de Pierre Assouline

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La République des livres
La grâce qui coûte

La grâce qui coûte

Il suffit parfois d’un signe de ponctuation dans un titre pour en modifier le sens et, partant, l’esprit du livre. Selon qu’Adieu curé (200 pages, 18 euros, empreinte/ temps présent) serait suivi d’un point d’interrogation, d’un point d’exclamation ou de trois points de suspension, cela annoncerait trois projets différents. L’absence de tout signe de ponctuation en annonce un quatrième écrit sous l’égide de l’apaisement et de la sagesse. Christian Delahaye, journaliste formé au Quotidien de Paris avant de se lancer dans une longue et brillante carrière au Quotidien du médecin, y tient son journal d’un curé de campagne à ceci près que, s’il vit bien à la campagne, il n’est pas curé. Il n’a pas voulu alors que tout, à commencer par une foi inébranlable, une détermination sans faille et sept années d’études théologiques notamment sur les bancs de la « Catho » à Paris, l’y poussait.

Très critique vis-à-vis de la cléricature, accablé par sa conception de l’enseignement des Evangiles, scandalisé par le tournant réactionnaire pris par le Saint-Siège avec l’élection de Benoit XVI, il a tout quitté à commencer par Paris, le confort d’un métier et l’assurance d’un salaire, pour se retirer aux confins du Perche, dans le maison d’un garde-barrière sur une ligne désaffectée du village de Saint-Aquilin-de-Corbion (61 habitants/ 10 habitants au km2), afin d’y étudier les Ecritures et surtout suppléer au départ du curé de campagne en laïc animé par la foi du diaconat. La grande Trappe et les cisterciens de saint Bernard ne sont pas loin. Son Journal ne consigne pas, comme c’est souvent la loi du genre, les menus incidents de la vie quotidienne mais essentiellement les vicissitudes d’un refus et d’un échec.

Pour autant, il n’est ni amer, ni aigri, ni triste ; car, éclairé d’une formidable ardeur et porté par un style tenu, exigeant mais qui ne dédaigne pas l’humour, il mêle son histoire personnelle de l’Eglise à l’Histoire de l’Eglise, l’autobiographie à l’analyse lucide, sans concession, de tout ce qui mine non pas tant le catholicisme français que l’Eglise de France. Moins ses scandales auxquels il avait déjà consacré un essai polémique aussi violent que la réalité qu’il dénonçait (la pédophilie) que ses omertas ordinaires dans toute leurs banales horreurs bureaucratiques, administratives, arrivistes, mesquines, lâches. Il lui a fallu autant de courage que d’inconscience pour s’attaquer à cette énorme machine à broyer les meilleures volontés. Et plus encore une indépendance et une liberté de ton qu’il a cher payées.

Son obstination lui a valu d’être boycotté par les autorités qui l’avaient jusqu’alors encouragé eu égard à la qualité de son parcours. Les temps changent mais la grâce d’être exclu demeure. Il ne cherche pas à renvoyer l’écho d’un loin épigone de Léon Bloy et ne s’est pas convaincu que tout individu possédant un euro lui doit cinquante centimes ; c’est ailleurs qu’il faut chercher la résonance car certaines de ses pages sont vraiment éclairées d’une flamme bernanosienne.

Lorsqu’il évoque la fin de la civilisation des paroisses, cette désertification dans les profondeurs de la France, le lecteur en a le cœur serré ; c’est aussi poignant que la consultation du blog Los pueblos deshabitados qui tient registre du dramatique abandon des villages de l’Espagne profonde par ses habitants attirés par la périphérie (Sergio del Molino a consacré au phénomène un livre remarquable La España vacía). L’analogie n’est pas gratuite car souvent en France, l’abandon de l’église du village faute d’un curé pour l’animer, puis faute de paroissiens, préfigure l’abandon du village même. En filigrane d’une expérience personnelle, Adieu curé se veut aussi la chronique de ces morts annoncées dans le sillage de l’agonie du père Guy Girouis, dernier curé de son village du Perche, mort d’un cancer à 75 ans sans successeur. Avec lui, veut croire Christian Delahaye, c’est un monde qui s’en va et signe sa fin, celui d’un système paroissial qui régulait la vie des campagnes depuis des siècles.

Ce bloc-notes, qui court de 1989 à nos jours, s’articule autour d’un axe dont il ne dévie pas : la confiscation du sacerdoce par les prêtres. Aucun mépris dans ce postulat mais la leçon tirée d’un constat : dans un pays en proie depuis des années à la crise des vocations, au moment où la disparition des curés de campagne annonce celle des curés des villes (j’emploie à dessein le mot « curé » au même titre que « prêtre » bien que, dans les commentaires de la RDL, on m’ait parfois reproché de le faire au motif que ce serait péjoratif et dédaigneux, ce que je ne crois pas ; pour les mêmes raisons, je ne suis pas prêt de renoncer au beau mot si mauriacien de « province » au profit exclusif de « région » pour des motifs d’assujettissement à la capitale qui paraissent obsolètes), le jour viendra où on ne comprendra même plus ce que signifie l’expression « Il faut remettre l’église au centre du village ».

« Faites ceci en mémoire de moi », certes, encore faut-il préciser ce que le « ceci » recouvre ; et aux yeux de l’auteur, il n’a plus grand rapport avec l’esprit ni même la lettre de l’Evangile. Il est vrai que rien n’est extravagant comme la prétention de parler au nom de Dieu ; il n’est pas nécessaire d’être un athée militant pour s’offusquer de cette appropriation de la parole divine par la fonction sacerdotale, laquelle accorde du coup au prêtre un statut proche du sacré.

Il tient l’abbé de Rancé, fondateur de la Trappe, pour « un ayatollah de la pire engeance » et « un terrible gourou » n’en déplaise à Chateaubriand. Il a fait sien l’adage latin que lui avait confié l’abbé Girouis sur son lit d’agonie : « L’homme est un loup pour l’homme, le prêtre est encore plus loup pour un autre prêtre et le moine est le plus loup de tous les loups pour les autres moines ». Il déteste ce que l’Eglise est devenue, du moins telle qu’il la voit, recluse en ses replis « identitaires et obscurantistes ». Avec son livre, depuis sa petite trappe, ce garde-barrière d’un nouveau type voudrait laisser l’Eglise à sa déréliction et appeler à une Eglise qui saurait dire adieu à ses curés.

On l’aura compris, ce chrétien là navigue vent debout contre les déclinistes qui attribuent le naufrage de la chrétienté à la sécularisation, non depuis Vatican II mais depuis les Lumières. Elle serait responsable de tout y compris de la pédophilie ecclésiastique. Christian Delahaye, lui, remonte plus loin encore pour traquer les maux qui rongent le message divin : quasiment à l’origine …

« … depuis que les héritiers autoproclamés des apôtres, captateurs de l’héritage de Jésus, puis les héritiers de ces héritiers ont fait dévier le Bonne Nouvelle areligieuse et l’ont détournée sur la voie cléricale, sacralisant les prêtres au pouvoir religieux, leur asservissant les laïcs et dénaturant ainsi l’Evangile »

La dénonciation de ce processus inscrit dans la longue durée est le fil d’Ariane de son livre. S’il y a un scandale à ses yeux tant au sens latin qu’au sens grec (σκανδαλον scandalon, piège sur le chemin, traduit de l’hébreu מוֹקֵשׁ moqesh par les translateurs de la Septante, conservé dans le latin scandalum, puis dans la rédaction des Evangiles), c’est bien l’institution cléricale d’un pouvoir sacré alors que Jésus était venu l’abolir. Plus que de s’en affliger et de se perdre en déplorations, il y trouve matière à méditation sur le sens de l’Histoire, et y puise une énergie qui ne faiblit pas. Ce constat le porte et le stimule quitte à réaffirmer des vérités tel que le caractère d’« adage totalitaire » du fameux « Hors de l’Eglise point de salut »

L’une des cibles de Vatican II fut la figure du prêtre, son statut, son rapport aux laïcs. Le premier fut désinvesti de ses pouvoirs quasi surnaturels au profit des seconds tenus pour des successeurs des apôtres, tout baptisé participant à la fonction prophétique, royale et sacerdotale du Christ. En d’autres temps, le philosophe Jean Guitton si proche de Paul VI, qui termina le Concile en 1965, eut été fait prince de l’Eglise. C’est peu dire que ses livres figurent en bonne place au chevet de l’auteur : il est vrai qu’ils annonçaient l’avènement des laïcs théologiens ce qui repoussait assez loin la volonté de réforme du Concile puisque n’importe quel chrétien prenait alors le pas sur les prêtres. Pourtant, aux yeux de ses partisans, il souffrait d’être inachevé.

L’appel d’air voulu par Jean XXIII, qui ouvrit le Concile en 1962, fut si puissant que la réaction ne se fit pas attendre « bétonnant la citadelle en ruine ». Le pape François, que les chroniqueurs de la curie romaine disent souvent « entravé » par l’aile réactionnaire de son gouvernement, pourrait très bien agir pour faire respecter un esprit d’ouverture qui ne l’est plus, car il jouit d’un pouvoir absolu : l’Histoire témoigne en maintes occasions que « lorsqu’un pape veut, il peut ».

On pourra chercher querelle à l’auteur sur le trop grand cas qu’il fait de ses auteurs de référence, du père Congar à Yuval Noah Harari en passant par Jean Guitton et surtout Dietrich Bonhoeffer dont les livres annonçaient le retour de l’Eglise dans le Moyen Âge (et, partant, Delahaye dénonce si souvent le retour à une église, une époque, un esprit « moyenageux » qu’on aimerait lui rappeler, sans entamer un débat à ce sujet, que le Moyen Âge ne fut pas le trou noir de la pensée)

Tous ses efforts pour trouver un emploi dans le diocèse sont demeurés vains. Il y a bien eu quelques exceptions de temps à autre en raison de son expérience journalistique ; mais tout en le recevant et en louant ses qualités, les autorités ecclésiastiques se sont bien gardé de lui confier des missions d’évangélisation pour lesquelles il avait toute compétence, jusqu’à le barrer officiellement. Trop électron libre, trop écorché vif. C’est diacre qu’il voulait être, c’est servir dont il rêvait mais son long combat pour y parvenir et la franchise de ses livres ont été si mal reçus par elles qu’elles l’ont décrété « pas digne de confiance ». Il porte désormais cette condamnation sur le dos comme une tunique d’infamie, sa lettre écarlate. C’est peu dire qu’il le vit comme une injustice et on se doute qu’Adieu curé n’arrangera rien. Et il n’a aucun recours, tout appel d’une telle décision étant impossible car l’évêque a tous les pouvoirs, il est pape en son diocèse. L’église de Saint-Aquilin-de-Corbion possède des fenêtres romanes mais elles sont murées…

Il y a du théologien paysan en lui travaillé par le souvenir d’un Thoreau à ceci près que le Perche est son Massachussets et que la voie de chemin de fer désaffectée près de laquelle il s’est enraciné est son lac Walden. Résigné depuis sa petite trappe de Saint-Aquilin-de-Corbion au risque d’une existence précaire, plus que jamais voué à son absolu du sacerdoce, il vit désormais un monachisme laïc et intériorisé à la lumière de la parabole du laboureur sur la grâce qui coûte (Matthieu, 13, 44) puisque telle est sa vraie vocation, loin des institutions, libre. Son livre, qui n’a sollicité ni imprimi potest, ni nihil obstat, ni imprimatur, mériterait d’être reçu par tous magna cum laude probatus.

(« Saint-Aquilin-de-Corbion, sa mairie, son église » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Essais.

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commentaires

1 345 Réponses pour La grâce qui coûte

Janssen J-J dit: à

@ jzmn : Jean Guiton est mort à La Jarne, près de La Rochelle. Ce village s’appelait alors « Repose Pucelle ».
@ Jicé : « Bref, tout s’écoule et rien ne tient bon ». Hormis le jogger du matin, hélas… toujours là.
@ Bl…: – Vérités de la rdl : se montrer très tolérant à l’égard des fôtes des amis, et impitoyable à l’égard des fautes des ennemis. Mon exemple était bien choisi.
@ genre… : l’un dit « la lèche recommence », et l’autre : « je commente vos billets »…
@ SV, pour lui c’était simple, il imaginait Faustine ressembler à Louise Brooks, il le signalait d’ailleurs explicitement dans une correspondance, hélas détruite dans un incendie après sa mort. – (Avez-vous naguère chroniqué Les Furtifs ? Si oui, merci pour le lien, le k échéant)…
@ PC et Ph B – Tire un bon coup…, mais surtout rate pas ta cib’ !
@ —-> Astra Senèqu’1 au revoir, mes sœurs la Mousson… 🙂

(Bàt & à rptv, = 2.8.21@9.18 – en train, désormais)

rose dit: à

Bloom

Ronds-points destinés à ralentir.
Bcp de morts encore sur les routes.

et alii dit: à

Bloom,
dévisagé une partie du littoral vendéen.
ne serait-ce pas « défiguré » plutôt?
ne criez pas au loup, je vous en prie après moi, gardez ce cri pour quand pointe le cinéphile !

Jazzi dit: à

A force de pratiquer l’anglais, Bloom en perd son français, et alii !

JiCé..... dit: à

RECTIFICATION
@JJJ, un couillon verbeux parmi des couillons muets mais vaccinés…

De façon quasi certaine je me sens mourir peu à peu depuis l’âge de raison, espèce de taré à la dérive, pourquoi m’en inquiéter ?! Hélas pour toi, huitre toute en coquille, ta connerie restera vivante, éternelle, immortelle, pour les siècles et les millénaires à venir. Pauvre ouvreuse ridée d’un cinéma vide de spectateurs !

et alii dit: à

je n’aurais pas dû écrire cinéphile :mais est-ce bien de lui , le jazzi ,que parlait renato en disant concierge? CE MOT QUI RIME AVEC CIERGE et qui lui va si bien!

Janssen J-J dit: à

-Saint Aquilon de Corbin ? – (non signalé dans Les cloches de la terre).
-Personnellement, je trouve très orgueilleuse l’attitude qui consiste à sans cesse vanter ses succès de librairie par presse locale interposée. Ce n’est pas bien.
-Et d’ailleurs, tous les hésitants à la vaccination y compris des vaccinés, peuvent à bon droit protester contre la décision autoritaire du « passe obligatoire ». Il convient d’interroger leur supposées attitude illogique, aux esprits simples et manichéens de la rdl. Ou du moins, de la leur faire creuser. Les GJ ne sont pas toujours tapis là où on les croise dans les marges et les recoins.

Janssen J-J dit: à

@ ta connerie restera vivante, éternelle, immortelle, pour les siècles et les millénaires à venir

Que de mots besogneux pour résumer l’adjectif idoine, très flatteur entre nous : « immarcescible » !…
Bàv, joli crottin de chavignol !

Jibé dit: à

La campagne, défigurée par les rond-points, c’est vrai.
Pire que tout: les entrées de ville et même de très petites villes. Des centaines de mètres de ZAC avec des panneaux grands comme ça. Une horreur qui commence en rase campagne. Et le mitage (bien nommé) des lotissements, aggravé par les panneaux grands comme ça en annonçant d’autres.

Jibé dit: à

« Repose Pucelle ».
ça, c’était de la belle campagne, une grâce.

Jazzi dit: à

« ne criez pas au loup, je vous en prie après moi, gardez ce cri pour quand pointe le cinéphile ! »

Vous avez oublié la majuscule en début de phrase, et alii.
Non seulement vous ne manquez jamais de relever la moindre de mes fautes d’orthographe ou de frappe, mais en plus vous me désignez à la vindicte générale !
Serais-je votre book hémisphère, comme l’écrirait, JJJ ?
(Passou qui a corrigé les coquilles que je lui avais indiquées, ne m’a pas dit merci. Les bonnes habitudes erdéliennes se perdraient-elles ?)

Janssen J-J dit: à

Oui, je trouve aussi, Jibé ! Bàv,

renato dit: à

« La campagne, défigurée par les ronds-points… »

Il suffirait de presque rien : respecter le code de la route. Bon, il est vrai qu’il s’agit d’une limitation arbitraire de la liberté…

Jazzi dit: à

« le jazzi ,que parlait renato »

Vous parlez le petit nègre, et alii ?

Jazzi dit: à

Sous les Gilets jaunes les ronds-points, JJJ !

closer dit: à

Tu oublies Saint Geneviève et Catherine Segurane, Barozzi. L’histoire de France est riche en femmes prodigieuses.

D. dit: à

Oui c’est la civilisation du beauf péri-urbain. Dont le projet ultime est une petite maison de pacotille au carrelage blanc et froid avec 100 m2 de terrain aplani dégueulasse de mauvaise terre de remblai. La chambre des petites sera criarde de rose et de violet, la reine des neiges y sera partout. Les parents économiseront pour le McDo du dimanche et le parc Asterix.
Rien ne sera transmis puisque la pacotille se jette. Les enfants s’éparpilleront et reproduiront cette pauvreté. Parfois, une fois sur cent un rejeton étrange apparaîtra et fera Normale Sup.

Bloom dit: à

ne serait-ce pas « défiguré » plutôt?

Oui, un anglicisme de ma part (defaced)…saccagé,ravagé, comme après le passage des barbares…Beurrk

et alii dit: à

GOAT. Acronym for “greatest of all time.”

Jazzi dit: à

Combien de kilos en surpoids depuis que vous êtes privée de la marche, ô ma grasse et alii ?

D. dit: à

Je suis de l’avis de Monsieur Charoulet : le tir au pistolet est un jeu, un loisir, un art si on veut, mais pas un sport.

Jazzi dit: à

Des nouvelles de puck, D. ?
Jean-Jacques n’aura pas duré bien longtemps…

et alii dit: à

jazzi, son rôle préféré :la balance
express:
La « balance », dès lors qu’elle est repérée, devient un pestiféré qui risque à tout moment de le payer de sa vie. Souvenons-nous par exemple de François Scapula qui avait livré l’identité des protagonistes de l’assassinat du juge Michel en 1981. Évadé d’une prison suisse en 2000, il aurait par la suite subi plusieurs opérations de chirurgie esthétique faciale aux Etats-Unis. L’informateur, par définition, continue de baigner dans le Milieu. Alors que de nombreux meurtres sont commis en réponse à des querelles de territoires, de vol de butin, de retard de paiement ou de rancunes personnelles, il est impossible de quantifier ceux perpétrés à l’égard des balances.

et alii dit: à

balance (et scandales?)
« David R. Forde
David R. Forde est professeur de criminologie et de justice pénale et directeur de la Mid‐South Social Survey à l’Université de Memphis. Ses intérêts de recherche comprennent les processus de victimisation interpersonnelle, la prévention du crime et les innovations dans les méthodes de recherche par sondage. Ses publications récentes sont parues dans Violence & Victims, Journal of Interpersonal Violence et Child Abuse & Neglect.
David R. Forde
David R. Forde est professeur de criminologie et de justice pénale et directeur de la Mid‐South Social Survey à l’Université de Memphis. Ses intérêts de recherche comprennent les processus de victimisation interpersonnelle, la prévention du crime et les innovations dans les méthodes de recherche par sondage. Ses publications récentes sont parues dans Violence & Victims, Journal of Interpersonal Violence et Child Abuse & Neglect.

et alii dit: à

Dans le sport individuel, le surnom serait réservé aux joueurs qui ont remporté le plus de victoires dans les tournois majeurs. Une attention particulière est accordée aux joueurs qui ont joué à des époques aux côtés d’autres grands joueurs.

Le terme a été popularisé ces dernières années, les fans répondant généralement à un grand jeu ou à une réalisation d’un joueur en utilisant l’emoji d’une chèvre.

L’idée d’un « plus grand de tous les temps » a été popularisée par le légendaire boxeur Muhammad Ali qui s’est décrit comme le plus grand après sa victoire sur George Foreman en 1974.

Il a dit : « Je vous l’ai dit aujourd’hui, je suis toujours le plus grand de tous les temps. Ne me bats plus jamais. Ne dites plus jamais que je vais être vaincu. Ne faites plus jamais de moi l’outsider jusqu’à ce que j’aie environ 50 ans. Alors vous pourriez m’avoir. »

Quelles stars du sport sont considérées comme des GOAT dans leur sport ?

Dans le football américain, Tom Brady est depuis longtemps dans la

Janssen J-J dit: à

@ jzmn vous voudrez bien remarquer que…:
https://beyondthemaps.wordpress.com/2018/08/26/repartition-des-ronds-points-en-france-edition-2018/
…ce n’est pas en Charente-Maritime que l’on compte le plus grand nombre de gilets jaunes, mais en Loire-Atlantique !…
D’après la DISR, les infrastructures RP auraient économisé 27000 morts au pays par rapport à l’époque de leur inexistence, TCEPA… Effectivement, les RP jaunes enlaidissent le paysage péri-urbain. Et on sait bien que les soucis esthétiques des ‘anti bagnoles’ doivent prévaloir sur les soucis sécuritaires des pro… Bàv,

renato dit: à

Enfin, D. ! les bases du tir sportif :

— précision : œil vif, main ferme, bonne stabilité ;
— force mentale : seulement ceux qui sont mentalement prêts (capables concentration) touchent le centre ;
— bonne forme physique : le meilleur tireur est celui qui bouge le moins possible.

Janssen J-J dit: à

@ r. / Ai jamais bien trop compris ce qu’on lui trouva de si extraordinaire à ce Caruso, hormis qu’il fut un chanteur Italien célèbre… à la réécoute des pécheurs de perles, par exemple.
https://www.youtube.com/watch?v=t936rzOt3Zc
Mais suis prêt à être convaincu par votre cause si vous nous expliquez le K échéant, merci d’avance… Bàv,

et alii dit: à

ce qui avait défiguré l’entrée de grandes villes, c’est l’installation des hyper marchés (par exemple l’entrée de Tarbes )

Jazzi dit: à

« L’histoire de France est riche en femmes prodigieuses. »

On est encore loin de la parité, closer.

« La fille la plus sainte après la Sainte Vierge »
CHARLES PÉGUY

Jazzi dit: à

« La fille la plus sainte après la Sainte Vierge »

Jeanne d’Arc, bien sûr, pas et alii !

et alii dit: à

Il ne cherche pas à renvoyer l’écho d’un loin épigone de Léon Bloy et ne s’est pas convaincu que tout individu possédant un euro lui doit cinquante centimes ;

ce n’est pas comme le concierge qui mendie même « merci »!

Jazzi dit: à

Le littoral atlantique adore les ronds-points, JJJ !

Jazzi dit: à

Le mendiant mendie et le concierge a droit à des étrennes, et alii.
Et le curé fait la quête.
Parlons français !

et alii dit: à

je ne sais plus où j’ai lu que des « résistants » se donnaient rendez vous devant l’église pour ses passer les « consignes »
je ne peux pas le rechercher là maintenant ;

renato dit: à

Peut-être, 3J, parce qu’il fut le premier chanteur d’opéra à s’essayer à la reproduction technique, jusque-là boudée par les autres chanteurs — dix disques avec des airs d’opéra —, il est par ailleurs le premier artiste de l’histoire à vendre plus d’un million de disques avec l’air Vesti la giubba. Puis l’on raconte beaucoup d’anecdotes, mais vaut-t-il la peine de le rappeler ?

Pourmapar dit: à

(par exemple l’entrée de Tarbes )

La route y est un haricot.

et alii dit: à

aujourd’hui, :
Lieux de spiritualité et de rassemblement, les églises constituent souvent
le cœur des villages et des hameaux.
De l’an Mil au XIXè siècle, partez en
autonomie sur les traces de leurs bâtisseurs et de ceux qui les font vivre.
Les églises sont ouvertes pour vous
et, sur chaque site, des informations
historiques et patrimoniales vous
sont proposées.
https://www.cahorsvalleedulot.com/files/ot-cahors/files/fichiers/programme-journees-patrimoine-cahors-lot-2017.pdf

Janssen J-J dit: à

merci Rm, c’est à peu près la raison que je m’étais imaginée de son audience… Cela dit je ne connais pas trop les anecdotes sur sa vie. Furent-elles croustillantes, au moinss ? Connaitriez-vous une bonne bio de Caruso en français ?
Bàv,

et alii dit: à

La création de la ligne Bordeaux-La Sauve en 1873 n’a pas pour autant été synonyme de création de garde-barrières aux passages à niveau sur le territoire de Latresne. Les passages sont dangereux et les habitants se plaignent que les trains ne sifflent pas assez tôt pour signaler leur passage. Il faudra plusieurs accidents, dont certains mortels, pour que la compagnie d’Orléans mette enfin en place des garde-barrières en 1898, soit 25 ans après la création de la ligne! La garde de la barrière était souvent confiée à une femme, épouse ou veuve d’un cheminot de la voie. Le confort de ces maisonnettes était réduit à leur plus simple expression: quatre petite pièces, pas de sanitaire ni d’eau courante ou d’électricité (parfois jusqu’en dans les années 60). Seul un petit poêle à charbon assurait le chauffage de l’ensemble. Souvent ces maisons “jouet” possédaient un jardinet pour améliorer l’ordinaire par quelques légumes, et en élevant poules et lapins… Sans parler de l’isolement, le quotidien de la garde-barrière était contraignant. Aux heures d’ouverture de la ligne, il lui était bien sûr interdit de quitter les lieux et sa responsabilité était totale en cas d’incident. Dès lannonce d’un train, la garde-barrière devait tout quitter, casserole sur le feu, bébé dans le berceau, pour courir fermer la barrière.
https://www.cirkwi.com/fr/point-interet/163882-maison-du-garde-barriere

Jean-Jacques dit: à

Voulez-vous m’épouser et alii ? On nocera comme des rois et Jazzi ainsi que Janssen, ces deux andouilles roturières seront nos deux témoins de mariage.

Patrice Charoulet dit: à

PRINCIPES LOGIQUES

On distingue généralement quatre principes logiques : le principe de contradiction (ou de contrariété), le principe de milieu exclu, le principe du syllogisme, le principe d’identité. J’ai la faiblesse de préférer ce dernier. Que dit le principe d’identité ? « Ce qui est, est ; ce qui n’est pas, n’est pas. » Admirable !

renato dit: à

Je ne suis pas fan des biographies, J3, j’avais jeté un coup-d ’œil à Enrico Caruso, a Biography de Key & Zirato, un vieux livre trouvé à la bibliothèque du conservatoire. Toutefois les deux ou trois choses que je me rappelle de Caruso je les dois à un cours sur l’origine de l’industrie culturelle. Incidemment, les élevés des cous de chant parlaient de l’eau qu’il buvait pour entrai tenir son organe vocal, de son amour fou pour Ada Giachetti une soprano qui l’abandonna après 11 ans de vie commune et deux enfants, de son échec lors de son premier contrat avec la Scala…

et alii dit: à

Jean-Jacques vous allez vite en besogne! si vite que vous invitez des faux-témoins! attention!

et alii dit: à

Un jardin de curé est à l’origine un jardin clos près de l’église et du presbytère, à vocation avant tout utilitaire. Ce jardin qui pouvait être celui d’un curé, d’un évêque ou d’une congrégation religieuse avait pour but de pourvoir à la subsistance de quelques personnes en fournissant des légumes et des fruits, c’est donc à la base un jardin potager, mais aussi des fleurs, pour fleurir l’autel, et, dit-on, une vigne pour le vin de messe ainsi que quelques plantes médicinales.

C’est devenu un style de jardin dont la première caractéristique est de mélanger les fleurs et les légumes ainsi qu’une grande variété de plantes simples, traditionnelles, non sophistiquées, dont des plantes condimentaires. Le plan en carrés, plus ou moins rigoureux, est adouci par le mélange des plantes vivaces et annuelles. On n’y trouve pas de pelouses, sauf parfois en guise d’allées, délimitées
wiki

et alii dit: à

La Curé est une variété de poire découverte à la fin du xviiie siècle, dans l’Indre.

et alii dit: à

Poire d’origine berrychonne, elle a été découverte dans les bois de Fromenteau par le curé de Villiers-en-Brenne1.

Le fruit a été trouvé par hasard, en 1760, par M. Leroy, curé de Villiers-en-Brenne, près de Clion (Indre). André Leroy, pépiniériste et auteur du célèbre Dictionnaire de Pomologie, prétend, en 1867, qu’il a prélevé des greffons directement de l’arbre-mère de Clion pour diffuser la « Curé ».

Avec et sans l’aide d’André Leroy, de l’Indre, la poire « Curé » s’est répandue rapidement dans toute la France puis dans le monde entier. Elle est rapidement devenue la poire française la plus estimée2, à son époque.
ne pas confondre avec la poire pour la soif!

Janssen J-J dit: à

-Anéfé, je décline l’invitation pour vos épousailles janjak et taxfl, quelle horreur !… Je vous conseillerai plutôt Passoul et SMS, ç’aurait plus de gueule littéraire !… En cas de défections, 75 et 57, très bons pour le choix des cantiques !…
-<Merci pour les qq éléments de biog- de Caruso, êtes tjs csqt avec vous-même s/le commentarium, rm, j'apprécie fort en dépit de nos divergences bien naturelles, parfois, croyez le bin.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Le Curé, c’est surtout un petit fleuve qui passe pas loin dans la contrée. Il nous en a fait voir de belles, cet hiver, en crue qu’il était… Et maintenant, quasi à sec… Turgescences climatiques… hein !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cur%C3%A9_(fleuve)

D. dit: à

Le tir, l’équitation, le bobsleigh… autant de faux sports qui n’ont rien à faire aux JO. Dont on se fout par ailleurs. De toutes façons.

closer dit: à

JJJ l’interprétation de Lucevan le stelle par Caruso que j’ai mis en ligne est admirable, même si on peut la considérer comme un peu trop mélodramatique pour le goût actuel.

Il faut évidemment aussi tenir compte de la technique qui ne nous donne qu’une restitution imparfaite.

Janssen J-J dit: à

ttes mes excuses closer, je vous ai pris pour RM… on finit par plus trop savoir à quoi on s’adresse… Nonobstant, ai apprécié votre lien sur Caruso, puis ai navigué à vue… J’entends bien ce que vous me précisez… Oui… Et suis tombé sur Alagna chantant un air de Léoncavallo (dans Paillasse), c’est quelque chose, aussi, non ?
(ma soupe est en train de cramer, j’y vais, hein, vous laisse)…

D. dit: à

La luge, le skeleton, le tir à l’arc et le golf, le ski acrobatique, tout cela ne ressemble guère à des sports. L’effort physique y est extrêmement réduit ou trop ponctuel en fréquence et durée.

D. dit: à

Ce midi je bouffe une côte de boeuf à moi tout seul, avec des frites.

Jazzi dit: à

Avec toi faut nourrir aussi tous tes pseudos, D., ça sera juste !

renato dit: à

Avec des frites ?! des pommes de terre rissolées et un os à moelle elle serait mieux accompagnée votre côte de bœuf, il me semble, D.

et alii dit: à

nouvelle carte d’identité:
On notera également quelques nouveautés de forme. L’Union européenne imposant que les catégories (nom, date de naissance…) soient affichées en plusieurs langues, on les trouvera en français et en anglais.

Jean-Jacques dit: à

Moi je ne bouffe rien, je jeûne toute la journée par sagesse, ma propre sagesse qui me surprend et me dépasse.
Au diable la logique et ses principes, vive ma sagesse.

Jazzi dit: à

« (ma soupe est en train de cramer…) »

En plein été et à midi, JJJ !
C’est le vieux fond agricole en vous qui reprend le dessus…

Janssen J-J dit: à

Il n’a jamais été mis en dessous, même dans la grande capitale et en fancilie durant 40 plombes… L’ai toujours trimballé avec moi, le vieux fond… Epi, « en plein été », faut le dire vite… Icite aussi, c’est l’automne bien emballé, et la soupe à l’Oignon, c’est toubon !…
Pour vos révisions de géo avec etalii, et vous inciter à sortir de votre zone habituelle de confort, -ce qui ne fera de mal à personne-, voici la liste des rivières françaises commençant par la voyelle O… Personnellement, je ne me suis bassiné que dans huit d’entre elles, au cours de ma carrière de nageur.
Odon (Orne)
Œil (Aumance)
Ognon (lac de Grand-Lieu)
Ognon (Saône)
Oignin (Ain)
Oir (Sélune)
Oise (Seine)
Oison (Seine)
Orain (Doubs)
Orbiel (Aude)
Orbieu (Aude)
Orge (Seine)
Oriège (Ariège)
Orillon (Ardre)
Ornain (Saulx)
Orne (Moselle)
Orne champenoise (Sarthe)
Orne saosnoise (Sarthe)
Orthe (Sarthe)
Osse (Gélise)
Othain (Chiers)
Ouanne (Loing)
Ouche (Saône)
Oudon (Mayenne)
Ouette (Mayenne)
Ougeotte (Saône)
Ource (Seine)
Ourcq (Marne)
Ourse (Garonne)
Oust (Vilaine)
Ouvèze (Rhône)
Ouysse (Dordogne)
Oyon (Aff)
Ozanne (Loir)
Oze (Brenne)
Ozerain (Brenne)

D. dit: à

Bon ecoutez, renato, vous commencez à me courir sur le haricot.
Si j’ai envie de faire des 🍟 je fais des 🍟. Un point c’est tout. Flûte, alors.

D. dit: à

C’est un monde.

D. dit: à

Moi j’ai eu mes deux grands-mères qui étaient garde-barrière.

Janssen J-J dit: à

La plus grand sport de tous les sports complets dignes de ce nom, c’est le curling, il y faut au moinss les compétences exceptionnelles des erdélinen.nes handicapé.es, surtout en été !…

Janssen J-J dit: à

Moi j’ai eu mes deux grands-mères qui étaient garde-barrière.

Moi, je ne vanterais pas d’une extraction pareille. Une honte quand on prétend sévir et garder ses distances sur le plus prestigieux blog littéraire de la République, face aux trains qui passent.

(faire des 🍟 ; c koi déjà ?)

closer dit: à

Des fois que l’on ne comprenne pas que Carte d’Identité c’est Identity Card, République Française, French Republic, Nom, Name, et adresse, address !

renato dit: à

Un pavé de rumsteak avec des frites ça va encore, D., mais une côte de bœuf !

renato dit: à

Pirandello chez Paul Edel

et alii dit: à

,toubon, c’est pour la grâce?
Jacques Toubon, né le 29 juin 1941 à Nice, est un haut fonctionnaire et homme politique français.

Il est notamment député de 1981 à 1993, maire du 13e arrondissement de Paris de 1983 à 2001, ministre de la Culture puis de la Justice entre 1993 et 1997, et député européen de 2004 à 2009.

Il assure la présidence du conseil d’orientation de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration de 2007 à 2014, avant d’être Défenseur des droits durant six ans, jusqu’en 2020.

et alii dit: à

toubon, c’est pour la francophonie? »j’avions pas conpréhendé!

D. dit: à

Ma plus jeune soeur, qui a 34 ans, est actuellement garde-barrière dans les environs de Vierzon. C’est un métier qui demande de la presence, elle ne se promène pas beaucoup.

Jazzi dit: à

« Jacques Toubon, né le 29 juin 1941 à Nice, est un haut fonctionnaire et homme politique français. »

C’est pour vos fiches de concierge de la RDL ou vos fiches des RG, et alii ?

et alii dit: à

c’est pour la mémoire du bateleur du marché niçoisà sa manman

Jazzi dit: à

Ma mémoire est plus belle que la votre, et alii.
Je n’oublie pas la triste mort de votre mère…

et alii dit: à

Du « blanchiment » qui prend toutes les couleurs de l‘arc-en-ciel
 » Pourtant, les comédiens et comédiennes issus des minorités ethniques sont encore souvent cantonnés à des rôles secondaires. Les réalisateurs justifient le fait de construire leurs films autour de personnages centraux blancs par le fait qu’il serait soi-disant impossible d’obtenir des financements si le film n’est pas porté par une superstar du grand écran (encore majoritairement blanche), et que c’est ce que le public voudrait voir. Le même raisonnement s’appliquerait aux acteurs et actrices LGBTQIA+, qui seraient délaissés car ils ne sont pas assez connus. C’est la raison pour laquelle, par exemple, la célébrissime Scarlett Johannsen a été pressentie pour jouer un homme trans dans le film “Rub and Tug”, avant qu’une vague d’indignation du public ne fasse capoter le projet [3].
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2021/08/-whitewashing-pinkwashing-etc.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29

et alii dit: à

une bio:
orsque la biographie définitive de Roxana Robinson sur O’Keeffe a été publiée pour la première fois en 1989, elle a reçu des critiques élogieuses et a été nommée livre remarquable de l’année par le New York Times . Cette nouvelle édition présente une nouvelle préface de l’auteur plaçant O’Keefe dans un contexte artistique au cours des trente dernières années depuis la première publication du livre, ainsi que des lettres inédites de la jeune O’Keefe à son amant, Arthur MacMahon. Il relate également l’histoire de la propre rencontre de Robinson avec l’artiste. Alors que l’intérêt pour O’Keeffe continue de croître parmi les amateurs de musées et les universitaires, ce livre reste indispensable pour comprendre sa vie et son art.
Georgia O’Keeffe: A Life de Roxana Robinson est publié par Brandeis University Press et est disponible en ligne et dans les librairies.
https://hyperallergic.com/602140/rereading-georgia-okeeffes-biography-in-a-new-light/?utm_medium=email&utm_campaign=B080221&utm_content=B080221+CID_fd9919bd6be3a753352508d68d764625&utm_source=hn&utm_term=Rereading%20Georgia%20OKeeffes%20Biography%20in%20a%20New%20Light

Jazzi dit: à

Le futur Nobel de littérature, Jean Langoncet ?
https://www.bing.com/videos/search?q=Sparks+meilleures+chansons&ru=%2fsearch%3fq%3dSparks%2bmeilleures%2bchansons%26filters%3dcatguid%3a%25224be4829e-6f6b-456d-bafe-02f12e0f9293_498707c2%2522%2bdtbk%3a%2522MCFvdmVydmlldyF0b3Bfc29uZ3MhNGJlNDgyOWUtNmY2Yi00NTZkLWJhZmUtMDJmMTJlMGY5Mjkz%2522%2bpsid%3a%25224be4829e-6f6b-456d-bafe-02f12e0f9293%2522%2bsegment%3a%2522generic.carousel%2522%2bsid%3a%25224be4829e-6f6b-456d-bafe-02f12e0f9293%2522%26FORM%3dDEPNAV&view=detail&mid=5EECE250709210848AA05EECE250709210848AA0&&mmscn=vwrc&FORM=VDRVRV

et alii dit: à

jazzi, je ne vois pas ce que vous pourriez savoir de la mort de « ma mère » ce n’est pas pour des imitateurs vulgaires de votre genre

et alii dit: à

et rappelez-vous jazzi ce qui plaisait tant à votre amie christiane ,que « ce dont on ne peut parler, il faut le taire » (wittgenstein)

et alii dit: à

Confessions d’un hérétique
Informations supplémentaires sur le livre
Série : Notting Hill Editions
ISBN : 9781912559343
Pages : 208
Date de publication : 24 août 2021

CONFESSIONS D’UN HÉRÉTIQUE
ÉDITION RÉVISÉE
par Roger Scruton , introduction par Douglas Murray
culture : comment pouvons-nous entretenir une véritable amitié à travers les médias sociaux ? Pourquoi l’État-nation vaut-il la peine d’être préservé ? Comment parvenir à une mort opportune face aux progrès de la médecine moderne ? Cette collection provocante cherche à répondre à certains des problèmes les plus urgents de notre époque.

Pourmapar dit: à

Bon ecoutez, renato, vous commencez à me courir sur le haricot.D.

Etait-il au rond-point à Tarbes, au moins?

et alii dit: à

The Private Memoirs and Confessions of a Justified Sinner est une histoire surprenante de meurtre et de folie qui se déroule à une époque de troubles comme la nôtre. Robert Wringhim est un fanatique religieux : l’un des élus de Dieu qui se croit libre d’ignorer les règles de la morale – une opinion dans laquelle il est très encouragé par l’étranger insaisissable et particulièrement frappant qui devient son ami le plus cher. Décrivant la séduisante dépendance mutuelle de ces âmes sœurs et la manière – efficace au début, puis de plus en plus intoxiquée – de régler leurs comptes avec leurs ennemis (et bien sûr ceux de Dieu), James Hogg présente une image puissante du mal dans le monde et dans le cœur. et l’esprit. Ce travail d’humour noir, de perspicacité psychologique aiguë et, en fin de compte, d’humanité profondément compatissante est l’un des chefs-d’œuvre de la littérature en anglais.
Ce livre me hante depuis l’époque des étudiants. Cela a eu une influence sur la littérature écossaise et certainement sur mes propres histoires de l’inspecteur Rebus. et les tueries en série.
– Ian Rankin, la bête quotidienne

Le grand roman de James Hogg se déroule dans l’Édimbourg du XVIIIe siècle, une ville de nuit et d’ombre, d’espions cachés et de poursuivants invisibles, de wynds sombres et de recoins crépusculaires. Le roman se dédouble et se dédouble, ses thèmes et ses personnages : deux textes, l’un à la suite de l’autre, sont écrits de deux points de vue différents ; racontant la même terrible histoire, ils se contredisent ici et là, formant un diptyque asymétrique, d’autant plus captivant par ses discordances et ses conflits.

et alii dit: à

Précisé par wiki:
Loin d’une définition particulariste de son identité, Scruton se définit respectivement comme « intellectuel français, Anglais de naissance, romantique allemand, Virginien fidèle, patriote tchèque, et, comme Sylvia Plath, peut-être un peu juif aussi (voir le chapitre « How I discovered my name » dans Gentle Regrets)18».

Janssen J-J dit: à

ses deux grand-mères étaient garde barrière…
L’une en face de l’autre, sur sa chaise, en déployant la manivelle, elles se regardaient en chiennes de faïence à distance…
Christiane aimait bien visiter le Bois avec Jzm et Jacques Toubon, mais savait se taire. Aux dernières nouvelles, elle allait bien, mais nous fit l’aveu qu’elle ne pouvait plus souffrir la Caulerpine envahissante avec ses copiées-collées. Qu’elle préférait s’en aller. Qu’elle reviendrait à la rentrée, avec une nouvelle identity card. Et une moisson de nouvelles impressions muséales, de nouvelles toiles, de nouvelles poésies et de nouvelles lectures… Qu’elle n’enverrait plus personne au diable… Qu’elle aurait approfondi ses lectures philosophiques… Je leur dit, bien des choses, à elle et à Gisèle Basmathy que l’on n’oublie pas. On n’oublie personne, malgré les déperditions successives, et les désolantes incrustes matinales…

et alii dit: à

christiane n’avait jamais entendu parler de georgia o’keeffe ni de la « bible du roi jacques »;elle a du travail devant elle avant de se prendre pour la maîtresse du guignol’s band erdélien

et alii dit: à

j’ignore tout du riz basmati de la mémoire erdélienne
de « on » et je ne joue pas à guignol!
j’ai des interlocutrices à la pelle (qui se prennent toutes pour super psy et qui ont été formées par des médecins professionnels (beaucoup sont fous d’hypnose et confondent bras et jambes)

Jean Langoncet dit: à

@Futur Nobel de littérature ?

J’avais sérieusement évoqué la question pour Dylan avant que le prix ne lui soit effectivement décerné, mais en ce cas c’est improbable.

et alii dit: à

japon?
Car cet amoureux des lettres est un homme d’une curiosité inlassable. Titulaire d’un baccalauréat scientifique, ayant vécu à Kyoto, déchiffrant le sanskrit ou le hittite, il s’intéresse aussi bien à la littérature antique qu’à la poésie de T. S. Eliot ou Paul Valéry. Avec un fil rouge : tenter de comprendre ce que la littérature peut nous apprendre. C’EST Marx william
https://www.scienceshumaines.com/la-lecture-comme-experience-de-l-alterite-entretien-avec-william-marx_fr_43603.html?utm_source=MailPerformance&utm_medium=email&utm_content=William+Marx%c2%a0:+%c2%ab%c2%a0La+lecture+comme+exp%c3%a9rience+de+l%27alt%c3%a9rit%c3%a9%c2%a0%c2%bb_0037S43&utm_campaign=NLHebdo+210802_0018AY

et alii dit: à

Marx William/
3. Et la littérature, dans la réalité, tient des discours sur quantité de choses : les sciences, la réalité, les fins de l’activité humaine. Mais c’est un discours que je dirais illégitime au sens où il n’a pas pour lui la légitimité, l’autorité scientifique. Il me semble toutefois que depuis vingt ans, on est en train d’abandonner ce paradigme formaliste, dominant à l’université et dans la critique.

et alii dit: à

W.Marx  » Lorsque je vivais à Kyoto, j’ai découvert un jour le théâtre nô dans un sanctuaire shintoïste. Cela a été pour moi une prise de conscience. Cette expérience de profonde altérité, ce sentiment d’étrangeté, je me suis dit qu’il fallait peut-être aussi tenter de l’éprouver vis-à-vis de la tragédie grecque si on voulait vraiment établir avec elle la bonne distance scientifique. »

Janssen J-J dit: à

@ j’ai des interlocutrices à la pelle…,

… et je les roule bien, qu’elles me disent (à moi, charlotte simmons-txfl, pompom girl et princesse du guignol’s band de mon état)

et alii dit: à

DE L’alterite pour des erdélien-ne-s: » ce travail souhaite dépeindre le caractère unique de la culture birmane, ainsi que de témoigner de leur force incroyable, dont le vrai pouvoir réside dans la compassion, la grâce, la vraie générosité et la dignité humaine. « , dit Friedman.
« Guardians of Paradise : un court métrage intime se penche sur la vie en Birmanie
https://www.thisiscolossal.com/2021/07/ivan-maria-friedman-burma/?mc_cid=100f58fca5&mc_eid=7e7dd5581d

MC dit: à

Oui Closer, nous ne sommes plus au temps ou De Gaulle exigeait que Concord fut écrit Concorde, et l’obtenait. Et je vois très bien la Maison Tellier devenir une Maison de Pass, avec la bénédiction de notre auguste président…
Bien à vous.
MC

Jean Langoncet dit: à

@De Gaulle exigeait que Concord fut écrit Concorde, et l’obtenait

On a le concordat qu’on peut et le dictateur qui va avec

Janssen J-J dit: à

ah mais, je le connaissions point ce clip de la maison Tellier !… Superb ! merci, MC… C’est quoi le sujet ?… un petit gars qui se sent fille ? à la fin, on voit comme un trouble dans le genre de Judith B….
Quelqu’un peut m’essspliquer ? Merci. Bien à vous,
https://www.youtube.com/watch?v=gsT3todE_DU

D. dit: à

Bob Dylan avait des capacités tant musicalement que littérairement. C’est dommage qu’il n’en ait presque rien fait de bon en préférant se donner un genre.

D. dit: à

Finalement lui et moi on se ressemble, hein, Jean ?

Marc Court dit: à

Sinon le syndrome Lamennais a encore frappé! On commence par un vœu de restauration quasi médiéval qui effraie les hiérarques de l’Empire puis de la Restauration eux-mêmes, on aboutit aux Paroles d’Incroyant (c’est mon orthographe!) et on finit de par sa propre volonté à la Fosse Commune. Cela n’empêche pas d’avoir un don de plume,mais cela suffit-il? On craint que non.

Marc Court dit: à

Celle de Maupassant, tout simplement!

Jean Langoncet dit: à

@Bob Dylan avait des capacités tant musicalement que littérairement. C’est dommage qu’il n’en ait presque rien fait de bon en préférant se donner un genre.

Tranchant comme un arrêt de la cour suprême et assez juste ; n’avoir presque rien fait de ses capacités a cependant suffit à lui permettre d’obtenir un prix Nobel de littérarture. Enfin, il n’est pas mort. Pourquoi ne pas viser un prix Nobel de chimie, s’il bossait un peu ?

Jean Langoncet dit: à

(littérarture est une contraction, devinez de quoi)

et alii dit: à

Everybody knows – Leonard Cohen
https://www.google.com/search?sxsrf=ALeKk00OLotr0aZjt34wqr98IhmlwTj5jw:1627924980538&q=leonard+cohen+everybody+knows&stick=H4sIAAAAAAAAAONgFuLQz9U3yElOzlPi0U_XNyw0zUoxzbMs0hLLTrbSzy0tzkzWTywqySwusSrOz0svfsT4lpFb4OWPe8JSjxknrTl5jfEOIxcOtUI6XGyueSWZJZVCPFJcXHCbjES4eEF2GWabZadlGJcZCjz7PINRqZvRKGPXpWnn2JIEGUDgf4iDlJFgzVnj0qVfn9prCXGxexb75Ccn5gjOkzy-n-X3e3stYS6OkMSK_Lz83ErB07fO2P___95eSZEzlovjQcWX9_aCN6QYErKrHRwkWBQYNBgMH1myOqyfwnhAiyEI7BiTopw0CMvcJK3kACNT074Vh9hYOBgFGKyYNJiqmDjYeBaxyuak5uclFqUoJOdnpOYppJalFlUm5adUKmTn5ZcXT2BjBABT_4yiRgEAAA&sa=X

Marie Sasseur dit: à

Bonsoir Passou, j’ai un scoop photo.

Il s’agit d’une église, on peut dire abandonnée dans un hameau de moins de 10 âmes en hiver, qui peuvent atteindre un nombre record de 50, voire 60, en été quand tout le monde fait des invitations et que la teuf se poursuit bien tard …et la nuit en english approximatif…

Cette église jouxte une propriété illustre, où le grand Charles passait ses grandes vacances quand il était petit…

https://p.monumentum.fr/main/24/pa00082465-eglise-saint-jean-baptiste-fontaine.jpg

D. dit: à

littérarture.

_

Eh oui. rarture.

et alii dit: à

un souvenir personnel. Lors de ma première rencontre avec Leonard (une après-midi entière dans le jardin d’un hôtel particulier parisien), je lui ai posé la question : « Leonard, tu es juif ; tu es en train de parler avec un prêtre catholique ; on sait que tu t’intéresses beaucoup au bouddhisme : comment tout cela tient-il ensemble ? »

Réponse : « Oui, je suis juif, et cela a beaucoup d’importance pour moi ; j’ai des amis catholiques, et j’ai grand plaisir à parler avec eux ; je fais des séjours au monastère de Mount Baldy. Mais tu vois, pour moi, tout cela ce sont des chemins. Ce qui importe, c’est le but. La seule chose qui m’intéresse, c’est Dieu »…

Y a-t-il beaucoup de célébrités, dans le monde du show-biz, qui pourraient dire en toute vérité : « La seule chose qui m’intéresse, c’est Dieu » ?

Toutes les traductions des textes de Leonard Cohen sont de l’auteur.
, le théologien Dominique Cerbelaud évoque la quête spirituelle du chanteur canadien.

L. COHEN, Book of Mercy, Mac Clellan & Stewart, Toronto, 1984

et alii dit: à

« Le sport, dernière communion nationale » titre du monde
vous souvenez-vous de vos communions ,privée….

Jean Langoncet dit: à

Depuis que Dieu s’est fait homme, pourquoi aurait-il besoin d’une église et de tout le tremblement pour prétendre le représenter ? Que représentent les interlocuteurs du ministère des cultes ?

J J-J dit: à

art de la rature littéraire, JL ? Tchinz !

Jean Langoncet dit: à

Homme avec toutes ses faiblesses

Marie Sasseur dit: à

@ »il a tout quitté à commencer par Paris, le confort d’un métier et l’assurance d’un salaire, pour se retirer aux confins du Perche, dans le maison d’un garde-barrière sur une ligne désaffectée du village de Saint-Aquilin-de-Corbion (61 habitants/ 10 habitants au km2), afin d’y étudier les Ecritures et surtout suppléer au départ du curé de campagne en laïc animé par la foi du diaconat.  »
Passou, sérieux je crois que c’est le passage le plus  » critique » de votre billet.

Déjà les données démographiques datent d’avant le  » remembrement en  » grande commune », non?
Il est d’ailleurs surprenant que ce patelin ait gardé le statut de commune, avec les données- corrigées- suivantes : 6, 4 km2 !!

« La population de la commune de Saint-Aquilin-de-Corbion est composée de 70 habitants (appelés Saint-Aquilinois, Saint-Aquilinoises) vivant sur une superficie de 6,05 km², soit une densité de 12 habitants au km². Saint-Aquilin-de-Corbion a recensé 2 naissances au cours de l’année 2014. Cette commune est située à une altitude moyenne de 230m. »
Il y a des patelins, en voie de désertification rurale, dont les maires font des efforts tous plus originaux les uns que les autres pour maintenir leur commune en vie. Medecin , bar-tabac, assistance aux isolés…

Et là, que fait ce pauvre hérétique , bobo en rupture de chaire ? Dans un patelin qui veut vivre ?

Il se pointe dit je veux être curé de remplacement. Rien de moins.

Ah mais non Passou, a la campagne, les doryphores, on les voit venir de loin.

Janssen J-J dit: à

Cela n’empêche pas d’avoir un don de plume, mais cela suffit-il ? On craint que non.
Une philippique à SMS la menée, peut-être ?…

Janssen J-J dit: à

… à la place de Sefarad, j’estimerais être harcelé par une cinglée de première… Mais sur la RDL, on voit jamais venir les doryphores… On est à la ville…

Janssen J-J dit: à

ma communion privée (7), ma communion solennelle (12) et ma confirmation (13)…. @ aux catéchumène du curé Trécy.

Marie Sasseur dit: à

Lol. Heureusement que monsieur l’agent de pöölisse ne comprend pas le 1/10eme de ce que je poste. Et qui arrive, heureusement, toujours au destinataire.

et alii dit: à

la menée, QU’ESTCE QUE çA VEUT DIRE?
c’était peut-être une réminiscence deFélicité de La Mennais (ou Félicité Robert de Lamennais)
félicité: qui est condamné par le pape Grégoire XVI et marque ses contemporains. Il est condamné par l’Église en 1834.

et alii dit: à

Lamennais:En 1811, par une lettre adressée à un évêque, il manifeste son intérêt et son souhait de devenir religieux et missionnaire à la fois. Il justifie ainsi, le délai qu’il met depuis 1809 à demander le sous-diaconat. Il a eu cette idée par le fait d’avoir correspondu avec l’abbé Simon Bruté de Rémur, missionnaire aux États-Unis depuis 1810 et qui était bien au courant des activités missionnaires dans le Kentucky. Il fait la demande d’un passeport français pour se rendre dans le Kentucky, où un établissement de trappistes se dévoue à l’instruction des chrétiens du pays et à la conversion des populations locales dont les tribus d’Amérindiens. Cependant, Félicité ne part finalement pas pour l’Amérique8.
Le 23 décembre 1815, Félicité reçoit le sous-diaconat dans l’église Saint-Sulpice à Paris, de la main de Mgr André, ancien évêque de Quimper. Le 18 février 1816, il est ordonné diacre à Saint-Brieuc puis le 9 mars, il reçoit l’ordination à Vannes par Mgr de Bausset-Roquefort.

et alii dit: à

Lamennais:
sur wiki:
Entre 1841 et 1846 il écrit Esquisse d’une philosophie dans lequel il développe sa conception d’un christianisme sans Église, capable de regrouper les masses pour les conduire au progrès par la charité. En 1848, il rédige un projet de constitution avec Auguste Barbet.

Marie Sasseur dit: à

Passou, en science, s’il y a une donnée dont il faut se méfier, c’est la densité…

« Elle est située à quelques kilomètres de Bordeaux et ne s’étend que sur 3,54 ha, soit autant que la place Charles-de-Gaulle, à Paris.

Castelmoron-d’Albret (Gironde) demeure la plus petite commune de France, en superficie. Il n’y a ni champ ni grande forêt sur son territoire, mais huit petites rues où vivent une cinquantaine d’âmes. Cette population concentrée sur une étendue si restreinte donne à Castelmoron-d’Albret une densité proche de celle de Pékin, où vivent 21 millions de personnes sur 1,6 million d’hectares (1 300 habitants/km2). »

https://www.cnews.fr/environnement/2015-02-01/quelle-est-la-plus-petite-ville-de-france-en-superficie-721761

J J-J dit: à

@ monsieur l’agent de pöölisse ne comprend pas le 1/10eme
Par définition… et le destinataire encore moins… sinon où irait-on ? ‘reusement que txfl s’y colle, au décryptage…, c une sainte, elle comprend tout, didon…

Bloom dit: à

Pour « curé » vs. « prêtre »:
Si « curé » permet ‘cureton’, « prêtre » est assez indigent question dérivation. Prêtre est aussi bien moins restrictivement « catho » que « curé »: grand prêtre hindou, bouddhiste, shinto, etc. Et puis, il se met au féminin, au propre comme au figuré: la grande prêtresse de la théorie du genre.
Un curé est un curé est un curé. Point.
La bonne du prêtre?

Court couplet sur l’Amour du prochain: j’ai vu pour la première fois des vitraux représentant très « graphiquement » la guerre menée par Louis XIII contre les protestants. Si c’est pas de l’Église militante, ça!

Marie Sasseur dit: à

Moi, ça me botte cette histoire de bobo qui arrive au bled plein d’auto-suffisance.

Marie Sasseur dit: à

Si « curé » permet ‘cureton’, « prêtre » est assez indigent question dérivation.

bloom, les cathos savent pertinemment faire la distinction.
Votre pater ne vous donc pas briefé ?

Marie Sasseur dit: à

Me fait penser à un sketch entendu à la messe, il y a longtemps où un jeune curé ( donc nécessairement prêtre , bloom) farceur avait brandi un téléphone portable,  » pour Dieu, taper 1″

Aujourd’hui, c’était : tiktokez, vous aurez Jupiter en direct qui va vous piquer. ( vos votes en 2022)

https://www.lci.fr/politique/covid-19-vaccination-emmanuel-macron-va-repondre-directement-a-vos-questions-sur-instagram-et-tiktok-face-aux-fausses-informations-et-rumeurs-2192912.html

Marie Sasseur dit: à

@vous souvenez-vous de vos communions ,privée….

Je voulais répondre, et puis, comme dit, c’est private.

Marie Sasseur dit: à

@vous souvenez-vous de vos communions ,privée….

Je voulais répondre, et puis, comme dit, c’est private.

Enfin, après on pouvait communier, c’est ça qui donnait de l’importance, on était grands !

D. dit: à

Le prêtre est le sacrificateur. Dans l’ancienne alliance il est le seul à pouvoir immoler en offrande à Dieu.
Dans la nouvelle alliance, il est le seul à pouvoir renouveller le sacrifice du Christ (consécration du pain et du vin, selon la demande du Christ lors de son dernier repas), in personna christi. Et donc sur un autel.
Curé est une fonction : celle de conduire un troupeau au périmètre défini : par exemple une paroisse. D’où le terme de pastorale souvent entendu.

Marie Sasseur dit: à

Passou, vous écrivez
 »
l’institution cléricale d’un pouvoir sacré alors que Jésus était venu l’abolir »

Comme déjà dit, personne, absolument personne sur ce blog n’a jamais eu à redire sur votre emploi du mot « curé « .

En revanche que vous ne reconnaissiez pas l’origine du mot prêtre, est plus embêtant…

« Le grand-prêtre (en hébreu : כהן גדול, Kohen Gadol, Kohen ha-Gadol ou Kohen ha-Rosh) est le titre que portait le premier des prêtres, dans la religion israélite ancienne et dans le judaïsme classique, depuis l’émergence de la nation israélite jusqu’à la destruction du Second Temple de Jérusalem en 70 ap. J.-C. Les grands-prêtres, comme d’ailleurs tous les prêtres, appartenaient à la lignée d’Aaron.

Pendant la période du Second Temple, le grand prêtre exerça souvent la charge de président du Sanhédrin. Son rôle déclina avec l’occupation romaine (à partir de 63 av. J.-C.), puis la fonction de Grand-prêtre disparut avec la destruction du Second Temple. On estime que la période du Premier Temple compta 18 grands-prêtres, et celle du Second Temple environ 60[1]. »
Wiki

Jean Langoncet dit: à

@souvent entendu

Pastor, coup de folie ? Pas entendu ce titre depuis une éternité.
Outre cette référence assez explicite, votre message est assez obscur. S’adresse-t-il à des initiés ?

Jean Langoncet dit: à

@Le prêtre est le sacrificateur. Dans l’ancienne alliance il est le seul à pouvoir immoler en offrande à Dieu.
Dans la nouvelle alliance, il est le seul à pouvoir renouveller le sacrifice du Christ (consécration du pain et du vin, selon la demande du Christ lors de son dernier repas), in personna christi. Et donc sur un autel.

Mais de quoi parlez vous ?

Marie Sasseur dit: à

@ »Curé est une fonction : celle de conduire un troupeau au périmètre défini : par exemple une paroisse. D’où le terme de pastorale souvent entendu. »

Grosse connerie, comme d’habitude. On voit que monsieur l’agent de pöölisse n’a pas trop fait de latin…

Bloom dit: à

Poésie orale, poésie de l’oralité.

« Bouffer du curé », mais manger du missionnaire:

« le missionnaire, qui savait pas nager, Mamadou ma mémé
par les crocos fut bouffé, miam miam.

et tous les crocos ils chantaient:

le missionnaire, ça colle à la figure, Mamadou ma mémé
et pourtant, c’est d’la bonne nourriture, Mamadou ma mémé
le missionnaire, ça colle à la figure, choubidou wa wa wa
et pourtant, c’est d’la bonne nourriture, miam miam! »

Bloom dit: à

parish priest = curé, en charge d’une paroisse

priest = [Christian, pagan] ▶ prêtre m
“parish priest” ▶ curé m

curate = vicaire

padre = a [in army, navy] ▶ aumônier m

b ✰ “clergyman”
[Catholic] ▶ curé m, ▶ prêtre m
[Protestant] ▶ pasteur m

Marie Sasseur dit: à

C’etait intéressant bloom, de poser la question prêtre vs curé.

A l’époque de Jésus, c’est à dire bien avant que son enseignement n’ait engendré plusieurs courants religieux, et leur institutionnalisation, si on peut schématiser, les Juifs avaient leurs prêtres ( cohanim, dit Wikipédia), et leurs rabbins. Cette particularité a disparu.

Marie Sasseur dit: à

 » périmètre defini »

La définition de paroisse, c’est aussi interessant, car on trouve encore à l’entrée des villages, des indications s’y rapportant…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Paroisse

Bloom dit: à

cohanim = les cohen. Pas des rigolos, d’après ce que l’on sait. Pas tous des frères Coen. Ou des Leonard, Baron-, -Bendit ou encore Tanoudji…
C’était au temps où le judaïsme était institutionnalisé, avant la Dispersion. End of story (God be praised)
Israël n’a pas joué les prolongations car le pouvoir politique y est distinct du religieux et heureusement – le rêve de l’antisémite: donner la responsabilité du programme vaccinal aux ‘haredim »…

Marie Sasseur dit: à

Bloom, dommage de verser dans une facilité qui peine à masquer un manque de culture, dont vous vous revendiquez.
L’antisemitisme que vous appelez de vos voeux, consiste toujours à maintenir un flou parfaitement orchestré entre Israël biblique et l’état politique que nous connaissons aujourd’hui, qui dispose, renseignez- vous d’une religion d’état.

et alii dit: à

a propos de communion, pour vous dire bonjour ,on a parlé de communion à propos de l’éclipse;
Eclipse: « Il y a eu une communion face à cet événement »https://www.youtube.com/watch?v=DLHKi_iioQQ

et alii dit: à

Adieu:
 » Derrida: »« Je suppose qu’adieu peut signifier au moins trois choses : 1. Le salut ou la bénédiction donnée (avant tout langage constatif, “adieu” peut aussi bien signifier “bonjour”, “je te vois”, “je vois que tu es là”, je te parle avant de te dire quoi que ce soit d’autre — et en français il arrive dans certains lieux qu’on se dise adieu au moment de la rencontre et non de la séparation). 2. Le salut ou la bénédiction donnée au moment de se séparer, et de se quitter, parfois pour toujours (et on ne peut jamais l’exclure) : sans retour ici-bas, au moment de la mort. 3. L’à-dieu, le pour Dieu ou le devant Dieu avant tout et en tout rapport à l’autre, en tout autre adieu. Tout rapport à l’autre serait, avant et après tout, un adieu. »
Tels sont les trois sens de ce mot adieu que Jacques Derrida prononçait en français — cette langue qu’il aimait et enrichissait inlassablement ; mais dont il disait aussi : « Je n’ai qu’une langue, ce n’est pas la mienne. » C’est peut-être qu’adieu ne peut se dire qu’en français. Il existe pourtant un mot qui permet de dire ces trois choses dans une autre langue — une langue dont il disait avoir fait semblant de l’apprendre pour la lire sans la comprendre ; mais à coup sûr impliquée lorsqu’il nous invitait à penser « au croisement de plusieurs langues, dans la fidélité à plus d’une mémoire ». Ce mot, dans cette langue, ce mot qui signifie un salut au moment de la rencontre, une bénédiction à l’instant de se séparer et même « à-dieu » devant Dieu, c’est, en hébreu … »
https://www.cairn.info/revue-les-temps-modernes-2005-1-page-225.htm

Marie Sasseur dit: à

Moi,cette histoire de paroisse m’intéresse.
Leur origine.
C’est une toute autre tentative de conquête de territoires à laquelle nous assistons aujourd’hui avec quelques faits qui ont fait la une des journaux. Conquête qui consiste à proposer une offre « clientéliste », quand la demande n’existe pas.

et alii dit: à

Bloom
Danièle COHEN LEVINAS

et alii dit: à

D;Cohen Levinas
Nommée Professeure d’Esthétique musicale et de Philosophie de la musique à l’Université Paris Sorbonne-Paris en 1998, Danielle Cohen-Levinas fonde dès 1998 le « Centre d’esthétique, musique et philosophie contemporaine ». En 2008, elle fonde et dirige le « Collège des études juives et de philosophie contemporaine »3, qu’elle nomme Centre Emmanuel Levinas (EA 3552) en 2012. Elle est chercheuse associée aux Archives Husserl de Paris de l’ École Normale Supérieure de la rue d’Ulm (ENS-CNRS)4 depuis 2008 où elle travaille plus particulièrement sur l’oeuvre d’Emmanuel Levinas ainsi que sur son rayonnement au sein de la recherche internationale. C’est dans le cadre du « Collège des études juives et de philosophie contemporaine » qu’elle a pris l’initiative en décembre 2016, en collaboration avec Perrine Simon-Nahum, d’assurer le renouveau du « Colloque des Intellectuels juifs de langue française » (NCIJLF).

Parallèlement à ses recherches en esthétique et philosophie de la musique, en philosophie contemporaine et en post-phénoménologie française, Danielle Cohen-Levinas déploie un travail en philosophie juive4, autour notamment du moment judéo-allemand (H. Cohen, F. Rosenzweig, G. Scholem, L. Strauss…) et de l’École de Francfort (Adorno, Benjamin, Bloch…), ainsi qu’autour du renouveau des études bibliques et talmudiques en Europe d’un point de vue philosophique.

Depuis 2007, elle est conseillère éditoriale aux Éditions Hermann et directrice de la collection de philosophie « Le Bel Aujourd’hui » qu’elle a fondée la même année. En 2010, elle a créé aux Éditions Hermann une collection destinée à accueillir des ouvrages collectifs : la « collection Rue de la Sorbonne » et, en 2011, une collection consacrée à la pensée et aux études juives, « Panim el Panim »1. Elle est présidente des Cahiers Maurice Blanchot qu’elle a co-fondé avec Monique Antelme et Mike Holland en 2010.

Danielle Cohen-Levinas est la femme du compositeur et pianiste Michaël Levinas.

Jibé dit: à

Le judaïsme n’est pas religion d’Etat en Israël.
Je rappelle que cet Etat est né laïc, d’un mouvement laïc, socialiste et que, depuis, aucune modification d’aucune sorte n’a modifié cette situation depuis 1947, malgré les orthodoxes et malgré les alliances politiques à la knesset avec tel ou tel parti religieux .

et alii dit: à

Derrida ,Levinas, Adieu, amitié, grâce:
« «Connaissance de l’inconnu», qu’il consacra à celui qui fut, depuis leur rencontre à Strasbourg, dès 1923, l’ami, l’amitié même de l’ami. Pour beaucoup d’entre nous sans doute, pour moi sûrement, la fidélité absolue, l’exemplaire amitié de pensée, l’amitié entre Maurice Blanchot et Emmanuel Lévinas fut une grâce; elle reste comme une bénédiction de ce temps et, pour plus d’une raison, chance que bénissent aussi ceux qui ont eu l’insigne privilège d’être l’ami de l’un et de l’autre. Pour entendre encore aujourd’hui, ici même, Blanchot parler pour Lévinas, et avec Lévinas, comme cela m’arriva en leur compagnie un jour heureux de 1968, je citerai quelques lignes. Après avoir nommé ce qui
https://www.liberation.fr/tribune/1995/12/28/emmanuel-levinas-adieu_153395/

rose dit: à

Vu Février de Kamen Kalev. Film bulgare, fin 2020, 2021.

Étonnant.
Trois parties scindées en Le passé, le service militaire, Février.
Les deux premières sont le pnguettes même si nous 2voluons dans de sublimes paysages.
Une dame quitté la salle. L’ennui.
Ai l’impression d’assister à une autobiographie dans laquelle le cinéaste viserait son sac.
Les amours sont absentes.
Passage éclair sur le mariage et la défloration de l’épouse, vite quittée pour le service et jamais retrouvée. 2’30 consacrées à la femme, autant à la soeur en fin de film.(cela soutient le point de vue délirant approuvé par la foule de la faille parfaite : papa+papa, bébé et Madame. Madame étant le chien un berger des Pyrénées ; je ne sais où on va, mais on y va).
Puis, soudain, blang, troisième partie.
On est un peu anesthésiée par ce qui a précédé, linéaire et parfait.
On se retrouve baignée dans une poésie inouïe, un lyrisme modéré, une ode à vivre pleinement sa vie quelle que soit.

Cela dure un tiers du film. Il est alors décidément vieux, que des têtes blanches dans la salle, et on ressort heureux.

Kamen Kalev à suivre.

rose dit: à

sont longuettes

évoluons

quitté

viderait son sac

par la foule de la famille parfaite

sa vie quelle qu’elle soit.

rose dit: à

quitte

Janssen J-J dit: à

« la neige est blanche » est vrai si, et seulement si, la neige est blanche… (Tarski, 1935).
Et c’est très discutable à défaut d’être un brin trivial, propre en tout cas à vous flanquer la paroisse des méninges à terre, dès le matin à l’heure où blanchit la campagne,…
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/07/21/neige-blanche-tarski/
Bon anniversaire à mon 2e frère J-Y, 62 ans. (3.8.21@9.38)

et alii dit: à

Les termes de « Na Li, de grâce », écrit le Torat ‘Haïm, forment en valeur numérique le terme d’« Amen », une allusion au Amen auquel on répond après la Brakha des Cohanim,

Janssen J-J dit: à

@ « je ne sais pas grand-chose, autant le dire google est mon ami »
On avait cru le comprendre depuis longtemps… A quoi bon lancer alors ce genre d’anathèmes : « verser dans une facilité qui peine à masquer un manque de culture »…. si ce n’est, une fois de plus, pour évoquer sa propre turpitude d’inculte réfugiée sur google crome, et bien infoutue d’en alimenter gratuitement les fiches de sa propre incurie ailleurs qu’icite.
@ ce film bulgare a l’air bien attractif ou attrayant… tel qu’ainsi narré,… Donne plus d’enthousiasme à le découvrir que les fiches un brin laborieuses de notre critique de cinéma maison… Cela dit, en h-erdélie, chacun a sa place et son utilité pratique, et peut même changer d’orientation.
Bàv,

et alii dit: à

W.Marx:
« Comprendre ce mécanisme de dévalorisation, ce traumatisme de l’adieu, c’est pénétrer au cœur de la crise existentielle permanente où se débat maintenant la littérature. Mais c’est aussi se donner les moyens d’en sortir.

Janssen J-J dit: à

Un film de Nicolas Bedos avec Dujardin doit sortir aujourd’hui. Contrairement à ce que l’on nous en dit, il ne faut pas le prendre au 14e degré, mais bel et bien au 1er…, car nous en sommes arrivés là, aujourd’hui avec les JC et quelques autres… –
Bàv !

Marie Sasseur dit: à

je ne sais pas grand-chose, autant le dire google est mon ami.

Plutot que laisser la flicaille continuer de HARCELER, je complète :

Mais grâce à Google, j’ai compris ce que sont devenus les grands prêtres, cités dans les actes des apôtres et les Évangiles.

Marie Sasseur dit: à

On n’en a rien a foutre de tes films, de tes leçons de vieux con.

Jibé dit: à

JJJ
« il ne faut pas le prendre au 14e degré, mais bel et bien au 1er…, car nous en sommes arrivés là »,
en effet, un retour au temps béni des colonies, des clichés et c.nneries basiques franchouilles.
C’était mieux avant, qu’y disent.

Jibé dit: à

Google, la grâce
J’aurais au moins lu ça une fois!

et alii dit: à

« L’An de Grâce » est une expression qui découle directement d’une prophétie dont la fin des temps aurait dû se produire en l’an 1000. En effet, si les astrologues de l’époque rejoignaient les prédications bibliques, celles-ci annoncent alors :

20 : 6 heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! La seconde mort n’a point de pouvoir sur eux ; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant mille ans.

lmd dit: à

On peu noter que les paroisses ont constitué pendant le moyen age et la période moderne l’organisation même de la société (les gros abbés et les petits curés à la portion congrue, l’état civil, etc.).
Pour faire le point, si on trouve cela nécessaire, il faut consulter le Code de droit canonique
LIVRE II :LE PEUPLE DE DIEU
DEUXIÈME PARTIE :LA CONSTITUTION HIÉRARCHIQUE DE L’ÉGLISE
SECTION II : LES ÉGLISES PARTICULIÈRES ET LEURS REGROUPEMENTS
TITRE III L’ORGANISATION INTERNE DES ÉGLISES PARTICULIÈRES (Cann. 460 – 572)

CHAPITRE VI : LES PAROISSES, LES CURÉS ET LES VICAIRES PAROISSIAUX

https://www.vatican.va/archive/cod-iuris-canonici/fra/documents/cic_libro2_cann515-552_fr.html
(Normalement, ce code résout toutes les questions qui se posent, comment choisir ou destituer un curé, un pape, etc.)

et alii dit: à

L’Église catholique a signé en 1999 avec les luthériens, puis avec les Méthodistes, la Déclaration commune sur la justification par la foi qui proclame que : « Nous confessons ensemble que la personne humaine est, pour son salut, entièrement dépendante de la grâce salvatrice de Dieu ».

Il n’y a pas pour autant identité de vues et de présentation : on a pu ainsi parler de « consensus différencié », c’est-à-dire qui admet les différences. Par exemple, l’insistance de l’Église catholique sur les œuvres demeure, notamment en ce qui concerne les œuvres de charité ; mais il y est explicitement précisé que la grâce ne dépend pas des œuvres réalisées.

Janssen J-J dit: à

@ grâce à Google, j’ai compris ce que sont devenus les grands prêtres,

Parce qu’elle le savait pas avant, la garce inculte… ?…. euh, la pleine de Grâce culte ?…

Marie Sasseur dit: à

« On peu noter que les paroisses ont constitué pendant le moyen age et la période moderne l’organisation même de la société (les gros abbés et les petits curés à la portion congrue, l’état civil, etc.). » lmd

L’art. Wiki  » paroisse  » est quand même un peu plus documenté.

Jazzi dit: à

Salutaire petit rappel d’Eric Anceau sur le twit à passou :

« Qu’est-ce qu’être Français ?
– Pratiquer l’art de la conversation
– Avoir l’amour du patrimoine
– Savoir apprécier la bonne chère
– Chérir le vivre en commun, l’universalisme et les droits fondamentaux grâce à nos grands principes et en particulier la laïcité ! »

Jazzi dit: à

Il faut rappeler que ceux sont ces mêmes grands prêtres, menacés de mort par la parole de Jésus, qui en définitive ont eu sa peau.
Mais ils n’avaient pas prévu sa résurrection !

Jazzi dit: à

ce sont…

closer dit: à

Utile petit glossaire pour lire dans le texte les livres de Jane Austen, mais surtout de Barbare Pym, dans lesquels foisonnent les pasteurs de diverses obédiences (notamment High Church contre Low Church), sans compter le concurrent catholique évidemment irlandais, qui n’est jamais loin.

closer dit: à

Barbara, pardon…(je l’adore)

Jazzi dit: à

Est-il vraiment nécessaire de déculotter (ôter du cul) Jazzi pour mieux habiller rose, JJJ ?

Marie Sasseur dit: à

« Il faut rappeler »

Ah oui, rappeler que cette culture bigmac du paresseux ne nourrira que ceux qui n’ont pas faim.

et alii dit: à

« l’homme est un loup »
Comment vivre sans avoir peur ? C’est l’obsession de ce penseur anglais. Dans son autobiographie, Thomas Hobbes raconte qu’il est né avant terme car sa mère a accouché de terreur en apprenant une hypothétique invasion de son pays par la flotte espagnole. Plus tard, Hobbes assiste aux violentes dissensions entre le Parlement et le roi, à la mise à mort de ce dernier, à la prise de pouvoir de Cromwell, puis au retour de la monarchie…

Comment échapper à cette insécurité permanente ? Nourri de culture grecque et latine, Hobbes se met en quête. Il voyage, rencontre Galilée, polémique avec Descartes, s’enthousiasme pour la géométrie. Il trouve enfin la clé pour vaincre l’angoisse humaine face à l’insécurité.
aujourd’hui,avec le virus, nous avons tous peur, que nous le reconnaissions ou non
https://www.philomag.com/philosophes/thomas-hobbes

et alii dit: à

Nous pouvons trouver dans la nature humaine trois causes principales de querelle : première, la rivalité ; deuxièmement, la méfiance ; troisièmement, la fierté
Thomas Hobbes
“Léviathan” (1651), trad. F. Tricaud, Sirey, 1971

et alii dit: à

Aussi longtemps que les hommes vivent sans un pouvoir commun qui les tienne tous en respect, ils sont dans cette condition qui se nomme guerre, et cette guerre est guerre de chacun contre chacun
Thomas Hobbes
“Léviathan” (1651), trad. F. Tricaud, Sirey, 1971

et alii dit: à

un futur musée
Le musée Ngaren du Studio Libeskind pour suivre l’évolution humaine dans le paysage kenyan
« eakey a lancé Ngaren: The Museum of Humankind pour suivre des années d’exploration du développement de l’humanité – notamment en tant que directeur du Musée national du Kenya et chef du Kenyan Wildlife Service.

Il espère que le musée pourra être utilisé pour résoudre un certain nombre de problèmes auxquels la race humaine est confrontée aujourd’hui, tels que le changement climatique, la durabilité, la sensibilisation à l’environnement, la compréhension de la race et de l’ethnicité, l’extinction et la technologie.

Ngaren sera « appel à l’action »

« Ngaren n’est pas simplement un autre musée, mais un appel à l’action », a-t-il déclaré.

« Alors que nous examinons les archives fossiles, à travers des couches d’espèces éteintes depuis longtemps, dont beaucoup ont prospéré beaucoup plus longtemps que l’espèce humaine est susceptible de le faire, nous nous souvenons de notre mortalité en tant qu’espèce. »

Paul Edel dit: à

Un merci à Jacques Drillon d’avoir signalé la disparition d’André Tubeuf.Ce grand critique musical , si fin connaisseur de l’art lyrique,était particulièrement pointu sur le Lied,le grand romantisme allemand: il fut ami et confident de chanteurs et cantatrices. Il nous a fait souvent rire pendant les réunions du service culture au journal « Le point » en nous racontant, retour de Milan ou de Hambourgou de Bayreuth ces jeunes metteurs en scène qui,pour « dépoussiérer » Mozart,Bizet, Wagner, ou Strauss, et innover, obligeaient les cantatrices à chanter dans des carcasses des voitures rouillées ou à ramper dans un bassin d’eau rempli de canard en plastique.Ce grand ami de Claudio Arrau ou d’Elisabeth Schwarzkopf était formidable d’enthousiasme et d’humour.

Janssen J-J dit: à

@ On n’en a rien a foutre de tes films, de tes leçons de vieux con.

Non jzmn, ce n’est pas à vous qu’elle s’adressait, mais à moijjj.
Ne craignez rien pour vos abattis ; pourmapar, j’apprécie vos chroniques à égalité à celles de rôz, même si je joue un brin amusé à vous mettre à concourance, car elles sont articulées à des épistémologies différentes, toutes deux aussi légitimes en soi…
Bàv,

et alii dit: à

un tour au japon:
Et une algue sauva les Japonais…
Quelques années après la Seconde Guerre mondiale, le Japon meurtri par les bombes atomiques et par une économie dévastée, cherchait le moyen de nourrir la population.

Les denrées se faisaient rares.

C’est une micro-algue d’eau douce qui apporta la solution : la chlorelle. Les Japonais se mirent à la cultiver intensément pour sa richesse nutritive.

De nos jours, elle est toujours largement consommée là-bas.

Elle est même considérée comme un aliment d’intérêt national3. On la distribue dans les hôpitaux et les écoles et, en 1957, l’institut pour la recherche sur la chlorella a été créé.

Plus riche en calcium et en chlorophylle

et alii dit: à

Il existe environ une vingtaine d’espèces de chlorelles. C’est la Chlorella vulgaris qui est l’algue la plus intéressante sur un plan nutritionnel.

L’Europe commence tout juste à se pencher sur ces micros-végétaux et à découvrir leurs vertus. Quelles sont-elles exactement ? Comment les utiliser au mieux et pour quoi faire ? Comment les réglementer ? Sous quelle forme les commercialiser ?
https://www.consoglobe.com/chlorelle-algue-bienfaitrice-cg

rose dit: à

et alii dit: à
Nous pouvons trouver dans la nature humaine trois causes principales de querelle : première, la rivalité ; deuxièmement, la méfiance ; troisièmement, la fierté
Thomas Hobbes
“Léviathan” (1651), trad. F. Tricaud, Sirey, 1971

Et alii

Et la jalousie ?

lmd dit: à

Pourtant, Elisabeth Schwarzkopf rampant dans un bassin d’eau rempli de canards en plastique (en évitant de se mouiller la perruque)…

rose dit: à

Le grand-prêtre (en hébreu : כהן גדול, Kohen Gadol, Kohen ha-Gadol ou Kohen ha-Rosh) est le titre que portait le premier des prêtres, dans la religion israélite ancienne et dans le judaïsme classique, depuis l’émergence de la nation israélite jusqu’à la destruction du Second Temple de Jérusalem en 70 ap. J.-C. Les grands-prêtres, comme d’ailleurs tous les prêtres, appartenaient à la lignée d’Aaron. »

Marie Pas ma sœur

Et chez les égyptiens, nombre de grands prêtres pour officier.
Où on les mettez-vous ?

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