Se faire archiver mais juste comme il faut
Dans quel autre pays la mort d’un grand éditeur ferait-elle la une d’un quotidien national et la couverture d’un magazine culturel ? Que Jérôme Lindon fut ainsi honoré au lendemain de sa disparition par Libération et que Paul Otchakovsky-Laurens le fut à son tour dans les mêmes circonstances dix-sept ans après son modèle à la fois par Libération et les Inrocks dit quelque chose de l’exception culturelle française. Quelque chose de réjouissant malgré la tristesse de l’évènement.
On doit à l’écrivain et critique littéraire Mathieu Lindon d’avoir opéré ce rapprochement dans Une archive, un récit filial honorant la mémoire de son père qui fut pendant des décennies l’âme et l’animateur des éditions de Minuit ; il parait chez P.O.L. justement, l’occasion de célébrer son propre éditeur en un étrange effet miroir. Ce livre plein d’anecdotes, de choses vues, de propos rapportés, accomplit l’exploit d’être passionnant, drôle, édifiant alors qu’il est tellement mal écrit que certains paragraphes, composés en un charabia qui est un défi à la syntaxe commune, nous demeurent inintelligibles. Qu’on en juge par ce passage page 128 :
« Quand j’étais adolescent, cette journaliste avait publié un livre sur la jalousie et ma mère, à qui je venais parler le soir quand elle était déjà au lit avant d’y aller moi-même, me dit que pourquoi être jaloux de quelqu’un avec qui un être qu’on aime couche, c’est de quelqu’un que l’être qu’on aime aimerait qu’on aimerait l’être ».
Sic ! oserait-on ajouter. Un autre pour la route ? page 145 puis 149 :
« Tant de gens refusent la Légion d’honneur qui ne le (Jérôme Lindon) valaient pas qu’il n’y avait aucune gloire à en tirer dans quelque sens que ce soit » (…) Il n’y avait plus rien à dire. La faiblesse et l’aveu dont se préserver plus que tout étaient là et personne ne pouvait plus rien y faire, que comme si de rien n’était, le soir, au dîner ».
Heureusement, tout le livre n’est pas de cette encre. Ce reproche de pataquès est de longue date adressé à cet auteur. Naturellement, on n’a pas manqué de l’interroger sur ce mystère : comment peut-on à ce point malmener la langue et la syntaxe quand on a tant lu, tant écouté, tant fréquenté les grands auteurs contemporains ? Lorsque récemment le patron du Monde des livres lui a fait part de sa perplexité face à ce véritable cas d’école (nombre de maisons d’édition emploient d’excellents correcteurs), Mathieu Lindon s’est enfin lâché :
« C’est absolument comme ça que j’écris, jamais je ne changerais ces mots. Oui, il est possible qu’il faille s’y reprendre deux fois mais cela m’amuse de jouer avec la grammaire. Elle a la réputation d’être figée, moi j’aime sa souplesse, son élasticité (…) Je suis l’ennemi de la solennité, mon écriture est une exagération du langage parlé, j’aime que mes phrases suivent mes raisonnements, et c’est parce que je viens de là où je viens que je n’ai pas voulu écrire classique, écrire comme on attendait que j’écrive. »
Et pourtant, l’essentiel de son récit est « classiquement » composé sans que cela vire à la joliesse ou à l’esthétisme… Passons. Faut-il que ce qu’il rapporte soit original pour qu’on le lise d’un trait ! Il est vrai que l’auteur, si émouvant lorsqu’il dit son amour pour le plus proche des pères distants, a eu le privilège de vivre dès ses plus jeunes années dans l’ombre des « amis de la famille ». Car les écrivains de Minuit, à défaut de constituer une école ou d’en créer l’illusion sous l’incertaine bannière du Nouveau Roman, n’en fut pas moins une famille d’esprit.
La maison et la Maison ne faisaient qu’une. Y défilaient régulièrement à table ou au salon Nathalie Sarraute, Marguerite Duras, Michel Butor, Alain Robbe-Grillet, Robert Pinget, Claude Simon et surtout Samuel Beckett, figure tutélaire de la tribu et parrain de l’auteur. Il est de pires débuts dans la vie pour un adolescent épris de littérature que l’écoute discrète de leurs conversations. On comprend que Mathieu Lindon se présente comme une archive vivante. Un témoin autant qu’un acteur de l’histoire littéraire.
Il ne cèle pas les défauts de l’éditeur (avarice, méfiance, perfectionnisme) bien que les qualités l’emportent dans la balance : curiosité, flair, disponibilité, efficacité, pugnacité sans oublier les deux plus importantes fondues en un mot-valise créé pour lui seul : « intelligentillesse » (même si l’on pourrait voir plutôt de la perversité dans son cadeau d’anniversaire à son fils pour ses 15 ans : les œuvres complètes de Robbe-Grillet !). D’une réjouissante liberté de ton qui contraste si fort avec la discrétion paternelle confinant au culte du secret, il révèle le détail de l’héritage et bien d’autres choses pas toutes à l’honneur de Jérôme Lindon. Mais elles sont dissipées par le portrait poignant qu’il fait de lui de manière récurrente, au risque de la répétition : un homme perclus de chagrin rivé à son bureau, écrivant inlassablement des lettres non à de prestigieux auteurs mais à son seul petit-fils, un inconnu qu’il ne connaitra jamais alors qu’ils vivent dans la même ville, son autre fils lui interdisant de le voir à la suite d’une brouille familiale.
« On doit vous archiver juste comme il faut » écrit Mathieu Lindon dans la chute de son récit. A l’évocation d’un cher disparu, en parler ni trop ni pas assez. Un exercice d’équilibriste des plus délicats. Cela parait à peine croyable mais, au fil d’une existence parisienne entièrement vouée aux livres, le critique et éditeur Maurice Nadeau avait à peine rencontré Jérôme Lindon ; ils préféraient s’écrire, usage encore courant au XXème siècle. Il ne lui en rendit pas moins le plus vibrant des hommages à sa mort :
« Il était notre conscience à tous, éditeurs, journalistes, libraires… Sa disparition affectera tous ceux qui vont de plus en plus se rendre compte qu’en dépit du poids de l’argent et de tous les progrès technologiques, l’édition ne peut se passer d’éditeurs ».
On trouve ces lignes d’une forte actualité, quoique rédigées en 2001, dans le troisième et dernier volume de Soixante ans de journalisme littéraire (1792 pages, 39 euros, éditions Maurice Nadeau) couvrant la période 1966-2013. Une somme de plusieurs milliers de pages fascinantes d’intelligence critique lorsque le jugement va de pair avec l’indépendance d’esprit, recueillant ses articles dans Combat, puis aux Lettres nouvelles, enfin à la Quinzaine littéraire. Il n’en a que pour l’œuvre, et seulement l’œuvre, laquelle vaut « toujours plus que le bien, ou le mal, qu’on dira d’elle ». Quelle leçon ! Déjà, la parution des tomes précédents nous avait régalés. Et il n’est pas indispensable d’être féru d’histoire littéraire pour s’y promener par sauts et gambades car ces gros volumes ont la vertu de se dévorer n’importe où du côté d’Aragon, de Leiris, Michon ou de Houellebecq, Tabucchi ou Zinoviev. C’est d’une telle richesse et d’une telle densité !
On savait donc déjà le risque que prenait l’éditeur en réunissant tous ces articles : l’inévitable répétition des formules du critique sur une telle distance temporelle, le daté sinon le suranné de ses jugements, l’inactualité de bon nombre d’oeuvres passées au tamis etc Et pourtant, tous ces écueils se retournent et excitent justement la curiosité. Non que tout ce que s’y trouve soit universel-et-intemporel mais presque tout fait partie d’un continuum édifiant dès lors qu’un regard aussi aigu, avisé, indépendant que celui d’un lecteur de la qualité de Maurice Nadeau s’y est posé. La préface éclairante de Thiphaine Samoyault le dit bien en le replaçant dans le contexte de l’époque :
« La longévité de Nadeau ne tient pas seulement à l’âge qu’il avait quand il est mort, mais à cette présence absolue au temps présent qu’il maintient active dans la longue durée. Ses engagements antérieurs – ceux dont témoignent les deux premiers volumes de ses oeuvres complètes – en font une référence morale et sa mémoire prodigieuse ajoute encore à cette valeur de grand témoin (…) La forme que prend son engagement au fil du temps accompagne l’évolution de ce temps, d’un lien très fort aux événements, au début, jusqu’à une implication par la subjectivité, à la fin, dans une trajectoire qui est celle de la littérature elle-même de l’extériorité vers l’intériorité. »
Ces Soixante ans de journalisme littéraire relèvent autant du journalisme que de la littérature à leur meilleur. C’est rare de disposer d’un tel corpus sur une telle durée avec une telle fidélité à un absolu de la fiction romanesque, de la poésie et même de l’essai. Grâces en soient rendues aux toujours vivantes éditions Maurice Nadeau ! Elles n’ont pas failli à leur devoir de gratitude en archivant leur saint-patron, et celui de tant de journalistes littéraires, juste comme il le fallait.
(« Jérôme Lindon à son bureau avec Samuel Beckett, 1985, photo Louis Monier ; « Maurice Nadeau chez lui à peine masqué » photo Passou)
984 Réponses pour Se faire archiver mais juste comme il faut
le général Dourakine est un roman de la petite comtesse de Ségur, née Rostopchine. Je vous le rappelle pour mémoire, MC. Et « la légende de Gosta Berling » appartient à Selma Lagerlof, prix nobelle de littérature suédoise. Bàv,
Bon anniversaire Charles Darwin
voici une nouvelle découverte matinale pour enrichir notre culture collective et individuelle. Encore faudra-t-il s’en souvenir ce soir, et pour cela, faire la journée durant des efforts de remémoration à chaque heure, et sans consulter le moindre support artificiel.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Excubites
@ RM, La pensée, l’oeuvre et la vie de Charles Darwin ont été abondamment disséquées par le linguiste Patrick Tort. Personne, en dehors de lui, ne les a, à ce point, intimement fréquentées…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Tort
Bien sûr, quelques grincheux ont voulu la peau de ce spécialiste, et faire de la publicité à leur propre médiocrité. On négocie très mal ce « parasitisme des affects », comme disait RB.
Pour les flemmards du dimanche matin, on peut aussi écouter le bonhomme noir nous expliquer la vie,
https://www.youtube.com/watch?v=0J9lrYSfctU
De rien,
Merci du « pour mémoire » JJJ , mais je ne vois pas ce que Dourakine et Ségur viennent faire ici, n’ayant évoqué ni l’un ni l’autre. Par contre le château de Pluneret, et sa sépulture avec Maurice , son fils, je connais! MC
Le dramatique fait divers impliquant Pierre Palmade a en partie occulté, en ouverture de JT et en une des quotidiens, les manifestations contre la réforme des retraites !
Curieuse hiérarchisation de l’actualité par les responsables de presse…
De même que les manifestations nationales ont en partie occulté les tremblements de terre en Turquie et en Syrie.
https://www.kiosque.leparisien.fr
Langue française
Je signale à des milliers de gens qui ne craignent pas de parler devant un micro, que « par contre » ne se prononce pas « par conte ».
Le discours de Vargas Llosa et la réponse de Rondeau paraîtront sans doute en un petit volume bientôt, sûrement chez Gallimard (Antoine Gallimard était présent sous la Coupole, je l’ai vu bâiller à plusieurs reprises). D’habitude, je n’achète pas ce genre de livre, mais là je ferai une exception. D’habitude, je trouve toujours à redire à ces discours. Celui de François Sureau m’a ennuyé, surtout quand il s’est mis à chanter une chanson se scout. En revanche, j’aime bien les discours de Dominique Bona, elle sait y faire, nous parler de Proust quand il faut. Ou de Romain Gary. Dans l’Académie française actuelle, même si elle reste à droite, la tolérance prime. Plus d’affreux jojos antisémites comme Paul Morand. J’y verrais bien Simon Liberati, venir nous faire des leçons précieuses de littérature, rien que pour le plaisir. Dernièrement, Eric Neuhoff, du « Figaro », s’est présenté pour la première fois. Je pense qu’il peut réussir à la sixième ou septième, quand la lassitude envahira les Immortels devant ce Neuhoff qui est un bon gars, finalement, courtois et bien élevé. A-t-il parlé de leurs livres ? Non, dans les colonnes du « Figaro littéraire », le jeudi, il ne parle que des romans étrangers. Et puis, il est paresseux Neuhoff. Il y a une grande nonchalance en lui, c’est sa marque de fabrique, surtout quand il parle cinéma, où ses goûts sont ceux d’un vieux schnock. Au fond, cela aussi devrait plaire aux quarante habits verts, qui sont autant de vieux schnocks ayant des goûts de luxe. Il leur faut la Coupole pour se distraire. Grâce à ce divertissement, ils se donnent encore quelque importance dans le monde des lettres. Vargas Llosa va certes rehausser le niveau ! Bon dimanche à tous.
Quand tu signais Delaporte, Eric Neuhoff était ta bête noire, Damien !
Et pas un mot de remerciement pour ma réponse à ta demande de lire Daniel Rondeau ?
Décidément, D. n’est plus ce qu’il était…
ONGLES.
Au nom de tous les hommes sans exception, je fais observer à un certain nombre de dames que peindre leurs ongles en noir, en marron foncé, en bleu marine, en vert sapin ou en violet, est une fausse bonne idée. Je présume que quelques dames aussi partagent mon opinion.
Je ne parle bien entendu que des mains, car on ne voit pas les ongles des pieds à la télé, dans les débats en tout cas.
Et en orange Patrice Charoulet ?
Janssen J-J
Le bonhomme en noir.
Passionnant.
C’est plié pour Macron puisqu’il est fort avec les faibles et faible avec les forts (M.Onfray).
Je vais le réécouter.
Ce Charoulet est un fétichiste des ongles féminins !
Tous de vieux obsédés sur ce blog.
Michel Onfray, tu parles d’une référence, rose !
Pierre Palmade est un homo-pitre cocaïné, complètement irresponsable, à cause de lui une femme enceinte a perdu son enfant et est dans un état critique, il mérite ce qui lui arrive, bien fait pour lui, ça lui apprendra de conduire sous la drogue.
Jazzi aussi est un drogué en plus d’être homo. Deux bonnes raisons pour ne surtout pas le fréquenter.
Palmade est un criminel, il doit rendre des comptes.
Merci du compliment, Jazzi, mais je ne suis pas Delaporte. J’eusse aimé, car il avait beaucoup de talent. C’était mon maître ici. Aujourd’hui, à part Paul Edel, ce blog à commentaires n’est plus que repli sur soi, serpent qui se mord la queue, retour au point de départ. Personne ne vous lit, les enfants ! Quand il y avait Delaporte et Widegänger, c’était autre chose. On a ça un peu avec la remarquable Sasseur, mais elle se fait trop rare et se déploie avec trop de complaisance dans certains détails. Rendez-nous Delaporte, Widergänger et la Sasseur du début qui était complètement folle ! Vous aussi, Jazzi, vous avez certainement la nostalgie de ce temps passé ? Vous aimeriez qu’ils reviennent tous ?Allez ! Je vais dormir, avant de me rendre ce soir vers 20 h au cinéma. Bonne fin de journée à tous !
Faut arrêter l’anisette, JC !
Contrairement à Charoulet le tordu, à Jazzi le drogué et à JJJ le débile, moi je suis quelqu’un de propre, de gentil, de poli et de sain d’esprit.
15°5
pardon MC, je confonds toujours vos initiales avec celles de MS ou RM. Bàv,
Des nouvelles du malheureux Palmade sur le site du « Figaro ». La situation ne saurait être pire pour lui :
« Le chef d’homicide ne pourra toutefois être maintenu que si des analyses montrent que le bébé a été vivant et viable avant de décéder. Jusqu’à présent, l’état de santé de Pierre Palmade n’a pas permis son placement en garde à vue, mais celui-ci pourrait intervenir très prochainement. »
Il a commis en somme un crime de la route, avec sa voiture, alors qu’il faisait la fête et qu’il était drogué. Néanmoins, ne nous acharnons pas sur lui. Comment va-t-il survivre à cela, lui qui est si fragile psychologiquement ? Au fond, lui aussi, comme le bébé, est mort dans cet accident, et sa vie est détruite, comme celles des trois autres personnes grièvement blessées. Palmade réagira-t-il dignement, assumant son forfait ? Ou bien essaiera-t-il de se réfugier dans un déni de réalité, qui était son lot lorsqu’il consommait de la drogue ? Un long cheminement de rédemption s’ouvre à lui, quelque chose de nouveau pour cette pauvre âme perdue, pas bien intéressante, mais âme quand même. Même si dans l’instant il me fait l’effet d’un monstre. Ce qui lui arrive est trop grand pour lui. Il essaiera peut-être de se suicider. Son pauvre humour qui ne faisait pas rire ne lui sera d’aucun secours. Il faisait la fête, et c’est la mort qui a surgi, comme dans la nouvelle de Poe, « Le masque de la mort rouge ». Palmade le décadent, enfant d’Edgar Poe…
L’interview d’Onfray sur Europe 1 était vraiment intéressante. Ce qu’il dit sur Macron. Sa position pour la paix entre l’Ukraine et la Russie.
« Palmade le décadent, enfant d’Edgar Poe… »
Faut pas exagérer, Damien !
N’ayant pas obtenu ce qu’il désirait, Onfray c’est institué comme le principal opposant de Macron, rose.
Hélas, n’est pas Victor Hugo qui veut…
s’est, sorry…
…DIMANCHE,!…12 février 2023 à 14 h 30 min….
…et cette guerre fracticide pour un lopin de terre a blé,!…
…C’est tout,!…de l’économie sociale et politique,!…
…etc,!…Go,!…suivant,!…
« Cela parait à peine croyable mais, au fil d’une existence parisienne entièrement vouée aux livres, le critique et éditeur Maurice Nadeau avait à peine rencontré Jérôme Lindon ; ils préféraient s’écrire, usage encore courant au XXème siècle. »
Amusant.
Mais vu l’usage des mails très courant aussi au XXIe siècle
Je me souviens qu’avec Dexter on s’amusait beaucoup avec les bévues d’Onfray.
Marcel Proust
« C’est ainsi que Bloch, dont j’eusse tant aimé savoir ce qu’il pensait de mon article, ne m’écrivit pas. Il est vrai qu’il avait lu cet article et devait me l’avouer plus tard mais par un choc en retour. En effet il écrivit lui-même quelques années plus tard un article dans Le Figaro et désira immédiatement me signaler cet événement. Comme ce qu’il considérait comme un privilège lui était aussi échu, l’envie qui lui avait fait feindre d’ignorer mon article cessant comme un compresseur se soulève, il m’en parla, tout autrement qu’il désirait m’entendre parler du sien : « J’ai su que toi aussi, me dit-il, avais fait un article. Mais je n’avais pas cru devoir t’en parler, craignant de t’être désagréable, car on ne doit pas parler à ses amis des choses humiliantes qui leur arrivent. Et c’en est une évidemment que d’écrire dans le journal du sabre et du goupillon, des five o’clock, sans oublier le bénitier. » Son caractère restait le même, mais son style était devenu moins précieux, comme il arrive à certains écrivains qui quittent le maniérisme quand, ne faisant plus de poèmes symbolistes, ils écrivent des romans-feuilletons.
Pour me consoler de son silence, je relus la lettre de Mme Goupil ; mais elle était sans chaleur, car si l’aristocratie a certaines formules qui font palissades entre elles, entre le « Monsieur » du début et les « sentiments distingués » de la fin, des cris de joie, d’admiration, peuvent jaillir comme des fleurs, et des gerbes pencher par-dessus la palissade leur parfum adorant. Mais le conventionalisme bourgeois enserre l’intérieur même des lettres dans un réseau de « votre succès si légitime », au maximum « votre beau succès », des belles-soeurs, fidèles à l’éducation reçue et réservées dans leur corsage comme il faut, croient s’être épanchées dans le malheur ou l’enthousiasme si elles ont écrit « mes meilleures pensées ». »
(« Albertine Disparue »)
« le journal du sabre et du goupillon, des five o’clock, sans oublier le bénitier »
L’auto-dérision chez Marcel Proust.
Puisque Proust comme Céline lisait régulièrement le Figaro.
Je trouve que ce journal n’est plus ce qu’il a été.
Pour Céline le Figaro c’est surtout le journal des pages nécrologiques. C’est dans Rigodon je pense. Il ne passe pas une journée sans lire la rubrique nécrologique.
Il veut savoir qui parmi les copains les avaient définitivement quittés.
« Son caractère restait le même, mais son style était devenu moins précieux, comme il arrive à certains écrivains qui quittent le maniérisme quand, ne faisant plus de poèmes symbolistes, ils écrivent des romans-feuilletons. »
Quand Proust a la dent dure.
On a connu des écrivains très « nouveau roman » qui ne sont plus « nouveau roman » du tout.
Que vont devenir nos wokes ? J’attends avec impatience.
« Sa position pour la paix entre l’Ukraine et la Russie. »
La seule possibilité pour la paix : la Russie lève se retire des territoires ukrainiens et rentre à l’étable. Ne pas oublier qu’il n’y a pas de paix sans justice.
sans lève !
@ »la Sasseur du début qui était complètement folle ! »
Cher Damien, cette pensée pour vous-même vous honore.
On reconnaît bien là votre goût pour des héroïnes qui ont disparu des écrans.
Je vous souhaite une bonne dernière séance, mais pas pour un film de cinéma français archivé par E. Neuhoff, nostalgique de gros cigares et p’tites pépés, et de salopes magnifiques, ie bien perverses.
On aurait aimé vous lire, masqué, sur le billet Garcin, pour un garcinthon, cher Damien, on aurait bien ri. Les billets sont d’un triste…!
ps: Ce n’est pas du détail, c’est du minutieux, du fait main, et je vous le recommande.
https://fr.web.img5.acsta.net/r_512_288/pictures/22/06/29/17/03/5057490.jpg
pps: Palmade est maintenant un assassin, comme tous ceux qui n’ont pas choisi entre conduire et boire, se piquer, sniffer, ou pianoter sur leur smartphone !
Je suis sûr que ce dépravé de Jazzi pratique le Chemsex(Kémsexe) et qu’il a contaminé beaucoup de gens.
Je vais peut-être porter plainte contre Jacques Barozzi mais il faut que je trouve des témoins et des victimes avant, j’y pense sérieusement.
Affaire à suivre…
Là encore la chronologie ne va pas. La chronologie de la Recherche est très ramassée. Impossible que Bloch évolue ainsi en si peu de temps.
La « Recherche » n’est pas terminée, Marcel Proust aurait réussi a supprimer les impossibilités les plus fragrantes mais de manière évidente pas tout.
Pour réussir à faire tenir « La Recherche » il faut toujours switcher entre une chronologie courte, celle des événements, le roman de formation d’un tout jeune homme à la fin du XIXe siècle, et une
chronologie longue, celle des expériences de Proust jusqu’au début de la guerre (si on ne tient pas compte du « Temps retrouvé »).
Verlaine « symboliste » ça me laisse toujours sceptique.
Le pauvre aura tout eu : soi il est parnassien, soit il est décadent, soit il est symboliste.
En relisant le passage de Proust je me dis qu’après tout ici ça pas tenir. L’article du narrateur est publié à la fin du XIXe mais l’article de Bloch est publié a une date postérieure mais inconnue, sachant que le narrateur écrit après la première guerre mondiale (environ) puisqu’il en parle dans le « Temps retrouvé ».
Mais c’est quand même filandreux.
@ Par contre le château de Pluneret, et sa sépulture avec Maurice, son fils, je connais
____
Par conte, PC, là je ne sais pas à quoi vous faites allusion… Néanmoins, mes salutaires condoléances bretonnes.
https://avis-de-deces.ouest-france.fr/20131211/maurice-rouzic-91858
Bàv,
« Céline: un Rabelais qui aurait lu Zola. »
Paul Valéry
Apparemment, FL, vous découvrez la RDTP, mais donnez l’impression de trop brûler les étapes. Ne vous précipitez pas dans des commentaires pseudo érudits avant d’avoir tout lu, digéré et gardé le meilleur pour la faim. Du reste, il vous faudra aussi en passer par Jean Santeuil, comme nous tous. Bon courage à vous !
Je n’ai pas l’intention de lire Jean Santeuil.
« Pendant plusieurs heures, les enquêteurs, accompagnés d’un chien de la brigade des stups, ont fait des allers-retours entre le domicile de l’humoriste, un ancien corps de ferme, et l’extérieur des lieux. Peu avant 14 heures, ils ont chargé deux gros sacs dans le coffre de leur véhicule. »
C’est pas du E. A Poe, ça, Damien. C’est un truc pour O. Marchal.
Il vaudrait mieux s’abstenir d’accabler ce pauvre Palmipède, il y a déjà assez de malheurs et de gros voyeurs comme ça, bien assez de souffrances sur toutes les routes de France : plus d’un million de gens conduisent sans permis et sans cocaïne, d’après les chiffres de la sécurité routière.
> En relisant le passage de Proust je me dis qu’après tout ici ça *peut* tenir.
Cher Damien, c’est aussi la lassitude d’être systématiquement spamee par des vieux toquards en fin de vie, qui donne plus envie.
A bientôt, j’espère.
N’ayant pas obtenu ce qu’il désirait, Onfray c’est institué comme le principal opposant de Macron
Qu’est ce qu’il désirait ?
C’est tellement facile et même comique de s’opposer à Macron, pas besoin d’être courageux ou téméraire pour le faire. Si Onfray vivait en Afghanistan ou en Corée du nord il ferait moins le malin.
Le directeur d’un important musée russe a été évincé sans ménagement pour ne pas avoir fait progresser les « valeurs traditionnelles » de Vladimir Poutine
Zelfira Tregulova a été remplacée à la Galerie Tretiakov de Moscou par la fille d’un haut responsable militaire avec peu d’expérience artistique.
Taylor Dafoe , 10 février 2023
La maison de Palmade, où il s’isolait du monde, était au sud de Paris, à Cély-en-Bière. Là il faisait de grandes fêtes, des orgies, avec de la drogue dure (Palmade était adepte des rapports sexuels sous came). Cette déliquescence morale rappelle Edgar Poe, ma chère et divine Sasseur !
Lisez aussi les propres paroles du Palmipède, recueillies par « Le Monde » sans complexes :
« La société m’a fait détester mon homosexualité. Cela m’a pourri la vie », expliquait-il au Monde en 2019, à l’occasion de la publication de son autobiographie. « Avec la drogue, je vais mieux vivre mon homosexualité, poursuivait-il. A jeun, je ne suis pas à l’aise avec cela. Le premier jour où j’ai pris de la cocaïne, je n’avais plus de jugement sur moi-même, je ne m’en voulais plus d’être homo. Dans les premières années, cela a été comme un “médicament” contre mon auto-homophobie qui m’aidait à vivre en paix mon intimité, en faisant un bras d’honneur à mon époque bordelaise [qui correspond à l’enfance de l’humoriste, dans une ville dont il regrette le conservatisme]. Ce n’est que vers l’âge de 30 ans que je comprendrai que ce médicament est un poison, une drogue très sournoise. »
La fatalité d’un destin solitaire rappelle encore Edgar Poe, et aussi le fait que ça finit mal. Palmade s’était bâti une névrose à lui tout seul, dont il n’est jamais sorti, et qu’il cultivait dans sa campagne abandonnée, protégée par les hauts murs sinistres comme ceux d’une prison de sa propriété. Seuls quelques gigolos en passaient la porte — de ceux qui se sont sauvés juste après l’accident, pour ajouter la lâcheté au crime perpétré. Le petit Palmade, roi en son royaume de la dégénérescence, en sa maison Husher qui annoncait son effondrement et sa chute, régnait là, au-dessus, ou plutôt au-dessous du vice et de l’ordure. Pour peindre cet univers décadent de show biz pourri, au milieu de tant de sensations artificielles et d’angoisses schizophréniques, il aurait fallu la plume délétère de Poe, et sa panoplie de fantasmes morbides.
J’ai revu récemment « Toby Dammit » sur YouTube, fabuleux témoignage d’une autre époque, les années 70. C’est tiré d’une nouvelle de Poe, là encore. Je vois très bien Palmade, avec son automobile, non pas une voiture de sport décapotable comme dans le film de Fellini, mais une Peugeot 3000, véhicule élégant, se faire décapiter de telle ou telle manière, et la tête du Palmipède voler dans les airs, à bonne hauteur du sol.
Chère Sasseur, ces références nombreuses au maître de la nouvelle vous suffisent-elles ? Je l’espère, car ce sera tout pour aujourd’hui ! Bonsoir à tous !
Il faudrait déjà savoir à quoi correspondent « les valeurs spirituelles et morales russes traditionnelles » pour un mafioso russe.
PAR CONTRE.
Je suis l’heureux possesseur de six ou sept « dictionnaires des difficultés du français »(ou titres approchants). Ils ont des avis très variés sur « Par contre »Je n’en infligerai le détail à personne.
On me permettra de ne citer que la dernière édition du Dictionnaire de l’Académie française, qui est toujours sur mon bureau :
« Par contre : en revanche, d’un autre côté, en contrepartie, en compensation, à l’inverse.
(Puis, en caractères gras !) Condamnée par Littré d’après une remarque de Voltaire, la locution adverbiale «Par contre » a été utilisée par d’excellents auteurs français, de Stendhal à Montherlant, en passant par Anatole France, Henri de Régnier, André Gide, Marcel Proust, Jean Giraudoux,
Geroges Duhamel, Georges Bernanos, Paul Morand, Antoine de Saint-Exupéry, etc.
Elle ne peut être considérée comme fautive, mais l’usage s’est établi de la déconseiller, chaque fois que l’emploi qu’un autre adverbe est possible. »
Pour les catholiques le pape est infaillible. Pour le puriste que je suis l’avis de l’Académie française
n’est pas peut-être infaillible ; en cherchant bien je pourrais suggérer quelques autres oracles.
Pour la plupart des Français (et pour les jeux télévisés) les deux SEULES autorités sont …le petit Larousse et/ou le petit.Robert.
Il faut même ajouter qu’il y a 67 millions de spécialistes du français, prêts à critiquer ou ridiculiser n’importe qui , s’il parle ou s’il écrit.
À propos de « valeurs spirituelles et morales russes traditionnelles » :
J’espère que Palmade ne finira pas comme Delarue, autre grand adepte de la coke ; les excès graves et longs usent le corps d’une façon terrible.
Palmade n’est pas un mauvais gars. Il est surtout faible. Il doit être à l’heure qu’il est effondré parce qu’il est sensible et déteste faire du mal aux autres.
Il sera jugé et assez probablement lourdement condamné. Il faut être réaliste, sa carrière est terminée. Il aura intérêt à se faire tout petit. Je n’ai pas de conseil à lui donner, mais je serais dans sa situation, je me retirerais dans un monastère après avoir purgé ma peine, pour échapper aux tentations du monde.
Que feriez-vous dans une telle situation, Patrice Charoulet ?
@ »une névrose à lui tout seul, dont il n’est jamais sorti, et qu’il cultivait dans sa campagne abandonnée, protégée par les hauts murs sinistres comme ceux d’une prison de sa propriété. Seuls quelques gigolos en passaient la porte »
Cher Damien, non seulement vous ne manquez pas d’imagination, mais elle est lugubre.
Si on n’y prend garde vous pourriez aussi nous faire de Palmade, un génie incompris et reclus.
Que fut Allan Turing.
Je fréquente moins les people que vous; j’en étais restée à son mariage avec V. Sanson, mariage auquel il avait mis fin, dans une très émouvante intervention publique où il disait préférer les hommes et plus tard indiquer qu’il ne se reconnaissait pas dans le militantisme lgbt.
Non, cher Damien, on est très très loin du dandysme décadent tardif de A. Turing, ou des atmosphères troubles de E. A. Poe. Ou même des virées de nuit assez pathétiques et très émouvantes de Y. Saint Laurent.
On est dans le fait divers glauque de banlieue, là, cher Damien. Grande banlieue,
je vous l’accorde : 50 km de Paris
Deux gitons racolés sur net, une partouze d’enfer pendant 24 heures dans un grangeon rénové, un lupanar , et en fin d’après-midi, tous obligés de monter dans la fourgonnette Peugeot, complètement camés, pour aller à la superette du coin au ravitaillement .
Et là le drame, effroyable.
Non, cher Damien, je vous invite à reconsidérer votre analyse, et vous en viendrez à la même conclusion que moi: Palmade devra aller en prison.
Et ceux qui n’ont pas choisi entre conduire , se piquer, sniffer, ou pianoter sur leur smartphone, sont des assassins.
C’est dans les monastères que se pratiquent les vices les plus sordides à l’abri des regards indiscrets et loin, très loin du regard de Dieu mon petit Dédé.
Quant aux chauffards du web, il ne faudrait pas se contenter de peines virtuelles pour les remettre dans le droit chemin ; inchallah la la
à propos des valeurs spirituelles russes
Poutine et les scientifiques russes : vengeance, diplômes bidon et immortalité
La guerre en Ukraine a lourdement impacté le travail des scientifiques russes. La propagande que mène Vladimir Poutine depuis quinze ans aussi.
express
Passou devrait leur lancer un chatbot dans les pattes pour les confondre ; un modèle d’IA rudimentaire devrait faire l’affaire
Vous êtes-vous déjà rendu dans un monastère, Jacques ? Parce que moi oui et à plusieurs reprises, mon cher. Je sais de quoi je parle, moi.
Et ceux qui n’ont pas choisi entre conduire , se piquer, sniffer, ou pianoter sur leur smartphone,
ni choisi entre boire et conduire ,
sont des assassins.
@rose dit: à
Janssen J-J
Le bonhomme en noir.
Passionnant.
C’est plié pour Macron puisqu’il est fort avec les faibles et faible avec les forts (M.Onfray).
Je vais le réécouter.
Et que Boileau ne serve pas de prétexte aux funestes simplisme vaguement populistes sinon populaires ; ce qui se conçoit bien s’énonce clairement : Onfray est un vieux con
… un vieux con bien nourri
Remonté à bloc toute la journée et le soir encore.
JJJ . La Comtesse eut pour fils Mgr de Ségur,Maurice de son prénom, qui finit Archevêque de Paris. Il est connu pour des prises de position rétrogrades, mais il est aussi de notoriété publique qu’il s’est prononcé contre la censure pour faire jouer la scène de l’Eglise de Faust, une des plus belles pages de Gounod. Il repose avec sa mère dans le petit cimetière de Pluneret, en Morbihan
rose et la nue paisse en frais dans le grangeon des idées recuites.
« L’enfant d’ Edgar Poe » n’a laissé aucun équivalent des Histoires Extraordinaires. Et Poe, s’il se soûlait, n’était pas orgiaque .. On l’aurait su par son beau-frère. Ou Robert Kolb.
quant au baratin palmadesque sur la société non permissive, et la nécessité de la drogue pour s’affirmer, c’est tout simplement se moquer du monde. Ajoutez le côté Dorian Gray : « Vingt ans d’ addiction » quand il faut lire au moins trente cinq, et de fumeuses histoires de produits de substitution à la cocaine. ( Le Parisien) quand on le sait drogue impénitent, Défendre ça n’est pas sérieux.
@Et que Boileau ne serve pas de prétexte aux funestes simplisme vaguement populistes sinon populaires
Palmade non plus ; s’il faut se placer au niveau d’accroche de certains
Il commence à me courir sur le haricot, le Jacques.
Mr. Synthétique, vous devriez, si je puis me permettre un conseil, soigner votre addiction à l’eau plate et votre rigorisme religieux maladif par la dégustation de quelques jus de la treille, en odeur de sainteté jusque parmi vos pairs sacristains ; faut-il invoquer les Noces de Cana pour vous permettre de boire un bon coup en bonne conscience ? Quant à ceux qui proscrivent par principe un bon verre de vin de leur régime alimentaire, on voit à quelles extrémités cela peut les conduire … en toute « lucidité »
Au frais.
16°5
Surtout anti-acharnement qui ne nuit qu’à celui qui le commet. Encore s’agit-il d’en être conscient.
(Tous ceux qui contrarient ma logorrhée que je tartine partout où je le peux sont des hargneux malintentionnés ; qu’ils n’en soient pas conscients n’en fait pas pour autant des innocents)
Ce bigot de D et ses bondieuseries aussi lourdes que les stalactites de la grotte de Lourdes… Quelle bête à bon dieu celui-là😀
Je vous souhaite une bonne soirée,.
rose
mais qu’allait-il faire dans cette galère, ce vieux Rimbaud ? ça vient de sortir
https://www.youtube.com/watch?v=9rrbvZECtgA&t=4s
J’apprends que le missile tiré était un AIM-9X. Or ce missile est de catégorie Fox-2, à guidage infrarouge, missile très maniable et véloce, mais plus particulièrement réservé au combat à courte portée.
Dès lors c’est très simple : seul un moteur ou réacteur thermique est sensible à un tel missile (conçu à la base pour détruire un chasseur à réaction adverse en combat tournoyant).
Je peux vous affirmer avec certitude que ni ballon ni « cylindre » ne peut être ainsi détruit et que pour le faire, une rafale de canon de 20 rotatif (Vulcan M61), dont est équipé le F22, serait cent fois plus efficace . Rien du tout n’a été détruit. Il s’agissait à l’évidence d’un énième ovni qui a instantanément disparu, comme ils savent parfaitement le faire. Maintenant, pourquoi ce bazar balancé sciemment aux médias : la méthode hypothéticodéductive peut aider à le savoir.
Mais qui vous permet, Langoncet, de dire que je ne bois pas de vin, moi qui peste contre la civilisation de la bière ?! Et où est le rigorisme religieux si ce n’est dans l’évocation obligée de Mgr de Ségur ou c’est un trait d’époque? Ayez de moi l’image que vous voulez, mais ne vous livrez pas à des déformations qui n’engagent que vous-même. A moins bien sûr que s’en prendre à Palmade vous déplaise, et que vous ne l’ayez canonisé pur votre petite religion personnelle.,Auquel cas on se demande bien pourquoi,,,,
Je crois d’ailleurs que D parle de Dieu et cite les Écritures dix fois plus que votre serviteur, ce qui n’a pas l’air de vous frapper, ou de susciter une quelconque réaction de votre part, ou de celle de la Kali de ce blog. Curieux, non?
(oui, dans les circonstances que vous connaissez, s’en prendre à Palmade pour pousser ses petites manies politico-religieuses, me déplaît ; profondément, mon con)
Faut-il rappeler que sur ce blog , la comtesse de Segur ne fut évoquée que pour se faire conspuer, être mise plus bas que terre, il est vrai qu’elle était alors en rivalité avec le cardinal, ministre de Louis XIII, par le truchement d’un cerveau fumé par l’encens, le même qui ce soir, dans les toutes dernières minutes du 12 février 2023, lui rend grâce d’avoir accouché d’un monsignore.
Faut-il que ce fou furieux abusât du vin de messe, pour se livrer à pareil esclandre, d’ivresse sur la voie publique.
« S’en prendre à Palmade » d’accord, mais il faut avoir l’esprit singulièrement déformé pour voir la des traces de « manies politi co-religieuses « . Il faudrait peut-être réapprendre à lire …. MC
De ce qui distingue le motif du prétexte, Mr. Synthétique
Vous tenez des fiches, Sasseur? Pour le reste, je suis désolé, mais il est évident que face à Richelieu, que vous traitates s’il m’en souvient bien avec la distinction qui vous caractérise, de « Cardinal au cul pourri »la Comtesse de. Ségur ne fait pas le poids. Mais peut-être pratiquez-vous davantage les Memoires d’ un Âne que le Testament Politique? Cela ne serait pas pour m’étonner non plus…. MC
De ce qui distingue la contradiction des simagrées
C’est une phrase qui est retournable contre celui qui la prononce, malheureusement pour vous!
Du préau des écoles et de la cage à poule virtuelle. Mr. Synthétique, tenez bon ; la France millénaire a besoin d’hommes comme vous pour se projeter vers l’avenir, enfin libérée du joug d’Hidalgo et consœurs qui la briment et la brident depuis 1789, environ (gaffe toutefois à detectGPT pour vos rédactions – ce méchant programme conçu par des américains pour disqualifier et botter le cul à des toquards dans votre genre)
Assassin. Salopard. Prison. Innocence.
Un drame.
Il a épousé V.Samson par gentillesse pour la sortir de sa dépression. Ce n’était pas un mariage d’amour mais d’amitié.
Je connais dans mon entourage plusieurs personnes qui ont tué qqu’un suite à un accident de voiture.
Là se rajoute le drame de la totale innocence bafouée, la maman sa famille.
L’argent, pretium doloris sera un urgo sur un abcès.
La prison inutile sur un xy aussi fragile.
Soin & désintoxication pourraient être prescrits.
Si pour baiser maintenant s’agit de prendre de la cocaïne, on ne baisera plus.
La curiosité de Maÿa concernant le sexe. Son vernis à ongle orange. Ses cheveux rouges, sa peur panique de la mort.
Un jour, je lui parlerai de Rhodes.
pour le faire, une rafale de canon de 20 rotatif (Vulcan M61), dont est équipé le F22
Comme nous n’avons pas suffisamment une trouille noire d’une troisième guerre mondiale nucléaire, rajoutez-y les ovnis. On vivra terrées, sans chou-fleur, 5€ pièce et ce sera bon. Avec nos provisions entassées.
vin de messe,
Pas seulement hélas.
Le préau des Accoules
https://musees.marseille.fr/preau-des-accoules-musee-des-enfants
On ne refera pas l’enfance.
Gros bisous, & bon lundi 13 février 2023, 5h33.
Je vais y emmener Emma, qui aime sortir, apprendre, connaître, découvrir. Curiosité, intelligence du cœur, intelligence tout court, elle possède.
Un musée dédié aux enfants.
Lieu de sensibilisation aux arts et au Patrimoine, le Préau des Accoules occupe une partie de l’ancien observatoire de Marseille.Ce bâtiment à l’histoire très riche fut construit en 1702 par les Jésuites sur le sommet de la montée des Accoules.
Le plan du bâtiment est attribué au Père Laval, qui sera le premier directeur de l’observatoire.
Ses murs ont également abrité un collège, une école d’hydrographie, et l’Académie des Sciences, Arts et Belles-lettres. Esprit Joseph brun, architecte du château Borély, offrira les plans de la salle de l’académie.
D’une rareté audacieuse, une pièce à colonnes surmontée d’une voûte plate appareillée dans une chaude veine jaune de pierre de la Couronne (1781-1783) qualifié de chef d’œuvre architecturale.
Au milieu du XVIIIème siècle le directeur de l’Académie , constitue dans ses murs un cabinet de curiosité, ancêtre de nos Musées, composé de collections d’histoire naturelle, d’antique, de médailles, de livres, de maquettes, d’objets exotiques ramenés de voyages etc…
Dans l’ancien observatoire de Marseille a travaillé Louis Feuillée, un ami à moi, nommé là par le roi, botaniste, astronome, explorateur des nouveaux mondes.
Est né à Mane, Alpes de Haute Provence et a eu une belle envolée.
Me direz, botaniste pour un Feuillée cela semble une évidence, non ?
Louis Éconches Feuillée
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Louis_Feuill%C3%A9e
Appartient à l’ordre des Minimes.
Aujourd’hui couvent reconverti en hôtel de luxe *****, avec héliport et tout le tintouin.
Dans les cellules de moines voués au minima, comme leur ordre l’indique, 500 euros la nuit, se vautrent quelques impénitents, dont l’assuétude à l’argent est le vice majeur.
Louis Feuillée, lui, est dans les étoiles, avec son herbier. Ne cherchez pas la contradiction, il n’y en a pas.
Il est aussi, Louis Feuillée, cartographe, géographe, explorateur.
Apparemment son premier Observatoire aurait été placé Jean Jaurès, ita est à la Plaine.
Voyons voir si lien avec l’observatoire des Accoules.
place Jean Jaurès. La Plaine.
Apparemment pas de lien avec l’observatoire des Accoules. Louis Feuillée a eu son observatoire personnel construit sur ordre du roi Louis XIV, qui l’avait à la bonne, dans son couvent des Minimes sis place Jean Jaurès à la plaine.
Cet homme est devenu moine pour étudier et travailler sa vie durant. Sa vocation était savant.
La Plaine à Marseille.
On lui doit le quinoa.
Chenopodium quinoa : Chenopdium folio sinuato sature virende. « La graine est excellente dans la soupe : on en fait au Pérou et dans toute l’Amérique le même usage que nous faisons du riz en Europe »[29]. Cette plante a été décrite pour la première fois par Feuillée[30]. Elle est connue actuellement sous le nom de Quinoa.
Plus tard, il enverra Frézier aux fraises en Amérique du sud, lui le premier les ayant goûtées, puis ils se disputeront âprement « ce sont les fraises, non les miennes » alors que l’inventeur est bien Louis Feuillée, l’exportateur étant bien Frézier.
C’est depuis que l’on dit va donc aux fraises.
Ce fou furieux mc, ce bedeau alcoolique, qui n’a rien lu de la comtesse de Segur, car son enfance pendue jusque tard aux mamelles de nourrice bretonnante,
s’est permis, sur ce blog de littérature, de traiter plus bas que terre cette auteur de la bibliothèque rose connue de toutes les petites filles, depuis des générations,
ce gnome hideux aveuglé par la haine, la bêtise et l’ignorance crasse , au service d’une officine intégriste , qui propage des thèses identitaires nationalistes et racistes, loue Richelieu » philosophe » et insulte dans la même phrase tous ceux qui ont lu , enfants, la comtesse de Segur,
Donc ce fou furieux mc , cet alcoolique infect, refile de la majuscule a la comtesse de Segur quand il s’agit de rappeler qu’elle a mis bas un monsignore, puisque dans ce cerveau malade qui n’a des femmes que des souvenirs de mamelles, les femmes sont des machines à enfanter et plus grande est celle qui fait naître un curé avec une mître.
Oui, tout cela est archivé, bien profond.
« Cardinal au cul pourri » ?
Le cinglé mc m’attribue cette petite phrase insignifiante, tout droit sortie de son cerveau malade et cuit dans l’alcool, pour essayer de disqualifier un propos le mien,
qui ne faisait que rappeler les atteintes permanentes à l’intelligence et le mesusage de forums internet par un soldat de la messe en latin: Les archives de ce blog sont ouvertes et les preuves, trop nombreuses.
Avis à la population, lancé ce matin à la radio, par le Miniver, qu’il convient de relayer :
Si vous croisez sur la route, deux jeunes à capuche marchant sur le bas-côté, miraculés d’un accident mortel, ne faites rien pour leur porter secours.
Appelez tout de suite le commissariat.
Mozart : K546 et K426 :
13.2 – 8.51
rien pour leur porter secours.
Appelez tout de suite le commissariat.
La honte de la délation.
Le couple bien propret avec sa caméra embarquée.
Stop à l’acharnement : stop.
À souligner : une décision de Justice française qui paraît juste :
« Nous avons une cour d’appel qui pour la première fois a appliqué stricto sensu le droit sans tenir compte du caractère politique de ce dossier, s’est félicité auprès de BFMTV.com Me Éric Barbolosi, l’avocat d’Alessandri. Pour la première fois, l’État a adopté un principe de neutralité. »
Et foutez la paix à Adrien Quattennens et à Bertrand Cantat.
Pas de double ni de triple peine.
ce fait divers, dramatique par ses conséquences , un détournement violent imprimé à des trajectoires familiales, bien avant que ce soit celui d’un véhicule est un peu en continuité avec le billet, à l’image d’un milieu parisien archivé dans l’intimité , comme on dit d’un enterrement. Avec complaisance.
L’etoile de Minuit à cessé de briller depuis très très longtemps.
Place aux diamonds in the sky. Au chem sex, comme ils disent.
https://www.lexpress.fr/culture/livre/ce-qu-aimer-veut-dire_952431.html
Ce n’est pas moi qui « rajoute les ovnis ».
Ils se rajoutent tout seuls.
Un article de Jérôme Dupuis publié dans l’Express en 2011 sur « Ce qu’aimer veut dire », un précédent livre de Mathieu Lindon, qui semble avoir largement inspiré celui-ci !
« Evacuons d’emblée l’une des ambiguïtés qui plane longtemps sur ce livre : non, son auteur, Mathieu Lindon, journaliste à Libération, fils du légendaire patron des Editions de Minuit, Jérôme Lindon (et cousin du comédien Vincent Lindon), n’a jamais été l’amant du philosophe Michel Foucault. Pas plus, d’ailleurs, qu’il ne le fut de l’écrivain Hervé Guibert, autre figure centrale de ce récit. Et, serait-on tenté d’ajouter, c’est bien là l’une des rares surprises de ce livre de 300 pages, que le buzz germanopratin nous annonçait comme l’un des événements de ce début 2011.
Reprenons. A la fin des années 1970, Mathieu Lindon, la vingtaine, mal dans sa peau, écrasé par l’ombre de ce père dont les amis s’appellent Samuel Beckett, Alain Robbe-Grillet ou Marguerite Duras, se lie d’amitié avec Michel Foucault. En ces temps où le structuralisme règne sans partage, l’auteur de Surveiller et punir est une véritable star, très demandée par les universités américaines. Justement, lors de ses longues absences de Paris, il propose à Mathieu Lindon de s’installer dans son appartement de la rue de Vaugirard. Officiellement, pour « arroser les plantes ». Peut-être aussi pour libérer son jeune ami du pesant carcan familial dans lequel il étouffe.
A ce stade, nul besoin d’être un grand esprit logique pour déceler l’aporie sur laquelle repose le récit de Lindon : écrire un « hommage » à un homme dont on occupe l’appartement… lorsque lui-même n’y est pas ! Et c’est peu de dire que le portrait du philosophe brossé entre ces pages apparaît d’une pauvreté absolue. On n’apprend rien sur ses méthodes de travail, ses admirations, ses habitudes, ses doutes… Le mythe de la Beat Generation, William S. Burroughs, passe-t-il une soirée rue de Vaugirard, sous les yeux de Lindon ? On ne saura rien – pas un mot ! – de cette rencontre improbable avec l’auteur d’Histoire de la folie à l’âge classique. Idem avec Roland Barthes. Que se disaient les deux gourous structuralistes dans l’intimité ? Mystère total. Tout au plus apprend-on que Foucault avait coutume de prendre du LSD, lors de séances très ritualisées avec ses jeunes amis. Mais, sous la plume de Lindon, même les trips sous acide sont d’une platitude sidérale.
Pour évoquer Hervé Guibert et Foucault, on aurait pu espérer une langue qui se hisse, un tant soit peu, à la hauteur de ces figures tragiques. Or Ce qu’aimer veut dire est écrit dans un invraisemblable charabia. On passera sur l’exaspérant first-name-dropping (« Sam » pour Beckett, « Alain » pour Robbe-Grillet…), qui ne parvient jamais à s’ériger en procédé littéraire. On oubliera, sous la plume de cet amateur de La Rochefoucauld, les aphorismes creux (« La vie, parfois, mérite réflexion », « Vivre, c’est vivre autrement »…). Mais les interminables récits de ses amours homosexuelles dans le phalanstère de la rue de Vaugirard s’apparentent plus au courrier des lectrices de Jeune et jolie qu’aux Fragments d’un discours amoureux, livre de chevet de l’auteur.
Et puis, surtout, à chaque page, on butte sur des phrases bancales, incorrectes, incompréhensibles. Florilège : « Ce métier de journaliste auquel je m’essaie dans un stage sans terme fixé au Nouvel Observateur, je n’ai a priori aucun respect pour. » Plus loin, c’est Gaston Gallimard, « coupable que sa maison ait refusé » Proust. Ou encore : « Gérard me dit d’en finir avec Valentin, conseil appuyé si peu dans sa manière qu’il manifeste l’assurance du conseilleur en sa solution, la faiblesse que ce serait de ma part de ne pas m’y soumettre. » Si un lecteur a compris qui conseille quoi à qui, prière de s’adresser à L’Express.
Ah ! on allait oublier : en plus – c’est écrit en toutes lettres – Mathieu Lindon a omis d’arroser les plantes. Décidément… »
https://www.lexpress.fr/culture/livre/ce-qu-aimer-veut-dire_952431.html
Tiens Sasseur, les insultes à mon égard redeviennent ce qu’elles ont été . Sans le bénéfice de l’originalité ( bedeau alcoolique , cerveau cuit dans le vin de messe, j’en passe et pas de meilleures.) C’est à se demander si l’éthylisme ne vous ravage pas tôt le matin. Au vrai , ça ne me surprendrait qu’à moitié. Si tout esr archivé, vous devriez retrouvé facilement ce »Cardinal au cul pourri si caractéristique de la hauteur des débats sur la RdL, et me dire soue quel pseudo vous l’avez posté!! Il se peut aussi que vos oreilles de. Lavabo vous empêchent d’apprécier la scène de l’Eglise de Faust, ou qu’un conditionnement vous fasse jeter aux gemonies tout ce qui contient le mot église ?C’est dommage car on continue de penser que Maurice de Ségur a servi la musique ce jour là. La musique, pas vos haines recuites à l’égard de tel ou tel. Et Faust continue d’être joué, je crois?
Que voulez-vous, il est devenu Monseigneur. Nul n’est parfait. C’est chez vous un titre à damnation. Pas toujours chez moi.Sur ce, je vous laisse à votre pitoyable ordinaire, l’insulte et la bassesse. Peut-être faut-il ajouter depuis ce matin l’alcool? Cordialement. MC
Le prostitué du blogapassou en fait trop.
Article précédemment mis en lien par la très gracieuse Marie Sasseur, à laquelle rien n’échappe !
Et voilà l’autre marteau qui arrive ventre à terre la soutane intégriste cul par dessus tête.
Je zappe, la messe est dite depuis longtemps, le concernant.
En faire trop ce n’est jamais assez Marie, Oh Marie, si tu savais…
Sujet de rédaction :
« Imaginez la séance de chemsex entre miss Sasseur et mister Court » ?
Ce qui ne ne m’échappe pas, comme le dit complaisamment le prostitué du blogapassou, c’est que l’échappée belle des Éditions de Minuit a pris fin, ou presque, -quelques excellents écrivains du canal historique ayant continué a donner un peu de crédit à cette honorable maison, mais de moins en moins( Salut Echenoz, Salut Toussaint, on vous aimait bien), et l’ont complètement perdu depuis-, à la disparition de J. Lindon.
Qu’on ne nous présente pas son fils Mathieu, comme un enfant de la maison…
Mathieu Lindon c’est le petit jeune homme en haut le troisième à partir de la gauche.
Il fut un temps où Marcel Proust pigeait pour Le Figaro, aujourd’hui Eugénie Bastié y est grand reporter et on se dit que l’idée de décadence appréciée par les gens de droite n’est peut-être pas si fausse que ça.
Excellente éducation, Mathieu Lindon, excellente éducation.
Un français à chier. Mais une excellente éducation.
Et s’il n’en restait qu’un ce serait celui-là
http://www.leseditionsdeminuit.fr/auteur-Yves_Ravey-1443-1-1-0-1.html
Rappelons que le premier opus assez salé du fils Lindon, Nos plaisirs (1983) fut publié chez son père sous le pseudo de de P-S Heudaux. IL faut également noter le courageux procès de Jean-Marie Le Pen (1999)… Après quoi, tout s’est bien dégradé, malgré le prix Medicis attribué au roman de 2013. Une littérature mineure « assaillie », en somme…
((nb / je regrette cette nécro ridicule du journal Têtu, à l’occasion du décès de D.D. – Il y avait bien des choses à dire de plus de ses nobles engagements
https://tetu.com/2023/02/08/hommage-daniel-defert-mort-militant-historique-vih-sida-militant-association-aides/ )))
*** Bonjour Giovani S’A. Merci pour vos rares apparitions réconfortantes. Vous savez que lorsqu’un fidèle erdélien manque à la pelle, les survivants sont tristes. Bàv,
Il n’y a pas que Céline qui aime la rubrique nécrologique, il y a aussi Françoise Rosay à 1’21.
Le cave se rebiffe, 1961.
« Il est cané, la Joncaille, abattu l’an dernier à Hambourg. »
« L’objectif c’est de baiser et de se défoncer… » (La Blanche pour tous, Verset 2023, à n’importe quel prix)
Que voilà un objectif clair pour ceux qui n’en avaient plus ! Pauvre fiotte sur tréteaux, sans succès, sans idées, sans force. Pauvre victimes de ces connards ! Pauvres jugements à venir des emperruqués au service du bien de la communauté !…
Solution ? Intoxiquez vous au plaisir de lire à l’ancienne. Rentrez chez vous à trottinette pour enfants gâtés ! Plutôt mourir que tuer, n’est ce pas … Allez, on relit Thucydide, puis on se fait un Delivereux !
Cette permanente. On dirait madame le secrétaire perpétuel de l’Académie française.
Pourquoi est-il de bon ton d’être méchant? La mechanceté, est-ce un signe de culture et d’intelligence?
Vous concernant Dindon, on en doute, depuis que vous avez suggéré que M. Vargas Llosa » part en couille « .
(ou est passé closer, FL ?
(Le vocabulaire de défense synthétique de MC contre les injures conjurées me parait tout à fait acceptable et maîtrisé
(le syndic des copropriétaires du grangeon
(…
Je ne l’ai pas suggéré, Madame, je l’ai affirmé à partir d’une admiration sans bornes de… Mario Vargas Llosa, celui de La ville et les chiens, de La maison verte, de Conversation à la Cathédrale, de Pantaléon… Avez-vous remarqué, au demeurant, quetous ces ces romans ont été écrits sous l’emprise du sartrisme marxisant, ce qui conduirait à penser que, du moins dans son cas, le sartrisme a été beaucoup plus efficace et riche littérairement parlant que le néolibéralisme où il s’est plus ou moins égaré. Ses quatre ou cinq derniers romans sont, en lui appliquant les critères de qualité vargasllosiens, infumables.
Non, monsieur Dindon, je n’ai gardé que Conversation à » La Cathédrale « . Et rien lu d’autre de la période marxiste que vous avez adorée. En revanche, rien dans La vilaine fille ou dans Temps sauvages ne permet d’affirmer comme vous le faites qu’il soit « parti en couille » , sauf à l’illustrer par des références précises, qui je vous assure, ne manquent pas, dans la première acception du terme pour ce qui est de ces deux romans.
Mais peut-être avez-vous tout simplement un vocabulaire limité , plein de -ismes, pour signifier votre appartenance au parti.
Ça, c’est vraiment méchant.
Vraiment.
Sasseur condescend à répondre, vous ne savez pas votre chance, Dino, le i grand esprit autoproclame du blog s’intéresse à vous!
Le dément mc veut sa carte au parti.
13h23, 20°.
Pas sans mal, palsambleu.
« campagne abandonnée, protégée par les hauts murs sinistres comme ceux d’une prison »
https://www.bellesdemeures.com/annonces/vente/tt-2-tb-2-pl-33423/195249363/#?cmp=INTSL_ListToDetail
Cher Damien, il vous faudra contacter l’agence pour mise à jour de l’annonce.
A bientôt, j’espère.
Quand un délire prend corps : «Au nom de tous les hommes sans exception, je fais observer à un certain nombre de dames que peindre leurs ongles.. ».
Je vois qu’un consensus s’est dessiné, Vargas Llosa a fait bonne figure lors de sa réception à l’Académie. Tant mieux car on dirait qu’on ne trouve plus assez d’écrivains français habitués à porter quotidiennement costume, cravate et souliers cirés ce qui semble nécessaire pour mettre cet habit d’académicien sans rigoler in petto.
J’imagine bien Vargas Llosa cirant ses souliers pour aller à l’Académie.
Ça, c’est vraiment méchant.
Vraiment.
Vous êtes caustique.
J’ai pleuré de rire.
Qu’est ce qu’on fait du bébé ?
C’était mieux le sexe sans Chem.
Les mecs qui cherchent le grand Chem, on voit le résultat.
« Il n’y a pas que Céline qui aime la rubrique nécrologique… »
Lorsque Duchamp dit : « Ce sont toujours les autres qui meurent », renvoie au fait que lorsqu’on meurt on ne peut pas lire sa nécrologie.
@MSasseur:
Vous avez raison, mon vocabulaire est assez limité et je m’en excuse. Ma remarque concernant la période sartrienne de Mario Vargas Llosa n’impliquait pas une quelconque militance communiste de ma part. La plupart des critiques hispanistes, espagnols, péruviens, latino-américains, allemands, anglais, italiens, français (sauf Bensoussan), sont d’accord pour dire que les qauatre romans novateurs de Vargas Llosa sont ceux que j’ai cités. Auxquels il faudrait ajouter peut-être La tia Julia de 1977.Quant à ceux qui ont été écrits sous l’emprise du néolibéralisme, seul La fête du bouc a un certain niveau. Je me contentais donc de signaler que dans son cas, le sartrisme a été beaucoup plus performant littérairement que le néolibéralisme. Vive Alexandfe Bogdanov.
« Ce métier de journaliste auquel je m’essaie dans un stage sans terme fixé au Nouvel Observateur, je n’ai a priori aucun respect pour. » Plus loin, c’est Gaston Gallimard, »
A-t-on du respect pour les putes ?
Paul Edel, vous n’êtes en rien concerné : pas un iota.
La phrase est pourtant hyper claire.
——–
Savoir que Michèle Laroque vit avec François Baroin !
__________
Rappel : Le permis de conduire de ce sketch atroce de Blanche Gardin : je vais le chercher.
On peut lire sa nécrologie si soi-même on l’a faite.
C pas cui-ci
https://youtu.be/M2_tmKz3gBI
Tu la vois vivre avec Emmanuel Macron ?
Non, définitivement non.
Pas plus de sartre que de beurre en branche chez Vargas Llosa.
Mais de la révolution beaucoup.
Hasta siempre !
Wagner, nouvelle vidéo d’une exécution à coup de marteau d’un « traître » présumé. Mais Prigojine plaisante : « Les garçons s’amusent ».
« — Il l’ont amené à Thiais luis aussi… Il y a un an.
— Règlement de compte ?
(Elle fait non de la tête.)
— Cirrhose du foie. »
Je ne m’en lasse pas.
» — Tu sais, ma bonne Pauline, je suis pas venu pour faire l’appel aux morts.
— C’est vrai au fait t’es venu pour quoi ? »
Avant même de voir toute la suite, hasta siempre, devant le corps mort »
Et l’homme, il y pense aux enfants ? ».
Hommage aux femmes, s’il en est (d’hommage), cette chanson
Le corps mort.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Corps-mort#:~:text=Un%20corps%2Dmort%20est%20une,bateaux%20puissent%20s'y%20amarrer.
« On m’a dit que t’étais aux Amériques. »
Je crois que la source de toute littérature c’est le zinc. On pourra jamais faire mieux.
Il est cané la Joncaille.
Une demie brique ce serait encore trop.
Jubilant « ah comme on va être heureux, et ça va rien me coûter » ou approchant.
Même si je l’ai écrite, le jour où elle apparait sur les journaux je ne pourrai pas la lire, et pour cause.
« L’appel des morts » donc.
http://www.unc67.fr/wp-content/uploads/2019/07/Appel-des-Morts-pour-la-France_a.pdf
On ne peut pas encourager ceci, renato.
Louis-Ferdinand Céline :
« (…) La grande prétention au bonheur, voilà l’énorme imposture ! C’est elle qui complique toute la vie ! Qui rend les gens si venimeux, crapules, imbuvables. Y a pas de bonheur dans l’existence, y a que des malheurs plus ou moins grands, plus ou moins tardifs, éclatants, secrets, différés, sournois… » C’est avec des gens heureux qu’on fait les meilleurs damnés. » Le principe du diable tient bon. Il avait raison comme toujours, en braquant l’Homme sur la matière. Ça n’a pas traîné. En deux siècles, tout fou d’orgueil, dilaté par la mécanique, il est devenu impossible. Tel nous le voyons aujourd’hui, hagard, saturé, ivrogne d’alcool, de gazoline, défiant, prétentieux, l’univers avec un pouvoir en secondes ! Éberlué, démesuré, irrémédiable, mouton et taureau mélangé, hyène aussi. Charmant. Le moindre obstrué trou du cul, se voit Jupiter dans la glace. Voilà le grand miracle moderne. Une fatuité gigantesque, cosmique. L’envie tient la planète en rage, en tétanos, en surfusion. Le contraire de ce qu’on voulait arrive forcément. Tout créateur au premier mot se trouve à présent écrasé de haines, concassé, vaporisé. Le monde entier tourne critique, donc effroyablement médiocre. Critique collective, torve, larbine, bouchée, esclave absolue. (…) »
(« Mea culpa », 1937)
. « Ou encore : « Gérard me dit d’en finir avec Valentin, conseil appuyé si peu dans sa manière qu’il manifeste l’assurance du conseilleur en sa solution, la faiblesse que ce serait de ma part de ne pas m’y soumettre. » Si un lecteur a compris qui conseille quoi à qui, prière de s’adresser à L’Express. »
Gérard conseille à Mathieu Lindon d’en finir avec Valentin.
Conseil dit légèrement (appuyé si peu).
Tellement pas d’insistance que le conseilleur sait ce qu’il dit : pas besoin d’en faire des tonnes.
Si lui, Matthieu, n’écoutait pas Gérard dans le conseil qu’il lui donne d’en finir avec Valentin, cela marquerait une faiblesse de sa part.
À l’Express, ils fument ou quoi ?
renato dit: à
Même si je l’ai écrite, le jour où elle apparait sur les journaux je ne pourrai pas la lire, et pour cause.
Vous, les oeufs et les poils, cela ne cesse*. Vous l’aurez lu. La veille. C’est pareil.
*
C’est quelque chose !!!!!!!
Pas cui-ci non plus
Si c’était bon ça se saurait
Ita est, les carambars, oui.
Merci Rachida Dati.
On peut, rose, dans cette société permissive lgbtqr, avec location de ventres : on peut collectionner les oeufs, et aussi les poils. Oui. Laisse Renato tranquille.
Ce soir je me fait des pommes de terre sautées au lard.
Non, rose, ce ne serait pas pareil, car la veille j’étais encore vivant.
C pas cui-ci non plus :
https://youtu.be/dwHKH0DQboA
Renato, balle de match.
tennis :
Et la criminalité routière..
https://www.lemonde.fr/international/article/2023/02/13/en-australie-l-alcool-de-nouveau-interdit-dans-les-communautes-aborigenes-du-territoire-du-nord_6161581_3210.html#xtor=AL-32280270-%5Bdefault%5D-%5Bandroid%5D
Renato
https://youtu.be/p1tMbHruEro
Agrégation de philosophie et langue française
La lecture des rapports de l’agrégation de philosophie est toujours délectable. N’hésitez pas à le vérifier : ils sont en ligne.
Dans un de ces récents rapports (2021), on peut lire ce paragraphe :
« Enfin, il faut malheureusement souligner la piètre qualité formelle de nombre de copies. La ponctuation est approximative ou absente, les interrogatives indirectes non maîtrisées. De trop nombreux candidats se présentent à l’agrégation de philosophie en oubliant qu’une des conditions sine qua non de la réussite à ce concours est la maîtrise de l’expression, écrite comme orale. Le jury ne devrait pas avoir à rappeler que le terme de « capabilité » n’est pas français et que « quasiment » ne s’écrit pas « casiment ». Rencontrer de telles fautes sous la plume d’un candidat à l’agrégation est préoccupant. »
Certes.
73 candidats sont devenus agrégés. Ce n’est pas beaucoup. Mais vu la difficulté des épreuves et orales, on peut tout espérer de ces nouveaux professeurs de philosophie.
C pas cui-ci encore
https://youtu.be/z8tI8Cw1SeE
Mais elle prouve que l’on peut se remettre à soi-même son propre prix. Donc pkoi pas se lire son épitaphe au tombeau. Ces saints thomas, crénom.
D’un point de vue formel, que signifie : « la difficulté des épreuves et orales », tel qu’il est possible de le lire ci-dessus ?
La proposition, rose, dit : « Ce sont toujours les autres qui meurent »…
Conduire en étant altérés (alcool, drogue) est criminel. il est aussi criminel donner le permis à n’importe qui. Ex. :
Par une belle journée de fin d’hiver l’auteur de ces quelques lignes s’en allait calmement à moto le long du lac en direction du Simplon, quand une voiture venant du nord envahit à l’improviste sa voie de circulation. Résultat : un avant-bras et un genou cassé.
Arrêté par un camionneur, le chauffard invoqua comme excuse l’intention d’éviter une plaque de glace sur laquelle il aurait pu glisser en mettant en péril la vie de ses deux enfants, ce qui de son point de vue justifiait son action…
Patrice Charoulet, aimez-vous les pommes fe terre sautées au lard ? Bien exécuté, c’est un plat délicieux et économique, qu’il serait possible d’introduire dans votre menu hebdromadaire. Par exemple le mardi à midi.
J’ai cherché.
Je n’ai pas trouvé.
Je renonce provisoirement, ça arrive.
J’osais pas le dire par respect de Sergio du temps de son vivant mais la réalité c’est que les motards font globalement chier le monde. Globalement. Il y a des exceptions. Mais ce que j’observe au quotidien est inacceptable à plus d’un titre.
Une femme, c’est bien pour cela qu’elle revend sa moto. Parce qu’elle a deux enfants.
Dans ce menu hebdromadaire, il faudrait aussi faire une place au couscous-merguez.
@« quasiment » ne s’écrit pas « casiment ». Rencontrer de telles fautes sous la plume d’un candidat à l’agrégation est préoccupant. »
Des gourmands distraits ? Quasi de veau ou casi de veau ?
et casi o paix!
@M charoulet
A vous lire et pas seulement aujourd’hui on constate que l’agrégation de philosophie tient une grande place dans votre paysage intellectuel.
pourquoi? serait-ce un echec à ce concours si sélectif, qui vous aurait fait vous rabattre sur une des agrégations littéraires, plus accessibles? j’ai eu autrefois une merveilleuse prof de français qui avait eu le même cheminement et qui ne considérait pas cet aboutissement comme un
pis-aller
D., vous n’avez pas absolument tort, mais presque, car beaucoup de motards respectent à la lettre le Code de la route. Les automobilistes sont beaucoup plus dangereux ? En gros oui. Dans l’incident susmentionné, c’est l’automobiliste qui a fauché le motocycliste… avec l’excuse des enfants… être géniteur (animal reproducteur — je sais, c’est péjoratif !) est une bonne excuse pour enfreindre le code de la rue ? Moi, envers et contre l’industrie automobile, je serais plus rigoureux dans la distribution des permis de conduire.
Un sort assez funeste, en somme.
Le père de P. Palmade , médecin, est décédé dans un accident de la route, en partant en urgence pour un accouchement.
Ça calme.
D
1. Je voulais écrire bien entendu « les épreuves écrites et orales ». Grçace à vous, j’ai corrigé
mon gribouillis partout où c’était possible (Facebook, etc.).
2. Vous me conseillez un menu. Tous mes repas sont médeités dans une perspective diététique. A mon humble avis, vos analyses de sang annuelles sont moins bonnes que les miennes.
Cela ne m’empêchera pas de mourir (infarctus, AVC…) un de ces jours. Mais je ne suis pas impatient de connaître l’autre vie, n’étant pas un « halluciné de l’arrière-monde » (Nietzsche). Et je pense que le chimpanzé aura le même sort que moi après sa mort.
Errata :
Grâce à vous
médités
Toujours se relire. On ne cesse de le conseiller et on l’oublie.
@Toujours se relire. On ne cesse de le conseiller et on l’oublie
C’est comme la présomption d’innocence ; il est si facile de se laisser aller
Moi, je voudrais bien rejoindre rapidement la conjointe qui m’a quitté après tant d’années de bonheur conjugal, et m’a laissé me démerder seul avec ma pauvre mère… Le veuvage me pèse et je ne voudrais pas oublier d’aller la rejoindre pour revivre avec elle toute notre éternité choisie.
(20.17_du 13.2.23)
Du sourire de l’archiviste et d’une addiction l’autre : Junkie author William S. Burroughs on heroin addiction: CBC Archives
https://m.youtube.com/watch?v=DnxweVAvE5w
(Quelqu’un ici a-t-il assisté à la course de cette éblouissante étoile filante qui a illuminé notre ciel ce matin vers quatre heures ?)
(non).🌠
non hélas, je n’en avais pas été tenu informé…
En revanche, la nouvelle version de Junkie (uncut) valut le détour. Et je l’ai passionnément dévorée à l’époque de sa parution. Les associations sont vertigineuses, celles que l’on peut faire sous l’emprise du LSP, Pour la cocaïne, je ne sais pas, je n’ai jamais essayé… Certains m’ont décrit des choses désinhibitrices et sans danger… mais il était trop tard, et je voulus vivre sous aucune empire… Bàv, JL, notre hoplite abyssal à l’escopette à tirer dans les coins…, mais est-il de préciser que c’est là l’une de vos immenses qualités juridiques ?
@ JL, rôz m’a brulé, comme très souvent, mais ne lui en veuxj pas du tout, bien au contraire… Cette étoile filante était ce une astéroïde entrée dans notre atmosphère chinoise ?
@Ça calme.
Palmade encourt dix ans de prison
« Le patron adjoint de la PJ de Bordeaux renvoyé en correctionnelle pour «complicité de trafic de stupéfiants»
Le commissaire Stéphane Lapeyre, ancien numéro 3 de l’Office des stups, est accusé d’avoir monté une importation de cocaïne pour faire du chiffre. Une affaire emblématique de certaines dérives de la lutte antidrogue. »
https://www.liberation.fr/dossier/drogues-revelations-sur-un-trafic-d-etat/
« je voulus vivre sous aucune empire… Bàv »
Oui, mais qu’est-ce qu’il picole !
Palmade ?
Quels gâchis !
Ses copines, Michelle Laroque et Muriel Robin, vont avoir du mal à le défendre…
@ Palmade encourt dix ans de prison.
C’est le tarif syndical du code pénal. Dire le droit n’est pas, etc.
Y’en a même pour suggerer un défaut de la voiture, c’est possible !
Pouf le « reste », j’ai au moins trois bonnes » raisons » d’affirmer, que ceux qui n’ont pas choisi entre conduire et boire, se piquer, sniffer ou pianoter sur leur smartphone, ou animes d’idees suicidaires, sont des assassins.
Chaque fois qu’il y a quelque chose à voir dans le ciel, moi qui suis insomniaque je m’endors, à croire que je ne suis pas né pour faire Roi Mage.
@Pouf le « reste », j’ai au moins trois bonnes » raisons »
Votre insistance sur ce point est suspecte, bécassine ; vous avez à l’évidence besoin de vous confier. Je me risque à une hypothèse littéraire de vos complexes … bau-de-laire et les Ha-chi-chins ?
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