Totalement Woody sans en perdre Allen
Allez savoir pourquoi ! on a toujours interrogé Woddy Allen sur ses rapports avec le cinéma, les enfants, les femmes, les enfants de ses femmes, le base-ball, les ailes de poulet mais jamais sur les relations qu’il entretenait avec la littérature. Or, bien qu’il ait toujours démenti sa réputation d’intello largement due à ses lunettes à monture épaisse, on se doute bien que l’imaginaire d’un tel artiste s’est aussi nourri de livres. Surtout lorsqu’on sait son aversion pour la réalité. Aussi en 2000 lui demandais-je un entretien à ce sujet à paraitre dans le magazine Lire.
Sa maison de production m’accorda royalement une heure lors de son passage à Paris. Passons sur ses tentatives avortées de critique littéraire :
« J’ai pris un cours de lecture rapide et lu Guerre et paix en vingt minutes : ça parle de la Russie ».
Une heure, c’est peu lorsqu’il s’agit de noircir une quinzaine de feuillets. Il me fallait trouver le moyen de vaincre sa réserve, sa timidité, son goût du retrait et d’aller directement à l’os sans passer par le gras des convenances. En chemin pour son QG parisien préféré du côté du faubourg Saint-Honoré (une suite à l’hôtel Bristol), en astiquant mon magnétophone, je me rendis compte que la cassette à l’intérieur contenait un long entretien que m’avait accordé Philip Roth à New York l’année d’avant. Or une ou deux de mes questions concernaient Woody Allen… Au vrai, j’aurais rêvé de les faire dialoguer tant ils ont de points en commun : la judéité, New York, un succès plus européen qu’américain etc ; mais justement, dans ces cas-là, ça marche rarement, les passerelles qui paraissent les plus évidentes car naturelles sautent aussitôt.
Dès que nous fûmes en présence, une assistante nous fit remarquer que nous étions habillés exactement pareils : même marques et mêmes modèles, jusqu’aux chaussettes et aux chaussures, mais pas tout à fait les mêmes couleurs. Ayant en mémoire l’une de ses réflexions métaphysiques (« J’ignore tout de l’au-delà mais j’emmènerais quand même un slip de rechange »), je craignais qu’il voulut vérifier plus avant notre incroyable concordance mais il s’en garda. La glace des présentations était rompue. Mais il fallait se dépêcher d’autant que la foule des confrères piétinait dans le couloir. Nous nous assîmes côté à côte. Je me lançai :
« Vous aimez Philip Roth ? – Bien sûr ! J’ai lu la plupart de ses livres. Pourquoi ? – Parce que lui ne vous aime pas – Ah… ».
Et j’enclenchai le magnétophone à l’endroit précis où l’écrivain m’avait parlé du cinéaste :
« Woody Allen n’existe que par la naïveté européenne. A ce stade-là ça en est touchant. Ses films sont vides, puérils… Pas le moindre embryon de pensée ni d’invention. Sa vision du milieu intellectuel est un cliché risible. Lui-même n’est pas un intellectuel mais un consommateur culturel pour la Fnac… Ne sait rien de la société qu’il évoque… Ne comprend rien à la manière dont vivent les gens car il ne les dépeints jamais… De la caricature ».
A mesure que se déroulait cette crucifixion sur canapé, Woody Allen, accablé, enfonçait sa tête dans ses épaules, triturant nerveusement un élastique ramassé sur la table jusqu’à le faire éclater à la fin. Il le prit dans le nez, ce qui le fit à peine sursauter tant il se trouvait encore dans cette torture il est vrai légèrement perverse. Il refusa de juger celui qui le jugeait, réitéra son admiration inconditionnelle pour le génie du romancier. L’entretien était lancé.
Woody Allen confia s’être mis à la lecture à son corps défendant vers l’âge de dix-sept ans, en un temps où il ne lisait que les satires tordantes de Max Schulman et les polars Mickey Spillane (on le comprend : En quatrième vitesse, grand souvenir entre autres enquêtes de Mike Hammer !) dans le seul but de séduire des femmes. Une activité doublement compulsive. C’est là qu’il s’imprégna à jamais de l’univers et de la grâce de Tchékhov, le maitre auquel il ne cessera de payer sa dette. On évoqua ce que son Intérieurs ainsi que Hannah et ses soeurs devaient aux Trois sœurs, et son September à Oncle Vania, le comique kafkaïen de ses films, la dimension borgésienne de Zelig, puis en vrac au sein de son panthéon littéraire les poèmes d’Emily Dickinson et de T.S. Eliot, le Flaubert de L’éducation sentimentale, le James Joyce d’Ulysse, Tourgueniev énormément, et naturellement Saul Bellow. Malgré cela, tous ses scénarios étant originaux, aucun de ses films n’a trouvé sa genèse dans un livre, ce qui ne l’empêche pas de devoir sa conception du récit à la littérature.
Vingt ans après cette rencontre, comment ne pas se précipiter sur son autobiographie Soit dit en passant (Apropos of Nothing, traduit de l’anglais (États-Unis) par Marc Amfreville et Antoine Cazé, 540 pages, 24,50 euros, Stock), un passionnant récit au ton si vif, rapide, familier, dont la partie enfance&adolescence ressemble furieusement à un film de Scorcese, sans que cet élan ne se démente au long des 540 pages ! Ses femmes, ses films, sa musique, sa vie, quoi ! Sans oublier, et pour cause, « l’affaire » à laquelle il consacre un grand nombre de pages : l’accusation de « comportements inappropriés » avec la fille de sa compagne (Dylan, 9 ans) lancée par sa compagne Mia Farrow après qu’il eut rompu avec elle, et médiatiquement relayée et amplifiée par le journaliste Ronan Farrow, le fils de celle-ci. Le dossier est accablant pour elle, aisément vérifiable et d’autant plus convaincant que deux enquêtes l’ont déjà blanchi, qu’il rapporte les faits de manière dépassionnée – et que l’humour et l’autodérision n’en sont jamais absents, même là. Mais on s’en doute, il en faudra davantage pour désarmer ses irréductibles détracteurs qui veulent à tout prix le faire passer pour un violeur d’enfants. La critique de Libération est si systématiquement à charge qu’elle va jusqu’à reprocher à l’auteur du livre d’y être « égocentrique », ce qui est assez comique s’agissant d’une autobiographie !
Woody Allen y confie vouloir s’établir écrivain s’il ne pouvait plus être en mesure de filmer – et on imagine à quel genre d’empêchement il fait allusion, lui qui n’a pas pu sortir son dernier film dans son pays et a vu son autobiographie Apropos of nothing honteusement déprogrammée par Hachette USA à la suite d’une campagne de pressions et d’intimidations, avant d’être récupérée in extremis par une petite maison d’édition Arcade Publishing.
Être Tennessee Williams ou rien ! Voilà le programme le cas échéant pour sa fin de parcours ici-bas. La fiction, il n’en a que pour elle. Car quel que soit le moyen par lequel il s’exprime, la réalité demeure son pire ennemi. Mais s’il réussit à citer deux grands héros de romans dans la toute première phrase (Holden Caulfied et David Copperfield), c’est pour solde de toute compte vis à vis de la littérature, avec sa fascination pour Hemingway lorsqu’il eut le coup de foudre pour sa petite-fille Mariel.
Ernest Hemingway était mon héros depuis que j’avais commencé à lire de la vraie littérature. Je peux ouvrir une page de n’importe lequel de ses livres et la poésie de sa prose me terrasse. Le jour où il s’est suicidé, je ne sais plus qui a appelé qui, mais Louise et moi nous sommes téléphoné pour partager notre chagrin. C’était au tout début de notre liaison. Ensuite, autour d’un verre, nous nous sommes mis à nous raconter de belles histoires de suicide. Elle préférait l’idée de se tirer une balle dans la tempe, moi d’enfoncer ma tête dans le lave-linge en choisissant un cycle complet (…) Le mythe Hemingway était si fascinant… »
Rien d’autre ou presque à propos de la littérature et des écrivains. J’allais oublier, mais pas lui, page 249 : l’éloge d’un certain Philip Roth…
(« Woody Allen au Festival de Cannes » photo Merlin ; «
1 552 Réponses pour Totalement Woody sans en perdre Allen
Effet Warhol #2 :
https://www.moma.org/collection/works/61239?installation_image_index=2
comme une vieille phiotte qui a trop pris
..il y a une communauté de « pensée » havec lafrenchézado..catholique?.. »enfin dans ces eaux là »..quil dirait rénateau
Le corned beef n’est pas mauvais en salade.
Quel comédien extraordinaire, Jean-Paul Roussillon, bien plus génial que nombre de premiers de cordée dont on nous rebat les oreilles.
bouguereau dit:
..il y a une communauté de « pensée »
Tu peux parler, vieux nanus artificiel, toi qui pendant des années n’as pu écrire trois mots sans que les deux derniers soient « G… ceinture »…
Tu peux parler, bousemolle. Franchement…
@closer
merci .
je vais essayer de trouver cette version
@DHH
Sur le site de l’INA. 2.99 par mois. On en a pour son argent (malgré la nouvelle version dite Madelen qui a scandaleusement amputé l’ancien site des deux tiers). Deux versions, celle de Roussillon, et celle de Marcel Bluwal, réalisée en décors naturels avec Danièle Lebrun, Jean-Pierre Cassel et Claude Brasseur.
En des temps immémoriaux des Arcturiens à la peau bleue sont venus sur terre. Osiris et toute les lignées de la Grande maison d’Égypte en descendent. Moi-même je possède cet ADN arcturien.
Sur ce sujet je ne suis ni fou ni mythomane ni un plaisantin.
Sur le site de l’INA…eh bien, sur you tube, on trouve un document: « 1979, comment vivre avec un macho » issu des archives de l’INA, on y peut voir une femme qui refuse carrément de repasser les chemises de son mari! C’est tout à fait consternant. Depuis, tout est cul par dessus tête…
@MS/ insuffisant pour faire oublier ceux qui la desservent.
Yes… le ministre actuel qui, en d’autrs temps, aurait démissionné depuis des plombes… et qq brebis ultra minoritaires sur les 150 000 fl. et 99 000 g., OK. Le « reste » de la masse faisant ce qu’elle peut pour la « servir ». Et puis surtout, il y a les vierges sages qui veillent à entretenir la braise sur la paille et le grain…, essaient de proposer des solutions citoyennes pour diminuer la conflictualité sociale générale, sinon de tendre la main avec nos frères, les pédophiles du clergé présumés innocents.
Et ceux qui regardent et réfléchissent, le regard éloigné, retenant leurs indignations sélectives : la ‘conjuration des imbéciles’ du macronisme.
– (J’inspire) Que voulez-vous dire, JJJ ?
– (Ch’expire) Je veux dire qu’il n’y a pas de problème qu’une absence de solution ne peut résoudre. C’est assez clair, non ?!
j’ai beaucoup de souci pour les erdélien-ne-s en retrouvant une page du Talmud:
Rabbi Yéhouda poursuit au nom du même Abba Gourya : « La majorité des âniers sont des pervers, la majorité des chameliers sont des gens honnêtes, la majorité des marins sont des gens pieux, le meilleur (tov en hébreu) des médecins ira en enfer ». la dernière page du traité talmudique Kiddouchin.
ce n’est pas que l’on voie le désaccord des maîtres » ça c’est connu et le temps n’a rien changé à de « fait » ; je sais bien aussi que je ne suis pas « le meilleur des médecins » -pas même un médecin avec l’intention de guérir qui que ce soit ,mais justement , il ne s’agit pas de moi!
bonne suite
Encore un petit mot. Hier soir, cherchant le Schubert des éditions Fayard que je voulais pouvoir consulter en lisant Mr. D., il me tombe sous la main La fête de l’insignifiance de Milan Kundera, que j’avais acheté en version poche, me souvenant de la très mauvaise critique qu’en avait fait Assouline en 2014, poivrée çà et là des hululements désolés de Pedel, lui faisant lamentablement écho comme à la voix de son maître. Sa suffisance (« au clair de la Thune, mon ami Pierrot ») terminait, ou quasi son article par cette phrase : « Cette fable qui se veut le livre du rire mérite l’oubli ». L’idée n’est pas de se demander quel genre de souvenir méritent les livres d’Assouline. En revanche, lisant ce court récit séance tenante, j’y ai trouvé un petit chef-d’œuvre, une rhapsodie où se décèle un maître de la littérature, peut-être même davantage que dans d’autres ouvrages plus réputés de Kundera.
Bien heureux de ne pas être de leur avis. Il est vrai que je n’ai jamais fait l’éloge de Dicker, ni de Garcin, ni de tant d’autres et que je n’ai pas non plus fabriqué S. Merci mon Dieu.
par contre ,je crois que l’on peut déduire que si quelqu’un vous envoie « au diable » c’est que l’on est pour cette personne un « très bon médecin »!
L’âne est un animal sympathique mais sait lui-même être pervers à ses heures. Le chat aussi.
Pablo !! vous et moi on fait marrer Paul Edel, vous l’imagez ça !
encore que j’y crois pas trop….
je n’ai jamais le quart de la moitié du dixième d’un truc drôle écrit par Paul Edel, il doit penser que le sérieux cautionne quelque chose, je sais pas quoi.
ou alors son manque d’humour est une pathologie ? une allergie ? comme l’allergie au gluten ? ou au pollen ? un truc qui le fait éternuer ?
sérieusement qui me donner un seul exemple d’un truc drôle écrit par Paul Edel ?
juste 1.
c’est une discussion sur « les métiers » et les qualités requises pour les exercer, et les défauts
rédhibitoires de manière plus générale, soit acquis à la tâche ou dans la vie ;
il s’agit plus sommairement de ceux qui se posent « en maîtres » face aux autres
à chacun d’interpréter cette remarque sur les aniers et les médecins selon son temps
je n’ai jamais eu qu’une confiance très limitée dans les gens qui n’ont pas d’humour.
ils me rappellent mon dentiste quand j’étais gamin, et plus tard mon inspecteur des impôts.
christiane dit: à
Merci , Soleil vert, d’avoir donné accès à cet auteur sur votre blog.
Merci Christiane.
Je pensais le comparer à un auteur de « terroir », voire à La Tour du Pin
La mauvaise nouvelle c’est qu’il serait décédé en mars de cette année.
Source Jean-Daniel Brèque (Deux sources sur facebook–le blogueur polar Paul Maugendre et Olivier Ancel, de la librairie L’Amour du noir–annoncent le décès de René Reouven, survenu le 6 mars 2020 et semble-t-il passé inaperçu.)
Mr Court ! quand il est drôle il l’est vraiment !
Mr Court est la preuve vivante qu’on peut avoir avoir à la fois de l’érudition et de l’humour.
Moi j’ai que l’humour, mais je m’en plains pas trop, vaut mieux ça que l’inverse.
hamlai, vous savez bien que quand on dit « ça me fait rigoler » l’expression est très ambigue, et n’a pas toujours à voir avec de l’humour ; de même que quand on dit « c’est drôle » qui peut vouloir dire c’est bizarre je crois qu’il ne faut pas se braquer là-dessus, surtout au temps d’internet où cette affaire d’humour est continuellement débattue
pensez, Hamlai, mon garçon, au psy angliciste P.Bayard qui jouait en France sur l’humour; il parait qu’un de ses plus récents livres n’a pas du tout marché chez les brit qui n’y ont pas retrouvé « leur humour »
et c’est quoi cet acharnement contre les adeptes du SM ?
maintenant qu’on plus dire du mal des juifs, des musulmans, des noirs et des homos toute la haine a basculé contre les adeptes du SM.
demandez à Jazzi s’il aimerait entendre dire sur les homos tout ces insultes contres les SM !
dès que des portes se ferment la haine arrivent à se faufiler pour se trouver de nouvelles victimes.
comme on me reprochera d’évoquer P.Bayard au motif de l’humour, je rappelle cet entretien:
Pourquoi choisir l’humour, l’ironie, le second degré comme point d’entrée de votre travail littéraire ?
L’humour est un élément fondamental de mon écriture. Il n’est d’ailleurs pas toujours perçu par mes lecteurs. Certains ouvrages sont ainsi parcourus avec le plus grand sérieux, quand ils mériteraient d’être pris au second degré. Dans Comment parler des livres que l’on a pas lus ?, le narrateur enseigne la manière de ne pas lire, ce qui est une plaisanterie car je suis moi-même un grand lecteur. L’humour a pour moi une fonction analytique. Il permet de marquer un décalage entre soi-même et soi, et donc de prendre une distance avec ce que l’on écrit.
Est-ce une manière de se démarquer de l’esprit de sérieux des textes universitaires habituels ?
Absolument. Je suis un des rares auteurs de sciences humaines dont la préoccupation majeure est de faire rire, ou au moins sourire, le lecteur.
Quelle part de vous mettez-vous dans vos narrateurs ?
Comme le suggère votre question, les narrateurs de mes livres sont différents de moi-même, distinction majeure par rapport à la plupart des textes de sciences humaines, où le narrateur coïncide avec l’auteur. La part de fiction que j’insère s’exprime à travers ce décalage entre le narrateur et l’auteur. Dans la littérature, le narrateur n’est pas l’auteur. Chacun sait aujourd’hui que le narrateur d’À la recherche du temps perdu n’est pas l’auteur, puisque le narrateur est hétérosexuel et l’auteur homosexuel, une différence parmi beaucoup d’autres. De même, Lolita est un roman de Nabokov dans lequel le narrateur est pédophile, contrairement à Nabokov. Je réutilise ce même mécanisme. Pour reprendre l’exemple de Comment parler des livres que l’on a pas lus ?, le narrateur déteste la lecture, quand je suis moi-même un grand lecteur.
https://www.univ-paris8.fr/Plongee-dans-la-critique-interventionniste-de-Pierre-Bayard
par contre un type peut se marier avec une gamine qu’il a élevée ça tout le monde s’en tape.
« L’humour est un élément fondamental de mon écriture. »
faut offrir ce bouquin à Paul Edel.
Est-ce quelqu’un connaît ici « les éditions du Panthéon » ? C’est pour quelqu’un qui veut se faire autoéditer (pas moi, hein !) et qui m’a envoyé le contrat. Faut compter 3000 euros tout de même, et l’argument est que « le groupe Hachette est derrière » – mais je n’ai pas compris exactement ce que cela veut dire. Cela me semble tout de même extrêmement chérot pour une auto-édition, non ?
ainsi Bayard dit sur Lindon l’éditeur:
… C’était un homme réservé qui maniait un humour très british. Je continue à avoir un immense respect pour l’ensemble de sa carrière d’éditeur et pour son engagement intellectuel. Mais j’ai surtout développé des rapports amicaux avec sa fille, Irène Lindon, désormais à la tête de la maison d’édition.
bien sur hamlai, mon garçon, je voulais vous dire de ne pas zapper:Bayard:
L’Enigme Tolstoïesvski. Je me penche donc sur ce grand écrivain russe méconnu. Il est extraordinaire qu’il ait pu écrire des romans aussi différents que Guerre et paix et Crime et Châtiment ! Certains critiques, déstabilisés par des univers aussi différents et sa graphomanie, ont d’ailleurs décidé de le séparer en deux auteurs. Je suis donc
Clopine, ce doit être l’ancienne « Pensée universelle ». Il faut vraiment tomber de l’armoire (et avoir résidé longtemps sur sa corniche) pour se faire « éditer » par ce biais et débourser 3000 euros. Il me semble que François Bon a publié un tuto pour ceux qui veulent passer par Amazon, c’est gratuit et les droits sont corrects. Sans compter d’autres plateformes, beaucoup moins onéreuses que ces éditions du Panthéon. On peut aussi contacter des gens qui s’auto-éditent, il doit en exister une liste quelque part. Mais surtout pas ça.
C’est bien de parler de Karinthy, dont en son temps j’avais évoqué le Merlin.
Vu le temps que ces oeuvres mettent à etre diffusées en France,et toujours par de petites maisons, on peut espérer que dans dix ans, tout sera traduit…L’espoir fait vivre.
Bien à vous.
MC
M. Court, « Dudevant-Duderrière », c’est de vous?
evidemment, je n’imaginais pas quand on me présenta à P.Bayard lors d’un colloque sur l’humour où il était invité que je vous renverrai à lui:
Pierre Bayard – La dimension de jeu est fondamentale dans mes livres, et j’espère en effet qu’ils manifestent un certain humour. Cela ne marche pas nécessairement, mais je fais partie des auteurs de sciences humaines – il ne doit pas y en avoir énormément… – qui se posent la question de savoir comment faire rire leur lecteur.
Le jeu est aussi une manière de réintroduire la psychanalyse. Dans l’expérience de la lecture, en tout cas dans celle que j’en ai, la rêverie, l’imagination jouent un grand rôle et je m’intéresse à cette partie de la lecture qu’il est très difficile de capter par des moyens théoriques et scientifiques traditionnels : le lecteur est en train de lire et il rêve, il songe à d’autres possibilités du texte qui auraient pu être différentes, il pense à des améliorations ou à d’autres solutions, comme dans les
https://www.nonfiction.fr/article-5444-je_fabrique_en_sciences_humaines_des_objets_destabilisants_entretien_avec_pierre_bayard.htm
avis aux erdélien-ne-s
Au delà de cette dimension du jeu, faire porter par votre narrateur des thèses anticonformistes n’est-il pas également une manière de remettre en question la notion d’autorité en littérature, celle des auteurs et celle des critiques ? Vous êtes considéré comme un iconoclaste…
Pierre Bayard – J’espère bien que je remets en question l’autorité car autrement je ne serais ni un écrivain ni un théoricien. Et c’est vrai qu’il y a dans mes livres une série de propositions iconoclastes, comme celle de refonder l’histoire littéraire en changeant les auteurs de siècle (Le Plagiat par anticipation) ou bien en réattribuant les oeuvres à d’autres auteurs (Et si les oeuvres changeaient d’auteur ?). Mais cela fait partie
@Clopine.
François Bon.
une citation précise pour la raison erdélienne -so cute!
» De la même manière dans Et si les œuvres changeaient d’auteur, où j’étudie L’Etranger de Kafka, Autant en emporte le vent de Tolstoï, L’Ethique de Freud, puis le Cuirassé Potemkine d’Hitchcock et le Cri de Schumann. Très souvent les lecteurs m’ont dit qu’ils n’arrivaient pas à me suivre jusqu’à la fin parce que cela allait trop loin pour eux.
@P.Assouline,je me suis sacrifiée sous ce fil ;me défendrez-vous ou ferez-vous vous aussi le procureur?
Allez-vous m’abandonner tu quoque? j’en tremble kierkegaardiennement et renverse déjà mes cendres partout;
@ la preuve vivante qu’on peut avoir avoir à la fois de l’érudition et de l’humour.
EXACT…, et « on » a mis du temps à le comprendre. L’érudition sans l’humour-propre, c’est pas mal non plus (Auguste Bigourne).
l’argument est que « le groupe Hachette est derrière »
c’est de toi bonne clopine?..halors meussieu courte et mon larbin sont hencore fait a 4 pattes
mais je n’ai pas compris exactement ce que cela veut dire
c’est hencore méyeur qu’il dirait lassouline
Mr Court est la preuve vivante
..faut l’prende comme une bonne nouvelle meussieu courte..mon larbin se tâte et il se trouve un peu froid et courbatu
Soleil vert dit:
« Je pensais le comparer à un auteur de «terroir», voire à La Tour du Pin »
Patrice de La Tour Du Pin…
C’était l’époque où je posais trop de questions : Pourquoi ? Pour qui ? Pour quand ? Pourtant… Où ? Avec qui ? avec quoi ?…
On m’a alors offert un livre mystérieux, une édition originale sur Alfa blanc, numérotée de La Genèse de Patrice de La Tour du Pin. Imprimé le 6 novembre 1945 sur les presses de Paul Attinger, maître imprimeur à Neuchâtel pour une maison d’édition au nom poétique « Ides et Calendes ».
Le lisant, mes questions se diluaient comme l’eau sur l’encre dans un lavis… C’était une telle solitude :
« L’homme était à genoux au rebord de lui-même. […]
Pas un instant n’a tressailli, pas une écume
N’est apparue : solitude des créations ![…]
Alors comme il avait incliné ses paupières
Pour être calme au moins dans son recueillement,
Pour ne rien figurer d’irréel dans l’espace,
Au moins pour ne pas jouer au vertige du vide,
Ne pas se prendre au cher envoûtement du vide,
Comme il forçait ses yeux à sonder d’autres nuits,
Je ne sais pas à quelle empreinte, à quelle angoisse,
Vaguement sensuel sur le pourtour du cœur,
Il sentit remonter tout son silence en lui…
Il n’avait pas trouvé de néant intérieur !
Mais un abîme vierge, indistinct aux bordures,
Et tressaillant malgré le froid, de volupté, […]
Et c’est la nuit du Seul, c’est la nuit de Genèse !
Quelle folie de se hâter dans une telle nuit !
Un monde attend de naître et mon regard l’aimante…
Je descendrai tout seul au cœur humain…
Ou bien je percerai ma ténèbre avec lui,
Porteur de ma nuit mâle dans ma nuit femelle,
Pour un accouplement monstrueux au fond d’elle
Et cet engendrement d’une nouvelle nuit… »
Six jours ainsi jusqu’à basculer du soliloque de Dieu à l’allégresse de l’humain.
Mais comment élucider la dernière strophe ? Et voilà que je pose à nouveau des questions !
« Ou bien un étranger, retenant son sourire,
Surviendra, révélant un monde intérieur
A mes vieux habitants, bien plus beau que les leurs,
Disant : c’est celui-ci qu’il vous fallait construire,
Vous vous êtes trompés en choisissant les dés,
Vous étiez inconscients avant de déborder !
Pour un seul pas fait de travers, une légende
Pas assez réfléchie, une hâte trop grande,
Vous vous êtes perdus…
et il sera parti… »
Ah !… Jacques Attali qui se propose d’inverser les formules célèbres après leur avoir concédé un semblant d’hommage
http://www.attali.com/geopolitique/pour-en-finir-avec-le-queuillisme/
Sais pas s’il va rejoindre le groupe de michel au frais…
(NB / je me suis scarifié pour vous, Pierre. En avez-vous au moins conscience ?)
NB(à MS), demain, MS, vers 15 h me tiendrai devant la croix de L. au cimetière de CL2E, après la fin de la cérémonie. Je tiendrai une rose rouge. En vous espérant au devoir. Bàv,
Ayant en mémoire l’une de ses réflexions métaphysiques (« J’ignore tout de l’au-delà mais j’emmènerais quand même un slip de rechange »), je craignais qu’il voulut vérifier plus avant notre incroyable concordance mais il s’en garda
elle est de toi lassouline?
@ MC -> « C’est bien de parler de Karinthy »,
Oui et d' »Epépé » surtout… qui me fit froid dans le dos comme jamais, jadis : un vrai cauchemar éveillé. Hélas pour ché pu quel rêveur, le pillage de FK a été éventé à temps.
Aux grands écrivains auto-édités, les édition du Panthéon reconnaissantes.
Épicétout.
Boumou :« J’ignore tout de l’au-delà mais j’emmènerais quand même un slip de rechange »),
elle est de toi lassouline?
On comprend, l’étonnement de Bousemolle, lui qui remet le même chaque jour depuis tant d’années…
celle là est bien de toi mon larbin..
je ne suis ni fou ni mythomane ni un plaisantin
dédé y veut pas sfaire héditer et comme les hardeurs il a pas dcalbut..
Bousemolle, le flaubertien sans le savoir:
« On pouvait changer de slip? Quel étonnement!.
@ une auto-citation très flatteuse d’etalii : « Très souvent les lecteurs m’ont dit qu’ils n’arrivaient pas à me suivre jusqu’à la fin parce que cela allait trop loin pour eux ».
A moinsse que cette citation soye issue d’un larbin moyen (mais comme toujours, ce n’est pas sourcé).
@ j’ai trouvé assez vache qu’x s’acharnât à faire ce mauvais procès au CR d’Ed, sur la boule de suif industrielle de Sand que personne icite n’avait jamais lu. C’est évident.
Mais au au nom de quelle autorité ?
Pourquoi ne pas encourager les efforts des gens de bonne volonté ? Pourquoi toujours vouloir rabaisser les pulsions altruistes puis se défendre d’intentions évidemment peu reluisantes de la mise en cause ? Je ne comprends vraiment pas. Pourtant, x, vous donniez l’impression d’être un garçon intelligent, cultivé, érudit, plein de sagesse, en tant que prof de lettres à la retraite d’un très haut niveau.
Pourquoi cette cruauté gratuite ? Non, je ne parviens pas à comprendre ce besoin permanent de détruire pour vous faire valoir un brin, et pourquoi vous vous sentez obligé de défendre la vacuité gratuite du sens de la littérature ?…
Nous attendons tous vos excuses, je pense, pour ramener la concorde et la sérénité à la rdl. Merci d’avance.
« On comprend, l’étonnement de Bousemolle, lui qui remet le même chaque jour depuis tant d’années… »
Qu’il fait sécher chaque soir sur le nez de Gigi la visqueuse, ravie…
Hurkhurkhurk!
@Clopine. Même pour vous, j’espère que vous allez visionner les vidéos de F. Bon. Elles sont passionnantes.
que flaubert avait quelquefois la chiasse mon larbin qui l’a toujours s’en trouve flatté..
faire le gobitouine entre la claque et le coup de pied au cul pour se donner l’air vivant..sapré larbin
comme une science du temps, qui serait en mesure de révéler tout à la fois les « revenants » (écrivains du passé qui nous influencent), et les « survenants », (écrivains futurs « convoqués par l’écriture ») . Le Plagiat par anticipation, en somme, cherche à transmettre à son lecteur une triple capacité de lecture, attentive à l’inscription du futur (« demain est écrit »), à la futurition du passé (tout revenant revient comme survenant, et réciproquement), et, enfin, à la réversion infinie du présent (de l’écriture et de la lecture)
article sur BAYARD écrit parGuillaume Artous-Bouvet enseigne le français en classes préparatoires aux grandes écoles.
Ancien élève de l’ENS (Lyon), agrégé de lettres modernes et docteur en littérature française, il est l’auteur de L’Exception littéraire (Belin, 2012) et de L’Hermétique du sujet (Hermann, 2015).sur le site « non fiction » (inconnu et médiocre selon les éminents erdéliens (sic)où Bayard a donné un entretien
https://www.nonfiction.fr/article-2179-lhistoire_qui_vient.htm
Pourquoi cette cruauté gratuite ?
vache mais pas si gratuite..dédède fait la fière a bras mais a une gueule en verre à moutarde..elle encaisse pas..voilà tout
Le pauvre Bousemolle, contraint de vivre dans sa cabane au fond du jardin à cause de la fréquence démente de ses jets de colique, prend son cas pour une généralité.
Hurkhurkhurk!
et souvenez vous:
L’amour est un genre de suicide.
Jacques Lacan
L’amour est un genre de suicide.
C’est aussi un genre de crime, il serait dommage de l’oublier.
Chaloux, merci pour les éditions du Panthéon, je suis entièrement d’accord avec vous : on arnaque le pauvre monde !
pour tous ceux qui comme moi pensent que greubou vient ici se foutre de leur gueule comme il s’est foutu de la gueule de ses lecteurs durant des décennies hé bien vous vous trompez !
on trouve une construction complexe dans les commentaires de greubou, à condition de les lire en sens inverse ! une espèce de pensée irlandaise à mi chemin entre Joyce, Beckett et O’Brien, et à mi chemin entre l’irish stout de chez Murphy et l’indian pale ale, identiques à celles qu’on sert à la taverne de Moe dans les Simpson un exemple au hasard :
« il y a une communauté de « pensée » havec lafrenchézado..catholique?.. »enfin dans ces eaux là »..quil dirait rénateau, lafrenchézado quand qui tombe ça fait plouf quelle dirait la chiasse, mon larbin a lu les achille talon que juis ai rfilé pour retende son ressort..enfin un peu baroz..soi pas si méchant, la peur de rssembler a un larbin mon larbin..sans effet varol..t’en veau un paquet de claque, daccord dédé..mais tu lui dis d’acheter des tapis saint maclou tout neuf..et une cam 4k..et sois a la hauteur de lincontrolabe..sinon bonne..bonne..et pis merde, c’est trop criant de vérité dédé pour que tu n’aies pas taché les tapis..saint maclou tout neuf quelle dirait bonne..bonne..et pis merde, toi tu rfoules trop du goulot dédé..moi je peux y revnir..mais c’est si jveux..na, des catholiques fachiss qui pratiquent la fausse modestie..dans ces eaux là, molo baroz..trop de miette fait le cabot trop gras, effet varol qu’il dirait rénateau..sapré rénateau, perdre c’est pas mauvaise…sale hantisémite de dédé, sapré baroz..toujours sous les tabes des riches, ce n’est quun bien maigre aspect de la personnalité superouf de danton..les misfits l’ont copié..ozouf en dça…. »
@Clopine.Plutôt que « du Panthéon, ça devrait plutôt s’appeler les éditions du Père Lachaise car on n’a jamais vu un livre publié dans cette maison revenir à la vie.
Note pour moi-même :Penser à espacer les « plutôt ».
23 novembre 2017 – Mario Vargas Llosa et Antoine Compagnon :
https://journals.openedition.org/lettre-cdf/4351
« AC : Vous dites que parmi tous vos livres, celui que vous voudriez garder est Conversation à la Cathédrale.
MVL : Ce livre a été très difficile à écrire. Mon idée était la suivante : je voulais montrer de quelle manière une dictature, semblable à celle du général Odría qui a eu lieu au Pérou, pouvait corrompre des activités en apparence très éloignées de la politique. Cette idée était très claire, mais la manière de transformer cette idée dans des situations, dans des personnages, particulièrement difficile. Je crois que j’ai travaillé, la première année, dans l’obscurité totale, en écrivant des épisodes, je n’avais aucune idée de la manière dont je pouvais tous les intégrer, assimiler ce grand nombre de personnages dans une structure cohérente. C’est seulement après avoir travaillé un an sur ce livre que j’ai un jour eu l’idée d’une conversation. »
Dans l’émission France-Culture mise en lien, hier, ce roman est évoqué par Albert Bensoussan. J’ai cru comprendre que Conversation à la Cathédrale, traduit par Albert Bensoussan et Anne-Marie Casès pour Gallimard, en 2015, évoquait non une « Cathédrale » mais un bistrot (La Catedral), au Pérou, où Santiago Zavalita rencontre Ambrosio, ancien chauffeur de son père… Une conversation s’engage (le livre) où l’histoire sociale et politique du Pérou à l’ère de la dictature du général Manuel Odría est évoquée… Ainsi que les relations homosexuelles que son père entretenait avec son chauffeur.
Dommage le Twit mis en lien ne peut être lu… (Conversation entre Borges et Mario Vargas Llosa).
avant le juif new-yorkais c’était Hubbell dans « nos plus belles années », la gonze qui distribue des tracts communistes, avec Woody Allen est devenu le type inoffensif qui a peur de faire cuire des homards dans Annie Hall.
non Voudyadi : « existe-t-il une vie après la mort ? si oui peut-on y tripoter des gamines ? »
« Paul Edel. juin 17, 2020 à 9:24
Qand je veux me distraire, je me dirige à pas légers vers la RDL tenue par Pierre Assouline et je lis les dialogues entre Pablo 75 et Hamlet, semaine après semaine. On a l’impression de lire les répliques saugrenues des merveilleuses marionnettes d’Eugène Labiche. Une folle poursuite non pas pour un chapeau de paille d’Italie mais sur le thème : je détiens la vraie culture et toi, tu es un crétin.
Hilarant. ça ferait un triomphe au café-théâtre. Avec un intermède beckettien offert par Marie Sasseur dans le genre « catastrophe et autres dramaticules ». »
Chaloux dit: à
Pedel s’est tellement fait bourrer le phion ici qu’il peut bien faire sa rigolarde dans l’infime (à sa mesure littéraire) forteresse où il se claquemure honteusement, comme une vieille phiotte qui a trop pris.
Je suis content de distraire Edel et j’aimerais qu’il fasse pareil avec moi. Mais malheureusement il ne sait, lui, qu’assommer ses lecteurs avec ses textes d’une lourdeur toute normande (moi ils me rappellent systématiquement les armoires du même nom). Je sais bien que ce n’est pas de sa faute s’il est Pétruvien et qu’avec l’âge les défauts s’aggravent, mais de temps en temps il pourrait faire un effort, quand même… Ce qu’il écrit, lui, ce n’est pas du Labiche, c’est du sous Gustave Lanson.
« Editions du Panthéon », ça fonctionne du point de vue marketing. Ils auraient pu s’appeler « Editions de la Cuisse » puisque le pilon est assuré. Mais c’est commercialement moins affriolant. Quoique… pour les érotomanes…
« Armoire normande » ..super drôle..où est-ce que vos allez chercher tout ça? Pablo 75..suis bluffé.et bien sûr, mon musicien préféré c’est Erik Satie.
Un truc m’a étonné chez Pedel, c’est son aveu de connaître très mal la littérature anglaise (au profit de la littérature allemande) qu’il a fait ici même il y a quelques années. Je me demande comment on peut ignorer cette littérature qui aurait bien des droits (âprement disputés) à se dire la première du monde, tout se prétendant critique et écrivain. Ce serait comme d’entamer un partie d’échecs avec la moitié du jeu. Il y a là pour moi une énigme. J’espère qu’il profite de sa retraite pour combler ce trou noir.
« tout EN se prétendant » etc.
Pablo75 dit: Je suis content de distraire Edel
»
désolé Pablo, mais Edel n’a jamais que vous distrayiez ! nos échanges le distraient ! c’est différent !
entre vous et moi le plus distrayant des deux ce n’est certainement pas vous !!!
j’y crois pas la grosse tête…
Alexia Neuhoff est la Blanche Gardin du blog. Sous des apparences très bourgeoises, elle cache une championne du l’humour pince-sans-rire.
Hmlet, vous voulez dire que lorsque Pablo échange avec vous il est absent de cet échange?
Bizarre…
s^Pablo sûr que vous vous entendriez bien avec AN : entre vous qui écrasez les gens comme des cafards sous votre botte et elle qui les passe au flytox pour purifier l’air vous vivriez ensemble dans une atmosphère aussi pure qu’une salle d’op chirurgicale.
Chaloux dit: Hmlet, vous voulez dire que lorsque Pablo échange avec vous il est absent de cet échange?
»
oui un peu, disons qu’il essaie d’être présent avec sa grande gueule, mais le fond est d’une telle vacuité avec ses copiés collés de sa chaine YT qu’il est en quelque sorte absent.
alors que pour moi ce serait plutôt le contraire.
Chaloux, en plus Pablo est absent du fait de ses insultes à répétition qui tournent en boucle du genre : « Maurice Desborels Pétomane nazi communiste etc… »
c’est très creux quant au contenu, vous l’aurez sans doute remarquer sous aussi.
remarké
Cher Pablo
J’aime beaucoup le Lanson étiquette noire,excellent champagne. Petite différence avec le critique littéraire Gustave L. , c’est qu’il considérait que les femmes n’avaient pas leur place dans la littérature.ça, c’est moche moche!!!. Je parle régulièrement sur mon blog de Virginia Woolf, d’Ingeborg Bachmann, de la grande Christa Wolf, de Duras, de Nina Bouraoui ou de Simone de Beauvoir,etc..et oui je parle beaucoup de Handke, de Wellershoff,j’ai tenu un vrai feuilleton sur « la montagne magique »de Thomas Mann nouvelle traduction si étonnante de Claire de Oliveira.. ,oui je parle de Hesse, de Doderer, de Broch, de Berhnard, de Lenz, de Grass, de Botho Strauss, de Brecht,etc.. par formation et par inclination.Très belle littérature.Je vous conseille d’aller y jeter un œil vous serez émerveillé.
Paul Edel, cessez donc ces mondanités et de vous cirer vous-même vos pompes : Pablo vous a insulté ! il a dit que vous étiez aussi lourd qu’une armoire normande, défendez-vous ! rentrez-lui dans le lard nom d’une pipe !!!
Alexia Neuhoff est la Blanche Gardin du blog. Sous des apparences très bourgeoises, elle cache une championne du l’humour pince-sans-rire.
Souvent soupçonné sous ce masque MS, à tort sûrement.
CLOPINE? COMMENT COMPTEZ VOUS CAPTURER LE LOUP?
avec des pièges, des battues de villageois?
je pense bien sur à Pierre et le loup,que connaissent tous les enfants
pierre et le loup
polo fait un cirque hencore plus minabe que bonne clopine..proust ou handke..portefaix de ces gros fats
Hamlet, merci de vos conseils. J’en prends note.Mais votre humour-certain- évident- méthodique, régulier, métronomique-pendant des mois, ressemble à cette crème caramel qu’on m’a servi pendant des années dans le réfectoire de mon internat dans l’Orne. toujours le même gout gélatineux.Bonne soirée.
Pablo, réconcilié. Resultat du sex-appeal incroyable que celui d’Alexia.
Concernant l’infirmière arrêtée sans ménagement, il semble qu’elle ait jeté trois silex et fait DEUX doigts aux forces de police justifiant le traitement qui a suivi, jusqu’à la pousser visage au sol . Grand remerciement à la femme flic de qui apparemment provient l’ idée de l’immobiliser en la tenant par les cheveux. Vive les femmes.
c’est très creux quant au contenu, vous l’aurez sans doute remarquer sous aussi
qu’est ce tu veux keupu..une vieille brouette phinit toujours a charger du phumier..il parait que ça a un sale gout qu’il dit mon larbin..jle crois..tu confirmes?
« Editions de la Cuisse » puisque le pilon est assuré
..c’est hun peu roger la frite alesquia..reprends toi
Bonne soirée.
c’est ça..va tfaire hanculer polo
comme une vieille phiotte qui a trop pris
celle là haussi tu dvrais lespacer mon con dlarbin..chais pas..tu mets ‘tinette’..houou..’cacaboudin’..pluto
Clopine, j’espère en tout cas que vous militez activement contre la vénerie souterraine. Le déchet macronoïde veut tant de bien aux chasseurs, ces assassins du dimanche…
Bousemolle, c’est toi-même que tu devrais espacer…
Hurkhurkhurk!
Chaloux, merci pour les éditions du Panthéon, je suis entièrement d’accord avec vous
échange de sacs à merde
cette crème caramel qu’on m’a servi pendant des années dans le réfectoire de mon internat dans l’Orne.
Métaphore pour évoquer le goût du Q de la vieille peintresse d’école?
Salutations à JJJ, Et alii, DHH & Baroz.
Pas grandement avancé sur Joyce à Paris, Baroz, hélas. Trop pris par un projet sur un écrivain vivant à l’autre but de la terre. Mais je compte bien m’y mettre dès que j’aurai un peu de temps libre.
Sur le billet
1/ Je suis allé jadis écouter Allan Stewart Konigsberg souffler dans sa clarinette avec le Funeral & Ragtime Band au Michael’s Pub, à Manhattan. A l’époque,lui et Mia Farrow habitaient chacun d’un côté de Central Park. Contrairement à ce qu’il se plaisait à raconter dans les média, il est très bon musicien. Problème, il joue dans un endroit où la bouffe est chère et infecte. La fausse modestie est un vilain défaut. Ne pas faire honneur d’une bonne table à son public également.
2/ Allan Stewart est un très bon écrivain: sa nouvelle The Kugelmass Episode, hilarant délire sur Emma Bovary et les pouvoirs de la littérature, a reçu en 1978 le prestigieux prix O. Henry de la nouvelle. Quant aux textes figurant dans ses bouquins (Getting Even, Side Effects, etc.), ils ont été publiés préalablement par le New Yorker, le New York Times, la Kenyon Review, autant de revues ou journaux dits « de référence ». Enfin, seul un génie littéraire est capable d’écrire un scénario comme celui de Crimes & délits, son maître film à mon humble avis.
J’espère qu’il profite de sa retraite pour combler ce trou noir
il capitalise mon larbin..
……..L’honneur d’une bonne table………
son maître film à mon humble avis
qui voit à coup sur les génies litteraire..tu dvrais essayer roger la frite avec alesquia
bouguereau dit: à
échange de sacs à merde
Bousemolle a publié son oeuvre maîtresse, 9000 vers intitulés Ode à Maman, aux éditions du Panthéon.
On comprend qu’il soit fâché.
C’est curieux: toute ma vie j’ai attiré les masos. Même ici et même les hommes. J’ai toujours pensé que le nombre de masos était énorme et que cela expliquait le chaos du monde en grande partie.
Maintenant c’est Edel, qui visiblement s’emmerde confiné dans son petit blog. Il faut dire que c’est un Taureau (signe porté sur la chose) et
qui a la Lune en Scorpion, le signe du SM. Ce qui veut dire qu’il doit bien connaître ce petit monde (autant le parisien que le romain – il faudrait lire ses romans pour voir s’il y a dedans du SM déguisé ; mais, n’étant pas maso, justement, ce n’est pas moi qui va perdre mon temps à vérifier si Amette est un petit pervers de la cravache).
Donc, jaloux des raclées qui se prend ici le Pétomane, il veut sa dose à lui de baffes publiques. C’est pour cela qu’il provoque.
L’épisode d’hier, « Martine dans le club SM de la rue T. » a dû le rendre dingue d’excitation. Toute la nuit il en a rêvé et tôt ce matin il a lancé sa petite provocation sachant que son toutou Jazzi, dit le Petit Rapporteur, allait la ramener ici.
Manque de chance pour lui, tous les masos de ce blog commencent à me fatiguer sérieusement… Il y en a trop et sont très lourds.
Donc, Pedel, ce que tu pourrais faire de mieux c’est de revenir dans ta petite paroisse t’occuper de tes ouailles insomniaques, qui attendent avides tes prêches de Normand sur la littérature germanique…
# »par formation et par inclination ». Edel qui tourne en boucle sur lesmemes ecrivains de langue allemande connus surtour dans le toutparis germain.
Cependant, pas plus que l’anglais, je n’ai pas souvenir qu’Edel cause le schleuh en vo.
J’imagine que cette inclinaison est la même qui faisait préférer la tranquillité en compagnie des occupants, à la terreur des envahisseurs venus du ciel.
Ne pas se gourer sur les bons.
Enfin on reconnait bien la, après ses années dans un internat minable, a bouffer du flan industriel, fréquenté par l’ennui permanent, son goût pour les plages putrides, où viennent de s’affaler mollement des vagues couleur kaki, survolées par des mouettes alourdies de mazout.
Non, je ne lis pas Beckett ! ce parisien qui a fini dans une ehpad minable, entouré de confinis, qui n’avaient plus rien à attendre. Etc.
Bonne soirée aussi.
petitix va corriger tout ça, envoyé à la hâte, je n’ai pas le temps.
Bisous.
son toutou Jazzi, dit le Petit Rapporteur
Jazzi serait plutôt le toutou universel. A qui veut… pourvu qu’il ait un peu de pouvoir… Se promène avec une gamelle au cou…
Hurkhurkhurk!
Paul Edel dit: Hamlet, merci de vos conseils. J’en prends note.Mais votre humour-certain- évident- méthodique, régulier, métronomique
»
greubou tu vois quand je te disais que j’ai un humour certain, évident, méthodique, régulier et métronomique tu me crois même pas !
Paul Edel il l’a remarqué de suite parce que lui il sait lire contrairement à toi raclure de greubou !
merci Paul Edel !
Cela nous éloigne un peu de Woody et de Rock Away Beach mais nous rapproche d’Hemingway : un peu du Métier de vivre dans la corbeille à papier de Pavese et l’Afrique.
(Le Quarto me fait défaut à l’instant pour citer exactement les propos de Cesar mais je reviendrai)
.On voit , aussi, en ménage Chaloux et Pablo en ménage, une brosse à dents pour deux,les charentaises fourrées,les diners avec querelles bien batailleuses à propos de Celibidache ou de Jochum,une manière de s’exaspérer l’un l’autre,genre « les célibataires P.Edel
c’est plus amusant dans le regard de P.Edel qu’à en suivre le retour sur la RDL où c’est trop « prévisible » comme on dit; on le voit venir presque
et ça fait presque « trop RDL » à mon gout , ne cherchant peut -être pas tant à me divertir,alors que ça ne fonctionne que parce qu’il y a les mêmes spectateurs , non en « victimes collatérales » mais presque; peut-être n’est-ce pas assez espacé?
mais quand même bonsoir et merci
Sans en perdre Allen. Ho ho ho ! Allen-Haleine. Arff !
Tu avais compris, hamlet ?
là où P.Edel a indéniablement raison, c’est sur les intentions et la réussite d’humour de « Hamlai mon garçon » et où on ne peut s’empêcher de penser qu’en travaillant, il peut sortir quelque chose d’indépendant du cadre de la RDL, et qui « matche »(ou marche)s’il en a le désir et l’occasion; mais c’est à lui et « entre ses mains »;
Janssen J-J
Vous avez tout à fait le droit d’avoir vos têtes, de défendre Ed bec et ongles, de lui assurer un soutien inconditionnel.
En revanche, je ne vous accorde pas celui de m’assigner des motivations qui n’existent que dans votre imagination, de vouloir me faire passer pour une sorte de grand satan, bref de jouer aux gentils et aux méchants (même méthode pour les gendarmes du monde (auto-proclamés) et le gendarme du blog).
Ni celui de m’imposer vos conceptions de ce qu’est ou n’est pas la littérature, ou de la seule approche que vous jugez recevable (paraphrase et distribution de bons points apparemment).
(Au fait, au nom de quelle autorité refusez-vous de vous placer humblement sous le magistère intellectuel de MS quand elle vous explique si expertement la vie, la police, la sûreté, la criminologie, la sociologie, les dérives sectaires ? Je ne comprends pas non plus. Si vous saviez comme cela me déçoit de votre part !)
Des excuses seraient dues si j’avais insulté Ed, si je m’en étais pris à sa personne ou à ses origines, à son mode de vie, ou si j’avais formulé des hypothèses se voulant blessantes sur son milieu, son Q. I., ses revenus, sa sexualité, son hygiène corporelle ou son transit intestinal.
(On lit ça tous les jours sur ce blog sans que ça vous chiffonne trop ; j’ai dit que vous aviez le droit d’être partial, je le maintiens, mais on ne peut pas, EN MÊME TEMPS, se draper dans la tenue du justicier parfaitement équitable, au-dessus de la mêlée.)
Ce doit d’ailleurs être moins vexant, puisqu’elle est à nouveau cul et chemise avec son insulteur (mystères insondables de la psychologie ou de la charité me soufflera peut-être christiane).
Si volée de bois vert il y a eu, et seulement dans un second temps, elle ne concernait que son texte, sans l’éclabousser elle, ni jamais préjuger de ce qu’elle serait ou non capable de faire avec un peu plus d’exigence vis-à-vis d’elle-même.
Mais si son fan club estime que c’est déjà bien beau d’avoir relevé l’incroyable défi de lire un « classique », et que, s’agissant d’une œuvre peu connue, résumer l’histoire suffit bien, pourquoi se donner plus de mal ?
Much ado about nothing.
Ce n’est plus petitix qu’il faudrait signer, mais l’homme aux rubans verts.
ce qui est certain , c’est que ça marche très bien dans le titre de P..Assouline (avec perdre, en faisant signe vers tous nos mots d’esprit sur ne pas manquer d’air et à couper le souffle »(en français), à la différence du titre de Vanity fair/(Woody sans Allen)
Sans en perdre Allen. Ho ho ho ! Allen-Haleine. Arff !
D. dit:
Tu es Normand, D.?
La fâcherie avec Ed était due non seulement à un violent désir de sa part de soutenir une de ses pareilles, en l’occurrence la pauvre et sainte Clopine, mais aussi à une pardonnable erreur d’appréciation: il est certain, quoiqu’on en die, qu’une légère déchirure est susceptible d’être constatée même après un rapport consenti.
Petitx est l’équivalent d’une fuite de camion de vidange. Il sera suivi à la trace.
et je vous « offre »:
Ich bin alleine
Pablo, voilà ! à force de traiter les autres comme des cafards et des insectes, de masos qui viennent sur le blog de passou pour prendre vos « raclée » humiliateur dominant Waffen SS, à force, à force, à force : vous faites fuir tout le monde ! même Paul Edel.
et comme vous avez une grande gueule les autres présents ici pensent qu’effectivement vous mettez des « raclées » à tout le monde…
mais au final, qu’importe qui remporte ces combats de boxe, en le transformant en ring de boxe le grand perdant c’est le blog à passou.
au final avec votre égo surdimensionné vous avez réussi à pourrir l’ambiance de ce blog, dans l’indifférence générale.
On te sent à bout d’arguments, Pétomane. Ton ciboulot ne trouve rien de moins ridicule comme réflexion?
La qualité de tes posts baisse de jour en jour. À ta place je m’inquiéterais…
VARIA
Il y a environ 435 000 agriculteurs en France. Le revenu moyen est de 1300 euros par mois.
Vous êtes d’un extrémisme qui me surprend. (Roland Cayrol à un autre intervenant, dans un débat TV, 2020)
2O personnes en moyenne sont tuées par la police et la gendarmerie en France, chaque année. (Y compris des braqueurs armés et des terroristes). Aux Etats-Unis, c’est environ 1000 personnes par an.
En France, comme dans de nombreux pays, il y a du racisme, mais, il n’y a pas de « question raciale » comme aux Etats-Unis.
(Stéphane Rozès, 2O2O)
Il n’y a pas de couleur pour être raciste.(Claudy Siar, 2020)
L’exercice de l’attention est l’acmé de la conscience. (Maurice
Pradines)
Ce sont des pétochards. (Villiers, parlant de quelques ministres français actuels) (2020)
Le docteur Satan. (surnom du docteur Petiot)
Du temps de ma grand-mère, on acceptait le malheur. (Maître
Jean-Yves Leborgne, 2020)
Penser à Dieu est une action. (Joubert)
Fidéisme (en philosophie) : Doctrine admettant des vérités de foi et s’opposant au rationalisme.
Combien peuvent différer les hommes ! (Las Cases)
La physionomie n’est pas une règle donnée pour juger des hommes ; elle nous peut servir de conjecture. (La Bruyère)
Il y a environ 4 millions de consommateurs de cannabis en France.
Ironie, ire honnie. (Condorcet)
Le revenu médian français est d’environ 1700 euros par mois.
Les minorités vociférantes… (X, 2020)
Ah ! Les sottes gens que nos gens ! (Un valet , déguisé en maître, dans une pièce de Marivaux)
Maudite soit la valetaille ! (id)
Au Québec, « selfie » peut se dire « egoportrait ».
On a proposé de remplacer « one-man-show » par « seul-en-scène ». Cela ne suscite par l’enthousiasme des foules.
Vivre… les serviteurs feront cela pour nous. (Un personnage de Villiers de de l’Isle Adam)
Une garçonnière façon DSK …(X)
Les forces protestataires… (Eric Deschavanne, 2020)
Des experts facebookiens…(id)
C’est une bande de branquignols. A l’Elysée, c’est Zig et Puce font de la politique . (Jean-Luc Mano, 2020)
Charoulet, tout cela va se terminer par une révolution qui remettra le 👑 sur le trône qui lui revient. Depuis si longtemps.
quelqu’un-e se demandant comment (et si! )je pense , je rappelle un auteur que j’aime beaucoup
Penser entre les langues
D’Heinz Wismann
https://www.franceculture.fr/oeuvre-penser-entre-les-langues-de-heinz-wismann
« «Tous les hommes vastes et profonds de ce siècle aspirèrent au fond, dans le secret travail de leur âme, à préparer cette synthèse nouvelle et voulurent incarner, par anticipation, l’Européen de l’avenir», écrit Nietzsche en 1885. C’est à cette tâche qu’Heinz Wismann s’est consacré en interrogeant les traditions intellectuelles qui, dans leurs différences et leurs contradictions, constituent la culture philosophique et scientifique contemporaine. Depuis plus de trente ans, dans ses différentes fonctions – enseignement, édition, conseiller au ministère de la Recherche, etc. –, Wismann a joué en France un rôle décisif dans la vie culturelle et intellectuelle, où il s’est attaché à transmettre et à reconstruire des traditions à l’époque oubliées : les présocratiques (Héraclite), l’idéalisme allemand (Cassirer, Benjamin), etc. L’intérêt de son parcours intellectuel est indissociable de sa fréquentation de tous les milieux culturels, savants, politiques, tant français qu’européens. Ce livre écrit comme une conversation, s’appuyant sur le récit d’une vie, »
je crois qu’il a enseigné à cet autiste aujourd’hui connu Témoignage TED : Josef Schovanec, autiste, entre autreshizy.org › Accueil › Relations › Sociales / Amicales
Un homme brillant, docteur en philosophie, diplômé de Sciences-Po Paris, polyglotte… et autiste Asperger. Mais le super-héros au handicap invisible aime bien …
bonsoir
wizman (que j’ai vu bien sur)
https://www.youtube.com/watch?v=M5ivUxGPQ1s
excuses:
Heinz Wismann
@ l’homme aux rubans verts, x ou X
Exquisément… Je reviendrai demain (ou bientôt) vers vous, car votre réponse circonstanciée mérite pâture. Pour l’instant, souffrez ceci, tout à votre honneur…
Bonsoir,
Monseigneur, puisque vous raillez,
Du vert et du gris que je porte,
Souffrez au zèle qui m’emporte
De vous dire que vous faillez.
Le vert, cette couleur jolie,
Est un blason de la folie,
Comme le gris l’est des douleurs.
Michel Onfray, tout chaud tout fray.
www.http://youtu.be/IQmYNC9AofA
Pablo : à bout d’argument démontrant votre désir de chasser les gens ? pas besoin d’en trouver : lisez-vous, vous donnez vous-mêmes ces arguments :
« Donc, Pedel, ce que tu pourrais faire de mieux c’est de revenir dans ta petite paroisse t’occuper de tes ouailles insomniaques, qui attendent avides tes prêches de Normand sur la littérature germanique… »
3J, ne vous donnez pas cette peine.
Finalement, c’est une excellente chose que ce soit moi (de toute cette courtoise et talentueuse assemblée) que vous ayez sommé de présenter des excuses.
Et c’est un fier service que m’aura rendu Chaloux, en restant dans son registre et son élément naturels.
Au Floridita
ayant évoqué schovanec, je vous joins les premières lignes de celle de wiki, (oui, j’ai lu 2 livres de lui, vu des vidéos):
Josef Schovanec (né le 2 décembre 1981, de parents tchèques, à Charenton-le-Pont) est un philosophe, écrivain français et voyageur autiste, militant pour la dignité des personnes autistes.
Après une scolarité difficile, il obtient une maîtrise à Sciences Po Paris, puis un doctorat en philosophie et sciences sociales à l’EHESS. Il est hyperpolyglotte, puisqu’il parle plus de sept langues dont l’arabe, le persan, l’hébreu et l’amharique. Il découvre d’autres cultures et partage ses découvertes pendant, entre autres, sa chronique sur Europe 1, « Voyages en Autistan ». Il est l’auteur de quatre ouvrages biographiques et récits de voyages abordant la question de l’autisme, dont son autobiographie Je suis à l’Est !. Il réalise aussi des traductions, et tient des chroniques écrites et orales lors d’émissions de radio. Il joue un rôle récurrent dans la série télévisée française Vestiaires, depuis la 4e saison.
Depuis 2007, Josef Schovanec donne de nombreuses conférences et des formations dans le domaine de l’autisme. Connu pour sa voix particulière, son sens de l’humour, sa politesse, sa franchise et sa logique, il témoigne souvent, lors de ces rencontres, sur ce qu’il vit et observe en tant que « personne avec autisme ». Il est présenté par certains journaux et auteurs comme l’un des porte-paroles de l’autisme en France, mais témoigne lui-même qu’il « ne représente personne » et a endossé ce rôle malgré lui. Il se positionne en faveur d’une société plus inclusive pour les personnes autistes et souligne les bienfaits du voyage. En tant que docteur en sociologie et philosophie, il étudie notamment les phénomènes de croyance. »
x, vos colères si distinguées sortent du lot, ce n’est effectivement pas très courant ici où il est d’usage de s’envoyer au visage le pot de chambre
quand ce ne sont pas des menaces, des fantasmes de gnons et autres gentillesses moyenâgeuses.
Chaloux donne dans la scatologie, un problème avec le docteur Freud vraisemblablement.
Microx : Chaloux, en restant dans son registre et son élément naturels.
Seulement avec les emmerdeurs dans votre genre. Mêlez-vous donc de vos fesses.
il esr juste de dire que la critique de x concernant la phrase de Sand citée par Ed à la fin de son blog est des plus justifiées. Il y aurait peut-être une étude à faire sur le symbolisme des noms des personnages.
Pour le reste, ce
qui est résumé parait se situer entre Harlequin, les Civilisés de Farrère, et les Cinq Cent millions de La Begum. N’y avait-il pas plus urgent que de rééditer ça?!
Merci JJJ ! La réponse est dans la question. Le mieux est donc de laisser tomber. J’ai répondu une première fois à une critique que je pensais sincère, et puis j’ai vu qu’il y avait plus une volonté de s’acharner et de rabaisser plutôt que de simplement émettre une objection. Si cela lui fait du bien, laissons-le. Il ne m’empêchera pas de tenir mon blog et aux gens de le lire voire de l’apprécier.
@JC
Vous avez craqué votre slip ou bien ?
@Chaloupe
Exactement. J’ai dû louper les remerciements de clopine d’ailleurs…
« ni aux gens »
Je viens de constituer 2 équipes idéales de rugby (sport de gentlemen par excellence) en puisant dans le vivier de la RdL. Pierre Assouline et moi-même assureront la présidence tournante de ces équipes après tirage au sort.
Equipe 1 :
Pablo 75 et Chaloux : piliers
Paul Edel : talonneur
M. Court : demi d’ouverture
Christiane : centre
Rose : centre
Marie Sasseur : ailière droite
Soleil vert : ailier gauche
Equipe 2 :
Hamlet et Et Alii : piliers
Jazzi : talonneur
P. Charoulet : demi d’ouverture
DHH : centre
Renato : centre
Clopine : ailière gauche
X : ailier droit
Jenssen : arbitre de terrain
Ed : arbitre de touches
Bloom : chauffeur du mini-bus n° 1
De nota : chauffeur du mini-bus n° 2
B + D. : restauration et soins, pom-pom girl/boy, intendance vestiaire
bouguereau : speaker, DJ, animation 3ème mi-temps
« visage ingrat »
Pas d’accord ! Il a de beaux yeux.
3J, ne vous donnez pas cette peine
mais si mais si..les gonzesses méritent bien qu’on sen mette quelques unes..plus que les droits a précéder dans lédition à meussieu courte..
animation 3ème mi-temps
toutafé alesquia
Le mieux est donc de laisser tomber
hum..faudrait qula gonzesse ait un peu plus lsens du géne égoiste..
@Chaloupe
Exactement. J’ai dû louper les remerciements de clopine d’ailleurs…
commerce triangulaire..
Pas d’accord ! Il a de beaux yeux.
Globuleux.
il est certain, quoiqu’on en die, qu’une légère déchirure est susceptible d’être constatée même après un rapport consenti.
..houtch..c’est dl’éthologie ou quelquechose alesquia..ça ne nous regarde pas
Pierre Assouline:« Un écrivain ne peut pas écrire n’importe quoi. »
https://www.letemps.ch/culture/pierre-assouline-un-ecrivain-ne-ecrire-nimporte-quoi
Le problème, quand il a commencé, c’est la distance de freinage.
Hurkhurkhurk!
Dans ce « n’importe quoi », il doit y avoir une ivresse. Ce qui est curieux, c’est de paraître ignorer à ce point sa propre ivresse du « n’importe quoi ».
@ X
Je viens de vous faire une très longue réponse courtoise et cironcstanciée… Je pensais que vous auriez été heureux de la recevoir. Elle n’est pas passée, j’ignore pourquoi et cela me met un brin en rage (oubli de garde par copier-coller préalable)… Impossible de la recommencer… Tant pis pour vous, MC, pour moi et pour TTLT… J’ai bien lu vos mises à jour ultérieures…
tiens revoilà le boumol et ses bafouillis d’avacho tout partout avec monsieur courte minuscucule
Depuis qu’il a quitté la considérable petite Belgique, Rogiers tombe en extase devant chaque caillasse qui lui rappelle la belgitude. N’est pas Rodenbach qui veut, reste le sujet tousscollabos, balais-chiotte des historiens à la ramasse.
bah 3j..vu qu’dédead la joue fille a son daddy on va srabattre sur meussieu courte..faute de grive qu’elle dit lucienne
Mais on ne peut pas pour autant écrire n’importe quoi. On ne peut pas attribuer à quelqu’un qui a existé des actions, des idées, des propos contraires à ce qu’il a dit et fait.
on ne devrait pas , même si on se considère erdélien d’origine
bonne journée
mon larbin cause comme un sousfifre ouanabi du 36..il va nous autoéditer des tomes et des tomes de l’inspecteur pue la merde..
Elle n’est pas passée, j’ignore pourquoi
Sans doute la Divine Providence.
Amen!
La bousemolle arrive de plus en plus tôt au travail. Ses potes soraliens veulent plus se faire bouffer le cul à Potron-Minet. Ça libère son planning.
Hurkhurkhurk!
News
« Et les ombres chères surgissent… »
https://www.psychanalyse.be/tag_cd/tache-aveugle/
comme je l’ai signalé aux personnes qui veulent ici jouer les psychanalystes:
« Force est de constater qu’à partir du fondement théorique initial se sont constitués des prolongements souvent importants et originaux qui aboutissent à des orientations spécifiques voire divergentes. Quelques fois aussi à des scissions souvent violentes, parfois douloureuses. Mais toujours à des manifestations hautement narcissiques soucieuses de l’originalité du territoire constitué.
Le kleinisme dans le courant anglophone, le lacanisme dans le courant francophone, le “ferencsisme” dans le courant germanophone sont peut être des résurgences analogues à cette confusion sémantique repérée à propos de la notion de névrose infantile comme si chacun de ces courants tentaient à leur manière de restaurer une partie du domaine enfoui, abandonné ou dénié dans la démarche freudienne ainsi que l’exemplifie J. BERGERET à propos de sa relecture du Petit Hans. »lien communiqué »
Apparemment, Phil n’aime pas le rugby…
Quelle chance pour vous, Phil, Pat V., Delaporte, Guisèle, JC et Lavabo, que l’oubli sur la touche de cette Divine Providence.
@ Alesquiane (en walter spangherro du fig-mag ?) : … en dirèque d’oyonnax, à vous Cognacq-Jay !
MC
La Ville noire, c’est beaucoup plus que ce que vous pensez. Ici une analyse approfondie de ce roman ouvrier. Je n’ai pas abordé la défense du socialisme parce qu’elle est exprimée uniquement dans le dénouement, mais c’est fort intéressant.
pour dire bonjour à Bloom
une traductrice ex-journaliste ,originaire de NANTES, présente brièvement sa bio:
. J’ai d’abord été journaliste polyvalente avant de devenir chef de rubrique Culture, assistante de la rédactrice en chef, rédactrice en chef, puis directrice de la publication. Tout cela en dix ans. Passer d’un quotidien régional en France à un magazine mensuel aux Etats-Unis, c’est un peu le grand écart. Mais à côté des rédactions parisiennes étouffantes et très hiérarchisées que j’ai pu fréquenter à Paris, c’était surtout vivifiant. A New York, j’ai découvert que le journalisme de terrain n’était pas différent qu’ailleurs. Mais d’un borough à l’autre, parfois même d’un block à l’autre, le vocabulaire et l’accent diffèrent. Il a fallu un petit temps d’adaptation pour déshabituer mon oreille au Queen’s English enseigné à l’école et me faire à l’anglais américain et au broken English.
https://www.le-mot-juste-en-anglais.com/2020/06/gu%C3%A9nola-pellen-linguiste-du-mois-de-juin.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2Fle-mot+%28Le+mot+juste+en+anglais%29
ED, il faut se méfier des élans socialistes de George Sand. Voir ses commentaires à propos de la Commune.
@ MC
encore une déception matinale. Comment peut-on écrire ceci : « il esr juste de dire que la critique de x concernant la phrase de Sand citée par Ed à la fin de son blog est des plus justifiées ».
Comment peut-on porter pareil jugement de valeur en justesse sur une opinion subjective des plus mal justifiées ?…
en dehors d’un simple « effet de solidarité professoriale » renvoyant l’étudiant.e à ses chères études, où deux grands « esprits » entendent communier dans la défense de leur « corps » (oration) ?
Car enfin, qui a parlé de rééditer (sic) un bouquin de Mme du Derrière, situé dans un espace confiné entre Harlequin, les Civilisés de Farrère, et les Cinq Cent millions de La Begum ???
Parfois, on s’imagine les gens estimables mieux inspirés. Mais non, il n’y a pas de raison de surestimer qui que ce soit. La déception est toujours tôt ou tard au rendez-vous… Un temps, quoiqu’on en dise…
MAIS J’AIME TROP POUR QUE JE DIE QUI J’OSE AIMER, ET NE SAURAIS POUR UN EMPIRE VOUS LA NOMMER
(scuzzi pour les MAJ… ne connais pas l’usage de l’arme de l’italigue sur cette chaine ni ne veux le connaître)
Quelle imagination du mépris et quelle science de la littérature comparée !!!
Phil, loin de connaitre toutes vos armes de défense à moins que vous soyez passé à l’offensive, j’attends sans attendre de l’aigle perché sur son sommet une réponse à mon inculte questionnement. Comment rattacher et par quels bouts votre dernier post à ce qui précède. Quels sont les rapports?
Dois-je comprendre que je dois des remerciements à Ed pour… Euh, au fait, quoi exactement ?
Bon, ça doit être de ma faute, j’ai dû encore zapper un truc.
Merci, Ed… A toutes fins utiles…
Je me souviens plus de la réprobation et de la déception de Sand en face de la défaite et la capitulation devant les prussiens que de sa condamnation de la Commune.
C’est que Phil n’a pas passé les sélections. On lui a alors proposé de s’occuper du pop-corn mais -allez savoir pourquoi- il a décliné.
Clopine, nous avons raté le même truc. Sûrement un de ceux du cryptage.
Béret Naïce, je puise rarement ce que je sais dans votre souvenir.
Clopine, c’est notre fille au loup ,le pendant de FREUD mais elle ne parle pas à DIEU, comme le père de Hans(voir le lien)
Doublement honoré de partager avec Paul Edel la place de talonneur, Alexia N. (qui a l’air de s’y connaitre en rugby autant que JC et largement plus que moi) !
« Si leur puissance est nécessaire pour les épreuves de force que constituent les mêlées, ils sont également utilisés dans le jeu pour percuter la défense au ras du regroupement et faire reculer les adversaires. Le poste de talonneur constitue l’un des postes clés… »
B
Vous êtes si vieille que ça 😉
Bon sinon Chaloux je crois que l’auteur de l’article parle de cette évolution chez Sand. Je ne suis pas spécialiste de ses prises de position.
Clopine
Laissez tomber. Tout le monde s’en souvient mais c’est pas grave…
Je ne mettais pas en cause votre savoir de Sand. J’espérais que vous raffraichiriez ma mémoire défaillante. Je préférerais l’amnésie aux souvenirs, vous concernant. Il reste des indélébiles, hélas. Et des douleurs rhumatismales vraisemblablement à moins que ce ne soit une atteinte psychosomatique dont le nom m’échappe (fibromyalgie?). Je finirai démente sénile pour ne pas encombrer votre vieillesse.
Alexia Neuhoff dit: Je viens de constituer 2 équipes idéales de rugby
»
moi je veux bien faire un match de rugby à condition que tous respectent les distances de sécurité C19.
surtout dans les mêlées.
@Alexia, vous avez raison de ne pas m’enrôler sur le terrain de rugby car j’ai le physique d’un cycliste, par contre, vous avez tort de me confier la conduite d’un mini-bus car je ne sais pas conduire.
tous sauf Jazzi.
hé, bousemolle nous ressort son larbin, le même que renfield-tèrezoune qu’il irait keupeupurien, l’avachi partout
ED, je pourrais être votre mère comme Chaloux votre père, 3J votre grand père? renato sans doute possible si 3J n’avait pas l’age requis occuperait symboliquement ce rang dans votre arbre RdL.
de nota je veux bien échanger ma place avec vous.
par contre je me vois mal conduire un minibus.
on a le droit transporter les joueurs en Maserati ?
Moi je suis contente, je vais enfin pouvoir approcher D aux postes qui nous sont octroyés. Quelle rigolade ça va être.
« comme je l’ai signalé aux personnes qui veulent ici jouer les psychanalystes »
Que pensez-vous du rêve récurrent de Pablo75, et alii ?
Lui, totalement bilingue, français/espagnol, ne rêve jamais dans l’une de ces deux langues, contrairement à vous !
En revanche, il rêve qu’il se retrouve généralement dans une ville étrangère inconnue dont il ne connait pas la langue en ayant oublié le plan à l’hôtel et en ne se souvenant plus du chemin pour y retourner.
J’y vois une réminiscence culturelle du mythe du Petit Poucet ?
La peur de l’abandon ?
Pour que l’on en sache un peu plus sur l’inconscient de Pablo75, il faudrait qu’il nous en dise plus : comment, par exemple, est-il arrivé dans cet hôtel et d’où venait-il ?
« je vais enfin pouvoir approcher D »
B pas à moins d’un mètre selon la législation en vigueur, à moins qu’il ait le bras très long ça m’étonnerait qu’à cette distance il puisse vous pincer le popotin.
Moi je sais piloter tout un tas d’avions et d’hélicoptères si ça peut être utile.
Je sais également voler à basse altitude sans aucune aile. J’en ai déjà parlé ici.
ce matin, une femme de la côte d’ivoire m’a raconté que son neveu , recteur de l’université, était mort;elle ne savait pas de quoi(on a un peu parlé du covid;c’est une femme de 6O ANS qui en parait 40, a fait du judo, et dont un enfant est au canada;elle a 11 petits enfants,et a travaillé à l’hosto puis a rempilé un autre job, l’âge dela retraite venue; quel caractère, quelle énergie de vivre cette femme, elle s’appelle mélanie
« Que pensez-vous du rêve récurrent de Pablo75, et alii ? »
que pensez-vous aussi de se désir de voir en l’autre des cafards et des insectes, et aussi cette obsession récurrentes chez lui des pratiques SM avec l’usage répété de mots comme « fessée » ou « raclée » ?
selon vous ça vient d’où ?
vous avez raqison, jazzi, c’est très intéressant, cette histoire de langues dans les rêves, surtout si on pense qu’après certains « chocs » certaines personnes se réveillent en parlant une langue étrangère; mais vous pourriez fouiller pour « un goût des langues » (voyez les langues apprises par schovannec ,l’asperger, ce n’est pas une question de « snobisme » ! )
hamlai, mon garçon, relisez FREUD ?sur « on bat un enfant » vous pouvez vous servir du lien BELGE que j’ai envoyé !
« Du centra à la périphérie, de la périphérie au centre » birn à part, il fait quoi, au juste, le centre.
le parler en langues mainant..chiure de psy
J’en ai déjà parlé ici
ya que la connerie quest perfomative ici dédé..tu vas phinir chef descadrille de larbin
et alii intéressant, vous pourrez aussi analyser ma question ?
j’ai oublié les insultes comme « Pétomane » ou « la Chiasse » : y voyez-vous un rapport avec un stade anal qui se serait mal passé ?
jazzi, j’évoquais ça (bien connu) mais c’est une énigme passionnant sans faire du spiritisme!
Question de la semaine : comment peut-on après un coma parler une langue jamais apprise ?
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/question-de-la-semaine-comment-peut-on-apres-un-coma-parler-une-langue-jamais-apprise_113407
. Plus récemment, en février 2015, Sciences et Avenir a rapporté le cas d’une Chinoise de 94 ans, qui s’est réveillée d’un coma (provoqué par un AVC), en ne s’exprimant qu’en anglais, langue qu’elle n’avait plus parlé depuis 30 ans. Dernièrement, en octobre 2016, c’est au tour d’un footballeur américain de 16 ans, tombé dans le coma après avoir reçu un violent choc à la tête, de se réveiller en ne connaissant plus que quelques mots de sa langue maternelle, mais en étant bilingue en espagnol (avec l’accent), alors qu’il ne possédait que quelques bases de la langue de Cervantes avant son accident… Au total, depuis 1941, une cinquantaine de cas liés au syndrome de l’accent étranger ont été rapportés dans le monde.
et alii dit: hamlai
»
hamlai = hamlaid = hamlaide = âme laide ?
ou hamlai = hamlait = jambon de cochon de lait ?
biEn à part — et le ? en fin de phrase…
MAIS J’AIME TROP POUR QUE JE DIE QUI J’OSE AIMER, ET NE SAURAIS POUR UN EMPIRE VOUS LA NOMMER
trop égoiste le gêgène..j’aime bien la jojo..et sa tombe cerclée..jlui chtrai jamais la pierre..le socialisme utopique est trés hémouvant en cela qu’il veut honorer les hommes vivants pour ce qu’il sont et non pas les sacrifier pour dotes en raison dcque lhestoire en a fait..
Je ne vois aucun snobisme dans le goût ou le don des langues, et alii. Et je regrette plutôt de faire un blocage à ce niveau là ! Un peu comme pour la musique…
hamlai, vous savez bien que je ne m’improvise pas « psy » vous aurez plus de chance à vous plonger dans la littérature psy et de psychanalyse d’enfants , sans préjugés de langues! je suis sure que vous pourriez en parler avec un vrai psy de votre curiosité: il vous ouvrira une vraie bibliothèque professionnelle
« Au total, depuis 1941, une cinquantaine de cas liés au syndrome de l’accent étranger ont été rapportés dans le monde. »
encore de la propagande pour le capitalisme mondialisé.
et après on s’étonne qu’on ne fabrique même plus de masque de protection en Europe….
ne vous inquiétez pas jazzi de vos « blocages » (un jour j’ai dit à mon premier psy qui essayait de me caser un RV « vous débloquez »!
eh bien débloquez un peu, jazzi, égarez-vous dans ces littératures, sans honte et sans reproche;(c’est à moi qu’on a reproché du « snobisme » !)
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