de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Le génie des lieux

Le génie des lieux

Il n’y a pas que les personnes : les maisons aussi peuvent résister. Offrir de la résistance. C’est la manière la plus fascinante et énigmatique par laquelle peut se traduire un phénomène impalpable que l’on appelle le génie des lieux. Faute de mieux et par défaut car comment le dire autrement lorsqu’un endroit lourd de sa propre histoire se met à raconter ce qu’il a vu et ce qu’il a vécu. On sait que les murs parlent mais rares sont ceux qui savent les écouter. Des poètes, sûrement ; des écrivains, parfois. Ces maisons sont habitées. Pour ne pas dire hantées. Elles ont un destin semblable à celui d’une personne. Elles vivent en nous et en dehors de nous. Deux romans leurs rendent justice.

Marrakech a beau être devenue un haut lieu du tourisme occidental, peu d’étrangers y sauraient situer la Villa Taylor, moins encore sauraient dire ce qu’elle fut et l’on compte sur les doigts d’une main ceux qui y ont récemment pénétré. Un bijou Art déco niché au cœur du Guéliz, le quartier européen de la ville du temps du protectorat français, dans un environnement de maisons coloniales ou mauresques. C’est dire que le lecteur attend beaucoup de Villa Taylor (250 pages, 18 euros, Anne Carrière). Pour leur cinquième roman, Michel Canesi et Jamil Rahmani signent là ce qu’ils ont écrit de plus accompli, comme si le passé et la beauté des lieux les avaient envoûtés jusqu’à les porter.

Cette maison, ils nroosevelt-and-churchill-grangere l’ont pas seulement regardée, humée, écoutée : ils s’en sont imprégnés. On croirait même qu’ils ont imaginé comme un prétexte l’histoire de Diane, une vraie prédatrice dans son milieu, executive woman réputée dure en affaires dont la vie privée a été asséchée (« un désert ») par son ambition professionnelle, qui hérite de ce lieu mythique à la mort de sa grand-mère et s’y rend à contre-coeur afin d’y régler les détails de la succession ; elle découvre à cette occasion ses propres zones d’ombre, affronte ses démons intérieurs, met à nu la névrose d’abandon qui la tenaille depuis l’enfance et fait face à ses contradictions, au risque d’être étouffée par cette maison qu’elle a toujours crue hostile ; même la barrière de l’Atlas au loin lui est oppressante. Un prétexte romanesque comme pour mieux mettre en valeur la villa tenue pour un personnage en soi, le vrai personnage principal du roman. Cette maison nimbée de palmiers et cyprès, cernée par les oliviers et les washingtonias, ils la font respirer, vivre, parler avec une délicatesse et subtilité.

Construite dans les années 20 par Mrs Edith Bishop Taylor, femme d’un riche banquier new-yorkais, sa propriétaire y passait ses hivers. Elle s’appelait alors « La Saadia », autrement dit « la Bienheureuse ». Sa maison connut son heure de gloire lorsque Roosevelt et Churchill y dormirent, ensemble mais pas dans la même chambre, afin de discuter de la situation. Il y avait de quoi : cela se passait les 24 et 25 janvier 1943 en marge du sommet d’Anfa, à Casablanca. Sir Winston ayant installé son chevalet sur la deuxième terrasse de la tour berbère de la villa, en profita pour peindre un paysage qu’il s’empressa d’offrir au président américain au grand dam de Mrs Taylor, déjà outrée qu’un démocrate se soit roulé dans ses draps, elle qui avait toujours soutenu le parti républicain. Cette lumineuse aquarelle est sa seule œuvre de guerre ; le reste de son œuvre fut la guerre. Mais outre la France où il s’est rendu régulièrement jusqu’à sa mort, notamment sur la côte d’Azur, sir Winston adorait le Maroc pour sa lumière si apaisante qu’elle réussissait même à mettre à distance le black dog qui lui pesait tant sur le cou avant de l’emmener par le fond pendant des heures ou des nuits.

La tandem formé par Canesi & Rahmani réussit là le plus difficile : outre les couleurs, rendre les odeurs et les parfums tant de la ville que de la villa. Rien moins que son âme. D’ailleurs, l’un des personnages ne découvre-t-il pas qu’en phénicien « parfum » se disait rouh qui signifie « âme » en arabe ?..

« La Villa Taylor a ému Roosevelt mais pas dans le sens espéré par Churchill. L’Américain n’y a pas vu une ode au colonialisme mais le chant du cygne d’un monde à l’agonie »

Le fils de Roosevelt hérita du fameux tableau et le revendit en 1950 à George W. Woodward, un collectionneur du Nebraska lequel le céda quatorze ans après à un producteur de cinéma et ainsi de suite de collectioneurs à collectionneurs jusqu’à ce qu’en 2011, à la suite de sa énième exposition dans un musée d’Atlanta, on découvre que le propriétaire anonyme n’était autre que le couple Brad Pitt/ Angelina Jolie… qui vient juste de divorcer. Que va donc devenir le tableau ? Ce pourrait être la matière d’un autre roman…La-Villa-Kerylos-Beaulieu-sur-mer-2

Pour écrire Villa Kérylos (352 pages, 18 euros, Grasset), l’historien de l’art et romancier Adrien Goetz s’est transporté, lui, du côté de Beaulieu dont la devise est Pax in pulchritudine (Paix dans la splendeur) et les habitants des Berlugans (qui ne l’aurait deviné…). « Sa » maison est beaucoup plus connue que la Villa Taylor puisqu’elle s’offre aux visiteurs. Elle n’en est pas moins mystérieuse. On se demande même comment on a pu durablement y habiter tant elle ne semble pas faite pour ça. Et pourtant, quel point de vue ! quelle situation ! et quelle exquise extravagance à dix minutes à pied de la villa Ephrussi sur le cap Ferrat…

L’homme qui l’a fait édifier au début du XXème siècle n’était pas seulement issu d’une famille très fortunée, d’une liberté et d’une fantaisie épastrouillantes ; il était également très savante, érudit, connoisseur dans son genre, de même que ses deux inséparables frères. Théodore, Joseph et Salomon Reinach constituaient dans le Paris des salons et des Académies une fratrie des plus originales. On les appelait « J.S.T. » pour « Je Sais Tout ». Joseph, ardent dreyfusard et chroniqueur méthodique de l’Affaire, lui consacra une somme en plusieurs volumes qui fit autorité ; pendant la première guerre mondiale, signa tous les jours dans des gazettes des comptes rendus des batailles qu’il signa Polybe. Théodore, le plus génial des trois, véritablement savant dans tous les domaines (aujourd’hui, on appelle ça « un Google ») fut en quelque sorte le co-architecte de sa maison avec le véritable architecte, Emmanuel Pontremoli. Il ne lui demanda pas de reproduire ni de pasticher mais bien de réinventer une maison noble de la Délos du IIème siècle av. J.C.

p55-03imLe projet consistait à en faire une maison entièrement dévolue à l’esprit, sinon à l’âme, de la Grèce ancienne. Les trois frères y observaient une règle qui consistait à n’y converser qu’en grec ancien, ce qui excluait d’emblée leurs épouses. Elles ne se plaignaient pas seulement de l’inconfort, malgré la beauté des lieux. L’une d’elles déprimait sans son piano, lequel aurait, il est vrai, réchauffé les lieux. Mais comme il n’était pas question qu’il fut pas hellène, son mari y fit graver Pleielos Epoiesen (Pleyel l’a fait) et lui demanda d’interpréter en priorité pour leurs invités les Six épigraphes antiques de Debussy. Ce qui n’empêchait pas Théodore Reinach d’y jouer pour sa part, et à grand fracas, la Grande Duchesse de Gerolstein avant de transcrire pour piano ce qu’il tenait pour la première œuvre musicale de l’humanité : l’hymne à Apollon de Delphes dont il confia les arrangements et la création à un habitué des lieux, Gabriel Fauré.

L’histoire est passionnément racontée par le fils de la cuisinière des voisins, les Eiffel, un certain Achille, ce qui est bien le moins. Dans son grand âge, il revient sur les lieux et se souvient des colonnes en marbre de Carrare, les stucs à l’antique, les bois exotiques. La plus belle pièce de la maison était nommée l’Andrôn, le vestibule Thyrôreion, les chambres des invités Philémon, Baucis, Dédale, Icare, les thermes Naiadès, l’avant-cour prolongeant le vestibule Proauleion et le chien répondait au nom de Basileus ! Le petit Corse issu d’une famille très modeste avait en quelque sorte été adopté tout jeune par les Reinach qui lui enseignèrent une partie de leur savoir, l’initièrent aux langues anciennes, le firent souffrir dans l’apprentissage de la grammaire grecque, le poussèrent à étudier sans relâche et surtout lui permirent de trainer en permanence entre ces murs.

De son propre aveu, il était trop jeune pour avoir conscience de « l’anomalie monstrueuse qu’était ma vie de tous les jours avec les Reinach », lui qui vivait sur la pointe des Fourmis comme dans une principauté indépendante. Il est vrai qu’il lui arrivait de crier « Evohé, Evohé ! » en se promenant nu la nuit sur la plage avant de se jeter dans les vagues, ce qui n’était alors pas très courant dans le département des Alpes-Maritimes (la pratique a dû se généraliser depuis). Manifestement, le commerce quotidien de Théodore, auteur d’un Mithridate Eupator, roi de Pont (Firmin-Didot, 1890) unanimement loué pour sa finesse d’analyse, avait laissé des traces. Bien que la maison ait été pillée par les nazis après l’invasion de la zone libre, et que nombre d’archives en aient disparu, le vieil homme nostalgique ne désespère pas de retrouver sinon la couronne d’or d’Alexandre le Grand, fameuse parure royale grecque sur laquelle tous les archéologues ont fantasmé, du moins des signes, des traces, des échos de la description de la fresque représentant Sisoès découvrant son tombeau.

Cette demeure, Achille Leccia, devenu un peintre abstrait après 1945, la vénéra comme une maison de famille alors que cette famille n’était pas la sienne. Il était de la nasse 1907, (pardon : de la classe 1907) comme son meilleur ami Adolphe Reinach, fils de Joseph. Ensemble, ils se battirent au front mais seul Achille en revint. A sa manière, par son récit souvent émouvant, parfois drôle, toujours juste, il nous fait la mesure du temps, son poids, son épaisseur, sa densité. Le curé du coin, visitant la maison achevée, eut un bon mot qui remit les choses à leur place :

« Cela fera de jolies ruines quand ces gens-là seront ruinés ».

Formule brillante mais fausse car la villa Kérylos brille encore de mille feux et plus encore désormais avec ce guide sans pareil, la fiction aidant. Par le biais des alliances et des disparitions, Léon Reinach, fils de Théodore, et sa femme Béatrice née Camondo, ainsi que leurs enfants Bertrand et Fanny, avaient hérité de l’histoire, du passé, du lustre, à défaut des murs eux-mêmes, de la villa Kérylos, du musée Nissim de Camondo, du château de Champs-sur-Marne, de la villa Ephrussi de Rothschild. Ils sont morts tous les quatre à quelques mois d’intervalle dans les chambres à gaz d’Auschwitz. A propos, en grec kérylos désigne des alcyons, ces oiseaux de la tristesse qui pleurent dans les poèmes.

(« Vue de Marrakech » de Winston Churchill, © The Churchill Heritage Ltd. Photo National Trust, Chartwell ; « Roosevelt et Churchill à la villa Taylor, photo Granger ; « La villa Kérylos » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire, Littérature de langue française.

489

commentaires

489 Réponses pour Le génie des lieux

Delaporte dit: à

« contrairement à vous je ne fais pas de militantisme »

Moi non plus, je ne fais pas de militantisme, sauf pour l’abolition légale du travail. Et encore, cette mesure nécessaire viendra en son temps, en douceur. Au moment présent de l’élection présidentielle, je propose de sauver ce qui peut l’être de son âme de non-militant politique, c’est-à-dire de voter blanc. C’est un jeu très sérieux, la suite le montrera.

bérénice dit: à

la servilité est partout petit patachou.

je ne voudrais pas tomber dans un populisme de droite ou de gauche mais pour rappel et pour garder le sourire, Coluche:

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits …mais certains sont plus égaux que d’autres »

D. dit: à

JAZZI dit: 3 mai 2017 à 12 h 51 min
Vous vous connaissez, D. et Delaporte, au point de vous tutoyer ?

Pas plus que toi et moi mon vieux Jacquot.

Nicolas dit: à

Mais Delaporte vous ne cessez de radoter, j’imagine donc que vous pensez qu’en répétant inlassablement les mêmes sottises vous allez bien finir par convaincre quelqu’un. Franchement il faut vraiment être stupide pour pensez un truc pareil. Pire ! Vous n’argumentez même pas!!! Vous êtes une insulte à l’intelligence. Heureusement que vous avez découvert internet, hein mon bon Delaporte que deviendriez vous sans internet? Vous seriez bon à aller coller des affiches ?

JAZZI dit: à

« Pas plus que toi et moi mon vieux Jacquot. »

Jusqu’ici tu me vouvoyais, D. !

D. dit: à

La divulgation de la présence extraterrestre aurait dû depuis longtemps se situer au cœur des débats. La question centrale est simple : sommes-nous prêts à admettre que nous sommes d’ores et déjà, et pour toujours, soumis à une civilisation extraterrestre qui nous domine et nous contrôle pour une ensemble de raisons dont certains peuvent continuer à nous échapper pendant des siècles ou des millénaires ?

bouguereau dit: à

henfin hon attaque le dur dédé..t’es lent ha la détente quantique

Delaporte dit: à

« Vous êtes une insulte à l’intelligence. »

Une telle appréciation venant d’un crétin comme vous m’est un doux compliment. Il faut en effet se perdre sur Internet pour voir ça. Chaque jour, je suis récompensé. Merci.

JAZZI dit: à

Le génie des mots.

L’une nous propose de « Choisir la France », l’autre fait le choix de vivre « Ensemble La France ». Entre réunir et exclure, il n’y a pas photo !

bouguereau dit: à

le vote blanc c’est un code pour la chnouffe..

Nicolas dit: à

Même quand vous me traitez de cretin vous n’argumentez pas…

bouguereau dit: à

delaporte c’est le plus con nico..tu peux pas lutter

bouguereau dit: à

c’est un connard légal..qu’est ce tu veux faire

Nicolas dit: à

Bere, je pense que je ne vais pas donner suite des le début.

bouguereau dit: à

..elle pas terribe laquarelle à winston..hon dirait du fromentin sous mauvais whyski

bouguereau dit: à

Il était de la nasse 1907, (pardon : de la classe 1907)

tu comprends la vanne toi baroz?

bérénice dit: à

D, des siècles peut-être mais qui seront dépréciés, la beauté fond comme neige au soleil, des millénaires je doute à moins d’envoyer nos poubelles sur Mars.

bouguereau dit: à

L’une d’elles déprimait sans son piano, lequel aurait, il est vrai, réchauffé les lieux. Mais comme il n’était pas question qu’il fut pas hellène, son mari y fit graver Pleielos Epoiesen (Pleyel l’a fait) et lui demanda d’interpréter en priorité pour leurs invités les Six épigraphes antiques de Debussy

lassouline croit pas hun mot de cqui dit..le mauvais whisky haussi..ha si c’était le picon bière ça srait meilleur

Sergio dit: à

bouguereau dit: 3 mai 2017 à 14 h 40 min
..elle pas terribe laquarelle à winston..

Chteldis…

D’ailleurs on dirait plutôt un truc genre gouache ou pastel c’est pas le Pérou…

Sergio dit: à

D. dit: 3 mai 2017 à 14 h 18 min
soumis à une civilisation extraterrestre qui nous domine et nous contrôle

I nous zigouillent pas parce qu’on les fait rigoler ? C’est vexant, à la fin !

Si on en voit faut leur coller un mae-geri… Ou un yoko !

D. dit: à

Pour placer un Fandango au-dessus du meilleur whisky du monde Bérénice, il vous manque de l’avoir déjà bu.
Et toc.

D. dit: à

Et Pierre Assouline ne démentirait pas mon propos. Cela-dit je me refuse à m’exprimer plus en détail à sa place sur un tel sujet.

JAZZI dit: à

Un goût du Whisky, c’est pas une mauvaise idée, D. !

Sergio dit: à

Les mecs des soucoupes i doivent pas en boire i se met en boule… C’est peut-être ça qu’ils comprennent pas !

JAZZI dit: à

« Il était de la nasse 1907, (pardon : de la classe 1907) comme son meilleur ami Adolphe Reinach, fils de Joseph. »

Comment il a fait pour barrer, le Passou ?

JAZZI dit: à

« A propos, en grec kérylos désigne des alcyons, ces oiseaux de la tristesse qui pleurent dans les poèmes. »

J’ai l’impression que Passou s’inquiète de la victoire du FN ?

Delaporte dit: à

« Même quand vous me traitez de cretin vous n’argumentez pas… »

Désolé, mais je pensais que cela paraîtrait évident à tous ceux qui lisent vos commentaires bourrés de fautes d’ortografe.

Delaporte dit: à

Macron est certes toujours devant Le Pen, mais en perte de vitesse. J’avoue que je me réjouis de cette perte de vitesse, même si c’est Marine qui en profite. Cela me ferait vraiment mal de voir une telle enflure s’imposer, pour imposer par la suite son programme économique qui va faire le malheur des Français honnêtes, ceux qui ne magouillent pas pour s’en mettre plein les poches en exploitant les plus pauvres. Le régime que promet Macron est un régime esclavagiste, c’est pourquoi les Français au fond n’en veulent pas. Ils ont déjà donné; D’où cette baisse encourageante dans le dernier sondage avant le débat de ce soir :

« Macron est crédité de 59% d’intentions de vote, soit un point de moins que dans la précédente enquête »

D. dit: à

Sergio, je ne peux guère développer ces sujets qui sont placés, comme vous devriez vous en douter, sous le sceau du secret. Mais sachez que j’ai la réponse à votre questionnement.

D. dit: à

Il y vient, Delaporte. A petits pas mesurés mais il y vient. Comme dans le P’tii Prince. J’crois que bientôt on va lui faire un costard bleu-Marine au ptii Prince.

Delaporte dit: à

« Il y vient, Delaporte. »

Mes analyses ne sont pas ambiguës. Il se trouve que je rejette les deux candidats du second tour. Je ne vois rien de blâmable dans cette liberté.

Sergio dit: à

Mais les élections c’est quand même pas complexe y a qu’à les ravancer ! Par ezample demain matin…

C’est comme la fenêtre à Kersauzon, quoi…

Bloom dit: à

Villa Isola Bella, Menton – Katherine Mansfield.

rose dit: à

Delaporte à 16h17

vous n’êtes pas tout seul.

Nicolas dit: à

Delaporte, vous m’avez convainQ! lol

rose dit: à

pour barrer, jazzi, guillemet ouvrant strike guillemet fermant

le mot concerné

pour fermer après le mot barré guillemet ouvrant slash strike guillemet fermant (mais ce n’est pas un guillemet c’est à gauche du w)

cordialement

rose

D. dit: à

Rose, on était bien tranquilles entre nous et toc, vous arrivez pour donner des avis ou faire des considérations inappropriées.

D. dit: à

Jazzi sait quand même bien se servir du clavier. Il écrit des livres illustrés.

bérénice dit: à

15h11 D, je n’ai développé aucun goût pour les alcools forts excepté le Gin, la vodka en cocktail mais je sors peu ou pas du tout et je n’ai pas l’alcool solitaire, peut-être devrais je goûter à l’eau des étangs et des mares, il n’y a qu’en mer qu’on boive la tasse et cela n’a rien d’enivrant .

bérénice dit: à

Nicolas, vous êtes un pornographe, je suis choquée.

rose dit: à

Non mais D, je repars illico

christiane dit: à

“Le minaret de la Koutoubia” (1943). Winston Churchill ­l’offrira au président Franklin Roosevelt. C’est très émouvant de voir cette aquarelle. Contrairement à Sergio, je la trouve lumineuse et paisible.
Quelques photos de Winston Churchill quand il peignait le Maroc :
http://www.artisthick.ma/lorsque-winston-churchill-peignait-le-maroc/

Paul Edel dit: à

Bouguereau,pour l’ aquarelle le winston il avait que quelques ronds de gouache et un moche pinceau qu’ on donnait dans les maternelles .

bérénice dit: à

Christiane, après Klee et Macke difficile d’y retrouver l’intensité et la délicatesse qui furent leurs marques pour le même genre de thème mais c’est mieux que ce que produit Bush et qui j’imagine se vend ou se vendra très cher.

D. dit: à

Qui vous parle d’alcool?
Dans un très bon whisky on ne fait même pas attention à l’alcool.
Il faut au contraire être en tête à tête avec lui pour en déceler toutes les subtilités. On voit en effet que vous y connaissez rien. Ce n’est pas pour vous rabaisser, je déteste ça, mais c’est la pure réalité : vous n’y connaissez rien.

Paul Edel dit: à

En 44 les bombardiers américains faisaient du tachisme sur les villes normandes.

D. dit: à

rose dit: 3 mai 2017 à 16 h 41 min
Non mais D, je repars illico

…ah bon. Ouf !

bérénice dit: à

Et puis on lui pardonne de ne pas être tout à fait bon peintre pour ce qu’il fut, pas commode ce Churchill et misogyne, quelle rudesse avec les femmes mais il était laid lui aussi et cela n’importait pas ou plus, il n’en avait visiblement que faire de blesser une imprudente ,; la remarque mise en ligne ce matin pourrait être remplacée par mêlez vous de vos affaires, ne m’ennuyez pas mais son instinct de guerrier n’a pas résisté à la tentation de blesser voir de terrasser cette pauvre femme qui venait à sa rencontre avec ces quelques mots de reproche indignés..

bérénice dit: à

D, c’est vrai, j’ai vu ce film de Ken Loach , cette bande de jeunes chômeurs qui vandalisent les meilleurs fûts et réussissent à duper des experts dans leur dégustation, c’est tout un art comme pour les vins, mais je ne peux déglutir ni Cognac, ni Armagnac, ni Whisky, cela me fait l’effet de devoir avaler du vulgaire alcool à 90 degrés quelle que soit leur qualité , du gâchis.

la vie dans les bois dit: à

Paul Edel, c’est un graffeur. Il bombe des grosses vaches normandes.

bérénice dit: à

Tant que ce n’est pas du Thatchérisme il y a de l’espoir.

la vie dans les bois dit: à

J’ai trouvé la « Villa Taylor »
Bien cachée
dernier exemplaire , à la librairie, discret sur un rayon. quelle chance.

Nicolas dit: à

Je suis chaud comme la braise!

JAZZI dit: à

La villa « La Mauresque », au cap Ferrat, de Somerset Maugham.

christiane dit: à

@bérénice dit: 3 mai 2017 à 16 h 53 et 46
Il ne s’agit pas de juger un peintre mais de rencontrer ce moment inouï d’une pause-aquarelle sur temps de guerre et de « black dog ».
Bien sûr, cela ne m’empêche pas de me plonger dans les 38 feuilles à carreaux du « Cahier du Maroc » où Nicolas de Staël, en 1936, nota ses réflexions de voyage et fit quelques croquis.
Le cahier s’ouvre sur le mot « clarté », écrit au crayon sur la première page du cahier. On voit au fil des pages des études (plume et encres noires ou fusain, mine de plomb) d’ânes, de djellaba, des têtes, la porte de la Casbah, des musiciens marocains, une silhouette de femme, des esquisses de tombeaux, un enfant… et, tête-bêche, des notes raturées : « Ce n’est pas la lumière du jour. Ce n’est pas la lumière de la nuit. Dans l’ombre un homme s’est arrêté, il regarde les olives, petits points noirs dans le ciel vraiment foncé. Un autre homme perché dans l’arbre chante et cueille. Les grandes gaules des hommes frappent les oliviers, elles brillent souvent comme des feux et les olives qui tombent que poursuit la lumière. Cri grêle d’une femme. Et ce chant est calme et lent comme les troncs des oliviers… » Et plus loin, cette note exquise : « …il y a un rouge très canaille dans les pommes plus loin à côté des choses verdâtres, il y a maintenant une ou deux pommes d’une certaine couleur qui harmonise le tout et cette couleur c’est un certain rose, ce rose est la couleur rompue contenue par le mélange du rouge et de vert cité plus haut, voilà la raison pour laquelle il y a un lien entre les couleurs… ».
Le Maroc et les peintres… Matisse, Delacroix, Klee, Kandinsky, Macke , Van Dongen aussi… et les écrivains…

Ce soir c’est plus la personnalité des deux adversaires qui m’intéressera plutôt que leur programme. Une femme et un homme. Deux destins pour le pays tellement différents pour les années à venir sans oublier les équipes qu’ils formeront. Et là ce n’est pas la clarté et la lumière recherchées par ces peintres…

Bloom dit: à

Writers Tears, excellent single pot, de l’époque de joyce, en vente sur Dawson St. Dublin 1.

Sergio dit: à

JAZZI dit: 3 mai 2017 à 17 h 22 min
Les paysages de nos tablettes de chocolats

Tu parles j’avais toute la collec Suchard, mais c’était la Bible ! Au lieu de trucs intéressants genre Blueberry…

la vie dans les bois dit: à

cricri elle fait chauffer la colle, toujours à sniffer ses paradis artificiels, elle va profiler maintenant.

bérénice dit: à

Christiane, je crois que les électeurs s’attacheront plus au débat d’idées auquel leur programme respectif et connu si l’on a pris le temps d’y regarder les conduit et qu’ils devront défendre ; pour le reste – leur personnalité- si on ne la connait pas déjà pour la part qui s’adresse à la sphère publique est à mes yeux accessoire; si l’autoritarisme de l’une est rugissant celui de l’autre s’habille en Prada et enfin ils ne nous inviteront ni l’un ni l’autre à prendre le thé alors que nous importe leur personnalité qui d’ailleurs est perceptible, débattue, traquée, montrée dans divers journaux et quoique ce qui est révélé ne dise pas tout nous en savons bien assez pour notre usage citoyen.

JAZZI dit: à

Bloom, une centaine de guides touristiques parisiens font la grève devant le musée du Louvre : ils dénoncent leurs conditions d’emploi en voie d’ubérisation par leur employeur…irlandais !

christiane dit: à

Bérénice,
les programmes on les connait. Des analyses intéressantes sont parues sur Le Monde ce week-end et sur d’autres journaux, sur leur site, aussi. Les programmes… on sait ce qu’ils pèsent quand ils accèdent au gouvernement… Paroles… paroles… paroles chantait la grande Dalida.
Mais le comportement de ces deux-là, face à face, nous en apprendra beaucoup sur l’étoffe dont sera faite le prochain hôte de l’Élysée. Garder son calme pour l’un et la brancher économie (son talon d’Achille), lui faire perdre son calme pour l’autre. Ce sera une guerre des nerfs sous des dehors soft. De toute façon, ce n’est pas le « menu » que j’aurais aimé choisir…

bérénice dit: à

Christiane, oui si nous disposions d’une carte ce qui est notre cas, que choisirions nous? Ne préféreriez vous pas plutôt un clair de lune à Maubeuge? L’air est doux , le vent mollissant, notre voile nous attend et l’étoile des amants.

la vie dans les bois dit: à

Trouver cet exemplaire, de la  » Villa Taylor », discret sur un rayon de la librairie, c’est une chance.

J’y reviens car à première vue cela peut paraître anodin.
Et puis, tout à l’heure, au soleil de fin d’après-midi, j’ai vu que ce livre- l’objet en lui-même- dans le dénuement de sa présentation, s’illumine au soleil, comme une brique élémentaire, de terre ocre, de celle des ksour du Maroc.
Oui, très beau choix d’édition.

bérénice dit: à

mais c’était la Bible !

Sergio, un cas de maltraitance élémentaire?, vos enfants ont du cependant vous tirer de là en actualisant votre collection, c’est fou ce que l’industrie alimentaire peut inventer pour fidéliser sa clientèle composée d’enfants et d’adolescents.

Delaporte dit: à

Au débat, il manquera le troisième candidat, le tiers exclu. Il sera peut-être représenté par les journalistes qui présenteront la joute oratoire. L’essentiel restant hors champ. C’est ce qu’il ne faudra pas oublier.

la vie dans les bois dit: à

Je pense avec une quasi-certitude que « Passou » a eu la trouille de Diane.

Bob dit: à

Delaporte dit: 3 mai 2017 à 18 h 45 min
on sait déjà à quoi s’en tenir, faudra essayer de limiter les dégâts comme d’hab en plus craignos

bérénice dit: à

La présentation de ce livre « Villa Taylor » ne permet pas de voir la coloration ocre que vous décrivez, le billet en tout cas donne envie de s’y plonger, je ne sais pourtant pas n’ayant jamais posé les pieds sur le sol Africain si je percevrais les odeurs, les parfums qui sont restitués par la magie de l’écriture .

closer dit: à

 » je ne peux déglutir ni Cognac, ni Armagnac, ni Whisky, cela me fait l’effet de devoir avaler du vulgaire alcool à 90 degrés »

Bérénice, mettez de l’eau minérale la moins minéralisée possible (au goût très neutre) et vous pourrez apprécier les arômes sublimes de ces différents alcools. Vous apprendrez par essais successifs quel est le meilleur ratio eau/spiritueux pour votre goût personnel. Croyez-moi, cela vaut la peine.

la vie dans les bois dit: à

ceux qui lisent sur tablette n’auront pas perçu ce petit plus, mais que je trouve énorme.

la vie dans les bois dit: à

Un nouveau jardin au Maroc, quel beau cadeau de noces, fait par le mari à son époux.

christiane dit: à

A propos du deuxième livre « Villa Kérylos », j’ai lu sur Le Point du 27 avril, un article intéressant de Marie-Françoise Leclère. Elle évoque plus que la villa, la rocambolesque affaire de faux qui est au centre de cette fiction : la mystérieuse tiare d’or, « ce bonnet de coton en or » écrivait Alfred Jarry qui suscita l’engouement des foules puisque le Louvre l’a achetée pour la somme de 200 000 francs-or à Salomon et Théodore Reinach, (les frères « Je Sais Tout »). Un bonnet donc, mais en or pur dont le décor représente des scènes tirées de l’Iliade et des inscriptions en caractères grecs… Un faux ! qui palpite au milieu du roman d’Adrien Goetz, dans cette villa sise entre Nice et Monaco. (Auteur dont les romans tournent autour des « plus rocambolesques histoires de l’art »…)
Le final de son article est très drôle :  » Et s’il existait une véritable tiare de Saïtapharnès, mais qu’elle avait été dérobée par Arsène Lupin, contemporain des Reinach, pour faire partie de la fabuleuse collection d’œuvres d’art volées qu’il avait rassemblées sous les falaises d’Etretat ? Cela ferait un bon roman. Il est d’ailleurs déjà écrit : « L’aiguille creuse », par Maurice Leblanc. »

la vie dans les bois dit: à

Les deux bâtisseurs de la Villa Taylor ne manquent pas d’humour, non plus commencer comme ça: « ce matin (mémé) est morte »

bérénice dit: à

LVDLB, dans la collection jeunesse pour exemple des effets rendus possibles dans l’édition, je me souviens du poisson arc-en-ciel, c’est ancien pour moi mais le livre a passé les années sans rien perdre de sa nacre, des couleurs irisées données à quelques écailles ça et là sur ce poisson généreux, j’ai conservé le livre, offert le plus gros de la collection en échange service rendu. Je tenterai de vérifier vos dires quand à cet exemplaire . Merci pour Ksour , terme ignoré jusqu’à vous et qui mène loin cependant en arrière dans l’histoire des civilisations, la pierre ne semble pas plus brillante que ça mais je veux bien vous croire jusqu’à preuve du contraire.

http://whc.unesco.org/fr/list/750

la vie dans les bois dit: à

Bien, je vais (re)faire un tour avec Diane, du côté de Guéliz, et puis soirée avec une « Vieille Dame », pleine de « charmes ».

Et que mort aux cons, comme disait feue ma mémé.

chantal dit: à

Je suis un peu triste la Kérylos était mon endroit préféré, suspendu hors du temps, j’essaye de ne plus y penser, de ne plus penser à la France cela me rend chèvre. Il pleut sur la ville j’espère que cela va laver les mauvaises pensées qui saturent la tête sur les réseaux sociaux.

hamlet dit: à

super article passou !
c’est bien de proposer des villégiatures à l’étranger par les temps qui courent.
perso j’avais commencé à jeter un oeil sur logerpointcom mais j’avoue que vos offres immobilières sont plus sympas !
vous proposez aussi des locations ?

rose dit: à

closer dit: 3 mai 2017 à 18 h 58 min

eh bien vous êtes une vraie salop….e. Non content d’être ivre mort comme mode de mort, vous entraînez votre compagne qui ne vous a rien demandé.
Question : comment peut-on vous supporter ?

rose dit: à

ai survolé l’article ; ce qui est surprenant c’est la première photo où il a trois yeux. Deux dans le même oeil gauche et le second seul à droite.

rose dit: à

la vie dans les bois dit: 3 mai 2017 à 19 h 14 min

votre article de vanity fair ai survolé; Il s’agit de bill willis

rose dit: à

>Jazzi

j’attends impatiemment l’analyse des trente ans de différence entre bergé et madison cox.

la vie dans les bois dit: à

Vous pensez, que la rosse et consorts sont bourrés où sous expédients ?
C’est normal, n’éteignez pas votre téléviseur

closer dit: à

On me supporte très bien, chère Rose. Je voulais rendre service à Bérénice afin qu’elle puisse profiter des merveilles de nos terroirs français et écossais sans se rendre malade…

la vie dans les bois dit: à

Score actuel
One point

bérénice dit: à

Closer, le Champagne, c’est bon, léger, euphorisant et cela ne rend pas malade mais je vous autorise à me faire visiter l’Ecosse, quelle est la meilleure des saisons pour y séjourner?

la vie dans les bois dit: à

Tomber sur un os
Score two points

rose dit: à

le couple de tarés bravo !

rose dit: à

closer, vous êtes une vieilles saloperie, votre copine devait être alcoolo avant de vous connaître.

Enfin on a vécu ses jérémiades deux semaines durant.

bérénice dit: à

Rose, qui quoi où?

bérénice dit: à

Je trouve qu’Emmanuel Macron est meilleur, Marine Lepen instruit un procès.

bérénice dit: à

Rose, je ne vois pas qui est Closer, la copine ce serait qui?

rose dit: à

vous devriez regarder votre passé en face.

rose dit: à

c’est la serpillère de boxon. Avec son maquereau.

bérénice dit: à

Rose mon dernier amant est peut être déjà mort, il était si vieux et cela fait si longtemps, que puis-je regarder en face?

rose dit: à

son maquereau tout fragile qui demande pas mal de sous. Et qui ne les rendra pas en cas de rupture; Mais s’il n’y a pas rupture, il peut les garder. Passionnant.

bérénice dit: à

bref dans un cas comme dans l’autre c’est prends l’oseille et tire toi, vous pensez qu’il m’est redevable?

rose dit: à

le paysan du cantal il vote sûrement marine le pen et pas marron, hé non; C’est la réalité de la politique française

rose dit: à

on va payer de nouveau un kilo de pommes un franc et trente centimes et plus un euros et soixante cents.

rose dit: à

il y a très longtemps chère bérénice lui avait écrit vous m’inventez, et moi je vous avais dit ne lui donnez pas d’argent ; vous l’avez inventé sur un tableau veleda, c’est un enfoiré et l’avez payé. Plaignez-vous.

rose dit: à

au début des années 90 il avait treize ans. De quoi parle ‘t-il ?

bérénice dit: à

Je ne savais pas qu’ils vivaient en couple, il est abonné aux amours vénales et on ne donne pas cher de ma peau et je suis adepte de la gratuité , voyez dans quelle situation je me trouve. L’amour n’est pas un deal cependant payer pour un plaisir semble assez logique ( tout s’achète tout se vend , le temps c’est de l’argent et bien qu’il soit impossible de convertir en l’état actuelle de la science l’argent en temps) et certains ont besoin d’acheter, ils sont compulsifs et pathologique; une séance de psychanalyse se paie sinon n’aurait pas l’effet attendue, le sujet désirant doit pour accéder à son désir payer, il faut considérer que tout ceci tient dans un ensemble hygiénique, préservatif compris.

rose dit: à

je ne veux pas de contrôles des capitaux. Pierre Bergé non plus, macron

rose dit: à

ma pauvre !

je ne vous lis pas. Permettez-moi.

Vous vivez avec un enfoiré.

bérénice dit: à

22h49 What?

rose dit: à

et la CSG ,

Quand vont ils aborder la CSG ?

rose dit: à

les dirigeants visionnaires c’est vraiment ancien;

Pauvre Charles mis à toutes les sauces !

bérénice dit: à

Je vis en compagnie d’une ombre sans morale et perverse, soit, comment voulez vous que je puisse m’en défaire tout en ne possédant rien de lui, j’ai mis en miettes tous ses cd sauf un que je n’aime pas.

Claudio Bahia dit: à

de toute façon c’est une femme qui dirigera la France; ce sera moi ou Madame Merckel. Excellent, excellentissime!!!!

rose dit: à

ligne gaullo mitterandienne : ça promet

dans la zone saléo saharienne eh bé

bérénice dit: à

La CSG a été abordée au début du débat

rose dit: à

mais non elle a toujours, la France une image particulière d épar le monde. C’est une affaire qui dure, la France, c’est un état respecté, admiré aussi.

rose dit: à

il parle en même temps qu’elle tout le temps, il lui coupe la parole incessamment

rose dit: à

c’est vrai : pas de guerre froide avec la Russie.

Delaporte dit: à

Un débat qui donne la migraine, et qui confirme haut la main qu’il va bien falloir voter blanc.

Claudio Bahia dit: à

il en a, des « mères des batailles » ,le jeune macron, un peu trop, me semble-t-il

rose dit: à

on a supprimé les dictées

Claudio Bahia dit: à

Delaporte dit: 3 mai 2017 à 23 h 06 min
100% d’accord

rose dit: à

la famille, les relations, les réseaux.

rose dit: à

limitation à trois mandats : 39 ans trois mandats. Ensuite ? Banque Rothschild.

rose dit: à

oui, elle est sous le cadre d’une procédure judiciaire ; Fillon aussi et il a fait 30 pour cent.

Conflit d’intérêt permanent pour vous monsieur marron

quel mal éduqué ! il coupe sans cesse la parole à mme le pen

rose dit: à

vous êtes le candidat à plat ventre

eh bé !

rose dit: à

tss tss, ne tergiversez pas bérénice ; un enfoiré baste.

Jean Langoncet dit: à

Blanc ? Mais blanc tranquille ; on en a soupé des effervescents

Claudio Bahia dit: à

il n’y a pas à dire, il ratisse large: même les autistes dis-donc

la vie dans les bois dit: à

Gros mensonge de le pen, à propos de la loi handicap de 2005.

rose dit: à

avec ses frontières avec ses fromages

rose dit: à

vous êtes un parasite

bérénice dit: à

émancipation par le travail , arbeit macht frei, il devrait faire attention .

rose dit: à

il y va fort macron : il traite marine le pen de parasite !.

Grosse déception macron lors de sa carte blanche ne traite pas de son grand projet, de sa grande priorité l’égalité entre hommes et femmes.

la vie dans les bois dit: à

Ce débat pour des élections présidentielles, totalement irréaliste, du jamais vu dans l’indignité, promue par le front de la haine est sans précédent.

Bloom dit: à

MLP est un affront national. Vulgaire, agressive, hystérique, sans programme. Les masques sont tombés.

bérénice dit: à

ah Bloom vous avez sorti votre plume! j’ai croisé un ibis hier et une cigogne, vous savez celle des PMA.

rose dit: à

Débat passionnant ; un jeune blanc bec regardant les journalistes pour éviter le regard de Marine le Pen. Des faiblesses des deux côtés, des mensonges des deux côtés aussi.

Beaucoup de vulgarité.

A ce sujet, D. vous êtes un gros enfoiré.

nota : voter blanc, c’est bon pour les suisses, des planqués.

rose dit: à

Le Pen bien plus calme que Macron qui s’est montré hystérique et sans éducation.

rose dit: à

quand lui a dit « vous êtes la fille de votre père » (ben oui, eh toquard) si elle avait eu de la répartie elle aurait pu lui répondre « et vous le mari de votre mère ». eT toc, dans les gencives.
hi hi hu hu ah ah
on aurait cru un gamin en couches culottes.

Dommage que je n’ai aucune envie de retourner au franc et en
core moins de sortir d l’Europe ; ai appris qu’elle avait été avocate comme son papa. Ne le savais pas.

rose dit: à

deux intox désintoxiquées par les décodeurs du grand journal de pierre bergé qui vient d’épouser discrètement, son gigolo, en secondes noces, trente ans de moins que lui – comme c’est émouvant, ah l’amour dirait untel :

Moi, je considère encore une fois que faire prendre en charge la gratuité des transports pour les clandestins en Île-de-France, alors même que les Français qui ont des salaires modestes, eux, se saignent pour pouvoir aller au travail en payant les transports, ça m’apparaît injuste. » Selon France Info, Marine Le Pen se trompe puisque les immigrés sans-papiers ne bénéficient pas de la gratuité dans les transports.

il suffit de vivre en banlieue et de se déplacer à Paris pour constater de visu que 95 % des usagers de transports publics ne paient pas leurs transports. Et le chiffre est généreux. La réalité est proche de 98 %. L’arnaque est générale.

On peut étudier dans les pays du nouveau-monde comment remédier à ce trou énorme dans les réseaux de transports.

rose dit: à

seconde intox, désintoxiquée par les décodeurs, du journal, de référence qui soutient à fond emmanuel marron :
Invitée sur BFM TV, Marine Le Pen a affirmé que les prix avaient explosé à cause du passage à l’euro. Les prix de la tasse de café et de la baguette ont bien augmenté, mais cela est surtout dû à l’augmentation du cours des matières premières. D’après France Info, le passage à l’euro a, en réalité, eu des effets très limités sur l’inflation.

les décodeurs sont des gens qui ne font pas leurs courses, ne fréquentent ni les marchés ni les grandes surfaces n’utilisent pas ni produits d base, ni produits frais.

Lors du passage à l’euro, après une très brève période d’adaptation les produits sont passés directos de un franc trente centimes à un euro trente cents, alors que la conversion donnait zéro euro vingt cents ; ce qui a provoqué une inflation monstrueuse non suivie par nos salaires qui ont suivi la conversion du cours du change

un euro égale à six virgule cinquante cinq francs en 2000.
passage des francs aux euros en 2002 (1 € = 6,55957 FF).

Les décodeurs « mais il n’y a pas eu d’inflation braves gens.

Le Monde soutient Macron c’en est honteux; Je vais résilier mon abonnement.

rose dit: à

La vie dans les bois, vous êtes une brave fille, d’une gentillesse incroyable. Je vous ai vu vous comporter, ne venez pas me faire la morale. Vous me faites penser à la fille libérée dans La fièvre du samedi soir, celle qui paye pour son mec, ce sale macho. Une très chouette fille, brune, du caractère.

Si vous cherchez des références, cherchez dans les archives.

rose dit: à

gros blablabla le placebo du on doit payer la psychanalyse pour guérir. Par qui cela a-‘t’il été inventé ?

Ai été sur la tombe de Marc François Lacan moine, frère de l’autre. Entre les deux y’a pas photo ; nul besoin de payer et surtout pas ce qui est bien.

Les radins du porte monnaie le sont aussi du coeur.

salut à tous, ou presque, comme dirait Màc.

rose dit: à

exemple concret :
Pas radin pour un sou, Dany Boon a obtenu que chaque jour de retard du film Radin ! (et donc de tournage supplémentaire) lui soit payé 45 000 €.

XYZ dit: à

la blondasse a introduit une violence dans le debat qui fait fremir quand on sait qu’elle veut pouvoir appuyer sur le bouton nucleaire. ses sbires traitent avec daesch et putin. c’est l’anti france nuclearisee. a ratiboiser dimanche

JC..... dit: à

Hier soir, un retour tardif du Dojo m’a privé du spectacle télévisuel savouré par tant d’éminents compatriotes contribuables … j’en suis naturellement fort marri.

Inutile de vous dire que ne change pas mon fusil d’épaule comme ça : dimanche prochain, jour funeste pour le pays, j’irai balader sur la vaste Mer Nostre.

Abstention ne signifie en rien abstinence !

Pour conclure : Peste ou Choléra, choisissez votre mort politique, chers amis, puis enfilez vos cirés, rien ne va plus chez les Gaulois en voie d’islamisation.

JC..... dit: à

Cela fait quelques décennies que ce poste de Président taillé pour un géant comme le Général de Gaulle est occupé par de l’histrion de haute tenue – vous en connaissez les noms – les deux derniers en date étant le summum du blaireau de cour incompétent.

Continuons la descente aux Enfers, nous y retrouverons du beau monde et ce sera toujours plus plaisant que de lire la presse-purée du mari du jardinier habile…

JC..... dit: à

Bébé Macron, s’il est un nouveau Buonaparte à dieu ne plaise, est un Bonaparte de Maison de retraite pour clientèle aisée.

Peut être que sa nourrice, la vieille gouvernante, ferait une excellente Présidente, elle aussi ?…

Now, jogging ! Le jour se lève !

la vie dans les bois dit: à

@ « Si vous cherchez des références, cherchez dans les archives. » la rosse à 0h41

Pour ceux qui n' »imaginent » pas qui est la rosse, et qui n’ont pas de temps à perdre, ou de consulter les archives de la RDL:
C’est une enseignante de l’Educ Nat’, qui n’a pas été baisée depuis longtemps, selon son vocabulaire,
récemment à la retraite, vient de perdre en début d’année, son mec rencontré sur la RDL. Alors qu’elle était en dépression : il l’avait jetée sans vouloir la rencontrer, suite à leur mésaventure de dissidence bloguesque. Alors elle est partie faire un brexit à Jerusalem, un grand moment, mais je m’égare.

Après s’être lâchée à plusieurs reprises, dans ces colonnes, à propos des Juifs, et maintenant des Arabes de la banlieue-qui ne paient pas pas leur ticket, elle a regardé la candidate à l’élection présidentielle française hier à la télé.

Et voilà ! à cause de Diane, femme libérée, la rosse du komintern qui jalouse toute forme de liberté, surtout si elle est belle et intelligente, ira voter le pen !

la vie dans les bois dit: à

le pen ou la stratégie du négationnisme.
Une prise en otage médiatique, qui va obliger les acteurs de l’info, à faire de la pédagogie en réaction.
Pour compenser le boulot qu’ils n’ont pas fait, dans leur grande majorité.
Et ce ne sont pas les deux animateurs de téléralité pour le débat présidentiel hier, qui ont contribué à contenir les diffamations, mensonges, insinuations, et insultes.

XYZ dit: à

l’eglise de france a perdu une occasion de se distinguer – elle se couvre de honte : apres la pedophilie, la fachophilie. Ecrasez l’infame!

bérénice dit: à

mais je m’égare.

Nous avions remarqué, Rose entre autres raisons de ne pas donner son bulletin à Marine Lepen est pro-Europe même si entre les lignes elle laisse comprendre qu’une surveillance plus importante des frontières et des individus qui circulent et vivent ici la satisferait, on peut comprendre . De fait je suis persuadée que Rose est un homme d’expérience, qu’il a beaucoup voyagé et que se « dégorger le poireau » devient la moindre de ses préoccupations, l’âge aidant à rendre sages les hommes.

la vie dans les bois dit: à

la magnagna arrive à 7h39, pour défendre l’infâme; que dis-je l’infemme. Elles ont les mêmes pertes en ligne, si on peut dire.

JC..... dit: à

Il n’y a pas plus noble acte pour un homme véritable que se « dégorger le poireau », vaille que vaille, Bérénice !

A côté de cette noble fonction primale, écrire, et plus généralement travailler, est d’un ridicule achevé, à de rares exceptions près.

La danse des ovaires, elle aussi, est un merveilleux jeu qu’aucune femme ne devrait négliger…. Même celles dont la beauté intérieure se situe au delà de l’utérus.

On devrait mettre ça dans les programmes scolaires EN, si touffus, si pauvres, que ça en est risible.

rose dit: à

bérénice

je ne vous plains pas : vous créez la situation dans laquelle vous êtes ; ces deux dernières semaines vous ont rendue fort sympathique à mes yeux. Fort.
Et surtout ont balayé votre soi-disant supériorité face à la rupture.

bérénice dit: à

Vous pouvez vous enorgueillir de votre revanche mais je crois sincèrement que votre tentative de brouillage de piste ne prendra pas ce matin, quant aux performances sexuelles ou les victoires affectives qui serpentent entre vos lignes , elles ne devraient souffrir d’aucune concurrence, qui voudrait cela à moins d’être quelque peu dérangé du bocal, désaxé comme dirait une auteure qui vous impressionne. je vous la laisse en lien:

http://www.lexpress.fr/culture/livre/christine-angot-une-semaine-en-inceste_1151587.html

rose dit: à

je parlerai du débat ensuite :

pauvre bérénice, ce à quoi nous assistons en public est votre propre décadence, très sale.
Déchéance conviendrait mieux.

Vous semblez n’avoir aucun choix : ou vous continuez à payer et il vous garde ou vous ne payez plus et il vous jette comme une malpropre.

Premier point, l’argent jamais. L’argent tue l’amour.

second point, pauvre bérénice :

l’alcool : c’est la méthode employée, l’eau minérale ou le coca cola. Un tiers whisky ou autre chose, un tiers cache misère et si possible glaçons autant que le reste.

Je ne sais pas, ce jour, et je m’en fous royalement, où vous en êtes dans votre degré d’intoxication, néanmoins, la dépendance intervient vite.

Maintenant, si vous avez le romantisme exacerbée, comme votre simili rupture (magnifique manipulation en ligne, où il vous a écharpée pour mieux vous dominer), vous pouvez choisir de mourir ensemble. Effectivement.

Mais vous aurez été prévenue : vous vous faites avoir de sale manière.

JC..... dit: à

Vous exagérez, les filles !

Ecrire  » L’argent tue l’amour » est une grossièreté économique, une erreur lourde, une invention des poètes, ces tarés malfaisants : l’argent l’enrichit, l’amour !….

rose dit: à

quelqu’un à qui je demandais récemment si on s’en sortait des drames de l’enfance m’a répondu non.

Cela semble être le cas de votre compagnon.

Complètement schtarbé, pervers polymorphe : les deux dernières saloperies commises en ligne sont de vous avoir mise en avant, salement, dans le fait qu’il ne voulait plus de vous. Là, il vous reprend, pour mieux vous écharper une prochaine fois en public.

La pire, celle qui me fait le traiter d’enfoiré, est celle de vous expliquer comment vous initier au whisky. Il est gravement intoxiqué, et il vous apprend comment vous intoxiquer.

Je vous considère en danger.

Dès lors que vous cesserez les paiements, vous serez définitivement jetée.

Je vous garde ma sympathie, distancée, des dernières semaines. Vous ne savez pas vous défendre, pourtant, vous êtes une brave fille.

bérénice dit: à

Rose, il ne peut y avoir de rupture, c’est une histoire de deuil impossible comme je tentai de vous l’expliquer hier soir, je suis obligée comme lui de vivre avec; ce qui n’efface en rien des périodes d’intense souffrance, de haine, de rancune, de révolte, d’écœurement, de dégoût, d’angoisse qui alternent avec d’autres habitées par l’amitié, la franche déconnade, de souci de l’autre et de ce qui le touche. Je n’ai jamais compris en dehors de l’illustration du rapport de classe encore en cours pourquoi moi. Mais des deux positions, la sienne est la plus enviable et confortable, il est de toutes manières parti dès sa naissance avec un handicap favorable, héritage génétique avec lequel il me serait difficile de rivaliser ce qui n’excuse en rien son amoralité vis à vis de ma vie.

rose dit: à

D. et alii

je vous l’ai dit à plusieurs reprises : je pourrai débiter un flot d’injures qui ne porterait à rien. Enfoiré est le mot qui m’est revenu au réveil. J’ai réfléchi s’il s’appliquait à « vous dérangez ici, etc. ouf etc » non.
Aucune importance.

Vous êtes un enfoiré dans le fait d’imprégner d’alcool votre compagne et de lui apprendre à comment se rendre dépendante du whisky, etc ; votre picon/bière etc.

Vous êtes un toquard. D.

Un pauvre petit malheureux.
Quant à vos satisfecit et disfecit, gardez-les pour vous, nous n’en avons cure.

rose dit: à

bérénice dit: 4 mai 2017 à 8 h 06 min

je ne comprends rien à vos histoires.

Vous êtes mise en ligne publiquement. De manière dégueulasse.

J’ai lu comme vous Marie France Irigoyen.

Je ne peux pas écrire qu’il est un sale type parce qu’il est très attachant. Comme un jeune chien qui pisse partout et qu’il faut dresser. Qui qui ne vous lache plus. Pisse sur vos chaussures par amour.

Vous vous trompez de a jusqu’à z.

C’est un déchu.
Il est tombé de son trône et il ne s’en remet pas. Il n’est pas guéri, ni résilient : il est totalement atteint.

Si je me mêle de ce qui est raconté ici, c’est à cause de ce qu’il a écrit hier soir sur le whisky. De comment vous pouvez apprendre à boire. En rajoutant de l’eau minérale. Cela est ignoble.

Je ne connais pas les transactions entre vous qui font que vous le payez. Si vous payez part du loyer, payez-la et renoncez-y. Part de la nourriture, alors que vous picorez, payez-la.

Pour le reste, ne payez rien.
Rien.
C’est la seconde fois que je vous l’écris.
Ce qui compte dans votre relation c’est que vous le payez. Il suscite cela. Il désire être payé.

Vous, publiquement, vous vous exposez.

Vous ne récupèrerez pas votre pognon.

Vous ne pourrez pas dire que je ne vous ai pas prévenue.

Maintenant, si je dois être honnête, en cessant de payer vous confirmerez la rupture. C’est vrai. C’est hyper secouant cette relation là à l’argent.

Jean dit: à

Les Français face à un choix difficile, entre la poire et le fromage : Marylène Lapine ou Marcel Maquereau. Ce n’est certes pas bonnet blanc ou blanc bonnet. La carpe ou le lapin plutôt. Quoi qu’il en soit : « Marylène Lapine ou Marcel Maquereau « , quel superbe alexandrin, avec la coupe à l’hémistiche, en plus !

JC..... dit: à

Enfoiré, toquard, pauvre petit malheureux, pervers polymorphe, schtarbé, vous voilà habillé pour l’hiver, chère âme égarée !
(…je m’en doutais : je ne suis pas surpris…)

la vie dans les bois dit: à

dans le billet:

« on découvre que le propriétaire anonyme n’était autre que le couple Brad Pitt/ Angelina Jolie… qui vient juste de divorcer. Que va donc devenir le tableau ? Ce pourrait être la matière d’un autre roman… »

Brad Pitt au Maroc, high road to desert

https://mountainx.com/wp-content/uploads/2014/10/babel.jpg

rose dit: à

Le débat d’hier au soir :

Les journalistes n’ont pas été à la hauteur, dépassés, blackboulés. Difficile pour eux de reprendre la main.

Ensuite, tout a été fait en direction de macron, les analyses les résultats, les pronostics. C’est comme un cheval que l’on annonce gagnant et les autres on leur fout du bromure. Et ils ont la chiasse durant toute la course.

Le Pen est diabolisée ; elle a tenu le débat, calme, posée, souriante. Lui, on aurait dit un écolier devant sa maîtresse d’école demandant de ne pas aller au piquet, tout le dernier du débat il a été incapable de la regarder frontalement.

Lorsqu’il lui dit « vous n’êtes pas à la hauteur de la fonction  » lui non plus n’est pas à la hauteur de la fonction. Loin de là.

Aujourd’hui, les gens se déchaînent contre Marine le Pen.

Hier, il a piqué le temps de parole de marine Le Pen en parlant sur son temps de parole à elle.

Bref.

C’était absolument passionnant.

JC..... dit: à

Marylène Lapine ou Marcel Maquereau,
Que ce soit l’un ou l’autre, ils auront votre peau !

rose dit: à

connais-toi toi même, heureusement que vous n’êtes pas surpris.

Vous n’êtes rien d’autre qu’un tout petit garçon malheureux, en pyjama, qui, dans l’alcool, n’oublie rien.

Et bérénice/la vie dans les bois pourrait se trouver un chouette garçon qu’elle ne paye pas. Mais cela paraît difficile : elle est sous votre emprise mortifère.

vos affaires ne me regardent pas. C’est gala. démerd…-vous tout seul.

bérénice dit: à

Rose, je trouve pitoyable d’échouer sur la ligne de l’argent, toujours, pour finir quand il manque, je ne voudrais pas finir ainsi mais il est vrai qu’en manquer limite, frustre, enferme et nous rend aigre quand on regarde à côté pour y saisir les transactions, j’ai horreur des sentiments comme l’aigreur et l’amertume; peut-être les seuls à pouvoir y échapper en réaction à certaines formes d’injustice et de malhonnêteté flagrantes ne sont pas de ce monde, peut-être les mystiques ou les intellectuels complètement absorbés par le savoir et détachés des contingences matérielles; les femmes sont de plus surement plus sensibles à cette dimension de nos vies et bien que le goût e la sensibilité qu’expriment les hommes, pas tous, quand ils parlent des fleurs ou des étoffes ne cessent de me surprendre et de me réjouir surtout quand ils naissent d’un milieu modeste et existent en dépit de la modestie du milieu.

rose dit: à

8h25 rapide sur le débat d’hier au soir en modération.

A lire untel et d’autres, je constate combien les nantis crèvent de trouille de voir leurs privilèges diminuer.

Ce qui est constant, c’est la diabolisation de Martine Le Pen.

Et cette manière, pour les deux candidats de s’habiller en bleu marine pour faire croire à leur j’aime la France, c’est blabla bla, bla-bla-bla. Ils aiment le pouvoir et baste.

christiane dit: à

@Bloom dit: 3 mai 2017 à 23 h 45 min
Même jugement. MLP agressive, vulgaire, ne pouvant répondre à aucune question, s’embourbant dans sa double monnaie et ses calomnies et ses insinuations. Après des semaines d’efforts pour paraitre souriante et apaisée, elle a effectivement laissé tomber le masque et montré à découvert son visage haineux.
Y avait-il deux journalistes sur le plateau pour réguler l’échange ? Tentatives vaines de leur part. Échange souvent inaudible.
Macron a su progressivement échapper aux calomnies de MLP pour se restabiliser sur la France et le programme qu’il défendait et sans notes !
Cette représentante du Fhaine prend, comme ses pairs et son père, une logorrhée brouillonne pour échapper à son impossibilité de répondre aux questions, d’être claire et pour saturer le débat.

renato dit: à

« Vous seriez bon à aller coller des affiches ? »

Bon ? Pas sûr car pour coller des affiches il faut disposer de fonctions instrumentales moyennes donc d’un minimum d’intelligence…

rose dit: à

bérénice

ai appris hier au soir que mme Macron est une riche héritière. Je ne le savais pas.

L’argent est la ligne de force. Vous le gardez, vous le gérez.

Cela ne vous empêche pas d’être généreuse en cadeaux, en restau, en ce que vous voulez.

Mais, ne donnez pas de l’argent que vous espérez récupérer.

Vous ne le récupèrerez pas.

L’argent est le pire tue l’amour qui existe. Si vous êtes richissime comme carla bruni, vous offrez une philippe et patek à votre mari. Et vous n’attendez pas de retour.

Echouer sur la ligne de l’argent signifie échouer sur la ligne de l’amour.

L’argent, un psychanalyste, que vous consulterez gratuitement, serait à même d’expliquer comment, en quoi, l’argent est la trame même du très grand manque affectif qui se cache derrière. C’est une carence grave.

L’argent est la pire des calamités.

Je ne sais comment vous aurez l’intelligence de vous en sortir.

Mais je sais que si vous ne payez pas, il vous dégagera.

C’est votre histoire, good luck.

JC..... dit: à

Dans le fond, Christiane, vous êtes aussi bloome que bloom ! Sa maladie est peut être contagieuse, qui sait ?!….

JC..... dit: à

« L’argent est la pire des calamités. » (rose)

Quand je parlais de bloomisation contagieuse, hélas … Rappelons les fondamentaux :
« L’ARGENT FAIT LE BONHEUR ! L’AMOUR JAMAIS ! »

bérénice dit: à

8h36, pas si mal, pas de Labo pour moi, ne présumez pas du malheur ou du bonheur d’autrui, centrez vous sur votre paquetage, cela tiendra bien dans votre jardin. bye bye.

JC..... dit: à

Dans une société bien organisée, on devrait chasser les amoureux comme on chasse les rats en ville.
(d’ailleurs, il me semble qu’en Iran….)

rose dit: à

Bien, je vais cesser le débat politique pour éviter d ème mettre tout le monde à dos.

J’ai trouvé macron agressif et vulgaire, ne respectant pas les temps de parole de son adversaire et à la sortie, je l’ai trouvé laminé, blanc comme un linge, défait.

Il n’avait pas de notes, certes, mais il ne connait son sujet qu’en économie.

Son petit couplet sur les handicapés en carte blanche c’était honteux>.

Il ne sait rien des accueils des handicapés en classe. Ni des AVS que l’on trimballe comme de vulgaires bouts de chiffon, d’un établissement à l’autre, d’un élève à l’autre ; ni du salaire minable qu’elles reçoivent ni du travail formidable qu’elles accomplissent : sous payées et sans sécurité d’emploi.

J’ai eu honte pour lui. Aucune envergure, aucun talent.

Les médias prennent part pour lui : quand ils s’en seront pris plein la poire, ils comprendront leur erreur.

Il suffit de voir Bergé, Niels, Pigasse pour comprendre comment fonctionnent les médias : inféodés aux financiers.

bérénice dit: à

Rose, son père est neurologue, chef de clinique, professeur.

rose dit: à

L’entre deux tours :

Pigasse
78% LNEI
< 50% VICE
100% NOVA ET LES INROCKUPTIBLES

11 % HUFFINGTON POST ET 34 % vers le Monde SA

80% le Monde Libre

rose dit: à

je ne le savais pas : merci

rose dit: à

père de macron ou de mme macron ?

bouguereau dit: à

J’ai eu honte pour lui

sapré rose..elle a trouvé son homme..et c’est son droit

bouguereau dit: à

« L’ARGENT FAIT LE BONHEUR ! L’AMOUR JAMAIS ! »

l’homme heureux a hun damart

JC..... dit: à

Rose, on voit que vous avez pratiqué, honorablement, les gamins de la meilleure enfance : votre analyse de Bébé Macron, pauvre gosse castré, est parfaite.

Bébé MACRON est une marionnette maladroite, sans aucune envergure, agité comme ablette, bourré de tics et d’amulettes, un pantin dont les nantis tirent les ficelles.

Que ce soit lui, ou un autre pantin, qui mènent le pays au désastre, ils s’en moquent. Les affaires sont les affaires.

bérénice dit: à

Rose, le père d’Emmanuel Macron et sa mère sont tout deux médecins, son épouse est issue d’une vieille famille bourgeoise, des chocolatiers, elle même était prof de Lettres comme chacun le sait..

rose dit: à

L’entre deux tours

Niel 11 ème fortune française

Bergé 363 ème fortune française

les deux

80 % Le Monde Libre
64 % Le Monde SA
100% Le Monde, Télérama, le Monde des religions, Prier, La Vie, Courrier International
51 % Le Monde diplomatique, manière de voir
99 % L’OBS

bouguereau dit: à

Elles ont les mêmes pertes en ligne, si on peut dire

sapré tarzoune..on peut le dire

rose dit: à

ah oui, chocolatiers, j’avais lu cela quelque part. Lui, ses deux parents médecins.

De gros bosseurs, d’un côté et de l’autre.

bouguereau dit: à

Bergé 363 ème fortune française

presque un sans dent..et il arrive a ête beau..prends en dla graine rose

rose dit: à

pas de commentaires sur les journalistes.
Des larbins

gros bisous

bonne journée

une des solutions serait d’allier l’argent à l’argent. Merdum à vous bérénice, j’aime votre ténacité. Et votre romantisme. Gardez le bon oeil.

je vais à la mer, hihihi, ah, ah ah

JC..... dit: à

Bougboug
L’homme heureux n’est qu’un matou détaché de tout, bien nourri et optimiste : il y a tant de souris et tant de chattes à l’écoute…

JC..... dit: à

Les journalistes sont des larbins, des esclaves, se prenant pour des maîtres.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*