de Pierre Assouline

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La République des livres
Se faire archiver mais juste comme il faut

Se faire archiver mais juste comme il faut

Dans quel autre pays la mort d’un grand éditeur ferait-elle la une d’un quotidien national et la couverture d’un magazine culturel ? Que Jérôme Lindon fut ainsi honoré au lendemain de sa disparition par Libération et que Paul Otchakovsky-Laurens le fut à son tour dans les mêmes circonstances dix-sept ans après son modèle à la fois par Libération et les Inrocks dit quelque chose de l’exception culturelle française. Quelque chose de réjouissant malgré la tristesse de l’évènement.

On doit à l’écrivain et critique littéraire Mathieu Lindon d’avoir opéré ce rapprochement dans Une archive, un récit filial honorant la mémoire de son père qui fut pendant des décennies l’âme et l’animateur des éditions de Minuit ; il parait chez P.O.L. justement, l’occasion de célébrer son propre éditeur en un étrange effet miroir. Ce livre plein d’anecdotes, de choses vues, de propos rapportés, accomplit l’exploit d’être passionnant, drôle, édifiant alors qu’il est tellement mal écrit que certains paragraphes, composés en un charabia qui est un défi à la syntaxe commune, nous demeurent inintelligibles. Qu’on en juge par ce passage page 128 :

« Quand j’étais adolescent, cette journaliste avait publié un livre sur la jalousie et ma mère, à qui je venais parler le soir quand elle était déjà au lit avant d’y aller moi-même, me dit que pourquoi être jaloux de quelqu’un avec qui un être qu’on aime couche, c’est de quelqu’un que l’être qu’on aime aimerait qu’on aimerait l’être ».

Sic ! oserait-on ajouter. Un autre pour la route ? page 145 puis 149 :

« Tant de gens refusent la Légion d’honneur qui ne le (Jérôme Lindon) valaient pas qu’il n’y avait aucune gloire à en tirer dans quelque sens que ce soit » (…) Il n’y avait plus rien à dire. La faiblesse et l’aveu dont se préserver plus que tout étaient là et personne ne pouvait plus rien y faire, que comme si de rien n’était, le soir, au dîner ».

Heureusement, tout le livre n’est pas de cette encre. Ce reproche de pataquès est de longue date adressé à cet auteur. Naturellement, on n’a pas manqué de l’interroger sur ce mystère : comment peut-on à ce point malmener la langue et la syntaxe quand on a tant lu, tant écouté, tant fréquenté les grands auteurs contemporains ? Lorsque récemment le patron du Monde des livres lui a fait part de sa perplexité face à ce véritable cas d’école (nombre de maisons d’édition emploient d’excellents correcteurs), Mathieu Lindon s’est enfin lâché :

« C’est absolument comme ça que j’écris, jamais je ne changerais ces mots. Oui, il est possible qu’il faille s’y reprendre deux fois mais cela m’amuse de jouer avec la grammaire. Elle a la réputation d’être figée, moi j’aime sa souplesse, son élasticité (…) Je suis l’ennemi de la solennité, mon écriture est une exagération du langage parlé, j’aime que mes phrases suivent mes raisonnements, et c’est parce que je viens de là où je viens que je n’ai pas voulu écrire classique, écrire comme on attendait que j’écrive. »

Et pourtant, l’essentiel de son récit est « classiquement » composé sans que cela vire à la joliesse ou à l’esthétisme… Passons. Faut-il que ce qu’il rapporte soit original pour qu’on le lise d’un trait ! Il est vrai que l’auteur, si émouvant lorsqu’il dit son amour pour le plus proche des pères distants, a eu le privilège de vivre dès ses plus jeunes années dans l’ombre des « amis de la famille ». Car les écrivains de Minuit, à défaut de constituer une école ou d’en créer l’illusion sous l’incertaine bannière du Nouveau Roman, n’en fut pas moins une famille d’esprit.

La maison et la Maison ne faisaient qu’une. Y défilaient régulièrement à table ou au salon Nathalie Sarraute, Marguerite Duras, Michel Butor, Alain Robbe-Grillet, Robert Pinget, Claude Simon et surtout Samuel Beckett, figure tutélaire de la tribu et parrain de l’auteur. Il est de pires débuts dans la vie pour un adolescent épris de littérature que l’écoute discrète de leurs conversations. On comprend que Mathieu Lindon se présente comme une archive vivante. Un témoin autant qu’un acteur de l’histoire littéraire.

Il ne cèle pas les défauts de l’éditeur (avarice, méfiance, perfectionnisme) bien que les qualités l’emportent dans la balance : curiosité, flair, disponibilité, efficacité, pugnacité sans oublier les deux plus importantes fondues en un mot-valise créé pour lui seul : « intelligentillesse » (même si l’on pourrait voir plutôt de la perversité dans son cadeau d’anniversaire à son fils pour ses 15 ans :  les œuvres complètes de Robbe-Grillet !). D’une réjouissante liberté de ton qui contraste si fort avec la discrétion paternelle confinant au culte du secret, il révèle le détail de l’héritage et bien d’autres choses pas toutes à l’honneur de Jérôme Lindon. Mais elles sont dissipées par le portrait poignant qu’il fait de lui de manière récurrente, au risque de la répétition : un homme perclus de chagrin rivé à son bureau, écrivant inlassablement des lettres non à de prestigieux auteurs mais à son seul petit-fils, un inconnu qu’il ne connaitra jamais alors qu’ils vivent dans la même ville, son autre fils lui interdisant de le voir à la suite d’une brouille familiale.

« On doit vous archiver juste comme il faut » écrit Mathieu Lindon dans la chute de son récit. A l’évocation d’un cher disparu, en parler ni trop ni pas assez. Un exercice d’équilibriste des plus délicats. Cela parait à peine croyable mais, au fil d’une existence parisienne entièrement vouée aux livres, le critique et éditeur Maurice Nadeau avait à peine rencontré Jérôme Lindon ; ils préféraient s’écrire, usage encore courant au XXème siècle. Il ne lui en rendit pas moins le plus vibrant des hommages à sa mort :

« Il était notre conscience à tous, éditeurs, journalistes, libraires… Sa disparition affectera tous ceux qui vont de plus en plus se rendre compte qu’en dépit du poids de l’argent et de tous les progrès technologiques, l’édition ne peut se passer d’éditeurs ».

On trouve ces lignes d’une forte actualité, quoique rédigées en 2001, dans le troisième et dernier volume de Soixante ans de journalisme littéraire (1792 pages, 39 euros, éditions Maurice Nadeau) couvrant la période 1966-2013. Une somme de plusieurs milliers de pages fascinantes d’intelligence critique lorsque le jugement va de pair avec l’indépendance d’esprit, recueillant ses articles dans Combat, puis aux Lettres nouvelles, enfin à la Quinzaine littéraire. Il n’en a que pour l’œuvre, et seulement l’œuvre, laquelle vaut « toujours plus que le bien, ou le mal, qu’on dira d’elle ». Quelle leçon ! Déjà, la parution des tomes précédents nous avait régalés. Et il n’est pas indispensable d’être féru d’histoire littéraire pour s’y promener par sauts et gambades car ces gros volumes ont la vertu de se dévorer n’importe où du côté d’Aragon, de Leiris, Michon ou de Houellebecq, Tabucchi ou Zinoviev. C’est d’une telle richesse et d’une telle densité !

On savait donc déjà le risque que prenait l’éditeur en réunissant tous ces articles : l’inévitable répétition des formules du critique sur une telle distance temporelle, le daté sinon le suranné de ses jugements, l’inactualité de bon nombre d’oeuvres passées au tamis etc Et pourtant, tous ces écueils se retournent et excitent justement la curiosité. Non que tout ce que s’y trouve soit universel-et-intemporel mais presque tout fait partie d’un continuum édifiant dès lors qu’un regard aussi aigu, avisé, indépendant que celui d’un lecteur de la qualité de Maurice Nadeau s’y est posé. La préface éclairante de Thiphaine Samoyault le dit bien en le replaçant dans le contexte de l’époque :

« La longévité de Nadeau ne tient pas seulement à l’âge qu’il avait quand il est mort, mais à cette présence absolue au temps présent qu’il maintient active dans la longue durée. Ses engagements antérieurs – ceux dont témoignent les deux premiers volumes de ses oeuvres complètes – en font une référence morale et sa mémoire prodigieuse ajoute encore à cette valeur de grand témoin (…) La forme que prend son engagement au fil du temps accompagne l’évolution de ce temps, d’un lien très fort aux événements, au début, jusqu’à une implication par la subjectivité, à la fin, dans une trajectoire qui est celle de la littérature elle-même de l’extériorité vers l’intériorité. »

Ces Soixante ans de journalisme littéraire relèvent autant du journalisme que de la littérature à leur meilleur. C’est rare de disposer d’un tel corpus sur une telle durée avec une telle fidélité à un absolu de la fiction romanesque, de la poésie et même de l’essai. Grâces en soient rendues aux toujours vivantes éditions Maurice Nadeau ! Elles n’ont pas failli à leur devoir de gratitude en archivant leur saint-patron, et celui de tant de journalistes littéraires, juste comme il le fallait.

(« Jérôme Lindon à son bureau avec Samuel Beckett, 1985, photo Louis Monier ; « Maurice Nadeau chez lui à peine masqué » photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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commentaires

984 Réponses pour Se faire archiver mais juste comme il faut

Marie Sasseur dit: à

becassin, pour le reste: j’ai récupéré mes 12 points, avec un grand geste ( d’honneur) à l’attention de longtarin planqué dans la boîte grise. 😁

MC dit: à

Dans des Memoires très diffusés, la Comtesse de Pange notait la facilité de conduire autour de 1890 alors que n’existaient ni permis, ni signalisation…Les codificateurs n’étaient-ils donc pas encore passés? MC

J J-J dit: à

@ Oui, mais qu’est-ce qu’il picole !
Merci jzmn…, sous l’emprise ou l’empire de l’alcohol, toujours à la ramasse… Et vous, addict a-ryen hormis la marche, la péloche et les cimetières ?… Amitiés célestes, je veux, ouij 🙂
@ J’ai bien fait de vous brancher sur la petite comtesse, JC, apparemment ça mord… et sa mort.
@ Longtari-MS…, ça nous change de l’actu Palmolive en tôle, hein, benzédrine des frères 12-points ?

Marie Sasseur dit: à

Un peu d’histoire : 1600 vehicules en circulation en France en 1900, plus de 45 millions en 2022, dont pas mal conduits par des camés.

Janssen J-J dit: à

@ RM – oups/opus – -> comtesse de Ponge, remplacer JC par MC ou PR -et… Longtari par Longtarin – et… la réserve de Scandola, au patrimoine de Luness and co.
Bàv, picholine !…

J J-J dit: à

@ MC – … quant à la danseuse Isadora Duncan, elle aimait beaucoup se balader dans des voitures décapotables avec son écharpe blanche. Bàv,

J J-J dit: à

@ conduits par des camés… et des zémaux,
ouarf, la litté-rature ! on brûle, on brille, on chauffe.

Jean Langoncet dit: à

@Un peu d’histoire : 1600 vehicules en circulation en France en 1900, plus de 45 millions en 2022, dont pas mal conduits par des camés

Sans compter les nids de poule que l’intensification du trafic implique (la came est une circonstance aggravante, quelle qu’elle soit – qu’elle stimule l’acuité des sens ou les abrutisse)

Janssen J-J dit: à

Connaissez-vous le romancier médecin Laurent Seksik ? Il vient de publier « Franz Kafka ne veut pas mourir » (2023) après avoir publié voici dix ans, dans la même veine « les derniers jours de Stefan Zweig »? Voulez-vous que je vous dise demain ce que j’ai pensé de ce roman ? Ou vous foutez-vous de mes fiches lecture d' »allez au diable! » ?
A demain mardi 14, on verra, bien à la remontée des carrelets. Hein,
BNàv, à CT à Rouen et à la guerre des 2 roz de Fort calqué.

Marie Sasseur dit: à

« le 22 juillet 1894, se déroulait la « Paris-Rouen », première course automobile de l’histoire.

Organisée par Pierre Giffart, rédacteur en chef du « Petit journal », 102 concurrents étaient inscrits pour ce concours de voitures sans chevaux.

Le concours récompensait les véhicules répondant à trois critères :

La sécurité
La commodité
Le bon marché relatif

https://www.cd-sport.com/cdecale/histoire-sport-automobile-dates-cl%C3%A9s

J J-J dit: à

@ la came est une circonstance aggravante, quelle qu’elle soit – qu’elle stimule l’acuité des sens ou les abrutisse

est-ce le juriste ou le moraliste qui cause, là ?… On ne sait jamais trop avec des pétoires à tirer dans les tous les oincs… célavi – la raconte pas !

Jean Langoncet dit: à

@est-ce le juriste ou le moraliste qui cause, là ?

C’est la voix de l’évidence : la présence de drogue(s) dans le sang de Palmade représente une lourde charge à son encontre, quelle que soit l’issue de la procédure judiciaire qui débute

D. dit: à

Où en est l’affaire Benalla ?

Jean Langoncet dit: à

(que D. demeure un arriéré en toutes circonstances a quelque chose de rassurant)

Jean Langoncet dit: à

@j’ai récupéré mes 12 points, avec un grand geste ( d’honneur) à l’attention de longtarin planqué dans la boîte grise. 😁

rebel, rebel, is your face a mess?

rose dit: à

Drôle si tu n’es pas dans le train.
https://actu.fr/occitanie/souillac_46309/le-recit-hilarant-d-un-voyageur-de-la-sncf-en-galere-au-depart-de-souillac-dans-le-lot_57314447.html

Pris il y a qq mois le train Marseille-Cannes avec ma toute fraîche carte senior.
Départ 16h27.
À 16 h en gare Saint Charles, annonce vocale « le train de 16h27 est annulé ». Billet dématérialisé sur ma carte Senior, j’ai passé trois mois à tenter de me le faire rembourser en vain. Guichet. Internet. La SNCF est devenue le plus grand bordel du monde. Le train de nuit Paris-Berlin a été supprimé. En décembre 2023, il sera réinstauré, avec un peu de chance.

Que Élisabeth Borne, (jusqu’à présent on ne savait pas sa confession), ose se prévaloir de son père et de son suicide, de son histoire tragique telle celle de millions d’autres personnes, histoire non pas liée à des secousses telluriques mais à la folie humaine, est obscène.
Avec le président de la République auquel elle est inféodée, elle participe plein pot à la casse de tous les services publics, EDF, SNCF, vente des autoroutes au privé sous Sarkozy etc.et maintenant le système des retraites.
Les gens géniaux, rencontrés durant les défilés, qui me disent « moi je touche 1000 euros par mois, j’ai elevé nos enfants huit ans ». « Mon mari, 49 ans d’annuités, il touche 1100 euros par mois ».

Elle n’a pas honte Élisabeth Borne ?

MC dit: à

Ces courses de tacots qu’on a tendance à embellir avec le recul ont leur lot de morts: Marcel Renault, frère de Louis, se tue au Paris-Madrid de 1903.,,,Et combien d’autres…. MC

rose dit: à

Tous les gens géniaux rencontrés dans la rue, dans le car.

rose dit: à

Affaire Benalla, article du Point.

Enquête pour corruption du Parquet national financier (PNF)
Une quatrième procédure, après les révélations du site d’Edwy Plenel sur les contrats russes, a finalement été ouverte pour corruption par le Parquet national financier (PNF), qui a déjà procédé à de nombreuses auditions, dont celles des patrons de Velours, l’entreprise de sécurité qui avait un temps embauché Alexandre Benalla, et qui avait signé des contrats avec les oligarques russes par l’intermédiaire de Vincent Crase.

Enfin, mercredi 20 février, alors que le Sénat dévoilait les conclusions de sa commission d’enquête, le parquet de Paris a annoncé, sans plus de précisions, avoir ouvert, une semaine plus tôt, une dernière enquête, cette fois-ci pour « entrave à la manifestation de la vérité ». La brigade criminelle a une nouvelle fois été choisie.

Cinq enquêtes et une grande débauche de moyens
Cinq enquêtes, donc, et une débauche d’énergie et de moyens qui, à ce stade, paraissent incroyables pour un seul homme. Mais selon les informations du Point, cette dernière enquête pour entrave à « la manifestation de la vérité » a en réalité vocation à s’immiscer dans toutes les autres, y compris celle conduite pour corruption par… le Parquet national financier (PNF). Et ce, dès lors qu’il y aura soupçon de dissimulation de preuves.

Violences du 1er mai, passeports diplomatiques, contrats russes, armes et coffre-fort disparus… Toute personne que l’enquête identifiera, et qui est susceptible d’avoir voulu aider Alexandre Benalla, en détruisant, soustrayant, recelant ou altérant « un document public ou privé ou un objet de nature à faciliter la découverte d’un crime ou d’un délit, la recherche des preuves ou la condamnation des coupables », selon l’article 434-4 du Code pénal, est susceptible d’être mise en cause par la justice.

Une enquête qui pourrait toucher l’État
Le ministère des Affaires étrangères a-t-il volontairement laissé Benalla utiliser ses passeports diplomatiques, alors qu’il ne travaillait plus auprès du chef de l’État ? Des personnalités de l’Élysée l’ont-elles aidé à allumer un contre-feu en utilisant des images de vidéosurveillance le dédouanant des violences du 1er mai ? Des complices ont-ils fait dispraître le coffre-fort de l’ancien Monsieur Sécurité d’Emmanuel Macron  ? Ainsi que les armes et d’éventuels documents qui s’y trouvaient ? Contacté, le parquet de Paris n’a pas souhaité commenter.

L’entrave à la manifestation de la vérité est punie de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende. Lorsque les faits « sont commis par une personne qui, par ses fonctions, est appelée à concourir à la manifestation de la vérité (policier, magistrat, officier public, etc.), la peine est portée à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende », précise le Code pénal. La nuance est importante : pour les délits répréhensibles de cinq ans de prison, le parquet peut, avec l’autorisation du juge des libertés et de la détention (JLD), procéder à des perquisitions. Ce qui est donc le cas en l’espèce…

Une utilisation très variée de l’infraction
L’entrave à la manifestation de la vérité vise également le fait de « modifier l’état des lieux d’un crime ou d’un délit soit par l’altération, la falsification ou l’effacement des traces ou indices, soit par l’apport, le déplacement ou la suppression d’objets quelconques ». Aussi est-il utilisé de manière extrêmement variée par les juges.

En 2012, un gynécologue obstétricien, poursuivi pour blessures involontaires sur un enfant né avec un handicap cérébral, avait par exemple été condamné pour avoir apporté des modifications à son compte rendu post-opératoire, afin d’échapper à sa propre responsabilité. Le pot aux roses avait été découvert quand, en plein procès, une sage-femme, auditionnée en tant que témoin, avait brandi l’original du compte rendu, différent de celui qui avait été remis à la justice par le médecin…

À la fin des années 1990, l’infraction a également été utilisée contre un homme qui avait effacé des traces de sang sur le parechoc de la voiture de son beau-fils. Ce dernier, ivre, venait de tuer une jeune femme sur la route.[…]

rose dit: à

Comment le Procureur de la République a t-il le droit de faire procéder à la fouille de la maison du mis en cause ?

Quelqu’un pourrait-il me renseigner sur ce sujet ?
La vie privée, violation de domicile : comment peut-on passer outre ?
Que faut-il comme mandat ?

rose dit: à

Honteux la récupération de son père par Élisabeth Borne au CRIF.
Jusqu’où ira la bassesse ?

rose dit: à

Bàv, picholine !…

Picochroline guerre, Rabelais.

rose dit: à

Laurent Seksik ? Il vient de publier « Franz Kafka ne veut pas mourir » (2023)

Cela m’intéresse beaucoup.
Nota : Forcalquier signifierait le four à chaux. Sans confirmation.

rose dit: à

Demande, il y a, a minima trois mois de cela, avons parlé du livre d’une anthropologue -vivante- sur la mère je ne sais, mais en tout cas la relation entre soeurs. Avais écrit ici  » je l’achèterai ».
Ai remonté mes notes très loin dans mon agenda. Pas retrouvé.
Suis allée à la Carline chercher les Fossoyeurs en poche, sans le titre et sans l’auteur, c’est difficile.

Quelqu’un aurait souvenance, je vous prie ?

rose dit: à

Sans le titre et sans le nom de l’anthropologue.

Les Fossoyeurs : une camarade me dit « difficile à lire, horrible ». Ce qui la marque, c’est la maltraitance subie par les personnes âgées.
Ce qui me marque moi, quelle honte incommensurable ! c’est le pognon fait sur le dos des vieux. Le système mis en place.

Idem pour les promoteurs immobiliers qui se cassent au Monténégro alors que sous les décombres ont été sortis plus de 33000 morts et combien de survivants, de miraculés ?
Travail dingue des secouristes, hommage !

rose dit: à

Hommages aux mages ! Le trésor de la vie !

rose dit: à

Marcel Renault, frère de Louis, se tue au Paris-Madrid de 1903.,,,Et combien d’autres…. MC
Sans course, on se tue aussi. Nimier, Camus.

rose dit: à

Marc Court
☕🍫🥄

rose dit: à

Une grande preuve d’intelligence !

Retournement de situation. La Nupes a décidé, ce lundi soir, de retirer un millier d’amendements à l’Assemblée nationale afin d’accélérer l’examen de la réforme des retraites. Pourtant, les groupes de gauche, en particulier LFI, ont revendiqué ces derniers jours « l’obstruction parlementaire » au texte du gouvernement, qui prévoit le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans.

Sur le plateau de BFMTV, Sandrine Rousseau, députée EELV, a justifié ce retrait d’un millier d’amendements. Une décision, qui permet, selon elle, d’avoir dans les prochains jours un « véritable débat sur les alternatives au financement » de la réforme.

Dans la rue, des gens calmes et determinés.

rose dit: à

Je propose
https://www.amicis.fr/

-Une rampe d’accès pour la piscine. L’escalier en bois ne va pas du tout.

-les prix sont déjà trop élevés :
400 euros pour les étudiants.
2000 euros pour les séniors.
Maximum.
– deux chevaux.
– un corps médical : orthophoniste, psychologue, kiné, infirmière médecin.
-un salaire pour Nana, 2000 euros par mois avec fiches de paie.
– des séances au groupe culturel de la ville à l’extérieur, cinéma, conférences.
– pour être élu au conseil de vie sociale, enquête prealable sur la rectitude morale :
composition : résidents au moins 3, Nana, représentants des familles à haute moralité, deux, homme de technique/jardinier, un, les propriétaires un.
Un par trimestre.
Notez les améliorations dans un cahier.

L’idée est bonne
Tous les bénéfices seront réinvestis dans la villa pour l’amélioration de son fonctionnement ; c’est l’avenir, la vie intergénérationnelle. Ou à domicile.
Mort aux EHPAD.

rose dit: à

Mardi 14 février 6h14

La saint Valentin
Un coussin pour deux

Emma

Bravo à Blanche Gardin.
Cela n’a pas été simple mais on ne la voit plus ; sa love affaire avec Jck est sur de bons rails. Ont quitté la scène Zouk et elle.

Nota lire l’adresse d’Ariane Mouchkine à Élisabeth Borne. Chapeau bas.

renato dit: à

Ah, les fêtes ! quel ennui.

Jazzi dit: à

« Qu’est-ce qui pourrait sauver l’amour ? »

Le porno, pour Ovidie !

renato dit: à

J’ai en mémoire une observation de Roland Barthes : « le discours de l’amour est aujourd’hui d’une extrême solitude ».

Janssen J-J dit: à

(J.E., 14.2.23_10.01)
@ fiche de lecture à rz, et message adressé ce jour au dr Laurent Seksik, 32 bld du général Louis Delfin, 06300 NICE
__________
Bl., le 14 février 2023

« Cher monsieur,
Fervent lecteur de l’oeuvre de Kafka depuis plus de 50 ans, je me permets de vous adresser ce petit mot de remerciement pour la publication de votre nouveau roman « Franz Kafka ne veut pas mourir » (Gallimard). Je n’avais pas osé vous écrire à la sortie de votre évocation des derniers jours de Stefan Zweig à Petropolis en 1941, un autre de vos romans qui m’avait également marqué, il y a dix ans déjà. Mais aujourd’hui, je m’enhardis à le faire, puisque vous avez en quelque sorte donné une suite magnifique au roman de votre collègue allemand Michal Kumpfmüller (la splendeur de la vie). Et parce que j’en suis très ému.
Vous avez su mettre en scène ce que j’ai toujours ressenti de la fin de vie de FK et imaginé de l’émotion qui n’avait jamais pu en transpirer dans les innombrables biographies qui lui furent dédiées… Il est manifeste qu’à son propos, nos sensibilités sont très proches. Vous avez en effet eu besoin d’imaginer un Kafka heureux et osant enfin aimer, durant ce bref moment de lumière dans sa vie si douloureuse. Nous y avons cru nous-même et l’avons également désiré, ce moment d’intense bonheur précaire pour Franz. Vous avez imaginé une frère et un ami, fidèle et rassurant, en la personne de Robert K. plutôt que de Max B. Un personnage attachant, bien plus que le fidèle Max, éloigné de Franz à la longue, et plus intéressé par la postérité littéraire de son ami qu’à l’accompagner jusqu’au bout de son calvaire. Vous avez su faire d’Ottla une sœur admirative, silencieuse et pragmatique, un peu à la manière d’une Isabelle Raimbaud. Vous avez su lumineusement dire les tortures morales de Dora D., son amoureuse qui voulait vivre pour que Franz ne mourût pas. Et mettre en scène son monologue intérieur à l’approche de l’instant fatal auquel elle allait devoir survivre accablée, même si ce lui était inimaginable dans le moment de l’agonie de son amant devenu mari.
Et puis… vous avez su prendre votre lecteur en pleurs par la main, et lui donner à imaginer une suite à la mort de Franz. Il en ressort une admirable composition des témoignages du bon docteur Klopstock, des parents Hermann et Julie, un savoureux plaidoyer du juriste des assurances, des âpres discussions autour du cercle littéraire des bolcheviques se penchant sur le cas d’une ossible récupération idéologique de l’écrivain tchèque. Mais surtout, vous avez su donner en filigrane un destin ultérieur au trio Dora, Ottla et Robert condamnés à refaire leur vie sans Franz, à l’aide des bribes imaginaires des biographies à votre disposition (-nb / Je m’attendais à une allusion à Milena, mobilisée dans le souvenir d’Ottla, à l’occasion des confidences de son idylle avec Franz rapportés par Margarete Beuber-Neumann au camp de concentration…, mais peu importe, ce n’était pas le sujet)… Je retiens surtout l’émouvant dialogue de Robert et Max sur les dernières volontés de Franz. Quel amoureux de FK n’a pas un jour eu ce débat de conscience en soi-même, et de n’avoir jamais su trancher entre les solides arguments de chacun face au fameux dilemme de l’épreuve du feu ? Je bénirai toujours la décision de Max de n’avoir pas brûlé les archives, eu égard à leur perte et à notre infini besoin de nous ressourcer dans tous ses écrits fragmentaires. Et encore…, de tout ce que nous aurions pu apprendre des papiers retrouvés par Max dans le bureau des assurances, n’eût été la négligence de Dora à l’égard de la malle récupérée et détruite par les nazis… Mais peut-on vraiment en vouloir à Dora ?
Cher monsieur, vous être le premier à m’avoir donné accès à l’intégralité du compte rendu de l’acte de décès établi au sanatorium, et je vous sais gré de l’avoir peut-être traduit de l’allemand (?). Je me plais à vous imaginer comme le jeune humaniste idéaliste que fut Robert Klopstock. Et à vous souhaiter une belle vie professionnelle, de réussir à nouveau ce mystérieux alliage de la médecine et de la littérature. D’avoir surtout rempli, à votre niveau, le contrat posé par Robert avec lui-même. Votre roman est magnifique, aimant, tendre, magnétique et chaleureux. Hantés que nous sommes par des destins tragiques, vous nous aidez à vivre en leur compagnonnage et précieux souvenirs.
Je adresse mes plus infinis et fervents respects pour votre talent d’évocations. Un grand merci.
J-J Janssen. »

Janssen J-J dit: à

J’ignore pourquoi le nom de Palmade me rappelle irrésistiblement celui de Palamède… Mais bon dieu, où l’ai-je déjà rencontré ?

Jazzi dit: à

Il faut sauver les Buttes-Chaumont !

«Tout se casse la figure» : le parc parisien des Buttes-Chaumont en péril
Depuis la mi-juillet, le temple de la Sibylle qui surplombe le lac n’est plus accessible en raison de risques d’effondrement. Dans la grotte, des filets de sécurité protègent les promeneurs des chutes de pierre depuis 2015. » (« Le Parisien » du 27 août 2021)

« Paris : le corps démembré d’une femme retrouvé dans un sac aux Buttes-Chaumont » (« Le Parisien » du 14 février 2013)

L’histoire de l’un des plus beaux jardins de Paris
https://www.lelezarddeparis.fr/les-buttes-chaumont

renato dit: à

Vous avez rencontré Palamède sur le champ de bataille à Troie.

Jazzi dit: à

Lettre presque parfaite, JJJ !

« Isabelle Raimbaud » : RIMBAUD

« le cas d’une ossible récupération idéologique de l’écrivain tchèque » : POSSIBLE

« des confidences de son idylle avec Franz rapportés » : RAPPORTEES

« Je adresse mes plus infinis… » : Je VOUS adresse…

« votre talent d’évocations » : ???

Jazzi dit: à

2013, non, 2023 !

Rosanette dit: à

Et aussi dans La Recherche ;c’est je crois le prénom de Charlus

D. dit: à

Rappelons que de nos jours, le 14 février, un chrétien n’est pas sensé célébrer autre chose que l’entrée au Ciel des Saints Cyrille, Méthode, et Valentin.

Valentin, chrétien médecin puis prêtre à Rome au IIIe siècle, fut condamné pour avoir gagné au Christ une famille romaine. Sa mort, à la mi-février, coïncidait avec la date de la fête des amoureux, fixée au début de la période des amours chez les oiseaux. Avec la coutume médiévale de l’amour courtois, les jeunes filles se choisissaient un « valentin » comme chevalier servant ; il était tenu de leur offrir cadeaux et fleurs.
Il y a donc tolérance pour perpétuer élégamment cette très ancienne coutume, sans pour autant céder au mercantilisme païen.
La fornication de personnes non unies par le sacrement du mariage étant bien entendu un péché, faut-il le rappeler un énième fois ?

Janssen J-J dit: à

merci RM & jzmn pour le rappel de Palamède
Désolé pour les bévues du clavier, invisibles après deux relectures… Surtout pour le pauvre L. Seksi et rôz.
J’imagine et j’espère qu’ils sauront passer outre. Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, et encore, vous avez oublié UNE frère… Bàv,

Janssen J-J dit: à

Sorry rosanette, et merci pour Charlus, oui, en effet. J’espère que vous allez bien et vous souhaite une bien belle journée. Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Très belle lettre au Dr Seksik, pour son « Kafka ne veut pas mourir ».

C’est drôle, car ce type d’essai(?) vient – heureusement- grignoter la totale mainmise de quelques uns sur l’homme et son oeuvre, que j’ai personnellement ressenti comme une oppression et une dictature de quelques mandarins de l’akademie de Paris. Quand ce n’était pas des lectures complètement dévoyées, poursuivant d’autres buts moins avouables. Rendant une image absolument faussée de Kafka.

Bref, il faut aussi rendre a Robert Kahn, ce qui lui a été si mal pris…

Et, et, et, surprise du printemps à venir, la parution en français, du premier volume de la seule bio de référence , celle de R. Stach , qui n’avait jamais jusqu’alors été traduite en français.

Kafka, le temps des décisions
Tome 1. A paraître le 9 mars 2023.

renato dit: à

« … mercantilisme païen… »

Et la vente des indulgences pour payer les dettes d’un train de vie scandaleux ?

***

En tout cas la fête romaine qu’il a substituée (les Lupercales) n’avait rien de mercantile.

renato dit: à

qu’il > QUI

renato dit: à

Ah, la proverbiale ignorance en matière de foi et de mœurs des monothéistes, et particulièrement des catholiques !

D. dit: à

Les Buttes-Chaumont ça a toujours craint un max. On y a retrouvé des restes humains dans une poubelle pas plus tard qu’hier, comme par hasard. Mal fréquenté, construit à la base sur un terrain maudit, sorte de cour des miracles à l’époque. Tant que l’on exorcise pas dand les règles de l’art ce genre de lieu, seuls s’y sentent bien les damnés.

Jazzi dit: à

« Très belle lettre au Dr Seksik, pour son « Kafka ne veut pas mourir ». »

Un miracle de la saint Valentin !

Jazzi dit: à

« seuls s’y sentent bien les damnés »

Tu oublies le Paysan de Paris, le surréaliste Aragon, et Pablo75, qui habite juste à côté, D.

D. dit: à

Fêter le Saint Valentin qui donna sa vie pour le Christ, par des rapports sexuels illegitimes et à fortiori non destinés à la procréation, me révulse.

J J-J dit: à

@ jzmn, et encore vous avez oublié :
– cher monsieur, vous ETRE
– et Michaël Kumpfmüller plutôt que Michal
Quelle cata !…
@ MS, merci pour cette précieuse info sur R. Stach. Pas compris Robert Kahn, pas grave, on peut pas tout…
Bàv,

Bolibongo dit: à

les promoteurs immobiliers qui se cassent au Monténégro

Et leur évaluation du grangeon, on peut la connaître, non?

Bolibongo dit: à

Ah, le Paris-Toulouse, une légende pas très rose, rose.

Bolibongo dit: à

C’est bien fini le temps du Capitole!

D. dit: à

Moi je ne tiens pas de fiches, comme Jazzi, pour déterminer qui habite ici ou là et pourquoi et comment.
Je sais simplement que les Buttes-Chaumont correspondent à un « mont chauve » endroit damné et désolé où rien ne voulait pousser et où se réunissaient naturellement damnés et sorciers. Un mont chauve, comme celui de Moussorgski, qui s’inspira de la nouvelle de Nikola Gogol, pleine de magie noire. Brrr….

D. dit: à

J’espère que tu détailles tout ça correctement dans tes guides. Que les gens sachent quand même où ils vont foutre les pieds.

Rosanette dit: à

@JJJ
tres belle lettre, celle d’un lecteur subtil amoureux de Kafka et de son oeuvre, investi dans dans le souci de comprendre l’homme à travers tout ce qui en a été dit et écrit de lui par ceux qui l’ont approché et aimé ,une missive traduisant aussi le souci de ne jamais se départir d’une approche critique des sources explorées
Une lettre qui souléve une question
Comment quelqu’un qui manifeste tant d’intérêt pour la chose littéraire littéraire a-t-il pu passer sa vie professionnelle dans un emploi de technocrate ?

rose dit: à

Et leur évaluation du grangeon, on peut la connaître, non?

Bolibongo

Pas de promoteur immobilier.
Ai déjà songé à le remonter d’un étage mais le toit est refait en son entier.
Ai songe aussi à y mettre un balcon devant la chambre pour ma sérénade d’un guitariste. Mais bon.

rose dit: à

Lapsus clavii

Pour la sérénade d’un guitariste.

Phil dit: à

Les droits de succession sur le talent, heureusement annulatoires, devraient épargner les moqueries des fins esprits au rejeton d’éditeur quand le neveu encombre les écrans subventionnés. Il restera ce mystère fondateur des éditions de Minuit que fut le succès du « Silence de la mer », court récit « de deux abrutis Français, un père et sa fille, aux prises avec un vieil homme Allemand » (Haedens).

Janssen J-J dit: à

@ Comment le Procureur de la République a t-il le droit de faire procéder à la fouille de la maison du mis en cause ?

Il lui suffit de s’auto saisir en tant que partie civile et chef du parquet dans l’affaire en question… A ce stade de l’enquête préliminaire, et dument convaincu par les éléments à charge du mis en examen (traces de cocaïne prélevées dans son sang), le CCP lui donne la possibilité légale de délivrer un mandat de perquisition à son domicile, sinon de conduire la perquisition lui-même, s’il entend se faire sa petite pub à peu de frais… On sait que d’obscurs magistrats n’en sont pas exempts…
Je n’ai pas plus d’éléments sur ce fait divers auquel je n’arrive pas à m’intéresser. Mais je comprends qu’il puisse susciter moultes interrogations sur cette chaine littéraire… Et suis surpris que personne ne s’objecte à la présomption d’innocence… une argutie, comme chacun sait.
@ JL, pourriez-vous confirmer ou compléter au besoin, cette réponse à la question de rz ? Merci.

rose dit: à

Jean-Jacques Janssen,

Vitre lettre est si belle que, si vous m’y autorisez je la transmettrai à mon médecin de famille auquel j’ai dressé précédemment un portrait catastrophique de ceux auxquels il a succédé : deux bouchers*. Qu’il ne croit pas qu’il soit condamné à une suite onligatoire.

* Récemment, une me dit « il était charcutier, il est maintenant psychologue ».

Mais qui ?

Nota : Mon médecin d’Hazebruck. En deux portraits lapidaires, lui ai tout dit. A éclaté de rire, et m’a dit « vous et les médecins alors ! ». Lui ai répondu « Un médecin est un homme comme un autre ». Il a plussoyé.

rose dit: à

Argutie.

Avec un mort et des blessés graves en face, la présomption d’innocence est bien abîmée.
Mais le type est à l’hôpital, entre la vie et la mort au toit début et on envoie des flics perquisitionner chez lui, fissa ?

Jazzi dit: à

Non, pas de fiche, juste une lecture attentive des commentateurs de la RDL, D..
Pour savoir ce que je dis des Buttes-Chaumont, entre autres lieux parisiens, il suffisait de cliquer sur le lien qui accompagnait mon commentaire…

rose dit: à

au tout début

D. dit: à

« Le nom des Buttes-Chaumont viendrait, suivant les étymologistes, de la contraction de deux mots significatifs : « Chauve-Mont ». Il aurait été donné, disent-ils, à ces hauteurs, parce que le sol et le sous-sol, uniquement composés de glaise, de marne compacte et de gypse, se refusaient absolument à toute végétation. »

Baron Haussmann, Mémoires du baron Haussmann

Jazzi dit: à

« et on envoie des flics perquisitionner chez lui, fissa ? »

Vous cachez un cadavre dans votre grangeon, rose ?
On recherche toujours la tête et les membres de la morte des Buttes-Chaumont…

Janssen J-J dit: à

@ Comment quelqu’un qui manifeste tant d’intérêt pour la chose littéraire littéraire a-t-il pu passer sa vie professionnelle dans un emploi de technocrate ?

Comment pouvez vous à ce point remuer le couteau dans ma plaie, rosanette, et me parler de « technocrate » ? –
Vous trouverez une esquive dans la vie de Franz (qui ne fut pas tout à fait celle de Bartleby)… Comment a-t-il pu s’accommoder et souffrir lui-même d’une vie ennuyeuse passée tous les jours au bureau et sur le terrain à inspecter des accidents du travail dans les entreprises, pour améliorer leur prévention dans sa société d’assurances, même si la raison d’être d’icelle était de faire des bénéfs, sous couvert d’une nobel cause ?
En remontrer à son père qui l’accusait de fainéantise et d’inutilité ?… Il se peut bien, mais cette réponse insuffit, bien évidemment, rosanette, vous le savez, et nous le savons bien.
Bàv,

Jazzi dit: à

Tout ça est développé dans mon article, D.
Mais le plus grave c’est que faute d’entretien de son sous-sol, le parc des Buttes-Chaumont menace aujourd’hui de s’effondrer !

Jazzi dit: à

DHH est atteinte d’écholalie !
Sa question, JJJ, s’adresse surtout à elle-même…

Janssen J-J dit: à

@ avec un mort et des blessés graves en face, la présomption d’innocence est bien abîmée.

Je suis désolé par vos propos, rz bien que je les comprenne… Je voudrais juste vous faire admettre que l’intention homicide du mis en examen n’est pas établie… Mais on peut évidemment soutenir que les gens qui prennent de tels risques sur la route sont des assassins suspects en puissance et devraint être neutralisés avant de prendre le volant… C’est clair. D’ailleurs notre droit pénal a fait sa révolution et mue depuis longtemps… La prise de risque basée sur « le principe de précaution » a depuis longtemps renvoyé aux oubliettes des vieilles lunes le principe de légalité des délits et des peines –
A mes yeux de juriste demeuré, les cruelles conséquences d’une pareille folie de comportement irresponsable ne doivent pas être le fil conducteur d’un appel au lynchage, voilà tout ce que je dis, et vou spire de m’en excuser de le formuler en ces termes… On se refait difficilement, mais je reste trop conscient des dérives auxquelles nous a menés depuis vingt ans, la compassion pour les seules victimes de la violence routière et la haine des tarés du volant.
Bàv, et toujours amicalement (***je RPMV).

rose dit: à

Euh.
Après avoir vécu de facto tout le dimanche un lynchage on dit le mardi ah non pas de lynchage ?

Je pense que l’attitude est suicidaire face à soi-même plutôt que face a ceux qui arrivent en face. D’où le drame qui n’a aucun besoin d’être accentué.

J J-J dit: à

S’agissant des Buttes Chaumont, moi, je m’accroche à Vernon Subutex, et sam’suffit bien, Virginie !…

rose dit: à

Déjà, fouiller quand tu es là, c’est dégueulasse. Alors fouiller quand tu n’es pas là c’est archi-dégueulasse.

Janssen J-J dit: à

je ne sais pas si le gars a voulu se suicider, inconsciemment. je n’en pense rien et n’ai surtout pas suivi l’actualité heure par heure de ce fait divers. Au zinc, j’écoute ce qu’en disent les gens sans prendre parti…
Quant à E. Borne, doit-on comprendre que sa famille aurait péri dans l’enfer des camps ?
Je n’arrive plus à suivre, il y a trop d’infos télescopiques, on ne peut en arrêter le flux démentiel.
Lâcher prise, il faut parfois. Aller se préparer son plat d’endives pour le déjeuner, à défaut de lentilles, hein ?…

Jazzi dit: à

Mais qu’avez-vous donc tant à cacher, rose ?!
Il est des fouilles qui ont permis d’éviter des attentats terroristes…

Janssen J-J dit: à

je crains de devoir me déniaiser en tant que fouille merde… mais je n’arrive pas à croire en ma paranoïaj. Là, ça va trop loin.

Janssen J-J dit: à

@ allons bon jzmn vous voulez dire qu’au domicile du gars, on aurait voulu vérifier qu’il ne cachât pas un arsenal pour préparer un attentat terroriste ?… ébé dites donc !… On va encore plus loin, là dans les romans d’anticipation, même SV aurait point imaginé ça !… Bàv,

Samuel dit: à

Pourquoi un foetus qui meurt dans le ventre de sa mère est assez âgé pour disparaître ?

Jazzi dit: à

Mais non, JJJ.
Juste une perquisition comme une autre, pour les besoins de l’enquête…

racontpatavi dit: à

Et du sur accident, on en parle ou non?
Le papy de 80 ans est bien rentré avec sa voiture dans celle où se trouvait la femme enceinte.
Les experts auront à estimer la responsabilité matérielle des chocs et de la maîtrise du second conducteur.
Le coup du lapin, c’est dramatique, même à petite vitesse!

Janssen J-J dit: à

@ Juste une perquisition comme une autre,

pas vraiment d’après ce que j’imagine… Pourquoi pas une occasion inespérée d’aller vérifier chez le type s’il n’avait pas amassé du blé avec un éventuel trafic de coke en vue de préparer qq autre méfait ?… C’est un calcul hautement probable… Un proc n’a pas à justifier de ses décisions post hoc sur des soupçons alimentés par des flics dont il est de facto le bras droit plutôt que le patron… Vous ne lisez jamais de polars judiciaires ou de sociologie spécialisée qui dit la même chose en d’autres termes ? ou quoi ?… Allons, jzmn, ne jouez pas les innocents, comme tous les gens de droite pro flics, sécuritaires et anti désordre de votre trump,
hi hi hip’t-ourrah… 😉
Bin à vous, on vous M quand même un bri, à lézarder ainsi.

D. dit: à

Ouvrir le menu principal
La filière « des Buttes-Chaumont »[1], ou parfois filière irakienne du 19e arrondissement[2], est une filière jihadiste. Son but était d’organiser l’envoi de jihadistes en Irak dans le cadre de la guerre d’Irak, et plus précisément vers la branche irakienne d’Al-Qaïda.

Le parc des Buttes-Chaumont, lieu de ralliement des djihadistes.

Elle est organisée autour de la mosquée Adda’wa rue de Tanger[3], à l’époque « l’un des plus grands lieux de culte musulmans d’Europe » avec 5 000 fidèles chaque vendredi[4]. Le personnage central de cette filière est Farid Benyettou, agent d’entretien le jour, prédicateur le soir[5] et proche du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC)[6], devenu Al-Qaïda au Maghreb islamique en 2007. Boubaker El Hakim (1983-2016) est lui considéré comme « l’un des cerveaux » du réseau[3].

Elle porte le nom du parc des Buttes-Chaumont situé au nord-est de Paris, en France, dans le 19e arrondissement de la ville. Farid Benyettou y emmenait ses disciples « faire du jogging en guise d’entraînement physique »[7].

Ce réseau est démantelé en 2005 puis ses membres jugés en 2008[8] pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes »[3]. Intercepté en janvier 2005 alors qu’il s’apprêtait à prendre l’avion pour Damas, Chérif Kouachi est condamné à trois ans de prison, le prédicateur Farid Benyettou à six ans de détention. Détenu au centre pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne) Mohamed al-Ayuni partage sa cellule avec un petit bandit de Cachan, Salim Benghalem, qu’il initie aux thèses djihadistes et deviendra plus tard un cadre de l’État islamique.

Sur une douzaine d’apprentis djihadistes connus dans la filière, trois ont été tués en Irak[7]. La mosquée Adda’wa, ouverte en 1969, est démolie en 2006[4]. Condamné en 2011 à cinq ans de prison dans le dossier des Buttes-Chaumont, Peter Cherif a gagné le Yémen fin 2011, avant lui aussi de retourner dans le nord de la Syrie en 2015 : « À l’exception de l’Afghanistan, il est passé par tous les théâtres de jihad, et ce fut un intime du premier cercle des Kouachi[9] ».

Certains des membres de la filière, à l’image de Chérif Kouachi, sont cités à plusieurs reprises en 2013 au cours de l’enquête sur la tentative d’évasion de Smaïn Aït Ali Belkacem, ancien membre du Groupe islamique armé (GIA) algérien condamné pour l’attentat du RER Saint-Michel[10]. D’autres comme Amedy Coulibaly sont même condamnés dans cette affaire[11]. Un des autres condamnés est Djamel Beghal, l’un des anciens piliers du GIA avec Smaïn Aït Ali Belkacem[12], également condamné pour sa participation à l’élaboration d’un projet d’attentat contre l’ambassade des États-Unis en France.

Boubaker El Hakim, est le premier de la filière irakienne dite des « Buttes Chaumont » à être parti se battre au Moyen-Orient[13]. Il revendique les assassinats de Chokri Belaïd, tué de 14 balles, le 6 février 2013, et de Mohamed Brahmi, le 25 juillet 2013 en Tunisie[14]. Suspecté d’être le donneur d’ordre de l’attentat contre Charlie Hebdo et de l’attaque du musée du Bardo[15], il est tué par un drone américain en novembre 2016[16].

Wikipédia

D. dit: à

Quand je vous dis que c’est mal fréquenté c’est que c’est mal fréquenté. Sinon je vous dirais que ce n’est pas mal fréquenté.

D. dit: à

Tu peux mettre ça dans ton guide, Jazzi.

Jazzi dit: à

D., tu oublies de mentionner que Le parc des Buttes-Chaumont est aussi le lieu de ralliement pacifique des juifs…

Jazzi dit: à

« comme tous les gens de droite pro flics »

Parole de keuf, comme dirait la délicieuse Marie Sasseur, qui vous a fait une déclaration d’amour ce matin, JJJ !

Jean Langoncet dit: à

(La consommation abusive d’endives blettes nuit gravement à la santé mentale)

Jazzi dit: à

Quoiqu’il en soit, JJJ, il parait que les flics ont emporté deux gros sacs après leur visite de la maison de Pierre Palmade.

D. dit: à

Ah bon ? Tu me l’apprends, Jazzi.

et alii dit: à

buttes chaumont:
rien sur le pont des suicidés?

Jazzi dit: à

Les candidats parisiens au suicide ont désormais choisi les abords du jardin de la Bibliothèque François Mitterrand, et alii.

Marie Sasseur dit: à

Il faut toujours jeter un oeil, sur les borborygmes cryptés des idiots utiles du borgne de Montretout.

« Les droits de succession sur le talent, heureusement annulatoires, devraient épargner les moqueries des fins esprits au rejeton d’éditeur quand le neveu encombre les écrans subventionnés. » le valet

On peut parier que ce petainiste nostalgique, a zappé le fait que le grand père des 2 cousins, Mathieu et Vincent, a grandement contribué à nettoyer la vermine collabo.

La suite, grandiose :

« Il restera ce mystère fondateur des éditions de Minuit que fut le succès du « Silence de la mer », court récit « de deux abrutis Français, un père et sa fille, aux prises avec un vieil homme Allemand » (Haedens). » le valet de ferme

Bruller/ Vercors aura puisé aux sources du nazisme, dont l’une est le romantisme allemand.
Comme l’a bien compris Philippe. Tesson, qui était, lui, dans « la ferme ».

D. dit: à

Entre la fin du xixe siècle et le début du xxe, ce pont fut le lieu de dizaines de suicides. La presse en fit abondement mention, certains journaux allant jusqu’à parler de « mode ».

et alii dit: à

LA FËTE O% LES JUIFS VONT AUX BUTTES CHAUMONT/
Le terme « Tachlikh » vient du verbe hébraïque signifiant « jeter », en référence à notre volonté de nous défaire de nos péchés et les « jetant » au loin à travers cette antique coutume commune aux communautés ashkénazes et séfarades.

Le Tachlikh est généralement effectué le premier jour de Roch Hachana. Si celui-ci tombe un Chabbat, le Tachlikh est alors fait le second jour de Roch Hachana. Il peut être réalisé jusqu’à Hochaana Rabba (le dernier jour de Souccot) – c’est d’ailleurs la coutume de certaines communautés –, excepté le Chabbat.

Marie Sasseur dit: à

@comme dirait la délicieuse Marie Sasseur, qui …

Qui n’a pas besoin que ses commentaires soient reecrits pour autre chose que ce qu’ils veulent dire.

Et si c’est pas clair : je suis super contente de pouvoir lire bientôt la vie de l’ami Franz. Non racontée par des malfaisants de l’akademie de Paris ment.

et alii dit: à

Bien qu’il existe différentes versions de la liturgie du rituel du Tachlikh selon les communauté, celles-ci contiennent toutes les versets du livre de Michée (7,18-19) commençant par les mots Mi E-l kamokha, « Qui est comme Toi, ô D.ieu ». Ces mots correspondent aux Treize Attributs de Miséricorde de D.ieu que nous cherchons à susciter à Roch Hachana, alors que nous sommes jugés ; la mention de ces Treize Attributs est connue pour être toujours bénéfique.

Le but du Tachlikh est de jeter dans la mer céleste nos péchés ainsi que le procureur céleste lui-même (c’est-à-dire le Satan). Et quand nous secouons nos vêtements après la prière du Tachlikh, c’est un acte tangible pour signifier notre but spirituel de secouer les péchés de notre âme.
MAIS ROSE a d’autres souvenirs peut-être

et alii dit: à

pourquoi ne pas donner les raisons pour lesquelles les juifs vont aux buttes chaumont?
OU ONT HABITE DANS LES ENVIRONS DU PARC
2COLE Lucien DE HIRSCH rue SECRETAN

Jazzi dit: à

L’école est-elle la cause ou la conséquence, et alii ?

et alii dit: à

Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild
RUE Manin
un plan sur la toile pour le situer par rapport aux buttes chaumont

Jean Langoncet dit: à

@Mes devoirs Mon Charoulet du Préau

Contrepoint du jour à vos louanges du gouvernement de Bibi :

AFP, publié le mardi 14 février 2023 à 14h01

Des milliers de personnes ont manifesté lundi à Jérusalem devant le Parlement israélien contre un projet de loi de réforme du système judiciaire susceptible de réduire l’indépendance de la justice.

Dans une mer de drapeaux israéliens bleu et blanc, les manifestants sont restés pendant plus de cinq heures devant le Parlement en brandissant des pancartes comme « Sauvons la démocratie israélienne », « Pays en faillite morale » ou « Nous sommes devenus fous ».

En l’absence de chiffres de la police, les médias israéliens ont estimé la foule à plusieurs dizaines de milliers de personnes, ce qui représente une forte mobilisation à l’échelle d’Israël. De nombreux manifestants sont venus en famille, a constaté un journaliste de l’AFP.

La compagnie ferroviaire publique a mis en place un service de trains supplémentaires tout au long de la journée entre Tel-Aviv et Jérusalem compte tenu de l’affluence attendue sur la ligne.

Plusieurs centaines de personnes ont manifesté également à Tel-Aviv contre la réforme, a constaté un photographe de l’AFP.

A Jérusalem, les contestataires ont crié leur mécontentement alors que la Commission des lois a voté une partie des dispositions présentées par le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu, ouvrant la voie à un vote en première lecture.

Pendant le débat, des altercations ont eu lieu entre des députés issus du parti centriste Yesh Atid opposés à la réforme et le président de la commission parlementaire Simcha Rothman du parti d’extrême droite Sionisme religieux qui défend la réforme.

– « Effondrement constitutionnel » –

« Honte ! Honte ! » ont scandé les députés de l’opposition présents. Une vidéo de la chaîne parlementaire a montré trois députés, dont deux qui s’étaient assis par terre, alpagués par des gardes et conduits vers la sortie.

Les organisateurs du mouvement de contestation considèrent que la réforme met en péril le caractère démocratique de l’Etat d’Israël et ont également appelé à une grève nationale lundi.

M. Netanyahu est revenu au pouvoir fin décembre en prenant la tête d’un des gouvernements les plus à droite de l’histoire d’Israël, issu d’une alliance entre son parti, le Likoud (droite), des partis d’extrême droite et des formations ultra-orthodoxes juives.

Le projet de réforme de la justice a été annoncé par le ministre de la Justice Yariv Levin début janvier. Depuis lors des dizaines de milliers de personnes manifestent contre ce texte, principalement à Tel-Aviv, mais aussi à Jérusalem ou Haïfa (nord d’Israël).

Le projet vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des magistrats et limiterait considérablement la capacité de la Cour suprême à invalider des lois et des décisions du gouvernement.

Une clause « dérogatoire » permettrait ainsi au Parlement d’annuler à la majorité simple une décision de la Cour suprême, que M. Netanyahu et ses alliés jugent politisée.

M. Netanyahu est lui-même jugé pour corruption dans plusieurs affaires. Si elle était adoptée, la réforme pourrait être utilisée pour casser une éventuelle condamnation, avancent ses détracteurs.

Dimanche soir, le président israélien Isaac Herzog s’est adressé à la nation dans un discours télévisé et a appelé au dialogue estimant que le pays était « au bord de l’effondrement constitutionnel et social ».

– « Réforme fondamentale » –

« Il est possible de parvenir à un consensus », a-t-il déclaré, proposant de suspendre le processus législatif en cours afin de mener des discussions entre les différentes parties.

Mais M. Levin a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de retarder la législation.

Tout en se disant prêt à mener des pourparlers avec l’opposition, il a affirmé que les discussions ne devaient pas être utilisées « pour retarder ou empêcher cette réforme fondamentale du système judiciaire ».

Le combat contre la réforme « ne cessera pas », a affirmé sur Twitter le chef de l’opposition Yaïr Lapid.

« Un gouvernement extrémiste et corrompu menace de détruire le pays à une vitesse record », a-t-il déclaré lundi lors d’une conférence de presse conjointe avec des dirigeants de partis de l’opposition après que la commission des lois a voté en faveur des dispositions de la réforme.

« Si cette loi passe, c’est la fin de l’ère démocratique de ce pays », a-t-il poursuivi, ajoutant qu’il n’était « pas trop tard pour [l’]arrêter » et exhortant les députés du Likoud à ne pas adopter la réforme.

Jean Langoncet dit: à

@Rappelons que de nos jours, le 14 février, un chrétien n’est pas sensé célébrer autre chose que l’entrée au Ciel des Saints Cyrille, Méthode, et Valentin.

Par la vache Kirill

Jazzi dit: à

Une explication plus globale, et alii

« Entre le XIXe et le XXe, de Riquet à la place des Fêtes jusqu’aux limites nord de la place de la République, fortes d’une trentaine de synagogues, de nombreuses communautés orthodoxes ont ouvert écoles et commerces, dessinant un nouveau paysage. Hommes en costumes noirs stricts, le chef couvert d’un Borsalino, mais aussi, pour certains, de gapettes ouvrières ou de casquettes de base-ball (pour les jeunes revenus à une pratique plus ou moins stricte), femmes en perruques, manches longues, robes aux chevilles, donnent des allures de Brooklyn, voire de Méa Chéarim de Jérusalem à ces anciens bastions populaires. »
https://www.liberation.fr/societe/1999/09/17/grand-angle-l-est-parisien-bastion-juif-orthodoxe-jerusalem-sur-seine-epiceries-cacher-commerces-eco_283721/

Marie Sasseur dit: à

 » vu » pour vous et pas que…

« Selon les dernières volontés du baron Adolphe de Rothschild, décédé le 7 février 1900, son épouse la baronne Julie-Caroline de Rothschild entreprend de faire construire un établissement spécialisé en ophtalmologie, à l’instar de l’Hôpital Ophtalmique qu’il avait déjà créé à Genève.

Contenu
En 1905, est inauguré le premier hôpital parisien, non seulement gratuit mais surtout ouvert à tous, sans distinction religieuse ou politique : la Fondation Adolphe de Rothschild qui deviendra en 2020 l’Hôpital Fondation Adolphe de Rothschild. »

https://www.fo-rothschild.fr/patient/notre-histoire#:~:text=En%201905%2C%20est%20inaugur%C3%A9%20le,H%C3%B4pital%20Fondation%20Adolphe%20de%20Rothschild.

FL dit: à

> A Rosanette

Oui Palamède XV, baron de Charlus, duc de Brabant, damoiseau de Montargis etc. etc.

Il est comme le marquis de Sade il ne porte pas son titre le plus haut.

et alii dit: à

je ne connaissais pas le mot « gapette », et quant à la chose, wiki propose ça
https://sp.yimg.com/ib/th?id=OPE.GP5J9FUqV64Qvg300C300&pid=21.1&w=174&h=174
que j’aurais appelé casquette,comme on en voit surtout sur les têtes des garçonnets (et pas qu’en France!)sans aucun rapport avec quelque forme de judéité!
pour ce qui est du Borsalino, il parait que Borsalino est la plus ancienne manufacture italienne spécialisée dans la fabrication de chapeaux de luxe. Depuis 1857, la fabrication est basée à Alexandrie. Le fondateur, Giuseppe Borsalino, est connu pour avoir créé un modèle particulier de chapeau en feutre connu sous le nom de Borsalino !
mais je me souviens des chapeaux que portaient les hommes en France apres guerre ;il y a beaucoup de photos!

Damien dit: à

La soeur du Palmipède a déclaré qu’il avait honte de ce qui est arrivé. Comme le rapporte « Le Figaro » :

«L’idée d’avoir détruit la vie de cette famille le dévaste. Il prie, et nous avec lui, pour que [que les victimes] s’en sortent avec le moins de séquelles possibles.» Et d’ajouter: «Il assumera toutes les conséquences de ses actes avec la conscience terrible qu’il ne pourra jamais réparer le mal qu’il a fait. Aussi vain que cela puisse paraître, Pierre leur demande pardon du plus profond de son âme.»

Il est sorti de réanimation et va pouvoir être entendu par la police ou la gendarmerie, je ne sais pas, ou les deux. Sa maison a été visitée dans la nuit, voilà qui est intéressant. Cela se serait passé dans un bungalow, une alarme aurait été déclenchée, ce qui aurait alerté les forces de l’ordre, qui ce matin avaient bloqué les alentours. Palmade détenait-il des secrets d’Etat ? Il avait été l’amant de Patrick Juvet, paraît-il, il savait beaucoup de choses. Et puis, ces deux comparses qu’on n’a toujours pas retrouvés, c’est louche. Maintenant qu’il s’est réveillé et est sorti de réanimation, Palmade va pouvoir dire qui ils étaient. C’est une histoire compliquée, au final, pleine de rebondissements. Dommage que des innocents en aient si sévèrement fait les frais. — Demain sort un film américain d’après Chandler. Il nous faudrait un Chandler contemporain pour nous parler de l’accident du Palmipède, et de toutes ses implications, prostitutionnelles, liées à la drogue, au show biz, peut-être à la politique… N’oublions que Palmade était un homosexuel, et pensons à ce qu’en disait Proust : c’est une sexualité qui fait voyager à travers les classes sociales, les demi-mondes… Et si Palmade avait été l’homme à tuer, et qu’il ait été victime d’un complot ? Tant que ses deux comparses, qu’on a vu s’échapper, n’auront pas été retrouvés, cela restera louche. Ils ont réussi à disparaître comme ça ? Je m’interroge. Envoyés par qui ? C’était là le point faible du Palmipède, qui n’a jamais été très prudent. — Bref, une intrigue prometteuse pour un polar… Bonne soirée, les enfants !

et alii dit: à

quoiqu’il en soit, monsieur lézard, vous n’avez pas assez d’imagination pour vous représenter les hommes que j’ai connus dans ma jeunesse et en réveiller des souvenirs;
dites vous pour vous aider, que le fils du meilleur ami de mon père, qui savait s’habiller, et fréquenta des artistes , avait fait sciences po et l’ena et qu’il devint banquier -il a un parfait homonyme!

et alii dit: à

autre détail sur ce fils:il épousa une femme dont le prénom était olga, et l’un des fils de ce couple heureux fut frappé d’une maladie sévère et fut mis dans une institution en suisse, où la mère ne voulut pas aller le voir

et alii dit: à

l’affaire de l’humoriste me semble trop malheureuse pour ne pas laisser aux commentateurs professionnels le choix des informations qui semblent déterminantes et pourront suffire à apporter un jugement;

D. dit: à

Il est probable que les comparses en question soient d’origine extraterrestre, comme l’était lui-même Patrick Juvet par ailleurs.

B dit: à

N’oublions que Palmade était un

Il l’est encore.

D. dit: à

Un quoi, Bérénice ? Ayez le courage d’aller jusqu’au bout de votre phrase.

D. dit: à

Un radio-amateur ?

B dit: à

Je corrige l’emploi de l’imparfait, ce malheureux, tragique accident ne l’a pas tué quoi qu’il puisse être, humoriste, homosexuel ..

B dit: à

Je me souviens avoir rencontré un couple de retraités dans des lits de rééducation , ils avaient été victimes eux aussi d’un choc frontal. Polyfracturés, ce genre de collision ne fait pas de cadeau.

D. dit: à

Ouais ouais ouais…

Janssen J-J dit: à

@ une intrigue prometteuse pour un polar

pouvez êt’ sûr que, d’ores et déjà, dix équipes de scénaristes sous la houlette Danouna sont en train d’y bosser (dont qques-uns d’erdélie font partie, vu les « il parait que »…).
Bon courage, les mecs, préparez bien vos fiches. Y’a du pognon à s’faire ! –

B dit: à

Plus exactement, ils n’étaient pas encore en reeduc mais après des mois d’hospitalisation , en soins de suite, toujours pas aptes à rentrer chez eux ou à la rééducation. Le conducteur fautif était ivre.

D. dit: à

Laissons cette triste affaire être traitée par les enquêteurs, les experts, la justice.
Les seules choses certaines : l’accident, l’état des victimes, la conduite de PP sous l’emprise d’un stupéfiant.

Janssen J-J dit: à

au fait, j’ai pensé à vous, RM…
—-
Nun eru natu e nasceri vulia,
ora su natu e nun vurria campari
ci curpa la tiranni sorti mia,
idda mi fici e non m’avia a fari.
Mi fici viccu di maluncunia
e puvureddu di roba e di dinari.
Non appi beni dila carni mia,
comu ni pozzu aviri di l strani…

Bàv,

B dit: à

Vu Le film after Sun , une douce mélancolie, fuite du temps. Un montage artistique.

B dit: à

3J, jusqu’à cette lettre parfaitement rédigée j’ignorais votre intérêt pour Kafka. Pour moi c’est toujours une épreuve que d’y entrer. Il continue de me faire peur, de m’oppresser, de m’angoisser et la lecture du Quarto reste incomplète .

renato dit: à

Merci 3J, je nourris une petite passion pour les langues minoritaires italienne, même si « a lingua non avi ossa, ma rumpi l’ossa ».

renato dit: à

italienneS

D. dit: à

carni mia, ça veut dire mon steak, je crois.

D. dit: à

D’ailleurs renato dit qu’il nourrit une petite passion.

D. dit: à

Y’a des os dans le steack, apparemment.

duralex said laisse dit: à

Accident impliquant Pierre Palmade : l’avocat des victimes réclame qu’«aucun traitement de faveur» ne soit accordé à l’humoriste.( Agence de presse.

Cela veut dire de façon assez casuistique : il faut faire un exemple avec le cas Palmade!

D dit: à

maluncunia doit être un gros mot.

Jacques dit: à

Les homos, les féministes et les LGBTQ, tout ce ramassis d’enculés, on ne peut plus aujourd’hui se foutre de leur gueule ou les insulter ou même leur casser la figure.
Quelle misérable époque.

Jazzi dit: à

 » il faut faire un exemple avec le cas Palmade ! »

C’est le revers de la médaille de la célébrité.
Il va sûrement payer le prix de façon à être un exemple en forme d’avertissement…

Jazzi dit: à

@B, si mon avis sur « Aftersun » vous intéresse, cliquez sur le bouton rouge !

Jean Langoncet dit: à

@ce malheureux, tragique accident ne l’a pas tué quoi qu’il puisse être, humoriste, homosexuel ..

Il n’y a pas de justice divine en France

Jazzi dit: à

Oui, mais pour un suicidaire, c’est frustrant, JL !

rose dit: à

Ce blog est en train de devenir un blog de cyniques.

Phil dit: à

le romantisme allemand.

Tentative louable de rester dans le sujet, miss Sasseur, malgré vos faiblardes compétences romantico-tudesques. Essayez-vous aux tonneaux d’un partouzeur qui semblent agiter le landerneau du prestigieux blog à passou.

Jazzi dit: à

Celle-là elle est bien bonne, rose !

« Il aurait mieux fait de prendre le train ce jour là vu sa capacité de faire des rails »

rose dit: à

Eu égard au fonctionnement des trains, c’est kif-kif.
Grosso modo, on sait quand on part -si on part, mais on ne sait jamais quand on arrive.

rose dit: à

partouzeur qui semblent agiter le landerneau

On en est à se demander qui a commencé, dimanche, ce jour sans faim.

Jean Langoncet dit: à

@Laissons cette triste affaire être traitée par les enquêteurs, les experts, la justice.
Les seules choses certaines : l’accident, l’état des victimes, la conduite de PP sous l’emprise d’un stupéfiant

Bien. Une nuance toutefois ; si des traces de stupéfiant ont été détectées dans le sang de Palmade, les faits de « conduite sous l’emprise d’un stupéfiant » ne sont pas établis à ce jour

D. dit: à

Mais bien sir que su puisqu’il était au volant. Qu’il est bêteu ce Jeannot.

D. dit: à

J’en ai marre de ce blog avec que des débiles. Je le quitte définitivement.

D. dit: à

A Chaville on est pas des cons nous.

Jean Langoncet dit: à

De la présence de traces à l’emprise, c’est plus ou moins la même chose pour vous ? Pourquoi pas ? Je passe en mode pilote automatique pour ce soir

renato dit: à

 » J’en ai marre de ce blog avec que des débiles. Je le quitte définitivement.  »

Ce type passe son temps en quittant définitivement cet espace et il est toujours ici, ce n’est pas un homme de parole,

Marie Sasseur dit: à

@Tentative louable de rester dans le sujet, miss Sasseur

You’re welcome !
Le  » sujet  » , je le traverse très souvent , dans tous les sens et pas toujours en respectant les limitation de vitesse.

Et le reste est… silence.
Comme disait Hamlet, traduit par Jean Bruller, en 1965.

Archive
Les dossiers de l’ecran
« L’écrivain VERCORS, pseudonyme littéraire de Jean BRULLER, évoque la genèse de son livre « Le silence de la mer », une nouvelle publiée clandestinement aux Editions de Minuit en février 1942, et citée comme exemple de résistance par l’écriture et l’imprimerie sous l’Occupation. »

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i22035574/vercors-sur-la-genese-du-livre-le-silence-de-la-mer

15/02/2023, 7h30

Marie Sasseur dit: à

J’ai aussi pensé que cette courte nouvelle, « le silence de la mer », faisait la part belle au romantissmse schleuh.

C’est plus fin que ça, c’est est la dénonciation.

Marie Sasseur dit: à

On ne rappelle pas non plus que la prise en main présidentielle et financière de la maison Minuit par le jeune Jérôme Lindon qu’il était alors, ne s’est pas faite sans quelques effets collatéraux, avec les fondateurs.
Ces mêmes fondateurs qui auraient de toute façon été bien incapables de donner à cette entreprise éditoriale la renommée, le rayonnement qu’elle a acquis ensuite grâce à J. Lindon.

rose dit: à

Au Montparnasse, sa tombe, introuvable.

Janssen J-J dit: à

@ Et le reste est… silence. Comme disait Hamlet, traduit par Jean Bruller, en 1965.

Oui, pour les amateurs de Shakespeare… et des écrivains chiliens, rappelons-nous de ce petit roman tombé dans l’oubli d’une romancière de là-bas qui ne fit qu’ne courte apparition dans nos littératures. Il faut dire qu’il n’était pas des plus géniaux, ce petit roman… m’enfin, il fut recensé, et nous l’avions lu à son époque dans établir de fiche. Peut-être fût-ce le cas de marinette ? Voici :
https://www.babelio.com/livres/Guelfenbein-Le-reste-est-silence/167871
Bàv.
(D’autres messages à suivre pour notre Alexia N. en provenance de notre Assemblée Nationale dissipée, ce 15.2.23_9.02. J’ai retiré mes amendements pour faire capoter le sinistre projet de retraite à 64 ans).

rose dit: à

Autant le dire, le résultat de cet aéropage de femmes, Gad l’a viré chrétien.
Misère de moi
https://www.instagram.com/reel/Coh47WqAPhJ/?igshid=YmMyMTA2M2Y=

Mon poulet. 🐓. D’autre, c’est ma biche, brame t-il, au fond des bois.
Chacun ses origines, on s’y tient ou on transfuge. Si on transfuge, on écrit pour assumer, la classe.

Jazzi dit: à

Au petit cimetière

29e DIVISION

Vercors (1902-1991)
Pseudonyme de l’écrivain et résistant Jean Bruller, auteur du Silence de la mer, son ouvrage le plus connu, publié dans la clandestinité en 1942 aux Èditions de Minuit, dont il fut le cofondateur avec l’écrivain Pierre de Lescure. C’est lui qui dessina la fameuse étoile bleue, marque indélébile de cette maison d’édition.
https://www.lelezarddeparis.fr/le-cimetiere-du-montparnasse

Janssen J-J dit: à

Je signale à MC et autres erdéliens la parution tardive d’un très sérieux numéro de la revue Sociétés contemporaines, qui, reconnaissons-le progresse petit à petit, au point de se hisser à l’égal des plus grandes. En voici le sommaire et les résumés, qui, à n’en pas douter, sauront trouver leur lectorat éclairé sur cette chaine, passionné par les questions d’emprise de l’islam au volant des immigrés maghrébins.
Bonnes lectures à tous.tes,
https://www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2022-3-page-5.htm?u=d39b6485-f378-434f-b407-a28f80ba78e2&WT.tsrc=email&WT.mc_id=crn-ar-SOCO_127

Janssen J-J dit: à

@ ma biche,
c’était aussi le brame du Funeste gendarme à l’endroit de son épouse un brin évaporée…
Comme ils étaient drôles jadis, ces deux-là !(sous pire)… Yvonne Clech, elle était ?

Janssen J-J dit: à

Jean Echenoz avait dédié un livre à Jérome Lindon que je n’avais pas apprécié, vu son manque de rigueur habituel et ses délires dans ses hommages aux uns et aux autres (ravel ; gerard fulmard ; et quoi encore, etc).
https://www.babelio.com/livres/Echenoz-Jerome-Lindon/14452
Bàv,

Patrice Charoulet dit: à

Ignares ?

Sur Facebook, j’ai récemment cité un paragraphe d’un rapport d’agrégation de philosophie. Une de mes 3500 relations (baptisées « amis ») sur Facebook, professeur de philosophie, me répond : » Les membres des jurys sont souvent des ignares. » A-t-il raison ? Prenons un seul exemple : le rapport d’agrégation externe de philosophie de 2021 .
Présidente de ce jury : Isabelle Pariente-Butterlin ( livres:Le droit, la norme et le réel/Philosophie de l’espace connecté. La réalité d’Internet /La leçon de philosophie (préparation aux concours) /
Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs/ Donner des raisons morales. Problèmes de
l’éthique kantienne/ Manuel anti-onirique/ Erased : Traité de l’effacement…
Membres de ce jury :
Marie-Frédérique Pellegrin (livres : Leçon sur le « Ménon » de Platon /Leçon sur les expériences du présent /Elisabeth de Bohême face à Descartes : Deux philosophes ?/ Le système de la loi de
Nicolas Malebranche / Dieu/ Poulain de la Barre : égalité, modernité, radicalité …
Michel Nesme : Inspecteur prédagogique régional.
Claire Crignon (livres : Médecins et philosophes/Le mal/ Locke…
Anne-Claire Husser (livres : Ferdinand Buison/ L’institution scolaire/ Les sources de la morale
laïque…
Claire Marin (livres : Souffrance et douleur. Autour de Paul Ricoeur/ Vivre autrement/ L’épreuve de soi/ Violences de la maladie..
Claire Pagès (livres : Qu’est-ce que la dialectique ?/Freud pas à pas/Apprendre à philosopher avec
Hegel/ Elias/ Lyotard et l aliénation/ Situations de Sartre / Hegel et Freud …
Eric Marquer (prof en Sorbonne) (livres : Regards contemporains sur la philosophie moderne /
Le futur et ses ennemis/ Hobbes, Descartes et la métaphysique… Et il a écrit une foule d’articles de philosophie.
Céline Denat (livres : Aristote/Lire Platon/Nietzsche : généalogie d’une pensée / Dictionnaire
Nietzsche (coécrit avec Patrick Wotling, éd. Ellipses) …
Laure Fournier (livres : Les problèmes de la causalité mentale/ Enjeu moral de la dichotomie du fait et de la valeur/ Quel désir féminin peut-on penser ?;;;
Guillaume Coqui (livres : Pascal /Présentation d’un livre de David Hume/ Présentation d’un livre de
Jeremy Bentham…
Christophe Bouriau (livres : Schopenhauer/Kant/ Les fictions du droit…
Joseph Vidal-Rosset (livres:Les paradoxes de la liberté / Qu’est-ce qu’un paradoxe ?/ Qu’est-ce que la négation ?…
Valérie Gérard (livres : Simone Weil/ L’Expérience morale hors de soi/ Obéir ? Se révolter ?…
Christophe Bardyn (livres : Montaigne/ Socrate et Confucius/ Descartes…
Anne-Lise Rey (livres : Leibniz/ La dynamique du vivant/ Les lumières/ Madame du Châtelet…
Jean-Marie Chevalier (livres : Peirce/ Qu’estce que raisonner ?/La perception ;;;
Max H ardt, Dominique Horvilleur,Laurence Mathias/ Christoph Hagen/ Cécile Kerbiriou/ Franck
Kausch (lycée Fénelon et Louis-le-Grand) , profs en prépas.

Mon correspondant n’avait pas raison.
Au passage, j’espère avoir donné l’envie d’acheter et de lire d’autres livres de philosophie que ceux de Michel Onfray et de Luc Ferry.

Janssen J-J dit: à

Il y a douze commentaires dans « le papier d’ambiance ». Il est temps d’en changer.
Bàv

Janssen J-J dit: à

@ PC, et non, vous n’avez donné aucune envie aux ignares, et ce n’est pas étonnant, quand on sait de quel raté de l’agreg de filomag hémane (sic) ce message
(***c surtout une réponse indirecte à l’angoissée question de DHH restée sans suite, hier).
DQJMM ? Bàv,

Marie Sasseur dit: à

« Il restera ce mystère fondateur des éditions de Minuit que fut le succès du « Silence de la mer »

Ce mystère tient à presque rien, une fulgurance, qui a jailli alors que quelques officiers démobilisés très rapidement après le début de l’attaque des fridolins, sont en  » confinement » dans un village du Dauphiné.
C’est d’un défilé de canetons, une des seules distractions qui rythmaient ces longues journées d’ennui mortel, que reprit la vie :un petit canard refusa de rester dans le rang.
Desepoir est mort.
C’est une histoire,  » en guise de préface  » au  » silence de la mer ».

rose dit: à

Jazzi
J’ai vu, au petit cimetière, à gauche en entrant après Marguerite Duras et Joseoh Kessel.
Z’auriez pas un plan avec une croix rouge du lieu précis ?

Nicéphore dit: à

ean Langoncet dit: à
@Rappelons que de nos jours, le 14 février, un chrétien n’est pas sensé célébrer autre chose que l’entrée au Ciel des Saints Cyrille, Méthode, et Valentin.
Ce n’est pas plutôt « censé « …

rose dit: à

Jazzi

29 ème division.
On tourne à gauche, puis à droite puis tout droit puis encore à gauche et ensuite ?

Nicéphore dit: à

Palmade : homicide involontaire ou pas…
« Infans conceptus pro nato habetur quoties de comodo ejus agitur… »

Marie Sasseur dit: à

C’est d’un défilé de canetons, une des seules distractions qui rythmaient ces longues journées d’ennui mortel, que reprit la vie :un petit canard refusa de rester dans le rang.
Desepoir est mort.

C’est pas tout à fait ça, en réalité.

Le petit canard qui a des difficultés en se cassant la gueule sans arrêt , fait preuvre d’opiniatreté, pour avancer et s’en sortir.
Desespoir est mort.

Janssen J-J dit: à

PUBLICITE GRATUITE
Signalons la sortie à Paris, demain 17 février, (aux Presses de science po) de l’ouvrage collectif « Police dans la société française », sous la direction d’un spécialiste français (J. de Maillard) et d’un spécialiste américain (W. Skogan).
https://www.pressesdesciencespo.fr/fr/book/?gcoi=27246100546260
Les auteurs seront bientôt invités à venir l’évoquer chez Léa Salamé sur la célèbre chaine de france inter. Et en deuxième choix, par Alain Finkielkraut sur rance culture, samedi. Ils ont déjà fait savoir à leur éditeur qu’ils n’iraient pas se commettre à faire les pitres chez sirild’hanounha.
____________
Pmp, en tant que chargé de com, j’en recommande vivement la lecture à celzéceux des erdéliens de bonne volonté qui, jusqu’à présent et pour plus ample informé, ont bien voulu nous accorder leur confiance technocratique. Cet ouvrage scientifique est à la vérité une contribution décisive sur un sujet brûlant et controversé, doté de l’inestimable mérite d’être à la fois savant et parfaitement accessible au grand public cultivé des professeurs de l’herdélie.
Il s’agit de la version entièrement révisée d’un premier jet, paru aux Etats-unis en anglais en 2020. Cet ouvrage de référence marquera durablement l’époque hexagonale ‘ante et post Macron-Darmanian’ tout en en relativisant la médiocrité spatio-temporelle sur le long terme. Au total, il constitue un excellent investissement pour un prix somme toute assez modique.
***Espérons que PA, en général très attentif à ce genre d’ouvrages de haute tenue, susceptible d’inspirer de nouvelles intrigues romanesques littéraires en osmose aux époques troublées et désorientées que nous traversons, saura lui rendre l’hommage qu’il mérite indéniablement.
Bàv,

Jazzi dit: à

On demande à la Conservation, qui vous fournit les renseignements complets : la division, la ligne et la rangée indiquées sur le plan…

Jazzi dit: à

rose, Marguerite Duras est dans le grand cimetière…

rose dit: à

Je le sais bien. Kessel aussi.
Sartre, Beauvoir. Jean Seberg.

Mais dans le petit, où est la tombe de Vercors ?

rose dit: à

Essais, il y a un plan à l’entrée, avec les noms et les places. Pas trouvé quand même.

rose dit: à

Je sais (la conservation)

Janssen J-J dit: à

La tombe de Raymond Aron est à proximité de la petite entrée… Vercors est juste après la dite petite entrée, à la 3e place à droite de la 2e allée, si mes souvenirs sont exacts. En espérant que vous la trouverez. Bàv,
***Le silence du père et de la fille étaient la pire des insultes et humiliations qu’ils pouvaient infliger à l’envahisseur de leur maison, pourtant bienveillant. Voilà ce qui m’avait le plus impressionné. Se taire, non seulement sous la torture physique, mais aussi… morale.

rose dit: à

professeur de philosophie, me répond : » Les membres des jurys sont souvent des ignares »j’imagine que cela signifie qu’ils connaissent très bien leur domaine de compétences et rien à côté.
Il y a cinq membres dans un jury, pas quarante.

rose dit: à

Y a t’il noté Jean Bruller ou bien Vercors sur la tombe ?

Merci beaucoup pour les indications précises.

J J-J dit: à

Un plan de destabilisation.

et alii dit: à

cimetière,pendant qu’on y est
je signale sur « lsp:
Cela faisait longtemps que je voulais le visiter, et la lecture d’un article du Monde : “Avec la guerre en Ukraine, l’avenir incertain du cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois, le plus grand à l’étranger”, me décida à faire le voyage.
13 février ;
https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/

rose dit: à

Vu.
Nom Bruller sur la tombe.
Mon grangeon est mon port d’attache. Pas plus, pas moins.

Jazzi dit: à

Les deux noms sont mentionnés, rose…

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