de Pierre Assouline

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Anéanti par le nouveau Houellebecq

Anéanti par le nouveau Houellebecq

S’il y a un livre qui doit être séparé du bruit qu’il fait si on veut le juger pour ce qu’il est, c’est bien tout nouveau roman de Michel Houellebecq quel qu’il soit. Evacuons donc le secret sur le contenu, l’embargo jusqu’au 30 décembre, les versions pirates numérisées, le buzz, le marketing, la rumeur, la consigne d’embargo  qui précèdent sa sortie (le 7 janvier en librairie) et oublions un instant la mise en scène du texte par l’auteur même, le seul à obtenir de son éditeur un emballage selon son goût avec reliure et couverture cartonnée (sur le modèle allemand, parait-il), marque-page en tissu rouge comme un signet de reconnaissance pléiadisant l’auteur par anticipation, typographie de la titraille et mise à page adaptée à sa conception de la chose à commencer par le titre de son huitième roman anéantir (730 pages, 26 euros, Flammarion) gravé en lettres rouges sur fond monochrome blanc inspiré par « l’album blanc » de Beatles, titre qui se signale par sa minuscule initiale. Rarement un livre à prétention littéraire a été ainsi traité par son auteur à l’égal tant d’un objet que d’un produit. Des exigences de star. Mais après tout, c’est bien le moins pour l’écrivain français vivant le plus traduit et le plus lu dans le monde comme c’est partout écrit (on n’ira pas vérifier). Allez savoir pourquoi on attend beaucoup d’un roman de plus de 500 pages, on lui prête a priori une grande ambition et un vaste projet, beaucoup plus que, disons, au format-Modiano ou à l’épaisseur-Michon, c’est bête mais c’est ainsi.

Paris 2026. Dès l’incipit, on est transporté dans le couloir de la mort à proximité du néant. Ca se veut un thriller mais sur ce plan-là, Grangé, Chattam, Minier, Thilliez n’ont pas de souci à se faire. Il y a bien un mystère, avec pentagones, schémas, cercles à l’appui de la main même de l’auteur mais j’avoue n’avoir même pas cherché à le résoudre. Très vite, le pourquoi du comment, on s’en tape. Probable que l’auteur aussi. L’enquête, ou ce qui en tient lieu, nous indiffère. Tout pour les personnages, rien pour l’intrigue. Il avait du mal à convaincre lorsqu’il a expliqué, lors de sa conférence à la Sorbonne du 2 décembre dernier, que ses romans n’avaient aucune structure. C’était pourtant vrai et anéantir en témoigne : ça part dans tous les sens.

L’un des personnages principaux, pur polytechnicien dans un monde d’énarques inspecteurs des finances, nommé Bruno Juge, est ministre de l’Economie et des Finances (toute ressemblance etc). Dans le rôle du couple, on trouve Prudence, personnage saisi en pleine mutation végane, et Paul Raison son mari, un haut-fonctionnaire de la direction du Budget proche de la cinquantaine, quelqu’un qui a toujours vécu « sur le côté » dont le ressenti semble bien être celui de l’auteur. Un peu jeune pour être hanté par la mort mais c’est une question de tempérament. Son père, un ancien des services secrets, est très mal en point. Il ne peut plus parler, ce qui est regrettable car les attentats se multiplien. Les Raison, un couple parvenu à « une sorte de désespoir standardisé ». Le déclin, quoi. Air connu sous cette signature.

Ce serait une catharsis si anéantir reflétait l’époque, mais il colle à l’actualité dans ce qu’elle a de plus ordinaire, médiocre et éphémère. Si encore il nous renvoyait quelque chose de l’air du temps, mais non. Il nous parle d’une époque où les analyses de Christophe Guilluy sur l’état de la France sont jugées « déjà anciennes », forcément. Mais anéantir n’est-il pas lui-même déjà daté à l’aube de sa parution ? De quoi est-il question ? Panneaux solaires chinois, campagne électorale, psychologie des boomers, transferts de technologie, Breyvick, solitude dans la ville, taux de fécondité, écolofascisme, nihilisme, AVC, droit successoral, gène égoïste, misère sexuelle, Rassemblement national, Zemmour, guerre commerciale Pékin-Washington, rêves, chaos, Islam, biotechnologies, dentistes séfarades, le Lambeau, euthanasie, rêves encore, campagne électorale, déficit de notoriété, rêves… (inventaire non exhaustif). Et puis l’amour, toujours, dont il répète que c’est son sujet principal. Mais va-t-on vers la littérature pour retrouver le menu du 20 heures de France 2 ? Une ambiance parfois « Baron noir », espoir vite déçu car c’est bien moins cruel.

Notre compassion va aux dizaines de traducteurs d’anéantir de par le monde qui auront à préciser en note de bas de page qui sont ces Français nommés François Lenglet, David Pujadas, Jacques Martin, Michel Drucker, suffisamment importants pour être enrôlés par l’auteur dans son grand roman -sans parler de Bruno Le Maire en majesté quoique en loucedé. C’est inutilement digressif et bavard. Lorsque Paul doit consulter un chirurgien à l’Institut Gustave-Roussy, cela nous vaut une page de biographie de Marcel Grosménil pompée dans le Maitron (il faut emprunter la rue qui porte son nom pour aboutir à l’entrée du Centre de lutte contre le cancer !) et à une autre sur la politique à Villejuif (où il se trouve !). A ce train là, on est soulagé à la pensée du pensum de 1500 pages auquel on a échappé.

Tout cela est si français mais d’une France tellement plate, banale, quotidienne. On s’ennuie ferme comme Aurélien avec tout et tous page 215, sauf que nous, on a encore 500 pages à s’enquiller. Car on a tout de même envie de savoir où il veut en venir à défaut de découvrir ce que ce roman dit d’autre que ce qu’il raconte – mais que raconte-t-il au juste, c’est peut-être le vrai mystère. Les houellebecquiens les plus inconditionnels (autrefois les Inrocks, désormais le Monde), aiment à le faire passer pour un écrivain versé dans la sociologie sauvage mais il en faudrait plus pour que anéantir connaisse le destin des Choses. C’est d’une lecture peut-être plaisante, entendez que ca se lit sans déplaisir malgré l’ennui qui gagne le lecteur, car Houellebecq sait faire ; il a du métier ; mais à côté du livre de Georges Perec, c’est insignifiant. Pourtant, si l’on s’accroche, c’est que tout de même, il ne s’agit pas de n’importe qui mais de Houellebecq et l’on n’imagine pas qu’il va nous balader si longuement et si longtemps pour rien, sans but et sans objet. On veut savoir où il veut en venir car on n’envisage pas de quitter ce livre avec le goût amer du « tout-ça-pour-ça ». Et pourtant…

D’aucuns voudront une fois de plus faire passer Michel Houellebecq pour un styliste, ce qu’il n’est en rien (la charité bien ordonnée du début d’année nous fait soudainement oublier le nom de celui qui le compara jadis au cardinal de Retz). Cela ne signifie pas que son roman soit dépourvu de style, loin de là. Mais l’écriture d’anéantir, plus encore que dans ses précédents romans, est si platement conventionnelle qu’elle endort. Rester vivant, certes, mais surtout rester éveillé, ce qui ne va pas de soi (il ne suffit pas, comme l’un de ses personnages insomniaques, de regarder des documentaires animaliers la nuit à la télé). Le ton est à l’image de ce qu’est devenu son radical nihilisme d’autrefois : mou. A croire que l’auteur s’est embourgeoisé en se mariant ; pourquoi aurait-il été le seul à y échapper, après tout il est humain.

Mais rassurez-vous, il y en aura toujours pour se pâmer devant cette « écriture blanche » quand bien même son livre ne paraitrait pas chez Minuit. Au fond, cette fois, elle ressemble à sa reliure. Une chose d’autrefois avec le charme du suranné et ses limites aussi. Généralement, l’humour, l’ironie, le goût de la litote, le second degré le sauvent :

« Elle avait même le souvenir demi-honteux de s’être, le soir de son inscription à la fac de médecine, masturbée devant une affiche de Bernard Kouchner en meeting qui décorait sa chambre, ce n’était pourtant qu’un meeting du parti socialiste, il n’avait même pas de sac de riz ».

Sauf que cette fois ils se font plus rares, étouffés par le souci didactique et c’est lourd, mais lourd… Un exemple parmi d’autres :

« Ce n’étaient pas seulement les oiseaux qui se cachaient pour mourir, selon le titre francisé du célèbre best-seller d’une auteure australienne, qui avait par ailleurs donné lieu à une série télévisée encore plus célèbre et plus rémunératrice ».  (p. 656).

Bizarre que les correcteurs aient laissé passer « les images saint-sulpiciennes de la Vierge » (p. 252) alors que, depuis La femme pauvre de Léon Bloy, lorsque l’adjectif se veut péjoratif,          « sulpicien » suffit. Des incongruités (« l’amour ou un sentiment analogue ») y côtoient des formules à l’emporte-pièce (« Une amélioration des conditions de vie va souvent de pair avec une détérioration des raisons de vivre, et en particulier de vivre ensemble ») pour ne rien dire des jugements expéditifs et des généralités lorsque le moraliste se permet, par exemple, de liquider en un paragraphe les recherches de René Girard sur le désir mimétique : « Amusante sur le papier, cette théorie est en réalité fausse ». La postérité de l’anthropologue ne devrait pas s’en remettre.

Les cent dernières pages tranchent avec le ton qui les précède. A la fois plus nerveuses, plus surprenantes, plus poignantes. Forcément, un cancer de la mâchoire. Une descente aux enfers décrite dans le détail. Là au moins, on se dit qu’un peu de transcendance pourrait se glisser, ou à défaut, l’ombre d’une spiritualité, mais non, rien. Ceux qui, depuis quelques années, avaient crû pouvoir l’annexer, avec sa collaboration médiatique, au catholicisme, sinon à l’Eglise voire au christianisme, en seront pour leurs frais (voir Misère de l’homme sans Dieu. Michel Houellebecq et la question de la foi, sous la direction de Caroline Julliot et Agathe Novack-Lechevalier, 416 pages, 14 euros, Champs/Flammarion). De son propre aveu, de ce côté-là, il a « un peu laissé tomber ». On chercherait en vain l’ombre de Huysmans dans les couloirs de Bercy. Dommage, on n’aurait pas fait le voyage pour rien. Au lieu de quoi on en ressort anéanti. Et l’on ignore toujours pourquoi anéantir doit impérativement s’écrire avec une minuscule initiale, ce qui n’est d’ailleurs pas le cas à l’étranger au vu des couvertures de Annientare, Vernichten, Ekmidenizo…

A part ça, réjouissons-nous, une belle rentrée littéraire s’annonce.

(Photos Fabrice Coffrini et Philippe Matsas, dessin MrT-cartoons)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 270 Réponses pour Anéanti par le nouveau Houellebecq

JiCé..... dit: à

Effet miroir…..

Jazzi dit: à

Houellebecq n’est-il pas le prototype de l’adulescent, tel que défini par le sociologue Tony Anatrella ?
Son rapport au monde et la vision qu’il en a et qu’il en donne ne s’en trouvent-ils pas ainsi profondément marqués.
N’est-ce pas à cette aune-là que l’on peut juger, comprendre sa littérature ?
Il parle d’un monde où les individus, éternels ados, consuméristes acharnés en matière de biens, de sexualité, d’idées… passent directement de l’enfance à la vieillesse.
Des sociétés mondialisées où chacun se reconnait, ce qui explique son succès, à la limite d’une certaine nausée…

Jean Langoncet dit: à

Actualités : Le président chinois Xi Jinping a salué les « mesures fortes » prises par le président kazakh, rendant hommage à son « sens du devoir ».

JiCé..... dit: à

Que notre Michelet H. au visage si attrayant, à la dégaine si particulière, soit un bon écrivain, je puis l’admettre aisément. Il écrit moins mal que bien d’autres paumés qui s’y risquent !

Mais l’essentiel de son succès me parait être d’abord lié à l’effet de « loupe », de « mode », de « besoin de héros » médiatisables dans une société qui en redemande, faute d’en trouver de véritables.

Même fatigué, et triste comme notre héros du tirage mis en scène par des spécialistes du lobbying littéraire.

Jibé dit: à

« Des sociétés mondialisées où chacun se reconnait »
oui Jazzi, très juste remarque, écrivain de la globalisation et du regret des enracinements, il parle à tous les angoissés et déroutés. Pour leur dire que tout est foutu, approximativement (toujours pas lu son dernier roman, mais je ne sens qu’on y trouve grande l’allégresse ni vive consolation).

Marie Sasseur dit: à

Le lourdaud, cette tête a claques, ferait mieux de m’oublier pour faire sa retape pour des grimoires moyenâgeux à destination de cathos d’extrême droite révisionnistes.

et alii dit: à

BONJOUR
peut-etre Michel H a-t-il assez conscience du role qu’il assume pour faire marcher son intellect?

Jibé dit: à

« Pas Sydney Poitier », c’est vrai que c’était bien, ça! Je viens d’aller voir sur l’étagère, c’est chez Actes Sud. Pas sûr que c’est bien woke,…

Jibé dit: à

Blanche neige, Bloom, c’est comme ça que les Blanc ricanaient en désignant les Noirs… et quand vous écrivez « un monde de nains », Bloom! Menfin, c’est impolitiquement correct ça! Petites personnes, svp. On a du chemin à faire pour être convenable, hein, …mais on le fera pas!
Yours.

Jibé dit: à

Post supra sur Pas Sydney Poitier, à JJJ, belle journée à lui.

closer dit: à

Le mystère Répine…

A quoi peut-on attribuer l’ignorance dans laquelle se trouvait le public français d’amateurs d’art, de l’existence même d’Ilya Répine, dont l’oeuvre est d’une puissance, d’une ampleur et, évidemment, d’une beauté, qui l’égalent aux plus grands?

Vous avez jusqu’au 23 janvier pour aller au Petit Palais.

Marie Sasseur dit: à

Peut-être.

Ca commence bien.
Avez-vous déchiffré le  » graffiti  » en épigraphe du premier chapitre de ce roman de Houellebecq ?
C’est une idée géniale.
Elle ouvre une réflexion sur le cryptage informatique.
J’ajoute, pour ma part de réflexion: cryptage qui est la forme la plus aboutie, sophistiquée, d’une représentation du réel. Consubstantielle au consumérisme, tout autant que de la consumation du monde, et de ses ressources. Et quand maîtrisée par des groupuscules terroristes, il y matière à ébauche de scénario romanesque peut-être là aussi.

Certains aveuglés par leur bêtise , leur ressentiment et leur jalousie, se privent d’une lecture  » augmentée « .

Jazzi dit: à

Pour ceux qui sont restés d’éternels enfants et qui en ont, le léZard vous conseille d’aller faire un tour au jardin d’Acclimatation, plutôt qu’à Disneyland !

Marie Sasseur dit: à

PS, oublié de lui remettre une baffe:

Le lourdaud, qui a tant daubé sur ce blog, sur Pascal et les jansénistes, ferait mieux de fermer sa gueule, il va prendre cher.

MC dit: à

Les Pensées ne sont pas , par leur propos et leur inachèvement même, un livre de parti, Sasseur. Mais d’ici que vous le compreniez, il s’écoulera du temps. Tout le contraire de l’ennuyeux Nicole, en fait. Ou Arnaud! Bonne lecture loin de ce blog qui, on ne le sait que trop, ne vous merite pas….

Bloom dit: à

Yes, Jibé, there’ll be no walking down that road, not ever.
J’ai écouté avec grand plaisir une émission de 2001 sur le « Disgrace » de Coetzee, ce matin sur FC.
Loin de toute gesticulation, la littérature à l’estomac, au cœur et au corps, en majesté.

Janssen J-J dit: à

Espérons que nous n’aurons pas une analyse augmentée de chaque page de l’opus durant les 750 jours de l’année à venir… Car entre temps, il y aura eu des élections présidentielles, des restes de gros colombins dans la neige fondue et des comparaisons oiseuses entre Houellebecq et Gombrowicz, ces éternels « adulescents »
(pmp/rptv ou au minimum rétréci)… Bàv,

bouguereau dit: à

hein, …mais on le fera pas!
Yours.

jambon il a passé son harnais pour un lancé de nain

bouguereau dit: à

Bonne lecture loin de ce blog qui, on ne le sait que trop, ne vous merite pas….

c’est du boulot pour tirer sa crampe meussieu courte

bouguereau dit: à

Je travaille sur l’Héraclite

c’est vilain pour qui le jeux et le rêve primait sur licelui..

bouguereau dit: à

Le maçonnologue etait maçon lui-même et ne s’en cachait pas

il aurait pu herboriser cul nu sous la pleine lune bien accompagné..même s’il y croyait pas..djizeus il a fait bien plus compromettant pour se frotter à la galrie

Janssen J-J dit: à

@ jibé, merci pour PSP, belle journée itou
@ jzmn, bravo pour cette belle évocation du Jardin d’Acclimatation. (Pmp, je pense toujours au douloureux roman de Navarre portant ce titre)… Votre liste se rallonge dangereusement…, comme pour les cimetières, il aurait peut-être fallu scinder les rubriques jardins, non ?.
Traiterez-vous de certains jardins privatifs parisiens ouverts aux publics provinciaux lors des journées patrimoniales, par ex. ? (genre garden party d’Elysées, ou autres ?). Bàv,

bouguereau dit: à

ainsi un beau panorama de la quête spirituelle maçonnique telle qu’on l’a concevait à l’époque du Mozart de la Flûte enchantée

..c’est mieux que ta tentative de mettre dédé sur le mauvais chemin sur mozart et yavé lately

et alii dit: à

sur hyperallergic:
Comment le visage de Rio de Janeiro a radicalement changé en cinq siècles
Un nouvel atlas numérique, imagineRio, révèle comment l’évolution urbaine de la ville s’est déroulée depuis ses racines du XVIe siècle jusqu’à nos jours.
https://hyperallergic.com/700510/how-the-face-of-rio-de-janeiro-radically-changed-over-five-centuries/?utm_medium=email&utm_campaign=W010822&utm_content=W010822+CID_6baa8cc2ad15a0bb150affcac1100446&utm_source=hn&utm_term=How%20the%20Face%20of%20Rio%20de%20Janeiro%20Radically%20Changed%20Over%20Five%20Centuries

bouguereau dit: à

Des sociétés mondialisées où chacun se reconnait, ce qui explique son succès

..c’est lfranseuziche un peu nain que le mépris et le marketting a telment lancé..c’est un sans dents « consubstantiel » baroz..et hune fois célébre les français se sont reconnu..un peu comme les angliche havec bodjo..beaucoup de dépit..à rome on se dmande si c’est une vertue..c’est a dire un devoir..ou un abus de droit social

et alii dit: à

Un musée suisse cédera la propriété de 29 œuvres de Gurlitt Trove
La vaste collection, qui comprend des pièces de Max Beckmann, Henri Matisse et Pablo Picasso, a été à l’origine amassée par un marchand allemand d’art pillé par les nazis.
hyperallergic

bouguereau dit: à

@Tiens, bouguereau

roaa..des lçons tout comme dédeye j’en donne!..flaubert avait le style stendhal « accompli »..

bouguereau dit: à

Loin de toute gesticulation, la littérature à l’estomac, au cœur et au corps, en majesté

houelbeque n’est pas toute la litterature contemporaine et sidney poitier était un acteur black qui a surtout fait cqu’il a pu..

et alii dit: à

Peintures trouvées dans l’appartement de Cornelius Gurlitt : Femme assise sur une chaise d’Henri Matisse ; Don Quichotte et Sancho Pança d’Honoré Daumier ; Couple, par Hans Christoph ; Pferde in Landschaft de Franz Marc; La femme dans la boîte de théâtre d’Otto Dix ; Gros plan d’un dessin en noir et blanc d’Antonio Canaletto
https://art.claimscon.org/work-provenance-research-archives/gurlitt-collection/

D. dit: à

ta gueule greubou.

et alii dit: à

Alors que l’élection approche, celui qui a inspiré le ministre mis en scène dans le nouveau roman de Houellebecq trace les lignes de ce que pourrait être la politique économique d’un second mandat d’Emmanuel Macron, voire des dix ans à venir.
le point

puck dit: à

« Ce n’étaient pas seulement les oiseaux qui se cachaient pour mourir, selon le titre francisé du célèbre best-seller d’une auteure australienne, qui avait par ailleurs donné lieu à une série télévisée encore plus célèbre et plus rémunératrice »
 »

c’est vrai que c’est lourd.

question lourdeur je m’y connais tellement que je sais la reconnaitre même la nuit en plein brouillard…

et alii dit: à

e docteur Bernard Jeanblanc, créateur de l’unité de vie spécialisée de la Maison de santé Béthel à Oberhausbergen (près de Strasbourg), a inspiré à Michel Houellebecq le personnage du Dr Leroux. Et permis à l’auteur de s’immerger dans le monde de la « fin de vie ».
DNA et non ADN

Janssen J-J dit: à

@ jmb, parfois on a des envies de meurtre à l’égard de sa conjointe. Le pb, c’est quand ça devient de plus en plus fréquent. On finit par comprendre les féminicides isolés.

Jazzi dit: à

JJJ, l’Histoire des jardins de Paris, des Tuileries à Bercy, racontera, dans l’ordre chronologique, l’histoire des jardins publics parisiens et sera structuré sur mon blog en 4 parties :
1/ Les jardins classiques, 17e et 18e siècles
2/ Les jardins paysagers du 19e siècle
3/ Les jardins des années 1930 (1ère partie du XXe siècle)
4/ Les jardins contemporains (seconde moitié du XXe siècle)

et alii dit: à

ça lui fait une sacrée collection de médecins,(qui le lisent par ailleurs) à Michel;
Et pourtant, oui, il va bien », a avancé le Dr Perschak, lors d’une rencontre au musée, à propos de ce patient hors norme, qui reconnaît fumer deux à trois paquets de cigarettes par jour.

puck dit: à

« le keuf jaloux violent et grossier jjj/bougreau/puck/d »
 »

misère me voilà démasqué !

terezoune c’est bon t’es la plus forte, je l’admets : jjj, greubou, puck et D. ne sont qu’une seule et même personne.

voilà je l’avoue, et j’espère que, s’ils ne sont pas que des lâches violents et jaloux, les autres aussi vont avouer.

il n’y avait qu’une super lectrice comme toi pour percer ce mystère.

c’est d’ailleurs même pour ça que t’es une fan de welbec : parce que tu es la seule sur le blogapassou à savoir lire !

puck dit: à

je crois que point commun entre tous les fans de welbec c’est qu’ils sont pas finis : il leur manque une case.

c’est terezoune qui m’a permis de comprendre ça.

merci terezoune !

Petit Rappel dit: à

Parce que l’aimable femme de lettres ( en fait surtout anonymes et dans la grande tradition de délation nationale) n’est ni jalouse, ni violente, ni grossière ?« Tel(le) cuide engeigner Merlin, souvent s’engeigne lui-même.., »

DHH dit: à

@Claudio Bahia
Merci du long et chaleureux message de voeux que vous avez posté pour nous yous
De tout coeur avec vous sur tout ce que vous souhaitez pour le Bresil pour la France, pour l’ecole le covid etc. et même pour Judith Butler;
Malheureusement je crains qu’il en aille de ce genre de vœux voeux comme des bonnes résolutions qui se prennent début d’année et qui restent lettre morte Bornons nous donc à croire en la réalisation de tout ce qui est réalisable. Je vous souhaite et aussi a tous les autres blogueurs beaucoup de joies personnelles et familiales ,des satisfactions professionnelles et intellectuelles et ,plein de bons moments à base de lectures de films de cinema ,de balades voyages et de rencontres
J’ai été sensible au fait que vous m’ayez mise au nombre des élus auxquels vous avez adressé des voeux personnalisés»
Miracle du blog cette sympathie qui s’installe entre des gens qui ne se sont jamais vus et qui ont appris a se connaître et s’apprecier ’à travers des phrases breves ecrites a la va –vite sur des sujets divers et destinées a tout le monde
Et surtout merci de me voir avec cette image de moi que vous m’avez renvoyée et a laquelle je me rejouis de ressembler si elle est exacte, comme je l’espere
Encore que le personnage de la grand mere attentive et aimée ,entourée de ses petits enfant qui degustent sa cuisine, et apprecient sa conversation et ses leçons diverses ,pas seulemnt de sagesse ,mais aussi de latin, de littérature et autres , n’est plus vrai depuis longtemps, car mes petits enfants sont des jeunes adultes trentenaires, vivant en couple ,très absorbes par leurs carrieres, leur vie amicale et sociale, qui n’ont plus beaucoup de temps à consacrer à une grand’mere pour qui ils ont toujours une affection tres tendre,,

Patrice Charoulet dit: à

LE PIC

Depuis quinze jours, j’entends à la télé comme à la radio, une vingtaine de perroquets nous seriner ceci : On estime qu’on atteindra un pic pour l’épidémie vers la mi janvier. Sur quoi se fondent ces perroquets ? Ils ne nous le disent pas.
Je vois deux possibilités : 1. Il v a y avoir un pic. 2. Il n’y aura pas un pic, mais nous allons aller dans tous les mois à venir de pic en pic, passant des Vosges à l’Everest.
Quand on se sait rien, on ne dit rien ;

renato dit: à

Jamais entendu parler de modèles de prédiction, PC ? (d’épidémie, dans ce cas).

MC dit: à

Je me demande tout de même, Closer: y aurait-il eu dans la Chanson du Mal-Aime celle des Cosaques Zaporogues sans le tableau de Repine? Apollinaire était du genre à retranscrire ça ! Bien à vous. MC

Pesseaud Jean dit: à

« Chaque narrateur des romans de Houellebecq exprime son dégoût de l’émancipation »
Tribune

Jean-Philippe Domecq

Ecrivain

Dans une tribune au « Monde », l’écrivain Jean-Philippe Domecq s’interroge sur la pertinence de la décision du président de la République de remettre la Légion d’honneur à l’auteur de « Soumission », le 18 avril.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/04/18/chaque-narrateur-des-romans-de-houellebecq-exprime-son-degout-de-l-emancipation_5451845_3232.html

Pesseaud Jean dit: à

En bien ou en mal, M.H. mérite bien les 900 commentaires ici sur les 400 000 vendus ailleurs, non?

Pesseaud Jean dit: à

sur les 400 000 EXEMPLAIRES vendus…

Marie Sasseur dit: à

Se pose trop de questions, le lourdaud. Il faut relire tous les messages de ce marteau, rien que sur ce fil, et sous plusieurspseudis: mauvaise pensée, : mc, petit rappel.

Un bâton de merde, ce cacographe.

renato dit: à

bouguereau cherche à nous faire croire qu’il a une vision lucidement étonnée de la réalité sans vraiment y arriver.

Marie Sasseur dit: à

Le lourdaud, une saleté qui a besoin de plusieurs pseudos

Va vite te cacher, vieux pou !

et alii dit: à

sur les questions posées à Michel H autour de SA mort, il n’y a pas que ses romans qui nous renvoient à la question de l’euthanasie;je ne me souvenais pas qu’il était intervenu dans l’affaire Lambert, et c’est pour tous une question sérieuse que celle de la « fin de vie »qui implique « la médecine » si concernée par l’actualité;
je viens de lire une intervention sur mediapart qui
revient sur l’affaire Lambert(j’ai connu personnellement un médecin spécialiste en soins palliatifs qui avait écrit un livre):
BILLET DE BLOG 12 JUIL. 2019

Houellebecq et l’évêque, de concert dans l’ignoble
Michel Houellebecq accuse l’État d’avoir accompli ce à quoi la plus grande partie de la famille de Vincent Lambert était acharnée, à savoir : le « tuer ». L’évêque de Montauban dénonce « un meurtre programmé sur ordre d’un médecin ». Je laisse des directives anticipées… pour que des poursuites soient engagées contre de tels individus qui insulteraient de la même manière mes proches. »
https://blogs.mediapart.fr/yves-faucoup/blog/120719/houellebecq-et-l-eveque-de-concert-dans-l-ignoble

et alii dit: à

in MICHEL H , « coté coeur »:
« La première fois, je lui ai demandé : « Allons-nous parler d’art ? » En fait non, lui voulait parler médecine […] C’est un sujet qui le fascine. Il m’a dit qu’il aurait voulu être médecin. »

« Ce qui intéresse Michel Houellebecq, c’est le système sanguin, le flux du sang, les battements du cœur ».

Terminons avec ces quelques vers houellebecquiens mis en musique dans l’album « Présence humaine », et qui contiennent un peu de l’importance du tactile et du mouvement dans son oeuvre (poésie et romans) :
https://houellebecqblog.wordpress.com/tag/bilan-de-sante/

et alii dit: à

ceci, juste parce qu’on se souvient que la mère de Michel était médecin

et alii dit: à

mère de Michel H
ancien médecin anesthésiste sortie major de la faculté de médecine d’Alger,
l’histoire entre la mère et le fils, vous « savez »!

bouguereau dit: à

les suppositoires de cette ordure de courtaud, ne dépassent jamais le niveau du caniveau où il patauge

..jespère qu’elle sait contracter son yoni la térezoune qu’il dirait houelbèque..pasque si c’est ça ma lectrice moyenne..plutôt boire un litron d’éther havant d’hallumer mon partagaze

bouguereau dit: à

..ta gueule la pouphiass

bouguereau dit: à

une vision lucidement étonnée de la réalité sans vraiment y arriver

saisis loccasion..dédeye..de montrer ta supériorité en mespliquant

moralès sed laisse dit: à

Un suppositoire c’est un suppôt transitoire!
( Foi de satan!)

bouguereau dit: à

Quand on se sait rien, on ne dit rien

..de caveaux en fosses havec patrice..baroz est surclassé

Paul Edel dit: à

Jean-Philippe Domecq publie un article polémique dans » Le monde « dans lequel il se demande s’il fut justifié de donner la légion d’honneur à Houellebecq.la réponse est évidemment non. Il faut simplement savoir que Jean-Philippe Domecq est un brillant polémiste, un écrivain de grande qualité, remarqué des ses débuts en 1984 avec un lumineux « Robespierre derniers temps » .Nombreux romans, voir Wikipedia .Il tient un blog où il parle de littérature, de peinture avec compétence. Points de vue tranchés solidement argumentés ; il a publié plusieurs essais contre la critique littéraire actuelle, pertinents, et des dialogues savoureux avec un autre non-conformiste Naulleau . Il fut très tôt un anti-houellebecquien.

Pesseaud Jean dit: à

C’est exact ce que vous dites Paul Edel.

bouguereau dit: à

@ jmb, parfois on a des envies de meurtre à l’égard de sa conjointe. Le pb, c’est quand ça devient de plus en plus fréquent. On finit par comprendre les féminicides isolés

que voilà une vision lucidement étonnée de la réalité..dédeye va dmander à rénateau si jj « y arrive »..moi j’ose pas

bouguereau dit: à

« Robespierre derniers temps »

..pas mal

Pesseaud Jean dit: à

Ce dont vous faite mention, paul Edel :

La situation des esprits de Jean-Philippe Domecq
 » Quelques échantillons du Ridicule-turel  »

Eric NAULLEAU : (…) De crainte de paraître « ringard », de rester sourd au dernier cri, de rater le train de l’avant-garde, les institutions s’empressent désormais de soutenir la moindre apparence de nouveauté sans crainte excessive du ridicule. C’est ainsi qu’on a vu le Festival d’Avignon mettre à l’honneur le travail très discutable de Jan Fabre. Et entendu le ministre de la Culture en personne féliciter Michel Houellebecq, en des termes d’un lyrisme aux limites du comique involontaire, pour l’attribution du prix Interallié à son roman « La Possibilité d’une île » M. Donnedieu de Vabres saluait notamment « la puissance narrative » d’une intrigue minimale et d’une prose rabougrie, s’inclinait devant le démontage, « avec autant d’ironie perspicace, de tous les leurres de notre époque, toutes les illusions et les ruses idéologiques, les productions de la publicité, au sens large » alors même que le roman dont il chantait les louanges venait de servir à l’une des plus vastes opérations de marketing littéraire jamais menées en France, et s’exaltait enfin : « Vos deux portraits de femmes sont magnifiques, dans leur vérité douloureuses », remarque élégiaque à rapprocher de ce magnifique morceau de poésie douloureuse extrait de « La Possibilité d’une île » : « Comme toutes les très jolies jeunes filles, elle n’était bonne qu’à baiser, et il aurait été stupide à l’employer à autre chose, de la voir autrement que comme un animal de luxe. »

[Jean-Philippe DOMECQ & Eric NAULLEAU, « La situation des esprits – Art . Littérature. Politique. Vie « , chapitre « La crise de la médiation littéraire, cas concrets », éditions de la Martinière, 2006, pages 59-60]

bouguereau dit: à

il se demande s’il fut justifié de donner la légion d’honneur

dab pour talent ou pas..y’a d’autes médailles pour ça

Pesseaud Jean dit: à

Qui a peur de la littérature ? de Jean-Philippe Domecq

 » La faiblesse des romans de Houellebecq vient de ce que le monde y est livré à travers le prisme étroit de son idéologie. Ce sont des romans idéologiques — idéologie de l’exécration nostalgique, mais à cet égard « engagés » au lourd sens du terme. Rappelons tout de même que les écrivains du passé communiquaient ce qu’ils savaient : l’écrivain moderne écrit parce qu’il ne comprend pas. De leurs propres « a priori » sur leur époque, les grands écrivains réalistes s’étaient gardés autant que faire se peut. Heureusement que Balzac fit abstraction, dans ses romans, de son idéologie nostalgique. Et Céline, donc… Celle de Houellebecq n’est hélas que trop envahissante, et trop limitée pour nous en dire long sur ce qu’il repère à bon escient. Ses thuriféraires ont beau dire que cette étroitesse de vue est celle de son narrateur, c’est, d’abord, à moitié vrai, puisqu’elle est récurrente de livre en livre ; c’est surtout un peu court, car cela ne change rien au fit que la vision livrée par Houellebecq est tellement prévisible. (…)

[Jean-Philippe DOMECQ, « Qui a peur de la littérature ? », essai — éditions mille et une nuits, 2002, pages 21-22]

et alii dit: à

on disait autrefois que la seule légion d’honneur qui honorait la personne à laquelle elle était décernée et les personnes qui la recommandaient était la légion d’honneur à titre militaire

moralès sed laisse dit: à

Paul Edel, vous avez eu raison de citer J.P. Domecq.
Mais ce qui l’agace le plus c’est que les deux noms se terminent en ecq! 😉

Pesseaud Jean dit: à

Bien sûr que paul Edel a eut raison de nous rappeler l’historique critique du polémiste Domecq :

(…) Cela ne change rien au fait que la vision livrée par Houellebecq est tellement prévisible. Prévisible parce que ce qu’il dit du monde et des êtres est l’application de ce qu’il pense, une mise en roman d’une conception, au demeurant assez pauvre. Celle-ci consiste en un déversement des rancoeurs et ressentiments, un « lâcher tout » qui passe pour une libération et c’en est une, en effet, mais de quoi ? des pulsions réactives. Le sexe sans désir, la misogynie qui se pare, pour jouer subtil, d’amours en réalité non senties et inexpliquées ; et cela va avec, la rancoeur du petit blanc contre tout ce qui le déloge et menace de le forcer à s’ouvrir. En cela, la littérature de Houellebecq a valeur de symptôme uniquement, de l’état de la société française. Elle satisfait la revendication de « se lâcher » dans le pire.

[Jean-Philippe DOMECQ, « Qui a peur de la littérature ? », essai — éditions mille et une nuits, 2002, page 22]

et alii dit: à

histoire connue: »
Le cas du musicien Maurice Ravel, auquel l’écrivain Michel Bernard consacre un ouvrage qui paraît le 8 jnavier 2015 chez La Table Ronde et qui avait demandé l’annulation de sa nomination, reste unique . « Nommé contre son gré par un décret de janvier 1920, Ravel avait demandé au grand chancelier de faire le nécessaire pour que cette nomination soit annulée, ce qui fut fait par décret en avril de la même année », résume Bertrand Galimard-Flavigny. Ce refus avait provoqué ce commentaire acerbe de son confrère, le compositeur Erik Satie, avec qui il était en froid: « Monsieur Ravel refuse la Légion d’honneur, mais toute sa musique l’accepte. »

Pesseaud Jean dit: à

« moralès sed laisse » vous êtes un drôle de paroissien de la littérature, vous!

et alii dit: à

Légion d’honneur : Maurice Ravel avait fait annuler le décret le nommant2 janvier 2015
L’économiste Thomas Piketty qui a fait beaucoup de bruit le 1er janvier 2015 pour dire qu’il refusait la légion d’honneur reste nommé dans l’Ordre tant qu’il ne décide pas , comme l’avait fait le musicien Maurice Ravel, ancien combattant de la Première Guerre mondiale, en 1920, de faire annuler le décret présidentiel de sa nomination. « Lorsque vous refusez la Légion d’honneur, le décret portant votre nomination n’est pas annulé pour autant », a expliqué le vendredi 2 janvier 2015 un porte-parole de la grande chancellerie de l’Ordre. « Votre refus signifie que vous renoncez à recevoir votre insigne et, de fait, à devenir membre de l’Ordre », a-t-il expliqué.

Rien n’interdit à Thomas Piketty de revenir sur sa décision. « En droit, c’est tout à fait possible, même si cela serait particulièrement mal perçu », détaille Bertrand Galimard-Flavigny, auteur de La Légion d’honneur (Découvertes/Gallimard). Les textes ne prévoient pas ce cas de figure, précise-t-on à la grande chancellerie.

Marie Sasseur dit: à

Moi j’aimerais bien pouvoir lire un extenso l’archive d’un journaleux qui a chronique  » la possibilite d’une ile » pour le torchon le point, en 2005.

Jazzi dit: à

« la seule légion d’honneur qui honorait la personne à laquelle elle était décernée et les personnes qui la recommandaient était la légion d’honneur à titre militaire »

Uniquement si c’est à titre posthume, et alii !

et alii dit: à

@jazzi:
prove it!

bouguereau dit: à

Ce sont des romans idéologiques — idéologie de l’exécration nostalgique

pépèpe..c’est toutafé vrai qu’on est rien que des nains..mais c’est moi moi moi moi! que kabloom lance le plus loin qu’il dit jambon

et alii dit: à

Sur le site du ministère de la Culture, on peut lire que « l’ordre de Saint-Michel (1469-1830) peut être considéré comme le précurseur de l’ordre des Arts et des Lettres. Destiné à l’origine à l’aristocratie, il va tendre aux xviie et xviiie siècles à devenir un ordre de mérite civil où seront distingués de nombreux artistes, architectes, collectionneurs ou gens de lettres »1.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_des_Arts_et_des_Lettres

bouguereau dit: à

En cela, la littérature de Houellebecq a valeur de symptôme uniquement, de l’état de la société française. Elle satisfait la revendication de « se lâcher » dans le pire

on reconnait là bien viandard polo!..mais en plus il est hassez lâche pour phinir présentment en eau de boudin..saluons en térezoune une vraie salope..conne et méchante et telment chimicment pure que meussieu courte veut l’huliliser finement écrasé et bouillu a quelque fin alchimique pour un grand oeuvre satanic..mais que fait dédèye..cette loque humaine ! ce traitre..on est tousse perdido

Marie Sasseur dit: à

Edel doit aussi être un peu court de pognon…

MC dit: à

Puisque vous me faites l’honneur de vous intéresser à mes pseudos, ce qui vous dispense de me répondre que le fond,vous conviendrez , chere Marie, qu’on a jamais su qui vous étiez, toute occupée que vous êtes à entretenir image et brume sur votre identité : camp du bien, grande scientifique, reconvertie dans le Quantique depuis l’Anomalie, cette œuvre que vous proclamâtes géniale quitte à la revendre -sic transit gloria Mundi!-hier ou avant-hier.
Vous aurez aussi noté que ces pseudos ne sont pas trois, comme vous l’avancez, mais quatre comme les mousquetaires. Vous ne nierez pas j’espère que le plus représenté est très souvent signé MC. ( les deux autres le sont très peu!)Si vous le faites, je pourrais me rappeler d’un inénarrable message ou vous me conseilliez sur l’art et la manière de troller sans mettre mon nom alors que je faisais exprès d’y mettre mes initiales , attitude trop peu tortueuse pour vous. Pour le reste, êtes vous sur que le « hors d’ici «  que vous me decochez ne correspond pas , mais vous concernant, au vœu de la majorité des gens de ce blog? vous remerciant,de l’intérêt que vous attachez à mes contributions . iVous rendant à votre lecture confite en dévotion houellebecquienne et bornée au delà de toute mesure,je vous prie de croire, si chère et si attachante Marie, à mes sentiments choisis. MC

Pesseaud Jean dit: à

Il est quasiment certain, on peut le dire désormais, que le libellé M.H.rédigé par monsieur Pierre Assouline sur ce blog atteindra les 900 commentaires.

Marie Sasseur dit: à

C’est plus facile de paparazziter, que de mette le main à la poche.
Quel pingre vous faites, Edel. 26 euros, au lieu de ca, vous servez la soupe au pote de zemmour.
Quelle légitimité avez-vous pour causer de critique litteraire ?

bouguereau dit: à

si chère et si attachante Marie, à mes sentiments choisis

térezoune est proche de phinir dans un mortier avec de la crotte de chauve souris..le baume confectionné va servir a oindre polo pour une légitimité qui sera valide jusqu’aux confins de l’hunivers!

Marie Sasseur dit: à

Le bâton merdeux a des comptes à rendre au diocèse de Quimper, et à son  » ufr » de fachos.
Laissons ce pou, se refaire le portrait, qu’il a bien défoncé, maintenant.

moralès sed laisse dit: à

Déjà des exemplaires en revente du dernier Houellebecq, à pas cher, sur le net!
(Avec reliure cartonnée et tranchefile!)

Marie Sasseur dit: à

Edel va pouvoir en profiter. Pas de petit profit.

et alii dit: à

La décision a de quoi rassurer l’ensemble de la filière du CBD, quelques jours après la publication d’un arrêté interdisant le commerce et la consommation de la fleur de chanvre contenant du CBD. Le Conseil constitutionnel a estimé ce vendredi que les produits à base de CBD, y compris la fleur, n’entrent pas dans le champ de critères de définition d’un produit stupéfiant.

La notion de stupéfiant désigne des substances psychotropes qui se caractérisent par un « risque de dépendance » et des « effets nocifs pour la santé », ont considéré les juges dans leur décision, en réponse à une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) posée par l’Association des producteurs de cannabinoïdes. Le Conseil constitutionnel a rejeté sa requête mais en a profité pour retenir deux critères cumulatifs permettant de qualifier un produit de stupéfiant : « l’accoutumance » et les « effets nocifs pour la santé », explique Me Scanvic, avocat du requérant.

L’Europe et l’OMS estiment que le CBD ne présente pas de risques
Ces deux critères « essentiels remplissent un vide laissé par la loi », analyse Yann Bisiou, maître de conférences à l’université de Montpellier et fondateur de l’association L630 qui défend une réforme des politiques publiques des drogues en France. Désormais, « on va faire valoir que ces critères ne sont pas remplis concernant le CBD », assure-t-il, précisant que la Cour de justice de l’Union européenne ou l’Organisation mondiale de la santé convergent vers une « absence de risques » de la molécule.

Bloom dit: à

Cet ailleurs dont nous avons tant besoin.

« Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté. »

‘Danny Boy’, traditionnel irlandais, au filtre de la guitare argentine de Bernardo Rambeaud & de la voix d’or de Joyce DiDonato.

https://www.youtube.com/watch?v=NJ2xXGNhZfg&t=223s

Pesseaud Jean dit: à

Non, il n’y a pas de tranchefile Moralès Sed Laisse, vous voulez dire marque page tissus?

racontpatavi dit: à

Déjà des exemplaires en revente du dernier Houellebecq, à pas cher

Et dire qu’en province des libraires ne sont même pas encore livré!
Seulement lundi et encore ce n’est pas sûr!

Marie Sasseur dit: à

Pesseaud Jean dit: à
Il est quasiment certain, on peut le dire désormais, que le libellé M.H.rédigé par monsieur Pierre Assouline sur ce blog atteindra les 900 commentaires.

Sur un blog connu pour être la référence du Houellebecq bashing 2.0, ça peut monter beaucoup plus haut. Encore un effort Pesseaud et ce sera le premier billet  » anti-Houellebecq » où aucun commentaire ne concerne son roman.

Apres tout, comme l’a écrit Passou, pour quelques ânes, « Houellebecq n’est pas un écrivain ».
L’affaire est pliée, non ?

Pesseaud Jean dit: à

Comme me le disait un éminent chef d’entreprise de mes amis, que l’on parle de toi en mal ou en bien, l’essentiel c’est que l’on parle de toi!
C’est ce qui arrive pour Houellebecq.

vanina dit: à

Ballon d’éssai

vanina voudrait tout simplement savoir si elle
peut recommencer son dialogue avec La République
des Lettres.

Marie Sasseur dit: à

Il doit travailler avec bolloré,votre ami, Pesseaud.
Ici ça travaille le bad buzz.

une main dit: à

vanina, dans nos bras! 😉

et alii dit: à

M. Zemmour s’est surtout emporté contre le fait que les noms des parrains de candidats sont publics, jugeant que cette disposition dissuade certains de le soutenir. « Il faudrait que les noms ne veuillent plus rien dire », a-t-il soutenu. Eric Zemmour a aussi lancé un appel au président de l’Association des maires de France (AMF), David Lisnard, lui suggérant même de « donner les signatures à tous les candidats qui sont au minimum à 5 % ou 8 % dans les sondages ».
ahah!

Marie Sasseur dit: à

Il doit bien y avoir des sites de lecteurs, où on peut partager sa lecture de ce roman  » anéantir « , de Houellebecq, plutôt de de se fader des trolls et des vieux pleins de rancoeur et de jalousie.

Je vois que sur babelio il y a déjà pas mal d’avis positifs.

Jazzi dit: à

Que fait cette main dans la culotte de vanina ?

MC dit: à

Quel » journaleux » a chronique ce monumental ratage sui a nom « la Possibilité d’une Île »au point que la Groupie de l’´ Écluse veuille avoir sa peau? On voit se profiler une version littéraire de la Loi sur le sacrilège, et destinée à la critique non enchaînée. Charmante perspective.

Patrice Charoulet dit: à

ERREUR DE CASTING

Un ancien cacique de l’agreg de philo a un compte Facebook. Il déclare lire Télérama(ce n’est pas mon cas). Il nous montee la dernière couverture de ce journal télé. On y voit Laetitia Casta sans vêtements, assise par terre, les genoux remontés devant elle, si bien qu’elle cache ce qu’il sied de cacher. Il s’exprime sur ce choix du journal et le regrette en rappelant que c’était ce genre de couverture qu’il voyait, quand il était plus jeune, dans « Lui » et dans« Playboy ».
J’avais écrit un premier commentaire : « C’est mieux que la tête de Zemmour. »
Je viens d’écrire un deuxième commentaire : « Adam aimait la tenue d’Eve. Mais comme c’était, nous dit-on, en Afrique de l’Est, Casta est une erreur de casting. »

Marie Sasseur dit: à

Edel a fait un billet sur Houellebecq, sur son blog ?
Pas sur ce roman sorti hier, alors.
Il est fauché comme les blés, plus un radis, si je comprends bien, s’il ne peut même pas se payer Houellebecq, pour 26 euros.

Marie Sasseur dit: à

Il faudrait que les commentateurs d’Edel se cotisent pour lui offrir ce roman a 26 euros.
Il a déjà dit sur la rdl que les commentateurs de son blog étaient à mourir d’ennui. Si en plus ils le laissent dans le besoin, je trouve pas ça très sympa.
D’autant qu’il aurait des choses intéressantes à en dire, c’est certain.

vanina dit: à

@ closer

Repin , oui très grand peintre, Tolstoi correspondait avec un Gay, qui en Russe faisait Ghe, tout celà est bien décrit par Alan Bird, « A History of Russian Painting », que j’ai en ed. italienne, publiè par Umberto Allemandi , Phaidon Press 1987.édition originale.
Mon peintre favori est Isaac Levitan. Suivi de Serov,
Goncharova , sujet d’une petite monographie par Marina Zvetaieva.

Marie Sasseur dit: à

« Il y a bien un mystère, avec pentagones, schémas, cercles à l’appui de la main même de l’auteur mais j’avoue n’avoir même pas cherché à le résoudre. »

( personne n’a ri ?)

Pauvre Passou, quand vous étiez petit, vous deviez déjà être bien pénible à lire, parfois.

Patrice Charoulet dit: à

Renato

En Afrique de l’Est, quand l’homme est apparu, Adam et Eve ne ressemblaient vraiment pas à ça.
Même si Françaisdesouche et Zemmour croient le contraire.

Paul Edel dit: à

Actuellement je suis un peu gêné financièrement alors je cherche des auteurs dans la boite à livres près de chez moi aux bas sablons.. En farfouillant hier j’ai trouvé un volume cartonné de Jeanne Bourin « la chambre des dames » dans un club de loisir, mais j’ai pas trop envie de lire ça ,ni des revues dépareillées sur les panzers de la seconde guerre mondiale, en revanche j’ai pris un vieux poche d’Henry Troyat son roman « l’Araigne » (« l’Araigne », pas l’araignée) , paru en 1938 quand il était un jeune rédacteur à la préfecture de Paris. Et curieusement toute cette noirceur d’un type misanthrope et misogyne me plait assez, je trouve que le héros est très Houellebcquien avant l’heure.. Extrait : « Aimer supposait la chambre anonyme, le déshabillage hâtif, avec la chemise qui sort du caleçon, les fixe-chaussettes douteux, la combinaison mouillée, les corps velus ou boutonneux arrêtés l’un devant l’autre, le relent alliacé des sueurs, les baisers à bouche ouverte, l’étreinte maladroite et sautillante, les tristes hoquets de plaisir… Par quel tour de force méprisable, par quelle piteuse complaisance, avait-on paré cette ordure de toutes les nuances de la grâce ? Quelle complicité entre tous les arts pour masquer la figure animale de l’Amour ! »

Amanda Lire dit: à

Enfin de la fraîcheur océane Paul Edel!

Marie Sasseur dit: à

« L’histoire se passe à Doubs… Constatant que les revues disparaissaient à chaque fois, l’homme s’empressait d’en remettre, convaincu qu’elles trouvaient preneur. »

L’histoire pourrait se passer à St St Malo , je vais bien la scène, du vieux voyeur en loucedé:

« Il déposait des revues pornographiques dans une boîte à partage de livres »

https://www.leprogres.fr/insolite/2021/12/31/il-deposait-des-revues-pornographiques-dans-une-boite-a-partage-de-livres

et alii dit: à

produit ou objet?
IL a vu aussitot le nombre d’or! :
le revoilà:
La place du nombre d’Or, située dans le quartier Antigone à Montpellier, est remarquable par son architecture conçue par Ricardo Bofill dans les années 1980, et qui fait référence à l’Antiquité romaine.

Une fontaine, étonnante par son originalité et son envergure, est disposée au centre de la Place du Nombre d’or.
Conçue selon un mécanisme totalement souterrain, elle jaillit directement du sol sans bassin ni construction.
https://www.montpellier-tourisme.fr/offre/fiche/place-du-nombre-d-or/PCULAR034V50VU9G

Marie Sasseur dit: à

Je vois bien la scène du vieux cochon, à St Malo.

« Avouant qu’il était bien à l’origine de ces dons pas vraiment appropriés, l’homme n’y voyait aucun mal. Nos confrères rapportent qu’il a présenté ses excuses et s’est engagé à ne plus déposer de presse érotique dans la boîte communale, précisant qu’il avait, de toute façon… écoulé tout son stock. »

Jean Langoncet dit: à

@France! Amazonie européenne!

Le sieur Bahia des tropiques nous dira peut-être plus ouvertement sa perplexité devant les audaces du synode sur l’Amazonie. Par ailleurs, le tirage du chroniqué du jour est tout à fait dans les standards de ceux du zemour de La Télé ; les français sont aussi joueurs que le monde est un enfant qui joue, pour paraphraser Héraclite l’ottoman.
https://pbs.twimg.com/media/FIgyGcQXIAMoC3D?format=jpg&name=small

puck dit: à

Jean-Philippe Domecq… le ridiculturel…

c’est du grand n’importe quoi !

si welbec n’existait pas ce serait absolument impossible de savoir que tous ces gens sont aussi cons ?

du coup welbec nous est absolument indispensable.

c’est un peu comme notre boussole.

et alii dit: à

donc je signale:
Le nombre d’or, censé régir les proportions idéales en géométrie ou en architecture, se décline en plusieurs formats. Il existe un rectangle d’or, un triangle d’or, une spirale d’or… Et désormais, certains croient qu’il existe un utérus d’or. Ce ratio (1,618 et des poussières), un gynécologue de l’université de Louvain (Belgique) pense en effet l’avoir décelé dans le corps des femmes, raconte le Guardian mardi 14 août. Voilà comment.

« Jasper Vergnuts m’a expliqué qu’un gynécologue pouvait dire instantanément si un utérus était sain ou malformé en fonction de ses dimensions, explique le journaliste. Et son intuition, c’est que ces dimensions se réfèrent au nombre d’or. » Ces derniers mois, le praticien a mesuré les utérus de près de 5 000 femmes, par échographie. Il a ensuite établi un ratio entre leur longueur et leur largeur. Conclusions : « Ce ratio est proche de 2 à la naissance, et décroît progressivement pour atteindre 1,46 chez les patientes les plus âgées ».
https://www.francetvinfo.fr/decouverte/bizarre/le-nombre-d-or-se-cache-t-il-dans-l-uterus_129653.html
c’est mon histoire belge

puck dit: à

il faut toujours chercher le côté positif des choses.

puck dit: à

on peut éviter d’intercaler des commentaires entre les miens svp ? sinon j’ai un peu de mal à suivre ma pensée.

MC dit: à

L’ Amazonie européenne est sur le point de vendre la Maison de France de Rio.Les intendants de l’administration des finances ne voient pas les symboles, seulement les coûts.

renato dit: à

Patrice Charoulet,

je sais bien où il faut chercher les racines de notre espèce. Cela dit, les personnages de l’histoire religieuse correspondent à des types qui doivent être reconnaissables par tout le monde. Enfin, disons que votre référence à l’origine vaut scientifiquement, mais pas mythologiquement —et Adam et Eve ce sont des personnages mythologiques.

Jean Langoncet dit: à

@et Adam et Eve ce sont des personnages mythologiques.

Selon certains chercheurs, ils étaient pourvus d’un nombril, ce qui met un coup à la mythologie

puck dit: à

Il alluma sa télé pour regarder Arte, on parlait du Festival d’Avignon, le ministre de la Culture faisait un discours devant les attachés culturels et les responsables du festival, après les avoir dûment remercier il se mit à féliciter Michel Houellebecq, sans trop savoir pourquoi, en des termes d’un lyrisme aux limites du comique involontaire, pour l’attribution du prix Interallié à son roman « La Possibilité d’une île » M. Donnedieu de Vabres saluait notamment « la puissance narrative » d’une intrigue minimale et d’une prose rabougrie, s’inclinait devant le démontage, « avec autant d’ironie perspicace, de tous les leurres de notre époque, toutes les illusions et les ruses idéologiques, les productions de la publicité, au sens large » alors même que le roman dont il chantait les louanges venait de servir à l’une des plus vastes opérations de marketing littéraire jamais menées en France, et s’exaltait enfin : « Vos deux portraits de femmes sont magnifiques, dans leur vérité douloureuses », remarque élégiaque à rapprocher de ce magnifique morceau de poésie douloureuse extrait de « La Possibilité d’une île » : « Comme toutes les très jolies jeunes filles, elle n’était bonne qu’à baiser, et il aurait été stupide à l’employer à autre chose, de la voir autrement que comme un animal de luxe. »

ça c’est du welbec pur jus en mise en abimes de poupées russes !

c’est le point fort de welbec que de faire entrer dans son oeuvre tout ce qu’on peut dire de lui, aussi bien en bien, qu’en mal.

l’artclapassou pourrait entrer dans un roman de welbec.

welbec c’est comme le capitalisme : il intègre et recycle tout ce qu’il produit.

puck dit: à

ou comme quand Paul Edel écrit :

« Houellebecq se remarque aussi par un humour froid, qui affleure , voltige et papillonne dans certaines pages de ses romans.

Quelques exemples :

exemple 1 : « Les lits durent en moyenne bien plus longtemps que les mariages, on ne le sait que trop bien. »

exemple 2 : « J’ai connu plusieurs types, dans ma vie, qui voulaient devenir artistes, et qui étaient soutenus par leurs parents ; aucun n’a réussi à percer. »

exemple 3 : « Je suis dans une cabine téléphonique, après la fin du monde. Je peux passer autant de coups de téléphone que je veux, il n’y a aucune limite. On ignore si d’autres personnes ont survécu, ou si mes appels ne sont que le monologue d’un désaxé. »
 »

quand on lit les exemples on relit le début du propos de Paul Edel pour être bien sûr de pas se tromper et on lit :

« Houellebecq se remarque aussi par un humour froid, qui affleure , voltige et papillonne dans certaines pages de ses romans. »

du coup on relit les exemples pour être sûr qu’on parle bien de la même chose…

et ensuite on relit l’avis de Paul Edel pour être sûr qu’on perd pas les pédales…

et ainsi de suite ad libidinum !

ça c’est le pouvoir de welbec.

pourmapar dit: à

Un extrait de la critique susnommée :

 » Là où il ne saurait ruser, c’est dans le style, plat comme une limande. Sa prose est normale en tous points, vecteur efficace d’action. Il use d’un passé simple de rigueur et de bon aloi. Il s’est affiné, dans la mesure où il a abandonné ses habits élimés de pornographe, même s’il reste des taches de gras. S’il dénonce ce qu’il appelle la « druckérisation » du monde et du langage, Houellebecq en est le fils consentant.

Finissons en lui donnant raison : l’humour, y compris sur sa propre survie, « fait partie des droits de l’homme en quelque sorte ». Il y a bien chez Houellebecq un humanisme que l’on dira « résiduel », adjectif heureux que nous lui volons. Lui-même parle de « christianisme résiduel » ou d’« une forme de vie étrange et résiduelle », comme si l’un ou l’autre, ou l’un et l’autre, en était la racine. Chez lui flottent de vagues restes d’altruisme, transportés par un vent toujours mauvais. »

bouguereau dit: à

si welbec n’existait pas ce serait absolument impossible de savoir que tous ces gens sont aussi cons ?

c’est qut’es un phameux paratonnerre keupu

bouguereau dit: à

si welbec n’existait pas ce serait absolument impossible de savoir que tous ces gens sont aussi cons ?

c’est qut’es un phameux paratonnerre keupu

puck dit: à

greubou je te rappelle que toi et moi sommes une seule et même personne du coup je te prierais d’arrêter de m’insulter stp, parce que insulter les autres c’est une chose, mais s’insulter soi-même c’en est une autre !

greubou je suis toi et tu es moi comme un truc rond qui roule du coup faut que tu m’aimes autant que je t’aime qu’elle dirait Diauthyme à Choucrathe.

bouguereau dit: à

je trouve que le héros est très Houellebcquien avant l’heure..

..bien haprés stanhope comte de chesterfield polo

puck dit: à

greubou si tu es moi faut que tu lises le banké, on va pas être sur la même longueur d’onde si t’as jamais lu Socrade.

puck dit: à

le héros est très Houellebcquien avant l’heure..
 »

greubou toi t’es juste qu’un éros welbekien après l’heur c’est pus leurre.

bouguereau dit: à

greubou je te rappelle que toi et moi sommes une seule et même personne

les désirs de térezoune ne sont des ordres que pour meussieu courte..

bouguereau dit: à

greubou toi t’es juste qu’un éros welbekien après l’heur

pépèpe je dois préparer l’ena et bien reapasser ma chmise qu’il a dit le maréchadéogi..jai des hambitions

puck dit: à

greubou l’eros welbelkien c’est une espèce djaculation précosse.

welbec c’est le spleen post coïtal avant de baiser.

bouguereau dit: à

jme dmande si jvais lsoigner ce garde champéte du roquenrole..en même temps faut savoir changer

puck dit: à

« .jai des hambitions »
 »

l’problem cé que ta jamhè été à lahoteure de tes ambices trouduc.

puck dit: à

« welbec c’est le spleen post coïtal avant de baiser. »

celle-là est vraiment excellente !

puck dit: à

zut j’ai oublié de changer de pseudo pour me congratuler.

Jazzi dit: à

Ce n’est pas que le léZard n’allait plus au cinéma, mais c’est qu’il ne trouvait plus le temps (la motivation ?) de vous en faire le compte-rendu…
C’est reparti mon Jazzi !

puck dit: à

Ce n’est pas que le léZard n’allait plus au cinéma
 »

faut faire un test anti hygiénique pour aller au cinoche ?

puck dit: à

si tu vas voir un film cochon ?

Marie Sasseur dit: à

949 commentaires, ça patine un peu, là. Innovez dans l’ignominie, qu’on en ait pour notre argent.

Jean Langoncet dit: à

@949 commentaires, ça patine un peu

Passé 950, on peut dire que c’est culotté

Damien dit: à

Désolé d’apprendre que Paul Edel aurait des problèmes d’argent, au point de ne pouvoir acquérir « anéantir », pour nous donner son avis dessus. Il y a un dieu hindou qu’il faut prier, dans ces cas-là, Paul Edel, c’est Ganesha. C’est le dieu dispensateur dans la mythologie de cette religion, le dieu des écrivains. Nous qui écrivons ici y avons tous droit, surtout vous, Paul. Ce dieu a une tête d’éléphant, un corps d’humain, et une souris qui se cache sous sa robe. Les Hindous ne tuent jamais les rats, en mémoire de Ganesha. Ceci étant, être pauvre comme un fakir est une bénédiction, évidemment. Comme le disait Sénèque, vivre ne coûte rien, il suffit d’un morceau de pain et d’un peu d’eau potable. Nos désirs de consommateur nous mènent trop loin. « anéantir » de Houellebecq pourra attendre un peu, bientôt on le trouvera en bibliothèque, gratuitement. Bon week-end, Paul Edel, réincarnation ultime de Shiva ?

Marie Sasseur dit: à

https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/livres/beaucoup-de-fans-voulaient-lavoir-en-premier-on-sarrache-deja-aneantir-le-dernier-houellebecq-08-01-2022-DI4K5DLN3FB7PISGMQ4VJETOQE.php

« C’est ma quatorzième rentrée littéraire d’hiver et je n’ai jamais vu ça. »

une histoire qui finit bien, du moins dans la réalité.

Ce n’est donc pas sur ce blog que je ferai part de ma lecture de ce roman de Houellebecq. La première fois, pour sa 3eme rentree litteraire d’hiver.

Jazzi dit: à

Je n’ai aucun souvenir de commentaires de lecture de votre part, MS !
Juste des critiques des commentaires des autres…

MC dit: à

Ce n’est donc pas sur ce blog que JE ferai part de MA lecture de ce roman «  Nous sommes ravis de l’apprendre,bien qu’un peu sceptiques: vous arriverait-il par extraordinaire de tenir votre parole? Si oui, bon vent ailleurs!

closer dit: à

Vanina, je connaissais Levitan mais pas Répine avant cette expo…

Marie Sasseur dit: à

Ma lecture de ce roman n’offre aucun intérêt.

Sauf a susciter celui du bâton merdeux et d’un prostitué…

vedo dit: à

Depuis longtemps: « There is no bad publicity » (Andy Wharhol)

D. dit: à

Ce soir j’ai mangé une pizza aux huîtres.
On met les huîtres juste au sortir de la pizza du four, sans leur coquille.

Petit Rappel dit: à

De quoi Sasseur est-elle le nom? Mais elle a sûrement raison: sa lecture n’offrirait aucun intérêt. Saluons cette lucidité d’autant plus méritoire qu’on y est pas habitué. la panoplie des pleurs, du leucémique,de la lecture sur l’autre blog n’a pas fait illusion longtemps…

Phil dit: à

Paul Edel, réincarnation ultime de Shiva ?

On aura tout lu sur le prestigieux blog à passou. Reprenons un shivas.

Marie Sasseur dit: à

Complètement marteau, le bâton merdeux.

Marie Sasseur dit: à

964 commentaires. Pesseaud devrait demander à son ami entrepreneur, comment faire repartir la machine à buzzer qui est en rade.
Ne racontez pas qu’ils sont tous en train de lire Houellebecq, pour dauber.
Ce serait trop bête.

JiCé..... dit: à

DIMANCHE 9 JANVIER 2022, 5h03, 12°, mistral à décorner les cocus

Le bruit rageur des drisses qui battent sous l’effet du vent, des haubans qui sifflent, les pins qui encaissent cette violence -ils ont l’habitude-, quel régal ! Le ciel sera bleu, le jour levé.

Belle violence ! Pareille aux échanges Sasseur/Court qui nous rappellent les combats de boxe des années 70, Mohamed Ali/Joé Frazier ….

JiCé..... dit: à

COLLOQUE EN SORBONNE

Comment ne pas se sentir fier d’être hexagonal ?
« Déconstruire la déconstruction »… Bandant !

JiCé..... dit: à

DEPLOIEMENT DE JAMES WEBB

Réussi à 100% ! Le télescope est en route vers les confins* de l’univers. Joie sans mélange à la NASA et alliés. Quel bonheur !

Voila qui nous change des humanoïdes nains, emmerdeurs finis, qui, eux n’arrivent pas à décoller du gazon merdeux où ils se complaisent bruyamment.

*de peur d’être pris en photo, Dieu, aux confins du cosmos, fait ses valises pour s’installer plus loin !

renato dit: à

New à propos de l’aventure de Delta et d’Omicron dans la Méditerranée orientale, voilà Deltacron.

Marie Sasseur dit: à

« Le ciel sera bleu, le jour levé »
De très bonne augure.

Tiens bon la vague et tiens bon le vent.

La violence est bien dans le billet.

A côté de laquelle, les gesticulations verbeuses d’un cinglé , qui s’est fait pécho
en flagrant activisme toxique son  » diocese », cessent aussitôt qu’on s’en fout.

________________

Tiens bon la vague et tiens bon le vent. Hisse et haut.

Passou indique que dans son roman « inutilement bavard et digessif » , Houellebecq a  » pompé »: « une page de biographie de Marcel Grosménil pompée dans le Maitron « , souligné en rouge.

Il y a peu de liens dans le billet.

On a déjà vu ce que donnait le lien du billet renvoyant à la thèse sur le désir jaloux pour névrosés, de Girard.

Personnellement, pour ma lecture de ce roman, j’ai recours
-à des recherches google aussi ( on s’en doute, c’est un plus inestimable au temps d’internet, et avec Houellebecq c’est nécessaire),
-et au dictionnaire, pour plusieurs mots soit techniques, soit oubliés, soit tout simplement inconnus.

Je pensais être bluffée par Passou, non seulement qu’il connaisse Grosménil, cela va de soi pour les parisiens pas pour le reste du monde, mais en plus qu’il sache exactement en retrouver la provenance :  » le maitron « . Tu te dis a toi-même qui c’est ce biographe, maitron ?
Rien que ça, prend déjà plusieurs minutes pour faire quelques clics, et comprendre quel est l’obscur objet du désir, qui nous est proposé là.
Et là tu te dis, il est fortiche, Passou !

Il connait toutes les rues de Paris.
Et il a démasqué Houellebecq, qui honte à lui! a  » pompé « .
C’etait plus dur a reconnaitre, car cette fois ce n’était pas un extrait d’une note wiki, (sur la ville de Niort ? Me souviens plus).

Je ne sais pas vous, mais moi quand je lis un livre j’aime bien faire un tour dans les toutes dernières images, histoire de voir si l’auteur dit merci, ou y retrouver des notes de bas de pages…

Et là, tu tombes, mais vraiment à la toute fin de la dernière page sur cette indication
 » p. 635 l’auteur remercie le site https//maitron.fr pour la biographie de Marcel Grosménil  »

Alors surgit l’impression bizarre que la tempête est en fai dans un verre d’eau, agitée par le vent mauvais de la hargne qui n’aura jamais de fin.
Et que c’est tellement ridicule, qu’il vaut mieux passer à autre chose.

et alii dit: à

avez vous connu des gens qui se reconnaissent membres
de sectes, s’adonner au tourisme sexuel?

Amanda Lire dit: à

avez vous connu des gens qui se reconnaissent membres
de sectes, s’adonner au tourisme sexuel? et al.

En cette occurrence, à chacun son membre comme dirait l’autre!
Ou bien encore, être membre soi-même, toute une histoire!

Jazzi dit: à

Pour se remettre à niveau question cinéma, le léZard n’hésite pas à aller déguster une pizza au réglisse, et il a aimé ça !

closer dit: à

Le livre sur Dieu et la science reprend les thèses bien connues du « premier moteur » et du Dieu horloger. Rien de vraiment nouveau. On ne peut pas en conclure à l’existence de Dieu, mais au moins au fait que les connaissances actuelles ne sont pas incompatibles avec celle-ci et même qu’elle expliquerait bien des choses…

Mais quel Dieu, celui de quelle religion…ou d’aucune religion? Sur ce point, on n’avance pas d’un millimètre.

closer dit: à

Au fait qui est l’auteur de l’émission sur Coetze ? Cela vous écorcherait le clavier de le préciser ?

closer dit: à

Elisabeth Lévy était rayonnante à l’évocation du colloque en Sorbonne sur la déconstruction, auquel elle a assisté. Enfin une bonne nouvelle !

Janssen J-J dit: à

Merci Christiane pour ce lien somme toute intéressant. En résumé, comment s’inconcilient ces affirmations sous la plume d’un astrophysicien attaché à la croix ?
1 – (affirmation scientifique) « la théorie du big bang suggère que l’univers occupe un état toujours plus dense et plus chaud à mesure que l’on remonte le temps, si bien qu’il atteint des régimes de densité et de température où notre compréhension actuelle de la physique ne s’applique plus ».
2 – (doute du même, chrétiennement autocentré) « Ce grand horloger qui (a) lancé le big bang et calcule les constantes fondamentales de la physique, est-il le Dieu de miséricorde qui est descendu sur la Terre et a souffert la Passion pour le pardon des péchés ? »
3 – (acte de foi métaphorique, rendant prétendument possible la dissociation de la « foi du coeur » et la « raison du cerveau »). « Le cœur de l’homme est le lieu de manifestation de Dieu dans sa dimension première, c’est-à-dire spirituelle. La force de l’amour, la joie du pardon, la persistance de la foi et de l’espérance, le bonheur de la charité : s’il doit y avoir prosélytisme, c’est assurément ces mouvements intérieurs qu’il faut chercher à décrire et à susciter ».
Depuis Michel Houellebecq, -plus subtil dans son prosélytisme scientifique et ses doutes spirituels-, j’estime qu’on a finalement pas mal progressé en « littérature située » dans le même espace »… par rapport aux billevesées theillardesques énoncées supra.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

Salut closer, vous m’avez brûlé… Bon, eh bien bravo…, j’ai voulu dire la même chose en gros. Rendons grâce aux espoirs et rêves que pourrait nous apporter bientôt le James Webb…
Bon dimanche à vous, en attendant la galère des rois.

Bloom dit: à

@ l’écorcheur, c’est John Maxwell COETZEE, avec deux « e ». Prononcer /’kotssieu/
(Et non John Michael, comme le dit plusieurs fois Finkie)

Bloom dit: à

Les Hindous ne tuent jamais les rats, en mémoire de Ganesha

Ouais…encore un mythe.
Heureusement que les Musulmans & les Sikhs sont là pour faire le boulot de salubrité publique.

Marie Sasseur dit: à

Le livre sur Dieu et la science est bien pour les scientistes. Le scientisme est une religion comme les autres. C’est ce qu’explique bien cet astrophysicien dans le lien donné.
Rien de nouveau, donc.

D. dit: à

Vous êtes sûr que ce n’est pas Deltakron, renato ?

D. dit: à

Après tout, notre virus est couronné de protéines spike.

Alexia Neuhoff dit: à

On lit dans tous les journaux, on entend sur toutes les radios et chaînes de télévision que l’école est au bord de l’implosion suite aux contaminations d’élèves et aux mesures ministérielles relatives aux tests. On imagine un Blanquer sur le front h24, 7j/7. Pas du tout ! Tel Jeanne d’Arc, le voilà rameutant ses troupes pour lancer, à la Sorbonne, la contre-offensive et bouter hors de l’université des théories (américaines) qui lui causent de l’urticaire. En pleine crise covid, M. Blanquer a du temps pour rameuter un tas de pseudos intellectuels conformes à sa ligne idéologique et à leur offrir, sous le regard du pauvre Descartes, une prestigieuse tribune. On trouvera sans peine l’édifiante liste des intervenant.e.s des 7 et 8 janvier à ce simulacre de colloque universitaire.

D. dit: à

Et moi aussi, D., je mérite une couronne.

Bloom dit: à

Yes, Jibé. J’avais lu Disgrace en une journée à Bangkok en mars 2000, mais n’avais pas pu écouter cette émission, étant alors à Lahore, davantage préoccupé par les implications de la chute de Kaboul une semaine plus tôt environ.
C’est une lecture assez ‘française’ du livre, qui passe un peu par pertes et profits le portrait peu flatteur que dresse JM Coetzee de l’Afrique du Sud post-apartheid, qui fut considéré comme « raciste », un comble pour un opposant de toujours à l’apartheid.
Ne jamais oublier que les menaces de mort et les divers atteintes à son intégrité qui firent suite à la publication de Disgrace valurent à Coetzee de s’exiler en Australie, pays dont il prit ensuite la nationalité.
Il aura fallu attendre février 2020 et l’anniversaire de ses 80 ans pour que l’Afrique du Sud lui rende enfin l’hommage qu’il plus que mérite, avec une une exposition de ses archives personnelles organisée par le Amazwi South African Museum of Literature in Makhanda de Grahamstown, en collaboration avec le Harry Ransom Centre (HRC) de l’Universié d’Austin (où il avait fait sa thèse sur Beckett),l’Université de York et la SOAS (département des langues orientales et africaine) de l’Université de Londres.
Personne n’écrit dans un vide (vacuum) socio-politico-économique.
https://www.litnet.co.za/an-exhibition-celebrating-jm-coetzees-birthday-a-photo-gallery/

renato dit: à

Dieu ? Il faudrait lui foutre la paix !

renato dit: à

Religion it’s like a penis
It’s okay to have one
It’s okay to be proud of it
However
Do not pull it out in public
Do not pull it on children
Do not write laws with it
Do not think with it

Marie Sasseur dit: à

Votre ami canadien est content du cadeau que vous lui avez fait ce roman de Houellebecq , renato ?
Je ne sais pas si ce roman a déjà traversé l’Atlantique.
Vous avez bien fait de réserver votre exemplaire à la librairie, car c’est la foire d’empoigne, je crois.

Alexia Neuhoff dit: à

Voici la brochette de cerveaux réunis par M. Blanquer.
Colloque Sorbonne : les intervenant•es du 7 janvier :
Jacques Julliard anciennement de gauche, s’évertue à présenter l’immigration et le métissage comme un péril pour « l’identité nationale » et son héritage.
Philippe Raynaud est membre du comité de rédaction de la revue libérale-conservatrice Commentaire. No comment.
Pierre-André Taguieff : a dénoncé le débunkage en règle par le CNRS du concept d’islamo-gauchisme.
Xavier-Laurent Salvador a dénoncé une « prise d’otage » de l’université par des « idéologues radicaux » .
Peggy Sastre, essayiste et blogueuse. Elle défend l’idée lumineuse et pas du tout contradictoire que la domination masculine n’existe pas tout en ayant été acceptée par les femmes car elle servait leurs intérêts reproductifs.
Jean Szlamowicz dénonce la prise d’otage de l’université par la bien-pensance, etc.
Mathieu Bock-Côté, ultraconservateur fustige la dictature de la bien-pensance et de la gauche.
Pascal Bruckner : pas la peine d’épiloguer
Claire Koç Elle « se révolte » et « refuse d’être racisée ». Elle défend également l’existence de Français « de souche » au premier degré.
Sami Biasoni : contre le wokisme, l’antiracisme, etc.
Arnaud Lacheret : dirige la « French Arabian Business School » au royaume de Bahreïn, une école partenaire de l’Essec dans cette monarchie avec religion d’État où le pouvoir confond régulièrement les droits humains et la liberté de la presse avec un paillasson. Ironique, n’est-ce pas ?
Vincent Tournier, maître de conférence à Sciences Po Grenoble : craint que les « bobos » ne prennent possession de l’institution.
Nathalie Heinich : utilise le champ lexical de l’infection et de la maladie pour dénoncer le wokisme et la bien-pensance dans l’université. Opposée au PACS et au mariage pour tous, a soutenu le port du burkini…
Xavier Gorce dessinateur de presse.
Pierre Valentin : obsédé par le wokisme et le grand complot woke. Sa formule choc : « Le wokisme est l’opium des intellectuels ».

Colloque Sorrbonne : les intervenant•es du 8 janvier :
Anne-Marie Le Pourhiet (juriste agrégée de droit public) « souverainiste », opposée au mariage homo, aux lois mémorielles, dénonce les discriminations positives (pas en avant vers la « tyrannie des minorités » et comme un « retour le retour au droit des orangs-outans ».
Adrien Louis. Ardent combattant du wokisme et de sa « culture de la honte, de l’effacement et de la haine ».
Éric Anceau fan des Bonaparte, ancien du bureau national de Debout la France..
Alain Seksig : une femme portant le hijab ne peut accompagner ses enfants en sortie scolaire, ni accéder à l’université. Selon lui, les universités sont gangrénées par les islamistes et les racialistes indigénistes.
Tarik Yildiz sociologue. Défend l’existence d’un « racisme anti-blanc » dans les banlieues françaises.
Éric Deschavanne déplore que les partis de gauche refusent de participer à un front républicain avec l’extrême droite, relativisant au passage le fascisme et ses crimes en soutenant qu’il ne fallait pas que les « défauts du nazisme » occultent « ceux des autres ».
François Rastier, pourfendeur de la « gauche racialiste et antilaïque », membre de l’Observatoire du décolonialisme, voit « l’influence islamique » partout.
Carole Talon-Hugon : « l’acronyme LGBT s’est récemment allongé en LGBTQIA+ . Mais le « + » laisse ouverte la possibilité que d’autres préférences en matière sexuelle (fétichisme ? zoophilie ? pédophilie ?) revendiquent leur égale légitimité ». Elégant.

renato dit: à

Parmi les effets produit par Omicron, la paralysie du sommeil. C’est pas grave mais plutôt inquiétante au réveil.

Marie Sasseur dit: à

Cette dualite dieu/science est délicieusement illustrée, dans le roman de Le Tellier,  » l’anomalie ». Beaucoup de profondeur philo, sous des atours humoristiques surgissent de ses réflexions.

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