Lire et écouter le théâtre… à défaut d’y aller !
Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, alors tais-toi (vieux proverbe chinois). En effet, rien n’est plus beau à condition que, comme la solitude, il soit choisi et non subi. Pendant plus d’une année, les passionnés de théâtre, comédiens, metteurs en scène, techniciens, spectateurs, y ont été condamnés en se demandant : que faire du théâtre en attendant le théâtre ? Même si cela n’a pas hâté sa résurrection lors des temps récents de confinement et de couvre-feu, le lire et l’écouter. Ce n’est pas d’aujourd’hui que cette double activité nous est offerte mais les temps difficiles nous y ramènent.
Même les grands lecteurs de littérature n’inclinent pas spontanément à la lecture des pièces au motif qu’elles n’ont pas été conçues pour être enfermées dans les pages d’un livre mais pour vivre sur une scène. Exception faite des grands classiques, d’Eschyle à Claudel en passant par Shakespeare, le fait est qu’on ne lit guère nos contemporains alors qu’ils sont publiés. Les catalogues de l’Avant-scène, d’Actes sud-Papiers, de l’Arche, des Solitaires intempestifs, des éditions Théâtrales notamment témoignent de la richesse de cette production à faible tirage car y sont publiés des livres considérés comme à dire et non à lire. Il suffit pourtant de se laisser tenter par exemple avec l’un des plus récents la trilogie de Florian Zeller Le Père/ La Mère/ Le Fils (290 pages, 8,60 euros, Folio Théâtre).
L’expérience est d’autant plus saisissante car ces textes nous arrivent précédés par leur immense succès sur les planches un peu partout dans le monde. L’apparence est trompeuse : ce sont des pièces complexes dans la plus simple tenue, d’une langue vive, sobre, parfois cruelle, aux didascalies réduites a minima (la préface du critique Gilles Costaz est à cet égard particulièrement bienvenue). Pour le Père, écrit sur mesure pour Robert Hirsch, on entend sa voix entre les pages, on le voit s’égarer puis s’effondrer dans le labyrinthe du temps. Le lecteur ne doit pas seulement imaginer un décor, des mouvements, des personnages : il lui faut les visualiser par la seule puissance d’évocation de l’écriture.
Tout ce qui apparait au théâtre a vocation à disparaitre. Ce qui reste, c’est le texte. On ne peut pas revoir une pièce, fut-ce le lendemain de la première fois, car ce n’est jamais exactement la même chose. Mais on peut la relire ; sauf que là, si ce n’est pas elle qui a changé, c’est souvent le regard du lecteur qui a pris de l’âge entretemps. On peut aussi la revoir à plusieurs reprises dans la même mise en scène avec les mêmes comédiens sur une période vingt ans, expérience à tenter en ce moment avec par exemple Six personnages en quête d’auteur (Sei personaggi in cerca d’autore dans la traduction de François Regnault) de Luigi Pirandello, cent ans presque jour pour jour après sa création au Teatro Valle de Rome (elle le fut à nouveau mais en français deux ans après par Georges Pitoëff, dans une adaptation de Benjamin Crémieux, à la Comédie des Champs-Elysées). Dirigée par Emmanuel Demarcy-Mota au Théâtre de la Ville/Espace Cardin à Paris, la troupe qui rend justice à cette apothéose de la mise en abyme, est habitée sinon hantée depuis tant d’années par ce classique qu’elle a joué un peu partout en France et dans le monde, notamment un Hugues Quester exceptionnel dans le rôle du père.
A défaut de lire le théâtre, on peut l’écouter le soir sur France Culture. Cela se sait peu mais Radio France est depuis longtemps le premier employeur de comédiens en France. Chaque soir, ses « Fictions » captivent « un certain nombre » (douloureuse litote) d’auditeurs eu égard à la concurrence de la télévision ; mais c’est l’honneur d’un media du service public de les maintenir de longue date à un tel niveau de qualité et d’exigence hors du souci obsessionnel des chiffres, ce qui n’empêche pas parfois des audiences, disons… relativement spectaculaires ! et de plus en plus, le succès phénoménal des podcasts les sortant de la confidentialité (de Madame Bovary aux Aventures de Tintin !). Blandine Masson, qui les dirige depuis 2005, s’en est faite l’inspirée chroniqueuse dans Mettre en ondes (216 pages, 18 euros, Actes sud-Papiers).
Son récit, aussi passionné qu’érudit, n’est pas seulement une ode à la radio et à ses artistes depuis la première pièce radiophonique (en 1924 !) avec un long et vibrant portrait d’Alain Trutat en hommage à tout ce que la fiction radiophonique doit à ce pionnier humaniste et inspiré dont l’influence fut aussi réelle que l’empreinte, anonyme. L’auteure y propose en creux une profonde réflexion sur la voix, ces voix dont la houle légère et prenante exprime une sensation qui arrache l’auditeur à sa solitude, au plus profond de l’intime et de l’intériorité, la nuit de préférence.
A l’écoute de ce théâtre-là, plein d’images mentales qui ne donnent rien à regarder mais tout à imaginer, qui exige de fermer les yeux pour mieux voir, un théâtre où il n’y a que des gros plans, nous sommes autant d’aveugles invisibles prêts à recevoir des confidences. Ce que le comédien Alain Cuny traduisait par les mots du poète Rainer Maria Rilke :
« Notre intérieur nous environne comme un lointain parfaitement exercé ».
L’art de la diction y triomphe à nouveau en majesté. Jacques Copeau faisait observer que, le texte sous les yeux, le comédien y était délivré du stress, du trac, du souci de la mémoire, du cabotinage, des réactions du public. Tout pour le texte. Il n’est jamais mieux servi que dans la nudité absolue du décor, sans musique ni bruitage, quand un comédien d’exception lit seul assis à la table tel l’inoubliable Serge Merlin empoignant et, selon son vœu, « prononçant » Extinction de Thomas Bernhard, ou Denis Lavant explorant le Beckett de Cap au pire et de la Dernière bande dans la petite salle de l’Athénée Louis-Jouvet.
Tous les genres concevables sur une scène de théâtre s’y côtoient car on peut faire radio de tout. Innombrables sont les comédiens qui ont lu ou joué devant les micros et pas les moindres, la convention historique qui lie la Comédie-Française à la Maison de la radio remontant à 1937 à l’initiative de Jean Zay, ministre de l’Education nationale et des Beaux-Arts. Alain Trutat, maitre de la fiction radiophonique, cet art hybride qui ne renvoie qu’à lui-même, rêvait d’une radio tirée à un seul exemplaire où les comédiens franchiraient chaque soir le cercle de feu au-delà duquel l’état de silence confine à l’état de secret. Ses derniers mots ? « Silence, silence, silence ». Après ça, rideau !
(« Serge Merlin » photo Dunnara-Meas » ; Six personnages en quête d’auteur » photo D.R. )
1 046 Réponses pour Lire et écouter le théâtre… à défaut d’y aller !
Faut vous faire coacher lourdaud, on a pu juger de vos » prestations », à peine digne d’un taré de secte embrigadé.
Un peu d’éloquence, lourdaud, on est quand même en France.
« Théâtre d’improvisation : 4 techniques pour entrepreneursEva Mignot | 22/09 | 14:00
Inspirez-vous de l’impro pour mener des négociations, faire une présentation en clientèle, donner un pitch ou animer des réunions avec vos collaborateurs.
Réunions, négociations, présentations… Autant d’occasions au cours desquels les entrepreneurs sont en représentation : ils doivent se « produire » face à un public et le convaincre de leur légitimité . Pour améliorer leur prestation, de plus en plus d’entrepreneurs suivent des cours d’improvisation théâtrale. « L’impro aide à ne pas être pris au dépourvu et à s’adapter à n’importe quelle situation. Lorsqu’on pratique régulièrement, on arrive à faire des liens plus rapidement, à apporter de nouveaux arguments plus facilement », explicite Aline Petit, cofondatrice d’Impro Studio, école d’improvisation théâtrale et formatrice en entreprise. Voici quelques-unes de ses petites techniques. »
« Concours national d’éloquence 2021
« La vérité n’est crue que lorsque quelqu’un l’a inventée avec talent. »
– Georges Santayana –
Le rendez-vous de l’art oratoire ! »
https://www.atelier-languefrancaise.fr/evenements/concours-national-deloquence-2021/
Non non hamlet, tu vas pas essayer de te rattraper au cocotier.
Tu m’as pondu un inverse malheureusemen L=c/F ou c est la vitesse de la lumière en mètre par seconde, L la longueur d’onde en mètres et F la fréquence en Hertz. Il n’y a aucun 1 là-dedans, nulle part.
Exemple : L=300/27, 27 en Mhz. Ce qui nous donne 11,11 mètres de longueur d’onde.
@ suis un peu chauvin, Bl… Ne vous désolez pas : Henri IV l’appelait « le plus beau ruisseau de mon royaume »…
https://www.lesechos.fr/1998/07/la-charente-le-fleuve-aux-eaux-tranquilles-796399
@ Gagnepain ? … Etre deux, bien sûr… Sais pas trop comment résoudre la solitude volontaire (?)… dans les festivals… c un peu déprimant quand tout s’agite autour de soi, en conviens… mais parfois, on fait la rencontre de lame-soeur… pour une soirée ou pour la vie… ùoi c ce qui m’est arrivé à ce foutu festival de Saintes…
@ etalii… alors, suivons les festivals de l’été radio diffusés… Parfois, la qualité auriculaire est plus satisfaisante que le témoignage oculaire. Pour sûr… c’est comme pour le théâtre sur le papier vs sur les tréteaux… De tout pour faire un monde… Hein…
Bàv, (thcin… un petit rosé bien frais ?) célété… en pente dousse…
Pataude, c’est vous qui venez nous chercher avec des représentations supposées androgynales de jean ne et quî , cerise sur le, gâteau nous accusez de .misogynie. A votre égard, je ne m’en défendrai pas. Je défie même quiconque ici vous a subi d’éprouver autre chose sauf penchant masochiste toujours possible .Pour le reste, j’ai assez baroude contre les sectes pour mesurer la profondeur et l’exactitude de votre analyse. On dit, insultes, rumeurs. quotidien de Marie Sasseur. C’est trop vous attacher d’importance . Regrettons que ce blog tolère le boulet que vous êtes.
Je peux prendre une antenne de 11,11 mètres ou 1/2 onde de 5,56 mètres ou une 1/4 d’onde de 2,78 mètres. On ajoute une self ad-hoc pour l’adaptation d’impédance. Et on tient compte de l’impédance et de la longueur du câble pour obtenir le meilleur accord possible.
Application pratique toute bête de la formule que tu n’as pas su écrire.
D, pensez vous que nous soyons tous potentiellement des transistors? Munis d’une fonctionnalité erogène en option?
pour une soirée ou pour la vie… ùoi c ce qui m’est arrivé à ce foutu festival de Saintes…
Ah, foutu n’évoque rien de très enthousiasmant côté couple, ça marche encore?
C’est pas du London mais quelle affaire pour entretenir ce feu!
D, je me suis égarée sur une mauvaise station et impossible de gagner une autre fréquence.
D, mon programme est sûrement aussi nul que ce que je reçois en échange, un ratage technologique et communicationnel. Mais je suis contente car je profite d’un fer à repasser en cadeau bonus.
Lourdaud, vos commentaires sur la rdl n’ont pas disparu, indépendamment de vos efforts.
J’ai trop compris à quelle secte vous consacrez votre temps sur ce blog.
Lourdaud, je vous l’ai déjà écrit, il vous aura manqué un M. Bouveresse pour reléguer toutes les conneries que vous débitez sur ce blog au domaine de la débilité. Las, ou heureusement, votre capacité de nuisance et atteinte à l’intelligence, restent très très limitées.
Ce qui n’empêche pas l’exaspération.
Bataille d’étiquettes. Je déclare Cour gagnant. Lui au moins n’est pas snob, il se contente de rester poli.
Je déclare Cour gagnant.
On est pas au tennis ici!
Et roulant garrot non plus!
Roulant, c’est vite dit! Si j’en crois les hourra du peuple, y’a foot ce soir, qu’on jette à tous ces braves du pain.
L’excellent Pierre-Yves Rougeyron.
Je ne suis pas sûr que vous ayez compris grand chose, que ce soit à moi ou à d’autres, mais je vous laisse (charitablement?) a cette illusion….
Le Quatrième mur, de Sorj Chalandon, pas son meilleur, mais un des rares romans contemporain sur le théâtre. Se déroule dans un pays qui est en train de disparaitre sous nos yeux, le Liban, où les médicaments de survie viennent à manquer et même le Panadol,nom anglais du Doliprane.
Sorj a magnifiquement couvert la terrible guerre du Liban en 82, pour Libération, deuxième version et est tombé en amour avec les bons côtés du pays…
-rainS.
@ D / l’excellent P-Y Rougeyron… !!!
merci, le connaissions point … suis donc allé l’écouter… tout conseil d’erdélien demandant parfois un effort, (quand on n’aime pas le football)…
somme toute, un pedigree édifiant, ce militant de la droite souverainiste pro zemmourien… Avez l’air sous le charme du verbe, D., D !…
J’en retiens pour ma part cette forte conviction (prononcée vers le milieu) : « Je préfère un barbare séminal à un comique dégénéré »… Tout est dit, Conan !…
Bàv !…
Je sais que vous l’aimez bien, JJJ.
Et vous savez comme moi qu’il ira très loin.
Il ira très loin.
De 64000 auditeurs, aura 64001.
Puis 64002.
La droite non.
Souverainiste non.
Pro Zemmourien non non non.
En regardant The father hier, plusieurs idées m’ ont traversé l’esprit.
Était-ce utile les trois gifles ?
J’ai pleuré.
Son sujet/sa manière de s’exprimer,€(₩₩ à Florian Zeller, c’est le théâtre : i-e ce qui ne se raconte pas, le jouer.
Les bases, dans ce film sont prégnantes, unité de lieu de temps et d’action. Sans les trois gifles -horribles- la bienséance eût été respectée. Comme de ne pas montrer l’accident de Lucy. Tant mieux. (J’ai écrit tant pis).
Suis sortie la première, en courant. Ai préféré le documentaire d’Élie Sémoun sur son papa.
» je ne suis pas sûr « , etc.
C’est bien le probleme lourdaud. Vous supposez. Plus encore: vous insinuez, et ad personam, votre unique mode de fonctionnement.
De quelles illusions voulez-vous vous convaincre, lourdaud ?
Je vais vous en ôter quelques-unes, histoire que d’autres comprennent comment fonctionne des impostures intellectuelles que vous représentez.
J’ai donné peu d’indications personnelles me concernant, cependant elles ont été assez nombreuses et répétées, concernant un parcours où les exigences de logique, de clarté et de précision ont fini par payer.
Vos méthodes, que je qualifierais de malhonnêtes, pour tout crétin qui vous lit sans réagir vont au-delà du lavage de cerveau.
Le problème survient quand vous êtes pris en flag, ou plus prosaïquement quand on tombe par inadvertance sur des conneries monumentales et d’abord insensées que vous déroulez ici, sur des personnes pourtant connues et dont l’oeuvre est plus qu’etudiee.
Tous vos commentaires sur la rdl, incluant quelques variations de pseudos, en témoignent.
Vous êtes un facho, lourdaud. Au sens commun du terme.
Le sujet, le père vieillissant en chemin vers la mort.
Père particulièrement horrible, tout particulièrement dans l’intimité qui le relie à sa fille.
La mise en scène est en boucle. Cela permet au spectateur d’appréhender la confusion mentale qui saisit le père, ponctuée par des hallucinations.
On ne sait plus.
Londres ou départ à Paris.
Paul ou James.
Qui est l’horrible individu maltraitant ? Est-ce prémonitoire de l’Ehpad ?
Les auxiliaires de vie se succèdent, exténuées, rendent une par une leur tablier.
La fille aînée est admirable.
Le père, lui, particulièrement odieux, cependant émouvant dans ses vaines tentatives de séduction, est sur la pente descendante, sa mémoire s’effiloche.
The father, Florian Zeller
Remarques :
1/ »Come on baby » en fin de film est très mal traduit en français.
C’est, dans ce contexte, une phrase roborative adressée à un vieux monsieur en détresse qui peut-être baisse les armes.
Pas sûre. Va redevenir grinçant et xaustique rapidement.
2/ À un moment précis du film, ai vu chez Anthony Hopkins le docteur Lecter. Glaçant.
Même prénom que l’acteur ds le film, est-ce un choix délibéré ?
3/ On retrouve des constantes avec le docu.d’Élie Semoun, empirées ici ; la parole du père est juste. Censée. Audible.
L’attitude des enfants, de ne pas dire devant la personne concernée est, à mes yeux, la pire possible : il est nécessaire de dire et de parler.
caustique. Las.
Je vais réfléchir un peu.
Je concois extrêmement différemment l’accompagnement des personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer en fin de vie.
Je vais vous proposer un protocole.
Nous pouvons être des inventeurs dans la mesure où nous ne savons pas grand-chose et avons tous/tout à créer.
« Le père » de Zeller, c’est le cousin de « Tatie Danielle » ?
Le père,la mère, le fils , le huis-clos prise de tête, sujet déjà tellement labouré.
Qu’apporte-t-il de neuf dans le registre de l’enfermement ?
De Zeller, je pense n’avoir vu que son adaptation télé, d’un texte de Sagan, un château en Suède. J’en garde l’idée d’un conte cruel, une famille de la bourgeoisie, minée par l’oisiveté,ici forcée.
Tous vos commentaires sur la rdl, incluant quelques variations de pseudos, en témoignent.
Quelques ne convient pas.
Nombre de.
16 juin, je vous laisse à vos anniversaires je vais voir la mer.
soldats:
https://www.centenaire.org/fr/autour-de-la-grande-guerre/theatre/le-theatre-aux-armees
C’est donc au Théâtre des Arts (dirigé par d’Humières), que Dullin crée son premier grand rôle, celui de Smerdiakov dans Les Frères Karamazov de Dostoïevski, mis en scène par Jacques Copeau.
Sous l’égide de ce dernier et en collaboration avec Louis Jouvet (qui tenait aussi un rôle dans les Frères Karamazov), Charles Dullin participe à la création du Théâtre du Vieux-Colombier en 1913. Devenu le bras droit de Copeau, il séjourne chez lui dans sa propriété du Limon où se réunit la troupe
wiki
Le plus indifférent au foot qui soit , je n’ai évidemment pas regardé le match France-Allemagne du mardi 15 juin : j’ai lu un livre. Mais on ne peut y échapper ni à la radio, ni à la télé, ni dans le journal.
Résumons-nous : des millions de gens en France et en Allemagne ont regardé ce match. Dans les tribunes allemandes, deux mille Français ont hurlé, agité des drapeaux et des banderoles. La bière a coulé à flots dans les chaumières et dans les cafés, Et j’apprends que le seul but qui a été marqué en une heure et demie fut un but marqué par un Allemand, bien involontairement , contre son camp!
Tout ça pour ça. Désolant.
Commentaire sur le protocole et être inventeur évanoui.
À quoi ça sert les textes de Zeller ?
Comme Yasmina Reza il porte un regard lucide et sans concession sur les êtres humains dans leur évolution. La préoccupation est ancestrale.
@ PC,
je suis indifférent comme vous au football, mais ne comprends pas pourquoi vous êtes si sensible aux plaisirs médiatisés de la populace, et désolé que les allemands auraient marqué contre leur camp… Quant à moi, je ne sais même pas ce que ça veut dire… ! Etes un peu comme ce pauvre Bilger qui se mêle de tout mais ne connait pas grand chose à rien… Quand on n’a rien à dire, vaut mieux le dire comme dirait Passoul.
Bàv à Dieppr (ô Petrovsk !). Ici, un orage vient de survenir avec qq gouttes rafraichissantes…, c bin agréab’ !
Et aussi bon courage à Thomas P. qui va se coltiner au vide sidéral aujourd’hui. Lui souhaite bonne chance pour sa mission, hein ! –
EHPAD
On connait la définition de cette forme de mouroir contemporain qui libère les familles de tout souci non-financier.
Et si on en trouvait une définition nouvelle ?
EHPAD
Etablissement Hospitalier pour Personnes Assouliennement Dépendantes.
Le théâtre de Chaillot a été construit en 1937 par les frères Niermans. Il fut longtemps le lieu symbolique du théâtre populaire, notamment associé aux grands noms tels que Jean Vilar puis Antoine Vitez, et affecté au TNP jusqu’en 1972. Entre 1973 et 1975, l’intérieur du théâtre est totalement restructuré lors d’un chantier de rénovation conduit par le duo Valentin Fabre et Jean Perrottet, déjà architectes des nouveaux aménagements du théâtre de la Ville en 1967-1968. Le théâtre de Chaillot est reconnu théâtre national en 1975 et abrite une école de théâtre (qui ferme ses portes en 2006). Il comporte désormais trois salles, la salle Jean-Vilar de 1250 places et la salle Gémier de 420 places, ainsi que le studio Maurice-Béjart de 80 places destiné à des spectacles de moindre envergure, c’est la salle dite des « expériences ».wiki
quand j’étais élève au lycée de fontainebleau, c’est là que notre professeur de français nous amena;c’est une femme qui avait le gout de transmettre, faire connaitre;aux beaux jours, l’enseignement à proprement dit était dans le parc,,avec coccinelles et hannetons comme acteurs intermittents, et nous en souffleuses (il n’y avait que des filles)
ce soir… vais voir The Father (en VO). Pour l’instant, l’opinion de ma soeur m’importe guère… On sent qu’elle l’a pas vu, comme d’hab… mais qu’il lui faut sortir un bon mot plein de fiels (CGS).
Bàv,
Dans Souffle, la protagoniste n’est pas une comédienne mais Cristina Vidal, souffleuse depuis plus de 25 ans au Teatro Nacional D. Maria II de Lisbonne. Accompagnée sur scène par six acteurs et une centaine de fantômes, cette gardienne d’un métier en voie d’extinction évoque les histoires réelles et fictionnelles d’un théâtre aujourd’hui en ruines.
À mon arrivée au Teatro Nacional D. Maria II de Lisbonne en 2015 comme directeur, on m’a demandé si je voulais travailler avec des souffleurs. Je n’en voyais pas encore l’intérêt pour mes répétitions mais, peut-être précisément pour cela, je décidais de travailler avec l’un deux. Cristina intégra l’équipe du spectacle.
Au Teatro Nacional depuis plus de 25 ans, elle est rapidement devenue une présence indispensable pour moi. Avec elle, j’ai appris que le souffleur n’est pas juste ce bureaucrate des coulisses garant de la fidélité au texte original, qui vient au secours en cas de trous de mémoire ou corrige les altérations. Le souffleur est un complice des acteurs, dans les moments de grâce et surtout de disgrâce. Il les connaît, s’adapte à eux, apprend à respirer au même rythme. Le souffleur est aussi l’avocat de l’auteur et le conseiller du metteur en scène.
Plus que les histoires et l’artisanat du souffleur, c’est la métaphore qu’il invoque qui m’a intéressé. Le souffleur est le souffle vital du théâtre. Non seulement sa mémoire, mais aussi ses poumons. Il vit dans cette zone frontalière entre le visible et l’invisible, la scène et les coulisses, le mot écrit et la parole, l’auteur et l’acteur. Le souffleur est le seul habitant de ce no man’s land où ont lieu les négociations du théâtre.
https://www.theatre-contemporain.net/spectacles/Sopro/ensavoirplus/idcontent/78433
D’où avez-vous sorti ce Pierre Yves Rougeron, D ?
Le Cercle Aristote me dit quelque chose mais pas son principal animateur (semble-t-il).
Point positif: mediapart lui tape dessus
Point négatif: il fait du « Système » un sujet d’action, une sorte de manitou omnipotent. Ce genre de simplification me laisse toujours sceptique…
Janssen J-J dit: à
@ Jibé, Mes excuses, Jibé, je viens encore de vous confondre avec Jzmn…
c’est pas grave, JJJ, lui croit que je n’existe pas de toute façon.
Et ça me donne une occase matinale de vous saluer.
Aujourd’hui, j’ai sélection. Tri de dossiers, voyez, encore pas fini, master pas master, pile de gauche, pile de droite. Démoralisant si on veut être juste, puisque les critères venus de plus hauts ne le sont pas. Prime au mérite? Ou application de la mentalité start up aux études sup?
Rose, sauf oubli, Petit Rappel pousse l’obligeance jusqu’à signer MC. Alors non ni nombre, ni quelques,ne conviennent. Pour le reste j’ai pense à vous et au Rejoyce du Messie d’ Haendel pour l’événement heureux de ces derniers jours. Une assez bonne version sur YouTube avec Helen Watts, sans baroqueries. ´Bien à vous. MC
e. Dans l’introduction à
l’anthologie Antoine, L’Invention de la mise en scène, Jean-Pierre Sarrazac affirme que Zola, en
rédigeant son Naturalisme au théâtre (1881), « pensait plutôt à un écrivain, à un auteur dramatique –
et probablement à lui-même – effectuant au théâtre la même révolution naturaliste qu’il avait
accomplie dans l’univers romanesque […] ».11 Cette vision se base sur la longue tradition de
l’intervention de l’auteur dans la mise en scène. Déjà en 1801, Pixerécourt12 postule qu’il « faut
que l’auteur dramatique sache mettre lui-même sa pièce en scène ».13 Victor Hugo, Alexandre
Dumas père, Victorien Sardou et bien d’autres dirigent les répétitions, surveillent les décors et les
costumes.14 En 1890 apparaît le théâtre symboliste, dont les maîtres absolus sont des poètes.
Toutefois, selon Sarrazac, « la singularité de cette nouvelle époque du théâtre, c’est précisément
de trouver son ancrage dans le travail scénique, dans le langage de la mise en scène et de
s’incarner dans un homme de plateau plutôt que dans un écrivain ».15 C’est ainsi que, selon
Sarrazac, Antoine (et non Zola) devint l’inventeur de la mise en scène moderne
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02735732/document
JJJ
en effet je ne vous avais pas encore dit mon goût pour le baroque, et j’aime encore mieux ce qui précède, Heinrich Schütz par exemple.
Je propose à l’Herdélie ce petit jeu littéraire matinal pour tester ses connaissances… :
Q1 – Quel est ce personnage d’écrivain allemand, candidat au prix nobel de littérature, qui a écrit les 11 romans suivants : Lüdike ; Le masque de cuir ; Fleuves d’Europe ; Bifurcaria bifurcata ; Rose illimitée ; Héritage ; Saint Thomas ; La femme aveugle ; Le vendeur de loterie ; Le père ; Le retour (tous pubiés aux éd. Bubis)
(nom patronymique et surtout son pseudonyme d’écrivain).
Q2 – Dans lequel des cinq romans d’une immense tétralogie se trouve-t-il ?
(nom du roman général, et du roman particulier)
Q3 – Quel est le nom et la nationalité de son auteur ?
Bien à vous… ! (A vos marques, prêts, partez !)
et à Jice,…
Edifice
Hautement
Plombé par
l’Azimuté
Dément
(… de Porquerolles)
Ainsi, le Fonds du
théâtre de marionnettes Pitou (célèbre théâtre ambulant qui donna ses représentations dans l’est
de la France pendant 80 ans) et conservé par le Musée des civilisations de l’Europe et de la
Méditerranée (MuCEM) de Marseille, est une source inestimable d’information sur les théâtres
des marionnettes forains. Le fonds se compose de documents liés à toutes les activités du théâtre,
à la fois administratives et créatives. On notera la présence du Mémorandum d’Emile Pitou à 22 ans et
demi, qui fournit des détails précieux sur la vie quotidienne du théâtre autour de la période du
décès d’Emile Pitou père (1881) ; et de deux carnets de notes et croquis d’Emile Pitou fils,
38 D. Plassard, L’Acteur en effigie, op. cit., p. 39.
39 Remy Bellenger, Le Théâtre des Pantins. Récit d’une enquête, Paris, L’Hexaèdre, coll. Bibliothèque Pataphysique, 2015.
40 Paul Fournel, Guignol, les Mourguet, Lyon, éditions Lyonnaises d’Art et d’Histoire, 2008 ; Paul Fournel, L’Histoire
véritable de Guignol, Paris-Genève, Slatkine, 1981.
41 Léopold Delannoy, Théâtres de marionnettes du nord de la France, documents présentés et analysés par Marie-Claude
Groshens et Pierre Soulier, Paris, G.-P. Maisonneuve & Larose, 1983.
42 Marie-Claude Groshens, Des marionnettes foraines aux spectacles de variétés : les théâtres Borgniet, Paris, la Réunion des
Musées Nationaux, 1988.
15
généralement très rare dans les fonds d’archives des théâtres de marionnettes, qui donnent une
idée du processus de création de spectacle.
Pour aborder la question de l’échange entre Jarry et les cultures théâtrales de son époque, une
Roberto Bolaño
nspiré du dispositif traditionnel des ombres chinoises, le Théâtre d’ombres apparaît dans l’œuvre de Christian Boltanski dès 1984, succédant aux grandes formes découpées des Compositions théâtrales (1980).
L’ombre et sa projection associées au thème des marionnettes suggèrent de nombreuses évocations issues de toutes les cultures et mythologies – le Golem, la Kabbale, la caverne platonicienne, le récit des origines de la peinture chez les Grecs par le tracé des contours d’une ombre, la danse des morts des Mystères du Moyen Âge, l’impression photographique… Cette ouverture du sens, propre aux œuvres de Christian Boltanski, n’entame toutefois pas la dimension onirique et ludique de ce théâtre de marionnettes qui, en fonction des lieux dans lesquels il est dressé, s’anime selon une configuration à chaque fois renouvelée.
attention:
Un pesticide cancérigène provoque le rappel de plus de 7 000 produits
Des glaces, des fromages, ou encore des gâteaux apéritifs de différentes marques sont concernés par ce rappel, relaye « Le Figaro ».
Tu n’es qu’un connard bon à jeter, ma pauvre Gigi qui fut Visqueuse… Tu es sèche, désormais, pauvre gourde alourdie par tes médailles, tel Brejnev !
et les chinois:
« ces personnages créent l’illusion d’images mobiles projetées sur un écran formé par un tissu translucide tendu et éclairé à l’arrière. Parmi les artistes du théâtre d’ombre d’âge avancé, beaucoup sont capables de représenter des douzaines de pièces traditionnelles qui sont transmises oralement ou que l’on trouve sous forme écrite. Ils maîtrisent des techniques particulières telles que le chant improvisé, la voix de fausset, la manipulation simultanée de plusieurs marionnettes et la capacité de jouer de divers instruments de musique. De nombreux marionnettistes taillent également les marionnettes dans du bois ; ces dernières peuvent avoir entre douze et vingt-quatre articulations mobiles. Le théâtre d’ombres est joué par des grandes troupes de sept à neuf marionnettistes ainsi que par des troupes plus petites de deux à cinq personnes, principalement pour le divertissement ou les rituels religieux, les mariages et les funérailles, ainsi que d’autres occasion spéciale
Le théâtre d’ombres chinoises
Chine
Inscrit en 2011 (6.COM) sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
https://ich.unesco.org/fr/RL/le-theatre-dombres-chinoises-00421
« c’est pas grave, JJJ, lui croit que je n’existe pas de toute façon. »
Un type 100% compatible avec Christiane, même elle ne peut y croire, Jibé !
Bloom et Jibé, on attend votre copie sur « Nomadland » !
JJJ, « The Father », bof !
« Vos posts ne disparaissent pas. » A noter que je ne fais rien pour, contrairement à ce qui est avancé! Mais, comment dire, Les vôtres non plus, que je sache, quî nous montrent le pathétique spectacle d’un génie autoproclame en proie au syndrome de la Tourette a l’égard de pratiquement tous les participants et participantes du blog.!
et « le brigadier » nouvelobs:
EXCLUSIF. Pendant plusieurs années, Christophe B., brigadier à la prestigieuse DGSI, a vendu sous le pseudo « Haurus » des informations confidentielles sur le darknet. Alors que son procès s’ouvre, le policier raconte à « l’Obs » comment, débordé par son double, il a trompé ses collègues et brisé sa carrière.
L’an caustique c’est une autre marnière de manier la brosse à reluire, rose.
( Je ne fais que passer.)
brigadier:
https://boutique-comedie-francaise.fr/l-institution/685-brigadier.html
Pour rappel
3 juin 2021 à 10 h 43
« Father » de Florian Zeller, avec Anthony Hopkins (deux Oscars)
Gentille dramaturgie sur un sujet particulièrement fédérateur : la relation conflictuelle entre un père et sa fille alors que celui-ci est victime de troubles dûs à l’Alzheimer : curieusement ici, le père perd la mémoire mais est envahi par de nombreuses visions aux allures de mirages ! Un film théâtral, à huis-clos, porté par d’excellents acteurs. Brillant en surface, mais sans réelle profondeur. Un produit « anglicisé » parfaitement calibré pour le marché mondial…
12 juin 2021 à 10 h 15
« Nomadland » de Chloé Zhao, avec Frances McDormand, d’après le livre éponyme de la journaliste Jessica Bruder.
Oscars du Meilleur film, de la Meilleure réalisation et de la Meilleure actrice.
Pour réaliser ce scénario contemporain contant l’histoire de séniors devenus précaires, à la suite de la crise financière de ces dernières années, et contraints de partir à la recherche de petits boulots à travers les Etats-Unis à bord de leurs mini-vans, l’actrice principale et co-productrice du film, Frances McDormand, a choisi la réalisatrice chinoise Chloé Zhao.
Né à Pékin et installée aux USA, celle-ci s’était faite précédemment remarquer avec son second long métrage, « The Rider » (2017), s’attachant aux pas d’un cowboy qui, après s’être blessé, parviendra à conjurer le sort et se battre en vue de la réalisation de ses rêves.
« Nomadland » est un film 100% féminin, sur la précarité économique contemporaine et les nouvelles formes de solidarité socio-politique, qui remet au goût du jour le rêve américain.
Un néo western mâtiné d’idéologie beatnik et dont tous les ingrédients concourent à une oeuvre particulièrement consensuelle : aux bons sentiments positivistes et écologiques du moment s’adjoint ici la (re)découverte des splendides paysages de l’Amérique éternelle.
Le tout, porté par une Frances McDormand parfaite dans le genre anti héroïne.
Que demande le peuple ?
Un bon film, qui fait l’unanimité de la critique mondiale et qui a été largement récompensé par les professionnels de la profession hollywoodiens.
Sortant plutôt ému et satisfait de la projection, je me suis cependant posé une question lancinante dont je n’ai lu aucun écho dans la presse. Comment se fait-il que dans ce film supposé témoigner de l’Amérique contemporaine l’on n’aperçoive pas l’ombre d’un seul black ni d’un asiatique ou d’un latino américain ? Ne parlons pas des amérindiens…
Un pays peuplé uniquement de « Wasp » et organisé autour d’une problématique réactualisée !
Pourrait-on imaginer un tel film français dont tous les protagonistes seraient de type caucasien ?
@ lmb… Bravo. Réponse exacte, mais incomplète…
« Pourrait-on imaginer un tel film français dont tous les protagonistes seraient de type caucasien ? »
Je ne vois pas où serait le problème.
Déjà en 1982, William Least Heat-Moon, un Natif Américain, avait publié Blue Highways: A Journey into America. Un récit autobiographies suscité par la perte de son emploi d’enseignant et le naufrage de son mariage. Le voilà dans une impasse d’où il cherchera de se sortir en entreprenant un voyage à travers les USA à bord de son van en compagnie de deux livres : Black Elk Speaks de John Neihardt et Leaves of Grass de Walt Whitman. Contrairement au trajet de Kerouac — On the Road —, Least Heat-Moon choisit de ne parcourir que les routes secondaires.
Je ne sais pas s’il est disponible en trad. fr., mais en bon prof d’anglais William Least Heat-Moon écrit dans une langue accessible.
P.S.
Blue Highways: A Journey into America pendant 34 semaines en tête de la liste des best-sellers du New York Times entre 1982 et 1983
Le lourdaud s’accroche. Il est boucle. Technique pitbull. Pauvre paltoquet, ce qui vous manqué par dessus tout c’est de vous faire renvoyer dans vos 22 par qui a du temps a perdre à démonter toutes vos balivernes.
« Tout ce qui est écrit dans le style du siècle de Louis XIV surnagera. » (Voltaire, Lettre du 23 avril
1770)
Inutile d’aller chercher la Tourette, quand il s’agit de dire à un toquard, que c’est un imposteur, de ces danseuses entretenues avec nos impôts.
« Pourrait-on imaginer un tel film français dont tous les protagonistes seraient de type caucasien ? »
Il y a pénurie de saisonniers sur la Cote d’Azur. Après que des patrons indélicats les o t laisser tomber comme des miserables ils sont moins nombreux à se ruer vers l’or…
J’ai entendu, intox ?, que nombre d’entre-eux s’étaient mis au » codage ». Encore un coup de AWS.
Euh si vous connaissez la Recherche, ce dont on peut légitimement douter vu votre dernier argument,vous sauriez que nous payions nos voyages, nos hôtels, nos recherches, et que le plus souvent elles ne nous rapportent. rien , étant publiées la plupart du temps sous le régime du collectif. ex un tome de colloque. Alors quant à coûter des sous prélevés sur vos impôts , chère Marie, je ne connais pas plus démagogue, ni plus faux. Mais peut etre ignorez- vous tout du milieu dont vous parlez! Ou, plus simplement, ne reculez- vous devant aucune bassesse pour salir quî vous tient tête.?
..
Pas facile de poster sous le parasol.
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Je la trouve décalée cette illustration sonore de FCulture, pour commémorer la tuerie du 16 juin 1944, où a péri M. Bloch.
L’occasion de rouvrir « l’étrange défaite « , plaidoyer pour la force de caractère, l’intelligence, et l’éducation. Vaste programme.
Sur ce je vais aller regarder les bateaux, davvero.
Vazy lourdaud, si la « Recherche » n’a que des cadors comme vous, a qui il manque tous les savoirs, des diseurs de fadaises comme on en connait trop,on comprend mieux pourquoi il y a eu beaucoup de couchés en 40.
P. ex., Henry Roth auteur de Call It Sleep, après avoir travaillé comme pompier, ouvrier et enseignant, prit sa retraite et s’installa dans un camp de caravanes à Albuquerque.
« Je ne vois pas où serait le problème. »
Le négationnisme de la réalité sociologique actuelle, renato.
Avez-vous observé la composition ethnique de l’équipe de France de football ?
Ou bien celle des travailleurs sur la voirie, les chantiers ou dans les hôpitaux.
…juin 2021 à 13 h 23 min
…
…le théâtre pour sa clientèle, conforter les » riches « , pour narguer et soigner les classes dites » pauvres « , en manque de droits démocratiques,!…
…
…théâtres de lèches-bottes corporatistes corrompus,!…of corse,!…
…
…théâtres absurdes, football et films pour tarés pervers,!…
…le pouvoir à ses limites usées pour débauches la populace,!…
…etc,!…Go,!…
M.C.
je ne vois pas ce qui l’arrêtera sur cette pente insupportable à tous :peut-être P.Assouline en a-t-il une idée ?
Un imprévu sympathique m’a fait manquer la dernière séance, Baroz. Vais essayer ce w.e.
Vu une excellente mini-série sur Arte, « The Salisbury Poisonings », inspiré de l’affaire Skripal; les conséquences immédiates de l’utilisation de Novitchok par les agents de cette ordure de Poutine sur une petite ville anglaise dont la cathédrale fut immortalisée par Constable (question « constable », on est servi).
Passionnante ‘tranche de vie’ dans un contexte mortifère, angoisse des habitants, frictions ARS/ police, Londres/province,spirale de la pauvreté… Great acting, superb direction & impeccable angle.
VO ss titrée
« Avez-vous observé la composition ethnique de l’équipe de France de football ? »
Hier, sur le terrain à Munich. L’équipe de France m’a paru plus métissée que l’équipe allemande. Merci au Teuton pour le but offert dès le début du match !
Au cours d’une journée on peut rencontrer ou ne pas rencontrer des représentant des dites minorités visibles, Jacques. Cela dépend de beaucoup de paramètres. Par exemple, je ne vais pas à l’hôpital tous les jours et ainsi de suite, je peux donc décrire une journée sans faire mention d’un représentant d’une minorité sans pourtant nier la réalité sociologique actuelle.
Ne pas aller à l’hôpital, ne pas sortir dans la rue, ne pas prendre de transport en commun, ne croiser personne, à commencer par votre femme, ne pas regarder la télévision… ça fait beaucoup de paramètres, renato !
L’équipe de France m’a paru plus métissée que l’équipe allemande.
—
Sans blague?
Tu as vu aussi que non seulement les Allemands avait un joueur d’origine turque (comme autrefois Özil) mais aussi et surtout un joueur noir, Rüdiger, un Afro-allemand. Une première.
Le contraste avec la France, mais aussi l’Angleterre, les Pays-Bas et la Suède est saisissant.
Dans 50 ans, ils auront peut-être une demi-douzaine de joueurs noirs et turcs et syriens….
Quant à la Hongrie, sans surprise elle ne comporte pas un joueur issu de l’immigration.
Pour mémoire, je vous rappelle, renato, que l’on parle d’un film, « Nomadland », dont l’action se déroule en 2011. L’héroïne est une sexagénaire, veuve, dont l’usine vient de fermer et la ville où elle habite, baptisée Empire, est devenue une ville fantôme.
Elle part sur les routes avec son vieux van pourri à la découverte de l’Amérique profonde et à la recherche de jobs saisonniers : Amazon, récolte de betteraves, préparation d’hamburgers dans un fast-food, récurage de chiottes dans un parc d’attraction…
Et jamais l’ombre d’un black, d’un asiatique, d’un latino, d’un amérindien dans toute la vaste Amérique traversée d’est en ouest !
Un pays blanc de blanc…
« un joueur noir, Rüdiger, un Afro-allemand »
Le joueur avec un masque ?
A un moment donné je me demandais si je regardais l’Euro ou un film porno sado-maso gay, Bloom !
Je trouve plus inquiétant l’absence de réaction de l’UE au fait que les souverainistes Hongrois aient adopté une loi qui interdit la « promotion de l’homosexualité », que l’absence de noirs dans un film. Noter l’expression « promotion de l’homosexualité », il suffira d’en parler pour tomber sous les rigueurs de la loi ?
Joyce en musique: Pomes Penyeach, James Joyce set to song
https://www.youtube.com/watch?v=PYccclNUeNM
Le joueur avec un masque ?
—
C’était le seul.
Il s’est cassé le pif.
C’est lui qui a mordu le grand Paul Pogba. Des types qui mordaient, c’était fréquent quand je jouais au rugby.
Si vous jetiez un coup d’œil à Blue Highways: A Journey into America, Jacques, vous pourriez comprendre pourquoi Jessica Bruder ne parle pas de blacks, asiatiques, latinos, natifs. Puis vous pouvez faire le voyage… en évitant la 66 comme un banal touriste.
Pas mal de pièces réalistes s’étaient cassées la figure, et Alii, dont le Charles Demailly des Goncourt, et Zola, bien placé après les succès d’estime pour ne pas dire moins de Raquin et de Rabourdin , puis le four merite du Bouton de Rose a eu la sagesse pour l’assomoir d’utiliser le carcassier William Busnach. Assez curieusement, il réussira mieux dans l’Opera avec il est vrai la musique d’ Alfred Bruneau. Le je t’aime moi non plus des réalistes et du theatre commence avec le Flaubert du Candidat. Alors ouî , l’avènement du metteur en scène devient inévitable vers cette période, qu’il s’agisse de Lugne-Poe pour Maeterlinck, ou d’ Antoine, ce dernier joyeusement brocarde par Giraudoux ultérieurement . Bien à vous. MC
Qui regarde, de nos jours, les matches à la TV hormis les aveugles, les sourds, les muets et les non-imposables …
Cons ! mais à ce point là….
Ce n’est pas le problème, renato. Personnellement, j’aime beaucoup les romans d’Henry James, qui nous offrent une vision d’une Amérique singulière.
« Nomadland » (la vie nomade dans l’Amérique contemporaine) se donne comme un film réaliste, progressiste, indépendant et… démocrate.
Vous voyez ou pas le problème ?
Pourquoi, par ailleurs, comparer des manifestations de même ordre ?
A savoir, ne pas voir ou donner à voir la réalité pour mieux la nier.
Je me souviens que du temps de sa splendeur, le PCF affirmait que l’homosexualité était une conséquence décadence de la bourgeoisie. Aujourd’hui, Poutine prétend qu’il n’est pas homophobe pour la simple et bonne raison que l’homosexualité n’existe pas en Russie.
Albuquerque
https://pbs.twimg.com/media/E37VOxCXMAwJtUc?format=jpg&name=4096×4096.
de la décadence de la bourgeoisie
Je vois où est votre problème, mais connaissant assez bien les USA je comprends le parcours de Jessica Bruder.
Pour la loi citée le problème c’est l’absence de réaction de l’UE.
Pour Sophie Joubert, la critique cinématographie de l’Humanité, « Nomaland » est un road movie somptueux. Et elle titre : « « Nomadland », un voyage à travers l’Amérique des oubliés »
En oubliant au passage parmi les oubliés les blacks, les asiatiques, les latinos et les natifs.
Tandis qu’Eric Neuhoff s’enflamme dans le Figaro : « Alors, ce long-métrage réaliste touche à la poésie, vise le cœur, comme certaines nouvelles de Raymond Carver, avec des bouffées de lyrisme à la Terrence Malick. »
Seuls, Libération et Les Cahiers du cinéma font entendre un petit bémol dans ce concert de louanges unanimistes de la part de la critique…
Commencez par aller voir le film, renato, et après on verra ce que vous en aurez éventuellement compris…
J’ai lu le livre il y a deux ans de là, Jacques, donc je sais de quoi je parle.
Aujourd’hui, je vais aller voir un film dont la problématique m’intéresse particulièrement : « Qu’entend t-on lorsqu’on est sourd ? »
Je me suis toujours demandé de quoi était fait « le silence » auditif qui rendait proprement folle ma pauvre mère…
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19590558&cfilm=244574.html
Les mots d’un reportage n’ont rien à voir avec les images des personnages et paysages…
« Les mots d’un reportage n’ont rien à voir avec les images des personnages et paysages… »
Pour vous qui êtes dépourvu d’imagination sans doute.
Aucune imagination en effet, renato, et paradoxalement je vis en totale immersion et à temps plein dans la fiction !
Jazziiiiii !!!!!!
alors ? tu l’as vue la dimension rousseauiste de Nomadland ?
Jazzi tu veux qu’on la réécrive ensemble ta critique de Nomadland ?
comme, contrairement à moi, tu l’as vu, tu me diras si je me trompe.
d’abord, en premier il faut parler en disant c’était quoi le projet états-unien.
je peux déjà te pondre un plan :
a) la civilisation
b) la nature
c) où trouve-t-on une civilisation du couer : dans le a) ou le b)
ensuite vlan ! tu passes en mode démolition :
d) l’échec du projet civilisationnel « moderne » ou américain
e) retrouver une humanité dans les formes de vie primitive
et après vlan ! tu pas en mode thèse anti thèse prothèse :
f) et Dieu dans tout ça ?
et voilà ! emballez c’est pesé mon Jazzounet !
Les oubliés de l’Amérique, Barozzi, ce ne sont certainement pas les noirs ou les latinos qui occupent l’espace médiatique du matin au soir.
Ces oubliés sont les blancs pauvres qui n’intéressent personne sauf, courageusement, la réalisatrice de Nomadland. L’élection de Donald Trump et les 73 ou 74 millions de voix qu’il a encore obtenu en 2020 ne s’expliquent pas autrement que par le mépris que des gens comme JzzB paraissent leur vouer.
Quant aux asiatiques, ils ne demandent rien à personne et se démerdent très bien tout seuls.
xi vous pouviez éviter de mettre le terme galvaudé de « problématique » à toutes les sauces, cela m’arrangerait, car je n’en puis plus…, jzmn…
C’est quoi ta pblmtq au juste ? in (un film dont la problématique m’intéresse, sic). On ne voit franchement pas l’utilité de cette terminologie. Est-ce pour vous un sujet à problème existentiel ou une simple curiosité cinématographique pour les non amblyopes ?
obtenues ?
il n’y a aucun mépris sa plume au sujet des électerus de donald trump, me semble-t-il, bien au contraire. Nous ne lisons pas les mêmes choses…, ///hormis sur le mvt français des GJ/// Des nouvelles de Ch. ?
Bàv,
si
sous sa plume
électeurs
_____
j’ai mal à la problématique de mon correcteur… voyez gustave, 😉
il semble bien difficile de s’affranchir de ces catégories ethnico je sais pas quoi dans lesquelles les médias veulent nous enfermer.
c’était un peu la réponse qu’avait faite McCarthy quand la journaliste l’avait branché sur les mexicain dans son « no country… ».
qu’est-ce que la politique ? sont-ce des petits conflits identitaires ou bien des questions plus hautes qui relève de la notion d’humanité ?
on dit la crise des subprime c’est un loupé économique : non c’est juste un problème humain.
à partir de là on peut voir ce film comme une somme d’individus, voir l’héroïne comme un individu qui tourne le dos à la civilisation pour prendre son pied en regardant les couchers de soleil dans le désert comme dans le bouquin de Camus.
ou laors voir cette femme non pas comme un individu, mais comme le symbole que quelque chose, c’est à dire prendre ce film dans sa dimension « allégorique », c’est bien un truc de chinoise ça les allégories !
et voilà ! cette humanité qu’on ne trouve plus dans la civilisation on la trouve dans ces vies qui revienne à une espèce de primitivité.
exactement ce qu’n voit à la fin du film de von Trier Melancholia quand ils construisent cette cabane avec quelques branches, et se donnent la main en attendant l’apocalypse.
cela signe l’échec de cette civilisation « déshumanisée » et « déshumanisante ».
il y a 2 sièlces les types ont traversé les US pour fonder une famille, un foyer et tout ça avec une vision hobbesienne d’un état protecteur, les mettant à l’abri de tous les coups durs de l’existence, des gens qui pourraient élever leurs enfants paisiblement etc…
résultat ? le résultat c’est la crise des subprime !!! pas très Hobbes les subprimes.
puck veut toujours aider les indigents à mieux exposer la pbmtq de leurs idées confuses, ô merci puck… ! Pourriez-vous m’aider à résoudre ma pbmtq en me proposant un bon plan ?
3j : Trump, le Pen, les GJ etc… ne représentent pas « en soi » des projets ou des phémomènes, ils ne sont que des « réactions » à des situations merdiques.
Trump c’est une réaction aux subprimes et autres que l’on sait.
on aimerait bien que les gens se fassent entuber et restent calmes, en fait ce n’est jamais le cas.
et pour mettre un taré comme Trump au pouvoir il faut sacrément en fabriquer en nombre des gens qui n’ont plus rien à perdre dans la vie !
3j restez factuel svp : ne vous attaquez pas à ma personne, ne nous faites pas votre pedro : si vous voulez contredire une chose que j’ai dite faites-le, mais de façon claire et précise svp.
Jazzi dit: à
« Je ne vois pas où serait le problème. »
Le négationnisme de la réalité sociologique actuelle, renato.
Avez-vous observé la composition ethnique de l’équipe de France de football ?
Ou bien celle des travailleurs sur la voirie, les chantiers ou dans les hôpitaux.
je suis comme Renato, je ne vois pas ou est le problème….mais moi ça ne compte pas puisque je ne vais pas au cinéma.
Jazzi, vos visions sociologiques, ne tiennent pas debout, il y a un problème.
Et votre jugement sur Nomadland et la société américaine est étrange; vous me donnez l’impression de n’avoir jamais été aux Etats-Unis
loser dit: à
Les oubliés de l’Amérique, Barozzi, ce ne sont certainement pas les noirs ou les latinos qui occupent l’espace médiatique du matin au soir.
Ces oubliés sont les blancs pauvres qui n’intéressent personne sauf, courageusement, la réalisatrice de Nomadland. L’élection de Donald Trump et les 73 ou 74 millions de voix qu’il a encore obtenu en 2020 ne s’expliquent pas autrement que par le mépris que des gens comme JzzB paraissent leur vouer.
Quant aux asiatiques, ils ne demandent rien à personne et se démerdent très bien tout seuls.
C’est EXACTEMENT CELA, Closer
en quelques palavras vous avez tout dit
puisqu’on reparle du coeur, du coeur, oui, le mien me rappelle la fin ce M.Bloch, oui, le 16 JUIN ,jour cher à mon coer où l’on m’a dit que « c’était le choix du roi » , ce que je ne comprenais pas;mais
Le 16 juin 1944, on le fait monter dans un camion avec d’autres détenus dont un jeune garçon de dix-sept ans qui pleure. Marc Bloch le réconforte: «Ils vont nous fusiller, lui dit-il n’aie pas peur, ils ne nous feront pas mal… Cela ira vite.» A Saint-Didier-de-Formans, le camion s’arrête au bord d’un champ. Marc Bloch est fusillé le premier. En tombant, il crie: «Vive la France.»
le 16 juin, M.Bloch sut voir pleurer un enfant et trouver des mots pour lui parler; c’était un homme de coeur’
la fin de M.Bloch
D’où que je le sors ? Ben de YouTube, pardi. Té.
puck,pour les subprimes, je vous ai déjà dit de passer chez Jorion
Closer, est ce qu’occuper espace médiatique change leur(s) condition(s), est ce que cette exposition est égale à un pouvoir ou réussit à représenter un poids au niveau des décisions politiques avant Biden? Le sort des pauvres n’a à mon avis pas de couleur. Mais je n’ai pas visité les USA , du moins ceux des pauvres, des marginalisés, des exclus, des perdants, des escroqué, pas même en littérature sauf peut être avec Faulkner et c’est un autre siècle.
Claudio dans quelle ville vivez-vous au Brésil ?
EscroquéS.
@je ne vois pas ce qui l’arrêtera sur cette pente insupportable à tous :peut-être P.Assouline en a-t-il une idée ?
Bien sûr Et Alien, on voit tous en revanche quelle intoxication vous propagez ici, pourrissant inlassablement les oages de commentaires de petits exos de sport cérébral pour vieux hs.
Pour se revendiquer de la » Recherche », il ferait beau voir qu’un insulteur, de la famille Frankenstein, sa formule, puisse avoir le toupet de vouloir mettre ce manteau trop grand pour lui, alors qu’il se cantonne à quelques UFR de SS, qui n’ont d’humaines que le nom, pour quelques planqués dont l’intérêt des » trouvailles » sert tout sauf l’intérêt général.
Des islamo-gauchistes, aux allumés du chamanisme écolo, jusqu’à des officines nationalistes identitaires ultra catho, dont ce monsieur est plus que proche, a lire ses » commentaires » !
J’ajoute qu’en plus j’ai eu affaire et encore, à des chercheurs pluri-disciplinaires, plus que ce » militant » ne peur imaginer.
C’est pitié de devoir river le clou a des toquards, qui passent leur vie sur ce blog, alors que la mer est magnifique, vers la baie des milliardaires.
Et zut, pas le temps de corriger, mais le fond est là !
J’oubliais Steinbeck.
Pour ceux qui cuiront et transpireront à Avignon, c’est une idée adaptée.
MS change de victime ou s3s ave.toutes à la plage. N’y aurait il aucun sexuellement scandaleux à qui s’en prendre, Zemmour par exemple si frustré qu’il impose des baisers et autres attouchements ferait l’affaire. Cour, bof, pas le genre à contraindre les femmes dans la coulisse.
Ses aventures à la plage. Mes sorry.
arrêtez d’embêter Jazzi !!! si vous le gonflez trop il va partir et vous l’aurez dans le baigneur.
Jazzi n’est pas à blâmer, ce qu’il c’est juste dans la logique de ce que les médias nous rabâchent depuis des décennies en faisant des inégalités sociales des problèmes ethniques et identitaires.
Ce qui était tout de même bien pensé quand on y réfléchit 2 secondes : les pauvres blancs, oui mais les noirs sont plus pauvres que les blancs pauvres du coup ils ont pas à se plaindre blablabla…
en plus ce truc a marché au moins 30 ans, non c’était vraiment hyper fortiche, maintenant c’est sûr que c’était pas fait pour durer des lustres, mais ça a été toujours ça de pris.
La civilisation du cœur au temps du servage ? sans blagues !
Il fallait juste atteindre un certain statut Pour en bénéficier, Renato. A tout seigneur tout honneur.
Dans l’ancienne province du Poitou, par exemple, existait cette coutume que les vassaux étaient tenus de présenter à leur seigneur un roitelet lié sur une charette traînée par quatre boeufs. Dans une autre partie de la France, à REmiremont (Vosges), l’abbesse se faisait apporter chaque année au 24 juin, en plein été, un plat de neige. Celui de ses vassaux qui n’avait pas su conserver de la neige devait conduire à l’abbaye une paire de taureaux blancs.
et alii dit: à
puck,pour les subprimes, je vous ai déjà dit de passer chez Jorion
»
non malheureuse ! pour ce genre de truc je conseillerais plutôt de lire Lévinas, ou Hans Jonas, ou Ricoeur, ou même Hobbes, comme livre le Léviathan c’est plutôt bien.
En Asie c’est mieux comme on l’a vu avec Parasites, richesse pauvres sont de la même couleur. C’est plus simple pour les idées scénario. Aucune essentialisation dans ce cas .
Riches et pauvres.
pour l’Asie y’a aussi « a touch of sin », comme film c’est bien.
et pour les russes y’a « Leviathan ».
en fait je crois qu’on en trouve un peu pour tous les pays sur tous les continents.
(Que serait la florissante Californie d’aujourd’hui sans les Hillbillies d’hier ? Quant à évoquer une classe moyenne, plutôt blanche, dépossédée de ses biens ces dernières années, au gré des crises financières, c’est tout à fait autre chose ; on en trouve des illustrations jusqu’à Toronto …
https://www.youtube.com/watch?v=t1hk_yzqT58 )
puck, malheureux, vous ne savez plus ce que vous faites;
Le contraste pour la Russie m’avait sauté aux yeux dans faute d’amour, la mère qui s’envoie en l’air avec un nouveau riche, menaçant au détour d’un divorce annoncé
d’abandonner son fils qui surprenant les propos égoïstes fugue. Les HLM soviétiques, l’intérieur luxueux moderne de l’amant, les mentalités pourries des parents et la solidarité encore vivante de la communauté qu’on aura pu lire comme étant ouvrière sinon populaire.
En tout cas, si en Inde être gras est(était?) un signe de richesse, aux USA c’est une preuve de misère. L’Amérique ploye sous le nombre de ses obèses et nous prenons la même direction. L’obésité récupérée par les publicitaires car le nombre de cas augmente et les personnes qui en sont atteintes représentent une part grossissant de marché. Rien ne se perd, tout se transforme , en argent en attendant les maladies liées, les morts qui eux aussi seront recyclés en part de marché, en capital, en investissements peu générateurs d’emplois. Pourvu que les industriels pensent à modifier leurs recettes, c’est catastrophique.
(le Bouddha de la joie est plutôt bien portant, B. le voudriez vous malingre à l’image de Zemour de La Télé ?)
puck
https://www.philomag.com/?utm_source=Philosophie+magazine&utm_campaign=53180a33de-
Match de football légendaire entre philosophes allemands et grecs, imaginé par les Monty Python en 1972 pour l’adaptation ouest-allemande de leur programme Monty Python’s Flying Circus.newsletters_COPY_02&utm_medium=email&utm_term=0_dee8ebacdf-53180a33de-217926025
bonne soirée
Je crois que Marie Sasseur , à bouts d’arguments’ reprend le cliché si original de la petite societe integristo-nationaliste dont je serais » plus que proche ». On pourrait lui dire que l’ etude des courants politico-religieux est un objet d’études comme un autre, que celui-ci n’est pas mon unique préoccupation, qu’il en est d’autres qui me sollicitent, simplement parce que la structure des colloques interdit l’encroutement dans un sujet. Mais on ne le fera pas. Ça ne nous vaudrait qu’une déclaration de plus!
Aux US, les blancs forment un peu moins de 2/3 de la population américaine, dont une partie aime à se présenter comme la ‘silent majority’, selon l’expression popularisée par Nixon. Sous Trump, il s’est plutôt agi d’une loud majority », dont une partie militante a réalisé le rêve de tout redneck, de tout poo’ white trash – s’en prendre avec violence et haine aux institutions démocratiques américaines en attaquant le Congrès.
Ceux-là sont les dignes descendants des pionniers massacreurs d’Indiens, des intolérants brûleurs de « sorcières », des racistes lyncheurs d’hommes et d’enfants noirs.
C’est l’Amérique du cauchemar, celle de The Road, de Deliverance, de Blackkklansman, des nouvelles de Hubert Selby Jr.
Heureusement, elle est minoritaire, mais comme les fachos ici, ses idées tordues infusent dans la société entière. Comme ici, elle sa chaine de télé, Fox News.
Ce soir c’est raviolis.
(Pour employer un autre raccourci : Paris Texas)
Arrêtez vot cinéma, Bloom. Ce qui nous menace ce sont les islamistes radicaux et rien d’autres. Vous n’en parlez jamais. C’est la menace la plus grande et mortelle. Eux n’hésiteront pas à tuer en masse.
(ah, ce pull angora … )
(Ça manque de juifs new-yorkais, on ne sent pas trop la patte hollywoodienne, mais ça se laisse regarder, aujourd’hui encore… https://www.youtube.com/watch?v=XZUzgXbT7fQ )
MC, quelles étaient les valeurs défendues par la civilisation du coeur qui comme chacun l’a constaté fut guillotinée à la révolution et quelles applications trouvait elle dans la société et son organisation au cours de toute la grande période qui court jusqu’à la révolution française?
(Pour employer un autre raccourci : Paris Texas)
r belle Nastasja avec son pull rose fuchsia. J’avais acheté une robe de laine de la même couleur à Taormina, bronzée, un ravage ou presque.
Lourdaud, on ne va pas refaire les présentations. Depuis le temps,que vous postez vos idées bien pourries, et aux frais de la princesse s’il vous plaît je vais laisser ceux qui pensent par intérêt bien compris, leurs bavasseries quotidiennes, que vous êtes intelligent . Je sais trop de quoi cette meute est capable.
@ rôz / ai trouvé que les trois baffes étaient méritées, ainsi que l’envie de l’étrangler… Sinon, était rudement bien agencée, la structure mentale de « l’intelligent » qui ne peut plus résister au fur et à mesure. Pas de pathos ou si peu…, mais hélas, pas mal de bavardages… Cela dit, @ jzmn ?… pourquoi « bof » du mec blasé ?… C’était pas une problématique d’aveugle ?… Comment de la critique est-elle possible, si c juste pour dire qu’on n’a pas eu d’émotion mais qu’on a la bonne distance. RPTV. ? on peut pas vraiment discuter à armes égales dans ces cas là.
(Nomadland passe dans 15 j… -A la revoyure : a priori, suis sûr d’un navet farceur, hein ).
@ P / lâchez moi les couilles avec votre pedro, vous confondez les genres… o marsi-puck… Vous ai déjà dit que votre dialectique était scabreuse et pourrie. Etes pas clair avec votre pmtq d’erdélien moraliste, hurk !
@ MC, / tant que vous lui répliquerez, elle marquera des points. Avez bien tort….. Ce que j’en dis, moi… Cela me fait quand même de la peine… Elle jubile… quand vous suggérez que Passoul la vire…
@ lmd/ Benno von Arcimboldi, in La partie d’Arcjmboldi, tome 5 (posthume) de « 2666 », le roman fleuve de Roberto Bolano.
Bàv
Tiens, ça va te plaire :
Quand tant de villages se meurent en France, en voilà un dont les premiers mois d’activité ont attisé la curiosité du monde entier. Ouvert à ses premiers villageois le 11 juin 2020, à Dax, le Village landais Alzheimer se veut une réelle espérance par rapport à la prise en charge de personnes victimes de cette maladie neurodégénérative.
Passou a innové avec son village virtuel de vieux » désorientés « , lol. Vaut la visite.
Bien reçu , JJJ , et vous prêchez …un converti . Quid de votre Ron Rash que personnellement je n’ai pas trouve le meilleur? Bien à vous. MC
Attendez, faut quand même pas perdre de vue le topo.
Ce lien a été donné sur la rdl la première fois par celui qui » prêche », donc.
Si vous êtes perdu dans ce « village » de vieux vicieux, comptez sur moi, j’ai le sens des responsabilités.
(Trump, magnat de l’immobilier new-yorkais, présentateur vedette de la télévision, incarnation du concours miss monde, milliardaire golfeur … porte-parole de “l’Amérique profonde” ? Il est plus proche d’un Weinstein producteur tout-puissant et des dégénérés pédophiles de la couronne britannique que de Tom Dooley : https://www.youtube.com/watch?v=XkzgNgBk8_E … les rednecks n’ont plus bon dos, dis…)
MS, la mère de Rose est sortie de l’ehpad, pas alzeihmer comme vous l’aviez diagnostiqué, vous souvenez vous?
Un 16 juin avec Marc Bloch.
Et puis son préfacier, Chabot.
« Entré dans l’action clandestine, Georges Altman amena à Franc-Tireur Marc Bloch, professeur d’Histoire du Moyen Age à la Sorbonne, révoqué de ses fonctions et réfugié à Lyon. Georges Altman rendit un émouvant hommage à Marc Bloch, fusillé par les Allemands à Trévoux près de Lyon, le 16 juin 1944, en préfaçant L’étrange défaite après la Libération »
https://maitron.fr/spip.php?article9964
( il faudrait raconter l’histoire de ce manuscrit de M. Bloch, mais comme l’imbécillité des chaisieres du blog m’a passablement énervée, ce sera pour une autre fois)
Demain le 17, on enlève les masques. Ça va faire du bien au teint.
(ces quelques envois pour remercier Jazzi de m’inciter à voir le film pour sa bande-son folk et supposément dédiée à une classe moyenne blanche)
Il faudrait que je fréquente à nouveau la bibale, le Nagle coute trop cher. Il faut vous dire que j’ai acheté à la place 30 mètres de ruban bleu de Prusse. Bientôt la quille, hourrah!
C’est bien le masque contre les UV, moi je le garde même pour aller me baigner .
« oubliés » veut dire « oubliés », B, laissés pour compte, humiliés, ce qui implique sans doute une situation matérielle médiocre, mais pas nécessairement une extrême pauvreté. Plutôt un déclin, une dégringolade par rapport à une situation antérieure meilleure ou à un espoir de réussite par le travail.
Rnn Rash…, un silence brutal ?… Le plus mauvais de tous ceux qui me sont tombés sous la main… « Serena » m’avait déjà déplu… Donc, je mets en point final…
Ai découvert un nouveau Peter Heller… (dans la foulée des mc Carthy…) : « la constellation du chien » il y a qq années, … et il y a qq jours… : « La rivière »… (actes sud). Pas facile… après le film Délivrance (il en a bien conscience, en quoi il est honnêt ce Heller)… il s’en sort pas mal quand même, le bougre, il est prometteur !
Je vous le recommande plutôt que Rash, mais j’imagine bien que vous l’avez déjà lu…
Bàv
Un dernier pour « la route », plus encore pour Deliverance, lecture à laquelle je tiens, par-dessus tout.
@ »C’est l’Amérique du cauchemar, celle de The Road, de Deliverance, de Blackkklansman, des nouvelles de Hubert Selby Jr. »
Bloomie, faudrait aussi arrêter de colporter vos hallucinations. Et commencer par prendre une carte de géographie, avant de vous ivrogner.
Si vous saviez de quoi vous causez à propos des Blacks aux US, fallait pas vous terrer au Texas, en tremblant, et où vous aviez toutes les » chances » de les trouver absents.(confortable, l’hôtel ?)
Un peu de courage, try Alabama.
oubliés » veut dire « oubliés », B, laissés pour compte, humiliés, ce qui implique sans
Je suppose que c’est adressé à Bl( Bloom).
47 millions d’Américains sans sécu ni mutuelle, ça fait beaucoup quand même. Système cruel, c’est au présent.
Tu gagnes ou tu crèves, une philosophie issue de l’économie. Toujours binational Closer?
Les moutons.
(@B dit: à
Tu gagnes ou tu crèves
Ah, l’Alabama care … c’est pas demain la veille qu’on verra un caissier noir au Super U du coin)
B dit: à
MS, la mère de Rose est sortie de l’ehpad, pas alzeihmer comme vous l’aviez diagnostiqué.
Va.
On attend la décision écrite.
Elle partira en bons termes.
Elle m’a dit qu’elle n’y retournerait même pas pour des vacances.
Elle est très calme.
Moi je suis ko.
On ne dit pas « elle/il est Alzheimet ».
C’est extrêmement malaisant.
On peut suggérer avec une extrême délicatesse » la manière dont sa mémoire gambade par sauts et par vaux laisse supposer qu’il y a de fortes chances que ce médecin Alzheimer ait trouvé dans Untel/Unetelle un de ses sujets d’étude. Nombre de choses sont à découvrir encore, mais tant de choses sont à découvrir et à mettre en place que cela donne de helles espérances d’avenir.
belles espérances d’avenir.
NB
Cela prend un peu de temps mais est tellement plus respectueux pour l’individu qui souffre.
C’est bien pour vous B.
Binational, pourquoi ?
« un des rares romans contemporains sur le théâtre. »
(Bloom à propos de Le Quatrième mur, de Sorj Chalandon)
Je signale aussi, à tout hasard, l’excellent (et très drôle) roman d’Antoine Mouton, Le Metteur en scène polonais (Éditions Christian Bourgois, 2015 et maintenant en poche, Points)
Adapter Th. Bernhard peut rendre fou, apparemment.
La dimension fantastique (un peu « calvinesque ») s’ajoute à ce que l’on aurait envie d’appeler un « délit d’initié » (si l’expression n’avait un sens autre et très précis) pour le modifier : on ne stagne pas au niveau du roman à clefs ; si satire il y a, elle est aussi affectueuse que stylisée et mise au service du récit (et non l’inverse).
A qui prétend être guide et est surtout führer Je ne mets pas en ligne mes communications. Je ne blogue pas sous le nom de P comme Paris, qui a cru si ma mémoire est bonne, bon de me rendre ce service. Pierre Assouline peut le confirmer au besoin. MC
Non JJJ cette Serena n’est pas inoubliable, loin de là ! Souhaitons que Rash se reprenne dans Un Silence Brutal, sous la main mais pas encore lu. Bien à vous. MC
04h 01
Réveillé en sueur par un etrange songe : des conteneurs-poubelle de toutes les couleurs volent partout dans Paris comme des feuilles mortes. Très beau et inhabituel.
Mre rengdors.
et alii, si bous y boyez une guelguonque zignifiquation du boint de vue bzygagalithique ?
Y’avait des grus et des verts. Principalement.
D voyez FABRICE L
Un peu comme cela D. votre songe ?
les grilles de lecture cohabitent, elles se superposent, elles s’emboitent comme des poupées russes, la même remarque « désolé il n’y a pas de noirs dans le Dakota du sud, ni au Nouveau Mexique » est pertinente exprimée par l’un, haineuse exprimée par l’autre, chacun cherche la menace, kkk, red necks, islamistes, juifs orthodoxes, j’en ai vu à la fin du film « easy rider », il demande au type de marcher à quatre pattes en imitant les cochons, je dois confondre avec Rambo, et moi j’en ai vu dans les livres de Faulkner, Selby Jr, qu’importe ! donner vos chiffres, tant de millions ici, d’autres millions là, ceux-là ne peuvent payer les études de leurs enfants, les autres ne peuvent payer leur chimio, payer quelques mois de survie ou l’avenir de ses enfants, chacun cherche la position la plus légitime pour dénoncer la misère et les inégalités, citant films, romans, pièces de théâtre, la culture est là pour guider nos consciences, l’esprit de compétition, la concurrence, mes références sont plus légitimes que les vôtres, les noirs pauvres sont plus malheureux que les blancs pauvres qui sont moins malheureux que les hispanos pauvres, faut établir des classements, restons-en aux questions identitaires et ethniques si vous le permettez, à Boston les italiens détestent les irlandais qui détestent les noirs qui détestent les juifs… faut garder l’esprit de compétition, nous organiserons les prochains jo, sortez donc de votre trou, faut voir tout ça sur des graphiques, des courbes, vous en aviez rêvé ? Microsoft la fait, Excel a révolutionné la comptabilité du monde comme volonté et représentation, les courbes ne mentent pas, par contre les légitimités s’effritent, à la recherche de la meilleure position pour établir ses critères de jugements éthiques esthétiques et politiques, surtout pas de morale : restons par delà le bien et le mal, faire tourner le globe et pointer un lieu à l’aveugle, l’Afrique du Sud, la Russie, le Brésil, la Chine, l’Inde, les US, la Pologne, la France… qui sera le nouveau recordman de l’injustice social, les piles de livres s’accumulent dans les bibliothèques, roman ou sociologie, théâtre ou philosophie, les grilles de lecture cohabitent paisiblement.
vous n’êtes plus qu’un petite dizaine sur le blogapassou, au lieu de vous chamailler faudrait plutôt voir à vous accoupler pour vous reproduire, faire l’amour pas la guerre.
Elle va se la fermer l’autre pisse vinaigre de Sasseur?
Quand tu verras la mer, saute dedans et reste-z-y, elle a l’habitude de recevoir des saloperies.
@bloom : idée de cadeau pour votre prochain anniversaire : « trouvez le fasciste » (sur le modèle de trouver charlie)
http://saintryinfo.fr/wp-content/uploads/2016/12/ou_est_charlie_blog_21.jpg
Giovanna Garzoni, peintre :
https://www.apollo-magazine.com/the-greatness-of-the-universe-in-the-art-of-giovanna-garzoni/
@puck… sous votre ironie inspirée, vous oubliez une chose, c’est que vous même n’échappez pas à la « raison classificatoire » qui caractérise toutes les civilisations, que vous le vouliez ou non, avec une prédisposition occidentale particulière… Je vous renvoie à Patrick Tort.
Quand vous ne faites pas l’imbécile matinal, vous savez tracer des pistes intéressantes…, ne trouve. Puis, le délire pseudo dialectique s’en vient, généralement, hélas.
Bàv…
Mordre l’oreille c’est déjà faire mordre la poussière.
Ça c’est du sport! 😉
3j,
Patrick Tort,
bravo! 😉
Non, Rose. Pas comme ça.
Des gros conteneurs-poubelle multicolores.
Ils volaient comme des oiseaux mais sans ailes.
Est-ce que c’est embêtant, et alii ?
Vous qui êtes une spécialiste ?
puck, vous aviez le droit ,vous aussi, de lire la lettre philomag d’hier:
En cela, le cool ressemble au naturel de Montaigne. Tous les Essais sont dédiés au naturel du style, à la fois littéraire et existentiel de leur auteur : “Mon dessein est de représenter en parlant une profonde nonchalance et des mouvemens fortuites et impremeditez, comme naissans des occasions presentes ; aymant aussi cher ne rien dire qui vaille que de montrer estre venu preparé pour bien dire, chose messeante, sur tout à gens de ma profession, et chose de trop grande obligation à qui ne peut beaucoup tenir : l’apprest donne plus à espérer qu’il ne porte [qu’il n’accomplit]. On se met souvent sottement en pourpoinct pour ne sauter pas mieux qu’en saye [en manteau]” (III, 9). L’ostentation tue donc le naturel. Pour se déployer, il lui faut une certaine dose d’inconscience de soi, d’indifférence pour son propre effet. Une préoccupation qui n’a rien de superficiel pour Montaigne : le naturel est en effet ce qui permet de braver les remous de l’existence, de s’accorder à la houle qui agite parfois nos vies. Certes, il est une attitude, une “pose”, mais de celle qui embrasse le mouvement du monde sans jamais se figer. Être cool se situe donc à mille lieues de vouloir être cool. Ce qui en fait tout son charme… et tout son drame.
» il demande au type de marcher à quatre pattes en imitant les cochons, »
C’est dans « Délivrance », Puck…un des films les plus marquants, les plus originaux, les plus désespérants sur la nature humaine que l’on puisse voir.
On est loin du théâtre : mais, il y a eu Woody Guthrie et sa guitare prénommée – This machine kills fascists –
https://www.youtube.com/watch?v=XaI5IRuS2aE
..et une autre guitare qui elle aussi a toujours raison :
https://www.youtube.com/watch?v=N-pShRISHnQ
avez vous remarqué la montée en faveur du verbe « dédramatiser »d’abord en milieu médical, puis « partout » c’était peu après que Derrida écrit « je ne dirai plus jamais, « c’est rien »; alors dédramatisation des agressions sexuelles comme du covid,c’était le mot d’ordre du « néocool »
c’est bien sur aux acceptions de « dramatiser » (étymologie comprise) qu’il faut regarder
« vous n’êtes plus qu’un petite dizaine sur le blogapassou, au lieu de vous chamailler faudrait plutôt voir à vous accoupler pour vous reproduire, »
Qui avec qui, Puck ?
pour dédramatiser :
Jean Yanne – Pourquoi m’as-tu mordu l’oreille (1964)
https://www.google.com/search?q=pourquoi+m%27as+tu+mordu+l%27oreille&oq=pourquoi+m%27as+tu+mordu+l%27oreille+&aqs=chrome..69i57j0.18824j0j7&sourceid=chrome&ie=UTF-8
C’était pourtant joli mais pas parallélipédique, certes.
Me fait penser à un vieux pote La Mer, pseudomisé L’éboueur du Tibre et de l’Arno.
Cela doit être fatigant (sueur) de faire voler tout ça.
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