de Pierre Assouline

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La République des livres
De quelques fantômes familiers

De quelques fantômes familiers

Qu’est-ce qui nous fait ouvrir un livre plutôt qu’un autre lorsqu’ils sont quelques centaines à se presser au portillon à la rentrée ? La couverture, le nom de l’auteur, le titre, le texte en quatrième de couverture, le résumé, l’absence de résumé qui laisse place à l’extrait, toutes choses qui se condensent en un mot : la curiosité. J’ai ouvert Si maintenant j’oublie mon île de Serge Airoldi (160 pages, 17 euros, L’Antilope) dans le souvenir que m’avait laissé l’auteur, journaliste daxois, ancien de Sud-Ouest, après la lecture il y a quelques années d’un récit exceptionnel intitulé Adour. Il figure parmi les grands livres fluviaux aux côtés de Danube de Magris et En remontant la Marne de Kaufmann. Mais celui-ci n’a pas la forme d’un fleuve. C’est le projet un peu fou d’un écrivain (Airoldi) pris d’une intense curiosité pour Mike Brant, oui, « le » Mike Brant, chanteur franco-israélien, fils de déportés rescapés de la Shoah, né Mosché Brand à Famagouste, qui passa ses cinq premières années sans prononcer un mot (comme Pascal Quignard mais après, ils ont évolué différemment) qui connut un immense succès en France avant de se suicider par désespoir existentiel en 1975. L’auteur avait huit ans. Aujourd’hui, il s’adresse à cette icône des jeunettes. Digressif à souhait mais porté par une langue ailée. A peine une enquête, il préfère survoler et ramener des bricoles de vie en pointillé, ça lui suffit (lire ici un extrait).

Etrange fatum que celui de Mike car après qu’il se soit défenestré, son producteur s’est tiré une balle et son secrétaire s’est jeté sous un train (content de ne pas t’avoir connu, Mike). Airoldi se permet tout. Il convoque de temps en temps la mythologie grecque pour mieux saisir la quintescence de ritournelles mise en images par Guy Lux et Danielle Gilbert. Il en fait un torero échappé des pages de Michel Leiris, un saint Sébastien percé de flèches malgré les tropismes brantiens : amour, soleil et mal de toi ! La vente des biens et des objets du chanteur à Drouot est un moment pathétique.

A l’époque, les chansons de Mike Brant me faisaient rire tellement je trouvais ça mauvais. N’empêche que j’ai pris un immense plaisir à lire ce livre pas prétentieux, sincère et d’une liberté réjouissante. Il m’a touché, ému même, et je me demande encore pourquoi. A propos, son titre est extrait de la chanson Un grand bonheur : « Si maintenant j’oublie mon île/ Si je regrette le soleil/ Et si les brunes ou bien les blondes me sourient…. ». Mais cela, nos fidèles lecteurs le savaient déjà.

Tania Font

En revanche, Jacqueline Jacqueline (352 pages, 20 euros, Seuil), je sais pourquoi je l’ai lu aussitôt après l’avoir reçu. Il se trouve que j’ai connu Jean-Claude Grumberg, que j’ai vu et revu ses pièces (L’Atelier, Dreyfus, Zone libre, Vers toi Terre promise. Tragédie dentaire), que j’ai aimé le retrouver dans des livres tels que Mon père. Inventaire et La plus précieuse des marchandises ou dans les scénarios de Amen, 93 rue Lauriston, Le dernier métro, Le couperet… Et l’on sait bien que même lorsque la vie comme elle va nous le fait perdre de vue, un ami reste un ami.

Un homme vient de perdre sa femme après soixante ans de vie commune. Deux paquets de cigarettes par jour de 15 à 80 ans, forcément, ça laisse des traces. Il avait fini par croire qu’elle aimait ses clopes encore plus qu’elle ne l’aimait, et elle ne démentait pas. Il se souvient : toi fumant, moi toussant. Où qu’il aille le chagrin assaille ce parisien né en 1939, enfant d’un père et de grands-parents raflés devant lui, déportés et jamais revenus, recueilli, protégé, sauvé de même que son frère et le futur mime Marceau par la population de la commune de Moissac (Tarn-et-Garonne). Son absence à jamais, il se refuse à y croire. Sa Madeleine à lui, c’était elle. Pas une rue de Paris, de Cabourg, de Varsovie et d’ailleurs qui ne le ramène à elle.

Ils ont tout vécu, tout traversé ensemble. A commencer par sa dépression à lui, un créateur perclus de névroses dont l’humour, l’ironie et l’autodérision sont les armes fragiles, écrasé par le succès de la pièce de théâtre qui l’a révélé. Deux ans après sa mort, il écrit et lui écrit un hymne à l’amour aussi vrai et déchirant que aussi réussi que la Lettre à D. Histoire d’un amour (Galilée, 2006) d’André Gorz. Manière de rester avec elle car il ne peut se résoudre à vivre sans elle, sa présence et son corps tout près la nuit tant ils furent comme agrafés l’un à l’autre.

Sa femme, il l’aime et l’admire tellement qui n’imagine pas que de tels sentiments ne soient pas partagés par tous ceux qui la connaissent déjà et tous ceux qui la connaitront par le biais de ce récit drôle, impudique et tragique qui, contrairement à tant d’autres ces dernières années, a l’honnêteté de ne pas se faire passer pour un roman. Il reste en l’écrivain quelque chose du tailleur qu’il fut à ses débuts dans son habileté à assembler et coudre ses fragments de mémoire comme autant de pièces de tissu. Bouleversant et bien évidemment autobiographique, le narrateur étant bien le dramaturge qui avance sans masque. Il est rare de voir autant de chagrin se métamorphoser sous nos yeux de lecteur par autant de colère. Un chagrin d’enfant dans un corps de vieillard.

Sorj Chalandon, on le connait bien. On le lit et on le laure régulièrement.  Cette fois, contrairement à son habitude, avec Enfant de salaud (336 pages, 20,90 euros, Grassset) il ne risque pas de pleurer en parlant de son livre en public car il est animé de bout en bout par la colère (lire ici un extrait). Le fils, 35 ans, journaliste envoyé à Lyon pour couvrir le procès Barbie, c’est lui à Libération, évidemment même si ce n’est pas dit, sauf à la dernière page où le pacte de lecture est un peu plus explicite. Le père, c’était le sien mort à 91 ans il n’y a pas longtemps à l’hôpital psychiatrique. Entre temps, le fils aura amené le père assister avec lui au procès. Le roman tisse et noue ces deux destins. Car du père, le fils a toujours entendu par la voix même du grand-père qu’il avait porté l’uniforme allemand pendant la guerre.  Qu’il était du mauvais côté à 20 ans.

En fait, il s’était enrôlé dans l’éphémère Légion tricolore lancée par Pétain puis, selon ses dires, engagé dans la division SS Charlemagne jusqu’à défendre le bunker d’Hitler à Berlin à la veille de sa mort. Ce « salaud de père » (mon père, ce salaud !) est juste un mythomane d’une médiocrité insigne, toujours renvoyé de partout parce qu’il ne faisait pas l’affaire. Un type d’un tel mystère qu’il n’arrive pas à savoir que son fils n’arrive pas à savoir qui habite sa tête. S’il a bien été collabo, après il n’a cessé de mentir pour s’inventer un passé héroïque fut-ce sous un uniforme déshonorant. Le fils découvre tout cela en obtenant son dossier aux archives de la cour de justice et en le confrontant à ses mensonges.

Il sait la vérité mais diffère la cérémonie des aveux. Par moments, on pense à Un bon fils de Pascal Bruckner et à L’Intranquille de Gérard Garouste. C’est aussi saisissant, et d’une écriture parfaitement maitrisée. Cela faisait longtemps que Chalandon n’avait pas si bien accompli son projet romanesque. On reconsidère certains de ses précédents livres d’un autre œil : au fond, son père était le premier de sa galerie de traitres. La matrice de ses antihéros. Il a beau se confesser, ce que son fils lui pardonne le moins, et c’est là qu’il a été le plus salaud, c’est de l’avoir jeté dans la vie sans repères.

(Photo Passou; sculpture de Tania Font)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 070 Réponses pour De quelques fantômes familiers

Janssen J-J dit: à

@ assimiler le chanteur Christophe à un préservatif usagé laissé dans un vestiaire, est quelque peu osé, je trouve…

renato dit: à

Je précise :

Le vieux Paris n’est plus (la forme d’une ville
Change plus vite, hélas ! que le coeur d’un mortel)

Janssen J-J dit: à

n’est-ce pas plutôt le titre d’un mauvais livre de Julien Gracq, rm ?

renato dit: à

« Il me semble qu’il n’est pas possible de divorcer religieusement pour les catholiques ! »

Pas tout à fait ça, car il s’agit d’une déclaration de nullité qui n’est pas la dissolution d’un mariage, mais simplement la conclusion juridique qu’un mariage valide n’a jamais été contracté.

renato dit: à

C’est qui Julien Gracq?

lmd dit: à

Bruler les Tintin en Amérique…
à la suite de quelques réflexions à propos de la lecture des chapitres animisme du livre de Descola…
à la suite d’informations sur la barbarie des pensionnats catholiques du Saskatchewan …
après avoir appris que la « gardienne du savoir » autochtone qui a accompagné le Conseil scolaire, Suzy Kies, n’est pas Autochtone,
on apprend que toute la réévaluation des livres à bruler va être elle-même réévaluéee…
… et que finalement on ne va peut-être pas bruler Tintin en Amérique.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1822456/conseil-scolaire-providence-livres-tintin-suspendu-brules

Je me permets de signaler qu’il y a des collectionneurs de bandes dessinées qui s’arracheraient des exemplaires de Tintin avec le tampon de la bibliothèque — à bruler —
Voilà une porte de sortie raisonnable.

JiCé..... dit: à

Ce n’est pas Julien Gracq, mais Julien Crack : un dealer à Sciences Po

D. dit: à

renato dit: à

C’est qui Julien Gracq?

J’allais poser exactement la même question. Etonnant cas de synchronicité .

D. dit: à

JiCé….. dit: à

Ce n’est pas Julien Gracq, mais Julien Crack : un dealer à Sciences Po

Pour la liste des salles de shoot à Paris, contacter la mairie de Paris

D. dit: à

Attention Jicé aux commentaires hors-la-loi.

JiCé..... dit: à

ATROCE

L’Hôtel de Ville de la Capitale pourrie du pays dont j’ai oublié le nom serait ….une salle de shprout ?….

JiCé..... dit: à

Dédé, lorsque le temps de vivre est passé… plus rien n’inquiète ce contribuable honorablement connu !

JiCé..... dit: à

Camarade D,
Je fête mes 98 ans dans quelques jours et mon fauteuil roulant R&R rouille si je ne peux plus causer librement dans le poste de ce qui est soigneusement tût par les Sages, muets, aveugles et sourds….
Bon appétit !

Janssen J-J dit: à

@ rm, (+d, jissé), veuillez prendre connaissance de ce petit rappel de rome à nantes, en passant par Charles Boude l’Air…
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Forme_d%27une_ville
On ne peut pas tout savoir, bien sûr…, c’est humain, surtout en RDL. Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ lorsque le temps de vivre est passé…
on se demande pourquoi sévir encore…
(Mathurin Mascarpogne, La forme d’une idée de la mort, Josi Corté, 1997, p. 22)

JiCé..... dit: à

« on se demande pourquoi sévir encore… »

Pour essayer de vivre le plus longtemps possible, inutilement !

Marie Sasseur dit: à

@ »Je me permets de signaler qu’il y a des collectionneurs de bandes dessinées qui s’arracheraient des exemplaires de Tintin avec le tampon de la bibliothèque — à bruler —
Voilà une porte de sortie raisonnable. »
_

Voila bien une sortie de vieux con : A chaque barbarie malheur est bon si ce n’est par action, au moins en pensée .

Marie Sasseur dit: à

Arrache toi lmd, vous êtes vraiment à l’ouest ou bien ?

renato dit: à

«… de ce petit rappel de rome à nantes… »

Il y a quelqu’un ?

Il y a quelqu’un d’autre ?

Marie Sasseur dit: à

Ça veut dire quoi être juif  » laïcard » ?

Marie Sasseur dit: à

Oublier de faire le repas du nouvel an, mais donner des recettes de cuisine du bled, c’est être juif  » laïcard  » ?

Jazzi dit: à

« @AcadGoncourt: Double érection mardi à l’académie : Philippe Claudel et Didier Decoin… »

ça bande encore place Beauvau !

Marie Sasseur dit: à

@ et à tt le monde « a propos de cette recette en video ,elle est présentées par la romancière AGNES DESARTHE dont j’ai écorché le nom dans mon post ci-dessus »

Elle aussi elle est laïcarde ? son bouquin en lice pour le Goncourt m’a l’air d’être de sous sous W. Allen, une idée juive laïcarde du couple ?

Pas comme Jacqueline, alors.

Marie Sasseur dit: à

Lu @, et a tt le monde « vos chiffres ne concernent que les couples juifs qui veulent donner une consecration religieuse à leur separation civile; et ils ne sont pas legion,s eulement ceux qui en ont besoin pour se lier par un mariage religieux avec un nouveau conjoint juif apres leur divorce »

Interessant, chez les cathos, c’est plutôt le mariage qui est sacré, et rompre ce sacrement de l’Alliance nécessite une petite visite chez l’Évêque, ou une lettre simple, sinon, pas d’église pour la fois suivante.

Marie Sasseur dit: à

Se pointer chez son Excellence, monsieur l’Eveque pour dire qu’ on se parjure, et qu’on veut recommencer la cérémonie, en changeantle casting, avoir la grande messe etc, vaut mieux avoir une bonne raison.

Marie Sasseur dit: à

Oui bien sur il fallait citer henri VIII. Bravo.

et alii dit: à

J’ai connu une femme -juive-mariée seulement civilement à un juif dont elle divorça tout aussi civilement;lorsque l’ex mari voulut épouser en deuxième mariage donc, une femme -juive-aussi, un rabbin proposa à la première épousée de la divorcer religieusement, ce qu’elle refusa; le deuxième mariage du mari fut célébré religieusement; mais sa femme tenta de se suicider, et ce couple divorça aussi;
après, je ne sais pas

et alii dit: à

personnellement, j’ai pensé de la proposition du rabbin de divorcer des gens non mariés religieusement, qu’il devait y avoir des « arrangements « avec la halakha; mais l’issue de ces arrangements ne plaide pas en leur faveur

Janssen J-J dit: à

@ c’est pas la sœur d’Alain Soral de la fachosphère, par hasard, cette A.D. ?… masoeur ?

@ essayer de vivre le plus longtemps possible, inutilement… /
Enfin un acte inutile et gratuit ! c assez rare quand on a tué ses trois enfants et que depuis 4 ans, on a toujours le même âge mental sur cette chaine roulante… Long time in this isle, asap,

Marie Sasseur dit: à

@@ c’est pas la sœur d’Alain Soral de la fachosphère, par hasard, cette A.D. ?… masoeur ?

????

Vazy ducon, c’est la fête à neuneu.

Janssen J-J dit: à

Si tu le dis, neuneue duconne, tu dois confondre avec agnès soral…, c pas une juive laïcarde comme toi, virée chrétienne cathodique au bon moment…

Marie Sasseur dit: à

Je précise que le mariage civil en France comporte également une forme de  » serment « solennel devant M ou Mme le maire.

Alors effectivement , le mariage religieux, c’est pas pour faire plaisir au grand-père ou a la grand tante, par convenance. Quoi qu’en pensent les laïcards de toutes obédiences,
qui ont une méconnaissance ABSOLUE de ce que laïcité veut dire.

Janssen J-J dit: à

t’ferais mieux de te préparer à te recueillir pour la cérémonie nationale, (de 16 à 18 heures), au lieu de venir gaver ta bave icite.
Ou alors, si t’as pas la télé, d’aller parfaire ta culture révol-popu chez les bons auteurs féministes
https://fr.wikipedia.org/wiki/August_Bebel

lmd dit: à

…l’autre jour j’étais un pourri, aujourd’hui un vieux con et elle imagine que je vais lui dire si je suis à l’ouest ou bien quoi ?

Marie Sasseur dit: à

Et demain on verra lmd, mais une tendance générale se dégage.
Si tout le monde dort devant vos kooneries, on a aussi le droit de réagir. Et votre dernière  » idee » exprimée quand même au conditionnel, dit bien le genre de saloperies que vous préférez montrer.

Marie Sasseur dit: à

Allez à la siesta dans la niche, les lmd, ducon, et cie, je rentre en call.

Jibé dit: à

« Et aussi en introduisant dans ma cuisine la tradition culinaire juive d’Afrique du Nord » .
Moi tout pareil, DHH, mais avec la cuisine ashkénaze, origine des mes deux parents. Kibboutz oblige, j’ai connu plusieurs traditions culinaires, celles d’Afrique du N, l’Egypte surtout, au hasard des rencontres sur place, car les adultes faisaient le cuisine en groupe, sous l’égide d’un responsable qui était venu d’Egypte et s’appelait Naour. Laïc, tout le monde, mais culturellement ancré dans des traditions qui devaient beaucoup à nos « errances » pluriséculaires.

Jibé dit: à

Jazzi: « « Amalric a perdu les pédales et il se fout de la gueule du spectateur m’a-t-on dit. Dommage. »

Pas du tout. C’est un film très honorable »

eh bien je prends note de votre avis contraire à ceux que j’ai entendus et lus. De toute façon, tant que je ne l’ai pas vu… Votre « très honorable dans sa filmographie », me laisse songeur, toutefois. On ne sent pas l’enthousiasme. Je verrai.

Jazzi dit: à

Communiqué de presse :

LA SUPPLIQUE DES PARISIENS AUX PROVINCIAUX

Frères et soeurs des belles provinces de France, nous, Bon.ne.s-Bourgeois.es et joyeux.ses Bobo.sse.s de la capitale, nous vous supplions instamment d’élire nostre Prime Dame municipale à la tête du Royaume.

Il serait temps que, par un juste retour des choses dites de la décentralisation, vous en preniez à vostre tour toute la part qui vous échoit de droit !

À vous alors la crasse profuse des rues et des trottoirs, les mauvais herbes partant à l’assaut du moindre pavé, des pieds des arbres de la voirie, des bois, parcs et jardins, les écosystèmes dévoyés qui font principalement la joie des rats, les embarras des circulations automobiles et alternatives et l’aggravation des diverses pollutions : atmosphérique, visuelle, sonore, olfactive…

À vous aussi la laideur sans pareille et hétéroclite du nouveau mobilier urbain, de l’abandon systématique du patrimoine ancien, de l’ouverture perpétuelle des travaux sur la chaussée publique, toujours démultipliés et jamais achevés !

À vous encore de connaître l’accroissement des dépenses d’investissements urbains tous azimuts, sans prévisions aucunes du moindre budget d’entretien. Ainsi, assisterez-vous, de même que nous autres, bienheureux.ses Parisien.ne.s, au plaisir rare de voir vos dernières installations à peine inaugurées se dégrader à une allure record : les escalators mécaniques et les élevators hydrauliques devenant définitivement hors d’usage à la première panne !

À vous enfin d’assister à la résurgence des nids de poule au beau milieu de la voie publique et de goûter à l’impraticabilité des trottoirs labyrinthiques transformés en parcours du combattant pour les piéton.ne.s, toutes catégories confondues : des plus sportif.ve.s jusqu’aux usager.ère.s entravé.e.s de caddie ou de poussettes et les handicapé.e.s (non-voyant.e.s, personnes en fauteuil roulant…)

C’est à contre-coeur, croyez-le bien, que nous verrions le départ de nostre très estimée Prime Dame municipale.

Un sacrifice auquel nous consentirions dans l’intérêt de tous, soyez en sûr.e.s.

Merci de nous en déb… de ne pas hésiter à faire appel à ses services et à en bénéficier !

Traduit du vieux français en langue inclusive par Jacques Barozzi, troubadour de Paris
https://www.lelezarddeparis.fr

Phil dit: à

je rentre en call
triste destin

Amalric a perdu les pédales
Braquet trop grand, n’aurait pas dû jouer dans James Bond; pas d’hommage aux Invalides.

Jibé dit: à

Le jour où vous verrez des provinciaux se sacrifier pour des Parisiens, Jazzi… La dame Hidalgo n’est pas bien vue dans les provinces où elle est souvent perçue comme une bobo parisienne, boostée par Delanoë, avec un carnet d’adresses gros comme ça dans le showbiz, etc.
Curieusement, la dame Le Pen est tout aussi parisienne mais ne le paraît pas aux yeux des provinciaux (je vous parle de ceux de la campagne et des petites villes, qui ont de groupes genre « voisins vigilants » et votent, souvent, plus que d’autres).
C’est une histoire de ressentis et de ressentiments, et un vote présidentiel dans le cadre d’un régime comme le nôtre doit beaucoup à l’émotion.

Marie Sasseur dit: à

Je ne vois pourquoi les parichiens voudraient que les « provinciaux  » aillent voter pour celle qu’ils ont intronisée, la reine des sanisettes . Faut qu’ils restent cohérents.

puck dit: à

Communiqué de presse :

LA REPONSE DES PROVINCIAUX AUX PARISIENS

construisez un mur de 10 mètres de haut qui entoure votre putain d’immense agence immobilère vendue au Qatar, appliquez-y la charia et crevez-y !

Soleil vert dit: à

Romain Lucazeau – La nuit du faune – Albin Michel Imaginaire

Un roman de science-fiction déguisé en fable philosophique du XVIIIe siècle.

Soleil vert dit: à

LA SUPPLIQUE DES PARISIENS AUX PROVINCIAUX

Excellent, Jazzi

puck dit: à

Soleil Vert si vous voulez lire un excellent roman de science fiction déguisé en fable philosophique du XVIIè arrdt je vous conseille vivement de lire un livre qui s’intitule NATIV !

ce livre parle de ce qui différencie l’homme des autres animaux !

vous savez c’est quoi ? en fait les scientifiques se sont tous fourvoyés, à chaque fois qu’il trouvait un truc qui différenciait l’homme de l’animal on se rendait compte qq années plus tard qu’on retrouvait exactement le même truc chez l’animal, genre avoir conscience de la mort, ou la trasmission des savoirs etc… à chaque fois on s’aperçoit que les animaux font pareil.

en fait la seule chose que l’animal ne sait pas faire c’est faire cuire la viande pour la manger ! et le fait de faire cuire la viande est ce qui a permis de faire naitre l’homme sur cette terre !

vous savez pourquoi ? pour 2 raisons : la première et la seconde ! la première étant que le fait de manger la viande cuite a modifié la forme de la tête en diminuant la partie qui sert à bouffer et comme la nature a horreur du vide proportionnellement l’autre partie a pris la place, cette autre partie étant celle qui contient le cerveau.

mais la seconde raison est la plus importante : le fait de faire cuire la viande a le pouvoir de créer une protéine qui n’existe pas dans la nature, une toute petite protéine (dont le nom m’échappe) qui ne contient que qq liaisons carbone tellement petite qu’on pourrait la confondre avec un acidé aminé sauf que c’en n’est pas un, et cette protéine a le pouvoir de booster la croissance de cerveau d’une façon phénoménale ! et c’est donc elle qui a fait grossir ce truc qu’on appelle le cerveau humain.

vous me suivez ? tout ça à cause de la cuisson de la viande ! parce qu’un type a dû faire tomber par mégarde un jour un cuissot de mammouth dans le feu et quand il l’a bouffé il s’est rendu compte que c’était pas aussi dégueu que mettre des carottes dans une soupe au pistou.

vous me suivez ? et ça c’est juste le début de l’histoire !

parce qu’ensuite comme le cerveau s’est mis à grossir sous l’effet de cette petite protéine à la con hé ben les organes reproducteurs de la femelle qui eux n’avaient pas changé d’un iota hé ben le nouveau né ne pouvait plus passer sa tête !

vous me suivez ? et du coup la naissance de cette créature qui normalement se produisait après 21 mois de gestation hé ben il a fallu diminué au fil des millénaires la faire baisser, et c’est comme ça qu’elle est passée de 21 mois avant de faire cuire la viande à 9 mois après cuisson du cuissot de mammouth.

vous me suivez ? parce que si vous n’arrivez pas suivre je m’arrête là !

puck dit: à

@Jazzi : une ville où le prix du mètre carré passe de 2 mille euros à plus de 10 mille euros en moins de vingt ans cela a forcément des répercussion sur la culture de cette ville.

Le Paris des Truffaut, Malle, Chabrol, Resnais, Sautet etc… c’était un Paris à mille euros le mètre carré ! le temps où les rbnb n’existait pas !

et ça c’est fini !

quand on dépasse les 10 mille euros ça devient un cinéma de chiotte, et une littérature à la con.

la culture est irrémédiablement liée au prix de l’immobilier.

Soleil vert dit: à

Il me semble que dans le genre, Polac avait fait un roman sur les surdoués , mais c’est pas resté dans la mémoire collective

renato dit: à

3J, puisque j’avais rappelé l’origine de la citation (Charles Baudelaire, Les fleurs du mal, Tableaux Parisiens, Le Cygne, 7-8.), bien à part votre volonté de montrer que vous « avez des lectures », ça servait à quoi votre rappelle à un mauvais titre de Julien Gracq ?

renato dit: à

à > D’un

et alii dit: à

sur les surdoués ,
je crois qu’on ne dit plus surdoués mais HPI(haut potentiel intellectuel)
bonsoir

et alii dit: à

u’ils sont persuadés que nos ancêtres chasseurs-cueilleurs ont enduré une bataille sans fin contre la famine dans un monde brutal où il fallait manger ou être mangé. Le seul – et gros – problème de cette vision est qu’elle ne correspond pas à ce que les découvertes de l’anthropologie et l’évolution nous enseignent de cette période. Pendant la majeure partie des 300 000 ans d’histoire de notre espèce, en effet, nos ancêtres n’ont songé qu’à répondre à leurs besoins à court terme. Une fois ces derniers satisfaits, ils se reposaient ! Les chasseurs-cueilleurs n’étaient généralement pas obsédés par la rareté, et ils jouissaient d’une forme d’aisance parce que si leurs moyens étaient limités, leurs désirs l’étaient aussi.

Peut-on en être aussi certains, alors que nous parlons d’un âge très éloigné ?

Si nous ne disposons pas d’une machine à remonter le temps, nous pouvons nous pencher sur les rares sociétés qui ont continué à vivre de la chasse et de la cueillette en utilisant des technologies similaires à celles de nos anciens ancêtres jusque très récemment. Par exemple, les Inuits de l’Arctique, les Hadza d’Afrique de l’Est et les communautés San Bushmen d’Afrique australe, que j’ai étudiés pendant une grande partie des trois dernières décennies.

LIRE AUSSI >> Pascal Picq : « Les start-up d’aujourd’hui obéissent au schéma darwinien »
Des études menées sur les Bushmen Ju’hoansi dans les années 1960 montrent qu’en dépit de leur environnement aride ils étaient généralement capables de subvenir à leurs besoins en consacrant une vingtaine d’heures par semaine à la cueillette et à la chasse et autant aux tâches domestiques – préparation de la nourriture, construction d’abris, collecte de bois, etc. Ils étaient aussi mieux nourris que de nombreuses personnes alimentées par l’agriculture vivrière et même que la plupart des gens vivant dans le monde industrialisé jusqu’aux années 1960.

« En termes d’évolution, nous pourrions aussi bien être le produit de nos loisirs que de notre travail », écrivez-vous. Les hobbys ne servent donc pas seulement à se faire plaisir, ils améliorent aussi l’espèce humaine ?

A l’époque des chasseurs-cueilleurs, c’est très probable ! L’histoire de l’humanité a été largement façonnée par notre capacité à utiliser des outils. La découverte du feu, il y a peut-être 1 million d’années, nous a rendus de plus en plus efficaces, polyvalents et capables de répondre à nos besoins nutritionnels de base tout en exploitant des sources de nourriture plus rares que celles de presque toutes les autres espèces. Les gorilles, eux, passent jusqu’à treize heures par jour à satisfaire ces besoins premiers. Cette efficacité a donné à nos ancêtres du temps libre, et il y a de bonnes raisons de croire qu’ils l’ont consacré à des activités qui ont favorisé la sélection de nombreux attributs évolutifs nous définissant aujourd’hui : notre aptitude à communiquer, notre amour de la musique, notre sens esthétique, etc.

Pourquoi et comment l’agriculture a-t-elle radicalement changé le rapport d’Homo sapiens au travail ?

Les chasseurs-cueilleurs considéraient leur environnement comme un lieu qui pouvait leur fournir les éléments nécessaires à leur alimentation et leur confort, sans avoir à demander plus. Les agriculteurs, eux, ont pensé que la nature pouvait apporter davantage, être « productive ». Mais, pour cela, il fallait la travailler, tout en sachant qu’on ne serait payé de ses efforts que des mois, voire des années plus tard. Ce qui fait une autre différence avec les chasseurs-cueilleurs, qui concentraient toute leur énergie à l’obtention des ressources dont ils avaient besoin le jour même.

« Ce que nous voyons pour l’instant, c’est une inégalité croissante dans nos économies de plus en plus automatisées »
En outre, les agriculteurs étaient liés à un calendrier saisonnier inflexible qui déterminait les tâches à accomplir et à quel moment. A l’exception d’une minuscule élite chanceuse, la vie n’était donc matériellement pas meilleure après le passage à la civilisation agricole. Les populations devaient travailler beaucoup plus dur pour s’en sortir et enduraient famines et épidémies… L’agriculture, qui s’est développée indépendamment sur tous les continents il y a entre 11 000 et 4 000 ans, a néanmoins jeté les bases de la prospérité inégalée et de la durée de vie dont nous jouissons aujourd’hui. Le problème vient du fait que nous nous comportons comme si nous étions encore des agriculteurs luttant contre une pénurie réelle et viscérale.

En quoi la naissance des villes a-t-elle ouvert un autre chapitre crucial de l’histoire du travail ?

Elles ont été les premiers endroits à concentrer un grand nombre de personnes qui n’avaient pas à consacrer la majeure partie de leur énergie à se dépenser pour rester en vie. Ceux qui se démenaient pour leur fournir de quoi satisfaire les besoins étaient justement les agriculteurs. Pour la première fois dans l’Histoire, des humains ont ainsi pu s’adonner à ce qu’ils cherchent par instinct et volonté : maîtriser des compétences, créer… L’apparition des villes a permis la naissance d’un ensemble de nouveaux métiers : écrivain, courtisane, artiste…

Quand avons-nous cessé de considérer le travail comme un simple moyen de satisfaire nos besoins essentiels pour le vivre comme une solution à nos désirs illimités, ce « mal de l’infini », comme disait Emile Durkheim ?

Je pense que le mal de l’infini de Durkheim nous accompagne depuis que nous avons commencé à être obsédés par la rareté et par l’accumulation des surplus. Jusqu’à récemment, seules de minuscules élites étaient suffisamment riches pour pouvoir se concentrer sur l’acquisition de richesses au-delà du nécessaire. Mais la situation a changé avec l’exploitation des combustibles fossiles.

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Il y a cent cinquante ans, 85 % de la population européenne avait un lien avec l’agriculture d’une manière ou d’une autre ; aujourd’hui, le pourcentage est tombé à 4 %. Si les gens ont du mal à satisfaire leurs besoins, ce n’est pas à cause d’un manque de productivité, mais d’un problème de distribution. Le rêve de la prospérité est devenu une sorte de norme culturelle, nous sommes obsédés par l’idée d’avoir autant que le voisin.

Depuis l’invention de la productivité, justement, vous racontez l’histoire d’une même marche en avant inquiétante parfois lorsque les robots se substituent aux hommes. L’humanité au travail est-elle victime de sa propre inventivité ?

L’automatisation, l’informatisation et l’intelligence artificielle sont de grandes opportunités. Mais il est tout à fait possible que nous les gâchions en ne procédant pas à des changements significatifs dans la manière dont nous organisons nos économies et nos sociétés. Ce que nous voyons pour l’instant, c’est une inégalité croissante dans nos économies de plus en plus automatisées. Le changement climatique et la perte de biodiversité sont un autre aspect du problème. Notre attachement à une productivité souvent inutile et la culture de la consommation qui la soutient risquent de cannibaliser notre avenir.

Il est entendu que nous ne reviendrons pas à l’époque des chasseurs-cueilleurs. En quoi leur exemple est-il utile pour penser notre monde ?

Ils nous rappellent aussi que, non seulement, il est possible de bien vivre sans l’abondance, mais que cela a probablement été le cas pendant 95 % de l’histoire de l’humanité. Ils nous disent aussi que notre propension à vouloir toujours plus n’est pas une caractéristique de la nature humaine, mais le produit d’un ensemble de normes culturelles héritées de l’ère agricole. Il est important d’en être conscients, car nous sommes confrontés aujourd’hui à des problèmes sans précédent et nous devons être prêts à imaginer d’autres façons très différentes d’organiser nos sociétés pour y répondre.
https://www.lexpress.fr/actualite/idees-et-debats/james-suzman-nous-nous-comportons-face-au-travail-comme-les-agriculteurs-d-il-y

D. dit: à

« Belmondo c’est un peu nous en mieux »

…tout-à-fait… en beaucoup mieux même.

B dit: à

je rentre en call
triste destin

Est ce que vous lisez  » la fille qu’on appelle  » , c’est ça que vous exprimez?, j’ai franchement du mal à comprendre le langage branché des parisiens et les provinciaux sont parfois alourdis par un esprit de compète à la gomme . Sans même aborder les terminaisons en -eux- ou en -ar- qui marquent une volonté de se démarquer de ce lot si peu louable, un lot ou un autre auquel le termineur n’a pas l’heur d’appartenir.

B dit: à

D, je n’ai pas vu tous les films où il est personnage principal, j’aimais beaucoup esprit grand prince joué avec l’ironie et cette distance affichée pour le médiocre et la médiocrité .

B dit: à

Ce ne vous était pas adressé. Si cela vous permet de rebondir, c’est toujours ça. Moi je lis pas, je bois pas, je baise pas, je fume.

Marie Sasseur dit: à

Quand même, je suis infiniment triste pour l’ermite de Rolle. Macron a réussi à pourrir une des répliques du film  » à bout de souffle », en se trompant.
Qu’il aille se faite foutre. On ne l’aime pas.

B dit: à

Sinon, sur la route d’Autignac direction Faugère, ce matin, belles brumes automnale sur les reliefs, nuages vaporeux accrochés en gris léger immobilisés dans une lumière douce et tempérée. J’ai raté absorbée par la contemplation le camping de l’oliveraie. Demi tour à la station service en haut de la côte, pensant que ce bon monsieur n’habitait pas si loin sur le tronçon.

et alii dit: à

pas tout à fait des fantômes ,les briques de « lego »
Un tiers des Français adultes jouent encore aux Lego pour leur propre plaisir (et non pour jouer avec leur enfant) : c’est le résultat, surprenant, d’une étude réalisée par Play Well pour le fabricant de jouets.
Legosophie (PUF, 2019) : « Les potentialités du Lego sont quasi infinies : on peut réaliser des constructions toujours plus complexes. »

Marie Sasseur dit: à

Merci Dr Lecter pour ce checknews.
Une bonne leçon de journalisme…

« Mais le vrai scandale vient d’autre chose : il est mentionné dans ce même article qu’en 2019, « une cérémonie de purification par la flamme » s’est tenue au nom du même argument, brûlant une trentaine de livres. L’autodafé date donc en réalité d’il y a deux ans, mais il suscite aujourd’hui la polémique »

B dit: à

Et alii, le nombres d’enfants sacrifiés, martyrisés, et décédés des suites de tous ces bons traitements et éducation absolument catholique méritait bien que soient brûlés quelques tintin et Astérix. Quels symboles puissants en cours à l’époque où se sont déroulés les faits!

B dit: à

Les chinoises lassées des hommes les louent pour un après-midi ( par exemple), ai-je lu aujourd’hui. Émancipée et pragmatiques, les nouvelles femmes chinoises

Marie Sasseur dit: à

Comme quoi, que ce soit au Congo, ou en  » Amérique », RG à eu du mal à se défaire de l’influence de son curé.
Le problème c’est qu’au Canada, ça a duré jusqu’en 1979, avec ces marteaux du Christ.

et alii dit: à

le nombres d’enfants sacrifiés,
quelle puissance de raisonnement! de logique!
excusez moi, ça m’étouffe;
bonne nuit ,comptez bien!

B dit: à

L’épuration littéraire certes temoigne d’une intention louable , de quelle condition bénéficient les autochtones actuellement, s’il en reste ? Le même sort que les amérindiens des USA, parqués, réduits très souvent par l’alcoolisme?

B dit: à

Bref, etalii, une mouche surement vous a piqué, ou avez vous perçu une ombre pour vous cabrer ainsi tout en cherchant à me ridiculiser. Faudrait equalizer vos humeurs, cher monsieur

puck dit: à

Soleil vert dit: à

Il me semble que dans le genre, Polac avait fait un roman sur les surdoués , mais c’est pas resté dans la mémoire collective
 »

d’accord ! si l’on veut ! disons qu’il s’agit de « surdoué » dans la mesure où cette notion de « surdoué » est totalement relative et fait uniquement référence aux autres, à savoir à une majorité de « sous doués ».

d’une façon générale les hommes sont assez fiers de citer les noms des grands hommes, des grands esprits, parce qu’ils s’imaginent que cela va ainsi faire oublier que les 99,9999% restant sont bêtes à mourir et que ces exceptions représenteraient un horizon atteignable par le plus grand nombre, un peu comme quand un gars d’une cité devient une vedette milliardaire du basket et que les politiques disent aux autres : vous voyez ! c’est possible de réussir ! hé ben non : pour la majorité cela reste un horizon inatteignable, cela dit qui nourrira leurs rêves durant toute leur vie.

l’humanité c’est pareil ! la différence entre un anthropophage et un humaniste c’est que le temps de cuisson parce que sinon les 2 aiment l’homme ! désolé je vois pas ce que cela vient faire dans mon raisonnement.

qu’importe ! Soleil Vert lisez donc ça et vous comprendrez mieux de quoi je veux parler :

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01660769/document

D. dit: à

99,9999% restant sont bêtes à mourir

En fait c’est 99,9998, Puck. Je viens de vérifier.

Marie Sasseur dit: à

Si avec tout ça Naulleau attend encore de de devenir intelligent et professionnel, c’est à désespérer des réseaux sossiaux.

puck dit: à

D. vous avez raison, je voulais aussi m’excuser pour ma réaction de l’autre fois, je vous aime bien, parce qu’avec vos recettes de cuisine vous rappelez que si l’homme est apparu sur cette terre c’est justement parce qu’il a eu l’idée farfelue de faire cuire de la viande.

j’espère que cette vérité anthropologique ne viendra pas trop contrarier vos convictions religieuses, tant il est vrai que l’histoire d’Adam et Eve est bien plus glamour.

Marie Sasseur dit: à

Enfin pourvu que Passou nous épargne ses hadhtags de ce fumiste, on n’en attend rien de plus de ce buzz.

Marie Sasseur dit: à

Aie, lire hashtag, ###

rose dit: à

et alii dit: à
rose:Chaque année 300 à 400 couples divorcent religieusement à Paris. Ce qui signifie que pratiquement un mariage juif sur deux se termine par un divorce.

Ah, cela me fait peine.
Je croyais les juifs heureux en amour. Mieux, bienheureux.
Ahlala, où vais-je situer mes rêves ?

Marie Sasseur dit: à

Tu vois ducon, quand j’y pense, tu as perdu une occasion de fermer ta grande gueule, ou de ne pas l’ouvrir à bon escient. Ça fait des plombes( des mois ?) que Passou reweete des conneries extrémistes d’un pote a Soral, et ça tu t’en fous.

Strange.

Marie Sasseur dit: à

Bon, tu me diras demain ce que t’en penses, a tête reposée. Moi, je pense faire un testament précisant que si j’ai commenté sur un blog de fachos, il ne faut pas que la descendance en prenne ombrage, j’étais venue juste parce que j’aime lire, depuis toute petite, 3 ans environ…

B dit: à

Rose, la communauté se situe dans la moyenne parisienne, à Paris vous devenez parisiens et épousée la stat en plus de la femme ou de l’homme, 1 couple sur 2 divorce, en Province 1 sur 3.

B dit: à

Epousez, correcteur.

rose dit: à

DHH

Je veux bien le croire. Mais je me souviens bien de ce choc au cœur en croisant ce couple amoureux au musée Benaki d’Athènes et la même émotion en suivant Amir et Tini sur le compte Instagram de celle-ci.
Émue par le bonheur, je suis.
s.

B dit: à

MS, vous êtes des surdouées, dans le milieu qui était le mien à l’école de la république j’ai dû savoir lire en 1963 ou 64 soit à entre 4 et 5 ans, sans soutiens d’aucune espèce, familial ou autres. L’école sous estime ses enfants ou manque de moyens, chaque enfant pourrait compte tenu de mon faible potentiel savoir lire au même âge . Notez que pour certains, à trois ans c’est déjà le piano.

rose dit: à

Jazzi

Je vous croyais très pro-Hidalgo ?

rose dit: à

Un facho sur un blog de Passou participé à notre polyvalence. Cela n’en fait pas un blog de fachos. Hého.

rose dit: à

B.
Je ne savais pas les stats.
1 sur 2 à Paris.
1 sur 3 en province.

D. dit: à

Je préfèrai quand on se tutoyait, Puck. Ça faisais plus intime.

Janssen J-J dit: à

@ c’est qui, le pote à Soral, Marie Masseur ? – vous avez l’air de vous défier de plus en plus de Pierre Assouline, voire de l’injurier… Souvenez-vous de choulax, blacklisté à jamais… il serait dommage que vous dussiez prendre le même chemin de pénitence.

@ mes excuses pour avoir pensé que vous ne connaissiez pas le lien possible de julien gracq avec charles baudelaire… Je prends souvent les gens au premier degré de leurs questions (genre / c’est qui julien gracq ? par exemple), essaie de les éclairer, mais ne comprends pas trop pourquoi ils s’en vexent, comme si leur amour-propre cultivé, etc.
@ mais parfois, quand même…, j’ouvre m g g à bon escient…, pas souvent certes, mais parfois. N’ai pas un fond si mauvais, vous savez, hein ! faudrait pas m’en faire accroire non plus.

NB/ je m’aperçois que les 3 piliers de la dernière génération des Buddenbrook furent à un moment ou l’autre atteints de grave dépression, sinon de crise filiale identitaire… Il y aurait sans doute des // à établir avec les frères Karamazov qui auraient tous eu de bonnes raisons d’avoir souhaité participer à la mort de leur vieux père débauché. « Quand une proposition nous indigne, c’est que nous ne sommes pas sûrs de pouvoir y résister » (Tony à Thomas dixit, qui ploie sous le faix)…
Mais c l’heure d’aller coucher sa gde gueule…
Donc, tournons court. BN toilée à tous.tes,

D. dit: à

Moi aussi je lis depuis deux ans et demi. Prix d’excellence 9 fois : crèche supérieure, petite section de maternelle, moyenne, grande, CP, CE1, CE2, CM1, CM2.

B dit: à

Oui et puis les effets annonce ou d’affichage, il faut voir la sincérité et la probité à l’action, la réaction, dans la vie, dans les faits, en gros et en détails. Le fascisme à bon dos, ne rien dire sur les prérequis, les présupposés, les a priori, le racisme ordinaire er social, l’esprit de caste, le snobisme, le complexe de supériorité, le besoin d’humilier, de s’affirmer en écrasant les autres, le pouvoir conquis et ou revendiqué, la science infuse et diffuse voire confuse, les rejets non motivés, les dénis, les lâchetés, les mensonges sans vergogne ni honte. Le vernis pour emballer le tout.

D. dit: à

J’ai commencé l’oeuvre de Passou en 6ème. Un traité d’élevage de dindins en 10 volumes plus un appendice (que je trouve très utile).

D. dit: à

En 5ème, je me suis écroulé. Burn out.

D. dit: à

Depuis j’ai plus ouvert un seul livre.
Je regarde la télé.

D. dit: à

C’est la pure vérité, Bérénice. Même si ça doit vous décevoir.

B dit: à

D, Henri IV ne prend que les meilleurs, non? Pensez vous,qu’il puisse arriver que soit jeté un de ceux là, comme ça, sans raison? Je me souviens que lors d’une demande d’inscription à un club de sport, le responsable s’explique en ces termes, sanscruen avoir vu ni entendu: celui là, j’en veux pas. Welcome! Pareil pour d’autres détails , aucune explication, aucun égard, aucun courrier. Bienvenue!

B dit: à

Le dindin, un parent du dodo?

B dit: à

Parce qu’il y a aussi parait il les dadas du fameux groupe , les dahuts mais ceux là se sont échappés en fumant le joint.

rose dit: à

Non.
Le dindon, parent de Rhin.
Pck le rindindin.

rose dit: à

Le dindin parent de Rhin.

D. dit: à

Oui parfaitement. De dindins. Une espèce désormais éteinte. Malheureusement.

renato dit: à

Vous interprétez toujours à côté de la plaque, 3J. Dans les faits je n’avais que vaguement entendu parler de ce mauvais titre et n’ayant pas de temps à perdre, je ne pas lu le livre. Ma question était plus simple : pourquoi, étant donné le contexte, ne pas vous contenter du Cygne?

et alii dit: à

renato! rapporter en commentaire ici, c’est agir;

rose dit: à

Émancipée et pragmatiques, les nouvelles femmes chinoises.
Une spécialiste du stand up a dit « je ne comprends pas comment les hommes sont si confiants et si moyens ».

Pas très malin.
Les garçons sont abasourdis par les changements qui se produisent et cela me semble plus intelligent de pratiquer une attitude inclusive, en les mêlant à nos jeux, plutôt qu’exclusive et pire, répétitive.

À terme, je vois les choses ainsi : une parité respectueuse avec réelle distinction dans les compétences et échange sur nos différences.
Je ne participerai pas à l’homme esclave de la femme, ni, pire, à l’homme jouet de la femme.

rose dit: à

Y a eu les dindons, puis les dindins. Allons-nous vers les dondins ?
Le champ des possibles ou la possibilité d’une île ?

Marie Sasseur dit: à

@@ c’est qui, le pote à Soral, Marie Masseur ? – vous avez l’air de vous défier de plus en plus de Pierre Assouline, voire de l’injurier… 

Je trouve que tes questions et tes insinuations relèvent, non du malentendu, mais bien d’une volonté manifeste imbécile et grossière, de faire taire ce qui est une , la mienne, réaction à un refus de connivence.

J’ai trop de respect pour le journalisme, pour imaginer que Naulleau , un pote à Soral, soit un journaliste.

Marie Sasseur dit: à

Retweeter une opinion sur un fait divers, ici l’opinion de Naulleau sur l’autodafé de livres dans une école catholique canadienne, ce n’est pas comme si on donnait la parole à un intervenant dans un débat. Non c’est prendre a son compte cette opinion.
Donc si Passou assume, moi aussi a ma façon.

Marie Sasseur dit: à

Je vais te le balancer, moi, mon post :

Et puis non, définitivement non. Cette cyrilanounaïsation des medias et du journalisme, incarnée par des Naulleau et des baltringues , n’est ni mon monde ni ma culture.

Marie Sasseur dit: à

M. Drillon écrit :
« Les ellipses, pièges grammaticaux. « J’ai dit cela pour détendre l’atmosphère, qui ne demandait pas à l’être. » Qui ne demandait pas à être détendue.  « Détendre » est actif, alors que « être détendue » est passif. »

C’est très amusant, mais pour moi cette interprétation n’est pas correcte.

En l’occurence, c’est ici le mot atmosphère qui est objet de l’action de détendre. Le verbe être traduisant un état modifié à atteindre.
C’est de la physique, M. Drillon.

Et je trouve que cette  » ellipse » comporte une légèreté subtile, rendant bien lourde la modification proposée.

Marie Sasseur dit: à

Les détendeurs sont utilisés pour faire baisser la pression, faut garder le sens pratique des choses…

Bonne journée.

et alii dit: à

Alberto Manguel s’installe au Collège de France

Ce 30 septembre sera donnée la leçon inaugurale au collège de France sur le thème Europa, le mythe comme métaphore. Et pour ouvrir le bal, c’est Alberto Manguel qui est invité, dans le cadre de la chaire annuelle, nouvellement créée pour l’occasion. Il s’agira d’analyser l’invention de l’Europe, « par les langues et les cultures ». L’écrivain argentino-canadien en sera le premier bénéficiaire.

B dit: à

JD aujourd’hui, vendredi, n’a pas pris peine de nous servir un nouvel extrait de son philosophe préféré, la même chose au comptoir, zut!.

rose dit: à

Marie Sasseur
Bravo
J’m votre cohérence.
Ce n’est pas mon monde non plus, nalleau et consorts, mais je le regarde évoluer avec curiosité. Comme les sud coréens.

rose dit: à

Si si y a Philippe Murat, Miserere. Porter le culte à ce point.

rose dit: à

L’ellipse narrative, c’est tout l’imaginaire qui s’amorce. Dans certains vieux bouquins, miam miam birdy, ce sont 40 ans qui sont sous ellipse. 40 ans à réinventer. Quelle époque …

rose dit: à

« Louis Dandrel, 82 ans, est mort samedi dernier. Il était celui qui, pendant deux brèves années (1975-1977), secondé par quelques amis comme Alain Durel et Inge Thaes, avait sorti France Musique du marais où elle se noyait. Il était intelligent, audacieux, libre, rieur, et aussi rapide que sa petite Jaguar E ; mais surtout il était incandescent : il mettait le feu autour de lui. Il montrait une telle passion dans sa volonté de vous convaincre qu’en comparaison vous vous trouviez terne, banal, triste, cynique ; vous auriez voulu être lui. Il vous faisait croire que vous étiez l’être le plus important du monde, et que sa vie dépendait de votre assentiment. Ses yeux brillants vous capturaient dans leur lumière, et vous n’aviez plus qu’un désir : approuver, consentir, applaudir. Vous vous seriez senti misérable de résister à sa flamme. Il croyait en vous : comment le décevoir ? Comme tous les séducteurs, il vous donnait envie de le séduire, lui. De le faire rire, de l’intéresser. Il vous donnait deux, trois chances d’y parvenir. Avec reconnaissance, vous vous remettiez au travail… C’est ainsi qu’il a ouvert les portes à des personnalités totalement nouvelles, parfois fort jeunes, qu’il laissait se grouper à leur gré en équipes, originales et solides, et qu’il défendait bec et ongles auprès d’une direction administrative affolée. Une productrice de radio qu’il avait engagée écrit aujourd’hui : « Mais il était sévère, quoi qu’il puisse sembler, dans le choix de ces gamins devenus producteurs de radio, pfuitt, comme par magie. Des coups de cœur, des projets qu’il voulait mettre en œuvre, du neuf, du pas encore décati, des oreilles, surtout des oreilles en état de marche: c’était son but. Il était discret, mais ferme et décidé. Il a rejeté certaines candidatures. Il a reçu un ami qui venait de publier un bouquin sur Bataille – une tronche bien faite, une manière de mentor qui avait su me donner des repères intellectuels restés pertinents -, et qu’il a écarté, car il lui trouvait la voix de Panigel (!) et ça, alors qu’il lançait une tempête à l’antenne, c’était impensable. » Elle écrit aussi : « Dans la rue, il croisait souvent Dusapin qui n’habitait pas loin, l’homme musique, ainsi le nommait-il, et un danseur classique très connu, Dupond , Millepied ou… je ne sais plus, dont il me disait, avec son enthousiasme chaleureux, fabuleux, que, lorsqu’ils marchaient côte à côte dans la rue, l’autre ne touchait pas le sol, qu’il occupait tout l’espace jusqu’au-dessus des toits. »
Cette « tempête » à l’antenne fit des vagues. On débattait de France Musique jusque sur les bancs de l’Assemblée nationale. Lévi-Strauss, qui ne supportait pas d’entendre à la radio des musiques qu’il voulait être le seul à avoir entendues, y est même allé de sa diatribe, et Sartre râlait dans la presse de ne plus pouvoir travailler avec la musique de fond dont il avait l’habitude. Car Dandrel ne voulait pas seulement diffuser de la musique, il voulait faire de la vraie radio, et se montrait souple à l’égard du « temps de parole »: la voix, l’oreille, l’esprit. (Pour sa première conférence de presse, au lieu de se présenter sur scène avec son équipe, il avait imaginé de ne placer sur le plateau qu’une rangée de haut-parleurs, des « boules Elipson », qui répondaient aux questions. Pas de visages, pas de corps, seulement du son.) Pour se débarrasser d’un seul coup des geignards qui voulaient, comme Sartre, n’avoir qu’un fond sonore, il proposa de créer une radio de musique continue. Projet refusé par Radio France, et qu’il a porté ailleurs : Radio Classique.
Une fois poussé dehors par une direction aux abois, il eut l’idée de créer un vrai magazine de musique, le premier du genre, « Le Monde de la musique », émanation commune au « Monde » et à « Télérama ». Le premier numéro s’est vendu à plus de 100 000 exemplaires.
Il a longtemps habité rue Le Verrier, comme Philippe Muray, dans une étroite maison toute en étages. (Il y vivait avec sa femme, Odile Cail, qui a créé et dirigé la meilleure collection française de livres sur la musique, chez Jean-Claude Lattès, avant de mourir quelques années plus tard.) Le dernier étage était un minuscule théâtre, avec une scène de quelques mètres carrés. Il y avait là son piano, un grand Kawaï autour duquel, a dit un jour Jean-Marie Villégier, toute l’activité tournait. Un musicien ne se met pas au piano : il s’y remet.
C’est là, rue Le Verrier, que l’équipe de France Musique, qui l’avait suivi dans son départ, est devenue d’un coup l’équipe fondatrice du « Monde de la musique » ; et c’est ce jour-là qu’autour de Peter Vizard, magnifique déchiffreur qui s’était assis au piano, tout le monde a chanté le Messie de Haendel. C’était horrible à entendre, mais c’était la vie. »
Hé, et alii, choquée par la réaction de LéviStrauss.
Bon, l’aimait pas voyager. Choisissait le crayon.
Mais à ce point là aimait ses petites habitudes ?

rose dit: à

Enfin, « les musiques qu’il était le seul à avoir entendues », cela donne un portrait de Lévi-Strauss bien peu glorieux.
Vous plussoyez Et alii ?

rose dit: à

On a connu le maire de Paris devenir président de la République.
Je ne crois guère que nous en ayons gardé quelques glorieuses modifications de notre mode de vie et avancées significatives des amêliorations à apporter à la vie urbaine.

B dit: à

L’ellipse – qui ne demandait pas à l’être – sous entendu à être détendue. C’est une formule passive, je ne saisis pas où est le problème de physique, l’atmosphère ne se détend pas indépendamment d’un agent extérieur dans le commerce entre humains. Pour le ciel, ce peut être un orage pour lequel je ne suis pas en mesure d’expliquer la décharge électrique qui le libère de sa tension, et ce au hasard en s’abattant parfois sous forme de foudre sur un arbre ou un autre, (le coup de foudre me faisait remarquer un ancien ami guitariste de son état. Fender noire si mes,souvenirs sont exacts, bonjour Jean-Jacques.).

JiCé..... dit: à

THERMODYNAMIQUE

…Euh ! et les Tintin au Congo, ça brûle bien ? Aussi bien qu’un livre saint ?…

rose dit: à

Louis Dandrzl, en secondes noces a épousé Odile Cail, dcdée prématurément.
En 3ème, Fabienne Pascaud, directrice de Télérama, qui ne l’a pas largué dans un EHPAD, lorsque douloureusement, la mémoire de son mari a commencé à faire des siennes.

rose dit: à

Ce mur de photos, depuis qq.jours.

et alii dit: à

rose,merci mais ne pas me parler ce main;je suis ensuquée de sirop;j’ai encore attrapé mal et tousse un cauchemar

et alii dit: à

renato doit passer lire « pas si perché que ça « !
on s’occupe de la tarte et autres bourdes ici

rose dit: à

Et alii
Citron chaud et miel.
Et reposez-vous, provisoirement.

et alii dit: à

Drillon: pour moi qui fut bellifontaine, vos histoires d’épisserie sont cabotines

rose dit: à

B.
Thermodynamique

Une histoire de bars.
Comme en plongée

et alii dit: à

Monsieur DRILLON, quand j’ ai cru que la maladie qui aurait raison de tous ces prédicateurs-et moi, était
la BPCO , j’ai dit encore un tétragramme !

closer dit: à

Pas étonnant que l’on divorce plus à Paris…Au prix du m2, peu de couples peuvent vivre dans un espace suffisant pour se supporter très longtemps.

closer dit: à

Sauf D, qui supporte son chat dans ses 160 m2…

Janssen J-J dit: à

Bonjours en vrac… (10.9/21@9.45)

@ B / (« ne rien dire sur les prérequis, les présupposés, les a priori, le racisme ordinaire et social, l’esprit de caste, le snobisme, le complexe de supériorité, le besoin d’humilier, de s’affirmer en écrasant les autres, le pouvoir conquis et ou revendiqué, la science infuse et diffuse voire confuse, les rejets non motivés, les dénis, les lâchetés, les mensonges sans vergogne ni honte. Le vernis pour emballer le tout »).
Bonjour B., ne sais pas qui vous visez…, j’espère pas moi.

@ RM / Vous interprétez toujours à côté de la plaque /
Me l’avez dit à plusieurs reprises. Suis désolé… c’est sans doute lié à vos-nos « ellipses » communicatoires,…, lost in translation… En suis fautif, ne vous excusez pas.

@ SMS / une volonté manifeste imbécile et grossière, de faire taire ce qui est une, la mienne, réaction à un refus de connivence/.

J’apprécie qu’une fois passée la bordée d’injures matinales, vous vous expliquiez… J’ignorais qui était ce Nolleau, et pourquoi PA lui rendrait un hommage perpétuel… Je me souviens d’un type de ce nom qui faisait duo avec Zemmour à la télévision le soir, mais n’ai jamais pensé qu’il partageât ses idées… Parlez-vous du même ? Je suis un peu naïf, je sais…, mais ne suis pas « connivent ». Et même si je donne l’impression de me salir en venant icite, en ne reprenant pas vos fureurs (il faudrait passer son temps à les trier), il ne me vient pas à l’idée d’insulter Passoul pour autant… Voilà peut-être d’où proviennent nos différences rédhibitoires : des « caractères » pas hérités semblablement.

D.: / En 5ème, je me suis écroulé. Burn out. Depuis j’ai plus ouvert un seul livre. Je regarde la télé.
C regrettable ce qui vous est arrivé à la préadolescence, D. Et je vous comprends beacoup mieux maintenant. Mais vous n’avez pas perdu au change, la télévision vous a fait gagner en humour et bonne humeur, ce que la grande littérature a tué à jamais en vous, en bas âge.

*Ai vu les Sorcières d’Akelarre, un film argentin…, pas aussi bébête qu’il en avait l’air, a priori @ jzmn.

Bàv à tous.tes,

B dit: à

160 m2, la vache, D vous êtes béni!

et alii dit: à

Monsieur Drillon connait-il l’excellente patisserie à côté de Notre dame de Lorette qui faisait des puits d’amour quand mon futur époux m’y emmenait;
voilà la patisserie qui convient à rose, et que je vous recommande;je ne suis pas la poire que vous croyez

B dit: à

Gloser doit vous encore car de source sûre il ne connaît que la chance d’un logement social de 110 m2 mal environné, non loin du parc Montsouris , une misère!

B dit: à

Envier pour encore, correcteur.

et alii dit: à

ce que ne dit pas monsieur Drillon sur le bourdaloue
Le mot est utilisé aussi en chapellerie (ruban du chapeau)
donc on peut créer une décoration ! reste à préciser pour quels mérites, vertus

closer dit: à

Ben non B, malheureusement je ne suis pas assez copain avec la Mairie de Paris pour bénéficier de ce que vous citez « de source sûre » (je me demande bien laquelle)…Loin de là.

lmd dit: à

«Le problème c’est qu’au Canada, ça a duré jusqu’en 1979, avec ces marteaux du Christ.»
Le problème, c’est, MS, que votre comprenette est bien moins aiguisée que vous ne l’imaginez.
L’histoire des bandes dessinées qu’il faut détruire est un paravent dérisoire mis en œuvre par une petite communauté administrative inconséquente (ce que le lien que j’ai proposé hier montrait parfaitement ).
«Le Conseil scolaire catholique Providence (autrefois Conseil scolaire district des écoles catholiques du Sud-Ouest ou CSDÉCSO) est une commission scolaire francophone centrée autour de la région de Windsor (Ontario). Son territoire s’étend de Windsor jusqu’à Woodstock incluant la région de Bruce—Grey ainsi que la région de Huron—Perth, couvrant une superficie de plus de 28 000  avec 23 écoles primaires et 7 écoles secondaires1 (dont l’École secondaire l’Essor). Le siège social se situe à Windsor, avec des bureaux administratives régionaux à Chatham-Kent et London.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_scolaire_catholique_Providence

lmd dit: à

Si vous perceviez l’actualité autrement qu’en regardant dans la marge vous sauriez que le vrai problème des autochtones au Canada est aujourd’hui, cette année, celui de la disparition de centaines de jeunes femmes et que ces disparitions sont le prolongement exact du travail,si ancien, de ces merdeux de missionnaires catholiques .
«Alors qu’elles ne représentent que 4 % de la population canadienne, les femmes autochtones ont été les victimes de 28 % de tous les homicides perpétrés contre des femmes en 2019, selon les données de Statistique Canada. Une réalité, selon Mme Bennett, attribuable à la discrimination systémique et à l’histoire colonialiste du pays.»
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1798550/enquete-autochtones-principe-joyce-echaqan

Soleil vert dit: à

– ok Puck, Le Singe nu, L’Axolotl … ça me parle. Sur le fond, n’entrant pas dans la catégorie des surdoués euh HPI (hôpital psychiatrique interné) faut que je réfléchisse.

– La montagne magique, 500 pages lues et il m’en reste autant ! Castorp n’a pas toujours conclu avec Clavdia et Naphta n’est pas entré en scène …

D. dit: à

Ça c’était avant.
Maintenant c’est 290 m2 dont 45 m2 de terrasse, piscine-jardin intérieure de 50 m2.

B dit: à

Closer, c’était pour rire. Je suppose que vous connaissez des difficultés liés au prix du m2 à Paris. Ici nous pouvons nous loger à moindre prix , locations et propriétés sont beaucoup plus abordables. Je crois que chacun sait qu’à Paris le facteur de sélection le plus flagrant est l’argent y compris dans le dernier cercle de l’escargot. Même dans le 20eme, à Montreuil, c’est inabordable pour un français moyen. Il faut au moins avoir des revenus de cadre sup pour s’y installer.

B dit: à

Liées, correcteur.

et alii dit: à

merci lmd ; j’en remets un mot à une canadienne

Jazzi dit: à

10 septembre 2021 à 11 h 50.
« Supernova » de Harry Macqueen, avec Colin Firth et Stanley Tucci.
Un écrivain et un musicien s’aimaient d’amour tendre, mais comment s’y prendre quand, trente ans plus tard, l’un des deux partenaire du couple commence à perdre la mémoire ?
Sur le fil ténu de ce scénario mélodramatique et particulièrement casse-gueule, Colin Firth (Sam, l’écrivain à la mémoire qui flanche et ne peut plus surmonter le vertige de la page blanche) et Stanley Tucci (Tusker, son fidèle compagnon concertiste) déploient, tels des funambules, toute l’étendue de leur vaste talent d’acteur.
Non sans justesse, délicatesse et pudeur.
Ni nostalgie ni flash-backs dans ce film où le cinéaste anglais s’attache essentiellement à les suivre dans leur vieux camping-car sur les routes d’une Angleterre verdoyante et sauvage, l’occasion pour eux de retourner sur les lieux de leurs premières amours et de permettre à Sam de faire ses adieux aux parents et amis qui les ont accompagné tout au long de leur vie.
Prétexte également au cinéaste à nous donner à voir, entre vallées et montagnes, de magnifiques paysages verdoyants et sauvages sous la voûte céleste, éternellement traversés par des poussières d’étoiles humaines…
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19591033&cfilm=279074.html

Jazzi dit: à

supprimer le deuxième  » verdoyants et sauvages » !

Jazzi dit: à

Décidément, je fatigue !
Il faut juste aussi inverser les rôles et les acteurs…

Jibé dit: à

JJJ « qui était ce Nolleau, et pourquoi PA lui rendrait un hommage perpétuel… Je me souviens d’un type de ce nom qui faisait duo avec Zemmour à la télévision le soir, mais n’ai jamais pensé qu’il partageât ses idées… Parlez-vous du même? »
le pote à Zemmour s’appelle Eric Naulleau. Présentement présent au salon du livre de Pont-l’Evêque, aucun rapport.
Salut à vous JJJ, sous une pluie battante, vendangeurs dans la boue jusqu’aux yeux, je vous raconte pas comme!

Jibé dit: à

Salutaire mise au point de lmd sur les comportements racistes au Canada. Pour connaître ce grand pays (je cause de superficie), je peux dire que le christianisme version catho y a fait des ravages, avec asservissements des populations autochtones estimées inférieures, vieille histoire. La disparition des femmes en question est une tragédie, certaines se sont fait enlever sur des routes où elles avaient le malheur de faire du stop ou seulement de marcher.

Marie Sasseur dit: à

Le problème lmd, c’est que des fumistes comme vous parlent d’une chose pour surtout en dire une autre.

Jibé dit: à

« une possibilité de travestissement aux combattant valeureux en fuite et aux abois »
….se cacher sous une burqa en étant sûr qu’on ne sera pas fouillé car on ne touche pas aux femmes est, en effet, le signe que le vêtement féminin est « portable » même par un « valeureux  » mâle en fuite… Preuve aussi d’un fanatisme tel qu’il s’interdit de vérifier qui se cache là-dessous, se mettant ainsi en danger de laisser passer n’importe quel « ennemi », éventuellement prêt à se faire sauter. Cachez cette bombe humaine, que je ne saurais voir!

D. dit: à

Avec des poissons exotiques qui me font du peeling. Je leur lance des bout de merguez quand je mange.

B dit: à

D, allez, votre peau diaphane ne souffre d’aucun psoriasis, d’autres inventions aquatiques?
Bon ce film d’Amalric, peuplé d’enfants d’après la BA,( et d’acteurs étrangers plutôt nordiques) vous l’avez vu, vous?

lmd dit: à

Marie Sasseur, expliquez un peu plus explicitement en quoi je parle d’une chose pour en dire une autre ? J’ai écrit hier :

«Bruler les Tintin en Amérique…
à la suite de quelques réflexions à propos de la lecture des chapitres animisme du livre de Descola…
à la suite d’informations sur la barbarie des pensionnats catholiques du Saskatchewan …
après avoir appris que la « gardienne du savoir » autochtone qui a accompagné le Conseil scolaire, Suzy Kies, n’est pas Autochtone,
on apprend que toute la réévaluation des livres à bruler va être elle-même réévaluéee…
… et que finalement on ne va peut-être pas bruler Tintin en Amérique.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1822456/conseil-scolaire-providence-livres-tintin-suspendu-brules
Je me permets de signaler qu’il y a des collectionneurs de bandes dessinées qui s’arracheraient des exemplaires de Tintin avec le tampon de la bibliothèque — à bruler —
Voilà une porte de sortie raisonnable.»
Sans doute n’avez vous pas lu comme il faut ce dernier paragraphe ; je n’y ai pas noté une amertume suffisamment perceptible par votre comprenette à réaction ; c’est ma faute.

B dit: à

Des discus? Comme ça vous avez des interlocuteurs dignes de votre éloquence.

B dit: à

Il m’est arrivé de devoir payer des livres non rendus, j’ai donc des tampons mais aucun tintin, j’en ai offerts toute une collection bien qu’ayant toujours eu un faible pour Gocsinny à l’âge où l’on est censé le lire.

B dit: à

Lmd, sasseur voir des fumistes, des ducons, des salonards, des journaleux, des gôchistes, des insuffisants partout. Il est rare que ses commentaires soient positifs, je me demande d’ailleurs ce qui pourrait ou peu les motiver. L’excellence, vraisemblablement, dont rôle de revendique.

B dit: à

Voit, elle se , peut, etc, correcteur?

et alii dit: à

il y a des manuels de conseil en matière d’argumentation et même
une Petite philosophie des arguments fallacieux

closer dit: à

« Ça c’était avant.
Maintenant c’est 290 m2 dont 45 m2 de terrasse, piscine-jardin intérieure de 50 m2. »

Merci de cette mise à jour, D. C’est vrai que vous étiez un peu à l’étroit.

Bloom dit: à

Le 11 septembre 2001 , l’artiste pakistanais Rashid Rana (qui a depuis exposé à Guimet), était à New York pour y présenter son expo. Le matin des attentats, il traversait le pont de Brooklyn quand l’avion vint percuter la tour nord. Très vite, il comprit que la vie basculait. Il trouva à se réfugier dans une cabine téléphonique, d’où il appela la galerie où devait se tenir son expo. On lui répondit que tout était annulé et que la banderole qui annonçait l’événement vit été retirée, avec d’autant plus de célérité qu’elle figurait un topoï des films-catastrophes façon Holly/Bollywood, à savoir un hélicoptère heurtant une tour…
Avec sa mine patibulaire mais presque, il resta terré de nombreuses semaines chez des amis en souhaitant bien fort que personne ne vienne lui régler son compte (il ne faisait pas bon avoir le type moyen-oriento-afghano-sud asiatique, même des sikhs furent victimes d’actes de vengeance aveugles).
Début novembre, il put enfin embarquer sur un vol pour Karachi et regagner Lahore.
Quand il me raconta son histoire, j’eus l’impression qu’il décrivait une expérience en partie en miroir de la mienne.

Comme souvent lors de ce triste anniversaire, je recommande la lecture de la formidable nouvelle de John Updike, ‘Varieties of Religious Experience’, parue dans The Atlantic en novembre 2002, et dont je ne sais si elle a été traduite en français.
https://www.theatlantic.com/magazine/archive/2002/11/varieties-of-religious-experience/302630/

Bloom dit: à

AvAit été retirée

D. dit: à

Vous boulez venir voire les poissons, Berenice ?

et alii dit: à

Fin août, à Bignay (Charente-Maritime), une jeune femme de 25 ans s’est réfugiée chez une voisine, en culotte, sale et affamée. Elle a accusé sa mère et sa soeur de l’avoir séquestrée pendant 3 ans. Les deux suspectes ont été écrouées, la mère a été hospitalisée et la fille placée en détention provisoire.
Les gendarmes se rendent rapidement sur place et interpellent la mère, âgée de 58 ans, et la fille, âgée de 26 ans, précise Midi Libre.

La mère et la soeur converties au
Pour l’avocat général Stéphane Chassard : « On n’est pas dans un cas de secte mais il y a une problématique soit religieuse, soit mystique entre trois personnes qui ont des niveaux intellectuels élevés. La mère, notamment, a fait des études de psychiatrie ».

Marie Sasseur dit: à

lmd, j’ai répondu à votre message. Et ma réponse était très claire.

Enfin pour ce que vous avez apporté au sujet, vous devriez allez faire le mariole chez hanouna, vous aussi.

et alii dit: à

Cette affaire est aussi révélatrice d’un « couac » du « parquet de Saintes et/ou des services sociaux », selon Me Julien Sevet, avocat de la soeur accusée. En 2020, une voisine a fait un signalement sur cette maison aux gendarmes. Ils se rendent bien sur place, rencontrent la famille, et repartent.

lmd dit: à

Pour s’informer, Marie Sasseur conseille d’écouter France Inter, parfaitement !

Patrice Charoulet dit: à

A PROPOS DU DISCOURS PRSIDENTIEL AUX INVALIDES

Je dois d’abord dire que je voterai, à la prochaine présidentielle, comme je le fais à toutes les élections. J’ajoute qu’au premier tour, je ne voterai ni Macron, ni Le Pen. ni…Zemmour, s’il est candidat.
J’appréciais l’acteur Belmondo, comme j’appréciais Marielle,Noiret, Rochefort et quelques autres.
Il a eu droit aux Invalides. Cela peut se discuter, mais bon…
Ayant du temps libre et ne travaillant plus, j’ai assisté à la chose. On nous a montré beaucoup de gens connus : des personnalités politiques, des acteurs, Il y a eu une longue attente. Ce qui était attendu par tout le monde, outre l’entrée du cercueil, ce fut l’arrivée du président. Après quelques mots très brefs et très simples d’un proche de Belmondo, les présents et les Français derrière leurs
petits écrans ont dû entendre le discours présidentiel.
J’aurais, je l’avoue, été bien incapable de dire les mots qui convenaient. Il est facile de critiquer n’importe quel texte, n’importe quel discours. Le discours a été applaudi et certains l’ont apprécié.
Chacun voit midi à sa porte. Mais ce discours m’a mis très mal à l’aise. A mille indices, tout d »abord, n’ul ne peut contester que ce discours n’est pas né du cerveau (génial) du président : même si le président a peut-être apporté quelques modifications, ce discours a été écrit par « la plume du président » ou « l’une des plumes du président ». Ce n’est pas une première dans l’histoire politiqe française. Chacun se souvient au moins des excellents discours que M.Guaino avait écrit pour Sarkozy. Mais dans le cas d’espèce, cela sonnait particulièrement faux et fabriqué. Grand malaise, pour qui a l’oreille un peu fine.
Au surplus, autre impression désagréable : pour la millième fois, le président saisit cette (triste) occasion pour se mettre en valeur à quelques mois de l’élection présidentielle. Son temps de parole sera-t-il décompté par le CSA ?

Marie Sasseur dit: à

@Pour s’informer, Marie Sasseur conseille d’écouter France Inter, parfaitement !

lmd, pour déformer mes propos, faites le , mais faites le bien.

Cette émission dont j’ai donné le lien, et en particulier le premier volet, diffusé avant-hier, fait intervenir des personnes qui connaissent leur sujet et ne viennent pas sur un média de grande écoute pour faire de la figuration.

Je veux en particulier attirer l’attention sur cette professeur de l’IEP d’Aix en Provence , Mme Philippon, qui a admirablement enrichi le débat.

Marie Sasseur dit: à

Et puisqu’on ne se refait pas, j’ai oublié de dire un truc a M. Drillon, pour détendre l’atmosphère.
J’ai souvenir d’un prof qui parlait de l’atmosphère au masculin. Ce que représentait  » plusieurs » atmosphères, quand il s’agissait de pression on comprenait bien, et on n’avait pas du tout l’esprit à se demander quelle gueule avait l’atmosphère.

Et figurez- vous que j’ai trouvé un lien, certes ténu, mais voilà, pour M. Drillon qui pourfend la féminisation de noms communs:

« REMARQUE

On trouve, dans le dictionnaire de Richelet, dans certains auteurs (Bailly par exemple, et Lamartine : Quand vos regards noyés dans un vague atmosphère… Harm. II, 8.), atmosphère du masculin. Mais l’étymologie le veut féminin ; l’Académie, avec raison, lui attribue ce genre ; et l’usage est fixé. »

https://www.lalanguefrancaise.com/dictionnaire/definition/atmosphere

et alii dit: à

dorénavent, je souhaiterais aux erdéliens,en mémoire de
 » Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? Puisque c’est ça, vas-y tout seul à La Varenne ! Bonne pêche et bonne atmosphère ! »
un bon atmosphère

et alii dit: à

je souhaiterai (sans S)
pour faire du genre

renato dit: à

Passé lire « pas si perché que ça » !

Je n’ai jamais compris le « perché » (puisque : rampante > rampant).

Pour « zecchinétta », on a d’un côté le jeu et de l’autre le sobriquet du mafioso passionné par le jeu d’où « Zecchinetta ».

John B dit: à

La mère, notamment, a fait des études de psychiatrie ».

Voilà de quoi rendre heureux monsieur etalii!

moralès sed laisse dit: à

Qui s’y frotte s’y colle.

et alii dit: à

heureux? NON, CE QUI M’INTERESSE LEPLUS C’EST QUE CA SE PASSE A SAINTES

et alii dit: à

CEQUE PR2CISE OUEST FRANCE/
la mère a fait des études de psychiatrie, la jeune femme séquestrée était inscrite en fac de droit et sa sœur avait une activité politique dans le village.

La conversion de cette dernière et de sa mère au mennomisme, un mouvement chrétien protestant qui compte quelque 2 millions de membres à travers le monde, semble s’accompagner d’un repli des trois femmes sur elles-mêmes. Elles quittent une maison qui ne dispose ni d’eau ni d’électricité uniquement pour faire des courses et se rendre à l’église. Un office auquel ne participera plus la victime.
https://www.ouest-france.fr/societe/faits-divers/charente-maritime-une-jeune-femme-sequestree-pendant-trois-ans-par-sa-famille-7cf8d9ca-107e-11ec-9056-0987937f47bd

et alii dit: à

Sur la côte du Texas
Entre Mobile et Galveston il y a
Un grand jardin tout plein de roses
Il contient aussi une villa
Qui est une grande rose

Une femme se promène souvent
Dans le jardin toute seule
Et quand je passe sur la route bordée de tilleuls
Nous nous regardons

Comme cette femme est mennonite
Ses rosiers et ses vêtements n’ont pas de boutons
Il en manque deux à mon veston
La dame et moi suivons presque le même rite

Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913

moralès sed laisse dit: à

« à Bignay (Charente-Maritime),une jeune femme, en culotte, sale »

Mais pourquoi ce détail qui pourrait sembler révélateur, couleur Isabelle?
Abîmée en prières à Bignay.

moralès sed laisse dit: à

Bignay perdant, certainement!

et alii dit: à

C4EST 2VIDENT QUE SI UNE FEMME DOIT 2TUDIERLE DROITEN CHARENTE MARITIME POUR SE TROUVER UN HOMME pour ses caprices sexuels, et encore sans certitude de ne pas être dérangée:
Charente-Maritime : une avocate surprise en pleins ébats sexuels avec un détenu à la centrale de Saint-Martin-de-RéCharente-Maritime :

Janssen J-J dit: à

Inutile d’accabler cette petite commune de Bignay, chère à mon coeur,, près d’Aulnay de Saintonge, à cause de ce malheureux fait divers…
https://www.youtube.com/watch?v=Za8o3YIkgQ4
L’adjoint au maire a fait son travail, et on peut continuer à aller prendre son café tranquillement sur la petite place du village, sans se moquer du proprio… On n’est pas des barbares, non !.. Quant au torchon de OUest france qui brode et fait glousser ma soeur. vaudrait mieux s’en tenir à Sud’Ouest…
Bien à vous, etalii… Et bon courage aux vendangeurs bourguignons… ! (d’autant qu’on n’annonce pas une récolte mirifique !)

Janssen J-J dit: à

@ le cas d’espèce, cela sonnait particulièrement faux et fabriqué

Il avait surtout donné pour consigne que toute sa filmographie soit contenue dans le discours préparé… Et les services de Roselyne se sont bien exécutés… C’est d’ailleurs assez cocasse quand on sait que le président n’a jamais vu un seul des films de JPB, hormis un ou deux…, et qu’il s’est cru obligé de dire qu’il « était le meilleur d’entre nous »… (et même de moij) …
Tout cela n’a rien à voir avec les futures élections présidentielles, les gens ne sont pas si ballots !… Ce genre de calcul serait vraiment très bas de sa part, et vraiment myopique.

@ une avocate surprise en pleins ébats sexuels avec un détenu à la centrale de Saint-Martin-de-Ré
Où est le malaise ??… On voit se produire la même chose dans le film « Un triomphe », et la morale y est sauve. Il nous faudra bien toujours des professionnelles défenseuses du droit, se dévouer pour leurs clients en manque… (de considhération).
Bàv

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