de Pierre Assouline

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La République des livres
Totalement Woody sans en perdre Allen

Totalement Woody sans en perdre Allen

Allez savoir pourquoi ! on a toujours interrogé Woddy Allen sur ses rapports avec le cinéma, les enfants, les femmes, les enfants de ses femmes, le base-ball, les ailes de poulet mais jamais sur les relations qu’il entretenait avec la littérature. Or, bien qu’il ait toujours démenti sa réputation d’intello largement due à ses lunettes à monture épaisse, on se doute bien que l’imaginaire d’un tel artiste s’est aussi nourri de livres. Surtout lorsqu’on sait son aversion pour la réalité. Aussi en 2000 lui demandais-je un entretien à ce sujet à paraitre dans le magazine Lire.

Sa maison de production m’accorda royalement une heure lors de son passage à Paris. Passons sur ses tentatives avortées de critique littéraire :

« J’ai pris un cours de lecture rapide et lu Guerre et paix en vingt minutes : ça parle de la Russie ».

Une heure, c’est peu lorsqu’il s’agit de noircir une quinzaine de feuillets. Il me fallait trouver le moyen de vaincre sa réserve, sa timidité, son goût du retrait et d’aller directement à l’os sans passer par le gras des convenances. En chemin pour son QG parisien préféré du côté du faubourg Saint-Honoré (une suite à l’hôtel Bristol), en astiquant mon magnétophone, je me rendis compte que la cassette à l’intérieur contenait un long entretien que m’avait accordé Philip Roth à New York l’année d’avant. Or une ou deux de mes questions concernaient Woody Allen… Au vrai, j’aurais rêvé de les faire dialoguer tant ils ont de points en commun : la judéité, New York, un succès plus européen qu’américain etc ; mais justement, dans ces cas-là, ça marche rarement, les passerelles qui paraissent les plus évidentes car naturelles sautent aussitôt.

Dès que nous fûmes en présence, une assistante nous fit remarquer que nous étions habillés exactement pareils : même marques et mêmes modèles, jusqu’aux chaussettes et aux chaussures, mais pas tout à fait les mêmes couleurs. Ayant en mémoire l’une de ses réflexions métaphysiques (« J’ignore tout de l’au-delà mais j’emmènerais quand même un slip de rechange »), je craignais qu’il voulut vérifier plus avant notre incroyable concordance mais il s’en garda. La glace des présentations était rompue. Mais il fallait se dépêcher d’autant que la foule des confrères piétinait dans le couloir. Nous nous assîmes côté à côte. Je me lançai :

« Vous aimez Philip Roth ? – Bien sûr ! J’ai lu la plupart de ses livres. Pourquoi ? – Parce que lui ne vous aime pas – Ah… ».

Et j’enclenchai le magnétophone à l’endroit précis où l’écrivain m’avait parlé du cinéaste :

« Woody Allen n’existe que par la naïveté européenne. A ce stade-là ça en est touchant. Ses films sont vides, puérils… Pas le moindre embryon de pensée ni d’invention. Sa vision du milieu intellectuel est un cliché risible. Lui-même n’est pas un intellectuel mais un consommateur culturel pour la Fnac… Ne sait rien de la société qu’il évoque… Ne comprend rien à la manière dont vivent les gens car il ne les dépeints jamais… De la caricature ».

A mesure que se déroulait cette crucifixion sur canapé, Woody Allen, accablé, enfonçait sa tête dans ses épaules, triturant nerveusement un élastique ramassé sur la table jusqu’à le faire éclater à la fin. Il le prit dans le nez, ce qui le fit à peine sursauter tant il se trouvait encore dans cette torture il est vrai légèrement perverse. Il refusa de juger celui qui le jugeait, réitéra son admiration inconditionnelle pour le génie du romancier. L’entretien était lancé.

Woody Allen confia s’être mis à la lecture à son corps défendant vers l’âge de dix-sept ans, en un temps où il ne lisait que les satires tordantes de Max Schulman et les polars Mickey Spillane (on le comprend : En quatrième vitesse, grand souvenir entre autres enquêtes de Mike Hammer !) dans le seul but de séduire des femmes. Une activité doublement compulsive. C’est là qu’il s’imprégna à jamais de l’univers et de la grâce de Tchékhov, le maitre auquel il ne cessera de payer sa dette. On évoqua ce que son Intérieurs ainsi que Hannah et ses soeurs devaient aux Trois sœurs, et son September à Oncle Vania, le comique kafkaïen de ses films, la dimension borgésienne de Zelig, puis en vrac au sein de son panthéon littéraire les poèmes d’Emily Dickinson et de T.S. Eliot, le Flaubert de L’éducation sentimentale, le James Joyce d’Ulysse, Tourgueniev énormément, et naturellement Saul Bellow. Malgré cela, tous ses scénarios étant originaux, aucun de ses films n’a trouvé sa genèse dans un livre, ce qui ne l’empêche pas de devoir sa conception du récit à la littérature.

Vingt ans après cette rencontre, comment ne pas se précipiter sur son autobiographie Soit dit en passant (Apropos of Nothing,  traduit de l’anglais (États-Unis) par Marc Amfreville et Antoine Cazé, 540 pages, 24,50 euros, Stock), un passionnant récit au ton si vif, rapide, familier, dont la partie enfance&adolescence ressemble furieusement à un film de Scorcese, sans que cet élan ne se démente au long des 540 pages ! Ses femmes, ses films, sa musique, sa vie, quoi ! Sans oublier, et pour cause, « l’affaire » à laquelle il consacre un grand nombre de pages : l’accusation de « comportements inappropriés » avec la fille de sa compagne (Dylan, 9 ans) lancée par sa compagne Mia Farrow après qu’il eut rompu avec elle, et médiatiquement relayée et amplifiée par le journaliste Ronan Farrow, le fils de celle-ci. Le dossier est accablant pour elle, aisément vérifiable et d’autant plus convaincant que deux enquêtes l’ont déjà blanchi, qu’il rapporte les faits de manière dépassionnée – et que l’humour et l’autodérision n’en sont jamais absents, même là. Mais on s’en doute, il en faudra davantage pour désarmer ses irréductibles détracteurs qui veulent à tout prix le faire passer pour un violeur d’enfants. La critique de Libération est si systématiquement à charge qu’elle va jusqu’à reprocher à l’auteur du livre d’y être « égocentrique », ce qui est assez comique s’agissant d’une autobiographie !

Woody Allen y confie vouloir s’établir écrivain s’il ne pouvait plus être en mesure de filmer – et on imagine à quel genre d’empêchement il fait allusion, lui qui n’a pas pu sortir son dernier film dans son pays et a vu son autobiographie Apropos of nothing honteusement déprogrammée par Hachette USA à la suite d’une campagne de pressions et d’intimidations, avant d’être récupérée in extremis par une petite maison d’édition Arcade Publishing. 

Être Tennessee Williams ou rien ! Voilà le programme le cas échéant pour sa fin de parcours ici-bas. La fiction, il n’en a que pour elle. Car quel que soit le moyen par lequel il s’exprime, la réalité demeure son pire ennemi. Mais s’il réussit à citer deux grands héros de romans dans la toute première phrase (Holden Caulfied et David Copperfield), c’est pour solde de toute compte vis à vis de la littérature, avec sa fascination pour Hemingway lorsqu’il eut le coup de foudre pour sa petite-fille Mariel.

Ernest Hemingway était mon héros depuis que j’avais commencé à lire de la vraie littérature. Je peux ouvrir une page de n’importe lequel de ses livres et la poésie de sa prose me terrasse. Le jour où il s’est suicidé, je ne sais plus qui a appelé qui, mais Louise et moi nous sommes téléphoné pour partager notre chagrin. C’était au tout début de notre liaison. Ensuite, autour d’un verre, nous nous sommes mis à nous raconter de belles histoires de suicide. Elle préférait l’idée de se tirer une balle dans la tempe, moi d’enfoncer ma tête dans le lave-linge en choisissant un cycle complet (…) Le mythe Hemingway était si fascinant… »

Rien d’autre ou presque à propos de la littérature et des écrivains. J’allais oublier, mais pas lui, page 249 : l’éloge d’un certain Philip Roth…

(« Woody Allen au Festival de Cannes » photo Merlin ; « Philip Roth à New York le 15 septembre 2010″, photo Eric Thayer ; Tennessee Williams à Key West, 1981″, photo Nathan Benn ; »Hemingway dans un petit village de pêcheurs à Cuba » photo Alfred Eisenstaedt)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, documents, vie littéraire.

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commentaires

1 552 Réponses pour Totalement Woody sans en perdre Allen

D. dit: à

Moi je l’ai quitté hier hamlet ce blog après avoir été censuré. Alors on est deux,

Bien amicalement,

D.

Jazzi dit: à

« pas vrai greubou, je reste que pour toi mon amour ! »

Un vrai coeur d’artichaut cet hamlet. Avant, il ne jurait que par moi !

hamlet dit: à

tu peux dire – à pablo – que je suis en train d’écrire mon prochain grand roman, sur l’épidémie du C19, il sera écrit du point de vue du virus.

j’espère atteindre les 70 pages pour me rapprocher peu à peu de mon modèle Dostoïevski…

Pablo75 dit: à

Tu restes, Pétomane Ultracrépidarien, parce que tu es maso. C’est ça la clé de ta personnalité: tu adores qu’on te méprise, surtout en public. C’est Jean-Jacques Pauvert, je crois, qui disait qu’on oublie toujours, pour expliquer les relations entre les humains, le facteur SM.

Ta conduite ici lui donne totalement raison.

hamlet dit: à

D. c’est vrai ? alors là ça m’attriste ?

vous pensez revenir un jour ?

Jazzi dit: à

« Alors on est deux »

Moi qui croyait que 1 + 1 ça faisait 1 !

bouguereau dit: à

puisque tout le monde laisse Pablo m’insulter

dis lui des mots doux keupu..qu’il doit havoir l’oignon gros comme un doublon espagnol..il va vnir te manger dans la main..faut -tout- te dire

D. dit: à

J’ajoute que Pierre Assouline fait exprès de ne pas corriger la faute que je lui ai signaler, sinon ça l’obligerait à me remercier publiquement (merci, Cher D. etc..) ce qui lui serait insupportable.

hamlet dit: à

Jazzi dit: « pas vrai greubou, je reste que pour toi mon amour ! »

Un vrai coeur d’artichaut cet hamlet. Avant, il ne jurait que par moi !
 »

ouai, mais ça c’était avant Jazzi ! j’ai décidé de prendre un nouveau départ dans ma vie… avec greubou.

greubou dis-moi, tu aimes bien les Pétomane ?

bouguereau dit: à

le facteur SM

lpédro y çonne combien de fois..voilà des choses à lui dmander keupu

Lucienne dit: à

toujours aussi gââââââteux le boutmol avachi partout avec de plus en plus la même ritournelle… tu fais pitié grave… change de disque pépère le pisseux

Pablo75 dit: à

Moi je l’ai quitté hier après avoir été censuré.
D. dit

On t’a censuré quoi?

hamlet dit: à

D. dit: J’ajoute que Pierre Assouline fait exprès de ne pas corriger la faute que je lui ai signaler
 »

D. ça m’étonne pas de lui, en tout cas c’était une bonne raison pour partir !

tu penses que tu reviendras un jour ?

D. dit: à

hamlet dit: à

D. c’est vrai ? alors là ça m’attriste ?

vous pensez revenir un jour ?

Probablement pas, Hamlet.
À moins que ce blog soit un jour assaini par l’éviction de certaines commentatrices qui me sont devenues insupportables. Je pourrais alors prendre sur moi et revenir.

Jazzi dit: à

Le nouveau départ dans ta vie, ça sera avec Pablo75 et le facteur SM, hamlet. Tu choisis le S ou le M ?

Pablo75 dit: à

J’ajoute que Pierre Assouline fait exprès de ne pas corriger la faute que je lui ai signaleR,
D. dit: à

Tu m’étonnes qu’il ne veuille pas la corriger. Je crois qu’il se méfie de ton orthographe….

hamlet dit: à

greubou le pedro c’est pas le facteur qu’y sonne 2 fois, y sonne que faux, comme un piano mal accordé l’pedro.

même que quand y sonnait au début je croyais que c’était des acouphènes?

Janssen J-J dit: à

Je porte exactement les mêmes lunettes que woody allen sur cette photo. Voilà le conte auquel nous pensons avec mélancolie :
____
J’avais juré de laisser là les nonnes :
Car que toujours on voie en mes écrits
Même sujet, et semblables personnes,
Cela pourrait fatiguer les esprits.
Ma muse met guimpe sur le tapis :
Et puis quoi ? guimpe; et puis guimpe sans cesse ;
Bref toujours guimpe, et guimpe sous la presse.
C’est un peu trop.
Je veux que les nonnains
Fassent les tours en amour les plus fins ;
Si ne faut-il pour cela qu’on épuise
Tout le sujet; le moyen ? c’est un fait
Par trop fréquent, je n’aurais jamais fait :
II n’est greffier dont la plume y suffise.
Si j y tâchais on pourrait soupçonner
Que quelque cas m’y ferait retourner ;
Tant sur ce point mes vers font de rechutes ;
Toujours souvient à Robin de ses flûtes.
Or apportons à cela quelque fin.
Je le pretends, cette tâche ici faite.
Jadis s’était introduit un blondin
Chez des nonnains à titre de fillette.
II n’avait pas quinze ans que tout ne fût :
Dont le galant passa pour soeur Colette
Auparavant que la barbe lui crût.
Cet entre-temps ne fut sans fruit; le sire
L’employa bien: Agnès en profita.
Las quel profit ! j eusse mieux fait de dire
Qu’à soeur Agnès malheur en arriva.
Il lui fallut élargir sa ceinture ;
Puis mettre au jour petite créature,
Qui ressemblait comme deux gouttes d’eau,
Ce dit l’histoire, à la soeur jouvenceau.
Voilà scandale et bruit dans l’abbaye.
D’où cet enfant est-il plu ? comme a-t-on,
Disaient les sœurs en riant, je vous prie,
Trouvé céans ce petit champignon ?
Si ne s’est-il après tout fait lui-même.
La prieure est en un courroux extrême.
Avoir ainsi souillé cette maison !
Bientôt on mit l’accouchée en prison.
Puis il fallut faire enquête du père.
Comment est-il entré ? comment sorti ?
Les murs sont hauts, antique la tourière,
Double la grille, et le tour très petit.
Serait-ce point quelque garçon en fille ?
Dit la prieure, et parmi nos brebis
N’aurions-nous point sous de trompeurs habits
Un jeune loup ? Sus qu’on se déshabille :
Je veux savoir la vérité du cas.
Qui fut bien pris, ce fut la feinte ouaille.
Plus son esprit à songer se travaille,
Moins il espère échapper d’un tel pas.
Nécessite mère de stratagème
Lui fit. . . eh bien ? lui fit en ce moment
Lier. ..: eh quoi ? foin, je suis court moi-même :
Ou prendre un mot qui dise honnêtement
Ce que lia le père de l’enfant ?
Comment trouver un détour suffisant
Pour cet endroit ? Vous avez ouï dire
Qu’au temps jadis le genre humain avait
Fenêtre au corps; de sorte qu’on pouvait
Dans le dedans tout à son aise lire ;
Chose commode aux médecins d’alors.
Mais si d’avoir une fenêtre au corps
Etait utile, une au cœur au contraire
Ne l’était pas; dans les femmes surtout :
Car le moyen qu’on pût venir à bout
De rien cacher ? Notre commune mère
Dame Nature y pourvut sagement
Par deux lacets de pareille mesure.
L’homme et la femme eurent également
De quoi fermer une telle ouverture.
La femme fut lacée un peu trop dru.
Ce fut sa faute, elle-même en fut cause ;
N’étant jamais à son gré trop bien close.
L’homme au rebours ; et le bout du tissu
Rendit en lui la Nature perplexe.
Bref le lacet à l’un et l’autre sexe
Ne put cadrer, et se trouva, dit-on,
Aux femmes court, aux hommes un peu long.
Il est facile à présent qu’on devine
Ce que lia notre jeune imprudent ;
C’est ce surplus, ce reste de machine,
Bout de lacet aux hommes excédant.
D’un brin de fil il l’attacha de sorte
Que tout semblait aussi plat qu’aux nonnains :
Mais fil ou soie, il n’est bride assez forte
Pour contenir ce que bientôt je crains
Qui ne s’échappe ; amenez-moi des saints ;
Amenez-moi si vous voulez des anges ;
Je les tiendrai créatures étranges,
Si vingt nonnains telles qu’on les vit lors
Ne font trouver à leur esprit un corps.
J’entends nonnains ayant tous les trésors
De ces trois sœurs dont la fille de l’onde
Se fait servir; chiches et fiers appas,
Que le soleil ne voit qu’au nouveau monde ,
Car celui-ci ne les lui montre pas.
La prieure a sur son nez des lunettes,
Pour ne juger du cas légèrement.
Tout à l’entour sont debout vingt nonnettes,
En un habit que vraisemblablement
N’avaient pas fait les tailleurs du couvent.
Figurez-vous la question qu’au sire
On donna lors; besoin n’est de le dire.
Touffes de lis, proportion du corps,
Secrets appas, embonpoint, et peau fine,
Fermes tétons, et semblables ressorts
Eurent bientôt fait jouer la machine.
Elle échappa, rompit le fil d’un coup,
Comme un coursier qui romprait son licou,
Et sauta droit au nez de la prieure,
Faisant voler lunettes tout à l’heure
Jusqu’au plancher.
II s’en fallut bien peu
Que l’on ne vît tomber la lunetière.

Dans ce conte « Les lunettes », 2 histoires
se greffent l’une à l’autre :

celle qui justifie le titre
celle du châtiment qui suit le premier épisode.

Après 20 vers d’introduction, l’histoire commence :
Nous sommes au couvent, chez les nonnes :
« Jadis s’était introduit ….
Vous allez découvrir ce qui arrive à soeur Agnès…
dans un couvent de nonnes….Incroyable !
Le coupable : la soeur… jouvenceau !
La supérieure veut le démasquer…
La différence des sexes expliquée par La Fontaine…lisez !
Enfin, vous n’avez certainement jamais perdu vos lunettes de la façon décrite !
Bonne lecture !

(1)récompensé
(2) édentées
(3) fouet avec des peaux d’anguilles

Elle ne prit cet accident en jeu.
L’on tint chapitre, et sur cette matière
Fut raisonné longtemps dans le logis.
Le jeune loup fut aux vieilles brebis
Livré d’abord. Elles vous l’empoignèrent
A certain arbre en leur cour l’attachèrent
Ayant le nez devers l’arbre tourné,
Le dos à l’air avec toute la suite :
Et cependant que la troupe maudite
Songe comment il sera guerdonné(1),
Que l’une va prendre dans les cuisines
Tous les balais, et que l’autre s’en court
A l’arsenal où sont les disciplines,
Qu’une troisième enferme à double tour
Les soeurs qui sont jeunes et pitoyables,
Bref que le sort ami du marjolet
Ecarte ainsi toutes les détestables,
Vient un meunier monté sur son mulet
Garçon carré, garçon couru des filles,
Bon compagnon, et beau joueur de quille
Oh oh dit-il, qu’est-ce là que je voi ?
Le plaisant saint ! jeune homme, je te prie,
Qui t’a mis là ? sont-ce ces soeurs, dis-moi.
Avec quelqu’une as-tu fait la folie ?
Te plaisait-elle ? était-elle jolie ?
Car à te voir tu me portes ma foi
(Plus je regarde et mire ta personne)
Tout le minois d’un vrai croqueur de nonne.
L’autre répond : Hélas, c’est le rebours :
Ces nonnes m’ont en vain prié d’amours.
Voilà mon ma l; Dieu me doint patience ;
Car de commettre une si grande offense,
J’en fais scrupule, et fut-ce pour le Roi ;
Me donnât-on aussi gros d’or que moi.
Le meunier rit; et sans autre mystère
Vous le délie, et lui di t: Idiot,
Scrupule toi , qui n’es qu’un pauvre hère !
C’est bien à nous qu’il appartient d’en faire !
Notre curé ne serait pas si sot.
Vite, fuis-t’en, m’ayant mis en ta place :
Car aussi bien tu n’es pas, comme moi,
Franc du collier, et bon pour cet emploi :
Je n’y veux point de quartier ni de grâce :
Viennent ces soeurs ; toutes je te répond,
Verront beau jeu si la corde ne rompt.
L’autre deux fois ne se le fait redire.
Il vous l’attache, et puis lui dit adieu.
Large d’épaule on aurait vu le sire
Attendre nu les nonnains en ce lieu.
L’escadron vient, porte en guise de cierges
Gaules et fouets : procession de verges,
Qui fit la ronde à l’entour du meunier,
Sans lui donner le temps de se montrer,
Sans l’avertir. Tout beau, dit-il, Mesdames :
Vous vous trompez; considérez-moi bien :
Je ne suis pas cet ennemi des femmes,
Ce scrupuleux qui ne vaut rien à rien.
Employez-moi, vous verrez des merveilles.
Si je dis faux, coupez-moi les oreilles.
D’un certain jeu je viendrai bien à bout ;
Mais quant au fouet je n’y vaux rien du tout.
Qu’entend ce rustre, et que nous veut-il dire ?
S’écria lors une de nos sans-dents (2).
Quoi tu n’es pas notre faiseur d’enfants ?
Tant pis pour toi, tu paieras pour le sire.
Nous n’avons pas telles armes en main,
Pour demeurer en un si beau chemin.
Tiens tiens, voilà l’ébat que l’on désire.
A ce discours fouets de rentrer en jeu,
Verges d’aller, et non pas pour un peu ;
Meunier de dire en langue intelligible,
Crainte de n’être assez bien entendu :
Mesdames je… ferai tout mon possible
Pour m’acquitter de ce qui vous est dû.
Plus il leur tient des discours de la sorte,
Plus la fureur de l’antique cohorte
Se fait sentir.
Longtemps il s’en souvint.
Pendant qu’on donne au maître l’anguillade (3),
Le mulet fait sur l’herbette gambade.
Ce qu’à la fin l’un et l’autre devint,
Je ne le sais, ni ne m’en mets en peine.
Suffit d’avoir sauvé le jouvenceau.
Pendant un temps les lecteurs pour douzaine
De ces nonnains au corps gent et si beau
N’auraient voulu, je gage, être en sa peau
________________

D. dit: à

D. ça m’étonne pas de lui, 

c’est un comportement typique du Bélier. En tout cas.

D. dit: à

Pablo75 dit: à

Moi je l’ai quitté hier après avoir été censuré.
D. dit

On t’a censuré quoi?

Des considérations assez banales. Des réflexions sur la vacuité.

hamlet dit: à

D. dit: Probablement pas
 »

je comprends, du coup comme départ c’est définitif, et vous reviendrez plus jamais, même pas une fois.

Jazzi dit: à

Impressionnante colonne phallique, JJJ !

hamlet dit: à

D. dit: Des considérations assez banales. Des réflexions sur la vacuité.
 »

malheureux fallait pas ! la vacuité n’est jamais banale, demandez à Pablo !

closer dit: à

Ce n’est pas grave petit x. Si Woody Allen a emprunté cette blague à quelqu’un d’autre, il mériterait de l’avoir inventée.

Je note le « it’s about Russia » au lieu de « it involves Russia ». Cela sonne plus juste et correspond parfaitement à « ça parle de la Russie »…

hamlet dit: à

D. juste pour savoir, et là c’est vous qui parlez ou bien vous êtes déjà parti ?

D. dit: à

hamlet dit: à

D. dit: Probablement pas
 »

je comprends, du coup comme départ c’est définitif, et vous reviendrez plus jamais, même pas une fois.

Je suis Verseau ascendant Capricorne et donc pas du genre à revenir sur une décision prise. Adieu. Je n’en fous complètement, ma vie n’est pas dans ce blog, contrairement à d’autres.

hamlet dit: à

D. dit: Je suis Verseau ascendant Capricorne
 »

D. attendez !!! ça peut s’arranger ! quel décan ?

D dit: à

hamlet dit: à

D. juste pour savoir, et là c’est vous qui parlez ou bien vous êtes déjà parti ?

Je suis parti mais mon esprit est toujours là. Et il se manifeste.

D. dit: à

J’aime bien quand tu me vouvoies, Hamlet.
Ça veut dire que tu me respectes.

Pablo75 dit: à

Je suis Verseau ascendant Capricorne
D. dit

Je suis Gémeaux ascendant Vierge, pablo75.
D. dit: 28 juin 2018 à 19 h 43 min

Tu es plutôt Menteur asc. Multiple, plutôt…

hamlet dit: à

D dit: Je suis parti mais mon esprit est toujours là. Et il se manifeste.
 »

c’est bien ce que je craignais. si ça se trouve vous allez partir et lui va rester.

j’avais proposé à passou de faire exorciser son blog pour chasser tous les esprits qui restaient, histoire de faire le ménage, il n’a jamais voulu.

D. dit: à

Deuxième décan, premiére quinte.

hamlet dit: à

D. dit: J’aime bien quand tu me vouvoies, Hamlet.
Ça veut dire que tu me respectes.
 »

c’est vrai, effectivement je vouvoyais D. parce que je le respectais ! mais vous n’êtes pas D., mais que son esprit : pas question que je vouvoie un esprit !

partez d’ici sale esprit et faites revenir D. !!!

D. dit: à

Regardez-le l’autre avec ses fiches. Il tient des fiches, elles sont toutes fausses et il vient s’en vanter.

hamlet dit: à

D. dit: Deuxième décan, premiére quinte.
 »

désolé là c’est foutu.
quinte flush ?

D. dit: à

C’est vrai ce que tu dis, hamket, on dit « Esprit, es-tu là ? « . On le tutoie d’emblée comme un gamin. Pas normal.

hamlet dit: à

D. non, c’est même le contraire : il ne faut jamais tutoyer les esprits, même quand on croit bien les connaitre.

D. dit: à

Bon je vais faire des courses.

et alii dit: à

@P.Assouline,
vous vomprendrez, je n’en doute pas que je désire plus aucune interaction avec les erdélien-ne-s , cet article explicitant plusieurs liens que j’ai envoés encore aujourd’hui, et revenant sur des questions de tableaux (et un portrait de Bartok)
Sándor, Gizella, Elma : un voyage biographique
Emanuel Berman
https://www.cairn.info/revue-le-coq-heron-2003-3-page-20.htm

et alii dit: à

envoyés

et alii dit: à

que je NEdésire plus(refuse )

Janssen J-J dit: à

Je ne vois pas comment Il pouurait quelque chose à votre volonté de ne plus « avoir d’interactions » avec quiconque, d’erdélie.
Faites-vouis une différence entre « intellectuelles » et « sexuelles », s’agissant des interactions ? Savez-vous par ailleurs que la meilleure méthode est de consulter un « addictologue des blogs » qui peut lui-même vous couper et l’ordi et le sifflet ? Ou bien encore acheter P. Assouline pour qu’il demande à son robot d’éconduire toutes les interventions émanant de votre IP. On sait que telle n’est pas trop sa philosophie.
Savez-vous qu’aujourd’hui, j’ai découvert l’extrême sensibilité de ma basse-cour à la musique et à voix d’Aretha Franklin, et pas du tout à la 39e symphonie de Mozart. Dans le premier cas, mes gallinacés se sont arrêtés de picorer pour écouter, dans le deuxième, pas du tout. Étonnant, non ?…

NB / Y’a pas que les ânesses qui s’appellent Martine. Longue vie à Kniebolo, je le verrais bien sous ce patronyme en K., car il va vous en faire baver sous les cieux de Normandie… Bàv, et bonne chance quand même pour son élevage difficile.

Janssen J-J dit: à

Quelques mots au sujet de Graziella, le fameux roman d’Alphone de Lamartine dont on n’a pas parlé depuis longtemps à la RDL. C’est le moment où jamais, d’autant, pour raccord, que Woody Allen en avait eu un coup de cœur dans sa jeunesse et en pensa toujours beaucoup de bien.
Voici un résumé de l’intrigue (d’après mes fiches anciennes qu’il faudrai tsans doute réactualiser un brin) :

D’abord intégré à l’ouvrage autobiographique Les Confidences (Livres VII à X) en 1849, ce roman fut publié seul en 1852 et devint le livre le plus lu de son auteur. Lamartine y évoque l’Italie et surtout la région napolitaine, où il séjourna à deux reprises, d’abord durant sa jeunesse, en 1811 et 1812, ensuite en 1844, en compagnie de sa femme et de ses nièces. Reprenant certains thèmes chers au romantisme (l’ennui, le vague à l’âme des passions, la fougue et les idéaux de jeunesse, le voyage, l’harmonie de l’homme et de la nature), il y romance son premier séjour et dessine le portrait charmant d’une adolescente amoureuse, d’une « Ève naïve », meurtrie par l’abandon. Ce roman vaut surtout pour la description de la jeunesse romantique et pour la poésie pittoresque de ses descriptions, notamment celles de l’île de Procida, de la Naples populaire (l’astrico) et du Vésuve. L' »Épisode » de la tempête en mer reprend enfin habilement un véritable topos épique. Lamartine y exprime également son amour de la littérature romantique (il mentionne Corinne de Madame de Staël, Les Années d’apprentissage de Wilhelm Meister ou Les Souffrances du jeune Werther de Goethe, Les Dernières Lettres de Jacopo Ortis d’Ugo Foscolo) et avoue son admiration pour le Paul et Virginie de Bernardin de Saint Pierre, roman qui se trouve au centre du récit.

J’espère vous avoir bien remis tout cela en mémoire. Il risque en outre de tomber à la session de repêchage du bac.
Serviteur.

et alii dit: à

une réponse de Freud à ceux qui font blablabla:
« ] son homosexualité exige impérieusement un enfant et […] il porte en lui la vengeance contre la mère » (p. 336)

christiane dit: à

Voilà, ça commence comme cela le billet de Passou :
https://musee-surrealiste-18.skyrock.com/3240345491-La-reproduction-interdite-Rene-Magritte.html

« nous étions habillés exactement pareils : même marques et mêmes modèles, jusqu’aux chaussettes et aux chaussures, mais pas tout à fait les mêmes couleurs. […] je craignais qu’il voulut vérifier plus avant notre incroyable concordance mais il s’en garda. La glace des présentations était rompue. »

Ça m’est revenu après et pourtant « il existe certains doubles qui sont des signatures du réel. » C’est Clément Rosset qui le dit. Puis il parle de la peinture surréaliste. J’ai alors pensé à Magritte. Comme un miroir qui renverrait l’image d’un autre, si semblable et dissemblable.
Donc Passou dresse un portrait de l’homme au livre un peu à la façon de ce bandit chinois qui, dans Le Lotus bleu sous prétexte de photographier Tintin et Tchang, dirige sur eux une mitraillette. Tintin (reporter) qui ne manque jamais de répartie lui lance : « Haut les mains, bandit, ou je vous photographie à bout portant ! » (Son révolver lui servant d’appareil-photo)
Redoutable Passou avec « cette envie continuelle de passer dans l’autre » Là, c’est J-L.Giovannoni dans son recueil Les mots sont des vêtements endormis, ajoutant quelques pages plus loin « Tout regard est un fermoir ».
Ce billet censé présenter les mémoires de Woody Allen est plein d’énigmes, et d’une certaine violence par témoin interposé (Roth)…

Marie Sasseur dit: à

Bouh, le pauvre Passou s’il comprend quelque chose a ce taré.
Bientôt il va se retrouver cuit sur canapé.

Jazzi dit: à

Non, Christiane, j’imagine plutôt un face à face entre Passou et Woody…

Marie Sasseur dit: à

« habillés exactement pareils : même marques et mêmes modèles, jusqu’aux chaussettes et aux chaussures, mais pas tout à fait les mêmes couleurs. »

Et sans slip, donc.

Jazzi dit: à

« nous étions habillés exactement pareils : même marques et mêmes modèles, jusqu’aux chaussettes et aux chaussures, mais pas tout à fait les mêmes couleurs. […] je craignais qu’il voulut vérifier plus avant notre incroyable concordance mais il s’en garda. La glace des présentations était rompue. »

On veut voir la photo, Passou !

Clopine dit: à

Euh, les « énigmes » du billet ? Il est au contraire d’une limpidité sans égale, et sans aucune aspérité. Soupir.

Jazzi dit: à

« Et sans slip, donc. »

On ne sait pas, Marie, Passou affirme qu’aucun pantalon n’a été baissé…

Jazzi dit: à

Ce qui aurait été intéressant à noter, à partir de la photo en couleurs, c’est les différences de ton de l’un à l’autre !

christiane dit: à

Jazzi dit: « Non, Christiane, j’imagine plutôt un face à face entre Passou et Woody… »

Tu réagis trop vite, Jazzi. Chaque mot de Passou est choisi avec soin. Réfléchis au Magritte, à la citation d’Hergé et aux autres… Je ne vais quand même pas te mettre des sous-titres…

christiane dit: à

Extrais de l’entretien Pierre Assouline / Woody Allen :
W.A. Ah bon. Essayons de voir en quoi il a raison et en quoi il se trompe, car il se trouve que je l’admire et que je le considère comme un grand écrivain, l’un des plus excitants. C’est pourquoi j’aurai toujours tendance à douter de sa perspicacité et à la mettre à l’épreuve pour voir si elle tient le choc face à la vérité. Je suis d’accord avec lui sur un point au moins: rien de ce que j’ai fait ne relève d’un travail intellectuel, je n’ai rien d’un intellectuel et je n’ai jamais tenté de l’être. C’est un malentendu entre le public et moi.

Qu’êtes-vous alors?

W.A. Un comédien de night-club devenu cinéaste.

Et vos personnages?

W.A. Quand Roth dit qu’ils ne vivent pas la vraie vie, il a peut-être raison. Je n’en sais rien. Quand j’écris des films, j’essaie d’être drôle et non de refléter le véritable style de vie des gens. Je me demande si ça va fonctionner ou pas. Au-delà, ce n’est plus de mon ressort, ça m’échappe. Le fait est que des millions de gens dans le monde s’y reconnaissent, mais pas les Américains. C’est là un paradoxe que je n’explique pas. Dans mon pays, mon public est extrêmement réduit. Alors qu’en Europe je suis accueilli comme une star. Peut-être est-ce la vertu du doublage: grâce à une autre voix que la mienne et à la traduction, ce que je raconte serait enfin compréhensible…

Mais vous trouvez que Roth est dur avec vous?

W.A. Je ne sais pas. J’ai trop le nez dessus pour comprendre le phénomène. Je n’ai pas de recul. Je ne suis pas qualifié pour juger son point de vue. Car je me situe dans l’angle mort. J’ai trop de respect pour lui pour le démentir comme ça. Mais les gens vont-ils au cinéma pour retrouver la réalité? Il doit y avoir dans sa critique quelque chose de plus profond que je ne perçois pas. Il a souvent écrit sur la condition du Juif ou dans un environnement juif. Moi aussi. Mais je n’ai pas l’impression que nous soyons tellement éloignés sur ce sujet. Philosophiquement, je crois même que nous partageons les mêmes idées, même s’il est capable de réaliser en artiste une œuvre plus accomplie que je ne saurais le faire. »

Jazzi dit: à

Qu’on le veuille ou non, nous sommes tous inscrits dans le roman infini de la RDL !
Pour la nuit des temps…
Mais qui touche les droits ?

christiane dit: à

Extraits

bouguereau dit: à

Pour la nuit des temps…

un orage solaire et on en parle pus baroz..dédé touche pipi

bouguereau dit: à

les différences de ton de l’un à l’autre !

dans sa jeunesse une technique a dla patine baroz..je parle de la ‘photo’ couleur..ce qu’au début les contemporains dévalorisent..pour les débuts du numérique c’est déjà en route

Marie Sasseur dit: à

Extrait, un autre:

W.A. Quand je me suis mis à sortir avec elles, comme elles étaient généralement cultivées, il fallait que je me mette au niveau. C’était le seul moyen de parvenir à mes fins. Or, je n’aimais que les bandes dessinées. Alors j’ai dû lire de vrais livres, de plus en plus.

La technique de drague, du vieux reloud. Presque aussi pire que castaner, dans le genre motodidacte.

bouguereau dit: à

C’est vrai ce que tu dis, hamket, on dit « Esprit, es-tu là ? « . On le tutoie d’emblée comme un gamin. Pas normal

hum..les ‘esprits’ pour les spirite..c’est a dire cqu’ils ont grippé aux rligions tradis..surtout ceux qu’on peut sommer..sont « intramondain » dédé..et de seconde classe..des genres d’esprit d’vin..dailleurs on les enferme assez bien dans des bouteilles

bouguereau dit: à

tu vois dédé..c’est cque pratique de manière rabougri térezoune..dla magie façon tf1..des poupée de son avec des toupets dsa vieille laine..ils sont a sa pogne et elle les bugnes

Jazzi dit: à

« La technique de drague, du vieux reloud. Presque aussi pire que castaner, dans le genre motodidacte. »

Pas faux, MS.
Reste à savoir si Castaner n’est pas un pur intello ?
Les flics le détestent…

et alii dit: à

l’info que vous ne me communiquerez pas:
Pour illustrer la conversation de la dernière séance à propos de la traduction, voici la vidéo évoquée alors, un texte de Fernando Pessoa dit en trois langues par Maria de Medeiros filmée par Paul Ouazan pour Arte Cinéma :
et
Par ailleurs, en préparation des prochaines séances, où il sera question de la lecture de Pascal par Heidegger, voici un long paragraphe des Cahiers noirs intitulé « Pascal », à lire ici:
« Pascal » par Heidegger
chez zagdanski parole des jours

]

Patrice Charoulet dit: à

NOS FORCES DE L’ORDRE

Personne dans ma famille n’est gendarme ou policier. Pourtant depuis quarante ou cinquante ans, je soutiens , chaque jour , et pas seulement après un attentat terroriste, nos forces de l’ordre. Les forces de l’ordre françaises. Pas leurs homologues des Etats-Unis. Ces dernières ont d’ailleurs une particularité importante : elles varient d’un Etat à l’autre, d’une ville à l’autre. Il y a mille polices nord-américaines. Je n’ai pas d’avis sur mille polices.
Si je soutiens, chaque jour et avec une belle constance , nos forces de l’ordre, ce n’est pas pour des raisons familiales, mais après y avoir mûrement réfléchi
Les prétendues « violences policières » françaises m’ont toujours laissé perplexe. Policiers et gendarmes doivent, de par la loi, utiliser la force, quand cela est nécessaire.
Je suis de temps en temps scandalisé qu’on nous montre une vidéo où un policier donne un coup de matraque à quelqu’un, sur l’air de « encore une violence policière ». On devrait nous montrer à la télé tous les jours les violences commises par des criminels, des délinquants, des manifestants contre nos policiers.
Sans oublier les blessures qui leurs sont infligées.Les deux ministères concernés devraient envoyer toutes leurs vidéos à toutes les télés en les priant d’informer un peu plus sérieusement les Français.
J’ai dit pourquoi je n’utilise jamais les mots « violences policières » (françaises). En revanche,’aimerais vivement entendre à la télé comme à la radio « violences manifestantes ». Pas un seul jour, un an durant, je n’ai eu la moindre indulgence pour les violences commises par les manifestants en jaune (ou en noir). Et le pouvoir actuel pourrait au moins avoir un peu de reconnaissance pour les gens qui l’ont sauvé !
Je redis que demander ses papiers à quelqu’un, même plusieurs fois par mois, n’est ni une violence policière ni du racisme. Il ne faut jamais mal nommer les choses.
Je redis au passage aussi que je suis très hostile à tous les racismes, les vrais racismes.
Vive la police française !
P.-S. Il a refusé, mais il faut lui redemander. « Monsieur Frédéric Péchenard, auriez-vous la gentillesse de bien vouloir devenir ministre de l’Intérieur, pour remplacer M. Castaner, qui a été une erreur de casting ? » Cette nomination sera bien accueillie par tous les policiers français, qui, je le certifie, ne vont pas jeter par terre leurs menottes à cette nouvelle.

et alii dit: à

Tests Covid-19 : révélations sur un nouveau scandale sanitaire
la conclusion:, pour des raisons troubles, des tests – remboursés par la sécurité sociale – dont on savait qu’ils étaient peu voire pas fiables, ont été mis en vente. Plus précisément, cela signifie que depuis trois semaines maintenant, des personnes qui pensent ne pas avoir le Covid puisqu’elles ont été testés négatives, l’ont probablement…
https://www.lemediatv.fr/emissions/2020/tests-covid-19-revelations-sur-un-nouveau-scandale-sanitaire-dEdPMI_qTcuDGwxrmVU7Sw

hamlet dit: à

c’est dommage, Woody Allen n’aura jamais réalisé une adaptation d’un roman de Philip Roth.

son prochain film peut-être ? je l’espère, ça donnerait une dimension nouvelle à Roth, ça lui enlèverait ce côté « coincé / parapluie dans le fion / l’insoutenable lourdeur de l’être ».

il aurait dû de la sophrologie : même sur les photos on le sent crispé, comme quand on le lit.

et alii dit: à

un entretien et une critique de w.allen sur tablet
« So we are talking about enormous inner strength and self-belief, and it doesn’t seem to make a lot of sense in someone who plays the ultimate schlemiel, fearful of bugs, elevators and germs, who seemed to be afraid of his own shadow. Yet he is all of these things. John Lahr said of Chaplin and Woody Allen: “Both are comic geniuses who give life without actually loving it.” And in truth, Allen seems like a pretty somber, staid guy, but he is not unknowable. His daily pattern is predictable. He’s quite reserved and proper in his speech; boldness is reserved for his writing. He once had a lightning speed; now he has reached the melancholy stance of later age. That melancholic strain is especially noticeable in his public interviews; it was not present in my meeting with him.
Another friend commented, “There’s never a feeling of guilt with Woody; it’s always you who are at fault and it’s your responsibility. He never feels he has any complicity in the situation. He is the guiltless. So you always have to live up to the standard that he sets for people to abide by, according to what he deems to be the ideal. And there’s a secret haughtiness; that he’s superior to others. He riled his mother up constantly. He would certainly seek to provoke her. But he was very good to his mother and father. Look, like most people in the world, he has admirable qualities and some features that are not so pleasant.”

So we are not talking about a pussycat. “There’s something self-loathing about Woody,” screenwriter Gary Terracino, who seems to live with Woody in his head, told me.
. So he walked away from Mia even with the kids. He squashed her like a bug without barely noticing it. Before that he walked away from being a red hot TV writer. He was really popular on the talk-show circuit. He ditched that. Then he wanted to be a writer/director/producer. He walked away from success after success. At the time he was with Mia, he’d become this cuddly warm and fuzzy bear. At that point he was a titan of the indie scene and of what mainstream Hollywood filmmaking could achieve. And he blew that up. When a nearly 60-year-old man runs off with his 19-year-old stepdaughter—this is a guy who’s self-aware, who’s been in analysis his whole life and insists that his young children be in analysis—he’s well aware that this is a big fuck-you to people. He was a little too warm and fuzzy
https://www.tabletmag.com/sections/arts-letters/articles/woody-allens-biographer-tells-all

janssen J-J dit: à

Une fois de plus, bien vu, jzman… les meilleurs d’entre nous, qui ne sont plus là… Quand on pense par quoi ils ont été remplacés !!! Mon dieu, tout va toujours de mal en pis…

@ PC. Surtout pas Fred Pechenard, grands dieux, un sarkozyste pur sucre qui n’a jamais rien compris au film de la police au quotidien et n’a jamais rien compris à la police en général (de l’ordre ou du renseignement) en dehors de la seule police judiciaire supplantée par la PST, une PJ qui ne prend sa part de boulot que dans un ordre de 5% du job de la PN. Qu’est-ce que le polar et les séries ont pu mythologiser leur boulot !… Et fait encore rêver les gentils profs de l’EN bien propres sur eux, mais sans vouloir aller se salir avec eux !… Blogueurs d’escouades de volti(bil)geurs, remember Malik, au moinsse, où ce pays s’est déshonoré une fois de trop !)… https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Malik_Oussekine
J’suis écœuré par tant de niaiseries !…
On accable un « premier flic de France » sémillant et maladroit qui doute pour un fois en « présomption de racisme » des siens (et personne ne lui a appris ce qu’était la technique du ‘profilage racial’). Sans vouloir mobiliser les mânes du préfet de Paris en 68, on lez préfèrera toujours à feux le duo des perdreau et des ricard de 86 ! Hein !

et alii dit: à

suite
« No comic star—or any star—has made such repeated references to the Holocaust in his work except Allen—not remotely. He is the most identifiable, brazen and forthright Jewish artist in the world. It almost strains credulity that a Jewish film star who placed his Jewishness front and center and audaciously proclaimed it, who expressed his preoccupation with anti-Semitism and the Holocaust, could capture the imagination and beguile a wide universal audience has Allen has done.

***

After I finished my biography, there were the inevitable friends, strangers and acquaintances coming out of the woodwork with additional stories about Allen that amplified and confirmed my portrait of him. (I am quoting several of them in this piece.) With little capacity for joy in life, as he says of Harry Block in Deconstructing Harry, writing saved his life. He has said that he has no idea what he would have done in life if he hadn’t been a comedian and writer. He suggested two possibilities if he hadn’t been an artist: He might have been a messenger boy (as his father was in later years for Woody’s manager, Jack Rollins) or a towel-room attendant. My friend Judy Liss

et alii dit: à

est- ce que ça explique tout :BAROZZI etc ?
I have more than a strong feeling that Woody did not want me to portray him in my book as “too Jewish.” That attitude is not confined to today. It is an attitude that can be traced back to the early movie moguls, refugees from Nazi Germany, who banned Jewish-looking actors from their films, made them Italians (John Garfield, Paul Muni) or even Native Americans (Maurice Schwartz, the great Yiddish actor, was cast as Geronimo). Today it still can be seen as a protective gesture. I have met countless Jewish figures in the business who talk, act and sound Jewish but who prefer, for box-office or image reasons, to curb their enthusiasm in public about Jewish matters, particularly Israel.

B dit: à

Charoulet, c’est qui ce Pechenard, ça fait un peche anar, pensez vous qu’avec un nom pareil il soit possible d’être à l’intérieur?

B dit: à

Castaner,c’est les espadrilles de luxe très connues des femmes, les petites surtout car la marque propose du talon haut, de la semelle compensée, du confort.

et alii dit: à

POUR CEUX QUI DEMANDENT TOUJOURS « QUI »
The figure that haunts Crimes and Misdemeanors is Dr. Louis Levi, a character, Woody told me, who is a composite of Primo Levi, a Holocaust survivor, and Dr. Martin Bergmann. Dr. Bergmann had a notable career as an outstanding psychoanalyst whose primary work was with Holocaust survivors and their children. He had taught for many years in the postdoctoral program in psychoanalysis at New York University. His father, Hugo

et alii dit: à

où on retrouve la « littérature »
His father, Hugo Bergmann, was a noted philosopher in Prague, a close friend of Kafka and Martin Buber, after whom Martin Bergmann was named. He emigrated to Palestine in 1920 because of anti-Semitism and became a professor at Hebrew University. After Israel was declared a state, he was elected the first rector of the university. It is Dr. Bergmann who portrays professor Levi. The words of Levi/Bergmann/Allen are spoken periodically by Dr. Bergmann through the film on a flickering screen.

et alii dit: à

The first time I visited Dr. Bergmann for an interview, he was ill and my appointment was rescheduled. On my second visit, before I could see him he was again taken ill, and he died later that day. Several weeks later I met with his widow, Dr. Maria Bergmann, who was 95, and their son, Michael Bergmann, a screenwriter, director and producer. “My husband was at first dismayed by [professor Levi’s] suicide,” she told me. “Woody came and talked to my husband here. Woody let him speak his own words at the film’s conclusion because my husband said that the final words of the film had not really represented his views. And so there are a few words at the very end which are completely my husband’s. Those words replaced what Woody had written before. Woody allowed them to stand.

“One scene was supposed to take place [with] my husband and Woody walking in the park. But it never took place. Because Martin, who was much older, felt fine. But Woody Allen was cold. So that scene never took place.”

et alii dit: à

parce que j’ai quelque raison de croire que P.Assouline me « soupçonnait « capable » d’ajouter ces précisions sur »allen et la littérature », je tiens à le remercier de m’avoir laissée cette « chance » ;merci ,P.Assouline

Pablo75 dit: à

et l’historie de l’Inquisition par Mal Brooks dans le rôle de Torquemada ça c’est le top
hamlet dit

Voilà ce qui confirme le masochisme inguérissable du Pétomane…

Marie Sasseur dit: à

#parce que j’ai quelque raison de croire que P.Assouline me « soupçonnait « capable » d’ajouter ces précisions sur »allen et la littérature », je tiens à le remercier de m’avoir laissée cette « chance »
Dr Lecter.

La chance de ce lien ?
https://www.tabletmag.com/sections/arts-letters/articles/woody-allens-biographer-tells-all

C’en est une.

J’hésite entre le considerer comme une relecture sioniste de l’oeuvre de WA, ou la mise à nu d’un arriviste…

Marie Sasseur dit: à

Dimanche, 14 juin 2020, 8h01

Marie Sasseur dit: à

#Je redis que demander ses papiers à quelqu’un, même plusieurs fois par mois, n’est ni une violence policière ni du racisme. Il ne faut jamais mal nommer les choses.
Je redis au passage aussi que je suis très hostile à tous les racismes, les vrais racismes.
Vive la police française ! »
Charoulet quand il était petit, il applaudissait le maréchal, et today, il applaudit maréchal, la petite dernière,- une bâtarde-, du clan de Montretout.

Marie Sasseur dit: à

WA n’a pas pu sortir son dernier film aux US.
Là-bas ils ne plaisantent plus avec les « soupçons avérés « .
Mais un accord a été trouvé.

« The Jeff Bezos-founded studio and the Oscar-winning director filed paperwork late last night ending the nearly year-old legal action. Terms of the settlement were not disclosed, but sources close to the situation tell me, “there were no winners in this in the end.” »

https://deadline.com/2019/11/woody-allen-amazon-reach-settlement-in-69m-lawsuit-from-manhattan-director-1202782115/

renato dit: à

Vincenzo Galilei : théoricien, luthiste, compositeur, chanteur ; père de Galileo : mathématicien, géomètre, physicien, astronome et de Michelangelo : compositeur et luthiste.

Vincenzo Galilei, The well-tempered lute :

https://youtu.be/A1uvffo2bPs

Laura Delair dit: à

j’aime beaucoup la signature de jacques chesnel

et alii dit: à

sur mes pieds qui pelaient, j’ai mis du lait parce que ça rimait;le lai d’anesse est bon pour le fitness, mais le petit k serait furieux et jaloux de moi; o mon égo , inspire moi une rime super, mon garçon de café (hamlet)pourrait sonner les pères

et alii dit: à

excuses, c’est hamlai

et alii dit: à

with an Arciliuto in a, single strung, played without nails. michelangelo!
j’ai cherché ma lime en carton :des clous je ne l’ai pas trouvée sur le cloud ;juste la maladie de lyme , une maladie qu’on attrape dans les bois;je suis aux abois ; j’appelle avec ma trompette wawa h,h,lla double woody, qu’on m’entende jusqu’aux cieux ,et réveille DIEU pour mouah, son poète du dimanche,je sens que je vais faire la manche depuis Calais avec mes lais (DE LA MUSIQUE
AVANT TOUTE CHOSE…
Comme nous l’espérions tant, nous serons en mesure de vous proposer un week-end musical à la Grange de Meslay les 22 et 23 août prochain ! Vous trouverez les détails de ce rendez-vous, plus bas sur cette page.

Alexia Neuhoff dit: à

Que Janssen me permette cette innocente question : à votre avis, est-ce que, en ce moment, la police charge trop ?

et alii dit: à

mais un consommateur culturel pour la Fnac
O.K., mais moi, je n’encaisse pas (les coups) j’engrange!

et alii dit: à

CNRTL
B.− Au fig. Mettre en réserve pour un usage ultérieur. Engranger des documents. D’instinct, j’aime acquérir et engranger ce qui promet de durer au delà de mon terme (Colette, Naiss. jour,1928, p. 8):
Il lui semblait qu’on renonçât d’un coup au fruit de toutes les belles relations avec des gens bien posés, qu’avaient honorablement entretenues et engrangées pour leurs enfants les familles prévoyantes… Proust, Du côté de chez Swann,1913, p. 21.

Patrice Charoulet dit: à

à Marie Sasseur,

Vous me calomniez doublement. Je suis gaulliste depuis un demi-siècle. Quelle mouche vous pique de me sortir Pétain.
La nièce Le Pen n’est, strictement parlant, rien. On ne lui tend un micro que parce qu’il y avait « Le Pen » dans son nom de famille;
Vous détestez la police, Madame ?
Chacun voit midi à sa porte.
J’ai mille raisons de l’honorer et de la soutenir.
Et je continuerai, ne vous déplaise.

et alii dit: à

je dois à HAMLAI à propos de kangourou ceci sur Marceau dont j’ai connu un « ami » peintre:
Marcel Mangel est moniteur de théâtre à Montintin (Haute-Vienne) et à la maison d’enfants du couple Hagnauer à Sèvres, un internat qui cachait des dizaines d’enfants juifs, où il est connu sous son nom de totem : « Kangourou »5. Yvonne Hagnaeur recevra le titre de Juste parmi les Nations en 1974.

Le père de Marcel Mangel est déporté depuis la gare de Bobigny dans le convoi n° 69 du 7 mars 19446 et meurt à Auschwitz.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…dimanche 14 juin 2020 à 13 h 17 min.

…rien écrire, c’est mieux, le silence,…est d’or.
…de toutes façons tout se sait, au pire; l’espace infinie qui nous laisse tout deviner,…

…écrire pour freiner, ou bloquer; les dures réalités des rêves des gens.

…vive l’indépendance des gens,!…au possible.
…texte personnel de vendredi déjà,!…

Janssen J-J dit: à

@ AN / « est-ce que la police charge trop ? »
Trois termes problématiques à mes yeux… POLICE (nom commun) ; CHARGE (verbe) ; TROP (adverbe pour excessivement ?)
Reprenons chacun d’eux

1/ LA POLICE ? quelle police ? la police du maintien de l’ordre (MO) des CRS et des forces mobiles ?… qui n’ont rien à voir avec les « police du renseignements », la « police judiciaire », du secours, du roulage, etc.)

2/ charge ?

Charger ? Que veut-on dire par ce terme ? 2a ! Charge offensivement ? (avec le sous entendu : gratuitement et violemment sans justificatif de légitime défense ?) contre des protestataires qui n’arrivent plus à faire bloc dans une manifestation publique autorisée, alors que des signes de perturbations violentes et déstabilisatrices ont été constatés ?
ou Charge « défensivement » durantune phase de « retrait ou de repliement », quand le rapport numérique entre les protagnistes est estimé défavorable à tel momenet ou à tel endroit ?

3 / trop ?
En ce moment ?… Raisonnonss par un jugement de valeur… Non, pas plus qu’à d’autres moments plus tendus de l’histoire du MO dabns ce pays depuis 1945…
Tout est dans le discernement des commandants des forces in situ, qui tiennent au courant les autorités sommitales (Préfet de Paris) et lui obéissent quand elles leur commandent de faire ou de ne pas accolmplir tel type d’action. Les troupes demandant à avoir des ordres clairs et précis. Le préfet (et son cabinet) tient lui même au courant depuis le QG de permanence les autorités politiques (ministre et Exécutif… qui peuvent ou non lui donner en retour des consignes en fonction de l’évaluation politique de la situation du moment)… Tout est dans l’analyse synchronique et diachronique de ce que les spécialistes appellent la négociation préalable du chèque en gris »

La question de « charge trop » se résume à des policiers des CRS qui, au moment d’une dispersion mal encadrée, peuvent se lâcher seuls ou en petits groupes, après une très forte tension psychologique, et se laisser ainsi aller à de la vengeance violente sur un ou plusieurs protestataires non choisis qui lui/leur tombent « sous la main », qu’ils soient de couleur ou non (mécanismes de décompression toujours lu comme « cause exonératoire » de resposabilité par l’IGPN ou l’IGGN, en dépit du visionnage des images).
Les policiers du MO savent être de plus en pus souvent filmés par les protestataires, ce qui peut les retenir d’actes plus graves… Mais aujourd’hui l’émotion médiatique montée en épingle et en boucle est à son zénith, alors que par le passé, on s’accommodait plus de la violence intrinsèque au MO parce qu’on la voyait moins. On ne peut pas en inférer qu’elle soit différente de nature, bien au contraire. Je pense même qu’elle est infiniment mieux canalisée et analysée qu’autrefois…
Les « sanctions » des « fautifs » sont un tout autre enjeu, analytiquement très différent, de mon point de vue.

J’ajoute que si d’aucuns accomplissent des actes vraiment violents -et c’est indéniable-, c’est généralement le fait (sociologiquement) d’agents peu formés ou formés trop rapidement, en fonction des besoins politiques d’une offre de mobilisation de policiers sur des fronts très différents… qui n’avaient pas cette vocation originelle… D’où un moindre contrôle de leurs pulsions individuelles par les encadrants, de leurs faits et gestes déviants… etc…

En résumé, ma réponse à votre question est NON, et ce n’est que celle d’un citoyen lambda, un brin connaisseur. Qui ajoute : OUI, les techniques du MO sont à revoir de fond en comble dans « la police dédiée » en France.

Quant à la question du « racisme », je n’y réponds pas, vous ne me la posez pas. Juste à dire qu’elle doit être dissociée des techniques du profilage racial dans des opérations « coup de poing » qui n’ont rien à voir avec le MO.

(NB/ J’ignore si tout cela est assez clair. Je ne joins pas mes liens pour approfondir. La RDL n’a pas cette vocation de se faire de la pub gratuite, surtout quand elle garantit l’anonymat des internautes. Et je ne vise pas notre ami jzmn qui est tout à fait dans une logique différente et tout à fait cohérente)

Bien à vous,

et alii dit: à

une info de wiki sur la page de l’école où fut Marceau:
La maison des enfants de Sèvres est au centre de la bande dessinée La Guerre de Catherine, scénario de Julia Billet, dessins de Claire Fauvel, Paris, Éditions Rue de Sèvres, 2017, 164 p. (ISBN 978-2-36981-362-0), inspiré du roman éponyme écrit par Julia Billet et publié par l’École des loisirs en 2012. A la fin de l’album, une double page (texte et photos) présente la maison de Sèvres.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_d%27enfants_de_S%C3%A8vres

Marie Sasseur dit: à

« Vous détestez la police, Madame ? »

Pas l’esprit de  » corps » ni d’éthique de conviction.

« Chacun voit midi à sa porte. »

Exact !Le mien today, sous le soleil exactement, bercé par le bruit des vagues, de la grande bleue.

Vous êtes gaulliste, Charoulet ?
C’est une maladie que tout le monde dit avoir eue une jour. Y compris les plus improbables, comme un prof qui milite pour la polizei sur le net….

Marc LAUDELOUT dit: à

Je partage avec l’auteur du blog une vive admiration pour Woody Allen. « Annie Hall » (pour ne citer qu’un seul de ses films) est un pur chef-d’oeuvre. Au cinéma, je suis très « mauvais public » pour les films comiques. Seul W.A. (et quelques autres) me fait rire. Inexplicable mais vrai. Dans un autre genre, « Interiors » (dans la veine de Bergman) est éblouissant de justesse. J’envie les lecteurs de ce blog qui ont encore à découvrir ces merveilles.

Marc LAUDELOUT dit: à

…Et je plains les parasites qui commentent ici l’actualité politique ou « sociétale », comme on dit aujourd’hui. Je rappelle aux lecteurs de ce blog qu’ils sont censés commenter les textes de Pierre Assouline. Ceux qui utilisent ce blog pour émettre des commentaires qui n’ont aucun rapport avec le sujet de la semaine (cette fois Woody Allen) sont des esprits obtus.

Jazzi dit: à

« des esprits obtus. »

Ou des esprits libres, Marc LAUDELOUT ?
Ce n’est certainement pas Céline qui vous a appris à traverser dans les clous !

renato dit: à

C’est qui ce Marc LAUDELOUT, au juste ? pourquoi ressent-il le besoin de crier son nom ?

Janssen J-J dit: à

@ Je rappelle aux lecteurs de ce blog qu’ils sont censés commenter les textes de Pierre Assouline

Ce petit rappel me paraît de bien sinistre mémoire. A se demander si ce Marc Laudeloup connait bien ses classiques, et notamment celui de ce flic dévoyé, un spécialiste de Céline bien connu de P.A. et de l’RDL, préoccupé par bien d’autres choses littéraires qu’à sa propre corporation d’origine.
https://www.babelio.com/livres/Pichon-Le-cas-Celine/918828

Pablo75 dit: à

Je rappelle aux lecteurs de ce blog qu’ils sont censés commenter les textes de Pierre Assouline. Ceux qui utilisent ce blog pour émettre des commentaires qui n’ont aucun rapport avec le sujet de la semaine (cette fois Woody Allen) sont des esprits obtus.
Marc LAUDELOUT dit:

Et tu fais quoi ici en parlant de ce que les gens doivent commenter ou pas? Quel rapport entre ton envie de faire le flic ici et Woody Allen ? Et surtout, tu es qui pour rappeler quelque chose ici qui ne te concerne pas?

DHH, dit: à

@JJJ
Apres le syndicat des harcelés, formons le syndicat des parasites, pour défendre notre droit à persévérer dans notre être d’esprits obtus

christiane dit: à

Passou risquait une réaction vive ou un grand silence en faisant écouter à Woody Allen cette critique acerbe de P.Roth et pourtant, à lire l’entretien fluide qui suit ce moment de panique et de tristesse observé par Passou avec la scène de l’élastique, Woody Allen se stabilise face à cette mise en cause en restant tout à la fois lucide et ouvert à la discussion pour montrer qu’il sait avoir un regard juste sur son travail et qu’il peut se mettre à la place de l’autre. Il aurait pu se contenter de soupirer, « bien faire et laisser dire… », mais il a choisi sa vérité comme arme d’une contre-attaque réussie. Il n’a pas répondu sur le terrain choisi par P.Roth : la critique, mais explique calmement les raisons probables de ces différends, s’interroge, tout en exprimant son admiration pour l’œuvre de celui qui le critique si durement.
Quant à la littérature, même s’il rappelle avec humour les choix qu’il a faits à 17 ans (lire pour éblouir les filles), on constate en lisant le compte-rendu de cet entretien qu’il a vraiment lu avec passion des ouvrages décisifs pour comprendre la vie et certainement pour inventer ses scenarios (Tchekhov : »je suis tellement imprégné de ses livres que, grâce à lui, j’ai compris qu’on pouvait faire rire avec des personnages tristes et que le désespoir affleurait dans la comédie. » – suit l’énumération de ses « grands » livres : « Les poèmes d’Emily Dickinson et de T.S. Eliot, le Flaubert de L’éducation sentimentale, le James Joyce d’Ulysse, le Dostoïevski des Frères Karamazov, Tourgueniev énormément, Saul Bellow. Ils comptent tous beaucoup pour moi. Ah, et j’oubliais, Philip Roth… »
Passou supposait-il cette réaction positive ?
J’avoue avoir été déçue par Passou pour ce choix en début d’entretien de l’écoute de ces remarques fielleuses de P.Roth à l’égard de W.Allen. Cela m’a même profondément déçue, puis, lisant attentivement l’entretien (mis en lien) je me suis dit que ces deux hommes avaient été en confiance pour parler, s’écouter. Alors je change mon Magritte !
https://www.pinterest.fr/pin/460774605596375772/

Janssen J-J dit: à

🙂 Le syndicat des parasites harcelés, comme des taons pour emm… les free rider (ou passagers clandestins) du prestigieux blog à passou.
Oui, ça m’irait bien, DHH…

Janssen J-J dit: à

@ Ch. /puis, lisant attentivement l’entretien (mis en lien)…/

Oui, je me dis souvent cela, qu’il faudrait se relire à deux fois avant de poster une réaction épidermique. Et puis, on oubie, j’oublie.
J’apprécie bien votre sens de l’autocritique. Vous « foncez dans le lard » à la première lecture, puis vous vous rétractez…
Or, peu sont capables icite de reconnaître la valeur du « décantage » personnel ! On préfère persister dans notre esprit obtus et singulier…, ce qui fait AUSSI notre charme à tous.tes, non ?

christiane dit: à

Marc LAUDELOUT dit : « Je partage avec l’auteur du blog une vive admiration pour Woody Allen. «Annie Hall» (pour ne citer qu’un seul de ses films) est un pur chef-d’œuvre. Au cinéma, je suis très «mauvais public» pour les films comiques. Seul W.A. (et quelques autres) me fait rire. Inexplicable mais vrai. Dans un autre genre, «Interiors» (dans la veine de Bergman) est éblouissant de justesse. J’envie les lecteurs de ce blog qui ont encore à découvrir ces merveilles.
…Et je plains les parasites qui commentent ici l’actualité politique ou «sociétale», comme on dit aujourd’hui. Je rappelle aux lecteurs de ce blog qu’ils sont censés commenter les textes de Pierre Assouline. Ceux qui utilisent ce blog pour émettre des commentaires qui n’ont aucun rapport avec le sujet de la semaine (cette fois Woody Allen) sont des esprits obtus. »

Bonjour,
J’ai envie de vous répondre par des images. Dans les villes, les jardins, les forêts, les plages… pendant le confinement, c’est-à-dire l’absence des êtres humains, des voitures, des avions… les plantes et les bêtes se sont installées paisiblement. Un fouillis d’herbes sauvages, des animaux heureux qui, de se promener (biche), qui de mettre au monde des petits (renarde). Moment des naissances pour les mammifères et de nidification pour les oiseaux sans oublier les insectes ravis de se poser sur ces fleurs sauvages, ces herbes folles. En ville, les habitants ont redécouvert le gazouillis des oiseaux.
Eh bien, le blog de Passou c’est cela, dans un internet souvent confiné, ici : flore et faune sauvage… Près des orties, des coquelicots, près de la guêpe, un papillon. Ne croyez pas que le billet et l’entretien (en lien) soient négligés, tant de commentaires ici y font écho. Le reste ? C’est le bruit du monde…

christiane dit: à

Janssen J-J me dit: …

Merci, JJJ. Oui, c’est tout à fait cela !

hamlet dit: à

« je plains les parasites qui commentent ici l’actualité politique ou «sociétale», comme on dit aujourd’hui. Je rappelle aux lecteurs de ce blog qu’ils sont censés commenter les textes de Pierre Assouline. »

cher monsieur, et moi je plains ceux qui pensent la culture déconnectée des contextes politiques ou « sociétaux », comme on dit aujourd’hui.

qu’un cinéaste newyorkais nous ponde des films dans lesquels il se fout systématiquement de la tronche de gourdasses blondes venues de l’Arizona, si on le pense sans avoir en tête le contexte « sociétal » des EU aujourd’hui c’est un peu comme… j’en sais rien moi, écouter du Wagner chez Hitler en 1942 en se pâmant sur la beauté du prélude de Lohengrin : ça n’a absolument aucun sens !

et ceux qui depuis 40 ans essaient de nous vendre une culture déconnectée du réel ne sont que de grands crétins irresponsables qui ne font que démontrer le niveau de débilité abyssal auquel nous sommes tombés.

hamlet dit: à

Woody Allen vous fait peut-être rire, mais je peux vous dire que l’humour des américains sur ce genre de film est inversement proportionnel à la distance qui les séparent de la frontière mexicaine !

hamlet dit: à

le retour de l’ordre moral ? si le cinéaste newyorkais se moque d’une gourdasse noire, ou musulmane ou lesbienne là tous les critiques newyorkais lui tomberont dessus.

par contre si cette gourdasse vient de Tucson, d’un pays où les gens votent pour Trump, fini l’ordre moral ! au contraire ces mêmes critiques trouveront ça génial !

alors que c’est précisément ce type de racisme qui a amené Trump au pouvoir !

et ça, tant que ça n’entrera pas dans la petite tronche de cake de ces imbéciles d’intellectuels et de journalistes newyorkais je peux vous dire que nous ne sommes pas sortis du bordel ambiant !

Pablo75 dit: à

« J’ai envie de vous répondre par des images. Dans les villes, les jardins, les forêts, les plages… pendant le confinement, c’est-à-dire l’absence des êtres humains, des voitures, des avions… les plantes et les bêtes se sont installées paisiblement. Un fouillis d’herbes sauvages, des animaux heureux qui, de se promener (biche), qui de mettre au monde des petits (renarde). Moment des naissances pour les mammifères et de nidification pour les oiseaux sans oublier les insectes ravis de se poser sur ces fleurs sauvages, ces herbes folles. En ville, les habitants ont redécouvert le gazouillis des oiseaux. Eh bien, le blog de Passou c’est cela, dans un internet souvent confiné, ici : flore et faune sauvage… Près des orties, des coquelicots, près de la guêpe, un papillon…. »
christiane dit:

Laudelot, je te traduis les propos poétiques de Christiane en langage courant: « occupe-toi de tes fesses ».

Pablo75 dit: à

c’est précisément ce type de RACISME qui a amené Trump au pouvoir !
hamlet dit:

Tiens, je ne savais pas qu’aux États-Unis, dans l’Arizona, il y avait une race de « gourdasses blondes »…

Pétomane Ultracrépidarien, tu ne pourrais pas regarder dans le dictionnaire les mots avant de leur faire dire n’importe quoi?

hamlet dit: à

Woody Allen et Philip Roth sont des baudruches issus de constructions de systèmes marketing culturels hallucinatoires qui ne reposent sur du vent.

Janssen J-J dit: à

Commentons l’actualité d’un Woody Allen fort désireux de comprendre les convulsions de notre pays via la RDL, en lui donat le scoop de cette nouvelle dépêche, quoiqu’en pensent les céliniens lepénistes invétérés :
————-
(DirCom) Le Conseil d’État, saisi par des syndicats et associations, suspend le 13 juin 2020 l’interdiction générale et absolue de manifester sur la voie publique prévue dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Il considère que cette interdiction n’est pas une mesure nécessaire, adaptée, et proportionnée à l’objectif de préservation de la santé publique poursuivi par le gouvernement, dès lors que les gestes « barrières » ou l’interdiction des événements réunissant plus de 5 000 personnes peuvent être respectées, et que ces manifestations sont soumises à une obligation de déclaration préalable.
_______

L’interdiction de manifester prévue par un décret du 31 mai 2020 porte « une atteinte grave et manifestement illégale » aux libertés fondamentales garantissant un droit d’expression collective des idées et des opinions. C’est ce que décide le Conseil d’État dans une ordonnance de référé du 13 juin 2020. Il donne raison à la Ligue des droits de l’Homme, la CGT, la FSU, l’Union syndicale Solidaires, le Syndicat de la magistrature, le Syndicat des avocats de France et SOS-Racisme, qui l’avaient saisi en référé. L’interdiction des rassemblements de plus de 5 000 personnes n’est pas remise en cause.
Les dispositions critiquées sont prévues à l’article 3 du décret du 31 mai 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Il interdit « tout rassemblement, réunion ou activité à un titre autre que professionnel sur la voie publique ou dans un lieu public, mettant en présence de manière simultanée plus de dix personnes ». Les organisations requérantes contestent une mesure « générale et absolue » qui ne prévoit pas d’exception à l’interdiction des rassemblements visant à l’expression collective des idées et des opinions, notamment syndicales. Elles dénoncent une atteinte à la liberté de manifester et de se réunir, au droit d’expression collective des idées et des opinions, à la liberté de réunion et la liberté syndicale.
Le gouvernement se défend en faisant valoir que de tels rassemblements ne permettent pas de garantir l’application des mesures « barrières ». Il soutient également que l’interdiction n’est ni générale ni absolue et demeure proportionnée.
Le Conseil d’État écarte les arguments du gouvernement et suspend l’application des dispositions contestées. Il rappelle d’abord que « le droit d’expression collective des idées et des opinions », qui découle de la liberté d’expression et de communication, constitue une liberté fondamentale dont la sauvegarde justifie l’intervention du juge des référés. « Son exercice, notamment par la liberté de manifester ou de se réunir, est une condition de la démocratie et l’une des garanties du respect d’autres droits et libertés constituant également des libertés fondamentales au sens de cet article, tels que la liberté syndicale ».
Ce droit doit « cependant être concilié avec le respect de l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé et avec le maintien de l’ordre public ».
Le HCSP ne prévoit aucune restriction de principe
Les hauts magistrats relèvent ensuite que les recommandations du Haut Conseil de la santé publique ne posent « aucune restriction de principe » à la « liberté d’aller et venir sur la voie publique « , autre que « celle du respect des mesures ‘barrières' ». Ils soulignent en outre la « baisse de la circulation du virus en France depuis plus de neuf semaines ». Dès lors, l’interdiction des manifestations sur la voie publique n’est pas « strictement proportionnée aux risques sanitaires désormais encourus », sauf si les mesures « barrières » ou « l’interdiction de tout événement réunissant plus de 5 000 personnes » ne peuvent être respectées.
Les magistrats rappellent ensuite que « toute manifestation sur la voie publique demeure soumise à l’obligation d’une déclaration préalable » et peut « être interdite » si elle est « de nature à troubler l’ordre public, dont la sécurité et la salubrité publique sont des composantes ».
Enfin, ils soulignent que si le décret du 31 mai 2020 permet au préfet de maintenir à titre dérogatoire un rassemblement en principe interdit, cette possibilité de dérogation, « n’a à ce jour jamais été mise en œuvre ». Pas même « sous la forme d’un refus de dérogation » après une déclaration préalable.
Le Conseil d’État en conclut que cette interdiction de manifester sur la voie publique, qui présente « un caractère général et absolu », « ne peut, à ce jour, être regardée comme une mesure nécessaire et adaptée, et, ce faisant, proportionnée à l’objectif de préservation de la santé publique qu’elle poursuit ».
L’interdiction des manifestations soumises à une autorisation préalable « porte à ce jour une atteinte grave et manifestement illégale » au droit d’expression collective des idées et des opinions ». Elle doit être suspendue.
///Conseil d’État (référé), 13 juin 2020, ordonnance n° 440846///

hamlet dit: à

Pablo, je conserve ce mot « racisme » pour qualifier ces phénomènes, et j’ajouterai même celui d’ « apartheid ».

pourquoi ? parce que nos sociétés sont coupées en deux mondes qui se rejettent et n’arrivent plus à communiquer entre elle.

si ce n’est effectivement pas une « race », le processus et la façon de traiter ces gens qui votent pour Trump ou pour le brexit ou pour les partis extrêmes s’apparente pour moi à du racisme.

et même si je suis le seul à le penser je sais que j’ai raison.

hamlet dit: à

n’arrivent plus à communiquer entre EUX.

Jean Langoncet dit: à

@Je suis gaulliste depuis un demi-siècle.

C’est fou le nombre de gaullistes dans ce pays. De Gaulle n’a jamais été aussi populaire que depuis qu’il est mort.

hamlet dit: à

et plus ce mécanisme « raciste » consistant à dire : « nous, nous sommes des gens intelligents et cultivés et vous qui votez pour Trump ou pour le brexit, vous êtes des sous hommes débiles Pétomane infantiles qui ne comprenez rien » persistera, et plus le gouffre qui sépare ces nations en deux se creusera, jusqu’à… il suffit d’ouvrir un livre d’histoire pour voir où mène l’arrogance et l’humiliation.

hamlet dit: à

et au point où nous en sommes, pour récupérer le coup, il faudra réaliser beaucoup de films montrant une gourdasse new-yorkaise tombant sous le charme d’un vieil intellectuel réalisateur génial de Tucson.

Janssen J-J dit: à

Un policier sauvera toujours l’honneur de sa corporation dès lors qu’il assumera de reconnaître que, dans leur ensemble, ses collègues et lui-même sont « orientés » dans leur travail par la gestion différentielle des populations selon leurs origines ethniques.
Si l’on veut dire « racisme », OK… Mais alors, il convient surtout d’entendre les voies minoritaires qui, en leur sein, font tout pour le combattre par la pédagogie et l’éthique. Ce qui est regrettable, c’est qu’aucun ministre n’a jamais écouté de telles voies singulières, parce qu’elles n’étaient pas encartées par des « syndicats gamelle ». Il aurait pourtant été bon que MM. Macron et Castaner eussent médité plus tôt ce petit bouquin que personne ne connaît dans nos écoles et nos académies, ce qui aurait pu prévenir la gestion dramatique du problème actuel dans le monde. Au moins en France… Evidememnt, il date de 2007 et l’auteur militant a la malheur d’être suisse… Et aucun bouquin n’a jamais sauvé le monde… En revanche, d’aucuns ont pu sauver quelques brebis égarées… Encore faut-il les connaître et vouloir se réformer un brin, comme M. Charoulet, par exemple.
https://www.decitre.fr/livres/presume-non-coupable-9782880114046.html
Ce Jean-Yves Delachaux, un type honnête. Je le salue icite, il y a bien dix ans hélas que je n’ai plus eu de ses nouvelles.

En attendant, bienvenue à Kilucru. C’était le nom de la petite villa de location du mois d’août à Chatelaillon-plage, dans les années 60…, toute une époque de reconstruction pavillonnaire comme à Royan.
Nostalgie normande itou ? Pourquoi pas Kilorédi, Pilpoil… ?

Pablo75 dit: à

c’est un peu comme… j’en sais rien moi, écouter du Wagner chez Hitler en 1942 en se pâmant sur la beauté du prélude de Lohengrin : ça n’a absolument aucun sens !
hamlet dit:

Si tu étais moins inculte, Pétomane, tu saurais que Furtwaengler, quand on lui a demandé, après la guerre, pourquoi il n’avait pas fui l’Allemagne et avait même dirigé des concerts devant des nazis en général et Hitler en particulier, il a répondu: – Parce que quelqu’un devait défendre la musique allemande devant la barbarie…

D’où ses interprétations déchaînées, « dantesques » (Harry Halbreich), totalement désespérées de la Neuvième de Beethoven devant des nazis, sur lesquelles l’israélien Sami Habra, cofondateur de la Société Wilhelm Furtwängler française, a écrit qu’elles étaient «l’une des preuves flagrantes de la révolte de Furtwängler pendant les heures tragiques de l’Allemagne, quand les nazis essayaient d’enterrer le grand héritage musical allemand en tentant de l’utiliser pour leurs sinistres desseins ».

Comme celle-ci de mars 1942, par exemple:

https://www.youtube.com/watch?v=_AI9kp02eq0

Écoute la violence inouïe avec laquelle Furtwaengler jette à la gueule des nazis la Beauté de Beethoven…

Pablo75 dit: à

Woody Allen et Philip Roth sont des baudruches issus de constructions de systèmes marketing culturels hallucinatoires qui ne reposent sur du vent.
hamlet dit:

Par contre, l’Oeuvre de Maurice Desborels, c’est du solide…

Pablo75 dit: à

Pétomane Ultracrépidarien, cela fait longtemps qu’on sait que tu as appris les rudiments de la manipulation des mots dans ta lointaine jeunesse coco, mais je le regret de te dire qu’ici ça ne marche pas.

Tu peux déguiser avec les mots que tu veux ta vision primitive, archaïque, rudimentaire, élémentaire du monde, elle sera toujours aussi fausse.

hamlet dit: à

Pablo, je suis ouvert à la discussion, vos arguments sur ma jeunesse communiste etc.. c’est pas bon, avec tous vos préjugés vous tapez toujours à côté.
je préfèrerais, si c’est possible, que vous me disiez là où je fais erreur ex : – non les oeuvres ne permettent de comprendre les sociétés – non les sociétés occidentales ne sont pas scindées en 2 blocs qui ne parlent pas la même langue etc…
sinon vous comprenez bien que je ne peux pas vous prendre au sérieux, cela dit, vous êtes tellement idiot je ne vois vraiment pas comment je pourrais vous prendre au sérieux.

et alii dit: à

quand j’ai lu qu’il était question d’esprit « obtus », comme je lis toujours de droit à gauche en commençant par la fin, j’ai compris qu’il s’agissait d’un cours de géométrie et repris le cours du collège de France (parce que j’ai de beaux restes sur les angles) jene pouvais pas être un angle « nul » parce que cet angle est un angle « saillant » , et que je n’ai pas l’esprit de saillie:demandez à kilucru qui attestera!
donc je suis de l’espèce angle rentrant , mais pas « rentre dedans » :deux dents, ce n’est rien, pour faire un bon film;mais rentre dans sa (ma) coquille, en écriture, ça marche;
donc bonne soirée, les pascaliens

hamlet dit: à

Pablo : « Écoute la violence inouïe avec laquelle Furtwaengler jette à la gueule des nazis la Beauté de Beethoven… »

on sent bien chez Vous le Discours du Grand Défenseurs des Valeurs Universelles que Vous êtes ! bravo Pablo !!! c’est Magnifique !

et alii dit: à

Définition : Un angle est formé de deux demi-droites de même origine. Cette origine est appelé le sommet de l’angle. Les demi-droites sont appelés les côtés de l’angle.

et alii dit: à

L’unité de mesure des angles est le degré (noté °). L’instrument de mesure est le rapporteur. La mesure de l’angle se note .

En général, on confond l’angle et sa mesure.
voilà pour le second degré!

Janssen J-J dit: à

Dans une lecture en boustrophédon, une amie de mon cousin qui a bien connu la nièce de Woody Allen m’a démontré qu’il était impossible d’y rencontrer des angles saillants ou des angles morts. En revanche, la soeur jumelle de cette personne qui a bien connu, de son côté, la nièce de Philip Roth, m’a affirmé que si une « marginale sécante » (de l’école Michel Crozier) à l’esprit obtus, entendait faire de l’humour haleinien pour entrer dans la secte rdl, il valait mieux pour elle, et pour tous ses amies sectateurs.trices, qu’elle réapprenne à lire de gauche à droite et du haut vers le bas. Il semblerait en effet, de source autorisée, que dans 98% des cas testés, cela remettrait les idées en place de la personne et rendrait possible son retour dans la communauté générale, sans pour autant noyer la singularité de sa démarche asymptotique vers l’infini de son respectable délire.
NB/ Je confie cela à l’erdélie sous l’autorité de ces deux amkies américaines, mais je ne dis rien de plus pour l’instant. Ce sont des intellectuelles très en vue à l’UCLA, et mon fils les fréquente toujours, c’est un technicien qui aime la philosophie, d’ailleurs on le voit sur la photo de la toile.
Bàv,

hamlet dit: à

la valeur de l’angle est mesurée avec un rapporteur ou un goniomètre ou autres outils, si l’angle mesuré est inférieur à 90 degré (angle droit) on parle d’angle aigu, s’il est supérieur c’est un angle obtus. du coup parler d’esprit obtus pour désigner un esprit étroit est un contresens, on devrait plutôt dire esprit « aigu » pour signifier son étroitesse, alors qu’on parle d’esprit aigu pour évoquer un esprit « aiguisé » et « précis », ce qui est un autre contresens. Hobbes voulait d’abord devenir géomètre, ensuite être le Newton de la philosophie, d’ailleurs il a écrit le Léviathan comme un traité de géométrie.

et alii dit: à

toujours s’intéresser à l’hors programme « HP »
2.4.1.3. Angles alternes-externes (à titre culturel, hors-programme de 5e).

hamlet dit: à

l’instrument pour mesurer un angle que l’on aperçoit le plus souvent est le théodolite, c’est l’instrument utilisé par les géomètres et arpenteurs croisés dans la rue quand on veut construire un immeuble ou un rond point avec un massif d’hortensias ou une statue au milieu. le théodolite a été inventé au début du 17è, l’époque même de Newton, et de Hobbes.

et alii dit: à

et quand on a eu maille à partir, il faut méditer
le more ô mes beaux tricots (où on compte les mailles et les mails)

et alii dit: à

Une expression apparue dans le courant du XVIIe siècle, et qui tire ses origines des dilemmes liés au partage de l’argent au Moyen Age. A cette épo­que, la «maille» désignait en effet la plus petite pièce de monnaie en circulation, faite de bronze, qui valait la moitié d’un denier et le vingtième d’un sou. »
le denier est une unité de mesure pour les « bas »

et alii dit: à

Le denier est une ancienne unité de mesure de la masse linéique (liée à la finesse). Combien de grammes de fil utilise-t-on pour une longueur de 9 000 mètres ? Cette question est la clé qui sert à déterminer l’épaisseur du fil. Ce calcul s’utilise encore aujourd’hui pour indiquer l’épaisseur du fil des bas et des collants fins.
Sur l’emballage des collants fins, l’indication 20 DEN signifie que le fil utilisé pour sa fabrication pèse exactement 20 grammes pour 9000 mètres. L’indication 50 DEN signifie que 50 grammes de fil ont été utilisés pour une longueur de 9 000 mètres.

Plus ce nombre est bas, plus le collant est fin

et alii dit: à

En ce qui concerne les bas de soutien, l’indication de la classe de contention est particulièrement importante. Dans ce cas, le terme denier n’a qu’un lien distant avec la définition ci-dessus. Les bas de contention de 20 ou 40 deniers ont en général une fonction de contention moyenne. Ceux à partir 60-70 deniers ont une forte fonction de contention.

En sachant cela, vous pouvez savoir si l’on parle de collants et bas fins, semi-opaques ou opaques.

Janssen J-J dit: à

@ Alexia N.
Si le sujet vous intéresse encore, voici le papier (toujours très clair) d’un vieux flic de mes amis devenu avocat après sa retraite anticipée de la fonction publique, Georges, comme mon coq.
https://www.lemonde.fr/blog/moreas/2020/06/11/interpellations-la-police-selectrise/
Voilà encore un exemple des « Valeureux » chers à Albert Cohen ou… à Maurice Rasfjus, plutôt.
Mais personne n’écoute ces gens-là. On préfère attendre Macron ce soir au coin du bois avec nos crocs de boucher, comme s’il allait révolutionner quoi que ce soit en la matière. Enfin brefl.
Attendons sans impatience le commentaire de notre reine des anti-keufs revenue de sa plage, pour mieux nous aligner sur ce qu’on doit penser des nouvelles techniques d’interpellations non racistes en France. Pour le moment, trinquons d’un gin tonic avec renato.

Highlander dit: à

J’ai bien aimé ce billet. D’autant plus avec les deux lignes insérées. Merci.

Highlander dit: à

Deux lignes… que dis-je ?!
Deux liens insérés, donc.

renato dit: à

Mardi 16 juin Bloomsday.

et alii dit: à

more geometrico:
« Prenons quelques exemples de définitions et d’axiomes proposés par Spinoza.

Parmi les définitions, on trouve au livre I, celle, célèbre, de la cause de soi (causa sui) : Par cause de soi, j’entends ce dont l’essence enveloppe l’existence, autrement dit ce dont la nature ne peut se concevoir qu’existante1.

Ou encore celle de la substance : Par substance, j’entends ce qui est en soi et se conçoit par soi : c’est-à-dire ce dont le concept n’a pas besoin du concept d’autre chose, d’où il faille le former.

Ces deux définitions sont fondamentales, car elles définissent Dieu pour Spinoza. Dieu est cause de soi, et Dieu est substance. Plus précisément, Dieu est seule cause de soi, et seule substance.

Parmi les axiomes, on trouve par exemple : Etant donné une cause déterminée, il en suit nécessairement un effet, et au contraire, s’il n’y a aucune cause déterminée, il est impossible qu’un effet s’ensuive.

On voit que Spinoza ne se contente pas ici de définir le concept de cause, mais affirme une vérité reconnue comme évidente sur la réalité du rapport entre un effet et une cause.

A partir de ce mécanisme argumentatif « more geometrico », Spinoza s’élève donc de propositions en propositions, qu’il déduit les unes des autres.

Par exemple, de la proposition 7 : A la nature d’une substance appartient d’exister, et de la proposition 8 : Toute substance est nécessairement infinie, Spinoza déduit la proposition 11 : Dieu autrement dit une substance consistant en une infinité d’attributs dont chacun exprime une essence éternelle et infinie existe nécessairement.

Spinoza utilise des termes issus de l’ancienne scolastique : substance, attribut, essence, etc. Mais il leur donne un sens nouveau, et l’utilisation de cette méthode géométrique en philosophie est novatrice.

Marie Sasseur dit: à

Bravo aux velotypistes qui ont sous-titré le discours Arbeit schnell du président, qui a promu Segur, rien à voir avec la comtesse, à l’ heure où l’ecole est toujours obligatoire et en meme temps, facultative.
Bravo à elles d’avoir sous-titré ce discours de la françallemagne, face aux US, à la Chine, et au reste de l’Europe…
La reconstruction de tout ce que la macronie a démoli…
Les keufs, comme Benalla méritent la reconnaissance de la nation…

Quelle est cette mystification qui consiste à causer de d’Afrique alors que le délit de sale gueule, pratiqué par les brebis galeuses de la police française, concerne des FRANÇAIS ?

« Mon projet c’est mon programme et cela ne s’arrêtera pas. »

Oui, on verra en 2022!

Enfin demain les bars et les resto rouvrent à Paris

et alii dit: à

@renato, le 16 JUIN est le jour anniversaire de ma fille(qui habite Philadelphie) :c’était l’année où elle naquit , en plein fête des pères! je ne peux l’oublier; et voilà que je lis dans le monde un autre anniversaire:
“Désormais, je donnerai des visas à tout le monde, il n’y a plus de nationalité, de race, de religion.” » Commença alors, ce 16 juin 1940, « la plus grande action de sauvetage menée par une seule personne pendant l’Holocauste », selon l’historien Yehuda Bauer. Trente mille personnes, dont dix mille juifs, purent, en effet, échapper à la barbarie nazie grâce à Aristides de Sousa Mendes. »
bonsoir!

Marie Sasseur dit: à

Le scandale, dire que les écoles recouvrent le 22 juin.
Pour 8 jours.

Pour les keufs, vous êtes moqués de Trump?

Vous allez adorer macron.

Marie Sasseur dit: à

Les écoles rouvrent, le 22 juin.

Marie Sasseur dit: à

La colère n’excuse pas les fautes.

Vous vous êtes moqués de Trump?

Vous n’avez pas écouté les propos scandaleux de Macron.

closer dit: à

« dans leur ensemble, ses collègues et lui-même sont « orientés » dans leur travail par la gestion différentielle des populations selon leurs origines ethniques » (JJJ)

Vous avez raison 3J. Il est bien connu que la criminalité est harmonieusement répandue entre les populations de différentes origines et qu’il y a autant de chances de trouver un délinquant chez les petites mémés poussant leur déambulateur (de la cocaïne plein leurs cabas, c’est connu) ou chez les cols blancs (j’ai dit « cols »), dont l’attaché case dissimule généralement une kalachnikov, que chez ceux qui se plaignent d’être plus souvent contrôlés que les autres, au faciès bien sûr.

La connerie des gens qui partagent votre idéologie, 3J, est tellement sans limite que je me souviens d’avoir lu après le 11 septembre des protestations d’un de vos semblables qui s’indignait que les contrôles dans les aéroports américains se focalisaient scandaleusement sur les personnes originaires du Moyen Orient (pas les israéliens, vous l’aurez compris).

Marie Sasseur dit: à

Water closet/closer, lui, a statistiquement, plus de « chance  » , ie le profil- de laisser « la mémé en déambulateur » se faire piquer son sac par un junkie, et de détourner sa bonne tête de lâche ,
et autant de chance, avec un écart-type réduit , d’apporter son soutien à une ordure comme zemmour, délinquant multi-recidiviste pour incitation à la haine raciale. D’ailleurs, les dires de closer sont vérifiables, sur ce blog.

Jazzi dit: à

Merci, JJJ, votre plagiat est une vraie traduction compréhensible des doux délires de et alii !

bouguereau dit: à

la criminalité est harmonieusement répandue entre les populations de différentes origines et qu’il y a autant de chances de trouver un délinquant chez les petites mémés

y’en a des qui méritent de vive vieille et dote pas.. »on né mémés..on le devient pas » qu’elle dit térezoune..

Jazzi dit: à

et alii qui nous parle en détail de ses bas de contention !
Bientôt on aura droit aux petites culottes ?

closer dit: à

J’ai remarqué que Lvdb/sasoeur avait beaucoup d’affection pour moi.
J’y suis très sensible.

Marie Sasseur dit: à

# »Trente mille personnes, dont dix mille juifs, purent, en effet, échapper à la barbarie nazie grâce à Aristides de Sousa Mendes. »
bonsoir! »

C’est ça Dr Lecter.

Redire tout le bien de ce biopic, en passant.
Car ils sont nombreux , ceux à avoir sollicité le Consul.
Certains d’ailleurs pensant avoir des passe-droits… les mêmes qui pensent que tout « s’achète »…

https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/roman/quot-le-consulquot-portrait-dquot-un-juste-par-salim-bachi_3332011.html

bouguereau dit: à

des protestations d’un de vos semblables

les vieux sont communautariss..comme ceux qui « partage » une opinion haussi..y’a que les cons qui sont vraiment divers et multiculturel qui dit cloclo..ça se tient qu’il dirait keupu à pédro..et réciprocment

Marie Sasseur dit: à

Closer aucun mystère, les ordures, j’ai un sixième sens pour ça…

bouguereau dit: à

et alii qui nous parle en détail de ses bas de contention !

c’est le smaltolc de renfield pour sa strait djaquette qu’il dirait rénateau..

bouguereau dit: à

parfaitement cloclo..tèrezoune est un avion renifleur..bzbz..comme les mouches à..à..

Marie Sasseur dit: à

Sinon, laudelout, c’est une mauvaise histoire belge, un rexiste, rapplique ici comme un berger allemand…

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…dimanche 14 juin 2020 à 21 h 42 min.

…un style Woody Allen,…
…à se rendre utile, à quoi bon; dans la Pub, de société du crime – furtif ( recherche du bénéfice, et ou privilèges de mœurs ) organisé,!…

…un non – sens, dans les prix et l’utilité des marchandises,…quels besoins de modes imposées de la réalité, courir après des dogmes et statuts en management de victimes.
…le profit,…s’organiser pour rester  » bêtes « , tous ensemble,!…
…la société dite  » organisée « ,…utopique.
…l’élite de quoi ?,…nazisme bourgeois nombriliste,…au moins,!…
…voir de haut,…et de près, les mouches.

Pablo75 dit: à

Closer aucun mystère, les ordures, j’ai un sixième sens pour ça…
Marie Sasseur dit

Une Blatte de Blog vivant dans l’ordure mentale depuis qu’elle est née se prenant pour le Juge Suprême en matière d’Éthique Politique de cet endroit, osant juger du point de vue morale ce qu’on écrit ici, après toutes les déjections verbales qu’elle a déposé dans ce blog depuis des années…

Mais jusqu’où arrivera la folie des Tarés Majeurs de ce Blog?

la minute inactuelle du docteur Cyclopède dit: à

Et le petit théâtre de Guignol s’ébroue …

Marie Sasseur dit: à

La « comtesse » de Segur prend les opérationnels pour des cons.

Ils l’ont bien compris, loin de Paris.

« On nous prend pour des cons »

Les dernières réunions ne l’ont pas rassuré. « On nous ajoute sans arrêt des thématiques. Mercredi par exemple, c’était la transition écologique à l’hôpital. On a passé une heure à débattre des sacs biodégradables et de la taxe carbone »… Quant à la réforme de gouvernance de l’hôpital, une des revendications fortes de médecins qui réclament une gestion plus médicale de l’hôpital, »le terme même n’est plus utilisé : on parle désormais d’amélioration des conditions de travail et de simplification des organisations ».

https://www.laprovence.com/article/sante/6015146/coronavirus-le-segur-de-la-sante-dans-un-etat-critique.html

et alii dit: à

les erdélien-ne-s n’ayant que des forces en ailes de poulet et en chaussures passouliniennes, j’ai bien l’honneur de leur souhaiter des partages heureux sans erreur ,ni fragilité sur les griffes et les pourpres;
banjouissez bien:je vais me reposer la conscience en paix ne doutant pas que vous serez tous et toutes les bienheureux élus de la famille Ki petit lu cru
night night

Marie Sasseur dit: à

Bof, que l’espingouin qui a le cerveau qui déborde, blatte franquiste , sujet d’observation pour la Miviludes, vienne au secours d’un raciste frontiste assumé…
What else ?

et alii dit: à

de nota….. bene
pourvu que vous veilliez bien à ce que le style « mascarade » qui semble être celui du temps:
, soupire le pédiatre marseillais, qui craint que ce Ségur ne se résume à une « mascarade »,
ne s’empare pas de la RDL, tout ira bien

Marie Sasseur dit: à

C’est sur que les toquards qui ont participé au jeu « nommer l’âne », doivent être bien déçus, lol.

Clopine dit: à

Votre gentillesse vous honore, Marie Sasseur, comme d’hab’. Votre empathie (car on peut être empathique avec un animal, vous l’ignorez sans doute, mais cela existe. Même que certains disent que notre propre survie, en temps qu’espèce, est subordonnée à la prise de conscience de ce genre de sentiment : l’empathie vis-à-vis des autres espèces qui peuplent notre planète, et rendent notre propre existence possible) pour Quenotte fait plaisir à voir, votre sentiment de la beauté d’une vie créée force le respect, et votre douceur présage l’harmonie du monde où vous habitez.

Marie Sasseur dit: à

Adressez vos regrets à petitix , l’eût-il cru que tout cela se terminerait en anerie pour débiles légers. J’en doute quand même.

Janssen J-J dit: à

@ La connerie des gens qui partagent votre idéologie, 3J,

Comme dirait quelqu’un « en langage clair, ça veut dire que vos propos sont des conneries et que vous êtes un con ».
Suis tellement habitué à ce genre de propos…
Mais dites-moi, closer, quels sont au juste les gens qui partagent votre idéologie ? Je n’arrive pas à les identifier aussi bien que vous identifier les « miens ». Quelle est notre ligne de partage au juste, à nous deux qui aimons tous la « grande » littérature, autre que la petite « policière » ? Bàv,

@MS, pas déçu par votre commentaire de « la Locution », finalement. En n’attendions pas moinsse. Bonne soirée malgré tout et mettez-nous un peu de pommade sur vos coups de soleil.

D. dit: à

Première journée sans ma présence.
Vos impressions ?

Janssen J-J dit: à

je crois que pour m’agacer, MS, vous écrivez toujours « toquard » comme si vous vous adressiez à un chef cuistot à toque, et non au « tocard », le dernier des chevaux dans la course. Or, je préfère ce dernier qualificatif, car nous devons avant tout rester des humains, même avec le dernier des derniers amis de l’homme, futile (sic) un âne, hein Kilucrû ?
… (sur les chapeaux de roue de Bartabas-Zingaro)

Janssen J-J dit: à

Vous nous avez beaucoup manqué, mais nous avons survécu… Il faudrait pas que ça se reproduise trop. Hein !

D. dit: à

J’aurais pu m’exprimer sur Woddy Allen mais je ne le ferai pas.

D dit: à

Aujourd’hui présentation de Kilucru par Kèlék….

Janssen J-J dit: à

C’est dommage. Vous auriez sans nul doute apporté une pierre ou un témoignage vécu très originaux. D’autant qu’on ne DOIT évoquer ici que des sujets IMPOSES par P.A., d’après la farouche Belgique qui nous a rappelé à l’ordre, tantôt.

Marie Sasseur dit: à

« Mais on s’en doute, il en faudra davantage pour désarmer ses irréductibles détracteurs qui veulent à tout prix le faire passer pour un violeur d’enfants. »

Eh oui, Passou. Il en faudra beaucoup plus.
Que penser dénier a Dylan Farrow le simple droit de dire ce qu’elle a subi.

Il en faudra beaucoup plus, aussi , pour faire oublier, que dans ce  » milieu » qui dicte sa loi, peu à même d’évaluer la réalité d’un quelconque talent autrement que par son battage médiatique, matzneff a pu passer pour un écrivain.

Je crois sincèrement que sur ce sujet la critique parisienne, ferait mieux de la mettre en veilleuse!

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