de Pierre Assouline

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La République des livres
La grâce qui coûte

La grâce qui coûte

Il suffit parfois d’un signe de ponctuation dans un titre pour en modifier le sens et, partant, l’esprit du livre. Selon qu’Adieu curé (200 pages, 18 euros, empreinte/ temps présent) serait suivi d’un point d’interrogation, d’un point d’exclamation ou de trois points de suspension, cela annoncerait trois projets différents. L’absence de tout signe de ponctuation en annonce un quatrième écrit sous l’égide de l’apaisement et de la sagesse. Christian Delahaye, journaliste formé au Quotidien de Paris avant de se lancer dans une longue et brillante carrière au Quotidien du médecin, y tient son journal d’un curé de campagne à ceci près que, s’il vit bien à la campagne, il n’est pas curé. Il n’a pas voulu alors que tout, à commencer par une foi inébranlable, une détermination sans faille et sept années d’études théologiques notamment sur les bancs de la « Catho » à Paris, l’y poussait.

Très critique vis-à-vis de la cléricature, accablé par sa conception de l’enseignement des Evangiles, scandalisé par le tournant réactionnaire pris par le Saint-Siège avec l’élection de Benoit XVI, il a tout quitté à commencer par Paris, le confort d’un métier et l’assurance d’un salaire, pour se retirer aux confins du Perche, dans le maison d’un garde-barrière sur une ligne désaffectée du village de Saint-Aquilin-de-Corbion (61 habitants/ 10 habitants au km2), afin d’y étudier les Ecritures et surtout suppléer au départ du curé de campagne en laïc animé par la foi du diaconat. La grande Trappe et les cisterciens de saint Bernard ne sont pas loin. Son Journal ne consigne pas, comme c’est souvent la loi du genre, les menus incidents de la vie quotidienne mais essentiellement les vicissitudes d’un refus et d’un échec.

Pour autant, il n’est ni amer, ni aigri, ni triste ; car, éclairé d’une formidable ardeur et porté par un style tenu, exigeant mais qui ne dédaigne pas l’humour, il mêle son histoire personnelle de l’Eglise à l’Histoire de l’Eglise, l’autobiographie à l’analyse lucide, sans concession, de tout ce qui mine non pas tant le catholicisme français que l’Eglise de France. Moins ses scandales auxquels il avait déjà consacré un essai polémique aussi violent que la réalité qu’il dénonçait (la pédophilie) que ses omertas ordinaires dans toute leurs banales horreurs bureaucratiques, administratives, arrivistes, mesquines, lâches. Il lui a fallu autant de courage que d’inconscience pour s’attaquer à cette énorme machine à broyer les meilleures volontés. Et plus encore une indépendance et une liberté de ton qu’il a cher payées.

Son obstination lui a valu d’être boycotté par les autorités qui l’avaient jusqu’alors encouragé eu égard à la qualité de son parcours. Les temps changent mais la grâce d’être exclu demeure. Il ne cherche pas à renvoyer l’écho d’un loin épigone de Léon Bloy et ne s’est pas convaincu que tout individu possédant un euro lui doit cinquante centimes ; c’est ailleurs qu’il faut chercher la résonance car certaines de ses pages sont vraiment éclairées d’une flamme bernanosienne.

Lorsqu’il évoque la fin de la civilisation des paroisses, cette désertification dans les profondeurs de la France, le lecteur en a le cœur serré ; c’est aussi poignant que la consultation du blog Los pueblos deshabitados qui tient registre du dramatique abandon des villages de l’Espagne profonde par ses habitants attirés par la périphérie (Sergio del Molino a consacré au phénomène un livre remarquable La España vacía). L’analogie n’est pas gratuite car souvent en France, l’abandon de l’église du village faute d’un curé pour l’animer, puis faute de paroissiens, préfigure l’abandon du village même. En filigrane d’une expérience personnelle, Adieu curé se veut aussi la chronique de ces morts annoncées dans le sillage de l’agonie du père Guy Girouis, dernier curé de son village du Perche, mort d’un cancer à 75 ans sans successeur. Avec lui, veut croire Christian Delahaye, c’est un monde qui s’en va et signe sa fin, celui d’un système paroissial qui régulait la vie des campagnes depuis des siècles.

Ce bloc-notes, qui court de 1989 à nos jours, s’articule autour d’un axe dont il ne dévie pas : la confiscation du sacerdoce par les prêtres. Aucun mépris dans ce postulat mais la leçon tirée d’un constat : dans un pays en proie depuis des années à la crise des vocations, au moment où la disparition des curés de campagne annonce celle des curés des villes (j’emploie à dessein le mot « curé » au même titre que « prêtre » bien que, dans les commentaires de la RDL, on m’ait parfois reproché de le faire au motif que ce serait péjoratif et dédaigneux, ce que je ne crois pas ; pour les mêmes raisons, je ne suis pas prêt de renoncer au beau mot si mauriacien de « province » au profit exclusif de « région » pour des motifs d’assujettissement à la capitale qui paraissent obsolètes), le jour viendra où on ne comprendra même plus ce que signifie l’expression « Il faut remettre l’église au centre du village ».

« Faites ceci en mémoire de moi », certes, encore faut-il préciser ce que le « ceci » recouvre ; et aux yeux de l’auteur, il n’a plus grand rapport avec l’esprit ni même la lettre de l’Evangile. Il est vrai que rien n’est extravagant comme la prétention de parler au nom de Dieu ; il n’est pas nécessaire d’être un athée militant pour s’offusquer de cette appropriation de la parole divine par la fonction sacerdotale, laquelle accorde du coup au prêtre un statut proche du sacré.

Il tient l’abbé de Rancé, fondateur de la Trappe, pour « un ayatollah de la pire engeance » et « un terrible gourou » n’en déplaise à Chateaubriand. Il a fait sien l’adage latin que lui avait confié l’abbé Girouis sur son lit d’agonie : « L’homme est un loup pour l’homme, le prêtre est encore plus loup pour un autre prêtre et le moine est le plus loup de tous les loups pour les autres moines ». Il déteste ce que l’Eglise est devenue, du moins telle qu’il la voit, recluse en ses replis « identitaires et obscurantistes ». Avec son livre, depuis sa petite trappe, ce garde-barrière d’un nouveau type voudrait laisser l’Eglise à sa déréliction et appeler à une Eglise qui saurait dire adieu à ses curés.

On l’aura compris, ce chrétien là navigue vent debout contre les déclinistes qui attribuent le naufrage de la chrétienté à la sécularisation, non depuis Vatican II mais depuis les Lumières. Elle serait responsable de tout y compris de la pédophilie ecclésiastique. Christian Delahaye, lui, remonte plus loin encore pour traquer les maux qui rongent le message divin : quasiment à l’origine …

« … depuis que les héritiers autoproclamés des apôtres, captateurs de l’héritage de Jésus, puis les héritiers de ces héritiers ont fait dévier le Bonne Nouvelle areligieuse et l’ont détournée sur la voie cléricale, sacralisant les prêtres au pouvoir religieux, leur asservissant les laïcs et dénaturant ainsi l’Evangile »

La dénonciation de ce processus inscrit dans la longue durée est le fil d’Ariane de son livre. S’il y a un scandale à ses yeux tant au sens latin qu’au sens grec (σκανδαλον scandalon, piège sur le chemin, traduit de l’hébreu מוֹקֵשׁ moqesh par les translateurs de la Septante, conservé dans le latin scandalum, puis dans la rédaction des Evangiles), c’est bien l’institution cléricale d’un pouvoir sacré alors que Jésus était venu l’abolir. Plus que de s’en affliger et de se perdre en déplorations, il y trouve matière à méditation sur le sens de l’Histoire, et y puise une énergie qui ne faiblit pas. Ce constat le porte et le stimule quitte à réaffirmer des vérités tel que le caractère d’« adage totalitaire » du fameux « Hors de l’Eglise point de salut »

L’une des cibles de Vatican II fut la figure du prêtre, son statut, son rapport aux laïcs. Le premier fut désinvesti de ses pouvoirs quasi surnaturels au profit des seconds tenus pour des successeurs des apôtres, tout baptisé participant à la fonction prophétique, royale et sacerdotale du Christ. En d’autres temps, le philosophe Jean Guitton si proche de Paul VI, qui termina le Concile en 1965, eut été fait prince de l’Eglise. C’est peu dire que ses livres figurent en bonne place au chevet de l’auteur : il est vrai qu’ils annonçaient l’avènement des laïcs théologiens ce qui repoussait assez loin la volonté de réforme du Concile puisque n’importe quel chrétien prenait alors le pas sur les prêtres. Pourtant, aux yeux de ses partisans, il souffrait d’être inachevé.

L’appel d’air voulu par Jean XXIII, qui ouvrit le Concile en 1962, fut si puissant que la réaction ne se fit pas attendre « bétonnant la citadelle en ruine ». Le pape François, que les chroniqueurs de la curie romaine disent souvent « entravé » par l’aile réactionnaire de son gouvernement, pourrait très bien agir pour faire respecter un esprit d’ouverture qui ne l’est plus, car il jouit d’un pouvoir absolu : l’Histoire témoigne en maintes occasions que « lorsqu’un pape veut, il peut ».

On pourra chercher querelle à l’auteur sur le trop grand cas qu’il fait de ses auteurs de référence, du père Congar à Yuval Noah Harari en passant par Jean Guitton et surtout Dietrich Bonhoeffer dont les livres annonçaient le retour de l’Eglise dans le Moyen Âge (et, partant, Delahaye dénonce si souvent le retour à une église, une époque, un esprit « moyenageux » qu’on aimerait lui rappeler, sans entamer un débat à ce sujet, que le Moyen Âge ne fut pas le trou noir de la pensée)

Tous ses efforts pour trouver un emploi dans le diocèse sont demeurés vains. Il y a bien eu quelques exceptions de temps à autre en raison de son expérience journalistique ; mais tout en le recevant et en louant ses qualités, les autorités ecclésiastiques se sont bien gardé de lui confier des missions d’évangélisation pour lesquelles il avait toute compétence, jusqu’à le barrer officiellement. Trop électron libre, trop écorché vif. C’est diacre qu’il voulait être, c’est servir dont il rêvait mais son long combat pour y parvenir et la franchise de ses livres ont été si mal reçus par elles qu’elles l’ont décrété « pas digne de confiance ». Il porte désormais cette condamnation sur le dos comme une tunique d’infamie, sa lettre écarlate. C’est peu dire qu’il le vit comme une injustice et on se doute qu’Adieu curé n’arrangera rien. Et il n’a aucun recours, tout appel d’une telle décision étant impossible car l’évêque a tous les pouvoirs, il est pape en son diocèse. L’église de Saint-Aquilin-de-Corbion possède des fenêtres romanes mais elles sont murées…

Il y a du théologien paysan en lui travaillé par le souvenir d’un Thoreau à ceci près que le Perche est son Massachussets et que la voie de chemin de fer désaffectée près de laquelle il s’est enraciné est son lac Walden. Résigné depuis sa petite trappe de Saint-Aquilin-de-Corbion au risque d’une existence précaire, plus que jamais voué à son absolu du sacerdoce, il vit désormais un monachisme laïc et intériorisé à la lumière de la parabole du laboureur sur la grâce qui coûte (Matthieu, 13, 44) puisque telle est sa vraie vocation, loin des institutions, libre. Son livre, qui n’a sollicité ni imprimi potest, ni nihil obstat, ni imprimatur, mériterait d’être reçu par tous magna cum laude probatus.

(« Saint-Aquilin-de-Corbion, sa mairie, son église » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Essais.

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commentaires

1 345 Réponses pour La grâce qui coûte

rose dit: à

Supprimer « on »

rose dit: à

Paul Edel

 » metteurs en scène qui,pour « dépoussiérer » Mozart,Bizet, Wagner, ou Strauss, et innover, obligeaient les cantatrices à chanter dans des carcasses des voitures rouillées ou à ramper dans un bassin d’eau rempli de canard en plastique. »

Ne me dites pas que les cantatrices obtempéraient ?

rose dit: à

En Chine aussi, l’on mange des algues, fraîches ou sèches.
« L’algue peut aussi être rôtie ou utilisée à moitié réhydraté avec du riz. En Chine, La Wakamé est souvent utilisée dans les soupes Miso ou dans des salades Sunomono. La Wakamé est aussi largement connue pour la salade de Wakamé, que l’on peut trouver comme met asiatique dans de nombreux pays occidentaux.
https://seabiosis.com › les-algues-en-…
La consommation des algues | Seabiosis – Transformation d’algues »

rose dit: à

Albert Cohen.
Le livre sur ma mère.

rose dit: à

Apprends kekchoz je te dis rôz.

Jazzi dit: à

J’avais bien compris que MS s’adressait à vous, JJJ.

Je faisais référence à cela : « ce film bulgare a l’air bien attractif ou attrayant… tel qu’ainsi narré,… Donne plus d’enthousiasme à le découvrir que les fiches un brin laborieuses de notre critique de cinéma maison… »

renato dit: à

Cuire des haricots avec un fragment d’algue kombu — +ou- un demi index (le doigt) — abolit — aboli belote — les effets secondaire des haricots — flatulences —.

et alii dit: à

Joseph Cohen
Membre fondateur philosophe
Joseph COHEN est philosophe français, professeur au University College Dublin (Irlande) depuis 2007.

Il a été professeur invité de philosophie dans de nombreuses universités et centres de recherche européens : à la Staatliche Hochschule für Gestaltung – Karlsruhe (Allemagne) de 2005 à 2014, au Karl Jaspers Zentrum de l’Université de Heidelberg (Allemagne) de 2015-2016, à l’Université de Sassari (Italie) de 2008 à 2011, à l’Université de Paris IV – Sorbonne (France) de 2011 à 2014, à l’Université de Poitiers (France) en 2015-2016, à l’Université de Paris I – Panthéon-Sorbonne et à l’Université de Rome Sapienza en 2019.

Il a publié deux ouvrages consacrés à Hegel, Le spectre juif de Hegel (Paris, Galilée, 2005) et Le sacrifice de Hegel (Paris, Galilée, 2007) et un ouvrage sur Emmanuel Levinas intitulé Alternances de la métaphysique. Essais sur E. Levinas (Paris, Galilée, 2009). Il a co-écrit, avec D. Moran, le Husserl Dictionary (London, Continuum, 2012) et co-dirigé plusieurs collectifs, en collaboration avec R. Zagury-Orly : Judéités. Questions pour Jacques Derrida (Galilée, 2003) ; Heidegger. Qu’appelle-t-on le lieu ? (Gallimard, 2010) ; Derrida. L’événement déconstruction (Gallimard, 2012) ainsi que Heidegger et « les Juifs » (Grasset, 2015). Et en collaboration avec G. Bensussan : Heidegger. Le danger et la promesse (Kimé, 2006).

En 2021, il publiera, en collaboration avec Raphael Zagury-Orly, aux Editio
https://philomonaco.com/membre-fondateur/joseph-cohen/

et alii dit: à

Marcel Cohen, Détails. Faits. Gallimard, 208 p., 18,50 €
Lire, écrire, n’est-ce pas emprunter à d’autres ce qui aurait pu nous appartenir ? N’est-ce pas pratiquer, peu ou prou, un droit d’inventaire liminaire – dans cette silencieuse demeure de demi-jour –, aussi fugace ou timide fût-il, qui nous offre, ou nous autorise, à nous lecteurs, une possible passation de pouvoir, bien que nous nous sentions de parfaits usurpateurs ?
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2017/12/19/marcel-cohen-details/

et alii dit: à

. Pionnier de l’étude des argots ou du langage enfantin notamment, il a fait entrer dans le champ de la linguistique moderne de nombreux domaines inexplorés et a eu une influence considérable sur le développement de cette discipline.
Marcel Cohen (Marcel Samuel Raphaël Cohen) est un linguiste français, né le 6 février 1884 à Paris 9e et mort le 5 novembre 1974 à Cugand (Vendée)1.

Il est connu pour être le fondateur de la sociolinguistique moderne, notamment avec ses Matériaux pour une sociologie du langage, préparés dès 1949, publiés d’abord en 1956 sous le titre de Pour une sociologie du langage, et qui ont inspiré toute la
marcel cohen

renato dit: à

« C’est le prix du corps féminin séduisant. Eh oui. »

Vous n’avez jamais vu les pieds des danseurs, je suppose.

et alii dit: à

Marcel Cohen:
En 1912 il reçoit le Prix Volney pour son œuvre Le parler arabe des juifs d’Alger2, une des premières études systématiques de grande ampleur de la variation linguistique au sein d’un groupe social, préfigurant le développement de la sociolinguistique.

Sa thèse de doctorat porte sur Le système verbal sémitique et l’expression du temps (1924). Professeur à l’École des langues orientales, il y a enseigné le guèze et l’amharique. Il a été également professeur à l’École pratique des hautes études. Spécialiste des langues sémitiques, et notamment des langues éthiopiennes, il a publié en 1936 un monumental Traité de langue amharique.

et alii dit: à

Marcel Cohen était membre du Parti communiste français (il a donné de nombreux articles dans L’Humanité) et a joué un grand rôle dans la réorganisation du CNRS après la Seconde Guerre mondiale3.

Jazzi dit: à

Après les Cohen on aura droit aux David, et alii ?

renato dit: à

« Pionnier de l’étude des argots… »

Ennio Flaiano avait l’habitude de dire : « La langue s’enrichit des apports vulgaires, mais il est également vrai que la langue est gâchée lorsque le vulgaire n’est pas franc, je dirais même populaire, mais suffisante et clinquant… ». Aujourd’hui, il y a très peu de choses qui sont plébéiennes, dans le sens d’une contribution élevée « d’en bas », dans le domaine de la satire politique. La blague, le surnom, le ricanement ou le coup de gueule, les contaminations linguistiques risquent alors, en paraphrasant le philosophe Arthur Schopenhauer, de n’être réduits qu’à une « calomnie abrégée ».

et alii dit: à

Marcel Cohen note ceci dans Sur la scène intérieure : « Que le langage ait quelque chose à voir avec la perte et le deuil, je le savais depuis l’enfance : dans les trains, il suffisait d’un mur surgi à l’improviste d’une courbe de la voie, pour qu’il faille parler au passé. »

Dire les faits, non pour parler de soi – il n’y a rien à dire de plus –, mais pour montrer du doigt le monde dans lequel nous vivons, c’est peut-être, pour un écrivain, rendre visible ce qui disparaît sous l’amas des preuves.

et alii dit: à

Entretien avec Marcel Cohen
par Roger-Yves Roche4 juillet 2017
Marcel Cohen, l’auteur de Faits (trois volumes depuis 2002) prélève dans les livres, dans les propos entendus, dans la rumeur du monde, la matière de ses ouvrages aussi prenants qu’inclassables. Après le magnifique Sur la scène intérieure (2013), où il évoquait sa famille disparue à travers quelques objets qu’il avait conservés d’eux, voici son Autoportrait en lecteur, publié pour la première fois en français alors qu’il existait en danois depuis 1997.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2017/07/04/entretien-marcel-cohen/

et alii dit: à

Graffiti sur un mur de Londonderry, Irlande du Nord :
Marcel Cohen
pour bloom évidemment

Janssen J-J dit: à

….tant qu’à en rajouter sur les liens, voir le dernier du jour sur le Cohen Marcel (in EAN)…
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/07/28/ecrivains-blanc-cohen/
Mentionnons pour la rdl, le formidable inconnu, Mickaël Cohen (42 ans), représentant en produits pharmaceutiques saintongeais… Un juif athée de mes proches que je connais bien. Il ne fait pas bcp de bruit, sait rester dans son coin. Je le salue bien…,

Janssen J-J dit: à

Nb David… . Ne lui donnez surtout pas d’os judéo-juif à ronger, ça réactive instantanément son prurit logorrhéique ou graphomane philosémite … en incubation permanente… & bonjour l’angoisse à l’rdl !…

rose dit: à

Aboli belote et rebelote.

rose dit: à

Aboli belote et rebelote, beau lit, ah.

rose dit: à

renato dit: à
« C’est le prix du corps féminin séduisant. Eh oui. »

Vous n’avez jamais vu les pieds des danseurs, je suppose.

Eh bien si :

« C’est le prix du corps féminin séduisant. Eh oui, las. »

Papa + papa + bébé + Madame + les pieds massacrés. La famille idéale.
(Cela rend quasiment ma famille dégénérée normale.)

rose dit: à

Et Petite neige.
🥰😀♥️👏

et alii dit: à

il faut dire que Nadeau a dû donner carte blanche cette semaine:
Si je vous dis blanc, ça vous fait penser à quoi ?pir:
La psychanalyse, une seule séance ou une cure entière, peut être remplie de silences, de pauses, de trous de mémoire… de blancs. Serait-ce la couleur incolore de l’inconscient ? Zoé Andreyev, psychanalyste, invente un dialogue avec un patient.

et alii dit: à

je n’ai pas vocation à la coanimation

Jazzi dit: à

« Serait-ce (le blanc) la couleur incolore de l’inconscient ? »

Le votre semble beaucoup plus sombre, voire noir, et alii ?

Janssen J-J dit: à

Le droit du sol étant de rigueur au pays français qui prime sur le droit du sang, la Chine n’a en principe aucun droit de reprise sur les jumelles… En revanche, si elle n’expédie plus ses tonnes de pousses de bambous par charters spéciaux quotidiens à Beauval, la mère risque de ne plus pouvoir les allaiter longtemps, et la famille de se fissurer durablement… Qu’en disent nos diplotomates inanes, TTLM, à défaut d’abolir des bibelots sonores ?
Bàv,
(@ rptv : ci-joint un nouveau M-F pour SMS et son bobo échampisé de St Aquilin-de-Corbion en Perche : https://www.youtube.com/watch?v=_6-qC7EyZ2M

lmd dit: à

Je vois bien que je peux sauter tous les commentaires que je ne me décide pas à lire. Et je n’arrive pas à savoir si ces commentaires empêchent d’autre commentaires qui m’intéresseraient plus.

Mais la photo de la mairie de Saint-Aquilin-de-Corbion m’étonne ; cette façade cumule une collection marrante de manquements à l’académisme :
aucune symétrie, aucune ordonnance, aucune des quatre travées n’est semblable aux autres, dans l’axe il n’y a rien du tout, le balcon du maire est à un bout et la porte de la mairie à l’autre, les deux petits œils-de-bœuf en zinc alternent froidement avec des fenêtres, Mais la proportion de la toiture mansardée est élégante .
Quel est l’imposteur sans complexes qui a dessiné cette façade ?

Janssen J-J dit: à

parfois, un demi index de doigté + ou – long ne suffit pas du tout…
Il y faut un rallongeail en bois bien polissé (po-lisson ?) par exemple…
Pour s’en convaincre, cf. le dernier film de Paul Verhoeven, jzmn et rôz, toujours défilant sur nos écrans !

D. dit: à

Ce soir c’est saucissrs de Francfort en papillotes.

Janssen J-J dit: à

@ je n’arrive pas à savoir si ces commentaires empêchent d’autre commentaires qui m’intéresseraient plus (le monde diplo)

Dommage, car je crois bien avoir écrit tout le mal que je pensais de cette mairie, et entre autres, l’extravagance de ses fenêtres en PVC dépareillées… Cela donne une assez bonne préfiguration de ce qu’un architecte laïc de la littérature fatiguée de la rdl prétendant se substituer au curé du cru pour y soigner les âmes risque de les tournebouler plutôt que de les laisser mourir en paix.

(***pas de risque de diffamation, ces photos sont extraites de l’Encyclique Wikipedia Humanum Est, mais il aurait mieux valu le préciser, D.R.)

Janssen J-J dit: à

@ A travers des « fouilles psycho-archéologiques » des ruines de l’inconscient féminin …

Etes-vous bien sûre, txfl, de ne point danser en coanimation avec les loups lacacaniens ?

et alii dit: à

ce dont e suis sure c’est que je ne désire pas « échanger » avec les contributeur-trice-s de la RDL , et qu’ils ne m’ont que trop calomniée, importunée , que je ne supporte plus leur meute, et que c’est ça qui les intéresse ; c’est bien triste pour eux d’en être réduits à ça

Janssen J-J dit: à

Alertes à tous/tes : TTLT n’a pas mis de nouveau commentaire sur son blog de grande lectrice, (quelle feignasse !), à la différence de SV, imperturbable machine à lire et à écrire. Signalons en outre un nouveau post sur Luigi Pirandello sur une chaine voisine et somme toute, fort bien argumenté. Un peu longuet (gérard) peut-être. Mais multiplexe.
Prochaines séquences fluviatiles après -> Absalon, absalon ! (achevé et commenté sur mon blog intime) :
1 – Les furtifs (en cours)
2 – La vie mode d’emploi (aussitôt)
3 – Les Buddenbrook (après, en principe)
4 – Jamais de Francfort en papillotes (à la fin)
Bàv & bonnes lecthures aux petits petons…

Janssen J-J dit: à

@ ce dont e suis sure c’est que je ne désire pas « échanger » avec les contributeur-trice-s de la RDL

Hélas, vous ne faites QUE cela… échanger…, ad nauseam,… alors que la RDL n’est pas un club d’échangistes, au sens biblique du terme… ! Voyh’ons, un peu de cohérence dans vos désirs latents, txfl !…

Marie Sasseur dit: à

Le bureau des plaintes, d’oisifs surbookés…qui ne savent pas quoi démolir. ah il est bien loin le temps des afterwork, sur la rdl.
Sinon, lmd, moi je pense , au vu des proportions, que la salle des mariages doit certainement être délocalisée… a l’église, lol.

lmd dit: à

Janssen J-J, j’ai parfaitement lu vos commentaires sur les menuiseries en PVC ; aurais-je du préciser que je poursuivais cette piste ? Pour montrer mon assiduité, je vous déclare
1/que je ne me suis jamais baigné dans aucune autre rivière que le Lignon…
2/…celui du Chambon, où je passais mes vacances d’enfant.
3/ Il me semble que vous aviez également annoncé la lecture des histoires de Jacob (que j’ai lues et aimées, de même que Les Buddenbrook).

Marie Sasseur dit: à

Et Monsieur Poisson maire de ce bled paumé, ne doit pas se douter un instant, qu’il a parmi ses ouailles un vrai rebelle , que suis-je, un activiste !

et alii dit: à

c’est donc que la RDL est considérée par certain-e-s comme un club , et un club échangiste dans le sens qu’ils donnent, eux à ce terme, puisqu’ils n’ont jamais donné la preuve d’avoir une connaissance de mots hébreux susceptibles d’être ou d’avoir été traduits par « échange » , »échanger » par des savants ;

Marie Sasseur dit: à

Et Alien, lui, comme le rouleau compresseur moyen, ne trouve plus la touche off.

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
Le droit du sol étant de rigueur au pays français qui prime sur le droit du sang, la Chine n’a en principe aucun droit de reprise sur les

Janssen J-J les jumelles

Me semble avoir lu il y a quatre ans pour la première naissance (un des jumeaux avait mouru) que les parents sont prêtés moyennant monnaie (loués de fait) et retourneront en Chine.
Il s’agit de repeupler le Yunnan.
En attendant le zoo de Beauval fait un beau coup publicitaire.
Si je devais les adopter, je serai prête à me laisser pousser les poils sur la poitrine.

(Avec Sébastien : )

et alii dit: à

quant à mes désirs, ce n’est pas sur la RDL que J’en ferais part ; c’est le blog de P.Assouline qui ne m’a jamais rien demandé de cet ordre;

et alii dit: à

« Rendre grâce », « faire grâce », « trouver grâce aux yeux de quelqu’un », « grâce à », « être dans les bonnes grâces de quelqu’un », « la grâce d’un geste », « la grâce de Jésus notre Seigneur », « être sauvé par grâce », « la grâce sanctifiante ». Ce sont là quelques expressions familières utilisant le mot « grâce », sans que celui-ci ait toutefois la même signification dans tous les cas. En français, le mot « grâce » recèle plusieurs nuances. Si on traduisait toutes ces expressions en hébreu ou en grec, on serait surpris de constater que les équivalents du mot « grâce » seraient absents dans certains cas.

Dans l’Ancien Testament, l’hébreu a deux équivalents pour le mot « grâce ». Tout d’abord le mot hen (en grec charis) qui signifie littéralement « regarder en se penchant » et, au sens moral, « montrer de la faveur pour quelqu’un », comme dans l’expression « trouver grâce aux yeux de Dieu ou de quelqu’un ». Il s’agit ici de jouir de la faveur, de l’amitié ou des bienfaits d’une autre personne.

L’autre mot hébreu que l’on traduit par « grâce » est hesed. Mais il faut tout de suite affirmer que c’est une traduction approximative, car le mot hesed est si particulier à l’hébreu qu’il n’a pas de correspondant strict dans nos langues. La hesed signifie l’assistance fidèle que l’on est en droit d’attendre de son prochain, ou qu’on a le devoir de lui rendre, en raison des liens de solidarité qui unissent les membres d’un même groupe social (la famille, le clan, la tribu). La hesed est au coeur de la relation d’alliance existant entre Dieu et Israël, mais aussi entre les membres du peuple de Dieu. La hesed crée l’obligation de l’assistance réciproque. On retrouve cette idée dans l’expression « faire grâce » au sens de « rendre service ». La hesed est inséparable du droit et de la justice.
http://www.interbible.org/interBible/ecritures/mots/2002/mots_020201.htm

et alii dit: à

La notion de grâce, très présente dans le Nouveau Testament (voir ci-dessous), l’est de façon plus diffuse dans l’Ancien Testament. Le terme hén, d’un emploi plus courant que théologique, évoque la faveur; on le retrouve notamment dans l’hébraïsme trouver grâce aux yeux de quelqu’un (c.-à-d. « obtenir, avoir sa faveur »; Gn 6.8; 39.21; cf. Ex 3.21; 33.12), qui revient en particulier dans plusieurs formules de politesse (cf. Gn 33.15n). Il signifie quelquefois grâce au sens de charme (Pr 3.22; 11.16). Toutefois le verbe correspondant, hnn, souvent traduit par faire grâce (Gn 43.29; Ex 33.19; Nb 6.25; 2R 13.23; Es 27.11; 30.18s; 33.2; Ps 4.2+), évoque d’une façon générale les bienfaitsgénéreux de Dieu (Gn 33.5,11; cf. Ps 112.5; Pr 14.31+) et plus particulièrement le pardondu Dieu clément (qualificatif apparenté en Ex 34.6; Jon 4.2; Ps 86.15; 103.8; 111.4; 116.5; 145.8; Né 9.17,31; 2Ch 30.9; cf. Ex 22.26; Ps 112.4n), qui renonce à infliger un juste châtiment dans toute sa rigueur (2S 12.22; Am 5.15; Jb 33.24; comparer avec Dt 7.2; 28.50; Jg 21.22; Ps 109.12; 112.5; Jb 19.21). D’autres formes de la même racine évoquent, réciproquement, la supplication ou demande de grâce adressée à l’homme (Gn 42.21) ou à Dieu (1R 8.28ss; Ps 30.9; 142.2; Dn 9.20).
https://lire.la-bible.net/glossaire/grace-2
bonne soirée

Jean Langoncet dit: à

@L’antisemitisme que vous appelez de vos voeux, consiste toujours à maintenir un flou parfaitement orchestré entre Israël biblique et l’état politique que nous connaissons aujourd’hui, qui dispose, renseignez- vous d’une religion d’état.

Les choses sont beaucoup plus subtiles et profondes que vous ne le laissez penser, Bécassine. Bloom et son double vous ont bien répondu.

Jean Langoncet dit: à

« Israël est un État voyou. »
Il faut en effet nuancer, ce que fait cet article trouvé sur la source indiquée par Jibé
https://www.cairn.info/israel-et-ses-paradoxes–9782846704427-page-239.htm
On est quand même assez éloigné d’une république issue de l’humanisme du haut moyen-âge (pas le trou noir le la pensée en effet), de la Renaissance, des Lumières, de la Révolution Française …

Marie Sasseur dit: à

Langoncet, pour l’ heure, je vous emmerde.
Je reste sidérée, par cette esbrouffe monumentale que Passou veut nous vendre à nous, les cathos.

Jean Langoncet dit: à

Rien ne vous interdit de passer directement de l’Ancien Testament à Marx, Bécassine ; je suis même plutôt enclin à tenir tout ce qui se situe dans l’intervalle de ces points cardinaux de l’Humanité pour chose négligeable.

Marie Sasseur dit: à

Un imposteur , je pense qu’il faut être clair.

« il n’est pas curé. Il n’a pas voulu alors que tout, à commencer par une foi inébranlable, une détermination sans faille et sept années d’études théologiques notamment sur les bancs de la « Catho » à Paris, l’y poussait. »

Allons Passou, Monsieur Delahaye, fort de son diplôme de l’école de commerce de Lille et de ses etudes de 3eme cycle a pourtant bien tenté de devenir curé.
Quant à ses articles sur le quotidien du médecin, heu, rien de scientifique, mais alors rien. De la sociologie pour les nuls.

Marie Sasseur dit: à

Une foi inébranlable.
C’est quoi ce truc, Passou?

Marie Sasseur dit: à

« curé de campagne en laïc animé par la foi du diaconat. »

Faut arrêter de raconter des conneries. Si ce monsieur voulait faire petite soeur des pauvres, ou bosser au secours catholique, ils l’attendent, il y a du taf !
Simplement c’est pas payé, il faut tout donner de sa personne, et de son temps.

Jibé dit: à

JJJ
Les Furtifs: j’aimerais bien que vous me disiez ce que vous en pensez, parce que, autant j’ai aimé la Horde de Contrevent et la Zone du dehors, autant je suis réservé sur les Furtifs (de très bonnes idées mais un scénar très bof, classique à l’extrême -papa cherche sa fille, etc etc, enfin vous me direz svp)
Pour le reste de vos interventions, j’ai bien ri, je suis de tout coeur avec elles!

Jibé dit: à

Jean L.
« tout ce qui se situe dans l’intervalle de ces points cardinaux de l’Humanité pour chose négligeable », en Est-Ouest ou Nord-Sud, Marx et L’AT? Verticalité ou horizontalité? parce que ça change tout à la vision du monde, ce type de métaphores.
(je suis assez ok, d’ailleurs, en horizontal, pour ce qui concerne ma vision perso de l’At à Marx)
Mais je m’immisce, je m’immisce…

Marie Sasseur dit: à

Comme ce monsieur a pourri Bergoglio, comme il se le permettait il y a 4 ans, et maintenant, « le pape quand il veut il peut ».
C’est quoi cette foire à l’andouille ?

Jean Langoncet dit: à

(ah, les moniteurs à plat ; et pourtant)

Marie Sasseur dit: à

Non, Passou, sérieusement, je pense qu’il faut continuer de prêcher pour votre paroisse, en essayant de ne pas trop dauber sur les cathos, en relayant les polémiques d’un protestant.

Marie Sasseur dit: à

Car le protestantisme est tout a fait compatible avec ceux qui ont fait ecole de commerce.

renato dit: à

« Quel est l’imposteur sans complexes qui a dessiné cette façade ? »

Je ne crois pas qu’il ait dessiné la façade, il me semble qu’il l’a composé en empilant arbitrairement des éléments sans tenir en compte leurs fonctions.

Marie Sasseur dit: à

Tu penses, s’il y a de la fonction, c’est même sûr !

Jean Langoncet dit: à

@les timbrés mobilisés

Graisser la patte au sonneur : « Quelques mauvais garnements se cotisèrent certain jour, pour graisser la patte au sonneur de la cathédrale et lui faire sonner l’Angélus vingt minutes avant l’heure légale (Mérimée, Carmen,1847, p. 19) »

Marie Sasseur dit: à

Passou lui a bien noté que les ouvertures pratiquées dans les murs de l’église avaient été murées.
Pas les moyens d’y mettre des vitraux Chagall, en remplacement d’un pauvre vieux vitrage, mon pauvre Passou. Vous imaginez les impôts locaux repartis sur 20 à 30 foyers fiscaux ?!
Une église ouverte aux 4 vents pensez, avec tous ces merles qui viennent y crotter.

Jean Langoncet dit: à

@avec tous ces merles qui viennent y crotter
sans compter les pauvres hères qui trouvent porte clause et ne peuvent plus y crécher comme le voudrait une ancienne tradition d’accueil ; un savoir vivre se perd. fréquenter une église est devenu un luxe, comme fumer des Marlboro light

Marie Sasseur dit: à

Effectivement Langoncet une tradition perdue, l’église ouverte.
Mais pas à cause des merles. A cause des vandales.

Jenassen J-J dit: à

@ Jbé J’en suis à la moitié des Furtifs, et crois pouvoir dire ma déception montante… Il y a surtout cette complaisance lourdingue du père (en quadra comme il faut, aujourd’hui) époustouflé par « l’intuition féminine » de la mère, l’intello scientifique intégrale oppositionnelle qui ne demande qu’à basculer dans la macronisation du monde vous asservissant la bague au doigt pour rattraper la petiote… Mais je doive aller au bout, et viens de dépasser le délirant chapitre « tà », qui, après moultes complaisances linguistiques savantes à rager de la dent carriée, nous explique que la fillette voulait dire « chat » !…. Dois bin reconnaître quand même en apprendre pas mal sur le langage de la « zone djeune » du personnage Toni-Tout fou (sans doute puisé dans la Wikimedia)… Yes, big depiction !… à côté de la Horde du Contrevent…. (une collinette à côté d’un evereste, hein, pourrait-on dire… Je reviens bientôt sur ça… M’étonnerait que je change d’avis…

@ lmd… je me tape des pavés en ce moment, je sais pas pourquoi, et celui de Mme Olga T., pas mal pratiquée depuis un an, est passé au deuxième rang… automnal…. Mais je n’oublierai pas de vous causer des Histoires de Jakob en temps utile, croyez le bien, merci pour votre vigilance…

@OK rôz, avais oublié la genèse du deal avec les autorités chinoises au sujet des pandas… Mais depuis l’histoire des pangolins-chauves souris et des virus sciemment lâchés dans la nature, peut-être la diplomatie animalière va-t-elle changé d’écoutilles ?…

@ Je persiste : Bécassine la catho (comme moi) se donne désormais en spectacle d’harceleuse de Passoul… Il se passe qq chose de pas normal icite, foi d’observateur perspicace sur le dérèglement climatique, à moins qu’on soit entrée en turbulences post-pubertaires ou pré-ménopausables chez notre SMS nationale… La langage ne change pas quant à lui, les diatribes restent toujours aussi vertes de vulgarités.. Un vieux fond est-ce cathologique, sans doute ?… No passara !

Bonne soirée, pluvieuse hélas… On sort pas, le 3 zout ! on reste sous la tente du camping, à se les geler un brin…

Paul Edel dit: à

Rose, les cantatrices choquées par ce qu’on leur demande obtempérent le plus souvent il y a bien sûr des négociations en coulisse, ou dans le bureau du directeur de l’opéra .Mais le contrat est là!et malgré la célébrité du chanteur ou de la chanteuse obligation est de suivre les indications du metteur en scène. Il reste théoriquement le maitre,parfois il se révèle un tyran.

Marie Sasseur dit: à

Un billet blessant, Passou. Pour les catholiques.
Si personne n’a jamais trouvé à redire sur la rdl de votre emploi du mot curé, ce n’est pas la première fois que vous manifestez une odieuse charge contre les catholiques. Je pense vous l’avoir déjà dit…
J’en suis personnellement affectée, avec plusieurs siècles  » d’état civil » …

Jean Langoncet dit: à

@A cause des vandales

Enfin, fort opportunément, il a pu arriver que des solidarités se mettent en place à plus grande échelle et de manière plus régulière, sans suggérer une quelconque soumission

Jean Langoncet dit: à

… à l’Eglise, ni à quiconque

Marie Sasseur dit: à

Et comme je suis vraiment en colère, maintenant, non ste Therese celle qui rit, n’est pas vraiment l’idole des cathos. On vous la laisse, Passou.

Soleil vert dit: à

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, où êtes vous ?

(C’était un message personnel)

Marie Sasseur dit: à

Rien à voir sv, pour Passou, il s’agit de ste Thérèse d’Avila, celle qui a connu l’amour frénétique, lol, avec Jesus.

Jean Langoncet dit: à

Et pour la splendide Sasseur ordurière, il s’agit peut-être – vu la complexité du personnage, allez savoir – de la Thérèse au débardeur du Père Noël

Bloom dit: à

Je rappelle que cet Etat est né laïc…(et tout ce qui suit)

Merci de ce très salutaire rappel, Jibé. Ce que l’on tient pour évident (these truths we hold to be self-evident) ne l’est pas. Préférer la pédagogie à l’anathème. Si pédagogie sert à rien, proposer un séjour alterné à Mea Shearim & (au choix) dans un bastion du Hezbollah, du Hamas ou du Jihad islamique.

Marie Sasseur dit: à

Langoncet, les mesures sanitaires et de distanciation sont toujours en vigueur, et de rigueur ici plus qu’ailleurs.
Alors vos insultes de soudard, de marginal, ne risquent pas de faire mouche.
Vous ne lisez pas Passou, en dehors du blog moi si.

D. dit: à

Depuis quand les « cathos » ont des idoles ?
Elle est bien bonne celle-là encore.

Marie Sasseur dit: à

bloom une religion d’état, ne veut pas dire théocratie Et Israel dispose bien d’une religion d’état.

Petite question perso, la dernière fois que vous avez mis les pieds dans une synagogue ça remonte à quand ?

D dit: à

Vous ne lisez pas Passou, en dehors du blog moi si.

Waow ! Impressionnant.

Marie Sasseur dit: à

Ah ben oui, ducon , si je viens sur ce blog, c’est pas pour faire causette sur un site de rencontre. Tu devrais essayer disons- demain, c’est bon pour les vieux.

Jean Langoncet dit: à

@Vous ne lisez pas Passou, en dehors du blog moi si

Délectable job virtuel, à l’évidence

Marie Sasseur dit: à

Oui oui langoncet, c’est ce qui me permet de dire à Passou, d’y aller mollo avec les cathos, si ce n’est un peu de respect…

D.. dit: à

Je pense que Passou est un catholique qui s’ignore. C’est tout.

Jean Langoncet dit: à

@Si pédagogie sert à rien, proposer un séjour alterné à Mea Shearim & (au choix) dans un bastion du Hezbollah, du Hamas ou du Jihad islamique.

Excellente suggestion ; elle peut s’appliquer à des français ayant séjourné en Israël, abusés par la propagande de l’Agence Juive

Marie Sasseur dit: à

Pauvre ducon. Il faut au contraire saluer cette vraie recherche spirituelle de Passou, ce questionnement qu’il reproche à d’autres ( des cathos !) sur son rapport à la foi, dans la religion juive.

B dit: à

Depuis quand les « cathos » ont des idoles ?

Qui dit idole dit idolâtrerie, les églises ont changé de noms, elles s’appellent stade de France, zenith, Olympia, Roland Garros, the voice… Il s’est opéré un déplacement de la Croyance bien que croire en certaines disciplines n’engage qu’à peu d’espoir de victoire, ce qui d’ailleurs aboutit à entrevoir un parallèle avec une croyance religieuse. Nous attendons encore l’Avènement. Un peu comme le PSG très cher payé et qui perd tous ses matchs. Pas de retour sur investissement. Incroyable!

Marie Sasseur dit: à

Apparemment, le mot idole fait flores chez les loques verbeuses. Et pourtant Ste Thérèse qui rit, est une idole pour Passou.

Marie Sasseur dit: à

Bon, mais on va encore me reprocher de lire tout le temps, ce qui est faux évidemment.

B dit: à

Passou, si j’ai bien suivi Chateaubriand, je n’affirmerai pas qu’il approuve l’abbé de Rancé bien que son expérience limite de la foi et son acharnement integriste aient retenu l’écrivain . Le ton de l’observation et du rapport dévie aussi vers l’ironie ou la critique froide du mode de vie imposé à la Trappe.

Bloom dit: à

« propagande de l’Agence juive »

Comme vous y allez, Langoncet. Prendriez-vous les autres, enfin certains autres, pour des gogos?
Contrairement à vous, j’aurais tendance à penser que les gens, quels qu’ils soient, savent pertinemment ce qu’ils font. Entièrement responsables (mais pas coupables).
Je citerai une expression qu’utilise Raymond Aron (une fois n’est pas coutume), dans ces ‘Mémoires’, lorsqu’il relate ses années à Cologne et Berlin entre 1930 et 1933 et où il parle d' »apprendre à se faire en faisant ».

Jean Langoncet dit: à

Le Monde n’est sans doute pas grand chose, sinon un support de propagande parmi d’autres, mais enfin, j’ y ai trouvé un article, déjà ancien (15 ans, une éternité sur le web), qui a retenu mon intérêt au regard du principe de laïcité si fondamental à la République Française :

« M. Ariel Sharon ne s’était pas contenté d’appeler les Juifs de France à quitter un pays prétendument atteint d’« antisémitisme galopant » : son gouvernement a tenté d’organiser la venue de trente mille d’entre eux. Les journalistes Cécilia Gabizon (Le Figaro) et Johan Weisz (Radio Shalom) racontent cette opération « Sarcelles d’abord » et son échec relatif : on compte moins de deux mille cinq cents immigrants par an, dont un tiers d’ailleurs reviennent.
Le livre décrit les activités des dizaines d’envoyés de l’Agence juive, la manière dont ils mettent à profit les violences antijuives comme les discours antisémites de certains islamistes, mais aussi les relais dont ils bénéficient au sein d’une partie de la communauté juive radicalisée. Il insiste en particulier sur les convergences – mises en lumière dès 2002 dans nos colonnes – entre les extrêmes droites israélienne, juive française et française tout court, au nom du combat commun contre l’islam. Après celle de Guillaume Weill-Raynal (Une haine imaginaire ?, Armand Colin, Paris, 2005), cette nouvelle enquête questionne la complaisance dont le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) fait preuve à l’égard de ces phénomènes. »

https://www.monde-diplomatique.fr/2006/06/VIDAL/13591

B dit: à

D, d’où croyez vous que les loques ​verbeuses soient issues, une descendance lointaine du fameux monstre écossais assaillie et modifiée par la protéine Spike Lee rompue aux arts martiaux portée par le messager fidèle et dévoué A(lbert) Erhaine?

Jean Langoncet dit: à

Bloom, je n’ai pas l’intention de faire parler les absents, les morts moins encore, mais l’un des intervenants de ce blog que vous estimiez à juste titre, malgré ses outrances, MàC, n’a eu de cesse de critiquer, des années durant, la dérive religieuse de l’état israélien ( et le noyautage de ce blog par l’extrême droite). C’est un vrai sujet.

Marie Sasseur dit: à

Ah ben l’intention était louable quand même, faire revenir l’idole de la meute, comme caution morale, fallait le faire.

Bloom dit: à

Pour vos ‘tablettes’ Langoncet, il n’y a plus beaucoup de juifs à Sarcelles. Un grand nombre d’entre eux ont quitté la ville et certains ont franchi la nationale 1 pour s’installer à St Brice sous Forêt, où vécut la grande Edith Wharton (qui n’était pas franchement philo-sémite, mais ceci est une autre histoire).
Ceux qui reviennent d’Israël après y avoir émigré n’ont pas pu absorber le choc d’une société à la dureté proverbiale, génératrice d’une forte fièvre obsidionale.

B dit: à

Excusez moi, Marie, je ne comprends pas à qui est adressé votre commentaire ni de quoi qu’il cause.

Marie Sasseur dit: à

C’est vrai que l’idol sur canasson avait ses adeptes. Un temps, on serait cru chez les libres.
Enfin, comme on dit chez les cathos, paix à son âme; ce qu’il a pris cher avec son paternel, le pauvre, personne ne peut s’en faite une idée…

Marie Sasseur dit: à

Ouh la fatigue..
C’est vrai que l’idole sur canasson avait ses adeptes. Un temps, on se serait cru chez les libres.

Marie Sasseur dit: à

« ni de quoi qu’il cause. »

De quoi je cause ?

Mais de votre maquereau, bien sûr, appelé par Langoncet , comme on s’adresse au saint esprit. Pauvre bonhomme que ses zamis ici ont laissé mourir, sans même s’en occuper. Chez les cathos, ça ne se serait pas passé comme ça.

Jean Langoncet dit: à

@Chez les cathos, ça ne se serait pas passé comme ça.

Bécassine, vous qui me faites souvent rire à gorge déployée, là, j’esquisse un sourire ; il nous reste l’assurance maladie

Marie Sasseur dit: à

On verra Langoncet. La catho que je suis attend avec impatience un prochain  » pour saluer ». Je pense rendre alors justice à votre  » idole ». Je le pense pas que ça puisse faire rire quiconque.

Marie Sasseur dit: à

Je ne pense pas que ça puisse faire rire quiconque.

Marie Sasseur dit: à

Je ne clique pas Langoncet. Je respecte les mesures barriere. En revanche un lâche reste un lâche, et vous en êtes encore un énième exemple ici.
On mettra votre piteuse capitulation en rase campagne sur le compte de l’ignorance, restons lucide.

Jean Langoncet dit: à

Nul besoin de cliquer pour claquer. Lire un mot suffit.

B dit: à

Mais de votre maquereau, bien

Je ne saisis pas non plus, je ne suis pas exactement affiliée à la corporation des travailleuses du sexe. En plus, j’ai horreur du maquereau. Je ne sais plus à quels poissons me vouer, issus d’élevage, bof. Sauvages, crime. Je deviens végétarienne petit à petit, surtout en été. Mes mijotages attendent l’automne. Je cuisine d’excellents osso bucco, par exemple et je compte bien visiter mes livres de recettes quand je serai enfin libérée de l’obligation de travailler à procurer des soins pour honorer mes factures. Quelques jours suffiront à me procurer le luxe dont j’ai besoin. Nous ne connaissons pas tous les mêmes nécessités et pour les rêves, il m’est plus simple de poser une croix dessus.

B dit: à

MS, parce que vous faites preuve de bravoure? Il est vrai que vous ne ratez pas une occasion pour paraitre, une des faces de votre médaille, irrespectueuse, provocatrice, arrogante, agressive, mais enfin faut il lire dans cette volonté à l’insulte facile une preuve de courage . Il m’arrive de me demander si dans la réalité, en dehors de vos haines et jalousies incoercibles et injustifiées , vous ne seriez pas tout simplement brave. Mais une brave déçue, trahie et compromise jusqu’à s’être oubliée en chemin.

B dit: à

Et puis le lien virtuel, du vent, rien que du vent. N’y accorder aucune importance. La seule rencontre qui vaille amitié se situe toujours dans une réalité tangible. Pour le reste, du flan, de esbroufe, la foire aux discours, le stand de démonstration. Qui qui la veut la moulinette révolutionnaire ou réactionnaire, selon. Aucun engagement, théâtre d’ombres.

Marie Sasseur dit: à

Langoncet, en plus du reste déjà peu flatteur, j’ai envie d ajouter lavette à votre endroit. L’ignorance est une chose et ma foi, parfois une circonstance atténuante. Mais vous avez souhaité faire parler un mort, et ce choix relevait pas d’une connaissance argumentée, ou d’une référence à un spécialiste de géopolitique sur le sujet qui vous opposait à un pro israélien.
Non, vous savez délibérément choisi de faire parler un mort, pour sidérer votre contradicteur, alors que vous connaissiez la grande emprise que cet ancien commentateur de la rdl a eu sur ses « amis ». A moins, et je me pose la question, de savoir si vous êtes finalement assez con pour avoir succombé à la tyrannie de cette idole sur canasson. Et je pense véritablement que vous êtes un con fini.

Marie Sasseur dit: à

 » l’infirmière  » qui a eu son diplôme dans une pochette suprise ( un cv bidonné pour la rdl)a des vapeurs tout d’un coup.
Je me demande bien pourquoi. Ah oui, sa veulerie qui revient…

Jean Langoncet dit: à

J’avais sous la main un titre du vieux Roy (Orbison) à balancer mais voilà que Bécassine s’adresse à moi comme elle irait se confesser à son curé de paroisse. Je l’aime assez pour ne pas l’envoyer bouler illico. Je prendrai le temps de la lire, demain dès l’aube. Mon petit doigt me dit qu’elle n’a pas tiré ses derniers feux. À plus tard, si Dieu nous prête vie.

Marie Sasseur dit: à

Langoncet, vous avez fait parler un mort, intentionnellement, avec intention de nuire. C’est tout ce qu’il faut que vous alliez confesser dès que vous le pourrez.
Si vous tombez sur un curé plein de compassion.pour les ordures, vous serez quitte.

Jean Langoncet dit: à

Non, Bécassine, ce n’était pas Pretty Woman.

Janssen J-J dit: à

une idole sur canasson ?…, c’est pas une teigne à cheval ?
je m’intrigue un brin, WGG.
A demain…, y’aura du boudin à con-fesse. File !

rose dit: à

Vu Bergman Island de Mia Hanssen-Love.
****
Grand enthousiasme.

B dit: à

MS, si c’est tout là vos arguments pour démontrer votre supériorité, c’est bien bas. J’imagine que votre doctorat honnêtement acquis s’honore de votre exercice. Comme votre ami MD a bien fait de glisser ce mot dans votre vide poches, en partant ou en revenant. Je suis dépressive et ma particularité n’arrange rien, à moins que ce ne soit la sienne qui comme chacun sait vous convient de façon épisodique. Ruptures, insultes, reprises de la conversation entre vous deux qui n’avez strictement aucun point de ressemblance et ne partagez d’affinités si ce n’était un goût pour la littérature du XVII et XVIII ème entre autres siècles et matières. C’est toujours ça à partager généreusement et c’est profitable à l’ensemble.
Pas de vapeurs, ma ménopause, Dieu merci, est des plus confortables, je vous souhaite la même.

B dit: à

Jean, la concordance des temps n’est pas franchement mon truc mais est ce qu’il ne vaudrait pas mieux écrire :…comme si elle allait…?

JiCé..... dit: à

Mercredi 4 aout 2021, 6h33, 22°, temps calme

Amoureux fou de Sainte Thérèse d’Avila – celle qui rit quand on l’invoque – il me plairait de visiter son Château Intérieur capable de telles extases.

Je rêve d’accueillir un morceau choisi d’Elle, mon côté spirituel passe par le goût des reliques saintes.

JiCé..... dit: à

Wikidimieu nous renseigne sur la folie que génère toute religion : ses reliques sont désormais présentes dans plusieurs lieux :

– son pied droit et une partie de la mandibule supérieure à Rome ;
– sa main gauche à Lisbonne ;
– son œil gauche et sa main droite à Ronda (Espagne) ;
– son bras gauche et son cœur dans des reliquaires du musée de l’église de l’Annonciation d’Alba de Tormes ;
– un doigt dans l’église de Notre-Dame de Lorette à Paris ;
– un autre doigt est à Sanlúcar de Barrameda ;
– plusieurs doigts et d’autres restes de la sainte sont dispersés dans toute l’Espagne et toute la chrétienté ;
– le reste du corps (incorrompu) est déposé sur l’autel principal de l’église de l’Annonciation (Alba de Tormes) dans un tombeau de marbre gardé par deux anges.

Sans commentaire ….

Jean Langoncet dit: à

@ il n’y a plus beaucoup de juifs à Sarcelles.

C’est sans doute ce qui fait dire au “très marqué politiquement” Goldnadel que Mélenchon a fait une OPA sur la banlieue. Ah, le spectre des Islamio-gauchistes, ah l’islamisation de la France et de ses “quartiers”, ah emboîtons carrément le pas à Zemour de La Télé:pour affirmer que c’est en réalité toute l’Europe qui doit être considérée comme étant un continent islamisé ; c’est déjà aux yeux des grandes puissances de ce monde, États-Unis et Chine notamment.
Ouï B, merci pour ce rappel à la concordance des temps.

Marie Sasseur dit: à

4 août 2021 6h44.

« Tout semblait avoir bien commencé. Les députés du clergé aux états généraux avaient joué un rôle décisif dans la révolution politique de l’été 1789 : en votant, le 19 juin, leur ralliement au Tiers État, à la majorité significative des deux tiers des membres du bas clergé et d’un cinquième seulement de ceux du haut clergé, ils justifiaient après coup le titre
« Assemblée nationale » que s’était donné le Tiers l’avant-veille. Selon le mot qui se répand alors à la cour, ce sont bien « ces foutus curés qui ont fait la Révolution ».

Dans les mois décisifs qui suivent, l’immense majorité des catholiques français ne perçoit pas le moindre conflit entre Révolution et religion. L’annonce de la prise de la Bastille, puis celle de la Nuit du 4-Août donnent lieu partout en France à des Te Deum auxquels participent les nouvelles autorités municipales et les populations. Le clergé bénit les drapeaux des gardes nationales en voie de constitution. »

https://www.lhistoire.fr/la-d%C3%A9chirure-r%C3%A9volutionnaire

Jean Langoncet dit: à

Scusi pour les coquilles, il fait encore un peu sombre et je suis en mouvement (mais pas au volant).

Marie Sasseur dit: à

« Un curé avec épouse et enfants ou bien une religieuse prêtre. Cela se passe dans le Frioul, mais aussi dans d’autres régions d’Italie. Le nombre de prêtres diminuant, l’Eglise envoie peu à peu dans les paroisses sans curé des diacres (souvent mariés), des soeurs ou même de simples fidèles chargés de guider la vie religieuse d’une communauté paroissiale. Ce phénomène souterrain, presque clandestin, connu uniquement de la hiérarchie catholique, témoigne d’une évolution destinée à changer la face de l’Eglise du troisième millénaire.
La figure du prêtre gardien de la vie religieuse dans sa paroisse cède progressivement la place aux “coordinateurs” et “coordinatrices”, symboles d’une Eglise qui revient à ses origines d’il y a deux mille ans, lorsque les premières communautés chrétiennes s’autogéraient et que le terme de “prêtre” désignait l’ancien le plus pieux et le plus respecté. »

https://www.courrierinternational.com/article/1999/10/07/ces-paroisses-dont-le-cure-est-un-homme-marie-ou-une-soeur

et alii dit: à

La religion catholique recommande à tous l’exercice annuel d’une retraite spirituelle. La retraite est plus particulièrement opportune lors de moments importants de la vie, notamment avant la réception de sacrements qui engagent pour la vie. La retraite est un moment propice pour approfondir la vie intérieure, mûrir des décisions en présence de Dieu, faire examen de conscience, considérer la vie du Christ, pratiquer les différentes dévotions.

De nombreuses congrégations religieuses organisent des retraites pour les laïcs dans les monastères. De par une longue tradition inscrite dans leur règle (chapitre 53 de la règle de saint Benoît) les abbayes bénédictines, cisterciennes ou trappistes comme les Carmels et autres couvents de religieux et religieuses contemplatives offrent volontiers l’hospitalité. Ce sont des lieux privilégiés de retraite spirituelle, étant donné l’atmosphère de paix et silence qu’ils offrent avec le soutien de la prière d’une communauté religieuse.

Certains groupes religieux ont aussi pour mission l’animation de retraites, comme celle de ‘Trente Jours’ (ou quatre semaines) dans un centre spirituel durant lesquels le retraitant fait les Exercices spirituels d’Ignace de Loyola (chez les Jésuites) ou la retraite fondamentale (par les Foyers de Charité). Les retraites font aussi partie de la panoplie de moyens de formation chrétienne organisés par l’Opus Dei. Toutes ces initiatives se faisant en complément de l’offre diocésaine.

Le développement d’Internet a permis la création du concept de « retraite en ligne » avec notamment la Retraite dans la Ville1, inaugurée par des Dominicains en 2003. Cette proposition, pour le temps du carême a ainsi rassemblé plus de 90 000 internautes en 2015, et plus de 110 000 en 2016.

JiCé..... dit: à

JOYEUX ANNIVERSAIRE
Puisque nous n’avons pas peur du ridicule, nous célèbrerons en fanfare aujourd’hui l’anniversaire de la fameuse Nuit du 4 aout 1789, séance mémorable de la Constituante, où les curés révolutionnaires enthousiastes poussèrent le bouchon dans des caniveaux universalistes fabuleusement vénérés.

Ce fut la mort du système féodal, célébré au nom du génie français, mensonge retransmis de génération en génération, au mépris du réalisme politique.

On a changé d’aristocrates, c’est tout. Tout changer pour que rien ne change…

Bon anniversaire, les bisounours !

et alii dit: à

Jean-Marie Vianney, dit le Curé d’Ars ou le saint Curé d’Ars, né le 8 mai 1786 à Dardilly (près de Lyon), et mort le 4 août 1859 à Ars-sur-Formans (Ain), est un prêtre catholique français vénéré par l’Église.

Il fut le curé de la paroisse d’Ars (alors Ars-en-Dombes, aujourd’hui Ars-sur-Formans) pendant 41 ans.

Il est nommé patron de tous les curés de l’Univers par le pape Pie XI en 1929. Il avait été annoncé en 2009 qu’il serait nommé patron de tous les prêtres du monde par Benoît XVI1, mais en 2010, un communiqué indiqua que le pape avait changé d’avis2.

et alii dit: à

Le terme « moine » est donc plus adapté pour faire référence aux hommes consacrés qui vivent dans des couvents et qui se consacrent pleinement à la prière et à la pénitence. C’est le cas des ordres contemplatifs, comme l’ordre des Chartreux.

Quant au terme « frère », il est plus moderne. Il remonte au Moyen Âge (du provençal fraire qui veut dire « frère »). Le terme s’emploie généralement davantage pour les ordres consacrés à la vie active, comme les franciscains ou les hospitaliers.

L’utilisation du terme est liée à l’apparition des ordres mendiants au Bas Moyen Âge, qui ont provoqué un profond changement dans la vie religieuse : ces nouveaux religieux ne restaient plus enfermés dans des couvents éloignés du peuple pour se consacrer à la prière. Ils vivaient dans les villes et s’occupaient des pauvres, de l’enseignement, des malades, etc.
https://fr.aleteia.org/2015/12/06/quelle-est-la-difference-entre-un-pretre-un-frere-et-un-moine/

Jibé dit: à

Une religion d’État et une religion officielle adoptée par un État.
Par exemple, l’anglicanisme est religion d’Etat en Grande Bretagne et la reine, en plus est le chef de cette Eglise (« la papesse en jupon » ironisait Léon XIII en 1892, lettre « ad Anglos).
Alors en Israël, non seulement il ne saurait y avoir d’Eglise officielle, mais il n’y a pas non plus de religion définissant l’Etat comme religieux .
marre!

Jibé dit: à

JJJ
les Furtifs portent le titre exact de ce qu’ils ne sont pas. Car de facto lourdingues, comme vous dites. Je crains que Damasio soit l’homme d’un seul livre, La Horde, même si la Zone du Dehors n’était pas mal.
Non seulement le papa et sa fille, les clichés sur le féminin, mais un message politique qui reprend Orwell (en moins bien). De la littératurengagée comme je la déteste.

Marie Sasseur dit: à

« Alors en Israël, non seulement il ne saurait y avoir d’Eglise officielle »
?

Marre aussi.

Jibé dit: à

« On a changé d’aristocrates, c’est tout. »
Version Tocqueville, la révolution est une continuité, pas une rupture, dans la lente élaboration de la centralisation du pouvoir depuis Philippe le Bel, via François 1er et Louis XIV.
Citez vos sources au lieu de ricaner!
by the way, on a connu un petit changement des ordres aux classes, mine de rien, ça change pas mal de chose, tiens-je à dire à notre pov’ esprit fort du matin, de plus en plus zemmourien caricatural.

Jibé dit: à

Judaïsme: 0 Eglise
Donc impossibilité d’une Eglise officielle juive.
Et en plus, 0 religion officielle pour l’Etat d’Israël= 0 religion d’Etat.
Capito?

D. dit: à

B dit: à

D, d’où croyez vous que les loques ​verbeuses soient issues, une descendance lointaine du fameux monstre écossais assaillie et modifiée par la protéine Spike Lee rompue aux arts martiaux portée par le messager fidèle et dévoué A(lbert) Erhaine?

Vous pensiez à vous, Bérénice ?

Marie Sasseur dit: à

La jibe cet son kibboutz mental, confond religion d’état et religion obligatoire, en bon laïcard.

Marre

Petit Rappel dit: à

« Marie Sasseur est Catholique?
Comme elle sent bon la charité!
Et quelle universalité!
(Ne parlons pas de sa bonté…)
Trois fois Los et Félicité!
Il serait mal vu de douter:
Chantez, grenouilles de bénitier:
Marie Sasseur est Catholique! »

Janssen J-J dit: à

débris surnageant de la nuit d’un 4 août : (4.1.21@9.37+++)

@ fin de la féodalité française…, une journée mythique toujours émouvante pour moi, désormais associée aux 60 balais d’un président mondain de l’ouest, surestimé et trompeur…

@ « La catho que je suis attend avec impatience un prochain « pour saluer » ». Comprenions qu’ON s’impatiente du proche décès de George-Arthur Goldschmidt pour mieux en découdre. Mais Duconne peut toujours se tromper sur l’intention et la cible exacte,

@ le robot-rdl a fini par accepter ce matin mes remarques d’hier en direction de rôz, jibé et lmd. Il leur faudra remonter un peu dans le commentarium pour les retrouver. Les prie de m’en excuser.

@ Il pleut…, il pleut…, c’est la fin de l’automne. Soudain, au réveil, est remonté intact en mémoire cet admirable poème longtemps oublié, dont la chute parfaite m’a toujours glacé d’effroi… : « d’autres fois, calme plat, grand miroir de mon désespoir ».

Amitiés aux herdélien.nes qui le méritent et que les autres s’en aillent au diable (très peu, en réalité, 2… si je décompte bien).

et alii dit: à

Milord P.Assouline,comment dois-je vous appeler sur la toile?

et alii dit: à

TWEET ;

Eric Anceau
@Eric_Anceau
·
1h
Les Français au rendez-vous !
Ils sont médaille d’or du temps passé à table.
Un art de vivre très français !

Marie Sasseur dit: à

Lourdaud est un théolochien, un activiste sur YouTube.

Marre.

Bloom dit: à

la confiscation du sacerdoce par les prêtres (billet de Passou)

On tombe du côté où l’on penche: c’est là une des grandes causes de l’émergence de la religion réformée, qui rejette cette hiérarchie des croyants. Si certaines églises protestantes, notamment la via media anglicane, conservent une hiérarchie stricte, les presbytériens, baptistes, et autres congrégationalistes ont une conception horizontale du rapport au divin.

Outre une crédulité habilement distillée à coup de formules absconses censées en mettre plein la vue, le catholicisme recèle une soumission à la parole des puissants. Mutatis mutandis.

Un de mes amis, qui par ailleurs enseigne la langue maternelle de Hannah Arendt dans une prépa parisienne, prêche parfois le dimanche dans son temple tout blanc. Sa vocation est de former des germanistes (chemin ardu s’il en est), pas d’être un fonctionnaire de Dieu.

Ces deux modalités du croire sont diamétralement opposées.

et alii dit: à

et au cinéma , qu’en est-il des « bonnes manières » (vestimentaires des religieux, termes d’adresse, quelles entorses connaissez vous aux bonnes manières
moi je ne connais guère que monsignore de BUNUEL

D. dit: à

C’est révélateur Bloom d’évoquer l’horizontalité avant la verticalité. Mais la vérité se trouve dans le croisement des deux, que l’on retrouve d’ailleurs dans la croix. La verticalité relie la Terre sur laquelle nos pieds reposent, au Ciel où se trouve notre tête. Par ailleurs les protestants, bien que fort respectables et dont la prière est bien entendu écoutée car sincère, sont issus d’un schisme et ne peuvent échapper aux conséquences d’appartenir consciemment à une secte (au sens de partie coupée du corps de l’Église universelle). Parmi ces conséquences : la perte d’une partie de la Grâce divine. Eh ben c’est pas rien.

et alii dit: à

Couvent de la Tourette;j’y ai dormi et mangé avec les
frères à l’occasion d’une session de psychanalyse ;
à table la remarque fut faite par le psy sur le terme d’ adresse « mon père » ;
Il est possible de se restaurer sur place (midi et soir).

Les repas sont à commander à l’avance par téléphone ou par mail et ne peuvent être préparés le jour même.

Vous pouvez également séjourner sur place dans l’hôtellerie du couvent pour un ou plusieurs jours.

A réserver deux semaines à l’avance, par mail ou par téléphone.

Les chambres sont des cellules individuelles.
https://www.couventdelatourette.fr/hotellerie/hotellerie.html

Patrice Charoulet dit: à

COVID : Et le médicament ?

Je suis vacciné. Je n’aurais pas l’idée saugrenue d’aller manifester avec pancarte ou calicot contre
un vaccin !
Cela dit, mille maladies sont soignées par des médicaments. Où en est-on dans le domaine des médicaments anti-Covid ? Les labos y travaillent-ils ?

et alii dit: à

obs:

Ce qui m’émeut, dans ce film magnifique, c’est la poussière. C’est dans la poussière que Broderick Crawford change de vêtements et passe sa soutane de faux ecclésiastique. C’est dans la poussière que les misérables paysans trouvent le magot enterré par les escrocs, et qu’ils reçoivent la bénédiction de monseigneur le faux-cul. C’est encore dans la poussière que le triste héros sera abandonné par ses comparses, au bord de la route… Fellini, chez lui, se souvenait de ce film avec infiniment de tendresse : « J’ai connu, disait-il, des « bidons » comme ceux-ci… Ils étaient des clowns de l’âme… Des clowns mauvais… » J’ai revu « Il bidone » dix fois, vingt fois peut-être. A chaque fois, c’est la même poésie, le même plaisir doux-amer. Ces curés de carnaval, ces minables qui sentent que la fin est proche, ces pauvres gens qui espèrent, espèrent… sont inoubliables. Les hommes sont-ils donc ainsi, drôles, pathétiques, graves et si vulnérables ? Oui, Fellini est l’un des plus grands cinéastes du monde. Il est au Ciel, avec les vrais et les faux curés.

Jazzi dit: à

Entre les pro vaccins et les anti vaccins va t-on voir la France coupée en deux, comme pour l’affaire Dreyfus ?

lmd dit: à

Y a-t-il une religion d’état en Israël ?
Les éléments de réponse sont (notamment) :

L’état d’Israel dispose d’un ensemble de lois fondamentales (en attendant une future constitution que les fondateurs ne voulaient pas rédiger  avant le retour des Juifs du monde entier dans leur patrie ).
Mais régulièrement on y rajoute des morceaux de loi fondamentale ;
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lois_fondamentales_d%27Israël

lmd dit: à

Les derniers textes concernant cette question datent de 2018 : La loi Israël, État-nation du peuple juif,
Cette loi fondamentale stipule que le chandelier à 7 branches figure sur les armoiries d’Israël, qu’on utilise le calendrier hébraïque et que les fêtes juives sont des jours chômés.
Cela fait-il une religion d’état ? Va savoir.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_Israël,_État-nation_du_peuple_juif

lmd dit: à

Elle va dormir dormir au couvent de la Tourette, raconte comment commander son diner et omet de dire que c’est un monument absolument magnifique avec une relation au site parfaite. Saint Corbu, priez pour les ingrats.

et alii dit: à

lmd vous avez un lien pour vous renseigner; non pas un mais deux puisque j’ai mis un lien sur les règles d’accueil des étrangers , et l’hospitalité qui sont nécessairement connues des moines de La TOURETTE AU PATRIMOINE DE L’ UNESCO; j’évoque un temps ancien (d’études)pour moi , et cela a surement changé avec le succès du lieu

Bloom dit: à

Nul besoin d’intermédiaire pour la verticalité, D. (paradigme: Moise au Sinaï).
Contact plein et direct, 24/7.
Examen de conscience plutôt qu’effacement des graffiti obscènes sur le tableau par le Maitre.
La vision schismatique est boomeranguesque: que dire du christianisme & de l’islam, versions schismatiques du judaïsme, lui même inspiré des cultes sumériens et akkadiens…

Paul Edel dit: à

Janssen J-J .votre intervention @ Il pleut…, il pleut…, c’est la fin de l’automne. » m’a rappelé le poème de Jules Laforgue «L’ Hiver qui vient »,poème publié le 16 aout 1886 dans la revue « La Vogue »(un an avant sa mort) et qui avait été recueilli par Dujardin et Fénéon dans un recueil titré « des fleurs de bonne volonté ».Il fut également marqué par la poésie allemande quand il vécut en Allemagne, à partir de 1882 , suivant l’ impératrice Augusta de Berlin à Baden-Baden, Wiesbaden Koblentz, Hombourg alors qu’il avait le titre de lecteur de français .Quelle injustice que ce poète et bon critique d’art , mort à 27 ans ne soit pas davantage lu, étudié, reconnu .
Voici le début de ce poème.
L’hiver qui vient
Blocus sentimental ! Messageries du Levant !…
Oh, tombée de la pluie ! Oh ! tombée de la nuit,
Oh ! le vent !…

La Toussaint, la Noël et la Nouvelle Année,
Oh, dans les bruines, toutes mes cheminées !…
D’usines….

On ne peut plus s’asseoir, tous les bancs sont mouillés ;
Crois-moi, c’est bien fini jusqu’à l’année prochaine,
Tant les bancs sont mouillés, tant les bois sont rouillés,
Et tant les cors ont fait ton ton, ont fait ton taine !…

Ah, nuées accourues des côtes de la Manche,
Vous nous avez gâté notre dernier dimanche.
Il bruine ;
Dans la forêt mouillée, les toiles d’araignées
Ploient sous les gouttes d’eau, et c’est leur ruine.

Soleils plénipotentiaires des travaux en blonds Pactoles
Des spectacles agricoles,
Où êtes-vous ensevelis ?
Ce soir un soleil fichu gît au haut du coteau
Git sur le flanc, dans les genêts, sur son manteau,
Un soleil blanc comme un crachat d’estaminet
Sur une litière de jaunes genêts
De jaunes genêts d’automne.
Et les cors lui sonnent ! »

et alii dit: à

il y a aussi l’hotellerie de la Ste BAUME/
L’Hostellerie de la Sainte-Baume n’est pas un hôtel classique. Elle est une maison religieuse tenue par des religieux, les frères dominicains.

Ils accueillent :
– des personnes individuelles, couples et familles,
– des groupes : diocèse, paroisse, religieux, aumôneries, randonneurs.
J’ Y AI VISITE UNE FAMILLE très pieuse, et rencontré un sculpteur dont je ne retrouve pas le nom (ça me reviendra,j’espère)

DHH dit: à

A propos d’Israel
Même s’il définit comme état juif Israël n’a pas de religion d’etat,
la laïcité est une composante fondamentale de l’ideal sioniste tel que porté par le fondateurs de l’Etat d’Israel ,tous issus autour de Ben Gourion du socialisme juif polonais dont les jeunes membres revendiquaient leur athéisme jusqu’à organiser des bals le jour de kippour

A propos de sainte Thérèse
Etant incapable de mettre un lien , j’invite quelqu’un de plus compètent a renvoyer la sculpture erotique du Bernin dans l’église santa maria de la Victoria ; fantastique represenation realiste en marbre d’un orgasme qu’on a du mal a attribuer a un contact divin ‘
ci-dessous des extraits de sa description par Taine :
Jusqu’aux draperies tortillées ,jusqu’à l’alanguissement des mains défaillantes, jusqu’au soupir qui meurt sur ses levres entr’ouvertes ,il n’y a rien en elle et autour d’elle qui n’exprime l’angoisse voluptueuse et le divin élancement de son transport …..
Renversée sur le dos elle pâme(sic) ,tout son être se dissout, le moment poignant arrive ,elle gémit ;c’est son dernier gémissement ,la sensation est trop forte  »
Suit la description de l’ange qui provoque cet etat et dont « la flèche d’or indique le tressaillement délicieux et terrible dont il va secouer tous les nerfs de ce corps charmant, ardent qui s’étale devant sa main « 

rose dit: à

Paul Edel

Mais où est la chute ?
« D’autres fois, calme plat, grand miroir de mon désespoir ».

et alii dit: à

La nuit du 4 août 17891,2, ou simplement nuit du 4 Août3,4, est la séance de l’Assemblée nationale constituante au cours de laquelle fut votée la suppression des privilèges féodaux. Débutée mardi le 4 août 1789 à sept heures du soir, elle se prolonge après minuit, jusqu’à deux heures du matin1. C’est un événement fondamental de la Révolution française, puisque, au cours de la séance qui se tenait alors, l’Assemblée constituante met fin au système féodal. C’est l’abolition de tous les droits et privilèges féodaux ainsi que de tous les privilèges des classes, des provinces, des villes et des corporations, à l’initiative du Club breton, futur « Club des jacobins ».

rose dit: à

Charles BAUDELAIRE
1821 – 1867
La musique
La musique souvent me prend comme une mer !
Vers ma pâle étoile,
Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
Je mets à la voile ;

La poitrine en avant et les poumons gonflés
Comme de la toile,
J’escalade le dos des flots amoncelés
Que la nuit me voile ;

Je sens vibrer en moi toutes les passions
D’un vaisseau qui souffre ;
Le bon vent, la tempête et ses convulsions

Sur l’immense gouffre
Me bercent. D’autres fois, calme plat, grand miroir
De mon désespoir !

Paul, la voici. C le grand Charles.

et alii dit: à

4aout:
Tour à tour, dans une ambiance indescriptible, Guy Le Guen de Kerangal, le vicomte de Beauharnais, Lubersac, l’évêque de La Fare vont surenchérir en supprimant les banalités, les pensions sans titre, les juridictions seigneuriales, le droit de chasse, les privilèges ecclésiastiques.

rose dit: à

« orgasme qu’on a du mal a attribuer a un contact divin ».

On a du mal, et pourtant.

rose dit: à

Et le droit de cuissage ?

rose dit: à

On tombe du côté où on penche.

Exception, la tour de Pise.

Marie Sasseur dit: à

Passou, dans un de ses livres nous avait également fait partager une « retraite « , à Jérusalem.

D. dit: à

du judaïsme, lui même inspiré des cultes sumériens et akkadiens…

Comment osez-vous écrire de tels choses, Bloom ?
C’est très grave.

D’autre part c’est vous qui apportez la notion d’intermédiaire. Je n’en ai pas parlé. Dans le christianisme il n’y a aucun intermédiaire, on est libre de s’adresser à l’une des trois personnes de la Sainte Trinité. Il existe mille prières adressées à Dieu le Père (à commencer par le Notre Père), ou au Fils ou à l’Esprit Saint.

Vous causez vous causez, Bloom, vous croyez savoir et je m’aperçois que vous ne savez rien du tout en la matière.

D. dit: à

Veni, creator Spiritus,
Mentes tuorum visita,
Imple superna gratia
Quæ tu creasti pectora.

Qui diceris Paraclitus,
Donum Dei altissimi,
Fons vivus, ignis, caritas
Et spiritalis unctio.

Tu septiformis munere,
Dextræ Dei tu digitus,
Tu rite promissum Patris,
Sermone ditans guttura.

Accende lumen sensibus,
Infunde amorem cordibus,
Infirma nostri corporis
Virtute firmans perpeti.

Hostem repellas longius
Pacemque dones protinus ;
Ductore sic te prævio
Vitemus omne noxium.

Per te sciamus da Patrem,
Noscamus atque Filium ;
Te utriusque Spiritum
Credamus omni tempore.

Deo Patri sit gloria,
Et Filio, qui a mortuis
Surrexit, ac Paraclito
In saeculorum saecula. Amen.

renato dit: à

« Ne me dites pas que les cantatrices obtempéraient ? »

Mythologies de la petite bourgeoisie philistine bien à part, les cantatrices obtempèrent même lorsqu’elles s’appellent Maria Callas.

rose dit: à

Marie Sasseur dit: à
Effectivement Langoncet une tradition perdue, l’église ouverte.
Mais pas à cause des merles. A cause des vandales.

Des voleurs, je crois bien.
Toutes les petites églises des Pyrénées espagnoles ont leurs œuvres d’art au musée national de Barcelone. Sinon, sont pillées.

et alii dit: à

D’abord, afin d’invoquer le bénéfice du clergé, il faut comparaître devant la cour tonsuré et portant la robe. Au fil du temps, cette preuve vestimentaire est remplacée par un test de lecture : l’accusé montre son état clérical par la lecture de la Bible en latin. Cela a permis à des laïcs lettrés d’invoquer le bénéfice du clergé. En 1351, sous Édouard III, cette faille est formalisée dans la loi, le bénéfice du clergé est officiellement étendu à tous ceux qui savaient lire.1 Par exemple, le dramaturge anglais Ben Jonson, inculpé d’homicide involontaire, évite la pendaison en invoquant le bénéficie du clergé en 1598.

Officieusement, la faille a été encore plus grande, parce que le passage Biblique traditionnellement utilisé pour le test de lecture est, de façon appropriée, le Psaume 51 (50), Miserere mei, Deus, secundum misericordiam tuam (« Ô Dieu ! aie pitié de moi dans ta bonté ; selon ta grande miséricorde »). Ainsi, une personne analphabète qui avaient mémorisé le psaume approprié pouvait également prétendre au bénéfice du clergé. Le Psaume 51 est alors appelé le « verset du cou » puisqu’il permet d’éviter d’avoir la corde au cou en transférant son dossier depuis un tribunal séculier, où la pendaison était une peine classique, vers un tribunal ecclésiastique où les méthodes et les peines étaient plus clémentes.

Le bénéfice du clergé a souvent été appliquée comme un moyen de miséricorde : pendant l’ère élisabéthaine, les tribunaux permettaient à plus de 90% des délinquants de bénéficier de ce droit, ce qui est extrêmement élevé par rapport au taux d’alphabétisation de l’époque.2 Si l’accusé qui prétendait bénéficier de ce droit était considéré comme méritant particulièrement la peine de mort, les juges lui demandaient de lire un autre passage de la Bible. La plupart des accusés étaient illettrés et avaient simplement mémorisé le Psaume 51, ils étaient incapables de lire un autre passage et étaient condamnés à mort.

Dans les tribunaux ecclésiastiques, la forme la plus commune de procès est la compurgation. L’accusé témoigne pour lui-même et fait le serment que les accusations sont fausses. S’il trouve douze compurgators qui font le serment de croire son serment, alors il est acquitté. Une personne condamnée par un tribunal ecclésiastique pouvait être défroquée et renvoyée aux autorités séculières mais les tribunaux ecclésiastiques anglais sont devenus de plus en plus clément et, dès le xve siècle, la plupart des condamnations dans ces tribunaux conduisait à une pénitence.
wiki

rose dit: à

Paul Edel dit: à
Rose, les cantatrices choquées par ce qu’on leur demande obtempérent le plus souvent il y a bien sûr des négociations en coulisse, ou dans le bureau du directeur de l’opéra .Mais le contrat est là!et malgré la célébrité du chanteur ou de la chanteuse obligation est de suivre les indications du metteur en scène. Il reste théoriquement le maitre,parfois il se révèle un tyran.

Paul Edel.

Pensé à cela cette nuit, qu’elles devraient être bichonnées, respectées, etc.

Alors, les caprices de diva ne seraient pas où l’on croit.

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