de Pierre Assouline

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La République des livres
L’amitié, c’est deux solitaires ensemble

L’amitié, c’est deux solitaires ensemble

L’amitié, chacun s’en fait une idée ; le problème, c’est que ce n’est pas souvent la même. Il n’en est guère d’aussi peu partagée. Consultez les dictionnaires de citations ou les anthologies de moralistes : les définitions de l’amitié y pullulent en tous siècles sous toutes latitudes. Beaucoup sont d’une niaiserie insondable. Mais il en est de plus fortes qui servent de mots de passe entre les générations. De mémoire et, à la limite, peu importe l’auteur : Parce que c’était lui, parce que c’était moi (et patati et patata serait-on tenté d’ajouter à l’énoncé d’une telle scie, nonobstant le respect dû à ces deux-là) … L’amitié, c’est deux solitaires ensemble… Un ami, c’est quelqu’un à qui on peut téléphoner à minuit pour lui demander de nous aider à transporter un cadavre et qui le fait sans poser de questions… Un ami, c’est comme un compte en Suisse : on n’a pas besoin de le voir tous les jours, on a juste besoin de savoir qu’il existe (il me semble que Roger Nimier a dit quelque chose comme cela) etc

Le Robert propose une double définition qui ne manque pas d’intérêt : « 1. Sentiment réciproque d’affection ou de sympathie qui ne se fonde ni sur la parenté ni sur l’attrait sexuel. 2. Marque d’affection, témoignage de bienveillance ». Il y aurait déjà à redire car cette idée d’écarter le sexe de l’amitié, ca se discute, ne fût-ce que dans le cas de l’amitié amoureuse. Bref, disons quelque chose comme une inclination réciproque à condition d’oublier une fois pour toutes le détournement de sens de l’ami Facebook. Tenez, ces jours-ci encore, j’en ai pêché dans deux livres récemment parus :

« Amis : se retournent comme les opinions, les crêpes et les vestes. André Gide disait que l’on ne pouvait se faire de vieux amis, ce qui est évident mais, à tout âge, et je suis placé pour l’affirmer, on peut se créer de nouvelles affections qui valent souvent les anciennes et auxquelles on est d’autant plus attaché que l’on n’en profitera pas longtemps ». (in « Carpe et lapin. Mots choisis » de François Gibault, Gallimard)

« Amis : Comme chacun sait, les véritables sont rares, même si les définitions en sont nombreuses. En voici une parmi d’autres, tout à fait acceptable, de Raymond Federman : « Un ami, c’est quelqu’un avec qui on peut envisager de faire un mauvais coup ». (in « A la lettre » de Christian Garcin, Du Lérot, éditeur)

Et puis il y a La main sur le cœur (155 pages, 18,90 euros, Les passe-murailles), l’une des plus discrètes pépites de cette rentrée. Ce récit d’Yves Harté (1954), à mi-chemin entre l’exercice d’admiration et le tombeau pour un ami disparu, ne se pousse pas du col. Sa sobriété est exemplaire. Il ne réclame rien de ses lecteurs sinon de l’empathie pour sa démarche, de la bienveillance pour les fautes et insuffisances de son héros, de l’indulgence pour ses frasques. Pour brosser le portrait de l’absent qui manque tant, l’auteur a emprunté des chemins de traverse ; il est vrai que l’on voit mieux de biais que frontalement.

Il s’était rendu en 2014 à Tolède dans le seul but d’y visiter une grande rétrospective consacrée au peintre, sculpteur et architecte Domínikos Theotokópoulos dit Le Greco à l’occasion du 400 ème anniversaire de sa mort. Un prétexte ? Pourquoi pas, l’inconscient fait le travail. Et de même que l’on peut s’estimer heureux lorsqu’on quitte une conférence en emportant avec soi une seule phrase, un seul tableau suffit à justifier un tel voyage : El caballero  de la mano en el pecho (Le Gentilhomme à la main sur la poitrine). Comme l’identité du personnage suscite diverses interprétations, Harté se lance dans une enquête pour élucider ce mystère qui l’a saisi en se laissant porter par ses pas dans l’ancien hôpital Santa Cruz transformé en musée. Mais progressivement, les traits qui surgissent en creux ne sont pas ceux du modèle mais de son ami Pierre Veilletet, de onze ans son ainé, qui fut l’une des grandes plumes de Sud-Ouest et un écrivain attachant tendance néo-hussard, jadis mentor du jeune Harté à la rédaction du grand quotidien de Bordeaux.

Ils avaient l’Espagne au cœur, une passion partagée pour la tauromachie, les richesses du musée du Prado, la vieille Castille. Harté avait déjà consacré deux récits à ce pays si près si loin de sa Gironde : Calidad, objet de fierté (1992) et La Huitième couleur (2015). Ensemble, les deux hommes avaient roulé et marché partout en Espagne. Tous deux lauréats du prix Albert-Londres, ces flaneurs salariés avaient connu le bonheur fraternel de partager bien des éblouissements, au Prado notamment, au début des années 1980 plus précisément face à un tableau du Greco : El caballero  de la mano en el pecho… Du regard du modèle, Pierre Veilletet déduisait : « Ce visage dit à ceux qui le fixent ce qu’ils veulent savoir et ce qu’ils vont devenir », annonce qui avait pour effet d’en augmenter l’énigme intérieure au lieu de la réduire ; d’autant qu’il prétendait que l’Escorial en était la clef, ce qui n’en faisait pas un rival de Maurice Barrès, Jean Cassou ou Fernando Marias dans l’analyse de son œuvre.

L’ami aimait les vins de Bordeaux plus que de raison, les meilleures tables de sa région, la cinéphilie, fumer la pipe, humer du jerez, jouer à l’anglomane comme tout bordelais bien né et parler jusqu’à plus soif des livres qu’il avait tant aimés ; il poussait la couleur locale jusqu’à habiter quai des Chartrons. Son collier de barbe, sa calvitie et son regard las sous la casquette en tweed lui donnaient un faux air de Bertrand Blier.

Si l’homme passait volontiers pour mélancolique, celle-ci avait pour terreau un ressentiment et une amertume communs à bien des écrivains : la conviction que leur oeuvre, butant contre un plafond de verre et confinée dans une certaine confidentialité, n’avait pas été reconnue à sa juste valeur. Connu, il voulait être reconnu. Une inaccessible étoile. Pourtant il avait eu sa chance ; ses premiers livres bénéficiaient d’une critique élogieuse, un titre figura même dans une sélection du Goncourt ; Arléa, maison parisienne à laquelle il fut fidèle (et réciproquement) jusqu’à la fin, publia la plupart de sa douzaine de livres, des textes d’un charme fou et d’une élégance racée, dont l’un reçut le prix François-Mauriac et les autres le prix Jean-Jacques Rousseau et le prix Jacques-Chardonne. Au final, la bibliothèque du quartier bordelais de Caudéran porte désormais son nom.

Jusqu’à ce que le petit monde des lettres, microcosme aléatoire qui se donne des airs de grandeur, lui oppose une certaine indifférence, ce qu’il interpréta comme un rejet d’autant que même le journal, « son » Sud-Ouest, avait fini par l’évincer. L’humiliation le saisit d’autant plus fort que, sous le masque d’un dandy désinvolte et alcoolique, il ruminait de longue date la conviction d’être un imposteur. Pourtant, La Pension des nonnes, Mari-Barbola, Querencia & autres lieux sûrs, Cœur de père se laissent relire avec un plaisir sans mélange, pour ne rien dire du tout dernier Oui j’ai connu des jours de grâce, titre qui résonne comme un adieu. La solitude absolue dans laquelle il quitta ce monde, et le doute même sur la cause de sa mort, bouleversèrent ceux qui l’avaient connu. Le Gentilhomme à la main sur la poitrine est le plus bel hommage dont on puisse rêver car il est d’une délicatesse sans pareille.

J’ai fréquenté Pierre Veilletet dont j’aimais l’esprit, la plume et la mélancolie. Je connais à peine Yves Harté. Ils se sont voussoyés toute leur vie commune. La lecture de « leur » livre, si je puis dire, donnerait envie de demander à chacun s’il accepterait de devenir notre ami d’enfance.

(El caballero  de la mano en el pecho huile sur toile vers 1580, Musée du Prado – mais quel fond est le bon ? ; « Pierre Veilletet » photo Sophie Bassouls)

Cette entrée a été publiée dans documents, Histoire Littéraire.

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commentaires

853 Réponses pour L’amitié, c’est deux solitaires ensemble

x dit: à

N39 : »Je voudrais bien connaître le titre du dernier livre imprimé »
Quand Pierre Senges s’interroge à la suite de Lichtenberg, il le fait sous forme de liste (une de ses formes de prédilection).
Les impatients peuvent aller directement au dernier paragraphe.

« Une énième traduction de la Bible, plus proche encore de l’original […]
un livre de cuisine […] Art d’accommoder les restes […]
Ou bien l’autobiographie d’une crapule écrite par une autre crapule […]
Ou alors, un guide de voyages […]
Ou bien, ce sera un roman […] « Dit-il, fit-elle ; demanda-t-il, répondit-elle ; affirma-t-il, répéta-t-elle ».

« Ou bien, c’est envisageable, le témoignage du Rescapé du naufrage de la « Trébizonde » […] ou du Père de la malheureuse Sidonie écrasée par un éléphant […] ou de La Mère du petit Tom mort sans baptême […] ou de L’Édifiant Stanislas qui a des insomnies ».

« Ou bien, c’est possible, l’un de ces livres en forme de journal ramené des antipodes par d’admirables reluisants écrivains du voyage, hâlés, […] épuisés par quelque fièvre épique, mais surtout aguerris par l’expérience, une expérience impartageable, livrée seulement à l’ébahissement de ceux qui liront ces lignes […]
Ce serait sans doute l’un de ces livres dans quoi l’auteur globe-trotteur explique à quel point la vallée du Nil est belle quand il s’y sertit ».

« Ou encore (c’est plus probable) […] : un guide sur du papier poreux, presque autant qu’un buvard, un Savoir choisir ses amis, et un Savoir les garder, un Comment devenir sympathique, ou le Guide pour se sentir bien dans sa peau, […] et aussi le Vade-mecum du bon vivant, ou le Devenez un boute-en-train en quinze jours ».

x dit: à

Retour sur le différend à propos du Neveu de Wittgenstein.

1) Paul Edel a eu le malheur d’écrire, sans doute de mémoire, « Le Paul Wittgenstein de Thomas Bernhard […] passait sa vie avec Thomas Bernhard dans des cafés viennois à se moquer de tous ceux qu’ils connaissaient. »
Que n’avait-il pas dit…

2) Le voilà aussitôt accusé par Sasseur de ne pas avoir lu le texte,
3) puis une fois le passage en question retrouvé, de l’avoir déformé :
« Si Th. Bernhard et Paul Wittgenstein […] passaient du temps […] à dénigrer « l’univers de fond en comble » […] on ne leur prêtera pas comme le fait Edel, et sans doute s’y adonne-t-il, un goût du commérage mondain ».
(Deuxième calomnie en prime.)

« Se moquer de » et « dénigrer » n’ont pas tout à fait le même sens, mais c’est le le mot retenu par le traducteur Jean-Claude Hémery, « dénigrer » donc, qui comporte celui de médisance (« noircir »)

Selon le CNRTL et Crisco
Se moquer de qqn : railler, rire, plaisanter, se gausser, etc.
Dénigrer : S’efforcer de réduire la réputation de quelqu’un ou de quelque chose.
Synonymes proposés : discréditer, MÉDIRE, vilipender, diffamer, déprécier, CALOMNIER, décrier, etc.

(Quant au caractère spécifiquement « mondain », on ne voit pas trop pourquoi il s’attacherait davantage à la moquerie qu’au dénigrement.)

Je me suis demandé quel terme était employé dans la version originale : il s’agissait de « bezichtigen » (qui peut souvent se traduire par « accuser »)

Tout cela en contexte :

[Paul W] « dénigrant tout sans relâche. Comme c’était un observateur incroyablement entraîné, et que sa manière d’observer, dont il avait avec le temps fait un art, était impitoyable, il avait constamment toutes les raisons du monde de tout dénigrer. Il n’y a rien qu’il n’ait dénigré. Les gens qui lui tombaient sous les yeux n’étaient jamais épargnés bien longtemps […] ils étaient fustigés par lui avec ces mots qui sont aussi les miens quand je me révolte ou me défends, quand il me faut batailler contre l’infamie du monde, si je ne veux pas qu’elle prenne le dessus et m’écrase complètement. En été, notre quartier général était la terrasse du Sacher et nous passions le plus clair de notre temps à dénigrer, et à rien d’autre. Peu importait ce qui se présentait à nos yeux: c’était aussitôt dénigré. Des heures durant nous restions à la terrasse du Sacher, à dénigrer. Nous restions devant une tasse de café à dénigrer l’univers entier, et nous le dénigrions de fond en comble. Nous prenions place à la terrasse du Sacher et mettions en marche notre mécanisme bien rodé de dénigrement, derrière le cul de l’Opéra, selon l’expression de Paul […] la face postérieure de la salle d’opéra qu’il aimait le plus au monde ».
« Des heures durant, nous restions assis à la terrasse du Sacher, et nous observions les gens qui allaient et venaient. C’est un fait, maintenant encore je ne connais guère de plus grand plaisir (à Vienne) que d’être assis en été à la terrasse du Sacher et d’observer les gens qui passent devant. »
(82-84)

Er war ein Unruhevoller, ein fortwährend Nervöser, ununterbrochen Unbeherrschter. Er war ein Grübler und ein ununterbrochen Philosophierender und ein ununterbrochener Bezichtiger. Da er ein unglaublich geschulter Beobachter und in dieser seiner Beobachtung, die er mit der Zeit zu einer Beobachtungskunst entwickelt hat, der Rücksichtsloseste gewesen ist, hatte er fortwährend allen Grund zur Bezichtigung. Es gab nichts, das er nicht bezichtigte. Die Leute, die ihm unter die Augen kamen, waren niemals länger als nur die allerkürzeste Zeit ungeschoren, schon hatten sie einen Verdacht auf sich gezogen und sich eines Verbrechens oder wenigstens eines Vergehens schuldig gemacht und sie wurden von ihm gegeißelt mit jenen Wörtern, die auch die meinigen sind, wenn ich mich auflehne oder wehre, wenn ich gegen die Unverschämtheit der Welt vorzugehen habe, will ich nicht den Kürzerenziehen, von ihr vernichtet werden. Im Sommer hatten wir unseren Stammplatz auf der Terrasse des Sacher und existierten die meiste Zeit aus nichts anderem als aus unseren Bezichtigungen.
Gleich was vor uns auftauchte, es wurde bezichtigt. Stundenlang saßen wir auf der Sacherterrasse und bezichtigten. Wir saßen bei einer Schale Kaffee und bezichtigten die ganze Welt und bezichtigten sie in Grund und Boden. Wir setzten uns auf die Sacherterrasse und setzten unseren eingespielten Bezichtigungsmechanismus in Bewegung hinter dem Arsch der Oper, wie der Paul sich ausdrückte, denn sitzt man vor dem Sacher auf der Terrasse und schaut gerade aus, schaut man genau auf die Hinterseite der Oper. Er hatte eine Freude an solchen Definitionen wie dem Arsch der Oper, wohl wissend, daß er damit nichts anderes als das Hinterteil seines wie nichts auf der Welt geliebten Hauses am Ring bezeichnete, aus welchem er so viele Jahr zehnte mehr oder weniger alles, das er zum Existieren brauchte, bezog. Stundenlang saßen wir auf der Sacherterrasse und beobachteten die Leute, die da hin und her gingen. Tatsächlich gibt es für mich auch heute noch kaum ein größeres (Wiener) Vergnügen, als auf der sommerlichen Sacherterrasse zu sitzen und die Leute zu beobachten, die daran vorbeigehen. Wie ich ja überhaupt kein größeres Vergnügen kenne, als Leute zu beobachten und sie vor dem Sacher sitzend zu beobachten, ist eine besondere Delikatesse, die der Paul sehr oft mit mir teilte.

MC dit: à

Qui depuis le 78 tours, n’a pas enregistré l’air des Bijoux, ou l’éclat de rire de Manon Lescaut d’ Auber? Hergé s’amuse ou sa revanche en reprenant cet air devenu un peu poncif. Le plus beau. , d’ailleurs, c’est qu’il est destiné à un soprano léger comme dit Caroline Miolhan Carvalho, cantatrice et femme du directeur de l’Opera Comique, ce qui aide un peu, bref, pas la voix de Callas, plutôt Soprano dramatique, et sur la fin, Mezzo….

et alii dit: à

Bel-Ami est un roman réaliste de Guy de Maupassant (1850-1893), publié en 1885. Le roman paraît d’abord sous forme de feuilleton dans le quotidien Gil Blas, avant d’être édité en volume aux éditions Victor Havard. Les éditions Ollendorff publieront la première édition illustrée en 1895. L’action du récit se déroule à Paris pendant la seconde moitié du xixe siècle.

rose dit: à

Dimanche 13 novembre, 6h39

Sexy en abaya à seventeen, je doute fort. Le but est de ne pas.

rose dit: à

Timelapse.
Ne sortez pas les vi-olons.
Le déroulé sera le même ;
gueuler.
Dire au revoir.
Se taire & continuer.

Marie Sasseur dit: à

petitix , chienne de garde d’Edel, se moque du monde, comme son menteur.
Pour la calomnie, cette bourrique se reportera aux écrits de son adoré.

Marie Sasseur dit: à

petitix aussi à besoin de passer chez afflelou voici mon commentaire du 12/11 non déformé en réponse à la calomnie d’Edel, concernant Paul Wittgenstein, dont il a recopié la notice Wikipedia, ne sachant pas qui il était.

Marie Sasseur dit: à
Si Th. Bernhard et Paul Wittgenstein
philosophe, « non publicateur de sa pensée », contrairement a son oncle Ludwig, passaient du temps, en été devant une tasse de café à la terrasse du Sacher, dit « le cul de l’opéra » car situé derrière le bâtiment, à dénigrer « l’univers de fond en comble « , et à se livrer à cette occupation favorite de the place to see, sans être vus,
on ne leur prêtera pas comme le fait Edel, et sans doute s’y adonne-t-il, un goût du commérage mondain; » la perfidie de l’Autriche » leur donnait un grain plus fin, à moudre.

Et si « ce » Paul Wittgenstein n’était pas pianiste, c’est bien grâce a la musique, qui résonne dans presque toutes les pages de cet hommage, que Paul et Thomas se sont en quelque sorte » reconnus « .
Si un tableau peut représenter une amitié, une musique le peut aussi et la symphonie Haffner a définitivement déterminé la leur .

https://youtu.be/LDBmGj9xxpM

Marie Sasseur dit: à

13/11/2022, 7h16

Marie Sasseur dit: à

Si Passou rétablissait le format date et heure de l’espace  » laisser un commentaire « , on ( est un con) y verrait plus clair.

Qui a cité Paul Wittgenstein en premier sur ce fil de commentaire ?
en réponse à un post d’Edel qui manifestement a illustré son idée bien  » mondaine  » de l’amitié, faite de jalousie, et de regards de travers.

Qui a dit , oui,  » le neveu de Wittgenstein  » est le livre qu’il fallait citer, si on veut illustrer l’amitié chez Th. Bernhard ?

C’est pas Edel ! qui pour donner le change est prêt à beaucoup de bassesse, y compris envoyer les fakes, comme petitix multipseudo, qui squattent sur son blog, pour venir le « défendre » , -bien grand mot pour du persiflage parichien-, sur ce blog, où il ne fait pas la loi.

Marie Sasseur dit: à

« Edel qui manifestement a illustré son idée bien » mondaine » de l’amitié, faite de jalousie, et de regards de travers. »

Soyons précis, pour les enculeurs de mouche, comme petitix:

Edel « raconte  » dans son commentaire ce qu’il a retenu d’un bouquin de Th Berhard (le naufragé) en le présentant comme une « histoire d’amitié « , le prétend-il.

Or qu’en est-il exactement ?

Chacun pourra se faire  » une idee  » de l’amitié selon Edel, dont pour ma part je ne voudrais à aucun prix !

« Essayons de dégager la structure fuguée du Naufragé :

L’exposition : trois jeunes gens se rendent à une master class de piano à Salzbourg, dirigée par un musicien hors pair, Horowitz.
Le sujet : Glenn Gould, jeune, se révèle être déjà un interprète au génie inégalable.
Le contre sujet : le Narrateur, face à une telle perfection musicale préfère renoncer plutôt qu’être en deçà du « point culminant » atteint par Glenn Gould.
L’imitation : Wertheimer, troisième protagoniste de cette lutte pour être le premier est d’emblée « anéanti » par Glenn Gould mais il hésite longuement avant de choisir de renoncer.
La conclusion : le suicide de Wertheimer, aboutissement logique de la spirale d’échecs dans laquelle celui-ci s’est engagé. »

https://www.theatre-contemporain.net/spectacles/Le-Naufrage/ensavoirplus/

13/11/2022, 8h16

Marie Sasseur dit: à

Pour dégager de cet espace toxique qu’Edel à voulu instaurer sur un sujet , en commettant un hors sujet, vous pouvez prendre l’air avec « deliverance » ( Dickey) par exemple… je ne donne pas cher de leur peau aux edeliens.

B dit: à

Du coup, je ne sais pas trop si je dois rester en vie.

renato dit: à

… ab inimicis possum mihi ipsi cavere, ab amicis vero non…

Cela dit, ne jamais prendre comme parole d’évangile les opinions des uns et des autres, car on est parfois induits en erreur. Ayant pris des pincettes, je découvre que la carrière de Castafiore est plus ancienne que celle de Callas.

DHH dit: à

Marie Sasseur fait ce voeu pour rester ici la seule l’unique,la star,la Diva,sans plus personne pour porte ombrage au rayonnement de son esprit aupres du seul interlocuteur à sa hauteur, Passou

Marie Sasseur dit: à

deachach, vieille maîtresse hargneuse et détestable comme petitix, me prête des intentions qui lui ressemblent, mesquines, qui puent le fonctionnaire frustré en manque de reconnaissance.
Je veux nuire a la bêtise, quand elle prétend m’agresser. Nuance !

DHH dit: à

@ marie sasseur

Vous ous avez sans doute raison, et je suis probablement ce que vous dites, une vieille enseignante hargneuse, mesquine, une fonctionnaire frustrée en manque de reconnaissance
Mais ma chance, c’est que je suis assez sotte pour m’épanouir dans les tâches ménagères, compensation qui n’est pas à la portée des grandes intellectuelles surdiploméees ,surdoctorées comme vous ,qui n’avez que mépris pour cet univers menager et celles qui s’y trouvent bien

Janssen J-J dit: à

@ Qui a cité Paul Wittgenstein en premier sur ce fil de commentaire ?

Je crois que c’est moijjj… avec un seul T. Aurais dû me la fermer, vu ce qui s’ensuivit.
Aucune surprise, du reste, au vu des réactions de la parano justicière habituelle, ma soeur … éternellement « agressée » par la horde sauvage.

Bàv à tous les autres herdélien.nes du commentarium (dont elle ne fait évidemment pas partie).

NB / Toujours OK au sujet de la disparition de l’horodateur passoulinien, suisj, c une ‘kalame itée’ plutôt qu’une vraie ‘tu ries’ !… Il faut absolument le rétablir, même si comprend-j bien que ce soit gênant pour le boulot de censure du robot, par rapport aux messages qui contiendraient des mots et adresses IP qu’il aurait eu pour mission d’éjecter.

Pablo75 dit: à

Quelle idée de donner des os à ronger à la Chienne du Blog… Après, dès qu’on fait mine de les toucher, elle n’arrête pas d’aboyer.

Ne venant ici que pour vanter la qualité littéraire des pires best-sellers et trouver des occasions de braire hystériquement, il faut vraiment être naïf pour rentrer dans son jeu.

DHH dit: à

@Renato
êtes vous sur de votre citation ?
j(aurais écrit simplement
inimicos cavere possum,non possum amicos

Janssen J-J dit: à

Bon dimanche aussi à Giovanni S’A, qui se fait trop rare. Bipbip. Go !…

et alii dit: à

QUELQU’UN A-T-IL DEJA CONNU DE VRAIS « WERTHEIMER » ?
,moi, oui

Janssen J-J dit: à

@ p75, j’ai bien conscience de ma naïveté, mais n’arrive pas à m’empêcher de jeter un os à ronger, même à la pire des chiennes en chaleur assoiffée de haine.
On m’a toujours dit de me méfier de ma naïveté lunatique, mais il se trouve que je garde les pieds sur terre et ne crains pas les morsures virtuelles. Me font même pas mal, mais surtout, il se trouve que vérifier la pertinence du « réflexe de Pavlova » m’a toujours fasciné et conforté au quotidien, je sais pas pourquoi, cela vous a quelque chose de rassurant.
Bàv,

Marie Sasseur dit: à

@Janssen J-J dit: à
@ Qui a cité Paul Wittgenstein en premier sur ce fil de commentaire ?
Je crois que c’est moijjj…

Effectivement, et tu gagnes in coup de pied de l’âne:

Depuis ta tirade désormais pérennisée, sur les « maîtres anciens « , tu as gagné une reconnaissance éternelle en Bernhardisme- alors qu’Edel est un béotien en la matière-
que tu as perdue pour tout le reste !

Marie Sasseur dit: à

Moi je suis en master class 2.0 sur ce blog, et je me suis trompée d’orientation.
Des vieux cons, et un prof misogyne.
Mais je vais jusqu’à fin d’année, hein.

Marie Sasseur dit: à

Deuxième coup de pied de l’âne.
Il est pour Edel.

« Récompensé en 1988 par le prix Albert Londres pour La ligne de front »
.

Je vais relire son journal meteo, avec un tout autre éclairage : l’amitié admiration jalouse.

https://www.etonnants-voyageurs.com/ROLIN-Jean.html

Jazzi dit: à

« Mais je vais jusqu’à fin d’année, hein. »

Faut-il dire vivement le 1er janvier 2023 ?

Jazzi dit: à

« Bon dimanche aussi à Giovanni S’A, qui se fait trop rare. Bipbip. Go !… »

Et au boug, qui a disparu de nos écrans, JJJ !

x dit: à

Si MS faisait preuve d’une connaissance de l’œuvre de Thomas Bernhard supérieure à celle qu’en a Paul Edel (c’est-à-dire à la hauteur de sa propre présomption), supérieure aussi à la mienne (que je ne situe pas du tout à des hauteurs stratosphériques, mais entendons-nous : je parle de connaissance directe, d’une lecture in extenso des œuvres et d’un temps d’assimilation et de réflexion, non de « connaissance » de seconde main à travers des articles), j’en ferais volontiers mon profit. J’aime apprendre et je m’efforce de ne pas « tout mélanger ».

Les justifications avancées ce matin par MS m’éclairent, je crois, sur ce qui paraît le nœud (implicite) du problème : il faudrait se contenter de présenter UNE version résolument positive de l’amitié, « inspirante » comme les petites phrases diffusées par les gourous du bien-être, sur fond de paysage apaisant. Le coach moyen n’est pas regardant sur l’origine des citations : voisinent des citations de Shakespeare, d’Emerson (soustraites à leur contexte), de quelques célébrités (sportives de préférence, mais Einstein est le bienvenu), une bonne pincée de proverbes et adages (familiers ou exotiques), plus une voisine de sa grand-tante ou le chauffeur du taxi qu’elle (le coach/gourou) a emprunté la veille.
Hors de cette vision kitsch et réductrice de l’amitié point de salut. On vous accuse de vouloir « instaurer un espace toxique sur le sujet » ou de « commett[re] un hors sujet » si vous osez suggérer que les amitiés ne sont pas toujours sans mélange, sans failles, entre deux gentils petits gars, deux chouettes nanas sans problèmes, en mentionnant des amitiés qui ne correspondent pas à une norme « feel good » (continuons à emprunter le jargon ad hoc). Et on projette sur vous les aspects négatifs (que l’on refuse de voir dans le thème évoqué) : les introduire, les mettre sur le tapis, ce serait en être porteur.

Quant à ce type de « hors sujet » au sens de « ne portant pas sur le livre évoqué dans l’article de P. Assouline », je ne vois pas le problème dans la mesure où personne n’a encore lu cet ouvrage : cela permet au moins de parler de littérature (même si c’est de façon thématique, associative et assez lointaine). Et comme, par ailleurs, la valeur d’un livre ne peut être jugée ou déduite de la biographie, des faits et gestes de son auteur (de son Moi social et non de son Moi créateur) ou de l’intérêt du seul « sujet » (de sa matière, de ce sur quoi il porte), la multiplication des liens n’apporte pas grand-chose. Ceux qui seraient intéressés ne sont-ils pas capables de chercher eux-mêmes sur internet sans qu’on leur tienne la main ?
En revanche, l’évocation d’un grand texte de Th. Bernhard (pas plus sordide, ou déprimant ou « malsain » que son Neveu de W) peut être l’occasion d’aller y voir de plus près pour ceux qui ne l’ont pas encore lu (tellement de livres, si peu de temps) — pour cela nous avons tous besoin d’une intervention extérieure, et un commentaire de Paul Edel est largement aussi valable qu’une émission culturelle attrapée au vol à la radio, dans sa voiture par exemple. Combien de nos lectures marquantes sont nées de ces hasards (objectifs ou non) : une suggestion qui arrive au bon moment.

Marie Sasseur dit: à

Si petitix chienne de garde d’Edel, pense que je prétends être spécialiste de Th. Bernhard, cette boursouflée se trompe. Je préfère Jelinek.
J’ai juste lu « le neveu de Wittgenstein ». Ce que d’autres ici, qui ramènent leur grande gueule, n’ont pas fait !

et alii dit: à

BIEN QUE S.TISSERON NE SOIT PAS UN GOurou (du moins pour et autour de moi, il a répondu à une question de professionnels: »
« ils les enfants) ne sont pas accro à leur téléphone mais accro à leurs amis. Ils communiquent par téléphone, tout en étant côte à côte, pour empêcher les adultes d’entendre leurs conversations. Ils développent aussi une intimité d’écran autour de leurs centres d’intérêts communs.
ce que j’ai trouvé en m’intéressant à la réponse d’un homme qui m’a dit soudain en s’accrochant à son smartphone: »c’est mon ami »
bonne journée

x dit: à

DHH, j’ai pensé à vous en lisant Les Dissemblables Guy Braibant et Michla Gielman écrit par leur fille Sylvie Braibant : il m’a semblé que ce livre serait susceptible de vous intéresser à plus d’un titre (Bloom aussi peut-être ?) Ceci n’est évidemment pas une « prescription », je vous en parle en passant, comme je le ferais si nous nous connaissions « dans la vraie vie ».

Le nom Braibant vous dit forcément quelque chose, mais jetez un coup d’œil à l’article de Sonia Combe sur En attendant Nadeau pour vous faire une idée de l’ouvrage en question :
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/10/25/difference-classe-braibant/
(j’espère qu’il n’y a pas d’ennemis ou du moins de mauvais souvenirs professionnels dans le lot.)

En ramant un peu on pourrait même se rapprocher du sujet : on découvre de beaux témoignages d’amis du couple, et surgit incidemment la question des amitiés divisées lors des divorces (même les amis qui ne veulent pas prendre parti peuvent se retrouver associés malgré eux à une période de la vie avec laquelle l’un des ex-époux souhaite « rompre » aussi). Cela ne fait pas l’essentiel du livre — qui ne rentre pas dans la catégorie « Littérature » mais que l’écriture ne le dessert en aucune façon : plume alerte, comme on dit, récit vivant, personnages attachants et la mise en évidence du rôle joué par Le Point (pas sa rubrique littéraire).

Jacques dit: à

Un grand bonjour à Delfeil De Ton.

DHH dit: à

@renato
Soit
c’est sans doute ce qui reste de mon latin ,devenu desormais lacunaire et indigent, qui a donné à mes yeux un air grammaticalement incorrect à vôtre citation

et alii dit: à

« . Le mobile, cette petite boite précieuse n’a pas pour seule fonction la communication pure. Il s’est intégré dans la gestualité contemporaine du téléphoniste mobile en devenant son ami intime et un remède efficace contre la solitude. Les jeunes rencontrés montrent à quel point le mobile révèle l’identité de son utilisateur et combien les discours des usagers illustrent la thèse de l’énonciation de soi à travers les différentes stratégies de personnalisation de l’objet.  »
https://www.cairn.info/revue-les-enjeux-de-l-information-et-de-la-communication-2010-1-page-1.htm

Paul Edel dit: à

Ce qui est passionnant dans « Le naufragé » de Thomas Bernhard, c’est de montrer que trois jeunes fous de piano, » trois étudiants en musique fanatiques » selon les mots de TB, admis au Mozarteum de Salzbourg, tous admiratifs du maitre Horowitz, tous trois donc sur la même ligne de départ en qualité de pianistes ayant un grand avenir, deviennent bien sûr, des rivaux au fil du temps. Comment, des amitiés se détériorent par la rivalité professionnelle. Quel beau sujet. La suprématie de Glenn Gould reconnue par les deux autres devient leur tourment, va pourrir leur amitié de départ. C’est un des grands textes littéraires sur les amitiés qui tournent mal, au fil du temps… Et comment ce Wertheimer est devenu insupportable pour les deux autres.. Et pourquoi son suicide de l’un des trois ? C’est là que l’intelligence de Thomas Bernhard se manifeste :il remonte à l’enfance de Wertheimer, analyse ses rapports difficiles puis intenables avec sa famille, et ses liens étroits si compliqués avec sa sœur. Il analyse les motifs de sa dépression. Pour compléter, il montre que les relations personnelles de chacun des trois pianistes face au piano et face au public sont divergents. C’est vraiment un texte magistral dans lequel la passion musicale de Thomas Bernhard s’épanouit. En même temps, et que, comme toujours chez TB il traite impitoyablement les causes de ce qui a séparé trois amis. La traduction de Bernard Kreiss est parfaite.

et alii dit: à

pourquoi des amis dans scènes de la vie conjugale de BERGMAN ?

Patrice Charoulet dit: à

L’énigmatique malaise vagal

Je viens de passer ce samedi sept heures aux urgences…pour un énième malaise vagal.
Dans mon gros dictionnaire Larousse il y a trois lignes sur le malaise vagal qui n’éclairent personne.
Je ne fume pas, je ne bois pas d’alcool, mon alimentation est diététiquement étudiée et je ne commets aucun excès. Mon analyse de sang annuelle est parfaite à tous égards. Pas de diabète, pas de cholestérol, aucun surpoids, aucune insomnie, jamais mal à la tête , pas de douleurs,jamais de fièvre, je marche sans canne, je n’ai pas d’appareil auditif, ni anxieux ni angoissé…
Malgré cela sept heures aux urgences. Je tiens à saluer le personnel hospitalier parfait : Bon accueil,
gentillesse des brancardiers, des aides-soignantes, des infirmières, des médecins. Info incroyable pour qui n’est jamais allé aux urgences pendant le week-end : le laboratoire qui analyse le sang travaille pendant la nuit de samedi à dimanche, et le dimanche. J’ai pu bénéficier d’une pièce pour moi tout seul. D’autres moins chanceux, sont restés sur leur brancard dans les couloirs. Idéalement, il serait à souhaiter que dans les hôpîtaux, il y ait assez de place pour qu’aux urgences nul ne reste dans un couloir sur un brancard .
Bien sûr, en ayant fourni ma carte vitale, ce séjour hospitalier ne m’a pas coûté un centime.
Deux amis, à la lumière de leurs expériences en matière de malaise vagal m’ont donné plusieurs informations utiles sur ce qu’on peut faire chez soi en cas de malaise vagal. Je les en remercie.

Mais je maintiens que le malaise vagal est…énigmatique.

Marie Sasseur dit: à

Je zappe petitix, vieille bourrique qui tourne en rond.
Je reste toute émerveillée de lire son menteur adapter ses commentaires à mesure qu’on lui refile des liens pour le faire.

Des cadors, ces gaziers.

et alii dit: à

Rilke:
Ô mes amis
Ô mes amis, vous tous, je ne renie
aucun de vous ; ni même ce passant
qui n’était de l’inconcevable vie
qu’un doux regard ouvert et hésitant.

Combien de fois un être, malgré lui,
arrête de son oeil ou de son geste
l’imperceptible fuite d’autrui,
en lui rendant un instant manifeste.

Les inconnus. Ils ont leur large part
à notre sort que chaque jour complète.
Précise bien, ô inconnue discrète,
mon coeur distrait, en levant ton regard.

Bolibongo dit: à

et alii dit: à

QUELQU’UN A-T-IL DEJA CONNU DE VRAIS « WERTHEIMER » ?
,moi, oui

D’accord, mais où est le lien google?

Bolibongo dit: à

Comprenez bien, et alii, je ne vous engoogle point, c’est simplement pour notre meilleurs compréhension du sujet ici exposé.

x dit: à

MS, vous avez tout à fait le droit de préférer un auteur à un autre.
En revanche, n’avoir lu qu’UN ouvrage d’un auteur donné — ce qui n’est pas une tare en soi — ne permet pas de juger de la continuité (ou non) entre les différents livres d’un même auteur, de la persistance et du retour des thèmes et de leur traitement.
La simple consultation d’un résumé de l’intrigue ne remplace pas la lecture d’un texte et ne donne pas le droit de faire la leçon à ceux qui, eux, l’ont lu (d’autant que l’intrigue je joue pas toujours un rôle central et déterminant dans tous les types de romans).
C’est cela qu’on vous reproche : croire qu’il suffit de se renseigner un peu (clic clic) pour connaître et comprendre, et insulter vos têtes de Turc en vous appuyant sur une « autorité » de rencontre.

Sous prétexte que le « matériau » de la littérature est le langage, vous pensez qu’il y fonctionne de la même façon que dans la communication ordinaire et que l’important c’est « l’information » que l’on retire — que ce soit d’une conversation, d’une recette de cuisine, d’un article d’actualité ou d’un roman. Vous faites preuve d’une conception utilitaire et moralisatrice (versant dérive biographique) de la littérature et vous passez complètement à côté de la littérarité des œuvres — et par conséquent de la différence en une œuvre et un produit de l’industrie culturelle.

C’est cette ignorance que je combats, parce qu’elle est largement répandue et que la bêtise satisfaite et péremptoire que vous manifestez contribue à la renforcer chez les autres, leurrés par votre aplomb.
Bêtise choisie, parce que vous refusez l’humilité initiale (ce « savoir que l’on ne sait pas ») préalable à un apprentissage (mais encore faudrait-il accepter de reconnaître qu’il y a une discipline à part entière, avec des règles et des savoirs spécifiques).

Si je vous donne l’impression de « tourner en rond », c’est que vous ne comprenez pas ce dont je parle (ce dont parlent d’autres aussi, mais je ne peux pas m’exprimer à leur place). Vous ne soupçonnez même pas que l’on puisse attendre d’un texte autre chose que ce que, vous, vous en attendez, ni aborder les textes littéraires autrement que vous le faites — cela ne signifie par pour autant que vous occupiez une position de surplomb.

renato dit: à

Der Untergeher : naufragé pour sous-fifre ?!

Wertheimer curieuse choix du nom car, industriels bien à part, Max W. s’est posé la question de savoir comment nous percevons et réagissons au monde extérieur (Gestalt).

et alii dit: à

merci, x;
il me semble avoir déjà envoyé un autre lien mentionnant celui que vous signalez, essentiel, bien sur

Patrice Charoulet dit: à

A toutes les élections, je suis favorable au scrutin majoritaire à un tour

Quels que soient ses inconvénients, c’est le système qui me paraît le plus juste. L’emporte celui qui a le plus de voix.

Le scrutin uninominal majoritaire à un tour est le système électoral pour lequel il est le plus simple de déterminer l’option gagnante à partir des votes.
L’électeur doit choisir un candidat parmi plusieurs. On compte alors le nombre de voix obtenues par chaque candidat. Celui qui recueille le plus de voix (majorité relative) remporte les élections.
Utilisation
Ce système de vote est utilisé pour l’élection du président de la République dans certains pays (Corée du Sud, Islande, Taïwan…). On le retrouve aussi lors d’élections parlementaires ou législatives dans le vote par circonscriptions comme au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Canada.

Marie Sasseur dit: à

petitix, c’est la glu. Non seulement comprend pas que ses enculages de mouches ne m’intéressent pas, mais veut à tout prix les présenter comme  » incompréhensibles »

Non. Très cucul, emberlificotés d’une verbeuse qui se regarde ecrire; et surtout sans intérêt, ses posts, quand ils ne se pas adoration pour Edel, pleins de mesquinerie étriquée.
Bref de la glu.

Marie Sasseur dit: à

Cette connasse parle d’ignorance, en plus. Elle ose tout. Encore une donneuse de leçon qui fait du gras avec nos impôts.

Marie Sasseur dit: à

@La traduction de Bernard Kreiss est parfaite.

Bah voyons.

Preuve que non, déjà le titre, le naufragé, est une trahison.

closer dit: à

« La France se déglingue. Pire, elle présente les signes d’une tiers-mondisation galopante. Pénuries alimentaires et de médicaments, dégradations des services publics, détérioration des villes, délitements industriel et politique, explosion de la violence et de l’immigration illégale… Bientôt, notre société n’aura qu’une caste de puissants et une masse de misérables. »

Début d’un article d’Elisabeth Lévy dans Causeur…

Une anecdote parmi d’autres:
Paris 2022 dans un quartier moyen bourgeois, ni le Champs de Mars, ni la Porte de la Chapelle. Un cabinet médical comptait quatre médecins, trois généralistes, un spécialiste. Au premier janvier 2023, il n’y en aura plus un seul, ni aucun soignant, ni kiné, ni sage-femme, personne. Aucun généraliste n’accepte de prendre de nouveaux patients dans ce même quartier. Je répète, nous sommes à Paris en 2022…

Ah ,j’oubliais: 369000 étrangers en situation irrégulière bénéficiaient de l’Aide Médicale d’Etat en 2021, chiffre en hausse constante, soins gratos…

closer dit: à

Soyez un peu moins parfait Monsieur Charoulet, apprenez à apprécier le bon vin de temps en temps, un bon whisky, un bon calva puisque vous êtes en Normandie…Vous verrez, vous irez beaucoup mieux!

Jacques dit: à

« Je grossis, je deviens bedaine et commun à faire vomir. Je vais rentrer dans la classe de ceux avec qui la putain est embêtée de piner ».
Gustave Flaubert le 10 février 1851.

Jacques dit: à

Ce closer, petit facho de poche, mini-raciste de pacotille, triste figurine extrême-droitiste qui écume ce blog de ses insinuations grotesques et mesquines et qui n’a jamais eu le courage d’assumer ses positions identitaires ouvertement.
Pauvre et immonde bébête brune va…

et alii dit: à

ce tableau est vraiment impressionnant ,équilibré parla main et l’épée verticale à angle droit;j’ai lu qu’on le disait un portrait de MONTAIGNE? MAIS NON UNE ANALYSE le justifiant; je ne vois pas comment on peut justifier cette « identification »;Montaigne n’aurait-il pas le fameux collier
https://ultreia.pagesperso-orange.fr/montaigne.htm

et alii dit: à

A PROPOS DE MONTAIGNE, STAROBINSKI ECRIVIT:
« : « La Boétie était pour Montaigne un autre lui-même et lui permettait d’avoir une connaissance immédiate de soi. […] Dans cette recherche de l’intégrité de son moi, les Essais jouent le rôle de l’ami disparu ».

Marie Sasseur dit: à

le commentaire de l’illustration du billet est en rapport avec une restauration discutable, dont la question de fond est « fond noir ou fond gris » .

Mais le sujet de départ pour cet hommage à un ami , porte sur le modèle du tableau du Greco, dont l’identité ne serait finalement pas attestée.

« L’identité du modèle est restée longtemps ignorée mais on considère aujourd’hui qu’il s’agit de Juan de Silva y Ribera, IIIe marquis de Montemayor, qui fut chef militaire de l’Alcazar de Tolède[2]. Cependant, depuis peu, une autre hypothèse a été avancée. Ce portrait pourrait représenter Miguel de Cervantes[3],[4]. »
Wikipedia

DHH dit: à

@X
Merci
J’ai lu l’article que vous m’avez signalé
J’y ai découvert qu’il y avait derrière l’un des auteurs des « Grands Arrêts » un homme, avec son histoire particulière au sein d’un couple peu ordinaire et fort attachant
A la lecture de l’article ,Il me semble que sa femme et lui ,si eloignés par leurs milieux d’origine, étaient en fait moins dissemblables que ne l’indique le titre de ce livre ;en effet ils etaient formatés tous deux par le parti communiste dans sa période triomphante qui imprimait sa marque dans tous les aspects de la vie de ses ouailles
Il me semble- mais je rappelle que je n’ai pas lu le livre – que ce qui differencie les deux epoux c’est moins un fossé de classe du a leurs origines sociales tres differentes certes ,mais oubliéees dans le creuset ideologique commeun , Ce serait plutôt une difference de caractere entre un femme discrete modeste et effacée , qui « fait » et n’ en parle pas , et un homme qui se délecte d’etre un personnage
Je n’avais aucun souvenir ,si tant est que la presse s’en soit fait significativement l’echo ,de disgrâce qu’a connu ce grand juriste ,et qui l’a empêché d’occuper la place que son exceptionnel talent devait lui conferer .C’est un exemple parmi d’autres de l’ostracisme discret et sournois qui a frappé pendant des années les hautes fonctionnaires communistes
De sorte qu’apparemment – et peut-être la lecture du livre peut corriger cette impression – l’imprégnation juive de leurs vies respectives a eu peu de poids dans la construction de leur identité

et alii dit: à

la note de wiki rapporte que « la ressemblance du personnage peint serait frappante », mais déplore aussi le manque de références !
ceci dit, ce n’est pas « l’identification » qui suscite l’admiration du tableau!

Marie Sasseur dit: à

@ceci dit, ce n’est pas « l’identification » qui suscite l’admiration du tableau!

ce qui suscite l’admiration du tableau, c’est l’effet produit sur ceux qui le regardent.

Marie Sasseur dit: à

@ceci dit, ce n’est pas « l’identification » qui suscite l’admiration du tableau!

Non, mais c’est cette identification hasardeuse qui sert d’alibi à l’enquête romanesque.

Marie Sasseur dit: à

@Vidéo qui peut intéresser : Fonds pour un Chevalier

Très intéressant, ces cinquante nuances de gris.
Même la signature du Greco a disparu.
Decidement, c’est pas dans la conservation d’art qu’on trouvera des Grands d’Espagne.

Patrice Charoulet dit: à

@closer

Je n’aime ni le goût du vin, ni le goût du whisky, ni le goût du calva…Je doute que ces trois boissons soient un remède contre le malaise vagal.

et alii dit: à

@ce qui suscite l’admiration du tableau, c’est l’effet produit sur ceux qui le regardent.
un peu de « logique;
l’un des effets produits est l’admiration!

D. dit: à

Monsieur Charoulet, il est possible que vos malaises vagals se déclenchent lorsque le taux de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère atteint un certain niveau. Surtout dans une pièce bien chauffée. Je ne parle pas du CO, le dangereux voire mortel monoxyde de carbone, mais du CO2 rejeté par la respiration ou généré par une combustion correctement alimentée en oxygène.
Donc question toute simple : aérez-vous suffisament vos pièces, tant en durée (minimum 10 minutes) qu’en fréquence (1 fois le matin, une fois l’après-midi, une fois le soir) ?

Patrice Charoulet dit: à

@D

Ma chambre est bien aérée et la température est de 18°.
Merci de tenter de m’aider.

Patrice Charoulet dit: à

Le clash Hanouna-Boyard

Sur le clash Hanouna-Boyard, un commentateur du blog de Philippe Bilger vient d’écrire ceci :

.  « Je n’ai jamais regardé les émissions de ce personnage, je ne connais pas Louis Boyard et je n’éprouve aucune tendresse particulière pour les communistes.
Mais il y a là une fausse équivalence. Refuser de saluer des députés du RN est certes une insolence, mais elle est légère et c’est un acte politique.
En revanche, l’explosion de haine de Hanouna n’est pas seulement une insondable grossièreté : c’est le signe que cet homme est un bandit, c’est tout.
S’il a montré son vrai visage face à Boyard, c’est que ce dernier a osé dire du mal de son patron. Il ne faisait donc que défendre ses émoluments considérables. Il faisait aussi savoir à son contradicteur que quiconque ayant travaillé une fois pour lui était son esclave pour la vie.
Accessoirement, il prévient tout le monde qu’il n’y a aucune liberté d’expression sur son plateau et qu’on n’a pas le droit de critiquer le propriétaire. Ce qui est une singulière conception d’une émission politique.
Hanouna se révèle comme un chef mafieux, un petit dictateur de poche, enfin quelqu’un dont on ne voudrait pas pour nettoyer ses toilettes — ne parlons pas de diriger une émission de grande écoute.
J’ignore quelles sont les règles en vigueur dans l’audiovisuel, mais je crois comprendre qu’il y a des bouzins administratifs qui sanctionnent les « dérapages ». À partir du moment où ils existent, cette émission devrait être purement et simplement interdite, et son animateur contraint à aller vendre des vêtements sur les marchés. C’est davantage dans ses cordes.
Je me moque bien de savoir si Hanouna, C8 ou Bolloré sont à droite, à gauche ou au milieu. En l’occurrence, ils sont surtout dans le caniveau. »

et alii dit: à

merci, renato, pour cette video !

Marie Sasseur dit: à

Et Al, je m’en tape totalement de ce tableau du Greco, mais à voir l’effet que produit sur ceux qui sont en admiration devant, je vois pas trop de logique, ou alors c’est la rareté d’œuvres remarquables qui fait cet effet là, dans un pays historiquement si pauvre en ressources culturelles et intellectuelles.

rose dit: à

Connu Wertheimer, non.

et alii dit: à

evidemment, je n’ai pas dit les choses comme je les pense, à savoir que:
« ce qui suscite l’admiration du tableau, c’est l’effet produit sur ceux qui le regardent. » ne veut rien dire , en tout cas ne veut pas dire ce que vous prétendez faire dire à propos de « l’admiration »de tel ou tel tableau, livre,

Marie Sasseur dit: à

ce qui suscite l’admiration du tableau, c’est l’effet produit sur ceux qui le regardent.

Cela fait sens pour moi.

et alii dit: à

excusez moi de « glisser » vers la question de la vérité;j’avais pensé à un mot de PICASSO récemment auquel j’en substitue un autre de Picasso, encore,
 » L’art est un mensonge qui dit la vérité » »
bonsoir

renato dit: à

L’œuvre d’art peut être restaurée selon l’instance de l’historicité ou selon l’instance esthétique, ce sera la conscience qui justifiera la voie à choisir. Brandi cite comme objet le « ruine », c’est-à-dire un vestige qui a perdu une grande partie de son apparence et reste comme matière, comme document historique. Dans ce cas, seule l’opération de consolidation et de conservation est applicable. Les ajouts effectués au fil des siècles doivent être conservés en tant que témoignage de civilisation d’une période historique donnée. En effet, le jugement d’une œuvre artistique dépend également du goût du moment historique de celui qui la regarde : la campagne romaine a été jugée sur des aspects différents des classicistes que des romantiques. Une grossièreté est cependant un surplus d’œuvre d’art qui peut être restauré selon l’instance esthétique, tout en ayant perdu son unité. Dans le cas d’ajouts, il faudra évaluer s’ils dénaturent ou défigurent l’œuvre, puis décider de les laisser ou de les supprimer. L’instance historique entre ainsi en conflit avec l’instance esthétique et il faudra évaluer celle qui a la plus grande prévalence. Les ajouts qui ont acquis une valeur d’unité ne doivent pas être supprimés car ils modifieraient l’œuvre dans son unité totale.

Un autre problème est la conservation de la patine car il faudra comprendre dans quelle mesure elle prévaut sur la structure et la forme de la matière, car elle est comme une « sourdine » qui étouffe le sens de l’image, et donc décider du degré de tolérance sur lequel on peut intervenir. Elle ne doit pas être complètement supprimée car elle annulerait le passage du temps sur l’œuvre.

Source wiki en italien, page Théorie de la restauration

rose dit: à

Mais je maintiens que le malaise vagal est…énigmatique.

Patrice Charoulet

Sur l’accueil aux urgences, entièrement d’accord avec vous topissime, aides-soignants, infirmières, médecins urgentistes brancardiers, pompiers…

Sinon, le malaise vagal n’a rien d’énigmatique : c’est la seconde fois que vous en parlez ; pour en avoir fait trois, ai eu des explications et m’étonne que vous, non.
C comme les plombs qui sautent dans une installation électrique. Ou bien une déconnection faite par votre psychisme pour sauver votre corps.
Le but étant de vous protéger.

Votre corps débranche de votre tête, vous fondez, vous vous écroulez sur vous-même comme une marionnette. Ce n’est pas un évanouissement et vous restez tout a fait conscient. Vous entendez aussi, ce qui se passe.

Quelque connard* bien atteint croit que l’on se programme soi-même un malaise vagal, ou que l’on le mime.
Non.
C une pathologie précise qui témoigne d’une extrême souffrance.
Récemment, j’ai demandé à mon médecin de famille si le cardiologue l’avait noté le troisième : oui, il l’a noté dans son compte-rendu.

Patrice Charoulet : c’est un signal dont il s’agit de tenir compte.

* Nota bene : le fait de ne pas être encore descendu de l’arbre n’autorise pas autrui, moi-même, a traiter le perche de connard. À mon corps défendant c pck il était partie intégrante du premier malaise vagal. Signifie a l’origine.

Cherchez.
Votre tête vous donnera les réponses (ensuite, on est reconnectés, ita est branchés corps et tête, oui, oui. Joyeux, non ?)

renato dit: à

le « ruine » > LA « ruine »

rose dit: à

le perché.

Ni a le mépriser.
C une très grosse carence : chacun a les siennes.

rose dit: à

à le mépriser

Pffff.

J J-J dit: à

@ pour ce qui vous reste à vivre, on se demande si vous ne seriez pas éligible à la fibre, par hasard. –
Jmg va nous revenir bientôt, pas de soussi. – Et la chiasse passera, comme toujours, c homéostatique. – évidemment, je n’ai pas dit les choses comme je les pense, ataliie, mais une chose est sûre : l’organisme vivant le plus long qu’on ait répertorié sur la terre vous ressemble, c’est une posidonie. Pmlus d’un km huit, ce qui nous amène au rêve de la baleine marron à l’ambouchure du St Laurent… On pouvait tout à fait lui marcher dessus, comme sur une poupée dégonflable, puis se rendre au coeur de la forét de Bure où l’on enfouira les déchets, et enfin, au « marché aux fleurs » de l’île de la cité, où le dahlia coûterait six euros cinquante, c pas donné.
Bàv,

rose dit: à

Marie Sasseur dit: à
ce qui suscite l’admiration du tableau, c’est l’effet produit sur ceux qui le regardent.

Cela fait sens pour moi.

Ce soir, comprends pas bien. Je reprendrai demain.
C’est tellement individuel et tellement autonome.

rose dit: à

marché aux fleurs » de l’île de la cité, où le dahlia coûterait six euros cinquante, c pas donné.

C plus cher que les poireaux. Et les navets. Las, las, las.

Bisous, je vais me coucher.
Flagada.

closer dit: à

Quels sont les arguments pour affirmer que « El hombre de la mano en el pecho » serait Cervantes?
Ce serait vraiment trop beau!

rose dit: à

Marie Sasseur dit: à
« Edel qui manifestement a illustré son idée bien » mondaine » de l’amitié, faite de jalousie, et de regards de travers. »

Soyons précis, pour les enculeurs de mouche, comme petitix:

Edel « raconte » dans son commentaire ce qu’il a retenu d’un bouquin de Th Berhard (le naufragé) en le présentant comme une « histoire d’amitié « , le prétend-il.

Or qu’en est-il exactement ?

Chacun pourra se faire » une idee » de l’amitié selon Edel, dont pour ma part je ne voudrais à aucun prix !

« Essayons de dégager la structure fuguée du Naufragé :

L’exposition : trois jeunes gens se rendent à une master class de piano à Salzbourg, dirigée par un musicien hors pair, Horowitz.
Le sujet : Glenn Gould, jeune, se révèle être déjà un interprète au génie inégalable.
Le contre sujet : le Narrateur, face à une telle perfection musicale préfère renoncer plutôt qu’être en deçà du « point culminant » atteint par Glenn Gould.
L’imitation : Wertheimer, troisième protagoniste de cette lutte pour être le premier est d’emblée « anéanti » par Glenn Gould mais il hésite longuement avant de choisir de renoncer.
La conclusion : le suicide de Wertheimer, aboutissement logique de la spirale d’échecs dans laquelle celui-ci s’est engagé. »

https://www.theatre-contemporain.net/spectacles/Le-Naufrage/ensavoirplus/

13/11/2022, 8h16

Pas compris où est le blème.
C’est exactement comme cela que Paul nous a raconté l’histoire, non ?

Marie Sasseur dit: à

@C’est exactement comme cela que Paul nous a raconté l’histoire, non ?

Non

closer dit: à

Emouvant concert du West Eastern Divan Orchestra sous la direction de Barenboïm donné en 2005 à Ramallah rediffusé sur Arte en fin d’après-midi.
Longtemps j’ai été hostile à Barenboïm pour une raison particulièrement stupide…Lui, jeune et relativement peu connu, avait interrompu la série des grands chefs mondialement reconnus de l’Orchestre de Paris, Munch, Karajan, Solti. Mais l’évidence de son talent s’est imposée, notamment dans Mozart. Son courage pour imposer Wagner en Israël et créer cet orchestre Israelo-palestinien force le respect. A noter cependant qu’il n’a pu jouer qu’une fois en Palestine…

D. dit: à

Rose, ce n’est pas du tout ce que vous écrivez, le malaise vagal. La tension et le rythme cardiaque chutent brutalement. C’est ça qui provoque le malaise, lequel aboutit très fréquemment à une perte de connaissance totale au cours de laquelle le corps physique ne ressens plus rien. Je ne parle pas du corps astral, c’est un autre sujet qui sort du domaine medical.
Cette perte de connaissance est simplement due à l’insuffisance d’oxygène due au fonctionnement dégradé du du système circulatoire. Ce qui provoque, quelques instants précédant la perte de connaissance, des acouphènes, une diminution du champ visuel allant jusqu’au trou noir, une douleur généralisée (plus qu’une sensation de malaise, une souffrance cellulaire généralisée due au manque d’oxygène). La perte de connaissance a pour but de protéger le système nerveux et cardio-vasculaire en obligeant le relâchement musculaire consommateur d’énergie et d’oxygène, surtout en station debout. Mais restant assez importante en station assise.

D. dit: à

Le psychisme n’a strictement rien voir dans ce mecanisme.

Par contre : des émotions peuvent stimuler inconsciemment le nerf vague et déclencher tout le bordel que je viens de décrire. Avec un phénomène rétroactif d’amplification. La personne sent venir le malaise, l’émotion augmente, le truc tourne en boucle avec amplification de la stimulation du nerf vague. Émotion, appréhension pouvant par exemple être déclenchér par la vue du sang, même quand ce n’est pas le sien, ramèné par le psychisme à son propre sang.

D. dit: à

Eh bé oui. C’est comme ça.

D.. dit: à

Excusez-moi, Monsieur Charoulet, mais vous ne faites les malaises que dans votre chambre ?

D. dit: à

Ce soir j’ai mangé des moules.

D. dit: à

J’aime beaucoup les moules. J’attends toujours les mois en r pour en faire.
Pour la langoustine c’est le contraire. C’est l’été qu’on trouve les plus belles et les moins chères.

D. dit: à

Mais là en novembre c’est la moule qui va monter peu à peu en puissance

B dit: à

Je n’ai jamais regardé les émissions de ce personnage,

Moi non plus, pas plus de 30 secondes. Il ne change pas donc je continue de ne pas . Aucune personne sérieuse ne devrait accepter de se produire sur ce plateau. C’est vulgaire, c’est naze. Il en faut pour tout l’égout.

B dit: à

Je pensais que les malaises vagaux étaient uniquement déclenchés par l’ ingestion de nourriture ? T’as qu’à plus manger, et hop plus de problème, un visa pour l’Erythrée.

B dit: à

Mais l’évidence de son talent s’est imposée, notamment dans Mozart.

Mozart dirigé, Mozart par lui-même au piano?

B dit: à

A propos de pianiste, j’ai entendu Piotr Anderjeswzski je ne sais plus trop quand et bien que ne possédant qu’une pauvre culture musicale et une oreille de mauvaise qualité , j’ai pensé en l’écoutant qu’il avait progressé. Ou est-ce moi qui suis plus sensible à son jeu? La philarmonie de Paris l’accueille entre autres musiciens programmés le 22 novembre.

Pablo75 dit: à

Vidéo qui peut intéresser : Fonds pour un Chevalier
renato dit:

Très intéressante la vidéo, mais au fond elle ne répond pas à la question le plus importante: le fond original du tableau était noir ou gris? La comparaison, faite à la fin, avec d’autres portraits du Greco montrerait qu’il était gris. Pourquoi s’il ne faisait jamais des fonds noirs dans ses portraits (on peut en voir beaucoup sur le Net), il l’aurait fait dans celui-là? Ce n’est pas parce que des écrivains ont fait l’éloge du fond noir du tableau avant la restauration, qu’il est le fond voulu par le Greco. Quant à la signature, elle est toujours là, cachée mais pas difficile à récupérer dans la prochaine restauration.

Donc, beaucoup de bruit pour rien.

Cela me rappelle la polémique qu’il y a eu en Espagne après la restauration de Las Meninas par un américain. Beaucoup de monde trouvait que le tableau était plus beau avant son nettoyage, ce qui relevait du pur délire, pour ne pas dire de la plus pure mauvaise foi.

Tout cela est au fond très espagnol: d’un côté une façon de faire les choses bordélique, sans respecter toutes les règles, et en face des gens qui adorent transformer tout en polémique politique pour passer à la TV et se faire connaître. On remarquera que dans le documentaire on ne voit aucun expert dans la peinture du Greco exprimer son opinion sur « le scandale », alors qu’il y en a de très bons en Espagne. Par contre ce qu’on voit surtout c’est des politiques se taper dessus avec une excuse artistique.

B dit: à

Qu’est devenu l’élément qui semble être de mobilier derrière le personnage, noir sur fond noir, à droite quand on regarde, à hauteur du bras?

B dit: à

Et puis non, pas de livre. Les couleurs sont néanmoins différentes. Il faudrait avoir vu le tableau avant sa restauration . Trop tard!

rose dit: à

Lundi 14 novembre 2022 6h31
G eu du mal, mais je le vois clairement le livre calé sous son bras, sur la dernière reproduction, B.

rose dit: à

Tout cela est au fond très espagnol:

Hey, Renato, vous savez ce que l’on vous dit, nous les suisses, à vous les milanais ?

Olé

rose dit: à

nous les espagnols

rose dit: à

Vu la ricotta de Pier Paolo Pasolini.
3 ème sketche sur 4 censuré pour blasphème par la censure italienne à sa sortie en 1964.

rose dit: à

Fait partie de RoGoPaG

Quatre histoires courtes. Dans `La pureté’ de Roberto Rossellini, une hôtesse de l’air tente de préserver sa virginité. Jean-Luc Godard imagine Paris guetté par le péril nucléaire dans `Le nouveau monde’. Pasolini présente `La ricotta’. Dans `Le poulet de grain’, Ugo Gregoretti évoque les mirages de la publicité et des achats à crédit.

rose dit: à

Dans le film, Stracci joué par Marco Cipriani, est le bon larron crucifié sur la croix au côté de Jésus et qui rejoindra le paradis je ne sais trop pourquoi.
Il est affamé.
Hier soir, j’avais mangé en voiture une grosse pomme Granny et un joli petit pain rond avec du fromage, pas eu le courage de faire chauffer la soupe, mais allumé le poêle à bois. Bu du lait, un grand verre et au lit.

rose dit: à

Laissons la Passion de côté, gaie et colorée. L’histoire de Stracci est géniale.
Moi, je crois beaucoup de choses de travers, ma maman elle, sait. Beaucoup plus que moi mais très différemment. Hier elle a choisi un sloop et moi un (une ?) yawl, pour notre voyage autour du monde en bateau, hors course du rhum parce que la maman m’a dit « y a toujours eu beaucoup de casse dans la course du rhum ».
Nous, non. Lorsque nous n’avions, nous ne cassons rien et surtout pas le bateau.
⛵ Le mien s’appelle Belle de Rio. Il est de 1957. C’est le hasard.
Le sien est magnifique. Et même superbe. Plus haut, les plats bords, plus large, les deux pontés de bois. Face à la Criée.

Un est à vendre. Nous ne l’avons pas choisi.

Stracci, donc, court toujours, à la recherche de à manger.
C bien d’avoir une opinion différente d’autrui, parce que c’est là que tu apprends. Sinon, tu ronronnes bêtement.
Le chien, j’aurais cru qu’il l’aurait mangé. Ou, en tout cas, eu l’ intention.
Pas du tout. Il le prend dans ses bras. Accablé, assis, il le caresse en le morigérant. Il y a de quoi.
Il aurait pu le passer à la broche.

Second erreur : en attendant, il court, il court, il court, comme un dératé (ma mère et moi naviguons sur les flots, durant ce temps, dans deux bateaux différents, le sien bien plus beau que le mien).

Pourquoi courir ?
Stracci court pck il a faim.
Je ne vous raconte pas les détails parce que sinon, inutile de voir le film.

rose dit: à

lorsque nous naviguons (salaud de correcteur qui se prend pour qui ?).

rose dit: à

Seconde erreur : convaincue, je l’ai été tout le temps qu’il court, et il court longtemps, bordel, même si les images sont en accéléré.
Convaincue que ce qu’il allait chercher à manger c’était pour l’apporter à sa famille affamée femme et gniards, chaque fois que tu baises, ta femme est en cloque.
Et bien macache.
La ricotta énorme elle est toute pour lui.
Il ne la mange pas, il la dévore, il l’engloutit, il se goinfre.
Je n’ai pas vu le passage où ses copains, qui se foutent pas mal de sa gueule, il joue le rôle du martyrisé, in situ, c’est un voleur. Mais brave, couillon, mais brave. Où ses copains refusent de le détacher de sa croix.
Il meurt. D’indigestion. Sur la croix. Après s’être mis à rêver de banquet.
C’est une parabole.
La même que mon papa, avec son Assurance-vie chez Prépar-Vie, pleine à craquer, à s’en faire claquer le péritoine, seul, sans avoir été conduit par la main semaine après semaine, chaque semaine un acte précis, préparatoire et prémedité, a donné à deux, privant la troisième, moi, de sa part. D’un tiers donc.

Celui qui n’est pas descendu de l’arbre dit  » il n’y a pas de trace ».

On sait pourtant. Stracci sait. Il s’en est pété le ventre de sa ricotta.

Difficile, rose, de faire parler les morts, puisqu’ils sont morts.
Oui, mais, vivant, mon père m’avait informée sur ses six assurance-vie dont il ne reste que cinq.
Et la moitié de ses économies sont à ma maman puisqu’ils sont mariés en communauté de biens.
Mon père, en cinq mois, qui a foutu 94 ans de sa vie en l’air et sa famille en ruines. Faut-il être faible ! Il était pourtant un excellent capitaine de bateau, passé par les Glénans et ma mère la meilleure second au monde (à mes yeux, bien plus courageuse que le capitaine, mais c’est un point de vue personnel et subjectif).
Le 6 décembre 2022, aurai une première réponse de la cour d’appel d’Aix en Provence. Le 4 janvier 2023 une seconde du tribunal judiciaire de Digne les Bains.
Je suis bien surprise que le tiers volé à l’enfant du milieu serve autant à payer les frais d’avocats. Frais énormes.
C’est un choix.
Enfant devenue une adulte, avec grandes difficultés ; enfant qui a pris 20 ans en quatre ans au point que communément, hier encore, on me prend pour la soeur de ma mère, 88 ans, ou sa bonne amie. Hier encore ai dit  » je suis sa fille ».

rose dit: à

Vu aussi de Pier Paolo Pasolini La rabbia.

Pas tout compris, très compliqué mais mes amis italiens m’ont expliqué : lorsque tu as la rage au ventre, tu n’accède pas à la liberté.
Mon psychiatre me l’avait expliqué, la haine, cela te fait de la rouille à l’intérieur du ventre, et tu te corrodes de par l’intérieur.

Ce n’est pas mon cas, parce que j’ai une conscience extrême de ma liberté, chérie.

Cordialement,

rose dit: à

Janssens J-J et Jazzi,

Je dois vous le dire, Pasolini est un génie.

Nota : je pense que mes amis italiens commettent une erreur (ils ne connaissent pas Orson Welles) : ils pensent que l’assassinat sur la plage à Ostie (hostie ?) est dû au fait qu’il montrait ce qu’il ne fallait pas montrer de l:Italie (avec 50 ans d’avance sur les autres).
Moi je pense que c’est un assassinat purement sexuel.
Mais, je ne suis sûre de rien, sauf du fait que c’est un génie.

Bonne journée,

rose dit: à

Quelques notules sur les faits d’hiver :

L’hôtesse de l’air de Rossellini ne voyage pas avec Albert de Monaco.
Hanouna ses excuses : on le savait et lui a donné sa propre confirmation c’est un minable, et ce qui est fait est fait. Ma mère m’a dit tout de suite « ils ne rendent pas l’argent ». Moi je le sais depuis trente ans la plaie que représente le pognon, depuis que je sais, à mon corps défendant que, entre l’amour et l’argent, tu as choisi l’amour. Tu parles tout le temps de moi, et mes amis italiens t’ont rencontré, moi à midi ma journée est passée aux trois-quarts, toi tu émerges seul, tu marches dorénavant en ne décollant pas les pieds du sol, ta carte bancaire dans ta poche.
Je ne suis plus là.
Et, je n’ai plus de famille, ou si peu.
Ce sont vos choix : l’argent, l’argent, cette plaie. J’ai trente ans d’avance sur vous.

(C’est cela, bilou, avoir vécu : c’est comprendre le monde alors que les autres en sont aux balbutiements.). Cela te donne de longues coudées d’avance, ce qui te permet de ne pas courir, puisque tu es loin devant.
Bilou, l’horrible filou au coeur tendre. Un Cantalou d’opérette.

renato dit: à

Je n’ai jamais écrit « Tout cela est au fond très espagnol », rose. Ai mis en ligne :
— une vidéo made in Espagne relative à la restauration en 1996 de « Le Chevalier à la main sur la poitrine », par Le Greco.
— un lien vers la page wiki « Théorie de la restauration »
— un extrait de la page wiki citée mais en italien traduit par moi*.

L’œuvre d’art peut être restaurée selon l’instance de l’historicité ou selon l’instance esthétique, ce sera la conscience qui justifiera la voie à choisir. Brandi cite comme objet le « ruine », c’est-à-dire un vestige qui a perdu une grande partie de son apparence et reste comme matière, comme document historique. Dans ce cas, seule l’opération de consolidation et de conservation est applicable. Les ajouts effectués au fil des siècles doivent être conservés en tant que témoignage de civilisation d’une période historique donnée. En effet, le jugement d’une œuvre artistique dépend également du goût du moment historique de celui qui la regarde : la campagne romaine a été jugée sur des aspects différents des classicistes que des romantiques. Une grossièreté est cependant un surplus d’œuvre d’art qui peut être restauré selon l’instance esthétique, tout en ayant perdu son unité. Dans le cas d’ajouts, il faudra évaluer s’ils dénaturent ou défigurent l’œuvre, puis décider de les laisser ou de les supprimer. L’instance historique entre ainsi en conflit avec l’instance esthétique et il faudra évaluer celle qui a la plus grande prévalence. Les ajouts qui ont acquis une valeur d’unité ne doivent pas être supprimés car ils modifieraient l’œuvre dans son unité totale.

Un autre problème est la conservation de la patine car il faudra comprendre dans quelle mesure elle prévaut sur la structure et la forme de la matière, car elle est comme une « sourdine » qui étouffe le sens de l’image, et donc décider du degré de tolérance sur lequel on peut intervenir. Elle ne doit pas être complètement supprimée car elle annulerait le passage du temps sur l’œuvre.

Il faudrait donc remonter le fil pour trouver l’espagnol coupable… de ce crime de lèse-espagnolité…
Bonne journéé

14.11 — 8.07

rose dit: à

P.de B.de M.
Tu as choisi l’argent.
J’ai choisi l’amour.

Hé hé, hé hé, hé hé.
Pas folle, la guêpe.

Ils ne rendront pas, m’a dit ma mère, qui comprend tout.

rose dit: à

Sale espagnol
Et sales ritals.
Émigrés de mes deux.

rose dit: à

J’ai lu « c’edt tout a fait espagnol ».

En 2005, un bail, mon e lui-même qui m’a dit beaucoup de choses dont sa peur de l’eau, ce qui explique la bâche, m’avait pourtant bien prévenue.
Il m’avait dit
« Tu sais, l’argent tue l’amour  »
Mais il en sait beaucoup moins que ma mère, qui, femme de caractère, n’est sous l’influence de personne. Il en savait.

rose dit: à

2005, un bail, mon père lui-même qui m’a dit beaucoup de choses dont sa peur de l’eau, ce qui explique la bâche, m’avait pourtant bien prévenue.
Il m’avait dit, mon père
« L’argent tue l’amour ».

rose dit: à

Autant le dire, le fond plus clair, verdâtre, je l’aime bien. Du chevalier restauré.
Que sont deux ans et demi ? Une paille. C’eût ou être vingt ans voire plus.

rose dit: à

C’eût pu t’être.

Marie Sasseur dit: à

@Il faudrait donc remonter le fil pour trouver l’espagnol coupable… de ce crime de lèse-espagnolité…

Il faudrait peut-être commencer par regarder lz vidéo jusqu’au bout…

Aucune commission d’enquête ni collège international n’ont été requis sur demande
d’un élu. Pire, aucun dossier 3 restauration n’a été établi. Rn revanche cf tableau est devenu un enjeu fe politique intérieure.

Il branle quoi le milaniais, en balançant une vidéo qu’il dit  » intéressante  »

Fumiste.

Marie Sasseur dit: à

Pas le temps de corriger les fotes de frappe. Démerdé vous avec sa,

rose dit: à

Je reviens. Pourtant j’ai du boulot. Au boulot, rose.
Je reviens pour/sur le génie de Pasolini.
Louis Bertrand Basanega Bosonogo « mais Madame, vous mentez ou vous nous racontiez des histoires ? ». C’est tout vrai Louis Bertrand, le cadavre d’Albert* dans le jardin et Ötzi c’est vrai aussi.
*Je lui ai emmené la photo. C’était le squelette en fait.
Nota bene : je viens de mentir trois fois en une semaine, je crois que je vais mourir, j’ai des spasmes intestinaux.

Pasolini, en quoi est-il un génie ?
Dans la distribution des rôles et dans le choix qu’il fait de la narration de l’histoire.
Donner à Orson Welles -autre génie- le rôle du réalisateur du film sur la Passion, La Ricotta,q c’est prémonitoire excellent.
Secundo (Levi Primo), donner le rôle de Straccia au bon larron crucifié à côté du Christ, c’est tellement excellent ! En effet, il est éminemment sympathique et un triste filou. Si Pasolini avait donné le rôle de Straccia au mauvais larron qui ne se convertit pas (hein Gad !?…) et ne rejoindra pas donc le paradis au côté de Jésus, lorsqu’il lui arrive tous ces malheurs, nous, pauvre public impénitent et passablement arriéré, nous dirions, maugréant sois notre barbe « et bien tant mieux, c’est bien fait pour lui ».
Or, nous ne pouvons pas parce que nous sommes pris d’une énorme sympathie pour Straccia.

Je m’empresse de souligner que ce n’est pas mon cas dans ma vie privée : pas de rage, pas de haine, aucune sympathie.

rose dit: à

On va ce demerdez, comme sait kon poura.

rose dit: à

Renato
Crime de lèse-milanais.

rose dit: à

Renato

Ce vert bronze du fond est vraiment magnifique.

rose dit: à

Peut être que cet espagnol de mes deux, quel caractère ! est en train de lire le livre qu’il a volé au chevalier.
Voleur.
Assassin.
Pour la Catalogne libre !

rose dit: à

La première fois, lundi dernier, ai dit que xyz avait mis du thé dans la bouilloire ce qui n’est pas vrai.La seconde samedi matin, ai dit que j’étais allée chercher ce qui me manquait pour faire le moelleux à la châtaigne,.ce qui est faux, j’avais tous les ingrédients chez moi.
Et troisième fois, ce doit être hier, je me suis empressée d’oublier.
Trois fois d’affilée en huit jours, je dois redresser le cap.
C une habitude prise : tu ne le s jamais. Tu ne mens jamais
.
Chevalier.

Bolibongo dit: à

On a eu droit tout hier aux leçons du crétin des alpes.
La théorie (italienne), c’est bien, la pratique universelle, c’est mieux!
Comment distinguer (après la théorie) la nature qualitative d’un vernis sinon par l’expérience pratique?
Comment révèle t-on les faussaires sinon par l’étude circonstanciée des pigments?
Les faussaires, surtout des italiens en ce moment!

Marie Sasseur dit: à

« crétin des alpes. » dit le barbouilleur

Non, crétin de Kolmar.

Grazie

pourmapar dit: à

— une vidéo made in Espagne relative à la restauration en 1996 de « Le Chevalier à la main sur la poitrine », par Le Greco.

Ça, c’est vraiment sympa comme lien!

renato dit: à

C’est un honneur d’être traité de crétin par des deuxièmes m voir troisièmes couteaux.

Marie Sasseur dit: à

Et doublement.
Que lit-on dans le lien en commentaire du billet ?

On lit ça :
30/12/2011

Actualizado a las 04:19h.

En España tampoco nos hemos librado, ni mucho menos, de polémica con las restauraciones de las obras de arte. La más sonada fue la del «Caballero de la mano en el pecho», de El Greco, una de las obras más célebres del Museo del Prado. En 1996 se presentó al público tras su restauración, pero cuál fue nuestra sorpresa al contemplar que el fondo del cuadro no era negro, como se creía hasta entonces, sino gris. La obra, ciertamente, perdía buena parte de su misterio y adquiría un nuevo sentido. Costaba acostumbrarse a ver perfectamente definida la silueta del caballero. Hubo entonces voces que se mostraron en desacuerdo con los trabajos del restaurador Rafael Alonso; decían que se le había ido la mano con la limpieza de los barnices oxidados y los repintes.

El asunto llegó incluso al Congreso de los Diputados. En diciembre de 2010 se estrenó un documental centrado en la polémica restauración de esta obra. En «Fondo para un caballero», Emiliano Cano, licenciado en Bellas Artes, aborda el asunto: cree poder demostrar que dicha restauración se basaba en suposiciones erróneas, se hizo con prisas y contraviniendo protocolos internacionales en materia de restauración.(…)

Patrice Charoulet dit: à

Mathématiques

J’ai enseigné le français de 25 à 65 ans.
Du CP à la Terminale (littéraire), il ne m’est resté de mes cours de maths que ceci :
Je sais (très bien) faire des additions, des soustractions, des multiplications, des divisions.
J’ai oublié tout le reste.
Pas de quoi se rengorger !

Marie Sasseur dit: à

charolais est du même niveau que les badass qui ont la calculette sur le smartphone, et  » ça suffit bien ».

Mais non.

« Réforme des lycées : les mathématiques seront obligatoires pour tous les lycéens de filière générale, dès la classe de première, à la rentrée 2023
Cette annonce solde l’une des mesures les plus controversées de la réforme Blanquer, qui avait supprimé les mathématiques du tronc commun des matières obligatoires enseignées en première et en terminale. »
FranceInfo

Dino dit: à

Vigny: « Un ami n’est pas plus méchant qu’un autre homme. »

DHH dit: à

@Charoulet
Mon experience est tres differente
j’ai enseigné dans le secondaire le latin et le grec;je suis incapable aujourd’hui de comprendre les versions que je donnais à des élèves de troisième
En revanche j’ai des souvenirs très precis et operationels de ce que j’ai appris en mathématiques de la sixieme à la terminale, ce qui n’a d’ailleurs rien à voir avec ce qui est enseigné actuellement dans cette matière

Pablo75 dit: à

Quels sont les arguments pour affirmer que « El hombre de la mano en el pecho » serait Cervantes? Ce serait vraiment trop beau!
closer dit:

¿ES CERVANTES EL « CABALLERO DE LA MANO EN EL PECHO » DE EL GRECO?
https://www.youtube.com/watch?v=pZ7ot2waCaQ&t=25s

Dans ce petit film on parle de l’hypothèse, qui vient du fait que l’épaule gauche du personnage est très basse, comme celle d’un blessé au bras et à la main gauches, cas de Cervantes (la main gauche aurait dû soutenir l’épée par la poignée et donc être visible, alors que dans le tableau elle est soutenue par la lame, express pour qu’on ne la voit pas). Mais Cervantes n’est pas le seul à avoir été blessé à la guerre au bras gauche; c’est aussi cas de Juan de Silva, marqués de Montemayor et Notario Mayor de Toledo, qui en plus avait été accusé de trahison (d’où la main sur la poitrine comme s’il jurait fidélité).

Le film dit aussi que le personnage du tableau était « un caballero », avait du fric, donc, comme le montre l’épée ornée et dorée, le médaillon en or qu’il a au cou et les habits, sobres mais très fins. Or, Cervantes n’a jamais eu de l’argent, et surtout pas vers 1580, époque où le tableau a été peint. Il correspond beaucoup plus, donc, à un marquis qui exerce le lucratif métier de notaire d’une ville riche comme Tolède qu’à un écrivain fauché.

D’ailleurs, il suffit de bien regarder la tête du type pour s’apercevoir qu’il a plus un regard de notaire ennuyeux que d’auteur de Don Quijote. On imagine Cervantes avec un regard ironique, pour ne pas dire « burlón », comme ceux de certains personnages peints par Velázquez, un autre « heterodoxo » de l’époque.

rose dit: à

D.

D. dit: à
« Rose, ce n’est pas du tout ce que vous écrivez, le malaise vagal. La tension et le rythme cardiaque chutent brutalement. C’est ça qui provoque le malaise, lequel aboutit très fréquemment à une perte de connaissance totale au cours de laquelle le corps physique ne ressens plus rien. Je ne parle pas du corps astral, c’est un autre sujet qui sort du domaine medical.
Cette perte de connaissance est simplement due à l’insuffisance d’oxygène due au fonctionnement dégradé du du système circulatoire. Ce qui provoque, quelques instants précédant la perte de connaissance, des acouphènes, une diminution du champ visuel allant jusqu’au trou noir, une douleur généralisée (plus qu’une sensation de malaise, une souffrance cellulaire généralisée due au manque d’oxygène). La perte de connaissance a pour but de protéger le système nerveux et cardio-vasculaire en obligeant le relâchement musculaire consommateur d’énergie et d’oxygène, surtout en station debout. Mais restant assez importante en station assise. »

Ben non.
Questionnez Sarkozy qui a eu cela en courant.

Clopine dit: à

Lu cette nuit le livre si drôle et glaçant à la fois de Jonathan Coe « la femme de hasard ». Suis-je la seule à avoir pensé à Bartleby ? Une Bartleby des années 1980, douée d’une passivité si remarquable qu’aucun sentiment (sinon l’admiration pour l’égocentrisme des chats) ne semble réellement pénétrer chez elle ? En tout cas, pas mal écrit du tout… c’est marrant : ma solitude que j’estime si pesante (j’ai un appartement avec vue sur l’amer, dis-je maintenant) me permet de renouer avec mes habitudes adolescentes de lecture. A savoir une sorte de boulimie désordonnée, certes, mais pleine de surprises !

Bloom dit: à

Le dernier Cormac McCarthy, The Passenger, sorte de thriller aquatique qui plonge profondément dans les eaux troubles de la conscience occidentale.
No novel for old farts.

renato dit: à

L’Inquisiteur dit à El Greco : « On cache des choses innommables sous les ailes des anges ». Et le peintre porta la main à la poitrine et d’un air étonné répondit : « Moi ?! ».

B dit: à

Pablo, il est aussi question du fils du peintre. Architecte et peintre également.

B dit: à

Clopine, si j’avais été dans la même situation que la vôtre j’aurais accepté l’arrangement. Cela vous aurait évité un déracinement, une dépression et l’isolement d’avec votre milieu.

lmd dit: à

Renato, je n’ai pas lu l’article – théorie de la restauration –, mais il me semble que la partie que vous citez s ‘applique plus à la restauration de constructions qu’à la restauration de peintures. Les constructions, en général, subissent plus de modifications,d’adaptation à l’usage, de restauration pour cause de menaces de ruines, etc. que les peintures, dont on admet qu’elles sont définitivement terminées par l’artiste qui les a créées.
Concernant la vidéo, elle est effectivement intéressante, parce qu’elle montre une interpellation parlementaire sur un sujet inhabituel (si on le transpose en France).
Le choix de fond plus clair n’est pas, me semble-t-il, bien débrouillé par la vidéo ; elle ne dit pas quelle est la part des vernis et des restaurations précédentes dans le fond obscur ; la video montre des exemples de peintures ou de copies dans lequel le fond est très sombre mais elles sont tardives (1867, 1874), on ne sait pas si le fond clair que le Greco a souvent utilisé dans ses portraits n’était pas le fond d’origine. Le reproche serait alors d’avoir changé l’image à laquelle on était habitué.
Je trouve que le fond gris avec le halo plus clair correspond parfaitement à ce que j’admire , entre autre, chez le Gréco, le coté brulant, magnifique.

et alii dit: à

C4EST DRÖLE/ON NE PARLE GUeRE DE LA SIGNATURE,alors qu’on sait qu’il est arrivé qu’elle soit falsifiée (ah, les amis, la famille)

renato dit: à

lmd, la ruine n’est qu’un exemple. Argan et Brandi ont imaginé l’Istituto centrale per il restauro (Istituto Superiore per la Conservazione ed il Restauro, depuis 2007). Brandi en fut le premier directeur (1939-1961).

renato dit: à

lmd, ruine bien à part, pour Brandi la conservation de la patine était un passage important, car elle participe à la définition de la matière et ne doit donc pas être complètement supprimée, car elle témoigne du passage du temps. Il me plaît de rappeler Boccioni selon qui de la peinture nous aimons la saleté ¬— Tanizaki di quelque chose dans le même sens dans Éloge de l’ombre.

rose dit: à

renato dit: à
L’Inquisiteur dit à El Greco : « On cache des choses innommables sous les ailes des anges ». Et le peintre porta la main à la poitrine et d’un air étonné répondit : « Moi ?! ».

C’est magnifique.
Pas de sainteté.

renato dit: à

di > DIT

B dit: à

Il me semble avoir saisi dans la vidéo en espagnol mise en ligne par MS ce matin que les pigments sombres du fond du tableau ont été expertisés comme étant d’origine.

B dit: à

Et que les documents qui auraient pu aider à une restauration plus respectueuse n’ont pas été transmis.

B dit: à

Je ne parle pas espagnol, Pablo si vous pouviez résumer l’essentiel . J’ai peut être tout compris de travers.

https://vimeo.com/15425059

Marie Sasseur dit: à

la vidéo en espagnol mise en ligne par MS ce matin

Identique à celle postée hier par René de Milan et sous-titrée en français.

Marie Sasseur dit: à

L’incompétence du directeur du musée du Prado , dans ce document , est pathétique.

B dit: à

MS, sur mon portable je ne dispose pas de sous-titres mais je reconnais que je suis rapidement dépassée par tout problème d’ordre technique. J’ai essayé de comprendre sans le secours d’une traduction. Je demanderai rien si j’étais sûre de ce que j’ai perçu.

B dit: à

Je ne demanderais rien si ….

Marie Sasseur dit: à

Jr précise cela pour tous ceux intéressés par  » l’affaire », car ce document vidéo contient toutes les infos utiles, surtout pour ceux qui ne causent pas l’espagnol.

Marie Sasseur dit: à

Sinon, c’est pas le sujet du roman de Y⁷. Harté.
C’est vrai que l’identité de l’hidalgo revêt du coup beaucoup moins d’importance, alors lui , un autre ou son ami… ma foi.

Jazzi dit: à

Le léZard de Paris est revenu déçu de sa brève escapade dans le New York des années 1980 !

MC dit: à

On aura au moins vu sur ce blog une fois une tentative argumentée et méritoire de s’opposer aux diktats de Sasseur. Qu’x soit remercié ( e)! MC

MC dit: à

De Coe , Clopine, lisez aussi « Billy Wilder et Moi », si ce n’est déjà fait. C’est drôle, en plus!

Marie Sasseur dit: à

petitix s’est trouvé un allié de poids qui  » prend le dessus « , lol. Ils sont amis comme cochons.

Time to leave.

Jazzi dit: à

« Je dois vous le dire, Pasolini est un génie. »

Je n’en doutais pas, rose !
Disons, un poète…

renato dit: à

Révélation de sources chinoises, Vladimir Poutine « n’a pas dit la vérité » au dirigeant de Pékin sur l’invasion de l’Ukraine ».

D. dit: à

Eh ben oui, je vais questionner dès ce soir Sarkozy. Parfaitement.

Pablo75 dit: à

Je ne parle pas espagnol, Pablo si vous pouviez résumer l’essentiel .
B dit:

C’est la même vidéo mise par Renato (et que j’ai commenté plus haut), mais sans les sous-titres en français

renato dit: à
Vidéo qui peut intéresser : Fonds pour un Chevalier
https://www.fondoparauncaballero.com/index-fr.html

Paul Edel dit: à

MC, lui merci à petit x.

B dit: à

renato, comme si la Chine était incapable de se renseigner.

Marie Sasseur dit: à

Edel, qui vient volontiers se faire entarter sur ce blog,
le même qui se plaignait de ses contributeurs, le cochon de Bretagne et sa vieille maîtresse payée à rien foutre sous plusieurs pseudos , qui mettaient son blog en phase terminale, bref: ils ont le sens de l’amitchié, au sens  » edelien « .

Marie Sasseur dit: à

Au fait, pendant que j’y pense et pour ceux qui l’ont lu et aimeront y repenser, ou ceux qui souhaiteront le lire,
la symphonie qui lia durablement d’amitié Thomas Bernhard et Paul Wittgenstein, jusque sur leur  » montagne fatidique  » ( j’adore), c’est avec ce chef, uniquement :

https://youtu.be/qd8VIon8LFM

Byyyye

Jean Langoncet dit: à

Puisque Pédro a évoqué Joubert :  » Qui n’a pas les faiblesses de l’amitié n’en a pas les forces » ; par une légère extension, peut-on parler des forces et des faiblesses de la fraternité ? De celles de la liberté ?

renato dit: à

Il y a une différence, B, entre ce qu’on est capable de faire et ce qu’on s’attends de la part de quelqu’un qui se vend comme notre « ami ».

et alii dit: à

La griffe du peintre: la valeur de l’art (1730-1820), livre de Charlotte Guichard, la source principale de notre article…

« Comment le nom de l’artiste est-il devenu un élément clef de la valeur symbolique et commerciale des œuvres ? Pourquoi les peintres signent-ils leurs tableaux ? C’est à Paris, entre les années 1730 et 1820, que se déploie cette enquête novatrice et richement illustrée. Salons et expositions publiques, ventes aux enchères, musées : les institutions artistiques modernes imposent le nom de l’artiste au cœur des mondes de l’art. Critiques, catalogues, cartouches et cartels lui accordent désormais une place essentielle. Un contemporain constate, avec dépit, que les amateurs achètent « des noms, et non plus des œuvres? »« –Page 4 de la couverture
https://www.muses-et-art.org/la-signature-des-tableaux/

MC dit: à

Clemenceau écrit des choses magnifiques sur Monet. De Ravel, cette belle formule rapportée par Hélène Jourdan-Morhange, une de ses musiciennes: « « « vous savez, je suis très jaloux en amitié « . Et aussi à l’écart des torrents d’insultes sasseuriens.

Janssen J-J dit: à

toussa…
« Je dois vous le dire, Pasolini est un génie ».
pmp, rôz & jzmn, n’en sais rin, l’ai pas assez « pratiqué » au ciné ou en littérature, mais veux bin vous croire. Pour moij, le vieux keuf, PPP, c’est d’abord la Préfecture de Police de Paris. Je sais, je sais, vous en demande bin pardon, c pas le genre de la Maison. (Et pourtant… en y réfléchissant ben, hein ? suivez surtout pas mon regard PE, MC et X). Tchin’

D. dit: à

Je n’aime pas beaucoup la langue espagnole. A la limute je préfèrerais l’Italien. Mais ce que j’aime le plus c’est le Corse.

rose dit: à

lmd

Magnifique réponse de Clémenceau à Minet.
Néanmoins, je doute un chouïa :
« confirmée par votre signature elle a valet de zéro » : ne serait-ce pas à valeur de zéro, plutôt qu’à valet ?

Une fois que l’on s’est engagé, on ne déroge pas. Surtout devenu vieux et gâteux.

rose dit: à

à Minet : je vais étrangler derechef ce foutu correcteur !
À Monet.

rose dit: à

Je n’aime pas du tout la langue en général. Et en sauce piquante, il faudrait me payer.

MC dit: à

Clemenceau a écrit un livre sur son amitié avec Monet ou il explique très bien ce qui lui plaît dans ce peintre et pourquoi.On lui doit en plus l’entrée des ultimes Nymphéas au Jeu de Paume, Rose. PS Je ne suis pas lmd!

D. dit: à

La sauce piquante c’est très bon.

D. dit: à

La cuisson de la langue est longue. La cocotte-minute est alors utile. Le fumet qui s’en dégage est une merveille.

rose dit: à

Le blog est excellent. ****
Le plat ah non.

rose dit: à

Je ne suis pas lmd!

Marc Court, pardon. J’en perds mon latin.

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