Philip Roth ou la terrible ambiguïté du « je »
Les réseaux sociaux vont-ils instrumentaliser sa biographie pour faire de Philip Roth (1933-2018) le Harvey Weinstein des Lettres américaines ? C’est à craindre et ce serait la pire des méprises. Cela abîmerait inutilement et abusivement le livre de Blake Bailey et son héros. Encore que le pire n’est jamais sûr. Ainsi vient-on d’apprendre que ce livre tant attendu par les lecteurs de Roth vient de voir sa commercialisation « suspendue« par son éditeur même, WW Norton. Pourquoi, grands dieux, alors qu’il vient à peine de paraitre, qu’il connait un succès public et critique mérité (ici et là) ? Parce que près d’un quart de siècle après, quatre anciennes élèves de Blake Bailey (1963) viennent soudainement de se rappeler qu’il aurait eu naguère des « comportements inappropriés » (la litote d’insinuation qui tue désormais) lorsqu’il enseignait à la Lusher Middle School (Nouvelle Orléans) par des allusions à leur sexualité, des blagues salaces, qu’il les aurait ainsi « préparées » à de futures liaisons avec lui lorsqu’elles deviendraient adultes (!) et qu’il les aurait par la suite harcelées et même, dans un cas, violée. Prudent et courageux, c’est à dire cédant à la tyrannie ambiante, son éditeur a donc décidé d’interrompre temporairement la vente de son livre, le temps, on peut le supposer, d’enquêter sur ces accusations. L’auteur incriminé a d’ores et déjà tout rejeté en bloc et en détail par la voix de son avocat; l’école en question a précisé qu’elle n’avait jamais reçu de plaintes de quiconque à l’époque et par la suite; quant à son agent littéraire (The Story Factory), sans l’ombre d’un doute, il vient de le virer. Finalement, contrairement à ce que l’aurait craint, Philip Roth s’en tire mieux que son biographe, pour l’instant.
En l’autorisant à fouiller dans ses archives (correspondance, manuscrits etc) et à interroger ses amis et relations, à condition de les laisser, lui ses ayant-droits, rectifier toute erreur factuelle le cas échéant, l’écrivain lui avait juste dit :
« Je ne veux pas que vous me réhabilitiez. Rendez moi intéressant, c’est tout ce que je vous demande ».
Puis il lui avait suggéré un titre : « La terrible ambiguïté du « je » ». Finalement, ce sera Philip Roth. A biography– ce qui est au fond une autre manière de dire la même chose. Ce pavé de 900 pages, qui parait le 8 avril à New York chez Norton et à Londres chez Jonathan Cape (en France fin 2022 dans une traduction de Josée Kamoun sous la direction éditoriale de Ran Halevi chez Gallimard) s’est voulu à l’image de l’œuvre dans ce que celle-ci peut comporter de provocateur, d’indécent, d’obscène dans l’exposition de la vie privée.
Il suffit d’avoir lu quelques uns de ses romans de Portnoy et son complexe (1969) au Théâtre de Sabbath (1997) parmi ses trente et un livres pour deviner sans même l’avoir jamais rencontré qu’il était aussi invivable que complexe, et que la vie avec lui devait être aussi enrichissante qu’épuisante. Déjà, le simple fait qu’il ait tenu obstinément à s’assurer le contrôle de la biographie qui lui serait un jour inévitablement consacrée donne une idée de sa volonté de tout maitriser de ce qui le concernait- et plus encore à titre posthume. Dans ses dernières années, alors qu’il avait définitivement renoncé à écrire et que sa libido l’avait abandonné, il avait auditionné plusieurs biographes réputés.
Avec ses amies Hermione Lee and Judith Thurman, ce fut bref car elles avaient elles-même décliné sa proposition. Finalement, Ross Miller, professeur d’anglais à l’université du Connecticut et neveu du dramaturge Arthur Miller, s’avéra le plus sérieux ; le chantier avança, leurs liens se resserrèrent à mesure des confidences jusqu’à se rompre lorsque Roth jugea les questions de son biographe vraiment trop intrusives, surtout lorsqu’elles tournaient autour de « toute ces putains de conneries de misogynie » ; de toute façon, Ross Miller lui-même en avait assez de l’interventionnisme de son sujet, instruit par l’expérience lorsqu’il avait assuré l’édition des Œuvres de Roth pour la Library of America et que Roth avait tenu à rédiger lui-même la chronologie commentée tout en la signant du nom de Miller. Leur amitié n’y survécut pas.
C’est alors que Blake Bailey (1963) fut approché en raison de la qualité reconnue de ses trois biographies d’écrivains déjà parues (John Cheever, Richard Yates, Charles Jackson). Dès l’entretien d’embauche, il comprit qu’avec un vivant il en serait autrement qu’avec des morts, surtout si le vivant en question est précédé par sa légende : un sondage le désignait alors comme « le plus grand romancier américain vivant » maintes fois lauré aux Etats-Unis et à l’étranger tout au long du dernier demi-siècle, pour avoir élevé l’obsession de soi au rang d’un des beaux-arts avec un génie, une énergie, une intelligence, une veine comique, une puissance créatrice inégalées ; mais la légende de l’écrivain n’allait pas sans la réputation de l’homme chez lequel le meilleur côtoyait le pire mais rarement l’un sans l’autre : d’un côté généreux, tendre, vulnérable, drôle, attentionné avec ses amis et sa famille, de l’autre cruel, pervers, égoïste, autodestructeur, manipulateur, déloyal, obsédé sexuel, incapable d’aimer sans blesser. Un artiste, quoi. La littérature n’est pas un concours de beauté morale, dit il. Certes… Peu lui importait d’être odieux lorsqu’il avait l’impression que c’était du temps perdu pour l’écriture
« Pourquoi un goy de l’Oklahoma écrirait-il l’histoire de ma vie ? » demanda donc Philip Roth à Blake Bailey lequel lui répondit aussitôt : « J’ai bien raconté celle de Cheever sans être moi-même un bisexuel alcoolique issu d’une famille puritaine. » C’était parti pour sept ans d’immersion dans le rothland ! Dire qu’il y a du cambrioleur en tout biographe évite de reconnaitre qu’il y a aussi du prédateur en lui. Et du psychanalyste, avec un cas comme Roth plus qu’avec tout autre.
Bailey, qui a poussé la sympathie jusqu’à l’empathie, a eu la chance que son héros meure trois ans avant la parution du livre. C’est à peine s’il s’est engagé dans l’examen critique de l’œuvre, ce qui est assez singulier pour une biographie littéraire. Il s’est contenté du minimum syndical : un résumé de l’intrigue et une synthèse de la réception critique. A croire que l’œuvre l’intéresse moins que l’homme. Et là, il excelle tant son enquête est riche, neuve, fourmillante de détails inconnus sur sa lutte avec ses démons, ses conflits intérieurs, les traumatismes nés de ces deux mariages et le sentiment d’avoir été piégé, son hystérie sexuelle, son inclinaison pour les femmes beaucoup plus jeunes que lui… Son ressentiment vis-à-vis de Claire Bloom, sa deuxième épouse, demeurait inentamée malgré le passage du temps. Un passé qui ne passe pas manifesté par une soif de vengeance inextinguible. Dans un document de 295 pages intitulé « Notes pour mon biographe », il réfutait mot à mot les mémoires de celle-ci, publication qui l’avait anéanti ; il fallut toute l’influence de ses amis pour l’empêcher de publier ce texte cruel et implacable.
Il n’y a que les Américains et les Anglais américanisés pour accorder du crédit à l’expression « biographie définitive ». Les autres savent qu’une vie d’écrivain ne l’est jamais, elle est tout le temps en perpétuelle expansion, surtout après la mort, tant qu’on trouvera des témoignages, des lettres et des archives inédites…. Sans attendre 2050, date à laquelle l’accès aux archives Roth sera libre, on sait déjà que les temps ont changé. On ne couche pas avec ses étudiantes, comme il l’a fait. Les femmes, le rapport aux femmes, l’obsession des femmes. Selon son biographe, on a beau sembler s’éloigner du sujet, tout y ramène, tous l’y ramènent. Les confidences, les anecdotes, les témoignages relatives à ses comportements vis-à-vis d’elles (épouses, maitresses, liaisons…) mis en regard du traitement des personnages féminins par le romancier dans son œuvre offre un tableau qui ne passe plus aujourd’hui comme il passait autrefois ; ce qui était controversé, critiqué, dénoncé aujourd’hui ferait hurler.
L’air du temps a changé. Son biographe reconnait « sa stupéfiante insistance » avec elles. N’empêche qu’à son chevet comme à son enterrement, elles n’étaient pas minoritaires si l’on en croit le défilé de ses ex et de ses admiratrices dont plusieurs écrivaines connues (Susan Sontag …). Il y avait interdit toute présence divine et toute prise de parole à l’exception de la lecture d’extraits de ses romans par des amis choisis afin que nulle autre voix que la sienne propre ne l’accompagne dans l’au-delà. Too much ? Disons plutôt Roth jusqu’à la fin- et même un peu plus.
(« Philip Roth » dessin de John Minnion, « Philip Roth chez lui » photo James Nachtwey)
1 512 Réponses pour Philip Roth ou la terrible ambiguïté du « je »
La théorie du nazisme se fonde sur une hiérarchisation de l’espèce humaine (les races) : qui place au sommet race aryenne, tandis que juifs, slaves, tziganes, ne sont que des Untermenschen. À l’origine il y eut la défaite de 18 causée par un complot orchestré par les Juifs, qui étaient perçus comme un sujet politique essentiellement défini par la race. Se rappeler que AH conçut le parti après avoir entendu parler d’esclavage par l’intérêt, ce qui dans l’imaginaire populaire, et non seulement allemand, renvoyait aux Juifs.
L’Homme Nouveau n’est qu’un élément décoratif pour attirer/attraper les pauvres d’esprit.
sommet race > sommet LA race
causée par un complo : ça c’est le fantasme d’AH, naturellement.
le vêtementen anglais ,et faux amis!
La langue du vêtement – hommes (1ère Partie)
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2021/04/pendant-un-championnat-de-tennis-de-wimbledon-et-pendant-quun-fran%C3%A7ais-et-un-%C3%A9cossais-bataillaient-pour-une-place-en-final.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29
Citation de Philip Roth sur Sport. Une citation au hasard ? >> En sport, tout demande de la détermination. Les trois D : Détermination, Disponibilité, Discipline .
le nazisme soit réductible à l’antisémitisme, Bloom.
—
Le nazisme a pour cœur l’antisémitisme. Pas le fascisme italien.
Tenté par le révisionnisme maintenant, Baroz? Allons!
« L’Homme Nouveau n’est qu’un élément décoratif pour attirer/attraper les pauvres d’esprit. »
»
pourquoi les « pauvres d’esprit » ? que vient faire l’esprit là dedans ? pourquoi pas aussi « l’art et la manière »… non : les pauvres tout court, la pauvreté suffit largement à expliquer la haine et la violence, pas besoin de mêler l’esprit à ces histoires.
le nazisme (comme toutes les révolutions) est juste né d’une situation où l’on a plongé une population dans la misère et l’humiliation.
c’est la misère et l’humiliation qui crée le ressentiment, la haine et la violence, et pas le nazisme.
le nazisme n’est pas premier il n’est que la conséquence à une situation donnée, le nazisme n’est pas au départ une action, mais une réaction, c’est un mouvement réactionnaire comme le sont toutes les révolutions.
Merci et alii.
Je pense que les femmes « s’écoutent » moins que les hommes. Contrairement à l’absurde théorie d’Elisabeth Badinter selon laquelle l’instinct maternel n’existe pas (il faudra qu’elle nous explique comment l’espèce humaine a pu survivre depuis le néolithique si les femmes ne s’intéressaient pas spontanément à leur progéniture comme tous les mammifères), les femmes se sentent tellement obligées de protéger leurs enfants et leur famille en général qu’elles n’acceptent d’aller à l’hôpital qu’en toute dernière extrémité. Bien entendu, il y a des exceptions comme à toutes les généralités sur l’humain.
Ceci dit, un autre fait n’est pas niable: l’espérance de vie des femmes est de 5 ans supérieure à celle des hommes. Cela a forcément à voir avec leur santé et leur résistance aux maladies.
d’où l’intérêt que portait Carl Schmitt à Saint Paul qui aussi voulait créer une révolution à partir d’un ressentiment, et d’où l’intérêt que portent les derniers des marxistes comme Badiou ou Agamben au même Saint Paul.
Tout de suite le révisionnisme, Bloom !
Il s’agissait d’élargir et non de réduire la responsabilité du nazisme et des nazis…
DHH, comment vous, une fille de la Méditerranée, peut-elle s’étonner qu’une mère donne la préférence à son fils plutôt qu’à sa fille ? Cela se trouve d’ailleurs plus ou moins partout, c’est une question de degré.
après la question est de savoir pourquoi les historiens, pourquoi l’Histoire a voulu faire du nazisme une espèce de création ex nihilo reposant sur les épaules d’un seul type : Hitler, et pourquoi ils ont tous essayé de gommer ces conditions qui ont donné naissance au nazisme, euphémiser le fait que la misère et l’humiliation soient les deux mamelles d’un ressentiment générant haine et violence aveugle ? pourquoi ?
3J, sachez que dès lors que vous publiez sur un blog, il n’y a plus de conversation privée. Nous avons tous le droit de demander des éclaircissements à tout le monde sur leurs messages par définition publics.
Je ne répondrai pas à vos insultes. J’ai pris la résolution d’être poli avec tout le monde…jusqu’à ce que je craque !
@jazzi
je pense qu’on n’a pas compris tout de suite à l’avenement d’Hitler que l’antisémitisme etait une composante fondamentale de l’objectif de pureté raciale autour duquel s’est construite l’ideologie nazie
Ainsi la a presse juive allemande des années post 33 se réjouissait du redressement économique en cours ,considerant l’antisemitism affiché par le parti au pouvoir comme une scorie regrettable, mais marginale et destinée à s’éliminer du fait de son incongruité
mais ce que l’antisemitisme doit au nazism ,c’est qu’il est devenu tabou « deshonoré par Hitler «
j’avais écouté une émission de Finkielkrault sur la Terreur, pareil : à les écouter on avait l’impression que le peuple s’était réveillé un beau matin en se disant « tiens pourquoi n’irait-on pas couper la tête des aristos ? » à aucun moment ils se sont posés la question du pourquoi de cette violence, comme si le fait que, comme rien ne pouvait justifier une telle violence, alors de fait il ne pouvait pas y avoir de causes. Confondre cause et justification de la part de types qui se prétendent des intellectuels ! raisonnement totalement hallucinant, mais aussi bien ancré dans la pensée libérale actuelle.
Evidemment si on parle du nazisme, du maoïsme, des révolutions en général, ça va être dur de rester calme !
sommet LA race
parfaitement:iln’y apas LA femme, il n’y a pas LA déconstruction, il n’y a que LA race,
et voilà pourquoi il n’y a pas de rapport sexuel!
« considerant l’antisemitism affiché par le parti au pouvoir comme une scorie regrettable, mais marginale et destinée à s’éliminer du fait de son incongruité »
Bien sûr DHH, c’était le cas de tous les commentateurs un peu partout. C’est ici que je peux placer ma théorie favorite. La personnalité de l’individu Hitler et elle seule, peut expliquer que tout le monde s’est trompé et que la Shoah a été possible en plein guerre.
JJJ
Beyle a créé Stendhal. L’identité ? On l’invente autant qu’elle est donnée….
« je pense qu’on n’a pas compris tout de suite à l’avenement d’Hitler que l’antisémitisme etait une composante fondamentale »
alors là rien n’est moins sûr pour une Europe qui repose sur 2000 ans d’antisémitisme.
et qui va ensuite largement, activement et de bon coeur participer à cet antisémitisme.
les allemands seuls n’auraient jamais pu exterminer 6 millions de juifs ! c’est juste pas possible et ça aussi c’est une évidence.
et là où je perds le fil c’est quand je lis une conversation très cultivée sur les détails de la tragédie grecque et ensuite passer à côté de trucs gros comme un éléphant.
« La personnalité de l’individu Hitler et elle seule, peut expliquer que tout le monde s’est trompé »
oui ça c’est la théorie officielle de ceux qui préfèrent se cacher derrière leur petit doigt et éviter de voir la réalité des choses :
« le nazisme c’est la faute à Hitler »
encore une suspension:
Loi sécurité globale : retrait d’un article problématique pour l’accès aux archives
https://actualitte.com/article/100010/politique-publique/loi-securite-globale-retrait-d-un-article-problematique-pour-l-acces-aux-archives
un livre dont je vous conseille la lecture :
« le réel et son double » de Clément Rosset.
Il s’agissait d’élargir et non de réduire la responsabilité du nazisme et des nazis…
—
Faudra m’expliquer comment tu élargis en mettant en question…Bref.
Je n’ai jamais parlé de « réduire à », mais de composante centrale du projet nazi. Centralité. Central. Pas totale. Tu sais lire?
Tu as lu Mein Kampf (disponible dans toutes les libraires d’Inde, avatars de la swastika oblige)? Très instructif, pour « élargir les responsabilités ».
@Christiane
merci de votre si aimable proposition
mais je viens de le demander a ma fille qui doit venir me voir cet apres-midi.
Si j’ai bien compris de qui a parlé Marie Sasseur nous formerions, vous Rose et moi un minable trio de vieilles megeres qui s’echinent, en s’en croyant capables, de poster sur des sujets qui les depassent ,alors que la pauvreté de leur culture et de leur intellect leur interdit de s’élever au-dessus du niveau d’une cour d’école
Pour rester à notre niveau ,celui de la cour d’école, on a envie de dire: »c’est celle qui le dit qui l’est
J’ai lu Mein Kampf, Bloom. Merci.
Il n’est pas question de nier la Shoah, au centre du dispositif, en effet. Mais de rajouter toutes les autres sortes d’ « impuretés » : les tziganes, les homos, les handicapés physiques et psychiques, les artistes décadents et ceux qui auraient suivis si Hitler avait gagné la guerre !
Mein Kampf justement ! le point de départ de Hitler c’est justement le traité de Versailles : il veut laver le peuple allemand de cette humiliation et le sortir de sa misère, lui redonner un espace « vital », il joue sur le ressentiment pour promouvoir une supériorité de la race.
et donc si on regarde de près ce bouquin : chaque argument repose sur ce ressentiment et ce désir de revanche !
de cette situation et ces présupposés naît le nazisme !
et si cette situation n’avait été bien réelle, si le peuple allemand n’avait pas été plongé dans la misère et l’humiliation ce bouquin personne ne l’aurait pris au sérieux, c’est tellement évident.
Puck, un livre vient de sortir sur le rôle de l’alcool sous la Révolution, par quelqu’un qui n’a rien d’un disciple de Joseph de Maistre ou de Bonald.
La Terreur a aussi beaucoup à voir avec l’ivrognerie de quelques milliers de parisiens enragés qui n’étaient en rien des damnés de la terre par rapport aux paysans notamment, mais des artisans, des ouvriers, qui haïssaient les aristocrates parce qu’ils les côtoyaient dans la ville. Les domestiques des aristos qui étaient mieux placés que quiconque pour se plaindre de leurs maîtres ne les ont pas trahis dans leur majorité, sauf sous la contrainte.
Quelle jouissance pour cette racaille avinée, jalouse et envieuse, de piller, violer, égorger les belles aristocrates !
Il y a un beau texte dont l’auteur m’échappe malheureusement qui décrit les révolutions comme des phénomènes qui font remonter des égouts la part la plus immonde de l’humanité. C’était à propos de Fouché, je crois. D’ailleurs, c’est le même Fouché qui justifiait d’avoir vider les prisons des criminels qui y étaient enfermés, par la nécessité de trouver des bras pour commettre les atrocités sans lesquelles il n’y a pas de révolution.
Pour le donneur de leçons de service et ineffable critique littéraire.
Pauvre d’esprit : personne qui n’est pas dotée d’une grande intelligence et s’en contente. Or, pour adhérer à une idéologie grossièrement bâtie comme le fut le nazisme il faut être pauvre d’esprit ou avoir des intérêts économiques suffisamment stimulants, ce qui semble incompréhensible à l’intelligence aiguë de notre ineffable critique littéraire.
Le terrible dans cette affaire rôz/emma (dans laquelle nous sommes pris à témoin quotidiennement et durablement façonnés par le fait que cette histoire nous renvoie peu ou prou à des trucs perso très profonds).. c’est de devoir nous réveiller, avec rôz, à ceci : emma, aussi reconnaissante soit-elle du combat de rôz pour accéder à son désir de fuir l’ehpad, fait découvrir à rôz qu’il y a quelque chose d’autre de sa nouvelle adaptation au monde qui lui échappait jusqu’à présent… Emma n’est pas ingrate, mais veut rester équitable vis à vis de ses trois enfants… Elle n’aurait jamais voulu s’aliéner l’un d’eux au détriment des autres… Du coup, elle se montre ambivalente et ne donne plus les gages attendus et espérés à rôz… Peut-être alors que la soeur et le frère (aussi « pourris » ou « vénaux » soient-ils au yeux de rôz et des nôtres) ne le sont-ils pas vraiment aux yeux d’emma… Et voilà que cette révélation, cette nouvelle lucidité longtemps niée, est en train de lui faire péter les plombs, à rôz… Elle en arrive à un carrefout psychologiquement et physiquement très douloureux de la conscience…, et comme par hasard, elle pète les plombs.
Nous autres (ceux qui pactisons avec le roman de rôz), nous y allons tous de nos conseils, car nous savons que rôz en a besoin, bien qu’elle n’en demande pas. C’est par ex. la compassion d’etalii (allez voir de bons médecins, ne restez pas seule !), celle de Jzmn ou RM (foutez le camp de ce merdier, laissez tout tomber, sinon vous y laisserez la peau – ne vous occupez plus que de vous et de vos enfants !), c’est l’attitude de celzéceux qui préfèrent prendre le parti d’en rire sous le masque de la douloureuse dérision (JJJ), ou qui entendent garder la tête froide ou la bonne distance avec l’histoire (Ch… / on n’a toujours eu qu’une version de l’histoire), et ceux qui suggèrent faire de ce riche matériau un témoignage romanesque à teneur sociologisante sur l’univers des ehpad en temps de pandémie (DHH), enfin il y a les insensibles et cyniques voire sadiques (SMS,…, qui dans leurs meilleurs moments suggèrent une tragi-comédie (SMS)… Et puis le reste de l’herdélie qui s’en b…, ou s’indiffère, peut-être et sans doute à juste titre, au nom du principe… : « à chacun sa merde, ne rajoutons pas d’huile sur le feu »…
POURTANT…, il se passe bien icite quelque chose d’unique dans les annales du commentarium… je trouve, pour ma part. Pourquoi ne pas au moins le remarquer, et csqmt, demander à Passoul, hein, s’il n’aurait pas conscience qu’il se passe bien quelque chose d’inédit et d’insolite sur sa chaine ?…, Quid ? hein, qu’en dites-vous, Passoul ? Avez bin une idée ? C’est icite et nulle part ailleurs que toussa se passe. Voui, raiment !…
Bàv tous.tes, – avec mes bises dominicales,
Main Kampf est un traité du ressentiment.
« pour adhérer à une idéologie grossièrement bâtie comme le fut le nazisme il faut être pauvre d’esprit »
renato : vous êtes capable de voir l’aspect ahurissant de cette phrase ? de voir tout seul ce qui cloche ?
ou bien vous voulez que je vous l’explique ?
sérieux il faut arrêter de vous raconter des fables, vous n’avez plus 6 ans !
Jamais dit le contraire, Baroz. C’est toi qui me de réductionniste, ne respectant pas la teneur de mes propos.
Ce n’est pas la première fois.
DHH, si Marie Sasseur pouvait exterminer tous les commentateurs et commentatrices qui lui déplaisent elle se retrouverait seule sur ce blog…
Le nazisme n’est pas « la faute à Hitler » Puck ! Personne ne dit cela, c’est un phénomène complexe. Ce qui est la faute de Hitler, c’est spécifiquement l’accomplissement de la Shoah, auquel le monde entier a eu du mal à croire tellement c’était monstrueux et irrationnel.
Quelle mauvaise foi…
« La Terreur a aussi beaucoup à voir avec l’ivrognerie de quelques milliers de parisiens enragés »
alors celle-là j’avoue que c’est la première fois qu’on me la fait.
merci closer ! maintenant que je sais que la Révolution française est née d’un abus d’alcool ça va changer ma perception du monde.
je vous adore !
« Ce qui est la faute de Hitler, c’est spécifiquement l’accomplissement de la Shoah »
Jazzi tu veux dire qu’il a tué 6 millions de personnes à lui tout seul ?
wow Hitler c’est Superman !
oupss pas Jazzi… désolé closer !
Maintenant, envers et contre tout, le Dexter nous explique comment fut construite l’idéologie du nazisme. Il y a de bon qu’aillant assez fréquenté le monde je reconnait au ¼ de tour les écrivains manqués.
faut dire que comme vous êtes tous formaté pareil j’ai un peu de mal à vous différencier.
Mais non, Bloom. Je voulais juste désenclaver Sade et souligner, une fois n’est pas coutume, la pertinence de Sollers…
Tu as une tendance à la suspicion systématique des propos de tes interlocuteurs qui altère généralement la pertinence de tes arguments. C’est dommage.
formatéS
« pour adhérer à une idéologie grossièrement bâtie comme le fut le nazisme il faut être pauvre d’esprit »
Heidegger, entre nombreux autres, renato !
Pas si simple…
non en fait c’est très simple, toutes les révolutions reposent sur le même principe que la cocote minute : on met sous pression un peuple en réduisant à la misère et l’humiliation et après ça vous pète à la tronche, suffit que le premier clown se pointe, même l’idéologie à la con la plus débile va fonctionner
la Révolution culturelle de Mao aussi c’est une idée à la con, elle a fait plus de morts que 2ème guerre mondiale (80 millions !)
toutes les révolutions, tous les génocides, toutes les catastrophes humaines reposent sur ce même principe de la revanche et du ressentiment.
Je comprends que d’autres se soient foutus de votre gueule, Dexter, car vous ne faites pas la différence entre prétexte et finalité. C’est sur ce stupide détail que vous glissez avec vos critiques (Flaubert, Roth) et qu’en lecteur attentif je me pose des questions relativement à votre compréhension de Pynchon.
Heidegger ce n’est qu’une tantine qui tricote, Jacques.
« votre compréhension de Pynchon » : cet auteur me repose, c’est le seul que je n’essaie pas de comprendre. contrairement à Roth, Sartre ou Camus il n’y a pas de « thème » ou de « thèse » à défendre chez Pynchon, juste de la littérature, incohérente comme le monde.
Cherry DHH, laissons de côté les coquilles vides. Je ne suis pas la seule à vous apprécier sur ces pages. Grâce au vous et à Gisèle j’ai relu Flaubert, grâce à vos introductions (Larousse),j’ai relu Iphigénie et Manon Lescaut. Grâce à M.Court, j’ai découvert Ginzburg, grâce à P.Edel et Passou tant de romans, grâce à A.Paoli le monde la poésie contemporaine sans oublier les recherches de Jazzi et Bloom et Joyce… et tant d’autres… Ce blog est un bonheur quand des lettrés modestes l’illuminent.
Chère
dans son émission Répliques, à chaque fois qu’il parle de victime du politiquement correct, Finky cite le début de la Tache de Roth.
par contre Finky n’a jamais cité Pynchon, c’est pour ça que j’aime bien Pynchon.
et le jour où Finky citera Pynchon comme il cite Kundera, Roth ou Camus, j’arrêterai de la lire.
Heidegger n’a pas fait qu’adhérer au nazisme, il a construit sa composante métaphysique, avec sa théorie de l’authenticité de l’être.
d’ailleurs il est intéressant de noter que les 3 piliers du nazisme : Hitler (politique, Schmitt (juridique) et Heidegger (métaphysique) sont tous 3 d’origine non pas protestante, mais catholique (!).
je ne pense pas que ce soit un hasard.
Non bien sûr, il ne s’agit pas de « tout ramener à Hitler », mais closer n’est pas loin d’un bouquin qui m’hallucine en ce moement de Ron Rosenbaum qui me trouble assez présentement (Pourquoi Hitler ? enquête sur l’origine du mal). Ce gars-là, un journaliste américain, me parait faire oeuvre utile, en essayant de démontrer comment la diabolisation d’Hitler a toujours été de mise (au moins implicitement) chez les historiens du nazisme pour « se rassurer » (Bullock, Goldhagen, Steiner, Trevor, Fackenheim ou Lanzmann, etc…). Certes il a oublié de citer Closer et Puck, mais le plus intéressant dans cette entreprise plutôt intelligente, c’est une fois de plus, de démontrer comment toutes les thèses sur « l’énigme Hitler » révèlent plus sur les auteurs des théories, que sur l’énigme du gars lui-même. IL n’y a pas d’énigme, on reste somme toute en présence d’un banal enfant qui s’est certes transformé en un criminel des plus sanglants de l’histoire humaine, mais peut-être pas plus, pas moins… Hein !
@ closer / « Je ne répondrai pas à vos insultes. J’ai pris la résolution d’être poli avec tout le monde…jusqu’à ce que je craque ! »
Je vous reconnais le droit à l’humour et à la politesse à mon égard… J’essaierai d’en être digne, mais j’aurai du mal, vu que je n’aime pas croiser le fer à la loyale avec vous… ! (commençons néanmoins par troquer le terme largement exagéré « d’insulte » par celui d’amicale « morsure » ou de « pique-tique » dans l’herbe !, ce sera déjà un grand pas de fait sur le pré (salé)… Bàv !
christiane dit: Chère
»
dommage je préférais « chérie ».
faut pas avoir honte : j’appelle souvent Jazzi « mon chéri ».
voilà ce qu’on aimerait lire sur le blog à passou :
« christiane dit: DHH, je ne suis pas la seule à vous apprécier ma chérie. »
vous allez mourir, alors laissez donc s’exprimer librement vos sentiments !
Sade n’est pas nazi, outre l’anachronisme de base.
Staline n ‘était pas nazi
Pol Pot n’était pas nazi
Idi Amin Dada n’était pas nazi.
Les héritiers du nazisme sont les dictateurs arabes et les islamistes.
3J : « un journaliste américain, me parait faire oeuvre utile, en essayant de démontrer comment la diabolisation d’Hitler a toujours été de mise (au moins implicitement) chez les historiens du nazisme pour « se rassurer »
»
ben oui !!! c’est tellement évident !
cela tient à cette immaturité humaine, des humains qui préfèrent s’inventer des fables qui ne tiennent pas debout plutôt que regarder la réalité en face.
parce que si on part du principe que c’est, non pas Hitler, mais la misère et l’humiliation qui déclenchent la violence aveugle, alors cela nous replonge illico dans notre actualité, et du coup ça faut les pétoches.
parce qu’on se dit si des million de types qui n’ont plus rien à perdre sont capables de suivre le premier clown venu cela devient une vérité intemporel et anhistorique, et d’un coup cela ne concerne plus l’histoire passée, mais l’histoire présente !
et c’est ce refus de regarder l’histoire présente qui poussent à dire des conneries du genre : nazisme = Hitler, parce qu’on se dit comme Hitler est mort alors c’est fini, ben non ce n’est pas fini parce que ces même mécanismes qui créée un Hitler continuent d’être valides.
vous me suivez ?
Pardonnez-moi Puck mais j’ai eu entre les mains ce livre de Rosenbaum, et, contrairement à d’autres travaux de journalistes, c’est le triomphe du désordre et du n’importe quoi, quand les propos sont sources, et ils ne le sont guère. C’est le pb de l’autre homme qui a énormément lu, mais ne sait pas organiser son propos. Sur les origines du nazisme, voyez Goodrich-Clarke, Les Racines Occultes du Nazisme, fine étude du problème depuis l’ avant 1914. Beaucoup d’âneries ayant été dites sur l’ Homme Nouveau, consulter le catalogue de l’ exposition québécoise jamais montrée en France, l’ Homme Nouveau, qui montre en quelle direction sont enrégimentés les arts sous le IIi eme Reich dès avant la guerre. L’ homme nouveau est ideologiquement le contraire de Paul puisqu’il postule la régénération liée à l’ expulsion( le projet Madagascar) puis à l’ extermination des peuples juifs et slaves. Il ne concerne pas le Monde, mais seulement l’ Allemagne. Sur Hitler fines analyses dans Delpla et Longrich, et pas seulement eux. Mais dans le Ron chose, je m’ excuse, c’est tout et n’importe quoi. Besogne de tâcheron recopiant des rapports declassifies de provenance et de valeurs très diverses sans interrogation sur leur validité. Toutes les polices du monde ont ce type de rapports, mais là, on sature. Bien à vous. MC
la lettre de Lacan :
https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2017/12/01/lacan-pas-rapport.png?width=207&height=196&width_format=pixel&height_format=pixel
Pb de l’homme ( l’autre est une correction intempestive d’une machine intrusive!)
Eh bien, Puck, je préfère « chère » et de vous nos échanges sur Musil ou Sorrentino. Bonne journée.
MC je pense Schmitt et Paul se retrouve dans l’idée de « katechon ». Dans la lettre aux thessaloniciens on peut lire (chap2) : « Maintenant vous savez ce qui le retient, de sorte qu’il ne se révélera qu’au temps fixé pour lui. Car le mystère d’iniquité est déjà à l’œuvre ; il suffit que soit écarté celui qui le retient à présent ». Le katechon c’est ce qui retient (le mal), et en retenant empêche de faire advenir la fin du monde, c’est une recette « anti-apocalyptique ». Il ne faut pas prendre à la légère la théologie politique de Paul, Schmitt ne l’a pas prise à la légère, le juriste du nazisme a écrit : « la foi en une force qui retient la fin du monde jette le seul pont qui mène de la paralysie eschatologique de tout devenir humain jusqu’à une puissance historique aussi imposante que celle de l’Empire chrétien des rois germaniques. » C’est important de comprendre le sens d’une telle phrase, Schmitt avait en tête (comme Paul) la mise en place d’un régime d’exception et l’unification d’un peuple autour d’une idée qui était celle de combattre le mal et d’empêcher d’advenir la fin du monde. Les notions de « monde », de « fin du monde » et de « mal » changent évidemment selon le point de vue où l’on se place : pour nous le nazisme représente le mal, mais il faut avoir à l’esprit que pour les nazis ce sont les autres qui représentaient le mal, un mal venant mettre fin à leur monde, Heidegger le dit dans son entretien au Spiegel, il le dit à sa manière, mais il le dit. Mais on se fout de ce que les mots signifient dans l’aboslu l’important est de bien comprendre comment chacun les emploie et le sens qu’ils donnent à ces mots quand ils les emploient. Quoi de mieux donc que la foi pour faire en sorte que l’histoire ne soit pas entièrement remise entre les mains de la Providence : c’est bien le programme du nazisme tel que l’a écrit dans le marbre Carl Schmitt, qui je le rappelle est mort de vieillesse dans son lit, comme d’autres théoriciens du nazisme.
Bloom, au sens large du terme, on trouve des nazis partout, même en Israël.
nazi \na.zi\ masculin (pour une femme on dit : nazie)
1/ (Histoire) Membre du parti nazi d’Adolf Hitler.
À la faveur de la Deuxième Guerre mondiale et pour instaurer leur « ordre nouveau », les nazis ont cherché à exterminer tous les Juifs d’Europe.
2/ (Par extension) (Péjoratif) (Politique) Adepte de l’extrême droite.
Ce mec est un nazi de première.
Sur l’analyse du processus de maturation qui a conduuit ungrande partie de la classe intellectuelle allemande a faire sienne l’ideologie nazie , un travail tres fouillé ,solide, et tres documenté notamment a partir d’archives allemandes: Le livre de Christian Ingrao, issu de sa these : CROIRE ET DETRUIRE
avec pour sous-titre : Les intellectuels dans la machine de guerre SS
Evidemment, Dexter, ce n’est pas AH qui a mis en évidence la question de l’esclavage par l’intérêt, mais Gottfried Feder, reste le fait que AH l’a employé, que lui a suggéré l’idée du parti. Et il ne faudrait pas croire que c’est fini, même Céline l’avait compris, il eut en effet à dire [interview d’Arbasino] « Vous aurez des esclaves plus fidèles avec les ventes à tempérament … Du reste, il suffit de regarder tous ceux de chez Renault : ils dorment par terre, ils ne mangent pas, mais ils ont tous une voiture… »
Sur l’analyse du processus de maturation qui a conduuit ungrande partie de la classe intellectuelle allemande a faire sienne l’ideologie nazie , un travail tres fouillé ,solide, et tres documenté notamment a partir d’archives allemandes: Le livre de Christian Ingrao, issu de sa these : CROIRE ET DETRUIRE
»
il y a aussi le livre de J Chapoutot (comprendre le nazisme) qui dit la même chose.
Ingrao et Chapoutot sont 2 jeunes historiens d’une quarantaine d’année, ils inaugurent une nouvelle façon de penser.
Dans la lettre aux thessaloniciens on peut lire (chap2) : lettre 2 chap 9.
Ingrao et Chapoutot sont 2 jeunes historiens d’une quarantaine d’année, ils inaugurent une nouvelle façon de penser : on a voulu faire d’une nazisme une pensée de brutes imbéciles décérébrés (toujours dans le but de ses rassurer), ces deux historiens démontrent tout le contraire.
@Puck
effectivement ils traitent avec les mêmes conclusions de la même question
mais ne puisant pas a des sources toutes identiques, ils sont plus complementaires que redondants
tous deux montrent a quel point l souvenir de la défaite de 18 puis de l’humiliation du traité de Versailles ont pesé lourd dans les itineraires idéologiques d’une génération
« tous deux montrent a quel point l souvenir de la défaite de 18 puis de l’humiliation du traité de Versailles ont pesé lourd dans les itineraires idéologiques d’une génération »
»
ben voilà ! suffit d’ajouter la misère économique en plus de l’humiliation et avec un peu de bonne volonté on va finir par tous être d’accord.
comme quoi ça sert à rien de s’énerver et m’insulter (je le dis pas pour vous DHH je sais que vous restez toujours très courtoises mêmes dans les situations les plus tendues).
ah si seulement nous pouvions cheminer ensemble dans le même sens avec Flaubert, Camus, Proust et Roth ce lieu redeviendrait le paradis qu’il fut naguère.
@ MC / Pardonnez-moi Puck mais j’ai eu entre les mains ce livre de Rosenbaum /…
Pardonnez moi MC, c’est moi JJJ qui ai mis Rosenbaum sur le tapis, pas ce pauvre puck, accablé de toutes parts à cause de sa grande gueule. Une fois encore, vous avez ce livre entre les mains (entoilé-google ?), certes…, mais vous ne l’avez pas lu, sauf survolé le sommaire qui n’a pas votre eu l’agrément de vous complaire), mais surtout, qu’est-ce que ça nous prouve au justhein ?… Un autre survol rapide de sa biblio, tout ce que vous trouvez à en dire, c’est « du grand n’importe quoi », vu que vous n’u avez pas trouvé cités vos petits copains Delpla et Goodrich-Clarke(!)… Wouah, la belle affaire !
Je me demande de + en + souvent si vous êtes un tant soit peu honnête avec vous-même, quand vous vous mettez à légiférer de la sorte, sans avoir lu ce dont vous prétendez parler… que ce soit en musique et peinture mondiale sur les cinq derniers siècles, en littératures du 17e, en philosophie analytique du 20e, en histoire de la morale théâtrale du 18e, en littérature russe du 19e sur laquelle rien ne vous réchappe.
Donnez-nous donc votre fiche de lecture sur ce book… de qui déjà ? ce Ron machin-baum… de quoi ? un juif (bonjour l’objectivité, quoi !) un non historien journaliste (bonjour le collègue titré !), un américain (un yankee qui ose venir nous parler de notre nazisme Européen !)…
Ben voyons donc…, tout pour vous plaire à la rdl en somme… ! Exit le fantôme, le réel et son doub’ dont nous avait naguère abreuvé et soulé l’wgw et dont l’puck a décidé de prendre le relais aujourd’hui…
Décidément, « Rossée » à toutes les sauces clémentes pou les tambouilles vermoulues, hein ! Pas un seul icite ne se remettra jamais en question, ne doutera un brin de son maladif complexe de supériorité… Persistons !
Bàv quand même,
Et le bon docteur Destouches qui, avant de devenir l’écrivain Céline, pratiquait la médecine auprès des pauvres banlieusards au n°36 de la rue d’Alsace à Clichy, savait de quoi il parlait, renato.
christiane dit: à
Eh bien, Puck, je préfère « chère » et de vous nos échanges sur Musil ou Sorrentino. Bonne journée.
»
ah ma chérie si vous saviez comme moi aussi je regrette ce temps de l’insouciance.
oupss : « ah ma chérie » : ma chère bien bien sûr.
« ce lieu redeviendrait le paradis qu’il fut naguère. »
La RDL, un paradis !
Quand, quoi, comment, avec qui ?
comme ça, au débotté, j’aurais dit : le culte de la force, la revendication de l’inégalité, le darwinisme social, le refus de l’impératif catégorique kantien et même de la simple « règle d’or », le culte de la nature dans la mesure où elle est vue comme modèle des principes cités (triomphe du plus fort, sélection naturelle) et haine des religions « contre nature » (protection des faibles notamment).
C’est aussi, dans son fonctionnement, une distorsion du langage (pour euphémiser, naturaliser, dé-réaliser, rendre acceptable, etc.)
L’eugénisme n’est pas né en Allemagne et il a été pratiqué dans des pays qui ne font pas horreur à grand monde.
Un des plus beaux titres de la littérature française : « Mort à crédit » !
Janssen J-J dit: (…) pas ce pauvre puck, accablé de toutes parts à cause de sa grande gueule. »
»
merci 3j de le reconnaitre.
juste un truc sans vouloir abuser de votre gentillesse : si vous pouviez juste inverser les deux propositions qui entourent le mot « cause » svp ?
Bloom, au sens large du terme, on trouve des nazis partout, même en Israël.
—
On parle d’histoire, pas de langage familier banalisant, trivialisant une réalité historique.
Des Juifs nazis, sauf à être antisémites, ça n’existe pas. Des juifs facistes, fascisants, racistes, etc, oui, ça existe. Hélas.
Tu connais des pédés homophobes?
Cherche pas la petite bête, Baroz, ton acharnement commence à être un peu suspect.
On n’emploie pas les termes nazi/antisémite etc. à tort et à travers quand il sont prédicats de sujets spécifiques. Ce sont des mots et des réalités très lourds de sens.
Ton acharnement m’est un tantinet suspect, et ce n’est pas la première fois…
Pas fiable, comme gus.
@et alii
l’article que vous citez est amusant.
je n’avais jamais rencontre le mot « singlet « jusqu’à ce que je je tombe dessus et je le comprenne dans « les habits neufs du président Mao »:
Un « wallonisme » de Simon Leys ?
Etonnant que l’article cité désigne ce vêtement en français de France par le désuet « maillot de corps » qui ne parle pas à grand monde, dont on ne sais pas s’il a des manches ou pas , alors qu’ici son nom courant est Marcel
@Si j’ai bien compris de qui a parlé Marie Sasseur nous formerions, vous Rose et moi un minable trio de vieilles megeres qui s’echinent, en s’en croyant capables, de poster sur des sujets qui les depassent.
Right deachach. Et j’ajoute que my mother, en comparaison, va scandaleusement bien. lol
M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, a effectué une visite officielle en Inde du 13 au 15 avril 2021 afin de renforcer les liens stratégiques entre la France et l’Inde, de dynamiser la coopération dans plusieurs domaines, notamment l’Indopacifique, et de participer au Raisina Dialogue.
—
En pleine explosion de la pandémie en Inde, le ministre des AE se rend en Inde.
Est-ce bien raisonnable?
sur la « haine des religions » il faut voir dans les premiers discours d’Hitler comme celui de 1922 à Munich (sûr qu’après il change de discours, mais il y a peut-être là quelque chose d’originel) :
« En tant que chrétien, mon sentiment me désigne mon Seigneur et mon Sauveur comme un combattant. Il m’indique l’homme qui autrefois dans la solitude, entouré de quelques disciples, a reconnu ces juifs pour ce qu’ils étaient, et sommé les hommes de se battre contre eux, et qui, vérité de Dieu !, était le plus grand, pas en tant que souffrant, mais comme combattant. Dans un amour sans limite en tant que chrétien et en tant qu’homme, je lis dans le passage qui nous dit comment enfin le seigneur s’est levé dans Sa puissance et s’est emparé du fouet pour chasser du Temple l’engeance de vipères et de calculateurs. Comme il était terrible, Son combat pour le monde contre le poison juif ! Aujourd’hui, deux mille ans plus tard, c’est avec la plus grande émotion que je reconnais plus profondément que jamais auparavant que c’était pour cela qu’Il a dû verser son sang sur la Croix. En tant que chrétien, je n’ai pas le droit de me laisser berner, mais j’ai le devoir d’être un combattant pour la vérité et la justice. […] Et s’il est une chose qui pourrait montrer que nous faisons bien, c’est la détresse qui grandit chaque jour. Car en tant que chrétien, j’ai aussi un devoir envers mon peuple. »
« Tu connais des pédés homophobes ? »
Bien sûr, Bloom. Et ce sont les pires !
20 ans plus tard (qui prouve qu’il était sacrément timbré) :
« Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l’humanité fut l’avènement du christianisme. Le bolchevisme est un enfant illégitime du christianisme. Tous deux sont des inventions du Juif. C’est par le christianisme que le mensonge délibéré en matière de religion a été introduit dans le monde. Le bolchevisme pratique un mensonge de même nature quand il prétend apporter la liberté aux hommes, alors qu’en réalité il ne veut faire d’eux que des esclaves. Dans le monde antique, les relations entre les hommes et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C’était un monde éclairé par l’idée de tolérance. Le christianisme fut la première croyance dans le monde à exterminer ses adversaires au nom de l’amour. Sa marque est l’intolérance. »
« Encore une anecdote assez amusante qui remonte à cette triste époque où l’on ne s’amusait guère, avant de me rasseoir.
Dans la soirée qui suivit ma confrontation avec la police, quand, à la hâte et fort sagement, je quittai Prague pour rentrer chez moi, la police vint chercher Ivan chez lui et, une fois de plus, on l’interrogea pendant des heures.
Sauf que, cette fois, ils ne passèrent pas la nuit à le mettre en garde contre ses activités clandestines séditieuses, ou celles d’Helena et de leur bande de dissidents et de perturbateurs de la paix totalitaire. Au lieu de cela – changement un peu rafraîchissant pour Ivan –, ils l’interrogèrent sur mes visites annuelles à Prague.
Comme Ivan devait me le raconter par la suite dans une lettre, il ne leur fit qu’une seule réponse, toujours la même, à la question qu’ils lui posèrent pendant toute la nuit que dura cet interrogatoire sur les raisons de ma venue à Prague chaque année au printemps.
« Vous ne lisez donc pas ses livres ? », demanda Ivan aux policiers. Comme on pouvait s’y attendre, cette question les rendit fort perplexes, mais Ivan s’empressa de les éclairer. « C’est pour les filles qu’il vient ! » »
Ph. Roth
Un bel exemple historique d’homo homophobe, J.E. Hoover, Bloom.
Qui de surcroît, n’hésitait pas à employer d’anciens nazis !
https://www.franceinter.fr/livre/les-anciens-nazis-engages-par-la-cia-et-le-fbi
Tu veux des noms de Juifs nazis aussi ?
DHH JE CROYAIS même qu’on disait en français « tricot de corps « , ou « tricot de peau »-c’est d’ailleurs sur internet-;mais ce n’est quand même pareil que le « marcel », un mot que j’aime bien( j’en ai, du mot! un plaisir ridicule que je ne m’explique que par la littérature;comme mot avec cet emploi, je ne l’ai découvert qu’assez tard!et je ne connaissais pas singlet; je n’ai pas eu la chance d’une de mes condisciples qui après le bac a travaillé au printemps où j’allais la retrouver à la cantine à l’heure de sa pause, parce que je travaillais non loin !)
bonne journée
Yeshayahou Leibowitz était-il un gus fiable ?
Qui de surcroît, n’hésitait pas à employer d’anciens nazis !
C’était la chasse aux cerveaux. Pour aller sur la lune…
x, oui, définifivement oui, même s’il fut « scandaleux »;j’ai connu un jeune poète,israélien et homo, aujourd’hui prof de fac en israel, qui suivit son séminaire , un psy aussi, ;il était aussi savant qu’il avait l’esprit ouvert!
Tu veux des noms de Juifs nazis aussi ?
—
Yesterday’s news pour les nazis employés par les US, ou les pays arabes (Alois Bruner).
Sans les V2 & Werner Von Braun, pas de Thomas Pesquet aujourd’hui.
Allons jusqu’au bout de l’abjection, sors ton fichier. Combien de divisions, les juifs « nazis »?
@Puck
le discours que vous citéz rejoint ce qui se disait sur le blog a propos de l’interet porté par Hitler au spectacle d’Oberammergau
Sans les V2 & Werner Von Braun, pas de Thomas Pesquet aujourd’hui.
C’est ce qu’on appelle une nécessité historique.
Go bloomie, go, tu es le plus fort.
et alii, c’était une question rhétorique, dans le cadre de la conversation préalable sur le blogue.
« catholiques », simplement pour rebondir, ne généralisons pas
— le chaînon manquant dans le prolongement de Nietzsche sur le thème du ressentiment (pour réduire toute critique à l’envie et à la haine impuissante) : Max Scheler, et son ouvrage L’Homme du ressentiment
— relevé ceci, mais je n’en conclus rien car je suppose que c’était un lapsus sous les doigts de M. Charoulet :
« Ne serait-ce qu’en France, au XVIe s. , uns foule de protestants ont tué des catholiques au nom de Dieu. Et une foule de protestants ont tué des catholiques »
L’intention devait être de renvoyer dos à dos les deux partis, mais les huguenots apparaissent une fois de trop en posture de coupables.
Et je dirais même plus tu as l’étoffe d’un zéro.
3J dit :
La PENSEE d’Alain Joubert, Pat V. par contraste, franchement !… Doit-elle être vraiment saluée ?… Etes-vous bien sûr de sa disparition avant-hier ? Aucune trace sur la toile. Fake new, maybe ?
Alain Joubert est un critique littéraire, poète et historien critique du surréalisme. Il ne prône pas une « pensée » structurée comme vous l’écrivez.
Mais Onfray, lui, a une pensée structurée peur-être?
Vous avez un drôle de sens de l’humour.
x, un bon mot de Leibowitz , sur « le mur » (des lamentations) le « diskotel »;
on pourrait espérer que G.Haddad, lorque son groupe sera lancé, raconte ses souvenirs du séminaire de Y.L .il faut les lui – faire -demander!
Aucune trace sur la toile. Fake new, maybe ?
Allez consulter le site de En attendant Nadeau et leur fb. Il y est largement mentionné le décès de Alain Joubert avec aussi la mention d’élaborer un numéro spécial à son propos.
Seriez vous ignorant et en plus d’en être fier?
Il existe un terme pour qualifier ce genre de mentalité.
à 3J, mon dernier message.
Dr Lecter et son usage abusif du stratagème éculé de l’épouvantail.
Ça lasse.
@ 3J.
Il est sûr que d’avoir rencontré Alain Joubert fut une agréable surprise et un évènement des plus enrichissant. Un connaisseur exceptionnel du mouvement surréaliste jusqu’à ses derniers retranchements. Ami très proche de Radovan Isvic et d’Annie Lebrun il était aussi très proche de Maurice Nadeau et de Anne Sarraute.
Soirée inoubliable en province avec le biographe d’Augiéras ( et pigiste du Magazine Lirréraire ), un ami sculpteur et notre hôte compositeur et musicien.
Avant tout, répondre à Puck qu’il y a un phénomène d’attraction-repulsion entre le Nazisme et l’Eglise qui ne joue que sur le plan de l’organisation perçue comme rivale, et co,ndamnée dans l’Allemagne nouvelle à disparaitre.
Pour le reste, il est des travaux journalistiques tout à fait estimables et qui ont le mérite de faire avancer la question. L’Ahnenerbe il y a quelques années, sur les possibles liens entre drogue et offensive des Ardennes, plus récemment.
Mais ce sont des livres organisés, pourvus au mieux d’un index. Le très bordelique auteur que vous citez, et que j’ai parcouru, ne vous déplaise en, librairie, ne sait absoliument pas organiser son propos , attaque un point , se perd en digressions filandreuses, revient à son sjet, y patauge assez lamentablemenbt pendnt que le lecteur se dit « alors, il accouche de quelque chose de nouveau, ou pas? » Et force est de constater qu’il n’y a pa grand chose sur l’épisode Raubal, pour ne citer que lui.
Ce qu’il y a de pire, c’est qu’il n’y a aucune delimitation entre le propos du journal et les « documents » qu’il résume. On ne peut donc pas s’en servi historiquement, puisque les originaux ne sont pas produits, et qu’on vogue d’un bout à l’autre dans le résumé du résumé.
Nicolas Goodrich-Clarke a quitté ce monde bien precocement. Je ne suis pas sans quelques réserves sur son travail, mais,, aprés celui de René Alleau dont il prend le contrepied, c’est aussi un vrai travail. François Delpla est encore pami nous. S’il m’arrive de suivre sa production, je n’ai été et ne suis l’ami ni de l’un ni de l’autre. Je lis les fonctionalistes et les autres. Si je ne les ai pas tous lus, c’est que je n’ai pas le temps de tout lire, ayant d’autres sujets sur le feu, comme dirait Jeanne ou plutot Cauchon
Cordialement, cette divergence d’opinion étant ici expliquée, et désolé pour cette méprise sur l’identité.
MC
le propos du journaliste
Pour les coquilles. Comme on dit en Espagne « Excusez les fautes de l’auteur! »
« L’ivresse de la Révolution »
Michel Craplet
Editions Grasset Février 2021
Le livre auquel je faisais allusion plus haut. Je n’ai évidemment jamais dit ni pensé que l’alcoolisme avait été la cause de la Révolution française comme le prétend puck.
» Ni idéologue, ni naïf, Michel Craplet ne prétend pas expliquer la riche chronologie de la Révolution française par un déterminisme réducteur. La consommation d’alcool, qui n’est jamais la cause, est cependant très souvent en cause. » (extrait de la présentation de l’éditeur).
Palestrina :
Renato, vous savez semer ici et là des musiques enchantées.
Qu’elle harmonie céleste dans ce chœur. Merci pour la beauté.
@ MC/ « désolé pour cette méprise sur l’identité ». Vos coquilles ne me gênent pas, (sauf dans les billets de Passoul)… Non. Le gênant, c’est votre peristance à vous adresser à Puck, et ça devient carrément insultant pour nous deux.
. et dans le feuilleté rapide d’une librairie, vous parvenez à enregistrer toussa à propos d’un bouquin de 650 pages ? – Bravo… moi non j’y arrive pas… Pourriez vous nous révéler votre technique d’entrainement, j’aimerais bien en bénéficier, même si c’est sans doute un peu tard, désormais.
@ PV / je suis allé chez EAN mais ignore ce qu’est le fb (il n’est pas encore dans ma liste de sigles). Résultat, en tombant sur un papier de votre ami dédié à mon ami Onfray, j’ai été onfrayé de la suffisance du propos… Je ne voulais pas vous blesser, bien entendu, et ne doute pas de votre hommage ému… et au magazine Lirréraire. Vous avez dû connaître de charmantes soirées mondaines, excusez-moi d’en admirer le magnifique assortiment, je vous en félicite…
Anéfé, il m’arrive d’affecter une mentalité d’ignorant sur une immense étendue des savoirs au monde, et non point de m’en sentir fier, juste d’en convenir tout simplement. Parfois, souvent même, pas toujours… Je viens apprendre beaucoup ici auprès de mes erdéliens et m’accommode volontiers de leur snobisme… J’ai du mal à les convaincre de découvrir quelque chose… C’est le pb des intellectuels, ils n’ont jamais rien lu, mais ont entendu parler de tout… d’Alain Joubert notamment, c’est une faute morale gravissime de n’avoir point connu ce génie, je veux bien en convenir (un historien spécialiste de la critique du surréalisme ! rien que ça ! Quelle faute de goût de l’avoir ignoré)…
Dites-moi, svp, quel mot vous mettriez sur cette attitude, autre que « vanité »,… merci de votre aide, car non, je ne vois pas trop… Soyez franc et direct, ne persiflez pas, nous respectons tous votre peinture, icite, et vous le savez, cher Pat V. A bientôt, espéréje…
Lors d’une naissance ou de festivités royales, il y avoit bien des fontaines de vin. L’alcool peut aider à soulever une foule, a priori du coté de celui qui régale, mais il ne peut pas rendre compte de tout. Cela dit, c’est un facteur attesté par quelques documents.A Lyon notamment, et à Paris. Apres, il s’agit de recits de prisonniers. Prison de Lyon d’un coté, et me semble-t-il pour Paris temoignage entre autres de Scevole Cazotte, le fils du Diable Amoureux.Maislà c’est longtemps après les faits. A voir de près donc.
2H pour voir sur amorlibrum le minisalon internet qui remplace celui du livre ancien. Allez-y!
MC
@Lors d’une naissance ou de festivités royales, il y avoit bien des fontaines de vin
Les noces de Cana … Ne croyons pas trop aux miracles ; les cafés, bistrots, estaminets, tout ce qui fait bon vivre, resteront fermés … des fois que ces lieux de débauche donnent l’idée de se pencher sur ce qui fonde la république et la manière en sont bafoués tous les principes, chaque jour un peu plus …
oui Palestrina, c’est beau. En général. Pas toujours, il faut être un brin conditionné. Je me souviens avoir déposé une rose sur son tombeau devant son buste dans une église à Venise, mais ne me souviens plus de laquelle il s’agissait… (à moins que je confuse avec Monteverdi… ahrrr)
La mémoire… Le chant céleste, la plénitude, le choral. Christiane B et Renato M, parfois on vous prendrait pour de vrais amis à nous déposer ainsi des liens auxquels on n’aurait pas pensé spontanément. Ça nous rassérène un brin, après les coups de griffes défensifs tjs regrettables. Merci –
Je pense que Bloom a quand même raisi, Jazzi, si on prend cette definition de Wikipedia :
Le national-socialisme (en allemand Nationalsozialismus), plus couramment désigné en français sous l’abréviation nazisme, est l’idéologie politique du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), parti politique d’extrême droite fondé en Allemagne en 1920 et dirigé par Adolf Hitler[1],[2],[3],[4]. Cette idéologie théorise une hiérarchie au sein d’une espèce humaine divisée en « races », au sommet de laquelle elle place la « race aryenne », les races les plus détestées, juifs, slaves, tziganes, formant la classe des sous-hommes, les Untermenschen. Le nazisme est le seul type de fascisme incorporant à la fois racisme biologique et antisémitisme[5]. Par extension, le terme nazisme désigne le régime politique inspiré de cette idéologie, dictature totalitaire et expansionniste dirigée par Hitler de 1933 à 1945 et connue sous les noms de Troisième Reich ou d’Allemagne nazie.
raison
@ Si je ne les ai pas tous lus, c’est que je n’ai pas le temps de tout lire, ayant d’autres sujets sur le feu, comme dirait Jeanne ou plutot Cauchon
Nous avons peine à le croire, MC… – Quant à la touche d’humour finale, on sent un léger progrès. Un jour viendra où vous réussirez à vous moquer de vous-même, tout seul et sans aucune aide.
A ce moment là, le jacques se DERRIDerA, hein !
JJJ « Ai cru lire : moi je niquais… avec une amie »
en fait, il est vrai qu’elle fut ma petite amie, aussi, et qu’elle reste une grande amie, mais niquer « entre deux cours » horresco referens!
En effet, en ce temps là, EBadinter niait l’instinct maternel…je pensais et je pense toujours que beaucoup de cet « instinct » tient du comportement culturel -sauf aux premières heures, mais dès que le morpion devient un être culturel, eh bien, n’est-ce pas…assez vite, je considère que leurs rapports le deviennent. (Je vais me faire écharper, mais je compte sur le fait que bcp ici ne me lisent pas: je passerai ainsi entre les gougouttes)
@ D. -> insinueriez-vous que Bloom aurait copié collé wiki pour rembarrer Jazm ?… ah ça, c vraiment moche, comme insinuation. Hein ! Vous allez entamer notre capital de sympathie collective.
@ l’acoustique de ce morceau de Palestrina est vraiment parfaite, oui !… Magnifique, quais saoulante… Ourgh, j’allais oublier l’heure du martini dry RM, ça va décupler… (Tchinz à tous.tes : on est le dimanche soir, et demain, école pour tous les gosses !) !
JJJ, à propos de rose, « il se passe bien icite quelque chose d’unique dans les annales du commentarium… »
c’est vrai, un décalage de ton, une prise à témoin, une drôle d’histoire qui nous sommerait de prendre parti, qui nous ramène à nos histoires, ou pas, qui fait un peu mal, ou pas; je ne vous rien des atrides, moi, mais du triste et du dangereux, de la manip. et du chantage, du conflit brassé tous les matins et des boucs émissaires, et, misère! je fuis!
Janssen J-J, c’était la tombe de Monteverdi à Venise, dans la Basilique di Santa Maria Gloriosa dei Frari, Chapelle des Lombards :
Adieu Milva, talentueuse chanteuse italienne, sosie flamboyant de Rita Hayworth …
je ne vois rien des atrides
scusi
Je ne connais pas non plus de juif nazi, c’est très spécieux comme « débat » et je me range côté Bloom.
Eichmann est un cas, ils sont sûrement quelques uns, mais, comme dit Bloom, combien de divisions?
N’ayez crainte, Jibé, je vous soutiendrai… ON LIT TOUT ICI, ET TOUT LE MONDE, (moi en tous cas), sauf TXFL (sinon on serait des monstres – du moinsss en très grande partie, -car ses gougouttes sont vraiment très très grosses-, et qu’on sait en général se diriger par soi-même sur les sites + ou – pornographiques où l’on n’a nullement besoin de son aide pour les copier, les coller et les rapatrier), hein !
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P.S. le tombeau de Palestrina est dans la basilique de Saint Pierre au Vatican.
DHH et Christiane, se faire traiter de mégère par la teigne est un must absolu.
Vous apportez bcp à l’ensemble de ce blog, bien plus que les ponctuations agressives, vulgaires et mauvaises de l’ôtre.
Janssen J-J dit: à
« N’ayez crainte, Jibé, je vous soutiendrai »
droit au coeur, vous m’allez!
Vous avez dû connaître de charmantes soirées mondaines,
Vous n’êtes pas drôle comme d’habitude triglycéride 3 j. Je fréquente toute sorte de gens et jamais les soirées mondaines, plutôt les peintres ennoyés dans l’Ariège ou le Tarn profond même si on y trouve des endroits qui se nomment Saint Germain des Prés!
Je vous conseille la lecture du dernier livre de Denis Montebello au Temps qu’il fait, son Fossile directeur.Il est de par chez vous et n’est pas mondain.
Ce n’est pas le tout de nous parler de poireaux et de carottes, l’intéressant est de savoir ce que l’on en fait.
Vous, vous faites véritablement montre d’un ton mondain et de haute administration qui s’épanche à la campagne. Ce n’est pas très drôle à lire et ça sent l’herbe artificielle.
Fréquenter et avoir de la sympathie pour quelqu’un ce n’est pas forcément acquiescer à tout ce qu’il écrit.
JJJ, Quelle ombrageuse susceptibilité ! Je m’adresse à Puck pour les trois premières lignes. Pour le reste, je lis suffisamment pour pouvoir repérer les manques de methode, et ici ils sont criants. Bon, maintenant qu’on a fait suffisamment de publicité à la chose, les lecteurs jugeront. Bien à vous et à vous seul, puisque vous l’exigez. ( A quand le duel sur le pré ?). MC
@c’est très spécieux comme « débat »
En effet, au point que de débat il n’y a pas, le monde se divise en deux catégories : le nazi d’aujourd’hui c’est l’islamisme politique qui s’oppose au sionisme politique et vice-versa – double pléonasme ; go get me a double Pernod entend on sur la bande magnétique d’un live du Velvet Underground (@The Matrix?)
(« politique » en un sens qui se limite au « calcul »)
bonne soirée:
ps://www.academia.edu/22372799/Surmonter_le_sommeil_espérer_contre_toute_attente_Un_homme_qui_dort_et_l_exploration_des_lieux_de_l_indifférence
Triple jelly et puck et cie, c’est du pareil au même.
JJJ
Quand vous évoquez mes propos j’aimerais que vous utilisiez des guillemets et que vous n’inventiez pas des paroles que je n’ai pas dites. Ce que vous rapportez je l’ai écrit à propos de clopine, pas de Rose.
Vous passez votre temps de façon imprécise et souvent erronée à évoquer en les déformant les propos des uns et des autres. Par ailleurs, ces « coups de griffes » que vous évoquez sont aussi de votre fait
Vous n’êtes pas un saint au-dessus des batailles mais souvent un bavard impénitent qui aggrave les conflits plus que de les résoudre en voulant être drôle….
(@The Matrix?
nope: at Max’s Kansas City)
@ le tombeau de Palestrina est dans la basilique de Saint Pierre au Vatican.
et voilà, et je le savais… et je l’ai salué aussi à Rome…!
Ça m’énerve, mais ça m’énerve de me faire ainsi retoquer comme un vulgaire paltoquet à mon âge… Cela dit, j’ai quand même pas rêvé /// le buste de Monteverdi du coup… hein, j’avais même fait un selfie avec lui, comme touriste moyen, un peu honteusement, bin sûr, je dois dire, car évidemment, c’était interdit…///
https://www.alamyimages.fr/photo-image-monteverdi-buste-par-l-gravea-de-claudio-monteverdi-1567-1743-compositeur-italien-d-operas-et-madrigaux-qui-s-installe-a-venise-en-1613-et-a-ete-directeur-de-la-musique-a-la-basilique-de-san-marco-dans-une-chapelle-de-l-eglise-des-frari-la-basilica-di-santa-maria-gloriosa-dei-frari-venise-une-eglise-franciscaine-construite-1338-101544841.html
«Conformément à la demande du président de la République, le gouvernement présentera fin mai en Conseil des ministres un projet de loi pour combler le vide juridique apparu dans l’affaire Sarah Halimi», a annoncé Eric Dupond-Moretti sur Twitter. Le ministre de la Justice s’est vu remettre en février un rapport sur l’irresponsabilité pénale, commandé un an plus tôt par sa prédécesseure Nicole Belloubet, afin de savoir si le droit actuel nécessitait d’être modifié. Selon un communiqué de la chancellerie, les conclusions des rapporteurs Philippe Houillon (LR) et Dominique Raimbourg (PS) «retenaient qu’il n’était pas nécessaire de modifier l’article 122-1 du code pénal sur l’irresponsabilité». Cet article prévoit que «n’est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes».
La loi ne fait toutefois pas de distinction selon l’origine du trouble mental qui a fait perdre à l’auteur la conscience de ses actes.
«Or le juge ne peut distinguer là où le législateur a choisi de ne pas distinguer», soulignait la Cour de cassation dans son arrêt dans l’affaire Sarah Halimi, renvoyant la balle au législateur. »
Ramenons les choses à leur justes proportions. Sur la RDL la machine s’emballe toujours très vite et les insultes fusent le plus souvent en place d’arguments.
Quand Sollers qualifie, par dérision, Sade de « nazi primordial », c’est bien entendu au sens large qu’il faut l’entendre, pas au sens historique. Et c’est à propos du commentaire ci-dessous que j’intervenais auprès de Bloom.
« Marc LAUDELOUT dit: à
Il serait temps d’arrêter de porter des jugements moraux sur les écrivains alors que seule l’appréciation littéraire compte. Sollers, sur ce point, a bien raison lorsqu’il passe en revue ces écrivains que l’on peut détester pour des raisons extra littéraires :
« Gide, le pédophile Nobel ; Genet, le pédé ami des terroristes ; Henry Miller, le misogyne sénile ; Georges Bataille, l’extatique à tendance fasciste ; Antonin Artaud, l’antisocial frénétique ; Jean-Paul Sartre, le bénisseur des goulags ; Louis Aragon, le faux hétérosexuel chantre du KGB ; Ezra Pound, le traître à sa patrie mussolinien chinois ; Hemingway, le machiste tueur d’animaux ; William Faulkner, le négrier alcoolique ; Nabokov, l’aristocrate papillonaire pédophile ; Voltaire, le hideux sourire de la raison dénigreur de la Bible et du Coran, totalitaire en puissance ; le marquis de Sade, le nazi primordial ; Dostoïevski, l’épileptique nationaliste ; Flaubert, le vieux garçon haïssant le peuple ; Baudelaire, le syphilitique lesbien ; Marcel Proust, l’inverti juif intégré ; Drieu La Rochelle, le dandy hitlérien ; Morand, l’ambassadeur collabo ; Shakespeare, l’antisémite de Venise ; Balzac, enfin, le réactionnaire fanatique du trône et de l’autel » »
Ensuite, quand Bloom affirme qu’il ne saurait y avoir de Juifs antisémites, ni de pédés homophobes, j’ai voulu nuancer ses propos. Qui parle de légions !
J’ai cité l’exemple d’un homo homophobe, incontestable, me semble-t-il.
Un Juif nazi ?
Peut-être Maurice Sachs, mystérieusement disparu sans laisser de traces…
En tout cas je m’associe à la communauté juive pour dénoncer le jugement rendu par la cour de cassation concernant l’assasinat de Gisèle Halimi.
Non, pas vraiment Maurice Sachs, lui c’est le traitre perpétuel, il fut constamment tout et son contraire. Proprement inclassable !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Sachs
Mais j’insinue rien du tout, JJJ.
C’est vous qui insinuez que j’insinue de telles choses. Et je n’hésiterai pas à dire qu’une telle insinuation est odieuse.
Un assassin, convaincu d’antisémitisme, condamné à 20 ans. La qualification pénale proprement dite vous importe-t-elle plus que l’exploitation politique que vous imaginez de retirer de ce sinistre fait divers, D ? C’est d’une decision rendue au nom du peuple français et parfaitement fondée dont il se pourrait qu’elle soit mise en accusation devant les tribunaux israéliens …
Suce & Ptibilités Ombres à Jeuzes… Décidément tout le monde s’innerve ce soir…
@ Ch. / Pardon d’avoir extrapolé, voilà vos exacts propos remis entre guillemets : « Renato, vous savez semer ici et là des musiques enchantées.Qu’elle (sic) harmonie céleste dans ce chœur. Merci pour la beauté ».
… Je voulais juste dire à tous les deux que la beauté de Palestrina mis en ligne m’avait touché aussi. Point barre, pour le reste ça n’appartient qu’à moi.
@ MC, merci de vous adresser enfin à moi seul, icite. Il parait que toute prise de position publique peut être soumise à questionnements par les autres morveux. Or, non, je ne le crois pas, surtout quand ça vient de closer !
@ PV: « d’un ton mondain et de haute administration qui s’épanche à la campagne. Ce n’est pas très drôle à lire et ça sent l’herbe artificielle ».
C’est drôle, ça, en revanche…, mais qu’y puis-je si vous persistez à vous fourvoyer à mon édgard, en vous bouchant un brin le nez avec du persil étoilé avec de tels poncifs aussi éculés ?
@ SMS, une fois de + -… convergence temporaire de points de point de vue avec un erdelien agaçant, ne signifie nullement identité du bonhomme derrière deux pseudos…
Seriez-vous vraiment niaiseuse ou conasse ou toquarde ou nuisible ou mal en votre teigne de lait, à ce point de votre évolution névrotique ?
@ Jibé, ne vous acoquinez pas trop avec moi, ça va bintôt vous retomber sur le coin de la gueule… si vous saviez à quel point sont les gens, hein !… une susceptibilité à fleurdepo… Ch. surtout, veut faire accroire qu’elle serait pas la sainte-nitouche que l’on croit, alors qu’elle est inkurab’… Mais je l’aime bien quand même, car elle sait effacer ses coups de griffes mortels… Comme si j’avais insinué ne pas en être l’auteur de ces coups de griffe s’attendant aux contre attaques… Je crois qu’elle n’a jamais vraiment compris ce qui se passait sur la rdl, et pourtant elle parait toujours de si bonne volonté… « comme en 40 » !… Hein !
Bon j’arrête là le massacre. ça suffit, j’ai ma dose, et vous avez vos preuves ! Recopiez les bien, moi je les aurai très vite oubliées.
Bàv,…
je suis allé chez EAN mais ignore ce qu’est le fb (il n’est pas encore dans ma liste de sigles).
Ou c’est de la naïveté ou vous êtes un peu demeuré 3J.
Ici même, Pierre Assouline à son site et un compte fb, c’est-à-dire facebook ( lien en haut à droite de cette page).
Eh bien, En attendant Nadeau fait de même.
@ le jugement rendu par la cour de cassation
C’est un arrêt, D., pas un jugement. Il peut être contre attaqué, le cas échéant, et revenir toutes en audience, toutes chambres réunies…
Bon, je dois aller ouvrir mes huitres du dimanche soir, sur ma pelouse naturelle, la nuit n’est pas encore tombée.
Bonne soirée à tous.tes !
Et oui je suis un peu demeuré, donc, fb = face book ?, mon arrière petit-neveu, 12 ans, m’avait raconté que ça n’existait plus, que c’était remplacé par wath.sape ou que sais-je ?… Mais qui dois-je croire, à la fin ?
Duconnard, oui, tu es tous ceux ceux-là à la fois.
Je te l’ai écrit, il n’y a plus que ta mère qui ne te reconnait plus.
@convergence temporaire de points de point de vue avec un erdelien agaçant, ne signifie nullement identité du bonhomme derrière deux pseudos…
Le même harceleur, aux invectives ordurières.
J’en ai la preuve. Depuis plus de 10 ans.
@vanina qui, si mon souvenir est bon, avait parlé de Pizzi Cannella :
https://pbs.twimg.com/media/Ez0DjpcXoAAh0WN?format=jpg&name=medium
MC dit: JJJ, Quelle ombrageuse susceptibilité ! Je m’adresse à Puck pour les trois premières lignes.
»
MC effectivement, je n’ai pas voulu vous faire remarquer que dans votre réponse de 37 lignes seulement 3 m’étaient adressées, surtout n’y voyez là aucune susceptibilité de ma part, mais il me semble que j’aurais mérité.. disons… 5 lignes de plus ! disons 3, 3 ou 4.
Janssen J-J dit: Et oui je suis un peu demeuré, donc, fb = face book ?
»
« demeuré » n’est pas le qualificatif que j’emploierais, sans doute parce que je suis plus bienveillant vis à vis de vous que vous l’êtes vous-même vis à vis de vous-même.
Cela dit il faut se tenir informer de toutes ces nouvelles technologies sinon vous êtes déconnecté du monde !
Par exemple si vous ne savez pas que pour les consoles de jeu Nitendo des premières générations, quand vous perdiez vos 3 vies à Mario Bros vous étiez obligé de revenir au début du jeu même si vous aviez atteint le 3è ou le dernier niveau ! ce qui serait impensable aujourd’hui où quand vous perdez vos 3 vies vous revenez juste au début du niveau, et ben ça a traumatisé toute une génération de gamins qui avaient entre 8 et 12 ans au milieu des années 90, et ben si vous ne savez pas ça vous ne comprendrez jamais le comportement de ces individus qui ont aujourd’hui entre 35 et 40 ans !!!
je veux dire 3j si un type de 37 ans vous semble avoir un comportement étrange ou manquer de politesse c’est probablement parce qu’il a été, à l’époque où il avait 10 ans, traumatisé par sa Nitendo.
Vous comprenez bien qu’on ne peut pas vivre normalement dans le monde d’aujourd’hui en ignorant ce genre de chose, c’est juste pas possible !
Jean Langoncet, j’accepte de répondre à vos questions à condition que vous les formuliez dans un Français clair. Pour l’instant je n’ai pas compris grand chose.
Salut connarD, c’est un débat de juristes. Vous et moi en sommes exemptés. On suivra néanmoins avec attention les suites internationales données à cette affaire.
de juristes > entre juristes
« traumatisé par sa Nitendo. »
D’un traumatisme l’autre.
Aujourd’hui, j’ai croisé une jeune femme et son adorable bébé, dans sa poussette, qui ouvrait de grands yeux sur le monde alentour.
Je lui ai dit : « Il n’est pas bien vieux ! »
« Quatre mois », m’a-t-elle répondu.
« Un vrai enfant du covid, il va être traumatisé quand on enlèvera tous nos masques », ai-je répliqué en riant.
« Oui, c’est un peu triste », a-t-elle rajouté.
« Oh, on s’adapte à tout », ai-je cru bon de préciser.
« Oui mais c’est quand même triste », a-t-elle insisté.
J’ai relu quelques passages de l’autobiographie de Ph. Roth, et j’ai enfin compris cette forme d’inquisition a laquelle il a dû se plier, et qui ne venaient pas des » Gentils « .
Le « biographe » de Ph Roth a fait un job de paparazzi.
Avec la seconde épouse de Ph. Roth , Claire Bloom, il maintient le suspens.
Le coup des deux manuscrits de Roth, en réponse au bouquin » a charge » de Mrs Roth, dont l’un dans un coffre-fort, est un appât pour lecteur de voici-gala. Rubrique divorce des stars.
En revanche ce » biographe » n’aura pas pu dire grand-chose sur la first lady ( Josie-Maggie).
Ph. Roth s’en est chargé lui-même…
Et au bout de cette féroce lucidité, cette reconnaissance , elle aura été comme il l’écrit » sa pire ennemie, mais hélas , elle a été aussi la meilleure de tous les professeurs d’écriture créative que j’aie jamais eus, spécialiste par excellence de l’art de l’extrême en matière de fiction »
Et il conclut ainsi :
» Lecteur, je l’ai épousée »
Magistral, le prof.
(Un truc de centralien parti pour les isles à sucre : quand on aime on a toujours 20 ans)
centralien parti pour les isles à sucr
Antoine ?
et les élucubrations
J’ai aussi le plaisir de vous annoncer l’arrivée d’un bébé Covid, dans la famille, elle a 2 mois, et sourit à la vie.
Merci Jean. J’ai compris maintenant.
Voilà. Quelle que soit la qualification juridique, il s’agit d’un assassin, convaincu d’antisémitisme, condamné à 20 ans, au nom du peuple français.
C’est ce que bous affirmez. J’ai bien compris.
Depuis quand les bébés naissent à deux mois ?
Depuis qu’ils sont pénalement responsables, c’est à dire viables.
Puck qui dit à MC qui avait dit à JJJ : « Quelle ombrageuse susceptibilité ! Je m’adresse à Puck pour les trois premières lignes.»
Puck donc dit à MC : « MC effectivement, je n’ai pas voulu vous faire remarquer que dans votre réponse de 37 lignes seulement 3 m’étaient adressées, surtout n’y voyez là aucune susceptibilité de ma part, mais il me semble que j’aurais mérité.. disons… 5 lignes de plus ! disons 3, 3 ou 4 ».
Irrésistible !
Dites-moi, Jean, vous avez fait des études ?
PV, merci de vous être rendu vers chez moi, je ne connaissais point ce compatriote Montebello, c très sympa pour lui… Je me tâte… Vous savez, moi, les poètes rochelais recommandés par les erdéliens, j’en prends et dois en laisser pas mal. http://www.letempsquilfait.com/Pages/Pages%20livres/Page%20nouv.665.html
Puis-je vous conseiller un authentique poète alsacien du cru en retour, c’est une connaissance avec qui j’ai eu l’honneur de dîner un soir, en compagnie d’une sculptrice et d’un spécialiste de l’oeuvre d’Hyvernaud et de Forton, une inoubliable soirée au Bollenberg au milieu du célèbre vignoble…
Dites moi si vous êtes a priori intéressé par la découverte de ce poète. Sinon, laissez tomber… Je pourrais fort bien vous comprendre.
Christiane, c’est extraordinaire, je pensais à vous à l’instant. Je pense qu’il s’agit de ce que l’on nomme un phénomène de synchronicité.
Casse-toi, Janssen. Rhaaaah.
Durant mes quelques heures passées en couveuse, mais pourquoi cette question, D ?
Moi je n’en ai pas fait du tout.
Et pourtant cela ne m’a pas empêché de devenir l’un des plus brillants commentateurs de ce blog. C’est merveilleux.
Et pourtant vous vivez.
l’arrivée d’un bébé Covid, dans la famille,
@ SMS, Mais félicitations, vous nous aviez caché que vous étiez enceinte durant tout ce temps !…, cache aux tiers… J’espère que la maman se porte bien, j’avais constaté une baisse de régime ces derniers temps et cela me questionnait pas mal… Mais vu sa dernière réaction, je vois que tout est redevenu normal. Ouf !
Non, Ch., je ne suis pas le père de la petite Zoé, deux mois déjà, hélas !…
Un débat de sages-femmes est une contradiction dans les termes qu’il dirait Mr. Synthétique
Ce qui s’est passé aux Buttes-Chaumont montre que l’on ne peut plus guère contenir la jeunesse disons « ordinaire » (car il en existe toujours une autre, plus forte et vertueuse, minoritaire).
Bon.
Il faut donc vacciner et vacciner tout le monde. Donnant-donnant. Obligatoire.
Tous les ans, tout le monde, avec un cocktail antigénique intégrant les variants connus.
Il faudrait que avant la canicule nous soyons vaccinés, vous l’êtes, D?
Depuis quand les bébés naissent à deux mois ?
Même Vénus n’a pas osé! Et pourtant sur le tableau, quand elle sort de sa coquille elle est si belle avec ses long cheveux blond-venitien tout piquetés de pâquerettes. Elle aurait pu mais non, les bébés sont ponctuels.
D, régulée moi un livre indispensable intelligible et passionnant, je dispose bientôt de quelque temps libre de travail. Le plaisir à lire sur la plage quand les autres ne sont pas encore arrivés avec leurs bouées, leurs portables, leur téléviseur portatif, leur barbecues pliants. S’il y avait des oiseaux de mer il serait possible de les entendre.
Refilez, pour régulez.
alors , fb c’est la même chose que twitt’vitesse ?
Ji comprends rien…
C pas grave, puck, si vous saviez comme je suis déconnecté, surtout des play station, c le pb (ou la solution) quand on n’a pas de mômes à soi ! Pas à s’emm… avec toutes ces conneries… genre les poussettes de michel serres, etc…
Tiens au fait, bonne journée à Edgar Morin… je sais pas s’il a un compte touitère, puck !
Pour ma part, j’ai arrêté de faire socio de la jeunesse, je fais socio de la vieillesse, un marché porteur avec lequel je reste encore osmotique.Je sais vivre avec montant, yves !
(Casse-toi-tupu, D., tu nous les brises comme brillant commutateur hors couveuse, hein !)…
J’ai reçu une 1ère injection d’Astra-Zeneca qui ne trouvait pas preneur. Je m’en rejouis et considère qu’il s’agit aussi d’un geste civique.
C’était pour rigoler, JJJ. Restez.
ah B.?, – c’est maintenant que vous nous apparaissez, telle la Vénus réveillée de sa coquille, à 11h20 du soir ? Des conseils de lecture à D. ?… Vous êtes vraiment cruelle !
Demandez-moi plutôt, g ce kil vou fo.
(Je me couche, demain il y a visioconf. à 9 h, et faut y être, hein !)…
Moi je ne jure que par Georges Duhamel, Bérénice. Relisez toute la chronique des Pasquier. En plus il y a un peu de médical, de labo, ça devrait vous plaire.
Ou alors du Maupassant.
Maus laissez tomber tout ce qui sort en ce moment, vous seriez déçue.
closer dit: à
« L’ivresse de la Révolution »
Michel Craplet
Citation du livre, dans le compte-rendu de Frédéric Pagès pour le Canard enchaîné (« Le jour de boire est arrivé ») :
« les acteurs de la Révolution n’étaient pas de la ‘canaille’ recrutée au cabaret mais des petits-bourgeois désinhibés par quelques verres ». [Acteurs des « journées » de 1792, « les sans-culottes étaient des petits commerçants et des artisans venus avec leurs salariés ».
J’avais pensé à un aspect complémentaire, confirmé : « Au sommet de l’État, le vin faisait d’autres dégâts: Louis XVI, gros mangeur et surtout gros buveur, y compris en solitaire, n’avait plus une vision claire des événements. Quand le roi boit, le royaume trinque. » (F. Pagès)
Puis évocation prévisible de Mirabeau tonneau et Danton, mais j’ai appris ceci :
« Raflées dans les caves des riches, les bonnes bouteilles furent une arme efficace pour désarmer pacifiquement les soldats du roi, en particulier les Gardes suisses, censés protéger les Tuileries, groggys après quelques amicales tournées. » (F.Pagès)
Ce qui m’a rappelé L’Enlèvement au sérail et la neutralisation d’Osmin :
https://www.youtube.com/watch?v=Fg2JIfYfMcw
(pas beaucoup de vidéos disponibles)
Voilà, grâce à Christiane, je viens de relire Pierre Michon; en reposant son essai, je mets la main sur sa biographie de Rimbaud -Rimbaud le Fils. Je commence et n’en sors plus pendant deux heures, madame Rimbaud la mother est là, à faire du ramdam dans le crâne de son fils. Excellent moment de lecture.
Faire un tour ici est dégrisant, cependant. Ca tire dans tous les coins, ce soir.
Anyway la soirée est belle et ça sent l’herbe coupée, je le dédie à ceux qui aiment vivre!
Cheers!
Tiens, moi aussi j’ai visioconf demain; et comme dit si bien Mara Goyet, soit tu tombes sur erreur 503, ou pire encore erreur 404
La joie des sites dédiés.
Une biographie qui plaira à Renato, s’il ne sait pas déjà tout de cet hérétique
https://www.albin-michel.fr/ouvrages/giordano-bruno-9782226458285
Ph. Roth en Jane Eyre, il devait penser que sa femme serait aveugle…
https://victorianweb.org/authors/bronte/cbronte/janeeyre/38.html
@encore erreur 404
La joie des sites dédiés.
Ne vous privez pas de lire cette décision numérotée 404, ni à tout ce qu’elle renvoie, en visio ou non ; bon petit soldat de la république
Jibe, Martin? Vous adoptez un ste qui y fait fortement penser. La mère, le père, la soeur, tous sont responsables de la vie du poète, me semble-t-il, personne n’a encore songé à psychanalyse l’évangile selon Arthur, c’est surprenant..
ni à tout > ni de vous reporter à tout
Pour ceux qui prendraient le petit train électrique en marche : Arrêt n°404 du 14 avril 2021
B, essayez si l’occasion se présente Giordano Bruno et la Tradition hermétique de Frances Yates.
Tout Yates est à lire, ou peu s’en faut.Pas de déchet chez cette très grande Dame qui savait à la fois voir et comprendre.
Jean Langoncet dit: à
Voilà. Quelle que soit la qualification juridique, il s’agit d’un assassin, convaincu d’antisémitisme, condamné à 20 ans, au nom du peuple français.
D. dit: à
C’est ce que bous affirmez. J’ai bien compris.
D. dit: à
Depuis quand les bébés naissent à deux mois ?
Jean Langoncet dit: à
Depuis qu’ils sont pénalement responsables, c’est à dire viables.
La maison mère a quelque idée à ce sujet …on patientera
https://www.youtube.com/watch?v=SN1ACh8lzHg
la lampe merveilleuse tenait dans un verre aux bords vermicelle (le buvant)
https://larepubliquedeslivres.com/wp-content/uploads/2021/04/HARPERS_0321_74_01.png
Langoncet écrit :
« Voilà. Quelle que soit la qualification juridique, il s’agit d’un assassin, convaincu d’antisémitisme, condamné à 20 ans, au nom du peuple français. »
Voilà une opinion qui dénote une méconnaissance absolue de ce qu’est la justice.
Sans parler de cette perversion qui consiste à faire d’un criminel la victime.
Bonjour.
Ai dormi, deux nuits d’affilée.
Déménagé mais encore 6 jours ds l’ancienne maison, reste la cuisine.
Goûté le velouté poireau-pommes de terre de DHH, ds mini bols chinois, à l’apéro, glacé. Mise en bouche.
Ma fille m’a dit :
« je n’ai jamais rien mangé d’aussi bon ».❤❤❤❤❤❤❤
J’le dois à DHH.
Puis mini carrés pizza maison.
Escalopes veau pané. Qui a tété sa mère.
Patates au four, thym et échalottes.
Éton mess, sans coulis faute de temps.
Ai dit à ma maman coeur fragile.
M’a répondu « faut calmer les émotions. »
Lui ai dit que un chat c’était mieux qu’un mari. M’a répondu « non, quand même un mari c’est mieux qu’un chat ».
Vais lui offrir un chat lorsqu’elle rentrera chez elle.
À la Martinique, mon père avait pris son chat qu’elle avait à la maison et avait été le perdre loin dans l’île.
M’a dit « lui en ai voulu ».
« Il n’était pas d’accord ».
Un espèce de Léopold II au Congo belge.
C’matin, grand ménage, aidée par Auria.
C’t aprem, psy.clinicienne.
A propos de F. Yates, lu « Pas de déchet chez cette très grande Dame qui savait à la fois voir et comprendre. »
Peut-être préciser , pour bien comprendre: Dans son domaine de compétence , au vu de la teneur de ses travaux d’historienne: L’histoire de l’occultisme, alchimie, ésotérisme, dans la Renaissance italienne.
Ce qui limite la focale.
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