A qui ne se bat pas dans la nuit Roland ne parle pas
M. Boyer ne se refuse rien. Après saint Augustin et Shakespeare, le voilà qui s’attaque à un autre monument. Mieux : un socle de notre patrimoine littéraire, le premier roman national, la source de nos imaginaires, le pilier sur lequel s’appuyèrent tant de textes : la première épopée, rédigée en français conservée de notre Moyen-Age, du plus célèbre chevalier de l’histoire de France, le soldat inconnu princeps, excusez du peu. Et comme précédemment, il commence par se réapproprier le titre, histoire d’imprimer sa marque, ce qui permet d’identifier « sa » version d’un coup d’œil. Aussi, de même qu’il avait fait des Confessions, Les Aveux, et de Richard II, la Tragédie du roi Richard II (mais l’intitulation des Sonnets lui avait résisté et s’était maintenue par son évidence), l’épopée de Roland à Roncevaux devient-elle Rappeler Roland (388 pages, 20 euros, POL), fascinant triptyque littéraire, historique et poétique dans lequel Chanson de Roland (oublié, tout de même, l’article) s’avance en majesté sous ses habits neufs, mais encadré d’un poème de son cru dans une langue splendide et un essai sur les résonances du grand texte médiéval dans nos imaginaires.
Il y a à la source même de ce projet une volonté de renouveler les formes qui force l’admiration s’agissant d’une œuvre aussi connue. Ainsi le traducteur se fait-il réinventeur d’un chef d’œuvre du début du XIIème siècle (Frédéric Boyer s’en est expliqué ici-même). Il aurait pu se contenter de restituer en français contemporain la langue du manuscrit dit d’Oxford, dans le respect de l’ordre des laisses et des vers, mais dans un constant souci de transposition du rythme du décasyllabe épique (le texte en compte 4000). Ce n’était pas assez ; il lui en fallait davantage ; c’est aussi que Frédéric Boyer vit la moindre histoire comme un sport de combat. Echanger, écrire, traduire, toute en relève d’une manière ou d’une autre. La mémoire de la langue française en est le théâtre intime et archaïque. D’ailleurs, il le reconnaît dès les premières pages de son monologue-vision : « A qui ne se bat pas dans la nuit Roland ne parle pas ». Il est de ceux que la défaite n’abat pas dès lors qu’ils connurent le bonheur du combat ; c’est peu dire que sa violence le fascine : elle l’envoûte et l’hypnotise.
De quoi s’agit-il au fond ? De guerres, de combats, d’honneur. Dans la troisième partie, l’auteur se livre à une manière d’ego-histoire justifiant qu’il ait jeté son dévolu sur ce héros. On y apprend que, fils de soldat de la Coloniale qui fit l’Indochine, il eut une adolescence rythmée par « Tu n’as pas connu la guerre, toi ! ». A ce leitmotiv aux accents de reproche, il opposera un autre qui scande la chanson de Roland : « La bataille est merveilleuse et totale ». Depuis, il ne cesse de se demander pourquoi l’art de chanter l’affrontement a disparu. Par le verbe oral ou écrit, qui ose encore célébrer les batailles ? Qu’importe au fond puisque, nostalgique de combats qu’il n’a pas livrés, c’est à ce père-soldat qu’il dédie discrètement ce triptyque, ce père qu’il sert secrètement dans chacun des sourds combats qu’il mène à chacun de ses livres. Il paie sa dette.
Pas sûr que de telles chansons de bataille, dont le but caché peut être de nous délivrer de la peur de l’Autre, nous aident encore à surmonter nos peurs. Il y faut davantage que le texte nu. Peut-être ce tempérament extra-lucide qui permet à Frédéric Boyer d’être convaincu de la dimension chamanique de la geste médiévale : « La mort de Roland reste l’événement de notre invention du passé qui résonne comme un trauma toujours actif » écrit-il avant de replacer l’affaire Roland dans le lointain écho d’un déni des alliances hérité de la défaite (778) de l’arrière-garde de Charlemagne au col de Cize, et d’une trahison, celle de Ganelon, beau-frère de Charlemagne et beau-père de Roland.
« Alors Roland sent que la mort l’étreint/ Que de la tête dans le cœur elle descend/ Dessous un pin est allé en courant / Sur l’herbe verte se coucher sur le ventre/ Glisser sous lui l’épée et l’olifant/ Tourne sa tête vers la foule païenne / Et il l’a fait parce qu’il veut vraiment/ Que Charles dise avec chacun des siens/ Le noble comte est mort en conquérant/ Avoue ses fautes doucement et souvent/ Pour ses péchés il offre à Dieu son gant » (133)
L’auteur de Rappeler Roland veut voir dans la célébration de cet échec une tentative de nos défaites à venir. Mais naguère et maintenant, c’est encore bien de trahison qu’il s’agit. Celle de l’adolescent que l’on fut et celle nos propres valeurs, de nos idéaux, de notre langue. C’est en tout cas le mot-clef qui court du tout début à la toute fin de cette rare entreprise littéraire, aussi originale qu’intense.
(« La bataille de Roncevaux en 778 opposant les troupes de Charlemagne aux Sarrasins », Chronique des France ou de Saint-Denis, Manuscit du XIVème siècle, Collection British Library, Londres » ; Roland témoigne de sa fidélité à Charlemagne » D.R.)
784 Réponses pour A qui ne se bat pas dans la nuit Roland ne parle pas
Deux burnes ?
Vous évoquez votre bichon là.
Petites mais existantes, elles.
Le conkystador vient de sonner l’oliphant.
Iéshoua, c’est un fouteur de merdre prophétique ! Et c’est pas le dernier, qu’est le pire …
Est-ce que, dans cette édition, le texte original est proposé aux lecteurs en regard de la traduction ? L’anglo-normand médiéval est pour nous une langue étrangère qui a sa musique propre.
Puisqu’il est question plus haut de « Richard II », l’angliciste de base ne peut résister à la tentation:
This royal throne of kings, this scepter’d isle,
This earth of majesty, this seat of Mars,
This other Eden, demi-paradise,
This fortress built by Nature for herself
Against infection and the hand of war,
This happy breed of men, this little world,
This precious stone set in the silver sea,
Which serves it in the office of a wall,
Or as a moat defensive to a house,
Against the envy of less happier lands,
This blessed plot, this earth, this realm, this England….
Deux remarques:
– primo, l’Angleterre n’est pas une île, l’île, c’est la GB. Tout l’impérialisme anglais est contenu la-dedans;
-lévy, celui qui prononce ce panégyrique est John of Gaunt (Jean de Gand), père de Bolingbroke, que Richard II va bannir d’Angleterre et qui reviendra le chasser du trône pour usurper la couronne sous le nom d’Henry IV. Bel exemple d’ironie dramatique, le ‘royal throne of kings’ est un théâtre d’ombres où c’est le plus fort qui s’empare du pouvoir, légal, mais pas légitime.
Quand on cite Shakespeare, il est toujours important de savoir qui parle. Cela permet d’éviter les contresens (voir Macbeth).
Shakespeare n’est jamais avare de son génie, lequel est à part égale et dramatique et poétique ( ThiS preciouS Stone Set in the Silver Sea)
En attendant le deuxième volet de sa tétralogie, « 1 Henry IV », avec Falstaff, la guerre et l’honneur.
Je viens de dire une bêtise : non, les païens de l’image ne sont pas tous gauchers. Pardonnez-moi !
Quant au Roman de RenarD…
JC vous vous éloignez du code de la chevalerie meme à la voir réunie autours d’une table comme si le déficit et la dette de l’état s’étaient constitués en 6 mois,comme si la France était seule à connaitre des difficultés,c’est grotesque ,vous le faites exprès ou vous mimez une haine bête quoique ce soit presqu’un pléonasme,désinformation,manipulation,passion
ma parole c’est jour d’exécution publique aujourd’hui sur la RdL. bientôt il va nous falloir ressortir l’oriflamme des caves de Saint-Denis, ça va flotter, ça va chauffer, je vous préviens.
je sais très bien que les unités françaises conduisent, à bord de leurs VABs et autres Sagaies, là où il faut les conduire, leurs frères d’armes maliens, du bout du nez, je n’avais pas encore lu de compte-rendus d’actions menées au corps-corps, c’est tout.
@ 12h40, à aucun moment je n’ai parlé de « Maures », ni de « retardés ». ce n’est pas faire preuve d’une exceptionnelle noblesse que de mettre des mots qu’ils non jamais prononcés dans la bouche des gens. l’expression « gueux » apparaît telle quelle dans les écrits français immédiatement postérieurs à la bataille d’Azincourt. les paysans anglais, courageux et téméraires, qui faisaient corps avec leur roi Henry, avaient été recrutés pour leur science guerrière. l’art de la guerre en Islam a effectivement été élevé à des sommets de sophistication du temps de Saladin. je n’ai pas attendu telle sommation à me rendre dans un musée pour m’en apercevoir. le bonhomme, (quant à moi, je le respecte et respecterai toujours), qui aime écraser, du haut de sa stature-statue de commandeur des croyants au politiquement correct, des commentateurs qu’il a su repérer raminagrobisquement, comme un gros chat recroquevillé sur ses ergots, bouffi de grimaces d’orgueil virtuel achetées à un artiste maudit du Cheshire lors d’un vernissage de culture manucuré à l’improviste, n’a peut-être pas les moyens de sa prédation. on voit ça quelquefois chez les autodidactes revanchards, ils aiment sauter sur ce qu’ils prennent pour des souriceaux à leur portée (alors que pour ma part je ne suis qu’un ver de terre), en multipliant les erreurs factuelles de repérages dans l’espace. partis pour écraser, ils se retrouvent vautrés par terre, pleurant leur mère mais surtout le confort de leur couffin de velours. pourtant souvent, je me dis, « j’aimerais bien être lui ou rien. » (il voyage beaucoup). souvent, mon envie redouble lorsque je me rends compte qu’être lui c’est être rien aussi. divine ontologie osmotique dont lui seul détient le secret.
je m’absente pour réunir ma panoplie de chevalier Barbie comme Klaus , m’attendrez-vous avec votre cocotte minute au bord de l’implosion?
Tout le monde voit les images, C.P. ; seulement, quand les interprétations commencent à faire dans le réchauffé, il est opportun de jeter l’ancres dans un bon port, c’est-à-dire là où l’artiste a fait preuve d’intelligence et de créativité dans l’usage d’un tracé.
PASSOU AU SECOURS… Y EN A QUI FONT RIEN QU’À EMBÊTER LES AUTRES…
DÉBARRASSEZ-NOUS DES OPOSSUMS ET HIPPOPOTAMES, VITE !
Alec …raminagrobisquement,à quoi pensez vous exactement?une nouvelle recette fiscale cachée sous une pile de draps de lin avec son antique et indispensable conserve?
W, voyons ! Le code de chevalerie ? quesaco ? La Table Ronde est au Mont de Piété depuis longtemps, les Chevaliers sont de sales cons depuis toujours et personne ne parle du sujet : M.Boyer !
AU SECOURS… QU’AVEZ-VOUS FAIT AU BON DIEU POUR VOTRE BLOG EN ARRIVE LÀ ?
VOYEZ COMME LES FÂCHEUX SE TRÉMOUSSENT… AH ! JE ME MEURS…
renato vous avez raison il faut jeter les encres à l’eau et trouver la lumière ,ce sera mieux qu’oublier de mourir .
Et mon commentaire 1 février 2013 à 12 h 54 min est toujours en attente de modération.
D’accord, ancre sans S
AU SECOURS PASSOU… Y A JC QUI TRAITE LES CHEVALIERS DE SALES CONS…
DÉBARRASSEZ-NOUS DES MÉCHANTES LANGUES…
RENDEZ-NOUS LE 1 FÉVRIER 2013 À 12 H 54 MIN DE RENATO… DÉBARRASSEZ-NOUS DES MODÉRÉS…
renato, c’est vrai. Mais je ne suis pas si sûr que ce qui est figuré était net. Relisez plus haut, vous-même aviez rigolé, à juste titre.
D’accord, compris. Je regrette ma stupide intervention de 14 h 30 min. Je suis un âne.
Quant à « opportuns » et « importuns », je l’avais mis au pluriel pour ne pas viser trop directement JC.
« EPOUSEZ VOUS LES UNS LES AUTRES ! VITE ! IL N’Y EN AURA PAS POUR TOUT LE MONDE … »
Ce qui est figuré est loin d’être net pour moi, C.P. Qu’est-ce qui différencie les rouges des marrons, qui se battent contre les bleux ? Deux catégories diverses d’ennemis ? Et c’est quoi les flocons blancs et noirs qui parsèment la toile de fond rouge ?
alec dit: 1 février 2013 à 14 h 36 min
on voit ça quelquefois chez les autodidactes revanchards, ils aiment sauter sur ce qu’ils prennent pour des souriceaux à leur portée
quel mépris!vous pétez au dessus de votre c. mon brave.que faites vous sur le blog d un autodidacte
Ben c’est normal qu’ils soient revanchards, les autodidactes, ils en parlent jamais y pensent toujours… Enfin le meilleur des meilleurs c’est quand même celui de Jean-Sol…
Falstaff choisit la fuite pendant la bataille de Shrewsbury, tandis qu’Hotspur, le fils du rebelle Northumberland se fait tailler en pièces par le Prince Hal, fils d’Henry IV, futur Henry V. Celui-là même qui allait massacrer la fine fleur de la chevalerie française à Azincourt, grâce aux longbows des archers gallois.
Encore une fois, c’est un couard qui parle, pas ‘Shakespeare'(whatever that may mean), un autre chef d’oeuvre d’ironie dramatique:
« Well, ’tis no matter; honour pricks
me on. Yea, but how if honour prick me off when I come on? how then? Can honour set to a leg? no: or an arm? no: or take away the grief of a wound? no. Honour hath no skill in surgery, then? no. What is honour? a word. What is in that word honour? what is that honour? air. A trim reckoning! Who hath it? he that died o’ Wednesday. Doth he feel it? no. Doth he hear it? no. ‘Tis insensible, then. Yea, to the dead. But will it not live with the living? no. Why? detraction will not suffer it. Therefore I’ll none of it. Honour is a mere scutcheon: and so ends my catechism. » – 1 Henry IV, sc.5
Dans 2 Henry IV, la sentence tombe: ‘I konw thee not, old man’ lui jette à la figure Hal.
Falstaff mourra le coeur brisé (voir Chimes at Mindnight de et avec Orson Welles , et My Own Private Idaho, de Gus Van Sant).
On rigole pas avec l’honneur martial, chez Shakespeare comme chez Daniel Cordier:
« Des hommes n’ayant aucun sens de l’honneur, aucun scrupule, aucun sens moral, trahissant le passé de la France, ses héros, ses morts et les plus récents, ceux de 14-18, ont livré le pays sans défense à l’envahisseur victiorieux (…)’ Alias Caracalla, p.213
« Ce peuple généreux [les Anglais] nous pardonne notre trahison. (…) Jour après jour, je constate que mes préventions à son égard, dont mon éduication m’a imprégné, étaient peut-être justifiées dans le passé, mais certainement plus aujourd’hui » ibid. p.114.
Et c’est quoi les flocons blancs et noirs qui parsèment la toile de fond rouge ?
c’est une jaculation divine, un « semi dargent sur ta gueule » baroz.. comme on cause en pays d’héraldrie..l’argent c’est blanc ta gueule est rouge sangue..forcément ça chie..ça chis c’est une image..y’a pas de ça en héraldrie baroz
« un rectangle aux côtés proportionnels, un à l’unité, l’autre à la racine carrée d’un nombre entier »
« ce que la structure subjacente disait car elle lui disait que pour pouvoir une figure avec une ligne droite, le carré décrit sur cette ligne doit être égale à la figure ; et que deux lignes sont commensurables en puissance là où non pas les lignes mais les carrés de ces lignes peuvent être mesurés par une même surface. »
Ça me paraît clair.
zouzou ses calçonnade et kabloom toujours sa petite musique..leur vidéo l’est en 8 bits..qu’est que vous voulez qu’ils calculent avec l’enluminure
« Les diplômes sont faits pour les gens qui n’ont pas de talent » Pierre desproges
Monsieur Pierre Assouline écrit mieux que ceux qui disent du mal des autodidactes.
Et voilà
Goodies and badies.
Les bons, c’est les bleus, les mauvais c’est les rouges.
On le voit parce que les rouges vont perdre: leur premier cavalier, qui a une sale gueule, a pris à la gorge un sacré coup de pointe qu’il méritait parfaitement.
La tête couronnée chez les bleus, c’est Charles le grand, bon sang.
Et c’est un bleu bien compatissant qui montre la vraie voie au mécréant solidement ligoté à un arbre (à moins que ce ne soit Ganelon, passé à l’adversaire?)
Je sais, c’est l’interprétation d’une brute. Ni subtil, ni savant, hein.
Le Tournoi, le seul le vrai, commence en Italie, et chez les bleus, Papé a été préféré au Dark Destroyer.
Les sarrazins d’en face seront des gros (Castrogiovanni…)
Ah, les chevaliers, quel sang quand ils circulent !
Je suis un âne
il a pas de diplôme et donc il s’attribue des talents..c’est pas si simple hin amandine?
Ça devait être quelque chose comme ça
Je sais, c’est l’interprétation d’une brute. Ni subtil, ni savant, hein
..c’est ça prends nous pour des plus cons encore
ah ben tu parles c’est vachement compliqué même.
Ah les intellectuels, quelle engeance !
C.P. lit le « roman de Renard »
et baroz voit des bleux partout
Nous sommes bien entourés
P.S.
n’oublions pas que Colette est enterrée à Ornans
oublions vontraube
..c’est comme zouzou.. »je suis con..mais moins que vous » qu’importe d’étre borgne si tout le monde est aveugle etc..
Je suis outré par la façon dont on traite Thierry sur ce blog. Je ne crains pas de le dire.
très beau livre
poésie et lyrisme
Jacounet, ne vous laissez pas intimider par le Boug'(gueule(rouge) et argent(blanc) ce sont les noms des couleurs. pour les blasons)
A moins que notre Boug’ ait récupéré la Rocinante de kivousvoyezki ..
Certains médisent, ici. Si.
Même la moitié de la cervelle arrachée, les chevaliers continuent le combat et ils sont très polis.
Sur la gauche du tableau, on voit très bien que celui qui s’avance doigt levé vers le sarrasin attaché à l’arbre, va lui chanter une chansonnette.
Bon le type ficelé en rouge à gauche sous son espèce d’eucalyptus déjà qu’il s’est fait poirer comme un bon à mon avis il va pas tarder à se mettre à table…
Vous préférez « Renart » ? soit !
Jacques, je n’ai pas différencié tunique (bliau) rouge de tunique marron par dessus les hauberts. Ni les écus. Je suis plus sûr de moi pour ce qui concerne le casque/heaume à ventaille, s’ajoutant à la coiffe, du chevalier chrétien combattant, et différent des heaumes ronds. Il est souvent sollicité dans la geste de Guillaume, lorsqu’un chevalier doit découvrir son visage, etc. Je ne peux pas distinguer de contenu figuratif dans le flaconnage. Peut-être renato le peut-il. Sinon, il faudrait remonter à une description précise et cataloguée de la peinture.
Et voyez ma sottise sur les gauchers, certainement pas significatifs et dépendant bien plus de la composition…
La traduction / les traductions ont été en partie abordées par et sous l’article de Frédéric Boyer lui-même, auquel renvoie Pierre Assouline sur son propre site.
les chevaliers continuent le combat et ils sont très polis.
..ce qui nles empêche pas de rotter à table et de picer derière les ridos..mais cé un détail de l’histoire
« Et voyez ma sottise sur les gauchers »
Tu vois bouguereau, si ta médisance était vraie, ce serait C.P. qui serait le maître…
ueda, y’a pas plus de couronne que d’ablettes au Sahara. Abaissez votre ventaille.
« Je suis un âne… il a pas de diplôme »
pus b’soin de parchemin pour décorer les gogues…comme le père gabin avec son modigliani tatoué entre les homoplates…le tattoo podâne c’est l’avenir de l’enseignement supérieur…du body art…même orlane elle est jalouse
C.P. vous serez intéressé de savoir, si, si, que j’ai reçu un petit puma (el amigo del cristiano) femelle de 2 mois. A suivre
Zut ! « floconnage » ! Abus des flacons ?
Et voilà que le perroquet se retrouve avec une autre charge : éduquer le puma — que du travail ce pauvre oiseau.
Ouah, super, Philippe Raigné ! Un petit puma, c’est vrai ? Ils sont trognons à cet âge-là. Comment que vous l’appellerez, dites ?
C’est une scène pénible, Sergio.
C’est une violence douce à peine supportable.
Le type à l’eucalyptus n’est pas seulement immobilisé, il est un peu rachetoque, alors que le donneur de leçons morale le dépasse de la tête et des épaules, et lui marche sur les pieds.
C’est pour ça que M. Régniez nous recommande de ne rien croire sur paroles. Il sait de quoi il parle.
Les curés, c’est des tueurs.
RÉGNIEZ A UN PETIT PUMA !!!
A propos de la lecture des images médiévales…
Référence électronique
Thomas Golsenne, « Vers une nouvelle iconologie médiévale », Techniques & Culture [En ligne], 50 | 2008, mis en ligne le 30 novembre 2009, consulté le 01 février 2013. URL : http://tc.revues.org/4014
Le puma a une plus petite zigounette que le jaguar. C’est un fait établi.
Si c’est pour la manger plus tard, comme les carpinchos, je ne vous fais pas mon compliment !
Pumita. W.H. Hudson a beaucoup écrit (en bien) sur les pumas, nous allons pouvoir vérifier.
La femelle de Régniez a deux mois ! Pauvre tite bête.
C.P., sur la seconde illustration Roland porte un heaume rond comme le chevalier « prêcheur »
Donc bataille, pas bataille.
Les sarrasins manquent-ils de moyens ?
L’ami d’un ami, qui est un psy connu dont la femme tient un magasin de bijouterie, a un poisson rouge. Ça intéresse quelqu’un ?
C’est une femelle !
Le puma a une plus petite zigounette que le jaguar. C’est un fait établi.
..et quan cé une femèle chte raconte pas..’mande à dédé
Un poisson rouge mâle ou femelle, renato ? Parce que j’ai déjà un mâle.
Mais il est empalé l’incroyant.
Nous voyons bien le tronc qui sort de la jupe
« Un poisson rouge mâle ou femelle, renato ? Parce que j’ai déjà un mâle. »
Ah ! ça je ne sais pas, et demander à un psy c’est délicat… vous comprenez, il serait capable d’imaginer je ne sais quoi…
Le carpincho qui fut mangé n’est pas celui qui fut un temps notre hôte. Il est maintenant dans une sorte de vaste zoo privé dans le nord du pays.
J’ai un esturgeon qui va pondre. Ça intéresse quelqu’un ?
Les curés, c’est des tueurs.
Et certains, le mauvais oeil.
D’ailleurs ce sont peut-être des yeux qui constellent le fond de l’enluminure, des milliers d’yeux avides qui guettent l’issue du combat.
Ou des oreilles.
veda Dans peu de temps vous admettrez le concept de vérité révélée (mieux que le Nouvel Obs ou Libé)
« J’ai un esturgeon qui va pondre. Ça intéresse quelqu’un ? »
Faut voir le prix.
Là dessus, je ne peux rien dire. Je n’ai jamais vu de femelle nue, pas plus humaine, qu’animale. À la ferme, quand j’étais petit, ma maman habillait les animaux de linge en toile de Jouy. Quant à moi, je ferme les yeux pour prendre la douche. Je me douche une fois par semaine, le dimanche matin, mais seulement quand je vais aux offices. Se laver est immoral et mène droit en enfer. J’ai peur de l’enfer, il y fait tellement chaud que les femmes montrent leurs seins.
Des yeux dans des oreilles, comme la perle dans l’huitre.
Les carpinchos m’ont toujours intéressé parce que leurs pattes arrière ont trois doigts.
Si vous voulez en savoir plus, demandez-moi, Thierry.
la Rocinante de kivousvoyezki ..
Màc, à l’Oberkellner (la scène se passe dans une Gaststätte des environs de Ruhpolding, « Zum rot-weiss-silbernen Gaul »):
« Na, Bübchen…avec mon boeuf à la fissel…tu m’mettras -rho..aye pas peur j’aie pas finis -un chateau haut-brion, ou rien. Also bitte! »
« D’ailleurs ce sont peut-être des yeux qui constellent le fond de l’enluminure, des milliers d’yeux avides qui guettent l’issue du combat.
Ou des oreilles. »
Ces yeux, Daaphnée, sont ceux des centaines de visiteurs de ce site qui le traversent sans laisser de commentaires.
Ce sont des délicats.
…
…@,…alec à 14 h 36 mn,…
…
…sans vous obliger,.. » ressortir l’oriflamme des caves de Saint – Denis « ,…
…
…vous voulez rire,…sans doute,…
…
…l’oriflamme est en possession des anglais,…depuis belle lurette,…de la guerre de cent-ans,…
…il nous reste plusieurs représentations de cet étendard,…
…qui devait être au » champ (de gueule) orné de lambrequins d’armoiries entrelacés d’or sans fin »,…
…
…ou autre version,…au champ orné de lambrequins d’armoiries entrelacés les uns aux autres d’or et de gueule (rouge),…
… » oriflamme « ,…
…vas savoir s’il existe encore l’original,…
Home sweet home, oui ! Difficile de faire la causette avec la grosse boîte en fer ! Sérieusement, il y a plusieurs types de heaumes, y compris en tournoi, etc. De même, demandez voir à bouguereau sur le casque lourd !
« Se laver est immoral et mène droit en enfer. »
C’est pas toi qu’on a chassé d’un musée, Dédé?
Allons, Philippe Régniez, je le sais. Et même qu’il devenait importun pour les visiteurs. Mais comme vous mangez aussi les anacondas, animaux charmants…
Certes que la vie était autre chose. Déjà manger, tiens. Tu voulais manger un lapin faillait l’élever, puis le tuer e l’écorcher, etc. Ou alors c’était la chasse, ce qui ne changeait que de peu la séquence. Aujourd’hui tu vas chez le boucher et le gros du travail est fait, peut-être en Australie, mais il est fait, et tu n’as qu’à le cuisiner… Il est évident que la relation au sang change… aujourd’hui tout ce qu’on connais de saignant c’est l’entrecôte… tiens, je vais relire « 62 Modelo para armar »… le « château sanglant » de l’incipit…
J’ai une concierge sur le point de mettre bas, ça intéresse quelqu’un ? Jacques, peut-être ? Ne soyez pas timide, demandez-moi.
Non, John Brown, cette édition de « Roland » ne propose pas le texte original en regard.
C.P. Il est certain qu’au sein de la nature sauvage on ne voit plus les animaux tout à fait de la même manière.
Merci de soutenir ceux qui s’opposent à la fermeture et à la vente de l’église des Français de New York.
D.,
Si Jacky prend le gniard, dans le cadre de la campagne « Un enfant pour tous », je vous débarrasse volontiers de la concierge.
On savait pour le syndrome Frigide Barjot, voilà que Teignez est atteint du syndrome Brigitte Bardot. Plaignons le puma !
D., il semble que vous êtes seulement intéressé par les bichons mâles, ils sont votre fantasme. Votre père vous aurait-il trompé avec un bichon ?
Franchement, Philippe Régniez, d’autres églises dans Manhattan, -mais plus à l’Est-, sont plus fréquentées que Saint-Vincent, à commencer par des latinos.
Il existe une édition en fac-simile du manuscrit d’Oxford, publiée en deux volumes par le Club du Livre dans les années soixante ( la grande époque des clubs ). Le prix en occasion oscille entre 300 et 600 euros. avec une traduction de Louis-Robert Plazolles (?)
…
…l’oriflamme de gueule au diapré d’or,…( une version probable),…
…
…mais celui avec la croix d’or,…trop naif pour un vrai souverain,…etc,…
…
C.P. Je pense que vous manquez le point, comme bien souvent, lecture trop restrictive malgré vos « velléités ».
que dla mêêêrde
« veda Dans peu de temps vous admettrez le concept de vérité révélée »
Pourquoi pas, mais pourquoi dans peu de temps?
Qui c’est qui révèle?
Si c’est le mode intime, vous n’êtes pas mon premier choix.
« que dla mêêêrde »
bouguereau, je pense que tu manques le point.
N’es-tu pas un peu restrictif?
De même, demandez voir à bouguereau sur le casque lourd !
..justement cépé ce qui est merveilleux dans l’enluminure c’est la transfiguration de la violence..on est bien loin de quentine..ici le sang est une broderie, les coups d’épée des calligraphies..la virilité même est féminisé..à ce point dailleurs qu’il n’y a pas de différencence sinon les attributs, et pas sexuels mais socio
ueda, votre matérialisme me fait froid dans le dos. Le concept de vérité révélée vous l’avez bien ressenti la première fois, non ?
Ces yeux, Daaphnée, sont ceux des centaines de visiteurs de ce site qui le traversent sans laisser de commentaires.
Ce sont des délicats.
..délicatesse inspirée par la lecture de tes post..core un peu et tu vas t’prende pour la licorne « et pourquoi pas que je pourrais pas pécho quelques vierges »
Bougerote, vous finirez pape des Enluminés de la RDL
S’agissant d’une thématique tournant autour de Guerre et Religion, il me semble que la présence apaisante de Mauvaise Langue serait une bonne idée.
Oui, veda réussit à être encore plus dégueulasse que Barozzi, qui n’est qu’une sorte de plombier en somme.
Philippe Régniez, écoutez, il y a plus bouffe-curés que moi, malgré mon athéisme, à qui vous adresser ainsi.
Saint-Vincent est en outre moche. Il y a des églises bien plus intéressantes, du côté de East Houston Street par exemple. Vous connaissez bien New York ?
Enfin, pourquoi ne vendrait-on pas des églises et des chapelles peu ou pas fréquentées ? A Menton, France, avenue de la Madone (!), une chapelle est devenue un lieu de fitness. Et alors ? Au moins le bâtiment n’est pas vide.
Zut, je m’a trompé.
Je m’échauffe, ueda, je m’échauffe.
Je crois que Philippe Régniez vous a traité de dégueulasse. Je m’en vais lui remonter les bretelles.
TKT 17h12
Mais quelle burne !
la présence apaisante de Mauvaise Langue
bien profond ? toujours..
Nous, on prenait les églises et on en faisait des magasins, des étables : c’était le bon temps !
tiens cépé il n’y a pas une église ou un temple je ne sais plus a harlem je crois ou les animaux sont authorisés une fois l’an?
La vérité révélée?
Vous êtes un cachottier, M. Régniez.
Vous rêvez de crapahuter au Mali, mais chacun sent bien à quel point ceux d’en face sont vos frères.
Ce qui vous sépare d’eux sont des fariboles (réglées facilement par un concile), ce qui vous rapproche est plus fondamental.
Il suffirait d’une petite modification dans votre bouquin, et pour ce qui est de couper les mains aux voleurs et le petit puma aux fornicateurs, vous seriez certainement un très bon élève.
faisait des magasins, des étables
c’était des mesures trés conservatoire..le pire était la carrière de pierre comme en italie et partout les édifices romains..
Monsieur Philippe, je trouve que vos grossièretés sont particulièrement déplacées. Je pense que nous faisons le même métier, mais la solidarité corporatiste a ses limites.
Harlem ? Toute l’année.
ou les animaux sont authorisés une fois l’an?
Chouette Phiphi, tu pourras baptiser le puma
Voir Philippe comme il est vu ici, c’est d’un racisme atroce ! … Ah ! elle est belle EN et l’uniperversité au pays des Doigts de l’Homme. Quelle formation intellectuelle ! Quelles Zélites !
On va le laisser éructer longtemps, l’enculeur ?
« Oui, veda réussit à être encore plus dégueulasse que Barozzi, qui n’est qu’une sorte de plombier en somme. » (Ph. R.)
Vous êtes là, Jacques?
La nature vous a rendu plus généreux que moi, et Philippe semble vous attendre en salopette. Demain, il montre le bas.
En cas de bombement suspect sous le futal, c’est rien, un objet de cul polonais, qu’ils mettent même sur les murs.
Merci, JC. Des Zélotes, tout au plus. Si vous n’étiez pas là pour me soutenir, je crois que j’abandonnerais la partie. Sur vous au moins ma parole porte.
Qui m’a parlé d’un Frigide Bouguereau qui sévirait ici ? Le Roy du Heaume-ceinture…
ueda, Ph. R exagère peut-être, mais je trouve aussi que vous êtes assez dégueu dans votre genre. C’est pas des façons, hein.
ueda, vous me faites de la peine, je le dis comme je le pense. Ressaisissez-vous, que diable !
..avé dla marguerine ça passe nikel..les cizos ont pas prise, c’est pour ça
C.P. Chaque église est la demeure du Divin, vous ne vous rendez manifestement pas compte de l’horreur que représente la fermeture ou la vente d’un lieu sacré.
Une chose ne cesse de m’intriguer, bien qu’utilisant les mêmes mots nous parlons rarement de la même chose.
@ Chantal : d’après vous, à quand une vision non théorique de la guerre ou du conflit armé se produit-elle dans le temps et l’espace virtuel de la RDL ?
Fusion des intégrismes
PR et JC, main dans la main.
Bouguereau dirait zigounette mais l’idée est la même
Ah, monsieur Philippe, je ne suis pas d’accord. J’ai racheté une abbaye en ruine et je m’y sens très bien. J’ai installé une piscine dans le cloître, enfin au centre, et rendu ainsi au lavabo sa fonction d’origine. Le nef fait une très élégante salle à manger et la salle capitulaire un dressing du tonnerre.
plein l’cul dta merde lassouline
..regarde ton journal de log et essaie de comprendre au moins
Moi j’ai racheté le prieuré de Mouflange. J’ai tout modernisé. J’ai trouvé un linoléum qui imite le parquet. Beaucoup plus pratique.
Philou, comment voulez-vous qu’un agnostique voie un bâtiment consacré comme une demeure du Divin ? C’est impossible !
Nous pouvons voir Chartres comme une splendeur, les matérialistes la voient dégagée de toute divinité …
Laissez leur le désespoir de se rendre compte que Saint-Pierre ne les a pas sur sa liste paradisiaque.
« Chaque église est la demeure du Divin »
Philippe, je vous arrête.
Sur ce blog, on ne dit pas Régniez, mais Monsieur Régniez ou Philippe Régniez.
De même, on n’écrit pas Divin, mai Di.vin.
(Sinon, la présence cesse d’être apaisante).
ueda, left-handed sword, hush ! Mauvaise Langue actually coming ? Home sweet home, to (crash-)helmet !
ueda, je vous ai laissé, tard, un petit message sous le billet précédent…
« Chaque église est la demeure du Divin… »
J’avais cru comprendre qu’il était chez lui partout, maintenant j’apprends qu’il habite dans les églises. Faudrait se décider pour une version stable ; vous savez, désormais avec le net vous risquez de passer pour un bouffon même chez les 6 – 12 ans.
..dla merde
..raz le fion
boudegras est furax, ça m’fait jouir
Vous êtes fous, les amis ! Il faut suivre Philippe Régniez comme vous avez suivi François Flamby … avec foi !
Ecoutez la musique du flutiau, n’est ce pas entrainant ?
On se demande vraiment à qui parle JC quand il dit « les amis ». Peut-être qu’il ne se rend pas compte…
…
…çà se situe au niveau du conflit de l’hilarité,…demain il n’en paraîtra rien,…
…l’hilarité se déplace par la sainte onction du devoir accomplit en la paix de son âme,…
…gloire au seigneur d’y ce lieux béni,…
…etc,…
Je me contente de lire toutes vos conneries. Et après 7 heures de cours, j’ai plus d’énergie pour en rajouter une couche… M’en vais faire une sieste, tens! 3 heures. Après je traduis.
Faudrait vraiment un jour une pièce de théâtre du blog. Je trouve que c’est hyperthéâtral. Ce serait très très drôle. Tiens, CP qu’est dedans, y devrait s’y coller avec ses deux filles.
Je baille déjà…
Non, suis-je bête ! C’et une antiphrase, bien sûr. Toujours son fameux sens de l’humour. Il ne peut pas être aveugle au point de croire qu’il a des amis sur ce blog.
Figure de rhétorride, Oie blanche !
Bien, on attend la couche…
« Je me contente de lire toutes vos conneries. »
C’est un peu roide.
Mauvaise Langue l’a déjà dit, mais l’oiseau blanc est en effet un caladrius, qu’on retrouvait sur plusieurs armoiries. C’est évidemment ici un signe distinctif des chrétiens.
C’est un peu roide.
Non, il a bien dit « toutes » les conneries. C’est très attentionné. Il aurait pu en sauter.
Je me contente de lire toutes vos conneries
Même les miennes ?
JC dit: 1 février 2013 à 18 h 32 min
Figure de raie torride
autrement dit « joufflue » ?
Il paraît que l’astéroïde Saint Valentin « n’impactera » pas la Terre (source Agence Spatiale US).
On peut aussi dire Monsieur Philippe quand on est très intime mais je vous préviens il n’accorde cette faveur qu’à de très rares élus. Et je ne dis pas ça pour me vanter.
Oie blanche, les ennemis sont toujours plus visibles que les amis : voyez en Syrie comme notre ami Bachar tient bon. Il a des amis.
Dès que le Mali est bouclé, on va défendre Bachar contre les terroristes du djihad… ne riez pas.
Mon Gland, continuons le combat !
Sergio il a le même sur la roue arrière de la BM.
Le caladrius est anti-boue.
Cal Andre dit: 1 février 2013 à 18 h 57 min
caladrius
Tiens bonne idée je vais mettre une bannière fleurdelysée de six mètres carrés ça terrorisera les H-D avec leur Dixieland…
Dixieland…!?
« Accord sur la rémunération des éditeurs entre la France et Google »
Extrême-onction aux moribonds délivrée par des faux curés, hilares !
JC dit: 1 février 2013 à 19 h 20 min
Dixieland…!?
Ben la bannière confédérée, quoi… Les Rebs ! C’est une hypallage… Euh non, un anaglyphe… Euh… Une éphélide… Non… Une synecdonymie… Enfin bon un truc grec !
Une synecdonymie : c’est pas quand on coupe les trompes, ça ? Dieu ! quelles horreurs rêvent les motards sur leurs montures défaites….
DHH a une tête de mort sur le porte-bagage de sa Norton.
Moi j’avais Woodstock (l’oiseau) sur ma Ducati, c’est encore bon ?
Mais …? avoir une tête de mort sur le porte-bagage est interdit ! Par contre, un ou une morte sur le siège arrière …
Ouah, une Ducati, ça, c’était classe. Moins que la Norton, mais ça en jetait. DHH a eu une Laverda 1000, mais elle est revenue à la Norton.
… et c’était blanc mon Woodstock, serais-je une reincarnation de Roland ?
test ?
J’ai parlé pour bouguereau de la bénédiction des animaux, une fois l’an, à African Methodist Episcopal Church, et ça ne passe pas.
Un mort sur le siège arrière d’un scooter rose, ouais, ça fait tableau surréaliste. Mais pour la Norton, vaut mieux le crâne seulement, c’est plus gothique.
Vos chevaliers motorisés, vos belles à hennin, ont été rapidement écrasés par l’invasion nipponne Honda, non ?
et ça ne passe pas.
Vous êtes tricard, C.P.
l’invasion nipponne Honda
Beaucoup plus pacifique que l’invasion nipponne ueda.
Je vous en supplie ! Mettez de côté votre racisme bien naturel…. ueda est une pépite, un rubis, un diamant, incrusté (?) dans la gangue RdL. Nous l’adorons.
je suis franchouillard, mal informé-désinformé, oké, c’est la vérité, mais j’ai tout de même pu noter et saisir au vol (avec un plaisir extrême, notamment en pensant à la mémoire de René Caillé, dont on s’est souvent moqué avant qu’un ethnologue allemand convienne finalement d’un possible et très intéressant apport de sa part, pas seulement au point de vue littéraire – c’est vrai qu’il écrit bien) que d’intrépides habitants de Tombouctou avaient réussi à sauver la plupart des ouvrages de la légendaire bibliothèque de la ville, surtout les manuscrits de l’Institut Ahmed Baba. des journalistes nous avaient pourtant affirmé que de nombreux livres étaient partis en fumée, brûlés par les Islamistes. en fait, dès l’année dernière des maliens courageux en avaient transféré près de 28000 vers Bamako au péril de leur vie. gloire à eux et grâce leur soit rendue. la civilisation est une lutte de tous les jours. les Maliens qui ont fait ça sont nos frères, la barbarie a reculé devant eux. peut-être même y-aura-t-il dans leur rang un futur Frédéric Boyer qui pourra proposer des nouvelles versions des textes. c’est une splendide bonne nouvelle en tout cas. la littérature malienne a elle aussi ses textes fondateurs qu’il fallait à tout prix préserver.
Passé pour vous dire que j’ai laissé une réponse sur le fil précédent, C.P.
Et salut à alec (sur Timbuktu, je l’écris ça parce que TKT écrit Gadhhafi et que moi aussi j’ai bien le droit) et JC (qui se fout de ma gueule, mais c’est un camarade de blog, c’est à dire de déblog), ainsi qu’à …hein.
renato, c’est foutu pour la couche: une fois entamée, ML n’interrompt plus sa ronflette.
Vous avez tout de même compris, les amis, que les manuscrits de Tombouctou, leur nombre exact, leur sauvegarde financée UN…. c’est une arnaque, hein ?!
« … n’interrompt plus sa ronflette. »
C’est l’effet litron.
Bon, un petit Gadda pour la route :
http://www.gadda.ed.ac.uk/Pages/resources/fiction/keplero.php
d’accord avec vous, ML, sur la dimension peu critique d’Hérédia. Ce n’est pas le propos, et il consacre par ailleurs à la sépulture d’ Hernando de Soto, l’ancetre vénéré, un sonnet magnifique.
bien à vous
MC
(Le moment « il vecchio Zavattari », ueda, est particulièrement goûteux si on pense en arrière plan à notre ami de blog)
une asyndète
une synecdoque
une hypallage
une rose
Vous aurez beau dire,
ce blog est beaucoup moins vivant sans ML
j’ai pas envie de me battre après huit heures de cours j’m’en va lire et pis dormir. C’est dommage, j’ai vachement bien aimé la bagarre de c’matin, j’ai bien démarré la journée. Dommage que je tienne pas sur la longueur, se battre la nuit c’est pas mon truc. Si je me bats le jour, je voudrai bien que Roland me parle quand même dans le creux de l’oreille, que j’ai sale et qui pue, plus que mes pieds d’ailleurs que je ne lave jamais : je m’y remets demain matin. Je prendrai TKT, ça risque d’être moins drôle mais j’vais faire de mon mieux.
J’vous ai ram’né une chanson de geste, des laisses en ancien français et un combat de chevalerie : demain il fera jour. J’espère.
Les roses du passé étaient plus sympas,
elles avaient un côté bonne soeur rouge qui hérissait JC (et d’autres avec plus de douceur) mais au moins elles semblaient vivantes et cultivées.
j’y peux rien mais à 15h30 le post de ueda je crois j’suis morte de rire c’est comme ça que j’aime apprendre les choses pas avec en entrée vous êtes trop nuls mais je vais vous en apprendre, ça me file des boutons, qui puent pour être assortis aux oreilles et aux pieds.
Même si on est nuls faut pas nous le dire faut nous encourager à faire mieux et nous dire que tu as confiance en nous pour progresser à vive allure à tes côtés preux chevalier intransigeant.
Enfin je pue & je ne vis pas à Paris que je traverse parfois en allant ailleurs mais j’ai visité l’expo des arts de l’Islam : c’est parce que je déteste les juifs et les arabes donc je suis allée chercher les preuves de ma détestation au Louvre. J’aime ce petit cabinet particulier dans lequel il y a très souvent des collections extraordinaires sur l’Orient : entre parenthèses j’y ai constaté nombre de broderies mais ils nous donnaient un retour vers une sculpture que je cherche encore c’est vrai.
Allez je vous laisse, vous avez fait que rigoler, je suis un peu jalouse.
Rose et que penser de marcher sans casser des œufs?
http://strongsvillecafe.com/downloads/Games/Eggs.swf
JC 18H22
Regardant avec ma multitude d’enfants le dessin animé « Le Bossu de Notre Dame », j’ai été surpris de sa dimension mystique, voire surnaturelle, particulièrement, et là je fais référence à votre propos, quand les soudards s’attaquent à la cathédrale, et que le héros, s’adressant à la foule, rugit : « Ils attaquent Notre Dame ! » – Notre Dame étant dans son esprit et dans l’esprit de la foule des fidèles en même temps le sanctuaire et la Très Sainte Vierge Marie. On aimerait que le bon peuple de France ait toujours au coeur ces saines conceptions.
l’a 14 ans la rose,
ado butée,
veut changer mais faut la comprendre,
car elle a raison
Gosh ! Game over & score : 0…
Phiphi,
il faut te faire une raison, le bon peuple de France ne croit plus aux desseins animés des bons pères.
L’adhésion à civitas n’est plus obligatoire.
Ainsi est-il
Foutez la paix à Rose qui est une des personnalités les plus attachantes du blog! J’admire sa patience…
Oui, c’est vrai, Rose est un peu comme une Tibetaine, qu’on la laisse en paix.
Je me méfie d’un type qui veut se rendre intéressant en transformant les Confessions d’Augustin, Confessions depuis toujours, en « Aveux ». Ne truque-t-il pas toute l’oeuvre et la Chanson de Roland ensuite?
Reprocher à Heredia de ne pas écrire un sonnet anti-colonialiste à la fin du 19ième siècle, c’est tellement grotesque que tous les murs du ç… sont enfoncés!
Quant à Bloom, je lui conseille de lire les Mémoires de Denoix de Saint Marc. Le problème, c’est qu’il ne comprendrait sans doute même pas de quoi il s’agit. Peut-être qu’en lui traduisant « honneur » en ourdou ou en bengali, ça l’aiderait…qui sait? Aucun cas n’est vraiment désespéré.
Peut-être qu’en lui traduisant « honneur » en ourdou ou en bengali, ça l’aiderait…qui sait? Aucun cas n’est vraiment désespéré.
Essayez en anglais c’est sa langue de coeur
Augustin ? Augustin ?
L’était pas un peu sarrasin celui-là ?
ACP
Une dure réalité à venir.
Bolom a une haine maladive pour tout ce qu’il ne pourra jamais être. Et ça fait beaucoup de choses pour un petit bonhomme.
sympa votre petit jeu Biscarosse mais j’ai tout un stock de vieux boulets à caser,vous n’auriez pas le nom d’un antiquaire preneur avide mais néanmoins courageux et pas menaçant?
Gosh ! Game over & score : 0…
C.P. dit: 1 février 2013 à 21 h 51 min
110 à la quatrième tentative et sans entrainement de mon côté, CP!
( J’ai remarqué un truc. Lorsque vous avez à atteindre un nid fixe, fiez-vous à lui et lorsque l’autre est juste en dessous , boum!
C’est presque Roncevaux.
Ma sieste est finie. Faut que je mange maintenant. Vous voyez un peu comment ça vit un prof, hein ! Pas drôle tous les jours, j’vouldis. L’enseignement secondaire est devenu un théâtre d’ombre, des pantins du haut en bas de la hiérarchie. Certains y croient dur comme fer, d’autres n’y croient plus du tout, et tendent à devenir des fantômes. Non pas une vie fantasmatique mais une vie fantomatique quand on est prof dans le secondaire. Avec des soirées sieste au lieu de lire ou de se divertir. Bon, je retourne à ma tradale. C’est une histoire de cinglé qui sort tout nu dans la rue à Zürich (j’ai pensé très fort à Tkt en le traduisant, ça m’a aidé…) et il finit sur une scène de théâtre vide avec la scène plongée dans une lumière glauque, un flic qui vient le chercher, des machinistes qui travaille, et lui à qui on apporte un habit de roi dérisoire pour se couvrir. Vous me direz, se farcir ça après sept heures de cours, sept heures de pantalonnade pédagogogique, c’est un peu roide ! C’est pas fait pour vous remettre les idées en place. Surtout pour retrouver au passage une nouvelle tradale de La Chanson de Roland qui considère Charlemagne comme étant en pleine régression infantile, le « nouveau David ». On a les bras qui en tombe ; on se demande ce que notre époque va encore inventer pour démolir les restes d’un narratif national en pleine décomposition. Je vous le disais. Moisie, la France, complètement moisie !
Bien que l’évolution sur ce blog y fasse appel de toutes ses forces,bravant des éléments déchaînes parfois hors des gonds filigranés ne pensez vous pas que la plupart des mots appartiennent à une époque révolue et qu’ainsi ils ne figurent plus qu’à titre décoratif ,en cela la littérature et tout ce qui vous occupe rejoindrait les arts florissants ;une exposition sans début ni fin
ni plus de fonction qu’à l’esthétique pure dégagée des fonctionnalités,un voyage perpétuel entre les lignes pour ne trouver aucune terre d’accueil stable.Honneur …
Pourquoi être si nerveux, M. Régniez?
Je repasse, et je vous lis:
« Regardant Le Bossu de Notre Dame, j’ai été surpris de sa dimension mystique, quand les soudards s’attaquent à la Très Sainte Vierge. »
Est-ce sympathique?
Surtout, est-ce bien adroit?
En vous en prenant (avec raison) aux soudards de la Rdl, vous devenez (par nécessité) le Bossu en question (et là, je cris holà).
« On aimerait que le bon peuple de France ait toujours au coeur ces saines conceptions. »
C’est plus retors.
Ya du peuple, dirait Lacan, ya d’la France, mais le peuple est-il toujours bon peuple?
Il n’était bon que pour ses adversaires ou ses porte-paroles, hein.
Aujourd’hui…
Quand nos conceptions sont saines (je dis nous, car qui aurait l’outrecuidance de se dire hors-peuple?), elles sont rarement immaculées.
Même si, parmi nous, les queutards comme bouguereau ou Barozzi restent heureusement des exceptions.
Vous parlez de « bite au cul » et d’égorgement (ça vient d’être considéré contraire au Nihil Obstat des modérateutrs de ce blog, et je le regrette).
Ce n’est pas moi qui vais vous critiquer, je reconnais là la rudesse du parler des hommes d’église qui vous entourent.
Je me demande seulement si lesdits Barozzi et bouguereau n’ont pas exercé une influence sournoise sur l’idée que vous vous faites des Sarrazins.
Allons, allons.
Les choses sont beaucoup plus simples.
Foutez en l’air les calottes et les chèches.
Fermez les yeux, ouvrez les bras et criez « Frères! »
Vous serez burpris du résultat.
Vérité révélée, comme vous dites, avec bonhommie.
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