de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

Un auteur et son éditeur peuvent former une paire, un duo, un tandem mais un couple ? Il y faut la durée, l’intensité et une complicité qui transcende leur intérêt commun dans le pari que constitue la publication d’un livre. Sans oublier, le dernier mais pas le moindre, une certaine solidarité générationnelle. Yvan Leclerc, spécialiste de Flaubert et créateur du site et du Centre à lui consacrés et Jean-Yves Mollier, historien de l’édition, du livre et de la culture, auteur notamment d’une biographie remarquée de Michel Lévy en 1985, n’ont pas hésité à intituler Un couple explosif l’essai qu’ils consacrent à Gustave Flaubert et Michel Lévy. Leur livre est publié naturellement chez Calmann Lévy, seule maison à Paris qui peut se permettre de préciser en page de garde « éditeur depuis 1836 ».

Nés tous deux en décembre 1821 à quelques jours d’intervalle, cela crée des liens. Lorsque ces deux passionnés de théâtre font connaissance à 35 ans, Flaubert est un rentier des Lettres, libéré de l’obligation de vivre de sa plume grâce à l’héritage de son père et le placement judicieux que sa mère fit de sa dot, bien qu’il commença à vivre au-dessus de ses moyens lorsqu’il se mit à vivre à Paris ; la dilapidation est au centre de son œuvre. Il se refuse au « banquisme » comme ces charlatans qui flattent les goûts du public. Il a publié un grand nombre de textes de toutes sortes dans des revues mais Madame Bovary, dont il confie pour la première fois l’édition à Michel Lévy, est son premier roman. Disons qu’il y consent car, dans son idéal de l’art pour l’art (« Je ne vois pas le rapport qu’il y a entre une pièce de cinq francs et une idée ») puisque c’est se prostituer que de publier, un éditeur ne peut être qu’un maquereau. Sa méfiance est grande vis-à-vis de la corporation. Son notaire a d’ailleurs la charge de négocier le contrat.

Libraire-éditeur considéré comme innovateur par ses collections bon marché destinées au plus grand nombre à condition qu’ils fussent « des gens de goût », non seulement dans leur bibliothèque mais dans leur poche, classique pour ne pas dire académique, Michel Lévy se distingue par son éclectisme en publiant aussi bien Dumas, Mérimée, Féval, Baudelaire que Thiers et Louis Blanc ainsi que Labiche et autres dramaturges dans l’air du temps. L’homme fait preuve d’une certaine faculté d’adaptation : orléaniste, il se fait aussi bien à la République en 1848 qu’à l’Empire quatre ans plus tard. Leur relation se délite lorsque Flaubert est convaincu d’être exploité par Lévy :

« Je n’ai point la prétention que la Littérature me nourrisse. Mais c’est bien le moins qu’elle ne me ruine pas » lui écrit-il.

De fait, il ne reçoit qu’un forfait très modeste pour Madame Bovary dont personne ne s’attendait à un tel succès- mais c’était l’usage pour un premier roman. De plus, il estime qu’il n’a pas à se mêler du contenu de ses livres et refuse les illustrations, lui interdisant même de les lire avant la signature du contrat. La dégradation de leurs rapports va crescendo jusqu’à l’explosion, l’éditeur n’en ayant pas fait assez aux yeux de l’auteur pour honorer la mémoire de son grand ami, sa conscience et sa boussole, Louis Bouilhet. Or Michel Lévy n’était pas du genre à publier sans lire ni interférer. Il avait de son propre chef métamorphosé La Révolution, titre d’un manuscrit de Tocqueville, en L’Ancien Régime et la Révolution.

Face à cette résistance, on voit alors Flaubert glisser dans les stéréotypes antisémites, le désignant dans ses lettres non plus par son nom ou sa qualité mais comme « le juif », « l’israélite », « le fils de Jacob », « l’être immonde », « l’enfant d’Israël, « le vil circoncis »… Son éditeur, qui ne croyait pas plus dans son roman si peu romanesque l’Education sentimentale qu’il n’avait crû en son roman carthaginois Salammbô, se voit reprocher leurs commerciaux pourtant annoncés, et concentre sur lui seul son aigreur raciste. En 1872, plein de ressentiment, il se dit « fâché à mort » avec lui. Le voilà mûr pour tomber dans les filets du concurrent, Georges Charpentier. Lucide sur ses propres excès, écoeuré par la vie littéraire, il est bien décidé à ne pas « faire gémir les presses » avant des années alors que le manuscrit de la Tentation de saint Antoine est prêt. Trois ans plus tard, il ira jusqu’à regretter que la mort de Michel Lévy fut si douce.

L’examen de leur lien particulier permet, entre autres, de poser un problème qui n’a toujours pas été résolu depuis que Baudelaire s’en étonnait en 1861 : celui de la propriété intellectuelle. Autrement dit : est-il normal que les droits des œuvres soient revendus lorsque l’éditeur cède son entreprise à un autre sans que leurs auteurs aient leur mot à dire ? Au fond, le couple aura divorcé sur un malentendu faute de s’être rencontré au niveau moral et littéraire, en raison du refus de l’écrivain de considérer son éditeur historique pour autre chose qu’un épicier alors que celui-ci fut un redoutable homme d’affaires à la réussite incontestable. Quel eut été le destin de cette œuvre si l’éditeur n’avait pas empêché l’auteur de réserver Madame Bovary à une élite pour le forcer à l’offrir au plus grand nombre ?

(« Caricature de Gustave Flaubert par Pierre-François-Eugène Giraud, vers 1868 « ; «  Michel Lévy par Etienne-Gabriel Bocourt in Le Monde illustré, 22 mai 1875″)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

1134

commentaires

1 134 Réponses pour L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

DHH dit: à

@Puck
ce que vous dites de vos pastiches me rappelle une anecdote citée dans le tres beau documentaire passé ces jours ci a la tele sur la vie de Chaplin
Dans les années où régnait une veritable Charlomania étaient organisés en en Angleterre des concours d’imitation de Charlot, entre candidats qui se présentaient évidemment dans le mythique costume et faisaient un petit numéro de son style
S’étant glissé un jour anonymement parmi les candidats Chaplin aurait fini troisième .
Si non e vero…..

et alii dit: à

DHH, F héritier ne s’intéressait pas,dans son enseignement exclusivement aux bénéfices économiques et elle a été une femme exceptionnelle; son oeuvre plaide pour elle qui ne s’est pas défiée brutalement des psychanalystes; il se trouve que je pensais à elle (eu égard à la date de sa mort)

Janssen J-J dit: à

@ « n’ayez pas le melon charentais, une bonne foi pour toute »
…. La foi au prix du doute sur le melon, en somme !

@ nb – txfl / françoise héritier avait bien pompé (sic) son collègue maurice godelier, en somme !

@ je ne crois pas avoir jamais eu la capacité de dégoûter quiconque des admirables chefs-d’œuvre de paul klee proposés tous les jours sur cette chaine.

@ Je voudrais en revanche attirer l’attention de Pat V sur la signification de l’émergence de « l’art conceptuel » (H. Kienholz théorisé par Sol LeWitt) dans le contexte occidental de la fin des années soixante… Quelqu’un a dit : « comme l’illustration exemplaire d’un principe de paupérisation régénérant dans la longue histoire des artistes sans œuvre (JY Jouannnais, 1999)… « une grève, un mouvement social, le blocage des chaines avec occupation des lieux, des chaines de montage d’une usine de bibelots… une condamnation du destin-marchandise de l’œuvre d’art » (cf. Art and language). Cette explication-interprétation « marxiste » vous semble-t-elle encore correcte ? Nathalie Heinich n’a pas l’air d’en penser grand chose d’intelligent, sauf erreur… Et je ne juge pas de son bêtisier sociologique où elle a oublié de s’inclure, semble-t-il.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ S’étant glissé un jour anonymement parmi les candidats Chaplin aurait fini troisième .

Ouf ! j’ai cru une seconde que le père Adolf avait eu l’audace de se glisser dans le rôle… ! (jolie anecdote)

Jazzi dit: à

puck, je bosse, je ne peux pas tout commenter…

et alii dit: à

Les Nuits de la lecture, organisées pour la première fois par le Centre national du livre (CNL) sur proposition du ministère de la Culture, débuteront le jeudi 20 janvier et se poursuivront jusqu’au dimanche 23 avec une riche programmation autour de l’amour.

Malgré la crise sanitaire, cette forte mobilisation des professionnels du livre redonne aux Nuits de la lecture toute leur envergure. La manifestation sera ainsi l’occasion de réaffirmer, auprès de tous, la place essentielle du livre et de la lecture dans nos vies, comme l’a souhaité le Président de la République en déclarant la lecture « grande cause nationale ».

Consultez dès à présent la carte-programme pour découvrir les près de 5 000 événements physiques et numériques déjà programmés, dans le respect des mesures sanitaires, dans plus de 2 500 médiathèques, librairies, musées, établissements scolaires, etc., à travers la France et à l’étranger.

Bloom dit: à

Collectif – Zemmour contre l’histoire à paraître le 3 février chez Gallimard

Les ennemis de mes ennemis, etc…(+), je suis POUR l’histoire, rétrodiction plus que nécessaire.
Il est temps que les historiens s’emparent des média, par la force du savoir.
Zzzzz…, défié historiquement, politiquement, humainement, sociologiquement
‘Média Zz-ment, média Zz-ment, média Zz-c’est du vent (mauvais)…’

(+) Où l’on voit que Carl Schmidt n’a vraiment rien inventé.

Janssen J-J dit: à

Jouannais disait qq chose de très joli à propos de Bartleby dans son apologie des artistes sans œuvre : « commis aux écritures, n’était-ce pas la position idéale pour n’avoir pas à commettre d’écriture propre ? » (…) Et Deleuze d’ajouter : « je préfèrerais rien plutôt que quelque chose, non pas une volonté de néant, mais la croissance d’un néant de volonté »…
Un trait commun à tous les erdéliens, en somme… Bàv, aujourd’hui, c l’shabbat : on fait rien. ON laisse bosser jzmn, pour une foik…

Janssen J-J dit: à

Il est sûr que Carl SCHMITT (plutôt) n’a pas inventé la poudre à Z…écurer/Z…écoeurer/Z…écoeurant.
La figure de l’ennemi n’a pas toujours été bien comprise non plus par tous les socio-historiens, en dépit de la force de leur savoir en général, ni toujours non plus par les érudits locaux, tels un Julien Freund, etc.

et alii dit: à

En l’espace de quelques jours, Filippo Bernardini est passé du statut d’illustre anonyme à terrifiant criminel. Interpellé par le FBI, il serait à l’origine d’usurpation d’identité d’agents littéraires et d’éditeurs. Le tout pour obtenir des manuscrits encore non publiés, des brouillons d’auteurs… bref, des textes inédits. Historiquement, du jamais vu.
sombre grouillot du département des droits travaillant pour Simon & Schuster, qu’en est-il ? Les faits : durant cinq années, agents, éditeurs et auteurs auront expédié des exemplaires numériques de leurs ouvrages, dupés tous autant les uns que les autres. Selon le FBI, la profonde connaissance que Bernardini avait du secteur lui permit d’usurper des identités avec l’assurance de parler une langue commune.

Mieux : il a enregistré plus de 160 noms de domaines qui lui auront permis de mettre en place cette vaste opération d’hameçonnage. Le tout avec une microcoquille presque invisible pour qui ne fait pas attention : le coup était magistral.

Son employeur, bien embarrassé, a assuré de sa collaboration avec les services du FBI — décidément, une série en perspective, peut-être même écrite par les bons soins de Filippo Bernardini ? – et juré ses grands dieux que la propriété intellectuelle était la plus haute vertu. Le groupe, dans un communiqué officiel, indique : « [N] ous sommes soulagés que le FBI ait pu enquêter sur ces incidents et qu’il porte des accusations à l’encontre du coupable présumé. »

Tout cela est bel et bon, mais une question demeure, comme dans tout polar : pourquoi ? Quelle motivation ?

“C’est le plus grand des voleurs…”
Bernardini a plaidé non coupable devant la justice, en dépit des éléments de preuves avancés par l’enquête. Le FBI point que sa démarche était motivée « à des fins de fraude et pour obtenir de l’argent ou des biens ». Bien entendu, l’appât du gain semble dépasser la curiosité intellectuelle que l’on prêterait au dandy détaché et tout bonnement vorace des nouveautés que les grands noms de l’édition publieraient.

Sauf qu’au cours de toute cette période, des Margaret Atwood, des Sally Rooney et bien d’autres, connus ou peu, auront plongé dans le panneau… sans qu’aucune demande financière, tentative d’extorsion, de chantage, ou demande de rançon n’ait été formulée. Pas plus que l’accusé n’a tenté de diffuser les textes sur internet… Mais enfin, demanderait Gaston Lagaffe !

Un crime sans recette ? Le fait que son arrestation soit intervenue alors qu’il s’apprêtait à prendre l’avion laisse envisager que tout cela aurait pu avoir une suite, ailleurs, loin. Mais l’hypothèse n’est que présomption.

A-t-on affaire à un psychopathe d’une nouvelle race : celle qui entend goûter avant tout le monde au frisson de la première page, et réfugié dans une tour d’argent, se délecter d’avoir dérobé un Graal à chaque fois que le piège s’est refermé ? Vision romantique — qui irait bien dans la perspective, pardon de me répéter, d’une série… —, certes, mais qu’à cette heure, rien ne dément. L’argent que génère le monde du livre n’est pas celui des smarpthones d’Apple, de l’industrie pharmaceutique ou des juteux contrats pour la vente d’armes entre États.

Filippo Bernardini a roulé l’édition dans la farine : en cela, il a quelque chose de sympathique. Et qu’est-ce qu’un crime sans victime véritable ? Sans exploitation du larcin ? Pour l’instant, Bernardini serait coupable de gloutonnerie littéraire et pour y satisfaire, de s’être doté de moyens inédits dans l’édition. Tout au plus, une infraction aux sept péchés capitaux lui sera reprochée ? Si pèse un soupçon d’enrichissement personnel, par la commercialisation d’informations auprès de scouts, les éléments n’ont pas encore été tous communiqués.

Il n’a rien d’un Robin des Bois que la société capitalistique condamnerait avec force et avocats à l’appui. Peut-être un Arsène Lupin moderne, dont la vengeance ourdie de longue date ne saurait être satisfaite sans une humiliation cinglante de l’édition ? Décidément, j’ai hâte de voir cette série… Dommage que Jacques Dutronc ne puisse l’incarner.
https://actualitte.com/article/104266/edito/le-plus-terrifiant-voleur-de-livres-du-siecle-une-ame-romantique-de-glouton-litteraire

illustration CC 0

COMMENTER CET ARTICLE
Votre nom/pseudo (obligatoire)
Votre Email (requis pour les notifications de suivi, invisible sur le site)
Qu’en pensez-vous ?
POSTER MON COMMENTAIRE

PLUS D’ARTICLES SUR LE MÊME THÈME

AUTRES ARTICLES DE LA RUBRIQUE À LA LOUPE

Janssen J-J dit: à

A çui qui donne jamais son opinion…,comment veux-tu discuter avec ?
Je pense que
ense que
ense que…
ta problématique
tique
tique…
t’as raison de la taire
taire
taire
taire…
méconnaitre, virtualiser, abandonner, inaboutir
non, c’est pas « rater » le dandy ou le shandy –
Juste aspirer à ne pas paraître, vuk la vraie vie est Tailleur… (si tu l’écris, tu la vis pas)… mais les commentaires des blogs littéraires, al’hors, c koi ?… Des bureaux de projets non réalisés, peut-être ?… Bouh…

puck dit: à

pauvre Zemmour personne ne l’aime… comme Trump : personne ne l’aimait, et Bojo n’en parlons pas.

j’ai comme l’impression que l’avenir est aux présidents que personne n’aime, et plus ça va aller et moins on va les aimer.

la question est : pourquoi dans notre société actuelle aurait-on un président que tout le monde aime ?

déjà comment ce serait possible d’avoir un président aimable et sympathique, que la presse, les médias, les intellectuels diraient : ouai ce type vraiment on l’adore !

à quoi pourrait ressembler une telle personne ? faudrait poser la question à Welbec…

c’est un peu comme ces infirmières et ces laborantines qui font la tronche aux gens qui viennent faire le test pcr. faut lire les avis sur google : personne ne refile plus d’une étoile aux labos et pharmacies.

c’est juste parce qu’avec ces tests les biologistes et les pharmaciens ont touché le jackpot, l’argent leur tombe sur la tête comme à las Vegas !

le problème est que ce pognon ils ne l’utilisent pas pour embaucher plus de personnel ou pour augmenter leur salaire, ce pognon il le garde pour eux !

ça c’est le système libéral actuel : des propriétaires qui n’en foutent pas une mais qui voit leur capital exploser, et des salariés qui croulent sous le boulot mais sont toujours aussi mal payés. et comme dirait l’autre imbécile plus ça va et plus cet écart se creuse.

du coup les infirmières et les laborantines elles font la tronche, et les types qui viennent se faire faire un prélèvement se plaignent de leur mauvais caractère ou de repartir le nez en sang !

comment pourrait-il y aller autrement ?

pas possible ! Zemmour c’est pareil : il ne peut en aller autrement parce que c’est exactement le type qu’on mérite.

et si on n’avait pas voulu mériter ça fallait juste y penser avant.

et voilà ! y’a pas que welbec qui sait compter les points ! on sait tous compter les points et constater les dégâts de notre modernité parce que même un gamin de 6 ans il sait compter les points.

du coup faudrait que nos journalistes et nos intellectuels ils arrêtent de dire qu’ils n’aiment pas Zemmour et qu’ils comprennent que tout le monde se fout de ce que pensent tous ces crétins !

puck dit: à

le truc marrant c’est ce que tout le monde aime (ou n’aime pas) chez welbec c’est justement cette froide lucidité. comme si ça leur permettait de continuer de fantasmer un monde qui n’existe pas : ils préfèrent un type très lucide et tous les autres ravis de la crèche qu’une lucidité un peu moindre mais mieux répartie, du genre : la lucidité c’est juste bon pour lui et ses bouquins, nous on va contineur de rêvasser.. un peu comme ce que dit Musil entre l’intelligence moyenne et la moyenne des intelligences.

puck dit: à

en plus avec sa tête de Droopy Welbec semble souffrir de cette lucidité : il porte le poids du monde sur ses épaules et ça se voit sur sa tronche.

une espèce de nouveau Christ qui sacrifie sa vie pour nous laver de nos péchés.

on vit vraiment une époque incroyable.

Patrice Charoulet dit: à

Forum de la nef des fous.

et alii dit: à

puck, mon ami, soyez plus parcimonieux, sino, vous savez bien que vous allez devoir changer de pseudo, et mettre un masque pour recevoir zemmour quand il vous appellera! allons mon ami, qu’est-ce qu’on ne vous a pas fait que vous réclamiez votre du, votre mal en temps du, votre humour perdu , lost, lost et val d’AOSTE!

Janssen J-J dit: à

faudrait poser la question à Welbec

et ben figurez vous que dans le bouquin, Paul Raison en pince pour son ami le futur premier ministre Bruno que tout le monde aime, car il est pas comme les autres, comme la France aime le bon Zemmour… Sauf que dans l’isoloir, et bien non, notre républicains ne peut pas rayer Z ni déchirer ce bulletiun car il sait que sa « voie » ne serait hélas pas décomptée par le système légal… Alors, il prend le décision de se casser et de ne même pas passer par l’urne…-
Qui n’a jamais éprouvé les affres de semblable courageuse attitude vécue, en apparence anodine et pourtant si habilement mise en scène ? Hein !?

Janssen J-J dit: à

et toij…, tu la places où ta lucidité politique et sociale sur une échelle d’auto-satisfecit de 1 à 10 (ou du moinss au pluss) ? hein ?

Janssen J-J dit: à

votre du, votre mal en temps du, votre humour perdu, lost, lost et val d’AOSTE !
(humour juive ?)

bouguereau dit: à

ce pognon il le garde pour eux !

stefane pladza veut dla reversion de rente de situation

bouguereau dit: à

putain..vos gueules..tousses

renato dit: à

Samedi, curiosité pour l’information formatée-abrutissante, allumé la télé : consternant.

bouguereau dit: à

Le taureau, c’est le Polo des bois

..polo il en est honteux et confus

bouguereau dit: à

puck, je bosse, je ne peux pas tout commenter…

et lbaroz qui sue dans son débardeur..tu sais baroz que la touriss elle a horreur de ça!..pense a chirac sacrénom ! pour étouffer l’oseille faut ête coule

Damien dit: à

Collectif – Zemmour contre l’histoire à paraître le 3 février chez Gallimard

Je le lirai sans doute quand il paraîtra, car je m’intéresse à l’histoire. En attendant, pour me marrer, j’ai lu la brochure de Badiou, éditée dans la même collection. Je note que personne dans les médias n’en a parlé. C’est mieux ainsi.

D. dit: à

Ce soir c’est fondue aux merguez.

et alii dit: à

@RENATO/
In 1823, the Handel and Haydn Society offered Ludwig van Beethoven a commission to compose an oratorio for Boston, but Beethoven never responded. Paul Griffiths imagines he did, and the trip is the subject of his novel Mr. Beethoven. Griffiths will be joined by literary critic Michael Patrick Brady; Teresa Neff, performance fellow at the H&H Society; and David Snead, president of the Society on Thursday, January 20, at 12 noon ET, for an online conversation.
Two virtual events: On Heimito von Doderer and Beethoven

New York Review Books newsletters@nybooks.com

Bloom dit: à

Bon anniversaire, Molière!

Pas une ride, tu fais rire même les blasés des cités.

Merci, Ariane, pour ton film. In-dé-mo-da-ble.

(Quelle connerie, la Bible – tu es poussière, etc.!)

puck dit: à

Janssen J-J dit: à

et toij…, tu la places où ta lucidité politique et sociale sur une échelle d’auto-satisfecit de 1 à 10 (ou du moinss au pluss) ? hein ?
 »

3j z’êtes pas le mieux pour discutailler lucidité.

vous avez lu vos commentaires ? vous voulez que je vous dise à quoi ils ressemblent vos commentaires ? ils ressemblent à ça :

@trucmuche : vous c’est bien ce que vous dites parce que vous pensez un peu comme moi j’aimerais qu’on pensasse, je vous mets 16/20

@machinchose : alors vous ce que vous écrivez c’est magnifique parce uqe c’est exactement ce que je pense, je vous mets 20/20 !

@trucmachin : alors vous non, c’est pas bien ce que vous dites, vous pensez très mal, je vous mets 3/20 et encore je suis généreux…

ça marche comment dans votre tête ?

puck dit: à

et puis c’est pas de la lucidité que de se dire que dans un monde de merde tel que le décrit welbec on peut qu’avoir un président de merde.

c’est pas de la lucidité c’est de l’évidence.

puck dit: à

mais là nos grands penseurs et leur belle âme dissocient le forme et la forme.

il y a l’être d’un côté, et de l’autre le paraître, et même si ce monde merdique marche sur 3 pattes il nous faut un président qui nous laisse imaginer que tout roule comme sur des roulettes.

et les grands spécialistes de la dissociation entre l’être et le paraître ce sont bien sûr nos grands amis de la culture, une culture qui réconcilie les hommes, qui apaise, qui pacifie les sociétés, une culture un peu la Jack Lang tout le monde il est beau touche pas à mon pote sauf s’il a moins de 12 ans.

ben non ! c’est pas faire preuve de lucidité que de penser qu’il doit exister une harmonie et une cohérence en ce monde, et qu’il ne suffit pas d’habiller les choses avec de beuax habits pour nous faire croire que ces choses sont belles !

c’est pas possible !

et voilà ! du coup le Zemmour qu’on l’aime ou qu’aime pas faut faire avec et essayer de résoudre les raisons qui font qu’un pareil crétin puisse arriver de nulle part, comme d’autres dans l’Histoire, pour y mettre le bordel et déclarer la guerre de tous contre tous !

c’est comme l’iceberg la parti visible est la plus petite et la moins intéressante.

puck dit: à

Zemmour n’est que la partie visible de l’iceberg.

et bien sûr les journalistes et les intellectuels préfèrent nous bêler leur bien pensacne dans les oreilles plutôt que mettre les mains dans la merde !

puck dit: à

j’ai pas raison greubou ?

et alii dit: à

merci jazzi

D. dit: à

Gbzeugh.

JiCé..... dit: à

DIMANCHE 16 JANVIER 2022, 5h29, 6°, mistralet froid

Si le blog prestigieux de l’ami Passou peut, et doit, être défini comme la Nef des Fous la plus achevée des hautes sphères de l’esprit, alors il nous faut un Capitaine doué.

Car pour aller nulle part, il faut savoir où c’est !

Donc, on va faire une primaire populaire en RdL qui examinera tronche et programme des skippers potentiels, et dégagera une tendance, absolument nécessaire pour médiatiser et passer à la TV, un outil précieux pour ceux qui veulent savoir sans avoir à comprendre…

J’avoue qu’un équipage avec Bloomie le Froggie dans le rôle d’Achab à une patte, Jibé dans la posture du second, genre Ciotti, Gigi en baleine victime d’elle-même, genre Hidalgo, ça peut convenir….

Janssen J-J dit: à

Suggèrons un autre mistralet gagnant :
Jicé en Zemhour, MC en Castanex, PC en Chiotty et puck en Pompili-Pompe d’amour 🙂
(16.1.22 @ 9h26, il fait -1°/ beau soleil levant)

Janssen J-J dit: à

superbe interprétation de l’inachevée sous la baguette de KF, ce matin . – et hier soir, le film de Despléchins sur l’univers de Philip Roth… Tromperie… un casting magnifique, deux bonheurs de suite. Entrecoupé en outre d’un rêve de Dune, un trek rectiligne dans le désert marocain avec mon frère, jamais fatigué.
Bàv

D. dit: à

Djolkovic a voulu faire joujou avec l’Australie.
Mais moi qui connait bien les services de l’état australien, à prendre comme exemple d’efficacité, je savais dès le départ ce qui se passerait.

puck dit: à

Mais moi qui connaiS !!!!

relit-toi avant d’envoyer tes commentaires !

puck dit: à

« Si le blog prestigieux de l’ami Passou peut, et doit, être défini comme la Nef des Fous la plus achevée des hautes sphères de l’esprit, alors il nous faut un Capitaine doué.  »
 »

je postule ma candidature !!!

je me permets de vous envoyer ci-joint mon CV :

« avant je gardais mes conneries pour moi dans ma tête, et puis le blogapassou est devenu le sponsor officiel de mes délires… »

la suite à plus tard;;;;

Janssen J-J dit: à

Mais moi qui connaiS bien les services SECRETS de l’Etat australien,

@ relit-toi (sic) /// moij, jte lui colle O/20, à tête de noeud??? Elle est belle leur Education Nationale le dimanche matin !

puck dit: à

Mais moi qui connaiS !!!!

relit-toi avant d’envoyer tes commentaires !
 »

ah bon ? moi je trouve ça plutôt drôle, ça représente ceux qui donnent des leçons aux autres en se mettant eux-mêmes le doigt dans l’oeil.

Bloom dit: à

les services de l’état australien

Les descendants de bagnards, ça rigole pas avec la justice.
Quand on postule pour un visa de travail pour l’Australie, il faut fournir un document officiel émanant des autorités des pays dans lesquels on a travaillé précedemment stipulant que l’on n’a commis aucun crime.
Dommage que la règle n’ait pas été appliquée aux forçats des 18e et 19e s., les Aborigènes auraient échappé aux massacres et ils auraient pu continuer à vivre modestement de chasse et de pèche (car ils vivaient en grande majorité sur les côtes, évidemment).

et alii dit: à

PUCK?GARDEZ LA POUR LE SNARK

Janssen J-J dit: à

@ « ça représente ceux qui donnent des leçons aux autres en se mettant eux-mêmes le doigt dans l’oeil ».

du même, supra : « avant je gardais mes conneries pour moi dans ma tête, et puis le blogapassou est devenu le sponsor officiel de mes délires… »

BVD ! – prière de participer à l’hilarité générale au sujet d’une très belle lucidité
(en Cie de Shakespeare, Cervantès, Nietzsche, Dostoïevski, Flaubert, et pourquoi pas Saramago ?)…

Soleil vert dit: à

ahahaha

Pas un mot de Corneille dans le bouquin d’Huster disais-je. En face d’Huster, Ferrand reprend la fameuse affaire Corneille-Molière. Perso sur Molière écrivain j’ai un léger doute. On n’ a retrouvé aucun manuscrit, aucune lettre, aucun papier de sa main. Mais bon ça ne m’empêche pas de dormir. Par contre Huster …

https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/vid%C3%A9o-je-vais-le-tuer-le-coup-de-sang-de-francis-huster-dans-on-est-en-direct/ar-AASPxbR?ocid=msedgdhp&pc=U531

Janssen J-J dit: à

@ Bl., ci-joint, en votre senbs, une très belle étude d’un collègue sur la reconquête de la sécurité australienne à partir des réorientations managériales de sa police 6 Ne s’attarde pas sur le massacre des Aborigènes par les forçats forcés… A l’époque de cet ouvrage bien documenté, les études décoloniales intersectionnelles n’étaient pas encore de saison. Bàv,
https://livre.fnac.com/a1400729/Benoit-Dupont-Construction-et-reformes-d-une-police-le-cas-australien-1788

et alii dit: à

MOLIERE eST EN COUPLE AVEC LA LANGUE françoise

Janssen J-J dit: à

(pub pour info @etalii)
[Dans un nouvel ouvrage stimulant – Mémo sur la nouvelle classe écologique, le philosophe et sociologue français Bruno Latour et le sociologue danois Nikolaj Schultz réfléchissent aux conditions d’émergence d’un courant aussi identifiable que le libéralisme ou le socialisme. « Un spectre hante l’Europe et le reste du monde : l’écologisme ! » , écrivent les coauteurs de ce Mémo sur la nouvelle classe écologique. Et c’est bien sûr pour faire écho au manifeste de Karl Marx qui, en son temps, a su formuler le nouveau sens de la lutte politique en faveur de la classe ouvrière naissante. La question que posent ici Bruno Latour –l’un des intellectuels écologistes les plus reconnus sur la scène internationale– et Nikolaj Schultz est donc : à quelles conditions la pensée écologique pourrait-elle devenir une force politique centrale et mobilisatrice comme l’ont été avant elle le socialisme ou le libéralisme ? Enchaînant les thèses, Latour condense ici ses idées déployées dans ses livres précédents –tel le best-seller Où atterrir ?– mais sous la forme d’une «prose combat» tonique et stimulante destinée à armer les esprits de bonne volonté et à laisser émerger de nouveaux affects. Nouveau matérialisme – La tâche est, il est vrai, difficile. Car le socialisme et le libéralisme avaient beau s’opposer, ils étaient d’accord sur l’essentiel : une société ne trouve sa raison d’être qu’à s’organiser autour de la production par et pour les humains. L’écologie élargit le scope à tous les vivants en mettant l’accent sur l’habitabilité même de la Terre, que la production à outrance menace. Comment alors penser la « jonction du monde où l’on vit et du monde dont on vit » ? Face au «nouveau régime climatique», c’est un nouveau matérialisme qui est requis, centré sur «les pratiques d’engendrement» du vivant et non plus les rapports de production de biens. Tâche vertigineuse qui seule permettra d’unir les luttes écologiques aujourd’hui multiples et éclatées vers un nécessaire horizon d’action en commun.]

vanina dit: à

Mon père a été mis en nourrice à la montagne, mais Marcelline avait perdu son enfant, son abondance de lait
mise à disposition d’un enfant accouché avant terme,ma mémé a continué son travail d’institutrice.

J’ai en mémoire les visites qu’un montagnard faisait ici, « embrassez votre maman de ma part », il répondait, « je ne fait pas la bise à maman, elle est trop vielle ». Voilà pour le trop plein d’amour.

Michelet, après survol en compagnie de Roland Barthes, décidé de ne pas y toucher, un visionnaire obsédé par une fémininité primitive, odoriférante, pauvre Athénais.

et alii dit: à

la foule réclamait en un drelin-drelin festif et funeste. Nino ne revint pas. Je le revois sortant de scène, un peu dégoûté. Et me voilà en 2018, coffret des 30 ans du trépas en main, et c’est encore le même malentendu. Trois disques. Celui des tubes qui firent de l’homme qui voulait être noir un prisonnier de la liste rigolote rimée. On a, belle initiative, un plein disque des audaces psych-funk-prog du m’sieur Ferrari des années 1970 : Métronomie, Ouessant, la jazzy Cannabis… Merveilles méconnues, toutes. Le troisième disque en est un de reprises : Arthur H y fend les eaux dans Moses, mais c’est quand même de trop. Un autre lot de beautés insoumises de Nino par Nino, voilà ce qu’on aurait voulu.
Le Devoir, Nino Ferrer… et toujours en été, Nino Ferrer et artistes divers | Le Devoir

renato dit: à

Il importe de savoir que le père de Roland Barthes est mort dans une bataille navale en 1916 ?

Bloom dit: à

Merci du conseil, 3J. En fait la police australienne n’existe pas, car elle est divisée en autant d’entités qu’il y a d’états et de territoires. Je connais très bien la police de la Nouvelle Galle du Sud et particulièrement de Sydney, qui compta dans les année 90 parmi les plus corrompues au monde. Requins dans l’eau ET hors de l’eau.
J’ai eu longuement affaire à elle lorsque quelqu’un/quelques-uns ont foutu le feu à l’Alliance française que je dirigeais à l’époque (« No entry, sir, this is a crime scene »). J’écrirai bientôt sur cet épisode passionnant, qui m’a valu d’être mentionné dans plusieurs sites iraniens.
Vivre dans un pays « neuf », peuplé de « pionniers » ou de « bushrangers », réserve parfois d’étonantes surprises.
Rien à voir avec nos vieilles nations.
Homo abilis vs homo habitus?

et alii dit: à

6 Perrin Dendin, type de juge ridicule (Rabelais, Tiers Livre, chap. 41); 1668 (Molière, George Dandin ou le mari confondu [titre]). Du rad. onomatopéique dand- évoquant le mouvement de quelque chose qui balance (FEW t. 3, pp. 11-12a); cf. 1390 dandin « clochette » (ds Gdf).

et alii dit: à

le CUBE juge,sur la RDL,IL SE PREND POUR LA FEE CLOCHETTE

renato dit: à

Il serait temps que la gauche jette un coup d’œil sur la gauche qui ne sait pas changer.

Incidemment, il serait opportun que Madame Taubira prête un brin d’attention à son ‘système’ de diction-récitation…

renato dit: à

En 1823, et al., la surdité de LvB est totale, nonobstant il travaille aux Variations Diabelli et la Neuvième. Mais… la lettre pour les Bostoniens n’est jamais partie ou n’est pas arrivée ?

et alii dit: à

renato, méfiez-vous des « bostoniennes » et des « mariages de Boston ».’
oui à LUDWIG

JiCé..... dit: à

Faire écho au manifeste de Karl Marx !
Qu’est ce à dire ?

Par Zemmour, par Taubira ! Par Jadot ! Ajouter un couac-couac écologiste à un couac marxiste* ! …je me marre… et me répète :

Les Frères Marx sont les seuls marxistes fréquentables.

Bloom dit: à

Homo Habilis…HH.

Excellent JP Demoule qui, dans son dernier opuscule, n’oublie pas de mentionner que les religions, toutes les religions furent été crées pour contrôler-brider la sexualité féminine.
A lire la poésie irlandaise des premiers siècles, et la façon directe & abrupte dont elle exprime la terreur des hommes face à la puissance sexuelle des femmes, on n’est pas surpris…!

et alii dit: à

ET
William Marx, né le 31 août 1966 à Villeneuve-lès-Avignon, est un écrivain français, essayiste, critique et historien de la littérature. Il est professeur au Collège de France, titulaire de la chaire de Littératures comparées. Il est également membre honoraire de l’Institut universitaire de France et de l’Institut de recherches avancées de Berlin (Wissenschaftskolleg zu Berlin).

Il a reçu en 2010 le prix Montyon de l’Académie française, pour Vie du lettré.

et alii dit: à

ON A OUBLI2/
Le prix Novembre est créé en 1989 par Michel Dennery, qui possède la société de gravure et papiers de luxe Cassegrain et assurait la dotation du prix, à hauteur de 200 000 francs (30 500 euros). Mais celui-ci démissionne du jury à la suite du couronnement de Michel Houellebecq, dont il désapprouvait l’œuvre1. Le prix a bénéficié depuis cette date du mécénat personnel de l’homme d’affaires Pierre Bergé, mais il a du changer d’appellation car l’ancien mécène l’avait déposée2. Le prix Novembre devint donc le prix Décembre.

MC dit: à

Le Georges Dandin de Moliere n’est pas Perrin. La présence de Madame de la Dandiniere inciterait plutôt à chercher du côté du dandinement, de la dinde, dont elle a quelques traits de caractère. Pour Perrin , voir aussi La Fontaine.

et alii dit: à

plutôt à chercher du côté du dandinement
BIEN SUR c’était le propos! merci MC

Jazzi dit: à

« puisque c’est se prostituer que de publier, un éditeur ne peut être qu’un maquereau. »

Cette phrase ne méritait-elle pas d’être commentée ?

Janssen J-J dit: à

@ un brin marre de cliquer sur le rouge pour rencontrer que des grandes lectrices. Abstention électorale, ce dimanche !…
@ Evidemment que sévissent LES polices australiennes comme LES polices américaines, mais il existe aussi dans chaque nation, une structure fédérale de leur coordination et pilotage (outre UNE police de renseignement, icelles n’étant pas assimilable aux structures fédérées de la sécurité publique, comme dans la lander allemands, etc). Bon, cela dit, on va pas refaire un cours de spécialisation ici sur les trois grandes vocations de polices qui agissent sous dénominateur commun dans les modèles civils monistes ou d’allure militarisée dans les systèmes dualistes… Déjà que Passoul a du mal à s’y retrouver avec la légalité républicaine de Vichy, du temps où la PPP n’existait pas encore !…
Enfin bref; ne nous égarons point, on en était restés à se dandiner avec les dindes au Tar-truffe, je crois… Restons y, al’hors…

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, /Cette phrase ne méritait-elle pas d’être commentée ?/

non je ne crois pas…, c’était juste une métaphore un brin usagée qui parle d’elle-même, dès qu’on la tire de la nasse. Et dieu sait que d’aucuns sont bien situés pour en éprouver la vase…
* Avez-vous chroniqué qq part le récent A. Despléchin, au fait ?… J’ai beaucoup aimé ce film.

Bloom dit: à

Ci-dessous du concret 3J. Je doute que les flics de Perth se soient sentis solidaires au nolm d’une prétendue identification à une hypothétique police autralienne.

« The Royal Commission into the New South Wales Police Service, also known as the Wood Royal Commission was a royal commission held in the State of New South Wales, Australia between 1995 and 1997. The Royal Commissioner was Justice James Roland Wood. The terms of reference were to determine the existence and extent of corruption within the New South Wales Police (…)

By 1995, the Commission had uncovered hundreds of instances of bribery, money laundering, drug trafficking, fabrication of evidence, destruction of evidence, fraud and serious assaults in the Criminal Investigation Branch (CIB) at Kings Cross. Participation in misconduct was the norm in the detective division and the senior levels of the CIB in Sydney’s inner city were in corrupt relationships with major drug traffickers and the local criminal milieu. The Kings Cross detectives received payments akin to a « rent » from individuals like Bill Bayeh, Steve Hardas and « Fat » George; the payments totaled thousands of dollars per week, collected by Sergeant Trevor Haken and shared amongst the six Detective Sergeants and the Detective Inspector in charge (Graham « Chook » Fowler). This corrupt practice was known in police circles as « the laugh ».  »

Wiki: Royal Commission into the New South Wales Police Service

Je pourrais faire un catalogue des malhonnêtés au quotidien en Australie.

Appeler un chat un chat, le monde ne s’en portera qu’un peu moins mal, et on se fera peut-être moins sucrer les crédits de recherches.

D. dit: à

Dites-moi, Bloom, on est bien d’accord que stigmatiser des individus en raisin de leur origine ethnuque, ce n’est pas bien ?

Jazzi dit: à

« J’ai beaucoup aimé ce film. »

Alors, j’irai peut-être le voir, JJJ.
J’hésite aussi à aller voir le film sur Birkin par sa fille…

Bloom dit: à

stigmatiser des individus en raisin de leur origine ethnuque

Pas bien du tout, surtout si ce sont des euniques, pire encore s’ils sont des euniques-tamères, en slip derrière Carrefour.

et alii dit: à

MERCI JAZZY POUR LA lecon DE W.Marx!

Phil dit: à

you’re perfectly right dear Bloom, les Australiens, descendants de convicts et autres chasseurs de négros devenus laquais perfusés de faillezeur, méritent plus une étude de « genre » qu’ethnologique. Le Serbe, comme dit la presse pouilleuse, peut attendre en paix le prochain Sarajevo.
Revenons à nos moutons australiens qui font la peau de nos pléiades, que pensez-vous de la prise de Anaïs Nin en vo ?

Bloom dit: à

Dear Phil, Anaïs Nin était une Cubaine qui porta très haut et le Q & le QI.
Le pain quotidien des amoureuses de mes jeunes années, pour paraphraser Böll.
Yipee!

Bloom dit: à

On ne sera pas surpris de lire que les 2 candidats d’extrême-droite ne respectent pas la législation en vigueur dans leur vidéos de propagande: l’un cite 114 séquences sans avoir consulté les ayant-droits, l’autre s’offre le Louvre sans même avoir demandé l’autorisation d’associer son nom, ses idées et sa rhétorique simpliste au plus grand musée du monde.
Le premier est assigné en justice. Attendons pour la seconde.
Professionnels de l’idéologie à deux balles, ces pieds nickelés sont-ils des citoyens amateurs?
On rappellera que nul n’est censé ignorer la loi. même les nuls.

Janssen J-J dit: à

je lui parlais de structures, il me parlait de pratiques… Comment peut-on entendre raison à gauche sur la gestion de la corruption policière cette déviance endémique ou limitée selon les cas, les contextes, les équipes au pouvoir et le degré d’indépendance du pouvoir judiciaire ?… Inventer artout des comités de vigilance citoyens peuplées de minorités discriminées, peut-être, afin de mieux dépenser l’argent public sur les recherches sécuritaires ?

Phil dit: à

Le pain quotidien des amoureuses

et vous conseilliez la vo ou les laissiez choir en traduc, dans vos années fleuries dear Bloom ?

Bloom dit: à

Si vous voulez parler « structures » dans une perpective comparative, commencez peut-être par souligner le fait que les polices en pays anglo-saxon sont (théoriquement) au service du citoyen, et en France au service de l’Etat.
Constituer une police citoyenne, recruter au plus haut niveau (les petites frappes basses du front peuvent aller faire tourner l’agriculture (on manque de bras, notamment dans le fruit), et les chantiers), intégrer toutes les « minorités » visibles, publier des rapports réguliers consiultables sur le Net.
Rénover les commissariat, enseigner la politesse aux agents et les payer convenablement.
Surtout,mettre les forces de l’ordre au service du citoyen.
Trop de cowboys ici.

Bloom dit: à

Les traductions sont bonnes, si j’en juge par les passages murmurés…

Damien dit: à

Molière-Corneille, encore une affaire Gary-Ajar, comme avec Louis Labé, d’ailleurs. Mais dont on n’aura jamais le fin mot.

puck dit: à

ben oui je suis désolé, mais il existe plusieurs formes de lucidité, on a par exemple la lucidité à welbec, la lucidité à la Molière, ou à la Fontaine, et la lucidité à la Thomas Mann.

disons que ma lucidité serait plus proche de celle d’une Thomas Mann que d’un Welbec, dans la mesure où l’on peut parler chez ce dernier d’une lucidité « inutile » : il voit, il comprend,, il sait… au final ça le fait sourire ou bien ça le fait souffrir : dans ce cas on peut parler d’une lucidité subie ou lucidité « bête ».
Par contre chez Thomas Mann cette lucidité est le point de départ pour construire toute une réflexion sur la condition humaine, on peut parler chez lui d’une lucidité « active », alors que welbec elle est passive.

voilà, faut juste savoir de quoi on parle.

puck dit: à

par exemple tout le monde parle d’écologie, mais peu de gens en savent la définition.

en fait l’écologie c’est trouver une forme d’équilibre entre les humains et leur environnement.

et là ça devient intéressant, parce que ça permet de définir ce qu’est l’écologie politique : des moyens d’action visant à l’équilibre entre les humains et leur environnement.

du coup la relation entre les humains eux-mêmes cette politique elle s’en tape complet !
alors que c’était le sens initial donné au mot politique : trouver le bon équilibre entre les hommes.

donc l’écologie politique n’est pas évolution du politique pour l’adapter à la modernité, mais un poyen d’y mettre fin en partant d’un nouveau paradigme.

voilà c’est juste un petit exemple de lucidité, comme ça, voilà !

Jean Langoncet dit: à

@ben oui je suis désolé, mais il existe plusieurs formes de lucidité

De Nin en passant Ninon et Ninette, les petites amoureuses au quotidien d’un extra-lucide

« Un hydrolat lacrymal lave
Les cieux vert-chou
Sous l’arbre tendronnier qui bave,
Vos caoutchoucs

Blancs de lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères,
Mes laiderons !

Nous nous aimions à cette époque,
Bleu laideron !
On mangeait des oeufs à la coque
Et du mouron !

Un soir, tu me sacras poète,
Blond laideron :
Descends ici, que je te fouette
En mon giron ;

J’ai dégueulé ta bandoline,
Noir laideron ;
Tu couperais ma mandoline
Au fil du front.

Pouah ! mes salives desséchées,
Roux laideron,
Infectent encor les tranchées
De ton sein rond !

Ô mes petites amoureuses,
Que je vous hais !
Plaquez de fouffes douloureuses
Vos tétons laids !

Piétinez mes vieilles terrines
De sentiment ;
– Hop donc ! soyez-moi ballerines
Pour un moment !…

Vos omoplates se déboîtent,
Ô mes amours !
Une étoile à vos reins qui boitent
Tournez vos tours !

Et c’est pourtant pour ces éclanches
Que j’ai rimé !
Je voudrais vous casser les hanches
D’avoir aimé !

Fade amas d’étoiles ratées,
Comblez les coins !
– Vous crèverez en Dieu, bâtées
D’ignobles soins !

Sous les lunes particulières
Aux pialats ronds,
Entrechoquez vos genouillères,
Mes laiderons ! »

Mes petites amoureuses, Rimbaud

Mc dit: à

La Sorbonne avait mis en scène un blog contrant cet absurde serpent de mer de Corneille auteur des œuvres de Moliere, dont on ne connaît aucune mention avant ´Pierre Louys, et qui est tout simplement intenable compte tenu du peu d’intérêt ou Corneille est tenu par la jeune Cour. On voit mal le même auteur Marguilier de sa paroisse, auteur d’une Imitation de Jesus Christ versifiée très lue, capable de faire la leçon à Louis XIV après la diminution puis la suppression de sa pension en écrivant «  un Grand Roi ne promet que ce qu’il faut tenir « écrire de manière schizoïde le Tartuffe, et servir le même Roi qui ne le paie plus. Qui plus est le pessimisme des dernières tragédies cornéliennes va à rebours des pièces et du comique moliéresque. La collaboration de Psyché, ou Moliere, surmené, doit faire appel à Corneille pour terminer une commande royale, ne doit pas servir de prétexte à une distorsion de l’ Histoire,

Bloom dit: à

Pierre Louys

« Chose sûre »: PL n’est qu’un minable écrivaillon & misérable anti-dreyfusard militant. Un minuscule astre mort & décomposé au regard de notre fils de tapissier national.

bouguereau dit: à

écrire de manière schizoïde

..à la fransozeune..sans les bon sentiments -mettons- mais au moins havec une bonne santé mentale pour faire dla bonne litérahur schweinhund! quil dit her doktor courte..

bouguereau dit: à

PL n’est qu’un minable écrivaillon & misérable anti-dreyfusard militant

cqfd

bouguereau dit: à

Fade amas d’étoiles ratées,
Comblez les coins !

tout est cul par dessus tête quelle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

il existe plusieurs formes de lucidité

keupu veut signifier qu’il en a une petite..que ladmettant par le fait..mais c’est pas sa faute..et quen conséquence yavé est un sale mec..moi quand je dis mec..c’est pour prendre sur moi

renato dit: à

Sans bons sentiments ? Essayiez Hanya Yanagihara (To Paradise)
— pour mettre noir sur blanc quantité de disgrâces il faut en être dépourvu (de sentiments) … et sans rire 766 pages ! Belle démolition par le New York Magazine.

bouguereau dit: à

les polices en pays anglo-saxon sont (théoriquement) au service du citoyen

aux chiottes la théorie..vive la national raïfeul association

renato dit: à

La lucidité du ciel ce soir.

bouguereau dit: à

« puisque c’est se prostituer que de publier, un éditeur ne peut être qu’un maquereau. »

Cette phrase ne méritait-elle pas d’être commentée ?

paris c’est comme les morpions baroz..il te suffit de t’en trouver un pour te sentir bafoué humilié..suffit de pas sgratter les burnes quil disait charlot..et on peut havoir une chance de les rfiler

Bloom dit: à

Hanya Yanagihara

Encensée par les critiques brits, en particulier à Radio 4, renato.
Next on my reading list.

Beaucoup de bons livres en ce moment, y compris chez nous, le dernier Vuillard, les amours dispersées de WB Yeats & Lady Gregory sous le plume de Maylis Besserie, brillante irlandophile.
Mes fils se souviennent encore de « The Swans à Coole Park », en anglais & français, lu à haute voix sur ce qui reste des fondations de la maison de Lady Gregory à Coole Park, rasée par les forces anti-Traité en 1922…Les cons.
Tout le monde n’était pas Sean O’Faolain.

bouguereau dit: à

Excellent JP Demoule qui, dans son dernier opuscule, n’oublie pas de mentionner que les religions, toutes les religions furent été crées pour contrôler-brider la sexualité féminine

patoutafé excellent..ya des ratés qu’il dirait dsk

bouguereau dit: à

Michelet, après survol en compagnie de Roland Barthes

..havec l’onguent qui va bien

Bloom dit: à

LA plume.
Tout le monde n’était pas Sean O’Faolain (dans l’IRA).

bouguereau dit: à

et puis c’est pas de la lucidité que de se dire que dans un monde de merde tel que le décrit welbec on peut qu’avoir un président de merde

bredouillant..laid..sans dents..catatonisant..faut rende a ton welbec davoir reconnu en lui ce talent de devoir servir et promouvoir la litterature qui en a marre d’ête belle et bonne

renato dit: à

« Encensée par les critiques brits »
Pas pour la critique US ; enfin, celle que je lis.

Marc Court dit: à

Je reviens à Werdet. Les Memoires parus en 1859 le sont au moment où Balzac traverse un relatif purgatoire auprès des gens de lettres. Les griefs de Werdet sont intéressants pour ce qu’ils nous disent «  Je crois que de Balzac, de son vivant , a été trop loué, trop vanté surtout, trop surfait même, par les admirateurs de son talent, par les femmes d’abord, dont il flattait les petits péchés mignons; tandis qu’il a été vigoureusement fustigé , très souvent injustement, il est vrai, par des Aristarques, de vrais Zoiles, constamment jaloux des produits qui ne sont pas leurs œuvres. »
Apparaît ici un poncif de la Critique de l’époque qui nous paraît aujourd’hui bizarre mais sur lequel tout le monde est d’ accord: Balzac ne vaut que comme romancier de la femme, et pour une critique masculine, ce n’est pas un compliment. Pour Sainte-Beuve: « Le Pigault-Lebrun des Duchesses. Pour la Critique reçue par Table tournante à Jersey, il « a la clé du cœur des femmes, c’est le poète de l’infini dans le mignon…mais il lui « manque le style » Le Balzac ainsi miniaturisé au statut de romancier féminin doit inévitablement mener à une seconde idée reçue : Balzac écrit mal. Ce pourquoi Werdet annexe Taine dans un morceau de bravoure reproduit ci-apres.

puck dit: à

greubou toi que t’es un mec extra lucide comme le fut en son temps pedro ici même sur le blogapassou je peux te poser une question ?

tu penses quoi qu’en ces temps de guerre contre le covid les pharmaciens et le biologistes en profitent se faire des couilles en or ?

tu penses que c’est écologique ?

encore que les journalistes aussi ils gagnent le vie sur la misère du monde non ? sauf qu’ils se font pas des couilles en or comme les pharmaciens.

en fait tout tient dans le concept de « couilles en or ».

encore que pendant toutes les guerres y’en a qui en profitent pour se faire des couilles en or.

MC dit: à

Taine, donc, in Le Style de Mr de Balzac,Journal des Débats, 1858. » « «  Vous avez vu parfois une lourde chenille, aux pattes multipliées, aux dents infatigables, s’endormir et se transformer dans l’épais réseau qu’elle s’est tissé; il en sort péniblement un papillon pesant, empâté et nourri par les débris de sa chrysalide, et que ses ailes magnifiques et énormes emportent au plus haut de l’air. Tel est Balzac, soutenu dans son vol hardi par la vigueur grossière de son tempérament, par l’entassement de sa science, et dont le génie ne se dégage qu’ à force de patience, après mille études, avec des imperfections visibles, par l’accumulation et le triomphe de la volonté «  A noter que Werdet juge ce texte, dont il adopte les conclusions, modéré… Il pourrait en rester là, mais contre toute attente, propose un bilan plus personnel: « Ce qui restera à jamais de Balzac, selon moi, c’est l’observateur profond, patient, et laborieux ; l’analyste du cœur de la femme qu’il a fouillé dans tous ses replis les plus cachés; l’observateur des vices et des passions des hommes de ce siecle. »( On se demandait où ils étaient passés !) »Oui je le crois, de Balzac à été le plus profond comme le plus grand des psychologistes de notre epoque » Revirement? C’est mal connaître Werdet puisque le compliment précède un ramas d’historiettes ,peut-etre pas toutes fausses, mais d’où le nom de Balzac ne sort pas grandi. Il semble s’agir plutôt d’une précaution oratoire du genre je n’en dis pas de mal, au contraire, même si ce que je raconte lui porte préjudice. Un contrefeu anti-Hanska, en quelque sorte. En tous cas une rancune de mule du Pape, et, quatre ans après la mort de l’écrivain, et un duo explosif!

puck dit: à

moi aussi je crois que la police et les citoyens du monde ils peuvent être tous des frères. pas que la police, tous les hommes peuvent être tous des frères. c’est ce qu’avant l’invention de facebook, d’amazon et de uber eats on appelait la fraternité.

puck dit: à

cela dit c’est tout de même vrai que Balzac aime les femmes parce qu’elles sont capables d’un amour « absolu » qui peut aller jusqu’au sacrifice contrairement aux mecs qui sont tous des bras cassés, et penser comme ça, pour Balzac, c’est très fort ! avec tous les râteaux qu’il s’est pris.

Jean Langoncet dit: à

@stigmatiser des individus en raisin de leur origine ethnuque

Pas bien du tout, surtout si ce sont des euniques, pire encore s’ils sont des euniques-tamères, en slip derrière Carrefour.

Sauf en Israël où le forfait est pour la droite nationaliste justifié par la lutte contre le terrorisme mondialisé, ce que le monde entier lui reproche ; enfin, je ne connais rien de l’implantation de la GD française là-bas

Janssen J-J dit: à

@ mon extra-lucidité /// les polices en pays anglo-saxon sont (théoriquement) au service du citoyen ///,

… encore un poncif (bien français de gauche) à la peau dure au 21e s., sur les (quelles de ?) polices en pays anglo-saxon (c – koi, le pays anglo-saxon ?)…
Bàv,

puck dit: à

« Sauf en Israël… »
 »

of course ! et pourtant, ce que je ne comprends pas c’est que ce pays pourrait prendre modèle sur ses voisins les plus proches, comme le Liban, l’Irak, l’Iran ou la Syrie où règne la liberté et il fait si bon vivre avec tous ces couples homos qui marchent dans la rue en se tenant par la main…

ce qui n’est pas le cas de la France qui a pour voisin un pays déplorable la Suisse !

Bloom dit: à

3J, vos nombreuses années de séjour passées dans les pays où les natifs parlent anglais et sont souvent protestants (mais pas toujours), devraient vous mettre sur la voie.
Peut être ne comprenez-vous pas tout de que vous lisez. Cela peut arriver aux meilleurs…Comme si la théorie vous avait mité le réel.

puck dit: à

« encore un poncif »
 »

faux !!!

« les polices en pays anglo-saxon sont au service du citoyen » : c’est un poncif.

« les polices en pays anglo-saxon sont (théoriquement) au service du citoyen » : c’est pas un poncif, c’est une vision théorique, donc une vue de l’esprit.

et la vue de l’esprit c’est tout sauf du poncif !

puck dit: à

je pense que Mr Court ne me démentira pas si je proclame que ce qui manque le plus à notre esprit critique c’est un grand penseur comme Monsieur Hippolyte Taine, à savoir un type qui a les pieds sur terre autrement appelé un positiviste !
welbec a une époque s’était essayé au positiviste, mais c’est pas le genre de truc pour les gens qu’ont une santé fragile.

Jean Langoncet dit: à

Quel est le voisinage d’un missile de croisière keupu ? Une retraite de rêve à Haïfa en promo sur les plaquettes de l’agence juive ne vous a toujours pas persuadé de mettre les voiles ? Pourquoi l’esprit pionnier serait-il interdit aux retraités ?

Jean Langoncet dit: à

(Vu les interventions ici du sieur Bahia des tropiques, perso je serais assez tenté par le Brésil)

Janssen J-J dit: à

(suite) des dialectiques plaisantes, ce soir sur la chaine…, et des réalités (cala) mitées par des théories un brin extravagantes. Relisons Weber, Reiner et Bittner en anglais, si possible.

@ « une seconde idée reçue : Balzac écrit mal » – poncif ou bévue de l’esprit ?

puck dit: à

« Peut être ne comprenez-vous pas tout de que vous lisez. »
 »

par contre il communique avec ses poules, on peut pas thoutavoire qui dirait greubou.

puck dit: à

« Quel est le voisinage d’un missile de croisière keupu ? Une retraite de rêve à Haïfa en promo sur les plaquettes de l’agence juive ne vous a toujours pas persuadé de mettre les voiles ? Pourquoi l’esprit pionnier serait-il interdit aux retraités ? »
 »

alors là certainement pas ! dans ce pays fasciste ? ça va pas la tête ?

non si je dois choisir un pays pour passer ma retraite ce sera le Liban ou l’Iran, ou même l’Irak, mais certainement pas Israël.

vous êtes tombé sur la tête de donner de tels conseils aux gens ?

moi qui vous prenais pour un type sérieux.

D. dit: à

Pour se faire des couilles en or, il suffit de se les faire dorer à la feuille. Ce n’est pas très difficile, une restauratrice de tableaux y parviendra aisément.

Jean Langoncet dit: à

keupu soldier of fortune ? on n’a encore rien vu au Moyen-Orient

Jazzi dit: à

Le compagnon de ma nièce, père de ses deux enfants, est pharmacien.
Il n’a pas une seule pharmacie, mais deux, D.
C’est grave ?

Paul Edel dit: à

Court, et Puck c’est vrai que Balzac a réussi des portraits de femmes magnifiques, de madame de Mortsauf à la Duchesse de Langeais, ou cette passionnante Véronique Graslin et tant d’autres…. Mais pourquoi ne pas avouer que dans ce bouillonnement romanesque ce volcan d’énergies de personnages lancés dans une conquête d’or, de plaisir sexuel , de célébrité, soudain la passion descriptive du mobilier, l’amoncellement de détails vestimentaires, de dépenses des uns et des autres, de compatibilité minutieuse , cet incroyable bric à brac à la fois de notaire et d’antiquaire ralentit certains romans. Luttes sans merci , ascensions et les chutes dans l’ascenseur social sont enchâssés dans un fourre-tout de brocanteur allumé qui trimballe avec ses personnages à la fois ses bottes, ses gilets, ses chapeaux, les châles , ses tableaux, ses pendules, les lourds mobiliers, et quand il pénètre dans une pièce, la description de rideaux et des commodes nous donne envie de sauter des pages .Rien de tout ça chez Stendhal. En trois lignes, tout est posé.
Par bonheur, dans ses récits courts, comme « la duchesse de Langeais » ou « la grenadière », Balzac oublie de nous dire le chiffre des dépenses du coussin du canapé et les dettes de la cousine.. Là il suit la singularité d’un comportement féminin qui l’intrigue, le bluffe, avec une fraicheur, une clarté, une vitesse foudroyante.

Phil dit: à

nous donne envie de sauter des pages

Point du tout, dear Paul Edel, les digressions mobilières du considérable Balzac dopé de caféine donnent envie de brûler ikea, acheter des rideaux cramoisis en points de Flandre et ne pas se faire vacciner comme des eunuques.

vedo dit: à

La « lucidité » de Thomas Mann, parlons-en! En 14, il hurlait avec les autres, Kultur contre Civilisation. Stefan Zweig aussi, d’ailleurs… du moins avant la défaite de la Marne et avant que Romain Rolland ne lui remonte les bretelles. Bon, il est vrai que de l’autre côté, il y avait Péguy. L’Europe ne s’en est jamais remise.

Jean Langoncet dit: à

@L’Europe ne s’en est jamais remise.

De Péguy ou de Maurras ? J’essaie de me tenir à la page des débats qui animent les nouveaux conquistadors

puck dit: à

@Paul Edel, pas trop d’accord avec vous, l’expression importante c’est le « et tant d’autres…. », une multitude de portraits de femmes, de conditions sociales différentes, pauvres, riches, bougroises, aristocrates… une infinité de portraits qui sont comme autant de lettres d’amour à ces femmes, de déclarations d’amour, elles n’ont aucun défauts, il ne retient que leurs qualités, parfois physique, leur beauté, mais pas que, leur véritable beauté se trouve souvent ailleurs : elles sont fortes, nobles mêmes les plus pauvres, grandes, pures, intègres, sincères, courageuses etc…
Si vous vous mettez dans la peau d’un jeune lecteur, de 17, 18 ou 20 ans, les histoires de mobilier de de comptabilité il n’en retiendra rien, lui qui ne les connait pas encore il ne retiendra que ces portraits de toutes ces femmes, ce jeune lecteur verra ces portraits comme ceux d’une terre inconnue, à explorée, non pas une terre hostile, mais aimable, attirante, et Balzac fera de ce jeune lecteur un explorateur en quête de cette altérité et de cet absolu. La pauvre Emma Bovary est bien sotte à côté de ces femmes, sa quête d’amour est bien pauvre et bien futile. Balzac est un féministe.

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, le code civil des français au style si exemplaire pour Stendhal a infusé toutes les législations européennes « continentales », dans le prolongement de la révolution française ; serait-il, au fond, la véritable constitution de la vieille Europe ?

Phil dit: à

La « lucidité » de Thomas Mann, parlons-en!

Le jeune Mann a goûté la sensualité du profil aryen, comme vous savez dear Vedo. Gross malheur de la disparition de son journal d’avant 1918,brûlé, sur son ordre, par son chauffeur. En mariant sa Katia Pringsheim, juive bourgeoise de Munich, des interférences chromosomiques avec son ascendance brésilienne l’ont versé dans l’incestueux « Sang mêlé » (Grasset), à lire en version non censurée (par ses soins). Tout ça vous donne une lucidité de compétition. Denken Sie mal nach.

Marc Court dit: à

Paul Edel, Puck .Oui ce côté Brocanteur allumé n’est pas rare chez les romantiques. En fait le capharnaüm fait partie de la vie d’un Hugo ou d’un Balzac Guernesey et les Jardies sont un prolongement vecu de leur puissance onirique. Alors pourquoi pas une ecriture qui inclut l’objet, au risque certes qu’il vieillisse, si cette ecriture est pensée comme une mimesis totale du réel et parfiois de ses arrières -plans occultes? Il reste le risque de morceaux de bravoure tels la description de la pension Vauquer, mais il est assumé. Il y a aussi un cote grands enfants chez Balzac et Hugo, qui construisent leurs romans sur une esthétique de rupture, faite de bric et de broc, de mélo et de haute psychologie, et rien ne montre plus la force des grands romantiques dans leur volonté d’envoyer promener le roman classique. Une comparaison avec Adolphe est de ce point de vue révélatrice, C’ est peut-être Hugo qui donne une clé en parlant du choc du mélodrame de Pixerecourt Les Ruines de Babylone sur sa sensibilité d’enfant. La génération dont ils font partie tous deux à eu en commun aussi, à côté du Cours de Littérature de La Harpe, ce modèle là. Ce n’est pas la seule explication, il y’en eut d’autres, psychanalytiques, sur le rôle de l’objet, mais elle compte,i si on admet que le melo, avec son manichéisme, peut, pour Hugo particulièrement avoir véhiculé une morale du monde. Et la multiplication des objets, ressortir d’une appropriation du Monde suite au nivellement révolutionnaire, .le roman de l’homme succédant au roman noble où royal ou les accumulations d’objets pouvaient aussi exister. Le vers célèbre de Boileau les épingle; «  Et je me sauve à peine au milieu du jardin. Ce serait la résurrection au goût du jour d’une très ancienne technique,en quelque sorte. Tout ceci imparfait, mais à creuser. Bien à vous. MC

D. dit: à

Marc Court, je ne vous pose pas souvent de questions, maus ce soir j’en ai une à vous poser, si vous acceptez d’y répondre.

D. dit: à

Bon ben dodo.

MC dit: à

Faites de beaux rêves…

Janssen J-J dit: à

@ dirfil : « Sang mêlé » ?
« Sang réservé » plutôt, non ?…
Night,

vedo dit: à

Merci Phil,
Ceci dit, les photos de Katia Pringsheim à 20 sont éblouissantes. Avec ces photos, on se rend très bien compte de ce qu’a pu être première rencontre avec TM, assez sensationnelle, dans un tramway de Munich. Raconté dans ses « Meine ungeschriebenen Memoiren », avec d’autres anecdotes extraordinaires. (Ne sais pas si c’est traduit). « juive bourgeoise de Munich ». C’est quand même un peu plus. La plus haute bourgeoisie de Munich, cercle pour artistes, loge à l’opéra, etc… Son père, professeur de mathématique à l’université, figure exceptionnelle, fin dramatique par les nazis. (Voir Wiki). Ce qui n’est pas dans Wiki: Alfred Pringsheim a donné la première traduction (en allemand) du travail de Bernouilli sur les probabilités (original en latin), qui est le fondement des théories de mesure du risque.

Jean Langoncet dit: à

Les cerveaux bien irrigués se font rares ; on peut pas être partout à la fois

vedo dit: à

En repensant à A. Pringsheim, et toute cette génération et tout ce temps-là, je suis pris d’émotion. Sujet de roman: que ce serait-il passé sans les nazis. (Pas des scénarios-fiction à la petite semaine, un vrai roman, genre Guerre et Paix). Trop difficile, certes.

Jean Langoncet dit: à

sertes

Phil dit: à

Ja dear jjj, bien raison de vous en mêler, en deux mots. Sang réservé, Wälsungenblut.. qui fait valser le Français.
Dear vedo, certes, bourgeoisie juive intellectuelle, dont un éditeur berlinois. Mann leur a donné asile à Zurich. Guère impressionné par les mathématiques, il les appelle « les vieux » dans son journal, liberté prise sans doute depuis son commerce étrange avec Katia et son frère.

MC dit: à

Très beau Tartuffe ce soir retransmis de la Porte St Martin. Très peu d’hendecasyllabes, mise en scène qui vise à servir le texte, et passé dans l’ensemble. Troupe au service du texte. Rôle-titre très tolérable. Le reste à l’avenant. Pas impossible que ce Journal de Mann ait contenu des pages extatiques sur le bombardement de la Cathédrale de Reims, lequel nous a valu le Kunstschutz, et pour la guerre suivante, une relative protection du Louvre par le Comte de Metternich…

Damien dit: à

La collaboration de [Pseudo], ou [Gary], surmené, doit faire appel à [Paul Pawlovitch-Ajar] pour terminer une commande [du Mercure de France], ne doit pas servir de prétexte à une distorsion de l’ Histoire [?]

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…lundi 17 janvier 2022 à 06 h 52 min.

…Oui, c’est le thème général, du film  » le Magnifique « , avec l’acteur Jean Paul Belmondo,!…

…( j’ai retrouvé, mes fardes avec l’origine de mon graphisme,…et de mes recherches futuristes ),!…on est loin du compte, aujourd’hui,!…

…les Albion perverts, à l’origine du capitalisme,!…
…plus, encore, casser vous la gueule et vos portefeuilles, dans n’importe quoi!,  » tout à l’obsolète-programmé « ,!…Ollé, & corridas,!…

…à l’éducation sadique, la mort automatique – lover,!…etc,!…copier-coller,!…Go,!…

DHH dit: à

Alfred Pringsheim etait aussi un collectionneur de majoliques de grande notoriété
On trouve dans les premieres page du « tournant » de Klaus Mann une tres riche evocation de la famille Pringsheim , typique de cette ‘intelligentsia mondaine , dont la modernité rayonnait a Berlin Munich et Vienne dans la littérature la musique et les arts

Bloom dit: à

Le dernier roman de Colm Toibin, The Magician, est consacré à Thomas Mann et aux multiples avatars de son homosexualité « rentrée ». Le graphomane d’Enniscorthy avait déjà exploré « le cas » Henry James, reclus dans sa chaumière de Rye à la toute fin du 19e, sous le même angle (90°).
Toibin qui n’a pas le talent de nombre de ses contemporains irlandais, compense en traitant des thèmes à la mode, censément « porteurs » (ah, que les mots sont piégeux).
Au final, ça fait des livres filandreux & assez chillants…

bouguereau dit: à

la famille Pringsheim , typique de cette ‘intelligentsia mondaine , dont la modernité rayonnait a Berlin Munich et Vienne dans la littérature la musique et les arts

hé houi..que ne lui a til giflé ça en pleine figure son maquereau à cette putain fort provincale de flobère..heureuzment que t’es là gràce drh à lintercession sptiotemporal dlassouline pour le faire..mais où avait il la tête encore ce maquereau complexé sans force de caractère..hincapable de virilité e despression de son droit du plus fort bien placé

bouguereau dit: à

-jamais- marre

JiCé..... dit: à

LUNDI 17 JANVIER 2022, 10h04, 8°, ensoleillé et calme

Les livres filandreux et chiants, vaut-il mieux les écrire parce qu’on ne peut pas s’en empêcher ou les lire parce qu’on a rien à foutre de mieux ?

bouguereau dit: à

nombrilisme maladif

bouguereau dit: à

les lire parce qu’on a rien à foutre de mieux ?

bien ou mal..faut rester dans l’sujet jicé..c’est un devoir

bouguereau dit: à

lequel nous a valu le Kunstschutz, et pour la guerre suivante, une relative protection du Louvre par le Comte de Metternich…

a t’on pensé a blinder les grimoires pour la 3éme meussieu courte?

Soleil vert dit: à

>PaulEdel Par bonheur, dans ses récits courts, comme « la duchesse de Langeais » ou « la grenadière », Balzac oublie de nous dire le chiffre des dépenses du coussin du canapé et les dettes de la cousine..

Cela alourdit effectivement le texte, mais montre incidemment la montée de la bourgeoisie. Par contre je ne vois pas le parallèle avec Hugo

bouguereau dit: à

Très peu d’hendecasyllabes

suffit drajouter un « yo » à chaque réplique..haaa reuzment qu’tes là meussieu courte sinon chfrais trop long et pesant

bouguereau dit: à

Cela alourdit effectivement le texte, mais montre incidemment la montée de la bourgeoisie

celle là est bien grün..tu rappelles quen tout il faut dabord payer de sa personne..il n’y a pas d’ironie..c’est un devoir de démonstration

Mimi Pinson dit: à

Même les accumulations romantico-maladives peuvent s’envoler en couple pour de nouveaux fruits…
« Les pinsons des Galapagos étudiés par Darwin », Charley Harper. Tiré d’un manuel de biologie des années 1960.

https://scontent.fcdg1-1.fna.fbcdn.net/v/t39.30808-6/271944670_7444258172254742_1370919467249382910_n.jpg?_nc_cat=100&ccb=1-5&_nc_sid=e3f864&_nc_ohc=KsqAcwivYCgAX8-Enrn&_nc_ht=scontent.fcdg1-1.fna&oh=00_AT_fL8jYQ2Mbiu7tQIigFrOGPHuCcG9zLlldjpKrSqegxg&oe=61E9B402

Amanda Lire dit: à

Les cerveaux bien irrigués

Bien intriqués
bien intrigués
cerveaux baleines,
cerveaux sirènes,
cerveaux astiqués!

Jazzi dit: à

« LUNDI 17 JANVIER 2022, 10h04 »

Un mot d’excuse des parents pour expliquer ce retard, JiCé ?

Bloom, écrivain et homosexualité c’est un pléonasme, surtout chez les anglo-saxons !

Paul Edel dit: à

A propos de Balzac.
L’universitaire Philippe Hamon a pu écrire à propos des romans de Balzac “le personnage” d’un récit n’est peut-être que la somme, la résultante d’un certain nombre d’“effets-descriptifs” disséminés dans l’énoncé » . Michel Butor avait noté et justifié cette omniprésence, cette avalanche de descriptions statiques (souvent plus de trois pages dans « Beatrix » ) par cette réflexion : »A partir de la Révolution les objets importent de plus en plus parce que dans l’instabilité sociale dans le bouleversement intérieur des personnages, les objets et en particulier les meubles, sont des points de repère les plus sûrs . »
On voit bien que Balzac développe une théorie implicite du milieu : les êtres sociaux, comme tous les êtres vivants, oiseaux ou poissons, sont en adéquation avec le milieu où ils vivent et par conséquent sont interprétables à partir de lui. Chez lui le décor est une projection psychique du personnage qui occupe cette maison, cette chambre, ce salon.

Jazzi dit: à

Le cadavre de Giovanni Sant’Angelo bouge encore, c’est rassurant !

Jazzi dit: à

« cette omniprésence, cette avalanche de descriptions statiques »

Mais puisqu’on nous dit que Balzac était payé à la ligne, pas besoin de chercher d’autres explications à ses accumulations de descriptions !

JiCé..... dit: à

« LUNDI 17 JANVIER 2022, 10h04 »

Un mot d’excuse des parents pour expliquer ce retard, JiCé ? (Jazzi )

Impossible !

Ils sont morts tous les deux dans le camp de concentration de Saint Tropez, en 1968. Je suis orphelin ! Ce qui m’épargne les réunions joyeuses de fin d’année où des gens qui se détestent s’embrassent à tire-larigot …

bouguereau dit: à

Mais puisqu’on nous dit que Balzac était payé à la ligne, pas besoin de chercher d’autres explications à ses accumulations de descriptions !

polo avec ses biscoto ses poils ses rouflaquettes y prend cher..bientôt faudra payer pour écrire qu’il dit polo

Jazzi dit: à

La principale préoccupation de Balzac était de fuir ses créanciers.
C’est la raison pour laquelle il est allé s’installer les dernières années de sa vie dans ce qui est aujourd’hui la Maison de Balzac.
Sis au 47, rue Raynouar, et niché au-dessus de la Seine, à la lisière des villages de Passy et d’Auteuil, ce pavillon champêtre est l’unique domicile parisien qui subsiste du romancier. Devenu l’un des musées de la Ville de Paris, il a ouvert ses portes au public en 1949.
C’est dans cette modeste maison de campagne qu’Honoré de Balzac vint se réfugier, sous un nom d’emprunt, de 1840 à 1847, afin d’échapper à ses créanciers. La demeure présentant l’avantage de jouir d’une deuxième entrée, encore plus discrète, au n°24 de la rue Berton…

bouguereau dit: à

Bloom, écrivain et homosexualité c’est un pléonasme, surtout chez les anglo-saxons !

c’est dze pohouère of dze dogs qu’il dit jambon

Patrice Charoulet dit: à

Mystère

Avant même son élection, Trump , animateur de télé, de matchs de catch, me semblait un clown.
Son élection m’ a surpris. Son mandat m’a désolé. Raciste, dingo, mégalo, il avait tout pour plaire aux gens d’extrême droite en France.
Mais Poutine ? Comment un ancien patron du KGB, nostalgique de l’URSS , potentat jamais rassasié peut-il AUSSI plaire à bien des gens d’extrême en France ?
Qui , bien informé , et politiquement lucide, aurait la gentillesse de tenter de m’éclaircir ce mystère ?

D. dit: à

Poutine n’était pas patron du KGB mais y était officier supérieur. Ne mélangeons pas tout.

vanina dit: à

Balzac s’appesantit trop souvent dans le détail économique, tout ce grand parler d’argent est lourd à lire comme un bilan de pdg, relu récemment « Modeste Mignon », l’envie vous prenait de quitter cette mathématique, au profit de la description de personnages comme les parents d’Exupère, leur bonté bestiote. Leurs bonnets etc. Balzac en plein délire déscriptif, mais sans la note du bonnetier. Par contre le Balzac « majeur », avec son Cousin Pons, se permet tout, car la tragédie est celle du collectionneur qui va perdre tout son bien. Son bien est donc l’épicentre du récit, la passion dominante, et elle à le droit souverain de la passion totale. La démésure. D’ailleurs, si on cherche l’équilibre, Balzac n’est pas la bonne adresse. Treize gilets, et une canne à pommeau en or….Vous pensez bien qu’il était un endétté chronique.

D. dit: à

Je n’ai strictement aucun intérêt personnel à défendre la Russie, je le répète encore une fois, mais je suis très triste que la Russie et la France ne soient pas amies commme elles l’ont été autrefois. Ces 15 dernières années, la France a été d’une grande arrogance avec la Russie, ne cessant de la pointer du doigt, de dénoncer, souvent de façon indirecte ceci, cela. Ce n’est pas comme cela que l’on gère des relations internationales saines.
Balayons un peu, ou même beaucoup, devant notre propre porte et regardons comment en quinze année notre pays a plonge : l’état de son économie, de son industrie, de sa sécurite, de son école, de sa santé, de ses frontières, l’accroissement considérables des addictions. C’est quasi-catastrophique et a derrière des conséquences énormes sur des vies : gens tombant dans la pauvreté à tous les niveaux de celle-ci, déchéance physique, mort. Qui sommes-nous pour aller nous occuper s’emmerder la Russie tous les quatres matin ? Qui sommes-nous ? Un homme de la trempe de Poutine nous aurait pourtant fait résister à tant d’assaults de toutes sortes sur notre pays.

D. dit: à

d’emmerder.

D. dit: à

Tout cela est une question de lucidité.
On est lucide ou bien on se fait des illusions et on se ment. La Russie monte, la France descend, toujours plus bas.

et alii dit: à

évidemment, la fille le pen ,il lui faut les objets du LOUVRE qui n’est pas d’accord

JiCé..... dit: à

Chat Roulette,
Expliquer l’inexplicable, à vos yeux bridés par la raison, ne peut s’expliquer que par la foi qui nous anime, nous, les fans de TRUMP, les PUTINOPHILES…..

Crucifié, le Messie n’est plus rien pour nous ! Il nous faut un gourou, un dieu…

Vous ne pouvez pas comprendre si vous n’avez pas compris que les lois divines sont au dessus des balbutiements démocratiques et républicains !

et alii dit: à

un éditeur, le louvre:

Comment acheter cet ouvrage ?

Retour à la liste

Léonard2Vinci
20.00 € TTC

À l’occasion de la grande exposition rétrospective sur Léonard de Vinci en octobre 2019 au musée du Louvre, Stéphane Levallois revisite à sa manière la vie du Maître italien. S’il raconte les grands moments de la vie du génie de la renaissance, il entraîne aussi le lecteur dans un récit de science-fiction hallucinant où tous les designs futuristes époustouflants s’inspirent des dessins de Léonard de Vinci !

22 avril 1515. Château de Cloux.
Léonard de Vinci, sentant la mort venir, souhaite se confesser. Après avoir rédigé son testament, le Maître italien revient alors sur sa vie et, particulièrement, sur les échecs qui ont émaillés, selon lui, son parcours…

15 avril 14061. Aux abords du Louvre.

À bord du vaisseau le Renaissance, les derniers survivants de l’espèce humaine, traqués depuis les confins du cosmos par une flotte armée extraterrestre, ont cloné Léonard de Vinci à partir de son empreinte digitale se trouvant à la surface du tableau La Sainte Anne, la vierge et l’enfant Jésus. Leur but : faire revivre celui qui fut le plus grand génie visionnaire et inventeur de tous les temps, afin qu’il puisse réaliser de nouvelles armes capables de tenir tête à l’armada ennemie.
http://editions.louvre.fr/fr/les-ouvrages/bandes-dessinees-jeunesse/le-louvre-et-la-bande-dessinee/leonard2vinci.html

renato dit: à

Enfin, D., regardez l’actu économique plutôt que Lemonde ou autres PQ dans ces eaux-là ! le PIB de la Russie, nonobstant le rapport disproportionné évident pour ce qui est de la population active, est carrément inférieur au PIB de la France.

renato dit: à

«… nous, les fans de TRUMP… »

Celui qui a traité avec les terroristes ?

Anthime dit: à

la Russie

Un beau pays, sans aucun doute, où le temps est clément, où ne sévit aucune mafia, où la liberté d’expression est proverbiale et qui est le seul au monde à avoir vu son espérance de vie chuter, grâce à un cocktail à base de vodka & de guns.

« En termes de santé, l’espérance de vie à la naissance en Russie est de 72 ans, soit huit ans de moins que la moyenne dans l’OCDE. L’espérance de vie chez les femmes est de 77 années contre 67 années chez les hommes. La concentration de PM2.5 (fines particules atmosphériques polluantes qui peuvent pénétrer et endommager les poumons) est de 15,5 microgrammes par mètre cube, un niveau supérieur à ceux enregistrés dans la plupart des pays de l’OCDE de 13,9 microgrammes. La Russie est en revanche moins performante dans sa gestion de la qualité de l’eau, 55 % seulement de ses habitants se disant satisfaits de la qualité de leur eau, contre 81 % en moyenne dans la zone OCDE. »
https://www.oecdbetterlifeindex.org/fr/countries/russie-fr/

« D ». (pseudo agent du FSB) serait bien inspiré< d'aller y prendre ses repas quotidiens, qu'il aime ou non le chou.
Svidaniya!

Amanda Lire dit: à

D a lâché une boule puante et tout le monde la renifle!
Rigolo.

D. dit: à

Mais renato, le poibt où les PIB russe dépassera celui de la France est tout proche. Moins de 10 ans si on continue à se faire spolier et envahir. Il ne restera plus en France que des satellites d’entreprises où travailleront de quasi-esclaves, cadre et ingénieurs payés 1500 euros net et exécutants à 600 euros net. Vous vous en foutez, ça ne vous concernera presque plus. Mais nos enfants ? La plupart auront tenté de fuir la France et le robinet migratoire du grand remplacement aura été ouvert encore plus grand. Voilà où il en sera votre PIB.

D. dit: à

Eh bé oui. C’est pas la peine de faire une tête comme ça, parce que c’est ce qui va arriver.

D. dit: à

15,5 microgrammes par mètre cube, un niveau supérieur à ceux enregistrés dans la plupart des pays de l’OCDE de 13,9

Waaahhhh…c’est considérablement plus élevé.
Autre chose pour me faire rigoler ?

D. dit: à

Moi je ne suis pas satisfait de la qualité de mon eau du robinet. Pas du tout. Elle pue le chlore, est trop calcaire, a des résidus de medi et de l’aluminium. Je boirai volontiers ds l’eau russe. Tiens je vais peut-être m’en faire livrer d’ailleurs.

D. dit: à

Anthelme, je veux bien vous concéder qu’il faille boire un tout petit peu moins de vodka pour vivre plus longtemps. Et manger 5 fruits et légumes par jouur. Voilà, vous êtes content ? Moi je sais faire de vraies concessions.

D. dit: à

C’est pas moi, c’est Charoulet, au commencement. Non parce que je vous vous venir avec vos gros sabots : le moment où on va encore dire que je trolle il est tout proche.

Amanda Lire dit: à

Elle pue le chlore, est trop calcaire

Comme c’est bizarre, mon eau aussi!

et alii dit: à

Le sabot deviendra le symbole des anarchistes. D’après la tradition des typographes, le mot sabotage viendrait du fait qu’un vieux sabot était accroché dans les ateliers d’imprimerie, et on y jetait les caractères de plomb déformés ou inutilisables pour une raison ou pour une autre6.

François Villon est le premier à utiliser le terme sabot, en 1461, dans sa Ballade de la Grosse Margot, qui parle d’un quartier mal famé de Paris, dans la Cité. Un peu plus tard, Rabelais cite cette nouvelle chaussure dans Pantagruel (chap. XXII) : Panurge, le professeur de Pantagruel, décrit les sabots portés par la dame de ses pensées. Et la coquette héritière Anne de Bretagne, épouse successive de deux derniers rois Valois de France, Charles VIII et Louis XII témoigne de ce premier essor populaire par son sobriquet. Cette reine de France, était surnommée par les impertinents Parisiens « la duchesse en sabots ».
wiki

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*