de Pierre Assouline

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La République des livres
On n’a pas lu le même livre

On n’a pas lu le même livre

Qui a bien pu inventer cette formule désolée à la lecture d’un article, ou après avoir lu ici même ou entendu au « Masque et la plume », un commentaire portant au nues, criant au prodige ou rivalisant d’érudition pour arrimer aux œuvres les plus prestigieuses un roman qui nous est tombé des yeux avant de nous tomber des mains ? Alors, oui, accablé, consterné, résigné, on rend les armes à bout d’arguments : « Manifestement, on n’a pas lu le même livre… ». Façon de parler, bien sûr : le livre est bien le même mais pas le regard. Le plus souvent le fossé parait impossible à combler de l’encensement à l’éreintement. On veut bien faire la part de la subjectivité dans le jugement, croire que tous les goûts sont dans la nature à commencer par le mauvais. Mais l’incompréhension parait irréductible lorsque se manifeste une opposition du tout au tout, du chef d’œuvre à la nullité. A croire qu’on ne parle pas la même langue.

La fameuse formule a encore de beaux jours devant elle en cette rentrée littéraire, surtout lorsque votre interlocuteur renonce à expliciter son jugement d’un air satisfait par une autre formule celle-là sans appel : « C’est plus compliqué que cela… il y a un dispositif… ». Pourtant, à bien y réfléchir, non, ce n’est pas si compliqué à constater : une langue pauvre, des situations invraisemblables, des personnages qui parlent tous d’une même voix, un récit qui se perd en digressions inutiles et surtout, l’insondable ennui qui s’en dégage, de cet ennui que vous ne pardonnerez jamais à l’écrivain car il vous a volé des jours de votre vie, ceux que vous avez perdus à le lire.

La critique artistique n’a rien d’une science exacte ; si elle repose bien sur un certain nombre de critères, ceux-ci ne sont pas toujours objectifs. S’agissant de livres, on pourra toujours évoquer la qualité de la langue, l’imagination de l’auteur, l’originalité de l’histoire, le nouage de l’intrigue, la richesse des dialogues, l’expression d’une sensibilité, la puissance du suspens etc Tout cela se discute, question d’honnêteté, de bonne foi, mais certainement pas de gentillesse ou de méchanceté, comme on l’entend parfois à propos de tel ou tel réputé à la dent dure, un critique ne jugeant pas en fonction de l’effet qu’il produira mais d’un absolu de la littérature.

Certains écrivains, ceux qui ont « la carte » délivrée par les tenants de la pensée unique, sont surévalués. Signeraient-ils une copie de l’annuaire des téléphones qu’ils seraient encensés pour leur geste postmoderne. Un exemple parmi d’autres pêché dans la rentrée étrangère, d’autant plus édifiant que son cas est mondial : le norvégien Karl Ove Knausgaard (Oslo, 1968). De quoi nous entretient-il dans son cycle de romans autobiographiques intitulé Mon combat (dans l’édition allemande : Mein Kampf…), six volumes en tout parus en France chez Denoël depuis 2012, le dernier ces jours-ci ? De lui, de sa vie, de son petit monde, toutes choses qui ne présentent aucun intérêt car Knausgaard est tout sauf un artiste. Il se contente de raconter platement un réel on ne peut plus banal en s’imaginant qu’il énonce une vérité littéraire parce qu’il dit ce qu’il pense. « Il dit tout, absolument tout » se pâme la critique un peu partout. Ce qui est vrai mais à quoi bon lorsqu’on n’a rien à dire ?

Quand on songe aux milliers de pages qu’il a noircies afin d’y mettre en scène le vide absolu de son existence, on demeure perplexe. Il y a perdu sa famille et ses amis, tous également écoeurés par son déballage sans nécessité, et gagné argent et notoriété. Mais le pire est ailleurs : dans la cécité littéraire et l’abaissement du sens critique de ses innombrables lecteurs qui en ont fait « le Proust norvégien » ou « l’auteur du roman du siècle » etc A ceux qui n’auraient pas patience ni le goût d’aller vérifier sur pièces, on ne saurait trop recommander au moins la lecture des entretiens accordés par Knausgaard. Je ne sais plus quel auteur confiait : « J’adore donner des interviews : ça me permet de savoir ce que je pense ». Dans le cas présent, l’exercice doit lui être douloureux car le fait est qu’il ne pense rien.

Cela dit, il y a de quoi rester optimiste. Car si la saga egolâtrique du plus vain des norvégiens à plume est un succès mondial, la France est l’un des rares pays où elle laisse les lecteurs indifférents. De quoi nous rassurer sur notre esprit critique en particulier et notre équilibre mental en général. Ou alors c’est qu’on n’a vraiment pas lu le même livre.

(« Jack Nicholson bavardant accueillant un nouveau pensionnaire » photo extraite du film de Milos Forman Vol au-dessus d’un nid de coucous, D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères, vie littéraire.

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1 601 Réponses pour On n’a pas lu le même livre

puck dit: 19 octobre 2020 à 19h14

renato dit: La médecine est un art
 »

non non non : la médecine est une science.

je veux participer à la folie collective qui s’est emparée de ce blog, mais il y a tout de même des limites.

bouguereau dit: 19 octobre 2020 à 19h17

La médecine est un art, rose, et la psychiatrie est souvent un art aproximative

comme la loi qu’il dirait jibé..sauf quand qu’elle me contredit pas

puck dit: 19 octobre 2020 à 19h18

« le regard scientifique qui scrutait, qui dénombrait, qui répertoriait pour connaître, pour acquérir un savoir et fonder une science, ce regard supporté par un sujet, le scientifique lui-même, est rejeté au profit d’une écriture mathématique. »

non non non le scientifique n’est pas rejeté au profit d’une écriture mathématique : il est rejeté au profit d’une écriture comptable.

je veux bien participé à la folie collective qui s’est emparée de ce blog, mais il y a tout de même des limites.

bouguereau dit: 19 octobre 2020 à 19h20

M’enfin Jazzi, le blasphème n’existe pas en droit français, ce n’est pas une affaire de mot!

et pour tu plaides l’égarment baroz..tu peux phumer havec les cardinaux

puck dit: 19 octobre 2020 à 19h20

Marie Sasseur dit: « de manière générale, je pense assez peu quand j’écris »
 »

Sasseur c’est Emmanuel Carrère qu’a dit ça ?

voilà qu’il se prend à présent pour Proust…

où cela va-t-il s’arrêter.

puck dit: 19 octobre 2020 à 19h22

B dit: MS, il vous arrive de lire des textes parisiens germanoparatins
 »

B ouai puisque c’est une fan de Carrère.

à moins de penser qu’il est plus pratin que germano.

bouguereau dit: 19 octobre 2020 à 19h23

Le blasphème n’est pas un délit.
Nul n’est censé ignorer la loi

les égarés au bucher épicétou

Janssen J-J dit: 19 octobre 2020 à 19h25

@ l’odt .

ah je préfère cela…, mais on n’arrive toujours pas à comprendre si vous-même êtes OK avec l’auteur de cette affirmation, ou en désaccord, et sur quel aspect exactement…

Voilà ce qui m’est souvent incompréhensible des intentions d’un internaute quand il reprend telle phrase d’un macron ou d’un autre. So what ?…
Ne laissons jamais les erdéliens extravaguer à ce sujet, cela provoque les sur-décryptages en série (et souvent drôles) du talentueux jmb. Il est quand même préférabl’ de décrypter ou commenter par soi-même ce que nous citons via le CC, à moins de n’avoir pas médité ni même lu le fragment en question, comme il en va du procédé si insupportablement énervant d’une taxfl… Merci pour votre compréhension, le cas échéant.
Bàv,

bouguereau dit: 19 octobre 2020 à 19h25

Nous sommes une nation de citoyens solidaires

dirphilou y veut faire corps avec tèrezoune..mais tèrezoune aveupa

puck dit: 19 octobre 2020 à 19h25

quelqu’un peut me dire pourquoi aucune des femles présentes sur ce blog a proposé à Clopine de pardonner les faiblesses de son mec ?

au contraire elles sont toutes montées au créneaux : faut partir ! faut le virer ! faut le trucider !

et la miséricorde dans tout ça ?

allez-y les gonzesses : pourquoi ??????

renato dit: 19 octobre 2020 à 19h26

puck, la médecine est un art qui s’appuie sur plusieurs sciences, d’où les difficultés de sa pratique. Demandez à un bon médecin.

puck dit: 19 octobre 2020 à 19h28

Il ne faut jamais laisser les gens extravaguer, cela provoque les sur-décryptages en série !!!

Il est quand même préférable de toujours décrypter ou alors, éventuellement commenter par soi-même ce que nous citons…

à moins bien sûr de n’avoir pas médité ni même lu le fragment en question, comme il en va du procédé si insupportablement énervant !

j’ai pas raison 3j ?

puck dit: 19 octobre 2020 à 19h31

renato dit: Demandez à un bon médecin.
 »

j’aimerais bien, sauf que je n’en ai jamais croisé un de ma vie.

le seul que j’ai connu de bon c’est mon gendre anesthésiste parce qu’avant de m’endormir je lui ai dit : t’as pas intérêt à te louper mon gars sinon tu vas te retrouver avec ta belle-mère sur les bras !

résultat : il a bien fait son job.

B dit: 19 octobre 2020 à 19h32

Puck, je ne garde pas le souvenir exact de conseils donnés à Clopine mais j’en était plutôt à tempérer et à accepter le nouveau contrat qui se profilait, l’arrangement me paraissait vivable. Je remarque que dans les milieux modestes les couples rompent pour des histoires d’adultère, liaisons, coucheries. Moins ailleurs quand le couple a vécu, il s’accommode de différentes solutions pour durer.

Jazzi dit: 19 octobre 2020 à 19h36

 » Maintenant j’entends que le meurtrier de Samuel Paty a été abattu sommairement ! »

ça coûte moins cher au contribuable, renato !

Janssen J-J dit: 19 octobre 2020 à 19h37

@ puck vs Cl..in

le pb, c’est qu’il n’en a jamais rien eu à cirer de ce blog, et que s’il est parti de chez lui en Bray…, c’était peut-être que CT lui faisait trop d’infidélités à la rdl en général, et à Proust en particulier.
C’est là just’une hypothèse et r’in qu’une suggestion gratuite et totalement réfutable, bien sûr. Cela dit, je crois ‘notre’ CT désormais assez résiliente pour pouvoir les envisager un brin, ou leur donner au moins matière à réfutation dans son grand roman de la trahison, in progresss à venir.
Bàv, CT et Dexterré.

B dit: 19 octobre 2020 à 19h39

Jazzi, un autre que le muet, presque le Bernardo de Zorro, a-t-il survécu à une arrestation? Ils font tout pour être abattus et puis que deviendraient ils aéré près une réclusion à perpétuité? Des morts comme les autres. Je pense qu’ils préfèrent finir en héros selon leurs évangiles.

Phil dit: 19 octobre 2020 à 19h42

aucune des femles de ce blog

sapré puck, femmes femen femelles; dommage, miss sasseur déjà au pieu car demain faut remonter l’A7 ventre couché.
que lire, aujourd’hui ouvert « Capri, petite île » de Marceau, de la belle prose d’avant Axel Munthe 1951, d’un Belge de droite migré en France, presque mûr pour l’Espagne de Rex.
Renato, l’avez lu ?

Janssen J-J dit: 19 octobre 2020 à 19h43

@ j’ai pas raison 3j ?
Si ! TU as toujours… quand TU cites les bons zhauteurs dans leur contesque et TU sais bin le faire, hein… J’ai pas raison, 3Puckt ?

renato dit: 19 octobre 2020 à 19h44

Le meurtrier de Samuel Paty n’a pas été abattu sommairement car il y a eu sommation, Jacques.

l’ombelle des talus dit: 19 octobre 2020 à 19h45

Convoquer Xénophon l’athénien pour critiquer la sparte-up nation ? Vous n’y pensez pas sérieusement. Le rassemblement national est le nouveau mot d’ordre du sortant « au moins jusqu’à l’été 2021 ». Le national socialisme a connu de ces figures grand-guignolesques moquées par Chaplin ; chez nos voisins allemands, espagnols et italiens.

Janssen J-J dit: 19 octobre 2020 à 19h47

@ mon gendre anesthésiste

c’est pas mal d’avoir ça comme gendre ! quelle chance !… moi j’en ai pas, risque pas de m’anesthésier à la Clo(ro)pine 😉

puck dit: 19 octobre 2020 à 19h47

B dit: dans les milieux modestes les couples rompent pour des histoires d’adultère
 »

B : surtout dans les couples où chacun n’aime pas son conjoint.

si un type aime vraiment son épouse il ne peut pas lui interdire d’aller prendre son pied avec un autre mec ! c’est juste pas imaginable !

ou alors ça veut dire qu’il ne l’aime pas ou qu’il reste accroché à une vision débile et moyenâgeuse du mariage.

Janssen J-J dit: 19 octobre 2020 à 20h09

@ si un type aime vraiment son épouse il ne peut pas lui interdire d’aller prendre son pied avec un autre mec ! c’est juste pas imaginab’ !

Et l’inverse serait encore plus vrai…, J’ai pas raison, là, mister Bovary ?

puck dit: 19 octobre 2020 à 20h13

Janssen J-J dit: Et l’inverse serait encore plus vrai
 »

expliquez-moi pourquoi ce « encore plus vrai » : c’est aussi vrai dans les deux sens.

pourquoi en 2020 il y aurait des règles qui continueraient de différencier l’homme de la femme ?

Janssen J-J dit: 19 octobre 2020 à 20h13

@ pas été abattu sommairement car il y a eu sommation,

des sommations très sommaires 🙂 … mais en légitime défense, hein !, comme aurait dirait l’IGPN. Pas drôle du tout…

Jazzi dit: 19 octobre 2020 à 20h14

« il y a eu sommation »

Oui, renato, nous avons tous vu la scène, qui a été filmée.
Mais les flics ne pouvaient-ils pas l’immobiliser en lui tirant dans les jambes ?

Janssen J-J dit: 19 octobre 2020 à 20h17

@ expliquez-moi pourquoi ce « encore plus vrai »

parfois, on se demande si vous faites pas votre niaiseux exprès pour pas comprendre l’ironie censée faire avancer ou reculer la chmilblic. Etes vite éperdu, lourd et tout mêlé… Pfftt.

renato dit: 19 octobre 2020 à 20h22

Tirer dans le gros est plus facile, Jacques, puis viennent les jambes en in fine la tête.

puck dit: 19 octobre 2020 à 20h23

dans un tas de pays ça fait bien longtemps qu’ils n’arrêtent plus les types qui commettent des actes terroristes : les juger c’est le bordel.

je ne sais pas avec quoi ce type les a « menacés », ce qui est sûr c’est que personne n’ira poursuivre en justice les types qui l’ont dégommé.

puck dit: 19 octobre 2020 à 20h25

parce que le coup du du « il s’est montré menaçant » je pense que personne n’y croit vraiment et tout le monde s’en tape.

Janssen J-J dit: 19 octobre 2020 à 20h27

1/ Les plantes maigres qui n’aiment pas qu’on les oublie
2/ Houellebecq, ou l’absolu de la littérature
3/ Le plafond de verre n’est pas une règle. Aucune « règle » ne différencie les sexes. Il faut chercher un autre terme. Dire par exemple : les lois informelles de la discrimination genrée ont pour effet de provoquer des mécanismes de plafonnements de verre que les juristes mâles « bas du plafond » du dessus font semblant de ne pas voir.
Y’a qu’à le dire comme ça…, ça s’appelle une périphrase + explicite, crois-je (22.28/auli)

puck dit: 19 octobre 2020 à 20h32

renato je ne pense pas qu’il existe une chose au monde qui vous fasse sourire.

cela dit je n’essaie d’amuser personne en dehors de moi, comme je suis un type d’une grande tristesse qui ne m’a jamais quittée depuis l’âge de 8 ans ayez l’amabilité de comprendre que j’essaie de trouver de moyens de me faire rire.

puck dit: 19 octobre 2020 à 20h40

sérieux qui croit au « il s’est montré menaçant » ?

ils auraient dit il s’est jeté sur nous avec son couteau je veux bien.

mais être menaçant en brandissant un couteau à 5 ou 10 mètres…

Nicolas dit: 19 octobre 2020 à 20h45

Il est complètement con en fait Knausgaard. Heureusement qu’il ne faut pas confondre l’auteur et l’œuvre.

Jean Langoncet dit: 19 octobre 2020 à 20h52

@Il est complètement con en fait Knausgaard. Heureusement qu’il ne faut pas confondre l’auteur et l’œuvre.

hin hin hin
Quel ricaneur vous faites

B dit: 19 octobre 2020 à 20h54

Puck, dans mon point de vue est précisé qu’il est question de couples qui ont vécu, c’est à dire qui ont au moins 10, 15, 20 ans d’âge. Comment ne pas succomber au désir quand le désir au sein d’un couple s’est émoussé. Je comprends mieux que les époux se séparentr
s’il y a infidélité alors que le désir est sensé vivre comme la sève circule dans un arbre. Mais après, le lien tient plus par l’amitié, la tendresse, le partage et alors désirer un une autre que l’epousé e peut se rencontrer. Pensez vous qu’être absorbé par la pensée d’un autre sans pour autant franchir la porte ne soit pas être ailleurs déjà, absent.

Jazzi dit: 19 octobre 2020 à 20h54

Le problème c’est qu’en tuant systématiquement les terroristes on en fait des martyrs !

B dit: 19 octobre 2020 à 20h58

mais être menaçant en brandissant un couteau à 5 ou 10 mètres

Il s’est présenté, désigné. Il errait. Il attendait peut-être en état de choc après le crime affreux, ils savent qu’ils seront abattus . Que deviendraient ils s’ils vivaient, le crime détruit l’assassin aussi, celui là avait 18ans. Beau travail de propagande chez des presque enfants.

Phil dit: 19 octobre 2020 à 20h59

bien trop sociologiquement sensible sur un blog littéraire, dear Baroz. souvenez-vous de Brasillach qui eût suggéré de liquider les parents.

Jean Langoncet dit: 19 octobre 2020 à 21h00

@phil & Bécassine

Il faut croire que la guerre entre punaises de sacristie fait rage.

bouguereau dit: 19 octobre 2020 à 21h51

si un type aime vraiment son épouse il ne peut pas lui interdire d’aller prendre son pied avec un autre mec !

s’il fait des sommations c’est bon..

B dit: 19 octobre 2020 à 21h57

J’ai une peur bleue des punaises vertes. Je me souviens qu’un matin, alors que je préparais dans une chambre que m’ était prêtée mon employeur, une punaise verte m’apparut sur le mur. J’avais peur de l’approcher, je n’ai jamais su comment ces insectes se déplacent et j’imagine toujours qu’ils peuvent sauter et donc vous sauter dessus sans qu’il soit alors rendu possible de les repérer. Je restai transite d’effroi jusqu’à décider, sans bouger, de saisir je ne sais plus quoi pour l’écraser bruyamment sur le mur, d’un coup qui ne lui laissa aucune chance.

B dit: 19 octobre 2020 à 22h02

Bouguereau, il a 5toujours été admis, qu’une femme c’est comme une chaussure. Ça se prête pas car elle risque être déformée voire transformée. Ensuite on peut cultiver d’autres philosophies, une femme serait comme une voiture et pas une voiture de location, une qui ne se prête pas non plus.

Jean Langoncet dit: 19 octobre 2020 à 22h07

@Mister Langoncet, noyé dans le purge à toi

Parfois ça lasse, mais on surnage

B dit: 19 octobre 2020 à 22h12

Jean L et Phil, je ne comprends rien à votre échange d’amabilités. Seulement que vous réglez des comptes en crypto monnaie.

B dit: 19 octobre 2020 à 22h22

JD donne une définition partisane de la misandrie avec laquelle je ne suis pas d’accord. Une femme peut reprocher à un homme une caractéristique physique sans détester ses caractéristiques morales, ses qualités multiples. La misandrie est peut être le résultat obtenue après un vécu dans une société d’hommes violents, phallocrates, grossiers, misogynes, dominants pathétiques, rustres, sexistes, que sais-je encore des guirlandes qui couvrent certaines forêts.

B dit: 19 octobre 2020 à 22h52

Collection particulière, il m’étonnerait que le chef spirituel tolère de tels objets dans une exposition. C’est une pornographie en miniature?

Sant'Angelo Giovanni dit: 20 octobre 2020 à 0h09

…mardi 20 octobre 2020 à 2 h 09 min.

…cadeaux,!…de scénarios à proies faciles.

…il y a des films inimaginables, of course !

…si un type aime vraiment son épouse, etc, etc,…il ne lui interdit pas d’aller prendre son pied avec un autre mec,!…rien de moins.

…les types généreux,!…à vaudevilles,!…

…surtout si le mec, devient une victime consentante, qui plus est un jeune pubère adolescent,…qui doit fréquenter ce couple, pour ses leçons d’école,…et grandir,!…

…avec la complicité du couple en intimité, entre quiproquo des us et coutumes, et respects des métamorphoses, c’est plus que ce qu’on peut imaginer, à travers les transparentes conventions de moralité,!…

…de ce que l’on se satisfait, de la  » longue durée « , préférence à la couleur  » pourpre « , normalisé, régularisé,!…constante,…

…fait ceci, fait cela,!…etc,…
…c’est mieux qu’hier,!…of course,!…
…encore un effort,!…de trop,!…
…les époux complices,!…en nombres,…

rose dit: 20 octobre 2020 à 3h18

« La psychiatrie approximative ».
Ma dermato. me racontait hier comment lors de ses gardes en psychiatrie durant son internat, elle faisait en sorte que cela ne démarre pas. Grosso modo, elle désamorçait. Elle est comme moi, elle va aller vivre à Biarritz.

rose dit: 20 octobre 2020 à 3h31

Nicolas
In Cairn

« J’en pleure de rire »
Le voyeur donne ainsi corps au manque qu’est le regard en se faisant regard. Il comble le manque de l’Autre avec son propre regard.

C’est pourtant d’une tristesse !

Clopine dit: 20 octobre 2020 à 4h26

Dites, les erdéliens, j’espère bien que vous allez tous m’aider à publier mon fichu bouquin (oui, le work is on progress, tous les jours je suis encouragée et même les remarques insensées qui sont prononcées ici sont une preuve d’intérêt, en réalité) et surtout que vous l’achèterez quand il sera en vente libre. Ahahah.

Marie Sasseur dit: 20 octobre 2020 à 4h41

Le vieil infect a trouvé quelque chose à lire !

Il a les mêmes lectures que les pétainistes,
ceux des mouvantes identitaires nationalistes.

Enfin, des ordures comme ça sont vouées à rester en marge de la société humaine .

Il faut juste faire gaffe aux enfants. Ca il les aime bien. Surtout ceux des autres. Forcément.

Marie Sasseur dit: 20 octobre 2020 à 4h51

Langoncet, objecteur de conscience, c’est pas le genre de la maison. Contentez vous de faite tourner le juke box.

Marie Sasseur dit: 20 octobre 2020 à 5h06

# Le rassemblement national est le nouveau mot d’ordre du sortant « au moins jusqu’à l’été 2021 ».

Bien vu.

Marie Sasseur dit: 20 octobre 2020 à 5h42

@ « puisque c’est une fan de Carrère.

à moins de penser qu’il est plus pratin que germano. »

petite lectrice, c’est déjà pas mal…

Mais c’est bien vu.
Il en vient et il y retourne , lucidement, inexorablement, comme la Seine va s’amollir en embouchure au Havre, sur une terrasse de Dufy. Son cauchemar.

A tantôt, je vais voir la mer.

Jean Langoncet dit: 20 octobre 2020 à 6h21

@contentez vous de faite tourner le juke box.

Amen qu’aurait dit Alan Vega.

Jibé dit: 20 octobre 2020 à 7h21

Le PM, Castex, a usé de ce néologisme à propos de ceux qui voudraient partir en guerre tous azimuts vs les suspects:
« matadorisme »
on n’arrête pas le progrès.
D’autant que son collègue et second en hiérarchie gouvernementale, m’a l’air d’en faire pas mal, du « matadorisme », pour le coup, ds le genre on va voir ce qu’on va voir.
On verra, en effet.

Jibé dit: 20 octobre 2020 à 7h23

Son collègue Darmanin, of course.
Il ne faudrait pas confondre refus de complaisance avec précipitation. Derrière plein d’arrestations se profilent des problèmes de procédure qui vont empêcher toutes suites réelles.

et alii dit: 20 octobre 2020 à 7h30

bonjour;je suis trop triste pour continuer de m’efforcer de trouver un commentaire;d’ailleurs je cherchais une citation de Rabelais pur « chaussure » que je n’ai pas (encore) trouvée;mais j’ai retrouvé une page de LSP j’espère que ça ne fachera pas Clopine que j’ai sentie d’attaque à son work
 »
PUBLIÉ LE10 AOÛT 2005 PAR CORRECTEURS
La chaussure de Montaigne
Cette note pourrait commencer en devinette : imaginez une chaussure qui n’aille pas par paire, qui soit uniquement masculine et pour laquelle il ne soit pas question de pointure. Ce n’est pas du côté des unijambistes qu’il faut chercher, mais chez Montaigne, pour qui chaussure a le sens de braguette. Le glossaire publié par l’édition de la Pléiade des Essais montre à quel point le sens des mots que nous employons est mouvant : une palestine y est une lutte à la palestre, une baie doit être comprise comme une tromperie et une batterie comme une querelle ; viande a le sens de nourriture, et notre conte s’écrit compte.
Et pour relancer le débat sur la féminisation des noms, on y apprend aussi qu’un champi est un balourd et une balourde, une champisse ! Pire qu’un champi, une champisse : la féminisation s’apparente ici à la double peine. »
bien à vous tous bonne suite

B dit: 20 octobre 2020 à 7h32

se profilent des problèmes de procédure qui vont empêcher toutes suites réelles.

Notamment le possible refus des pays de reprendre leurs ressortissants.

B dit: 20 octobre 2020 à 7h44

Puck, vu il y a quelques jours, pour revenir au couple, un petit film que je suppose d’auteur, sur Arte qui traitait du sujet.

Daniel (Luke Kerby), l’alchimie est immédiate. Épouse heureuse de Lou (Seth Rogen), elle réprime cette attirance aussi soudaine qu’inattendue… Empruntant son titre à la célèbre chanson de Leonard Cohen, le film de Sarah Polley interroge l’amour et le sexe, l’usure discrète du couple et les illusions perdues de la passion.

Daniel (Luke Kerby), l’alchimie est immédiate. Épouse heureuse de Lou (Seth Rogen), elle réprime cette attirance aussi soudaine qu’inattendue… Empruntant son titre à la célèbre chanson de Leonard Cohen, le film de Sarah Polley interroge l’amour et le sexe, l’usure discrète du couple et les illusions perdues de la passion.Take this waltz.

https://www.arte.tv/fr/videos/095670-000-A/take-this-waltz/

D. dit: 20 octobre 2020 à 7h47

Clopine dit: à

Dites, les erdéliens, j’espère bien que vous allez tous m’aider à publier mon fichu bouquin 

Je vous en ai déjà donné le titre « Surtout ne le dites à personne ».
Prix Goncourt 2022. C’est écrit dans les astres.

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 7h53

Terrible cette histoire des élèves qui ont désigné leur prof à l’assassin contre rémunération !

et alii dit: 20 octobre 2020 à 7h55

j’ai trouvé la citation de Rabelais dans l’article
https://www.persee.fr/doc/litts_0563-9751_1986_num_15_1_1880
Rabelais : misogynie et misogamie [article]
sem-linkPierre Goumarre
j’espère qu’il vous plaira autant que le souvenir d’études du TIERS Livre à Toulouse ,en fac -:le prof m’avait laissée choisir seule mon sujet-; qu’il m’a rappelé, (et j’ai relu tout l’article avant de le poster)

Janssen J-J dit: 20 octobre 2020 à 8h07

@ MS, ne me dites pas que « les émotions » de JP Toussaint soit un bon roman… Rarement lu depuis longtemps, quelque chose d’aussi nul. Je persiste et signe (Même moi, j’aurais jamais osé écrire de la sorte ce plaidoyer futuriste pro européen, version 2030). Donc, toute cette perte de temps à cause de vous. Mais je vous reconnait bien dans la grande gueule de Scott Adams…

@ J. Ext (20.10.20_9.50) – Hier, échange (ou plutôt monologue) avec B., retrouvée après trente ans de mise à distance. Elle avait été jadis une grand gueule acide, intelligente, solidement ancrée dans des « valeurs de gauche ». Normale, quoi. A 65 ans, aujourd’hui retraitée de petits boulots de secrétariat dans une structure d’aide aux personnes âgées et d’ANPE, vivant désormais seule avec cinq chats. Devenue un vrai personnage de Vernon Subutex. Oui le monde a bien changé, et peut-être que j’ai pas vraiment voulu le voir venir, malgré tous les romans qui l’annonçait. Mais il est là, dans la France profonde, et il faut faire avec… Quelle baffe dans la gueule, me suis-je ramassée. Voilà :
Elle raconte aujourd’hui s’auto-suffire « en-dessous du seuil de pauvreté », avoir vécu longtemps avec un pervers narcissique qui l’aurait bousillée à jamais, avoir récemment participé activement au mouvement des Gilets Jaunes, mais être devenue fielleuse à l’égard du traître Mélanchon. Sa haine est surtout exacerbée à l’égard de Macron, un psychopathe pervers, et à l’égard de tous ces politiciens qui ont tous pris du « produit Raoult », mais préfèrent cracher sur la chloroquine qui aurait pu sauver des milliers de gens, comme elle a sauvé l’Afrique entière du paludisme. Cette histoire de « 2e vague » est pour elle la plus grosse mascarade du siècle, minutieusement calculée pour tenir le peuple en respect dans la peur et instaurer en silence un fascisme soit disant néo libéral par le Macron, sa clique et France Inter, son porte parole officiel… Une horreur ! Et ils continueraient à raconter des histoires sur le Front. « Dieu sait que j’aime pas les Le Pen, dit’elle, car le vrai mec valable sur l’Europe et le Freixit, c’était Philipot, mais ils l’ont viré… (et la fille le Pen a même renié la sortie de l’Europe et de l’euro !!!). Elle en a bien un peu marre, B., que leur discours porte toujours sur les migrants comme boucs-émissaires, « mais bon, on peut plus les accueillir non plus, hein ! Tant qu’on le pouvait, OK, mais c’est bien fini ! ». Elle ne veut pas se faire vacciner de quoi que ce soit car ayant travaillé avec des vieux durant 13 ans, c’est à cause de leur vaccin anti-grippe qu’elle a failli y passer elle-même. Elle n’ira jamais en chimiothérapie, ce sont ces méthodes qui tuent les cancéreux au lieu de les laisser vivre bien plus longtemps avec des techniques plus douces. Trump ?… c’est un « joueur », mais surtout un nationaliste conséquent qui « se fout de l’Europe et il a bien raison : il a fait avancer des choses dans son pays, et secoué le monde. On n’a pas besoin de lui ». Elle aimait bien Onfray mais beaucoup moins maintenant, il est pas clair et elle en a marre qu’il tape sur les « fainéants de la fonction publique… Et du CNRS ? -Oui »… Ecolo enragée, elle supporte pas les Jadot et tous les politiciens qui en ont fait leur métier. Serait pour que l’Etat aide beaucoup plus les petits paysans qui veulent pas crever en faisant des efforts de reconversion dans des petits territoires de la transition verte, mais beaucoup deviennent cyniques avec tous les pourris de la FNSEA productiviste et pesticidée. J’ai bien vu leur double jeu… etc…

Je vais devoir désormais me confronter en douceur à ce bloc de psycho rigidité… Et ça va pas mal me changer des étudiants. Mon épreuve de fin de vie d’intello de merde ?
Aidez-moi, les erdéliens, comme on va aider CT à se ressourcer dans l’histoire de son histoire. Je veux bien participer à la cagnotte. Pour la naufragée Betty, je ne vous demande rien. Juste vous la raconter de temps à autre, si ça m’aide et aide les erdéliens à se muter, hein ? On est là pour ça, non ? Solidaires, derrière le compost des écrans de fumées.

Bàv,

Phil dit: 20 octobre 2020 à 8h14

Il y a ici des commentaires à vomir. Les tristes commères de la mort. (Bloom)

toutafet dear Bloom. vous avez connu ici un éclipse durant laquelle est apparue cette « marie sasseur », unique responsable de la dérive ordurière du prestigieux commentarium.

B dit: 20 octobre 2020 à 8h16

3J, on est là pour ça…

Je n’ai rien demandé, ne nourris pas ce genre d’attentes quant à ce blog. Précisons que cette B pour Betty , ce n’est pas moi. Vous auriez pu éviter d’emprunter cette lettre qui me sert de pseudo pour évoquer votre protégée.

B dit: 20 octobre 2020 à 8h23

Faut pas vous ennuyer pas avec ces détails, 3J,n’est-ce-pas? Je demande à ce que votre post soit retiré pour être modifié afin qu’il ne subsiste aucune confusion entre votre amie? personnage et mon pseudo qui ne bénéficie d’aucune protection de brevet NF mais qui est bel et bien B.
Merci Pierre Assouline de permettre à 3J de donner un nom original à son ami3 Betty.

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 8h54

unique responsable de la dérive ordurière du prestigieux commentarium

..unique unique..mais tu sais donc pas que l’amour rend aveugle malheureux!

Janssen J-J dit: 20 octobre 2020 à 8h57

Oui passoul, si vous pouviez faire en sorte que ma B. soit transformée en Betty. Merci…
Cela dit, je ne pense pas que vous puissiez exiger cela. Je ne pensais pas à vous, bérénice, cessez donc de vous sentir visée… Comme vous le dites fort justement, et sans aucun humour, vous n’êtes pas une marque déposée. Il se trouve par ailleurs que le vrai prénom de la peersonne que j’évoque est marie-béatrice. Donc, rin à voir avec vous. Et pourquoi n’aurait-elle pas le droit de se reconnaître sur la rdl, si je lui en donnait le mode d’emploi ? Je croyais que tout le monde de l’erdélie était ouvert à tous.tes et non pas un cénacle fermé. Que les unes ou les autres en soient venues à le pourrir, comme fil le dit à bloom, IL FAUT FAIRE AVEC. Point barre.
ofinal : non, Passoul, ne faites rien ! B. doit faire icite amende honorable de l’affront moral qu’elle vient de faire subir à l’erdélie tout entière !

Bàv 🙂

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 8h59

Terrible cette histoire des élèves qui ont désigné leur prof à l’assassin contre rémunération !

ind!d baroz..pour ceux qui avaient un doute qu’ici ce n’est pas la vraie vie..décidément tout..tout y est dans ce drame..il n’y manque pas un vilain détail

B dit: 20 octobre 2020 à 9h05

3J, vous pouvez ainsi changer en MB. Je prefere taire mon opinion quant à vous. Je n’ai pas envie de me salir à cause d’un vieux schnock comme vous.

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 9h05

La chaussure pour la femme, le sexe plus précisément, c’est freudien

son fétichisme est hune trés vieille scie..la chaussure est un objet telment estrordinaire..le pied comme la main est un personnage

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 9h09

Je n’ai pas envie de me salir à cause d’un vieux schnock comme vous

touche moi pas..essaie dte donner moins dmal pour faire ado prope sur elle dans l’propos béré..

Janssen J-J dit: 20 octobre 2020 à 9h10

@ B(érénice) / aucune confusion entre votre amie? personnage et mon pseudo /

Fort de café !… La personne évoquée est bien réelle. Elle n’est pas une amie, ni un personnage. En revanche, vous, on pourrait facilement soutenir et démontrer que vous, vous êtes « un personnage » un brin inamical…
Alors, basta, SVP ! Si vous n’éprouvez la moindre solidarité avec les erdéliens de tous acabits-acabats, que faites-vous là depuis tant de plombes, à ne jamais varier de vos tristes tropismes ? Car vous êtes triste et, finalement… apparemment orgueilleuse, ce que je n’avais jamais imaginé jusqu’à présent. Bofl. A chaque jour suffit sa teigne et sa déception… Bàv,

Janssen J-J dit: 20 octobre 2020 à 9h15

@ Je n’ai pas envie de me salir à cause d’un vieux schnock comme vous. Je préfère taire mon opinion quant à vous.

Très drôle !… On dirait du cricri des mauvais jhours…

B dit: 20 octobre 2020 à 9h16

Alors, basta, SVP ! Si vous n’éprouvez la moindre solidarité avec les erdéliens de tous acabits-acabats, que faites-vous là depuis tant de plombes, à ne jamais varier de vos tristes tropismes ? Car vous êtes triste et, finalement… apparemment orgueilleuse, ce que je n’avais jamais imaginé jusqu’à présent. Bofl. A chaque jour suffit sa teigne et sa déception… Bàv

Chacun son lot, cher 3J. Je ne demande pourtant pas grand-chose et ne cultive aucune prétention. En revanche, certains de vos posts m’ont déplu, déçu. Capri, c’est fini.
Bien à vous.

Ce que j’éprouve, mes états d’âme, mes sentiments, humeurs ne vous regardent pas . Je n’ai pas le sentiment d’embarrasser ce blog en long en large et en travers. J’occupe un faible volume.

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 9h16

« Surtout ne le dites à personne ».
Prix Goncourt 2022. C’est écrit dans les astres

« je copie sur les étoiles » quatrième de couverture par dirfilou..

Alexia Neuhoff dit: 20 octobre 2020 à 9h20

Janssen, laissez à votre « naufragée Betty » sa colère : c’est la béquille qui lui permet de tenir encore debout. C’est sans doute la seule chose qu’on ne puisse lui enlever. Tant pis si elle est constituée de thèses conspirationnistes, d’analyses sommaires, d’opinions douteuses, d’affects tristes. Des gens comme elle, il y en a plein le pays, les villes et les villages. Aussi les amphis de nos facultés. Hélas ! Dans quelle thébaïde avez-vous donc vécu pour ne pas les remarquer… même de loin ?

et alii dit: 20 octobre 2020 à 9h28

@JJJ,ce n’est pas faux ,sur le fond, ce que vous constatez sur l’attitude de Bérénice; mais n’est-ce pas parce qu’elle se voit en professionnelle(on l’a dite infirmière sauf erreur de ma part) psy? une de mes amies aussi professionnelle en médecine et très intéressée par les relations psy et les femmes me parlait d’un médecin qui selon elle se comportait comme « supérieur » à tout le monde;
pour Bérénice, j’ai cru comprendre qu’elle avait des soucis (souffrance) avec un fils et qu’elle voulait être vue comme LA mère AUX YEUX DE MER DU NORD , comme en Norvège? sur la RDL.
Personnellement, je ne veux pas jouer à ces jeux dits « freudiens » (mais qu’est ce qui ne l’est pas aujourd’hui pour une démarche supposée critique?
bonne journée à tous

renato dit: 20 octobre 2020 à 9h34

Pas compris le sens de « Il n’est pas frais mon poisson ? », mais peu importe.

et alii dit: 20 octobre 2020 à 9h35

« Qu’est-ce la pensée critique et quel est le rapport avec le monde du travail ?
La pensée critique se définit comme la capacité que nous avons à évaluer objectivement des informations et des arguments, à faire preuve d’esprit critique et prendre des décisions logiques et rationnelles. Dans cette définition s’imbriquent l’analyse de critères, donc la pensée logique et la capacité de penser de manière créative. En somme, la pensée critique présuppose des attitudes intellectuelles complexes et reliées.

Prendre de bonnes décisions implique de se centrer sur les informations les plus pertinentes, de poser les bonnes questions et de faire la distinction entre des faits avérés et des hypothèses erronées dans le but de prendre une décision logique. Les capacités d’attention, de raisonnement, de recherche et d’analyse des informations pertinentes, d’objectivité, de prises de recul et de décision sont le soubassement de tous les apprentissages. De nombreuses études montrent que la pensée critique, qui est l’ensemble de ces capacités cognitives et de ces attitudes, est une compétence clé pour les métiers de demain.

Quels impacts peut avoir le développement de la pensée critique au sein des entreprises ?
La pensée critique est une compétence émergente qui devient clé aujourd’hui du fait de l’impact des nouvelles technologies sur les compétences et des sommes d’informations en continu auxquelles nous sommes exposés. Notre nouvel environnement de travail nous challenge de plus en plus et nous devons être en mesure de savoir si les décisions que prendront les managers ou
https://www.myrhline.com/actualite-rh/la-pensee-critique-et-les-ressources-humaines-comment-prendre-de-meilleures-decisions.html

renato dit: 20 octobre 2020 à 9h45

B., si plutôt que fouiller dans mes mur vous aviez fouillé dans le sens de l’image vous seriez arrivée aux houris, les vierges que dans le paradis seront la récompense des bienheureux et vous auriez compris le sens de l’mage ; mais là aussi, peu importe.

Janssen J-J dit: 20 octobre 2020 à 9h48

@ Dans quelle thébaïde avez-vous donc vécu…

Aïe… AN, vous venez de toucher un point ultra sensible, là !… Mais j’en dirai pas plus pour le moment.

Marie Sasseur dit: 20 octobre 2020 à 10h23

Il peut causer de responsabilité, le vieil infect.

En terme de responsabilité sociale autre qu’eructer en 3 mots de vocabulaire, des posts absolument immondes, sur un blog  » prestigieux », flatterie de commis qu’il s’empresse de dauber ailleurs.

Avec cet appel a la haine, plus bas dans les commentaires qui atteignent le fond, en se faisant le perroquet de brasiyaque, quand ce n’est pas son morand chardonnessque, bloomie peut seulement se pourvoir en sacs à vomi.

Moi les ordures je ne les calcule pas.

Vanina dit: 20 octobre 2020 à 10h27

se désaltérer à une claire fontaine :

« Tristes Tropiques », Levi-Strauss, calme,clair,le dernier chapitre affronte avec admirable aplomb le problème des religions. Je lui voue une dévotion qui n’a pas faibli depuis sa prémière édition.
Par ce temps de tristesse, un véritable tonique.

Marie Sasseur dit: 20 octobre 2020 à 10h33

@@ MS, ne me dites pas que « les émotions » de JP Toussaint soit un bon roman… 

Je lis. Petite lectrice de Toussaint, aussi. C’est déjà pas mal.

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 10h44

se désaltérer à une claire fontaine

et le commandant cousteau haussi keupu..ça sra raccord avec ton ‘cletche’ de communiss qu’il dirait a dunkek

Phil dit: 20 octobre 2020 à 10h48

moi les infectes je

moi moi moi…de quel bouge insane sortez-vous, radasse sasseur, culture par frottis, le pire d’un rayonnage fnac provincial déglingué, aucun à-propos littéraire, références de collégienne impubère, le tout ça botoxé par le bain quotidien des sanies internet. Tant de belles plumes ici ont déjà fuit devant vos pestilences de racornie inculte. Dame Clopine dont la plume vous enfonce dans les grandes largeurs a rapidement reconnu votre unique qualité « inaudible », vous a même donné du « correctrice du Monde », moment d’égarement dans le registre sm des bordels du monde, petit m.
you are a dead sick woman, sasseur. Pendez-vous.

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 10h48

Et peu importe si les intellectuels « organiques » né comprennent pas la trame de la réalité ni les idées qui la forment

tou couacoué tu fais ton coco rénateau?

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 10h54

c’est la béquille qui lui permet de tenir encore debout. C’est sans doute la seule chose qu’on ne puisse lui enlever

elle est dalinienne alesquia

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 10h56

« elle voulait être vue comme LA mère AUX YEUX DE MER DU NORD »

Et moi qui croyait que B. vivait à l’ouest !

Très bon votre portrait de Betty, JJJ.
Curieux que B. s’y soit reconnue !

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 10h57

you are a dead sick woman, sasseur. Pendez-vous

..ha que ça c’est du vertige de l’amur comme hon hentend par les nuits sans lune à sinbart

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 11h07

Très bon votre portrait de Betty, JJJ.
Curieux que B. s’y soit reconnue !

‘si tu plonge longtemps ton regard dans l’abyme l’abyme te regarde haussi’ c’était une trés vieille idée des ocultes quil dirait dédé..

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 11h10

Pour la naufragée Betty, je ne vous demande rien. Juste vous la raconter de temps à autre, si ça m’aide et aide les erdéliens à se muter, hein ?

..ha que souvent tu dmandes explicitement rien..moi à ta betty j’y crois pas..c’est un fake..une construction..une charge qui ne fait pas personnage

B dit: 20 octobre 2020 à 11h25

Très bon votre portrait de Betty, JJJ.
Curieux que B. s’y soit reconnue

Ce n’est pas tout à fait le cas. Pour rappel, simplement demandé à ce que le personnage porte un autre nom que l’initiale que j’emploie en guise de pseudo.

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 11h29

Moi, des Betty, il me semble en avoir croisé beaucoup, hommes ou femmes, le boug.
Je crois que JJJ tient là un bon stéréotype de personnage, où chacun peut se projeter, à commencer par lui, notamment avec l’affaire des Gilets jaunes ou la lecture d’Onfray !
Personne ici n’avait songé à B, sinon elle-même…

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 11h33

Tous les B sont dans la nature, B.
Il y a ici, depuis peu un Jibé, qui utilise un de mes anciens pseudos, pas de quoi en faire un drame !

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 11h37

« décidément tout..tout y est dans ce drame..il n’y manque pas un vilain détail »

Je n’aimerai pas être à la place de cet élève, le boug. Dans la Bible, ça finit mal pour Judas, espérons pour lui que ça n’ira pas jusque là !

Janssen J-J dit: 20 octobre 2020 à 11h41

@ moi à ta betty j’y crois pas..c’est un fake..une construction..une charge qui ne fait pas personnage

dommage, jmb, elle est pourtant tout ce qu’il y a plus de réel. Et c’est jzmn qui a raison. Mais j’en ferai pas un personnage de roman, car je n’ai pas ce talent. Je la montre brute de décoffrage… pour ne rien en faire de plus que de témoigner d’un moment un peu éprouvant de ma journée d’hier, et d’alimentation de mon J. ext…
Merci à tous de vos réactions, quelles qu’elles soient. Elle, la Betty, ne saura jamais la caricature qu’elle estimerait que j’aurais fait de ses propos, si je lui montrais le présent commentarium de l’rdl. Je vois d’ici sa réaction…, et vous pouvez bien l’imaginer vous-même.
Bàv,

Alexia Neuhoff dit: 20 octobre 2020 à 11h42

bouguereau dit: à
elle est dalinienne alesquia

M’étonnerait. Voilà un peintre que je ne peux pas voir… en peinture.

Marie Sasseur dit: 20 octobre 2020 à 11h52

Le vieil infect a besoin de citer les autres, pour donner le change.

Moi, toute seule!, je n’ai eu besoin de personne pour démasquer cette ordure, dont la seule « responsabilité » est de venir déverser ses petits tract de braziyaqye, et de morand- chardonne, quand ce n’est pas pour faire l’apologie de matzneff.
Sinistre ordure.

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 11h55

C’est pour éviter ce genre de confrontation d’avec mes fantômes que je ne retournerais jamais m’installer à Cannes, JJJ !

Phil dit: 20 octobre 2020 à 12h05

laissez tomber les chardonne morand et autres lacretelle..qui vous a d’ailleurs ici splendidement rétamé. vous n’avez pas le niveau, radasse sasseur, imbaisable même par leurs laquais. mariez-vous avec un vieux de l’action française, votre campagne savoyarde en regorge. apprenez à lire sa bibliothèque entre deux potages de lexomil.

renato dit: 20 octobre 2020 à 12h14

De Lea Vergine, en fr., L’autre moitié de l’avant-garde, 1910-1940. C’est peu compte tenu de sa vingtaines de livres, mais c’est déjà quelque chose !

B dit: 20 octobre 2020 à 12h35

Tous les B sont dans la nature, B.
Il y a ici, depuis peu un Jibé, qui utilise un de mes anciens pseudos, pas de quoi en faire un drame !

Je n’en fais pas un drame. Je reste en droit d’attendre que 3J la nomme par une autre lettre, W ou C , s’il veut. Votre point de vue reste le vôtre, impossible d’en tirer une règle et pour une fois que j’interviens pour une demande express, je n’y vois pas matière à epilogue. Merci. Passou visiblement n’y lit rien qui puisse prêter à confusion ou interprétation , comme dans les films. Toutes ressemblances seraient purement fortuites. Le fait est que l’alphabet contient encore d’autres possibilités.

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 12h38

Jamais entendu parler de ce couple d’écrivains italiens, renato.
J’en étais resté à Alberto Moravia et Elsa Morante !

B dit: 20 octobre 2020 à 12h39

Jazzi, je remets la réponse qui précède votre insistance, peut-être ne l’avez vous pas lue:

Ce n’est pas tout à fait le cas. Pour rappel, simplement demandé à ce que le personnage porte un autre nom que l’initiale que j’emploie en guise de pseudo.

Ou une série d’amortis ou de lifts destinée à n’être pas rattrapés?

renato dit: 20 octobre 2020 à 12h44

Déjà ni Enzo Mari ni Lea Vergine n’étaient écrivains, Jacques. Puis que vous en aviez ou pas entendu parler c’est n’est qu’un fait de peu d’importance.

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 12h46

si je lui montrais le présent commentarium de l’rdl. Je vois d’ici sa réaction…, et vous pouvez bien l’imaginer vous-même

elle srait pas si fachée qu’on la prenne pour béré..elle commençrait a vivre

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 12h46

« Je reste en droit d’attendre que 3J la nomme par une autre lettre »

De quel droit, celui de la propriété sur la lettre B de l’alphabet, B, ou de l’antériorité ?
On sait que la B de JJJ s’appelle Betty, Marie-Béatrice ça faisait un peu tarte !
Vous illustrez parfaitement les dangers de l’écriture auto fictive, B, source de procès. C’était plus simple du temps de la fiction et de l’imaginaire…

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 12h48

Enzo Mari

le creuzet baroz..térezoune va dire qu’elle en a pas..que c’est pour cuire les péteux

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 12h51

On dirait que la RDL est saisie d’une vague de mauvaise humeur caractérisée ?
C’était simplement une manière discrète de vous en demandez un peu plus sur ce couple, renato. Pas de quoi en faire une histoire !

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 12h52

Voilà un peintre que je ne peux pas voir… en peinture

moi non plus..mais c’est un ‘personnage’ qui ne laisse pas hindifferent alesquia..nous lui devons quelques sourires..il aurait peut être chourave térezoune à dirfilou pour son autosodomisée

Sant'Angelo Giovanni dit: 20 octobre 2020 à 12h54

…mardi 20 octobre 2020 à 14 h 54 min.

…prix des commerces lucratifs,…

…nous disons donc,…mettre en œuvres les industries, pour rassembler les coïncidences d’appâts séducteurs,…

…à l’érosion des finances des gens,!…

…achetons sans fin, et saoulons – nous d’investissements inutiles à notre bien-être, quotidien,!…
…le dernier-cri,…de derrière les fagots,!…le monopole du cul(t),…
…sans concurrences,!…

B dit: 20 octobre 2020 à 12h56

De quel droit, celui de la propriété sur la lettre B de l’alphabet, B, ou de l’antériorité ?

Le droit à une certaine politesse, ou délicatesse. Comme vous voudrez, rien de juridique. Entre gays, elle n’existerait donc pas?

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 12h58

Donc un designer et une critique d’art, mort à un jour d’intervalle, victimes du coronavirus…

« 20 ottobre 2020
Dopo Enzo Mari è morta Lea Vergine. I coniugi se ne sono andati a un giorno di distanza, entrambi ricoverati al San Raffaele di Milano per complicazioni da coronavirus. Mari, designer di fama internazionale, si è spento all’età di 88 anni nella giornata del 19 ottobre, mentre la moglie, curatrice e critica d’arte, a 84 il 20 ottobre, esattamente il giorno successivo. »

B dit: 20 octobre 2020 à 12h59

Puisque c’est ainsi, je vous laisse à votre saine solidarité masculine hétéro et homo. Sans pour cela défendre illustrer la misandrie mais raz le cake tout de même. Ciao bye bye.

Phil dit: 20 octobre 2020 à 13h00

« Là ou Dali passe, surgit le fantastique »
Dali
tout le contraire avec « terzoun », dear Bouguereau
Dali fichait des marguerites dans la braguette des grooms du Meurice.
« on n’a pas lu le même livre »
bon résumé du marécage à commentaires sur le prestigieux blog à passou

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 13h01

« Le droit à une certaine politesse, ou délicatesse. »

Sur la RDL, vous rêvez, B !

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 13h04

Pour moi Betty c’est la bouleversante Marie Trintignant

..pas dac du tout..lalcool et la phumée c’est le sang et le spiritous qui circule havec maigret..lautodestruction trop longue sur la fin ça demande beaucoup d’énergie..une condition hors du commun souvent

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 13h06

« Entre gays, elle n’existerait donc pas? »

Non, c’est bien connu, B, entre gays on s’encule, avec insultes et brutalité !

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 13h09

tout le contraire avec « terzoun », dear Bouguereau

..tout est sous crack et epo..et les fantastique surgissent 4 par 4..térezoune elle se voit en ptite combi latesque à faire des moulinet..a force ça rnaude un peu la dsous..heureusement qu’elle va à la mer pour aérer

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 13h12

« ..pas dac du tout.. »

Avec Chabrol/Simenon, on assiste a un véritable naufrage de Betty, le boug. A part qu’ici on se trouve non pas à gauche, mais dans la haute bourgeoisie. Et on a droit à un spectaculaire redressement final du personnage !

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 13h12

entre gays on s’encule, avec insultes et brutalité !

betty elle dirait qules hétéros c’est hypocrite et compagnie baroz..et lassouline srait daccord..on srait frais avec cette nouvelle recrue qu’elle dirait alesquia

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 13h17

A part qu’ici on se trouve non pas à gauche, mais dans la haute bourgeoisie

justement..je crois que le populo est dvenu éduqué qu’il dirait dirfilou..ton opposition bourgeois et gauche ne fait plus hillusion romantique..on y a perdu en puissance narative qui s’écrit tout seul..la sociologie gagne des place..où alinverse de rénateau plusieurs chose adveinne ne même temps..comme égaré assassin antisémite..ce n’est pas ‘complexe’..c’est fastidieux

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 13h27

Je n’aimerai pas être à la place de cet élève, le boug

matznef aurait dit qu’il aurait mieux fait dse faire entreprende..betty dirait que les 2 en même temps c’est possibe..peut être..mais c’est sans compter sur la biologie..betty fait hun peut tout en même temps..c’est beaucoup..beaucoup trop de boulot..le style c’est choisir parmi les poisons

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 13h42

« Dali fichait des marguerites dans la braguette des grooms du Meurice. »

Phil, je vous ai déjà raconté ici qu’à la mort de Dali, j’étais allé interviewé Roger Peyrefitte à propos de son roman « L’Innominato » pour le Gai Pied.
Ils avaient marié leurs fils et fille spirituels (Alain Malaval et Amanda Lear).
Je brûlais d’envie de lui demander si celle-ci était bien un homme, mais n’ai pas osé ?
Il m’a raconté qu’au Meurisse, Dali faisait venir des modèles, les faisait se déshabiller, mettre à quatre pattes sur la moquette et leur posait un mètre de maçon sur le bas des reins. Prétendant que lorsque la goutte était stabilisée au centre, leur anus se déployait en toute majesté…

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 13h50

Un jour que, on ne sait pour qu’elle raison, Dali patronnait une émission à la télé sur les enfants trisomiques, l’animateur (Léon Zitrone ?) lui avait demandé : « Maître, pourquoi vous intéressez-vous à cette cause ? »
Réponse : « Mais vous savez bien que j’adôrrre les monstres ! »
https://www.youtube.com/watch?v=6gCmXozeoXc

Phil dit: 20 octobre 2020 à 13h54

Merci dear Baroz, vous savez interviouver par le bout de la lorgnette. Avec ou sans niveau à bulle, n’avez-vous jamais interrogé Matzneff ?

Bloom dit: 20 octobre 2020 à 13h56

@Vanina
Pas très tendre avec l’islam, l’ami Claude LS, si je me souviens bien.
Personnellement, après avoir vécu et travaillé 13 ans dans cette région (Bangladesh, Inde, Pakistan), je dois avouer ma grande partialité à l’égard de l’islam du sous-continent, sa culture au quotidien (hospitalité), ses musiques (qawwali, khyal), sa poésie (persane, ourdoue, soufie, mais pas seulement), ses réalisations architecturales & paysagères(la mosquées de Lahore, la Wazir Khan, la Badshahi, les jardins de Shalimar, de Lahore et du Cachemire, le Taj Mahal d’Agra, le merveilleux tombeau de Jahangir, encore et toujours en la belle ville de Lahore…), et ses écrivain.e.s (Salman Rushdie, Nadeem Aslam, Mohsin Ahmed, Kamila Shamsie, Uzma Aslam Khan, Monica Ali, Zia Haider Rahman, Kaiser Haq…). Je pourrais ajouter les stars de Bollywood, souvent musulmanes, mais je ne suis pas vraiment ‘fan’ de ce cinéma-là (je lui préfère la veine S.Ray, qui n’a aucun rapport avec l’islam, d’ailleurs).

Ce ‘tropisme’ (sic) n’est pas qu’une question de sensibilité, il est le résultat d’une expérience de vie où les amitiés nouées avec des musulman.e.s pakistanais.e.s et bangladais.es sont pour la vie.

Dans l’Inde hindoue, il est assez rare qu’on invite le hors-caste à sa table…Il nous faut nous rendre à l’évidence: les ghoris (les blancs), sont impurs et donc transparents, ils n’existent pas. Le système des castes et le castisme au quotidien sont très complexes et omniprésents.

Dans son Tristes tropiques, Levi-Strauss, qui passa du temps à Taxila (dont j’ai visité les maigres ruines) et à Chittagong (grand port que je connais bien) fait un panégyrique du bouddhisme et de ses vertus pacifiques etc. (à relativiser, comme on le sait). Or il est étonnant que le grand anthropologue ne s’interroge pas sur la disparition complète de cette hérésie de l’hindouisme du lieu où elle est née: il n’y a quasiment plus de bouddhistes en Inde, chassés qu’ils furent par un brahmanisme tout sauf tolérant. La merveilleuse statuaire gréco-bouddhique du Gandhara permet de mesurer ce dont sont capables les cultures syncrétiques (vraie aussi dans la poésie et la musique baul du Bengale, syncrétisme soufi-hindouiste, que les chansons de Lalon Shah sont un remarquable exemple).
Non, décidément, ce dernier chapitre ne me semble pas le plus réussi de ce grand livre.

Brinqueballe dit: 20 octobre 2020 à 14h03

leur anus se déployait en toute majesté… Jazzi.

C’est la mise en expérimentation pratique de l’expression :  » avoir la fleur au fusil »?

Brinqueballe dit: 20 octobre 2020 à 14h09

« Mais vous savez bien que j’adôrrre les monstres ! »

Le terme vient du latin monstrare (monstro, avi, atum), qui signifie « montrer », « indiquer », et monstrum (rattaché au verbe monere « avertir »)

et alii dit: 20 octobre 2020 à 14h13

e comment la virilité fait préférer le conflit à la résignation, le risque au confort, l’ordre ou la mutation à la désintégration ou à l’inertie.
Ce qui vaut pour les femmes autant que pour les hommes. Et prouve qu’il est temps pour elles et pour eux de sortir la virilité du chômage où on voudrait la confiner en lui redonnant un juste emploi.
https://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/18555/virilite

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 14h13

Peyrefitte me disait, à propos du personnage de son roman « L’Innominato », que c’était lui. Que tout le monde le lisait mais personne n’osait l’avouer.

Matzneff est devenu lui, L’Inrencontrable !
Ceux qui l’ont beaucoup fréquenté ne s’en souvienne plus…

Marie Sasseur dit: 20 octobre 2020 à 14h54

Le vieil infect, inverti et vicieux de naissance, ferait mieux de retourner faire le voyeur insane dans ses salles obscures, sans se faire des fills immondes sur ce qu’il ne connait pas. Surtout avec son cap de chaudronnier, limite analphabète, cette ordure.

Nice, le 20 octobre 2020, 16h54

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 15h15

lui avait demandé : « Maître

il a fait de l’humour a la charlie caodyo sur de pauvres garrotés..et d’autres signes fachiss avec de la phumée de crématorium..juss son coté afrenchézado qu’elle dirait la méchante betty

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 15h18

un mètre de maçon sur le bas des reins

ça prête à confusion baroz..mais térezoune s’hinterdit a dire du mal des machons qui la sifflent..ils sont bien nés

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 15h27

leur anus se déployait en toute majesté… Jazzi.

il y a un dessin de reiser et d’ouc gros degueulasse accroche des photos de trou de bal au plafond en disant qu’il aime les ciels étoilés..est ce que le cancer c’est mieux que l’ak47 baroz?

Phil dit: 20 octobre 2020 à 15h30

radasse sasseur à Nice les fesses à l’air, dégorge comme un vieux serpent du brésil. bientôt le vaccin.

Jazzi dit: 20 octobre 2020 à 15h31

Un livre que Passou vous conseille, dans un article publié ici après l’attentat sur la Promenade des Anglais, Marie Sasseur !

« à lire Le Goût de Cannes et le Goût de l’Afrique d’un certain Jacques Barozzi…. Les hôteliers et les compagnies aériennes seraient bien inspirées d’offrir Le Goût de Nice du même auteur à tous ceux qui ont annulé cette semaine leurs réservations. »

bouguereau dit: 20 octobre 2020 à 15h34

Les hôteliers et les compagnies aériennes seraient bien inspirées d’offrir Le Goût de Nice du même auteur à tous ceux qui ont annulé cette semaine leurs réservations

baroz fait du spoiler..

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