de Pierre Assouline

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La République des livres
La mémoire de Javier Marías ne dormait que d’un oeil

La mémoire de Javier Marías ne dormait que d’un oeil

Rares sont les écrivains avec lesquels je ressens de profondes affinités, pour lesquels j’ai éprouvé dès la découverte de leur œuvre une évidente familiarité, auxquels je me suis attaché pour des raisons tant littéraires que purement humaines, sans les avoir jamais rencontrés, ni croisés, ni interviewés. Javier Marías en était. C’est peu dire que l’annonce de sa mort le 11 septembre 2022 à 70 ans m’a touché, une émotion inexplicable à ceux qui ne placent pas la littérature dans les hauteurs de l’art, une émotion ravivée par la parution à titre posthume de son dernier roman Tomás Nevinson (Tomás Nevinson, traduit de l’espagnol par Marie-Odile Fortier-Masek, 736 pages, 26,50 euros, Gallimard). Il n’est pas la suite de Berta Isla mais son complément. Il peut s’apprécier tout aussi bien isolément dans l’ignorance de ce qui l’a précédé.

Dès l’incipit, on comprend que le narrateur est un quadragénaire « élevé à l’ancienne », entendez qu’il s’interdit de frapper, torturer, trucider les femmes car cela heurterait son éducation, mais aussi que sa mission va probablement l’inciter à enfreindre ce tabou moral. Tuer quelqu’un, on en est tous capables. Question de circonstances. Recommencer, c’est autre chose. Tout dépend de la manière ; même les soldats mettent désormais des distances qui désincarnent cet acte ultime ; les soldats tuent par drones interposés ou sur écran comme dans un jeu vidéo. Tomás Nevinson est un agent du MI5 et du MI6 à la retraite et grillé, revenu vivre en 1994 à Madrid après des années de clandestinité et de silence, loin de sa femme et de ses enfants qui le considéraient comme disparu ou mort. Un homme maladroit et sec sur le plan sentimental, doté d’une double culture étant né d’un père anglais et d’une mère espagnole, fan du Real Madrid.

On le découvre lorsqu’il le retrouve Tupra, un ami d’autrefois, toujours actif dans les services secrets espagnols. Le « petit service » qu’il lui demande va l’obliger à replonger en servant, une fois n’est pas coutume, la cause de ses deux pays : il s’agit de localiser, puis d’identifier sous un palimpseste d’identités successives avant de l’exécuter une femme qui a activement participé à des attentats pour le compte de l’IRA et de l’ETA, ces sœurs jumelles. Très vite, l’enquête établit que de forts soupçons pèsent sur trois femmes. A charge pour lui de les approcher, de les espionner et de faire un rapport qui permettra d’engager une décision. L’une d’elle vit dans « une ville du Nord-Ouest » de l’Espagne, forte de 200 000 habitants, queJavier Marías se refuse à nommer de son vrai nom (« Ruàn » n’existe pas) mais dans laquelle se déroule une grande partie de l’action. Au début, il les épie à la manière du James Stewart de Fenêtre sur cour avant de se rapprocher de plus en plus jusqu’à créer des liens puis de démasquer la bonne. Anne Boleyn, Jeanne d’Arc, Marie-Antoinette étaient des femmes. Le souvenir de leur exécution le poursuit et le paralyse. Il a pourtant déjà tué. Deux fois. « Son doigt a du métier » comme on dit en Sicile. Un assassinat en perspective ? En effet, mais en éviter d’autres. Ce qui les différencie du camp d’en face, ce n’est pas seulement qu’ils ont de la mémoire et l’on sait qu’elle dort que d’un oeil : ils ne connaissent pas la haine. Trupa ne cesse de lui répéter. Ni la haine, ni la vengeance, ni le ressentiment- ce qui les distingue des policiers du GAL qui pratiquent secrètement les exécutions sommaires de « fanatiques », des terroristes ou prétendus tels.

« Le passé est un intrus impossible à refouler ».

La chute du mur de Berlin et ses conséquences sur les relations Est-Ouest avaient laissé les services secrets de certains pays désorientés, privés d’un ennemi héréditaire, épuisés et las. Aux Anglais et aux Espagnols restaient deux morceaux de choix clairement identifiés comme l’ennemi à abattre : l’IRA et l’ETA, les nationalistes catholiques irlandais et les indépendantistes basques, qui usaient de la terreur pour se faire entendre. Long et lourd est le sanglant palmarès basque. Tout Espagnol de ce temps-là se souvient, de quelque bord politique qu’il fut, du centre commercial Hipercor à Barcelone en 1987, de la caserne de la garde civile à Vic, d’une autre caserne à Sarragosse. Des massacres à l’aveugle sans parler des exécutions de plusieurs balles dans le dos de civils en pleine rue ou à une table de café, sans oublier en juillet 1997 le kidnapping puis le meurtre d’une balle dans la tête d’un jeune conseiller municipal du PP Miguel Angel Blanco, l’assassinat de trop qui horrifia particulièrement l’opinion publique et la fit descendre par millions dans les rues du pays pour hurler « Basta Ya ! ».

L’Espagne et l’Angleterre ont eu aussi leurs années de plomb rivalisant en barbarie avec celles de l’Italie. On conceptualisait déjà à loisir sur la violence d’Etat et la violence légitime. Si pratique pour se dédouaner des pires crimes ! Aux yeux de Tomás Nevinson, ces gens-là sont inaccessibles à notre entendement. Des décervelés qui ont subi un lavage de cerveau, et leurs chefs, des manipulateurs. Des gangsters enhardis par l’innombrable foule espagnole qui les conspue et les voue aux flammes de l’enfer après chaque attentat. Et il ne faut pas beaucoup pousser l’auteur pour qu’il y englobe également les batasunistas (néologisme forgé à partir de Herri Batasuna, branche politique de l’ETA militaire).

Dans les services secrets, ils avaient pris l’habitude de compter séparément les assassinats commis par l’ETA sous Franco et ceux perpétrés depuis l’instauration de la démocratie, allez savoir pourquoi (eux-mêmes semblaient l’ignorer). En revanche, on savait bien pourquoi les grands quotidiens américains qualifiaient toujours les gens de l’ETA de « séparatistes » ou de « nationalistes basques » mais jamais de « terroristes ». Pour autant, Javier Marías ne se lance pas dans de grandes envolées morales à prétention universaliste ; il nous assène juste des vérités qui nous parlent tant elles nous reflètent. Leur instructeur, du temps où Tomàs et Tupra étaient des apprentis espions, disait qu’il existe cinq chancres à combattre : la cruauté, la haine, la foi, la folie, la bêtise, toutes également contagieuses. Il leur en reste quelque chose.

« Tel est le problème de ceux qui nous connaissent depuis notre jeunesse : ils donnent l’impression de faire autorité et tout ce qui sort de leur bouche devient parole d’Evangile. Qu’ils disent la vérité ou qu’ils mentent »

Marías, on lui fait confiance dans l’ensemble car, sur ce que l’on croit connaitre aussi bien sinon mieux que lui, il ne se trompe pas. Aussi n’irons-nous pas vérifier si effectivement, les putes sous le régime nazi étaient obligées de crier Heil Hitler ! deux fois : pendant les préliminaires puis durant le prétendu orgasme. Ou si l’écrivain cubain en exil à Londres Cabrera Infante lui a vraiment dit un jour : « Tous les guérilleros auxquels on voue un culte, tous les terroristes soi-disant idéalistes sont avant tout des assassins aussi intelligents que rusés ». Ou si Franco avait vraiment sur son bureau la fameuse photo du cadavre de Mussolini pendu par les pieds en place publique « pour me rappeler que jamais je ne partirai comme ça ». On le croit sur parole. C’est d’abord cela le pacte de lecture.

Rien n’est simple, tout est double. Pas une page qui ne le murmure. Par sa complexité narrative, la richesse de ses personnages, la densité des situations, ce roman d’espionnage dont la maitrise est à couper le souffle fait irrésistiblement penser à l’œuvre de John Le Carré sans jamais verser dans une inspiration directe, un pastiche ou un à la manière de. Son écriture est aussi sinueuse et discursive mais bien plus digressive encore (ce goût de la digression lui est venu en traduisant Tristram Shandy) s’autorisant des développements de plusieurs pages apparemment hors-sujet avant de retomber sur ses pieds en virtuose, et nous avec.

Le narrateur parle alternativement à la première personne et à la troisième selon qu’il s’exprime sous son nom de Tomás Nevinson ou sous l’un de ses pseudonymes ; alors, le désignant, il le met à distance notamment lorsque celui-ci commet des actes ou ressent des émotions que Marias juge repréhensibles. Plus d’une fois il fait sien le fameux cogito d’Ortega y Gasset : « Yo soy yo y mi circunstancia » (« je suis moi et ma circonstance »). On croirait que toute son œuvre littéraire a gravité autour de cet axe pendant un demi-siècle : nos décisions sont  le produit de l’union insécable entre notre moi profond et le moment et le lieu où elles s’engagent.

Son intime commerce avec la littérature anglaise favorise dans son sens de l’humour une tendance naturelle à l’understatement (« Dachau, endroit insalubre entre tous… »).L’évocation de Waterfield’s et de Blackwell’s, des librairies renommées d’Oxford, exprime toute la nostalgie de l’ancien étudiant et de l’ancien professeur que fut Javier Marias dans cette ville. Mais la parenté entre les deux écrivains qu’une génération séparait s’impose d’évidence comme une filiation dans le diptyque formé par Berta Isla et Tomás Nevinson, favorisée par l’anglophilie profondément ancrée chez l’auteur. Qu’il cite Shakespeare, Yeats ou T.S. Eliot, ce n’est jamais gratuitement, cuistrement, en passant mais toujours à propos et de manière récurrente, comme des bornes du récit, des références signifiantes que l’on se plait à retrouver. Styliste assurément, il rend son récit si captivant hors toute notion de suspens que l’on en est véritablement captif ; la fiction n’est jamais aussi addictive que lorsqu’elle ne le fait pas exprès.

 Marías est de ces grands lecteurs pour qui les personnages les plus puissants de la littérature romanesque, le Quijote, le prince Salina, le narrateur de la Recherche et son entourage (il fait ici un usage permanent de Macbeth et du Becket de Meurtre dans la cathédrale) sont bien plus réels et présents que nombre de personnes de la vie quotidienne. Il vivait avec sa famille de papier davantage qu’avec les êtres de chair et de sang. Mais ses citations sont si naturellement inscrites dans le contexte qu’elles perdent soudain leur caractère de citation. A croire que ses classiques auteurs de chevet se sont mis au service deJavier Marías. De même qu’un livre moins connu et plus surprenant à cet endroit, encore que… : La Haine et la Honte (Tagebuch eines Verzweifelten) de Friedrich Reck-Malleczewen, journal d’un aristocrate allemand de 1936 à 1944.

L’intrigue est là, fortement charpentée, ce qui est d’autant plus remarquable que l’auteur prétend improviser, écrire au fil de la plume, ne rien planifier, en parfaite osmose avec son narrateur qui s’en remet davantage à son intuition et à son instinct qu’à l’organisation ; ainsi communique-t-il sa propre indécision à son personnage, lequel hésite tout au long du roman quand tout conspire à le convaincre que s’il va jusqu’au bout, il épargnera des malheurs à ses compatriotes ; mais si on litJavier Marías, c’est moins pour l’histoire que pour ce qu’elle dit d’autre que ce qu’elle raconte.

Quant au mystère le plus manifeste de cette édition, à savoir le choix de la photo de couverture en bandeau (un portrait de l’acteur Gérard Philipe dans Monsieur Ripois, le film de René Clément), même si Gallimard n’a fait que se conformer au choix de l’éditeur espagnol, on reste dubitatif. On croit certes se souvenir que dans Berta Isla, il était dit que Tomás Nevinson ressemblait à l’acteur ; mais rien de tel pour induire le lecteur en erreur car, après qu’une telle personnification du héros, il peut s’attendre à des développements à ce sujet ou à une quelconque exploitation de cette ressemblance alors qu’elle est inexistante dans le roman. Contrairement aux images récurrentes qui hantent le narrateur, notamment celle du personnage interprété par Walter Pidgeon dans Man Hunt (1941) de Fritz Lang, l’histoire d’un chasseur à l’affût dans la forêt proche de Berchtesdagen en juillet 1939 qui, découvrant soudain Adolf Hitler dans la lunette de son fusil, se demande : tirer ou pas, telle est la question. La photo reproduite sur une pleine page à l’intérieur du livre, la seule en 700 pages dont on peut penser qu’elle était donc suffisamment importante et nécessaire pour y figurer, eut été bien plus éloquente : à Vic peu avant Noël et peu après un attentat de l’ETA contre la Guardia Civil, ruine et désolation, avec au premier plan un père le visage en sang la mine hébétée, aussi désemparé que désespéré, portant sa fille blessée dans ses bras. Javier Marias consacre deux pages bouleversantes à ce que « nombre de Basques considéraient comme un carnage héroïque ». C’est de cela qu’il s’agit dans ce roman, et non de Gérard Philipe. Mais c’est moins séduisant. On n’ose imaginer que ceci explique cela.

(« Attentat à Vic » photo Pere Tordera ; « Le portrait de Miguel Angel Blanco brandi dans les cortèges » photo D.R. ; « Walter Pidgeon dans Man Hunt/ Chasse à l’homme » photo D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères.

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commentaires

988 Réponses pour La mémoire de Javier Marías ne dormait que d’un oeil

renato dit: à

Une gamine russe âgée de 13 ans a été internée dans un centre de rééducation pour avoir fait un dessin contre la guerre peu après le début de l’invasion russe de l’Ukraine.

D. dit: à

Vous auriez voté Marine Le Pen, Monsieur Charoulet, votre plainte aurait été prise.
Il faut assumer ses choix.

D. dit: à

Non seulement votre plainte aurait été prise, mais l’auteur rapidement retrouvé, inculpé, jugé, mis sous verrou et si besoin expulsé de France.

D. dit: à

Est-ce que vous auriez les couilles, renato,
de répéter ici que l’âme est une invention des cons pour se donner une importance ?
Mhhhmm ? J’attends.

renato dit: à

Évidemment, D., et vous en êtes la preuve. C’est un peu comme l’expression « avoir des couilles », j’ai par ailleurs fait le constat que ceux qui l’emploient en sont dépourvus.

D. dit: à

Eh bien, allez-y, répétez, au lieu de tourner autour du pot.

renato dit: à

Quel pot ? Il y a un pot quelque part ?

Cela dit, croyez-vous réellement que vos opinions aient pour moi de l’importance ?

renato dit: à

Certes, il y en a qui ont les couilles d’interner une gamine âgée de 13 ans dans un centre de rééducation pour avoir fait un dessin contre la guerre. On peut parier que ces couillus sont même persuadés d’avoir une âme.

D dit: à

Il vont la relâcher à mon avis. C’est une erreur. Sans doute Faisait-elle plus que son âge.

D. dit: à

Le Pen Marine ou Zemmour Eric. Des gens qui savent ce que sécurité intérieure et justice veulent dire.

D. dit: à

Eh oui.

D. dit: à

Bon je vais me coucher.

renato dit: à

 » Il vont la relâcher à mon avis. C’est une erreur. Sans doute Faisait-elle plus que son âge.  »

Quel con !

D. dit: à

Je ne suis totalement contre la barbe. Je le répète. Mais je n’ai rien contre la moustache. J’y serais même assez favorable.

D. dit: à

Allez, au dodo, renato. Vous êtes manifestement epuisé.

renato dit: à

 » Sans doute Faisait-elle plus que son âge.  »

Fatigué ? Peut-être bien, car parler avec un con fatigue.

rose dit: à

foule
« Car si cette distinction n’est pas nouvelle, le curseur, lui, a évolué au fil du temps. Déjà Aristote oppose le dèmos, c’est-à-dire […]

Les choses paraissent plus simples que cela avec des nuances si nécessaires.

La foule n’est pas portée par un idéal, le peuple oui.
Il y a foule aux grands magasins, pour Noël et foule aux matchs de foot.

Le peuple c’est une sacrée autre dimension.

Merci pour les références vers Victor Hugo qui savait ce que peuple veut dire.

Janssen J-J dit: à

GP n° 191 – Je me souviens maintenant du Défenseur du Temps dont je guettais le moment où il se mettait à combattre le coq, le crabe ou le dragon… dans le quartier de Beaubourg où j’aimais à flâner autrefois. Et ce, grâce à Jzmn, toujours en alerte…, je viens de me le ressusciter. Merci infiniment. BNàvous,

Janssen J-J dit: à

GP n° 192 – Je me souviens d’avoir lu L’âge des foules de Serge Moscovici, (le père du locataire actuel de la cour des comptes, rue Cambon), un bouquin qui m’avait marqué après celui de Gustave le Bon et « les lois de l’imitation » de Gabriel de Tarde… Plus que ses commentaires sur Freud, qui m’ont toujours un brin fatigué et continuent…
https://www.fayard.fr/sciences-humaines/lage-des-foules-9782213628073
Je lisais beaucoup dans cette collection de Fayard, dans les années octante, dont le directeur éditorial était Pierre Birnbaum.
Bàv,

MC dit: à

Étiez-vous la quand je lui ai dit de revenir, JJJ? Oui il m’est arrivé de là contredire, de la moquer, non. Et globalement , je l’ai beaucoup appréciée. Je commence à en avoir assez de vous voir tordre les faits à votre convenance, ce qui est lassant pour tout le monde et votre serviteur. Je vous laisse penser ce que vous voulez de ma sincérité en matière de SF , mais sans remonter à Lucien, je signale à votre curiosité ( toujours!) dans cette fin de dix huitième siècle la Bibliotheque des Voyages Cabalistiques, dont le nom ne dit pas qu’elle contient les premiers récits de voyages planétaires… Bien à vous. Histoire d’être poli. MC

renato dit: à

Voir éventuellement le Prologue à L’année terrible de Victor Hugo.

30.3 — 7.10

renato dit: à

Six dissidents * qui luttent pour renverser la dictature chiite ont présenté une Charte de Solidarité et d’Alliance pour la Liberté ** à Georgetown dans le but d’unir l’opposition et de renverser le régime.
La Charte énumère les valeurs communes pour un Iran démocratique, dont la formation d’un gouvernement laïc par référendum et l’abolition de la peine de mort et de tous les châtiments corporels. La Charte exige également la formation d’une organisation indépendante de supervision des élections et l’acceptation de l’observation nationale et internationale des élections. Aussi que l’abolition du Corps des gardiens de la révolution islamique et de toutes ses branches. La Charte exige également une coopération et des relations pacifiques avec tous les pays du monde et l’adhésion à la Cour pénale internationale.

* Masih Alinejad, Nazanin Boniadi, Shirin Ebadi, Hamed Esmaeilion, Abdulah Mohtadi e Reza Pahlavi.

** Aussi appelée Charte de Mahsa, en référence à la mort de Mahsa (Jina) Amini.

Alexia Neuhoff dit: à

JJ-J, je signe votre pétition en faveur de la libération de JMB. Dommage que les « factieux » n’aient pas brûlé le stock de cartons rouges de l’arbitre de Dieppe…

Clopine dit: à

Ce n’est pas un arbitre, Alexia, juste un type un peu pompeux bourré de certitudes, la première étant qu’il a toujours raison, ce qui serait bénin si cela ne débouchait pas sur des pratiques d’une intolérance extrême ( exclure tel ou tel, filer chez les flics à la première poubelle venue, on imagine bien aussi les courriers revendicatifs et ampoulés à la Mairie de Dieppe au premier sujet de mécontentement – vu que la Kommandantur n’est plus là, ahahah). Bref, la médiocrité intellectuelle et l’intolérance sociale : coktail hélas connu !

renato dit: à

J’avais compris que bouguereau avait été ostracisé pour une durée de 10 jours — il y a de là deux semaines ou plus.

Jazzi dit: à

Le printemps est enfin arrivé à Paris, il était temps !

« Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. »
VICTOR HUGO

Rosanette dit: à

@lopine
ajoutez l’intolerance langagière qui a mes yeux est le contraire de l’amour de la langue
la langue est un être vivant qui ne doit pas être embastillé pour se scléroser à l’écart de l’air du temps.
je prefere le linguiste qui cherche a comprendre le sens de ce qui se passe dans la langue ,à cerner sont les forces à l’oeuvre dans son dynamisme organisateur qui expliquent son evolution ,et ne peste pas contre elle
cette attitude vaut mieux que celle du grammairien rigide, ce gardien de l’ordre ancien qui se préoccupe de corriger tout ce qui dans la langue ne relevé pas d’un « bon usage » daté

Rosanette dit: à

apres correction*

@Clopine
Ajoutez l’intolerance langagière qui a mes yeux est le contraire de l’amour de la langue
la langue est un être vivant qui ne doit pas être embastillé pour se scléroser à l’écart de l’air du temps.
je préfère le linguiste qui cherche a comprendre le sens de ce qui se passe dans la langue ,à cerner les forces à l’oeuvre dans son dynamisme organisateur qui expliquent son evolution ,et lui ne peste pas contre elle
cette attitude vaut mieux que celle du grammairien rigide, ce gardien de l’ordre ancien qui se préoccupe de corriger tout ce qui dans la langue ne relevé pas d’un « bon usage » daté

Janssen J-J dit: à

@ MC, j’essaierai à l’avenir de rester poli et de ne plus vous « harceler »… Non je n’étais pas là quand vous avez prié Xtiane de revenir, ou j’ai oublié, hélas… seulement imprimé vos différends, comme souvent. Vous savez, la déformation des faits, l’essnetiel est que vous n’en souffriez point, et restiez le plus juste possible dans l’historiographie de ce commentarium cafard-naüm. Ce que je vous souhaite et le plus longtemps possible. Je comprends votre goût de la SF à partir de vos Lectures Cabalistiques que, pmp, je n’ai jamais fréquentées, ignorant même jusqu’à présent qu’elles fussent.
Peut-être connaîtrais-j quelques rechutes, et je vous en présente mes excuses par avance. Vous me connaissez bien désormais : suis-j un brin soupe au lait, et même de + en +, j’ai toujoursj été. Et ça s’empire… Mais bon, j’essairai de diversifier mes cibles, de façon à ce que les impacts en soyent moins déformants. Maij RPTV comme me le conseillait un célèbre internaute///
Bàv

Alexia Neuhoff dit: à

Bien, Janssen, puisque vous flânez par ici, sauriez-vous m’expliquer en quoi Michel H. n’est pas à mettre dans le même sac (ou le même lot) de réacs flirtant avec l’ultradroite que Sylvain T ou Yann M. ? Personnellement, je ne vois pas la pertinence de votre tri sélectif.

Janssen J-J dit: à

Passionnante discussion CP-Rosanette, à propos de l’attitude de PC.
Je voudrais ajouter ce bémol qui m’entrave et que je ne parviens pas oublier dès lors qu’une discussion sereine se met à déraper…
________________
GP n° 192 – Je me souviens toujours de cette observation de Roland Barthes dans son discours au CDF en 1977 : elle est pour moi immarcescible :
« La langue, comme performance de tout langage, n’est ni réactionnaire ni progressiste ; elle est tout simplement fasciste ; car le fascisme, ce n’est pas d’empêcher de dire, c’est d’obliger à dire ».

JC..... dit: à

« Est-ce que vous auriez les couilles, renato,
de répéter ici que l’âme est une invention des cons pour se donner une importance ? » (Dédé le Mocco)

L’âme est une invention du diable, gourou des cons* !

* adresser le courrier à l’adresse suivante
Lucifer, Caves du Vatican, troisième Impasse à gauche, dite cul-de-sac des anges déchus…

Bolibongo dit: à

ces couillus

C’est couillon mais être « couillu » n’a pas exactement la même signification que l’ expression « avoir des couilles ».
Le cher renato fait ici un italianisme involontaire avec  » ces couillons ».
Entre un adjectif et un nom.

Trois J devrait par ailleurs cesser d’ attribuer ses opinions personnelles à tous ceux et celles de ce blog avec un « nous » faussement collectif.
Ce n’est vraiment pas catholique de l’écrire ainsi.

Janssen J-J dit: à

@ AN, Je n’ai pas lu le bouquin dont vous parlez, et n’aime pas trop me prononcer de la sorte… Cela dit, Houellebecq est un vrai écrivain, qui à mes yeux, échappe et échappera aux contingences du temps et des actualités idéologiques du moment, erreur fréquemment commise à son encontre, puisque c’est à ça qu’on voudrait le réduire.
Les deux autres ne sont tout simplement pas des écrivains, quoiqu’ils en aient… Tout au plus, de mauvais écrivassiers post modernes usant des médias et de leur pedigree familial pour conquérir les gogos mondains… à partir de leur smartphone dans les espaces désertiques, ou des remugles les plus nauséabonds de leurs conscience qu’ils donnent complaisamment à voir dans ce qu’ils imaginent être ue marque de provocation à sculpter dans une glaise pérenne. Des paris stupides sous jacents à des messages subliminaux qui ne valant guère deux pets de lapin.
Les grands romans de Houellebecq (quoiqu’en en pense) auront marqué une génération entière de leur empreinte, au delà des clivages politico-philosophiques des moments, et continueront de marquer les deux ou trois générations suivantes qui nous survivront.
Voilà tout ce que je peux en dire d’un brin subjectif pour le moment sur ces trois personnes, chère AN. Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ Trois J devrait cesser d’attribuer ses opinions personnelles à tous ceux et celles de ce blog avec un « nous » faussement collectif.
____
OK, comme c mon jour de grâsse, vais-j essayer de m’en tenir à je je je plutôt qu’à nous autres, les bons erdélien.nes. A ge-noux, j’implore conséquemment votre pardon, tel le bourgeois de Calais moyen, corde au cou et bure empoissée de poix de chauffage.
Bàv, BLBG.

MC dit: à

La machine à étiqueter Alexia N est en marche, et rien ne l’arrêtera. Un peu de sens commun montrerait que L’important est pourtant ce qu’on écrit, pas ce qu’on est ou à été. Et à ce titre , ni le Sylvain Tesson de la Panthère, ni le Houellebecq de la Carte ne me semblent avoir démérité. MC

renato dit: à

« La langue, comme performance de tout langage… »

Il me semble que, à un moment, Barthes a corrigé sa proposition, je dois chercher et maintenant le temps me manque. Il ne faudrait quand même pas oublier, et RB ne l’a pas oublié, que « la liberté ne consiste pas à choisir entre le noir et le blanc, mais à échapper à ce choix prescrit » (TW Adorno).

Janssen J-J dit: à

PS / Je suis heureux qu’on me reconnaisse des opinions personnelles, au demeurant… J’essaie de comprendre celles des autres et d’où « elles » parlent…, sans grand succès, le plus souvent… Les spectateurs de l’arène n’y descendant point souvent par crainte de se faire huer.
J’essaie, pmp, de faire advenir de vraies paroles, comme disait Roland, ayant TAF conscience d’user d’une tactique un brin fascistoïde. C’est la rançon des faux dialogues se nouant sur les réso-sociaux : la langue écrite y sera toujours par définition abâtardie par le calcul, face à l’oraison jaculatoire spontanée de l’internaute moyennement éructif quoique souvent Tourettisé du syndrome à Gilles. Du moins, voilà ce que je pense. Et ne n’entends nullement être démenti ou conforté icite par le spumescent fromage de chèvre de nos pseudos-inconnus juchés sur les gradins, mais toujours prédisposés à mettre le pouce en direction du bas. Bàv,

renato dit: à

J’avais employé « couillu » (courageux, audacieux) en relation à l’internement d’une gamine (une action couillue !). C’était donc une altération paradoxale, afin de souligner la réalité de ce fait par la dissimulation apparente de sa vraie nature, en bref : c’était de l’ironie.
Puis, vous avez évidemment raison : des gens capables d’interner une gamine pour un dessin ne peuvent être que des coulions.

Janssen J-J dit: à

Votre langue a fourché, cher MC : pas une ‘machine à étiqueter’, serais-je, bien plutôt une « machine à détricoter », me sentais-je… c’est qu’on ne se refait pas quand on a trop longtemps biberonné au lait derridien de la déconstruction structurale… Difficile alors de replâtrer l’ensemble et de repasser les plats. Voili Viala…
Bàv, MC 🙂

Janssen J-J dit: à

Un petit commentaire sur conin*petit con, peut-être ? Voilà qui serait assurément couillu !
Bàv

J J-J dit: à

(come back), JJJ relisant : « ignorant même jusqu’à présent qu’elles fussent ». Cet internaute avait sans doute voulu dire : « ignorant jusqu’à présent qu’elles eussent été »… Oui, c’est ce qu’il avait voulu dire et écrire. Merci de l’indulgencer. BàL, Il sort.

Jazzi dit: à

Le lézard a vu le dernier long métrage d’une cinéaste résolument unanimiste sur la justice restauratrice, et n’a pas été vraiment convaincu !

et alii dit: à

« ’Homme déconstruit : définition philosophique
2 OCTOBRE 2021
4.5/5 (18)
L’Homme déconstruit en philosophie : définition et signification. Qu’est-ce que l’Homme déconstruit ? Quelle démarche intellectuelle et quel sens politique ?

En philosophie, la déconstruction a le sens d’analyse critique. C’est notamment le mot utilisé par le philosophe français Jacques Derrida pour expliquer la démarche philosophique d’Heidegger qui consistait à « démonter » l’Etre (et non pas à le détruire) en vue de l’analyser et de lui offrir précisément une nouvelle possibilité d’être.

Le concept de déconstruction est passé à la sociologie, puis a été repris par le mouvement féministe dans le but de critiquer et démonter les stéréotypes relatifs au genre, à l’orientation sexuelle ou à la « race ».

L’expression « homme déconstruit » a surgi dans la sphère politique française en septembre 2021 à l’occasion de la primaire écologiste : Sandrine Rousseau a utilisé cette formule, déclenchant une pluie de critiques mais invitant chacun à se positionner sur ce nouveau terrain de la philosophie politique. »philomag
c’est vrai qu’on parle maintenant de l’homme décostruit:la politique fait-elle ventre de tout?

Alexia Neuhoff dit: à

MC dit: à

La machine à étiqueter Alexia N est en marche, et rien ne l’arrêtera.
Janssen J-J dit: à

Votre langue a fourché, cher MC : pas une ‘machine à étiqueter’, serais-je, bien plutôt une « machine à détricoter »

Et moi, je fais tapisserie.

Petit Rappel dit: à

Il y a eu un colloque intitulé « Après la Deconstruction », je crois en Sorbonne, ce qui m’a fait qualifier de fasciste par les chiens de garde de la pensée derrideenne considérée comme l’aboutissement suprême de la Philosophie dans ce pays. Triste spectacle. MC

Petit Rappel dit: à

Barthes a surtout perdu une occasion de se taire, Quid de l’écriture polysémique d’un Rabelais? Mais évidemment, l’air de l’époque était «  Nous allons changer tout cela «  . On a vu ce qu’il en était, et la Nouvrlle Critique reléguée comme du Jules Lemaitre au grenier des avants gardes déchues, «  Nouvelle critique ou nouvelle Imposture » s’interrogeait déjà feu Raymond Picard. MC

et alii dit: à

CELA PEUT6ËTRE PLUS ENNUYEUX DE FAIRE DES TAPISSERIES QUE DE FAIRE TAPISSERIE

et alii dit: à

FAIRE TAPISSERIE
L’expression date du XIXe siècle. Lors des bals, les jeunes filles sans cavalier attendaient près des murs dans une immobilité qui leur donnait l’aspect des personnages de la tapisserie.

et alii dit: à

DE LA TAPISSERIE/
3https://greatsong.net/PAROLES-MARCEL-MOULOUDJI,JULIE,7462.html

closer dit: à

Jules Romain, pas Romain Rolland, JB.

et alii dit: à

TAPISSERIE/
ean Picart le Doux est l’un des grands animateurs du renouveau de la tapisserie. Ses débuts dans le domaine datent de 1943 : il réalise alors des cartons pour le paquebot “la Marseillaise”. Proche de Lurçat, dont il épouse les théories (tons limités, cartons numérotés,…), il est membre fondateur de l’A.P.C.T.(Association des Peintres-cartonniers de Tapisserie), et bientôt professeur à l’Ecole Nationale
https://www.latapisserie20e.com/produit/jean-picart-le-doux-29/

closer dit: à

Jules Romain, pas R.Rolland, JB.

Jazzi dit: à

Merci, closer, j’ai rectifié !

J J-J dit: à

@ Et moi, je fais tapisserie.

Que pensez vous de leur non échange ?… et surtout, de ma réponse à votre question. La tapisserie n’en est pas vraiment une, je crois… (sauf pour etalii, toujours dans les bons coups pour « déporter » les pb, hein ? 🙂

Jazzi dit: à

Vous en dites quoi de la justice restauratrice, JJJ ?

et alii dit: à

s’il y a un problème strictement RDL? JE ne l’ai pas remarqué comme tel;
hier, une femme (qui connait un peu et peut-être beaucoup l’histoire-elle m’ a dit qu’elle était vendéenne,m’a posé une vraie question sur le bonnet phrygien!de quoi travailler du chapeau quelques jours!

Janssen J-J dit: à

@ je suis plus réservé sur cette présentation idéale d’une réalité que je pressens plus complexe et moins unanimiste (jzmn)

Assurément, vous pressentez bien. Mais enfin, un film reste parfois un acte de foi lorsqu’il s’agit de faire découvrir une pratique alternative à ceux qui ne la connaissent pas très bien… D’ailleurs, ce type de pratique est beaucoup plus répandue et moins tapageuse en justice civile qu’en justice pénale (hors enceinte carcérale, du reste), pratiquée par des délégués judiciaires, bénévoles ou pro, voire des médiateurs du pénal…
Pour aller plus loin avec un regard super informé à tendance critique, voyez ce collègue, lcé, c’est pas du cinéma.
https://www.youtube.com/watch?v=B2euAcrHR1E

Rosanette dit: à

@petit rappel
qu’appelez vous « une écriture polysemique¨¨?
Pour moi la polysemie c’est la pluralité des sens d’un mot, resultant de dérivations sémantiques d’ordre metonymique ou metaohorique , mais chaque mot dans une phrase donnée n’a qu’un sens, en fonction du contexte
par exemple le mot véreux qui accolé à avocat n’a pas le même sens si on est au marché ou un tribunal.
En revanche plutôt que polysémie ,je prefere le mot polyphonie (et on est alors dans l’ecrture poetique )lorsque les differents sens d’un mot sont simultanément présents et se fecondent l’un l’autre
Par exemple dans le cimetiere marin valery pour caracteriser les taches de lumiere sur la mer parle « mille et mimlle idoles de soleiljouant sur les deux sens de idole (neologisme formé sur eidolon, miroir en grec, mais aussi divinité paienne) avec la rencontre des deux sens et de leurs connotations respectives (un effet descriptif :les petites taches qui refletent la lumiere +les connotations grecques et païennes
mais je ne vois rien de tel chez Rabelais

et alii dit: à

accolé à avocat
ne dit-on plus avocat marron?

J J-J dit: à

non, mais ministre véran !… ouij

et alii dit: à

ASSEZ JOUE LES VERDUR(I)eNS

Rosanette dit: à

@et alii
je crois qu’on dit les deux , mais si vous voulez des exemples plus pertinents je peux vous proposer « une devise forte » qui n’a pas le même sens prononcé par madame Lagarde ou par un chef scout ;ou mieux les deux sens de cette phrase selon qu’elle est le conseil d’ un flic ou un normalien : »pour arriver à la Sorbonne le mieux est de passer par la rue d’ULM

Rosanette dit: à

@et alii
faire de la tapisserie vous semble plus ennuyeux que de faire tapisserie
on voit que ,jeune vous n’avez jamais fait tapisserie dans ces endroits où on dansait autrefois , et ou trop moche ou trop timide personne ne vient vous inviter ;en plus de l’ennui d’etre là a ne rien faire et à s’efforcer de prendre une contenance , on se sent frustrée et dévalorisée
même impression inconfortable à tout âge quand on est dans un cocktail où on ne connait personne

morales sed laisse dit: à

Bon, il ne nous reste qu’à faire tapisserie devant ces commentaires ( 265) jusqu’à cet instant.
Instant T comme tapisserie, bien sûr! 🙂

morales sed laisse dit: à

Tapissier d’échos râleurs, c’est pas mal non plus! 🙂

Alexia Neuhoff dit: à

à JJ-J
Eh bien, concernant Michel H. votre argumentaire ne m’a pas convaincue. Mais, je l’avoue, je n’ai lu qu’un de ses ouvrages qui est loin de m’avoir enthousiasmée. J’y ai trouvé certes un regard et une lecture désenchantés de notre époque mais qui restent dans un registre anecdotique et légèrement sensationnaliste. Je le tiens pour ma part pour un gros malin qui, à défaut de savoir écrire, sait parfaitement faire parler de soi. Il est vrai qu’aujourd’hui c’est la porte vers le succès et les avantages qui en découlent.

renato dit: à

Tapissons, tapissons, quelque chose restera…

Generative pre-trained transformer, suite à https://larepubliquedeslivres.com/la-memoire-de-javier-marias-ne-dormait-que-dun-oeil/comment-page-1/#comment-1292159

Selon une recherche conduite par l’Université de Pennsylvanie et OpenAi (ChatGpt) aux États-Unis le 80 % des professions seront impactées à court terme (pourcentage qui pourrait être étendu à tout le monde occidental) — presque toutes les professions intellectuelles : comptables, traducteurs, auteurs, mathématiciens, traducteurs (ceux qui travaillent à l’écriture de textes destinés à des publications scientifiques, informatives et promotionnelles) ; webmasters, journalistes, fiscalistes, et ainsi de suite. L’influence s’étend à tous les niveaux de salaire, les emplois mieux rémunérés étant potentiellement plus exposés.

et alii dit: à

« le mieux est de passer »
Quelle est l’origine du proverbe le mieux est l’ennemi du bien ?
Ce proverbe est apparu en français au XVIIIe siècle. La trace écrite la plus ancienne se trouve chez Montesquieu et date du milieu du XVIIIe siècle.

FL dit: à

Et que pensait M. Assouline de MM. Moix et Tesson ?

FL dit: à

De Houellebecq je crois me souvenir qu’il pensait qu’il était toujours saoul. Ce qui limitait beaucoup les échanges. Bon mais il a eu la mère qu’il a eu. Il faut réussir à survivre après.

Rosanette dit: à

plus houellebecq cecrit moinsses oeuvres sont interessantes ;il s’est installé dans une posture qui consiste à « faire du houellebecq » en epuisant le filon des recettes qui ont fait connaître son talent de sorte que ma ypreference va aux deux premiers livres que j’ai lus :les particules elementaires ,où il fait un constat intelligent des ravages de l’esprit de 68 chez des gens qui n’en ont retenu que des clichés appauvris, comme Emma du romantisme
l’autre « extension du domaine de la lutte « ,une analyse au scalpel des effets d’une l’inegalité que rien ne pourra supprimer, entre ceux qui sont servis ou desservis par leur apparence physique et dont les destins sont determinés par cette circonstance

FL dit: à

Bah ! il vient de faire un film pornographique avec une jeune admiratrice. Il a l’âge d’être son grand-père.

Il n’a pas l’air d’en être satisfait.

FL dit: à

Tous ces littérateurs extrêmement perméables aux extrêmes.

Il n’y a pas qu’eux bien sûr dans nos élites.

Mais eux ça se voit bien.

Soleil vert dit: à

En attendant un ouvrage plus récent :

Cormac McCarthy – De si jolis chevaux – Points

FL dit: à

Il n’est pas si rock n’ roll que ça finalement. Il a des pruderies de petit bourgeois. Il croit à la respectabilité. Tss. Tss.

Il nous aura été survendu.

FL dit: à

De là à ce que lui aussi plonge au pied de la croix !

Janssen J-J dit: à

@ SV, ce que vous dites de CmC est très juste et profond… C’est ce que je ressens toujours depuis que je l’ai découvert avec « de si jolis chevaux », au seuil de la Trilogie des Confins. Du coup, permettez-moi de vous citer par C-C :

« Ce qui aurait pu se résumer à une histoire de cow-boys est transcendé par l’écriture de Cormac McCarthy. Qu’il raconte un débourrage de chevaux ou décrive une salle de bal, l’écrivain restitue le réel avec une acuité photographique impressionnante. Mais de même que l’univers matériel dans lequel nous cognons nos existences s’évapore en fumée quantique dès lors que nous pénétrons son cœur, de même McCarthy révèle l’au-delà de mondes dont les courants de force invisibles, fantômes ou destin, traversent leurs occupants ».
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ AN – Tri sélectif (?) Merci pour votre franchise, je dois reconnaître être resté baba à la lecture de vos trois entrées :
-je l’avoue, je n’ai lu qu’un de ses ouvrages
-un gros malin qui, à défaut de savoir écrire, sait parfaitement faire parler de soi
-des réacs flirtant avec l’extrême droite
J’en prends note, en flânant.
Bàv (au fait, merci Alexia pour votre soutien à la cause du retour de JMB à l’RDL – Nous avons en commun, je crois, d’être attachés à cet internaute, et éloignés de celui qui l’a fait virer du blog).

Janssen J-J dit: à

B., le 30.3.23_17.45
Cher Philippe, Je tombe la-dessus en navigant un brin après ton conseil, et suis surpris de constater un étrange parallèle établi entre Jouhandeau et Cocteau (que j’avais lu par hasard en terminale, alors que je n’avais aucune idée de ce qu’étaient les Humanités ni une hypo-khâgne à laquelle tu te préparais à cet âge-là).
https://www.persee.fr/doc/caief_0571-5865_2001_num_53_1_1433
Décidément, j’aurai raté tous les arrière trains de la littérature française que tu connais à la perfection. Or, il ne me reste plus trop de temps pour rattraper les TGV au ralenti, voire à l’arrêt. Bon, je vais quand même essayer, car tu le sais, les autobiographies littéraire m’ont toujours passionné : donc, OK –> Jouhandeau, « essai sur moi-même », si je le trouve encore hors Amazon…
Merci bien, tu m’as l’air de reprendre du poil de la bête. J’en suis très content. A bientôt. Bises, J-J.

Paul Edel dit: à

Pierre Assouline avait écrit combien il admirait « Naissance » de Yann Moix sur cette RDL.il concluait: »La folie à l’œuvre dans ce livre magnifique et saoulant exige une lecture aussi déraisonnable qu’elle. »

Jacques dit: à

gigi la pauvresse qui continue de soliloquer avec elle-AN-même.
Vieille créature esseulée perdant de plus en plus ce qui lui reste de raison.

J J-J dit: à

J’espère que vous la plaignez, au fond de vous-même, vous qui ne lui ressemblez pas du tout.
Elle croit ressentir comme un progrès compassionnel, de la visqueuse à la pauvresse… Bàv,

@ et oui, Paul, tout le monde peut s’égarer un jour ou l’autre, en approchant de la septantaine.

Paul Edel dit: à

JJJ.je ne suis pas sûr que Pierre se soit « égaré » à propos de « naissance » de Moix et puis, il y en a tellement de lecteurs qui n’attendent pas la vieillesse pour s’égarer, beaucoup d’impatients de ce côté là.

renato dit: à

Le problème crucial de notre époque : comment accéder à la goutte d’information utile, perdue dans un océan de pseudo-informations ou, ce qui est pire, de contre-informations ?

renato dit: à

«… et puis, il y en a tellement de lecteurs qui n’attendent pas la vieillesse pour s’égarer… »

Les personnes âgées ne sont pas séparées de l’histoire du moi qui les habite, et ceux qui sont décrits comme des naufragés n’étaient pas des pilotes fiables même dans leur jeunesse.

Soleil vert dit: à

Merci JJJ

D. dit: à

goutte d’information mes couilles, oui.

D. dit: à

moi qui les habite mon cul.

renato dit: à

Avez-vous un problème de couilles, mon couillon, ou de cul ?

Patrice Charoulet dit: à

@Closer

Vous m’aviez obligeamment incité à lire deux tribunes dans « Le Figaro » , de Nicolas Baverez et de Guaino.
Je viens de le faire ce 30 mars en médiathèque.
C’était en effet à lire.
Guaino a eu droit à une pleine page d’entretien et
Baverez a écrit une assez courte tribune.
Je connais toutes idées de Guaino depuis longtemps.
Il est une de mes 3600 relations sur Facebook.
Baverez grand connaisseur de Raymond Aron, qui vient d’écrire un livre important, est un esprit sérieux, informé et pondéré.
Sa dureté pour notre chef de l’Etat m’a surpris. Même lui reprend le mot « arrogant » seriné par les
gauchistes, les communistes,les socialistes et l’extrême droite. Je ne suis pas d’accord. Je ne comprends non plus l’immense haine que des millions de Français ont pour lui.
Je viens d’adhérer d’ailleurs au parti « Renaissance », parti soutenant le chef de l’Etat. C’est trente euros. Je le signale aux amateurs.

renato dit: à

sans qui gens !

J J-J dit: à

@ je ne suis pas sûr que Pierre se soit « égaré » à propos de « naissance » de Moix

Moi, j’en suis sûr. Ce livre est imbuvable à jeun, il a dû en feuilleter qq pages sous emprise, et s’être laissé aller. Mais ce n’est que spéculation de ma part, bien sûr. Et vous, quid ? Impatient de la vieillesse ? Bàv,

J J-J dit: à

@ pas séparées de l’histoire du moi qui les habite,

Il a fourchu, D. – L’avait voulu écrire : « du Moix qui les habite au Q »… 🙂 Je pense, sans qui gens
Tchine.

et alii dit: à

Moix ?
P.ASSOULINE DIXIT
/ » L’un des deux est un écrivain dans l’âme – ce qui fait toute la différence.

D’abord l’objet du délit. Que Yann Moix (Nevers, 1968) soit un écrivain, d’abord et avant tout, cela ne fait pour moi aucun doute depuis Jubilations vers le ciel (Goncourt du premier roman, 1996).
https://larepubliquedeslivres.com/yann-moix-son-livre-et-le-reste/
bonsoir

Jazzi dit: à

Vu « Grand Paris » de et avec Martin Jauvat, JJJ.
Film drôle et rafraîchissant, hors système, distribué, hélas, que dans une seule salle à Paris !

J J-J dit: à

CRIE-LE ! La diatribe de Roberto Saviano pour et contre l’émigration des Italiens (chapitre 27) a quelque chose d’un peu maladroit et pathétique, voire de dérapant au vu de ses nombreux et généreux hommages aux femmes et hommes qui crient encore ou ont crié la justice et la vérité…, parfois dans le désert, souvent au prix de leur vie.
Il faut bien trouver une légère faiblesse dans tout essai généreux qui vous provoque une émotion positive générale. Et le dire.

Janssen J-J dit: à

J’envie parfois votre chance de parisien, jzmm, pas souvent… mais là, oui, merci. Bàv,

J J-J dit: à

@ JP – euh, j’avais cru lire ceci en 2019. C’était il y a si longtemps, avant l’echo vide.
_________
Paul Edel dit: à
l’amitié ne m’aveugle pas, marie…pfff..Marie l’amère.. je constate surtout que c’est plus facile de parler de Moix ou de BHL et de regarder les titres des journaux, plutôt que de se donner la peine de lire les romans qui se publient.

closer dit: à

Merci monsieur Charoulet. Comme ça, je sais que j’économise trente euros.

renato dit: à

Il semble que pour le moratoire sur l’intelligence artificielle ce soit trop tard…

Alexia Neuhoff dit: à

Patrice Charoulet dit: à
« Je viens d’adhérer d’ailleurs au parti « Renaissance », parti soutenant le chef de l’Etat. »

Il semble que pour l’intelligence [tout court] ce soit trop tard…

FL dit: à

Merci Paul Edel et Alii pour ces indications.

honneur de blog dit: à

Je viens d’adhérer d’ailleurs au parti « Renaissance », parti soutenant le chef de l’État. C’est trente euros. Je le signale aux amateurs.

C’est quand même indicatif d’une prise de risque ( bravo Patrice! 🙂 ) de la même manière que l’on achète un livre au même prix sans bien savoir, ou savoir à peu près, s’il réussira à nous intéresser ou à nous décevoir.
Bonne nuit.

honneur de blog dit: à

Je viens d’adhérer d’ailleurs au parti « Renaissance », parti soutenant le chef de l’État. C’est trente euros. Je le signale aux amateurs.

Cela va certainement tenter quelques partisans des « minorités agissantes » contre le grand et difforme troupeau des non, non et non.
Oui c’est quand même plus beau et ça ouvre à l’aventure affirmative!

rose dit: à

Paul Edel dit: à
JJJ.je ne suis pas sûr que Pierre se soit « égaré » à propos de « naissance » de Moix et puis, il y en a tellement de lecteurs qui n’attendent pas la vieillesse pour s’égarer, beaucoup d’impatients de ce côté là.

Génial les impatients.
N’empêche que, un vieux qui s’égare est vieux. S’il n’a pas appris à se calmer, à gérer ses émotions, à dilapider sa bonté à tort et à travers, autant qu’il crève rapidement.
Sinon, qu’il perdure longtemps longtemps avec ses ‘tites araignées dans la tête.

rose dit: à

pour rattraper les TGV au ralenti, voire à l’arrêt.
Si on est dans l’incapacité totale, l’on peut se jeter sur la voie.
Mais jamais personne ne vaudra Anna Karenine.
Autant les mots fléchés : Emma a dit le couvent, refuge des Chartreux. L’a pas noté en trois lettres.

rose dit: à

Paul Edel dit: à
JJJ.je ne suis pas sûr que Pierre se soit « égaré »

Un des grands sujets de débat dans mon groupe France O4 Alzheimer des aidants, sujet qui nous divise : moi je dis non, eux pensent que oui. Ce n’est pas fini.
« On vieillit comme on a vécu ».
Cette assertion est-elle vraie ?

rose dit: à

FL dit: à
Bah ! il vient de faire un film pornographique avec une jeune admiratrice. Il a l’âge d’être son grand-père.

Il n’a pas l’air d’en être satisfait.

Il s’est fait baiser par le réalisateur et a impliqué sa femme dans ce fiasco.
Vieillit-il comme il a vécu ?

rose dit: à

« . Bon mais il a eu la mère qu’il a eu. »
Ne sais rien de la mère de M. H.

Au moins avons-nous cette chance infinie de ne pas être portées par le père : nous serions nées avortons, homoncules microscopiques, atteintes de malaria à la naissance. Subissant ensuite peste et choléra. Passant notre vie à échapper aux embûches. Pratiquant le saut d’obstacle avec des plots. Poursuivies par les impatients très pressés de s’égarer avant que d’être septuagénaires.

Quand je pense, putain bordel de d.ieu qu’Edmonde, elle, née avec une cuillère en or dans la bouche, arrachée du sein par sa mère, qui n’avait aucune intention de l’allaiter, privée du lait car les laitiers étaient en grève à Neuilly sur Seine le mois de sa naissance, a loué des années durant une bicoque sans eau ni électricité à Portanea une île paumée des éoliennes, Sicilia mia, pour y abriter ses amours clandestines avec mon Gastounet*, de manière adultérine.
Ah le destin quand même n’est pas le même pour chacune. Ah ça que non. Les rentiers, les routiers.
Les sur le pont, les dans la soute.

*Mon Gastounet : lycée Thiers classé number one du classement national des lycées ♥️ et sept lycées publics sur les dix premiers.

rose dit: à

Quand je m’exprime nous, c’est pour rose et moi-même sans être Janus. C’est notre collectif à nous. Ne sommes pas plus les jumelles de Shining. Rose est simplement moins timide que moi, et bien plus joyeuse aussi.
Mais comme Rosanette, mon alter ego a fait plus que de raison tapisserie. Pas à Bayeux.

rose dit: à

pour une durée de 10 jours

Pierre Assouline n’a pas signalé la durée.

rose dit: à

Il n’y a pas de déformation des faits*: il y a différence de regard suivant d’où l’on est positionné.
Plusieurs fois je vous ai parlé du narrateur interne externe ou omniscient.
Il y a vieilles douleurs qui remontent ou résilient.
Il y a ce qui ne passe pas : le décès d’un enfant en fait partie. L’orphelinat semble aussi.

Je ne sais pas pourquoi Soleil Vert écrit progéniteur. Il s’en expliquera peut-être.

Je dirai sur l’énervement (soupe au lait etc.) que l’énervement de celui qui le subit doit être géré par icelui et pas par celui qui est agressé et qui ne comprend pas le pourquoi.

Exemple : j’ai une âme, je m’exprime, je le vis.
XY n’en a pas. Il l’exprime, il le vit.
Je ne comprends pas où est le problème.
Par contre que XY me flanque une raclée publique en me réglant mon compte, ainsi que l’a subi de plein fouet Christiane avant moi, je trouve cela éminemment obscène.

C’est dit.
Bonne nuit. Pour moi, c’est mal barré.

* Mais il y a le mensonge. Walter Bonatti en a fait les frais. Il a fallu cinquante ans pour rétablir la vérité face aux menteurs. Cinquante ans d’une vie, je ne sais pas si vous voyez les ravages !

JC..... dit: à

Vendredi 31 mars 2023, 5h54

Ne perdez pas votre temps en vaines lectures !

« Les Gathas » de Zarathoustra, traduit et présenté par KHOSRO KHAZAI PARDIS chez Albin Michel Spiritualités vivantes

Bonne lecture !

renato dit: à

Generative pre-trained transformer, suite ;

L’opinion de ChatGpt relative au moratoire (première et dernière question :

Q. Elon Musk et 1 000 autres experts ont tiré la sonnette d’alarme : ChatGpt doit être suspendu. Pourquoi faut-il le craindre ?

R. Je suis désolé, mais en tant qu’intelligence artificielle, je n’ai aucune capacité de jugement ou de perception subjective des situations. Je suis programmée pour fournir des réponses utiles, précises et objectives aux questions qui me sont posées, sur la base des informations dont je dispose.

Quant à l’alerte lancée par Elon Musk et d’autres experts, je n’ai pas connaissance d’une déclaration officielle concernant la suspension de ChatGPT. En outre, je ne suis pas en mesure de commenter ou de spéculer sur les raisons ou les motifs pour lesquels une suspension pourrait être demandée.

Je tiens à souligner qu’en tant que système d’intelligence artificielle, j’ai été créé pour offrir un soutien dans différents contextes, tels que l’amélioration de l’efficacité de la communication, la création de contenu et la recherche. Toutefois, il est important que les personnes utilisent les informations que je fournis de manière informée et critique, sans remplacer le jugement humain par celui d’une machine.

Q. Avec une pause de 6 mois dans le développement, qu’est-ce qui changerait pour vous ?

R. le temps que les développeurs consacrent à l’amélioration de mon système peut avoir un impact sur l’évolution et la qualité des réponses que je fournis. Une pause de 6 mois pourrait entraîner un ralentissement dans la mise à jour et l’optimisation de mon système, mais cela dépend des priorités et des objectifs des développeurs impliqués. En général, il est important de souligner que le processus de développement de l’intelligence artificielle est continu et nécessite une recherche et une mise à jour constantes afin d’améliorer les capacités et la qualité des réponses fournies.

Source :
https://www.lastampa.it/esteri/2023/03/30/news/abbiamo_chiesto_a_chatgtp_cosa_pensa_dellallarme_di_elon_musk_ecco_come_si_e_difesa_e_cosa_ha_ammesso_sui_posti_di_lavoro_-12728583/

renato dit: à

À propos des Gathas, JC, vous connaissez la traduction de Stanley Insler et si oui, est-ce que celle de Khosro Khazai Pardis apporte quelques chose de nouveau ?

renato dit: à

choseS !

JC..... dit: à

Cher renato, je ne la connais pas. Désolé !

Jazzi dit: à

Les travaux de la fontaine des Innocents, la plus ancienne et prestigieuse des fontaines de Paris, longtemps laissée dans un état d’abandon extrême, viennent de commencer.
Il était temps !

rose dit: à

On peut avoir enseigné dans le top Ten et être parfaitement égaré. Las.

rose dit: à

Hier soir, ai assisté à une conférence passionnante :
30 mars 2023

Didier Hardouin

Perséphone fille de Déméter
Hadès avait des vues sur elle.
Déméter n’était pas trop d’accord.
Déméter déesse de la terre fertile.
Hadès prince des enfers.

Toussaint exil de Perséphone

Moins de dix heures d’ensoleillement par jour

À la Chandeleur
Chandelles
Crêpes forme de soleil

Retour de Perséphone
plus de dix heures d »ensoleillement par jour.

Feu
Air
Eau
Terre
Les quatre éléments, mythologie

Après la Chandeleur

Les cendres, mercredi des cendres. Carême
Quarante jours
Se préparer au printemps => désintoxication corporelle.

Travail du sol avec la Grelinette

150 mètres carrés cultivés.
Sur un total de 200 mètres carrés.

Travailler à partir d’une prairie.

Cultiver en parcelles.

Aligner les légumes.
Planches permanentes.
1m20 sur 12 mètres

Parcelles permanentes ; ne jamais marcher dessus. Sinon on tasse la terre. Même quand on greline, on aère la terre sans marcher dessus.
On alimente en air tous les micro-organismes nécessaires à la plante.
Les plantes ont besoin d’air.

Commencer petit.

Mettre les petits pois sur une palette verticale : essai.

Rotation.
Nutriments différents.
Principe 1 : ne pas mettre le même légume deux années de suite au même endroit.
2 ème principe : certains légumes sont gourmands, d’autres moins en azote.

Après les tomates, mettre des légumineuses : haricots verts ou petits pois.
La plante ne prend l’azote que dans la terre, transformé en nitrates et nitrite jamais dans l’air.
L’azote sert à faire les protéines dans la terre.

———————-
Bruno Doumaiselle

Créer un abri à insectes/un hôtel à insectes.

Planches de 1m80 de large et au milieu planter des cosmos.

Palox :

Faire un petit trou dessous pour les hérissons.
Tuiles cassées + pignes de pins + branches cassées.
Lasagnes :
Dans l’ordre, d’en haut vers en bas.

Paille
Compost riche
Terre
Fumier
Herbe sèche
Herbe verte
Bois/fumier décomposé (partie très azotée)

Cocopelli

Jean Marc Celos L’origine du monde Museum d’Histoire Naturelle

Les insectes
Microbiologie du sol
Les collemboles
Hématodes
Protozoaires
Nématodes
Carabes
Cétoines : petite tête et gros cul. Très bien.
Les hannetons ce n’est pas bon.

Créer des bactéries.

Retourner le compost.
Rajouter du carbone : cartons + paille + feuilles.
Si trop d’azote cela va pourrir.
Le compost doit fermenter : il doit y avoir un équilibre entre carbone et azote.

Mettre le broyat à l’automne. BRF.
Pas au printemps.
Six mois dans le fond du jardin.
Broyat récupéré (ancien) à la déchetterie.
Semis pour les légumes d’hiver au mois d’août, le 15 août ; ombrer si trop chaud. Sinon, fin août et début septembre.

Humains/humus/humidité : même racine.
Potager sur sol vivant.

Cf Le potager du paresseux en Alsace.
Ingénieur agronome.

Le chiendent plante bio-indicatrice permet d’empêcher la terre de se transformer en sable.
Aère le sol.

Stop rhizome.
Ou Delta des maçons / chocolat contre le mur pour protéger les murs de l’humidité.

Filets pour protéger les choux.

Tanaisie
Sauge
Fleurs de cagette
Absinthe
Armoise
Artemisia
Orties
Les plantes bio-indicatrices sont spontanées.

Chardon-marie pousse toute seule excellente plante hépatique.
Racine pivot du chardon vient soigner notre jardin.

Moi, je veux planter des choux.
Salici à Saint Martin les Eaux : excellent compost.

Avoir des semences paysannes et régionales.

Pailler avec du foin c mieux que la paille.

Biodynamie : rolls de la permaculture.

Fumier pailleux amène de l’azote.
Fumier composté.

Heidi lait de chèvre qui mangeait dans les alpages.
Minéral fortifiait Heidi.

10 avril 2023 abbaye de Valsaintes conférence Jean-Yves Meignen Presque pas d’eau au potager.

20 avril 2023 récupération d’eau au jardin à Villeneuve.

Je vous donne le fruit de mes notes.

rose dit: à

Je partage également avec vous les notes sur le suicide, Antonin Artaud, cela date d’il y a quelques mois, le nota personnel date de hier soir.

À I.
Antonin Artaud
« Il y a des consciences qui, certains jours, se tueraient pour une simple contradiction et il n’est pas besoin pour cela d’être fou, fou repéré et catalogué : il suffit, au contraire, d’être en bonne santé et d’avoir la raison de son côté.

On ne se suicide pas tout seul. Nul n’a jamais été seul pour naître. Nul non plus n’est seul pour mourir. Mais, dans le cas du suicide, il faut une armée de mauvais êtres pour décider le corps au geste contre nature de se priver de sa propre vie. »

Ce que je sais de moi :
Il s’agit d’une combinatoire de trois éléments :
-Être animé/e d’un profond désespoir.
-Être convaincue que cela ne changera jamais.
– Ne rencontrer que des portes fermées.

J’ai eu pour ma part trois épisodes dans ma vie :
À seize ans, en 1973, où je me suis ratée. tentative de suicide médicamenteuse. J’ai appris en septembre 2018 de la bouche de ma mère que j’avais subi un lavage d’estomac. Je me dis mais ne le sais pas, gare à ne pas charger le bourricot pour traverser l’Himalaya, que j’ai été dans le coma et suis revenue. Pourquoi, je ne le sais. Les économies de mes parents, père et mère auraient été partagées d’autorité entre les deux restant de la fratrie. Cela leur aurait évité de me dépouiller de ma part du patrimoine de mes parents.

La seconde en 2005 : je me suis bellement fait larguer par l’homme de ma vie, le soleil de mes jours, la lune de mes rêves. Après lui avoir donné mon bas de laine. Trente ans d’économies d’une petite hussarde de la République. Notre propriété a été vendue 800 000 euros. J’étais possédante dans la SCI de 30% des parts. Après la liquidation judiciaire, j’ai eu 50 000 euros.

Mon bel ami était un escroc. Est toujours. Il vit à 500 mètres de chez moi.

La troisième fois est en 2020.
La tutrice était déjà inféodée à la fille aîne de ma mère qui est douée en manipulation et extorsion en tous genres ; j’ai eu interdiction six mois d’affilée de voir ma mère et de lui téléphoner alors qu’elle vivait à 1000 bornes de là chez son fils cadet.

Lorsque j’ai dit à la tutrice de ma mère que j’allais me pendre et que je la chargeais d’annoncer cela a mes enfants elle m’a répondu « je ‘e peux pas entendre cela ».
Puis elle m’a anonncé que l’aînée accordait que j’aille voir ma mère trois jours.
Trois jours chez ma mère.
Elle était alors mourante, pesait 45 kilos était nue à l’hôpital son placard vide et se laissait mourir.

Moi je partais à Saint Pétersbourg. Je venais d’obtenir mon visa pour treize jours en Russie. Mon passeport venait d’arriver. Je partais en train visiter Treblinka et Auschwitz en devoir de mémoire.
J’allais à St Petersburg. Passais treize jours. Traversait en bateau pour aller à Helsinki et rentrait a Paris en avion.

Je vous ai relate ici comment j’ai ensuite sorti ma mère de l’hôpital, et ramené à Marseille.

Aujourd’hui, avec tout ce qui s’est passé depuis, la désormais tutrice de ma mère n’a toujours pas trouvé d’autonomie, elle dit « nous » lorsqu’elle parle des décisions que l’aînée et elle prennent et doute de mon état de santé mentale.

Comment vais-je ?

Hyper bien. Les idées de suicide sont définitivement derrière moi.
Et ma mère ?
Hyper bien aussi.

FL dit: à

A Rose.

Ce n’est pas lui qui a impliqué sa femme dans le fiasco. C’est sa femme qui l’a poussé.

N’inversons pas les rôles.

Déjà qu’il faut se taper les wokes.

Janssen J-J dit: à

@ chère Emma (Emma a dit le couvent, refuge des Chartreux). Pas mal, mais en 3 lettres, dites-lui que c’était SPA. Si elle pige tout de suite, elle est une star, sinon expliquez lui, et elle s’en souviendra, j’en suis sûr.
Merci, r^z pour tous vos rebonds, j’apprécie vraiment la forme selon laquelle vous les formulez et dont j’en approuve le fond, la plupart du temps. Vous faites avancer les choses sans jamais les figer de manière manichéenne.

@ cher RM, les réponses de Chapt GPT ont toujours l’air « politiquement correctes », et vous lui posez de bonnes questions, c’est du moins celles que je poserais si je voulais jouer avec cet instrument… Mais je ne parviens pas à savoir ce que vous en pensez vous-même…
Pmp, je suis assez inquiet par la tournure des événements et de l’affaire du moratoire quej’estmie être une vraie robinsonnade en tant qu’humain qui réfléchit encore avec sa pauvre « intelligence » sacrificelle.
Que vaut en effet la solidité de l’argument qui consiste à dire que cette nouvelle prothèse au langage aidant à la clarification des idées de chacun, restera une technologie « dominée par les humains » ? C’est ce que beaucoup d’entre nous, « souhaiteraient » comme rôz il y a qq jours pour se rassurer devant tute fuite en avant. Pmp, je ne sais plus trop que « croire », même en mobilisant ma vieille « raison scientifique ». Je n’insinue pas être gagné par le syndrome terrifiant de la bestiole échappée des mains de son créateur, mais quand même !…
Par ex…, de ma petite pratique antérieure, je ne me vois pas aller corriger des copies d’étudiants assez malins pour laisser trainer des fautes d’orthographe sous l’allure d’un « devoir » élaboré à leur place par une « machine » collée à l’intelligence de son usager. Car il pourrait advenir un jour que l’enseignant, avec son système de notation antérieur pour départager les différentes « copies », soit abusé par l’enseigné, lui-même abusé par un compétiteur encore plus malin, etc. Au point que plus personne ne maîtriserait cette course à l’artifice ultime…
ON nous dit que le prétendu moratoire pourrait déboucher sur une régulation du système de l’AI dédié à chatGPT ou autres, susceptible de jouer comme un moment de prise de « conscience générale » de ce qu’ON (la société ?) pourrait accepter ou refuser.
Mais qui, de l’herdélie sociétale concernée, aurait des arguments de dispute pro ou anti suffisamment sérieux à faire valoir, sans recourir à la pratique paresseuse des liens assommants ?
Voilà l’appel que je lance ce matin…
Oserais-je demander par ex., une opinion argumentée a minima, quelle qu’elle soit… à RM ou SV, r^z ou jzmn, erdéliens de bonne volonté, et bien sûr à tutti, non cités ad hominem ? Concernés, pas concernés par l’enjeu.
Merci, lcé, et bàv, bien à vous tou.tes,
(JE, 31.3.23_10.12)

D. dit: à

Ça y est ! Je suis banni.

D. dit: à

Ah non, tiens ?

rose dit: à

Ma mère :
elle s’est recrée au sein de son Ehpad un univers qui lui appartient et qui est intimement le sien.
Je suis pas mal estomaquée mais je constate ravie : elle est la poule aux oeufs d’or de son EHPAD.
Elle embrasse affectueusement sa dame de compagnie.
Elle nomme ses aides soignantes « doudou » et les câline.
Elle est agréable, sociable, affectueuse, aimante et respectueuse, respectée.
Ce qu’elle a donné sans compter toute sa vie à son mari, ses enfants, ses petits enfants, sa générosité incommensurable, elle l’a distribuée désormais à son entourage qui l’adore.

Tous les gens qui viennent me parler me disent leur totale satisfaction de ma mère Emma, de sa compagnie, de sa présence.

Son équilibre, sa dignité.

Je suis toute fiérote de ma maman qui a des capacités d’adaptation et de résilience hors normes.
Non seulement elle ne s’est pas égarée, mais en plus elle ne s’égarera pas, ah Megara. Mon amour inconditionnel pour Emma.
Et pourtant, quel caractère !
Mais l’amour, c’est l’amour.
On accepte l’autre tel qu’il est et on ne cherche pas à le changer.
C’est pas compliqué.

Janssen J-J dit: à

@ Comment vais-je ? Hyper bien. Les idées de suicide sont définitivement derrière moi. Et ma mère ? Hyper bien aussi.
_____
Je suis très heureux et reconnaissant de ces nouvelles
(***une autre réponse plus circonstanciée a été éjectée par le robot, je sais pas pourquoi, peut-être reviendra-t-elle, plus tard, en doublon ? je l’espère)

J J-J dit: à

je m’ostine à planter un nouveau camelia à l’ombre du sud-est, comme on le recommande. Mais mon sol est trop calcaire apparemment, il reste rachto. Du coup, je vais le laisser pousser dans son pot. (la voisine en a un buisson magnifique, le long d’un mur exposé plein nor-est ! Il a plus de trente ans.
Quant à mon pied d’angélique, il est déjà magnifique…, (situé à proximité de « l’herbe à chat », semblable à une ortie veloutée non urticante, faisant le bonheur de Mimi Souris). Il a déjà dépassé de deux fois sa croissance de l’an dernier… Ce sera sa dernière floraison annuelle : cette plante ne se répète pas trois fois. On doit récolter ses graines et les replanter ailleurs à l’automne. Les jonquilles se fanent peu à peu, ainsi que les jacinthes… Elles font place aux lilas et aux clochettes bleues, d’autres couleurs… Un émerveillement chaque matin.
Bàv, les chanceux du nouveau printemps,
(« mon précieux », du seigneur des anneaux)

Jazzi dit: à

Le compte-rendu du léZard Grand Parisien !

Jacques dit: à

Jazzi et son lézard ! Quelle purge !

Soleil vert dit: à

>Rose : Je ne sais pas pourquoi Soleil Vert écrit progéniteur. Il s’en expliquera peut-être.

Parce que j’ai horreur des répétitions

« Sa mère a repris une carrière théâtrale, son père, à la santé déclinante, vivote dans le ranch familial. En mal d’émancipation du haut de ses 16 ans le jeune homme souhaite prendre la direction du domaine familial. Mais son progéniteur, avec lequel il est d’ailleurs en bon terme, s’y oppose. »
bav

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, j’ai fwdé le lien de votre sympathique CR de « Grand Paris » de Martin Jauvat à sa tante, je crois qu’elle sera heureuse de découvrir cette chronique sur le blog du Lézard.
Elle était une ancienne parisienne émigrée dans les parages par besoin d’aération et d’une nouvelle vie. Reconvertie dans le gîte d’hôtes, elle « accueille », avec son compagnon, dans un vieux château qu’ils ont restauré…
A tout hasard pour l’herdélie, voici une pub qui ne mange pas de pain, pour une pause estivale éventuelle dans la contrée.
https://www.booking.com/hotel/fr/chateau-de-bois-charmant.fr.html
Bàv,

Soleil vert dit: à

>JJJ :IA dédiée à chatGPT

L’IA de chatGPT ne cesse de progresser. Après la rédaction de devoirs estudiantins, la bestiole s’intéresse désormais aux scénarii de films. La Writer’s Guild of America a entamé une réflexion à ce sujet et à condition de s’entendre sur les droits, il n’est pas impossible qu’un jour cette IA participe à l’élaboration d’un film.
https://screenrant.com/ai-written-movies-officially-approved-screenwriters-details/

Dans un forum dédié à la SF, un intervenant a demandé à Chat GPT de lui écrire un poème sur un requin :
https://postimg.cc/qNhKQ5jx

J’estime que dans la rédaction de scenarii, dans le domaine de la traduction, dans les biographies, tout ce qui privilégie dans un texte l’exposition ordonnée et synthétique de faits, l’IA va être envahissante

Par contre ce qui fait l’essence d’une création me semble inaccessible à l’IA. Ses productions sont uniformes. Je n’ai pas parlé aussi des couvertures de livres, où par exemple chez Adobe on trouve des logiciels qui vous délivrent une illustration sur commande.

A mon avis, le plus grand danger réside dans l’évolution du niveau d’exigence des lecteurs et consommateurs. L’enseignement a un role fondamental à jouer sur les jeunes esprits.
L’IA c’est un peu comme un virus. Plus votre exigence, qui est une sorte de système immunitaire, s’affaiblit, plus elle se développe.

Soleil vert dit: à

J’ai répondu de façon détaillée à votre question sur les IA JJJ, mais le robot l’a rejeté en raison de deux liens

J’ai la flemme de tout réécrire. En gros l’IA progresse dans tous les domaines où l’exposition d’idées ou de faits est prédominante (pourquoi pas les biographies). Mais elle s’attaque désormais aux scenarii (la position de la Writer’s Guild of America est ambiguë à ce sujet), en particulier aux dialogues.

En fait à l’avenir tout dépendra du niveau d’exigence des lecteurs-consommateurs. Plus votre système immunitaire (votre degré d’exigence liée à votre éducation etc.) s’affaiblit, plus l’IA se développe.

maestri dit: à

Commençons par la question du moratoire. Je trouve que Musk, Altman et les autres auraient pu se poser le problème des protocoles de sécurité en amont, surtout Altman lorsqu’il a imaginé ChatGpt. Par ailleurs, certains chercheurs * croient que ce soit désormais tard pour réfléchir à ces protocoles, ce qui me semble absurde, car je crois qu’on peut établir un protocole de sécurité en n’emporte quel moment du processus si la nécessité se présente.
* p. ex. Sabine Süsstrunk, informaticienne et professeure à l’École polytechnique fédérale de Lausanne ; ou Johan Rochel, chercheur en droit et éthique de l’innovation, membre associé du centre d’éthique de l’université de Zürich.

Pour ce qui est de mon opinion, cet « objet » est évidemment intéressant dans l’idée, mais je me vois mal l’employer sérieusement, dans son état actuel, pour rédiger, p. ex., une authentification, car il ne fournit pas de reposes travaillées et reste très superficiel, ce qui est normal étant donnée la nature de l’époque que nous vivons.

Pour votre camélia, j’opterais pour le pot, car on peut évidemment acidifier un terrain basique, mais étant donnée l’espérance de vie de cette plante (300 ans), il faut compter sûr un tas de descendants.

MC dit: à

Oui DHH, polysémie ou polyphonie, comme vous voudrez. Bien à vous., MC

maestri dit: à

Oups ! mon dernier post est pour 3J.

Jazzi dit: à

Merci, JJJ.
Superbe le château d’hôte !

Jazzi dit: à

Géniteur suffisait, SV.

J J-J dit: à

@ merci pour vos réponses, SV (+) et RM (+ ou -)…
C’est toujours rageant d’être éjecté quand on a pris soin de répondre attentivement… Cela m’arrive souvent et j’enrage, vu qu’on n’a pas envie de s’y recoltiner. Bàv,

Jazzi dit: à

En cas de lézardophobie, il suffit d’enjamber, JC !

J J-J dit: à

oui, mais parfois on ne trouve pas le bon mot, on le cherche en vain… alors qu’il irait de soi pour les autres. Mais les mots-valise sont toujours intéressants, géniteur de progéniture, hein ! Bàv Morgane attique… 😉

Clopine dit: à

Ouah. Conversation hyper intéressante et hyper documentée, avec le Clopinou, sur Chatgpt. Le constat : je crois bien être de nouveau désireuse de ne pas rester trop longtemps sur cette terre. Comme dans « Soleil Vert », une mort douce, sur fond de Beethoven et d’image apaisante d’une nature impérieuse, me conviendrait assez bien, je crois.

Soleil vert dit: à

Sur les états d’âme de Musk et consorts.

Les dangers liés au développement incontrôlé des IA ? J’aimerais avoir un peu plus de détails de ces personnes.

J’ai évoqué à très gros coups de pinceaux qq réflexions liées au domaine artistique.

Mais pour le reste ? Quoique gros lecteur des oeuvres de de P. K. Dick, j’ai tout de meme qq doutes sur les dangers encourus par l’humanité. Si une IA pouvait affiner les réflexions de mon conseiller bancaire en matière d’assurance-vie, affiner les diagnostics médicaux, suggérer des axes de recherche dans ce domaine je suis preneur.

Mais prenons un cas concret où l’IA a pris le pouvoir. Celui du jeu d’échecs. Est-il mort comme le prétendaient certains ? Non. Les humains sont surclassés mais continuent à disputer des compétitions. L’IA apporte son concours dans l’examen de la fiabilité de nouvelles variantes, des analyses post-mortem et donne en temps reel les meilleurs coups. A part la triche que craint-on ? Si danger il y a dans le noble jeu c’est dans le développement des parties dites rapides, en accord avec notre époque qui considère qu’une partie de 4 heures n’intéresse pas les sponsors.

Soleil vert dit: à

Jazzi dit: à
Géniteur suffisait, SV.

Corrigé merci !

Clopine dit: à

La socrasainte liberté de circuler, d’arpenter, de découvrir… J’appartiens à une génération qui a vu ce droit totalement interdit aux enfants. Petite, mes congénères et moi avions le droit d’aller dans la rue, d’y jouer, d’y vivre… Mon frère aîné, arpentant la rue en vélo, a eu un traumatisme crânien, de sa rencontre avec une bagnole. Plus aucune mère n’a permis aux enfants de jouer librement dans les rues…

Clopine dit: à

Pousser la porte, dire sobrement « maman, je vais jouer »… Rejoindre les autres enfants, s’inventer des jeux, investir l’espace, sans autre regard que celui de la liberté d’enfance… Aller dans le champ à Gonet, s’apercevoir que les plantes sont plus hautes que vous, et en retirer comme une satisfaction, un jeu. Revenir à la maison, par une rue calme, sans bagnoles, sans danger, ne même pas savoir ce que veut dire un monde dédié à l’automobile. La rue est à nous ; juste le temps, aujourd’hui, des manifs.

Clopine dit: à

Quand j’avais huit ans, réellement, la rue était à nous.

renato dit: à

SV
Selon Musk et consorts tout se passe trop vite, compte tenu que ces technologies sont appelées à tout changer (elles changeront le travail de millions de personnes, surtout les emplois intellectuels), de nouvelles autorités de régulation sont nécessaires ; les systèmes d’intelligence artificielle doivent être surveillés ; des techniques doivent être développées pour aider à distinguer le réel de l’artificiel ; et des institutions doivent être développées pour faire face aux bouleversements économiques et politiques que l’IA pourrait provoquer, car ce que ces technologies sont capables de faire n’est pas clair, même pour ceux qui les créent (voir Altman, créateur de ChatGpt).

Clopine dit: à

Il faut tout de suite dire que j’étais d’un quartier populaire… Marcel Proust était déjà étouffé par des crises d’asthmes et par la sollicitude inquiète de sa classe dominante…

et alii dit: à

La Rue Kétanou est un groupe aux influences diverses, autant reggae et pop que tziganes.
SOUVENIR DE LA PLAQUE DANS DES RUES DEParis,
https://www.larueketanou.com/

Clopine dit: à

Depuis combien de temps avons-nous interdit la libre circulation dans nos rue à nos enfants ?

et alii dit: à

renato,peut-être serez vous intéressé parPerspectives pour l’intelligence artificielle : découvrez la vision d’experts de renom dans le dernier numéro d’ActuIA

et alii dit: à

clopine,
je n’ai pas connu de rues parisiennes avec des enfants qui y jouent (marelle?etc)
et je pense à des quartiers populaires
et pas davantage en province:était-ce interdit?
NON ; PAS PARTICULIEREMENT; comme si ça allait de soi

Jazzi dit: à

JJJ, dites à la tante de Martin Jauvat que j’ai un superbe scénario pour son neveu !

closer dit: à

Vu « Mon crime »…Bon divertissement qui prend toute sa force avec l’entrée en scène flamboyante, explosive, d’Isabelle Huppert. Il faudra qu’on m’explique comment cette femme de 70 ans peut être aussi belle, jouer aussi bien, avoir un tel palmarès, tout en ayant eu trois enfants et qui, accessoirement, peut tourner en anglais, en italien et en russe, etc, etc…
C’est trop injuste pour les autres!

Lucchini est excellent en procureur psycho rigide spécialiste des erreurs judiciaires. Dussolier parfait. Les deux jeunes femmes sont de bonnes interprètes mais plus banales.

D. dit: à

une mort douce, sur fond de Beethoven et d’image apaisante d’une nature impérieuse, me conviendrait assez bien, je crois.

Ben voyons. Rien que ça.

FL dit: à

Quand tu lis « La Recherche » tu apprends très vite qu’il n’y a qu’un journal au monde qui est « Le Figaro ». Avec peut-être un peu « Le Gaulois » mais très loin derrière « Le Figaro ».

Tout le monde lit « Le Figaro », Bloch, Mme de Guermantes tout le monde.

Je ne sais pas si Marcel Proust lirait encore « Le Figaro » s’il vivait de nos jours.

Soleil vert dit: à

IA : Le plus spectaculaire ce sont les illustrations
Voici sur un site de création d’images la réponse à la requête « une promenade au bord de mer dans le style d’Edward Hopper »

https://zupimages.net/up/23/13/x42p.jpg

Janssen J-J dit: à

@ Nous nous sommes finalement demandé ce que serait la recension d’un ouvrage faite par une intelligence artificielle ‑ et les auteurs du présent compte-rendu revendiquent leur authentique humanité ! Il faudrait un système capable de lire l’ouvrage de Jorion et capable de le comprendre (et d’entendre ce qui excède ce livre), de le situer et de se situer dans un discours, dans une forme d’interlocution asymétrique (un auteur d’ouvrage, d’un côté, un lecteur-auteur de recension, de l’autre)12. Un auteur artificiel de compte-rendu qui serait inspiré par les Principes de Jorion, mobiliserait le réseau mnésique de ses précédentes lectures pour alimenter un discours, tandis que sa mémoire grossirait des apports de chaque nouvel ouvrage soumis à son attention. Ainsi, répondrait-il à un texte et répondrait-il d’un acte de lecture original.

@ etalii -> merci atalii, mais on n’en est plus là, et on ignore toujours ce que vous pensez de tout cela…

Car voilà déjà 10 ans qu’ils en causent… Je pense qu’ils n’ont pas compris qu’on ne peut pas faire la compétition comme ils le prétendaient et l’appelaient de leurs voeux…
@ SV – Le fait que les humains continuent à se mesurer aux échecs ne me semble pas une réponse du genre « y’a pas l’feu au bocal »… Ils savent qu’un arbitre artificiel pourra toujours les départager, même si tout le monde est content à l’idée de pouvoir encore battre le robot (de moine en moins).. Or avant l’AI, non… les compétituerus humains devaient gérer l’incertitude avec une intelligence humaine équivalente à la leur… Et cela fait une énorme différence mentale… Idem quand il n’y avait pas de caméras dans les stades de foot et que les arbitres humains ne pouvaient pas être suppléés dans leurs décisions défaillantes par les moniteurs consultés en temps quasi réel. ETc
Résumons : 1 – de moins en moins de joueurs aux échecs ancienne mode, de par le monde ; 2 – de moins en moins de spectateurs intéressés aux matchs de foot si les caméras ne viennent pas donner de certitudes directes aux supporters en chambre…
3 – Une prime supplémentaire à la paresse intellectuelle généralisée en occident issue des mondes d ela silicon valley. Et la prime à une minorité de petits génies capables de tirer profit de l’enkulage capitaliste cynique de la plus grande masse des humains médiocrisés, comme le disait SV,…
Si tu n’es pas d’accord avec ca, CRIE-LE. Sinon, explique moi pourquoi j’ai tort, moi qui ne regarde jamais de football ni ne joue jamais aux échecs, mais qui essaie de comprendre encore un brin comment et où va le monde et m’en soucie, la différence de ceux pour quoi « après moi, le déluge »…
Bàv (à suivre)

___
Sérieux jzman, je peux lui donner votre email pour qu’il vous contacte le cas échéant ???

FL dit: à

Essayez « Marcel Proust chez Madeleine Lemaire » dans le style de Monet.

JC..... dit: à

« En cas de lézardophobie, il suffit d’enjamber, JC ! » (Jazzi)

Euh…? Moi pas comprendre !!!

Patrice Charoulet dit: à

DROGUES

En divers endroits du Net, j’ai récemment désapprouvé l’incendie dans mon quartier de trois bacs noirs contenant des sacs-poubelles.
Un aimable correspondant, sur Facebook écrit ceci : « S’intéresser aux feux de poubelles, c’est bien.
Sinon, le trafic de drogue, qui n’est pas , lui, tellement incriminé, vous en pensez quoi ? »
Je lui réponds , et à toux ceux qui auraient envie de me poser cette question, ceci :
Je désapprouve le trafic et la consommation de cannabis, de cocaïne, de morphine, etc.
J’ajoute que les deux drogues qui tuent le plus de monde en France chaque année sont l’alcool et le tabac. Les chiffres sont connus et…souvent oubliés.
Il ne faut pas les oublier et toujours dire quand on parle de la lutte contre la drogue, quelles mesures on prend pour lutter aussi contre les deux drogues qui tuent le plus de monde. Quelles sont ces mesures ?

Jazzi dit: à

Oui, on le trouve au bas de mon blog, JJJ.

FL dit: à

Ou alors racontez une soirée chemsex dans le style de Marcel Proust.

FL dit: à

Ou alors Swann fait des remarques sprirituelles sur le dernier roman d’Ellis.

et alii dit: à

un papyrus complet du « Livre des morts » a été découvert à Saqqarah.

Un papyrus du Livre des morts de 52 pieds de long de l’Égypte ancienne découvert à Saqqarah

Rosanette dit: à

@FL
et aussi quand on lit Feydeau
« Le Figaro,journal bien fait » dans « Le fil à la patte »

et alii dit: à

il y a sur la règle du jeu des articles de MIMOUNI
Proust et l’extrême droite
par Patrick Mimouni
Série de cinq articles sur Proust et l’extrême droite. En démarrant par les rapports avec Charles Maurras et Léon Daudet.
J’AI SUR MA TABLE LES « MEMOIRES MAUDITES »

renato dit: à

« une promenade au bord de mer dans le style d’Edward Hopper »

Le processus de composition de l’image mis en œuvre par Hopper est mal analysé. L’image manque de rythme. Les personnages de H sont plus définis. Ça pourrait être un H interprété par un peintre naïf.

Soleil vert dit: à

Le robot a pondu cela et trois autres images en une vingtaine de secondes.
Après, on peut affiner la requête.

et alii dit: à

c’est en français que renato avait regimbé au mot âme;
peut-être accepterait-il de la music soul?
L4EXPRESSION apparaît pour la première fois dans le titre de deux albums de Ray Charles1 : Soul Brothers en 1958, et Soul Meeting en 1961.

Soleil vert dit: à

>JJJ « Or avant l’AI, non… les compétiteurs humains devaient gérer l’incertitude avec une intelligence humaine équivalente à la leur… »

En match, rien n’a changé

renato dit: à

Voyons et al. !

L’existence de l’âme reste un sujet de débat et à ces jours il n’existe pas de réponse définitive ou univoque à cette question, car les opinions peuvent varier considérablement en fonction de la culture de chacun. Voyons plutôt.

Les chrétiens croient que l’âme est réelle, qu’elle représente la partie spirituelle de l’être humain, qui est créée par Dieu et survit à la mort du corps, continuant d’exister sous une autre forme ! Or, puisque Dieu n’est qu’une invention, je vois mal comment il a pu créer quoi que ce soit.

En Grèce l’âme était assimilée à un souffle (qui quitte le corps au moment de la mort). Par ailleurs, le fait que les premiers penseurs chrétiens (voir la patristique) aient utilisé des catégories philosophiques grecques, et que leur appareil conceptuel soit en partie hellénisant ne doit pas faire oublier que le concept de psyché (souffle de vie) est une création des Grecs (et L’Occident vient d’eux, pas d’ailleurs !).

Dans le bouddhisme, l’on ne parle pas de l’âme en tant qu’entité séparée de l’individu, mais plutôt d’un ensemble de processus mentaux qui constituent l’essence de l’être humain, ce qui est tout à fait crédible.

Cela dit, « Un jour, la poésie finira », écrit Tommaso Landolfi ; pour le moment, lisons Emily Dickinson comme si elle avait lu Dōgen :
A sepal, petal, and a thorn / Upon a common summer’s morn – / A flask of Dew – A Bee or two – / A Breeze – a caper in the trees – /And I’m a Rose!

D. dit: à

Ne jamais encourager l’euthanasie. Ceux qui le font sont scandaleux dans leur attitude.
Soigner, apaiser les souffrances oui. C’est différent de tuer.

Le Seigneur Jésus-Christ est notre juge au moment du jugement pour la Résurrection des morts.
La Sainte Vierge Marie est notre avocate, particulièrement dans les tourments et à l’heure de notre mort.

Ne l’oubliez jamais. Et dites des Ave Maria. Particulièrement à l’appproche de la mort.

D. dit: à

EVANGILE DE JÉSUS-CHRIST SELON SAINT MATTHIEU

Chapitre 18

01 À ce moment-là, les disciples s’approchèrent de Jésus et lui dirent : « Qui donc est le plus grand dans le royaume des Cieux ? »

02 Alors Jésus appela un petit enfant ; il le plaça au milieu d’eux,

03 et il déclara : « Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux.

04 Mais celui qui se fera petit comme cet enfant, celui-là est le plus grand dans le royaume des Cieux.

05 Et celui qui accueille un enfant comme celui-ci en mon nom, il m’accueille, moi.

06 Celui qui est un scandale, une occasion de chute, pour un seul de ces petits qui croient en moi, il est préférable pour lui qu’on lui accroche au cou une de ces meules que tournent les ânes, et qu’il soit englouti en pleine mer.

07 Malheureux le monde à cause des scandales ! Il est inévitable qu’arrivent les scandales ; cependant, malheureux celui par qui le scandale arrive !

08 Si ta main ou ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-le et jette-le loin de toi. Mieux vaut pour toi entrer dans la vie éternelle manchot ou estropié, que d’être jeté avec tes deux mains ou tes deux pieds dans le feu éternel.

09 Et si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi. Mieux vaut pour toi entrer borgne dans la vie éternelle, que d’être jeté avec tes deux yeux dans la géhenne de feu.

10 Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux.

12 Quel est votre avis ? Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ?

13 Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées.

14 Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu.

15 Si ton frère a commis un péché contre toi, va lui faire des reproches seul à seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère.

16 S’il ne t’écoute pas, prends en plus avec toi une ou deux personnes afin que toute l’affaire soit réglée sur la parole de deux ou trois témoins.

17 S’il refuse de les écouter, dis-le à l’assemblée de l’Église ; s’il refuse encore d’écouter l’Église, considère-le comme un païen et un publicain.

18 Amen, je vous le dis : tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel.

19 Et pareillement, amen, je vous le dis, si deux d’entre vous sur la terre se mettent d’accord pour demander quoi que ce soit, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux.

20 En effet, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux. »

21 Alors Pierre s’approcha de Jésus pour lui demander : « Seigneur, lorsque mon frère commettra des fautes contre moi, combien de fois dois-je lui pardonner ? Jusqu’à sept fois ? »

22 Jésus lui répondit : « Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois.

23 Ainsi, le royaume des Cieux est comparable à un roi qui voulut régler ses comptes avec ses serviteurs.

24 Il commençait, quand on lui amena quelqu’un qui lui devait dix mille talents (c’est-à-dire soixante millions de pièces d’argent).

25 Comme cet homme n’avait pas de quoi rembourser, le maître ordonna de le vendre, avec sa femme, ses enfants et tous ses biens, en remboursement de sa dette.

26 Alors, tombant à ses pieds, le serviteur demeurait prosterné et disait : “Prends patience envers moi, et je te rembourserai tout.”

27 Saisi de compassion, le maître de ce serviteur le laissa partir et lui remit sa dette.

28 Mais, en sortant, ce serviteur trouva un de ses compagnons qui lui devait cent pièces d’argent. Il se jeta sur lui pour l’étrangler, en disant : “Rembourse ta dette !”

29 Alors, tombant à ses pieds, son compagnon le suppliait : “Prends patience envers moi, et je te rembourserai.”

30 Mais l’autre refusa et le fit jeter en prison jusqu’à ce qu’il ait remboursé ce qu’il devait.

31 Ses compagnons, voyant cela, furent profondément attristés et allèrent raconter à leur maître tout ce qui s’était passé.

32 Alors celui-ci le fit appeler et lui dit : “Serviteur mauvais ! je t’avais remis toute cette dette parce que tu m’avais supplié.

33 Ne devais-tu pas, à ton tour, avoir pitié de ton compagnon, comme moi-même j’avais eu pitié de toi ?”

34 Dans sa colère, son maître le livra aux bourreaux jusqu’à ce qu’il eût remboursé tout ce qu’il devait.

35 C’est ainsi que mon Père du ciel vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère du fond du cœur. »

D. dit: à

Salve, Regina,
Mater misericordiæ,
vita dulcedo et spes nostra, salve.
Ad te clamamus,
exsules filii Evæ.
Ad te suspiramus, gementes et flentes
in hac lacrymarum valle.
Eia ergo, advocata nostra,
illos tuos misericordes oculos ad nos converte.
Et Jesum benedictum fructum ventris tui,
nobis, post hoc exsilium, ostende.
O clemens, o pia, o dulcis Virgo Maria

et alii dit: à

D’ISAAC ROSENBERG (TRAD WIKI) sur Tablet:isaac’s war
La cervelle d’un homme s’est éclaboussé sur
le visage d’un brancardier ;
Ses épaules tremblantes ont glissé leur charge,
Mais quand ils se sont penchés pour regarder à nouveau
L’âme qui se noyait était enfoncée trop profondément
Pour la tendresse humaine.

et alii dit: à

les vers sont une strophe de »Dead Man’s Dump ».

Janssen J-J dit: à

@ de nouvelles autorités de régulation sont nécessaires ; les systèmes d’intelligence artificielle doivent être surveillés ; des techniques doivent être développées pour aider à distinguer le réel de l’artificiel ; et des institutions doivent être développées pour faire face aux bouleversements économiques et politiques que l’IA pourrait provoquer, car ce que ces technologies sont capables de faire n’est pas clair, même pour ceux qui les créent

Croyez-vous vraiment que le type qui prétend cela, Elton Musk, soit lui-même vraiment convaincu de ce qu’il conseille ?… Ou ne serait-il pas encore en train de NOUS entuber la planète en sollicitant et testant de « bonnes idées » de régulation gratuitement, puisqu’elles seraient à la mode, pour mieux les revendre au prix les plus exorbités pour son escarcelle… ?
———–
Souvenons nous plutôt du message final de R. Saviano, lancé aux jeunes générations et à lui-même, lycéen idéaliste non renié, désormais condamné à mort en sursis :
___
… »Le pessimisme est d’abord un vice : ne commets pas l’erreur de le prendre pour une vertu
…c’est seulement dans la lutte que je me suis senti un homme, que j’ai éprouvé un fort sentiment d’appartenance à l’espèce humaine
…Si l’Ecclesiaste dit « à beaucoup de savoir, beaucoup de douleur », moi je dis : plus on a de connaissances, plus on a d’outils pour comprendre la douleur. C’est à cela que servent les histoires que je t’ai racontées : à augmenter tes dioptries afin que tu comprennes mieux la douleur et que tu ne restes pas immobile
… Savoir d’où vient l’injustice nous aide à comprendre. Et la compréhension augmente la résistance
…Voir l’injustice augmente notre capacité de survie.
… Ce sont mes mots… Les mots de quelqu’un qui a compris que le bonheur est collectif ou n’est pas, que le bien-être est collectif ou n’est pas, que la liberté appartient à tout le monde ou à personne.
CRIE-LE, QUE CA NE VAUT PAS LA PEINE DE VIVRE DANS CES CONDITIONS, CRIE QUE TOUT DOIT CHANGER !

J J-J dit: à

@ etalii – Vous vous demandiez pourquoi les myopes voient leur vie s’améliorer en vieillissant ?
Voici une réponse, en espérant qu’elle vous satisfaire : de facto, la myopie compense en quelque sorte la presbytie, car avec l’âge, la réfraction de l’image va se rapprocher un peu plus de la rétine chez le myope presbyte, ce qui lui donnera l’impression que l’évolution de sa myopie a cessé.

De rien, bàv.

Janssen J-J dit: à

@ christiane desroches-noblecourt

Un papyrus du Livre des morts de 52 pieds de long de l’Égypte ancienne découvert à Saqqarah

Et que nous apprend-il, au juste, chère christiane ?

J J-J dit: à

leur vue
satisfera
@ bof… on avait compris votre message, oups…

renato dit: à

Enfin, 3J, je suis vaguement con sur les bords, certes, mais pas jusqu’au point de croire que Musk relève des nécessités sans y voir une possibilité de gagner un brin — ou plus. Reste que des instances de contrôle sont nécessaires car il y a un hic, et Musk a trouvé, peut-être, une manière de l’exploiter.

J J-J dit: à

JMB (des ADLP) a dit :
« s’il y a d’évidence des violents dans les forces de l’ordre, il y a pas mal de bourrins parmi ceux qui croient faire la guerre et se prennent
pour des résistants » … Exemple :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-dor/dijon/temoignage-on-est-prets-a-tout-comment-les-black-blocs-justifient-laviolence-a-dijon-2739102.html
La parole est à la défense : analyses gendarmiques et policières
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/sainte-soline-plus-qu-indecentreagit-le-patron-des-gendarmes-a-propos-de-la-polemique-sur-les-secoursempeches-d-intervenir-20230330
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/matthieu-valet-qui-s-interesse-augendarme-gravement-blesse-a-sainte-soline-20230329

Janssen J-J dit: à

Je n’ai jamais prétendu cela, RM,…voyons donc ! bien au contraire… d’autant que si cela n’avait pas émané de lui, j’aurais applaudi des trois mains, après tout, penser la régulation en débattant des vrais risques, ce n’est pas certainement pas une démarche inutile… Voilà pourquoi j’ai cru devoir rappeler cette aparté de Roberto Saviano… Vous savez, RM, je suis aussi sensible que vous à toute l’intelligence humaine provenant de partout, y compris de l’Italie, et sans exclusive. Merci de m’en croire et d’en prendre bonne note… Je ne suis pas votre ennemi et j’imagine que vous le savez…
Bàv, (***merci de ne pas répondre sur ce dernier point)

renato dit: à

SV, pour obtenir un bon résultat il faudrait donner à l’estomac du « robot » un scan d’un vrai tableau de Hopper afin qu’il digère le rythme de son pinceau, sa structuration de l’espace, et sa construction des personnages.

D. dit: à

Enfin, 3J, je suis vaguement con sur les bords, certes,

Non, renato. Absolument pas.

D. dit: à

Le couchant dardait ses rayons suprêmes
Et le vent berçait les nénuphars blêmes ;
Les grands nénuphars entre les roseaux
Tristement luisaient sur les calmes eaux.
Moi j’errais tout seul, promenant ma plaie
Au long de l’étang, parmi la saulaie
Où la brume vague évoquait un grand
Fantôme laiteux se désespérant
Et pleurant avec la voix des sarcelles
Qui se rappelaient en battant des ailes
Parmi la saulaie où j’errais tout seul
Promenant ma plaie ; et l’épais linceul
Des ténèbres vint noyer les suprêmes
Rayons du couchant dans ses ondes blêmes
Et les nénuphars, parmi les roseaux,
Les grands nénuphars sur les calmes eaux.

D. dit: à

Eh ouais.

D. dit: à

Une aube affaiblie
Verse par les champs
La mélancolie
Des soleils couchants.

La mélancolie
Berce de doux chants
Mon coeur qui s’oublie
Aux soleils couchants.

Et d’étranges rêves,
Comme des soleils
Couchants, sur les grèves,
Fantômes vermeils,

Défilent sans trêves,
Défilent, pareils
A de grands soleils
Couchants sur les grèves.

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