Pascal Quignard dans la nuit de sa musique intérieure
Peut-on dire d’un roman qu’il est splendide ? On peut, et pas seulement sur le plan le plus évident, esthétique ou artistique, d’autant que l’on a rarement l’occasion de le faire. Dès la première page de L’amour la mer (400 pages, 22 euros, Gallimard), le pacte de lecture engage à s’accorder au rythme propre à l’auteur, à la cadence intérieure de Pascal Quignard. Ou pas. Ceux qui l’aiment prendront ce train et ne le regretteront pas. Car tous les Quignard sont convoqués sous la signature de ce livre : le conteur, le musicien, le romancier, le poète, le fragmenteur, l’essayiste, le moraliste, tous irrigués et nourris par le grand lecteur à la curiosité intacte qu’il n’a jamais cessé d’être. Comme s’il avait formé le projet de se rassembler dans ces pages. On retrouve d’ailleurs ici des personnages, là des tableaux ou des morceaux de musique déjà vus, entrevus ou entendus dans tel ou tel de ses livres sans que ce soit un procédé de citation ou de resassement tant leur présence a leur place ici. Il y est à son meilleur et parvient à captiver avec une histoire inédite malgré les reflets de son univers devenu familier au grand nombre de lecteurs qui le suivent depuis son premier récit Le Lecteur (1976) ou son premier roman Carus (1979).
Le titre L’amour la mer est déjà énigmatique. Une critique a indiqué une piste : l’un des plus célèbres poèmes baroques, le sonnet « Et la mer et l’amour ont l’amer pour partage » (1628) de Pierre de Marbeuf. Au fond qu’importe. Nous sommes en 1652. Le royaume de France, en pleine guerre avec l’Espagne, voit l’autorité monarchique contestée. Quatre ans après la limitation des pouvoirs du souverain par le Parlement de Paris, la Fronde des Princes dite aussi « guerre des Lorrains », ultime rébellion nobiliaire du XVIIème siècle, est à son apogée. En octobre de cette année sanglante, Louis XIV entre dans Paris et s’installe au Louvre. Mais les fracas de l’Histoire en marche paraissent loin au lecteur pris dans la bouleversante histoire d’amour entre Hatten et Thullyn.
Lambert Hatten de Mulhouse, un copiste, doux et si peu arrogant, qui peine à apparaitre en société, déteste ça par peur d’être vu et dévisagé tout simplement. Hatten qui s’est damné en abandonnant Dieu pour la musique. Hatten qui refuse de publier sa musique et même de la jouer. Hatten follement aimé de Thullyn, qui apprit la viole de gambe de son maitre monsieur de Sainte-Colombe, cette femme si mystérieuse qui un jour l’abandonne pour regarder la mer suédoise dans le golfe de Botnie. Ils n’arrêtent pas de s’aimer, de se séparer, de se retrouver et de s’aimer encore.
D’autres personnages, empruntés eux à l’Histoire, illuminent cette histoire à commencer par le principal, Johann Jakob Froberger (1616-1667), compositeur, organiste et claveciniste allemand que Bach revendiquera comme l’un de ses maîtres ; on lui doit l’invention de la suite de danses, de la suite française ; il était maitre de chapelle de l’empereur Ferdinand à la cour de Vienne, maître de musique de la princesse Sibyla à la cour de de Stuttgart, luthérien converti au catholicisme par nécessité (impossible autrement de se rendre à Rome) et compositeur du Tombeau de Monsieur de Blancrocher qui est la première « suite » du monde baroque. Un homme dont la grâce s’était réfugiée dans les mains.
On fait donc connaissance chemin faisant (c’était un grand voyageur) de la duchesse douairière Sibyla von Mömpelgard- Württenberg, son amie d’enfance devenue sa protectrice, du savant jésuite Athanasius Kircher, et l’on retrouve le grand violiste Monsieur de Sainte-Colombe échappé des pages de Tous les matins du monde, l’organiste John Blow maitre de chapelle de la cathédrale Saint-Paul à Londres, et Blancrocher le plus fameux luthiste de son temps. Passent aussi dans le décor Frescobaldi, Poussin, Titon du Tillet, dans des paysages où la brume surgit par bouffées.
Quelques néologismes affleurent : abandonnement, sobriquetter… Rien de gratuit dans ce qui obéit à une nécessité et non à une affectation dans cette langue d’une beauté saisissante. Quignard use de la liberté créatrice d’un artiste qui n’a plus rien à prouver. Il répugne à employer le verbe « peindre » quand il s’agit de pasteller car enfin comment désignerait-on celui qui manie un bâton de sang, un charbon de bois, une mine de plomb, comment ? Le paradoxe n’en est pas un car seuls les écrivains dans la parfaite maitrise de leur art parviennent à ressusciter un écheveau de sensations, de sentiments, d’émotions aussi complexe grâce à une écriture d’une telle limpidité.
L’univers de Quignard est aussi charnel que minéral. Sans jamais se prendre pour le philosophe qu’il ne prétend être, il excelle à tirer sa part d’ombre du moindre détail. Chaque phrase est à sa juste place longtemps mûrie. Un style parfois économe, au risque de la sécheresse, tout en demeurant de bout en bout d’une grande sensualité. Tout le roman semble justifier la définition que Jean Tardieu donnait de la poésie : quand un mot en rencontre un autre pour la première fois.
Le roman baigne dans la musique baroque qui a été inventée dans ces moments-là. Seule la supplante à la fin la musique de la mer et des vagues. De la viole, du luth, du théorbe, de la lyre. La musique est partout même quand elle semble absente. « Ceci tuera cela » annonçait Victor Hugo dès l’intitulé d’un chapitre impromptu au sein de Notre-Dame de-Paris. Ici aussi : on croit que chaque instrument, en triomphant, va éliminer ceux qui l’ont précédé. La musique, « sanglot de mort », y est associée au chagrin. Les trois signes de la mort :
« Le souffle sur les lèvres, au moment où il les quitte, quand il rejoint tout entier le vent qui passe.
Le pouls qui s’interrompt, le mouvement du cœur qui cesse de battre, au bout du bras.
Les mouvements du dernier rêve, qui agitent le cerveau, derrière les yeux, , qui dressent le sexe pour le dernière fois, sans que l’âme le décide, qui pressentent le noir dans le noir ».
La nuit aussi est partout, « la nuit qui couche des corps sur la terre comme une vague immense », la nuit millénaire et l’ombre bleue tombée du ciel.
« Mais quelle folie que de prétendre mettre au jour ce que cache l’ombre de la nuit.
N’y a-t-il pas de la démence à jeter dans la lumière ce que l’immense masse bleue de la nuit préservait ?
On ne divulgue pas ce qu’on ose en secret ».
Voilà un écrivain qui vit, lit, rêve et écrit dans un autre temps que le nôtre. Pas seulement une époque d’avant mais une temporalité différente qui ignore la vitesse, la rapidité, la précipitation qui gâtent tant notre sensation du monde. Et même au sein de ce passé-là, il n’y reste pas, revient toujours à la matrice, la scène primitive, l’origine, la nuit des temps. Ou, à tout le moins, là où la parole a émergé. Un vrai roman gouverné par une histoire, articulée par des descriptions et des dialogues autour de personnages. Mais un roman si difracté qu’il pourrait être sous-titré en couverture « romans » malgré l’unité du tout. Dès le départ, on sait que l’on va s’offrir le luxe inouï de le lire lentement, de se l’approprier à son rythme parce que sa densité l’exige mais aussi par pur plaisir de le savourer en repoussant l’instant de la fin.
Dans cette histoire toute de douceur, de tendresse et de violence, le narrateur voit du silence dans les mains du pianiste suspendues au-dessus du clavier. De brèves séquences silencieuses comme autant de chapitres permettent un approfondissement progressif des situations. L’image de l’estran, zone de balancement des marées, est récurrente dans son œuvre comme un fil rouge de livre en livre ; elle resurgit ici à point nommé pour faire le lien. Par ce reflux, il faut aussi entendre ce qu’elle charrie d’échos et de résonance de l’ancien temps dans le nôtre : épidémies, fronde, fanatisme religieux… Inutile de souligner les concordances d’autant que l’auteur s’en garde bien, mais elles s’inscrivent naturellement dans les interstices.
Il n’est question que de partir, ce rêve de bon projectile. De s’enfuir pour mieux se réfugier ailleurs. Tout pour la beauté de l’élan initial. On pourrait en rester là si tant de départs n’engendraient tant de séparations et si celles-ci n’étaient pas, le plus souvent, incompréhensibles à rendre fou, inintelligibles à mort.
Vraiment, splendide.
(« Vue du port d »Anvers, 1658 de Jean-Baptiste Bonnecroy ; L’Extase de sainte Thérèse (ou Sainte Thérèse en Extase ou Transverbération de sainte Thérèse, sculpture en marbre du Bernin, 1647-1652, église Santa Maria Della Vittoria, Rome Nicolas Tournier, Le Christ porté au tombeau, vers 1632, huile sur toile, musée des Augustins, Toulouse ». N.B. Ces tableaux sont décrits dans le roman de Pascal Quignard )
972 Réponses pour Pascal Quignard dans la nuit de sa musique intérieure
Ayant eu pour condisciple un des auditeurs,(élève peut-etre) je peux vous dire que l’évocation de son nom, (àMireille_Delmas-Marty) sa personne, n’a jamais fait tremblér un de ses « collègues » (psy de surcroit)
Moi aussi je pense souvent à Clopine.
Je l’aime bien, moi, Clopine.
Désolé, DHH, j’ai essayé tant de fois déjà… Rien n’y fait. L’humour de Molière n’est pas le mien. Que voulez-vous que j’y fasse.
Il n’y a pzs que ça. J’affirme que le théâtre Molière est souvent laborieux. Au sens péjoratif du terme, bien entendu.
Luce Perrot?
Voulez-vous parler de la grande Michelle Perrot, DHH?
chaque fois je viens jusqu’à la RDL.
Mais vous vous y asseyez en plein, étale ici! 😉
L’humour de Molière n’est pas le mien.
—
Peste soit,fat,de tes digressions !
JBP, non serviam.
« Vous qui aimez lire le latin avez vous eu l’occasion de remarquer ,que pour une grande partie son Albucius est demarqué, pour ne pas dire plagié » de Sénèque le rhéteur.
c’est vrai DHH, et c’est pratique courante chez lui -reprendre ds les textes anciens ce qui lui importe, en l’occurence des chroniques judiciaires.
Il le fait aussi dans « le Sexe et l’effroi’ qui m’avait cependant très intéressé en ce qu’il montrait combien le sexe ds la culture grecque était différent du sexe ds la culture romaine, marqué par la mort. Il apporte quelque chose de lui-même et de nous, ses contemporains, à ce qu’ils nous propose, je ne vois pas comment dire autrement. Il reprend, mais avec la puissance de son imaginaire et la force d’une écriture aiguisée.
(Villa Amalia, je n’ai pas trop apprécié).
Par contre, comme dit justement Bloom, » Dans ce jardin qu’on aimait » est tout à fait magique, Quignard nous offrant le portrait d’un homme capable de goûter tous les sons (les chants d’oiseaux, qu’il note tous, les gouttes de pluie, les bruits de la maison), un roman qui m’a séduit et appris à davantage écouter.
@ RM – Qu’en pensez-vous ?
https://www.youtube.com/watch?v=fSG1CTVD4fo
Je découvre cet op. 9 « Carnaval », qui ne me convainc guère, même sous les doigts de C. Arrau,…- à la suite d’une nouvelle d’Haruki Murakami, traduite en fr. par Hélène Morita de son dernier recueil ‘Première personne du singulier » (Belfond)… J’ignore si elles ont été traduites en italien… Le recueil des huit nouvelles est assez insignifiant d’ailleurs, et l’herdélie peut TAF s’e, dispenser, à moinss d’être fan de cet écrivain prolifique. Bàv,
Louise Jefferson : cartographe.
Le « par contre » s’applique à mon appréciation déçue de Villa Amalia, au contraire de ce que m’a inspiré « Dans ce jardin qu’on aimait ».
Merci JJJ pour cette galerie de préfets et de photos -et l’image de Paris que les uns et les autres révèlent. La marche vers une rationalisation urbaine, par exemple,…
DHH a raison, les caractères de Molière sont étonnamment contemporains et d’ailleurs font rire (pour ce qui est des comédies) des jeunes gens d’aujourd’hui -à condition de ne pas leur coller un bouquin dans les mains mais de le jouer.
Mnouchkine a fait beaucoup pour cette transmission et merci à elle.
@Bloom
evidemment l’hustorienne
je pensais perrot et c’est le nom de la journaliste quis’est ecrit ,à l’insu de mon plein gré
merci d’avoir rectifié ce lapsus
NB, Molière n’est pas dans le registre de l’humour mais de la farce – on rit fort.
@ Bl – oui j’ai tiqué sur la journaliste Luce Perrot itou (80 ans, comme MDM), mais Michelle ne lui en voudra point…, à notre grande Judith.
nb (rptv)/ Je note que le roman Villa Amalia n’a pas rencontré son lectorat à la RDL (et pas le mien non plus). En revanche (et par contre), je garde un souvenir ébloui de son incarnation pour IH au cinéma… Du reste, je pardonne tout à Isabelle Huppert, depuis plus de 20 ans, au pinacle de mes actrices et comédiennes fr. préférées (***En outre, avec CT, nous avons le même âge, ce qui nous rapproche quand même un brin de son talent). Bàv,
Murakami, Janssen J-J, nous dit que notre « cerveau est fait pour réfléchir sur des problèmes difficiles », et l’op. 9 de Schumann est justement un problème difficile — je l’ai entendu bien résolu par Michelangeli qui, je crois, a bien réfléchi au sous-titre : Scènes mignonnes sur quatre notes.
J’affirme que le théâtre Molière est souvent laborieux
pourquoi l’affirmer?
Vous trouvez, aujourd’hui, le théâtre de Molière laborieux; de fait,ce n’est pas grave, si vous n’avez pas à l’enseigner, si vous n’avez pas des enfants qui vivent avec vous, et ont à l’étudier, non, ce n’est pas grave du tout;vous verrez bien plus tard
Scènes mignonnes sur quatre notes.
en français, renato?
oui, en fr.
Puisqu’il est question de grandes personnes, je souhaiterais rendre hommage à Jean Malaurie, qui vient de passer les 100 ans, comme Edgar Morin, et qui ne quitte plus Dieppe où il réside.
Tôt ce dimanche matin dernier, sa voix généreuse et engagée a baigné les ondes de France Culture d’une lueur boréale intense et prophétique.
Cette Terre Humaine qu’il a crée compte parmi les plus beaux textes jamais écrits. Qu’il en soit remercié pour l’éternité. Nul besoin pour lui de revêtir l’habit d’acémicien, il est immortel, comme le sont les ‘saints’ taoistes.
Merci, Jean Malaurie.
Puisqu’il est question de grandes personnes,
vous avez bien raison de le rappeler ; mais je ne sais pas quand ça commence, grande personne, et ici, et ailleurs!
la question semble moins celle du costume que de l’usage: enseignant et enseigné, ce qui n’est pas
absolument satisfaisant;
Molière n’a jamais réussi à esquisser chez moi le moindre sourire. Pourtant j’adore le Grand siècle. J’adore ses artistes en règle générale. Je vénère Louis XIV, sa cour er Versailles. Et pourtant je ne blaire pas Molière.
Éventuellement le Borromini de Paolo Portoghesi — édition remaniée du texte de 1967 (Skira).
Axonométrie de la chapelle de Sant’Ivo alla Sapienza :
YO, éventuellement.
sgannare, qui signifie « dessiller » (ou, pour mieux définir, « amener à voir ce qu’on ignore ou ce qu’on veut ignorer »)
Molière jouait toujours lui-même le rôle de Sganarelle.
bonne nuit
Pour les parisiens, s’il reste des places
https://www.orchestredeparis.com/fr/concerts/3359/gershwin-wayne-marshall
Sur Classica, c’est bientôt fini.
Bolloré a racheté la chaîne.
Cherche écrivains désespérément : le PEN Club France peine à faire entendre sa voix
Par Clémentine Goldszal le monde
je l’ai suivi avec vous, B…, pas mal comme pianiste et chef d’orchestre à la fois… Belle élégance… On le verrait toujours pas diriger un concert baroque, mais ça viendra, soyez-en sûre… Pour l’instant, c’est la Walkyrie… et tout le monde doit en passer par là.,. Bàv sur Classica Stingray.
un fait divers qui me fait rire!
Un gardien de musée qui s’ennuyait dessine au stylo des yeux sur une toile d’avant-garde
https://www.beauxarts.com/vu/un-gardien-de-musee-qui-sennuyait-dessine-au-stylo-des-yeux-sur-une-toile-davant-garde/
Je ne piffe pas Molière.
J’lencadre pas, Pokelain.
y’aurait-il à votre connaissance une trace filmée de Michelangeli jouant Schuman ?… (un lien, en dehors des souvenirs de mme M. Bruni-Tedeschi) ?
3J, pas l’impression que ce soit son siècle, les chefs ne sont pas seulement des mercenaires. Il semble que sa préférence s’attache au XXeme.
D, à des Flaubert, Molière. Vous appliquez vous à déconstruire l’histoire de la littérature française ? Si vous voulez, je vous livre des obus
et le tableau s’est mis à valoir 1000 fois le prix de sa valeur faciale aveugle d’origine, selon la logique burlesque de ces happenings faits-diversiers qui ravissent en général les viand’arts spéculatifs du marché de la rareté insolite,
Bàv, Mords à Venice…
Après, Merdum ce correcteur, si c’est bien le correcteur. Je deviens parano à vivre seule au fond des bois.
Incidemment – quittant le XVIIème mais peut-être pas la musique baignant de partout la mort en partage, qu’évoque ce billet -, je conseille le morceau Requiem Pour Baroqueux, du groupe grenoblois Rien. Après vingt minutes de plaintes écorchées, de ronronnantes répétitions, d’éclats avortés, de fausses colères, tout à coup du neuf, quelques simples accords et: »Je veux que mes obsèques aient lieu à Colombey-les-Deux-Eglises. Si je meurs ailleurs, il faudra transporter mon corps chez moi, sans la moindre cérémonie. Ma tombe sera celle où déjà repose ma fille, Anne, et où un jour reposera ma femme…«
@ Je deviens parano à vivre seule au fond des bois.
Non, je n’en crois rien. Laissons le correcteur tranquille. Il est l’heure, BN, B.
https://www.youtube.com/watch?v=DAqxdXXAll8
ça craint, votre affaire, MC !… Bàv,
JJJ oui, il doit y avoir des traces filmées, ou des captations de la RAI puisque le pianiste Arturo Benedetti Michelangeli a donné plusieurs concerts au Vatican, très célèbres. Notamment le 28 avril 1960 devant jean XXIII et le 29 avril 1977 en présence du pape Paul VI qui devait mourir l’année suivante . On peut acheter ces enregistrements du Vatican chez Memoria ABM, il a interprété une fois le concerto de Schumann opus 54.C même concerto a été aussi enregistré en 1984 sous la direction de Daniel Barenboïm chez Deutsche Grammophon.
Ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain.
JJJ, je ne sais pas s’il y a des traces de son interprétation de l’op. 9 de Schumann (plusieurs interprétations : celle que j’ai entendu c’est Lugano, 71 ou 72 ; puis il y a New York et probablement d’autres).
DHH a écrit, sur Molière:
« …Et Tartuffe dont on a vu tant de clones au comportement identique dans le monde politique, de ces politicards qui affichent un désintéressement austere , qui entendent servir et ne pas se servir , mais se montrent avides de fric et de places quant la situation le leur permet , abusant de la crédulité et de la sincerité des autres … »
Vixe Maria ! DHH n’en a pas, mais il y a des jours comme ça, elle nous surclasse tous, on ne peut qu’admirer . ça claque !
…mardi 15 février 2022 à 23 h 32 minutes.
…
…nous , disons donc,;…Contrôler les catégories,!…de types de gens , aux fonctions dites responsables, pour protéger nos conservateurs – bourgeois habituels, et à défendre nos types de banques et savoir en rajouter,!…des corporations et moyen-âge !
…
…tout transports d’intérêts préconiser, pour plus de profits inutiles,!… » intelligences artificielles « ,…différences d’argumentations, pour faire cognitives raisons, même par l’absurde,!…etc,!…
… » dandine mois,!…les moissons de saisons,!… », suis-je bien, le meilleur titrer, pour nous arroser, de nos meilleurs crus,!…pour sures,!… », du vin a la galette,!…je conserve le mieux, tout et rien, dans le » frigo « , de toutes pensées,!…
…exemple à exploitez,!…etc,!…
… »…tu plait à ma mère £…- tu plait à mon père, $…-, ma cocotte minute, des œufs et du lait, avant d’être confiner en jambon « ,!…
…à l’intelligence des gens de loi et d’universités, aucune genre de pitié dans les raisonnement des profits, » être ou faire les rois fainéants et exploitez ses semblables, écraser dans les systèmes économiques et sociaux, tout est bon, pour le bon droit de la justice dite » aveugle « , à juste titre complice,!…
…
…je n’était pas la, je n’ai rien vu,…hommes femmes et enfants, qui êtes vous devenu, ou réduit à des esclaves pour des » nuls « , l’Europe pour des soumis et exploiter,!…dans des mécanismes à balanciers d’une critère à l’autre, oisivement tester, de familles et partis, tous à mordre le sable,!…à la mode des » autruches » tous bien fonder de grande- peur, épidémies, guerres, insécurités,!…
…même,!…avec toutes ces caméras de surveillances,!…
…sécurité,?,!,…
…ou est mon » chat « ,!…
… » tout de suite « , on vous l’apporte avec un beaux » dandy « , former à bonne école,!…discipliner de première, encore officier de pompier,! tout feux , tout flammes, en tout bois encore tendre,!…et flexible à souhaits ; habituer à la bière et Cola dur,!…du col-profond,!…
…etc,!…pas presser, çà tire un bon coup,!…d’une guerre à l’autre sur plans,!…projetés,!…envahisseur sur mesures.
…tous généraux, et pitreries, pourvu d’y croire, aux victimes hors-pairs,!…
…
…y reste bien des sans-culottes, pour se faire la belle, à quatre – sous, à la mode d’autant en emporte le vent,!…
…d’un trait,!…Go,!…
Mais enfin c’est vers la fin du Dix-Septieme, pas au début, que Port-Royal est détruit. Ce qui n’empêche pas Racine de vouloir s’y faire enterrer! Sur Moliere, D rejoint Louis XIV demandant à Boileau quel est le plus grand homme de son temps et s’entendant répondre Moliere. Mais la réaction du Roi est plus souple: « Je ne l’aurais pas cru, mais puisque vous le dites… »
Petite recherche, JJJ, vous trouvez l’op 9 en LP chez La Voce del pardone et chez Récital Records.
18.02 — 07.20
Il se dit que les Français ne manifestent aucun intérêt pour la prochaine élection. A considérer le panel des commentateurs de la RdL, il n’en est rien. On sent une démangeaison d’isoloir et d’urne, de vote, de référendum, d’exprimer un avis, une opinion : Quignard, Nikolaus Harnoncourt, le style baroque, Molière, Poclain, Caterpillar, les endives cuites.
J’aime : un peu 5/10, beaucoup 8/10, passionnément 10/10- Je n’aime : guère 3/10/ pas 1/10 / pas du tout 0/10 –
@ Paul et Renato, merci pour vos réponses et votre aide, PE et RM. C’est super généreux, je vais voir pour me procurer,
@ Alexia, oui, il y a toujours eu de la solidarité sur la RDL et de l’intérêt de ses internautes fidélisés pour la marche politique du monde. J’apprends par exemple dans mon journal du matin que Macron veut supprimer le CAPES, je crois qu’il a décidé de sacrifier l’électorat traditionnel de la gauche perdante sur l’autel de sa réélection assurée.
https://www.sudouest.fr/france/enseignement-qu-est-ce-que-le-capes-ce-concours-que-macron-envisagerait-de-supprimer-8919611.php
@ une pensée pour Claudio de Bahia, sur nos calendriers chrétiens, c’est sa fête. Je lui souhaite une belle journée chaleureuse.
Bàv à tous.tes, 16.02 – 09.09
Suppression du CAPES
En anglais, vu l’assèchement progressif dudit concours, il est logique que l’étape suivante soit la suppression .
Qu’on en juge :
Programme 2008
Littérature
1.William Shakespeare, The Tragedy of Coriolanus. Ed. R. B. Parker. Oxford World’s Classics, The Oxford Shakespeare, 1998. (N. B. L’édition New Penguin Shakespeare sera utilisée à l’oral).
2.Jane Austen, Pride and Prejudice (1813). Film de Joe Wright (2005).
3.John Steinbeck, The Grapes of Wrath (1939).
Civilisation
La dévolution des pouvoirs à l’Écosse et au pays de Galles, 1966-1999.
Programme 2022
1/ Thème des programmes de collège
– Rencontres avec d’autres cultures
2/ Axes d’étude des programmes de lycée
– Art et contestation
– Diversité et inclusion
– Fiction et réalité
– Relation entre l’individu et le groupe
Bye bye l’autre culture ! (bye bye la culture tout court) Hello la novlangue, le néoparler « {that) narrows the range of thought (George O.)
NB: L’allemand conserve une certaine tenue, comme on peut s’y attendre.
2022:
Littérature
Sarah Kirsch, Sämtliche Gedichte, München, Deutsche Verlags-Anstalt, 2013
On se concentrera particulièrement sur les poèmes des recueils Landaufenthalt (p. 7-73),
Zaubersprüche (p. 75-126), Erdreich (187-248) et Erlkönigs Tochter (363-403).
Civilisation
Histoire de l’Autriche entre 1918 et 1938
Comme je dis…
Collège de Pataphysique.
Bonjour.
Demain je dis, aussi! 😉
Une grosse, des panses…:)
Janssen J-J dit: à
@ une pensée pour Claudio de Bahia, sur nos calendriers chrétiens, c’est sa fête. Je lui souhaite une belle journée chaleureuse.
Calendrier chrétien ou jurassique ? Pour punition, D. vous fera une Julienne… de légumes sauce Drouet.
Ça vous change de Mimi Pinson, non? 😉
Les endives sont cuites, expression employée ci-dessus par A Neuhof, métaphore d’un contexte déprimé, rien à attendre, on n’y croit plus, etc etc
Je hais l’image de l’endive cuite. Devant moi une vingtaine d’étudiants entre deux cours, tous endivesques tapotent du pouce sur leur smartphone, engoncés dans leur doudoune (c’est pas chauffé, la fac, c’est fauché).
On comprend bien, l’avenir macronien certifié n’engage à rien de rien de joyeux, de chaleureux, d’enthousiasmant.
Avoir 20 ans en 2022. Ecris la suite, si tu peux…
J’y retourne, Je ne vais pas me résoudre, sauf à me dissoudre. Ca va turbuler dans leurs cerveaux, je vais y aller à donf sur les guerres de religion, ils vont taper des notes sur leurs micro-ordis et peut-être auront les yeux qui brillent. C’est ça, être prof. Déranger, jeter au vent, laisser mûrir. Parier.
A.Neuhoff, deux f, mille excuses.
bonjour GS »A, je ne sais pas comment vous arrivez toujours à vous incruster à retardement, une fois par mois… On sent que vous avez bien mouliné mentalement le commentarium et en avez su tirer le meilleur profit de sa substance gratuite pour composer votre nouvelle toile. J’espère qu’un jour, vous nous ferez accéder à leur exposition que vous pourriez intituler : « macérations erdéliennes autour d’une CB perdue ». Seuls quelques happy few seraient au parfum de ce titre mystérieux et soutiendront votre initiaitve…
Vous ferez un carton RDL.
Bien à vous, Ami Giovanne. Un peu de musique inspirante pour ensoleiller votre atelier de bonheur, à très bintôt,
https://www.youtube.com/watch?v=AonBUbPkthc
Histoire de l’Autriche entre 1918 et 1938
du blabla pour futurs journalistes arte, dear Bloom. L’Autriche-Hongrie de 1867 à 1918
« Bye bye l’autre culture ! (bye bye la culture tout court) Hello la novlangue, le néoparler « {that) narrows the range of thought (George O.) »
Bloom, c’est à donner envie de rendre son tablier.
En attendant, j’y go!
je m’y colle aussi, pour ce qui concerne l’Angleterre. Le devenir de ce capes est menacé itou.
Bye.
@ Pour punition, D. vous fera une Julienne…
p’tin, ça c ach’ment vachard, alexinane ! kèjdilà pour méritessa ? 🙂
BON COURAGE, jibé, on est avec vous !… Rentrez leur dans l’lard, empoisonnez-les, réveillez-les… Crevez leur la doudoune ! Let’s go and kill !
Sarcophage des époux de Villa Giulia :
https://www.analisidellopera.it/wp-content/uploads/2019/12/Sarcofago_degli_sposi_Villa_Giulia.jpg
L’ouvrage funéraire est divisé en quatre sections, il mesure 2 mètres de long, 140 cm de haut et environ 80 cm de large. Son intégrité est minée par de minuscules fissures causées par le passage extérieur des tramways, le chemin de fer Rome-Viterbo et le trafic quotidien de Rome.
Étant donnés ces microtraumatismes, un nouveau projet voit le jour qui vise à sécuriser le Sarcophage en l’installant sur une plates-formes antisismiques. Le projet est en phase initiale, et dans quelques mois il devrait protéger l’ouvrage.
En attendant, j’y go!
Faites poser un brouilleur d’ondes dans vos amphithéâtres, dear jibé. Interdit dans la vieille scum euro trash comme dit Bloom, mais autorisé par les chinetoques, bon signe.
@ une démangeaison d’isoloir et d’urne (an)
… comme un picotement dans les burnes (jmb)
renato, merci de faire le pont sur le sarcophage des époux, Les solutions italiennes sont plus radicales que les solutions françaises où quelques palettes soigneusement empilées ont suffit (provisoirement, bien entendu…).
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7f/Louvre-Lens_-_Restauration_du_Sarcophage_des_Époux_%28Cp_5194%29_avant_l%27exposition_Les_Étrusques_et_la_Méditerranée_%28A03%2C_9_octobre_2013%29.JPG
… faire le point, (pardi).
Avoir 20 ans en 2022. Ecris la suite, si tu peux…
—
Bien vu, Jibé.
Société qui se regarde dans un miroir fêlé…
Sur le Quignard des chants d’oiseaux, vous mettez le doigt sur ce qui, à mes yeux, constitue l’intérêt de la littérature (débarassée des bavardages universitaires étouffants dont elle est accablée), à savoir ce qu’elle nous dit de la vie, des autres, du monde, de nous-mêmes, mettant des mots qui confirment ce qu’on pressent ou ressent confusément, ou qui ouvrent sur ce qui nous manquait pour être moins incomplets, etc…
Un art poétique, des pensées pour soi-même sur le tout et le presque rien qui font la trame des existences.
The rest is (deafening) silence…
les époux en sarcophage….
les cailles en sarcophage, un lointain souvenir de Babette, et de ce film très réussi.
Par contre, un vent froid en provenance du XVII siècle agréable comme une tonne de glace sur le cou, m’assiège dès qu’il est question de Quignard. Et la musique baroque: c’est comme si on me plantait la gamba de la viole sur le mollet, pas « monarchique » pourtant, il faut appliquer statim une sonate pour piano de L.v B pour que celà guérisse.
Schneider à écrit sur Schumann une bio avec iconographie on y voit toute la famille, l’adorée Clara, et le trajet de sa dégringolade vers la folie.Dans son visage et dans son regard. C’est pour Clara qu’il a écrit un thème que j’écoute joué par Richter. Et « Les Papillons »….on s’envole avec.Sur Beethoven, éventuellement lire Luigi Magnani, I Quaderni di Conversazione di B.
« Avoir 20 ans en 2022. Ecris la suite, si tu peux… »
J’ai eu 20 ans en 1972.
A quelques détails près, les choses n’ont vraisemblablement guère changées.
Les mignardises de Quignard ou les quignardises de Mignard ?
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/b0/Mignard-autoportrait.jpg
Avant Clara il y eut la pianiste Ernestine von Fricken ; le nom de la ville où elle est née (Asch) donne les notes du motif récurrent de l’op. 9 : La, Mib, Do, Si — en allemand A-S-C-H — ; Lab, Do, Si — en al. As-C-H —.
Je suppose que vous vouliez dire La, Ré#, Do, Si,renato ?
renato, il me semble que souvent, « le père » de l’adorée,Clara ou un-e-autre, ne compte pas pour peu dans cette passion
bonne journée
Il vous semble et bonne journée. Non mais franchement.
En politique, les Tartuffe se concentrent surtout à gauche, DHH !
Mélenchon en est le plus bel exemple…
franchement.
je n’y connais rien à la « psychologie » de l’amour et de la haine
N’importe quoi.
Johann Sebastian Bach est le premier de sa lignée à dissimuler dans son œuvre le motif tiré de son nom : B.A.C.H., ou si bémol-la-do-si bécarre. On le découvre dès la Sonate BWV 966, dans diverses pièces religieuses ou encore dans L’Art de la fugue1. Inachevé, ce cycle s’interrompt symboliquement avec l’apparition du fameux motif, énoncé comme troisième sujet de l’ultime fugue…
INB.A.C.H., OU L’ART DES SIGNATURES MUSICALES
https://philharmoniedeparis.fr/fr/magazine/histoires/bach-ou-lart-des-signatures-musicales
Depuis la réunification de l’Allemagne en 1990, des compositions inconnues de Bach sont régulièrement découvertes. (belga)
A Paris, il y a même des Tartuffe au féminin !
Hidalgo veut piquer l’argent de la quête…
https://www.leparisien.fr/paris-75/chantier-de-notre-dame-la-ville-de-paris-va-t-elle-vraiment-reclamer-une-taxe-de-25-millions-deuros-15-02-2022-46FMHQKORRA2HFPLDZZC7KY74Q.php#xtor=AD-1481423553
On peut aussi penser à Musset, Une Soirée Perdue,et son ironie à double tranchant sur l’auteur joué ; « Ce n’était que Moliere… »!
Bach adorait les mystères, les rébus, les labyrinthes. Il était passionné de numérologie, et s’est amusé à décliner les valeurs numériques de son nom de mille manières. Si B = 2, A = 1, C = 3, H = 8, B+A+C+H = 14. Quatorze, c’est son chiffre. Il y a des quatorze partout. Et comme les Allemands désignent les notes de musique par des lettres : A = la, B = si bémol, C = do, H = si, il y a des la-sib-do-si partout dans ses œuvres. C’est sa signature musicale, et même celle de son testament :
. Sur le tableau, il semble n’y avoir que trois voix : c’est que les portées se lisent aussi à l’envers, dans le sens où Bach, qui tient la feuille, peut les lire ! Ce qui fait six… Mais il ne dit pas quoi en faire, ne donne aucune solution. Pas plus que dans « l’Offrande musicale », où tous ses canons sont cryptés, et où il note, paraphrasant Jésus dans le « Sermon sur la montagne » : « Quaerendo invenietis » (cherchez et vous trouverez). Le principe, ici, est atrocement simple : les trois canons fonctionnent indépendamment. Chacun est formé d’une mélodie suivie de l’inverse de cette mélodie, lue dans un miroir : ce qui montait descend, ce qui descendait monte. Mais le tour de force est de faire sonner les trois canons en même temps ! Vertigineux…IN
LE CODE DE BACH – L’œuvre du musicien allemand, passionné d’énigmes et de numérologie, est truffée de défis à relever OBS
SUR BACH (obs),je devrais dire DRILLON
Saul Bellow chez Paul Edel :
https://pauledelblog.fr/2022/02/16/saul-bellow-dun-roman-lautre/
@Jazzi
vous ¨êtes peut-etre trop jeune pour avoir connu ce moment, mais il faut les avoir vus en 1981 se ruer sur les fromages ,tout en continuer à se prevaloir urbi et orbi de leur fidelitéaux ideaux de la gauche idéees et de leur généreux désintéressement
Il est vrai qu’en 1981 l’exemple venait de tres haut
En attendant, j’y go!
De porc noir avec choux-fleur et brocoli en sauce béchamel, accompagné par un vin de Bourgogne « Epineuil » 2018 de chez Simmonet-Febvre.
un vin de Bourgogne « Epineuil » 2018 de chez Simmonet-Febvre.
Peut-être qu’un vin blanc aurait mieux fait l’affaire?
Non, je n’étais pas trop jeune, DHH !
J’avais 29 ans en 1981, le bel âge…
J’avais 29 ans en 1981
Et vous avez voté Mimitt la fleur aux dents?
@MC
je pense que les militantes de metoo vont faire censurer la fin d' »une soirée perdue », où apres sa meditation mélancolique sur le devenir du theatre avec des intrigues en forme rebus tournant autour d’un mirliton,le poète retrouve la pêche par l’effet de son regard égrillard de mâle dominant porté sur la nuque d’une lorette
@Jazzi
vous étiez donc largement en âge de voter et je pense que , que comme moi ,tout l’espérance de « changer la vie » ,dans l’isoloir vous vous êtes comporté en « idiot utile »
Tu as donc 70 ans, Jazzi ?
Bon j’ai décidé de ne plus adresser la parole à et alii.
J’étais même à la Bastille le soir de l’élection, DHH et RCPTV !
Faut croire que je n’avais pas encore perdu mes illusions.
Mais les ai-je vraiment perdues ?
Je les ai eu le 30 janvier dernier, D.
non, il a 69, l’âe des dernières contorsions sexuelles. Quant à nous autres, nous avons tous voté pour FM en 81. So what ?… ç’avait quand même plus de gueule que pour Giscard, lequel n’avait pas besoin de se baffrer de caviar vu qu’il en avait toujours eu sur sa tab’ au petit déj sans jamais se demander combien la boîte de Pétrossian coûtait à sa famille et à la Répu… Hein !
@jazzi
et moi j’etais le lendemain rue Soufflot envahie par l’émotion devant la guignolade à la rose .
Combien de nouveaux pauvres sous Giscard et combien sous Mitterrand, JJJ ?
Je ne sais pas ce qu’est une contorsion sexuelle, JJJ.
Une question de génération ?
Après des années de négociations, de travail et d’échecs à faire l’unité («unité partout ! » ), en 1972 a néanmoins été signé un programme commun de gouvernement entre le Parti communiste français, le Parti socialiste et les Radicaux de gauche. Moins de dix ans après un président de gauche a été élu.
Et aujourd’hui c’est la ruée sur le fromage qu’on rappelle !
ne plus adresser la parole à et alii.
Bof, elle parle liée toute seule avec des fausses relances à notre savant de Colmar.
« Et aujourd’hui c’est la ruée sur le fromage qu’on rappelle ! »
A Paris, les socialo-écolos laisseront en partant une belle ardoise, lmd !
Du fromage, il n’en reste que les croûtes…
nous avons tous voté pour FM en 81.
Parle pour toi! 😉
Le coup de jarnac qu’on disait à l’époque!
Tous vote pour FM? Vous y allez fort! Un exemplaire de l’originale des Larmes, 50 ex, monte à 500 euros, sans qu’on sache si la quignarderie présente joue quelque rôle dans cette spéculation à la hausse
c’est la ruée sur le fromage
Plutôt pasteurisé!
Plutôt pasteurisé!
Ainsi notre Jazzi a gardé la ligne!
Pauvre Anne Hidalgo, qui se prépare des lendemains qui ne vont pas chanter !
Après la claque nationale, elle va devoir rendre des comptes sur l’usage qu’elle a fait de l’argent de la ville, qui est menacée d’être mise sous tutelle…
https://atlantico.fr/article/decryptage/dette-record—mais-que-fait-donc-anne-hidalgo-de-l-argent-de-la-ville-de-paris-dette-budget-tutelle-budgetaire-loyers-capitalises-covid-david-alphand
Moi je mange souvent les croûtes de fromage.
Mon fromager a un très bon Trou du cru soit dit en passant.
www.http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Le_Trou_du_Cru
JJJ vous pouvez écouter sur you tube, une interprétation du Carnaval de Schumann opus 9 par Arturo Benedetti Michelangeli, un concert à Lugano. interprétation exceptionnelle d ‘engagement ,mais j’aime beaucoup les interprétations Schumann de Catherine Collard(the lyrinx recordings 1988-1989) et puis, écoutez, pour vous initier à Schumann le disque si exceptionnel du jeune Maurizio Pollini de 1973 dans la Fantaisie opus 17, tellement superbe! et si vous restez de marbre en écoutant pas ces trois pianistes, dites vous que c’est foutu pour schumann et vous.. ce serait dommage, un tel compositeur
Dest vexé parce que j’ai renvoyé à Drillon pour les signatures musicales! tout le monde aurait pu le faire!Drillon n’est pas un inconnu sur la RDL?ni un CROQUENOTE;il lui reste à étudier les planches de De
Raoult et nous dire ce qui est si évident pour l’infectiologue si doué qu’il a réussi à faire taire les marchands de soupe
mais vous pouvez lire sur la toile:
Jean-Sébastien Bach, sous le signe de l’eau
https://www.leducation-musicale.com/index.php/articles/5766-jean-sebastien-bach-sous-le-signe-de-l-eau
Si quelqu’un peut me traduire l’avant dernier commentaire d’et alii ?
Traduction en Français svp.
Jazzi, arrête s’il te plaît de dire du mal d’Anne. Tu n’as donc pas encore compris qu’elle était la mieux placée pour faire gagner la gauche ?
Avec sa grande expérience.
Si quelqu’un peut me traduire l’avant dernier commentaire d’et alii ?
C’est irréfutablement impossible, c’est toute sa folie en absence de liens!
Les liens de etale sont sa seule ficelle de vie.
Une grenouille prenommée Anne vit un Bœuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle qui n’était pas grosse en tout comme un œuf,
Envieuse s’étend, et s’enfle, et se travaille
Pour égaler l’animal en grosseur,
Disant : « Regardez bien, ma sœur,
Est-ce assez ? dites-moi : n’y suis-je point encore ?
— Nenni. — M’y voici donc ? — Point du tout. — M’y voilà ?
— Vous n’en approchez point. » La chétive pécore
S’enfla si bien qu’elle creva.
Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :
Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs,
Tout petit Prince a des Ambassadeurs,
Tout Marquis veut avoir des Pages.
Haïm Korsia
Je suis inconnu, je n’ai aucun titre, mais je suis heureux d’avoir d’aussi bons yeux, d’aussi bonnes oreilles, et un aussi bon jugement que Haïm Korsia, Grand Rabbin de France, au sujet du candidat à la présidentielle (!) Zemmour.
vous êtes tous des caractères dénués d’imagination, et de sens; comprenez-vous seulement ce qu’on appelle des « signatures musicales » (évoquées par renato)
vous souvenez vous que DRILLON a eu une carrière de musicien, qu’il a été professionnel ?
AVEZ VOUS SUI L’AVENTURE de RAOULT avec ses relations infectes avec le corps médical? et sa femme est psy à Raoult!
vous vous copiez les uns les autres sans une idée personnelle ;non, je ne voudrais pas de votre « amitié », je sais faire mon ménage seule;
Quel jugement ? J’aimerais le lire.
suivi l’aventure
AVEZ VOUS SUI ?
–
EH BEN NON J’AI PAS SUI.
Ah là là. Faut de la patience, je vous assure.
pour ce qui est de »ficelles » la gérondive, vous tombez tres mal, mais vous ne pouvez comprendre pourquoi; si vous vous prenez la cordière de la RDL? SI CA VOUS AMUSE? 5meme si vous etes un homme! sur ce blog!!
vous prenez pour
Je ne blasphèmerai pas en écrivant J’ai sui celui qu’a sui.
@ Je ne sais pas ce qu’est une contorsion sexuelle, JJJ.
C’est quand un homme et une femme, tête bêche, se font simultanément une pipe et un cunnilingus,
@ DHH, Je constate que beaucoup de nos internautes de l’rdl n’étaient apparemment pas nés ou en âge de voter en 1981. Ils n’ont rien connu ni vécu, en somme…
Bàv @ jzm, MC, RPTV
AVEZ VOUS SUI ?
–
J’ai compris : c’est une question à son ramnoneur.
RAOULT? (EN LIEN HIER AU SOIR SUR LA RDL)
son aventure :
Le Conseil national de l’ordre des médecins fait appel du blâme infligé au professeur Didier Raoult
Un blâme avait été infligé au professeur Didier Raoult en première instance par la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins de Nouvelle-Aquitaine – instance indépendante du Conseil national. sur le monde
Un ramoneur espagnol qui se présente en disant j’ai sui Ramon.
Ces vendredis après-midi sont epuisants.
Surtout quand ils tombent le mercredi, comme aujourd’hui.
je ne pose aucune question personnelle à la RDL? DIEU M EN GARDE. quant aux questions qu’elle se pose, elle, swur le départ de CHRISTIANE?qui aimait P.Quignard, je croirais ce qu’elle ,christiane en répondra elle-même
si vous vous prenez la cordière de la RDL?
Pour faire nos ménages, seul(e)s?
(L’ancillaire a son bacille, seule!)
pour les artistes de ficelle, informez vous sur
Fils, cordes, ficelles et bandelettes, ou l’esprit du monde assemblé
Ajouter l’article à vos favorisRetirer l’article de vos favorisEXPOSITION
A La Maison rouge de Paris, «Inextricablia, enchevêtrements magiques» réunit des œuvres d’une cinquantaine d’artistes de presque partout et de beaucoup d’époques
si vous vous prenez la cordière de la RDL?
La fermière et son poteau laid?
Pas question de se faire aussi engrosser comme le bœuf!
Bon, Charoulet ? J’attends votre complément d’information.
Fissa, bande lettres, mais qui peut encore croire au stylo magique?
des artistes de ficelle:
22 kilomètres de ficelle par 18 artistes
Ce projet intitulé OVER IT est le fruit d’un travail en collaboration de 18 artistes de Portland. Designers, écrivains, illustrateurs, directeurs artistiques, designers de mode se sont réunis pour réaliser cette installation singulière. La minutie était de rigueur mais pas seulement, pour offrir cette typographie en corde colorée et parfaitement disposée il a fallu beaucoup de travail et tout ça à 18!
https://www.journal-du-design.fr/art/installation-22-kilometres-de-ficelle-par-18-artistes-13985/
Des airs de guerre froide à l’est: étendues enneigées & glacés, les cons gèrent…
« ce qu’elle nous dit de la vie, des autres, du monde, de nous-mêmes, mettant des mots qui confirment ce qu’on pressent ou ressent confusément, ou qui ouvrent sur ce qui nous manquait pour être moins incomplets, etc… »
yes Bloom, je pense, et même je sais que j’y ai appris à voir et à entendre, à entrer dans le monde aussi sûrement qu’en allant le rencontrer. Les vrais écrivains vous donnent les clefs pour saisir ce qui vaut la peine d’être connu.
comme dirait l’alain minsk, nouveau converti alpecreste : « trop génial ! Inattakab’ les fachos qu’ont trouvé un bon juif pour taper sur les arabes à la place des le-pène-durafour ! »…
Adorons, adhérons, l’a des ronds ! Hein ?
Amanda, n’essayez pas d’imiter notre étale de service, vous ne parviendrez qu’à sa cheville.
( Le lien, le fil à la patte!)
ça s’appelle du string art, mais pas vos slips
https://www.dailymotion.com/video/x4mv8h1
demandez au patron du blog
Té, les artistes de ficelle, c’est quand même le top laisse, non?
Mais pourquoi insister sur le nombre 18?
Ça a l’air sympa tout ça.
(Même si ça nous rappelle les emballages filaires de l’exposition surréaliste avec les sacs de charbon.)
Combien de nouveaux pauvres sous Giscard et combien sous Mitterrand -> question digne d’une cervelle d’huitre, aurait dit jmb69
« Il est vrai qu’en 1981 l’exemple venait de tres haut »
c’est vachard mais c’est très vrai; c’était la première présidentielle où je pouvais voter et mon entourage s’est rué sur FM. Les prébendes ont plu sur les caciques et ruisselé d’eux aux plus humbles du parti, j’en ai connu quelques uns à la fac-ça valait bien les potes de Giscard.
De ce point de vue, rien ne change. On les voit, là, qui glissent d’une obédience à une autre, histoire de se préparer une place pour le troisième et le quatrième tour, voire pour la prochaine fois. Tant qu’il y aura du fromage il y aura des rats.
Alors là, et alii, vous m’avez complètement embobiné avec votre Rembrandt grec!
complètement embobiné
C’est une véritable prouesse tapissière comme d’autres parlent de prouesses pâtissières!
Mais quelles pièces montées!
Je suis tout ébaubi par les trombine des bobines!
les trombineS (qui turbinent.)
Histoire/Géo –
Tout le monde sait qu’ils nous a rejouent « crise des missiles de Cuba ».
Révisons pour/avec nos petits élèves, la célèbre controverse d’interprétation Th. Schelling vs GT Allison…. Ils vont la remettre au Capes 2022…
Hé, ho, JJJ, vous vous mettez à écrire comme notre et alii filaire, vous aussi?
M’bapé a mis un but, faut-il encore le préciser?
@ Tant qu’il y aura du fromage il y aura des rats.
—Yes, Jibé…
Les Levantins en leur légende
Disent qu’un certain rat,
Las des soins d’ici-bas
Dans un fromage de Hollande
Se retira loin du tracas
La solitude était profonde
S’étendant partout à la ronde.
Notre ermite nouveau subsistait là dedans,
Il fit tant, de pieds et de dents
Qu’en peu de jours il eut, au fond de l’ermitage
le vivre et le couvert…
Que faut-il davantage ?
Dieu prodigue ses biens
A ceux qui font vœu d’être siens.
Comme Zemmour j’assume avoir voté Mitterrand. Au niveau finances, Europe, investissement industriel, ce fut certes catastrophique. Mais au moins nous avons eu au pouvoir un véritable homme d’état, grandement cultivé.
J’assume avoir été un petit con qui n’aurait pas dû avoir le droit de vote avant au moins l’âge de 25 ans.
@ oups, rptv, il fallait lire : qu’ils nous la rejouent… etc.
(nb/ je ne parlais pas d’etalii vs ericraoult, mais plus simplement de Vladimir le P. et Jo l’Estragon).
D / un petit con qui n’aurait pas dû avoir le droit de vote avant au moins l’âge de 25 ans
bof, l’essentiel est que vous soyiez resté pur et vierge sur le plan sexuel, malgré votre majorité tardive sur le plan politique. Nous vous envions. Que mangeons-nous ce soir au souper ?
Je suis pour le recul du droit de vote à 21 ans mais si possible à 25 ans.
Ce recul serait une remarquable avancée et je pense que Bloom est de mon avis sans vouloir trop oser le dure.
Oublié un vers de mémoire… à l’antépénultième, il faut rajouter :
Il devint gros et gras.
(Pardon à Jean)…
Poutine, seulement 1m67 & tout plein de pouvoir…: Cuba ou culot (va fan…?)?
@ D&aline – Je vous annonce une très bonne nouvelle locale.
https://www.sudouest.fr/societe/rochefort-le-the-dansant-chez-mylene-rouvrira-bien-le-dimanche-20-fevrier-8913969.php?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=MaNewsletterLaRochelle&utm_term=20220216
@ bl – VP ?…, il va pas faire long feu, croyez-moi !
ckoi encore cette histoire de BB de laurent de la housse et de julien couffin doré ?
L’Autriche-Hongrie de 1867 à 1918
—
Il est certain que le pas-de-l’oie fatiguait moins le bras droit qu’à partir de l’an Schluss, dear Phil.
Dc’est à vous de nous faire partager ça:
Pierre Charbonnier : « Une culture écologique minimale est aussi importante que la connaissance de Molière » sur l’obs
« Metropolitan police have launched investigation into allegations linked to Prince Charles charity »
TG
La chute de la maison Windsor, ci-devant Saxe-Coburg-Gotha, saison 4 (?).
Après les frasques des uns et des autres, les mauvaises fréquentations du Duke of Jerk, voilà que Charles, aquarelliste féru d’architecture classique, éternel futur troisième du nom, voit la police de Londres enquêter sur ses bonnes oeuvres…tut tut tut.
Le Prince qu’on sort…(encore un coup de la vieille Pô?)
Les gens sont méchants.
@Jibe
Mitterrand avec sa bande (Dumas Pelat Rousselet Lang) s’est comporté comme un chef de gang maniant le mensonge ,l’escroquerie(rachat au prix fort par elf de la proprieté d’un copain avec droit exclusif de jouissance conservé à vie , par exemple),les coups financiers tordus et peut-être l’assassinat de gens devenus gênants (bousquet ,pelat rousselet)
aet en plus ce chef-d’oeuvre de cynisme politicien ,la trahison de son allié pour la conquête du pouvoir ,le PC qu’il s’est ingenié à affaiblir, allant pour cela a instaurer une proportionnelle qui offrait des sieges a la mouvance le Pen
Et que penser d’un homme qui se glorifie d’avoir imposé contre vents et maréees l »abolition de la peine de mort , son aspiration de toujours, alors qu’il a fait fonctionner la guillotine en continu au debut de la guerre d’algerie contre des pauvres militants traités comme des droits communs et de plus par une justice sommaire et expéditive
Vous sortez encore de vos gonds c/ la mittrandie, quarante ans plus tard, vous la si douve et pacifique DHH !…
La blessure personnelle a dû être profonde… Mais comment avez-vous pu adhérer à ce gangster et sa bande !… Quel aveuglement… A côté de pareil tableau, Z. est un petit saint. Votons touss pour Z. en 2022, on sait que l’histoire ne repasse pas les plats.
Bàv,
Que voulez-vous. DHH, les amnésiques ont oublié qu’il a un jour crié « L’ Algérie c’est la France! ». Cette époque était bien résumée au début des années 1980 par le mot de Françoise Charpentier. « Ah, c’est dur aujourd’hui d’être socialiste ! « ( un temps) Et de le rester ! ». Sur le féminisme, amusant pleonasme du Figaro pour The Power, d’ailleurs plutôt bien traité, »Ce film d’epouvante féministe ! »L’un n’entraîne-t-il pas l’autre? Bien à vous. MC
Que voulez-vous MC, quand on a toujours été un bon royaliste légitimiste, on est sûr de ne s’être jamais fourvoyé, ni jamais avoir eu à se f… les mains dans la mouise de la molle 4e Répu ni de la monarchie dite républicaine, ni d’ailleurs de toutes les gueuses réunies,…
Souriez, vous êtes filmé ! Bav,
Moi aussu je suis pour les Bourbons d’Espagne.
Mon Cher Bloom. Dans plusieurs siècles on continuera à parler des monarques d’Angleterre. De l’exceptionnelle Elisabeth II. Du grand William qui lui succédera un jour. Puis de Georges. Et de tant d’autres qui suivront pour la grandeur et la gloire de l’Angleterre. De vous il ne restera rien. Une trace dans les états civils et quelques textes vite oubliés. Alors profitez. Vous avez raison : c’est maintenant qu’il faut paraître important.
N’invoquez pas le légitimisme.Aucune admiration pour la ganache de Chambord, où les autres. Je citerai , inexactement, je le crains,Arthur de la Borderie: « Plut à Dieu que les Princes d’ Orléans fussent capables de mener des intrigues! Cela prouverait qu’ils sont faits pour gouverner… ». Non . Voter PS est en dehors de mes capacités. Pour le reste combien de fois ici ai-je cité Peguy: « La Republiqye est noté royaume de France » . On tombe ici dans des caricatures à l’a Sasseur. MC
Revoir aussi ´Pierre Nora, son collectif sur les lieux de Mémoire, meme si je n’en ratifie pas tous les choix ,où ses Considérations sur la France, pour rajeunir votre documentation, JJJ.
cher MC/PR, j’ai toujours souri à vos conseils de lectures qui vous dispensent de la confrontation, avec la condescendance qu’il convient de faire sentir aux mal éduqués des Lettres… Mais non, ni le vieux Nora ni ma ssoeur n’iront rajeunir mes propres références qui resteront ce qu’elles sont. Je ne vous en assommerai point, n’ayez crainte, je vous laisserai bien volontiers Péguy.
Bàv, et dormez bien…
JEUDI 17 FRVRIER 2022, 6h07, 15° (c’est le printemps), fort mistral
DERNIERS COMMENTAIRES JJJ/MC
Comme disent certain gastronome de bon sens, à propos du cannibalisme sorbonnard en littérature :
« Pour goûter un auteur, sans réserve, ne jamais aller voir en cuisine ! »
Effectivement, cette cuisine est dégoutante…en plus d’être ridicule.
Ettore Ferrari Giordano Bruno sur le bûcher de l’Inquisition (le 17 février 1600), bas-relief en bronze du socle de la statue de Bruno, Campo de’ Fiori, Rome.
https://www.akg-images.co.uk/Docs/AKG/Media/TR3_WATERMARKED/e/d/d/0/AKG19178.jpg
17.02 — 6.29
Bernini, La vérité révélée* par le temps :
*dévoilée ?
Vérité, Ripa, Iconologie
https://limes.cfs.unipi.it/allegorieripa/wp-content/uploads/sites/2/2020/10/verita1611.jpg
on n’ a pas vu puck; « comment l’entendez vous?
Aujourd’hui, c’est décidé : j’attaque L’amour, j’attaque La mer que je viens de recevoir, par Assouline !
Je sais que cela vous intéresse : je vous dirai ce que j’en pense dans 6 mois…
Métaphores musicales à la fin du Moyen Âge
Agathe Sultan
à renato
Et pour ce dit Aristotes de l’auctorité de Hermés et cetera : « Veritas », inquit « est et non est dubium quod superiora inferioribus et inferiora superioribus correspondent »2.
d’Eustache Deschamps, qui fut quasiment le contemporain d’Evrart. Sa ballade 442 est en effet construite à partir d’un balancement entre théorie et pratique, entre immanence et transcendance, qui n’est pas sans rappeler la situation instable de l’art musical ; amour et musique sont d’ailleurs comparables :
20 Ballade 442, dans Eustache Deschamps, Œuvres complètes, éd. Marquis de Queux de Saint Hilaire et Ga (…)
Qu’est-ce d’amours ? – Aymes, tu le saras.
– J’ayme. – Tu scez donques que c’est d’amer ?
– Certes, c’est voir. – S’il te plaist le diras.
– C’est doulz desir converti en amer,
– C’est souvenir qui m’a mis en la mer [… ]20
Métaphores musicales à la fin du Moyen Âge Agathe Sultan
DHH
je comprends votre colère, je la partage peu car je n’étais pas mitterrandien ce qui m’exonère de me sentir floué. Je ne me sens que désespéré d’une classe/caste politique qui fonctionne ainsi -ce que j’ai observé souvent et dans toutes les obédiences. Le pouvoir est une saloperie corruptrice et, s’ il est difficile de se prémunir de tout populisme, fréquenter des militants qui vont au charbon et des sympathisants locaux est un excellent contre-poison. Ceux-là n’attendent pas d’être rémunérés comme une vulgaire clientèle. Ce n’est pas à vous que je vais apprendre qu’à Rome, déjà…
Il nous faut tenir bon et nous dire que nos élites ne méritent pas les populations qu’elles prétendent servir et qui valent mieux qu’elles.
Une bonne réforme constitutionnelle pourrait faire bon usage!
« Bloom dit: à
« Metropolitan police have launched investigation into allegations linked to Prince Charles charity » »
… déjà, on n’ira pas se replier sur la monarchie constitutionnelle. D’autant que leur Prime Minister est aussi net que les Windsor.
« nos élites ne méritent pas les populations qu’elles prétendent servir et qui valent mieux qu’elles. »
Pas de démagogie à bon marché, Jibé.
« Une bonne réforme constitutionnelle pourrait faire bon usage ! »
Aucune loi ne changera la nature humaine, qui s’arrangera toujours pour la contourner.
« Des populations populaires qui valent mieux que les élites ? »
Idiot ! Mensonger ! Aberrant ! Irréaliste !…
Refermez ces tiroirs stupides, dignes de la maternelle ! Tout le monde est à mettre dans le même sac poubelle, le peuple et ses élites. L’un ne vaut pas mieux que l’autre.
« démagogie à bon marché »
ouais, on peut voir ça comme ça, tout en cynisme. Mais j’ai rencontré beaucoup de militants qui passaient des heures à oeuvrer pour la cause d’un type que seul le pouvoir motivait. Ceux-là, il faut bien qu’on en parle.
La réforme constitutionnelle, la nature humaine… ça commence à brasser des généralités qui ne vont mener nulle part.
De toute façon, vous estimez que rien n’a changé quand on a 20 ans depuis 1972, ai-je lu plus haut.
Même pour les homos? Pour les femmes?
Avoir 20 ans en 2022, 50 piges après le rapport Meadows qui se révèle fondé, rien changé?
Comment voulez-vous qu’on discute, si ce n’est à coup de petites vacheries ?
La nature humaine, OK, doit être ultra libérale et donc exclusivement individualiste.
What else?
C’est ça, JC, à la poubelle. Et passez devant.
« je n’étais pas mitterrandien »
Mais qu’étiez-vous donc en 1981, Jibé ?
Giscardien !
« des populations populaires »
je n’ai jamais écrit ça.
Giscardien?
En 81, mon premier vote, j’ai zappé le second tour.
C’est quoi le rapport Meadows, Jibé ?
Les moeurs évoluent tout le temps entre progrès et régression, Jibé.
Et histoire nous apprend que les société sont mortelles…
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