de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

Un auteur et son éditeur peuvent former une paire, un duo, un tandem mais un couple ? Il y faut la durée, l’intensité et une complicité qui transcende leur intérêt commun dans le pari que constitue la publication d’un livre. Sans oublier, le dernier mais pas le moindre, une certaine solidarité générationnelle. Yvan Leclerc, spécialiste de Flaubert et créateur du site et du Centre à lui consacrés et Jean-Yves Mollier, historien de l’édition, du livre et de la culture, auteur notamment d’une biographie remarquée de Michel Lévy en 1985, n’ont pas hésité à intituler Un couple explosif l’essai qu’ils consacrent à Gustave Flaubert et Michel Lévy. Leur livre est publié naturellement chez Calmann Lévy, seule maison à Paris qui peut se permettre de préciser en page de garde « éditeur depuis 1836 ».

Nés tous deux en décembre 1821 à quelques jours d’intervalle, cela crée des liens. Lorsque ces deux passionnés de théâtre font connaissance à 35 ans, Flaubert est un rentier des Lettres, libéré de l’obligation de vivre de sa plume grâce à l’héritage de son père et le placement judicieux que sa mère fit de sa dot, bien qu’il commença à vivre au-dessus de ses moyens lorsqu’il se mit à vivre à Paris ; la dilapidation est au centre de son œuvre. Il se refuse au « banquisme » comme ces charlatans qui flattent les goûts du public. Il a publié un grand nombre de textes de toutes sortes dans des revues mais Madame Bovary, dont il confie pour la première fois l’édition à Michel Lévy, est son premier roman. Disons qu’il y consent car, dans son idéal de l’art pour l’art (« Je ne vois pas le rapport qu’il y a entre une pièce de cinq francs et une idée ») puisque c’est se prostituer que de publier, un éditeur ne peut être qu’un maquereau. Sa méfiance est grande vis-à-vis de la corporation. Son notaire a d’ailleurs la charge de négocier le contrat.

Libraire-éditeur considéré comme innovateur par ses collections bon marché destinées au plus grand nombre à condition qu’ils fussent « des gens de goût », non seulement dans leur bibliothèque mais dans leur poche, classique pour ne pas dire académique, Michel Lévy se distingue par son éclectisme en publiant aussi bien Dumas, Mérimée, Féval, Baudelaire que Thiers et Louis Blanc ainsi que Labiche et autres dramaturges dans l’air du temps. L’homme fait preuve d’une certaine faculté d’adaptation : orléaniste, il se fait aussi bien à la République en 1848 qu’à l’Empire quatre ans plus tard. Leur relation se délite lorsque Flaubert est convaincu d’être exploité par Lévy :

« Je n’ai point la prétention que la Littérature me nourrisse. Mais c’est bien le moins qu’elle ne me ruine pas » lui écrit-il.

De fait, il ne reçoit qu’un forfait très modeste pour Madame Bovary dont personne ne s’attendait à un tel succès- mais c’était l’usage pour un premier roman. De plus, il estime qu’il n’a pas à se mêler du contenu de ses livres et refuse les illustrations, lui interdisant même de les lire avant la signature du contrat. La dégradation de leurs rapports va crescendo jusqu’à l’explosion, l’éditeur n’en ayant pas fait assez aux yeux de l’auteur pour honorer la mémoire de son grand ami, sa conscience et sa boussole, Louis Bouilhet. Or Michel Lévy n’était pas du genre à publier sans lire ni interférer. Il avait de son propre chef métamorphosé La Révolution, titre d’un manuscrit de Tocqueville, en L’Ancien Régime et la Révolution.

Face à cette résistance, on voit alors Flaubert glisser dans les stéréotypes antisémites, le désignant dans ses lettres non plus par son nom ou sa qualité mais comme « le juif », « l’israélite », « le fils de Jacob », « l’être immonde », « l’enfant d’Israël, « le vil circoncis »… Son éditeur, qui ne croyait pas plus dans son roman si peu romanesque l’Education sentimentale qu’il n’avait crû en son roman carthaginois Salammbô, se voit reprocher leurs commerciaux pourtant annoncés, et concentre sur lui seul son aigreur raciste. En 1872, plein de ressentiment, il se dit « fâché à mort » avec lui. Le voilà mûr pour tomber dans les filets du concurrent, Georges Charpentier. Lucide sur ses propres excès, écoeuré par la vie littéraire, il est bien décidé à ne pas « faire gémir les presses » avant des années alors que le manuscrit de la Tentation de saint Antoine est prêt. Trois ans plus tard, il ira jusqu’à regretter que la mort de Michel Lévy fut si douce.

L’examen de leur lien particulier permet, entre autres, de poser un problème qui n’a toujours pas été résolu depuis que Baudelaire s’en étonnait en 1861 : celui de la propriété intellectuelle. Autrement dit : est-il normal que les droits des œuvres soient revendus lorsque l’éditeur cède son entreprise à un autre sans que leurs auteurs aient leur mot à dire ? Au fond, le couple aura divorcé sur un malentendu faute de s’être rencontré au niveau moral et littéraire, en raison du refus de l’écrivain de considérer son éditeur historique pour autre chose qu’un épicier alors que celui-ci fut un redoutable homme d’affaires à la réussite incontestable. Quel eut été le destin de cette œuvre si l’éditeur n’avait pas empêché l’auteur de réserver Madame Bovary à une élite pour le forcer à l’offrir au plus grand nombre ?

(« Caricature de Gustave Flaubert par Pierre-François-Eugène Giraud, vers 1868 « ; «  Michel Lévy par Etienne-Gabriel Bocourt in Le Monde illustré, 22 mai 1875″)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

1134

commentaires

1 134 Réponses pour L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

Soleil vert dit: à

La surabondance des objets ou tout au moins leur mise en avant est centrale dans la littérature fantastique. Même constat chez les aliénistes : les objets prennent vie chez leur patient.

Claudio Bahia dit: à

D. dit: à
Je n’ai strictement aucun intérêt personnel à défendre la Russie, je le répète encore une fois, mais je suis très triste que la Russie et la France ne soient pas amies commme elles l’ont été autrefois. Ces 15 dernières années, la France a été d’une grande arrogance avec la Russie, ne cessant de la pointer du doigt, de dénoncer, souvent de façon indirecte ceci, cela. Ce n’est pas comme cela que l’on gère des relations internationales saines.
Balayons un peu, ou même beaucoup, devant notre propre porte et regardons comment en quinze année notre pays a plonge : l’état de son économie, de son industrie, de sa sécurite, de son école, de sa santé, de ses frontières, l’accroissement considérables des addictions…..[…]

pas un mot à rajouter, pas un seul à soustraire !!!!!!
Cela fait bien 20 ans que je pense et souhaite une meilleure alliance entre la France et la Russie, en fait depuis la chute du Mur. Pour contrer l’internationalisme allemand; cette Allemagne qui maintenant s’aligne sur le Joe Biden pour menacer la Russie tous les trois jours (comme aujourd’hui par exemple) en s’appuyant hypocritement sur l’UE ou se cachant derrière elle. C’est ainsi que l’on fait de la Diplomatie ?? On « braque » la Russie, et après on dit c’est sa faute. On la pousse à la faute, on fait des grands abraços aux ex pays du bloc soviétique pour qu’ils entrent dans l’Otan, et en même temps on les humilie en les menaçant eux aussi.
Lamentable politique extérieure de la part de la France! Il faut renouer et nouer le dialogue avec la Russie, c’est une évidence, sinon, vous allez voir l’Allemagne…..
Je dis cela mais je ne devrais pas, cela ne me regarde pas bn’est-ce pas, j’ai assez à faire avec notre Bolsonaro

Amanda Lire dit: à

Pour Mimi Pinson,

Effectivement, car le 3J est plutôt rabats-joie en matière de peinture.

vedo dit: à

Cher Phil, à la suite de votre allusion au comte Metternich, je vais regarder francofonia.

et alii dit: à

étrange que comme on a évoqué les nourrices -et l’allaitement-on n’ait pas évoqué l’expression « vache à lait » qui daterait du XVI siècle

et alii dit: à

Un produit vache à lait est dans le cadre de la matrice d’analyse du portefeuille produit du BCG (Boston Consulting Goup), un produit à part de marché forte sur un marché en faible croissance ou récession.

Les produits vaches à lait contribuent généralement fortement aux bénéfices (d’où le terme de vache à lait) car les investissements de production et / ou de communication sont souvent déjà amortis.

Janssen J-J dit: à

@ La surabondance des objets ou tout au moins leur mise en avant est centrale dans la littérature fantastique…. (SV) Chez Romain Lucazeau, la surabondance de l’érudition relative à l’histoire de l’apparition de la vie sur terre et autres exoplanètes expliquée par la fillette au faune, est redoutable de lourdeurs… L’expérience du gaz rare n’est hélas guère convaincante. Et en cours de route, on voit toujours pas bien quelle morale en tirer sur l’extinction de la nôtre… Mais il faut y aller. Sieste finie, y retournions ,-,

Janssen J-J dit: à

et j’aime beaucoup Gerhard Richter, – baise un peu l’abat-jour-, amanda chérie !

et alii dit: à

le collectionneur P.Sigg
« Si vous pouviez voler une œuvre d’art sans vous faire prendre, quelle serait-elle ?

Probablement la Gold Marilyn Monroe d’ Andy Warhol de 1962 dans la collection du MoMA. Je l’accrocherais quelque part où je pourrais le voir tous les jours : dans ma salle de bain ! »

moralès sed laisse dit: à

Encore une histoire de Sigg et Puce, nom d’un chien!

et alii dit: à

Le typographe de Whitechapel de Rosie Pinhas-Delpuech est un roman enquête sur le grand écrivain hébraïque, mort en 1921 à Tel-Aviv.
De Yossef-Haïm Brenner, né en 1881 et mort il y a tout juste un siècle, aucun écrit n’a pratiquement été traduit en français, à l’exception d’un petit recueil de nouvelles, Nerfs. Il compte pourtant parmi les plus grands écrivains de sa génération et est considéré comme un des pères de la renaissance culturelle hébraïque, qui a précédé la création de l’Etat d’Israël. A titre de comparaison, Roger Martin du Gard, né la même année que Brenner, a été traduit en hébreu dès 1908.

et alii dit: à

MONROE:
Trente mois durant, de janvier 1960 au 4 août 1962, ils formèrent le couple le plus improbable : la déesse du sexe et le psychanalyste freudien. Elle lui avait donné comme mission de l’aider à se lever, de l’aider à jouer au cinéma, de l’aider à aimer, de l’aider à ne pas mourir. Il s’était donné comme mission de l’entourer d’amour, de famille, de sens, comme un enfant en détresse. Il voulut être comme sa peau, mais pour avoir été la dernière personne à l’avoir vue … >Voir plus
Marylin : Dernières séances
Michel Schneider

renato dit: à

Marylin : Dernières séances, Marylin : Dernières séances

Bert Stern, Marilyn Monroe, la dernière séance… plutôt.

et alii dit: à

RENATO? DErnière séance ?
pas pour le psy qui a été invité assez souvent à parler de ce livre aussi (à BEAUBOURG,je l’ai entendu ;c’est lui qui, par hasard m’encouragea, dans une « brève conversation: je l’avais reconnu!) à me mettre à l’ordi! )

et alii dit: à

Seule la fiction donne accès au réel », écrit Michel Schneider. Déclaration provocante en forme d’oxymore, un apparent paradoxe, mais c’est en effet à la lecture d’un roman que nous convie notre collègue qui ajoute s’inspirer de « faits réels… les lieux sont exacts, les dates vérifiées » ; il précise que « l’auteur n’a pas eu accès aux sources privées pour consulter les lettres et documents concernant les deux personnages principaux de ce livre ».

2Ralph Greenson, qui fut pendant trente mois le quatrième et dernier psychanalyste de Marilyn, a-t-il constitué avec l’actrice « le couple le plus improbable : la déesse du sexe et le psychanalyste freudien » ? Schneider ajoute : « C’est là que la psychanalyse et le cinéma vécurent leur liaison fatale. » Cette aventure singulière et sulfureuse nous éclaire-t-elle sur certaines facettes de la pratique analytique, ou, à travers cet épisode américain du début des années 1960, sur une de ses possibles dérives dans la société du spectacle ?

3Énarque, ancien directeur de la Musique au ministère de la Culture, musicologue, essayiste et romancier, l’auteur est aussi psychanalyste et, dès les premières pages, le projet du roman est en place : « Je les regarde être ce qu’ils furent et accueille l’étrangeté de l’une et l’autre figure comme si elle me parlait de la mienne. » Comme le titre du roman l’annonce, c’est aussi de la chronique d’une cure, d’une époque et de certains aspects datés de la psychanalyse qu’il est question. Ce double fil, qui fait la force du livre, permet à Schneider de nous parler de lui – Marilyn (et Ralph), c’est lui comme Mme Bovary, Flaubert – et donc de chacun de nous. L’auteur décrit la rencontre de deux Américains du melting-pot :
https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2008-1-page-213.htm

renato dit: à

Vous savez bien, et al., que le psy fût le passetemps de mon père, c’est dire si la profession est désormais datée.

Bon, il est vrai que chacun a le droit de perdre son temps comme bon lui semble, mais — et c’est mon opinion — le travail de Bert Stern vaut tous les efforts de compréhension des psys récents.

renato dit: à

Il est aussi vrai, et al., que les charognards ne sont utiles que dans la savane, où il ils remplissent les fonctions d’éboueurs

et alii dit: à

RENATO? JE NE SUIS PAS CONVAINCUE QUE LA PROFESSION soit datée; sans doute est-il devenu essentiel d’avoir un regard critique de l’exercice de cette rencontre et des choix de son « management »,sinon de son « projet » par les partenaires du couple « consentant ou non » ; et je crois que bien des psys en ont conscience

renato dit: à

Il y a toujours quelqu’un pour confondre un fait de droit avec un choix politique…

renato dit: à

Faites une analyse fine, et al., pour une fois !

Patrice Charoulet dit: à

« Prostituée de luxe »

J’ouvre ma revue télé pour voir s’il y a quelque chose à regarder ce lundi soir. Rien ne m’attire.
Je vais sans doute jeter mon dévolu sur un film de Claude Sautet, que je ne connais pas. Ma revue lui donne trois étoiles. Bien. Avec Romy Schneider et Michel Piccoli. Bonne nouvelle.
Mais j’ai l’idée de lire le début de l’histoire : « Un quinquagénaire au bord de la faillite, dont l’associé vient de mettre fin à ses jours, s’éprend follement d’une prostituée de luxe. » Ce résumé douche un peu mon enthousiasme…naissant pour le film. Je suis très perplexe sur « prostituée de luxe ». C’est quoi, ça ? Une prostituée dont les tarifs sont plus élevés que ceux des prostituées ordinaires ? Pas de quoi pavoiser ! «Luxe »est d’habitude un mot laudatif. Ici, cela euphémise, cela enjolive, cela magnifie une activité qui ne mérite pas vraiment la sympathie.
Je suis moins sûr de regarder ce film. Cherchons autre chose.

D. dit: à

Oui, il s’agit bien de prostituées de très haute qualité.
Enfin personnellement je suis comme vous, je me détourne instinctivement de tout ce qui enfreint la fidélité et les bonnes moeurs. Et disons-le, la moralité. De ma vie je n’ai approché une prostituée et je n’en ai eu strictement aucune envie, très sincèrement.
Beurk. Mais ce n’est que du cine, ce film. Vous savez faire la part des choses.

et alii dit: à

je crois renato, que M.SCHNEIDER amorce lui-même une analyse de cette question en commentant le propos de son livre où il n’abonde pas en hommage sur la pratique du dernier psy de marylin ; c’est le moins qu’on puisse dire! or depuis, l’histoire de la psy a fait du chemin, des scissions ne mouvements, avec des critiques des psys qui ont été publiées, commentées; tant sur le papier que sur internet, et dans différentes langues; il y a un travail à faire, chaque fois!disons que cette séquence a permis de soulever la question;
on ne dit pas que la médecine est une profession dépassée! ni la poésie un genre littéraire fini sans un travail nourri d’exemples

et alii dit: à

confidence pour confidence, je vous dirai que je n’ai jamais eu la curiosité de voir un film classé porno

et alii dit: à

j’ajouterai que je suis allée voir seule l’empire des sens

MC dit: à

Soleil Vert une page rococo comme le bain de la Duchesse Josiane dans l’Homme qui rit est me semble-t-il assez proche de Balzac. Le Père Hugo peut aussi s’amuser à faire l’inverse, d’écrire la destruction méthodique d’un objet précieux dans le Massacre de St Barthélémy in Quatre-vingt Treize, par les enfants.

Bloom dit: à

Un des mes anciens collègues, russophile (voire -lâtre) et russophone, doit aux oligarques sibériens (+) une aventure passionnante et édifiante au pays du novitchok et de l’internement psychatrique, ainsi qu’une gloire littéraire méritée qui nous renseigne utilement sur la poltronerie de notre « diplomatie », bien plus russophile qu’on le dit ici, un peu naïvement (l’info de fond n’étant plus réellement à la mode, on ne sait plus grand chose sur grand chose…)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Yoann_Barbereau

Je confirme: le FSB est une officine peuplée de gens fort sympathiques parfois bardés de médailles et souvent très « tactiles »…!

(+) – Tovaritch Oleg, une Stolichnaya, si-bé-rien!!!

une main dit: à

m’encouragea, dans une « brève conversation: je l’avais reconnu!) à me mettre à l’ordi! )

Hors, dîne, hâteur,
brièvement!

renato dit: à

et al., il y eut le temps du « monsieur avec la belle montre », puis celui du « monsieur avec la belle voiture », désormais n’importe quel dealer peut se payer une belle montre et ‘samercedes’ ou sa ‘bmw’ ; dans une séquence analogue, n’importe qui peut se payer… je ne dis pas une névrose, mais au moins un mal-être : une histoire d’amour qui fini mal, une reconnaissance qui tarde à venir et ainsi de suite, des moments de vie qu’une bonne scolarisation (lecture des classiques, etc.) devrait pouvoir aider à surmonter sans peine. Sans l’aide d’un psy, donc. Puis, naturellement, chacun agit comme bon lui semble, ‘vivre sur les arbres’ en compagnie d’un teckel qui expérimente le contact direct avec le sol, p. ex.

DHH dit: à

@patrice charoulet
je vous conseille vivement ce film’Max et les ferrailleurs « un scenario fort buen construit pour le récit d’une machination:/manipulation qui tourne mal

DHH dit: à

j’ai bien connu le romancier et essayiste Michel Schneider sous un autre avatar , tres different, celui de ‘énarque ordinaire ,conforme au profil mythique de cette population , fonctionnaire classique, competent et serieux du ministere des finances

et alii dit: à

je ne dis pas une névrose, mais au moins un mal-être
je ne dis pas le contraire, et même , je crois que vous avez raison de dire « payer »parce que ce n’est peut-être pas gratuit, la question subsistant de QUI PAYE , qui paye quoi, et quand et comment!
et chaque fois, la réponse à ces questions n’est ni « simple », ni « évidente »!

et alii dit: à

Marylin :on ne peut pas dire que sa beauté lui ait facilité « la route »!

D. dit: à

et alii dit: à

confidence pour confidence, je vous dirai que je n’ai jamais eu la curiosité de voir un film classé porno

je suis tombé accidentellement sur des visionnages de ce genre et j’ai trouvé ça absolument écoeurant, immonde, dégradant à tout point de vue.
Je pense sincèrement que toute âme un tant soit peu élevée se détourne instinctivement de ce genre de choses.

D. dit: à

Eh oui. En effet. Ça permet à tous de se situer.

B dit: à

une histoire d’amour qui fini mal

Au moins il y A amour, il y eut, il y eu. Le pire qui puisse être c’est de ne jamais éprouver ce sentiment ni m’inspirer. Bref, l’indifférence dans ces deux dimensions, recto verso.

B dit: à

L’inspirer*, correctif.

renato dit: à

Le Crédit Suisse a annoncé la démission de son président avec effet immédiat — cause : non-respect des règles de quarantaine.

renato dit: à

On tombe accidentellement dans la rue ou pendant une excursion dans la montagne. D’accord, mais comment on tombe accidentellement sur des visionnages ?

D. dit: à

Comment ?
Mais en se faisant piégé, renato.
En cliquant sur un lien par accident et paf vous avez une fenêtre qui s’ouvre avec une copulation bestiale dedans. Ça ne vous ai jamais arrivé une pareil horreur ?

D. dit: à

Tiens vous paraissez enfin, Bérénice. On peut savoir ce qui a justifié une absence si longue et un retour sans prévenir ?

renato dit: à

Il suffit de bien régler les paramètres du navigateur, D.

D. dit: à

A l’époque, renato, je disposais d’un navigateur qui ne permettait pas de régler correctement les paramètres. J’en ai vite changé, bien entendu.

B dit: à

Je ne suis pas de taille à vous affronter, j’ai perdu trop de temps à écrire à peu près n’importe quoi sans compter qu’en période pré-électorale je me vois bien dépourvue aussi ai-je décider de ne plus me compromettre en inscrivant ici soit du marbre mes bêtises et sottises. Mon silence dort.

B dit: à

De plus, j’ai le coeur irrégulier après la 3 ème dose. J’attends que ça passe, c’est gênant merci ca ne m’inquiète pas trop et bien que l’on meurt du coeur des fois dans ce que je dois convenir d’appeler ma famille.

B dit: à

Même si…

JiCé..... dit: à

MARDI 18 JANVIER 2022, 5h29, 5°, vent d’est léger

EDUCATION NATIONALE

« Au bac, les lycéens peuvent prendre option pétanque dans le Golfe de Saint-Tropez » (Var-Matin)

Un pas en avant dans la culture ! Bientôt l’option « Ricard en terrasse » remplacera Ricoeur à votre service …

On progresse ! On progresse !

JiCé..... dit: à

« une histoire d’amour qui fini mal » (renato)

Une vie bien remplie donne de l’expérience, vécue personnellement ou rapportée par des tiers. Il n’y a pas d’histoire d’amour qui finit bien.

Aucune !

L’amour est à l’instinct de reproduction ce que la religion est à la vie terrestre : un cache-misère, un habillage me,songer, une tromperie intellectuelle.

Le plus sinistre étant ces vieux couples qui déambulent à 70 ans passés, main dans la main, faute de laisse canine. Peuchère !….quels couillons !

Comme tous les couples du billet.

JiCé..... dit: à

ENQUÊTONS !

Plutôt que de papoter sans fin ni intérêt sur le couple commerçant auteur-éditeur, et sur sa relation commerciale qui ne passionne guère que les parisiens du Boboland, on gagnerait à causer d’un couple qui m’a toujours passionné tant il est vrai qu’il est boiteux et attendrissant.

Joseph et Marie, les parents du prophète crucifié !

vedo dit: à

Phil, suite à votre mention du Kunstschutz, je viens de voir le film Francofonia. Merci.

renato dit: à

« Il n’y a pas d’histoire d’amour qui finit bien. »

Pas vrai, mais, évidemment, il faut jouer cartes sur table à partir de la première rencontre et laisser l’option « main dans la main » aux lecteurs de roman-photo.

renato dit: à

Puis JC, et pour citer, de mémoire, un poète, l’amour représente la productivité de ceux qui sont (encore) porteurs de vieux phénotypes ; simule des contenus et créé des ersatz pour une individualité qui n’existe pas.

JiCé..... dit: à

Renato ! Jouer cartes sur table dès la première rencontre, alors que 99,9 % des acteurs jouent sous la table …

Phil dit: à

Merci Vedo, il me semble que Mister Court a mentionné ce bon lien Metternich.
B a le cœur qui bat la chamade, personne ne réagit, le blog a passou fait antichambre à faillezeur, sans jouer au tennis. Que devient la wonderwoman des ephad

bouguereau dit: à

l’amour représente la productivité de ceux qui sont (encore) porteurs de vieux phénotypes

si t’as pas eu omicron t’es qu’un laidron qu’il dit rénateau..rénateau il est pour le white cube hintensif

bouguereau dit: à

un habillage me,songer, une tromperie intellectuelle

cocucocucocu.. »cerveau qui me servit a me savoir sans vie »

bouguereau dit: à

« Ricard en terrasse » remplacera Ricoeur à votre service

..bien pour un cocu

bouguereau dit: à

Joseph et Marie, les parents du prophète crucifié !

il est pas allé au brésil danser la samba

Jibé dit: à

« le blog a passou fait antichambre à faillezeur, sans jouer au tennis. Que devient la wonderwoman des ephad »
Excellentes remarques, Phil, mdr -comme il paraît qu’on dit (ou qu’on disait, sasseur adorait faire djeun vec ça).
En train de lire le Mémo de Latour. JJJ, si vous passez, si vous l’avez lu, dites moi ce que vous en pensez, parce que moi, là, rien de rien. Franchement, Latour essaie de ne pas désespérer le monde et de ne pas causer décroissance, remplace un mot par un autre, pour nous apprendre … euh, qu’on va dans le mur. Je suis de moins en moins sûr qu’il est du genre à devoir s’engager. Je le dis avec respect pour le chercheur qu’il est et pour le prévenir vs le militant qu’il ne parvient pas à être.

bouguereau dit: à

A l’époque, renato, je disposais d’un navigateur qui ne permettait pas de régler correctement les paramètres

en plusse du pleug anal y met le gag ce vieux phénotype de dédé..ha elle est belle la france dans les confessionals

bouguereau dit: à

vs le militant qu’il ne parvient pas à être

ce vieux phénotype de jambon il suis que les vieilles barbes havec baton qui zozotent

D. dit: à

Pas du tout.

et alii dit: à

pour revenir au billet, il y a des psys qui publient les propos de leur client sans leur demander leur accord -et il arrive que le client le découvre!

Jibé dit: à

Oh oh, les Brits ont Bojo qui festouille à l’insu de son plein gré en plein covid et nous on a Blanq0uer, qui protocolise depuis Ibiza -et en des termes incompréhensibles, comme un qu’aurait poussé sur le mojito.

bouguereau dit: à

la vieille truie suitée..

D. dit: à

Bérénice, comme vous le savez sans doute vous-même, l’arythmie peut être bénigne et passagère comme être plus dangereuse. Je vous inviterai à prendre un avis médical.

et alii dit: à

uand Pascal vient me voir, mon mari est mort depuis six mois.

2Il vient pour une difficulté érectile et un problème de couple. Nous travaillons pendant deux ans sur sa « puissance », à la fois dans les domaines relationnel et professionnel, avec une exploration en navette de son histoire. A un moment où la crise de couple est au premier plan, Pascal décide d’une pause pour se consacrer à la thérapie de couple.

3Lorsqu’il me rappelle deux ans plus tard, je viens de participer à un stage de thérapie qui m’a remise en contact avec mes désirs de vie  [1]
[1]
– Cet article se centre sur la relation client-thérapeute sans….

4Je retrouve alors un homme meurtri malgré une apparence qu’il maintient dynamique. Son visage est affaissé de tristesse. Il sort du chaos, ayant remonté son affaire et retrouvé un toit pour sa famille. Ce flot de catastrophes qu’il m’expose avec une grande pudeur m’émeut fortement.

5
Thérapeute : J’observe que vous vous ressourcez seul. Vous avez beaucoup fait tout seul dans votre vie. Comment pourriez-vous utiliser notre relation ? Que pouvons-nous faire ensemble pour vous ?
Pascal : J’ai confiance dans vos qualités professionnelles, j’aime votre façon d’être, au-delà de votre apparence, de votre niveau social. Je ne serais pas revenu vous voir si vous ne me plaisiez pas. J’ai besoin du désir comme moteur de la thérapie.
https://www.cairn.info/revue-gestalt-2009-2-page-73.htm

bouguereau dit: à

le guive eusse a bréque c’est que en anglais qu’il dit jambon.. »otomatic lesson de démocrassie » god bless..

et alii dit: à

Antoinette De Mol et Salomon Nasielski sont psychothérapeutes de couple en Belgique. « Souvent, les gens hésitent à consulter un thérapeute de couple, parce qu’ils craignent l’implosion de leur union, explique Salomon Nasielski. Mais ils sous-estiment aussi leur désir profond de la voir survivre. »

1) Pourquoi une thérapie de couple ?

La thérapie de couple, tout comme la thérapie individuelle, est une démarche répondant au désir de quitter une souffrance. Tout comme une personne en difficulté, en détresse, peut demander de l’aide avec un espoir légitime d’être secourue, un couple peut effectuer une telle démarche. Tel est le sens général d’une thérapie de couple. Et, bien évidemment, le thérapeute de couple n’est ni un avocat ni un magistrat, et donc il ne fait généralement ni d’arbitrage, ni de
https://www.psychologies.com/Therapies/Toutes-les-therapies/Therapies-de-couple/Reponses-d-expert/Comment-se-passent-les-therapies-de-couple

Paul Edel dit: à

Céline et les éditeurs … Voici comment un inconnu, le docteur Destouches, présente son premier manuscrit à Gaston Gallimard en avril 1932. Cette lettre surprenante est de L.-F. Céline accompagnant l’envoi du manuscrit, « Voyage au bout de la nuit », qu’il appelle « son machin » .
Monsieur,
Je vous remets mon manuscrit du Voyage au bout de la nuit (5 ans de boulot).
Je vous serais particulièrement obligé de me faire savoir le plus tôt possible si vous êtes désireux de l’éditer et dans quelles conditions. Vous me demandez de vous donner un résumé de ce livre. C’est un bizarre effort en vérité auquel vous me soumettez et jamais je n’y avais encore songé.
C’est le moment me direz-vous. Je ne sais trop pourquoi mais je m’y sens tout à fait inhabile. (Un peu l’impression des plongeurs au cinéma qu’on voit rejaillir de l’eau jusqu’à l’estacade…) Je vais m’y essayer toutefois, mais sans manières. Je ne crois pas que mon résumé vous donnera grand goût pour l’ouvrage.
En fait ce « Voyage au Bout de la nuit » est un récit romancé, dans une forme assez singulière et dont je ne vois pas beaucoup d’exemples dans la littérature en général. Je ne l’ai pas voulu ainsi. C’est ainsi. Il s’agit d’une manière de symphonie littéraire, émotive, plutôt que d’un véritable roman.
L’écueil du genre c’est l’ennui. Je ne crois pas que mon machin soit ennuyeux.
Au point de vue émotif ce récit est assez voisin de ce qu’on obtient ou devrait obtenir avec de la musique.
Cela se tient sans cesse aux confins des émotions et des mots, des représentations précises, sauf aux moments d’accents, eux impitoyablement précis. D’où quantité de diversions qui entrent peu à peu dans le thème et le font chanter finalement comme en composition musicale. Tout cela demeure fort prétentieux et mieux que ridicule si le travail est raté. À vous d’en juger. Pour moi c’est réussi.
C’est ainsi que je sens les gens et les choses. Tant pis pour eux. L’intrigue est à la fois complexe et simplette. Elle appartient aussi au genre Opéra. (Ce n’est pas une référence !) C’est de la grande fresque, du populisme lyrique, du communisme avec une âme, coquin donc, vivant. Le récit commence Place Clichy, au début de la guerre, et finit quinze ans plus tard à la fête de Clichy. 700 pages de voyages à travers le monde, les hommes et la nuit, et l’amour, l’amour surtout que je traque, abîme, et qui ressort de là, pénible, dégonflé, vaincu…
Du crime, du délire, du dostoïevskysme, il y a de tout dans mon machin, pour s’instruire et pour s’amuser. […] Je ne voudrais pour rien au monde que ce sujet me soye soufflé. C’est du pain pour un siècle entier de littérature. C’est le prix Goncourt 1932 dans un fauteuil pour l’Heureux éditeur qui saura retenir cette œuvre sans pareille, ce moment capital de la nature humaine… Avec mes meilleurs sentiments (Louis Destouches Céline, Lettres, collection Bibliothèque de la Pléiade, pp. 306-308) .
On sait que Gaston Gallimard fut plus long à répondre au Docteur Destouches et que le plus jeune éditeur Denoël rafla la mise et publia « « Le voyage… ». Mais leurs rapports furent rapidement conflictuels. Leurs lettres sont l’écho de litiges constants portant sur le nombre d’exemplaires tirés ou vendus, le montant des droits d’auteur correspondants, et leur paiement. Céline menaça même l’éditeur d’aller à vérifier chez l’imprimeur le nombre d’exemplaires sortis des presses.

Jazzi dit: à

Je croyais que Denoël avait publié Céline à compte d’auteur, Paul ?

Patrice Charoulet dit: à

« Noirs en France »

Zemmour, et tous les racistes, auraient une bonne idée en regardant ce mardi soir, sur France 2, à 21h le documentaire intitulé « Noirs en France ». Mes journaux m’en disent grand bien.
Les susnommés seraient peut-être instruits et abandonneraient leurs préjugés.
Hélas, hélas, hélas ! Ceux qui auraient le plus besoin d’être instruits et éclairés , s’ils regardent la télé ce soir, on peut le parier, choisiront tout sauf ça.

renato dit: à

«… une démarche répondant au désir de quitter une souffrance… »

C’est un fait connu, il vaut mieux ne pas salir le miroir plutôt qu’avoir à le nettoyer.

closer dit: à

Après lecture de la lettre de Céline à Gallimard, on ne peut qu’en conclure qu’il y a du Céline dans Houellebecq…

…Et que le génie y affleure de façon si évidente que l’on se demande comment Gallimard a pu laisser passer un tel manuscrit.

et alii dit: à

miroir
mais quand ce miroir est une sorcière?

et alii dit: à

Autrefois, « œil de sorcière » qui surveillait les domestiques ou « troisième œil » des marchands et banquiers, le miroir sorcière diffuse la lumière de façon amusante. A dénicher et chiner !

JiCé..... dit: à

« Ceux qui auraient le plus besoin d’être instruits et éclairés » (Charoulet)

Enfin Patrice, mon ami, regarder la TV n’est pas la bonne formule pour être instruit et éclairé !

et alii dit: à

SORCI7RE MIROIR/le monde
« Le nom de ce miroir à la forme convexe aura plusieurs fois varié selon les époques. D’abord appelé « miroir de banquier », pour décrire son premier usage tel qu’il apparaît en Europe du Nord au XVe siècle, il permettait aux marchands de surveiller du coin de l’œil les clients d’une boutique ou d’une officine tout en restant assis à son bureau. Les peintres flamands sont les premiers à jouer avec les multiples angles de vue de cet objet qu’ils glissent dans leurs tableaux. Jan van Eyck avec son tableau Les Epoux Arnolfini (1434), Petrus Christus avec Un orfèvre dans son atelier (1449) ou encore Quentin Metsys avec Le Prêteur et sa femme (1514) font apparaître dans les miroirs convexes des seconds plans riches de nouveaux personnages, donnant ainsi une profondeur aux scènes peintes. »

renato dit: à

À propos de miroir et afin de donner une profondeur à la chose :

Dōgen, Shōbōgenzō, chapitre 19, Kokyô, « L’ancien miroir ».

Paul Edel dit: à

Jazzi
Robert Denoël établit un contrat en bonne et due forme pour le « Voyage.. » signé le 30 juin 1932.Aucun à valoir sur droits n’était versé. Céline ne commencerait à toucher 10% du prix de vente qu’à partir du quatrième mille, puis 12% de 5000 à 10 000 exemplaires vends et 15% de 10 000 à 50 000 et 18% au-delà…mise en vente le 5 octobre.
Aujourd’hui, je crois (à vérifier…) qu’aucun auteur ne touche 18%, la limite doit tourner autour de 16%..le roman fut mis en librairie le 5 octobre.
Signalons aussi que le docteur Destouches avait oublié de donner son nom et son adresse sur le manuscrit, et qu’il y eut même un quiproquo avec un autre manuscrit d’une dame habitant dans le même quartier… Chez Gallimard, au comité de lecture, il n’y eut que Malraux et Emmanuel Berl pour défendre « voyage… »
Ce que pensait Céline des éditeurs ? Voilà ce qu’il écrit à Milton Hindus en juillet 1947 : » je m fous énormément de ce que l’éditeur peut penser de mes livres- Il n’est même pas question de solliciter son avis- son gout est mauvais forcement- autrement il ne ferait pas ce métier de semi épicier semi-maquereau. »

Jazzi dit: à

Merci, Paul. Ce n’était pas un mauvais contrat !

JiCé..... dit: à

Rien ne change si tout continue comme avant dans un emballage nouveau, quel que soit le domaine.

Comme beaucoup d’autres avant lui dans l’histoire des mammifères supérieurs, Loulou la Ferdine a fait péter le ronron littéraire antérieur et tout à changé.

Pour notre bonheur…

Sauf les structures de distribution « à l’ancienne ». Pourquoi ? Parce que le « petit nombre » des lecteurs s’en branle totalement.

Bloom dit: à

la dernière fake news

« French Minister Decides on Last-Minute Health Protocol for Millions While Holidaying in Spanish Night-Club Mecca »

Il n’aurait pas commis une telle erreur, fait preuve d’un manque de professionnalisme aussi flagrant.

Bloom dit: à

Loulou la Ferdine a fait péter le ronron littéraire antérieur et tout à changé.

Joyce avant lui, 9 ans.
Qu’on jette Sa Nullité Littéraire varoise dans la snotgreen scrotumtightening sea!

D. dit: à

1994 PC 1 passera ce soir à plus d’un million de kilomètres de la Terre.
Si cet astéroïde avait percuté la Terre, il aurait creusé un cratère de 20km, dégagé instantannément l’énergie de 1 million de bombes atomiques, causé l’extinction d’1/3 des espèces terrestres dont peut-être la nôtre.

Quel était le risque qu’il nous percute ?
Les journalistes nous disent « très faible ».
Or je viens de le calculer, il était énorme : 1 sur 100.

vedo dit: à

Phil, oui c’est vrai, merci à MC. Ce film m’a vivement intéressé mais m’a laissé une étrange impression.

JiCé..... dit: à

Joyce ? Un pantin anglo-saxon …

renato dit: à

L’Europe des nations, ou comment prendre un platane de plein fouet. Il est vrai que c’est l’assurance qui paye, mais est-ce une bonne raison pour commettre une connerie ?

bouguereau dit: à

– son gout est mauvais forcement-

sp!d datère..5mn douche comprise

bouguereau dit: à

Or je viens de le calculer, il était énorme : 1 sur 100

si dit avant on te flictrait d’avoir précipité une culbute trés improbabe à même le trottoir..haprés on t’encule dédé..c’est donc leffet recherché

bouguereau dit: à

oui je suis pour le white cube (intensif)

trés basse intensité

renato dit: à

« trés basse intensité »

Peut-être, mais on voit mieux.

bouguereau dit: à

j’aime beaucoup ce « mieux » que ridicule de ferdine..ça lui ressemble telment..il me semble en effet qu’emmettre des signes contradictoire et semble til intempestifs soit une de ses signatures..il ne veut pas se donner en spectacle comme une raquel welsh qui ouvre nue à la porte disant que c’est inconvenant de sonner chez les dames quand elles prennent leur douche

bouguereau dit: à

Peut-être, mais on voit mieux

..que tout est hors de prix et les gens trés assommants..je préfère raquel à sa porte

renato dit: à

Il suffit d’éviter les gens, raquel aussi.

bouguereau dit: à

Vous me demandez de vous donner un résumé de ce livre

c’est un spectre en polo noir poil et rouflaquette qui me précéde dans toutes les pièces de ma maison de campagne..le soir approche..ma femme viens de se coucher..japréhende davoir à la rejoindre

bouguereau dit: à

Il suffit d’éviter les gens, raquel aussi.

beaucoup de mon plaisir survient de n’éviter ni les uns..et personne n’a jamais dit que la mère noel nexistait pas..tout le monde il a la foi

renato dit: à

Si je veux voir des gens et, éventuellement, parler avec, je ne vais pas dans les white cube ; il est vrai que si on veut rencontrer des emmerdeurs ces lieux sont idéales — surtout lors des vernissages* —.

*Mot désormais mal à propos.

Claudio Bahia dit: à

ILYA RÉPINE
quelqu’un voudrait-il bien aller voir pour moi l’exposition : Ilya Répine (1844-1930) « Peindre l’âme russe ».
C’est au Petit Palais, jusqu’au 23 janvier.
C’est urgent, je vous en prie, merci de me faire ce plaisir………….
Bonne semaine à tous

Jazzi dit: à

Bloom, faut bien reconnaître que Céline c’est plus jouissif que Joyce !

Anthime dit: à

Joyce ? Un pantin anglo-saxon …

C’est drôle, j’étions persuadé que c’était un Irlandais catholique et celte. J’ai dû me tromper. Si elle/il le dit, ce/tte JiCé qui m’a tout l’air d’une vraie pointure en littérature, c’est qu’il/elle doit avoir raison. Il/elle a du être scolarisé(e) chez les bonnes soeurs ou les jésuites.

renato dit: à

Vous savez Anthime, la géographie est souvent une opinion.

renato dit: à

Surpris d’apprendre qu’il y en a encore qui prennent leurs vacances à Ibiza !

et alii dit: à

JE NE VOUS APPRENDRAI RIEN EN VOUS PARLANT DE LA BARNACLE GOOSE, »barnacle étant le nom de Nora,la femme de JOYCE.En 1931, cédant aux incessantes demandes de sa fille et de son père, Joyce épouse sa compagne Nora Barnacle, avec qui il a vécu près de trente ans.
MAIS LA BARNACLE GOOSE N’EST PAS SEULEMENT La bernache, c’est aussi une « histoire yddish  » du folklore ! et je viens de trouver un article récent! » vient de sortir un nouveau numéro de leur zine exquis The Barnacle Goose. Ce nouveau numéro est consacré au thème des démons juifs. La lettre des éditeurs invite le lecteur dans cet univers séduisant quoique un peu déshonorant : « Peut-être que les pages qui suivent peuvent servir de bol d’incantation, ses lignes de texte virevoltant et virevoltant autour d’images puissantes. Que se passe-t-il si nous invoquons les démons ? Comment reconnaître leur présence atmosphérique ? Invitez-les à parler. Réapprenez leurs sorts. »
BLOOM CONNAIT SUREMENT, il sera plus efficace que moi:
https://www.tabletmag.com/sections/community/articles/nitl-nakht-yiddish-christmas-eve-rokhl
bonne suite!

et alii dit: à

bien sur c’est attesté dans la jewish encyclopedia:
Première croyance dans le mythe.
Une idée curieuse prévalait au Moyen Âge, que cet oiseau ( Branta leucopsis) a été généré à partir de la balane, un coquillage poussant sur une tige flexible et adhérant au bois en vrac, au fond des navires, etc., une métamorphose à laquelle Shakespeare fait allusion et à laquelle il est fait référence dans les vers de Bishop Hall, Butler , et d’autres, ainsi que dans les travaux scientifiques plus sérieux d’un grand nombre d’écrivains des XIIIe, XIVe, XVe et XVIe siècles. Contre l’hypothèse de F. Max Müller, selon laquelle le mythe doit être dérivé des oies d’Hibernian, se trouvent les déclarations de Gerald of Wales (XIIe siècle) et de Gervase of Tilbury (1211), ce dernier localisant ces oiseaux sur la rive du Kent. Il est curieux de constater que Gérald met à profit le mythe contre les juifs « obstinés », pour la conversion desquels il se montre zélé
https://www.jewishencyclopedia.com/articles/2534-barnacle-goose

Pesseaud Jean dit: à

Céline c’est plus jouissif que Joyce !

C’est tout le contraire!

Pesseaud Jean dit: à

Ça babille les papilles chez Joyce.

Pesseaud Jean dit: à

Ça parle plus que trilingue chez Joyce.
( Et le bilibili aussi..)

D. dit: à

Je me demande su Blanquer ne s’est pas laissé pousser la barbe pour mieux passer inaperçu à Ubuza.

Pesseaud Jean dit: à

Avec la truculence de la langue du peuple (des peuples)chez Joyce et pas ce faux vocabulaire peuple chez l’autre qui se paie de mots comme d’une danseuse!

Amanda Lire dit: à

De célèbres français de la culture habitent Ibiza, c’est un fake news pour campagne électorale.
Une blanquer de l’humour, tout au plus!

Amanda Lire dit: à

J’allais écrire une blanquette de Limoux, mais ce n’est certes pas ici, le lieu.

Amanda Lire dit: à

Vous êtes un jeune Pesseaud!
Pourquoi vous le dirai-je?

Pesseaud Jean dit: à

Pesseaud…les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures, Madame Amanda, qui jouez que parcimonieusement de la Lyre!

Janssen J-J dit: à

@ Jibé… Pas encore eu le Mémo de Latour en mains (commande chez Leclerc pas arrivée). Craint beaucoup d’avoir la même déception. Vous dirai, le jour venu. Merci à bientôt,

Amanda Lire dit: à

Ibiza, les plus belles boites de nuit…

renato dit: à

Dernière partie du soliloque de Molly Bloom.

« I love flowers Id love to have the whole place swiming in roses God of heaven theres nothing like nature the wild mountains then the sea and the waves rushing then the beautiful country with the fields of oats and wheat and all kinds of things and all the fine cattle going about that would do your heart good to see rivers and lakes and flowers all sorts of shapes and smells and colours springing up even out of the ditches primroses and violets nature it is as for them saying theres no God I wouldnt give a snap of my two fingers for all their learning why dont they go and create something I often asked him atheists or whatever they call themselves go and wash the cobbles off themselves first then they go howling for the priest and they dying and why why because theyre afraid of hell on account of their bad conscience ah yes I know them well who was the first person in the universe before there was anybody that made it all who ah that they dont know neither do I so there you are they might as well try to stop the sun from rising tomorrow the sun shines for you he said the day we were lying among the rhododendrons on Howth head in the grey tweed suit and his straw hat the day I got him to propose to me yes first I gave him the bit of seedcake out of my mouth and it was leapyear like now yes 16 years ago my God after that long kiss I near lost my breath yes he said I was a flower of the mountain yes so we are flowers all a womans body yes that was one true thing he said in his life and the sun shines for you today yes that was why I liked him because I saw he understood or felt what a woman is and I knew I could always get round him and I gave him all the pleasure I could leading him on till he asked me to say yes and I wouldnt answer first only looked out over the sea and the sky I was thinking of so many things he didnt know of Mulvey and Mr Stanhope and Hester and father and old captain Groves and the sailors playing all birds fly and I say stoop and washing up dishes they called it on the pier and the sentry in front of the governors house with the thing round his white helmet poor devil half roasted and the Spanish girls laughing in their shawls and their tall combs and the auctions in the morning the Greeks and the jews and the Arabs and the devil knows who else from all the ends of Europe and Duke street and the fowl market all clucking outside Larby Sharons and the poor donkeys slipping half asleep and the vague fellows in the cloaks asleep in the shade on the steps and the big wheels of the carts of the bulls and the old castle thousands of years old yes and those handsome Moors all in white and turbans like kings asking you to sit down in their little bit of a shop and Ronda with the old windows of the posadas 2 glancing eyes a lattice hid for her lover to kiss the iron and the wineshops half open at night and the castanets and the night we missed the boat at Algeciras the watchman going about serene with his lamp and O that awful deepdown torrent O and the sea the sea crimson sometimes like fire and the glorious sunsets and the figtrees in the Alameda gardens yes and all the queer little streets and the pink and blue and yellow houses and the rosegardens and the jessamine and geraniums and cactuses and Gibraltar as a girl where I was a Flower of the mountain yes when I put the rose in my hair like the Andalusian girls used or shall I wear a red yes and how he kissed me under the Moorish wall and I thought well as well him as another and then I asked him with my eyes to ask again yes and then he asked me would I yes to say yes my mountain flower and first I put my arms around him yes and drew him down to me so he could feel my breasts all perfume yes and his heart was going like mad and yes I said yes I will Yes. »

pourmapar dit: à

Latour, prends garde 3J!
C’est du philomélomène.

( Tout est résumé dans le livre apologétique de Patrice Maniglier, Le philosophe la Terre et le Virus – Bruno Latour expliqué par l’actualité Les liens qui libèrent éditeur 2021.
Il existe Une Annexe page 235 intitulée : Récapitulation systématique des concepts d’une ontologie du terrestre, et ce jusqu’à la page 265. 😉 🙂

Bloom dit: à

Quite thrilling, cet article de ce cher Lionel Trilling, et alii.
Quand je vois « Commentary », je ne peux m’empêcher de penser au bon mot de Woody Allen, qui fond les titres des deux revues les plus influentes de l’Amérique des années 60 & 70, « Dissent » & « Commentary » en un mot porte-manteau joycien, « Dissentry ».
La prose célinienne après ‘Morakrèdi’ est souvent une dysenterie pestilentielle.

MC dit: à

Sur le Comte de Metternich: voir les Memoires de Germain Bazin, qui en parle beaucoup. Sur la naissance de la Kunstschutz, La Cathédrale Incendiée, Gallimard, Lieux de Mémoire, l’auteur germanique m’échappe. Bouquin un peu sur le chapitre des responsabilités, avec absence de fouilles dans ce qui peut subsister des archives militaires françaises et la chaîne de decisions ayant conduit au bombardement.

MC dit: à

Les Mémoires de G Bazin, posthumes, concernent les tribulations des œuvres du Louvre pendant la guerre. C’était , c’est peut-être encore, chez Somogy. Sur Molly Bloom, se souvenir de Woody Allen; « il entretint une liaison passionnée avec Molly Bloom,avant de s’apercevoir que c’était un personnage de roman… »

Jean Langoncet dit: à

@ « Dissent » & « Commentary » en un mot porte-manteau joycien, « Dissentry ».
La prose célinienne après ‘Morakrèdi’ est souvent une dysenterie pestilentielle

Toujours vu par le petit bout de la lorgnette : pourquoi Dieu a-t-il donné autant de talent à la droite ? K.O. technique

Bloom dit: à

Pourquoi Dieu a t il donné le pouvoir à Hitler, Langoncet?

D. dit: à

Je ne comprends pas que vous puissiez nous influger ce genre de pavés en langue étrangère, renato. Moi je vous informe que je ne prends même pas la peine de les lire et je suis favorable à leur suppression dans les meilleurs délais.
Voilà.

Jean Langoncet dit: à

@Pourquoi Dieu a t il donné le pouvoir à Hitler, Langoncet?

Par ce qu’il n’a pas su se faire homme ?

Jean Langoncet dit: à

par ce > parce

D. dit: à

Vous n’avez rien compris, Bloom. Dieu n’a donné aucun pouvoir à Hitler. Ce dernier tenait son pouvoir du diable qui jusqu’à preuve du contraire est une créature angélique (donc pleine de pouvoirs) déchue.

Bloom dit: à

nous influger ce genre de pavés en langue étrangère,

renato, vous avez vu comment il écrit la France, D.?
« influger »…c’est l’heure du vermifuge torcheculatoire, grand-père.

Bloom dit: à

D.bile, comme l’écrivait TKT.

D. dit: à

Hitler n’avait pas forcément conscience d’être poussé par le diable. Évidemment certains de ses sbires occultistes opératifs comme Himler et Hess – mais ils y en avait d’autres – faisaient le boulot pour lui avec le soleil noir, les runes et j’en passe et des pires.

D. dit: à

Que croyez-vous que l’intelligentsia SS faisait dans les cryptes de Wewelsburg ?
Certains vous diront : des cérémonies néopaiennes. Moi je vous dis : de la magie noire, l’invocation des pires démons.

Soleil vert dit: à

1994 PC1
Selon le Small-Body Database Lookup, le 17 janvier 1933 il est passé deux fois plus près de nous à près de 20 km/s.

lmd dit: à

Accrochez-vous Celine contre Joyce .
Je vais du coté de Joyce. Le peu dont je suis certain c’est la relation solide que je fais entre Joyce et le cubisme, Picasso, Braque, le Dufy de l’Estaque et tous ceux qu’ils ont entrainés. C’est un type de représentation, de récit, plus systémique qu’une relation par la langue, le vocabulaire.

Jean Langoncet dit: à

@C’est un type de représentation, de récit, plus systémique qu’une relation par la langue, le vocabulaire.

shake it niggas

puck dit: à

j’aime bien la signature :

« Avec mes meilleurs sentiments,
Louis Destouches Céline, Lettres, collection Bibliothèque de la Pléiade, pp. 306-308 »

puck dit: à

comme façon de signer une lettre je trouve ça hyper classe.

puck dit: à

mon prochain manuscrit je vais signer pareil :

« Avec mes meilleurs sentiments,
Puck, Lettres, collection Bibliothèque du Blogapassou, p. 36-389768 »

B dit: à

C’est un type de représentation, de récit, plus systémique qu’une relation par la langue, le vocabulaire.

Wouahou! je note, peut être est ce que cela m’aidera.

D. dit: à

Soleil vert dit: à

Petit calcul à 50 km de l’impact

Voilà un bon site. Merci.

puck dit: à

« peut être est ce que cela m’aidera. »

je peux vous aider ? en fait il faut voir la définition de chaque mot, du coup ça donne :

type = monsieur

représentation = Fait de rendre sensible au moyen d’une image.

récit = relation orale ou écrite

systémique = Relatif à un système dans son ensemble.

relation par la langue = bisous à la française

vocabulaire = ensemble de mots.

au final ça donne :

« C’est un monsieur permettant de rendre sensible au moyen d’une image, relation orale ou écrite lié à un système dans son ensemble, un bisous à la française, l’ensemble de mots. »

c’est quand même plus clair quand on définit chaque mot, non ?

B dit: à

D, je vous remercie de votre contribution, sans intellect, impossible d’évoluer sans se perdre dans ce labyrinthe de références chargées de sens. Et moi je suis si primaire presque primitive que j’ai beau creusé je m’aperçois pas le fond, au fond duquel vraisemblablement la source pour apaiser la soif de savoir.

B dit: à

Creuser, les excuses du correcteur.

Janssen J-J dit: à

sur l’autre site, on fait dans « l’idiot »… dexter aimait beaucoup ce roman il y a des années de cela je crois – paul a du mal 30 ans après -, il essaie de relire les vieux bouquins de Dosto qu’il n’avait pas menés à bout. Me suis tapé les frères k dans la jardin? Me suis dit bon OK, 30 ans après crime et chatiment qui avait décidé de ma carrière (avec le Procès de FK), me dis aujourd’hui, non j’ai trop perdu mon temps… Me ferai pas l’idiot… Déjac que tout Proust et beaucoup de Stendhal et de Flaubert, une fois ne doit jamais devenir coutume…, même si le but est de pas mourir idiot. Mourir idiot ? on meurt tous ainsi… Que c’est kon (jrpmv/pmp)…
Au fait; j’ai pas bien compris « philomélomène » (l’hirondelle qui apporte la sagesse ?). Suis bien fatigué ce soir, BN !

Jean Langoncet dit: à

@c’est quand même plus clair quand on définit chaque mot, non ?

caveman-lavie éditeurs grotesques

D. dit: à

Meuhnon vous n’êtes pas si primitive que ça, Bérénice.

JiCé..... dit: à

MERCREDI 19 JANVIER 2022, 5h12, 11°, nuageux

Matinée capitale pour votre serviteur : je suis attendu chez ma coiffeuse vers 9 h.

Elle est délicieuse de simplicité, charmante, et va me faire des nattes, ce coup ci. J’adore aller en son salon rempli de vieilles peau ridées babillant de tout et de petits riens.

On se croirait chez Passouline, le copain de Céline !. En mieux.

JiCé..... dit: à

A propos !

Je rappelle aux mécréants que Dieu est mort, version optimiste et que pour bien des sachants il n’a jamais existé…

Voilà ! C’est plus clair comme ça !

JiCé..... dit: à

Définir chaque mot avec des mots ?….

Jibé dit: à

Je lis Welbec; ça se lit, tout doux, mais c’est assez ennuyeux.
Pour sûr, c’est pas du Joyce. Ca ne révolutionne rien de rien.
On sent que le type a l’oeil. Qu’il sait ce qu’est une famille et ce qui s’y trame, comment la société bidule tout ça. Mais bon, ne mérite pas le courroux de passou, rien qui anéantisse, rien qui transporte non plus.

Jibé dit: à

Plafond bas dans le Var.
Aucun espoir de dégagement.
Va falloir se l’appuyer, Bloom, vous savez bien que les Kons ça ose tout -comme BoJo ou certains ministres.

Bloom dit: à

Sue Gray, la haut fonctiuonnaire qui mène l’enquête sur les conneries de BJ, est considérée comme la femme la plus puissante du Royaume-Uni. Détail éminemment sympathique, elle est mariée à Bill Conlon, un chanteur de country nord-irlandais au nom célèbre par ses associations (les 4 de Guilford, Au Nom du père, Dan Day Lewis dans
le rôle de Gerry Conlon). Encore plus fort, tous dont tenu un pub dans les années 80, à Newry, à quelques kilomètres de ce qui était à l’époque la frontière la plus militairement gardée d’Europe occidentale.
Trouve-t-on chez les eunarques l’équivalent de ce parcours atypique? J’en doute.
La fantaisie se limite ici à des vacances à Ibiza, loin d’un pays qui suinte conformisme et ennui.
« Il fait jaune », comme l’écrit Flaubert à Louise Collet (12 août 1846)

Bloom dit: à

Petit slogan que je vous soumets, Jibé.

« Ibiza Un Jour, InouBaisera Toujours! »

Si vous avez le temps, vous pourrez éventuellement jeter un oeil au petit article que j’ai pondu sur « Ulysses » et que Passou a eu la gentillesse de publier dans ‘Le coin du traducteur’ de ce blog.

This calls for celebration, as BJ’s impending resignation will, too. Yes

et alii dit: à

e hasard fait bien es choses dit-on;
j’ai récemment évoqué Mona Ozouf à cause de Cripure, en remontant dans mes souvenirs et voilo que je vérifie et lis:
 » « Composition française », sur l’enfance qu’elle a passée à Plouha (22) puis à Saint-Brieuc. Une enfance bercée par les livres.

Depuis combien de temps pensiez-vous à ce livre ? La première idée du livre a surgi il y a vingt-cinq ans, et elle ne vient pas de moi, mais d’un ami, Jean-Étienne Cohen-Séat, qui dirigeait alors les ÉditionsCalmann-Lévy. Il avait lu la préface que j’avais écrite pour un recueil d’articles, et qui comportait déjà une brève réflexion sur mon parcours, et il m’avait dit : « Il y a un livre à faire avec ça ». À cette époque, le bicentenaire de la Révolution s’annonçait, avec beaucoup de travaux en perspective pour les historiens, et je n’y ai plus pensé. Mais l’idée a longuement mûri.

Comment s’est fait sentir l’influence de votre père, Yann Sohier, militant de la langue bretonne, alors qu’il est décédé quand vous aviez 4 ans ?
https://lalibertedelesprit.org/spip.php?article94

Bloom dit: à

Sue Gray, la haut fonctionnaire

Jibé dit: à

« La fantaisie se limite ici à des vacances à Ibiza, loin d’un pays qui suinte conformisme et ennui. »
yes Bloom, on s’ennuie ferme. Il fait même jaune pisseux.
Je ne vois rien de rock à l’horizon bas et lourd. Par ailleurs aucun haut fonctionnaire ne mène l’enquête sur les sottises de ce petit monsieur chasseur de maroquins qui aurait pris ses cliques et ses claques fissa s’il avait été danois ou suédois… Mais bon…
Hold on, mate!

et alii dit: à

suite :
Jean-Etienne Cohen-Séat, cinquante ans, titulaire d’une maîtrise de philosophie et d’un diplôme de l’Institut d’études politiques de Paris complété d’un troisième cycle d’études de la Fondation nationale de sciences politiques, fut de 1969 à 1974 adjoint du directeur général de la Sofres, et parallèlement lecteur chez Gallimard. Il est entré chez Hachette en 1974, fut directeur d’Hachette littérature de 1975 à 1978, puis fondateur et gérant des Editions Mazarine (1978.1984), administrateur délégué des Editions Marabout (1978.1984), gérant des Editions du Chêne, directeur adjoint de l’édition du groupe Hachette (1983.1984). Depuis 1985, il est PDG des Editions Calmann-Lévy. En septembre 1993, Hachette Livre a pris 57 % du capital de cette maison de littérature générale (littérature, essais, documents).
https://www.lesechos.fr/1996/09/jean-etienne-cohen-seat-840431

Jibé dit: à

Jeu de mots tel que je les aime, Bloom!

Et je vais aller lire votre « petit article » dès que possible. Merci du signal.

Bloom dit: à

« The mood of Conservative MPs was hardening against Boris Johnson on Tuesday night, with open talk of how to oust the prime minister and who should succeed him as he gave a disastrous interview claiming not to have lied over Downing Street parties. »

Les derniers jours du Bouffon Ebouriffé.

(Merdre de merdre, soupire Shakespeare, en se remuant les osselets au le petit coin des Poètes – il va avoirtout le loisir de continuer à étaler ses banalités sur moi et mon oeuvre;
Chic, dit Churchill, ua moins il n’osera plus se comparer à moi, qui ait reçu un des premiers exemplaires numérotés et signés par son auteur de Ulysses’).

Bloom dit: à

Fou comme il parle vite le père Winston. Il a visiblement vaincu son défaut de prononciation, son zozotement pâteux…

DHH dit: à

@et alii
« composition française est un livre qui m’a fascinée tant il est porteur de valeurs dans lesquelles je me reconnais présentées avec un immense talent
je l’avais deja ecrit ici en ces termes
« Ce que j’admire dans ce qu’ecrit cette grande dame ,au-dela de la richesse et de l’intelligence de son oeuvre c’est sa sincérité , son absence d’a priori,son refus de se laisser enfermer dans le politiquement correct.
Et à cet egard Composition française est un nourri d’intelligence et de verité ,qui m’a profondement marquée
Elle y montre, à partir de sa propre experience vécue, comment on peut etre une fille de la France « laïque et obligatoire »,ointe des sacrements les plus élevés de l’école de la repubique , et continuer a faire vivre en soi, sans dechirement ni contradiction, la flamme de son appartenance bretonne, allant jusqu’au bout du chemin ouvert par Renan dans sa priere .
En un temps où on ne distingue pas toujours l’affirmation de la difference de la tentation communautariste ,quelle belle leçon aujourd’hui pour certains, venus d’ailleurs et qui pensent au nom de leur assimilation , devoir se dépouiller d’un heritage qui en réalité les a construits

JiCé..... dit: à

UN COUPLE SPLENDIDE

Bloomie le Froggie + Jibé l’Attardée
MAGNIFIQUE duo de chèvres littéraires !
(et la possibilité de construire une triplette polymorphe avec Gigi la Visqueuse…)

La vie est belle, même pour les Inutiles polyglottes. Ah, la RDL ! Quel bonheur passoulinien et prestigieux, là où l’herbe est si tendre à leur mâchoire en mauvais état !

Vivons sans crainte. Le FSB nous agrée. Le FBI nous ravit. le LFI nous envie…

et alii dit: à

Dhh,
tant mieux; je vais profiter de cette évocation de M/O/pour nommer un livre passionnant pour tous et aussi pour les Thérapeutes:
le langage blessé
Le Langage blessé
Philippe Van Eeckhout
Personne n’a oublié le destin de Jean-Dominique Bauby, l’homme qui, enfermé dans le scaphandre d’un corps inerte, n’avait plus à sa disposition, pour communiquer, que le battement de « papillon » de ses paupières. Philippe Van Eeckhout a participé à sa rééducation, comme à celle d’autres malades atteints de Lis (Locked-in syndrom). À côté de ces cas, il a mené avec succès la thérapie de nombreux aphasiques. Pour lui, tout ce qui réamorce la communication avec le monde extérieur est bon à prendre : le chant, le dessin, le théâtre, le sport. Massant les gencives, pressant les thorax pour réguler la respiration, entrant dans la vie de ses patients pour retrouver les mots coincés, les voix brisées, il part du principe que, derrière la paralysie du langage, la personnalité du malade demeure intacte.
Au fil de son entretien avec Mona Ozouf, Philippe Van Eeckhout apporte une série de témoignages bouleversants sur un monde de silence d’où l’on ne parvient souvent à sortir qu’à force d’ingéniosité et surtout d’amour. Les itinéraires de ses patients sont autant de messages d’espoir que ce « thérapeute de l’extrême » sait nous livrer pour nous montrer qu’il ne faut jamais accepter que les mots « n’y soient plus », qu’il y a toujours moyen, à partir d’une syntaxe en charpie, de restaurer un langage.
sauf erreur , on y reconnait une grande philosophe -helléniste
https://www.albin-michel.fr/le-langage-blesse-9782226116840

et alii dit: à

l’historienne philosophe est, je crois;
Nicole Loraux, née Pilon1 le 26 avril 1943 à Paris et morte le 5 avril 2003 à Argenteuil, est une helléniste2, anthropologue3, historienne et traductrice française.
je l’avais entendu à BEAUBOURG AUSSI.ELLE eTAIT ALORS EN FAUTEUIL ROULANT;

et alii dit: à

Loraux:
« « Lire des mythes dans leur ancrage civique » en postulant que « le mythe est toujours déjà dans la cité » : tel est le propos des Enfants d’Athéna. Le mythe athénien de l’autochtonie révèle que la pratique politique ne connaît pas de citoyennes. Cette « exclusion incluse » des femmes, épouses et mères de citoyens mais non-citoyennes elles-mêmes, signifiait, sous le patronage d’Athéna, le déni de leur maternité. Occasion pour Nicole Loraux de récuser les arguments que les fervents de la Terre-Mère croyaient pouvoir tirer de ce mythe. Ses démonstrations coupent court aux invocations d’archétypes imaginaires de la fécondité, ainsi qu’à l’hypothèse d’un matriarcat archaïque, ressassée depuis Bachofen (Das Mutterrecht, 1861). L’évocation du matriarcat est fantasme, opération textuelle et politique.

Les discours, mythiques ou laïcs, mettent ainsi la question de la différence des sexes au cœur des dispositifs d’ordre de la citoyenneté. En même temps, ils indiquent la méthode, car ils sont tissés de censures, d’oublis, de refoulements, de démentis et de dénis. À partir des Enfants d’Athéna, Nicole Loraux utilisera de manière de plus en plus explicite les ressources de la psychanalyse – le Freud du Moïse et Lacan – pour prendre les Grecs aux mots de leur langue, et saisir « la longue durée du travail sur le signifiant ». S’appuyant sur Claude Lévi-Strauss, pour qui les Grecs avaient eux-mêmes commenté leurs mythes, et le détournant, elle multiplie les rapports entre les différents niveaux d’énonciation et les registres textuels – politique, épique, tragique, philosophique – pour en restituer l’épaisseur sémantique, et ce qui s’en trahit, car, dit-elle, « l’imaginaire s’embarrasse plus du réel qu’il n’y paraît »
https://archive.wikiwix.com/cache/index2.php?url=http%3A%2F%2Fwww.universalis.fr%2Fencyclopedie%2Fnicole-loraux%2F#federation=archive.wikiwix.com.

JiCé..... dit: à

SOS MEDECINS

Agressé par un malfrat en apprentissage républicain, un médecin de nuit toulonnais qui venait d’intervenir à 2h30 auprès d’un nourrisson dans un quartier fleuri, a été agressé, avec vol de son véhicule et de son matériel médical.

Il est grand temps de demander à ces médecins de nuit de faire l’effort de s’intégrer à la société hexagonale.

Ne sortez pas la nuit, seul, Hippocrate’s hypocrites !!!

et alii dit: à

je l’avais entendue-vue

D. dit: à

et alii dit: à

l’historienne philosophe est, je crois;
Nicole Loraux, née Pilon1 le 26 avril 1943 à Paris et morte le 5 avril 2003 à Argenteuil, est une helléniste2, anthropologue3, historienne et traductrice française.
je l’avais entendu à BEAUBOURG AUSSI.ELLE eTAIT ALORS EN FAUTEUIL ROULANT;

c’ETAIT EN QUELLE ANNEE4 ?

et alii dit: à

voici le « serment » qui ouvre une thèse
‘La leçon d’anatomie: étude historique et artistique de
quelques tableaux et frontispices, de l’Antiquité à nos
jours, en Europe
Anne-Isabelle Pierron Saïdou

 » »JLu moment d’être admise à exercer [a medecine, je promets etje jure d’être [idè!«
aux rois de ihonneur et de ra probite. Mon premier souci sera de retablir, de
préserver ou de promouvoir [a santé dans tousses déments, physiques et mentaux,
indiuiduels et sociaux, Je respecterai toutes res personnes, leur autonomie et leur
uolonté, sans aucune discrimination seron feur état ou leurs convictions.
Tinteruiendrai pour res protéger si erres sont affaiGûes, uulnérables ou menacées
dans feur intégrité ou feur (fignité. Même sous [a contrainte, je ne ferai pas tL.c;age le
mes connaissances contre res fois de l’humanite. J’informerai [es patients ries
décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai
jamais leut confiance et n’exploiterai pas œpouvoir hérité des circonstances pour
forcer [es consciences. Je donnerai mes soins à éinaigent et à quiconque me [es
demandera. Je ne me laisserai pas injluencer par ra soif augain ou ra recherche de
[a g[oire.
J’tamise dans l’intimite des personnes, je tairai res secrets qui me sont confiés. ‘Rççu«
à l’interieur des maisons, je respecterai [es secrets des foyers et ma conduite ne
servira pas à corrompre res mœurs. Je ferai tout pour soulaqet res souffrances. Je
ne prolotiqerai pas abusiuement res agonies. Je ne provoquerai jamais [a mort
deiiberement.
Je préserverai iindependance nécessaire à iuccomplissement de ma mission. Je
n’entreprendrai rien qui depasse mes compétences. Je res entretiendrai et [es
periectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandes.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs[amilles dans I’aduetsite.
Que [es hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis[idèle à mes
promesses ; que je sois deshonoree et meprisee si j’y manque ».

D. dit: à

 Ibiza Un Jour, InouBaisera Toujours! »

Vous êtes impayable, Bloom. Une fois encore j’ai failli m’étouffer de rire.

MC dit: à

Et Grasset à Maurois. « Je crois que vraiment j’ai eu tort de vous dire aussi brutalement ma façon de penser sur « La Hausse et la Baisse. C’était peut être là le rôle d’un ami véritable et d’un admirateur passionné de Bramble, mais pour un éditeur, ce fut je crois une maladresse.Comprenez-moi bien cher Maurois, il ne s’agit pas de savoir si « La Hausse et La Baisse » se vendra, il s’agit de savoir si ce livre est digne de vous et s’il est ce qu’on attend actuellement de vous, Je ne crois pas qu’un autre éditeur aurait pu se dégager assez de son intérêt immédiat pour vous tenir le langage de désintéressement absolu que je vous ai tenu »

D. dit: à

Moi et Jibé sommes très friands de vos cales en bourg (calembours) parce qu’elles ont le mérite d’exister ; en effet les cales sont (caleçons – warfff ! )

Patrice Charoulet dit: à

LE RACISME , ENCORE

Des milliards d’hommes. Chacun peut être raciste ou non. Qu’il soit un Blanc, un Noir, un Jaune…
Qu’est-ce que le racisme ? Mille livres en toutes les langues ont été écrits là-dessus. Qui n’en a jamais lu un seul, peut toujours commencer à en lire un. Qui a déjà été victime de racisme pense pouvoir se dispenser de cette lecture. Bien à tort. Pour tout comprendre, il ne suffit pas d’avoir été victime. Il peut même arriver qu’on soit raciste parfois, et victime du racisme parfois.
Cela dit, j’avais hier invité , sur Facebook et sur plusieurs blogs influents, à écouter l’émission « Noirs en France », diffusée à 21h sur France 2 . Tout ce que j’avais lu dans la presse au sujet de ce documentaire me semblait prometteur. Je l’ai suivie d’un bout à l’autre. Elle a tenu ses promesses.
Une foule de témoignages instructifs : Yannick Noah, un aide-soignant, une jeune danseuse classique, un étudiant, une boxeuse, un chanteur connu, un couple mixte, un acteur cinéaste, une journaliste TV, une prof de fac, une énarque de la Cour des comptes , des enfants…Des réactions de passants interrogés dans le rue, incontestablement racistes.
Cela dit, j’avais commencé ma prose non pas par « Je signale… » ou « Je recommande… », mais par « Zemmour et tous les racistes… » et j’avais émis l’hypothèse que les racistes ne regarderaient pas l’émission.
Sur un blog, un commentateur sous pseudo m’avait du coup taxé d’antisémitisme ! Pourquoi ? Je présume qu’à l’en croire Zemmour ne peut pas être raciste, car il est juif. Je renvoie à ce que j’ai dit à la première ligne. Tout homme peut être raciste ou non. Nul n’est à l’abri de l’être.Il y a des critères pour avancer qu’un comportement est ou n’est pas raciste. Tous ces critères sonr réunis chez Zemmour. Sans conteste. Qu’il soit juif et même candidat à la présidence de la République ne change rien. Etant opposé à tous les racismes, jamais je n’aurai l’idée de reprocher à Zemmour d’être juif, mais jamais je ne pourrai l’approuver d’être raciste. Il est juif et raciste.
Et je ne voterai jamais pour un raciste à la présidentielle. Ni au premier tour ni au second. Ce ne sont pas les candidats qui manquent : l’éventail est large. Et je voterai aux deux tours.

et alii dit: à

D.c’ETAIT EN QUELLE ANNEE4
JE NE RETROUVERAI PAS. EXCUSES; IL FAUT VOIR A BEAUBOURG

D. dit: à

J’ai été victime de racisme une fois dans une voiture de métro dans laquelle une femme noire sdf et manifestement psychotique traitait avec véhémence les voyageurs de sales blancs. J’ai eu envie de la faire interpeller mais je me suis dit que ça ne servirait à rien parce qu’elle était de toute évidence folle.

D. dit: à

PAS DE PROBLEME, ET ALII. jE DEMANDAIS ÇA PAR CURIOSITE7.

et alii dit: à

Dil me semble qu’il y avait E.GUIGOU
C ETAIT EN PETITE SALLE

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*