Al Dante !
Qu’une langue puisse faire l’objet d’une exposition temporaire dans un musée, cela se conçoit ; mais qu’il y soit exclusivement dédié en permanence, cela fait rêver. Par réflexe, on cherche des précédents, dans l’esprit du Musée de la langue portugaise à Sao Paulo ; en vain, y compris dans la riche histoire mondiale des musées (Gallimard, 2020) de Krzysztof Pomian mais il est vrai qu’il ne s’agit que du premier de trois tomes, s’interrompant en 1789, alors sait-on jamais. Le projet ne sort pourtant pas de l’imagination d’un artiste conceptuel mais bien d’une volonté politique : celles, conjuguées, du maire de Florence Dario Nardellale et du ministre italien de la Culture Dario Franceschini. S’ils ne l’ont pas inventé, du moins l’ont-ils porté dans l’espoir d’inaugurer le musée de la langue italienne le 25 mars prochain afin de coïncider avec la « Dantedi » , décrétée par le gouvernement journée d’hommage national pour le 700 ème anniversaire de la mort de Dante Aligheri, père de la langue italienne natif de Florence ; le 25 mars précisément car il aurait entrepris le voyage initiatique retracé dans la Divine comédie à cette date, approuvée par le comité des célébrations dédié à « il sommo poeta », placé sous la direction du philologue Carlo Ossola, professeur au Collège de France ( il y est titulaire de la chaire « Littératures modernes de l’Europe néolatine »).
On s’en doute, la date ne sera probablement pas tenue en raison des effets de la crise sanitaire que traverse l’Italie. Mais, « anno dantesco » oblige, le musée verra bien le jour cette année selon ses promoteurs, dans l’un des trois anciens cloîtres de l’ensemble conventuel Santa Maria Novella, basilique construite à partir de 1246 par les Dominicains pour en faire tant un centre de prédication qu’un foyer de vie intellectuelle, sur la place du même nom, au cœur de la ville ; et si la restauration de l’édifice n’est pas achevée à temps pour permettre son aménagement, il faudra se contenter d’«une chambre virtuelle » qui donnera un aperçu… virtuel du musée, ce qui se fait beaucoup depuis un an !
On y trouvera des salles d’exposition et des bibliothèques, le tout nimbé comme il se doit désormais du dernier cri technologique. Le coordinateur du projet est Luca Serianni, professeur d’histoire de la langue italienne à l’université de Rome « Sapienza », auteur d’une grammaire de référence et vice-président de la société Dante Alighieri. Nul doute que la commission ad hoc qu’il a constituée réunit les principales institutions italiennes dévolues à la langue. Comme la subvention de 4,5 millions d’euros de l’Etat n’y suffira pas, il faudra bien se tourner vers le financement privé ; les organisateurs, qui y ont réfléchi, ont l’intention de solliciter « le secteur oenograstronomique » en créant à cet effet des circuits et des parcours mettant en relations les mots, les plats et les vins…
Les simples visiteurs de même que les universitaires, les étudiants et les lycéens y trouveront retracée l’histoire de la langue italienne et son évolution du Summa dictaminis du cardinal Tommaso da Capua (mort en 1243), considéré comme l’un des monuments de la diplomatie médiévale, à nos jours, autrement dit l’italien tel qu’il s’écrit sur Twitter, en passant par toutes les évolutions du dialecte toscan dans lequel s’est enraciné la langue nationale. Pas sûr que ce soit là « la meilleure façon de se souvenir de Dante », comme le croit le ministre, mais il ne faut jurer de rien. A une époque où interagir est devenu la panacée, où le ludique et le numérique sont l’alpha et l’oméga de toute entreprise culturelle, on y écoutera, on y verra, on y jouera et, le dernier mais pas le moindre, on y lira les textes de Boccace, Pétrarque, l’Arioste, Galilée, Machiavel, Leopardi, Manzoni, d’Annunzio et d’autres encore.
La « Dantedi » aura d’ores et déjà réussi un miracle : à l’issue d’un débat aussi historique, littéraire que politique, la mozione soumise au vote des députés a fait l’unanimité absolue au Parlement.
(« Dante con in mano la Divina Commedia, 1465″ tempera sur toile de Domenico di Michelino, nef de Santa Maria del Fiore, Florence)
1 582 Réponses pour Al Dante !
« dans des paysages désolés et miséreux de l’aprés guerre en italie. »
Comment et pourquoi Fellini est-il passé du néoréalisme au baroque, Paul ? Il a commencé par tourner en extérieur et il est revenu vers le tournage en studio. C’est de l’anti Nouvelle Vague !
bouguereau dit: à
Les plats de pauvres, devenus plats de riches
La morue.
christiane dit: Puck,
Je vais vous répondre plus tard sur mon clavier d’ordinateur car le smartphone est décourageant !
»
prenez tout votre temps Christiane, nous ne sommes pas pressés.
Avez-vous remarqué combien le monde a changé au cours de ces dernières années ? La société française s’est totalement métamorphosée, à un tas de niveaux différents, les mentalités ont tellement changé, si rapidement, difficile de trouver le moindre élément représentant un semblant de stabilité au sein de tous ces mouvements.
tout ça pour dire que vous pouvez prendre tout votre temps pour me répondre, d’autant que je me déshabitue à conversation, au fil du temps elle me semble de plus en plus ennuyeuse, alors c’est vrai je préfère parler seul, c’est que je m’amuse tellement tout seul, parfois je me fais même rire aux éclats en lisant ce que j’écris ici.
C’est que, voyez-vous Christiane, je fais partie de ces gens qui ont commis trop de péchés au cours de leur vie, le rire n’est-il pas le seul moyen d’échapper à la honte et la culpabilité, et comme je ne lis qui me fasse vraiment rie je sus bien obligé de l’écrire et ensuite le lire comme un autre l’avait écrit en m’écriant « mon Dieu comme c’est drôle ! ».
J’ai détesté ce personnage de Baskerville ! ce monsieur je sais tout représentant d’une église éclairée, c’est nul, d’ailleurs à la Révolution les types ont zigouillé tous les curés parce qu’eux non plus ne croyaient pas à la possibilité d’un prêtre des Lumières comme Baaskerville, il n’y a qu’Eco pour nous faire avaler de telles balivernes !
Par contre j’ai bien aimé le personnage de l’abbé, j’ai bien aimé sa peur, il imagine qu’il peut encore ce qu’il reste d’humanité en ce monde en empoisonnant ces bouquins de philosophie grecque qui ont empoisonné l’occident de toutes leurs prétentions à imaginer l’homme plus grand qu’il n’est en vérité !
du coup prenez votre temps.
bouguereau dit: à
Le printemps, qu’on sent arriver en ville plus qu’à la campagne
C’est vrai : nous, à la campagne, nous y sommes déjà, ah ah.
———
et rabbinesque non ? Dans les gorges de la Nesque.
Meghan Markle ne l’emportera pas au Paradis, je vous prie de me croire.
On ne se joue pas impunément de la monarchie de droit divin.
Elle s’est elle-même attirée une terrible malédiction. Pending.
Puck,
Restez dans votre bulle.
DHH
« Mais quand une population voit ou est incitée à voir dans une epidemies l’expression d’un châtiment divin à l’encontre d’ une population pécheresse »
Par rapport à votre réflexion avec Jean Langoncet et vos mots à partir de la dent d’or et du texte de Thucydides, me souviens intensément lors de cet évènement
« Le 26 décembre 2004 à 7h58 locales, un séisme de magnitude 9,3 provoque une vague géante dans l’océan Indien. Au fil de la journée, ce tsunami dévastera douze pays et fera plus de 230’000 morts, en Indonésie et au Sri Lanka principalement » d’un reportage télévisé sur une plage du Sri Lanka ravagée après le séisme : un homme jeune et pauvre allait vers une statue de Boudha (?) et disait au journaliste « c’est parce que nous n’avons pas suffisamment rendu hommage et été fidèles que nous sommes punis. »
Il y a cela en l’homme. Cette culpabilité liée à ses propres actes qui, lorsqu’il les commet, sait qu’il est en faille par rapport à un équilibre donné mais les commet quand même. Une arrogance ou bien une manière de narguer la mort, je ne sais.
Chez Roger Grenier, dans son analyse de La Peste de Camus, il y a nettement une action politique, une dénonciation du fascisme de la part de Camus.
Ville ou campagne, c’est une fausse querelle. Le printemps s’installe partout en quelques heures. La preuve !
___________________________
MAURIZIO DE GIOVANNI
Le printemps est arrivé à Naples
C’est à Naples, qu’il connaît comme sa poche, que le commissaire Ricciardi, le héros récurrent de Maurizio de Giovanni, assiste à l’arrivée du printemps. Après l’hiver, et avant l’été et l’automne, l’auteur italien publia Le printemps du commissaire Ricciardi. Un polar climatique et historique, situé à l’époque mussolinienne, comme les autres titres de la série. Jeune commissaire, ce dernier présente une étrange particularité : il voit la souffrance des morts et les entend parler. Un don bien pratique pour résoudre des énigmes, même si l’intéressé le considère plutôt comme une malédiction ! Alors que le printemps s’installe discrètement sur la ville, la vieille Carmela Calise, cartomancienne et redoutable usurière à ses heures, est retrouvé sauvagement assassinée à son domicile de la Sanità, un quartier populaire de la ville. Maurizio de Giovanni nous propose ici un roman noir, subtilement agencé, qui a pour cadre le Naples des petites gens et de la maffia (qui n’est pas sans rappeler ceux d’Elena Ferrante, mais situés, eux, à une période ultérieure), et où tous les personnages reliés à la scène du crime sont présentés dans le sillage du commissaire Ricciardi et de son adjoint, le brigadier Maione. Sans oublier le principal protagoniste de cette sombre histoire, le printemps, dont l’auteur va noter, heure par heure, l’influence, plus ou moins pernicieuse, que la nouvelle saison va exercer sur la ville et ses habitants.
« Le printemps s’installa à Naples le 14 avril 1931, peu après deux heures du matin.
Il arriva en retard et, comme toujours, poussé par un vent nouveau qui soufflait du sud et succédait à une averse. Les premiers à s’en apercevoir furent les chiens, dans la cour des fermes du Vomero et dans les ruelles proches du port. Ils levèrent le museau, humèrent l’air, puis après avoir soupiré, se rendormirent.
Son arrivée passa inaperçue, pendant que la ville prenait deux heures de repos entre nuit noire et premières lueurs de l’aube. Il n’y eut ni fête, ni regrets. Le printemps ne prétendit pas qu’on lui fît bon accueil, il n’exigea pas d’applaudissements. Il envahit les places et les rues. Et, patient, s’arrêta au seuil des maisons, et attendit. (…)
Il [le commissaire Ricciardi] aimait sortir le matin de bonne heure. Peu de monde dans les rues, peu de bruit à part les appels lointains des premiers marchands ambulants. Pas de regards à croiser, aucune nécessité de se tenir tête baissée pour éviter de montrer son visage, ses yeux.
Il savait son odorat très développé ; encore un mauvais point, car il y avait beaucoup plus d’odeurs désagréables que d’odeurs plaisantes. Pourtant, certains matins comme celui-là, malgré les relents qui montaient des quartiers insalubres, on sentait le parfum de la colline verdoyante l’emporter sur celui de la mer. Cela lui rappelait les odeurs du Cilento où il était né et où, sans le savoir, il avait été heureux pour la dernière fois de sa vie. Fortino : la nature primitive, luxuriante, qui accueillait les hommes comme l’aurait fait une mère.
Un plaisir mêlé d’inquiétude : il savait ce qui allait se passer. Le printemps, pensait Ricciardi en marchand vers la piazza Dante, jouait avec les âmes comme avec les feuilles des arbres ; à l’image des plantes austères et sombres par nature qui devenaient folles à cette saison et arboraient des couleurs criardes, les personnes les plus équilibrées pouvaient se mettre en tête les idées les plus saugrenues.
Bien qu’il eût à peine plus de trente ans, Ricciardi avait vu, et voyait quotidiennement de quoi pouvait être capable un homme, même celui qui semblait moins enclin au mal. Il avait vu et continuait à voir beaucoup plus qu’il ne l’aurait voulu ou demandé : il voyait la douleur. (…)
Le brigadier Raffaelle Maione prenait son café sur le balcon en contemplant le panorama. (…)
Tandis que l’obscurité cédait la place aux premières lueurs de l’aube, Maione huma l’air comme l’avaient fait les chiens quelques heures plus tôt. Aujourd’hui, le parfum était différent. Cette fois c’était peut-être la bonne : l’interminable hiver tirait à sa fin. (…)
Au milieu de la matinée, à mesure que forcissait le vent du sud, arriva un parfum indéfinissable, et plus qu’un parfum, une sorte d’arrière-goût, de senteur. Il était fait de fleurs d’amandiers et de pêchers, d’herbe nouvelle, d’écume de mer brisée sur les rochers lointains.
Personne ne le remarqua, pas d’emblée, mais quelqu’un s’aperçut qu’il avait ouvert le col de sa chemise, en avait déboutonné les poignets, avait rejeté son chapeau en arrière. Et une sorte de bonne humeur, comme lorsqu’on attend quelque chose de positif, on ne sait pas quoi au juste, ou qu’il est arrivé une chose agréable, même minime, à un ami : on se sent bien, mais on ne saurait pas dire exactement pourquoi.
C’était le printemps qui dansait : il tournoyait léger, encore jeune, joyeux, ignorant de ce qu’il allait apporter, mais avec la volonté de bousculer un peu l’ordre des choses. Sans arrière-pensées, juste une envie de brouiller les cartes.
Et le sang et les gens. (…)
L’air se réchauffait d’heure en heure, les paletots avaient presque tous disparu, et on commençait même à apercevoir quelques canotiers.
Dans les maisons aux fenêtres ouvertes on tirait des placards vestes et jupes légères, oubliées pendant le long hiver et on chantait et on se disputait à haute voix, pour le plus grand plaisir des commères à l’affut sur leur balcon.
Dans la rue, la brise renforcée par l’odeur de la mer s’amusait à faire voler les chapeaux et à briser les branches. Hommes et femmes qui pendant des mois s’étaient croisés sans échanger un regard s’observaient maintenant avec attention, s’envoyant, cachés derrière un sourire, de silencieux messages. Des sentiments assoupis se réveillaient : attirance, tendresse, envie, jalousie. »
(« Le printemps du commissaire Ricciardi », traduit de l’italien par Odile Rousseau, Rivage/noir © Éditions Payot & Rivages, 2013)
Ariane Bieou
@ariane_bieou
·
24 avr. 2020
“Le soleil c’est un italien qui l’a inventé!” #Christophe Hommage vibrant-Omaggio da brivido
@VillaMedicis
#Rome Merci
@ARTEfr
Grazie
@ARTEita
@FranceenItalie
@IF_Italia
@GaillardSte
@ChloeSiganos
https://arte.tv/fr/videos/055978-000-A/christophe-a-la-villa-aperta/
“Le soleil c’est un italien qui l’a inventé!”
Dante ?
Ou bien Enzo ?
https://youtu.be/Wszq3iyVm7M
Piazza Dante, Napoli, mi cuore
https://www.google.com/maps/place/Piazza+Dante/@40.849022,14.2486589,17.26z/data=!4m5!3m4!1s0x133b0965f79940d1:0x2faaee6e3bff7c8f!8m2!3d40.8488793!4d14.2501453
Paru en français cette semaine, le récit stupéfiant du trip de Foucault sous acide dans la vallée de la Mort, en Californie, apporte une réponse – et pas des moindres. Simeon Wade a alors 30 ans ; il est maître-assistant à Claremont College, à l’est de Los Angeles, où il rêve de faire venir celui qu’il appelle le plus grand penseur de tous les temps – et c’est à la sortie d’une conférence à Irvine que le copain de Wade Michael Stoneman, le bien-nommé, plus francophone et moins intimidé, propose à Foucault de venir parler à Claremont et d’y découvrir le désert.
Celui-ci finit par accepter de venir quelques jours, et débarque en mai 1975 chez Simeon et Michael. Dans une Californie dont tout, dans le récit de Wade, semble le réjouir, le soulager de la grisaille de Paris et de (…)
Pas abonnée Janssen J-J, dslée
Complètement déjanté : une mienne amie y a oublié son compagnon dans la vallée de la Mort.
Hormis Zabriski Point*, dont il faudrait voir le film un jour sur grand écran, puis Mulholland drive sûrement, la vallée de la Mort, où même la nuit il fait soixante dix degrés sous la voie lactée, quand vous y entrez et êtes normalement constitué, votre idée première est d’en sortir, as soon as possible.
* https://www.pandotrip.com/zabriskie-point-the-iconic-site-in-the-death-valley-usa-11218/
nota bene : quant au lsd, les effets dévastateurs soixante ans sont encore vivaces. Ne pas éviter, fuir.
nota bene bis : montagnards et marins suffisent à m’esbaudir. Pas de paradis artificiels : pazun.
Il y a cela en l’homme. Cette culpabilité liée à ses propres actes qui, lorsqu’il les commet, sait qu’il est en faille par rapport à un équilibre donné mais les commet quand même. Une arrogance ou bien une manière de narguer la mort, je ne sais
hallons drh tu sais bien que tes mauvais actes rompant un fameux équilibre donné c’est encore une manière de te donner quelqu’importance..et quelque conséquence au monde..c’est mathématique
quant au lsd, les effets dévastateurs soixante ans sont encore vivaces. Ne pas éviter, fuir
le mal des ardents des riches rosy
bouguereau dit: à
Personne ne sait
Ce qui prévaut lorsqu’on lit les lettres d’amour des autres, du découragement, de la perplexité ou de l’agacement
L’admiration
hallons..une de perdue 10 de rtrouvées drihihon
Le mal des ardents, pour les riches, le mal aux dents chez les pauvres
Mais ce n’est qu’en 1777 que l’origine de ce fléau fut découvert grâce aux travaux de l’Abbé Tessier. Avec la peste, le mal des ardents était un des grands fléaux du Moyen-Age. De couleur noirâtre, l’ergot de seigle se présente sous la forme d’une excroissance, un sclérote, qui s’accroche aux épis de seigle.
Pas de paradis artificiels : pazun
en même temps..larche de noé sauva nos pères mais le pernod fils qu’il dirait polo
Accrocher les jambes à son cou, fuir à toutes jambes
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ergotisme
le pernod fils.
Reste le saint esprit
le père, no fils, le saint esprit
La morue
la belle coute la peau du cul..tiens rosy..les portos dans les campagnes y disaient que les filles devaient manger la peau..que ça leur faisait des gros lolo..où qu’ça va sloger toudmême
J’ai détesté ce personnage de Baskerville !
cadfael était une cocassrie gothique clean dune angliche..je le voyais marchand avec des docmartin..baskerville un couillon sur échasse
et tant pis pour le Petit Célinien
est ce que je le mérite..par votan chaque pays a sa fort bonne mythologie
christiane
Il y a comme cela des instants de bonheur, ici. Comme l’espace immense traversé par Providence et se posant avec tant de précision sur cette planète lointaine, si lointaine. Un autre rêve aussi fou que le premier avion qui s’est élancé dans le ciel, la première étincelle jaillie de deux silex, le premier signe tracé pour transmettre.
Christiane
persévérance, mais peut-être l’une menant à l’autre 🙂
Et puis avec Ginger et Fred Fellini est revenu sur le tard au realisme , mais pour porter un regard desabusé et amer sur qu’était devenu une l’Italie qui avait perdu son âme
Le monde misérable et laborieux à la vie âpre dont il peuplé avec tant de finesse et d’intelligence ses premiers films, Il bidone ,la Strada , ,a laissé place à une societé décervelée, a laquelle la modernité et le confort venus avec les trente glorieuses n’ont rien apporté d’autre en fait de culture que la vulgarité off shore de la télé berlusconienne
On peut aussi ajouter que ce film ne se remarque pas par une ambiance hypersexuelle
antoni couine c’est quune bite polo
(petite réserve sur cette scène de I’m Not There ; le guitariste qui accompagne Dylan sur Maggie’s Farm à Newport prend les traits de Robbie Robertson alors que dans les faits, il s’agissait de Mike Bloomfield … Just coming to think of it, c’est une objection majeure)
c’est certain que depuis le doutché tout barre en couille qu’il dirait mario..
dors tranquille langoncet..nous voilà haverti
@nous voilà haverti
Les frères Couenne ont apprécié
de Borja à Borgia, on est passé de la découpe au couteau au tranchant de la machine à découper le jambon, qu’il a dit le pape alexandre VI
Le rire trop large est angoissant, parfois. Me fait penser à Baudelaire « je suis de mon coeur le vampire/un de ces grands abandonnés/ au rire éternel condamnés/ et qui ne peuvent plus sourire ».
Le sourire, c’est ce qui caractérise d’ailleurs G de Baskerville dans le Nom de la Rose. Il ne sait pas tout, Puck, il cherche. Il use de sa raison pour résoudre une énigme, celle d’une série de meurtres et il sert de prof à un jeune garçon. Un prof de vie, qui admet s’être trompé comme u homme peut se tromper. Bref, ce n’est pas un donneur de leçon ni un maître à penser mais une sorte d’éveilleur.
Je dédie cette nuit à toutes celles et tous ceux qui usent et abusent de fous rires et de ces rires de joyeux de pure vitalité…
et bonne nuit à vous, Christiane.
renato dit: à
rose, avec un brin de patience et un bon traducteur :
http://www.orizzonticulturali.it/it_interventi_Hanibal-Stanciulescu.html
renato, merci
christiane, merci à vous aussi
paul ter répétitif, merci
ne pas la secouer, Gelsomina, son corps est rempli de larmes
autour avec dans la strada
DHH dit: à
@Bloom
Effectivment ;c’est son affectation actuelle
Un beau scandale!
Ce majestueux bâtiment public proprieté de l’Etat a été bradé à un promoteur privé qui l’a revendu au double du prix à l’Etat , pour y loger des bureaux du MAE
Un frère de Sarko comme pour Vinci les autoroutes du sud ?
puck dit: à
Christiane, pourtant Max Weber le dit aussi dans « l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme » :
« Les protestants travaillent mieux, ils gagnent plus que les catholiques dans les régions avec une population mixte et ils font tout ça avec plus d’humour parce que les catholiques n’aiment pas le rire. »
On dirait une histoire belge entre flamands et wallons.
(wiki)
et alii
le mistral; trois, six, neuf jours
l’Oustau de Baumanière, ni connu, ni vu
Les Baux et Arles c très loin de chez moi, Arles est plus respecté que les Baux archi hyper démesurément touristique, pas facile
merci à vous
christiane, paul et alii
https://www.google.fr/url?sa=i&url=https%3A%2F%2Fwww.pinterest.de%2Fpin%2F344736546474411037%2F&psig=AOvVaw2J7zlXo_3eq7-37BUY1g2k&ust=1613861928388000&source=images&cd=vfe&ved=0CAIQjRxqFwoTCMCMiruG9-4CFQAAAAAdAAAAABAD
Sublime (je l’avais zappée 🙁 )
https://www.youtube.com/watch?v=rR-JvfjXS9M
Merci, Rose, pour ces belles photos.
Jibé, c’est finement perçu, oui, sourire et flegme très britannique, doute aussi, encore oui. Il cherche, tâtonne, part sur de fausses pistes. Très délicat avec le jeune qui l’accompagne et qui est perplexe de le voir agir et penser ainsi. Un personnage qui donne au film très dur et glacial son humanité.
Très beau regard de DHH sur le cinéma de Fellini.
Bof
Oui, DHH, ce fut une véritable gabegie.
Il y eut ensuite les dépenses somptuaires de la ‘rénovation’…
Petite nostalgie du 244 Bd St Germain, de ce qui était alors la DGCID, où j’ai travaillé un temps…
la monarchie de droit divin
—
D.lire.
Plus de monarchie de droit divin en Grand Bretagne depuis Cromwell, puis après Guillaume d’Orange et la Glorieuse révolution.
Même Marc-René de Voyer, 9e Marquis d’Argenson, sous l’empire de l’alcool et du priapisme, savait ça.
Pour vous, Rose, la scène finale de La Strada puisque vous l’avez oubliée :
https://www.youtube.com/watch?v=rR-JvfjXS9M&feature=emb_title
Merci Christiane,, l’ai mise en ligne hier soir ici.
Sous la carapace, un cœur tendre. Se sont loupés les deux.
Mais mon vieux Bloom, ce n’est pas parce que les humains que vous citez décident de quelque chose que c’est vrai. Ainsi la monarchie existe bel et bien partout. De droit divin, depuis Saül.
« Se sont loupés les deux. »
C’était probablement un amour impossible ?
Cette notion d’être « sous emprise », n’est-ce pas la porte ouverte à tous les abus ?
Jadis on parlait de « séduction ». Un homme, une femme vous séduisait, vous faisiez l’amour avec. Au départ vous étiez emballé(e) et finalement cette relation vous avait déçue. Vous vous demandez alors si vous n’auriez pas été un peu violé(e). Pour peu que cette personne soit célèbre et que vous veniez de publier un premier roman dont personne n’a parlé (l’histoire de « viols » sous emprise sur adulte plus ou moins consentant) pourquoi ne pas porter plainte et obtenir son quart d’heure de célébrité et des droits d’auteur substantiels ?
Tout le problème est à la base le sex, dévolu au diable. C’est son domaine. N’oubliez pas qu’Adam et Ève ne savaient pas qu’ils étaient nus jusqu’au moment où le serpent leur fait découvrir le fruit defendu. Point barre.
Jibé dit: Le sourire, c’est ce qui caractérise d’ailleurs G de Baskerville dans le Nom de la Rose. Il ne sait pas tout, Puck, il cherche. Il use de sa raison pour résoudre une énigme, celle d’une série de meurtres et il sert de prof à un jeune garçon. Un prof de vie, qui admet s’être trompé comme u homme peut se tromper. Bref, ce n’est pas un donneur de leçon ni un maître à penser mais une sorte d’éveilleur.
»
JiBé oui il cherche, il cherche surtout des faits, en utilisant non pas ses croyances, mais sa raison.
Bakersville est un éveilleur, ce livre est un éloge aux « éveilleurs », d’ailleurs Eco sans doute se considérait lui-même comme un éveilleur, du coup c’est un éloge qu’il se fait à lui-même, et à tous ceux qui permettent aux hommes de sortir de obscurantisme et de l’obscurité de la caverne, pour aller vers la lumière.
d’ailleurs ça finit quand commence le printemps, on sort de l’obscurité hivernale pour se retrouver dans cette lumière printanière, en fait c’est ce qu’on appelle je crois une figure métaphorique, ou allégorique, ou un truc de ce genre.
d’ailleurs comme c’est le printemps son jeune disciple hésite entre choisor la voie de la galipette dans les champs au milieu des coquelicots avec la joile sorcière et celle de l’abus sexuel sur les jeunes de choeurs qu’il éveillera à son tour, je ne me souviens ce qu’il choisit ?
c’est le genre de livre qui a été lu par des milliers de gonzesses sur la plage pour prendre un ascendant intellectuel sur leurs voisines qui les regardaient lire ce bouquin en enviant son intelligence.
Plus sérieusement je crois sincèrement qu’Umberto Eco représente la plus grosse escroquerie intellectuelle (avec Camus ?) de la seconde moitié du XXè siècle, avec bien sûr la coopération active de la critique littéraire qui ne loupe jamais, comme les gonzesses qui lisent sur les plages, une occasion de prouver leur intelligence.
mon ex-mari me dit un jour que je voulais avec mon fils revoir amarcord que c’était du cinéma d’intello: je me suis fâchée; ce fut le point de bascule de notre famille; j’aime fellini et amarcord
https://www.dailymotion.com/video/x6zrwm
« jusqu’au moment où le serpent leur fait découvrir le fruit defendu. »
D.
Non.
Le serpent le montre à Eve, la convainqt, elle tente de séduire Adam, qui, ce couillon de la lune croque le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, plutôt une grenade qu’une pomme, au lieu de refuser et de dire non à Eve, et k
là schplaf
« Soudain, ils virent qu’ils étaient nus ».
Merci de ne pas raccourcir l’histoire D. de la Génèse en un résumé hasardeux et parcellaire.
G noté que dès que l’on aborde l’Italie, c’est raccord, débarque Fellini.
@ quant au lsd, les effets dévastateurs soixante ans sont encore vivaces.
Je n’en ai pris qu’une fois à l’âge de mes 20 ans, savais que c’était mal, et me demande maintenant si les troub’mnésiques, 45 ans plus tard (?), etc… Bien sûr, je n’étais pas le Jünger sous contrôle médical, ni le Huxley aux portes de la perception, ni le Burroughs qui toute sa vie durant pratiqua…, ni le chaman de Castenada dans les vaps l’herbe du diab’ et d’la petite fumée…, ni tous ces musiciens de la beat, morts en holocauste halluciné d’un trop plein de champignons… Ni Foucault non plus, n’étais-je, malgré mon admiration naissante. Il voulut les imiter, mais eut peur. La peur des hallucinations, de ne plus pouvoir contrôler sa raison mentale… quand on fut un intellectuel de sa trempe prestigieuse !… Il trouvait les expériences S-M sous poppers suffisantes à son plaisir corporel, mieux en adéquation. Chacun son trip alternatif.
Je n’ai pas gardé de souvenirs de témoignages d’expériences littéraires et philosophiques très heureuses ou « réussies » sur le long terme… c’est comme la mode des rails de coke pour te maintenir en supra-perception de toi, en t’envoyant en l’air au lit ou pour écrire ta page. T’en as essayé, jazmn ? J’ignore si l’effet dure longtemps, on dit que cela ne crée aucune assuétude, la cocaïne… Moi, des drogues, j’en ai essayé quand je fus étudiant, mais à tous les coups, les Thomas me Quinçaient. Et puis, après toutes ces conneries, je me suis mis plus sérieusement en mode mariage hétéro. Je me souviens avoir fumé pas mal de simples cigarettes jusqu’à 50, d’abord des queues d’ail et des P4 avec lui, puis tout seul, puis avec mes copains et puis avec ma copine. Et m’être même donné un genre ‘brassens’ avec de l’Amsterdamer dans la pipe, un temps. J’arrêtas définitivement de fumer à 50 ans à la suite de cette liste chronologique : des gauloises brunes, des craven A, des lucky-strike, des kool, puis un peu d’herbes, mais surtout, des gauloises blondes, des winston, et enfin des marlboro (celles-là durant 15 ans). Arrêt total le jour de l’entrée en vigueur de la loi Evin, par délfi légaliste envers moi-même. J’étais prêt. Mais j’ai rechuté deux fois, de 2001-2003 et de 2006-2010, pour des raisons très précises bien identifiées par mon thérapeute juif, un genre de Philippe Dahan, celui de la série du moment. (je viens de suivre une « série » en replay pour la première fois… on m’a expliqué comment ça marchait. et je me sens enfin en osmose avec l’herdélisme).
Pour l’instant, on ne m’a pas détecté de cancer du poumon. Mais si j’en attrape un, j’irai pas chialer à la société, n’est pas mon genre de lui faire porter la responsabilité de mes maux. L’Enfer était pavé de bonnes intentions, c’est pourquoi il est devenu indémodable. Tu crois que Dante pétunait, ou se livrait à qq pratiques approchantes pour pénétrer en enfer ?
Bon, là, maintenant je dois sortir, les cocottes ont faim et en ont marre de mes papiers du matin. Elles sont de plus en plus à cran contre la rdl qui me vole leur temps dans les plumes.
Bàv, Passoul et cher.es merdélien.nes, vous avez encore toutes vos chances de vivre heureux.ses aujourd’hui, je crois ! Je vous la souhaite bien bonne, hein (20.2.21_10.42)
amarcord
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19444104&cfilm=1245.html
Peut-on dire que « La Strada » est un film néoréaliste ?
Dans le contexte, oui, mais le fond est plus mélodramatique.
C’est du mélo pour faire pleurer Margot : un roman-photo où le mythe est adapté au populo : telle cette scène où Pygmalion dresse sa Galatée.
https://www.youtube.com/watch?v=n7-cTuKmurQ
c’est un psy qui me fit fumer dans un café des cigarettes B.G; mais je n’y ai pas pris goût et ne suis pas allée à son séminaire ;on dirait que ça n’existe plus en cigarettes ,mais que ça se vapote
Si l’on en croit la Génèse, rose, au commencement Adam était sous l’emprise de Eve !
Comment les hommes ont-ils retourné la situation ?
L’anomalie dans la première sélection des romans français du Grand Prix de l’Imaginaire 2021. L’année dernière Les furtifs de Damasio l’avait emporté
la famille d’ Argenson a laissé deux individus mémorables :l’ Annaliste sous Louis XIV de la Compagnie du St Sacrément, et sous Louis XV un ministre de la Police qui sélectionnait les rapports les plus croustillants pour son Maître, tout en écrivant des Essais à l’ Imitation. – lointaine- de Montaigne on suppose qu’il s’agit du second? Bien à vous. MC
« T’en as essayé, jazmn ? »
Que de la douce, JJJ.
Pour une expérience de drogue dure réussie et sous contrôle, il faut lire Henri Michaux…
Amarcord… Je me souviens…
Il en parle si bien :
Misérable Miracle
https://gribaudo-vandamme.com/vip/couvertures/1234593308/7.jpg
« Il bidone ,la Strada , ,a laissé place à une societé décervelée, a laquelle la modernité et le confort venus avec les trente glorieuses n’ont rien apporté d’autre en fait de culture que la vulgarité off shore de la télé berlusconienne »
Sergio, le personnage joué par Reggiani dans La terrasse d’Ettore Scola dégoûté du tournage du Voyage du Capitaine Fracasse, projet qu’il avait porté et dont l’interprétation avant-gardiste (au sens péjoratif du terme) par un jeune arriviste lui déplait fortement.
« Comment et pourquoi Fellini est-il passé du néoréalisme au baroque […] ? »
Parce qu’il a finalement lu les bons livres et compris que nous ne vivions plus au XIXe siècle, ce qui est admirable pour un qui a vécu dans ce siècle — le XXe — où il y avait de gens qui se croiraient kultivés et pensaient sur la base de vieilles categories.
Pasolini dénonçait déjà depuis longtemps les ravages de la société de consommation sur la jeunesse européenne
https://lireditelle.wordpress.com/2018/10/21/pier-paolo-pasolini-un-regard-sur-litalie-documentaire-arte/
Par ailleurs c’est encore plein de gens qui pensent en se référant à des vielles categorie. Je me souviens d’un échange ici avec un crètin qui parlait du Maniérisme comme d’une dégénération du klassicisme ! il faut être con, mais con comme il n’est pas permis ! puisque le Maniérisme est la plus intéressante expression des relation entre artistes et pouvoir.
manque à J.DRILLON
LE WUNDERRABBI DE BERTHA P
https://www.dymocks.com.au/book/der-wunderrabbi-by-bertha-pappenheim-9783743737679
Bertha Pappenheim, née à Vienne le 27 février 1859 et morte à Neu-Isenburg le 28 mai 1936, est considérée comme la fondatrice du travail social en Allemagne. Militante féministe, elle fonde la Ligue des femmes juives et lutte contre la prostitution. Elle est connue dans l’histoire de la psychanalyse sous le pseudonyme d’« Anna O. ».
Journal d’un curé de campagne chez Paul.
Jazzi
» (l’histoire de « viols » sous emprise sur adulte plus ou moins consentant) pourquoi ne pas porter plainte et obtenir son quart d’heure de célébrité et des droits d’auteur substantiels ? »
Argument bateau.
Aujourd’hui, on sait que la mémoire traumatique n’est pas limitée à un laps de temps très court.
Ceci étant, c encore très laid les Mc Do de PPDA.
On savait que le pouvoir corrompt mais on ne sait plus qd on va atteindre le fond.
Jazzi
» (l’histoire de « viols » sous emprise sur adulte plus ou moins consentant) pourquoi ne pas porter plainte et obtenir son quart d’heure de célébrité et des droits d’auteur substantiels ? »
Argument bateau.
Aujourd’hui, on sait que la mémoire traumatique n’est pas limitée à un laps de temps très court.
Ceci étant, c encore très laid
Très laid.
Vraiment très laid. Tentons de surnager.
Quelle que soit la nage.
Et alii
Vais regarder Amacord pour en parler avec vous 😄
La Crusca, #ParolaDiDanteFrescaDiGiornata
introcque
(Inferno XX, 130)
« »[…] ben ten de’ ricordar, ché non ti nocque
alcuna volta per la selva fonda ».
Sì mi parlava, e andavamo introcque.»
« Adverbe, au sens de «entre-temps», «en attendant», qui n’apparaît que dans ce passage (rimant avec nocque) et que Dante dans le «De vulgari eloquentia» avait indiqué comme propre à la langue florentine et trop municipal pour entrer dans le style curial. »
Quelqu’un pourrait-il rappeler à Rose que je ne lui parle plus ?
« … « viols » sous emprise sur adulte plus ou moins consentant) »
Plus ou moins consentant ? cela découle des conditions donnée — nécessité et autres imperatifs —, ce qui fait du « demandeur » une merde sans pareils… même si élu au suffrage universel !
Tous les enfants sont sous l’emprise de leurs parents, puis de leurs éducateurs.
Que certains d’entre eux abusent ou manquent à leur devoir, c’est un fait.
Il y a des lois pour cela.
Ensuite, avec l’adolescence commence pour chacun la prime période d’émancipation et la découverte de la sexualité.
Il arrive que certains enfants ne s’émancipent jamais…
Dans Amarcord, la grosse matrone viole carrément un jeune garçon en lui enfonçant la tête entre ses seins, jusqu’à l’étouffement. Si l’on en croit le titre du film, c’est un souvenir réel de Fellini, qui ne s’en est jamais remis mais qui a contribué à son génie !
« Amarcord » (derivante per composizione dall’espressione in dialetto romagnolo « a m’arcord », ossia « io mi ricordo »)
Que l’on peut traduire par : « Je me souviens »
« ce qui fait du « demandeur » une merde sans pareils… »
Certes, renato, mais cela n’exclut pas de se poser des question sur « la plaignante ».
fellini dixit:
« J’ai l’impression que fascisme et adolescence continuent à être, dans une certaine, des étapes permanentes de notre vie en Italie : l’adolescence, celle de notre vie individuelle ; le fascisme, celle de notre vie nationale. Nous avons tendance à rester d’éternels enfants, à nous décharger de nos responsabilités sur les autres, à vivre avec la confortable sensation qu’il y a quelqu’un qui pense pour nous ; tantôt c’est la mamma, tantôt le père, tantôt le maire, ou le Duce, ou la madone, ou l’évêque, en somme toujours les autres. Entre temps, on n’a d’autre liberté que celle de cultiver des rêves ridicules, le rêve du cinéma américain, ou celui du harem oriental. Ces mythes, toujours semblables et monstrueusement inactuels, me paraissent aujourd’hui le plus grave instrument de conditionnement de l’Italien moyen. Et il semble que cela remonte bien avant le fascisme, que la responsabilité de cet arrêt au stade de l’enfance incombe à l’Eglise catholique. En vivant sous cette sorte de cloche, chacun tend à développer, non pas des caractéristiques individuelles, mais des traits pathologiques. C’est le sens précis de la scène de la visite du « federale ». »
Entretien de Federico Fellini par Valerio Riva au sujet d’Amarcord
https://www.franceculture.fr/emissions/les-nouveaux-chemins-de-la-connaissance/philosopher-avec-fellini-44-amarcord
sur causeur et wunderrabbi:
Ces familles cultivaient une tradition culturelle orale proprement juive, avec notamment des rabbins et des lettrés dans leur lignée et des histoires transmises de génération en génération. Il existait, par exemple, une espèce de mythologie familiale autour d’un « Wunderrabbi » qui avait, disait-on, sauvé quelqu’un dans des circonstances particulières.
Merci Renato.
Il faudrait rappeller que les jeunes gens avaient beaucoups fantasmé sur les éléments constitutifs de la « grosse matrone » qui a tout l’air de dire : « Tu en veux ? en voilà ! »
Cela dit, pour un FF qui tire parti de l’experience, combient de pauvre bougres sans un rèel futur traumatisés — avec un carrière de violeur en série garantie ?
ptintemps au fait:
L’hébreu tel ‘aviv signifie « colline du printemps », bien qu’il n’y ait pas de colline dans cette ville.
Ce nom vient du Livre d’Ézéchiel 3:15, où il désigne un lieu-dit babylonien. Le mot tel désigne en hébreu une colline artificielle constituée par un empilement de ruines, alors que le mot aviv signifie « printemps ». Ce nom a ensuite été choisi par Nahum Sokolow pour être le titre en hébreu de l’ouvrage Altneuland de Theodor Herzl. Les fondateurs de la cité l’ont nommée ainsi en hommage au fondateur du sionisme Theodor Herzl, et pour marquer leur volonté de bâtir une ville qui serait son incarnation : moderne mais aux racines anciennes.
Assouline tweet:
Pour comprendre les problèmes de l’Église (désertification des églises, désarroi des prêtres, flottement moral de toute la hiérarchie), rien ne vaut de (re) lire le « Journal d’un curé de campagne ». Bernanos annonçait tout dès 1935. https: // bit.ly/3qEb5bc
La question du consentement Jacques est d’une hypocrisie sans pareil. Deux cas : la jeune fille mère qui a besoin d’un travail ; la femme mure sans arrière terre economique. Évidemment elles ont consenti, mais le mec qui les a soumises est une merde sans nom.
Ça c’est ma position, puis vous pensez ce que bon vous semble, selon votre niveau d’education.
ici, nous avons au moins un duré EN campagne pour ses gouts
un Curé EN campagne
excuses
curé De campagne comme médecin DE famille
IT’S COMPLICATED
« Nous avons tendance à rester d’éternels enfants, à nous décharger de nos responsabilités sur les autres »
C’est le thème principal du premier long métrage de Fellini, « Les Vitelloni » (1953), que l’on pourrait traduire par les jeunes veaux, et qui n’est pas non plus particulièrement néoréaliste. On peut en juger ici.
https://www.bing.com/videos/search?q=vitelloni+youtube&docid=608044881619585527&mid=4CCBA73E3D21905265E34CCBA73E3D21905265E3&view=detail&FORM=VIRE
Les Paradisaeidae (francisé en paradiséidés) est un taxon qui regroupe la plupart des espèces appelées Paradisiers ou oiseaux de Paradis. Ce groupe est actuellement formé d’une quarantaine d’espèces qui vivent dans le Sud-Est asiatique.
Le curé de campagne était le médecin de l’âme, et alii. Avec ou sans goût.
Mon niveau d’éducation pécherait-il autant que mon niveau de réflexion, renato ?
Les Vitelloni ne donnent pas le beau rôle aux jeunes hommes. Inconstants et inconsistants.
Fellini a tjrs tracé des portraits incisifs de ses personnages.
Oui, Jacques !
D.
Que vous arrive-t’il ?
J’ai vite regardé une traducion d’Ezéchiel 3
11 Va, rends-toi vers les exilés, vers les fils de ton peuple, et tu leur parleras. Qu’ils écoutent ou qu’ils n’écoutent pas, tu leur diras : Ainsi parle le Seigneur Dieu. »
12 Alors l’esprit me souleva et j’entendis derrière moi le bruit d’une grande clameur : « Bénie soit la gloire du Seigneur depuis son lieu ! »
13 Puis j’entendis le bruit que faisaient les ailes des Vivants, battant l’une contre l’autre, et le bruit des roues à côté d’eux, et le bruit d’une grande clameur.
14 Alors l’esprit me souleva, il me saisit ; j’allais, plein d’amertume et l’esprit enfiévré ; la main du Seigneur pesait durement sur moi.
15 J’arrivai à Tel-Aviv chez les exilés, chez ceux qui résident près du fleuve Kebar. J’y restai sept jours, frappé de stupeur, au milieu d’eux.
16 Au bout des sept jours, la parole du Seigneur me fut adressée :
17 « Fils d’homme, je fais de toi un guetteur pour la maison d’Israël. Lorsque tu entendras une parole de ma bouche, tu les avertiras de ma part.
18 Si je dis au méchant : “Tu vas mourir”, et que tu ne l’avertis pas, si tu ne lui dis pas d’abandonner sa conduite mauvaise afin qu’il vive, lui, le méchant, mourra de son péché, mais à toi, je demanderai compte de son sang. »
ezéchiel:
rubens
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/11/Ezekiel.jpg/260px-Ezekiel.jpg
excuses Ezékiel Sixtine
Dexpliquez moi ça:
Séqénenrê Taa II, surnommé « le Courageux », a régné sur l’Égypte près de 1 600 ans avant notre ère,
et
les scientifiques égyptiens ont estimé qu’il « était âgé de 40 ans au moment de son décès ».
le point
Pck’il s’est fait tuer au cours d’une bataille et c’est en passant la momie au scanner que les scientifiques ont dévouvert les blessures infligées.
encore un musée:
du grand musée archéologique qui ouvrira au Caire l’an prochain. Ce chantier pharaonique,
sous l’emprise d’eve :
elle avait déjà de l’himpathie ?
9A ALORS/GOOGLE ESTen retard:j’ai rencontré récemment himpathie (composé de « him » masculin) et je ne le trouve pas sur google
je suis fatiguée :
La philosophe Kate Manne sur « Himpathie », Donald Trump et repenser la logique de la misogynie
Nus avions déjà Hypathie, martyre du paganisme forgée sur mesure avec une fausse mort racontée dans un faux historique. quelque chose comme la contre-épreuve de Catherine d’Alexandrie devant les Docteurs…
et alii dit: à
je suis fatiguée
Reposez-vous, débranchez la machine.
Jazzi, est-ce qu’il y a un site internet pour obtenir le script de La Strada, et d’autres films? Cela me rendrait grand service.
En passant, et alii, l’Ousteau existe toujours. Je recommenderais le deuxième restaurant de l’Ousteau, moins cher et moins formel, en tâchant d’éviter l’assaut des guêpes sur les vins (début juillet).
Si le couvre-feu devait durer un peu, il deviendrait juducieux de décaler l’heure de 2 heures.
Actuellement il est 17h 32, il serait 19h 32 avec ce décalage.
N’importe quoi’il serait 15h 32. Pardon.
vedo, j’ai cherché en vain aux baux une galerie où j’avais vu une tapisserie ,et appris que l’artiste ne travaillait plus ,parce que devenue aveugle;
c’était une tapisserie dans un style médiéval ,et même mon ex mari a compris que j’en étais follement amoureuse;je me souviens!
quand on a vu les films de Fellini, jeune-ce qui est mon cas-on a l’impression de retrouver le goût de la jeunesse, avec ses promesses ;
Il y a un Dante romantique qu’ il faudrait voir de près, quelque part entre le Balzac des Proscrits et le Hugo des Châtiments, même si sa « Vision de Dante « fut à l’ origine conçue pour la Légende des Siècles. Il y a aussi du même un poème à théorie palingénésique, que je ne retrouve plus, ou le toscan commente ses diverses réincarnations. C’ est assez proche dans le ton de la séance spirite de l’ Ânesse de Balaam.
un musée spécial:
Rejoignez notre équipage pour un voyage de découverte!
Le musée des pirates de la Whydah abrite des milliers d’objets de la Whydah et abrite la plus grande collection d’artefacts de pirates récupérés sur un seul naufrage dans le monde.
https://www.discoverpirates.com/
mais c’est à Cape Cod
meussieu courte fait dans la messe nouarte et veut tenter térezoune a préter son cul pour défier les esperitz..ou halors c’est que je ne m’y connais pas sacrénom
moins cher et moins formel,
comme il est aussi fermé, optons pour un sandwich jambon beurre avec qq cornichons Maille très fins.
Si le couvre-feu devait durer un peu, il deviendrait juducieux de décaler l’heure de 2 heures
toujours a dealer havec asmodeye le dédé..un jour il va t’empailler
la famille d’ Argenson
—
Grands argentiers des Bourbons, MC. J’ai bien connu Marc-René dVdA et ai passé la meilleure part d’un été dans ce qui était le château familial le long de la N10, entre Tours et Châtellerault, à deux pas de La Haye, où sont nés Descartes et mon grand ami P.
Lors de la vente du château, le marquis, sa soeur hôtesse de l’air et son frère qui était dans les ordres ont eu l’intelligence de léguer à la ville de Poitiers le contenu de sa merveilleuse bibliothèque, y compris l’édition originale de l’Encyclopédie dont son ancêtre était le dédicataire, signées des mains de Diderot et D’Alembert.
De riches heures dans le salon japonais, la cuisine, ou le vaste parc, avant de regagner souvent tard dans la nuit le camping municipal et notre royale petite canadienne, en bord de Vienne.
Époque bénie où campeurs lettrés et aristos libéraux faisaient cause commune lors de mémorables libations à Dionysos.
Droit du vin, depuis saoul!
avec des pistolet et du beurre danchois comme à wormout rosy..
Cela dit, pour un FF qui tire parti de l’experience, combient de pauvre bougres sans un rèel futur traumatisés — avec un carrière de violeur en série garantie ?
je sais pas si meussieu l’accusateur public mordrait à cette hostie là..que des mécréants
puisque le Maniérisme est la plus intéressante expression des relation entre artistes et pouvoir
il y a les conditions héstorique de naissance d’une catégorie et puis haprés hon découvre ‘formèlment’ haussi que la catégorie existait dans d’autres époques..dans d’autres culture..là on est dans l’cac noir..le baroque..le kitch..le maniérisme n’est ce point aujourdhui quedes achtag
Rose, pour le jambon du sandwich, je recommande un jambon espagnol. Pas de Serrano, Iberico nourris avec des glands de chêne–aucun autre jambon n’est comparable-et ni cornichon ni beurre mais un Rioja.
N’oubliez pas qu’Adam et Ève ne savaient pas qu’ils étaient nus jusqu’au moment où le serpent leur fait découvrir le fruit defendu. Point barre
point barre point barre..c’est pasque t’arrives pas a trouver quelque conséquence..’voyez je suis plus nu que vous’..ça frait con..hévidemment tu vas dire que c’est quantique..mon cul quelle dirait bonne clopine..et oui..ça c’est des arguments dédé
le meilleur jambon beurre c’est celui de jéruzalème keupu..
On dirait que t’as eu une mauvaise exoerience avec les michons d’une buraliste, bouguereau.
« le meilleur jambon beurre c’est celui de jéruzalème keupu.. »
C’est vrai, le boug ?
Dans une baguette croustillante et nappé de bon beurre ?
on est passé de la découpe au couteau au tranchant de la machine à découper le jambon
le jambon d’york c’est pas une hérésie..les pickle non pus..mais troquer tout ça pour le concombre et la marmite..mais à quoi bon vontraub n’est pas là pour gloser
Du jambon blanc, naturellement !
Le jambon-beurre serait donc le fruit défendu ?
d’un machin de pauvre keupu nous chie du ramone à 150€ le kil baroz..et 150€ c’est le ticket d’entrée
Sans cornichons, rose, c’est une hérésie !
les israéliens ont vacciné les balayeurs palestiniens dont ils avaient besoin. c pas mal généreux de leur part, je trouve. c géopolitique, aussi… mais ça nous regarde pas. Sinon, au Sahel, c le fiasco, et ça nous regarde… Il faudrait revoir l’opération Barkhane.
https://mondafrique.com/emmanuel-macron-et-le-mali-de-lobstination-a-lentetement/
« 150€ c’est le ticket d’entrée »
Il peut se le mettre au cul son ramoneur, le boug.
J’en veux pas, même gratuit !
« meussieu courte fait dans la messe nouarte et veut tenter térezoune a préter son cul pour défier les esperitz.. »
C’est monstrueux !
« … n’est ce point aujourdhui quedes achtag »
Il faudrait revoir tes critères. Certains architectes vivent aujourd’hui de relations de travail Maniéristes, ou cela d’échappe ? Et puissue je suis gentil je m’arrête aux architectes.
Du jambon blanc, naturellement !
les gauloises vivaient dans les plaines baroz..on les attrape facilement qu’elle dirait bonne clopine
tout ça c’est en pointillé rénateau..et qu’il vive des relations de travail maniériss ne fait pas obligatoirement de l’architecture maniériss..même si dans l’agence y’a des tapis persan pour que tu t’y prennes les pieds..le marxism léninism c’est pas une appli rénateau
et le pays de bray c’est humide..la cuisse ne sèche jamais..et le saucisson faut l’étuver qu’elle soupirerait bonne clopine
« Jazzi, est-ce qu’il y a un site internet pour obtenir le script de La Strada, et d’autres films? Cela me rendrait grand service. »
J’en sais rien, vedo, le mieux est d’aller à la bibliothèque de la Cinémathèque française, au parc de Bercy (12e). Vous devriez le trouver en version papier et le faire photocopier.
Sinon, il y a aussi la bibliothèque François Truffaut, au coeur du Forum des Halles…
C’est monstrueux !
meussieu courte c’est l’avatar de l’abbé boullan..à moi on la fait pas..et térezoune « court un grand danger » qu’il pourrait dire opportunément dédé..
si vous permette , jambon sans nitrite:
Cancer : un rapport parlementaire recommande de bannir les nitrites des jambonsCancer : un rapport parlementaire recommande de bannir les nitrites des jambons
Amarcord :
permettez
Il existe de nombreuses productions de jambons sans sels nitrités, on peut citer la totalité de la production de jambon de Parme AOP ou le jambon ibérique comme le pata negra. Faites attention en vérifiant que d’autres produits n’entrent pas dans la composition comme des sucres (lactose, dextrose…) ou des exhausteurs de goût comme le glutamate monosodique.
https://www.bienmanger.com/1C510_Jambon_Sel_Nitrite.html
On dirait que t’as eu une mauvaise exoerience avec les michons d’une buraliste, bouguereau
..des kriminologue s’étonnent du pourquoi de la montée et de la chute du tueur en série..surtout male blanc etc..héro de nos temps modherne..et au bout du compte il disent quil y a autant de femmes et de noir..mais qu’on les a pas pécho tout simplement..ça décoiffe
té la bonne clopine, elle a pas l’air de répondre aux avances de jmb., elle est pu en bray (ambrée) ? C comme térézoune, est à l’hosto, s’est cassé la g. dans la poudreuse. Résultat : un ou deux jours de repos avec lactue « pédocrim ». On peut en profiter pour faire des Manières avec le curé campagnard… Moi je sais que je vais pas relire ce roman avec Depardieu. >Ca, non, je comprends pas trop cet engouement pour bernanosse, je sais que c’est tendance avec les cimetières sous la lune, mais pourquoi pas encenser Mouchette pendant qu’on y est ? Ca dévie trop de l’axe normal icite, heureusement il y a une sonde juste posée sur mars qui va nous planter des carottes pour savoir s’il y a eu de la vie. Bon, faut que j’aille à l’apéro (JAI : Justice et Affaires Intérieures – sigle européen) ast’heure.
..j’ai pas dit que t’avais faux rénateau..je dis que le temps qui henvironne le contemporain est toujours trouble..surtout quand l’hestoire non pas se copie mais devient un acteur conscientisé qu’il dirait georg wilème fridriche..car lhestoire ne fini jamais..elle se transforme
elle a pas l’air de répondre aux avances de jmb
béatrice non pu..prends dans les dents
Pour être sûr, il faudrait demander à Eduardo Donato: https://www.dehesamaladua.bio/jamonesecologicos/
(J’avoue que je n’ai pas encore osé, un peu plus que 150 E le kg–je me limite au Cinco Jotas ou Joselito).
maniérisme + gaulois + la montée et surtout la chute
Beccafumi au Palazzo Pubblico
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/58/Domenico_Beccafumi_007.jpg
hé ! …nj’arrive pas à comprendre le raccord de dante avec fellini, suis 1 brin largué, savatrovite… Quand on quitte pour aller élaguer et préparer le nouveau terrain toute l’aprem, on s’y retrouve pu, y’a trop d’espaces déconfinés à la campagne (et du coup, la très confignée taxfl a déjà changé 20 fois de sujets). Là, il est déjà 19.30 environ et la chaudasse de chaudière déconne encore. ‘Reusement que s’est mis à fer doux.
@ béatrice non pu..prends dans les dents
tu vas pas te prendre pour la copine du Dante, quand même, si ? –
B(érénice), elle, l’est sortie prend’ l’ R pour la journée. – S’égaye tjs au printemps, tu peux pas l’en pêchée – Va rev’nir tte seule, t’inquiète po., jmb.
Le pata negra. 16euros pour 90gr.
Bonne idée pour un de ces jours : jambon de Prague sauce madère avec épinards.
Oui, je ne conseille pas, Bérénice. Pour moi un San Daniele de bonne qualité est quasiment du même niveau pour 4 fois moins cher. C’est un truc de snob.
tu vas pas te prendre pour la copine du Dante, quand même, si ?
jme transpose dantesquement..et c’est un devoir..comme lui même le fait à la manière des sorciers de petits patelins qui se livraient des genre de combat en rêve..je suis l’ange blanc..je file des manchettes
y’a des prochouto des montagnes désossé..que seul des banquiers de goldman zacs peuvent s’acheter..dmande à rénateau
3J, sale temps tout février et je ne suis pas très réactive pour Dante car les seules traces imprimées à ma disposition sont en italien ( dans sa langue originelle, tocsin?) que je ne traduis pas.
Toscan?
si j comprends bin, c’est l’heure du jamon à l’apéro… moi, je propose çui-ci d’un copain gabonais. M’en direz des news, si vous passez vers chez lui. Son site est moins chiadé, mais son lare, c du gorée !… Vaut le coup !
https://www.afrik.com/l-art-du-cochon
La plus value n’est absolument pas proportionnelle au prix en terme de jambon, sauf dans la première partie de la courbe.
En chocolat, ce n’est pas le cas. On a une belle droite et toujours pour son argent.
Point barre.
En ces temps il fallait distinguer 3 zones li linguistiques , celle de la langue de si, de oïl, d’Oc.
Pardon pour le détour par les jambons. Mais j’ai appris quelque chose de fort utile sur les nitrates. Merci!
Parme !!! ahhh Parme !!!!! ohhh Parme, capitale de la musique (ville natale de Verdi) et de la gastronomie, le ventre de l’Italie, ventre de l’Europe, le ventre du monde ! ses fromages, et pas que le parmesan de 20 ans d’âge, non aussi le squacquerone et le fromage de fosse commune ! et les petits stozzaettis, arrosé d’un bon lambusco en écoutant Verdi, se goinfrer en écoutant le choeur des esclaves n’est-ce pas aussi jouissif que lire le naufrage du Lusitania en bouffant son croissant ?
et ses tortellinis !
aux truffes noires !
et sa piadina !
aux sardines…
Jambon sec de chamois, pain de segle-beurre, grappa de nebiolo de barolo — à la montagne.
«Dans l’enfer, les places les plus brûlantes sont réservées à ceux qui, en période de crise morale, maintiennent leur neutralité». Cette citation se retrouve partout sur le web, se multiplie sur les réseaux sociaux et se décline dans toutes les langues. Elle est attribuée à Dante Alighieri, mais le poète n’en est pas l’auteur.
Laura Ingallinella, une philologue italienne, travaille sur cette question. Dans un premier article, The Hottest Place in Hell: Neutrality and the Politicization of Dante in the United States, elle s’interroge: «Comment Dante, son autorité, et les implications religieuses de La Divine Comédie ont été transformées en un outil rhétorique stratégique dans les débats politiques américains au vingtième siècle»?
(Les Italiens) ont une conception de la neutralité passablement différente de la nôtre. Pour eux la neutralité n’est pas, comme nous pensons que cela doit être, quelque chose dont nous devons être fier. (…) Cela est peut-être du à l’influence des plus grands Italiens. Peu de phrases sont gravées aussi profondément dans l’esprit italien que les célèbres vers du Chant III de l’enfer. (…) Le mépris de Dante Alighieri à l’égard de ceux qui demeurent neutres quand le bien combat le mal fait partie de l’héritage des Italiens. Pour ces raisons l’Italie est prête à se battre et se bat.
Pendant la Première guerre mondiale, la pseudo-citation devient un aphorisme
Cette conclusion, remarque L. Ingallinella, sera reprise dans de nombreux journaux aux États-Unis et «vont cimenter l’association entre Dante et la (non) neutralité», à un moment où l’entrée en guerre du pays est un sujet politique brûlant.
Deux ans plus tard, alors que les États-Unis viennent d’entrer en guerre, un pasteur baptiste de la ville de Charlotte en Caroline du Nord, commence son discours ainsi:
Dante, dans son Enfer, met ceux qui sont neutres dans l’éternel combat entre le bien et le mal à l’endroit le plus bas de l’enfer
C’est sans doute à la fin de la Seconde guerre mondiale que Kennedy découvrit la pseudo-citation. En tout cas, nous raconte Laura Ingallinella, «il la nota dans un carnet d’aphorismes daté des années 1945-46.» Mais le plus étonnant est que cette phrase deviendra pour lui un sorte de motto: «Il l’utilisera au moins vingt-six fois au cours de sa carrière politique et présidentielle.»
Depuis, la pseudo-citation poursuit son chemin, et s’impose de plus en plus, selon la bien connue Loi de Gresham chère aux économistes. Elle veut que la «mauvaise monnaie chasse la bonne». Elle a maintenant sa place dans les dictionnaires de citations que l’on trouve sur des sites “de référence” comme ceux d’Ouest France ou du Monde. Une dernière illustration spectaculaire de son emploi se trouve dans le roman Inferno où son auteur Dan Brown n’hésite pas à l’utiliser.
Est-ce si grave pourrait-on se demander? Non, répond-on sur le site de la bibliothèque et du musée de John Kennedy, où l’on célèbre le “presque vrai”: «Cette supposée citation n’est pas réellement dans l’œuvre de Dante, mais est basée sur une similaire.», est-il écrit. Une remarque partagée par Harper’s Magazine,
https://ladivinecomedie.com/histoire-dune-fausse-citation-de-dante/amp
« dans sa langue originelle, tocsin? » : excellent !
@ je suis l’ange blanc..je file des manchettes
tu veux dire des mouchettes ! te vlà une nouvelle histoire (à taureau), faut en mettre avec les bestiaux, qu’il dirait bernanosse ?
et alii tenez ! un lien pour vous ! comment on passe de Dante à Machiavel !
3j fait des progrès en espéranto… mais c’est pas encore ça ! faut encore du boulot pour dépasser le Maitre mon p’tit gars !
« Elle est attribuée à Dante Alighieri, mais le poète n’en est pas l’auteur. »
comment qui disait déjà Hegel au sujet du faux, déjà ? de mémoire… misère si je me trompe encore je vais me faire allumer par les érudits… « le faux est un temps… » non c’est pas ça ! je recommence « le faux est… » quoi déjà un moment ? oui ça doit être ça « le faux est un moment…. » un moment de quoi déjà ? de la vérité ? oui ça doit être la vérité « le faux est un moment de la vérité », ou n’est qu’un moment de la vérité, ou qu’un moment du vrai, ou un moment du vrai ? « le faux est un moment du vrai », je sais pas si c’est ça , mais ça ressemble à du Hegel.
« le faux n’est qu’un moment du vrai » ça pète plus comme ça.
greubou !!!!!!!!!!!!!!!! tu la connais la citation ?
Le Serpent biblique : modes d’emploi ou « quand la Bête fait l’Ange »
Claude-Gilbert Dubois
Dans Imaginaire & Inconscient 2014/1 (n° 33), pages 11 à 24
https://www.cairn.info/revue-imaginaire-et-inconscient-2014-1-page-11.htm
bonsoir
La truffe noire c’est vraiment n’importe quoi.
Le meilleur parmesan n’est pas parmesan.
Pour les bons tortellini c’est Modena ou Bologne.
La piadina avec la sardine est un autentique hérésie.
mediapart:
FRANCE ENQUÊTE
Maltraitances: les sœurs du Bon Pasteur retiennent leurs archives pour éviter un scandale
20 FÉVRIER 2021 PAR SARAH BOUCAULT
D’ex-jeunes filles placées dénoncent les violences subies, il y a plusieurs décennies, dans les foyers de la congrégation. Réunies dans une association, elles réclament réparation. L’institution, elle, s’organise pour préserver son image et limite l’accès aux dossiers.
https://www.mediapart.fr/journal/france/200221/maltraitances-les-soeurs-du-bon-pasteur-retiennent-leurs-archives-pour-eviter-un-scandale?utm_source=20210220&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-%5BQUOTIDIENNE%5D-20210220&M_BT=1249929909253
Un lien concernant l’utilisation du latin et de la langue » vulgaire » par Dante .
va pour le pata negra en sonnant le tocsin et on mettra les cornichons à part (j’y tiens aux cornichons)
… »j’arrive pas à comprendre le raccord de dante avec fellini, suis 1 brin largué, »
c’est dans l’film ; ils classent les poètes et Dante Alighieri est tout là-haut au sommet 🙂
À propos de Verdi. Lors de sa deuxième tournée européenne, se souvenant des mauvaises expériences ‘gastronomiques’ de la première, il loua un train et voyagea avec tout ce qu’il lui fallait pour bien manger, dela farine au jambon.
MC dit: « Il y a un Dante romantique qu’ il faudrait voir de près, quelque part entre le Balzac des Proscrits et le Hugo des Châtiments, même si sa « Vision de Dante «fut à l’ origine conçue pour la Légende des Siècles. Il y a aussi du même un poème à théorie palingénésique, que je ne retrouve plus, ou le toscan commente ses diverses réincarnations. C’est assez proche dans le ton de la séance spirite de l’ Ânesse de Balaam. »
Bon, j’ai trouvé cette très longue fiction sur « erudit.org », où il est question de Dante (réincarné sous les traits d’un Indien Araucan) et de ses séjours à Paris à cheval entre le XIIIe et le XIVe siècles et de ses promenades dans le quartier de la Sorbonne et de la cathédrale, entrecoupée de citations en italien de différentes œuvres de Dante, référencées en fin de lien, entre les pages 8 et 31 :
Alighieri, Dante. 1283a. Il Fiore. Vol. CCXXI. France.
———. 1283b. Il Fiore. France.
———. 1283c. Il Fiore. Vol. CCXXV. France.
———. 1283d. Il Fiore. Vol. CCXXVII. France.
———. 1283e. Il Fiore. Vol. CCXXIX. France.
———. 1283f. Il Fiore. Vol. CCXXX. France.
———. 1283g. Il Fiore. Vol. CCXXX. France.
———. 1283h. Il Fiore. Vol. LXXXII. France.
———. 1283i. Il Fiore. Vol. XXXIII. France.
———. 1529. De la vulgare eloquenzia. Vol. I, Chap X. Vincenza : Tolomeo
Ianiculo.
Alighieri, Dante, et André Pézard. 2014a. Oeuvres complètes. Vol. Chant XIV,
10-18. Paradis. Paris : Gallimard.
———. 2014b. Œuvres complètes. Vol. LVI. Rimes. Paris : Gallimard.
———. 2014c. Œuvres complètes. Vol. XXXII, 148-160. Purgatoire. Paris : Gallimard.
———. 2014d. Œuvres complètes. Vol. VI, 97/109-114. Purgatoire. Paris : Gallimard.
Trouverez-vous avec l’aide de Renato pour la traduction et l’authentification ce poème palingénésique que vous cherchez ? Je ne sais… Bonne soirée.
http://www.sens-public.org/static/git-articles/SP1409/SP1409.pdf
Les rémois sont des cornichons, selon eux, mais je crois qu’il y des bocaux partout. C’est finalement une formule commune et répandue.
https://youtu.be/4BJDNw7o6so?list=PLDIwFvnXgvmGCKJJADvnCvbfGPuOSLtBL
Un peu de pop
« térezoune « court un grand danger » »
Tu crois, le boug ?
Je croyais que l’on se sacrifiait que je jeunes vierges !
Année Beethoven : l’hymne à la joie
Rose, vous cherchez le raccord entre Dante et Fellini. Ce sont ces mots de Paul Edel puis les vôtres !
P.Edel :
« (…)je ne peux pas voir Zampano-Anthony Quinn dans son vieux pull effrangé son bonnet de marin, sa gueule de mal rasé dans «la Strada» commander son mezzo litro de gros rouge sans me sentir frère de ce type. Voyez je dévoile ma vie intérieure. »
Puis vous, entamant ce beau dialogue sur Zampano et Gelsomina :
« Paul
Vous dévoilez votre vie intérieure. Mais Zampano est un pauvre hère, n’est-il pas ? »
@ faut encore du boulot pour dépasser le Maitre mon p’tit gars !
pas la peine de m’casser, je sais, je sais, je sias, je fais mes gammes, me jalouse pas, hein toi… père sévère, t’essaies même pas… Moij ai bon espoir, dans mon espérance, mon espéranto et dans mon soutien, mon chant d’amour et de victoire, je suis chr…
La suite sur la partoche si tu connais pas les paroles … https://www.youtube.com/watch?v=itNLN-hacBk
____(tiens je te l’fais en jmb esperanto____ ça t’va, mon pote ?
@ pli da laboro necesas por preterpasi la Majstron mia eta ulo!
ne necesas rompi, mi scias, mi scias, mi scias, mi faras miajn skvamojn, ne ĵaluza, ĉu vi … strikta patro, vi eĉ ne provas … Mi, mi havas bonan esperon, en mia espero, mia Esperanto kaj en mia subteno, mia kanto de amo kaj venko, mi estas k …
La daŭrigo pri la partoko se vi ne scias la kantotekston …
degaulle en enfer doit parler le volapuk..
jmb ,c’est jambon?
comme je n’irai pas en enfer lespéranto est plus porteur pour moi quelle dit bonne clopine
Ah mille excuses, Rose, je n’avais pas vu les guillemets ! C’était Janssen J-J :
« hé ! …nj’arrive pas à comprendre le raccord de dante avec fellini, suis 1 brin largué, savatrovite… »
Année Beethoven : l’hymne à la joie
mon dieu quelle horror shadenfreunde britanicus..et puis la mouzique est hofficiel mais pas les paroles
Je croyais que l’on se sacrifiait que je jeunes vierges !
havec les vieilles meussieu courte embrouille mieux les démons du second rayon..
DITES DONC? PUCK?je me demande bien pourquoi si votre soeur préfère les caresses d’un évêque italien, vous ne l’avez pas raconté sur la RDL?
À propos de Verdi. Lors de sa deuxième tournée européenne, se souvenant des mauvaises expériences ‘gastronomiques’ de la première, il loua un train et voyagea avec tout ce qu’il lui fallait pour bien manger, dela farine au jambon
..il partage ça avec les hollandais propriétaire en périgord qui viennent jusqu’avec leur 50kil de patate et leur gouda dans leur 4×4 et remorque rénateau..havec lidl ils se calment un peu..sapré rénateau
3J, les Syriens sont au top pour la vaccination, Bashar a juste besoin des Russes, lui.
Although the Syrian government bears primary responsibility for providing health care to everyone in its territory, it has repeatedly withheld vital food, medicine, and aid from political opponents and civilians. The UN Security Council’s failure to maintain a cross-border aid system for northeast Syria also means there is no guaranteed channel for vaccine distribution for two million people living there.
https://www.hrw.org/news/2021/02/02/syria-covid-19-vaccine-access-should-be-expanded-fair
« Pour les bons tortellini c’est Modena ou Bologne. »
c’est un fait ! qui plus est avéré !
maintenant le seul truc c’est d’éviter de le dire à un restaurateur parmesan.
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