de Pierre Assouline

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La République des livres
Totalement Woody sans en perdre Allen

Totalement Woody sans en perdre Allen

Allez savoir pourquoi ! on a toujours interrogé Woddy Allen sur ses rapports avec le cinéma, les enfants, les femmes, les enfants de ses femmes, le base-ball, les ailes de poulet mais jamais sur les relations qu’il entretenait avec la littérature. Or, bien qu’il ait toujours démenti sa réputation d’intello largement due à ses lunettes à monture épaisse, on se doute bien que l’imaginaire d’un tel artiste s’est aussi nourri de livres. Surtout lorsqu’on sait son aversion pour la réalité. Aussi en 2000 lui demandais-je un entretien à ce sujet à paraitre dans le magazine Lire.

Sa maison de production m’accorda royalement une heure lors de son passage à Paris. Passons sur ses tentatives avortées de critique littéraire :

« J’ai pris un cours de lecture rapide et lu Guerre et paix en vingt minutes : ça parle de la Russie ».

Une heure, c’est peu lorsqu’il s’agit de noircir une quinzaine de feuillets. Il me fallait trouver le moyen de vaincre sa réserve, sa timidité, son goût du retrait et d’aller directement à l’os sans passer par le gras des convenances. En chemin pour son QG parisien préféré du côté du faubourg Saint-Honoré (une suite à l’hôtel Bristol), en astiquant mon magnétophone, je me rendis compte que la cassette à l’intérieur contenait un long entretien que m’avait accordé Philip Roth à New York l’année d’avant. Or une ou deux de mes questions concernaient Woody Allen… Au vrai, j’aurais rêvé de les faire dialoguer tant ils ont de points en commun : la judéité, New York, un succès plus européen qu’américain etc ; mais justement, dans ces cas-là, ça marche rarement, les passerelles qui paraissent les plus évidentes car naturelles sautent aussitôt.

Dès que nous fûmes en présence, une assistante nous fit remarquer que nous étions habillés exactement pareils : même marques et mêmes modèles, jusqu’aux chaussettes et aux chaussures, mais pas tout à fait les mêmes couleurs. Ayant en mémoire l’une de ses réflexions métaphysiques (« J’ignore tout de l’au-delà mais j’emmènerais quand même un slip de rechange »), je craignais qu’il voulut vérifier plus avant notre incroyable concordance mais il s’en garda. La glace des présentations était rompue. Mais il fallait se dépêcher d’autant que la foule des confrères piétinait dans le couloir. Nous nous assîmes côté à côte. Je me lançai :

« Vous aimez Philip Roth ? – Bien sûr ! J’ai lu la plupart de ses livres. Pourquoi ? – Parce que lui ne vous aime pas – Ah… ».

Et j’enclenchai le magnétophone à l’endroit précis où l’écrivain m’avait parlé du cinéaste :

« Woody Allen n’existe que par la naïveté européenne. A ce stade-là ça en est touchant. Ses films sont vides, puérils… Pas le moindre embryon de pensée ni d’invention. Sa vision du milieu intellectuel est un cliché risible. Lui-même n’est pas un intellectuel mais un consommateur culturel pour la Fnac… Ne sait rien de la société qu’il évoque… Ne comprend rien à la manière dont vivent les gens car il ne les dépeints jamais… De la caricature ».

A mesure que se déroulait cette crucifixion sur canapé, Woody Allen, accablé, enfonçait sa tête dans ses épaules, triturant nerveusement un élastique ramassé sur la table jusqu’à le faire éclater à la fin. Il le prit dans le nez, ce qui le fit à peine sursauter tant il se trouvait encore dans cette torture il est vrai légèrement perverse. Il refusa de juger celui qui le jugeait, réitéra son admiration inconditionnelle pour le génie du romancier. L’entretien était lancé.

Woody Allen confia s’être mis à la lecture à son corps défendant vers l’âge de dix-sept ans, en un temps où il ne lisait que les satires tordantes de Max Schulman et les polars Mickey Spillane (on le comprend : En quatrième vitesse, grand souvenir entre autres enquêtes de Mike Hammer !) dans le seul but de séduire des femmes. Une activité doublement compulsive. C’est là qu’il s’imprégna à jamais de l’univers et de la grâce de Tchékhov, le maitre auquel il ne cessera de payer sa dette. On évoqua ce que son Intérieurs ainsi que Hannah et ses soeurs devaient aux Trois sœurs, et son September à Oncle Vania, le comique kafkaïen de ses films, la dimension borgésienne de Zelig, puis en vrac au sein de son panthéon littéraire les poèmes d’Emily Dickinson et de T.S. Eliot, le Flaubert de L’éducation sentimentale, le James Joyce d’Ulysse, Tourgueniev énormément, et naturellement Saul Bellow. Malgré cela, tous ses scénarios étant originaux, aucun de ses films n’a trouvé sa genèse dans un livre, ce qui ne l’empêche pas de devoir sa conception du récit à la littérature.

Vingt ans après cette rencontre, comment ne pas se précipiter sur son autobiographie Soit dit en passant (Apropos of Nothing,  traduit de l’anglais (États-Unis) par Marc Amfreville et Antoine Cazé, 540 pages, 24,50 euros, Stock), un passionnant récit au ton si vif, rapide, familier, dont la partie enfance&adolescence ressemble furieusement à un film de Scorcese, sans que cet élan ne se démente au long des 540 pages ! Ses femmes, ses films, sa musique, sa vie, quoi ! Sans oublier, et pour cause, « l’affaire » à laquelle il consacre un grand nombre de pages : l’accusation de « comportements inappropriés » avec la fille de sa compagne (Dylan, 9 ans) lancée par sa compagne Mia Farrow après qu’il eut rompu avec elle, et médiatiquement relayée et amplifiée par le journaliste Ronan Farrow, le fils de celle-ci. Le dossier est accablant pour elle, aisément vérifiable et d’autant plus convaincant que deux enquêtes l’ont déjà blanchi, qu’il rapporte les faits de manière dépassionnée – et que l’humour et l’autodérision n’en sont jamais absents, même là. Mais on s’en doute, il en faudra davantage pour désarmer ses irréductibles détracteurs qui veulent à tout prix le faire passer pour un violeur d’enfants. La critique de Libération est si systématiquement à charge qu’elle va jusqu’à reprocher à l’auteur du livre d’y être « égocentrique », ce qui est assez comique s’agissant d’une autobiographie !

Woody Allen y confie vouloir s’établir écrivain s’il ne pouvait plus être en mesure de filmer – et on imagine à quel genre d’empêchement il fait allusion, lui qui n’a pas pu sortir son dernier film dans son pays et a vu son autobiographie Apropos of nothing honteusement déprogrammée par Hachette USA à la suite d’une campagne de pressions et d’intimidations, avant d’être récupérée in extremis par une petite maison d’édition Arcade Publishing. 

Être Tennessee Williams ou rien ! Voilà le programme le cas échéant pour sa fin de parcours ici-bas. La fiction, il n’en a que pour elle. Car quel que soit le moyen par lequel il s’exprime, la réalité demeure son pire ennemi. Mais s’il réussit à citer deux grands héros de romans dans la toute première phrase (Holden Caulfied et David Copperfield), c’est pour solde de toute compte vis à vis de la littérature, avec sa fascination pour Hemingway lorsqu’il eut le coup de foudre pour sa petite-fille Mariel.

Ernest Hemingway était mon héros depuis que j’avais commencé à lire de la vraie littérature. Je peux ouvrir une page de n’importe lequel de ses livres et la poésie de sa prose me terrasse. Le jour où il s’est suicidé, je ne sais plus qui a appelé qui, mais Louise et moi nous sommes téléphoné pour partager notre chagrin. C’était au tout début de notre liaison. Ensuite, autour d’un verre, nous nous sommes mis à nous raconter de belles histoires de suicide. Elle préférait l’idée de se tirer une balle dans la tempe, moi d’enfoncer ma tête dans le lave-linge en choisissant un cycle complet (…) Le mythe Hemingway était si fascinant… »

Rien d’autre ou presque à propos de la littérature et des écrivains. J’allais oublier, mais pas lui, page 249 : l’éloge d’un certain Philip Roth…

(« Woody Allen au Festival de Cannes » photo Merlin ; « Philip Roth à New York le 15 septembre 2010″, photo Eric Thayer ; Tennessee Williams à Key West, 1981″, photo Nathan Benn ; »Hemingway dans un petit village de pêcheurs à Cuba » photo Alfred Eisenstaedt)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, documents, vie littéraire.

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1 552 Réponses pour Totalement Woody sans en perdre Allen

Jazzi dit: à

« Vos impressions ? »

Je ne m’en étais pas aperçu, D. !
Es-ce toi ou hamlet qui nous avait prédit la démission en direct de Macron ce soir ?
Faut pas prendre ses désirs pour la réalité…

Marc Court dit: à

plutôt que de verser dans la Furtwaenglerolatrie, lire l’étude documentée le Troisième Reich à la Baguette.
on n’en est pas fanatique, mais on note pour ceux qui aiment un stock important des Cahiers d’Astrologie,Librairie de l’Odyssée, Rue Parmentier.
Bien à vous.
MC

Ed dit: à

Jamais aimé ses films de bourges et encore moins sa tronche de pervers. Ma famille – avec laquelle je ne suis pourtant jamais d’accord – a toujours méprisé ce réalisateur. Pas mon monde. Bref, un sujet qui m’intéresse un peu plus : le prolétariat et le lyrisme industriel dans La Ville noire de Sand
https://tomtomlatomate.wordpress.com/2020/06/15/la-ville-noire-george-sand/

Sur ce, bonne journée/semaine

Ed dit: à

Ah oui pour information, je n’habite pas dans les quartiers chauds (heureusement mon Dieu). Comprenne qui pourra :/

rose dit: à

Bonjour à tous,

Pierre Assouline,

pourriez-vous me dire – chez Gallimard- ce qui préside au choix d’un album de la Pléiade ? Quels sont les critères ?
Choix de l’auteur mis en exergue et choix de l’auteur qui écrit la biographie.

Je suis à 25 pages de la fin.
Ma fille, qui est venue déconfiner avec moi et aura dimanche prochain lors de son retour à Paris passé un mois avec moi m’a offert sur ma demande Blaise Cendrars pour la fête des mères. Chez Gallimard ils n’ont pas honoré ma demande qui était le coffret sur les romans autobiographiques et ils m’auront envoyé le second et j’ai eu l’album Joseph Kessel.

Un bémol (dans les 30 dernières pages) : Gilles Heuré parle de l’alcoolisme de Michèle, la troisième femme aimée épousée de Joseph(Sandi, Katia et Michèle, et des maîtresses en veux-tu en voilà.). Il oublie juste que Kessel aussi était alcoolique mais tenait bien l’alcool et il cède à ce poncif qui est réalité qu’une femme qui boit c’est laid.
Il oublie de spécifier (à vérifier ds ce qui reste à lire) qu’ils se sont aimés et qu’elle lui a reproché d’avoir fait passer sa passion, l’écriture, avant le fait de lui avoir fait a fortiori un enfant, plutôt plus que moins, et que cela l’a rendu très malheureuse.
Hormis ce bémol, appuyé, ce livre est une mine d’or.
Un hommage, une élégie.

Il oublie aussi, mais je m’aventure, d’ajouter à Kessel ces deux qualificatifs qui le dénomment juste et bien : flamboyant et force de la nature.
Quel homme !
Presque fin de ce cadeau de la Pléïade, et je sais que je ne me suis pas trompée en le mettant un dans mon panthéon.
Kessel, écrivain d’exception.

Quelques questions je me pose :
qui est Anne-Marie Kessel ? Petite fille de Georges ou de Lazare qui a eu un enfant je crois avant de se suicider ?
Pkoi ses archives à l’université de La Rochelle ?

Gros boulot effectué par Gilles Heuré ; qq. peine à entrer dans le texte puisque bcp de détails formels (entre autres nous suivons ses deux guerres déplacement par déplacement et régiment par régiment, pffff…).

Je précise que je n’ai pas tout lu de ses romans, mais que j’ai presque tout car à Aix, il y a qq. années sur une foire aux livres place de la mairie j’ai trouvé une grosse collection ancienne de lui, le bonheur, le bonheur, le bonheur.

DHH,
Je reviens vers vous avec l’anecdote des trois J.

rose dit: à

Jazzi
c’est comme si entre dix et vingt ans, vous aviez travaillé pour toute votre vie. Et que plus jamais ça.
Christiane
je plussoie avec vous, quelle que soit la suite de l’interview de woody allen, car entrer en contact par une grosse baffe ce n’est pas le genre de démarrage que l’on privilégie d’ordinaire. Peut-être était-ce un moyen de casser la timidité de part et d’autre.
Clopine
comme en a parlé hamlet qq coms avant vous, il me semblerait que le bagne a bien plus orienté jean valjean dans ses actes futurs que le geste de bonté de l’évêque de Digne les Bains. Digne étymologiquement serait autour des eaux (trois rivières dont la Bléone entoruent la ville, thermale). L’évêque marque simplement l’amour de dieu et le détachement des choses matérielles, ce qui est un sacré cadeau. Mais Jean Valjean revient du bagne et cela est inoubliable.
Dans L’homme foudroyé Blaise Cendrars souligne « quelle misère que l’argent » et plus loin dans le roman  » la guerre quelle misère ». Jean Valjean passera sa vie à redistribuer. Quelle vie !
Ed
superbe recension de Ville noire de georges Sand, pas lu mais ce le sera. Merci à vous pour vos compte-rendus de lecture.
B
en peu de mots, vous allez au coeur : oui ce mariage avec la fille adoptive est incestueux.
Et cela, il le porte.
De toutes manières, tardivement, toujours ressort la vérité vraie. Même malgré les faux témoignages dont celui du frère adopté.
Notez, vous saurez.
Catherine Allegret aussi, enfant a été tripotée dans la baignoire par Yves Montand le beau-père.
Sûr que la parole d’une enfant de spet ans face à l’immense gloire médiatique du parent violeur cela a bien peu de poids.

rose dit: à

Une enfant de sept ans.
Et puis, de quoi se souvient une enfant de sept ans ?

rose dit: à

Avant hier, je me demandais in petto si j’étais à l’état de loque.
C’est le mot qui m’est venu en tête.
Puis, dans mon jardin, cette année à part (pois gourmands tardifs et qui sait petits pois s’ils déconfinent ?, aubergines, courgettes rondes de Nice et grises d’Alger, concombres pour le tsatziki (cyril lignac pas d’ail mais de l’échalote), artichauts, oui, oui, oui repousses, tomates diverses et variées, haricots verts, les haricots beurre confinés), d’un coup, oups vu deux tiges neuves inouïes sur un grand rosier rose : une tige et autour en cercle poussent sur une des deux sept roses d’un coup. Sur l’autre, je n’ai pas compté. De là, comptez.
J’ai compris que non, j’étais en repos, en latence, repliée, ratatinée et que de cette sourde épreuve jailliront diamants bruts et zinzoline.
Vison et zibeline.

Ed dit: à

Super cricri,

Hâte de vous lire sur La Ville noire de Sand

Patrice Charoulet dit: à

TV- Dimanche soir – Match : Macron-Marivaux.

Victoire : Marivaux (3 à 1).

Commentaires en page 2 :

La pièce de Marivaux, « Le Jeu de l’amour et du hasard » (173O), diffusée sur France 5 , que l’on tient communément pour son chef-d’oeuvre? faisait suite au discours présidentiel diffusé sur toutes les chaînes ou presque à 2Oh.
D’après Gérard Carreyrou, ce fut son meilleur discours.
A mon humble avis, ce fut plutôt un chef-d’oeuvre de langue de bois et du « en même temps ». Un tissu de promesses floues et de projets vagues. Un mot pour les restaurateurs, un mot pour l’Europe, un mot pour la décentralisation, un mot pour la police, un mot contre les « séparatismes »…Tout cela ne mange pas de pain.L’argent magique va tomber du Château. Croyez-le, braves gens !

Macron m’a endormi, Marivaux m’a enchanté.

Jazzi dit: à

Paris est passé au vert et rose, comme la Pomponette, est rentrée à la maison !
Et votre mère, rose ?

rose dit: à

Ma Maman Emma.
Est toujours en Ehpad de force contre son gré.
La Juge des Tutelles ne lui a toujours pas accordé d’audience.

Après sa quatorzaine, suite à son syndrome de glissement, et son hospitalisation de cinq jours, est revenue dans sa grande chambre de 13,45 m2, à son domicile a dit ce connard de médecin (ma mère a alors cru rentrer à son domicile conjugal, non c’était l’EHPAD).
Sur les prospects, il y a marqué entre 18 et 22 m2.

Elle dit ne jamais s’acclimater et réclame de rentrer chez elle matin et soir et dans la journée. Personne ne l’écoute sauf moi.
Je ne sais pas si la Juge des Tutelels attend que ma mère s’habitue ou bien si elle attend que la fratrie trouve accommodements.
Cela va être difficile.
Tous, ou presque, les bijoux d ema mère, dans son coffre-fort ont été volés. Le sous brigadier qui a enregistré ma plainte m’a quasiment injuriée et traitée de gourdasse du sud car j’ai répété quarante fois « je suis stupéfaite ». Que la justice soit nommée ou pas, ma mère continue d’être raflée, de son vivant, chez elle.
J’ai porté plainte, contre X.
Mais ce n’est pas X.
Je me la boucle, comme d’hab. 42 ans à me la boucler « sans manifester aucune déloyauté envers mes parents » a écrit ma file aînée.
Cela ne sert à rien : ni de se la boucler, ni la loyauté.

Visite ma mère autant que je peux. Deux fois par semaine maintenant. Deux heures et demi la veille de la fête des mères. Le 22 cela déconfine. Le bunker va s’ouvrir. De force.
Samedi, j’aurais pu foutre le camp et emmener ma mère. Je ne l’ai pas fait. Je suis hyper fière de moi.

Sa copine, Mme C. lui vole ses gâteaux dans son armoire (les deux mains pleines).
Un autre pote vient lui emprunter sa boîte de crayons de couleur et ma mère attend qu’il lui ramène.

J’ai une mère exemplaire, admirable;

Pillée.

Une, de la famille, je l’appele Veldiv. J’espère ne pas choquer mes amis juifs.
L’autre de la famille aussi, je l’ai nommé Brutus ; lui c’est  » tu quoque mi filii. » Je t’aime je t’assassine, je te jette en EHPAD.

J’apprends tous les jours d ema mère, comment elle raisonne, comment elle comprend.
Puis, parfois, elle me dit  » j’efface tout car cela me fait trop souffrir ».

Suis allée au cimetière, dans l’incapacité totale de prier. Les petites pensées – cinq- sont : une énorme, deux bouffées par les escargots, une rikiki, la dernière normale et plein de pousses nouvelles. Ai arrosé, nettoyé la tombe, pas parlé à mon père, je pense à lui souvent, comment il monopolise l’attention, même mort et enterré.

rose dit: à

(jazzi, grâce à vous)
La première chose que je voulais vous dire, et pourquoi je suis passée ce lundi matin est combien je suis heureuse que vous mes amis de l’île de France soyez déconfinés depuis ce matin, bravo et vivat l’absence de confinement. Félicitations à vous et bonne reprise.

rose dit: à

a écrit ma fille aînée.

Qui, courageusement (héroïque ?) m’a aidée à refaire un second courrier LR avec AR à la Juge des Tutelles en éliminant tout pathos. (donc elle a tout éliminé).

Et que j’ai emmenée se baigner la matin de la veille de la fête des mères à Ensuès la Redonne, face à Marseille et aux îles du Frioul où Blaise Cendrars a passé plusieurs mois, confiné, heureux. Comernt c’est qu’il a fait ? Confiné et heureux !!!!!!!!!

Confinement oblige, nous nous sommes baignées à la petite calanque qui jouxte La Redonne car l’accès au village était fermé aux voitures et nous avions 45 mn devant nous seulement. La madrague de Gignac.
Puis Ehpad, sous barnum de luxe, deux heures trente un samedi, le double luxe car les visites ne sont pas autorisées ni we ni jours fériés. Ma maman si heureuse de nous voir et de la compagnie autre que des neuneus.

Mon frère vient visiter ma mère cette semaine.
J’ai dit à ma mère « tu ne vas pas faire ton joli coeur ? ».

Je ne sais pas.
Ma mère refuse mordicus de voir la vérité en face. Son fils, ce salopard, son héros.
Son petit-fils, ce voyou, comme son père, ce traître.

Moi, la fidèle me nomme -t’elle, terrassant les dragons, exangue, hagarde, vivante, passablement exténuée. En loques.

Bonne journée, je vous aime, surtout et alii, ce solitaire.

DHH
je finis les 30 pages dans la journée et viens vous copier les qq. lignes sur les 3J.

D’abord le jardin, exigeant.

Janssen J-J dit: à

Une belle moisson, en ce lundi matin (15.6.20, 9.00).

@ Ed, qui nous donne une leçon de littérature magistrale avec son compte-rendu très soigné d’un roman bien oublié – [(de GS ou de TTLT ? « note à moi-même pour mes projets d’écriture : avancer, toujours, écrire un mot après l’autre sans précipiter mon esprit vers un résultat final de toutes façons trop lointain »].

@ rose, que je suis ravi de voir émerger de son jardin féminin, déconfinée et heureuse en cie de Kessel et Cendrars.

@ jzmn, qui me parait avoir un brin confondu plagiat et pastiche (r = l’anecdote des 3J ?)

@ P. Charoulet, qui ne se montre pas très aimbale avec notre bon président, lequel connaissait bien de son côté le théâtre du marivaudage post industriel. Les écoles ont encore deux semaines pour le découvrir ! « Travailler plus »… pour nos retraites, le patronat est très content. Il ne s’est pas reconstruit.

@ et… remplaçant l’étrange silence des chieurs et chieuses habituels de cette chaîne parasitée, harcelée et obtuse.

Bonjour à tous.tes et bonne semaine. L’équinoxe d’été s’en vient. La matinée se lève, le monde sera beau, je l’affirme et je signe …
https://www.youtube.com/watch?v=oJLG8Tgvdgk

Chantal dit: à

Le Gang des machines à coudre

«Le virus est une communication, il a besoin d’un autre, d’aller chez le voisin, comme certains oiseaux, pour y entrer. Comme quand on envoie un message sur un réseau, on a besoin de l’autre pour entrer chez lui», disait Jean-Luc Godard en substance, évoquant la théorie de l’information. Et plus tard, à nouveau : «Le virus est une communication : comme ce qu’on est en train de faire… dont on ne va pas mourir, mais peut-être qu’on n’arrive pas à bien en vivre.»

Cher ami, je vous sais fort occupé par l’éclosion du persil dans votre jardin, la surveillance des entrées et venues du voisinage dans votre cage d’escalier désinfectée quotidiennement à la javel. Depuis la disparition de Miette, je peine à vous joindre.
Je vous écris des confins de la Gaume ensoleillée et printanière, le paradis escompté pour mes années à la dérive, je tousse un peu, comme chaque année les bouleaux lancent l’alerte des allergies saisonnières. Depuis quelques jours, alors qu’empli d’inspiration contenue je gribouillais des bouts de phrases dans un vieux cahier ligné retrouvé au grenier, ma femme me pourchassant et houspillant sans cesse ces dernières 24 heures pour que nous pratiquions les gestes barrière et les consignes de distanciation diffusées récemment sur la plate-forme gouvernementale en ligne Covid19. Quel monde codifié nous attends. Un cauchemar.

Vous ne connaissez pas votre bonheur d’être seul, loin de tout à Solveig. Nos escapades en bord de Baltique, votre cocasserie et nos confidences piquantes sur ce dérapage mondial en cours qui ne cesse de s’aggraver jusqu’à la rupture me manquent.
Je ne sais si vous rigolez tout seul dans votre vieux fauteuil cuir clouté, griffé par les attentions de vos nombreux chats, vivants ou morts; fauteuil dont le bras droit usé comme une peau fatiguée de vieille momie s’effrite comme les contours des jours à venir, je l’avais observé avec une fixité tendre lors de notre dernière entrevue.

Comme je ne supporte plus les visages de nos dirigeant occidentaux, je me suis astreint depuis quelques jours à regarder les nouvelles mondiales sur Al Jeezara, je comprends encore moins ce qui se trame, même en Iran il semble que le virus décime. Je saute d’un chaîne à l’autre en espérant trouver de quoi me distraire mais l’inflation virale est totale.
J’ai pu revoir ce film de Tavernier adapté pour l’écran, La Princesse de Montpensier, puisque nous sommes en guerre confinés dans la distraction, loin du coeur et de toute passion intermittente, j’avais envie de prendre la plume une dernière fois, qui sait cette dernière lettre n’arrivera peut – être jamais.
Il y a une jeune présentatrice voilée qui m’enchante, seul îlot érotique atteignable par ces temps sinistres, je tressaute comme un jeune sot, comme à l’époque où je m’étais enflammé pour le zozotement de Sophie Favier. Marthe me traite de vieillard amoureux, ma fille fronce le sourcil. Je me sens barboter comme un pacha dans une chanson de Souchon, « Des jeunes filles un peu fragiles, que des vieux messieurs taquinent.»

Hélas j’avais ambitionné d’être une sorte d’Arno Schmidt, confiné et paria dans une forêt de sapins, avec une épouse sentant le chlore de piscine, errant dans le vide à la recherche d’un oiseau rare, or nous étouffons, bêtement médiocres, inégaux et fragiles comme une feuille de papier à cigarettes, dans l’inutilité la plus totale.

Nous étouffons non loin d’une centrale nucléaire dont les vapeurs retombent comme des gouttelettes virales sur les cimes de nos fiers sapins, les pommiers n’ont plus la même saveur, je ne caresse plus leur écorce avec autant de bonheur.
Je m’inquiète pour ma mère, qui s’étiole dans une maison de repos, je ne vais plus la voir depuis longtemps, Marthe s’en charge, elle envoie des chocolats pour la fête des mères. Je devrais avoir honte.
J’ai à peine conscience que je ne parle que de moi, mon arthrite, la couleur de mes selles, je dors à l’ombre quand il fait trop chaud.

Comment renoncer à écrire mes mémoires, las, qui s’en soucierait, il paraît que nos dernières volontés seront piétinées, place au corps médical, au corps scientifique, à la loi martiale.
J’essaye de mettre en application mes vieux réflexes d’un ancien de la Stasi, enfin ce personnage un peu gris qui me permettait de faire mon intéressant vis à vis de mes lecteurs de la collection Marabout, peine perdue, je devrais me recycler dans la descriptions d’attaques aux drones, de filles pratiquant le Krav Manga, à la rigueur le yoga tantrique et la respiration karmique profonde. Cela me servirait peu, je suis trop loin dans la décrépitude, mon ventre cache mes pieds, parfois j’ai l’impression d’être un crapaud qui croasse, dur de vieillir, je fais peur à mon miroir.

Marthe devient incontrôlable, elle sort comme çà lui chante, avec un masque qu’elle s’est fabriquée elle même, après s’être enduite défensivement de baume du tigre, j’ai l’impression de déjeuner camphré, elle se tortille devant des tutoriels de couture, de coiffure, de fabrication de savon, je mange des épluchures de patates frites au four avec une branche de romarin, plus de veaux, de vaches, non, ils sont trop mignons pour être mangés.

Je deviens même jaloux du corbeau, mon ami, c’est triste, je le regarde lâcher sa fiente blanchâtre, et j’ai cette sombre pensée, communiante dans l’hécatombe qui s’abat, lui aussi en chie.
Ce n’est plus un monde pour moi, quand je vois ce Pape tout seul, haranguant Rome déserte, comme un pauvre vieillard qui traîne le fardeau des suppliants de la géhenne, j’ai comme une vision parallèle du Jardin des Délices de Bosch. Ce triptyque visionnaire, halluciné, avec ces énormes fruits érotiques et tentants qui ressemblent tant au monstre minuscule qui fait succomber nos carcasses. Je vais refermer cette lettre comme deux volets sur notre globe défaillant, tu ne liras peut être que cette seule adresse , « Ipse dixit et facta sunt », et au verso « Ipse mandavit et creata sunt ».

*
* *

Bruxelles sortie de tram précipitée, Sophie s’affaire de tout urgence, elle a promis de coudre, de coudre jusqu’à plus soif, jusqu’à se piquer dans les doigts, jusqu’au sang.
Face à la pénurie elle s’affole, se veut utile, téléphone, découpe, remédie, mesure, la taille, les échantillons.

Bruxelles sortie du tram précipitée, le vendeur l’attend quelque part, pas loin, il faut trouver, le nom de la rue, l’impasse, le box de garage.
La voix de l’homme était un peu sèche, coupante, concise.
Il attendait sur le muret, elle arrivait essoufflée, son portable lui jouait des tours, par précaution elle avait désactivé les fonctions de pistages de google, mais par la même occasion avait désactivé son application même, elle essayait de se souvenir du plan, de revenir au tutoiement d’un passant, de héler une dame qui tirait sur un caddie à carreau, las cette ombre masquée fonçait ailleurs, dans sa préoccupation du moment. Elle fit donc appel à son instinct, ce devait être par là.
Elle le vit donc sur le muret à la fin de sa course, dans sa main elle serrait une liasse de billet arrachée à un distributeur la veille, quand elle s’était décidée à passer à l’action.

Nonchalant, élastique il attendait sa cliente, il n’avait pas de masque, pas de gants, seule sa jeunesse frondeuse et pratique émanait de sa silhouette de sprinter nigérien.
Le box était en contrebas, dans l’espace circonscrit d’un périmètre dominé par une tour d’appartements résidentiels.
Ne pas se poser de question sur le contexte, aller droit au but, se procurer l’indispensable outil pour confectionner les petits carrés de tissus prédécoupés minutieusement à la mesure de 20X20 cm afin de protéger de la contagion.
A l’intérieur de ce fourre tout des centaines de machines à coudre empilées, parfois coiffées d’une housse, parfois même pas, des pédales électriques en désordre, sacs bourrés de bobines de fils. Probablement un atelier démonté suite à une faillite dans la confection.
Sur une petite table de fortune, il lui fit une démonstration des points de piqûres, zig-zags, boutonnières, en glissant sous les yeux de Sophie ébahie un échantillon soigneusement surpiqué par un fil orangé.
Pour une fois elle s’abstint de toute réflexion parasite et écouta la démonstration du vendeur.
Il manquait la housse, il sortit dans la cour, ouvrit sa camionnette bondée elle aussi de housses et de machines à coudre, elle n’avait pas remarqué cette présence auparavant. Peu importait. L’argent échangé contre la précieuse machine, elle avait à faire et sorti gaillardement de l’impasse, la machine à son bras, dans sa poche une garantie d’entretien rédigée à la main sur un petit papier plié en 4, paraphée, signée, datée, 16 mars 2020.

Une nouvelle activité, mécanique et sans fin s’imposait à elle, le tram la ramenait chez elle, elle souriait, bénévolement.

Janssen J-J dit: à

@ la Furtwaenglerolâtrie …

Et Otto Klemperer, que pensait-il au juste de Furtw… machinchose ?

J J-J dit: à

@ belle lettre envoyée à Augustin Traquenard… De qui est-elle ? du fantôme de Marcel Moreau, peut-être ?…
Me suis reconnu un brin en elle, au tout début.
Chère Chantal, vous me faites penser à la Sylvie des filles du feu, quand l’une d’elle se décida à briser le silence de la célèbre Gang des clés à molette… Elle avait voulu acheter sa machine à n’importe quel prix pour pouvoir sauver le monde. Il y a des saintes, comme cela, et des filles qui attendent une visite, demain, à Fil à Delphie.
Bàv,

Jazzi dit: à

rose, Chantal… manque plus que le retour de Lavande. La pauvre, qui ne sera pas sur le pont… d’Avignon, cette année !

lmd dit: à

@ Janssen J-J, Otto Klemperer est un des protagonistes actifs du plus récent roman de James Ellroy – La Tempête qui vient – qui se passe à Los Angeles au début 1942. Il reçoit dans sa somptueuse résidence des tas de gens, des coco, des musiciens exilés, des intrigantes, des policiers (tout le personnel romanesque de James Ellroy).

Jazzi dit: à

A cause de vous, JJJ, j’ai revu la moustache de Jean Ferrat, qui me chatouille ! A moins qu’elle ne me grattouille ?

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…lundi 15 juin 2020 à 10 h 12 min.

…les guerres et les passions, avec ses arts de vivre mieux,…
…les diversions, pour rester aux pouvoirs, et mener les jeux,…
…des morts, des innocents, et des médailles, le droit et ses lois, aux fondements,…
…la vanité qui règne,!…à la mode,!…
…envoyez,!…le théâtre des opérations  » stratégiques « ,…

et alii dit: à

j’ai trouvé le sobriquet de l’ânonkilucru: kidding

closer dit: à

P.Charoulet, comment avez-vous trouvé, non pas la pièce de Marivaux mais son interprétation? Il se trouve que par le plus grand des hasards, je l’avais revue en dvd quelques jours avant dans la mise en scène de Jean Paul Roussillon de 1976…Tellement parfaite, acteurs et actrices compris bien sûr, que je n’ai pas eu envie de gâcher ce souvenir en regardant les acteurs gesticulants, hurlants et riant hystériquement que nous montrait la petite présentation préalable…

Mais j’aimerais m’être trompé…Qu’en pensez-vous?

Janssen J-J dit: à

@ L’équinoxe d’été s’en vient.

Tu voulais plutôt dire le solstice, JJJ, non ? Ton clavier a encore fourché !… Ça pas d’bon sens !

@ Ab bon, lmd ? OK serait campé dans le dernier James Ellroy… Merci du rgt ! Domamge.. j’avions décidé de plus lire ce type, tellement l’est devenu violent et complaisamment et gratuitement gore… Fus en effet horrifié par « Extorsion ».
Quelle déchéance après l’immense « Dahlia noir »… !

Chantal dit: à

@ les 3 j, c’est une lettre mi tendre mi moqueuse, on ne se refait pas,… je me suis mise dans la peau d’un écrivain sur le retour baignant dans ses phantasmes et cherchant à échapper au réel et tournicotant dans ses souvenirs …

Je l’avais écrite et envoyée à la revue qui publie certains de mes textes, c’était insolent je m’en rends bien compte et le lendemain j’ai appris le décès subit de celui que je comptais faire rire avec mes allusions littéraires, cela m’a bien chiffonnée pendant mon confinement, on ne taquine que ceux qu’on aime beaucoup.

Janssen J-J dit: à

@ la moustache de Jean Ferrat,

Celle d’Emmanuel Carrère promettait…
Depuis, cet écrivain n’a fait que tomber de Charybde en Scylla (à qq- exceptions notables près).

Patrice Charoulet dit: à

A Closer

Vous me demandez mon avis sur la version diffusée à la télé dimanche soir d’une pièce de Marivaux. Je ne l’ai pas trouvée mauvaise.
En revanche, il y a quelque temps, une autre pièce de Marivaux avait été offerte : insupportable,hurlante,hystérique, caricaturale. C’était une honte.

Janssen J-J dit: à

Vous avez un beau talent, Chantal.
Figurez-vous qu’en pensant Marcel Moreau, je voulais dire Jacques de Decker, mais je ne retrouvais plus son nom à ce moment-là. Je crois en effet qu’il aurait apprécié.

Chantal dit: à

Merci les 3 J, me faites rire aussi parfois, j’ai mis en scène un mélange de Guy Gofette et JP Baronian et mis un zeste de Paul Edel dedans, le mélange me fait marrer …

Janssen J-J dit: à

@ Chntal,
Dans els années nonante, j’ai connu une collègue belge, Renée de Decker qui a disparu très tôt des radars de la socio-criminologie et du droit européen.
Elle avait publié ce papier un brin mastoc et décalé…
https://www.cairn.info/publications-de-Ren%C3%A9e-Dedecker–118726.htm
Me suis toujours demandé si elle avait eu un lien de parenté quelconque avec feu votre ami.
Cela dit, je sais bien que ce nom court les rues de bxl, donc, c’est sans doute bien improbable…

Chantal dit: à

Je ne crois pas qu’orthographié de la sorte elle soit de sa famille même si euphoniquement c’est proche.
Ah les articles du Crisp ! Toujours bien pêchus. j’ignorais jusqu’à ce matin que Schengen était un village luxembourgeois, pour moi c’était un obscur village asiatique, ça m’était passé au-dessus de la soucoupe !
Bonne journée sous ce billet ribouldingue.

closer dit: à

Merci P. Charoulet, c’est rassurant. Mais Roussillon était un maître, je me souviens d’un Pirandello génial fin des années 80…

Patrice Charoulet dit: à

Après le discours présidentiel de dimanche soir, voici la une de « Libé », ce lundi :

MACRON REMERCIE MACRON

Jazzi dit: à

Clopine, faisant jouer votre « final cut », vous avez finalement choisi, Clopin et toi, de baptiser votre ânon Kilucru.
Un nom unique et original, qui témoigne surtout de votre étonnement. Mais de quelle surprise est-ce là le nom ?
Vous vous attendiez à une femelle et ce fut un mâle. De plus, celui-ci semble n’avoir pas la bonne couleur propre de sa race.
Ce qui est plus gênant, c’est ton insistance sur la valeur marchande de ce nouveau né, quasi relégué à la position de bâtard !
S’il s’avère invendable, n’est-ce pas une bonne raison pour le… garder ?

Jazzi dit: à

« MACRON REMERCIE MACRON »

Charité bien ordonnée commence par soi-même !

Jazzi dit: à

la bonne couleur propre à sa race…

Jazzi dit: à

« j’ai trouvé le sobriquet de l’ânonkilucru : kidding »

Mieux vaudrait pour lui, killer, et alii !

Chaloux dit: à

J’espère que l’atroce nom choisi pour ce malheureux ânon ne sera pas un avertissement du destin.

Kilucru Lauracui.

Pablo75 dit: à

Lettre de Flaubert à Guy de Maupassant (Croisset, 07 janvier 1880):

« J’espère dans une huitaine avoir fini mon sacré tonnerre de Dieu de merde de chapitre. – Quel soulagement ! »

Pablo75 dit: à

Lettre de Flaubert à Guy de Maupassant (Croisset, 02 janvier 1880):

« Que 1880 vous soit léger, mon très aimé disciple. avant tout plus de battements de cœur, santé à la chère maman – un bon sujet de drame qui vous soit bien écrit, & vous rapporte cent mille francs.

Les souhaits relatifs aux organes génitaux ne viennent qu’en dernier lieu, la Nature seule y pourvoyant d’elle-même. »

Janssen J-J dit: à

Si, comme moi, vous n’êtes jamais allé au Nouveau-Mexique, à la différence de JMG Le Clezio qui vécut longtemps à Albuquerque, vous trouverez ci-joint pour mémoire la liste des villes principales de cet État dont on ne parle pas assez sur cette chaîne,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_municipalit%C3%A9s_du_Nouveau-Mexique
De même que du pauvre Maupassant qui avait chopé la syphilis et que Flaubert pouvait cruellement taquiner un brin sur ses vieux jours…
Bàv,

Pablo75 dit: à

Lettre de Flaubert à Caroline Commanville, Croisset, 04 janvier 1880

« Croisset, dimanche, 2 heures

Je n’ai pas encore reçu ta lettre de mercredi ! Le télégramme d’Ernest, parti de Paris hier à 3 heures et arrivé à Rouen à 6, ne m’est parvenu qu’à 10 !

L’absence de toute nouvelle m’a bien tourmenté pendant trois jours. Quand on a, comme ton vieil oncle, une sensibilité exaspérée & une imagination déplorable, on va loin dans les hypothèses funèbres. Espérons que demain matin j’aurai de toi une autre lettre !

Il n’y a plus qu’une distribution par jour. & le Furet ne marchant pas, la levée de la boîte se fait de midi à 4 heures, ad libitum.

Je n’ai rien à t’apprendre, bien entendu, vivant toujours dans une austère [solitude]. Hier prtant j’ai eu une visite : celle de Me Brainne. Elle m’avait écrit mercredi dernier pr me souhaiter la bonne année, & je n’ai pas encore reçu sa lettre ! Jolie administration !

Dans huit ou dix jours je ne serai pas loin d’avoir fini mon chapitre !

Adieu, pauvre chat. Je t’embrasse bien tendrement.

VIEUX.[sic] »

et alii dit: à

killer il ne faut jamais employé ce nom sans un adjectif qui le précède :serious ou serial ,il faut choisir:c’est drôle, non?

Janssen J-J dit: à

Bonjour renato,
Pensez-vous disposer d’assez de liens pour tenir le coup tous les jours avec LvB jusqu’au 31 décembre ? Je n’en ouvre qu’un sur dix, car ce compositeur me saoule un brin, à force. Excusez-moi d’être aussi direct, ce n’est pas pour vous blesser, bien sûr. J’ai toujours respecté le choix de vos « concerts égoïstes ».

Chaloux dit: à

« Le Furet », c’est le bateau en Rouen et la Bouille.

DHH, dit: à

@Clopine
KILUCRU c’est drôle inattendu ,écrit moderne en SMS; mais avec un nom pareil qu’il fasse attention:Comme le dit Pierre Dac, quand on n’est pas cru on est cuit et alors pour un âne c’est le risque de finir en merguez

Pablo75 dit: à

Petite leçon de littérature de l’incestueux Flaubert dans une lettre à sa nièce Caroline du 11 janvier 1880:

« Dimanche soir.

Je vais donc te voir, bientôt, ma pauvre fille. – Jeudi ou vendredi, n’est-ce pas ? J’espère que pendant « les courts moments que tu me consacreras » tu n’auras pas d’occupations qui t’empêchant d’être longuement avec Vieux.
[…]
Mon chapitre est fini. Je l’ai recopié hier où j’ai été écrit pendant dix heures ! Aujourd’hui je le re-recorrige, & le re-recopie. À chaque nouvelle lecture j’y découvre des fautes ! Il faut que ce soit Parfait. C’est la seule manière de faire passer le fond. »

Jazzi dit: à

Faudrait voir aussi à ne pas oublier le centenaire de la canonisation de Jeanne d’Arc, le 16 mai 1920 par l’Église qui l’avait condamnée cinq siècles plus tôt !

Chaloux dit: à

« entre »

et alii dit: à

dans un petit village de pêcheurs à Cuba »
VOUS souvenez vous que les « nin » famille paternelle d’ Anaïs et musiciens étaient de LAHAVANE ?c’est encore une page de la littérature psy ,érotique et diariste

Jazzi dit: à

Sa nièce Caroline est la cause de la ruine du Vieux Flaubert, Pablo75 !

Pablo75 dit: à

Lettre d’Edmond de Goncourt à Flaubert, du 12 janvier 1880:

« Mon cher vieux,

Vous devenez bien fier ? depuis que Goethe et Shakespeare ne sont plus que de la merde auprès de vous, et vous ne donnez plus du tout de vos nouvelles à vos amis. Moi, je me rappelle à vous par l’envoi d’une fantaisie sur les albums japonais parue dans le Voltaire. Il y a pas mal de fautes et de non-sens, mais vous me lirez avec une amitié intelligente. Tourgueneff m’a dit que vous aviez un chapitre sur la religion superbe.

Je vous la serre.

Edmond de Goncourt ».

et alii dit: à

sur JOAQIN? WIKI précise
En 2008, l’écrivaine cubaine Daína Chaviano lui rend hommage en l’incorporant comme personnage dans son roman L’île des amours éternelles (roman cubain le plus traduit de tous les temps, médaille d’Or du concours des Florida Book Awards).

christiane dit: à

Bonjour Rose,
merci pour ce retour après ce long silence. Quelque chose s’éteint quand vous êtes absente… Vous lisant, je vois que les relations avec l’Ehpad sont toujours tendues… Je vais relire tout cela, je viens d’arriver. Je jardinais sur mon balcon en observant les pigeons amoureux sur les toits !

Pablo75 dit: à

Sa nièce Caroline est la cause de la ruine du Vieux Flaubert, Pablo75 !
Jazzi dit

Merci de me prendre pour le Pétomane !!

Encore une confirmation que tu es le genre de mec qui veut apprendre à ses parents à faire des gosses – comme on dit en Espagne.

x dit: à

Clopine et le fils de Quenotte (suite)

Je crois me souvenir que Clopine avait sollicité des suggestions pour un nom d’ânesse, ce qui m’avait paru indiquer que

1) ses proches et elle-même s’étaient déjà plus ou moins mis d’accord s’il s’agissait d’un ânon.
2) Était-ce déjà « Kilucru » ?

Si je ne me trompe pas pour 1) et 2) (seule Clopine peut le dire), j’aurais une question à lui poser (simple curiosité, et non malveillance, précisons-le).

Pourquoi « Kilucru » n’aurait-il pas aussi bien convenu pour une jeune ânesse ? N’est-ce pas un prénom épicène par excellence ?

Pablo75 dit: à

Lettre de Guy de Maupassant à Flaubert:

« MINISTÈRE DE L’INSTRUCTION PUBLIQUE ET DES BEAUX-ARTS
SECRÉTARIAT 1er BUREAU

[Paris, avant le 13 janvier 1880.

Mon cher Patron,

Je viens vous demander un service : c’est d’écrire un mot à Charpentier à mon sujet, sans que cette lettre ait l’air d’avoir été sollicitée par moi.

Voici ce dont il s’agit.

Je viens de livrer au susdit éditeur le manuscrit de mon volume de vers. J’aurais besoin, pour aider à la réception d’une petite pièce que je compte présenter soit au Français, soit à l’Odéon, vers le mois de mai, que ce volume parût en avril. Charpentier n’a jamais été très emballé à mon endroit, et je risque d’attendre fort longtemps, sinon d’être refusé, car les vers qu’il publie d’ordinaire sont peu dans la note de ce que je lui ai soumis. Il aime les choses dites poétiques et les fadeurs sentimentales, persuadé que le domaine de la poésie va des étoiles à la rosée et de la rosée aux étoiles, et que, si l’on veut chanter quelque chose de matériel, on choisit les roses et leur parfum (jamais leurs feuilles, par exemple). Les grands hommes de sa maison sont Theuriet et d’Hervilly.

Vous pouvez lui dire que vous savez que je dois lui présenter un manuscrit de vers et que vous connaissez l’œuvre. Mon volume sera très court. Je voudrais bien qu’il parût vite.

Les grandes pièces sont : Au bord de l’Eau, La Dernière Escapade, Vénus rustique, et ma petite comédie : Histoire du Vieux Temps. J’ai ensuite deux petits poèmes de cent vingt et de cent cinquante vers : l’un s’appelle Fin d’Amour, l’autre, Le Mur. Ces morceaux sont séparés par quelques poésies courtes, au nombre d’une dizaine en tout. L’ensemble ne fera pas plus de deux mille vers : c’est assez pour fatiguer les lecteurs.

J’ai été voir Madame Commanville, mais elle était malade et je n’ai pu entrer. Il est vrai que j’aurais dû aller plus tôt chez elle, mais comment ? Je ne sors plus jamais du ministère avant 6 heures du soit Il m’est vraiment impossible de faire une visite. Tout le monde se fâche. Je n’y puis rien. Les familles que je connaissais le plus intimement sont blessées. On devrait pourtant comprendre combien la vie est difficile, compliquée, encombrée, pour un pauvre bougre comme moi qui reste jusqu’à 6 heures dans un bureau et qui, tout de suite, se remet à travailler à d’autres choses. Une visite après dîner me fait perdre ma soirée, sans parler des chances de ne pas trouver les gens qu’on va voir. Puis il y a une autre raison. Je travaillais et à ma nouvelle et à mon manuscrit de vers, qui devaient être terminés en janvier. J’ai tout lâché pour cela, tout. Et vraiment, quand on n’a que trois ou quatre heures par jour, pour faire ce qu’on aime, quand on est dans le coup de feu d’une œuvre commencée, dans l’enfantement ! on est bien excusable de passer six semaines sans faire une seule visite. Mais les dames ne comprennent jamais cela. Mme Brainne aussi a été ma désolation pendant ces deux mois, se fâchant de mes absences plus longues, me faisant des scènes, m’injuriant même, et pourtant je pouvais encore aller parfois chez elle, avant fait cette condition que j’arriverais à l’heure du dîner et que je partirais tout de suite après. On causait à table ; puis je disparaissais. Elle est si bonne femme qu’elle a fini par accepter très bien ce genre de visites, qui me laissait toute ma soirée pour la pioche. Je n’ai été voir du reste personne de ma famille depuis octobre. Enfin, je retournerai dans quelques jours chez madame Commanville, et je tâcherai de calmer sa colère contre moi.

Adieu, mon bien cher Maître, je vous embrasse tendrement.

Guy de Maupassant ».

Marie Sasseur dit: à

Demolir des statues.
C’est ce à quoi a fait référence macron dans son onemanshow hier à la télé.

Il répondait simplement au responsable-ancien prof d’allemand -d’une officine socialo, qui coute un pognon de dingue, comme tout ce qu’inventent les partis des grandes idees.

Le symbole, pour nier la vérité.

Je vous invite à écouter le témoignage d’une française, qui doit se foutre totalement de savoir si Colbert était un raciste avant d’être un entrepreneur, mais voilà.
Son frère a été une « raison’Etat »… on peut le dire komça!

https://www.lepoint.fr/justice/affaire-adama-traore-un-temoignage-decisif-au-coeur-d-une-nouvelle-expertise-29-05-2020-2377446_2386.php

Janssen J-J dit: à

@ Tourgueneff ;
pour ma part, j’avais toujours l’habitude d’y inclure un i et un v quelque part, mais nul n’est Flaubert.
Je crains le pire pour Pierre-Nicolas, sculpteur et peintre.
Peut-être ne parle-t-on pas de la même « chose » et va-t-on encore se faire rembarrer pour se mêler ainsi d’affaires qui n’ont rin à avoir avec Woody Allen @ Philip Roth.

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, mais quel âge avait-elle, au juste, cette Caroline chérie en 1880 ?
Rien à voir, j’imagine, avec Mlle de Gournay, domestique chez Montaigne…

et alii dit: à

jazzi, « la fille d’Alliance » de MONTAIGNE aurait commis Quelques quatrains sur Jeanne d’Arc,
vous voilà rassuré!
bonne suite

Clopine dit: à

« X », si votre question est posée sans animosité ni malveillance, je peux bien entendu satisfaire votre curiosité.

D’abord, il faut savoir que nous étions très impatients de voir la naissance de cet ânon. Nous étions inquiets pour la mère, Quenotte, et la mise bas avait du retard : elle aurait dû, d’après nos calculs, s’opérer il y a dix jours. Le vétérinaire était cependant rassurant, et nos voisins éleveurs nous ont dit que toutes les bêtes domestiques, cette année, « retardaient » ainsi les naissances, sans doute à cause des circonstances climatiques…

Cette inquiétude nous a poussés à descendre voir notre ânesse, le jour de la naissance, dès que nous avons compris qu’elle mettait bas, soit précisément à l’aube : autant vous dire qu’on n’y voyait pas très clair, la nuit était encore finissante et les grands arbres étaient des masses bien sombres…

Dès l’ânon sur pieds (encore tremblants, flageolants, et mouillés), Quenotte, à sa bonne habitude, a commencé à le protéger, encore plus sévèrement que les autres fois nous a-t-il semblé. Etait-ce à cause de la réminiscence du trauma d’il y a deux ans (deux petits mort-nés) ? En tout cas, elle se plaçait résolument entre l’ânon et nous, et si nous insistions, elle nous tournait le dos, histoire de nous prévenir qu’un coup de pied éventuel pourrait bien partir d’un coup…

Pas question de risquer une ruade, bien sûr. Nous avons examiné le fedon « de loin », avons conclu qu’il s’agissait probablement d’une femelle, et avons regagné la cuisine aux grands carreaux rouges, pour un petit-déjeuner bien mérité. Il devait être dans les cinq heures et demie du matin…

IL nous fallait cependant en avoir le coeur net. Car les enjeux sont très différents, s’il s’agit d’un âne ou d’une ânesse.

Les ânesses « Grand Noir du Berry » se vendent facilement. Ce sont des animaux exceptionnellement calmes et dociles, malgré leur grande taille, et les problèmes actuels qui s’accumulent autour de la race en augmentent encore la valeur…

Par contre, les mâles… Les mâles castrés se vendent bien,et eux aussi d’autant mieux que les problèmes de la race en augmentent évidemment le prix.

J’entends par « problèmes de la race » deux sortes de problèmes. Il y a de moins en moins de naissance de cette espèce particulière d’âne, d’une part et, faute d’étalons, la race s’appauvrit génétiquement, de l’autre.

Et cet appauvrissement, en nombre d’individus et en richesse génétique, est dû à la diminution du nombre d’éleveurs, tout simplement. Songez que les ânes « Grands Noirs du Berry » sont désormais bien plus nombreux dans d’autres départements ou régions, comme le Nord ou la Bretagne, que…dans le Berry même !

Bref, l’association pour la défense de cette race milite pour que les mâles qui naissent ne soient pas castrés, restent des étalons et puissent renouveler le cheptel.

Sauf qu’un âne non castré se vend difficilement. Nous, avec notre grand Dagobert, ne nous sommes jamais rendu compte que nous avions eu une chance de tonnerre de dieu : Dagobert était doux comme un agneau, fidèle comme un chien et d’une placidité sans égale. Mais souvent, les ânes-étalons sont plus agressifs, voire parfois même dangereux…

Nous sommes adhérents de l’association de défense, et souhaitons évidemment aider la race et l’empêcher de s’amoindrir. Mais enfin, les enjeux ne sont donc pas les mêmes s’il s’agit d’une femelle ou d’un petit mâle, n’est-ce pas…

Nous devions donc absolument en avoir le coeur net. Nous avons donc regagné le champ du haut, dès l’après-midi, muni de friandises pour la mère, (pommes et gâteaux à la carottes « spécial équidé), mais aussi d’une longe, pour empêcher Quenotte de nous barrer le passage.

Et avons pu examiner le petit : c’était un mâle ! Qui l’eût cru ? Qui l’eût dit ?

Notre Clopinou venait ce week-end nous voir : nous avions décidé de choisir ensemble le nom de l’ânon. J’ai récapitulé toutes les propositions lancées sur ce blog, on a « brainstormingué »…

C’est Kilucru qui l’a emporté. Ca va bien avec notre ânon, d’autant qu’un nouvel élément s’en est mêlé.

En effet, ce nouveau petit Grand Noir… N’est pas noir du tout !!! Franchement, qui l’eût cru derechef : la mère et le père sont Grands Noirs, et confirmés, n’est-ce pas.

« Confirmés », cela veut dire qu’un jury chargé de caractériser les races les a jugés, après examen, conformes aux canons établis.

Oui, mais voilà : la mère est Noire… « Pangarée ». Et le père est aussi « pangaré ». Les mystères de la génétique ont fait que Kilucru a « choisi » ce caractère récessif, et qu’il est… Adorablement châtain clair…

Et pas du tout Grand Noir.

Donc, Kilucru ne sera jamais confirmé par le jury adéquat, exigeant quand aux critères de sélection de la race.

Du coup, si jamais nous devons le faire castrer, ce sera avec bien moins de remords que s’il avait fallu castrer un étalon confirmé, dont la race a désespérément besoin pour « rebattre les cartes ».

Certes, nous allons le vendre moins cher,du coup, car non confirmé, il a beaucoup moins de valeur…

Mais on s’en fout.

Nous n’avons jamais élevé nos ânes pour de l’argent. En réalité, nous n’avons jamais rien fait pour de l’argent, chez nous.

Certes, nous vendons nos moutons, nos ânes, notre miel : tous fruits d’un travail qui mérite bien salaire…

Mais l’essentiel est pour nous ailleurs : nous sommes surtout attachés à vivre comme nous l’entendons, aux champs, certes, pas chez Disney, c’est sûr, m’enfin en tentant de démontrer que c’est possible : qu’on peut ne pas tout détruire, qu’une certaine manière de vivre de manière naturelle, avec potager, productions d’électricité renouvelable, évitement de toute pollution, respect des animaux domestiques et maintien dans des limites plus que raisonnables de notre consommation d’énergie est POSSIBLE;

En tout cas,c’est le pari de l’exemplarité que Clopin engage tous les jours depuis 40 ans désormais.

Et que nous entendons bien continuer. Je pense faire équiper ma petite Twingo d’un moteur électrique, nous avons entendu parler d’un dispositif qui limite le coût à 5000 euros…

Et comme nous démontrons, avec notre centrale photovoltaïque, que le nucléaire n’est certes pas l’unique recours, ou l’exorbitant prix à payer pour produire de l’électricité… Qu’on peut faire, et vivre, autrement…

J’entends d’ici les hurlement choqués des « amis des animaux » qui vont me tomber dessus à propos de la castration de nos ânes. Les mêmes n’ayant évidemment aucune notion, même lointaine,de ce qu’est l’élevage, mais bon. Et qui supportent si peu que leurs précieux chats d’appartement, ou leur toutou favori, puissent avoir ne serait-ce qu’une puce sur eux, qu’ils leur infligent des traitements qui supposent un empoisonnement de leur sang, et une modification de leur métabolisme. Mais bon, ceci est juste une contradiction, et nous en avons tous, moi la première…

Je pense que si Kilucru avait été une femelle, nous l’aurions appelée « Kalinka ». Certes, Kilucru pourrait être aussi bien féminin, mais j’ai une faiblesse pour les noms féminins se terminant sur la voyelle « a ».

Je ne suis pas la seule : il me semble que Dom Frollo appréciait aussi ce trait, par exemple pour la Esmeralda… Non ? Il y a un passage précis, dans Notre-Dame de Paris, qui attribue des pouvoirs mystérieux à ce type de prénoms.

Voilà, « x », j’espère que vous en savez un peu plus sur les Grands Noirs, désormais ?

J’ajoute que la foire aux Anes de Lignères en Berry, qui se tient tous les ans, vaut vraiment le déplacement, n’est-ce pas. D’autant que Nohant n’est pas loin,et qu’on peut à la fois, dans le même séjour, rencontrer les éleveurs, et évoquer Chopin !

En tout cas, on nous y trouve…

Pablo75 dit: à

Réponse de Flaubert à Guy de Maupassant

[Croisset, 13 janvier 1880.]

« mardi soir.

Mon cher Guy,

Je viens d’écrire non à Charpentier mais à son épouse pr qu’elle lui demande de ma part & comme un service personnel de publier tout de suite votre volume. j’insiste sur les raisons, – fais votre éloge, & lui dis que, s’il n’exécute mes désirs, je me fâche.

Ma lettre vous servira-t-elle ? problème. La Revue moderne m’a envoyé votre « Mur ». prquoi l’ont-ils à moitié démoli ? La note de la Rédaction, qui vous fait mon parent est bien jolie. – Du reste, cette Revue me paraît gigantesque ! Sarah Bernhardt comparée à Fr. Lemaître et à George Sand ! & dans l’article sur l’Odéon : « après la Ligue, la Renaissance !!! » Si ce sont là les « Jeunes », je redemande Baour-Lormain.

Quant à votre « Mur », plein de vers splendides, il y a des disparates de ton. ainsi le mot bagatelle vous verse une douche glacée. l’effet comique arrive trop tôt. – mais admettons que je n’aie rien dit. il faut voir l’ensemble.

Que vous avez raison quant aux visites !!! Quelle scie ! – mais les gens du monde sont sans pitié pr nous, mon bon !…
___

Ce soir enfin, j’ai terminé mon avant-dernier chapitre. – dont je reste inquiet. – mais je n’y vois plus clair.

Lundi prochain, je me mets au Dernier.
___

N.B. Ah ! nom de Dieu, j’oubliais une chose griève.

à qui s’adresser dans votre établissement pr carotter le marbre devant servir à Guillaume, qui va faire le buste de Bouilhet ?

La chose presse, car les travaux de maçonnerie vont être mis en adjudication & Sauvageot, l’architecte de la ville, me prie de me hâter.
___

J’espère vous voir ici à Croisset – dans peu de temps.

Les Commanville y viennent demain pr 4 ou 5 jours.

Je vous embrasse bien fort. Votre vieux

Gve Flaubert »

Pablo75 dit: à

Lettre de Flaubert à Marguerite Charpentier, dont il parle dans sa réponse à Maupassant:

[Croisset, 13 janvier 1880.]

« mardi 13 j. 80.

Chère Madame Marguerite,

Votre aimable billet de jour de l’an s’est beaucoup promené avant de me parvenir – La poste n’ayant pu lire l’adresse, qui me semble lisible, cependant.

C’est moi qui aurais dû vous écrire le premier ! L’excuse à ma goujaterie est que je suis éreinté, écrasé jusque dans les moelles. il y a des moments où j’ai peine à lever une plume. – & tout cela pr qui ? – pr la « Maison Charpentier » ! Aujourd’hui, seulement j’ai fini mon avant-dernier chapitre ! – et lundi prochain je me mets au dernier, qui me demandera encore trois ou quatre mois.

Maintenant autre guitare : je demande à votre mari comme un service personnel de publier maintenant, c’est-à-dire avant le mois d’avril le volume de vers de Guy de Maupassant, parce que cela peut servir au susdit jeune homme pr faire recevoir aux Français une petite pièce de lui.

J’insiste. ledit Maupassant a beaucoup, mais beaucoup de talent ! c’est moi qui vous l’affirme & je crois m’y connaître. Ses vers ne sont pas ennuyeux, premier point pr le public. – & il est poète, sans étoiles ni petits oiseaux. – bref, c’est mon disciple. – & je l’aime comme un fils.

Si votre légitime ne cède pas à toutes ces raisons-là, je lui en garderai rancune. Cela est certain. De plus, le même Charpentier me doit des excuses pr ne m’avoir point transmis le splendide article de Zola sur L’Éducation ! Sans un ami (de Rouen) qui me l’a envoyé, j’eusse été privé de cet encens.

Embrassez vos mioches pr moi, – me permettant de commencer par leur mère, licence qu’autorise le grand âge de

Votre tout dévoué et très affectionné

Gve Flaubert

Quand aurons-nous un petit éditeur ?

Pablo75 dit: à

Lettre de Guy de Maupassant à Flaubert, Paris, 15 janvier 1880

« MINISTÈRE DE L’INSTRUCTION PUBLIQUE ET DES BEAUX-ARTS
SECRÉTARIAT 1er Bureau

[Paris,15 janvier 1880]

Mon bien cher maître,

Je commence par vous remercier de tout mon cœur de votre lettre à Mme Charpentier. Avec un pareil appui je suis persuadé que ça passera.

Je n’avais pas lu La Revue Moderne, n’ayant aucun rapport avec ce papier. Je n’y connais personne. Mon poème n’a pu y être mis que par Champsaur, que je n’ai jamais vu, mais qui m’a demandé des vers, par lettre, pour une publication à laquelle il s’intéressait. J’ai envoyé Le Mur. Je changerai bagatelle, qui est en effet très mauvais. Nous avons lu cette pièce ensemble à Croisset, il y a un an et vous n’aviez rien remarqué qui vous choquât.

Cette Revue Moderne est imbécile. J’ai vu du reste Huysmans dont elle annonce une nouvelle et qui ne lui a rien envoyé donné.

Après la Ligue la Renaissance – !! Cela est beau.

Comme titre de mon volume de vers, cela vous plairait-il –

Des Vers

par

Guy de – « 

Pablo75 dit: à

Rappelons que tout cela se passe 4 mois avant la mort de Flaubert, qui a 58 ans (Maupassant en a 29).

Janssen J-J dit: à

… et si votre question était posée AVEC animosité ni malveillance, x, la suite reviendrait au même. Elle est fort intéressante et instructive sur la vie des ânes en général et de la sienne en particulier, CT. Commet deux seuls coups en un. On en a souvent pour son argent, à la RDL, nous autres qui ne roulons pas sur l’or et cherchons toujours à bénéficier d’un savoir gratuit, public, laïc et obligatoire. Classe et grâce, gloire et dénuement.

Janssen J-J dit: à

@ CT : pourra-t-on connaître le prix de vente exact de cet animal le moment venu, si possible ? Peut-on, en outre, croiser sans dommage ces animaux du Berry avec des baudets du Poitou ?
Merci pour une réponse éventuelle sans malice.

x dit: à

Interpellations mouvementées ?

« Donc, je remontais la rue Mazarine, un pied dans le ruisseau, la tête à l’aventure […]
Comme toujours, il y avait un fourgon d’agents embossé au carrefour […] Des inspecteurs, camouflés en limiers de carnaval, sirotaient des apéritifs stratégiques dans les bistrots du coin. […]
Je n’espérais pas la faveur d’être arrêté, tant il est flagrant que la contestation n’est plus dans mon emploi. […]
Je me croyais déjà de l’autre côté de la rue, quand un civil en manteau de cuir s’est dressé devant moi. Dénué d’expression, il me fixait sans me voir, entre les épaules, d’un œil en jet de couteau et a dit d’un ton neutre: « Papiers, jeune homme… » Doutant que cette interpellation s’adressât à moi, je me suis retourné dans le même temps qu’une bousculade se produisait à ma hauteur: un inconnu, dans mon dos, venait de s’enfuir en sens inverse et provoquait parmi les passants un remous furieux.
Vers le milieu de ma promenade, j’avais perçu la présence dans ma foulée d’une silhouette imprécise, qui s’arrêtait lorsque je m’arrêtais, peut-être en raison de l’exiguïté du trottoir et des embarras de la circulation. Mais nos reflets se confondaient alors dans la vitrine des libraires et je découvrais, surgi de ma personne, un garçon ardent […] Sa fuite soudaine dans la stridence des coups de sifflets, des coups de freins, des coups de gueules, m’a causé une sensation brutale d’arrachement comme s’il se détachait de moi.
L’hallali a pris aussitôt une tournure odieuse. Les flics entamaient la poursuite avec allégresse […] [une main] tendue à l’aveuglette pour écarter la foule confite en panique et en curiosité. Leurs appels se répercutaient dans les voies latérales […] Plus loin, les riverains de la rue, qui accueillaient le spectacle en marche, hurlaient par contagion au débouché du fugitif.
Cloué sur place […], j’ai connu, l’espace d’un éclair, la honte de cette chasse à l’homme, une admiration mêlée de gratitude envers la détermination d’un gibier sans espoir […] Un élan intérieur me projetait au côté du réprouvé […]
— Qui c’est ? Qu’est-ce qu’il a fait ? demandait-on, maintenant que l’incident gagnait le large.
— On ne sait pas, on ne sait rien, répondait-on avec humeur.
JE devais avoir le visage de celui qui sait, car l’individu en manteau de cuir m’a crocheté, cette fois, sans équivoque.
— Qu’est-ce que vous foutez là, encore ?
[…]
— Il était avec cézigue, a laissé tomber du haut de son marchepied le conducteur du fourgon, sorte de flic laïc.
— Ça se pourrait bien, a dit l’inspecteur en feignant de me remettre, vous connaissez ce gars-là ?
Il a eu un mouvement écœuré du menton en direction de la rue Dauphine […] Mais sous les visières les physionomies féroces ou narquoises, au bout des bras les poignes vacantes, annonçaient l’échec.
[…]
Toutes mes fibres tendaient spontanément à composer une allégorie de l’insurrection insolente, bien que j’eusse plutôt l’extérieur d’un quadragénaire vétilleux. Enfin, l’intention était là ; ils ne s’y sont pas trompés et ont jumelé leurs regards en direction du panier à salade 
— Allez, monte là-dedans. Ton copain n’ira pas loin. Tu seras aussi bien au poste pour l’attendre. Tu vas jouer remplaçant. »

Janssen J-J dit: à

Ces fragments de correspondances sont en soi intéressants, mais à quelle nécessité sont-ils éligibles à la rdl et pourquoi précisément ceux-là ?
(une nouvelle édition critique de la correspondance de GF @ etalii durant leur grands âges ?)

Janssen J-J dit: à

rue Mazarine et place Dauphine…, assurément les plus chauds quartiers de la capitale, à cette époque… On dirait un passage du journal de Stefan Zweig, lors de ses déambulations à Paris, à la recherche d’un autographe de Marcel Proust. Pas vrai, Jzmn ?

D. dit: à

Lignières, Mademoiselle Klopine. Avec un i devant le e.

x dit: à

Merci, Clopine d’avoir explicité les motivations du nom de cet ânon (la double surprise).
3J, je ne vois pas du tout en quoi la convocation de Queneau à propos du nom Kilucru pourrait être malveillante.

Quant aux enjeux économiques, à partir du moment où il y a élevage, ils existent (sauf jadis au Hameau de la Reine), et si l’on veut favoriser le bien-être animal on ne peut pas faire semblant de les ignorer.

Marie Sasseur dit: à

Petitix doit bouffer des saucisses d’âne.
Je ne vois pas pourquoi il en ferait tout un fromage. D’autant que c’est mangeable.

hot pepper dit: à

Que vient faire ici la naissance d’un âne?
Et son prix soupesé?
Vergers.

Mimi Pinson dit: à

Démolir des statues.
Bonne question.

Et pourquoi en édifier?

Marie Sasseur dit: à

Sur le code noir:

« Remarque: Il existe deux versions du Code noir. La première version a été élaborée par le ministre Jean-Baptiste Colbert (1616 – 1683). Il fut promulgué en mars 1685 par Louis XIV. La seconde version fut promulguée par Louis XV au mois de mars 1724. Les articles 5, 7, 8, 18 et 25 du Code noir de 1665 n’ont pas été repris dans la version de 1724. Le texte qui suit est celui du ministre Colbert (1665). Il ne compte aucune disposition d’ordre linguistique. »

http://www.axl.cefan.ulaval.ca/amsudant/guyanefr1685.htm

bouguereau dit: à

tout l’monde y sert de marche pieds a tout l’monde pour allez baiser lcul a lassouline..ass en engliche qu’il aurait dit vontraube

hot pepper dit: à

La statue comme un mot nu, ment.
Monumentalement.

bouguereau dit: à

Petitix doit bouffer des saucisses d’âne

sla carrer la loi l’hinterdit phormélment tèrezoune..mais tu sais serrer les dents

et alii dit: à

je tenais à remercier, avant de vous saluer, chacun pour ce que vous avez imaginé m’apprendre, à remercier jazzi de m’avoir très vite prévenue que vous me haïssiez confraternellement; je na sais s’il lui avait explicitement demandé de me le dire , juste pour lui offrir ce plaisir qu’il a pris à plusieurs reprises de me donner des preuves de sa sincérité ,au point de se proposer de me rencontrer -alors que javais déjà trop bien compris que vous étiez sans limite dans le désir de tromperie,d’abuser de l’éventuelle confiance de tiers- et de vos capacités en saloperie, hommes et femmes réunis,et de resservir le plat , au nom de votre franchouillardise jésuitico -lacanienne;
et surtout lorsque je pense aux lettres de jeundes juifs français que j’ai retrouvées dans la correspondance d’ un médecin antisémite déclaré, qui rivalisait avec A.Carrel, et adorateur de Pétain -auquel il envoya un mémoire que j’ai retrouvé -donc de ces jeunes juifs qui écrivaient leur amour à ces profs bons antisémites;
donc je vous souhaite de ne pas être trop tôt bien démasqués et produits avec toute votre vérité ,même si ce sera plus comique qu’un film de W Allen pour les connaisseurs

et alii dit: à

s’il lui avait été explicitement demandé

bouguereau dit: à

Et pourquoi en édifier?

pasqu’on en erectionne pour les salopes..mimi fait mine de pas en ête..en avoir lhonneur c’est pas toujours gagnant qu’il dirait charoulet

bouguereau dit: à

bons antisémites

..confraternelment tant quty es renfield

renato dit: à

Pour incroyable que cela puisse paraître Janssen J-J, compte tenu des diverses interprétations et que nous sommes en juin, il y a assez de matériel pour arriver bien au delà du 16 décembre.

et alii dit: à

je n’ai pas écrit que vous étiez tous et toutes antisémites ; et peut-être qu’il y a pire que ça ; et que vous avez trouvé ce « pire » ayant profité de l’anonymat de la toile;

bouguereau dit: à

Encore une confirmation que tu es le genre de mec qui veut apprendre à ses parents à faire des gosses – comme on dit en Espagne

si tu sais cqui pousse dans les choux..tu sais pas cqui te pousse dans loignon qu’il a pensé baroz..

Jazzi dit: à

« remercier jazzi de m’avoir très vite prévenue que vous me haïssiez confraternellement »

J’ai dit ça, moi ! Mais de quoi me mêlé-je ?

Janssen J-J dit: à

@ « en quoi la convocation de Queneau à propos du nom Kilucru pourrait être malveillante »

C’est que… Quenelle n’aime pas être prise pour un Queneau ! ouarf.

@ renato, pourquoi l’année Bétove devrait-elle s’achever le 16 décembre ?

@ HP, Monumentalement. On dirait du Polémikoeur.

@ ériger des statues pour des salopes : A qui pensez-vous, par exemple ?

bouguereau dit: à

je pense qu’il y a grande jalousie a l’endroit des statues..à lenvers haussi..sinon envers les bouldogues en résine drippés a la petitisque..c’est sans objet autre quune sourde et obscur rage

bouguereau dit: à

Mais de quoi me mêlé-je ?

pasque t’es l’archange gabriel baroz..et moi je suis journliss d’un 1.51m..tous les autres sont hanonymes..pire quantisémite qu’il dirait dédé

bouguereau dit: à

il y a assez de matériel pour arriver bien au delà du 16 décembre

..si avouer si platement que 3 ou 4 lignes de codes supplérait..c’est une définition désespérante dla modestie rénateau

et alii dit: à

pourquoi Clopine n’a pas proposé d’être marraine de son anon à l’universitaire qu’elle a séduite, d’après ce qu’elle a raconté ici, sans dire la suite de cette rencontre? ça ne vous intéresse donc pas?

et alii dit: à

LISEZ Les GUERRES DE LA PSYCHANALYSE, postérieures au colloque « la psychanalyse est une histoire juive » où l’on avait invité Lucien Israel (qui est médecin!)

Marie Sasseur dit: à

Ce qui va devenir une affaire d’Etat.

Et malgré cet écran de fumée de macron, sur des statues qui ne seront pas déboulonnees, alors que tout le monde s’en fout, de la statue de Colbert à Bercy ,

on apprend que des toubibs vendus( on en a vu plusieurs , jaloux du Pr Raoult se prostituer dans les médias pour se justifier et cautionne ce scandale absolu de la gestion par des incapables d’une epidemie en macronie)
On apprend que des toubibs ont trafiqué des expertises.

« Mes clients avaient dénoncé des médecins charlatans désignés par les magistrats instructeurs. Quant à moi, je m’interroge sur la possible tentative d’escroquerie au jugement par le fait d’user de manoeuvres frauduleuses pour tromper la justice. Cela ferait de ces experts des escrocs », ajoute maître Yassine Bouzrou »

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/droit-et-justice/info-france-info-affaire-adama-traore-la-famille-demande-la-nullite-de-lexpertise-medicale-du-25-mai-dernier-qui-disculpait-les-gendarmes_4008911.html

Lucienne dit: à

comment se nomme le gââââteux qui répète tous les jours les mêmes mots bêtifiants, hein ?, boumol avachi partout

et alii dit: à

sur AKADEM Lucien Israel

Lucien Israel: l’hystérie, l’amour, l’éthique
L’Institut européen Emmanuel Levinas consacre une journée au Professeur Lucien Israël (1925-1996) qui, par ses spécificités par rapport au message freudien, a produit une théorisation qui analyse la question du désir inconscient, mais aussi des propositions pour une éthique qui subvertit le culte de l’avoir et toutes les formes de totalitarisme.
Lucien Israël a porté plusieurs « casquettes » : psychanalyste, psychiatre, professeur agrégé de médecine, expert auprès des tribunaux… et il n’a jamais dénié ses rapports aux enseignements talmudiques et aux interprétations issues de la Bible et de la Cabale. Par ses écrits multiples et par les séminaires qui sont parus après sa disparition, il a développé nombre de pensées sur l’hystérie, l’amour et l’éthique.
Cette journée qui lui est dédiée devrait permettre différentes interventions consacrées à ses apports à la clinique psychanalytique et à des témoignages sur ce qu’a été son humanisme qui ne cesse de subvertir.
http://www.akadem.org/sommaire/colloques/lucien-israel-l-hysterie-l-amour-l-ethique/

Marie Sasseur dit: à

Toujours a propos de la lâcheté de macron, qui parle communautarisme, quand il s’agit d’un scandale d’Etat:

« Et pour lui, ce nouvel accroc au rapport d’expertise médicale renforce au contraire la thèse de l’asphyxie positionnelle pour expliquer la mort d’Adam Traoré. Sans ce rapport, dont il demande la nullité, « il reste ainsi trois expertises médicales de synthèse, lesquelles reconnaissent toutes que l’asphyxie positionnelle a eu un rôle dans le décès d’Adama Traore, assure Yassine Bouzrou. Les deux expertises indépendantes affirment elles qu’il s’agit de l’unique cause de la mort ».

Sollicité par franceinfo, Rodolphe Bosselut, avocat de deux des gendarmes placés sous le statut de témoin assisté, n’a pas souhaité faire de commentaire sur cette requête de la partie civile. »

Jazzi dit: à

Superbe résumé de la naissance de Kilucru et de toutes les problématiques liées à l’élevage d’ânons, Clopine.
Vous ne pourriez pas le garder sans le castrer ?
Et pourrait-il faire des enfants à sa mère ?

Marie Sasseur dit: à

Mais le degagisme , – son projet c’est son programme à macron-, s’il ne va pas se « l’appliquer à « lui-même « , d’autres, des jeunes en majorite, et c’est très rassurant !, vont lui rappeler qu’ils ne sont plus à materner. Cette image de nounou en mal d’enfant Macron l’a souvent donnée.. Et que le communautarisme , ils connaissent pas, mais le Droit, si.

No justice ?, no peace !

Jazzi dit: à

Marie Sasseur, elle s’est recyclée pétroleuse invétérée !
Ne faut-il pas être jeune et avoir le sein ferme pour incarner le rôle ?

renato dit: à

Janssen J-J, il faudra bien arrêter à un moment et puisque LvB est né le 16 décembre 1770, le 16.12 me semble un bon choix.

Marie Sasseur dit: à

Ici il n’a plus que des vieilles fardees comme des camions, tous genres confondus, qui font le tapin.
c’est à qui vend ses ânes, a qui vend ses memoires d’ancien prostitué…, a qui cherche sa mère à l’ehpad, a qui propose son fils en photo avec des psys, etc.

Ce n’est pas à cet auditoire qui a déjà un pied dans la tombe que je m’adresse. C’est aux silencieux.

J’espère ,- en dehors de ce scandale d’État, l’affaire Traoré-, que F. Sureau continuera à mettre son talent au service d’une juste dénonciation des dérives proprement totalitaires en macronie.

je vais acheter son dernier bouquin:

https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins/voyage-en-france-au-fil-de-la-seine-avec-francois-sureau

Janssen J-J dit: à

@ Me suis toujours demandé pourquoi vous n’aviez pas « fait » magistrate, à défaut de justicière. Vous auriez ainsi maté les flics et les experts marrons…, alors que vous avez plutôt voulu obtenir des diplômes d’agrèg foireuses pour vous retrouver, au final (in fine ?), à donner dans le coaching managerial de l’ingenierie de la lutte antipédophile du darkweb sur cette chaîne littéraire.
Je sais bien que c’est une question un brin indiscrète, m’enfin tout le monde est en droit de se la poser aussi crûment depuis le temps qu’elle est en gésine erdélie, sans avoir jamais osé surgir, hein.
Sans nul espoir de la moindre réponse de votre part d’ailleurs, bien sûr, d’où l’effet de la cause en autocensure collective.
Bàv,

Jazzi dit: à

« le 16.12 me semble un bon choix. »

Prévoyez le bouquet final, renato !

Marie Sasseur dit: à

#Me suis toujours demandé pourquoi

Pourquoi tu ne sauras rien?
Parce que saurien, le keuf de la rdl.

et alii dit: à

j’ai vu des animaux copuler « en famille » (père-fille, mère-fils) c’étaient des hamsters qui ensuite se sont cannibalisés;ils étaient dans une cage trop petite pour eux;c’était une horreur;
ils avaient été donnés pas un couple qui travaillait dans un labo pour lequel ils étaient prévus ;ça m’a appris , avec les réflexions de*** aux premières horreurs

Pablo75 dit: à

LvB est né le 16 décembre 1770
renato dit

Il y a un doute sur le jour de la naissance de Beethoven:

« Ludwig van Beethoven est né à Bonn en Rhénanie le 15 ou 16 décembre 1770. […] Seule la date du 17 décembre 1770, inscrite sur le registre des baptêmes de l’église Saint Remigius (de) à Bonn, est connue avec certitude, ce sacrement se faisant le plus souvent le lendemain de la naissance. » (Wikipédia)

Janssen J-J dit: à

@ puisque LvB est né le 16 décembre 1770, le 16.12 me semble un bon choix
Imparab’ ! J’aurais dû « consulter ». Donc, ça lui ferait 250 balais ? Tudieu !
A votre avis, Lucien Israël était-il juif ? Avait-il un quelconque lien de parenté avec notre collègue Liora, du même nom ?

Marie Sasseur dit: à

#Me suis toujours demandé pourquoi

Pourquoi ce livre de Harper Lee est un bon livre d’apprentissage , avec un petit voyage un situ…pour qui n’a pas fait des études littéraires ou psycho-socio.
-Eux se dédouanent avec un librio à 2 euros de Tahar Ben Jelloun…-

Parce que le monde se divise en deux catégories, comme l’a montré JP Dubois dans son livre , que les Goncourt ne méritaient pas.
Il y a les cons. Et les autres.

Et encore j’ai une botte secrète.

bouguereau dit: à

..y’a menace que bonne clopine mange baroz..ou lcontraire..l’himportant c’est quça fasse la hune sacrénom

bouguereau dit: à

des bottes dans l’cul tèrezoune..t’as les dents qu’en grincent

Clopine dit: à

C’est reparti…

Ceci : « à l’universitaire qu’elle a séduite, d’après ce qu’elle a raconté ici, sans dire la suite de cette rencontre », vient d’où ? De quel universitaire ai-je fait la conquête, et peut-on copier-coller le post où j’en ai fait état ici ???

et alii dit: à

séduite,
une femme !

bouguereau dit: à

Il y a un doute sur le jour de la naissance de Beethoven

une quatrième ligne de code qui irait consulter la date sur wiki..façon mélomane qui se tient au jus

et alii dit: à

c’était autour du voyage en Hollande ! voyez avec votre mémoire

Clopine dit: à

Alors, pour JJJ, la réponse est oui, bien évidemment. Le baudet et le Grand Noir sont parfaitement compatibles, et il est toujours palpitant de voir le résultat… Notre Dagobert avait un quart Poitou. Cela ne se voyait qu’aux oreilles, plus duveteuses, à l’intérieur, que celles du Grand Noir.

Quant au prix, il est variable, bien sûr. Un ânon commun, sans pedigree quoi, peut se céder dans les 800-1000 euros. Un vrai Grand Noir certifié, vu qu’il y en a de moins en moins, se négocie beaucoup plus cher…

bouguereau dit: à

le vla ton copicol bonne clopine

Et pourrait-il faire des enfants à sa mère ?

renato dit: à

Bien qu’il n’y ait aucune preuve fiable pour étayer cette date, on retien le 16 car il était coutume de baptiser les nouveaux nés le lendemain de la naissance. Quelques témoignages indirects de l’époque font état de cette date, dont un texte de Johann Georg Albrechtsberger de 1796, une nécrologie de 1827 et la biographie écrite par Schlosser la même année.
Barry Cooper, Beethoven, Oxford University Press.

Cela dit, inutile de se perdre dans ce genre de detail.

Marie Sasseur dit: à

#Me suis toujours demandé pourquoi

Pourquoi il y avait une constitution en France? une République avec des textes qui fondent le droit?

Et pas des keufs racistes et incompétents qui font la leur, de loi?

Toi, je ne me suis jamais demandée pourquoi tu étais keuf, enfin, « avait été  » au service du sinistre de l’intérieur.
Tu transpires la violence mal contenue, dans chacun de tes posts. Ca c’est une évidence qui n’a échappé a personne. Enfin pas à moi.
Et encore une fois, dans d’autres circonstances, le dentiste n’aurait pas pu t’arranger ta grande gueule…

Janssen J-J dit: à

@ Et encore j’ai une botte secrète.

Plus qu’une, sans aucun doute, et pas qu’en Italie… On s’en voudrait de la désamorcer bien vite, en la divulguant.
Il est vrai que TbJ n’a jamais tiré sur l’oiseau moqueur, le pauvre. D’apès ce que j’en ai compris, du moinsse. Tout cela commence furieusement à confiner à l’etaliisme. La gangrène rampe et le désert croît. Macron s’en tire encore à bons comptes, hélas, car on ne voit pas quel moins nul pourrait lui opposer un tel satisfecit.

Marie Sasseur dit: à

Tu transpires la violence mal contenue, dans chacun de tes posts. Ca c’est une évidence qui n’a échappé a personne. Enfin pas à moi.

Et sans doute pas non plus à la mère de tes gosses, qui a du se barrer demander son reste.

Janssen J-J dit: à

@ un jour je vous expliquerai et vous serez édifiée d’AMS. Une évidence qui n’aura échappé a personne, sauf à vous. Les keufes sont toujours les plus mal placées pour faire les justicières, surtout quand elles transpirent à plein nez des turpitudes intimes qu’elles ne veulent pas inhaler en provenance de leurs sphincters (là, je plaisante salace, of course, normal -> c’est l’heure de l’apéro, hein).

@ merci bien, CT, pour vos réponses très utiles en matière d’aniseries, j’en fais mon affaire. Suis rassuré d’apprendre que de telles unions ne seraient pas contre-nature indiquée !

Pablo75 dit: à

Ici il n’a plus que des vieilles fardees comme des camions, tous genres confondus, qui font le tapin.
Marie Sasseur dit

Il y a aussi une Blatte de Blog mégalomane qui, ayant la chiasse, vient ici pour essayer de nous donner des leçons d’Éthique Politique au nom de son fanatisme hystérique de ratée et des leçons de Morale Sexuelle au nom de sa détestation des hommes, dont aucun a voulu d’elle.

x dit: à

Marie Sasseur, on « bouffe » peut-être chez vous, pas chez moi.
Et ce que l’on savoure, strictement aucun risque que ce soit de l’âne.

Pablo75 dit: à

Cela dit, inutile de se perdre dans ce genre de detail.
renato dit:

Sauf si on veut faire son thème astral…

Marie Sasseur dit: à

L’espingouin du 75 doit avoir un problème d’hygiène dans son taudis parisien. Il ne cause que de blattes.
Et dire qu’il y a de pauvres crétins, qui n’ont plus tout leur discernement, qu’il exploite en leur vendant des fadaises, et en leur soutirant de l’argent.
Cette madame soleil, franquiste planqué à Paris qui écoute de la musique pour nazis, et qui disparaît des que l’on l’exorcise: la Miviludes s’occupe de son cas.

Marie Sasseur dit: à

#Marie Sasseur, on « bouffe » peut-être chez vous, pas chez moi.

Certainement pas chez moi non plus.
Mais comme vous avez mis de l’ardeur à tuer l’âne en lui donnant tous les noms possibles et imaginables, on peut penser que vous crevez la dalle.

JC'est dit: à

Ici il n’a plus que des vieilles fardées comme des camions, tous genres confondus, qui font le tapin.

Et que la marie taser voudrait en être la mère maquerelle!

une main ... dit: à

Ici il n’a plus que des vieilles fardees comme des camions, tous genres confondus, qui font le tapin.
Marie Sasseur dit

Marie Taser rêve d’en être la mère maquerelle!

renato dit: à

Evidemment Pablo, toutefois, si je me tiens à une ancienne conversation avec l’un de mes amis mathématicien et astrologue et à l’analyste de mon père psychanalyste et astrologue, si on veut faire son thème astral on doit connaître l’heure de naissance aussi.

Marie Sasseur dit: à

Parlant de bien nourri, voilà ce que disait Woody Alien ( c’est le sujet de billet, ce que bouffe petitix ne m’intéresse pas)

« I find it odd that I, who was a small boy during World War II, and who lived in America, unmindful of any of the horrors Nazi victims were undergoing, and who never missed a good meal with meat and a warm bed to sleep in at night, and whose memories of those years are only blissful and full of good times and good music—that I think of nothing but revenge.”

Bon ok, quand il a « pensé » ça, il était déjà un vieux connard.

Pablo75 dit: à

« Adressez vos regrets à petitix , l’eût-il cru que tout cela se terminerait en anerie pour débiles légers. J’en doute quand même.
Petitix doit bouffer des saucisses d’âne.
Tu transpires la violence mal contenue, dans chacun de tes posts. Ca c’est une évidence qui n’a échappé a personne. Enfin pas à moi.
Et sans doute pas non plus à la mère de tes gosses, qui a du se barrer demander son reste.
Moi je n’ai de merci a dire à personne ici.
Ici il n’a plus que des vieilles fardees comme des camions, tous genres confondus, qui font le tapin. c’est à qui vend ses ânes, a qui vend ses memoires d’ancien prostitué…, a qui cherche sa mère à l’ehpad, a qui propose son fils en photo avec des psys, etc. Ce n’est pas à cet auditoire qui a déjà un pied dans la tombe que je m’adresse. »

Il n’y a pas de doute que Marie la Chiasse, Blatte de Blog de son état, est une alcoolique irrécupérable qui vient ici dans un état d’ébriété avancé. Et qu’elle boit pour oublier son état de vierge définitive vivant dans une solitude totale dans un bled perdu au cul du monde.

Ça explique le fait qu’elle n’écrive pas ici de posts, mais qu’elle les vomisse.

D’où la puanteur du site quand elle est présente…

Brinqueballe dit: à

une ancienne conversation avec l’un de mes amis mathématicien

S’en tenir au cordon ombilical, c’est pour mieux se tenir devant papa! 😉

Marie Sasseur dit: à

Non petite ordure franquiste du 75, tu n’as pas enregistré mes meilleurs commentaires sur le sujet. Ils sont toujours dans la machine !

Pablo75 dit: à

si on veut faire son thème astral on doit connaître l’heure de naissance aussi
renato dit

Oui, bien sûr… si on le veut complet. Sans l’heure de naissance on a beaucoup de choses, mais manquent l’Ascendant et les Maisons.

L’analyste de ton père était jungien, j’imagine…

Brinqueballe dit: à

Finir l’âne en bête aux veines c’est quand même pas très nourrissant.

Pablo75 dit: à

Gregorette Samsa, à cette heure-ci tu es déjà trop bourrée pour qu’on perdre son temps à discuter avec toi. Revient demain matin, à l’aube, avant de commencer à picoler.

Il va falloir que je t’apprendre les bonnes manières pour que tu arrêtes de salir ce site avec ta puanteur de Blatte.

Je vais commencer par te mettre systématiquement le nez sur tes vomis.

Marie Sasseur dit: à

Woody Alien a aussi montré limites du motodidacte.
Dommage que Passou n’ait pas été très inspiré pour cette ITW, pratiquant la  » crucifiction »,  » perverse » mais pas trop.

Donc woody le sérial dragueur, sans slip de rechange :

« Woody has always insisted that he is a coward. In an excised scene from an early film, he is a ventriloquist being interrogated by the Gestapo. He asserts bravely that he will never give them information, but he holds up a puppet and says, “But he can.” »

Sinon, à Brooklyn, et Manhattan, on pense aussi, horresco referens, à une vieille hippie, bien-aimée sur la rdl, lol.

D. dit: à

Pas Woody : Woddy.
Woddy Alien.

renato dit: à

Oui, Pablo, le premier jungien en Italie.

Patrice Charoulet dit: à

LES AUTEURS DE LA REVUE D’ONFRAY

Le philosophe Michel Onfray lance une nouvelle revue « Front populaire » , qui entend donner la parole à  » des souverainistes de gauche et de droite ».
Quand on clique sur le titre de cette revue , on peut notamment lire la liste des auteurs de cette revue. La voici ,dans l’ordre, telle qu’elle est annoncée :
Idriss Aberkane, Guillaume Bigot, Mathieu Bock-Côté, Jean-Pierre Chevènement, Alexandre Devecchio, Gabriel Galice,Michel Iturria, Thibault Isabel, Dominique Jamet, Georges Kuzmanovic, Frank Lanot, Barbara Lefebre, Yves Michaud, Jacline Mouraud, Jean-Paul Pelras, Henri Pena-Ruiz, Céline Pina, Didier Raoult, Jacques Sapir, Philippe de Villiers, Zeina Trad, Philippe Bilger.

Je vois des souverainistes- parlons toute honte bue comme l’époque- mais pas que.

Pablo75 dit: à

Marie la Chiasse croit que ses commentaires de bourrée sur Woody Allen intéressent quelqu’un ici. Quand elle est sobre on sent qu’elle est amoureuse de Passou, qu’il est son fantasme sexuel préféré. Quant elle est bourrée elle se fout de lui, comme dans son dernier vomi – où elle a le rire typique de l’ivrogne…

Marie Sasseur dit: à

L’espingouin du 75, qui doit biberonner vilain, comme Renato son martini, vire assez rapidement dans la scatologie. On a déjà lu pire ici. Il ne va pas réinventer la rdl.

Pablo75 dit: à

qui écoute de la musique pour nazis
Marie Sasseur dit

Elle est tellement bourrée à cette heure-ci notre Blatte de Blog, qu’elle prend Beethoven pour un nazi…

Marie Sasseur dit: à

Non je n’ai pas inventé cette beauté sauvage et violente ( sic) de la musique nazie qui ravit littéralement le franquiste du 75, éthylique avéré. Et escroc qui intéresse la Miviludes.

Marie Sasseur dit: à

« La « cancel culture », soit la « culture de l’annulation », est une notion venant des réseaux sociaux, et qui consiste à « annuler » une célébrité estimée problématique, et à la faire disparaître de la sphère médiatique. »

https://people.bfmtv.com/actualite-people/spike-lee-fait-marche-arriere-et-presente-ses-excuses-pour-avoir-defendu-woody-allen-1933201.html

Au fait Passou , Hachette US n’est pas la seule maison d’édition à avoir refusé de publier ce racontage de woody par lui-même.

Pablo75 dit: à

Richard Strauss, Also sprach Zarathustra, Berliner — Karajan :
renato dit:

Karajan est peut-être le meilleur en Richard Strauss (opéras et oeuvres pour orchestre).

J’ai écouté des dizaines de versions de la si célèbre Introduction de « Ainsi parlait Zarathustra » et pour moi personne la fait mieux que lui.

Ici en direct en 1984 avec son Berliner Philharmoniker

https://www.youtube.com/watch?v=M-2ed2hY6Ck

Pablo75 dit: à

Non je n’ai pas inventé cette beauté sauvage et violente ( sic) de la musique nazie
Marie Sasseur dit

Elle est tellement bourrée Gregorette Samsa ce soir qu’elle ne comprend toujours pas qu’il s’agissait de la beauté sauvage et violente de la Neuvième Symphonie de Beethoven. Son Finale, hymne de l’Union Européenne, est une musique nazie sur un poème du nazi Schiller écrite par le nazi Beethoven.

Elle est tellement bourrée ce soir Marie la Chiasse qu’elle est tombée de sa chaise et elle écrit à 4 pattes par terre, pataugeant dans son vomi…

x dit: à

MS aussi a dû prendre des cours de lecture rapide, ce qui explique sans doute ses déductions aberrantes.

Cela dit, et là il ne s’agit plus de MS, à quoi bon lire Kafka si c’est pour faire du nom de Gregor Samsa un terme d’insulte ?
(Non, il n’est pas nécessaire de supposer que Kafka a écrit La Métamorphose uniquement pour développer chez son lecteur l’empathie à l’égard de la « vermine », blatte ou cancrelat, pour s’en étonner.)

et alii dit: à

Meet the NYC Art Community: Kia LaBeija Is Prioritizing Stillness
bonsoir renato, so do I, j’ ai lu qu’elle aimait KUSAMA (yayoi!) bon signe!

bonne nuit

Marie Sasseur dit: à

Si le pablo du 75, franquiste réfugié à Paris , aux frais de la République française, escroc notoire qui vole des personnes fragiles avec abus de confiance et / ou de faiblesse, n’a plus qu’a opposer a ceux qui ont compris depuis longtemps qu’il est en plus alcoolique , ses tares, il peut seulement craindre son avenir: ça va chercher dans les 3 ans de prison et 375 000 euros d’amende. De quoi le calmer, quand il sera à jeun.

Next.

Marie Sasseur dit: à

Petitix, votre tentative d’assainir et de recycler les ordures du franquiste du 75 vous honorent.
Laissez le Dr Kafka en dehors de ça.

x dit: à

Autres sources d’étonnement chez Ed.

— L’extension du « délit de sale gueule » à la critique cinématographique.

— « La dernière phrase [dans une citation de George Sand] est tout simplement sublime de vérité. » à la fin du billet de blog consacré à La Ville noire.
Mon étonnement ne porte pas sur la teneur de la phrase citée, mais sur la formulation du jugement de la blogueuse.
Écrire que cette phrase est « sublime de vérité » n’est pas la même chose que « je suis parfaitement d’accord avec G. Sand » ou « je trouve cela très juste ».
(Quant au sublime, c’est une autre histoire.)

Marie Sasseur dit: à

Et zut
vous honore.

Mais je me souviens aussi du traducteur de russe passé par votre crible , petitix, alors… arbitre des élégances comme des inelegances, vous pouvez aller vous rhabiller.
Vous n’avez pas le profil.
A demain ?

renato dit: à

Je ne suis pas un admirateur inconditionné de WA, je n’ai donc pas lu A proposito di niente que mon libraire milanais s’est donné la peine de m’envoyer et qui est maintenant dans la pile de livres à renvoyer. Cela dit, je suis carrément contre la cancel culture en vogue aux USA, un minimum de réflexion devait permettre à un Européen lambda pourquoi la pensée subjacente à cette nouveauté teintée de moraline à 2 balles n’a réellement aucun sens.

renato dit: à

Oups ! lambda pourquoi > lambda de comprendre pourquoi

Janssen J-J dit: à

Quand on clique sur le titre de cette revue, on peut notamment lire la liste des auteurs de cette revue. La voici,dans l’ordre, telle qu’elle est annoncée :
Idriss Aberkane, Guillaume Bigot, Mathieu Bock-Côté, Jean-Pierre Chevènement, Alexandre Devecchio, Gabriel Galice,Michel Iturria, Thibault Isabel, Dominique Jamet, Georges Kuzmanovic, Frank Lanot, Barbara Lefebre, Yves Michaud, Jacline Mouraud, Jean-Paul Pelras, Henri Pena-Ruiz, Céline Pina, Didier Raoult, Jacques Sapir, Philippe de Villiers, Zeina Trad, Philippe Bilger.

Je suis très étonné par cette liste dite « souverainiste » donnée par ordre alphabétique. Elle semble un brin « contre nature » relativement aux clivages habituels de l’axe, mais pas mal typée dans ses caracatéristiques ultra-goyes…
(bien sûr, je peux me tromper sur les pedigrees). Michel Onfray me déçoit de plus en plus dans ses initiatives de rassemblement dans une revue dite « front popu » (avec philippe bilger à la fin du peloton, on aura décidément tout vu !…, de la part de son porte parole en erdélie !).
Cette revue est-elle gratouite ?

et alii dit: à

s ses mémoires, l’actrice de 74 ans explique que son frère a inspiré le personnage de Duane, le frère fou d’Annie Hall, dans l’incontournable comédie de Woody Allen (en 1977). Un rôle interprété par Christopher Walken. Diane Keaton confie avoir d’abord été proche de son petit frère, avant de finalement se consacrer à sa carrière : « Je me demandais pourquoi il pleurait tout le temps. Pourquoi avait-il peur de l’extérieur ? C’est bizarre ! » Leurs parents ont d’abord rechigné a demander l’aide d’un psychologue, à une époque où les problèmes de santé mentale étaient moins reconnus.
Diane Keaton et Woody Allen sur le tournage du film « Annie Hall » en 1977.
15 PHOTOSLANCER LE DIAPORAMA
Diane Keaton et Woody Allen sur le tournage du film « Annie Hall » en 1977.
Dans un nouvel ouvrage à paraître en février, Diane Keaton se confie sur sa relation avec son petit frère John Hall, atteints de troubles mentaux depuis l’enfance. Des mémoires dans lesquelles la star américaine raconte comment son cadet a inspiré un personnage du film culte « Annie Hall ».
Dans une nouvelle interview accordée au magazine People, le 29 janvier 2020, Diane Keaton s’est confiée sur son frère, malade depuis l’enfance. Bipolaire, schizophrène, démence… Aucun diagnostic n’a vraiment été établi, mais aujourd’hui âgé de 71 ans, John Randolph Hall vit dans un centre spécialisé. Une vie « de l’autre côté de la normalité » que sa célèbre soeur raconte dans un nouvel ouvrage intitulé Brother & Sister, qui sortira aux Etats-Unis le 4 février prochain.

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Dans ses mémoires, l’actrice de 74 ans explique que son frère a inspiré le personnage de Duane, le frère fou d’Annie Hall, dans l’incontournable comédie de Woody Allen (en 1977). Un rôle interprété par Christopher Walken. Diane Keaton confie avoir d’abord été proche de son petit frère, avant de finalement se consacrer à sa carrière : « Je me demandais pourquoi il pleurait tout le temps. Pourquoi avait-il peur de l’extérieur ? C’est bizarre ! » Leurs parents ont d’abord rechigné a demander l’aide d’un psychologue, à une époque où les problèmes de santé mentale étaient moins reconnus.

La star oscarisée ne cache pas avoir des remords quant à son manque de soutien dans sa jeunesse, d’autant que sa notoriété pourrait avoir compliqué cette situation familiale : « Je pense que c’est difficile pour quiconque d’avoir un frère ou une soeur parti à la conquête du monde et qui reçoit de l’attention. Je n’aurais pas aimé avoir une soeur comme ça. Personne ne veut être comparé. » Après avoir été marié un temps, John Hall a sombré dans l’alcool, avant d’être finalement interné à 65 ans pour démence. Depuis, Diane Keaton lui rend visite toutes les semaines : « Nous prenons des cônes à la vanille et marchons simplement pour découvrir des choses, explique-t-elle. Les murs qui maintenaient les gens à distance sont tombés. C’est comme s’il avait été libéré, j’ai pu le connaître d’une toute autre façon. »

et alii dit: à

un entretien de WA
I love Mel Brooks. And I’ve had wonderful times working with him. But I don’t see any similarities between Mel and myself except, you know, we’re both short Jews. That’s where it ends. His style of humor is completely different. But Bob Hope? I’m practically a plagiarist.
https://www.esquire.com/entertainment/interviews/a24203/woody-allen-0913/

hamlet dit: à

arrêtez d’insulter mon ami Pablo défenseur des Valeurs Universelles !

Pablo, ne les écoutez pas ! ils y connaissent en valeurs universelles comme le Beau, le Vrai, et le Juste !

Pablo !!! j’ai besoin de vos conseils parce que je suis en train d’écrire mon nouveau Grand Roman.

c’est l’historie du Covid19 écrit du point de vue d’un virus, car nous les Grands Ecivains, notre rôle est de donner la parole aux sans voix !

j’ai déjà trouvé le titre : « OSS C19 contre Dr DR »

le Dr R est un savant fou qui a inventé une arme de destruction massive : la CLORIKINE pour éradiquer tous les C19 de la surface de la terre.

Son labo est installé sur l’île du Frioul à Marseille c’est là qu’il mène ses recherches.

Pour mettre fin à cette folie meurtrière du Dr R. les virus nomment une unité d’élite ! pour pas avoir de problème j’ai fait un mixage, on a John un C19 type européen et homo, Kevin qui noir hétaro, Pamela d’origine hispanique lesbienne et Li nymphomane d’origine asiatique.

l’objectif de cette unité d’élite est de faire sauter le labo du Dr R. pour sauver leur espèce.

Pablo, vous en pensez quoi ? j’ai l’impression que je tiens là le prochain Goncourt ! c’est aussi votre avis ?

rose dit: à

christiane

merci à vous

rose dit: à

> DHH et Janssen JJ

« En mai 51, pour Paris Presse, Kessel suit aux assises de Melun le procès que la presse appelle « l’Affaire des J3. »
Depuis 1941, « J3 » désignait sur les cartes de rationnement les jeunes de treize à vingt et un ans. Mais on appelait aussi « J3 », dans l’immédiat après- guerre, des jeunes à la limite de la délinquance. « L’Affaire des J3 de Meaux » passionne la presse, désarçonnée, comme les magistrats, par la « jeunesse d’un nouvel après-guerre », selon l’expression de Jean-Marc Théolleyre dans Le Monde . »

je finirai demain matin, lien sur l’Affaire entre temps, page 22
http://quentinbidault.com/wp-content/uploads/2017/01/Le-J3-tragique-Q.-Bidault.pdf

Marie Sasseur dit: à

#un Européen lambda pourquoi la pensée subjacente à cette nouveauté teintée de moraline à 2 balles n’a réellement aucun sens.
C’est sûr que les abus sexuels sur enfants ça fait plus recette.

renato dit: à

Il y a les tribunaux pour les crimes et les délits ; il est cependant vrai que le lynchage sans jugement c’est un spectacle plus amusant.

x dit: à

3J le texte portant sur une interpellation mouvementée était extrait de Monsieur Jadis ou l’école du soir, d’Antoine Blondin.
Il ouvre le récit d’une série de nuits au poste, mais il serait plus exact de dire que la relation de ces événements encadre la narration des autres épisodes.
(Le récit d’ouverture, prétexte aux réminiscences du « remplaçant », s’arrêtait sans que l’on sût si le fuyard avait été rattrapé. Les dernières pages apportent la réponse : « … Je lui ai cédé ma place sur le banc. »)

renato dit: à

Vraiment n’importe quoi cette pauvre femme, et comme tous les minables elle falsifie les faits, car j’ai dénoncé le violeur d’un petit copain, et n’ai pas dit que Dylan Farrow était en mesure de se défendre. J’ai seulement rapellé une évidence — enfin, une évidence pour une personne evoluée.

Pablo75 dit: à

Marie la Chiasse vient ici tellement alcoolisée qu’elle est capable d’écrire que le nazisme est une idéologie criminelle du XVIIIe siècle dans laquelle Schiller et Beethoven ont trempé ou que les gens qui étaient des ados à la mort de Franco ont dû s’exiler bien des années plus tard parce qu’après le franquisme il y a eu en Espagne une dictature d’extrême gauche qui a fait fuir les franquistes, accueillis à bras ouverts par le gouvernement socialiste de Mitterrand.

Un délire qui ne peut provenir que de l’abus d’alcool… Ce sont, évidemment, les effets d’un cerveau qui flotte en permanence dans l’eau de vie. Une nouvelle crise de délirium tremens de notre Gregorette Samsa en direct sur ce pauvre blog, qu’elle prend comme cuvette de WC pour vomir ses insanités de cafard poivrot.

Tout cela parce qu’aucun mec n’a jamais voulu d’elle et qu’elle est obligée de vivre confinée et définitivement vierge dans un trou perdu de la France profonde.

D’où son besoin de se venger (surtout des autres femmes du blog) pour ne pas devenir complétement folle…

Pablo75 dit: à

Pablo, vous en pensez quoi ? j’ai l’impression que je tiens là le prochain Goncourt ! c’est aussi votre avis ?
hamlet dit

Formidable, ton idée du roman! Géniale, même! Vas-y, fonce tête baissée, Pétomane… – comme ça tu nous foutras la paix ici pendant quelques mois !

renato dit: à

Weinstein, reconnu coupable, a été condamné à 23 années de prison, comme il est juste qu’il soit.

Par contre, et pour le moment, la justice n’a pas trouvé crédibles les accusations portées contre Allen.

Pablo75 dit: à

Eh, Pétomane, tu ne défends plus ta dominatrice Gregorette Samsa, dont tu écrivais il y a quelques semaines que c’est une « Gladiatrice qui fait peur aux lions quand elle rentre dans l’arène »? Elle ne te plait plus, la Blatte Officielle du Blog? Trop faible à ton goût? Trop bordélique, trop chaotique dans ses idées? Mais ça ce n’est pas de sa faute, c’est l’alcool, son addiction aux alcools forts depuis son adolescence, depuis l’époque où elle a compris qu’aucun mec normal voudrait d’elle, vue sa tronche de cancrelat et son caractère de pétasse aigrie de bled paumé…

Pablo75 dit: à

Par contre, et pour le moment, la justice n’a pas trouvé crédibles les accusations portées contre Allen.
renato dit

Oui, mais qu’est-ce que c’est la Justice américaine comparée aux jugements d’une Blatte de Blog française?

Moco de pavo, comme on dirait en espagnol…

Pablo75 dit: à

Vraiment n’importe quoi cette pauvre femme, et comme tous les minables elle falsifie les faits
renato dit

C’est inutile de discuter avec les Blattes de Blog. Elles ne comprennent pas le langage humain. Il faut les écraser avec un bon coup de tapette à mouches…

Pablo75 dit: à

#le lynchage sans jugement c’est un spectacle plus amusant.
Typique des défenseurs de la pédophilie.
Marie Sasseur dit:

Donc, notre Blatte de Blog est pour le lynchage direct de tout suspect de pédophilie.

Quand elle est bourrée, Marie la Chiasse nous apprend plein de choses qu’elle pense mais qu’elle n’ose pas dire quand elle est sobre: que pour elle c’est clair que Beethoven était nazi, qu’après le franquisme il y a eu en Espagne une dictature de l’extrême gauche qui a fait fuir plein d’espagnols qui étaient des adolescents quand Franco est mort, ou que la Justice ne sert à rien dans les cas de pédophilie, qu’il n’y a pas de meilleure solution qu’un bon lynchage public de tout suspect de ce crime, sans s’encombrer d’investigations de la police et du travail des juges. Une pensée de Fasciste pure et dure, d’ailleurs.

Le portrait de la vraie Gregorette Samsa se précise…

Ed dit: à

JJJ
Note de TTLT bien évidemment. Ravie que ma chronique vous ait plu, mais je le serais encore plus si elle pouvait vous amener à lire ce joli roman.

rose,
Je vous ai confondue avec cricri hier, sans trop savoir pourquoi. Bref, j’espère que vous lirez ce petit roman grâce à moi. C’est toujours pas plus grande satisfaction de blogeuse.

x,
Bravo à vous pour l’avoir relevé. Et bien figurez-vous que j’ai pesé mes mots. Je voulais bien évidemment dire que j’étais d’accord avec Sand, MAIS qu’en plus de cela je trouvais la formulation très belle. D’où le « sublime de vérité ». J’assume donc parfaitement la formule.

Ed dit: à

blogueuse

hamlet dit: à

Pablo : « C’est inutile de discuter avec les Blattes de Blog. Elles ne comprennent pas le langage humain. Il faut les écraser avec un bon coup de tapette à mouches… »

totalement insupportable ces comparaisons incessantes de personnes avec des insectes ou des cafards qu’on élimine en les écrasant.

quelqu’un a dit que ce blog a bien changé, sûr qu’à une beaucoup n’auraient pas laissé ce vocabulaire crypto fasciste qui fait référence aux années les plus sombres.

je pense que maintenant cela ne fait plus de doute pour personne que ce Pablo, soit disant amoureux de la Beauté et Défenseur des Valeurs Universelles, est un facho bas de plafond de la pire espèce incapable de compter jusqu’à 5 sans ses doigts.

on a beau essayer de se faire passer pour un amoureux du Beau et du Vrai, pour un Grand Défenseur des Valeurs Universelles, il arrive un moment ou ce foutage de gueule ne trompe plus personne.

montrer sa supériorité en humiliant et en traitant l’autre de cafard qu’il va écraser sous le talon de a sa botte etc… c’était le comportement typique des petites frappes de la milice qui tentaient de se venger par le moyen cette violence leurs complexes d’infériorité.

Pablo, je crois qu’il n’est pas utile d’en ajouter plus et vous planquer derrière Beethoven : tout le monde ici a bien compris qui vous êtes.

Marie Sasseur dit: à

Typique des défenseurs de la pédophilie:
Toujours déborder le sujet.

Par exemple, je soutiens, c’est de notoriété publique que depuis des dizaines d’années WA , serial copulateur, a été suspecté, et entendu par la justice, à propos de relations incestueuses avec l’une de ses filles qui essaye maintenant de faire rétablir la vérité; il s’est par ailleurs marié avec une autre de ses filles qui a aimé ça.

l’ordurier pablo du 75, alcoolique anonyme, franquiste réfugié à Paris aux frais de la République française et escroc de personnes vulnérables, va être surpris :ce ne seront ni des franquistes, ni des extrémistes qui viendront cueillir ce delinquant.
Non ce sera l’intervention de braves policiers.

Bonne journée

Marie Sasseur dit: à

16 juin 2020, 7h07

renato dit: à

Suite aux accusations de Dylan Farrow il y a eu une enquêté indépendante conduite par la clinique des abus sexuels sur enfants de l’hôpital de Yale-New Haven et les services sociaux pour les enfants de l’État de New York. Les auteurs de l’enquête de la clinique de Yale-New Haven ont conclu qu’il n’y avait pas eu harcèlement sexuel et ont avancé deux hypothèses alternatives pour expliquer les déclarations de Dylan : la première était que la fille, « vulnérable émotionnellement » et « marquée par une famille troublée », avait inventée son histoire influencée par le climat de tension dans lequel elle vivait ; la seconde, qu’elle avait été « endoctrinée ou influencée par sa mère ». Ça dans le proces pour la garde d’un enfant.

Si un procureur trouve des faits et des preuves qu’un juge acceptera, un proces pourra établir la vérité. Mais au point où nous en sommes, on peut toujours se tenir à la justice par presse interposée, c’est tellement plus chic.

16.6 — 8.38

DHH, dit: à

@Rose
je pense que vous avez lu les formidables reportages de Kessel sur sa couverture du proces si riches en portraits non seulement des accusés mais des adultes qui les entourent avec l’analyse de leur incompréhension et qui montrent aussi comment pèse en arriere plan le climat de l’apres-guerre au sortir de cette periode où la frontière entre qui était le bien et ce qui était le mal avait été si indécise
je suis curieuse de savoir si ces textes remarquables ont été retenus dans les volumes de la Pléiade

Lucienne dit: à

VIVE WOODY, VIVE ALLEN, VIVE WOODY ALLEN ET MERDE A BOUTMOL L’AVACHI PARTOUT

DHH, dit: à

@Rose
merci du texte en lien que je viens de découvrir
je viens de le survoler le texte ;j’y reviendrai .Cela a l’air très intéressant

et alii dit: à

ce que l’on trouve sur la toile sans chercher :merci pour les « circonstances atténuantes » des juges qui ont estimé mes pieds pelés(pp) qui n’étaient pas des angelures -ah les « anges qui ont de l’allure »- covidiennes ; mais je suis convaincue que vous n’avez plus rien à apprendre de personne , ou ne savez/pouvez plus rien apprendre de personne!
Ce que l’antisémitisme enseigne à la psychanalyse : une
puissance sombre au commande
Sarah Abitbol
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02341862/document
bonne journée

Janssen J-J dit: à

Contrairement à ce qu’on aurait pu penser (espérer), il ne semble pas que le port de la caméra corporelle sur chaque policier intervenant dans la rue en situation tendue (de MO ou en PJ-BAC) ait un quelconque impact inhibiteur sur la violence de leurs actes… C’est du moins ce que démontre et confirme une récente étude canadienne de ST & al., l’une des premières systématiques dans le genre.
https://nationalpost.com/pmn/news-pmn/canada-news-pmn/experts-say-not-enough-proof-expensive-body-cameras-will-reduce-police-violence
NB – de même qu’une caméra braquée sur son visage pendant le tripotage rageur de son clavier pour la rdl n’aura jamais amoindri l’expression visiblement hideuse de ses pulsions vindicatoires à l’égard des femmes pédophiles. D’après H. L., personne n’a jamais réussi à faire dévier le pente naturelle des lesbiennes haineuses de naissance.

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