qui doit mourir, dans l’intérêt collectif, c’est à l’Etat, et à lui seul. Un Etat rénové, assaini, sûr de son bon droit et de ses moyens, sûr du soutien des citoyens utiles. Seul il serait en mesure de mettre en place les structures nécessaires à l’élimination de ces groupes. Cette élimination pourrait se faire sans inutile cruauté, en douceur et en toute discrétion, comme l’avait montré naguère, s’agissant des vieux, une séquence du film « Soleil vert ». La destruction méthodique des inutiles et des antisociaux d’Europe est la condition de la survie de notre civilisation.
Entreteniez, laissée, thesards
recommandé pour moi qui mange pourtant à ma faim : les Breeders
https://www.youtube.com/watch?v=dM1gFSYyYtk
Depuis longtemps, Vincent Lambert … (moué)
Mort de rire !
Au fait, c’est un mode d’extermination qui en vaut un autre !
Jean, la limite difficile à poser, Hitler à fait gazer les handicapés mentaux, les trisomiques . Concernant ce patient il y a peut être aussi une affaire de deuil impossible pour des parents qui ont fini par accepter que leur fils ne soit plus qu en état de vie végétatif, je n’ ai pas suivi l argumentaire des médecins.
Clopine Trouillefou dit: 12 avril 2018 à 15 h 12 min
j’en ai ras le bol de lire vos propos.
Moi aussi je m’encagne et moi aussi j’ai des antipathies et en // des sympathies, etc.
Deux points :
non christiane n’est pas folle ; et loin de là, (nom d’là) elle est parfaitement estimable, appréciée dans les échanges courtois et intelligents qu’elle conduit ici avec moult individus dont je suis.
deux : comme chacun d’entre nous, elle interprète, traduit, comprend etc. ce qu’elle lit à l’aune de son vécu, de ses amours et désamours de ses rêves et passions de ses espoirs et désespoirs. Et chacun, ce sont liberté individuelle et lire arbitre, a le droit de comprendre tel texte qu’il lit ainsi qu’il l’entend.
Si vous ne désirez pas vous soumettre à la critique d’autrui, ne publiez rien.
Si vous écrivez, quelle qu’en soit la teneur ou l’importance que vous y accordez, tolérez le regard porté, quel qu’il soit.
Vos propos tiennent désormais du harcèlement moral. Vous foutez la paix à Paul persévérant contre christiane tel celui qui lache la proie pour l’ombre.
Foutez lui la paix, bordel.
Oubliez la.
Et qu’elle revienne, grands dieux.
libre arbitre.
R.E.M. – Stand (Official Music Video)
remhq
5,4 M vues
En fait j’aime beaucoup celle-ci.
472 10^6 vues.
https://www.youtube.com/watch?v=xwtdhWltSIg
Bonne nuit
tous les gens qui écrivent EPHAD en se croyant iconoclasses à prôner de l’eugénisme radical pour les déchets sociaux, seraient plus crédibles s’ils écrivaient EHPAD. Comme ce n’est pas le cas, on a tendance à hausser l’épaule. Allez donc vous coucher, a-t-on en vie de leur dire. A la niche du pucier, demain il va falloir mourir ! Adieu.
D. dit: 12 avril 2018 à 15 h 25 min
La petite Fondanus est morte d’avoir mangé du poisson pas frais.
Du poisson d’origine russe a bien été utilisé contre l’ancien espion russe Sergueï Skripal, selon l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques.
Vous, eu égard au fait que vous galéjez communément, devez dans ce commentaire galéjer, me dis-je.
Oui, Rose, je vous embrasse aussi !
contente de vous lire christiane même si brièvement.
à bientôt, j’espère,
Clément, je te dois tellement, tu m’as aidé à vivre !
Ben nous aussi, hein Widergänger, nous vous aidons à vivre. Mais de nous, cela.vous semble si naturel, je ne sais pourquoi.
mais le gros du travail les avait précédé de plusieurs siècles pour leur permettre cet effort qui fut comme etc.
si je tenais à vous provoquer, je vous demanderais par qui fut fait le gros du travail ?
Mais je prèfère vous laisser le gâteau au chocolat, sa couche de cerises et celle de cŕème chantilly. Parsemé de copeaux d3 chocolat rapé noir du Pérou.
Demain, à la cantine feuilletés aux graines, houmous de pois chiches, fish and chips, deux boules pistache-vanille. À quatre heures, chocolat chaud, quatre quarts.
Ils devraient tenir samedi et dimanche.
Inutile d’insister pour Solaris : planète terre, les deux pieds sur.
« Un bébé chinois est né quatre ans après la mort de ses parents, révèle le quotidien pékinois Xinjingbao (Beijin News). »
Cela existait déjà chez les arabes pour le père, avec ce qu’on appelle des « enfants endormis ». Le père meurt, et la mère déclarait qu’elle était enceinte. L’enfant qui naîtrait d’elle, même longtemps après, aurait pour père l’homme décédé. Mais les Chinois vont plus loin. Chez eux, c’est le père ET la mère qui ont disparu. Miracle de la médecine et des techniques nouvelles, qui posent cependant un grave problème éthique, dont se foutent les Chinois.
@Janssen
oui vous faisiez l’éloge de François George, à propos de Lacan. Cela m’avait étonné car j’ai été pendant des décennies le correspondant provincial de FG. Ce fut une amitié très étonnante et très riche. Vous vous interrogiez sur ce qu’il avait bien pu devenir. Je peux répondre à votre question.
Dans l’affaire de Tarnac, la justice a pris une déculottée. Les jeunes insolents n’ont pas lâcher le morceau. Même le procureur voulait s’en débarrasser, les remettre à l’air libre :
« C’est un jugement indiscutable juridiquement et dont les attendus ne peuvent pas susciter un quelconque appel », martèle pour sa part, Me Jean-Christophe Tymoczko, également défenseur de Yildune Lévy.
Chaloux, tu m’as tellement rossé à vivre, merci, gwg…
Les inculpés de Tarnac méritaient une fessée, et d’être privés de goûter. Pauvre engeance bourgeoise, qui joue avec le feu, et se prend pour de grands révolutionnaires… Tout cela n’est qu’un fétu de paille.
Les jeunes inculpés bourgeois de Tarnac vont retourner à leur oisiveté vide et insignifiante. Grand bien leur fasse et qu’on les oublie !
Julien Coupat était la pire gangrène du groupe. Il avait une mauvaise influence sur les autres. C’est lui qui les a entraînés dans ce sac de noeuds. Rien que pour ça, il aurait dû écoper d’une peine spéciale. Il était tout sauf innocent. Et comment se fait-il qu’il y a dix ans, il refusait de se laisser photographier ou filmer, alors qu’aujourd’hui il en redemande ? Encore un qui devrait retourner à la maternelle. Ou peut-être est-ce de la sénilité précoce ?
…
…estimons-nous, chacun pour soit,…
…
…il restera, toujours des déchets humains, nuisibles à s’enrichir,…pour éclairer, les portefeuilles, laisser, pour comptes,…
…
…les expertises, vider, les poches, aux autres,…
…la multitudes des maisons de repos, ( sic ),…avec des prix exorbitants,…pour finir, leurs portefeuilles, en moins de deux,…
…
…hôpitaux et toutes cliniques de soins,…
…l’autre façon, de faire vols à la tire » santé « ,…
…
…quand, les artistes, ont besoins, du musée d’Amsterdam, pour valider, un Van Gogh,…
…
…vols à l’expertise,…etc,…sur gages honorifiques, le même commerce, croire soumis, à des dogmes hallucinants, pour du fric, c’est chic,…
…juifs, hollandais,écossais,vénitiens, et j’en passe, de l’arnaque , pour vous libérer, de vos valeurs,…etc,…
…ou vous inonder de dettes inexistantes, pour vous inciter, à remettre, pour rien, vos valeurs pour rien,!…
…à vous, de croire aux escroqueries des lobbyings d’états,…
…Ah,!Ah,!…à la mutation des valeurs, les exemples pratiques,à copier, le style,…par l’exemple acquis,!…etc,…
…
Même Yildune Lévy n’était pas sympathique du tout. Elle faisait un beau couple avec Julien Coupat. Ils étaient fait pour se rencontrer. Il paraît que ça fait pschiiiiiiiiiiitttttttttttttt !
@22.34, oui ce serait généreux de votre part de nous/me donner de ses nouvelles ici, après tout, votre amitié professionnelle (?) intéresse aussi la littérature en général et les erdéliens éclairés en particulier. Je me souviens maintenant d’avoir parlé de l’effet y’au d’poêle, en effet, ce livre m’avait terriblement décomplexé du lacanisme tant il m’avait démystifié ce Lacan dont je voyais autour de moi qu’on prenait l’incompréhsible charabia pour un message sacré alors qu’il n’était qu’un charlatan cachant la naissance du monde derrière son divan. Souvenez-vous de ce qu’en disait à l’époque cette pauvre Danielle Sallenave…, pire qu’une Macchiocci évoquant Mao, ou une Kristeva évoquant Sollers. Ce qu’on a pu être tarés à donner crédit à toutes ces bandes de guignols… Heureusement que FR. George n’en était pas, lui qui avait écrit à contre courant une histoire de la France qui m’avait marqué bien que je sentais du fond de ma province qu’elle n’était pas en odeur de germanopratisme. Forcément, on disait qu’il était un peu ouf, tactique éternelle à l’égard des gens qui peuvent librement et gênent. Je sais pas comment vous voyez ça, M. Prunier. J’aimerais bien le savoir, oui, vraiment.
oups… qui pensent librement
la ‘naissance du monde’ (le tableau de Courbet)
re-oups, à la place de D. Sallenave, lire Catherine Clément. Désolé, chères mesdames… Je fatigue un brin…
Janssen J-J dit: 12 avril 2018 à 22 h 38 min
Pour une fois c’est drôle.
Bravo.
Plus fort que le Carré : Julia Kristeva nous livre le mode d’emploi et la métode à propos des récentes accusations dont elle continue à faire l’objet :
« Ces « archives » sont des fossiles idéologiques désavoués et combattus par les démocraties: pourquoi y accorder aujourd’hui une telle foi aveugle? Comment ne pas prendre le recul qu’imposent encore une fois de telles méthodes, et en tirer les enseignements pour le présent et le futur? Il faut comme toujours se poser la question: à qui cela profite-t-il? »
« A qui profite le crime ? »… Kristeva a trop lu Agatha Christie.
Si on relit l’ensemble des romans d’espionnage de Le Carré, le tableau des luttes intestines à l’intérieur du service MI5 est fascinant. Dans les années 60 cette opération Windfall, .. au pire de la Guerre Froide, on découvre les agents anglais s’espionnent entre eux, les « Joe » . Envoyés en mission parfois sans les biscuits et relais qu il faut sur le terrain ennemi. parfois des « Joe » coupent le contact ; personne ne peut savoir où ils sont et ce qu’ils font. les sources de seconde main sont d’une fiabilité douteuse….Les « Joe » meurent les uns après les autres, les boites aux lettres sont curieusement « mortes » sans qu’on en soit toujours avisé au plus haut niveau du »Crique ». La gestion des « planques » reste dans un flou total, les budgets secrets glissent dans des poches personnelles. Les rapports hiérarchiques entre « le cirque » et les Ministères restent sous le signe d’une méfiance totale ; les coups fourrés se multiplient ; des fuites ont lieu pendant des années.. et la vraie Taupe, Bill Haydon ,manipule tout le monde avec dexterité si bien qu’il enfume tout le service de renseignements pendant des années. Il décapite le réseau.., Les infos « bouillantes » sont souvent téléguidées par le KGB.. Des dossiers ne remontent pas au Archives Centrales des comptabilités et ne sont pas envoyés au Tresor britannique . Des agents font entrer et sortir des dossiers confidentiels sans verification. . Karla ; le patron de la Stasi,réussit à intoxiquer le Cirque. Si on rouvre « une petite ville en Allemagne » un très bon Le Carré, des années fin 60, le tableau que le narrateur fait des diplomates anglais en poste à Bonn , capitale de l’Allemagne fédérale, est d’une grande perfidie. D’ailleurs, dans une préface récente, Le Carré désavouera en partie cette vision.. Rappelons au passage, que Le carré fut en poste au consulat de Hambourg début années soixante et qu’il connait les mécanismes hiérarchiques d’une ambassade comme sa poche .le tableau qu’il fait des rapports entre services MI5 et MI6 et « cousins » américains est complétement moqueur et condescendant.. On s’en aperçoit dans « la maison Russie » ou dans « Comme un collégien ». Au fond, le paradoxe tient au fait que dans sa comédie humaine des hommes de l’ombre, Le carré décrit des espions qui forment aristocratie, mais ces modernes chevaliers de la table ronde multiplient les déloyautés .
Les amitiés sont trahies. Bill Haydon envoie à la mort certaine à Budapest son ami le plus fidèle ,Prideaux… Leamas , l’irlandais bourru généreux, entraine la plus gentille fille(bibliothécaire) dont il est amoureux dans un piège berlinois ,comme on tire une chèvre vers la gueule du loup… Quant aux trahisons de la vie privée, trahisons conjugales entre autres, elles sont symbolisées par la douleur muette de Smiley, qui traverse presque tous les romans..
Enfin dans « l’héritage des espions », son dernier roman, non seulement Le carré détaille à quel point les relations entre Control et Smiley étaient tordues, viciées, cachottières, combien l’amateurisme régnait dans le Service , combien chacun des agents jouait chacun pour soi dans une tortueuse paranoïa mais on découvre aussi combien les consignes de sécurité étaient transgressées au sein du « cirque ».Ce n’était pas une exclusivité anglaise puisqu’on constate aussi que de l’autre côté du Rideau de Fer c’est une rivalité entre Munk et Fiedler qui gangrène le service contre-espionnage de la RDA !..Pas mieux non plus du côté des chefs du KGB .Les faveurs sexuelles régissent pas mal de tractations bizarres et l’alcoolisme joue aussi son rôle.. Enfin, ultime découverte déprimante dans ce roman : la génération des fils, la jeune génération,( les fils et filles d’agents tués au combat dans les années soixante ) se révèle hargneuse, brutale, avide et peut à l’occasion , par appât du gain, se transformer en maitres- chanteurs. Donc, on a l’impression de marcher dans un tas de cendres et un cimetière de sacrifiés en plein oubli..
Ultime révélation de le Carré, dans son dernier roman, par l’intermédiaire du personnage Peter Guillan : « George (Smiley),il n’était pas fait pour l’espionnage, de nature. Je ne sais pas comment il s’est retrouvé embringué là-dedans. » Et en même temps, toute l’œuvre repose sur une certaine idée de ferveur patriotique et de mélancolie.
@Janssen
Le livre sur Lacan n’était qu’un moment de son aventure . Il a usé surtout du pseudonyme de mathurin (ou François George)maugarlonne, adorait passer pour un mauvais esprit, président de la société des amis d’Arsène Lupin, et auteur d’ouvrages (« Plan de la nuit », livre noir édité à Nice à compte d’auteur) ; Fayard puis Grasset puis d’autres éditent des ouvrages que Cioran n’aurait pas renié ou c’est tout comme. Un pépin de santé l’a frappé il y a quatre ans et depuis il ne peut plus écrire, ni même échanger. Robert Redeker, André Comte Sponville, Raphael Enthoven comptent parmi ceux qu’il aimait bien rencontrer, mais il aimait aussi des provinciaux comme Yanny Hureaux (Gespunsart 08), Jean Luc Lieval (Grenoble) ou moi-même. On disait de lui que c’était l’homme le plus cultivé de France, blague sérieuse qui circulait entre nous. Sa parole nous manque.
Ce fut un anti-dogmatique passionné.
Son « traité de l’ombre » édité à Nasbinals (au Bon Albert) reste un monument. J’aime beaucoup « Caverne Cosmos » au Félin(2006) suite d’aphorismes , sa « Physiologie des fantômes » (Bourgois, 2010) et « Plus sage est le vent » (Grasset 2007). Il insiste sur le non sens, sur notre histoire (la révolution était son terrain de prédilection), sur la théologie chrétienne, dispute avec les Pères de l’Eglise, se passionne pour Merleau-Ponty, puis reconsidère les visions de son vieux maître Jankélévitch(ouvrages hors commerce), après avoir médité longuement sur Sartre (Deux études sur Sartre, Bourgois). D’autres œuvres encore, tant de livres, dont quelques uns sont désormais introuvables parce qu’il les éditait à compte d’auteur et les donnait de la main à la main par souci d’honnêteté scrupuleuse. Homme de passion, de colères, il récitait des poèmes, avait un jugement très sûr, répondait à toutes les questions concernant la culture. Je crois pouvoir dire qu’il abhorrait son temps mais qu’il aimait beaucoup les rencontres.
Lavande
je vous remercie.
Un contre dix cela changetout.
Fais ce que tu dois faire sans moi
Affaire Kristeva : totalement débile.
…
…enfin, de toutes ses thèses, rester sur l’échiquier , perfide ou romantique social,…
…
…êtres riches, avec gains de causes,…
…avec tout les honneurs et bons droits explicites,…of course,…
…
…l’anglais, en cours de réapprentissage personnel, tout les piles de livres complets,…
…
…les rudiments, et plus,…etc,…
…
Bottero : commencer par l' »initiation à l’Orient ancien » (à mon humble avis)
Titre de la thèse: Antithèses. Thèses d’écrivains français aux XXe et XXIe siècles
Soutenue le 21 novembre 2015, devant un jury composé de Philippe Roger (EHESS, directeur de thèse), Samuel Weber (Northwestern University, directeur de thèse), Scott Durham (Northwestern University), Jean-Louis Jeannelle (Université de Rouen), Michael Loriaux (Northwestern University) et Marielle Macé (EHESS) – Mention très honorable avec les félicitations du jury
Résumé:
Au XXe siècle, plusieurs grands écrivains français ont entrepris la rédaction d’une thèse, non sans quelques difficultés. Dans cette étude, on voudrait comparer entre elles ces expériences habituellement isolées. Toutes partagent une même difficulté : celle de rendre compatible l’écriture individuelle avec les normes institutionnelles du genre. Il ne s’agit donc pas simplement de mettre au jour un corpus méconnu, mais, à partir de l’analyse détaillée des thèses de Péguy, Paulhan, Barthes et d’auteurs contemporains, de comprendre comment, au fil d’un siècle, les écritures littéraires et universitaires se sont rencontrées.
L’écrivain, hostile au genre par principe, écrit contre mais aussi grâce à la thèse. Les normes universitaires sont critiquées, déplacées, appropriées, travaillées et, de diverses manières, elles stimulent la création. Autrement dit, le littéraire se construit comme un envers de l’universitaire. Ou, plus radicalement, si l’on étend la dynamique à l’œuvre dans les thèses, le mouvement de rejet de l’université peut être tenu pour un ressort de la création littéraire.
Lire ces textes hybrides, c’est aussi se donner une chance de penser aux structures qui constituent et règlent nos pratiques – à commencer par les normes et formes du genre de la thèse.
_________
Voilà ce qu’est en réalité la thèse de Charles Coustille, c’est dire que l’article de Passou est totalement en contre-sens. Passou n’y a rien compris manifestement. L’article de Passou est complètement débile et ne correspond en rien à l’intérêt de cette thèse qui est en fait une recherche sur la création littéraire. C’est autrement plus passionnant que le compte rendu débile de Passou ! Débile et con et haineux à l’égard du monde universitaire ! Passou est un vrai crétin.
Peut-être, Paul Edel. Mais je vous ferais remarquer que vous vous éloignez du sujet.
En même temps les ouvrages de Barthes lui ont permis de postuler pour un poste universitaire à l’EHESS, qu’il a obtenu. Comme quoi l’écriture littéraire (Le degré zéro de l’écriture) n’a pas été pour rien dans l’obtention de son poste universitaire même si c’était un poste dans une institution un peu parallèle à l’Université à proprement parler.
Paulhan a pour sa part produit pas mal d’essais littéraires sur la rhétorique notamment, que doit probablement analyser l’auteur en rapport avec la thèse que Paulhan avait laissé tomber.
La thèse de Coustille n’a jamais été un travail pour dénigrer l’institution universitaire comme le laisse entendre l’article débile de Passou ! Le niveau monte…
Entre la presse pourrie de gauche qui ramasse toutes les vieilles crottes de Poutine pour s’attaquer à Kristeva et à travers elle à une certaine intelligentsia française et probablement aussi au gouvernement de Macron et à Macron lui-même, donc à la France, et cet article qui n’a vraiment rien compris au livre dont il prétend rendre compte, on est bien servi en France par la chiennerie universelle !
Puisque la thèse de Coustille parle de Paulhan, qui reste nettement sous évalué comme Aragon, et même inconnu de la plupart qui ne l’ont jamais lu ! lui aussi par cette époque de merde, de crétins patentés, d’arrivistes débiles, de jeanfoutraques incompétents, voilà ce qu’écrit Paulhan en préface à son très grand livre sur la littérature et « la magie de l’écriture » (Foenkinos, dans le texte donné au Brevet blanc à mes élèves de 3ème, texte un peu débile de Foenkinos il faut bien le dire, mais tout à fait adapté à ce genre d’examen sans enjeu véritable pour les élèves), dans Les Fleurs de Tarbes ou La terreur dans les lettres :
« On parle volontiers du mystère de la poésie et des lettres. On en parle jusqu’à la nausée. Il faut l’avouer pourtant, ce n’est rien éclairer qu’évoquer ici la magie ou l’extase, la pierre enchantée, l’animal attentif. Ce n’est rien dire précisément que parler d’ineffable. Ce n’est rien dévoiler que parler de secrets. Que le poète soit dévot, bien. Mais de quelle foi ? L’écrivain savant, soit. Mais de quelle science. »
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On voit soit dit en passant à quel point, au regard des immenses et pertinentes interrogations de Paulhan en 1941 combien la littérature contemporaine d’un Foenkinos est tout à fait médiocre, reprenant les clichés mille fois remâchés de la « magie de l’écriture ». On voit par comparaison la décadence complète de la littérature française contemporaine.
Car les interrogations de Paulhan sont aussi celles à la même époque de Francis Pönge, qui leur apporte un réponse par tout son œuvre, et un réponse de haute tenue et quasiment incompréhensible aujourd’hui par la critique tllment elle est devenue médiocre. Paulhan dialogue avec Ponge dans lur correspondance à ce haut niveau de méditation sur le langage poétique, du moins ça leur arrive. Paulhan poursuit ainsi sa préface :
« Que le poète ou le romancier se contente ici d’une confusion répugnante, libre à lui. Ce n’est pas son affaire d’expliquer le mystère, s’il l’éprouve et le répand. Et peut-être le rend-il d’autant mieux qu’il s’y refuse lui-même. Mais il existe un autre écrivain, dont la tâche est de rappeler inlassablement ce dont il s’agit, et qui semble perdu.
« On dirait étrangement que le critique a, de nos jours, renoncé à son privilège, et quitté, sur les Lettres, tout droit de regard. Il avait un ordre à imposer. Non, il s’égare en révérences niaises. « Que les créateurs, dit-il, commencent ! » Ou : « Que puis-je faire tout seul ? » Il prie seulement qu’on le laisse observer, et tnir ses comptes (mais cela aussi va lui être ôté).
« Ce n’est pas de tls problèmes, tant s’en faut, que j’agitais quand j’ai entrepris cette étude. Il m’eût paru prétentieux et vain de m’y attaquer. Au demeurant la littérature pose, de nos jours, mille questions plus urgentes : la misère, la solitude, l’excès. »
___________
Il était manifestement tout imprégné des txtes de M. Blanchot t d G. Bataille ! Mais il faut lire Les Fleurs de Tarbes, qui est un livre de haute critique littéraire.
Ce mot de Jean Paulhan me semble plus que jamais d’actualité : « Chacun sait qu’il y a, de nos jours, deux littératures : la mauvaise, qui est proprement illisible (on la lit beaucoup). Et la bonne, qui ne se lit pas. C’est ce que l’on a appelé, entre autres noms, le divorce de l’écrivain et du public. »
« Berenice dit: 12 avril 2018 à 21 h 42 min
Jean, la limite difficile à poser, Hitler à fait gazer les handicapés mentaux, les trisomiques . »
En France, on les a sorti de l’asile pour les foutre en prison (sans soins, bien sur).
Pour cause de modération :
« Berenice dit: 12 avril 2018 à 21 h 42 min
Jean, la limite difficile à poser, Hitler à fait gazer les handicapés mentaux, les trisomiques . »
La France, beau pays de mon enfance, a fermé les asiles d’aliénés pour en remplir ses prisons où sans soins, ils peuvent se confronter à la réalité.
La thèse de Coustille, c’est de prétendre que le discours universitaire sert en quelque sorte de repoussoir à l’énergie créatrice. C’est-à-dire qu’il définit la création littéraire par défaut, non en propre : la littérarité c’est ce qui n’est pas le discours universitaire.
C’est une conception de la littérature qui me semble quelque peu restrictive. Marc Fumaroli, par exemple, se définit, en tant que critique savant universitaire comme un écrivain. L’est-il ? Aux yeux de Coustille, il ne saurait le prétendre. Et pourtant il l’affirme.
La thèse défendue souligne plus une volonté de divoce qu’un divorce réel. Comme si la beauté ne devait pas être touchée par l’intelligence critique. Or, l’intellignce critique est constitutive de la naissance de la modernité à la Renaissance. L’exemple le plus pertinent est sans doute la poésie de Du Bellay qui mêle constamment jusqu’à la fusion l’œuvre à sa réflexion critique du processus de création jusqu’à être une poésie de la poésie quand il écrit notamment à la fin d’un célèbre sonnet des Regrets ce vers sublime :
Et les Muses de moi comme étrange s’enfuient
où, paradoxalement, la perte même de l’inspiration vient dire le vers le plus inspiré qui soit. Mais c’est le paradoxe de la création littéraire elle-même.
Dans la Silicon Valley, les génies de l’informatique & des mégadonnées mettent leurs enfants dans des écoles sans écran, où sont bannis smartphones at autre prothèses existentielles post-humanistes.
A lire de toute urgence, The Attention Merchants, de Tim WU
https://www.theguardian.com/books/2016/dec/26/the-attention-merchants-tim-wu-review
MEDITERRANEE
« Marseille : elle dissimule la mort de sa mère pendant 23 ans pour toucher sa retraite. Cette retraitée a reconnu les faits. Elle a ainsi perçu plus de 162 000 euros et sera prochainement jugée pour escroquerie. » (Le Point)
Magnifique ! De l’autre côté de la Mer Nostre, le nombre de retraités centenaires est considérable. Parait qu’il y en a un qui est âgé de 117 ans. Macron s’en occupe … on est bien géré.
« C’est autrement plus passionnant que le compte rendu débile de Passou ! Débile et con et haineux à l’égard du monde universitaire ! Passou est un vrai crétin. » (Wiwi)
C’est possible… mais il n’est pas le premier d’entre nous. Y a pire !
J’ai les noms des crétins de la RdL… écrits sur un parchemin enluminé… lui-même roulé et caché dans un des tubes inox de mon fauteuil roulant Rolls-Royce … publié, ça ferait mal … uhuhu !
…
…mais, qu’est ce qu’il faut, comme événements en enjeux,!…
…pour s’assoir, sur la 6° république,…
…à recréer, la république de de Gaule,…
…
…çà vient, çà vient,…ces pistonnés, à fumer, en diables, à leurs travail,…les saillies de secrétaires, la fessée en privé,…
…toutes ces généralités, d’humours pour cocus soumis,!…
…
…çà vient, les calotins aussi,!…
…Vive la 6° république,…bancaire, tutti frutti,…etc,…
…Go’d mixtures,…
…
…la joie, de vivre, sans les verts,…
…
… » paroxysmes de déviants nazis « , contradicteurs de tout poils, la droite de toutes les droites molles,…du soupirail,!…
…
…à nos verts, d’enculées de première,…
…faire des lois, pour immoler, ses libertés,…
…
…à nos verts, d’intranquillités aux parfums,…nos pieds nickelés, des bourses,…
…
…etc, bienvenue aux nouveaux membres actifs,!…pleins de zéros, empaillés,…a suivre,…d’une paille à poutre,…
…le choix de son bidet,…of course,…
…l’Europe, régionalisée,…
…les partages privés, en haut de gammes,…
…des artistes,!…aux lucres,…
…paradis chinois,…la trahison des élites, par Cambronne, sur Marche, à poils,…naturistes à vues,…etc,…
…peut mieux faire, aussi,…
…
Colère de rose contre Clopine, colère de WGG contre Passou, à qui le tour ? Vendredi 13, jour de colère ou jour de paix ?
1h40 si les prisons enferment nombre de psychopathes non diagnostiqués, la rue acceuillent nombre de personnes délaissées et nécessitant une prise en charge psychiatrique sans pour autant qu on puisse les compter parmi les dangereux pour autrui , la psychiatrie parent pauvre de la médecine sert encore dans diverses structures en nombre insuffisant à encadrer la maladie et l incapacité qu elle génère à pouvoir intégrer les individus dans la société , les milieux intermédiaires entre secteur fermé et ouvert manquent type résidence avec suivi médical, mais ce que vous affirmer n est pas tout à fait exact. Dans ce domaine un manque certes et ce ne sont pas les problèmes comptables qui vont arranger les choses. Je crois que 30% des SDF pourraient bénéficier d une prise en charge, quant au fait qu il faille en avoir un grain pour être l auteur de certains crimes ou trafic cela ne laisse aucun doute. L alcoolisme, les toxicomanies croissent aussi en terrain misérable et peuvent récipiter les individus dans la crime .
Pauvre Dracul ! la vie en colère ça doit être l’enfer.
Précipiter, le crime ( agressions, violences diverses, vol, homicides volontaires ou involontaires, récupération par des gangs, petites et grandes délinquances ).
Andre Gide :
Sleep Walk :
Broken Span, NYC :
https://blogfigures.blogspot.fr/2013/06/james-fee-broken-span-new-york-city.html
Je n’ai jamais pu blairer Kristeva ni Sollers, avec leurs gueules d’espions. Que Sollers défende sa complice, on pouvait s’y attendre. La naïveté de certains à l’égard de ce répugnant tandem est stupéfiante.
De toute façon, le tandem est à bout de course, comme le prouve ce dialogue, enregistré par les sévices secrets :
Kristeva — Ah ! mon vieux complice !
Sollers – Hélas, ma Julie, la peau de mes gouilles aussi !
@23.39 merci Paul Edel pour votre travail de couture. J’ai un peu de mal avec le dernier roman de Le Carré et je comprends mieux pourquoi, grâce à vous, n’étant pas connaisseur de toute son oeuvre, ses clins d’oeil au passé ne vont pas toujours de soi. Vous me permettez donc de l’achever dans de meilleures conditions, mais je tiens que les « clés » sont dans ses mémoires. Hier soir, j’ai remarqué qu’il avait bluffé l’Onfray qui tenait Le Carré pour un romancier de gare TGV.
Bonne journée à toussent, Yildune et Julien notamment. Bravo, vous avez réussi à fissurer le mur du « droit pénal antiterroriste de l’ennemi », cette monstruosité !
Il ne faut surtout pas retenir en soi des inimitiés puissantes, c’est fournir un revenu aux psy !
Rose remet à juste raison Cloporte en son étable, Wiwi remet nerveusement Passou en son retable, et moi, je brûle de tendresse pour Christiane qui est sensible comme une kalachnikova !
Pour quelle raison devrai-je celer cette passion ancienne ? ce désir fou de lui ouvrir le sac poubelle où j’ai soigneusement rangé l’humanité toute entière ?
M’inscrivant en faux contre le Seigneur des Bisounours s’exprimant à bord du TER de 9h34, je vous dis avec une sincérité modérée par le désintérêt :
« Julien, Ludivine, vous êtes de jeunes c.ns et le resterez votre lamentable vie durant. Crevez* en paix dans votre jus imbécile ! »
(*plus modéré, tu meurs…)
Rappelons tout de même que la thèse n’est rien d’autre qu’un passage obligé pour faire carrière dans l’Université française ; c’est sa seule vraie raison d’être. Si telle n’était pas sa fonction, il y a beau temps que personne ne perdrait plus son temps à en écrire ! Que de temps perdu, en effet, et de papier gaspillé, quand on y pense.
Jean, ce n’est pas un tandem Kristeva/Sollers !
Sollers est un ludion de surface, balloté par les vagues et les courants, pédalant n’importe quand pour aller n’importe où…
Kristeva est son ancre marine, sûre, fidèle, maternant sans cesse son gros bébé turbulent !
Tous ces thésards m’évoquent ces parasites qui survivent sur le dos des animaux. Un thésard n’est jamais qu’un baveux dépourvu d’originalité, incapable de toute créativité, qui tente d’exister intellectuellement en glosant sur la production des vrais créateurs. M’étonne pas que WGG défende cette race de cloportes : qui se ressemble s’assemble.
Kristeva est son ancre marine (JC)
Son chef de service en somme.
Un thésard cultive ses arrhes…
Il faut rendre à ses arrhes…etc.
( Profitons du soleil! 😉 )
A NDDL, le moment est venu de foutre sur la gueule des zadistes ! Quoi qu’il en soit, les forces de l’ordre ne sauraient venir à bout, à elles seules, de cette racaille et de tous ceux qui, en France, la soutiennent. Il y faut l’appoint de commandos de citoyens patriotes, conscients et organisés qui, eux, n’auront pas à s’embarrasser de la considérations de fariboles comme les burlesques « droits de l’homme ». Leur mot d’ordre : vengeance et efficacité !
Jazzi dit: 13 avril 2018 à 7 h 44 min
Colère de rose contre Clopine, colère de WGG contre Passou, à qui le tour ? Vendredi 13, jour de colère ou jour de paix ?
Bof,bof, bof…
Avez-vous remarqué les interventions réglées comme du papier à musique de Renato tous lez matins?
Cela nous fait irrémédiablement penser ( et on peut s’ excuser par avance de la trivialité des propos qui vont suivre )à un ex-collègue de travail qui nous précisait qu’ il lui fallait faire ses besoins matinaux à heure fixe, sinon sa journée était gâchée jusqu’au soir.
SCOOP
J’ai travaillé sur une thèse en maths pures sans aucun intérêt, pour une seule raison : rester étudiant… et continuer à jouer du jazz, à faire la bringue, et à niké victorieusement une adorable étudiante en médecine que je ne parviens toujours pas à oublier
Jamais eu envie de faire carrière, crabe parmi les crabes du panier !
Dans un roman de Zola (« la Débâcle » ?), des paysans français s’emparent d’un soldat allemand, le pendent par les pieds, l’égorgent et laissent couler son sang dans un seau, comme on fait pour les porcs. Qu’attendons-nous pour soumettre les zadistes à ce supplice exemplaire et qui, au demeurant, bénéficie de la caution d’un de nos plus grands écrivains ? Trouvons dans notre littérature d’autres exemples de châtiments anti-zadistes. A nous Sade, Lautréamont et même Voltaire (l’épisode de l’auto-da-fé dans « Candide »
Bien vu, Pat !
Renato pisse de la ligne et chie de l’image à heure fixe.
niké victorieusement une adorable étudiante en médecine (JC)
Enfin ! enfin la vérité ! La baise, en effet, n’est jamais que l’arme privilégiée de la guerre des sexes ! Sa fonction (ancestrale, ancestrale !) est de consacrer la supériorité du mâle sur la femelle ! victoire ! Victoire !
C’ est un simple constat de lecture, JC, ni plus ni moins… 🙂
Je pense surtout à mon ex-collègue, lorsque nous étions en déplacement dans toute l’ Europe et à sa concentration-contraction matinale. Cela m’ interrogeait – comme on dit – à l’ époque.
@ il lui fallait faire ses besoins matinaux à heure fixe, sinon sa journée était gâchée jusqu’au soir
Et c’est une excellente méthode, car non seulement le fumet matinal en est toujours impeccable, qui permet surtout de constater combien la terre tourne rond !
Oui, Jean, l’humanisme nous impose sa loi morale !
Ne pas laisser des gens vivre dans l’erreur. Pour cela participez librement à RAZAD : la milice artisanale qui Retire Affectueusement les Zadistes des ZAD.
Oui à la RAZAD ! J’adhère ! Ah ! me payer une pinte de bon (?) sang !
le fumet matinal en est toujours impeccable JJJ
Et quand on est artiste, il est de toute première importance de couler son bronze ( même conceptuel )
aux aurores. 🙂
Gigi, la terre ne tourne pas rond !
On ne sait toujours pas suivre le conseil du fada de Nazareth, le Palestinien dément… :
« Aimez vous les uns les autres ! »…
J’ai écrit à Edouard Philippe pour qu’il invite la Chrétienté de France à le préciser :
« Les uns ? C’est eux ou c’est nous ? Et les autres ?… c’est qui, pour finir ? »
et que vous a-t-il répondu après avoir coulé son bronze matinal : l’un après l’autre, mais pas tous à la fois ?
Faut-il vous faire un dessin, JJJ ?
A-t-on remarqué le caractère médiéval de la pratique universitaire de la thèse ? Dans notre cuculture vaguement laïque, les productions ritualisées de nos baveux thésards ont pris le relais des gloses des textes sacrés par les clercs du XIIIe siècle. On a le sacré qu’on peut. Sur ce blog, un Widergänger se fait le fervent défenseur de la thèse : rien d’étonnant à cela, de la part d’un esprit typiquement médiéval (au mauvais sens du terme), adorateur du sacré (fût-il le sacré le plus ringard), spécialiste de la glose et de l’anathème.
Un pote à moi, vampire roumain, me conseille de commencer la dégustation plus bas que la pinte de bon sang :
« Presque 1 litre, tu te rends compte ! Commence par un verre à liqueur… ! »
Écoutons les spécialistes ! On est pas en Syrie…
@JJJ,
Plus sérieusement, cet aveu incongru, le temps d’ un déjeuner en hôtel international de luxe, pose la question du dérangement ( c’ est le cas de le dire et de le signaler )de l’ être humain face à l’ excretum en général. Même un volume de la pléiade en analyse les modalités sociales de réception à travers le temps.
Le Carré nous parle d’un monde qui a disparu, un monde englouti, comme Proust. Le Carré a écrit, dans ses romans, une « recherche du temps perdu ». Et avec son dernier opus, il remet le couvert. Il fait revivre la guerre froide. Il n’aura jamais parlé que d’une chose, ce qu’il a connu brièvement pendant sa période professionnelle éphémère. Ce fut éphémère en effet comme la vie d’un papillon, mais pas aussi joli…
Ça existe en poche! L’ article est de Gagnebet si mes souvenirs sont bons.
https://www.decitre.fr/livres/histoire-des-moeurs-i-9782070422579.html
Je pense qu’il faut nous ressaisir !
Commençant par les thèses universitaires, tentées/ratées, il est hors de question de finir dans l’étron brun*…
(* qui nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de notre histoire, blablabla…)
« Tout finit en Sorbonne. Tout se décompose en thèses » soupirait déjà Paul Valéry
… suggérant ainsi le caractère médiéval des rituels sorbonagres, mais aussi, mine de rien, la sacralisation de la poésie et de la littérature depuis les Mallarmé, Rimbaud et consorts. Le sacré ne saurait se diluer en gloses, suggère Valéry, rejoignant ainsi un Widergänger, prophète impromptu de Paulhan, mais un prophète qui se dispense du semblant d’un début de démonstration. Paulhan est un grand, na ! — clame WGG. Dans son Panthéon, Paulhan rejoint Mouise et Aron petit patapon. Pourquoi pas Paulhan, en effet ? Pourquoi pas Campistron ? Rappelons tout de même à ces gens que la poésie et la littérature, comme toute autre forme d’art, ne sont rien d’autres que divertissements, parmi d’autres. Relisons Pascal.
Avec Robert Merle on constate que c’est dans les vieux pots que l’on fait les meilleures soupes… romanesques.
Dans « Derrière la vitre », sur Mai 68, et publié dès 1970 (encore merci à Bloom de me l’avoir recommandé), un extrait qui semble avoir inspiré le commentaire de Passou. Où il est question de la hiérarchie entre les professeurs, ici entre Rancé, chef du département de littérature à Nanterre et Delmont, son assistant.
« Et pourtant, entre l’agrégé non encore docteur, Delmont, taillable et corvéable à merci, et l’agrégé-docteur Rancé, seul maître à bord, il n’y a que l’épaisseur d’une thèse, mais Dieu sait si dans son cas, elle est épaisse, écrasant sous un pavé de huit cents pages in-octavo d’érudition vétilleuse un auteur de troisième ordre : le type même de l’étude critique illisible sur un écrivain qu’on ne lit pas. »
Plus puant que les relations entre « pédagogues universitaires françois », je ne vois que les relations conjugales moyen-orientales, les amours zoophiles contrariées, ou la tendresse d’Hadrien pour son mignon niais…
Les dieux universitaires hexagonaux, galonnés à l’ancienne, inutiles, ont envahi les sombres caves olympiennes enfin désertes !
A demain, chers petits choux….
Delaporte oui c est à peu près ça car tous ces braves garçons travaillaient avec le sentiment d’être un club sorti des meilleures écoles et de représenter une aristocratie et pas du tout une bureaucratie.
…@ Pat’V (mouille) : sur les rapports des humains à l’excretum et aux excreta, je connaissais surtout dominique laporte, un peu trop daté ‘approche psy’ à mon goût, mais pas toujours contournable.
https://www.babelio.com/livres/Laporte-II-Histoire-de-la-merde/525089
Mais surtout, l’excellente histoire des lieux (d’aisance) de Guerrand, plus parfumée et pittoresque…
http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Les_lieux-9782707157881.html
Quant à « lire aux cabinets » d’henry miller, je l’ai toujours déconseillé à rénato mastri, surtout le matin, vers 8h10. C’est tellement mauvais que ça vous le moral par terre le restant de la journée.
…@ Pat’V (mouille) : sur les rapports des humains à l’excretum et aux excreta, je connaissais surtout dominique laporte, un peu trop daté ‘approche psy’ à mon goût, mais pas toujours contournable.
https://www.babelio.com/livres/Laporte-II-Histoire-de-la-merde/525089
Mais surtout, l’excellente histoire des lieux (d’aisance) de Guerrand, plus parfumée et pittoresque… (le robot ne prend pas 2 liens à la fois, désolé)
Quant à « lire aux cabinets » d’henry miller, je l’ai toujours déconseillé à rénato mastri, surtout le matin, vers 8h10. C’est tellement mauvais que ça vous le moral par terre le restant de la journée.
« je vous dis avec une sincérité modérée par le désintérêt » (sic)…, allez vous faire enkyster.
Est-ce sur les conseils et l’expérience de ses amis Cohn Bendit et Goupil, que l’Elysée a donné l’ordre à la police de ne pas intervenir à Tolbiac ?
http://www.leparisien.fr/politique/emmanuel-macron-president-acteur-pour-daniel-cohn-bendit-et-romain-goupil-11-04-2018-7659240.php
@jjs 10 h 22
Leopold Bloom parle tres bien dans sa tête de la satisfaction que lui apporte cette habitude matinale
Pas seulement dans sa tête, DHH !
Sinon, pour la thèse universitaire, DHH, vous pensez que c’est un alibi de fantasmes ?
jazzi
sept jours de pluie constante et cela continue.
oui ben tirer une chèvre vers le loup c’est très jouissif. On en espère un morceau, la cuisse de dame.
Cela vous changera ďes grenouilles,
ça arrose le potager, rose !
Patience, « Le printemps en Haute Provence » arrive toujours, dixit Jean Giono :
« Les averses courent comme des perdues de droite et de gauche, foulant les herbes, exprimant le suc des thyms fleuris, des muguets, des violettes, l’anis des armoises et l’amertume de la ruta, la rue, qui en cette saison pousse dans les ombres et a la tige tendre comme la rosée.
De jour en jour, d’heure en heure, le bruit des feuillages se fait plus épais. Enfin, un beau matin, je m’aperçois que la forêt de chênes taillis est recouverte uniformément d’une écume couleur d’absinthe. J’ai encore raté l’arrivée des feuilles nouvelles. Elles sont là, déjà dentelées. Alors, en une semaine, les dés sont jetés : les orages s’éloignent, les vents se calment, le ciel se découvre, le soleil s’installe, les joies cherchent lentement ceux qui sont destinés à jouir d’elles, et les trouvent. Le printemps est arrivé. »
(texte daté du 24 avril 1964)
Leopold Bloom parle tres bien dans sa tête de la satisfaction que lui apporte cette habitude matinale
–
Oui, Joyce est très porté sur la chose, comme Beckett, d’ailleurs. Ma théorie est que contrairement aux Anglais, les Irlandais ne thésaurisent pas l’argent. Dans son étude du stade anal, Freud a montré le lien entre thésaurisation et constipation, « accumulation primitive » (à Q mue l’action) s’il en est. Or qui connait les Anglais sait que le grand problème de leur vie, c’est la constipation. Mutatis mutantis. On n’ira pas jusqu’à parler de diarrhée verbale en ce qui concerne Joyce, mais il y a dans Ulysses et Finnegans Wake une fluidité qui suggère une certaine aisance naturelle, qui n’est ni feinte, ni fausse (!). Sic transit intestinal mundi…
Et s’agissant d’Oscar Wilde, Bloom, quel transit ?
« Est-ce sur les conseils et l’expérience de ses amis Cohn Bendit et Goupil, que l’Elysée a donné l’ordre à la police de ne pas intervenir à Tolbiac ? »
D’où viendrait cette tradition qui ferait de l’université un territoire sacré, inaccessible aux forces de l’ordre ?
Ce n’est pas la Mélanche qui excite sa bande de casseurs, ni Conbandit le rouge, qui vont s’en souvenir, sauf de leurs frasques de bons à rien, quand ils étaient étudiants.
Il faut que le chef de la macronie se mette à courtiser la Fille Aînée de l’Eglise- qui n’en peut mais- pour espère-t-il, qu’elle se repolitise,
que les journaleux surfant sur cette aubaine ont ressorti, devinez koi ?
Une bulle pontificale du moyen-âge…
« 13 avril, (pas aujourd’hui hein, mais en 1231), la bulle Parens scientiarum universitas accorde les principaux privilèges qui consacrent l’indépendance juridictionnelle et intellectuelle de l’Université de Paris. »
Gros bisous, je pars en vacances.
le lien:
http://compilhistoire.pagesperso-orange.fr/GregoireIX.htm
Chez le Wilde Fingal O’Flahertie Wills, c’est l’amoureux transit, Baroz, ou le transit amoureux, ou le trans-hit, au choix.
Et toi, Bloom, tu as achevé ta thèse ou tu en es resté à l’agrégation ?
…
…conseil pratique, pour gages, et autres tantes,…
…lorsque, vous voulez, mettre votre bijoux en gages de prêts, prévoyez, qu’il soit supérieur, à plus de 10 gr.d’or fin,…sans les éventuels pierres précieuses dessus,…
…
…la tante, elle cause, or – brut,…24 k,
…
…conclusions, n’achetez, que de l’or, en bijoux, uniquement, supérieur à 10 gr, 24 k,
…
…ou prévoyez, de ne jamais, rien avoir à vendre, ou sur prêts,…à votre tante,…
…Ah, Ah, ces affaires de changes,…
…à la fritte d’or, et omelette au Carré,…
…etc,…
Puisque les Forces de l’Ordre utilisent des canons à eau pour disperser les manifestants, j’ai réfléchi à la conception d’un nouveau prototype, le canon à bran, ou canon-Ubu, pour plus d’efficacité. Le principe est simple: au lieu de remplir les réservoirs avec de l’eau, on les remplirait avec des matières fécales, guano, lisier, excréments divers et avariés. À NDDL, il suffirait d’aller puiser dans les stations d’épuration des communes avoisinantes ou dans les fosses septiques des particuliers (qui s’en trouveraient ravis). Arme non létale, capacité de dissuasion maximale. On verra si les zadistes sont toujours aussi déterminés après quelques séances de douche haute pression.
@ je pars en vacances.
Comme tous les 15 jours. Bon courage, halors ! Tâchez de faire preuve de régularité le matin, envoyez-nous des postales à partir du trône. Ça coute rien…, et safé tjs plaisir à ceussent qui doivent trimer au turbin de l’EHPAD. Bonjour DHH, êtes-vous soulagée ?
…
…Ah,!…si,…les bagues armoriées, donc, avec la gravure de vos armoiries, çà ils reprennent,chez la tante,…même au Portugal,…
…
…souvenirs de propos, sur le vif, avec une amie,…
…etc,…
pourquoi l’jean se fait-il passer pour l-f. lévy pour débiter ses sottises philosémythiques ?
Cherchez pas, JJJ, chez Jean Marron, comme le nom l’indique, la nausée abonde.
14h02 Luis Ferdinand Levy , votre système me rappelle cette scène dans viva la muuerte ? Un représentant de l ordre franquiste defèque via la grille qui le sépare du prisonnier républicain enfermé en contrebas sur sa tête. Ricochet avec la théorie freudienne rétention, stade sadique anal. Autre version du » on vous em…..e » ?
merci Bloom pour votre ce conseil itératif, mais j’avoue ne pas arriver à le suivre. Je pense que je parviendrai un jour à lui faire rendre raison : ou bien le faire taire à jamais, ou bien l’amener à mes vues. J’ai tout mon temps, vous savez, et il est surtout moins compté que le sien. Car lui, il ne lui en reste plus beaucoup, hélas. C’est pas comme passoul qui va bientôt sur ses 65, c’est un petit djeune, lui !
Je pars en vacances, lvdlb, la chance! Ici nous nous contenterons du paysage qui continue de souffrir de façon effrayante, John Le Carré âgé et à ce propos finit par avouer en un retour sur lui qu il écrit pour oublier la réalité terrifiante – bonne nouvelle qui peut consoler quand on ne part pas découvrir de nouveaux horizons, l été fait son entrée dimanche!
Sent l’sapin, l’Jeanbrun.
l été fait son entrée dimanche!
—
Il faisait 40° à Mumbai dimanche dernier. Avec une petite brise venue de la Mer d’Arabie, c’était assez sympa, j’avoue…
merci jazzi
superbe texte ! écrit le 24.par l’ami Jean.
Étant le 13 avril, nous avons deux semaines à attendre, et après bonnard jusqu’à novembre ?
La thèse pascalienne de l’universel divertissement exclut toute forme de sacralisation d’une des formes du divertissement, par exemple la poésie, la littérature et les arts. Seule la religion ne relève pas du divertissement, elle est donc le domaine exclusif du sacré.
Mais pour qui, comme moi, considère que le territoire de la foi, cher à Pascal, est le territoire du vide, Moïse, Jésus et Mahomet doivent être comptés parmi les plus grands amuseurs publics, inventeurs et dispensateurs de divertissements à succès. Il conviendrait seulement de vérifier si ledit succès dépasse celui du monopoly ou des dominos. Pour le monopoly, je consens à le croire, mais pour les dominos, c’est beaucoup moins sûr. Un des précurseurs de ma thèse de la religion considérée comme pur divertissement fut Alfred Jarry, avec sa « Passion considérée comme course de côte ». Vive lui !
Johnny s’adonnait à la roulette russe :
« Mais Laeticia n’en reste pas là. La jeune femme de 42 ans raconte ensuite comment Johnny jouait avec la mort dans sa jeunesse lors de ses soirées entre amis. «Il prenait un flingue, il mettait une balle dans le barillet et tirait. La roulette russe». Une histoire étonnante mais qui ne date pas d’hier. Il a fait ça plusieurs fois. Mais c’était il y a longtemps, assure Laeticia. A l’époque, il jouait avec son destin. » Match
La lecture de la Bible et du Coran est donc à recommander comme pur divertissement : on n’a pas tous les jours l’occasion de rigoler. Je m’y adonne régulièrement, tout en jouant aux dominos. Dans la maison où elle a pris ses habitudes (et moi aussi), le programme des animations du jeudi après-midi est particulièrement heureux : de 14h à 15h, gym douce ; de 15h à 16h, messe. A l’exercice physique, succède l’exercice spirituel. Voilà qui s’appelle avoir une saine compréhension du divertissement.
Johnny jouait avec la mort dans sa jeunesse
Bien entendu ce con s’est raté, nous imposant l’insipide et interminable feuilleton qu’on connaît.
Laeticia voudrait montrer qu’elle a eu une bonne influence sur Johnny. Elle lui a fait redécouvrir la joie de vivre. Cela est probable. Mais il est probable aussi que ce fut pour Johnny au prix de nombreux sacrifices. Toute cette ambiguïté maritale explose aujourd’hui en plein jour après la mort du Taulier et l’ouverture de son grandiose testament. Dernière décision de justice cet après-midi : les avoirs de Johnny ont été gelés. Cela va mal pour Laeticia. La suite au prochain épisode…
Le suspens peut commencer : sera-ce le droit français ou américain qui s’appliquera ?
J’adhère avec enthousiasme à la méthode douce prônée par Louis-Ferdinand Lévy pour doucher l’ardeur des zadistes. Mais attention :
» Fous-lui donc par la g.ueule un bon gros paquet d’bouse
V’là l’palotion qu’a just’ le dos tourné !
Et la suite, qu’on connaît.
Janssen J-J dit: 13 avril 2018 à 12 h 02 min
Là, JJJ, je dois dire qu’ avec vos référence vous m’ en bouchez un coin!
Sans pouvoir toujours demeurer à la rdl, ce Dominique Laporte, c’ est le blanchotien des années 70? ( un copain de D. Bedou de la revue Impasses ?)
Munbaï c’est très surfait.
référenceS…
Rose, Desproges disait que « l’humour,c’est le courage de déplaire » N’ayant visiblement besoin ni de l’un, ni de l’autre pour arriver à ce résultat avec vous, je vais donc m’autoriser à vous répondre sérieusement et peut-être lâchement, qui sait ?
Donc, et d’abord, vous pouvez parfaitement zapper mon nom et mes commentaires. Hop,un petit saut, et on respire mieux. Je pratique l’exercice pour bon nombre de erdéliens, il est salutaire pour la santé.
Dont la santé mentale. Je vous sais attentive et impliquée dans la vie psychiatrique de ce pays, et par ricochet de ce lieu. Je pense même que votre agacement vient précisément du terme « folle » que j’ai employé, et qui ne vous convient pas du tout. Je vais abonder dans votre sens : ça ne convient pas du tout, tout court.
Parce que c’est une insulte, si souvent, si souvent. Sauf peut-être dans l’expression « je suis folle de vous ». Ce qui, rassurez-vous, n’est pas le cas ici. Bref.
Oui, c’est vrai, j’ai péché, là. Et oui, vous avez encore raison : un lecteur interprète ce qu’il veut… Mais là, j’emboîterais plutôt le pas à Brassens. Vous savez, celui-ci préconisait : « mourir pour des idées ? d’accord, mais de mort lente ». Et bien « interprétons à notre guise, d’accord, mais des mots bien réels ».
Car si mon insulte était blessante, violente, elle ne faisait que répondre à une violence tout aussi réelle : affirmer que j’ai écrit ce que je n’ai pas écrit, que j’ai employé un mot que je n’ai pas employé. Balivernes, me direz-vous. Sauf qu’il s’agit de mots aussi chargés que des revolvers !
Je pense que c’est la limite de votre remarque : je me considère dans mon droit quand je veux qu’on évoque, à mon propos, et dans la liberté la plus totale de les apprécier ou non, les mots que j’emploie, non ceux que je n’emploie pas. Nous dirons que c’est là ma limite, et basta !
Un dernier mot : cette histoire aura eu au moins un avantage, c’est que Christiane aura eu votre soutien. Très sincèrement, j’aurais beaucoup apprécié, moi aussi, lors de toutes ces multiples années où, croyez-moi, j’ai été insultée plus qu’à mon tour, de bénéficier d’un appui comme le vôtre – tout comme Charlus, in fine, peut s’appuyer sur le bras de la fière reine de Naples. Hélas, j’ai bien peur que ce soit à moi seule de trouver ma sortie sous les huées.
Dont acte.
Dans la maison où elle a pris ses habitudes (et moi aussi), le programme des animations du jeudi après-midi est particulièrement heureux : de 14h à 15h, gym douce ; de 15h à 16h, messe.
Oui, aux Petites soeurs de pauvres (PSDP), il y a également beaucoup de messes tous les jours. Et un peu moins de gymnastique l’après-midi, malheureusement (1 fois/semaine seulement). Nous sommes tous confrontés aux EHPAD que l’on peut avec les moyens que l’on a. Il faudrait plus d’unités sécurisées pour celles qui s’y égarent la nuit, mais les places dans ces unités sont nettement plus chères. Et on n’a pas toujours un smartphone avec soi pour se divertir sur la rdl pendant qu’on l’accompagne et qu’elle vous reconnait de moins en moins. J’observe que cette commune attention compassionnelle n’induit pas les mêmes attitudes chez les accompagnants (époux ou enfants) : pour les uns, le calme et la douceur, pour les autres, la fureur atrabiliaire.
@16.40 et j’ajoute que je plaide également pour le retour de Ch. Mais que si elle n’y tient pas, -vu qu’elle aurait été injustement terrassée par son adversaire littéraire intime-, personne ne peut l’y obliger. Nous déplorons qu’elle en soit arrivée à pareille extrémité, alors qu’elle était devenue la conscience et l’honneur indiscutables de ce blog, comme le reconnaissait récemment passoul en privé.
Jean-Gabriel Ganascia, un expert en humanités numériques de l’U. Paris 6, président du comité d’éthique au CNRS, a publié un remarquable petit livre l’an passé, où il explique pourquoi l’intelligence artificielle (AI) ne doit pas être confondue avec la conscience artificielle (CA) qui n’est pas encore à notre horizon. Et c’est 1000 fois plus intéressant que nos délires littéraires à propos du Golem. Mais qui se soucie réellement de l’intelligence tout court, au juste, hormis gwg et celzéceux qui ont décroché leur thèse de doctorat en science cognitive ?
http://www.seuil.com/ouvrage/le-mythe-de-la-singularite-jean-gabriel-ganascia/9782021309997
Janssen J-J dit: 13 avril 2018 à 16 h 48 min
la fureur atrabilaire cela doit venir de loin.
calme et douceur c’est sans doute en fréquentant les grandes murailles.
Chuis pas sûr du tout que Brassens aurait aimé se faire emboîter (le pas) par Clopine.
Clopine à 16h40
si nous devons faire assaut de citations il y a d’Oscar Wilde « le rire est la politesse du désespoir ».
Pour le reste, je m’intéresse plus à l’antipsychiatrie qu’à la psychiatrie.
Cette nuit, eh oui, JJJ, je pensais à vous Clopine versus christiane et à Widergänger versus chaloux.
Me disais que dans les deux cas les derniers, christiane et chaloux s’intéressent bien plus à autrui que vous deux wider et vous-même hyper centrés sur votre nombril dont on se fout royalement.
Et je me répète, pck pas sûre d’avoir été entendue, chacun a le droit et l’entière liberté d’interpréter tout texte et toute image selon ses codes perso.
Ce qui signifierait que l’écrivant -et marguerite Duras s’en est vivement insurgée elle aussi, n’est plus propriétaire de ses écrits dès qu’ils sont publiés et soumis à la critique.
Après, libre à vous Clopine de dire je n’ai pas voulu dire cela, je ne suis pas cette femme.
Récemment, je me suis faite assassiner moi aussi. La personne en question était virulente.
J’ai accusé le coup.
Puis téléphoné à un type que je connais peu en lui demandant qu’est ce que tu en as pensé toi ?
Il m’a répondu « je me suis complètement régalé du début jusqu’à la fin ».
Cela m’a suffi.
Réjouissez- vous de l’approbation de quelques uns. On ne fait jamais l’unanimité.
Munbaï c’est très surfait.
–
MuNbai, oui, mais pas Mumbai, ou Bombay, où, grâce aux dons de richissimes parsis, Sir Dinshaw Petit (prononcer Pétite), fonda le Cercle franco-parsi en 1886, véritable centre de promotion et de diffusion de la culture française.
« Le 20 novembre 1886 a été inauguré à Bombay, par M. Henri Follet, Consul de France, le Cercle Littéraire… » Dès les années 1890,la bibliothèque contenait près de 2 000 ouvrages en français sur des thèmes variés attestant d’un savant éclectisme. En 1891, il comptait 200 adhérents, pour moitié des Anglais, des Portugais, des hindous, des juifs, des musulmans, et pour l’autre des parsis…
Une descendante de Sir Dinshaw Petit passait une certification de français cette semaine, à l’Ecole internationale allemande.
Voir la thèse de Samuel Berthet, Inde-France (1870-1962): Enjeux culturels, Institut Français de Pondichéry (bientôt disponible en ligne)
JJJ
cette nuit encore, je me suis posée la question de la troublante ressemblance entre Tarkovski et Terence Malik.
Onirisme, dieu, l’amour,
puis j’ai trouvé cela gonflé
j’y ai renoncé à établir un //.
Mais enfin, Rose, ne voyez-vous pas la différence entre « je n’ai pas voulu dire cela » et « je n’ai pas dit cela » ?
J’y renonce.
(il y va de ma santé mentale).
Encore que… quand on lit 1984… Il s’agit effectivement de LIRE
« la guerre c’est la paix »
et autres « interprétations »…
Bon, tentons encore un essai.
Euh…
« mignonne, allons voir si la rose »
Peut être interprété :
« Mi Nonne, allons voir s’il l’arrose ».
Certes.
Mais on ne peut pas, enfin, à mon sens, l’interpréter en disant :
« Liberté, égalité, fraternité »
Parce que ce ne sont pas les mêmes MOTS…
Interpétrez mes paroles tant que vous voudrez, mais j’interdis à Christiane, et à quiconque, de m’attribuer des mots que je n’ai jamais employés…
C’est quand même pas très difficile à comprendre, nom de zeus ???
«
Mais enfin Clopine je viens de.vivre exactement cela : je n’ai pas dit cela et une a compris autre chose.
Après avoir été totalement estomaquée, j’ai trouvé quelqu’un quiba compris ce que j’ai dit. Et c’était du verbal pas de l’écrit.
Chacun a le droit d’interpréter et je crois que nous le faisons tous.
Vous, développez ce qui vous appartient.
mais j’interdis à quiconque, de m’attribuer des mots que je n’ai jamais employés…
Vous vous enferrez, Clopine
Personne n’a à interdire quoique ce soit à autrui.
Allez, j’y renonce définitivement. La tête perdue, ne périt que la personne ; les couilles perdues, périrait toute nature humaine.
la lune est carrée et la terre est plate. Hugh. J’oubliais que les cochons volent et que, si j’écris le mot « noir », tout le monde a le droit de dire que j’ai écrit le mot « blanc ». Et vive les pommes de terre frites.
On pourrait rebondire, aussi, tiens, pourquoi pas ? La curieuse obstination de Rose à vouloir « interpréter » des mots qui n’existent pas pourrait s’expliquer par le désir (inconscient, tiens, allons-y, je suis en train de regarder la Maison du Docteur Edwardes), d’attirer mon attention sur elle ? Ou par une envie d’exister sur ce blog ? Ou par son incapacité à avoir une orthographe correcte, ce dont elle aurait une vague conscience ???
Oui, je parle bien de Munbai, Mumbay si vous préférez ou encore Bonbay pour ceux qui y sont depuis longtemps.
J’y possède une villa à Dharavi qui est un quartier très agréable.
Personne n’a à interdire quoique ce soit à autrui.
–
Oh ben si sinon on s’ennuie.
Je vais parler de ce cercle littéraire à mes petits voisins qui me font de la musique en tapant sur des bidons et des casseroles. Cela devrait les passionner. Nous allons organiser cela autour de la piscine avec des rafraîchissement.
J’aime beaucoup cette photo de Passou. Elle me suffit pour rêver de voyages et de littérature, de liberté.
Rose,
gardez votre légèreté.
Echanger avec cette personne conduit à refuser la caricature qu’elle fait de vous, à vous étonner devant des calomnies qu’elle a l’art d’inventer. Parfois, c’est surréaliste comme « les romanichels qui auraient accueilli Chéreau ». Enfin, ne pas s’arrêter à ses invectives ressassées et ne garder d’elle que certains textes au charme certain.
Votre Provence doit être bien belle.
Clopine , bien que mon soutien puisse paraître insignifiant je déclarez tout de même à votre endroit: allez je ne vous huerai point .
Christiane, vous n avez pas besoin de grand chose, en poussant un peu une Fiente d oiseau et hop vous embarquez pour Cythère. J aimerais pouvoir rêver aussi facilement.
Modérée à deux reprises.
vous avez de drôles de pensées roses la nuit, dites dong ! Mais au moins, ce sont pas des rêves sordides. Bong. @ 17.22 « mais je me suis régalé jusqu’à la fin », dit-il… comme répliquèrent à l’unisson clopin-clopinou à leur insupportable nombrilée, quand, pris à témoins, ils observèrent qu’elle était battue à plate couture, et par suite avait tendance à toujours plus s’enfoncer plus dans les sables de Bray, en voulant s’escarmoucher. Ils avaient du mal à l’en extirper… et un jour, elle allait y rester…
Pour ma part, j’aurais quand même pas mis Ch. et Ch. sur le même plan d’ouverture aux autres, car le 2e est un poil plus obtus et imbu, je trouve. Mais peut-être n’avez-vous jamais eu à subir la rudesse de ses assauts oniriques. Ce soir, le bourbon m’a un goût amer, les antidépresseurs ont l’air moins efficaces, mais baste ça va s’arranger. Vous souhaite plein de,
» Ou par son incapacité à avoir une orthographe correcte, ce dont elle aurait une vague conscience ??? »
Clopine Trouillefou dit: 13 avril 2018 à 18 h 08 min
On pourrait rebondire, ( sic 😉 ) aussi, tiens, pourquoi pas ? »
Celle-là est pas mal du tout. 😉 🙂
Bonne soirée.
mdr 😉 Pat V, j’avais vu aussi, mais pas osé… l’en foncée…
La photo de Passou est certes un alibi de fantasme, aussi.
Là aussi, polysémie certaine!
On dirait un sous-marin…avec un gros périscope.
Voir et ne pas voir, ordonner son propre plan de vision comme dans une thèse? Et puis se cacher la tête sous l’ eau pour finir le travail? 😉
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