Il est interdit d’expliquer le mystère
Si seulement les biographes acceptaient de se laisser plus souvent envelopper, envoûter, bercer qui sait, par Don’t explain (1946), ils partiraient d’un bon pied avant de se lancer à l’assaut d’une vie. Dans ses Mémoires, Billie Holiday raconte que la chanson, co-écrite avec le compositeur Arthur Herzog Jr, lui avait été inspirée par les infidélités de son mari ; un soir, alors qu’il tentait de justifier des traces de rouge à lèvres sur son col de chemise, elle lui avait simplement dit : « Prends un bain, mon vieux ; n’explique pas ».
J’y repensais en découvrant la préface inédite que l’américain John Nathan, traducteur de Yukio Mishima, a écrite pour la réédition de sa biographie de l’écrivain quarante ans après sa première parution (traduit de l’anglais par Tanguy Kenec’hdu, 340 pages, 23 euros, Gallimard). Une quinzaine de pages très éclairantes dans lesquelles il se penche sur son amitié avec le grand écrivain japonais qui s’était sfait seppuku en 1970, sur son œuvre avec le recul du temps, sur les raisons de leur séparation (Mishima ne pardonnait pas à Nathan d’avoir refusé de traduire son Soie et clairvoyance pour lui préférer Une affaire personnelle de Kenzaburo Ôé). Sans se livrer à un mea culpa, il prend les accents de la confession pour exprimer un regret, sinon un remords, vis-à-vis de la biographie qu’il lui a consacrée :
« Ce qui me dérange rétrospectivement, c’est en premier lieu d’avoir avancé une thèse (ndlr. : son suicide relevait davantage d’une fascination érotique pour la mort que du patriotisme). Ecrivant dans l’ombre de ce dernier acte inimaginable, avec sa force d’attraction centripète sur l’imagination, je me suis senti contraint de fournir une explication à quelque chose qui aurait peut-être dû demeurer un mystère »..
Ce sentiment érigé en principe a sans aucun doute guidé José Alvarez dans l’écriture de Helmut & June (410 pages, 23 euros, Grasset), sa biographie deux en un, sous-titrée fort à propos « Portraits croisés » car il s’agit bien de la vie et de l’œuvre d’un couple de photographes, d’autant plus fusionnel qu’ils exerçaient le même métier, travaillant ensemble ou séparément. Helmut Newton et June Newton dite Alice Springs ne faisaient qu’un, mais lequel ? En mourant à 84 ans en janvier 2004 à Los Angeles quasiment en pleine prise de vues, autant dire sur les planches, il laissa une séance inachevée ; sa femme la termina à sa place, comme il lui était parfois arrivé de le faire par le passé : on ne saurait mieux dire.
On s’en doute, ce livre qui n’a rien d’un beau-livre, ni d’un album illustré, encore moins d’un coffee table book, mais qui a tout d’une biographie écrite car vécue de l’intérieur, contient nombre de photographies (pour la plupart en format carré 6×6 prises au Rolleiflex ou à l’Hasselblad). « Roman photo », pris dans son acception la plus noble, eut tout aussi bien convenu en sous-titre. José Alvarez nous entraine dans l’intimité de la création, pas seulement dans les coulisses des studios de prises de vues, mais aussi du côté des directeurs artistiques de magazines. Nombre d’informations proviennent de conversations de table, de lettres personnelles ou de voyages effectués en commun. En cela déjà ce témoignage irremplaçable n’aurait pu être écrit par nul autre que lui. Lui ne connait pas seulement l’œuvre, ses thèmes, son contexte, ses obsessions, mais encore la voix bien timbrée de l’homme derrière l’appareil photo. Important, la voix. Elle raconte beaucoup à celui qui sait la capter. José Alvarez l’a écoutée de leur première rencontre en 1968 jusqu’aux derniers jours du couple.
Né Neustaedter en 1920 dans la grande bourgeoisie industrielle juive de Berlin, jeune homme hédoniste, champion de natation, grand séducteur, il quitte ses parents en fuyant l’Allemagne nazie en 1938. Lecteur de Zweig, de Schnitzler et plus tard de l’Adieu à Berlin de Christopher Isherwood, il va d’un lit l’autre, un peu gigolo sur les bords, et vagabonde dans des hôtels de luxe du côté de Singapour avant de s’engager comme soldat dans l’armée australienne (et acquérir une nouvelle nationalité), change de nom pour devenir Newton mais conserve son prénom typiquement allemand, épouse une actrice de Melbourne du nom de June Brunell et, après avoir erré en Europe, s’installe avec elle à Paris pour s’y consacrer à la seule chose qui l’intéresse : la photo, un art dont il maitrise déjà la technique. Non pas le reportage d’actualité pour les quotidiens mais la mode pour les magazines. Très vite, les plus grands, souvent mais pas toujours les plus créatifs, lui passent commande : Jardin des modes, Elle, Vogue, Queen, Nova…
Sa philosophie sociale gouvernée par un refus absolu de la morale, on la retrouve derrière ses mises en scène car toute prise de vues obéit à une intense et exigeante préparation : décor, lumière, accessoires et, bien sûr, vêtements. Sans oublier des invariants : écrans, portes, miroirs… Ce qui le fascine est aussi ce qui l’obsède : les femmes, le sexe, l’érotisme, la perversité, la transgression, les prostituées, la puissance du désir féminin, des êtres phalliques par la volonté de pouvoir et de domination qu’ils expriment, les hôtels sublimés en luxueux bordels… Et toujours sous un regard admiratif pour les femmes, assure June, la sienne, sa vraie moitié, son éditrice et sa commissaire d’exposition, l’œil et la mémoire de ses archives, celle sans qui il ne serait rien et réciproquement – malgré les relations passionnées qu’il entretint avec quelques autres, notamment l’actrice Hanna Schygulla, mais jamais avec ses mannequins : baiser ou photographier, il faut choisir. On ne prend mais celles qu’on a pris en photo. Portraitiste, il est intéressant de lire le compte-rendu de séance de pose de trois de ses « victimes » : Catherine Deneuve, Isabelle Huppert et… Jean-Marie Le Pen entouré de ses dobermans.
Ayant confié dans un entretien à Vanity fair qu’il aimerait bien tirer le portrait à « cette vieille nazie de Leni Riefenstahl », l’occasion se présenta un jour ; et lorsque la documentariste du IIIème Reich alors centenaire apparut enfin en haut de l’escalier de sa maison, elle l’apostropha : « Helmut, la vieille nazie est en train de se faire belle pour le petit juif ! ». De son propre aveu, s’il s’est fait le chroniqueur du monde du luxe, sans méconnaître la part d’obscénité de vêtements ou de sacs hors de prix, autrement plus réelle et crue que celle d’un mannequin écartant les cuisses pour offrir sa vulve à l’objectif, c’est parce que c’était le seul monde qu’il connaissait de l’intérieur. Un monde de riches dont il n’était pas pour autant mais qui lui donnait, par ses magazines et ses modes de consommation, les moyens de ses recherches, de ses expérimentations, de sa folie.
La femme selon Helmut Newton est invariablement dominatrice, surpuissante, désinhibée, maitresse de son désir – et dotée de jambes interminables juchées sur des hautes chaussures ou des bottes à talons aiguille. Elle doit suggérer une certaine disponibilité. Pornographie ou critique des mœurs ? Il s’en fiche et abandonne aux spécialistes le débat sur l’ambiguïté de sa sexualisation, l’incertitude, le doute, l’entre-deux des genres, pour retourner à ses chères prises de vue, étranges et fantastiques, ne leur refusant pas de temps en temps une ambiance sado-maso, jusqu’à conserver en permanence dans la malle de sa voiture des menottes et des chaines « au cas où » une photo l’exigerait. Parfois, poussée à son paroxysme dans le souvenir et l’influence du Metropolis de Fritz Lang, la femme selon Newton est entravée par des prothèses, futuriste et augmentée, avec un regard vide de robot, quand sa pose n’est figée par le port d’une minerve ou un corset orthopédique hérités, ceux-là, du Eric Von Stroheim de la Grande illusion, un acteur qui marqua Newton tant sa ressemblance avec son père était frappante.
Au début, les directeurs artistiques manquaient s’étouffer en découvrant ses images jugées trop osées sinon pornographiques. Mais il a tenu bon, a imposé son style provocateur et tracé son sillon si léché jusqu’à en faire sa signature. « Mon image de marque ! » dira-t-il sans penser qu’un jour les plus grands musées exposeraient son oeuvre et qu’une Fondation à elle consacrée, dont le projet suscita l’indifférence en France, fut accueillie avec enthousiasme à Berlin sur le terrain de la gare du Zoologischer Garten, dernière image qu’il conserva de sa ville lorsqu’il fut contraint à l’exil. De même qu’un portrait de Richard Avedon ou de Cecil Beaton, une scène de rue de Cartier-Bresson ou de Robert Frank, une image de Helmut Newton se reconnait au premier coup d’œil. Pas seulement par l’exhibition en noir et blanc qu’elle offre au premier coup d’œil mais par sa dureté, sa tension. Pas de nostalgie ni de mélancolie malgré le poids oppressant du Berlin du monde d’avant sur l’inconscient de Helmut Newton.
Au fond, tout est une question de distance critique même si le héros est un ami. José Alvarez y parvient avec brio dans cette biographie unique en son genre car, sans jamais cesser d’interroger son vécu et d’explorer son œuvre au plus profond de leur vérité, il s’est bien gardé de démontrer pourquoi ce photographe qui aura passé sa vie à représenter la femme avait choisi de le faire ainsi, ni d’expliquer le mystère Newton, ce que ce dernier disait très bien lui-même :
« La photographie représente un instant unique, toute sa beauté réside dans son mystère… Comment expliquer mes photographies ? Je les rêve tout y projetant beaucoup de moi-même, et cela ne s’explique pas ».
(Photos Helmut Newton et « Helmut Newton » photo Alice Springs)
652 Réponses pour Il est interdit d’expliquer le mystère
j’ai aussi porter des talons aiguilles -à cause de la taille de mon ex mari très grand-mais je n’ai jamais rien connu de ces histoires de « remplacement » c’était plus tard et je crois inconfortable pour le dos ;
C’était marrant l’époque où D s’appelait aussi Deneb ou Dimitri!
j’ai dû porter;
mon ex mari continua de grandir et je refaisais les ourlets des pantalons;ce n’était pas sexy du tout!
Je me souviens de ce bel article, Passou, et de ses illustrations où le cul jeune et frétillant des jeunes garçons sur le banc se transformera en faces ridées de futurs vieillards. Saudade, saudade ! C’est bien de le remettre ici, à l’heure de la mort de Lourenço.
Je ne nie pas l’apport de la culture allemande, Paul. Quant à de prochains goûts de…, je crois qu’il est tant pour moi de tourner la page.
Closer, je n’ai pas dit que je ne reviendrai plus, seulement que j’avais besoin de prendre un peu de distance…
Qu’est-ce que tu fais ici. Jazzi ?!
Je te rappelle que tu es parti.
Je m’appelle toujours Dimitri de Nèbes d’Arlatan. Non je n’ai pas changié.
« Je te rappelle que tu es parti. »
Merci, D. Je repars tout de suite mais je ne me souviens plus où. Tu pourrais me le dire ?
renato, ne soyez pas modeste, je vous cite :
« Hamlet, connaissez-vous le trouble psychique sérotoninergique ? si non, et quitte à passer pour un idiot, je vous conseille d’y jeter un œil — j’ai plus haut mis en ligne une liste de gens qui ont souffert de ce truble (Samuel Johnson, Luther, Howard Hughes, Tesla, Kierkegaard, Darwin, Rossini ; ajoutez Leonardo DiCaprio).
Pour une meilleure connaissance de ce trouble voir Autobiografia di un baro du latiniste Luca Canali, qui en suffirait et l’a bien décrit. »
hamlet, il y a une differences entre avoir eu accès à une information et être spécialiste !
DHH,
Erlbenis, n’est-ce pas l’expérience vécue, le vécu, un peu comme l’anglais « experience »?
Un autre ‘intraduisible’ fameux est l’adjectif « unheimlich » et son substantif « Das Unheimliche », étrange et inquiétant/l’inquiétante étrangeté, premier titre français de l’essai de papa Sigmund. Il
fait partie de ces mots allemands qui sont passés dans le domaine public international,type Zeitgeist, Schadenfreunde, Weltanschauung cité plus bas…
« ce truble »
C’est un intraduisible mot d’ allemand ou d’ anglais, Puck?
Un vélo :
https://pbs.twimg.com/media/Enx-PXOXMAMgNE3?format=jpg&name=medium
Rentre chez toi sur le boulevard porte Dorée, Jazzi. Tes 3 heures sont terminées.
Dimitri de Nèbes d’Arlatan, Baron d’Anone. Pour vous servir. J’habite une yourte dans le Cantal et j’ai un pied à terre de 270 m2 dans la Tour Totem à Paris. Je prend des bains de soleil nu sur mon balcon.
Ma yourte a été fabriquée en Bulgarie. Bonne qualité, j’en suis très content.
encore un mot qui ne se traduit pas:.schibboleth.fr (…)
bonsoir
@bloom
pour Schadenfreude (pas freunde ) il y a en arabe maghrébin un equivalent :CHAI
une sorte d’exclamation valant ;Ah comme ta déconvenue me fait plaisir ou en cas d’evenement heureux: Ah c’est bien fait pour tous ceux qui te jalousent.
Mais l’arrière plan n’est jamais cruel ; ce dont on se rejouit c’est l’échec de l’autre ,c’est la suffisance remouchée ,jamais la maladie ou la mort
En français je ne vois pas; peut-etre bisque bisque rage
renato dit: à
hamlet, il y a une differences entre avoir eu accès à une information et être spécialiste !
»
pas pour moi ! dès que j’ai accès à une information ça fait de moi un spécialiste international qu’on peut inviter dans les congrès, même parfois que le titre de l’article suffit…
je pensais que c’était le cas de tout le monde sur ce blog, du coup je vais faire comme Jazman : prendre un peu de recul…
Brinqueballe dit: à
« ce truble »
C’est un intraduisible mot d’ allemand ou d’ anglais, Puck?
»
exact !
toutefois on peut trouver d’autres équivalents de ‘truble’, comme le gallois ‘hiraeth’/pron. hiraïff/, le roumain ‘dor’, le slovaque ‘clivota’ ou ‘cnenie’, l’amharique ‘tezeta’ et le tamacheq ‘assouf’.
D. dit: à
Ma yourte a été fabriquée en Bulgarie. Bonne qualité, j’en suis très content.
»
merci pour l’info, connaissais pas les yourtes bulgares.
si je puis me permettre, vos yourtes vous les préférez au lait de vache ou brebis ? nature ou aux fruits ?
Vous vous moquez de moi, keupu ?
Dites-moi, DHH, vous ne savez pas quoi raconter pour vous rendre intéressante.
Il faut que vous fassiez davantage attention à la ponctuation parce que c’est bien joli de connaître l’arabe maghrébin mais ça ne dispense pas de mettre les virgules et points virgule correctement. Voilà ce que j’en dis.
Eh ben oui.
Il y a même pas de points, de majuscules. Faut pas pousser quand même.
C’est bien joli d’avoir atteint l’apogée de la connoissance universitaire mais ça ne dispense de rien.
Bon.
c comme du poulet aux zamiandes, dis.
aujourd’hui, je me suis acheté une voiture électrique, une ZOE de chez Renault, c’est pour la transition écologique, l’Etat te donne 7000 euros. Pour faire de courts allers-retours au Leclerc, à 9 km. Ici, on peut pas faire autrement. Avec elle tu peux emmener des gilets jaunes pour qu’ils sachent que ces voitures peu polluantes existent, elles peuvent les amener en silence à la banque alimentaire pour leur ravitaillement hebdomadaire, laquelle est juste dans la même zone que le Leclerc ça tombe bien.
On comprend mieux ainsi le vécu de la France périphérique de l’avenir, sa problématique économique, sanitaire et sociale, quoi.
Tout ce qu’on ne voit jamais de la porte Dorée, quand on a la chance de faire partie partie des inclus désireux de prendre un brin de recul, bien au dessus du seuil de pauvreté.
She looks for love
Where the sun never shines
She’s crying
« I’m so strange »
« I’m so strange »
Then she says
giscard est mort
Giscard s’était bonifié en prenant de l’âge.
Mais dans les 70′ quelle suffisance…
Il avait un bon sens de l’humour.
@giscard est mort
Un écrivain reconnu. Le Maire de mon bled en prenne de la graine.
Pour moi Giscard n’a jamais fait que des erreurs, sauf le musée d’Orsay. Le droit de vote à 18 ans : une catastrophe ; puis une autre catastrophe bien connue sur laquelle je ne m’étendrai pas. Et la catastrophe européenne où Tonton lui emboîta joyeusement le pas. Les safaris et les diamants ne sont qu’un détail. Mais que cet homme philosophe et drôle repose en paix.
Etonnement je n’ai jamais eu l’occasion de le croiser contrairement à Mitterrand et Chirac que j’ai rencontrés plusieurs fois.
L’adversité triangulaire Mitterrand – Giscard – Chirac est remarquable.
@je pars
Pardon, Helmut N, JJJ !
Je connais bien mon Offenbach, et n’ai pas l’impression que Christiane ait grand chose à voir avec la Grande Duchesse de Gerolstein.
Brrr… ces plantes carnivores des contes d’antan font toujours bondir le chaland de passage ; au revoir VGE ; la Turquie désintégrée salue ses intégristes
Année LvB, Sonate pour piano n 32, Op. 111, #6 Backhaus :
3.12 — 6.13
Les talons aiguille, ou stiletto, sont des rédutables armes par destination — deux homicides documentés récemment —. Évidemment, une bêche est plus efficace, mais ce n’est pas l’outil qu’on a sous la main habituellement.
Jeudi 3 décembre 2020, 7h05, 7°
Le sentiment d’insécurité augmentant tous les jours, je ne sors plus de ma piaule sans une bêche bien aiguisée à la main revêtu d’une armure légère Lagerfeld seyante et bien coupée.
Dans le supermarché du coin, lorsque m’y rend, on me surnomme d’ailleurs « Le Bêcheur »…
les petits des crocos sont-ils des crocodrillons?
(J.Ext, mesquineries du jour, 3.12.20_9.20)
Pour ma part, je n’ai jamais imaginé Giscard se balader en talons aiguilles avec Helmut (Schmidt). Avant d’apprendre la nouvelle ce matin à 8 heures, je récapitulais mentalement à l’éveil sur mon futon, le nom des présidents américains, dirigeants russes, premiers ministres anglais et chanceliers allemands ayant sévi depuis la 2e guerre mondiale. En pensant à JF Kennedy, je revoyais le quai parisien de l’ORTF et me souvenais que Giscard s’était un brin identifié. Je me suis dit après coup qu’il s’agissait là d’un incroyable pressentiment, comme il m’en arrive de plus en plus souvent… Et une fois l’oreille branchée sur Fr i, me suis mis à repenser aux raisons qui m’amenèrent toujours à détester ce personnage, à n’en avoir gardé que l’image de sa suffisance aristocratique et condescendante à l’égard du peuple populaire… Je pense n’avoir jamais admis qu’il n’ait pas gracié ce pauvre innocent Ranucci, et ne sont dès lors restées accrochées que les turpitudes et saloperies de Giscard, à la fin de son règne. La seule chose ‘balotte’ qui me faisait sourire et me revient, c’était d’une part, son amour pour les ‘contes de la Bécasse’, les cuisses d’Alice Saunié-Seité reluquées durant un conseil des ministres, et cette formule du majordome de Chanonat : « la société française de monsieur est avancée »… Quant aux prétendus choix modernisateurs des reniflages de ce dirigeant français, ils furent en réalité tous des choix catastrophiques… Et puis, nous avons dû entretenir durant des décennies la sinécure de cet homme absent du conseil constitutionnel durant des plombes !… Comme s’il avait eu besoin de ça !… Bref, fermons maintenant cette malheureuse parenthèse. Dieu merci, advinrent Chirac et Mitterrand pour effacer durant 14 ans, les traces délétères de « l’homme du passif ».
Il est temps d’en revenir à nos Moucrons ! Bàv, l’Herdélie. Je souhaite le meilleur à chacun.e de ses apôtres ou âmes damnées.
A propos de crocodiles et de crocodillons
Un chapitre de V de Py nchon est la relation d’une histoire présentée comme vraie, dans laquelle la ville de New York se serait trouvée empêtrée
Un journal pour enfant s offrait avec un de ses numéros , a la manière du Pif gadget , un minuscule crocodile , ou plus vraisemblablement l’œuf d’où devait sortir un crocodillon (puique c’est le mot juste) de quelques centimetres
Tres vite, qand ces animaux se sont mis à grossir et les enfants à s’en désintéresser, les meres, impatientes de s’en débarrasser, les ont balancé dans les toilettes , et ils se sont tous retrouvés dans les égouts outs , ;oùi ils on continué leur croissance
Ce qui a paniqué la municipalité, obligée de recruter en urgence des bataillons d’éboueurs pour récupérer et éliminer cette faune de plus en plus envahissante qui embouteillait le réseau des égouts et mettait à mal son fonctionnement
Cette histoire n’est peut etre pas vraie ;Ce serait dommage qu’elle soit seulement inventée . ,En tout cas dans ce roman elle était délicieusement bien racontée
…jeudi 3 décembre 2020 à 9 h 58 min.
…
…V.G.E. ?!,…mort,!…pas si sur que çà,!…
…
…pourquoi ?,…simplement, parce que en comptable qu’il était, il pratiquait,( pour moi ),!…le double jeux comptable avec le peuple français,!…
…
…d’un côté, un certain nationalisme décadent lié de suivre l’héritage à De Gaule,…
…
…ensuite de prendre les français pour des allemands convertibles, en putes monnayables à merci,!…
…
…fragiliser le vote » sérieux « , par celui, déjà à 18 ans,…volatil, pour enterrer » mai 68 « ,!…
…alors,!…avorter légal, pour en donner du commerce de charme, pour ne pas responsabiliser les mariages, et mettre les esprits aux commerces » libres putes » en somme « ,!…
…en somme » moderniser « , la comptabilité des jugements du peuple, par des facilités fascistes mieux que Hitler et Mussolini » réunis,!…
…
…l’argent, et » sa comptabilité « , sans âmes.
…honorer, un faux – jetons pareil,!…
…nenni, à tout points de vues,!…
…une ordure qui s’ignore,!…
…par son éducation et ses lois, de s’être plier à des dogmes de stratifications dépasser,!…le crime organisé, pour faire taire,!…les français honnêtes, au dessus de tout soupçons,!…
…sous V.G.E., les français, comme des putes ou des porcs, à laisser dans la porcherie » la France « ,!…
…à contaminer l’Europe, par son apport au IV ° Reich, après De Gaulle,!…
…Giscard,!…un nazi qu’y s’ignore,!…
…à égorger du » français » européen,!…
…
…comptable, plus qu’idiot, en fin de compte!
…
…au suivant, etc, Big ! Big !…
…républicains démocrates,!…le même chapeau,!…des ordures au pouvoirs,!…
…comptez vos sous,!…
…des français, comme des cons » protégés « .
…en plus Académicien,!…un aveugle en plus,!…Go,!…
…
Oui DHH, cette histoire est une belle « légende urbaine » qui a la peau dure comme un sac en caïman… (cf. Campion-Vincent et Renard).
Je ne comprends pas pourquoi elle a tant marqué les esprits français, telle la rumeur d’Orléans sur la traite des blanches dans les arrière-boutiques, une histoire sans doute plus dramatique encore. Les ancêtres de nos insatiables besoins de « fake news », peut-être ?…
RENATO? VOUS AVEZ RAISON;j’au eu prof de maths en 3ème,àPARIS?QUI RACONTAIT fièrement,dans notre établissement mixte, qu’elle piétinait dans le métro les pirds des hommes qui s’approchaient tropd’elle ;
elle était aussi antisémite,(tous les juifs et juives au dernier rang et interdiction de composer;elle ne corrigeait pas leurs copies;
j’ai su qu’elle venait d ‘Algérie;
elle n’entendait rien aux dites « maths modernes » qu’elle ne pouvait enseigner;j’ai su qu’à la suite de plaintes, elle avait été renvoyée ;
les pieds
frichti:
« Sur les bords du Mississipi
Un alligator se tapit.
Il vit passer un négrillon
Et lui dit : « Bonjour, mon garçon. »
Mais le nègre lui dit : « Bonsoir,
La nuit tombe, il va faire noir,
Je suis petit et j’aurais tort
De parler à l’alligator. »
Sur les bords du Mississipi
L’alligator a du dépit,
Car il voulait au réveillon
Manger le tendre négrillon »
desnos
Bien que M. Hassan vende également des objets d’artisanat nubien, les touristes qui lui rendent visite n’ont d’yeux que pour Francesca, qui doit son nom à des visiteurs italiens. Qu’ils soient Egyptiens ou étrangers, les curieux ne cessent d’affluer pour observer de près les bêtes apprivoisées et se photographier à leurs côtés. Et si les plus âgés de ces prédateurs peuvent dépasser les sept mètres de long, M. Hassan se veut rassurant. « Ils grandissent à nos côtés. Nous les nourrissons et prenons soin d’eux. Naturellement, avec le temps, ils perdent leur férocité. »
« Je suis venu passer les vacances scolaires ici pour que les enfants puissent voir de vrais crocodiles », affirme Hani, un père de famille égyptien âgé de 35 ans.
Pour se procurer ces animaux emblématiques, les éleveurs suivent les femelles au sud du barrage d’Assouan et procèdent à la collecte de leurs oeufs, raconte M. Hassan, qui a appris le métier avec son père, il y a plus de 20 ans. A l’époque, ce dernier était l’un des premiers du village à se lancer dans l’élevage de crocodiles à des fins touristiques, affirme son fils.
https://www.rtbf.be/info/insolites/detail_egypte-chez-les-nubiens-d-assouan-les-crocodiles-du-nil-sont-cajoles-comme-des-animaux-de-compagnie?id=10448366
par la tête de Sobek
https://pixabay.com/fr/photos/egypte-kom-ombo-temple-gravure-3329722/
le croco a un ami dentiste!
Le pluvier, grand ami du crocodile
Le pluvier est parfois surnommé « le dentiste de la jungle ». Et pour cause. Ce petit oiseau en effet n’a peur de rien et pour se nourrir, il n’hésite pas à se jeter — comme on le figure ce montage photo -, non pas dans la gueule du loup, mais dans celle du crocodile.
Car les crocodiles, après un copieux repas, ont pour habitude de se reposer sur la rive en ouvrant leur gueule. Un signe pour l’oiseau qu’il peut librement venir y picorer les restes de nourriture coincés entre les dents du reptile. Il lui évite ainsi d’éventuelles infections dues à de la viande qui pourrait y faisander. Et lorsqu’il sent un danger, l’oiseau s’envole en piaillant. Il alerte alors le crocodile qui se réfugie dans l’eau.
Oui, enfin vu ce qui a suivi à partir de 1981,et les Messieurs Déficits de Gauche, il n’a pas si mal géré le pays, s’il l’a parfois maladroitement gouverné.
Pour le reste, ces oraisons funèbres tous azimuts de gens comme Lang , Hollande, Tibéri etc font irrésistiblement penser à ces vers de Corneille:
« O surprise! o douleur! O qu’il est doux de plaindre
Le sort d’un ennemi, lorsqu’il n’est plus à craindre! »
Il me semble que c’est dans la Mort de Pompée, si prisée de l’autre Valéry, Paul !
Rien n’est pire, ni plus ignoble, ni plus détestable, ni plus mensonger, ni plus infect, ni plus humain, que l’éloge des cons redoutés…par bonheur refroidis d’une façon ou d’une autre !
Repose en paix, oublié, vieux cadavre sans importance ! Et prend la file d’attente, oui, là …. derrière Maradona !
Parlons crocodiles…Petit Rappel.Pendant quelques jours, on va voir justement des crocodiles en pleurs défiler sur toutes les chaines TV..à propos de la mort de Giscard..
Le rapprochement fait avec Maradona n’est pas gratuit !
Il est temps après les morts tragiques de Diego et Valéry d’interdire la consommation de TOUTES les drogues ! La coke et autres saletés certes, mais surtout la politique qui tue des millions d’hommes
Panthéon ? Invalides ?
Déchetterie !
l’accordéoniste:
https://www.youtube.com/watch?v=hCKST9j8Xco
@ il n’a pas si mal géré le pays, s’il l’a parfois maladroitement gouverné.
Je me doutais bien que mon titillement allait provoquer semblable réaction… Et je ne vais bien évidemment pas m’y engager… En effet, MC et PE, nous allons assister à de beaux spectacles des pleureuses sous les saules.
Connaissez-vous ce merveilleux petit roman insolite de l’africain Zakes Mda ?… Je vous le recommande, à tout hasard :
https://halldulivre.com/livre/9782906067493-le-pleureur-zakes-mda/
@ Corneille :
« O surprise! o douleur! O qu’il est doux de plaindre
Le sort d’un ennemi, lorsqu’il n’est plus à craindre! »
Vous souvenez-vous, MC, de cette désopilante tragédie à l’Elysée écrite par F. Bon et alii, où l’on entendait Giscard faire semblant d’être étonné d’avoir été préféré à Chaban et Chirac par les comploteurs de la coulisse…
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k33212018.texteImage
(de mémoire)
D’où me vient qu’on me cherche jusqu’en ma bergerie ? (…)
Quand on se veut social, il faut bien, n’est-ce pas,
Offrir aux indigents de modestes repas ?
(…)
@et alii
Vous etiez sans doute dans un établissement privé, ,catholique intégriste vraisemblablement, car
ce qui vous est arrivé serait impensable dans un lycée de la république
DHH, non, c’était très exactement à l’annexe de J.FERRY, rue dela JONQUIERE, aujourd’hui Mallarmé,je crois;
impensable, mais vrai
. En 1958, une deuxième annexe est ouverte rue de la Jonquière (17e) ; elle devient indépendante en 1964 sous le nom de lycée Stéphane Mallarmé, ultérieurement transformé en collège.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lyc%C3%A9e_Jules-Ferry_(Paris)
POUR LES DATES, il y avait déjà quelques garçons ,peu nombreux, (5ou 6)nous étions la classe la plus élevée) et il n’y avait pas de primaires)
Oui, ce doit etre les Voraces!
On peut recommander aussi « La Guerre de l’Elysée n’aura pas lieu », signée de Christophe Barbier, sur la cohabitation Chirac-Jospin. En alexandrins, bien sur.
Paul Edel c’est vrai: Le Crocodile sied à Giscard, comme le deuil à Electre… (O Faune!)
Bien à vous.
MC
je me souviens qu’il y avait une aumonerie dans la rue, à 2ou 3 portes de l’entrée ordinaire quotidienne;
Et alii
consternant!j’ai nu des ivrognes notoires qur l’En conservait à leur post ,mais des antisemites déclarés cela m semblait impossible
il est vrai qu le conseil d’Etat a gardé dans ses murspendant des annéees jusqu’à sa retraite un personnage qui avait eté conseiller juridique de l’occupant, qui plus tard fut un suppôt de l’OAS et qui s’affichait sous ce jour celinien au vu et au su de toute l’administration française
ivrognes, suppositoires, céliniens
le tiercé gagnant à dhh, dirait guy lux
Merci d’avoir pointé le lapsus sur Schadenfreude, DHH. Remontée à la surface d’une veille histoire d’amitié allemande brisée du jour au lendemain, exact inverse de l’ami retrouvé?
Freude! Freude!
@ Bl., Fred Uhlman, l’ami retrouvé ? Il ne fait plus beau à Paris, aujourd’hui… brrr !
Si chaque Français de contentait à faire le petit effort de ne pas se réunir pour Noël ou la nouvelle année, on éviterait la troisième vague de mars.
Noël ce n’est pas le foie gras et la bûche, c’est la contemplation du mystère de la naissance du Messie, le Christ rédempteur tant espéré.
JE NE SUIS PAS PARTANTE POUR LA VACCINATION :que ferez-vous ?
contentait
putain de correcteur d’orthographe de mes deux.
On ne vous demande pas si vous êtes partante, et alii, vous êtes vieille et vous devez être vaccinée. Point barre. Vaccinée et revaccinée six mois plus tard.
consentait.
Merde alors.
Moi qui commence à être un peu vieux aussi, je me ferai vacciner dès que possible.
Une image de Newton plutôt banale : Panoramic nude, Villa d’Este, 1989 :
https://pbs.twimg.com/media/EoVXfOlXUAARZgC?format=jpg&name=medium
D’ailleurs laisser le choix est une lâcheté de plus de nos gouvernants. Ils vont s’en mordre les doigts une fois de plus de cette inconséquence. Cela se terminera encore devant des commissions d’enquêtes.
Très bien cette photo, renato.
MERCI D;
je suis peut-être vieille, mais vous n’êtes pas médecin ,ni président de la République ;
. Les trois impératifs du gouvernement sur cette stratégie vaccinale sont les suivants : « sécurité, transparence et proximité ».
Les recommandations pour Noël : pas plus de 6 adultes à table, sans compter les enfants
Le vaccin sera gratuit pour tous
Le vaccin ne sera pas obligatoire
Les trois phases de la campagne vaccinale
Pavane … une danse et une uchronie. Peut-être lirais je un jour Le retour de la grande armée
et alii dit: à
JE NE SUIS PAS PARTANTE POUR LA VACCINATION
Restez en EHPAD alors et qu’on en parle plus!
Je suis centriste, européen libéral social et je vous emmerde!
origines du seppuku:
Cependant, tel qu’il fut initié et codifié au XIIe siècle, le seppuku venait de Chine et était le fait des femmes. Le mot est, d’ailleurs, originairement chinois et désignait ce sacrifice que les femmes, accusées à tort d’adultère, exécutaient pour prouver leur bonne foi et laver leur honneur d’épouse et de mère.
https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2011-2-page-113.htm
bonne nuit
@l’esprit guerrier des samouraïs, synthétisé dans leur code bien connu, le Bushid
Du Bushid au bullshit, ces choses-là se commandent-elles toujours ?
« Pas de quoi serrer les fesses de mon point de vue »
Une supposition..
@Une supposition..
le johnny burnette trio ?
Au passage, Gary ; pourquoi pas ? Ouvert au hasard La promesse de l’aube, page 240 chez Folio : « Je m’étais tourné vers Dieu à plusieurs reprises, dans mon adolescence, et je m’étais même converti pour de bon, bien que provisoirement, lorsque ma mère avait fait sa première crise d’hypoglycémie et que j’avais assisté, impuissant, à son coma insulinique. (…) »
c’est d’une modernité renversante
D,
Nicolas c’est un prénom d’une banalité des plus banals, un de ceux les plus courant, bien de chez nous, pour les fds dans mon genre, porté par d’illustres personnages et des gros connards, cela dépend du côté duquel on se place. Mais c’est mon prénom, je l’aime bien, il faut commencer par là, et je t’emmerde.
D c’est du pseudo-concept, du mystique qui ne te fait exister qu’à moitié.
Ils étaient moyens mes escargots, ni bon ni mauvais. Comment étaient les tiens ?
Amalia rodriguez, simplicime, pour honorer la mémoire d’Eduardo Lourenço
https://www.youtube.com/watch?v=89JbzIhIwlE
Je l’avais découvert à la TV,il y a au moins
ans, il était accompagné d’Annie de Faria. un vrai choc, j’avais commencé par « miroir imaginaire ».
( la minuscule et magnifique librairie portugaise, en haut de la rue Tournefort, partie maintenant rues plus loin)
Merci à Jazzi pour son post et le rappel du remarquable billet de P.A. (2015)
Eduardo Lourenço est décédé le 1° déc.
Vendredi 4 décembre 2020, 5h26, 11°
Deuil National le 9 de ce mois en hommage au joyeux défunté présidentiel récent.
On ne rit pas par respect pour ses proches, mais la farce des rituels inutiles républicains ne peut être niée. Bouffonnerie sans nom. La Nation n’a que faire de Giscard dit d’Estaing, ce sera un jour comme un autre, sans véritable deuil national.
Vaccin obligatoire ?
Les Miliciens Sanitaires, tout de noir vêtus, encagoulés, seringue en main, se saisissent des fuyards réfractaires, et les vaccinent de force.
Bientôt sous Netflic !
Visible dans tous les camps de concentration … uhuhu !
Année LvB, Bagatelles, Op. 119, #1 Serkin
4.12 — 6.56
Et bien plus que 25 mn pour lire Jacques Drillon.
SPencer Stone un héros.
Autant violer les petites filles puisque 15 ans pour quatre.
Je ne me ferai pas vacciner et ne serai pas en deuil le 9 décembre. Deux pensions en moins à payer.
Et les filles qui dansent en quartette, sont où ?
Les jambes,les jambes !
Belle annonce -juste- pour l’émission consacré à Gary et Émile Ajar demain soir.
Il était athé comme un phoque et normal comme toi et moi.
Un génie simplissimus.
Dommage qu’il ait choisi de tirer sa rêvérence.
M. Drillon prétend que la « dinde », la « sotte » a tweeté (à propos du terme lynchage):
« La banalisation du terme “lynchage” et son usage par les personnes blanches pour décrire du harcèlement en ligne ou des agressions IRL [sigle pour «in real life»] conduit non seulement à effacer l’expérience et les souffrances des personnes Noir.e.s, mais aussi à inverser la réalité. »
Chacun pourra vérifier qu’elle n’a pas écrit « personnes Noir.e.s » mais « personnes noires ».
Preuve ci-dessous
Amandine Gay
@OrpheoNegra
·
29 nov.
1) Voilà pourquoi la banalisation du terme « lynchage » et son usage par les personnes blanches pour décrire du harcèlement en ligne ou des agressions IRL conduit non seulement à effacer l’expérience et les souffrances des personnes noires, mais aussi à inverser la réalité.
Lynchage peut s’appliquer à toute personne, morbleu !
Qu’elle soit blanche, jaune, noire, grise, ou bourrée à l’or fin. Que sont ces simagrées indigénistes indigestes, sinon le comble de la bêtise nouveau genre en vigueur chez les élites de caniveau ?!
« Lynch law », loi de Lynch, 1782, du nom du capitaine William Lynch (1742 – 1820 ) de Virginie, qui eut l’initiative de cette pratique . (Alain Rey)
Te fatigue pas, Félix : l’Amandine ne VEUT pas savoir….elle a la blanchitude en travers de la gorge, la gamine sombre !
M. Drillon a revu sa copie.
DHH, il n’était pas écrit sur le front de l’enseignante de et alii « antisémite enragée » quand elle est arrivée dans son collège. Elle a tout de même été virée assez rapidement (pour l’EN) si j’ai bien compris…Vous savez bien qu’il faut des montagnes de preuves pour renvoyer un enseignant dans l’univers corporatiste de l’Education Nationale. Les pédophiles avérés le sont certainement mais, vous le dites vous-même, des ivrognes invétérés s’accrochent! Et aujourd’hui avec l’arrivée de l’islamisme souvent plus que teinté d’antisémitisme…
30 PERSONNES OU 30 % ?
Tout le monde avait compris que le gouvernement exigeait 30 personnes au plus par église.
Finalement, il y aurait eu une erreur de transmission entre le Président et le Premier ministre. Le chef de l’Etat aurait dit « 30 % » (autrement dit une chaise sur trois) et Matignon aurait compris «30 personnes» !
30 personnes, tout le monde en convient, même les non-chrétiens, était une étrangeté: le même chiffre pour la cathédrale de Rouen ou de Reims et la chapelle de Trifouillis-les-oies !
ERREUR DE TRANSMISSION
C’est comme ça qu’une guerre nucléaire peut démarrer :
– Castex ! Passez moi la commande TV, s’il vous plait ?
– Voila votre commande TV, Mr le Président
– Castex ! J’appuie sur quel bouton ?
– Le gros bouton rouge, Mr le Président…
Le Président appuie vigoureusement sur le bouton.
Et le missile nucléaire quitte son silo coquet pour une destination turque, programmée par le patron du Nucléaire dissuasif lui-même, tout heureux de voir que tout marche comme sur des roulettes.
@ SV, J’apprécie l’idée que le bardo soit le lieu de tous les possibles d’une future vie pleinement réussie… Cela nous change de l’effrayante vision post apocalyptique qu’en avait donnée Antoine Volodine dans son ‘Bardo or not bardo’…
—-
(je C-C votre citation) : « Tant que le nombre de vies pleinement vécues ne sera pas supérieur au nombre des vies gâchées, nous resterons coincés dans une sorte de préhistoire, indigne du grand esprit de l’humanité. L’histoire en tant qu’histoire digne d’être racontée ne commencera que quand le nombre des vies pleinement vécues surpassera celui des vies gâchées. Il est à craindre que bien des générations ne passent avant que l’histoire ne commence. Toutes les inégalités devront prendre fin ; toutes les richesses excédentaires devront être distribuées équitablement. En attendant, nous ne sommes que des espèces de singes balbutiants, et l’humanité telle que nous aimons généralement l’envisager, n’existe pas encore. Pour dire les choses en termes religieux, nous sommes encore dans le bardo attendant de naître. »
Merci pour les réflexions que vous inspirent désormais les uchronies, une bifurcation des des allées convenues de la SF ‘classique’. Du coup, vos chroniques me passionnent de + en +.
Vous avez récemment mentionné Zamiatine que j’avais lu jadis sous le titre : « Nous autres »… Il est reparu sous le titre : « Nous »…
J’espère que vous le chroniquerez un jour. Bàv,
Personnellement, j’ignorais l’existence d’un site « de rencontres » (???) nommé « okcupid ». Mais grâce à Jacques Drillon, qui semble donc connaître bien le coin, me voici renseignée, wouarf.
Jacques Drillon, ce martyr de la bienpensance, s’affairant devant son écran pour tenter de « rencontrer » les abonnées d' »okcupid ». Voici un vendredi matin qui s’annonce ma foi bien, si l’on a le gosier qui penche vers la rigolade…
Dites, notre hôte, vous allez le laisser passer celui-là, où bien votre large manteau va-t-il encore venir couvrir, à l’aide des ciseaux de la censure, mes inconvenantes (je veux bien) mais néanmoins correctes (j’y tiens) railleries ?
Est-ce qu’une journée de deuil national s’apparente à un jour férié payée par le patronat ? … Car, dans ces conditions, voilà bien la seule chose sympathique que Végé Euh aurait pu nous offrir de son passage en ce bas-monde.
(humour noir).
Et dire que j’avais 18 ans quand Valéry est arrivé au pouvoir…
(c’est à peu près la seule chose qui me vient à l’esprit concernant sa mort. On peut donc dire que ce type laisse un grand vide derrière lui, wouarf.)
@ Quelle allure cette Rita Gombrowicz !…
Noms d’oiselles : « la sotte, la dinde et la bécasse ». Connaissions point cette nouvelle fable de Jean de Lassant Drillon.
Clopine, ce sont souvent les commentaires de notre entourage qui nous frappent;surtout à 18ans
La photographie et le papier de M. Drillon de ce jour sont d’inspiration giscardienne, évidemment moins vulgaire que les clichés de M. Newton qui n’a pas compris les vertus du collet monté.
Enfin J.J-J, humour noir ?!
Droit de vote à 18 ans ; libéralisation de l’avortement — défendue par SV sur sa proposition — ; possibilité, pour 60 députés et sénateurs, de faire appel au Conseil constitutionnel contre une loi jugée contraire à la charte fondamentale ; sous-secrétariat à la condition de la femme dirigé par Françoise Giroud, qui est chargée d’intervenir sur la législation pour prendre en compte le changement de société, y compris la prolongation du congé de maternité et l’introduction du divorce sans passer par le juge en cas d’accord entre les conjoints.
Reformes sociales plutôt qu’économique, donc, pas forcément dans l’intérêt du président, compte tenu des frictions avec les partis majoritaires et les bénéficiaires eux-mêmes, principalement des jeunes qui ne faisaient pas partie de son l’électorat.
Mais je comprends que si on regarde le panorama idéologiquement, comme le ferait un vieux con, il n’a rien fait.
Bon, c’est vrai que le vote à 18 plutôt qu’à 21 est une bêtise ; que l’avortement est un scandale —Pasolini dixit ! — ; qu’un fois qu’une loi est « faite » on ferme sa gueule ; et ainsi de suite…
J. J—J :
Witold Gombrowicz et Rita Labrosse
https://blogfigures.blogspot.com/2011/05/witold-gombrowicz-and-rita-labrosse_20.html
« … sur sa proposition » — sur proposition de Giscard
Fred Uhlman, l’ami retrouvé ?
–
Genau, drei-mal-J, « Reunion » dans l’original, Fred Ulhman ayant fui l’Allemagne nazie pour se réfugier en Angleterre en 36.
Au début des années 1970, la publication de Reunion fut un flop complet. Comme quoi, après la pluie le beau temps, comme à Paris en ce moment…
John B dit: à
« Pas de quoi serrer les fesses de mon point de vue »
Une supposition..
*** / ***
Une supposition transitoire, un suppositoire.
Enfin J.J-J, humour noir ?!
Laissez glisser, c’est une vase!
« Genau, drei-mal-J,… » ( Bloomie le Zombie)
A défaut d’être polytechnicien, admirons les polyglottes du secteur pudique…
Je tombe sur des critiques enthousiastes, voire délirantes (les noms de Montaigne et de Cervantes sont cités), du livre de Ramon Gomez de la Serna, « Automoribundia »; première traduction française d’un livre sorti en 1948…
Quelqu’un a-t-il un commentaire? Je compte sur Pablo avant de faire l’investissement, peut-être en espagnol…
Compte-tenu du double choc pétrolier qu’il a encaissé, le bilan du septennat de Giscard est globalement le plus brillant de toute la 5ième République. J’excepte bien sûr de Gaulle (hors concours) et Pompidou terrassé par la maladie.
Avec Mitran commence le déclin irréversible de la société et de l’économie française.
closer dit: à
« Compte-tenu du double choc pétrolier qu’il a encaissé, le bilan du septennat de Giscard est globalement le plus brillant de toute la 5ième République. »
« Brillant » ?… « Brillant » comme le… diamant ?
…vendredi 4 décembre 2020 à 14 h 20 min.
…
…image !, soignons, nos futur sacs croco, & alimentons-les,!…
…par des histoires en comptes – doubles, du chasseur pour le loup, à Chaperon rouge,…
…pour se tailler une grande mère à l’affût; du fût à sa bière,!…
…
…une morale à Saint Pierre, pour se faire sa sœur, encore lubrique du ressort,!…
…jeux d’un autre temps placide & luisant,!…etc,!…
…Go,!…Bip,!Bip,!…Dallas à deux sous of course,!…
…
…post-scriptum ,!…( dans ma région, dès mon enfance, j’entendais à tout bout de champ; di corsa, di corsa,…en réalité, pour signifier, aussi,!…laisse tomber,!…fait ton cinéma, avec çà,!…
…aussi ménage toi, un temps de réflexion,!…approprier avec çà,!… »
…anglais ou corse à l’œuf, on s’en fout,!…( esprit à B. du Guesclin,!…of course,! )
…
@ RM, Je sais tout cela…, des réformettes sociétales que n’importe quoi d’autre eut pu…
La chose la plus grandiose de giscard, ce fut « le regroupement familial » des esclaves immigrés en France, avec Lionel Stoléru et quelques autres qui n’avaient pas forcément d’arrière-pensées sur les meilleures profits économiques à en tirer, mais aussi des soucis humanistes élémentaires… Ils furent hélas anéantis par le « fait du prince », qui ne voulut point donner son action de grâce à un innocent…, par crainte de ne pas être en adhésion popul. avec l’diée d’abolition qui faisait son chemin. Cette faiblesse de la volonté constitue à mes yeux la tâche la plus immarcescible de ce maudit septennat, de même que la canicule de l’été 76…
Merci pour ma connerie,… renato, je l’assume… Souvenez-vous que j’ai eu comme CT 18 ans en 1974, et ne fus jamais un jeune républicain indépendant. Grand bien vous fasse si vous le fûtes et eu cette lucidité d’appartenance à la mouvante de centre droit de l’époque. Je vous plains rétrospectivement.
—-
[je vous cite, et vous me direz de ne pas paranoïer, mais si, mais si… : « je comprends que si on regarde le panorama idéologiquement, comme le ferait un vieux con, il n’a rien fait »].
Bàv,
le moment le plus brillant de la présidence Giscard c’est quand son premier ministre déplorait un turc du genre « cet attentat qui visait des israélites a aussi tué des français innocents », un des moment les plus drôles de la politique française avec les ballades en scooter de Hollande.
si Bernanos a dit « Hitler a déshonorer l’antisémitisme » (ce qui laisse penser qu’il existerait un antisémitisme « honorable ») alors Barre lui aura rendu sa part la plus honorable.
un « turc » du genre… les grosses têtes… de truc.
oui, je sais, etalii… la tache ‘brillamment’ entâchée de giscard… Pas la peine de, hein …
après tout Barre c’est Barrès au singulier.
ma foi, peu importe…
….et les « avions renifleurs » ? …
C’est pas génial ça aussi comme aventure scientifique de type Minitel !? Ah, Giscard, tu nous a bien fait rigoler !
oui, raymond babar, le plus grand des astucieux économistes de notre France, qui planquait les fonds secrets de l’Etat sur ses comptes personnels en Suisse.
C’est de cette époque que s’émancipèrent aux sommets de l’Etat énarchique, les pulsions de la corruption, de la fraude fiscale et de la barbouzerie politiques que la gauche caviardée s’empressa d’affiner par la suite…
Si vous voulez que la rdl tire toutes les leçons de l’histoire glorieuse du giscardisme, messieurs les lecanuetistes, tirez les premiers !… La rdl vous en sera reconnaissante à jamais.
the kiss of a crikett woman, Drillon, la classe !
https://www.youtube.com/watch?v=1FVd6uRrYhM
Janssen J-J, jamais été centre-droite, simplement je regarde le panorama : plutôt comique du commentarium politique, mais je suppose que, idéologie bien à part, vous avez vos raisons de mécontentement. Il va sans dire que, compte gallicanisme persistent dans culture française — même de gauche —, la libéralisation de l’avortement reste une reformette que n’importe qui aurait pu faire !
compte TENU DU
Très drôle Alexia, voilà qui montre le niveau de votre réflexion politique. Je me fous de cette histoire dérisoire de diamants comme je me ficherais des turpitudes de Mitterrand, accointances vichystes, entretien d’une deuxième famille au frais de l’Etat et autres, s’il avait laissé la France dans l’état où Schroeder a laissé l’Allemagne…On voit la différence quand une crise arrive et il y en a sans arrêt depuis…………
En réalité, le “French Kiss” devrait plutôt être un “Indian Kiss”, si l’on en croit Vaughn Bryant Jr., professeur et directeur du département d’anthropologie de la Texas A&M University et spécialiste de l’histoire du baiser. Il explique que le “French Kiss” tel qu’on l’entend aujourd’hui apparaissait déjà dans le Kama Sutra, écrit au 5eme siècle avant JC, comme le plus passionné des trois principaux types de baisers. Alexandre le Grand, qui conquiert l’Inde un siècle plus tard, le propage dans son immense empire, de l’Inde jusqu’au pourtour méditerranéen.
Lire aussi: Selon une étude, le French Kiss est dégueulasse
Il arrive en Gaule sous l’Empire romain, où il s’appelait “savium”. “C’était le baiser le plus fougueux de tous, précise Vaughn Bryant Jr. Le baiser était très présent dans la culture romaine. Les Romains l’ont répandu. Ils ont converti les peuples de leur empire, en Afrique, en Europe, en Asie, qui ne s’embrassaient pas. Les Français l’ont appris de là” .
Si les Etats-Unis pensent que ce baiser est une invention française, c’est simplement parce que les Américains l’ont découvert dans notre beau pays aux XVIIIe et XIXème siècles, quand le développement des transports transatlantiques ont rendu la France plus accessible.
La mononucléose ou maladie du baiser
La mononucléose infectieuse est une maladie provoquée par le virus Epstein-Barr. La mononucléose touche surtout les adolescents et les jeunes adultes, mais elle peut aussi toucher les enfants. Chez ces derniers, elle est le plus souvent silencieuse et donc, non repérée.
Je recommande la lecture de l’édito de Nicolas Baverez dans Le Point de cette semaine: « Et à la fin c’est l’Allemagne qui gagne(encore) »
Agaçant, très agaçant…
Avec tout ça, personne ne me parlera de Ramon Gomez de la Serna et de son Automoribundia. Il est vrai que personne, à part Pablo, n’a sans doute rien à dire, moi le premier.
Peut-être que Passou, qui est espagnol (peut-être), lui consacrera un billet…
dans mon cas ,la mononucléose a été diagnostiquée parce que j’avais d’énormes ganglions; le médecin a fait les analyses et on fit certain;
de mon problème de lymphocytes;j’étais jeune femme et jeune mère,et ne me plaignant jamais de la fatigue
on fut certain
Pour Closer:
Marié en 1931 à l’Argentine Luisa Sofovich (1905-70) –les Sofovich sont une famille très en vue de l’intelligentsia portègne–, Ramón s’installe à Buenos Aires en 1936 jusqu’à son décès en 1963. Automuribundia sera écrit donc dans les années 1940 dans l’appartement qu’ils occupent au 1974, rue Hipólito Yrigoyen, tout près du Congreso, dans le quartier de Montserrat. Il porte les traces de la « saudade » (cf. Eduardo Lourenço/de Faria & Pessoa) porrtègne. Habité par la mort du début jusqu’à la fin, il cède souvent à l’esprit de la « greguería » plus ou moins brillante ou astucieuse. Le mieux c’est encore d’en donner quelques extraits (je ne dispose que de l’édition en deux volumes de 1974):
« Titulo este libro automuribundia, porque un libro de esta clase es más que nada la historia de cómo ha ido muriendo un hombre (…) En realidad esta es la historia de un joven que se hizo viejo sin aoercibirse de que sucedía eso » (I, 9)
« Nací o me nacieron enrejado ya en el muno » (I, 14)
« Desde temprano comprendí que el mundo es impaciencia para irse a otra parte » (I, 18)
« El niño cdescubría cosas y veía cómo la muerte se sentaba como en un taburete. » (I, 35)
« La fatalidad de morir es la mayor de las fatalidades. » (I, 139)
« Salíamos para no ir a ninguna parte, solo para rondar el cementerio de la vida. » 5I, 167)
« El que habla desde un trapecio es como el que os habla en su lecho de muerte. » (I,353)
« Los que se van en barco no hacen más que llevar su muerte a otra parte. » (II, 728)
« En las paradas de los tranvías tropezamos con los que saludarán nuestro entierro. » (II, 729)
« Uno en la vida es un juerguista triste de la muerte, porque la vidaz quiere dormir, dormir, dormir en la muerte. » (II, 760)
« Dado el esfuerzo que cuesta vivir, el corazón anhela dimitir, decir basta » (II, 762)
pfff… r., vous finissez par être de mauvaise foi, cher ami…
Pour l’IVG, rendons hommage au courage de Simone Veil plutôt, pas à Giscard… C’est pas lui, que je sache, qui eut à subir les saloperies de l’époque… à l’AN !
(Un brin marre, voyez, de votre antigallicanisme – Au diable si je sache où vos étiez situé al’hors, chez Berlinguer ou Andreotti ou ailleurs…, et peu m’en chaut, de toute)… Next, passons à autre chose, if you want, on va quand même pas s’eng… à cause de Giscard, ce serait la meilleure, celle-là !… Hein.
de se lancer à l’assaut d’une vie.
c’est très exactement une impression d’assaut que donnent la plupart des contributeurs/ trices lorsqu’ils se lancent dans l’nterprétation conseillante de « l’autre » , comme ils/elles ont « compris » à leur avis sa biographie et sa personne:
l’autre qui ressort de ces conclusions comme une ignorant-e amnésique, n’ayant jamais vécu parmi des « humain-e-s « ni réfléchi sur « leurs vies » ;
Merci pour cet aperçu, jorge.
just a gigolo:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Just_a_Gigolo
Janssen J-J dit: Pour l’IVG, rendons hommage au courage de Simone Veil plutôt, pas à Giscard…
»
ni à Mitterrand ! parce que si la première ligne Lyon Paris a été mise en service en 1981 c’est bien grâce à ses prédécesseurs.
désolé avec le masque ça fait de la buée sur les lunettes…
… il est certain que le TGV n’aurait jamais pu advenir si les femmes n’avaient pas pu aller pratiquer d’IVG en micheline, en Suisse ou en Belgique auparavant, wouarf. Mitran attendait de manger du cresson, à l’époque. Mais Lucien Neuwirth sous De Gaulle avait déjà pas mal labouré les champs de coton…
etalii, pourriez vous nous établir un bilan systématique de toutes les maladies que vous avez essuyée dans votre courte existence.
Merci pour la rdl, complètement noyée… Un modèle inspirant pour éviter de vous lancer à l’assaut de la mort, peut-être ?
https://www.youtube.com/watch?v=euGVqza-OyM
essuyées
Article étonnant dans Le Monde sur le sale esprit des Pumas argentins, visiblement à mille lieux des soi-disant) « valeurs » du rugby. Pas glorieux.
—-
« Les Pumas, la célèbre sélection argentine de rugby, sont sous le feu des critiques après que d’anciens Tweet xénophobes, sexistes et classistes sont remontés à la surface. Trois joueurs sont concernés, parmi lesquels Pablo Matera : l’Union argentine de rugby lui a retiré son brassard de capitaine, et le jeune homme de 27 ans a également été convoqué par le Stade français, où il joue depuis 2019. La direction du club va lui demander de donner des explications à son retour du Rugby Championship, qui se joue, en ce moment, en Australie.
« Belle matinée pour sortir faire un tour en voiture et écraser des Noirs » ; « La haine envers les Boliviens, les Paraguayens, etc. vient de la fois où un cheveu de la bonne est tombé dans ton repas » ; « Qu’est-ce qu’une boniche enceinte de triplés ? Un kit de ménage »… Les Tweet de Pablo Matera, Guido Petti et Santiago Socino, publiés entre 2011 et 2013 ont choqué l’opinion publique et renforcé la perception d’un sport élitiste et xénophobe, pratiqué historiquement par des Argentins issus des classes sociales les plus aisées et qui se sentent supérieurs au reste de la société.
Les rugbymans ont eu beau présenter leurs excuses et supprimer leurs comptes Twitter, le mal était fait. « C’est la première fois que la société répudie si massivement l’univers du rugby, qui était auparavant sacralisé en Argentine », estime Diego Murzi, sociologue spécialiste du sport, chercheur au Conseil national de la recherche scientifique et technique.
« Un sentiment de toute-puissance »
Une réputation déjà mise à mal après le meurtre sordide de Fernando Baez Sosa. En janvier 2020, le jeune homme de 19 ans a été roué de coups à la sortie d’une boîte de nuit à Villa Gesell (station balnéaire de la province de Buenos Aires) par une équipe de rugbymans qui l’ont traité de « Noir de merde ».
Mi-novembre, le parquet a demandé l’ouverture d’un procès pour juger les huit meurtriers présumés du jeune homme, qui pourraient écoper d’au moins quinze ans de prison. « Les rugbymans ont un sentiment de toute-puissance, qui vient non seulement de leur classe sociale, de leur argent, mais aussi de leur corps massif », juge Diego Murzi.
« Tout comme les Tweet racistes des Pumas, le meurtre de Fernando Baez Sosa répond, à un degré évidemment bien plus grave, aux mêmes logiques racistes et antipopulaires qui se reproduisent dans le milieu du rugby », dénonce le sociologue. Il établit une distinction entre le rugby et le football, sport immensément populaire en Argentine où les codes machistes s’appliquent tout autant que dans le rugby, mais où le racisme et le classisme sont moins répandus.
En ce sens, le timide hommage rendu par les Pumas, samedi 28 novembre, à Diego Maradona, trois jours après le décès de l’ancien footballeur, a surpris et irrité bon nombre d’Argentins. A l’heure où tout leur pays était en deuil, les joueurs sont arrivés sur la pelouse du stade de Newcastle (Australie) pour leur match face à la Nouvelle-Zélande avec un fin brassard noir au bras. Leurs adversaires, les All Blacks ont, eux, déposé un maillot de football noir siglé 10 (le numéro de Maradona dans la sélection argentine) au sol avant d’entonner leur traditionnel haka, dédié au « Pibe de Oro ».
Aux yeux de Diego Murzi, ce contraste entre les hommages des deux équipes, pouvant être interprété comme un manque de considération des Pumas envers la mémoire de Maradona, a entraîné l’exhumation des vieux Tweet des joueurs et une vague de colère contre les rugbymans sur les réseaux sociaux.
Adoption d’une loi imposant une formation contre la violence
Le milieu du rugby argentin s’est divisé autour de l’affaire des Tweet. Certains ont pris la défense des Pumas : « Ils ont commis une erreur gravissime, sans aucun doute. Mais vous, êtes-vous la même personne qu’il y a neuf ans ? », a interrogé Patricio Albacete, ancien joueur de la sélection.
« Je ne justifie pas ce qu’ils ont écrit à cet âge-là [les trois joueurs avaient entre 18 et 20 ans au moment des Tweet et ne jouaient pas encore pour les Pumas] mais je peux témoigner du fait qu’ils ne pensent pas comme ça, aujourd’hui ! Pablo Matera est mon ami et mon capitaine », a tweeté le Puma Matias Moroni.
D’autres ont reconnu l’existence d’un problème structurel dans le rugby, à l’instar d’Agustin Pichot, ancien capitaine de la sélection argentine : « Cette année [en référence au meurtre de Fernando Baez Sosa et à l’affaire des Tweet] nous montre que nous devons continuer de nous améliorer. (…) Et faire, le plus tôt possible, notre autocritique. »
Plusieurs initiatives pour réformer le fonctionnement des clubs de rugby avaient émergé à la suite du meurtre de Villa Gesell, avant d’être freinées par la pandémie de Covid-19. La baisse du nombre de nouveaux cas dans le pays a permis à cet agenda de revenir au premier plan : le 27 novembre, une loi « Fernando », du nom du jeune homme mort sous les coups des rugbymans, a été adoptée à l’unanimité par le Parlement de la ville de Buenos Aires, qui prévoit notamment une formation obligatoire contre la violence pour les joueurs des sports de contact.
« Il y a beaucoup de travail à faire »
Les décisions de l’Union argentine de rugby (UAR) continuent, en revanche, d’interpeller la société. La fédération avait déjà été très critiquée en janvier pour sa tardive réaction au meurtre de Fernando Baez Sosa, qu’elle avait qualifié simplement de « décès ». Lundi 30 novembre, la fédération a réagi prestement à l’affaire des Tweet, en suspendant à titre conservatoire les trois auteurs.
Pourtant, à peine quarante-huit heures plus tard, à la surprise générale, l’UAR annonçait que cette sanction était levée. S’agit-il d’un répit pour les trois Pumas avant le dernier match de l’Albiceleste, prévu contre l’Australie samedi 5 décembre, au Rugby Championship ? Cette marche arrière a, en tout cas, été conspuée sur les réseaux sociaux.
Plus tôt dans la semaine, le ministre des sports, Matias Lammens, avait déjà exprimé sa frustration quant aux mesures prises par l’UAR, et jugé la sanction des joueurs insuffisante : « Le problème est bien plus profond. (…) N’oublions pas que nous avons entamé l’année avec l’assassinat d’un jeune homme aux mains d’un groupe de rugbymans. Je ne veux pas stigmatiser, mais je crois qu’il y a beaucoup de travail à faire dans le monde du rugby. » »
@ dans mon cas ,la mononucléose a été diagnostiquée parce que j’avais d’énormes ganglions; OU CA EXACTEMENT ?
le médecin a fait les analyses et on fit certain; PAS CLAIR, CE TOUBIB…
de mon problème de lymphocytes; C’ETAIT QUEL PB AU JUSTE, DEJA : UN EXCES, UNE INSUFFISANCE ?
j’étais jeune femme et jeune mère,et ne me plaignant jamais de la fatigue VOUS AURIEZ DÛ… QUAND ON A TOUS CES PROBLEMES DE JEUNE MERE, IL FAUT TOUJOURS SE PLAINDRE, CAR APRES C’EST TROP TARD…
Mais alors, rugbyman, comment expliquer que Fred Uhlmann fit un carton en France à un moment donné, alors qu’il bida en GB ?
JJJ, je ne doute pas que vous ayez d’excellents médecins à recommander, mais comme vous l’avez écrit, « c’est trop tard »
bonne soirée
Se tenir à la chronologie. La libéralisation de l’avortement était une promesse électorale de Giscard. Simone Veil, ministre de la Santé, a élaboré et porté le projet suite au refus du garde des Sceaux.
Cela dit, il faudrait savoir faire la part des choses, mais je comprends que cela ne soit pas aisé si l’on a couru les assemblées estudiantines la langue dehors avec une carrière comme objectif.
chers interprètes-conseillers en vivre:
Le temps d’apprendre à vivre il est déjà trop tard et c’est dans ce retard que le savoir vivre se forge comme le défaut de vivre, et comme sa seule question. En tant que question philosophique, la question de vivre se présente comme un non-savoir-vivre : comme un vivre dans le non-savoir, comme ce vivre à mort que Derrida nomme la-vie-la-mort et le survivre.
https://www.cairn.info/revue-rue-descartes-2005-2-page-64.htm
bonsoir
avec sa force d’attraction centripète
..ça sniffe la traduc à pédreau
plus réelle et crue que celle d’un mannequin écartant les cuisses pour offrir sa vulve à l’objectif, c’est parce que c’était le seul monde qu’il connaissait de l’intérieur
..lassouline ac son télé maous fait minabe le pti juif
Au début, les directeurs artistiques manquaient s’étouffer en découvrant ses images jugées trop osées sinon pornographiques
les optimiss sont a olioud les optimiss a ochvitz et entre 2..hach frankreich
Je les rêve tout y projetant beaucoup de moi-même, et cela ne s’explique pas
moutcho zeitgeist qu’il dirait maradona..baroz y préférait le saindoux sur les objectifs dhamilton
Beckett, qui allait voir des pièces de théâtre jusqu’à ce qu’il en écrive lui-même.
..assez..hassez d’odeur de pieds
Un écrivain inattaquable : J. L. Borges.
c’t’une blague..un peu comme eco..un truqueur
et qui donnent non pas leur sperme, mais leurs spermes, mélangés
drihihon en a plein la bouche encore
Il existait autrefois un objet nommé osculatoire
mais non drihihon..c’est pas dans l’fion..outre que l’autrefois est récent..dans le nord même les bon coco se fsait henterrer à l’église rien que pour voir les copins défiler..directement du bistrot..t’es ignorant drihihon
termes qui furent longtemps l’apanage de la police
hon appelle ça le retournement du stigmate drihihon..himagine..himagine que flaubert voulait écrire comme le code civil..et toi comme une sentinelle du neuf trois..c’est trop drôle
Personne ne sait
Pourquoi nous abandonnons l’élection présidentielle américaine aux seuls Américains, alors que presque toutes les décisions d’un président des États-Unis, des plus tartes aux plus dangereuses, des plus ignobles aux plus stupides, affectent la terre tout entière.
..plus fort que rénateau
(Dernière minute)
Les caméras de surveillance, qui ne peuvent pas nous filmer sans filmer aussi les flics. Hé hé…
un mélange de suisse et de belge..personne ne sait
Elle a touitté cette merveille : « La banalisation du terme “lynchage” et son usage par les personnes blanches pour décrire du harcèlement en ligne ou des agressions IRL [sigle pour «in real life»] conduit non seulement à effacer l’expérience et les souffrances des personnes noires, mais aussi à inverser la réalité. »
hof keupu c’était génocide..et personne ici n’en a fait un fromage meussieu du corbac
Le chancre gagne du terrain tous les jours et dévore ce qui l’entoure. Bientôt, quand ils auront gagné, où il y avait quelque chose, où il y avait une real life, il n’y aura plus qu’un trou
vdqs..
Tirage limité. Achetez cet ouvrage absolument déconfiné, offrez-le ! Vous ne pourrez pas le voler…
…la polisse pleine de malisse
kissing point:
https://www.conseilsmarketing.com/wp-content/uploads/2009/03/labello-kissing-point-thumb.jpg
Message
photo Michal Batory
https://pbs.twimg.com/media/EoaraZaXMAAzIt4?format=jpg&name=900×900
– est superbe, cette enveloppe abritant un buisson ardent… !
– non, il n’est jamais trop tard pour trouver un bon toubib qui aide à vivre, je sais qu’il y en a près de chez vous,
– a préparé ses répliques toute la journée du téléton, l’boug… Amusantes, jetées en rafale, mais très vite pesantes… pour faire montrer au drillon du vendredi ? Tu vas en sortir un bouquin ?
– la flûte enchantée en français sur le 5, tu rigoles ou quoi ?
– une mini tornade il y a 24 h qui a arraché 3 arbres dans le jardin. Déploration.
– mais où est passée la MS ?
– vais dîner du pot au feu.
Bàv,
Enveloppe le buisson ardent
Où va le blanc lorsque la neige fond ?
Si j’ai ma veste noire
Ce n’est pas hasard
C’est la couleur que je préfère
Le blanc, c’était hier
Jonathan Basile, newyorkais à partir de Jorge Luis Borgès, une utopie
http://libraryofbabel.info/theory.html
À partir du blog de Jean Philippe Accart
https://jpaccart.blog.tdg.ch/archive/2016/03/20/le-reve-de-jorge-luis-borges-revisite-274915.html
L’osculatoire était un christ en croix tenu par la croix et tendu aux enfants de choeur.
le christ en croix, sur le Golgotha
https://fr.wikipedia.org/wiki/Passion_du_Christ#/media/Fichier:Historische_Karte_von_Jerusalem_MK1888.png
@ comme un vivre dans le non-savoir, comme ce vivre à mort que Derrida nomme la-vie-la-mort et le survivre.
Auriez-vous pu vivre sans derridadada, ma fille ? moij voui…, m’en suis toujours bin passé, même si je sais tjs pas la différence entre le mystère et l’énigme…
Reus’ement, que vous si, grassaldéridak, sauvez l’honneur de l’rdl, txfldg !
Dormez-bin, j’vous en injoncte… !
le Golgotha
un enskhulatoire ?… ou une invention clystérieuse à la bougrelotte ? on sé jamé trop …
https://www.google.com/search?q=clyst%C3%A8re&client=firefox-b-d&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=tPbeLLOI57M_4M%252CE-vLIJfdfEUyUM%252C_&vet=1&usg=AI4_-kQt1lR2kmOE2BmgYRXFTmRb7FIHOg&sa=X&ved=2ahUKEwjt4NG0mrXtAhVSExoKHSqkC-cQ_h16BAgJEAE#imgrc=tPbeLLOI57M_4M
@Enveloppe le buisson ardent
there’s a devil behind that bush
@french kiss
Quant à la capote anglaise, tout américain sait depuis au moins 1776 qu’elle est originaire du Gers, de Condom pour être précis.
Pouvez-vous penser quelque chose par vous-même indépendamment des autres, jean-marcel ?
C quoi vot’ procédé ?… Un truc d’hyper-timidité tactile, une fois miché le refuge du gode ?
M’intriguez 1 brin, depuis des plombles.
personne ne sait pourquoi il se coiffait en pétard
https://www.google.fr/url?sa=i&url=https%3A%2F%2Fwww.pinterest.fr%2Fpin%2F758364024733183112%2F&psig=AOvVaw3dXUndcF2wIWGCwhdqo1gl&ust=1607202134041000&source=images&cd=vfe&ved=2ahUKEwibhcPTnLXtAhUE9BoKHePXBAsQr4kDegUIARDJAQ
Personne.
je trouve qu’anne sylvestre aura plus impacté ma vie que giscard. Désolé d’en faire cet aveu. On se trompe de deuil national, comme d’hab…
Ce pauvre M. aura encore eu tout faux ! On s’en sortira jamais.
le diable derrrière le buisson
Au passage, hommage à René Lacoste et aux mousquetaires.
En 1965, Bergoglio enseignait littérature au Colegio Inmaculada Concepción de Santa Fe, et il invita Borges pour qu’il donne un cours à ses élèves. L’un d’eux a raconté à la BBC qu’un jour que Borges était en retard, Bergoglio alla le chercher et qu’il leur avait fallu beaucoup de temps pour se rendre au Colegio, temps que Bergoglio a justifié en disant : « Le vieil homme m’a demandé de le raser : sa cécité l’empêche de le faire seul ».
Lors de sa visite à Genève, Bergoglio a reçu en cadeau une poigné de terre de la tombe de Borges au cimetière des Rois.
JJJ, peut-être n’avez-vous pas encore trouvé un jeu plus amusant sur ce blog que de m’empoisonner: c’est dommage pour tout le monde , et pas seulement pour vous ,je le regrette; il y a d’autres femmes,qui ont certes mieux à faire elles aussi, et vous aideraient à comprendre que votre système n’est pas « la solution » aux pannes d’imagination que vous rencontrez pour progresser, et ne vous permettra pas de surmonter vos difficultés relationnelles que des professionnels en sciences humaines pourraient vous « expliquer »;
vous vous êtes chargé d’un rôle ,en me bassinant, qui n’est pas fait pour vous;vous ne pouvez qu’être déçu de vos efforts et décevoir vos ami-e-s qui n’ont pas eu le courage de vous dire ce qu’ils pensent de votre entreprise;drôles d’ami-e-s assurément; j’ai la chance de ne pas l’être , et de vous prier de mieux considérer votre vie et de voir ce qui pourrait vous aider à trouver une issue aux tentations qui vous turlupinent ;
oui, ben moi je suis né avec un jumeau monozygote. Et suis en passe de lui avoir survécu de double de sa vie, 33 ans. Cela reste un mystère, une injustice, une absurdité, une énigme, une douleur…
Mais pourquoi parler de ça, vohyons, rose ? Rien n’annonçait de tomber dans ces choux-fleurs-là après l’ardeur du buisson. Rien.
Des trompes de F. insondab’…
https://www.youtube.com/watch?v=2ICFtXx546A
Bises,
@ txfl, ne vous donnez pas la peine d’écrire 11 lignes démentant la teneur de vos propos… Ne me répondez jamais, vous comprendrez très vite pourquoi je serai toujours votre genre, votre mentor, votre derrida, votre thérapeute, celui qui vous sauvera de votre malheur-de-vivre. Ne vous rebellez pas, laissez vous aller avec moâ. Cessez de lutter contre votre judaïté. Elle est belle et saine, croyez le bien,c mon goy qui vous le dit, le seul qui puisse vous le dire, de manière totalement désintéressée. Dormez en paix, vous dis-je ! Cessez de marceler !
Seule une grosse tête surdouée pouvait croire à cette histoire d’avions renifleur ; les peigne-culs on leur fait pas à eux, pas vrai ?
https://www.youtube.com/watch?v=Xe2u7ogAgtQ
Je m’intéresse à tous les erdéliens sans aucune exception, il faut s’y faire ! Ce qui n’empêche pas que j’ai une vie ailleurs, comme ma soeur. Incroyab’, non ?… C ma nature, mon choix, mon fils, ma bataille… fallait pas qu’elle s’en aille.
m’en suis toujours bin passé, même si je sais tjs pas la différence entre le mystère et l’énigme…
Le mystère est mystérieux, l’énigme énigmatique peut etre résolue à coup de volonté, de perspicacité, d’observation, de déduction, sinon vous ne tiriez pas Agatha. Dieu demeure le grand mystère, la Création aussi.
Liriez, et ces autres anglaises.
6 mn en entier, et baste. Le diable caché dans le buisson.
Bonheur de voir Guy Bedos se fendre la poire.
Profite lâchement que jazzi soit en pause pour tacler Isabelle que j’admire fort au demeurant.
https://www.youtube.com/watch?v=BESEiw6-4L4
Bonheur de la redite.
Quel bonheur d’admettre qu’on s’est défait du pire factice qui a miné notre jeunesse, ou celle de nos parents, pour affirmer enfin, la bouche en coeur, sa liberté de penser devant France 2 … On est pas couche !
https://www.youtube.com/watch?v=janHO9ps7Ck
Quelqu’un sait où sont passés Chatloup et Pabelo ? Le niveau était juste beaucoup plus haut quand ils étaient là. Parce que s’il faut compter sur Langoncet pour nous élever intellectuellement…on va bouffer de la pâquerette matin midi et soir.
652
commentaires