de Pierre Assouline

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Des années légères aux années de plomb

Des années légères aux années de plomb

On le sait bien : ce n’était pas mieux avant. Ou plutôt : si notre mémoire, en cela aidée par le mythe édénique, a fabriqué l’idée que c’était mieux avant, c’est juste parce que nous étions plus jeunes, souvent plus insouciants, pas encore alourdis par les responsabilités et pas gagnés par le désenchantement, l’amertume, le regret –selon les cas. De là à s’imaginer qu’on est passé de l’âge de l’innocence à celui de la barbarie, il n’y a qu’un pas de deux esquissé par deux livres que tout oppose.

Dans Place des Vosges (150 euros, 16 euros, Seuil), Michel Braudeau, né en 1946, se souvient de ses années 70. Jean Cayrol, éditeur curieux, attentif, bienveillant, l’accueillait au seuil du Seuil pour lui permettre d’y faire ses premiers pas de lecteur professionnel, regard liminaire des manuscrits arrivés par la poste, et publiait son premier texte L’Amazone alors qu’il n’avait que 20 ans. Il traduisait les livres du linguiste Noam Chomsky et du psychiatre antipsychiatre David Cooper, accompagnait Jean-François Bizot parti interviewer William Burroughs pour Actuel, enregistrait les séminaires du docteur Lacan, courrait les filles, arpentait le Pérou, prenait le temps de perdre son temps. On croise les fantômes du plus parisien des écrivains cubains Severo Sarduy, de l’élégant et magnétique Roland Barthes et des amis de jeunesse décrétés amis pour toujours, Jean-Marc Roberts et Pierre Goldman. En ce temps-là, les existentialistes n’étaient pas encore tous empaillés au musée de l’Homme, les vitrines du de Saint-Germain-desPrés et du Quartier latin étaient encore pleines de livres et les sciences humaines tenaient le temps du pavé.

Pour faire tenir son récit, Braudeau a eu la bonne idée de l’organiser autour de l’appartement qu’il partageait à quelques uns, puis du réduit qu’il occupait sous les combles d’un immeuble de la place des Vosges à une époque où ni Jack Lang ni DSK n’en étaient des copropriétaires. Ce n’était plus le lieu pauvre et désolé de l’avant et de l’après-guerre, quand des exilés juifs polonais y abritaient leurs ateliers de couture, et ce n’était pas non plus ce que c’est devenu, un quartier de fringues hors de prix, de restaurants bobos et de galeries de peinture à l’épate, où seule la place elle-même, anciennement place Royale et la plus ancienne de Paris, son jardin, son monument à Louis XIII, sa remarquable unité architecturale de façades classées en brique rouge à deux étages semble hors d’atteinte des ravages de l’époque.

Sous ses arcades ou à la terrasse du café Ma Bourgogne, on avait plus de chance d’y croiser Mandiargues au regard las et mi-clos, ou Jean-Edern Hallier, personnage plus que personnalité des lettres parisiennes, pamphlétaire à la Paul-Louis Courier, cynique, menteur, mégalo, intelligent, malin, cultivé et souvent d’une comique irrésistible auquel sont consacrées des pages aussi empathiques qu’implacables ; à peine l’escroc qui détourna à l’unique profit de ses extravagances l’argent collecté pour la résistance chilienne est-il racheté par le culot et l’audace de l’aventurier qui anima l’Idiot international qu’il s’enfonce à nouveau dans ses ignominies pleines de panache, ses affabulations et sa dimension assez comique. thumb_John-Mejia-Painting_1024

Un point de détail : pour corriger une petite erreur à propos de Georges Simenon qui vécut au 21 dans l’hôtel de Richelieu à partir de 1924 (on y lit qu’il avait baptisé Maigret son commissaire pour se venger d’un officier de marine habitant au-dessus de chez lui, avec qui il était en bisbille), le critique de Libération Philippe Lançon en commet une autre en écrivant :

« Simenon aurait habité cet immeuble à partir de 1924, agacé par un vieillard qui traînait des pieds dans l’appartement du dessus au point de donner son nom à sa plus célèbre créature, Maigret. C’est peu crédible, Simenon ayant créé Maigret à Morsang-sur-Seine dans l’Essonne en 1930, mais on a envie de le croire. D’ailleurs, c’est ici que Braudeau est devenu romancier. »

Ce n’est pourtant pas une affabulation. Le fait est que Simenon a vraiment vécu au 21 place des Vosges en débarquant à Paris. Quant à son commissaire, il ne l’a pas créé dans des vapeurs de genièvre un matin sur un quai où son bateau était amarré : le personnage s’est constitué progressivement dès 1929 au fil de différents romans populaires signés de divers pseudonymes ; et pour le baptiser, le romancier n’a pas cherché à se venger d’un voisin malfaisant mais au contraire a voulu rendre un hommage subliminal au docteur Maigret, qui vivait juste au-dessus, et avec qui il promenait son chien le soir dans le jardin ; toutes choses qui me furent un jour confirmées par un homme qui naquit dans l’immeuble, y vécut longtemps, s’appelait l’abbé Deliège… et qui se trouve être, sans la précision du patronyme, un personnage du récit de Michel Braudeau !

On s’en doute, le ton est assez nostalgique avec l’air de ne pas y toucher car l’époque ne remonte tout de même pas au Second Empire. Ca et là affleure le regret d’une certaine légèreté, dû à l’illusion d’avoir vécu un moment libertaire. C’est frappant dans les descriptions et plus encore dans les portraits auxquelles l’auteur excelle. Les toiles de Robert Malaval, artiste « glam rock » auquel il se lie d’amitié, auréolé du prestige d’avoir fréquenté les Rolling Stones période Exile on Main Street, lui semblent destinées, à lui, en priorité tant elles l’impressionnent

Le plus profond dans le récit de Braudeau, c’est peut-être cela : cette absence de la violence alors qu’il y eut tout de même une certaine tension dans l’après-68, même si la dissolution de la Gauche prolétarienne et la singularité du gauchisme français avaient épargné à la France l’équivalent, dans l’ordre du terrorisme urbain, des Brigades rouges italiennes et de la Fraction armée rouge allemande. Quant à l’enlèvement de Patty Hearst par l’Armée de libération symbionaise, il n’avait d’intérêt que par rapport au syndrome de Stockholm. Vu de la place des Vosges, tout cela paraissait assez exotique, vaporeux, sans gravité. De là à se remémorer les années 70 comme légères, il n’y a qu’un pas et pourquoi pas. Surtout en regard de nos actuelles années de plomb.

louis sttetnerIl suffit de lire Terreur (254 pages, 18 euros, Grasset) pour s’en convaincre. Avec un sens aigu de la formule, des raccourcis et des ellipses qui font mouche, des analyses dérangeantes car volontairement tranchantes et sans appel, le tout présenté sous la forme de fragments et d’explosions de pensée, en s’aidant parfois de Nietzsche, Renan, Cioran, Clausewitz, du Shakespeare de Hamlet, du Sénèque des Lettres à Lucilius et surtout de l’injustement oublié André Suarès dont il semble goûter le côté Cassandre, Yann Moix trouble durablement. Le fil d’Ariane de son essai est une lourde chaîne dont chaque maillon est constitué des mots « terreur » et « terrorisme », « islam » et « islamisme ». Des noms y reviennent à chaque page jusqu’à former un chœur incantatoire : Mohamed Merah, Amedy Coulibaly, Mohamed Lahouaiej Bouhlel, les frères Kouachi, Adel Kermiche, Abdel Malik Petitjean, des gens dont il lui coûte d’avoir sans arrêt à vérifier l’orthographe des noms.

Notre quotidien d’attentats, et de peur de la peur, y est décrypté avec plus de finesse et de profondeur que ne le font nos journaux, trop englués dans l’explication de l’événement, d’autant plus impossible qu’il est le plus souvent inédit donc impensé : l’exécution d’enfants à bout portant dans la cour d’une école juive, le mitraillage de terrasses de cafés, l’égorgement d’un prêtre pendant la messe, le massacre d’une rédaction, celui des clients d’un supermarché cascher, la course folle d’un camion sur la promenade des Anglais… Avec le recul, l’auteur fait surgir ce que l’on n’a pas eu le temps de remarquer dans l’instant : le contraste entre les intelligences déployées pour analyser les faits et la médiocrité de la pensée primaire des tueurs  ; le fait que la revendication n’étant plus un contenu mais un contenant, Daech signe des chèques en blanc aux candidats au massacre qui donnent toute sa dimension au « Mort à crédit » de Céline ; la dimension spectaculaire au sens cinématographique du terme de certains attentats, un vieux paroissien de l’église Saint-Etienne-du-Rouvray ayant été forcé sous la menace de filmer l’assassinat de l’abbé, et à la porte de Vincennes le terroriste ayant porté une caméra GoPro autour du cou

Parfois, on aimerait qu’il aille plus loin, lorsque ses philippiques sont contestables. Ainsi lorsqu’il écrit sans citer nommément Michel Onfray :

« Certains (mauvais) écrivains et (piteux) penseurs français (je pense à deux d’entre eux qui se reconnaitront) sont cités et loués par Daech. Ils ont réussi à réaliser leur plus vieux rêve caché : devenir de vrais collabos.

Ce qui est pour le moins un contre-sens, le terme infamant de « collabo » ayant désigné pendant la guerre ceux qui avaient activement choisi le parti de l’ennemi. Ce qui n’est pas le cas, des déclarations du philosophe ayant été récupérées et instrumentalisées par les islamistes. Ailleurs, ses raccourcis se suffisent à eux-mêmes dès lors qu’on ne les tient pas pour des provocations, ce qu’il ne sont pas. Ainsi lorsqu’il hésite à taxer le tueur de l’hypercacher de judéophobe car c’est encore trop élaboré pour ce qui lui tient de pensée :

« C’est faire encore trop d’honneur à un tel zombie que de le parer de ce déshonneur suprême : le taxer d’antisémite (…) Les Kouachi, Coulibali et consorts sont des suivistes de l’antisémitisme. Ils pratiquent l’antisémimétisme »eva rubinstein

Foin du principe de précaution, du politiquement correct et des dérives de l’amalgame ! Rien ne l’insupporte comme ces belles âmes qui s’empressent de clamer, avant même d’exprimer une quelconque compassion pour les victimes et leurs proches, que tout cela n’a « rien à voir avec l’islam » en dépit des revendications, des déclarations des terroristes ou de leur cri de guerre. Moix s’emploie alors pour sa démonstration à remplacer « Allah ou Akbar ! » par un titre au hasard d’une chanson des Beatles, disons « It’s been a hard day’s night » et il se demande :

« On dirait : jamais Lennon, jamais McCartney n’ont voulu cela. On dirait : les paroles de Lennon et McCartney sont interprétées de manière erronée. On ne dirait pas : « Ca n’a rien à voir avec les Beatles »

Moix tient que, au fond, le devenir de l’Etat islamique sur les terrain irakien et syrien n’a guère d’importance en ce qu’il a d’ores et déjà réussi à inscrire le califat dans les cerveaux : en se déterritorialisant, il s’est dématérialisé, « l’Etat islamique sera le pays de tous ceux qui n’ont d’autre état psychologique que celui de vouloir en faire partie. Ce sera l’Etat de tous ceux qui se trouveront dans un certain état« . Pour autant, Moix n’épargne pas les Français. Il leur reproche de s’adonner encore et toujours à leur sport national : la hargne qu’ils déploient à accabler la France quand ce n’est pas pour lui cracher au visage. Comment alors, se demande-t-il, peut-on demander à des étrangers, des déracinés, des paumés, des désintégrés d’aimer ce que nous sommes nous-mêmes incapables d’aimer ?

Un spectre parcourt Terreur de la première à la dernière page : la mort, la mort, la mort… A croire que la France vit ses années de plomb sous un ciel de suie. Ce qui est peut-être vrai. Le but recherché est atteint : on est troublé car rapidement oppressé, asphyxié par cette idée sourde qui court tout le long selon laquelle l’existence n’est plus que le laps de temps qui sépare deux attentats. A ceux qui feront la moue à une pareille vue de l’esprit, on suggèrera de prendre le métro à Paris et de bien observer les visages défaits des voyageurs lorsque les wagons sont immobilisés sur la voie et que le haut-parleur fait état de colis suspects. Ce qui arrive pratiquement chaque jour.

Douceur des années 70, morbidité de notre époque. Mais Yann Moix, comme Michel Braudeau, a une vision angélique de certains moments révolus. Oubliant la guerre d’Algérie, les attentats meurtriers du FLN et ceux de l’OAS, là-bas et en métropole, il ne voit de violence dans les années 60 que douce, celles des blousons noirs et des rockers, comme si la fin de la décennie marquée par le grand monôme de 68 avait éclipsé dans les mémoires le tragique de son début. Qui oserait écrire, en paraphrasant Talleyrand, que «quiconque n’a pas vécu avant 2001 ne connaît pas la douceur de vivre » ?

(Photos de Boris Savelev, Louis Stettner et Eva Rubinstein, peinture de John Mejia)

Cette entrée a été publiée dans Essais, Littérature de langue française.

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846 Réponses pour Des années légères aux années de plomb

JC..... dit: à

Années de plomb, plaques dégoût…

bérénice dit: à

– Le 20ème s. a-t-il tout trahi – les rêves de 68 et les actions de la Résistance – et tout détruit – des générations entières dès 1914 et la TRANSMISSION de l’Humain?
Les poètes ont voulu bâtir un pont entre Babel et le réel, entre les mots impossibles et les choses inconnaissables. ANDRE DU BOUCHET aura, pour la Poésie d’expression Française, montré la voie de cette interrogation : ne plus parler « au nom de », ne plus s’inscrire dans le social ou le sacré, ne plus faire de la création poétique un domaine de ressentiment et de non-dit pour la petite-bourgeoisie désormais à l’abandon.
Mais montrer les failles, les blancs, les forces et les dérives de toute la langue humaine – mots et regards, temps et absence, outils et hasards.
Ouvrir un champ à la graine de l’ Incohérence. Mais sans détruire les fleurs nouvelles, les fruits anciens, le sillon tracé et pourtant libre.
A mille lieux de la poésie de « l’absence au monde » qui osa s’en réclamer et des trahisons inutiles d’une révolution de l’Humain qui reste à inventer. –

http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/dubouchetsuied/dubouchetsuied.html

JC..... dit: à

« Une poésie inscrite dans la grandeur d’une vision presque picturale d’un monde où l’homme a sa place – rien que sa place – mais sa vraie place: une errance de parole et de vérité. » (dubouchetsuied)

Bon ! et alors ? …qu’est ce qu’on fait ?….

bérénice dit: à

ce que vous voudrez, je sors m’acheter des cigarettes. Il pleut encore, si tu rentrais, ma soie s’entrouvre etc.

bérénice dit: à

Et un croissant ordinaire.

bérénice dit: à

JC, je sais l’heure grave cependant je couve une hypoglycémie et mon esprit est en mode carambolage, veuillez m’en excuser. Bisous.

bérénice dit: à

que cela ne vous la coupe néanmoins pas! Je dois réellement me restaurer, un peu d’or en feuillage ne devrait pas me nuire. Je sors!

JC..... dit: à

La vision idéalisée, oublieuse, sélective, des années 60-70 est totalement mensongère !

Il y avait à l’époque un terrorisme de gauche, de droite OAS, d’extrême gauche en Italie et en Allemagne. On enregistrait des assassinats commis par Action Directe, la RAF, les Brigades Rouges, qui avec le temps et les enfermements finirent par cesser, vu le petits nombre de cinglés pratiquants cette terreur idéologique.

On était dans un terrorisme entre soi … limité …. supportable, car combattu puis vaincu.

La différence essentielle, au regard de ces années de plomb, est aujourd’hui la cancérisation de ce « cher vieux pays françois » par de nombreux étrangers à la nation, religieusement et culturellement, indigènes qui ne s’intègrent, ni s’assimilent, quand ce n’est pas combattent sur le sol de leur propre pays, par une terreur de masse islamiste.

On n’est plus dans des problèmes entre soi….on est dans une guerre contre des ennemis infiltrés…. protégés par nos lois actuelles !

Lois qu’il nous faudra changer si nous voulons défendre nos valeurs hors soumission à d’autres lois scélérates, imposées par nos ennemis.

Widergänger dit: à

Il y a un rapport étroit etre les années 1970 et l’époque actuelle. C’est dans les années 1970, comme le montre très bien Zemmour dans Le suicide français, que tout s’est joué au sujet de l’islam dans nos banlieues.

D’abord il faut prendre conscience d’un fait majeur fort ignoré de nos jours. Mai 68 marque la fin du XIXè siècle. Le XXè siècle est en réalité très bref, il commence en MAI 68 et se termine par les attentats du WTC le 9/11/2001. Il aura duré une bonne trenatine d’années, c’est tout. Et durant ces trente ans, notre XXIè siècle se met en place. 1970, le dollar décroche de l’or, le dollard flotte sur le marché qui commence à devenir tout puissant, l’immigration en France se fait massive, elle n’est plus de travail comme avant mais de peuplement par la politique du regroupement familial voulue par le grand patronat français dès la mandature de Pompidou et elle devient irrésistible malgré les plaintes de Raymond Marcellin auprès du chef de l’État, malgré les mesures politiques de renvoi au pays par des chèques de plus en plus énormes dont s’emparent les Portugais et les Espagnols pour rentrer chez eux mais pas les immigrés d’origine maghrébine auxquels cette politique du retour était pourtant destinée. Au lieu de rénover ses outils de production, ce qui lui aurait coûté une petite fortune tout de même, le patronat a fait venir dans nos banlieues les cohortes d’immigrés du Maghreb comme esclaves, et les esclaves ont commencer de détruire toute l’organisation de la classe ouvrière sur laquelle le PCF et ses organisations avaient la toute puissance que De Gaulle leur avait donnée en la négociant avec Staline au sortir de la guerre pour avoir la paix sociale.

C’est dans les années 1970 qu’il faut chercher les racines du terrorisme, conjonction d’une immigration non contrôlée et massive, d’un islam revanchard contre la colonisation subie par les parents et les grands-parents, d’une désorganisation sociale, politqiue et économique des banlieues où ‘économie souterraine s’est peu à peu installée et d’où les Français installés là depuis des lustres ont été obligés de partir, d’émigrer en grande banlieue dans des zones pavillonnaires comme à La Ferté s/Jouarre où j’ai enseigné un temps, avec la cohabitation explosive d’une immigration de HLM également d’origine maghrébine implantée en grande banlieue. La désorganisation de l’École de la République s’en est suivie et ce que certains ont appelé « les territoires perdus de la République ».

La terreur que commence de faire régner l’islam en France est la conjonction de problèmes sociaux-politiques créés par le grand patronat français pour la rentabilité économique de ses usines à moindre frais et, sur fond de revanche anti-colonialiste, un islam rigoriste qui a décidé de se réveiller et d’en découdre avec l’Occident. C’est dans les années 70 que tout s’est mis en place : l’effondrement de l’École, la terreur, les zones où règne la charria, l’économie souterraine et de la drogue, l’ethnicisation des problèmes politiques, la politique de ségrégation urbaine, la violence sur tous les plans, le tout nappé dans le discours de la bien pensance de gauche et de ses organisation comme SOS racisme, dont le leader fait partie aujourd’hui des personnels politiques qui prétendent imposer à Israël une négociation avec les Palestiniens.

Ouvrons les yeux, ça changera.

etudiant sérieux dit: à

« Douceur des années 70, morbidité de notre époque. »
Par ici c’était plus pénard, moins morbide

« Le 20ème s. a-t-il tout trahi – les rêves de 68 et les actions de la Résistance  »
pour le plus grand bonheur des requins et leurs beaufs

JC..... dit: à

Il me fait marrer le Studieux !

Il n’y a pas eu « rêves » en 1968, mais délires irrationnels ; il n’y a pas eu « Résistance » durant WWII, mais collaboration attentiste ! …

Ah ! ces jeunes ! … c’est jeune et ça sait rien car ça n’a pas vécu.

Widergänger dit: à

Le lisait hier un vieil article que Raymond Barre, du temps où il était un jeune universitaire en économie avait fait paraître en décembre 1954 dans la revue « Critique » (l’article s’intitule « Développement économique et Biologie sociale », au relent un peu nazi sur les bord…). Mais il s’en prend déjà à l’islam comme étant incompatible avec la rénovation économique des pays du Tiers-Monde, ici il s’agit de la Turquie présentée comme une exception grâce à Kemal Ataturk qui introduisit la laïcité en Turquie : « Quant aux structures mentales, la conception des relations sociales, la représentation du temps, les croyances religieuses dominent les comportements économiques : il suffit à mon sens d’avoir vécu en pays musulman pour comprendre par exemple la politique de laïcisation dont Kemal Ataturk fit l’une des pierres angulaires du développement de la Turquie moderne. » Mais on voit ce qu’il en est aujourd’hui en Turquie avec le retour de l’islam et l’installation d’une dictature islamique.

Le monde est en pleine régression. Le discours d’investiture de Trump est également un discours de complète régression économique qui, combiné à la montée en puissance d’un islam de la terreur, devient littéralement explosif.

Widergänger dit: à

Non seulement ça n’a pas vécu mais ça n’a rien lu !

christiane dit: à

@Bérénice – 7h18
Vous avez bien choisi, Bérénice, face au billet de Passou, ce poète, André du Bouchet qui savait « le désir de monter » et « la joie de descendre », un Sisyphe déchiré qui ne renoncera jamais à se mettre, se remettre en route, se remettre au monde, ignorant, pour découvrir « l’horreur de la vie et l’extase de la vie ». Marchant sur les routes, carnet en mains, s’attardant dans l’atelier de son ami Alberto Giacometti ou plongeant dans la traduction de Shakespeare, Mandelstam, Joyce, Hölderlin, Celan.
Connaissez-vous ses Carnets ( écrits entre 1949 et 1955) publiés par « Le bruit du temps » sous le titre Une lampe dans la lumière aride ? Les lire, renvoie à notre solitude, au silence. Il écarte les mots pour écrire.
« Pendant la lueur qui précède la chute du sommeil, je déchiffre le mur.
Tout s’aligne en filigrane, comme dans les dessins de Giacometti. »

Une autre façon de traverser le passé proche.

@JJJ,
je vous ai répondu, hier, sur le fil du billet précédent à propos de vos citations.

Widergänger dit: à

Le XIXè siècle, c’est un partage de l’Europe qui sort du Congrès de Vienne avec ses modification successives jusqu’aux deux grands Blocs de l’après-guerre, c’est surtout l’industrialisation de l’Europe avec les problèmes de colonisation et d’immigration qui l’accompagne et les guerres impérialistes qui en découlent pour la domination du monde et qui s’étalent jusqu’en 1962 avec la fin de la guerre d’Algérie. Mai 68 vient clore toute cette période sur le mode carnavalesque d’inversion des valeurs. Ensuite c’est autre chose, c’est le début de la mondialisation et sa marche irrésistible en avant malgré l’actuelle régression qui fera long feu.

christiane dit: à

Renato,
Merci pour ce patriarche méditant près d’un tigre. Cette encre siècle est une merveille. Jeux d’ombres…

bérénice dit: à

8h28 vous défendez l’idée d’une cinquième colonne, il suffit d’une cellule qui essaime pour faire basculer l’équilibre, pourquoi alors maintenant , la thèse de la récupération des faibles est souvent écartée cependant je la trouve pertinente ajoutée au sentiment de déréliction et à la sensation diffuse de vivre l’hypothèque à court terme de notre monde et qui nous atteint tous de façons différentes et conduit à des conduites plus ou moins suicidaires ou absurdes- les plus riches accumulent comme jamais alors que leur richesse pourrait servir à infléchir la trajectoire, les plus pauvres meurent ou se laissent conduire comme des soldats à la solde de l’horreur n’ayant plus rien à perdre -, à la tête de ces groupes islamistes une élite toutefois, avide elle aussi de pouvoir et d’or avec l’outil tout trouvé du motif religieux en des pays où une grande injustice sociale sévit encore et toujours et entretenue par les régimes corrompus qui ont précédé, les pouvoirs autocratiques eux-même trouvent à se colorer de religion et n’en sont pas moins corrompus et se servent de la crédulité des peuples pour reconduire et renforcer l’islamisation qui verrouille tout espoir de progrès sociétal au grand drame d’une fraction qui non religieuse regrette les gouvernements laïcs. La religion est toujours l’opium des peuples en Orient.

JC..... dit: à

Je ne défend aucune thèse ; je constate, c’est tout simple !

Il est tellement évident que ce n’est pas une cinquième colonne en France, terme vieilli trop classique. Le constat c’est qu’une part d’indigènes récents, hors cadre, refuse les lois des autres indigènes français du territoire pour installer, organiser, défendre, imposer, des valeurs arriérées et divines dans des territoires de la république, perdus …

Vous êtes mon égale, Bérénice, comme toutes nos soeurs et je suis votre égal !

Certains français ne l’admettent pas, ne l’admettrons jamais car dieu le leur interdit : vous ne serez pour eux, à jamais, qu’un ventre …

bérénice dit: à

Christiane, non je ne connais pas, j’ai cherché et trouvé ceci, je est un autre qui s’échappe, l’impression qu’il est toujours derrière ce qu’il tente de transcrire , un retard et comment pourrait-il faire autrement. Il lutte contre ses influences qui de toutes façons occupent une partie du terrain et modifie notre paysage intérieur, nous ne sommes pas blancs, nous sommes empreintés et lui voudrait écrire occupé à une impossible quête d’expression pure et personnelle.

http://poezibao.typepad.com/poezibao/2011/05/une-lampe-dans-la-lumi%C3%A8re-aride-dandr%C3%A9-du-bouchet-par-antoine-emaz-.html

bérénice dit: à

modifient

bérénice dit: à

d’indigènes récents

c’est en parti faux, des franço-français partent pour la Syrie.

Widergänger dit: à

On ne peut que donner raison à JC. Il faudra quand même un jour avoir le courage de regarder les choses comme elles sont si nous voulons faire face à la terreur en s’aidant de tous les outils intellectuels nécessaire à une meilleure compréhension des orgines de cette terreur si nous voulons la combattre efficacement. Mais nos gouvernements le veulent-ils vraiment en dépit des apparences ? C’est la grande question.

D. dit: à

Heure par heure, comme une fleur qui s’ouvre,
Les vérités fleuriront,
Car le soleil peut pâlir et nous manquer les étoiles;
La Loi de Dieu demeure;
Sa splendeur éclate, son influence croît
Au lent travail de la nature,
Du menu zoophyte aux Grands Maîtres de Tout,
À travers les millions d’années.

D. dit: à

Le seuil du seuil, c’est très sur le bord, il faut faire attention à pas tomber.

Jean dit: à

C’est vrai que les années 70, c’était pas mal. Peu de violence, chômaqe réduit, augmentations de salaires… Quant à moi, je parcourais avec délices la Côte d’Azur et multipliais les balades dans l’Estérel, avec mes petites amies. C’était bien. Mais c’est bien aussi, cette décennie 2010, en dépit d’une agitation dont, il faut bien que je l’avoue, je me fiche un peu. Ce ne sont pas quelques attentats ici ou là qui troubleront ma sérénité. Le livre de ce Yann Moix a la tête de son auteur : sinistre. Je ne le lirai pas. Vive l’insouciance, et tant pis pour ceux qui paient les pots cassés. On n’est pas là pour cultiver la sinistrose. on est là pour voir le défilé (des macchabées).

Widergänger dit: à

Justement, bérénice, le fait que des souchiens s’engagent en Syrie n’est qu’une preuve supplémentaires que l’islam est en train de contaminer la France et ne fait donc que confirmer la justesse de ce que dit JC. Les yeux commence d’ailleurs à se déciller chez les Français. Le succès du livre de Zemmour en porte témoignage. Son constat est amer mais juste.

radioscopie dit: à

Voilà un billet qui nous promet maints (i.e. un déluge de)commentaires de la part de Widergänger. Malgré l’incipit (la mise en garde) de l’auteur, il est évident que W. trouvera là à étancher sa soif d’explicitations foireuses, autrement dit répercutera ici les vociférations au mégaphone d’un Zemmour, ce Zapata d’opérette grand stratège autoproclamé de la reconquête. Le plus drôle (au énième degré évidemment)étant de prêter à tous ces artificiers d’un soir absolument décérébrés et proches de la débilité un tel background idéologique.

Jean dit: à

et multipliais les balades dans l’Estérel, avec mes petites amies (moué)

… mineures, je précise. Un salut amical au passage à Polanski. Ah là là …

Widergänger dit: à

Les années 70 c’est les deux chocs pétroliers (1973 et 1979) qui ont mis la France par terre. La fin des Trente Glorieuses.

Ma génération sera née dans le bon créneau, entre deux guerres mondiales : 1939-1945 et 2050 qui est en train de se mettre en place. En 2050, j’aurai 96 ans. Après moi le déluge… de feu…

Jean dit: à

Les yeux commence d’ailleurs à se déciller (Widergänger)

Dessiller. C’est pas la peine d’être prof de lettres. Ah là là (vise les accents graves) !

Clopine, définitivement un cas à part... dit: à

Textes descriptifs, donc, Pierre Assouline, nullement analytiques ou politiques ?

Mmmhhhh…

Et pourquoi pas des inventaires (en pensant à Perec…), dans ce cas ?

Les objets de 70 et les objets d’aujourd’hui…

En 68, le film 2001 l’odyssée de l’espace, étrangement précurseur, « expliquait » les métamorphoses humaines à deux reprises, par le même artifice : l’apparition d’un monolithe noir, la première fois tout au début du film, au beau milieu de la tribu de singes-hominidés, la seconde fois tout à la fin, lors de la scène de de la « chambre d’hôtel » où le héros stationne avant de « renaître » sous forme de foetus.

Ce monolithe a toutes les caractéristiques d’un e-phone portable, si vous y songez.

Et n’est-ce pas précisément ce qui a vraiment changé, entre 70 et maintenant ?

je dis ça, je dis rien, évidemment…

bérénice dit: à

JC je ne défends pas les islamistes, ce qui se passe m’horrifie, je défends l’idée de la liberté de pensée, du libre arbitre, de la tolérance cependant on peut tenter d’essayer de comprendre pourquoi les petits enfants des premiers migrants résultant de la décolonisation se laissent happer par ce train, de plus vous ne pourrez nier que la guerre d’Irak est lourde de conséquences et que la Syrie ne soit pas sans avoir achevé d’amplifier le processus de radicalisation, cela plus l’élimination de Kadhafi en Lybie que nous étions nombreux à applaudir . D’un côté si on reste sans réactions face à des dictateurs, c’est critiquable, de l’autre si on intervient pour des raisons pétrolières c’est ravageur, enfin si on reste timoré comme BO pour ne pas risquer l’internationalisation d’un conflit en conséquence des erreurs d’appréciations passées, la situation dégénère, d’autres puissants laissent faire jusqu’à l’extrême limite; pour finir à quoi assiste-t-on: les rebelles sont bel et bien rendus à l’état d’impuissance tandis que l’EI continue son travail de sape, BEAssad toujours en place, les russes s’en servent pour installer leurs bases en Méditerranée et c’est toujours la terreur alors que la nouvelle diplomatie américaine laisse supposer un rééquilibrage des forces en leur faveur à l’est. L’Iran ne se laissera pas impressionné par Trump, sa puissance va augmentant et comme la Turquie cherche à se rendre indispensable dans la région. Un bel imbroglio géo strategique en défaveur des peuples.

Jean dit: à

Ah là là (vise les accents graves) ! (mmmoui)

Au fait, ah la la sans accents, ça serait ptête (vise le circoncis) plusse mieux.

Widergänger dit: à

radioscopie fait partie de la cohorte innombrable des ânes bien pensants… Ça fait juste pitié de voir ça.

Jean dit: à

L’Iran ne se laissera pas impressionné par Trump (Bérénice)

Impressionner. Oh lolo !

bérénice dit: à

avec mes petites amies.

tiens donc, une déclaration de polygamie?

bérénice dit: à

impressionner, Jean, merci.

JC..... dit: à

Jeanjean, tu as attaqué l’anisette Cristal Limiñana, un peu tôt ce matin….

Ces années là n’étaient pas si facile.

Ce que tu aimes, c’est te souvenir de tes années de jeunesse, alors que désormais vieux barbon ronchon, tu ressembles de plus en plus à Barbe Bleue qui n’aurait pas pris une douche depuis deux mois …

Sans compter que tu es laid comme un pou et que ton fauteuil roulant grince la nuit, et pas le sommier enchanté de Josette …uhuhu !

Bien à toi, crapule !

Widergänger dit: à

Si ! Trump a tout à fait de quoi impressionner l’Iran, croyez-moi. Des bombes capables de perforer les montagnes sur une épaisseur dont vous n’avez même pas idée. Ça peut tout à fait impressionner l’Iran. Et les missiles sous-marins qui vont à des vitesses folles. Les Américains, en matière d’armement, ont trente ans d’avance sur toute la planète. Notamment sur les Chinois qui sont à la ramasse.

bérénice dit: à

Oui mais l’Iran fait parti de la coalition emmenée par Poutine( pour le moment en retrait) pour lutter contre en principe l’EI et rétablir la paix.

Jean dit: à

avec mes petites amies.

tiens donc, une déclaration de polygamie? (Bérénice)

Mes petites amies et moi, on piochait consciencieusement l’humus de l’Estérel, au pied de la barre de rhyolite adossée au bleu du ciel, sous le regard attendri et curieux de laies-cathédrales pas agressives pour un sou. J’en revois une (pas une laie, une petite amie) se pointant devant moi, souriante et pas mal dévêtue (il faisait chaud), me tendant entre le pouce et l’index un sou tout rond : un bronze de Faustine la Jeune ! ah là là… ça ne nous rajeunissait pas, et ça continue de ne pas me rajeunir. C’était l’époque où, dans les mosquées d’Afrique du Nord, on ne rencontrait plus guère que des vieux. Comme les temps ont changé.

bérénice dit: à

Vous participiez à des fouilles archéologiques, Jean?

Jean dit: à

Au fait, le temps de Faustine la Jeune, c’était le bon temps. Encore mieux que les années 70. Là où, dans l’Estérel, la forêt recouvre les pentes, ce n’étaient que des oliviers. Les Gallo-Romains du coin (enfin, certains d’entre eux) se la coulaient douce. L’âge d’or de l’Empire Romain…

Widergänger dit: à

Ne vous faites pas d’illusion, bérénice. Il n’y aura pas de paix en Syrie. Ce n’est que le début de la prochaine guerre mondiale pour la domination du monde. Comme était l’Espagne en 1936. Les grandes puissances sont en train de se faire les dents en Syrie. C’est leur terrain de jeu et d’entraînement.

La Russie perdra la guerre mondiale mais elle occasionnera d’énormes dégâts à l’ennemi. Pas sûr que la planète s’en relève. L’occupation de la Crimée et la partie Est de l’Ukraine sont les germes de la prochaine guerre. La Russie se sent cernée par le capitalisme américain. Quand l’ours a peur et devient paranoïaque, il peut être très dangereux.

rose dit: à

Je crois bien que l’éloignement de la jeunesse participe beaucoup à la nostalgie. Pourtant que de moments jubilatoires depuis, se sont déroulés.
Crois aussi que nous sommes la vieille Europe . Et pourrions en être fiers. La natalité galope ailleurs et les jeunes se comptent fleurette.

>bérénice le film de Tavernier lorsqu’il sortira pourra sans doute vous intéresser, je ne sais.

Jean dit: à

Au fait, au temps de Faustine la Jeune, le christianisme était dans l’Empire déjà depuis plus d’un siècle. La déferlante monothéiste et les déferlantes barbares étaient pour demain, mais aucun des heureux païens qui se la coulaient douce au soleil de la Provincia ne s’en doutait ni ne s’en souciait. Pas de Zemmour ni de Yann Moix pour leur gâcher la sieste en leur prédisant le grand remplacement qui se profilait à l’horizon. Sourions donc au soleil d’aujourd’hui (enfin à celui de demain, car aujourd’hui il pleut à verse).

JC..... dit: à

DEFENDONS NOS VALEURS, FRERES HUMAINS !

Amis vintage, n’hésitons plus à quitter nos fauteuils roulants Rolls Royce ! fuyons les maisons de retraite ! quittons la douceur de nos foyers ! oublions la tendresse des veuves du voisinage, les insatisfactions des épouses de managers en ville, la tendresse curieuse des premières communiantes délurées !

Engageons, de toute notre virilité magnifiquement préservée, la bataille de la natalité, de la foi, de l’humanisme des Lumières !

Niquons et forniquons pour la civilisation judéo chrétienne, humaniste, occidentale et économiquement mondialisée !

Croisons-nous !

A notre tête, suivons notre cher Assouline comme les pèlerins suivirent Pierre, comme les archanges obéissent à notre dieu en trois personnes -que je n’ai toujours pas compris pourquoi trois- …

Amis, frères, compagnons ! battons nous jusqu’au prochain orgasme, repeuplons nos pays souverains !…

bérénice dit: à

JC avec des vieux spermatozoïdes cela ne me dit rien qui vaille! pauvres gosses!

bérénice dit: à

(enfin à celui de demain, car aujourd’hui il pleut à verse).

ouais on se caille! y’en a marre!

bérénice dit: à

J’ai envie d’un feu de bois dans une vraie cheminée, l’eau me captive autant que’un feu de bois, même pas besoin d’y jeter des phrases ou des mots un par un pour les oublier, puissances purificatrices!

Boudegras dit: à

11 heures 25 : JC l’andouille impuissante essaie nous faire croire à sa virilité disparue depuis si longtemps, les gens rigolent comme dirait la Madame

Lucy dit: à

Dans les années 70 on pouvait faire le tour de la Méditerranée en faisant du stop juste avec un sac à dos.

JC..... dit: à

Bérénice, tu fais fausse route, ô ma bien aimée !

Nos spermatozoïdes, à nous Croisés de la Renaissance des Lumières, sont jeunes, frais, agités, sereins, attentifs, compétents, sympathiques, convergents, habiles, expérimentés, inventifs, remarquables, têtus et nombreux … et … aussi bien entretenus par la pratique, que nos fauteuils roulants !

Ton Tite

christiane dit: à

Bérénice et Lucy,
joie de vous lire.

bérénice dit: à

Les années de plomb:

_

Au lendemain de l’offensive anti-terroriste, l’Italie s’est en effet retrouvée avec 4 087 activistes de gauche appartenant à des « associations subversives » ou « bandes armées » condamnés pour des « faits liés à des tentatives de subversion de l’ordre constitutionnel ». L’aire subversive y était estimée à plus de 100 000 personnes par le ministère de l’Intérieur. 224 sont aujourd’hui encore incarcérés (dont 130 en régime de semi-liberté) et 190 toujours en fuite, la plupart en France. Sur ces 224 prisonniers, 176 sont condamnés pour crimes de sang, plus de 90 à perpétuité et 147 pour plus de quinze ans. Le fait est unique en Europe, à la fois par l’ampleur et l’intensité de la rébellion armée.
_

https://www.cairn.info/revue-mouvements-2003-3-page-196.htm

Janssen J-J dit: à

Bel éclat de rire ce matin à 10.27… bravo pour l’insouciance et l’ironie du propos, j’adore de + en + les eScriptalia dans c’te veine. On a vraiment besoin de tomber là dessus de temps à autre !… Faut dire que la sinistre face de carême de Dyann Moi.xe n’a rien à envier à celle d’à Midi Ko.ulibali, des ‘terrori.sses’ tout autant efflanqués les uns que les autres dans leur genre califé, & ça craint.

Pas trop compris non plus l’intérêt du présent compte-rendu simultané de Braudeau (années légères ?) et Moix (années de plomb ?)… cette « justif » est quand même osée. Autant alors la siffler 3 fois : c du grand n’importe ouak (allez, on va dire, c clair, pas grave, au final). Heureusement que l’papier est sauvé par un scoop sur l’origine de Maigret. Oufl…, après ça, on se sent mieux, hein, c qu’la vérité en histoire littéraire importe autant que la vérité sur le origines du terrorisme, en ce moment de déclin de notre civilisation judéo-christiane. Pour sortir rapidement avec optimisme de ces chapes de plomb, tournons nous vers les mines de zinc, un matériau beaucoup plus léger. Il y eut beaucoup à la Calamine/Kelmis, ces mines redeviennent d’actualité avec Donald Trumpt. En attendant, elle est incroyable cette histoire d’Emil Rixen à Moresnet-Neutre, racontée par D. van Reybrouck. J’avais jamais entendu parler de l’histoire de cette bizarrerie territoriale triangulaire. Du coup, ce petit reportage historico-géographique est une découverte passionnante… Un espoir de voir disparaître un jour les frontières européennes ?
http://www.actes-sud.fr/catalogue/litterature/zinc
BJ à tousses.

Nicolas dit: à

Ce papier aligne un peu les poncifs, par exemple il est intéressant de parler de ce que nous sommes incapables d’aimer et d’écrire à charge…

JC..... dit: à

JJJ,
Ouvre ton blog chapelle, avant de critiquer la cathédrale de la RdL !

Lucy dit: à

JC… attention aux coupures de courant annoncées, vos éprouvettes à futurs bébés congelés risqueraient de ne pas s’en remettre !

JC..... dit: à

Puisque vous avez aimé Sartre, Aragon, Coluche, Mitterrand, Desproges, Sarkozy, Cahuzac, Hollande, Hamon le Benoit… adorez le Veau d’Or : notre cher Donald TRUMP !

JC..... dit: à

Lucy, j’adore votre côté hyène bien élevée…

etudiant sérieux dit: à

JC….. dit: 22 janvier 2017 à 11 h 25 min
DEFENDONS NOS VALEURS, FRERES HUMAINS !

Un christ est né : benitito s’égosillant postillonant tel emmanuel les bras en croix

etudiant sérieux dit: à

« le mode carnavalesque d’inversion des valeurs. Ensuite c’est autre chose, c’est le début de la mondialisation et sa marche irrésistible en avant malgré l’actuelle régression qui fera long feu. » (WG)

Oh le petit noubeau-né qui n’a rien vécu ni lu

bérénice dit: à

12h avec ce pseudo éclairant qui indique sa bienveillance il lui faut prévenir mieux que guérir en cas de panne .

Paul Edel dit: à

Exquis 10h27 je prends ce train là.

JC..... dit: à

C’est curieux, Studieux, que tu ne voies pas l’aspect profondément respectable du messianique Wiwi !

Comment gagnes-tu ta vie, mon mignon, avec si peu de jugement ! …. Ok ! Compris …

Marc LAUDELOUT dit: à

… »Mort à crédit » ? Céline à toutes les sauces ? Une seule chose est sûre : ce mystique était profondément athée même s’il loue dans un texte fameux « les dieux de sang, les dieux de race ». On se plaît à rêver de ce qu’il eût dit de l’Islam…

Jean dit: à

Sans compter que tu es laid comme un pou et que ton fauteuil roulant grince la nuit, et pas le sommier enchanté de Josette …uhuhu ! (JC)

@ JC

C’est vrai que, comme s’en félicitait Widergänger, les gens de nos générations seront passés entre les gouttes, comme les contemporains de Faustine la Jeune. J’avais embarqué la veille, gare de Lyon, dans le train de nuit, muni d’un billet gratuit d’officier de l’armée française que m’avait refilé mon futur beau-frère qui l’était, lui, officier. Cela m’avait permis d’observer les rondes de la police militaire qui évacuait, aux principales gares, les bidasses en fausse permission. Mais à moi, on ne me demanda rien, grade oblige. Josette m’attendait sur le quai, au-dessus de la place de la Liberté. Ce n’est pas son vrai prénom, tu t’en doutes. Il n’y avait pas si longtemps qu’on s’était vus, mais je ne me rappelais pas qu’elle était si belle. A tomber. Grande, brune, bronzée, dans son tailleur bleu pâle, avec son visage d’ange de Roublev. A tomber. D’ailleurs j’ai failli en tomber plusieurs fois en traversant la place de la Liberté. Les trente glorieuses, ce sera pour toujours la gloire divine de cette jeune femme tombée pour moi du ciel, dans le soleil matinal. Dans le car qui nous emmenait à la Capte, où habitait sa marraine, ma main dans la sienne, j’étais comme en apesanteur.
La Capte : je suppose que ça te parle. Entre deux élans amoureux, j’allais faire du footing sur la plage, côté Est, entre le port d’Hyères et la presqu’île. Une belle plage de sable fin ; presque cent mètres de profondeur. J’y suis retourné, voici quelques années : il n’en restait quasiment rien. Tout a reculé : la plage, le christianisme, la culture occidentale et bien d’autres choses encore. Mais la lumière de mon amour brille comme au premier jour, et je chante toujours la gloire de son visage d’ange de Roublev. Et si je me bats pour vivre encore, ce n’est pas d’abord pour moi, tu t’en doutes. Et pour le reste, l’avenir du monde, je m’en balance un peu : j’aurai vécu. Après moi le déluge.

ribouldingue dit: à

« Une autre façon de traverser le passé proche »

Christiane adore traverser. Elle traverse les livres, elle traverse la vie, les films, les expositions…Une grande traversante, Christiane.

Paul Edel dit: à

Je rêve d un énorme pléiade qui rassemblerait nimier et blondin et Laurent et deon qui eux ont écrit leur insolence leur fantaisie leur gaieté leur légèreté et leur complicité dans les bars

JC..... dit: à

Paul,
les bars sont des concessions fournies par notre humain laxisme à Lucifer, cette saloope ingrate ! A fuir, les estaminets !

Jean,
Roublev …. je comprends. Vivre est merveilleux. Tenons la distance…

JC..... dit: à

On nous emmerbe avec l’Abbé Pierre ! Quel emmerbeur, ce curé mal lavé ….

Heureusement que les riches admettent facilement l’idée qu’il y ait des pauvres, des sans logis, des sans-dents, depuis toujours, sans inversion possible de la courbe …

Sinon, comment être heureux, hein ? Or, c’est sa propre vie qui compte. Pas celle des autres…. On est d’accord ?

Widergänger dit: à

L’abbé Pierre avec une tente pour le street art… c’est tout à fait tendance… décadente !

Sergio dit: à

« courrait les filles »

Quand même pas havec une trompe de chasse ?

Pat V dit: à

« ayant créé Maigret à Morsang-sur-Seine dans l’Essonne »

Morsang-sur-Orge serait plus exact…

Delaporte dit: à

L’abbé Pierre n’a pas vraiment de successeur, sauf peut-être un peu cet agriculteur, près de Nice, Cédric Herrou, qui vient en aide aux réfugiés, leur proposant le gîte et le couvert, et qui a encore été interpellé par la police cette semaine et mis en garde à vue après avoir aidé des Erythréens.

« Dix ans après la mort de l’Abbé Pierre, le 22 janvier 2007, aucune figure charismatique autant aimée des Français ne lui a succédé mais une foule de disciples a fait siens les combats de l' »insurgé de Dieu ». »

etudiant sérieux dit: à

En 1966, on recense ainsi 120 bidonvilles en Île-de-France, qui abritent 46000 personnes. Plus de 14000 se trouvent à Champigny (essentiellement des Portugais), 10000 à Nanterre, dont 1200 familles
1950 : Besoin de main-d’oeuvre pour reconstruire le pays, 1953 : Premier bidonville à Nanterre, 1960/65 : Les bidonvilles sont à leur maximum (Nanterre 14 000), 1972 : Derniers bidonvilles de Nanterre, 1961/62 : Construction des cités de transit, 1985 : Démolition de la dernière cité de transit (les Marguerites 250 logements)
http://base.d-p-h.info/fr/fiches/dph/fiche-dph-6564.html

JC..... dit: à

Cédric Herrou ? Un crétin ne respectant pas les lois du pays… EN TAULE, le factieux !

JC..... dit: à

Sans compter que ce vicelard de Cédric Herrou, ce crapulet mentulaire portant sa félonie lubrique sur son visage déplaisant, aide surtout… les Erythréennes !

Widergänger dit: à

Cédric Herrou, ce serait plutôt l’insurgé du diable…

Widergänger dit: à

Oui, il faut lire Le Gone du Chaâba, roman autobiographique d’Azouz Begag, pour se faire une idée de ce qu’étaient les bidonvilles des années 60.

Pour devenir ce qu’il est devenu, sorti de là, faut vraiment qu’il soit exceptionnel Azouz Begag.

Delaporte dit: à

La presse du monde entier s’est passionnée pour Cédric Herrou et son action envers les migrants en France. Son combat passionne une pauvre humanité, qui ne sera rachetée que par des actes altruistes, et non par l’égoïsme maladif de certains…

Widergänger dit: à

J’espère que ce petit con de Macron va se faire éjecter par les électeurs au bout du compte.

gontrand dit: à

Minc soutient Macron WG. Ça va plutôt dans le sens que vous souhaitez…

Widergänger dit: à

Cette primaire de gauche va être une vraie catastrophe pour le PS… Le bateau coule…

Widergänger dit: à

gontrand dit: 22 janvier 2017 à 16 h 38 min
Encore un qu’a rien compris à mes commentaires ! Je n’ai jamais été pour Macron, espèce d’âne bâté ! J’ai simplement dit que l’enthousiasme des gens pour Macron était émouvant. Ça n’a rien à voir !!!!! Ce sont les gens qui m’émeuvent, pas ce con de Macron. Dans quelle langue faut-il parler pour être compris dans ce monde qui ne connaît plus les nuances ?

Paul Edel dit: à

Les années légères ce sont quand même les cinéastes italiens comme dino risi ettore scola ou monicelli qui l ont capté

Widergänger dit: à

Ce ne sont pas seulement d’ailleurs des années de plomb qu’on vit, mais une époque sans perspective, sans référent. Pas un seul responsable politique qui ait de l’envergure, capable d’embrasser les grands problèmes du monde en impulsant une dynamique. Une époque de gestionnaires du pire dans le meilleur cas, et en face de plus en plus de gens qui ne comprennent rien à rien. Une époque de vrais abrutis qui vont nous conduire tout droit à la barbarie comme jamais.

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Yann Moix est un enfant de choeur qui aime bien pisser dans les burettes pour se donner l’impression, sinon la certitude, qu’il existe. Est-il pincé, son sourire désarme et on oublie tout, croyant qu’il ne recommencera plus. Pourtant, il récidive.

Je le vois à ONPC, les bras croisés, le regard hargneux, prêt à sauter sur l’invité du moment, délirant, mais faut-il le rappeler, bien payé pour faire l’esclandre -pardon, le clash- et faire sauter l’audimat, qui ne veut plus dire grand chose depuis que l’Internet diffuse l’émission, comme le disait la productrice il y a quelque temps.

Comme j’aimerais entendre un invité lui répondre, aussi calmement que Moix est rageur: Monsieur Moix, je suis désolé que mon livre, film, disque, spectacle, ne vous ai point plu. Vous avez toute ma compassion et ma sollicitude. Et le regarder d’un oeil tendre et attristé, comme on fait devant un enfant qui vient de se couvrir de ridicule.

Widergänger dit: à

L’actrice que j’aimais beaucoup dans ces années-là, c’est Dominique Sanda. Dans Le Jardin des Finzi-Contini elle était merveilleuse et d’un charma fracassant.

Bloom dit: à

Michel Braudeau & JP Encrevé ont publié un livre passionnant, Conversations sur la langue française, en 2006 ou 7. Braudeau ne fait que poser des questions, et c’est bien ainsi car le bon linguiste qu’est Encrevé a des choses importantes à dire (et puis Braudeau évoque un monde à venir ou on parlera « chinois, indien, tamoul… »). J’ai cherché le département d’indien à l’Inalco & ne l’ai pas encore trouvé.
Il faisait bien plan-plan avec ses gentils souvenirs il y a peu sur FC chez Ono-dit-le-pédant surtout face au Styx du phénomène post-célinien venu du froid, Dimitri Bortniki, ravaudeur enivrant de la langue française qu’il aurait apprise auprès d’une comtesse russe dont il était le cuisinier…

Si pour Moix, le Onfray d’Argentan est un des 2 idiots utiles de Daech, quel est le second?

Nicolas dit: à

Tout le monde notera que Wgg utilise un langage particulièrement grossier. Juste comme ça. Hop. Diagnostique number three ?

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Évidemment, les mensonges éhontés de Trump et ses sbires tournent au délire. Affirmer que son inauguration fut plus importante que toute autre relève de la désinformation nazie, fasciste, ou soviétique. Si le mensonge des armes massives de destruction a bien servi Bush, pourquoi ne pas continuer.

Un peu partout, le populisme voyou semble séduire le un pour cent qui rêve d’impôts éliminés, et le bas du peuple, ignare et gueulard, qui pense pouvoir se venger d’une gauche caviar qu’il envie plus qu’il l’exècre. Devant le poujadisme,de Gaulle disait que du temps de son père les épiciers votaient pour les notaires, et que maintenant c’étaient les notaires qui votaient pour les épiciers. Hélas, des bouffons ont remplacé les épiciers; des bouffons sociopathes que leur masque cache bien.

Widergänger dit: à

Nicolas dit: 22 janvier 2017 à 16 h 57 min
Mon petit chéri, tu pourrais me citer mes grossièretés qu’on puisse juger de tes critères. Tu devrais lire Endrevé…

Widergänger dit: à

Encrevé.

Widergänger dit: à

À propos de la Conférence de la paix de Paris, ce qu’en dit le Wall Street Journal :

Dans un éditorial publié mercredi, la rédaction du Wall Street Journal écrit : « Cette conférence est un échec lamentable, mais les conférenciers auraient pu s’aider en examinant simplement ce que les tribunaux français ont à dire à propos de ces implantations avant de stigmatiser une nouvelle fois Israël… En 2013, la Cour d’Appel française de Versailles a statué que, contrairement aux allégations palestiniennes, les implantations juives ne violent en aucun cas l’interdiction faite à une puissance étrangère de transférer sa population civile vers le territoire qu’elle occupe, selon les Conventions de Genève ». Cette Loi, soutient la Cour d’Appel de Versailles, interdit les efforts réalisés par un gouvernement pour transférer les populations. Mais elle n’a mais interdit aux individualités de s’installer de leur propre chef dans des territoires disputés ».
En savoir plus sur http://jforum.fr/le-verdict-de-versailles-invalide-la-conference-de-paris.html#Fg3v7h0A2PbUEzOh.99

Bihoreau, duc de Bellerente dit: à

Pour être sûr d’être bien compris, le petit Macron se serait exprimé en globish à Berlin, comme Giscard l’avait fait le soir de sa victoire en 1974. Notre langue est ramenée au niveau du breton, qu’on parle entre nous mais qu’on cache devant l’homme blanc. Sarkozy revient, en moins excité. Puisse monsieur Fillon ne jamais douter qu’il n’y a pas qu’en France qu’on comprend notre langue.

Nicolas dit: à

Diagnostique number four Et si on parlait du conflit israelo palestinien, ca manquait vous ne trouvez pas?

Pat V dit: à

Widergänger dit: 22 janvier 2017 à 16 h 19 min

Morsang-sur-Seine n’ existe pas, du moins dans l’ Essonne à moins que vous teniez LE PARISIEN pour parole universitaire ou d’ évangile…
Bonne soirée, départ pour le diner de ce soir.

Widergänger dit: à

Nicolas s’est dégonflé. C’était attendu.

Widergänger dit: à

Mais si ça existe. C’est vous qui êtes dans l’erreur avec votre confiance infantile à l’université. Quel mépris pour le Parisien ! Ce n’est pas à votre honneur.

Delaporte dit: à

A propos de Moix, le seul livre que j’aie jamais jeté à la poubelle est un livre de lui, « Partouz ». On me l’avait donné, et à mon tour je ne savais comment m’en débarrasser. Impossible à garder dans une bibliothèque qui se respecte.

gontrand dit: à

« Encore un qu’a rien compris à mes commentaires ! Je n’ai jamais été pour Macron, espèce d’âne bâté ! »

C’est toi qui n’a rien compris à mon ironie WG! Minc a la réputation de se planter à peu près systématiquement…S’il soutient Macron, c’est plutôt inquiétant pour celui-ci et ça va donc dans ton sens.

Delaporte dit: à

La carrière que fait Yann Moix est un mystère. Comment un type aussi dénué de tout talent, que ce soit dans l’écriture ou à la TV, d’un tempérament désagréable et d’un physique de cancrelat, a-t-il pu réussir à s’imposer comme ça en si peu d’années ? C’est une grande énigme, et une horrible injustice pour ceux dont il vole la place.

Widergänger dit: à

Si gontrand utilise maintenant le troisième degré de l’humour, ce pauvre Wgg va être complètement perdu… Faut prévenir, mon petit chéri… !

Widergänger dit: à

physique de cancrelat (Delaporte)
________
Tout le monde appréciera s’agissant d’un Juif…! (L’exposition au Berlitz « Le Juif et la France » a fermé depuis longtemps…)

DHH dit: à

En 1969 j’aui commis un rapport qui s’intitulait elements pour une politique de résorption des bidonvilles dans la région Parisienne
Le problème alors était d’installer dans des conditions décentes cette population qui a Nanterre ou Champigny vivait dans des conditions indignes alors qu’on avait mobilisé ses bras pour fabriquer nos voitures et construire les premiers grands ensembles
La solution que je proposais et qui devait déboucher sur des lendemains qui chantent passait tout simplement par la multiplication des constructions d’HLM à la priopherie des grandes villes pour y installer aussi ceux qui les construisaient ;pour eux d’ailleurs ;on proposait d’étendre une formule bien paternaliste alors expérimentée ;les immeubles sociaux de transition ; immeubles dédiés dans lesquels avant d’accéder à leur logement définitif ; les familles seraient installées pendant quelques mois ,et où sous l’accompagnement permanent de moniteurs et de monitrices bilingues et bienveillants elles feraient feraient l’apprentissage de la vie dans un immeuble collectif, ce qui leur leur assurerait des relations sereines avec leurs futurs voisins de souche .
A aucun moment ce rapport n’évoquait le chômage, qui commençait à sevir mais dont on ne prevoyait ni m’ampleur future ni les effets , encore moins le trafic de drogue, qui en est largement la conséquence dans cet univers de cités dortoirs , et nul ne pouvait imaginer que ces grands ensembles, qui paraissaient alors de toute evidence la solution, seraient en fait le probleme
Bref , vu d’aujourd’hui, j’avais tout faux

Delaporte dit: à

Wgg, si vous cherchez à faire de moi un antisémite, vous allez vous casser les dents, du moins celles qui vous restent…

Widergänger dit: à

Mais que sais-tu de mes dents…?

Je me contentais de souligner la parfaite dégueulasserie de votre commentaire, auquel vous en rajoutez une autre. C’est dire vos critères de jugement.

bérénice dit: à

17h40 je l’ai lu, aimé , prêté, assez eberluée qu’on puisse écrire sur ce sujet, l’échangisme sur fond de terrorisme sans une répétition, une vengeance que de faire de Leila l’héroïne après laquelle le narrateur amoureux court comme un fou traversant ces lieux de grande subversion, en quatrième il notait: j’ai écrit ce livre avec joie, on peut le croire avec rage également. Je n’écoute pas Yann Moix ni ne l’ai pas lu depuis, aperçu à la télévision, c’est un intellectuel de droite qui ne cache pas son antipathie pour les socialistes. on peut au moins lui concéder une certaine franchise mais je peux me tromper ne le connaissant que peu, il est l’objet de lazzis de la part de nombreux intellectuels de gauche, peut-être sont ils justifiés, en politique on n’est jamais très loin du fanatisme et toujours assez proche de la notion d’opinion.

DHH dit: à

J’ai i eu l’ occasion d’entendre AZOUZ BEGAG venu rencontrer à la mairie d’Aulnay des responsables d’association et quelques lycéens que j’accompagnais
Il a evoqué de manière émouvante son parcours personnel et explosion de bonheur qu’avait été pour lui et sa famille le depart du bidonville ; Ce qu’il retenait avant tout du miracle qu’ avait representé pour lui l’entrée dans un vrai logement ,c’était que la lumière y pénétrait

JC..... dit: à

Delaporte dit: 22 janvier 2017 à 16 h 30 min
« La presse du monde entier s’est passionnée pour Cédric Herrou »

Moi-même je me passionne pour ce hors la loi, Cétric Mérou, le Robin des Fourrés… et ce qui est infiniment prometteur, pour ma femme de ménage, L…., extraordinairement alerte.

JC..... dit: à

DHH dit: 22 janvier 2017 à 17 h 55 min
« Bref , vu d’aujourd’hui, j’avais tout faux »

Rassurez vous, ma chère, vous n’êtes pas seule…

Widergänger dit: à

Delaporte, c’est ce qu’on pourrait appeler maintenant un « collabo ».

D. dit: à

La faible participation des électeurs à la primaire du PS, les images désastreuses de bureaux de vote totalement vides en disent long sur l’avenir du PS. Non seulement il n’y aura à l’évidence pas de candidat PS au second tour de la présidentielle, mais le PS, qui fut le plus grand parti dans les années 80 est en passe de devenir un parti de plus en plus marginal, suivant la même pente que le PC à l’époque mais pour d’autres raisons.
Que ce soit entièrement mérité ne fait plus de doute pour personne.

Widergänger dit: à

Non, DHH, vous n’aviez pas encore faux en 1969. Mais dix ans plus tard les bulldozer du PCF détruisaient le foyer Sonacotra. Encore vingt ans plus tard en 1996 et on voyait le sénateur communiste Jack Ralite avec qui il m’est arrivé de longuement discuter à l’époque soutenait les sans-papiers à l’église Saint-Bernard. Aujourd’hui, vingt ans après saint-Bernard c’est le règne de la charria et de la terreur.

et alii dit: à

et nul ne pouvait imaginer que ces grands ensembles, qui paraissaient alors de toute evidence la solution, seraient en fait le probleme
oui, il faut se méfier des évidences , comme des solutions , vous concluez très justement

et alii dit: à

je lis un artice sur les diagnostics , et les polars, et la concusion c’est :
 » Considered together, the pieces below suggest that often it’s not other people we need to watch out for—it’s ourselves.

Widergänger dit: à

Les Crédric Herrou sont aujourd’hui tous des cancrelats. Des irresponsables à fouutre en taule. Sans pitié.

gontrand dit: à

WG, c’est la deuxième fois que vous mettez deux « r » à charia…perseverare…

Jean dit: à

Histoire d’apporter un peu d’eau au moulin de Yann Moix, ces quelques vers de Michel Houellebecq :

Disparue la croyance
Qui permet d’édifier
D’être et de sanctifier,
Nous habitons l’absence.

Puis la vue disparaît
Des êtres les plus proches.

(« Configuration du dernier rivage »)

Histoire d’apporter de l’eau au moulin de la thèse des affinités (mais si, mais si) entre Baudelaire et Houellebecq, ces quelques vers du premier :

« Les aveugles

Contemple-les, mon âme ; ils sont vraiment affreux !
Pareils aux mannequins, vaguement ridicules ;
Terribles, singuliers comme les somnambules ;
Dardant on ne sait où leurs globes ténébreux.

Leurs yeux, d’où la divine étincelle est partie,
Comme s’ils regardaient au loin restent levés
Au ciel ; on ne les voit jamais vers les pavés
Pencher rêveusement leur tête appesantie.

Ils traversent ainsi le noir illimité,
Ce frère du silence éternel. O cité !
Pendant qu’autour de nous tu chantes, ris et beugles,

Eprise du plaisir jusqu’à l’atrocité,
Vois ! je me traîne aussi ! mais, plus qu’eux hébété,
Je dis : Que cherchent-ils au Ciel, tous ces aveugles ?  »

Je reconnais qu’après six heures du soir, à la nuit close, on pourrait trouver plus gai. C’est la faute à Yann Moix !

bérénice dit: à

Quand même pas havec une trompe de chasse 14h30

Sergio, il a fait sonner l’hallali de très nombreuses fois depuis les choses se sont inversées et il doit supporter les bois .

bérénice dit: à

la charia qui charrie sans chant ni sang n’est pas la vraie charia

Jean dit: à

Au désespoir baudelairien, Houellebecq (toujours dans « Configuration du dernier rivage ») apporte une solution. Mais si Mais si :

« Etre un petit chien blanc qui court sans se lasser
après la même branche,
Ou un vieux prêtre noir qui dit sans pleurnicher
la messe du dimanche :
Bref avoir une foi, minuscule ou sublime,
un ensemble de gestes
Comme une danse idiote, nous dirons le pas turc,
une danse modeste
Qu’on danse sans effort, minime apprentissage,
très peu de réflexion :
Atteindre le bonheur immobile et cyclique
de la répétition. »

Mine de rien, on a là de quoi organiser une efficace résistance intérieure aux sirènes du djihadisme. A condition de s’y entraîner au quotidien. Un genre de qi-gong spirituel pas gong du tout.

etudiant sérieux dit: à

DHH
la tendance a été de construire souvent moche et rébarbatif pour payer au rabais
(mais les gens qui ont grandi dans ces ensembles pleurent de les voir démolir )
Ces logements ne sont pas la cause du chômage des problemes sociaux

bérénice dit: à

Emmanuel Macron a terminé son discours à Berlin à la Kennedy, nous sommes tous? me manque le dernier mot, c’était quoi, quelqu’un s’en souvient-il, je vaquais et en l’entendant cette phrase d’un coup réussit à dégager de l’horizon européen tous ces gros cumulus noirs et sans espoir.

etudiant sérieux dit: à

du chomage, des problemes sociaux

etudiant sérieux dit: à

bérénice
sa campagne est organisée par une agence de pub

DHH dit: à

@berenice
Kennedy a dit: Ich bin ein berliner(traduction inutile)

Jean dit: à

 » être un petit chien blanc (etc) (Houellebecq). Frainchemain, si on lit ce poème (et les autres de « Configuration du dernier rivage »), surtout après la tombée de la nuit, y a vraiment de quoi se flinguer. Mais pour peu qu’on soit sensible à l’humour morose et pince-mi/pince-moi qui s’en dégage, c’est la rigolade qui l’emporte. Comme quoi le désespoir houellebecquien contient son antidote (ce que Barthes appelait le plaisir du texte).

bérénice dit: à

18h58 Jacques Seguela joua en son temps un rôle dans d’autres campagnes, c’est pas nouveau et les politiques se doivent pour promouvoir leurs idées être des communicants , cela devient scientifique de mener campagne avec tous ces instruments servant à la mesure et à auscultation, enfin quel candidat n’analyserait pas certaines données et retour sur prestation pour ajuster son routage? Un idiot?

bérénice dit: à

DHH: Je crois qu’il a dit, nous sommes tous des européens. Son discours était pro-européen.

Widergänger dit: à

Mais le problème n’est pas que nous soyons tous des Européens, mais de déterminer politiquement quelles formes d’Europe politiques nous voulons. Or, il n’y a aucun débat à ce sujet. C’est le désert intellectuel et politique.

Nicolas dit: à

J’ai lu Borges aujourd’hui, le papy veinard s’est sortie une belle et fraîche norvegienne, Ulrica, ce sera juste pour une nuit, en effet « le miracle a le droit d’imposer ses conditions. »

bérénice dit: à

Ces logements ne sont pas la cause du chômage des problemes sociaux

ces grands ensemble très humains ne sont pas la cause de tous les problèmes cependant depuis des années, les urbanistes réfléchissent à une manière d’aménager le territoire pour éviter les enclaves et favoriser la mixité des populations ainsi que la sociabilité afin d’amoindrir les phénomènes de sentiment d’exclusion, le repli identitaire, la délinquance et l’économie parallèle qui je crois appartient majoritairement à ces zones qui deviennent pour certaines des zones de non-droit.

Lucy dit: à

Depuis le balcon de l’hôtel de ville de Schöneberg, qui était alors le siège de la municipalité de Berlin-Ouest, située en secteur d’occupation américain, Kennedy lance :

« Il y a 2 000 ans, la plus grande marque d’orgueil était de dire civis romanus sum (« je suis citoyen romain »). Aujourd’hui, dans le monde libre, la plus grande marque d’orgueil est de dire Ich bin ein Berliner. […] Tous les hommes libres, où qu’ils vivent, sont des citoyens de Berlin. Par conséquent, en tant qu’homme libre, je suis fier de prononcer ces mots : Ich bin ein Berliner! »

bérénice dit: à

Or, il n’y a aucun débat à ce sujet.

je ne suis pas un soutien mais il me semble que justement c’était l’objet de son discours, qui demeure un discours mais n’en laisse pas moins supposer qu’il y travaille pour tenter de faire progresser l’Europe.

bouguereau dit: à

l’Etat islamique sera le pays de tous ceux qui n’ont d’autre état psychologique que celui de vouloir en faire partie. Ce sera l’Etat de tous ceux qui se trouveront dans un certain état

ok mais la kapital sra jamais jéruzalème est..des effets point 2 hencore..hoù dracul est dénoncé par mon larbin a son employeur..et que lassouline recoit une lettre recommandé..pasque c’est lui lui le coupabe..

bouguereau dit: à

il ne voit de violence dans les années 60 que douce, celles des blousons noirs et des rockers

lassouline dit en somme c’est pas vrai que c’était mieux havant mais toudmême..

bouguereau dit: à

les harabes en 70 sinon le bruit l’hodeur et le bruit du marteau pikeur en gros ils fermaient leur sale gueule..

bouguereau dit: à

hach la mondialijachion comme dijait valérie c’est la gauche qui va sur les marchés pour chendetter..ché trés bien..ché gros de tenchion hinternachional

bouguereau dit: à

Wgg, si vous cherchez à faire de moi un antisémite, vous allez vous casser les dents, du moins celles qui vous restent…

jaime beaucoup..chez une inflachion ridicule ichi..dracul est le méchi.chest pas pas pablo..ménon..les goyes sont la pour porter les valije de ché méchieux

Lucy dit: à

BéréniceBérénice, son discours était avant tout anti-soviétique, à l’époque où Berlin était coincé en Allemagne de l’Est sous le joug de l’URSS. Ce n’était pas rien de passer la frontière à l’époque avec les Vopos et leurs chiens renifleurs, les glaces promenées sous les wagons pour vérifier que personne n’essaie de s’y accrocher pour passer à l’Ouest, les contrôles d’identité et les fouilles qui n’en finissaient pas même pour nous, Français. son dixours

Lucy dit: à

Qqes petits problèmes techniques pour faire passer mon commentaire ! Les lettres n’apparaissent pas dans le cadre….

Widergänger dit: à

Sans doute une victoire de Benoît Hamon ! Ah, ça c’est la meilleure de la soirée ! Macron va quand même avoir à qui parler. Tout n’est peut-être pas perdu à gauche…

bérénice dit: à

Lucy je faisais mention du discours d’Emmanuel Macron, plus récent.

Widergänger dit: à

Hollande a déjà quitté le navire… Le capitaine d’abord…! Les autres peuvent crever… Une vraie déroute idéologique cette gauche. Effarant tout de même.

Widergänger dit: à

Valls va nous faire une jaunisse…On se marre…

Nicolas dit: à

Hollande est au milieu du désert chilien. Humour velbecquien ?

Lucy dit: à

Oups ! excuses bérénice…

Widergänger dit: à

Le PS joue sa survie. Un tournant historique.

Widergänger dit: à

Valls est fouutu.

Mais en Mai, Hamon risque d’être fouutu aussi face à Macron. Et avec Hamon, c’est le PS qui risque de sombrer complètement.

À moins que Hamon réussisse à convaincre une partie importante des électeurs potentiels de Macron. Sinon, c’est la fin du PS dans l’histoire.

Widergänger dit: à

Fiasco total pour Peillon, ça c’est le pied…! Cette nullité totale.

bérénice dit: à

Oups ! excuses bérénice…

je vous en prie néanmoins encore un effort pour rejoindre l’étudiant sérieux ne nuirait en rien à votre ouverture.

Sergio dit: à

bérénice dit: 22 janvier 2017 à 18 h 46 min
il doit supporter les bois .

Tant que c’est pas les bois de justice comme la corde dans le Bal des Laze !

Pablo75 dit: à

[Moix] »physique de cancrelat » (Delaporte)

« Tout le monde appréciera s’agissant d’un Juif…! »
(Widergänger)

« Delaporte, c’est ce qu’on pourrait appeler maintenant un « collabo ». »
(Widergänger)

Yann Moix, kippa sur la tête : « Je ne suis pas Juif mais je porte cette kippa par solidarité »
(lemondejuif.info, 17 Jan 2016)

« Yann Moix, issu d’une famille catholique française classique »
(ojim.fr. Portraits)

Voilà la méthode de l’Ordure Morale décryptée une fois de plus:

-Moi, Blabla Widergänger, le Trump du blog, n’étant pas juif mais uniquement « philosémite exacerbé » (comme appellent Moix les Inrocks), à force de mensonges, cynisme et hystérie je me suis érigé en arbitre moral du blog et je suis, donc, le seul habilité ici à donner des diplômes de bonne conduite envers les Juifs et des certificats d’antisémitisme à tous les commentateurs qui osent en parler. Et cela malgré mon admiration éperdue pour des antisémites notoires comme Blanchot et Heidegger.

-Si pour ça il faut mentir, aucun problème. Donc pour déclarer Delaporte antisémite on invente que le catholique Moix est juif.

-Si pour cela il faut cacher que le catholique Moix a été l’objet d’une grosse polémique à cause de ses très grands amis Nabe et Blanrue (l’ami de Faurisson et l’auteur du « Dictionnaire de l’antisémitisme » dont Moix a écrit la préface), pas de problème, on ne dit rien.

-L’essentiel étant d’accuser tout le monde d’antisémitisme pour montrer que le seul type bien du blog c’est moi, j’utilise les recettes de Goebbels: mentir avec le plus de culot et d’assurance possible, puisque personne vérifie rien, et répéter les mensonges à l’infini pour les convertir en vérités, en aboyant comme un roquet enragé s’il le faut.

Manque de chance pour toi, il y a des gens sur ce blog à qui ton obsession pathologique de traiter d’antisémite tout le monde (chose que Moix, beaucoup plus intelligent que toi, se garde bien de faire) et ton âme de collabo admirateur des méthodes de propagande goebbelesiens, donnent envie de vomir.

De te vomir à la gue.ule toutes les tonnes de mots infectés de la bassesse morale la plus invraisemblable que tu déverses ici chaque jour.

Janssen J-J dit: à

Bon, alors voyons voire les scenariio du 1er tour de la présidentielle :
le pen vs fillon (je vote blanc)
le pen vs macron (je vote blanc)
fillon vs macron (je vote blanc)
fillon vs mélanchon (je vote mélanchon)
Résultat : fillon bat macron de justesse. J’ai bien fait de voter blanc, tu crois quand même pas que j’allais faire aut’chose, hein Liliane ? 🙂

Sant'Angelo Giovanni dit: à


…je vient de prendre le temp, de lire le texte ci-dessus,!…
…bien sur c’est très bien écrit, avec des enjoliveurs,!…

…donc, Oui,…deux livres, à deux horizons différents dans l’implication situationniste des faveurs et privilèges  » d(avoir eu le loisir de bien vivre en ses normes, et le déchirement progressiste des laisser pour compte, sans avenir, les existences reléguer, comme à des  » pieds-nickelés « , faite suivant les  » guises  » offertes ou entre-bâilles,!…

…il en reste une désarticulation sous le soleil, ou le microscope, en micro ou macro économie, avec coton-tige ou éponge à en être projeter ces écritures en jets d’arabesques gothique,!…en signatures,!…

…désarticulé l’opinion, et en garder, par ses souvenir, beaucoup plus gays et savoureux de la vraie joie de vivre, avec les obstacles sociaux à franchir,!…
…savoir être en tout temps limpide,!…les plans à suivre ou à détourner,!…etc,!…
…harceler son steak, son plat chaud ou froid,…avec sa fourchette et son couteau,!…
…l’art du sang,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…
…etc,!…sur pièce désarticulé,!…

Sergio dit: à

Pablo75 dit: 22 janvier 2017 à 23 h 02 min

Oui, ce sont effectivement tous ces aspects, ces faits qu’il faut soulever avec précision ; mais quel travail ! En plus lui ça s’exténue jamais, des ganaches pareilles…

bérénice dit: à

3J pourquoi éliminer d’emblée ces probabiltés d’ un duel Fillon Hamont
Hamont Macron
Hamont Lepen
Les sondeurs se trompent, l’inimaginable arrive.

Sergio dit: à

bérénice dit: 22 janvier 2017 à 23 h 13 min
le-bal-des-laze_music

Ha c’est bien présenté ! Et le son est bon.

bérénice dit: à

Sergio, les images à la fin du clip sont issues de Lady Chatterley.

bérénice dit: à

Pablo, enfin tout de même est-ce qu’il mérite toute cette haine?

Pablo75 dit: à

@ Sergio

« lui ça s’exténue jamais, des ganaches pareilles… »

Eh oui, il a l’énergie de tous les fanatiques fous et en plus tout son temps, étant probablement mis d’office à la retraite par l’Education Nationale (qui devait avoir ras-la-casquette d’un tel énergumène) et n’ayant pas ni de vie de famille ni de vie sociale.

Un tel super-troll atteint de diarrhée verbale est redoutable sur un blog. Il peut couler même un blog aussi solide que celui-ci. Moi il me donne de plus en plus envie de déguerpir pour ne pas devoir respirer chaque jour la puanteur de son esprit en décomposition avancée.

Pablo75 dit: à

@ bérénice

Tu parles de la haine de Blabla Widergänger pour Delaporte, j’imagine…

bérénice dit: à

De te vomir à la gue.ule toutes les tonnes de mots infectés

Quelle métaphore! je ne sais trop si on va s’en remettre, il ment, il fait une fixation sur le peuple juif, Israël, sa grand-mère était juive et il a perdu des membres de sa famille dans les camps. Nous connaissons ses prises de positions paradoxales, il nous faut passer cette ornière à moins de vouloir rester enlisés dans des réponses haineuses qui nous enfonceront un peu plus sans rien apporter de nouveau hormis des propos injurieux .

bérénice dit: à

Pablo, que Delaporte et lui règlent leur compte à moins que vous ne soyez vous même ce Delaporte,

Pablo75 dit: à

@ bérénice

Il faut qu’il comprenne qu’on ne peut pas calomnier, mentir, tricher, insulter, exhiber son hystérie, dire n’importe quoi à propos de tout, se contredire, hurler de con.neries, être provocateur, ordurier, cynique et mythomane sans conséquences.

C’est à lui de changer. Le problème est qu’il est fou et maso à la fois. Et qu’il joui en faisant ce qu’il fait et en recevant ce qu’il reçoit. Seul le propriétaire du blog pourrait le calmer. Et encore…

Pablo75 dit: à

@ bérénice

« que Delaporte et lui règlent leur compte à moins que vous ne soyez vous même ce Delaporte »

Moi ses méthodes de dénonciation me dégoûtent tellement et me rappellent des choses tellement horribles, que je ne peux pas la fermer devant elle.

Et je m’étonne que tant de bassesse ne fasse réagir violemment que Chaloux et moi.

Pablo75 dit: à

…devant elles.

bérénice dit: à

Pablo, la vie des idées et la vraie vie sont parfois assez éloignées, on peut rencontrer de braves gens qui n’ont aucune idée et d’excellents théoriciens qui se révéleront tristes sires gâté par un certain nombre des adjectifs utilisés pour ce portrait et à ce titre peu recommandables ou admirables. Vous noircissez le tableau, je ne pense pas que WGG soit un mythomane sur toute les lignes ni cynique, pessimiste certes, pour le contenu littéraire je ne suis pas en mesure de juger.

Pablo75 dit: à

@ bérénice

Tu es bien naïve… Et trop « bonne poire ».

bérénice dit: à

Je me souviens de son approche de la peinture de Rothko par exemple, sa lecture des monochromes a modifié ma perception et m’a aidée à comprendre cette démarche artistique, peut-être après tout était-ce un copié-collé, peu importe.

bérénice dit: à

Pablo, voyez Chaloux qui en a profité puisque c’est votre ami.

Pablo75 dit: à

@ bérénice

Tu es bien naïve, c’est ce que je disais…

Toi, il ne t’a pas encore traité d’antisémite?

Pablo75 dit: à

@ bérénice

Qui a profité de quoi? (j’ai rien compris à ta phrase).

bérénice dit: à

mentir, tricher, dire n’importe quoi, se contredire, être cynique,fou

je lui prête ce vocabulaire qui ne suffit cependant pas à le dessiner.

bérénice dit: à

Toi, il ne t’a pas encore traité d’antisémite?

de salope, je crois qui trahissait les siens puisque je revenais sur les prénoms d’une de mes aïeules dont je ne sais à peu rien de plus et sur les noms de mon fils , mais bon , la bave du crapaud…

Pablo75 dit: à

@ bérénice

Je n’ai pas compris tes deux derniers messages.

Et tu n’as pas répondu à ma question.

Pablo75 dit: à

Il t’a traité de salope et tu le défends?

C’est ce que je disais: tu es vraiment « bonne poire ».

bérénice dit: à

A 0h16 je vous donnais une réponse que m’envoya WGG.

bérénice dit: à

Pablo je ne me sens pas concernée par ce genre de choses et j’ai connu des épreuves plus éprouvantes qu’un simple mot jeté par fanatisme.

Pablo75 dit: à

Et la phrase sur Chaloux, elle veut dire quoi?

Pablo75 dit: à

@ bérénice

Tu es quel signe astrologique pour aimer les gens qui t’insultent?

bérénice dit: à

Rien , Pablo, cette histoire est une lamentable erreur d’aiguillage, n’en parlons pas.

bérénice dit: à

Vierge ascendant scorpion, mais vous savez qu’il nous faudrait tout décaler d’une case pour tomber juste, les calculs ont été effectués il y a si longtemps que les planètes ont bougé. Je serais donc si on suit cette modification Balance , j’ignore mon ascendant.

Pablo75 dit: à

@ bérénice

L’histoire des planètes qui ont bougé c’est des bêtises. L’astrologie fonctionne très bien depuis plus de 3.000 ans mais personne sait pourquoi.

COLLIER dit: à

« … Robert Malaval, artiste « glam rock » (…) auréolé du prestige d’avoir fréquenté les Rolling Stones période Exile on Main Street…

Pour quelqu’un si prompt à corriger les allégations fumeuses, c’est assez savoureux ! Quel manque de rigueur dans l’analyse et la définition de ce peintre essentiel !

A bon entendeur…

rose dit: à

Pablo 75

Parce que vous au hasard, vous n’êtes pas une ordure morale ?

Parce que vous par exemple vous êtes le parangon de l’honnêteté intellectuelle ?

Absence totale de conscience personnelle.

PS je ne développerai mais le ton le style les gimmicks de JJJ n’ont rien à voir avec les écrits se diagonal. A vérifier

rose dit: à

Non Widerganger ne mérite pas toute cette haine déversée sur lui.

Oui Pablo doit être aussi Delaporte.

Et ce blog est un ramassis d’injures.

Non dire je suis méchant n’atténue en rien le fait d’être méchant.

Horribles commentaires.

Mohawk dit: à

Messieurs les squatteurs de ce blog, vous seriez bien inspirés de vider vos querelles d’une façon un peu plus courageuse qu’en vous envoyant des noms d’oiseaux à la face. On vous donne la liberté de paroles et vous la dévoyez, en imposant vos egos, frustrations et autres mochetés.
Retrouvez-vous sur le pré, battez-vous à pongs nus, à coups de battes de baseball, qu’importe, mais comportez-vous en adultes responsables & non en petits cadors contents d’avoir déposé leur déjections sur le territoire de l’autre.

JC..... dit: à

La Primaire de la Gauche Flagada a désigné le futur président de la France, Nation des Lumières s’il en est, en la petite personne de Benoit Hamon, surnommé l’ablette de Solferino ….

Dans la galerie des grands présidents qui nous ont conduit là où nous sommes, Chirac, Sarkozy, Hollande…. Hamon ne dépareillera pas ! Tout à un euro pour un million de barjots !

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