de Pierre Assouline

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La République des livres
La littérature est leur vengeance

La littérature est leur vengeance

Que n’aurais-je donné pour être présent le 9 décembre 2009 à la Bibliothèque nationale du Pérou à Lima ! Une rencontre y était organisée à l’initiative de l’Institut culturel italien local entre Claudio Magris et Mario Vargas Llosa. Une conversation dont on rêverait d’être l’attentif auditeur. Fort heureusement retranscrite, elle parait aujourd’hui sous leurs signatures conjointes et sous le titre La littérature est ma vengeance (La literatura es mi vengaza, traduit de l’italien pour les paroles de l’un par Jean et Marie-Noëlle Pastureau et de l’espagnol pour celles de l’autre par Albert Bensoussan et Daniel Lefort, 85 pages, 12 euros, Arcades/Gallimard).

Il y est naturellement question des livres et des auteurs qui les ont marqués, du statut de la fiction, de l’engagement de l’écrivain et de la nécessité d’être fidèle en premier lieu à ses propres démons fut-ce aux dépens de ses devoirs vis-à-vis de la chose publique. Chacune de leurs interventions est longue, méditée, précise, argumentée, ininterrompue, aux antipodes de ce qui se fait d’ordinaire par les canaux médiatiques; elles s’inscrivent contre « la frivolisation » de l’époque. Chemin faisant, ils donnent l’air de rien une belle leçon d’écriture via leur apologie du roman, « le » genre littéraire qui autorise l’expression de la totalité, de tout ce que l’homme recèle en lui de raison et de déraison, de réalité et d’irréalité, de matériel et de spirituel, de fantaisie et d’histoire. Le roman comme le territoire par excellence de la liberté de l’esprit. Parmi ceux qui paraissent en même temps que cet écho d’une lointaine conversation qui prend son temps, arrachée à une époque pressée comme jamais, il est deux conteurs qui semblent d’être donnés le mot pour profiter pleinement de cette autorisation de déployer l’imaginaire sans restriction- et de se venger.

Pour Le miel et l’amertume (253 pages, 20 euros, Gallimard), Tahar Ben Jelloun a privilégié une forme qui a déjà fait ses preuves sous tous les cieux littéraires, celle du roman choral. Chaque personnage raconte sa vision d’une même histoire isolément dans des chapitres distincts. Ils appartiennent à une même famille et se souviennent du drame qui l’a faite exploser. Cette tragédie, ce fut le viol de Samia à 16 ans par un pédophile bien connu dans le Tanger du début de ce siècle. Un Marocain et non un étranger, utile précision, Khenzir la charogne de la rue Goya, un fin lettré, éditeur d’une revue, qui abuse de sa position dans ce microcosme pour attirer à lui des jeunes, fous de poètes et de poésie, autant Baudelaire et Aragon que Chawki et Darwich, et rêvent de voir leurs vers un jour publiés.

Choquée par cette violence, humiliée d’avoir été ainsi dégradée et soucieuse de ne pas se voir reprocher tous les torts comme c’est la règle, elle pense éviter le scandale en ne se confiant qu’à son journal intime. Une bombe à retardement qui explosera au lendemain de son suicide. La famille se désintègre sous le coup de la révélation, laquelle cristallise tout ce qui la minait souterrainement de longue date. Chronique intime du secret, du non-dit, de l’incommunicabilité, de la médisance ordinaire, du silence gonflé de honte et d’honneur, la narration d’une douceur exemplaire malgré la violence qui y est rapportée s’insinue dans les interstices d’une omerta qui ne dit pas son nom par la voix du seul personnage qui s’autorise une certaine distance vis-à-vis des événements, et pour cause : Vlad, jeune immigré mauritanien en proie au racisme anti-noirs, est doté d’une sagesse qui force l’admiration et réussit à panser les plaies.

Au début, on se croirait dans les Carnets du sous-sol de Dostoïevski car Mourad, quoique ni méchant, ni malade, ni misanthrope, vit effectivement « dessous » comme s’il était enfermé dans une tombe ; en proie à un phénomène de dépersonnalisation, il se sent étranger à son corps. Au milieu, on est emporté par le vertige telle Pandora à la vue du bateau du Hollandais volant. La fin est plus sombre, plus dure car elle met à nu le vrai thème du livre, celui qui recouvre le viol et le reste : la corruption, ce poison qui gangrène le Maroc et ronge insensiblement plusieurs personnages de ce roman, la corruption sonnante et trébuchante de l’administration, de ses fonctionnaires du plus bas au plus haut et de leurs innombrables intermédiaires, rendue légale et générale par l’Etat même, la corruption des esprits et celle des âmes. En arabe, « corruption » se dit  r’choua, « bois pourri ». Elle vient de loin et la clé du phénomène se trouve dans la Muqqadima du grand historien Ibn Khaldûn au chapitre XXV intitulé « Les pays conquis par les Arabes ne tardent pas à tomber en ruines » (traduction d’Abdesselam Cheddadi), écrit au milieu du XIVème siècle. Le Maroc, c’est un pays où chacun passe sa vie à s’arranger, à bricoler à propos de tout de rien, à s’accommoder après avoir négocié. Corrupteurs et corrompus participent de la même population car « la corruption est « la mamelle des Marocains ». Sans rien céder de son exigence littéraire, la charge de Tahar Ben Jelloun est puissante contre cette culture du compromis permanent, contre les priorités d’un pays qui en vient à édifier plus de mosquées que d’écoles ou d’hôpitaux.

Le roman est plein des reflets d’un certain Tanger dont les noms de lieux égrenés, si évocateurs de l’époque où la ville était dotée d’un statut international, constituent le tissu poétique par leur seul énoncé : l’hôtel El Minzah, la Forêt diplomatique, la vieille montagne, le café Ibéria et le Gran café de Paris, le Gran Socco, le café Hafa (du temps où le mur érigé par BHL n’empiétait pas sur la vue imprenable), le parfumeur Madini, les magasins Kent, le casino espagnol, Casa barata (la « maison bon marché » à mi-chemin entre le bazar et le marché aux puces), la librairie des Colonnes (on lira ici l’article très  juste et informé de Hisham Aidi sur le Tanger un peu trop légendaire de Paul Bowles). Ce Tanger cosmopolite, à la fois français, marocain et espagnol, n’existe que par ses vestiges et la nostalgie de ceux qui connurent le monde d’avant. Longtemps la ville entre deux mers a tourné le dos au Maroc qui le lui rendait bien, lorsque Hassan II, qui ne l’aimait pas et la boycottait, en avait fait la mal aimée de son royaume. Boulevard Pasteur, les jeunes filles se promènent comme autrefois par deux ou par trois sans se lasser, mais désormais elles sont voilées.

Mourad, le père, aime à dire que le sous-sol est leur caveau de famille. Mais à partir de ce postulat si fécond, l’auteur ne va pas jusqu’à laisser son imaginaire divaguer autant que Vénus Khoury-Ghata le fait dans son savoureux roman Ce qui reste des hommes (123 pages, 13,80 euros, Actes sud). Son double, baptisée Diane, s’estime un jour assez âgée pour se rendre du côté de chez Roblot afin de prévoir le confort de son au-delà. Le caveau qu’on lui propose étant un deux-places, elle hésite parmi ses nombreux ex, amants de passage et maris en titre, sur l’identité de celui à qui elle proposera de s’y coucher à mort à ses côtés. Aussi consulte-t-elle du côté des encore vivants ; elle fait passer des auditions aux rescapés de leurs folles étreintes car, minée par l’incertitude, elle ne peut s’empêcher de tout planifier. Prévoir, dit-elle. Le « tu » qu’elle a privilégié à l’exclusion du « je » lui permet de se mettre à distance et d’exposer les situations les plus scabreuses sans en être dérangée (lire ici un extrait).

Son amie Hélène, depuis peu veuve d’un mari assassiné par la mafia corse, l’encourage dans cette voie fantasque qui a sa part de gravité. C’est tout le charme subtil de cette histoire, si drôle et légère en apparence mais si profonde en vérité. Sa sonorité a un allant, une vivacité, une assurance de séductrice à la recherche de ses conquêtes d’autrefois, ce qui donne au roman une allégresse inattendue. Lorsque le marbre dont on fait les dalles funéraires est rouge, ce n’est pas de poussière mais de sang après qu’on l’ait scié. Tout est de cette encre mais quels que soient ses miroitements, l’outre-noir est sa vraie couleur, celle d’une solitude si pesante ici-bas qu’on la redoute par avance lorsqu’elle s’abattra tout en dessous. C’est pourquoi il est recommandé aux esseulés de s’y faire accompagner, fut-ce pour s’engueuler jusqu’à la consommation des siècles. Diane cherche un homme, pas pour l’amour mais pour le compagnonnage éternel, même si son vrai compagnon secret est un félin. Sauf que sous le marbre de Carrare, sans livres et dans le froid, à défaut d’homme, un chat aurait moins de répondant mais n’en serait pas moins réchauffant.

(« La façade en céramique du Gran Teatro Cervantès à Tanger », photo  Yann Guichaoua ; « L’entrée du café Hafa à Tanger » photo D.R. ; « Un chat qui a des lettres » photo Passou) 

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 606 Réponses pour La littérature est leur vengeance

D dit: à

Ensuite de l’ensuite, se fondant sur la croyance nocive, de quoi traiter ? De science historique ? De philosophie ? De langues anciennes ? De psychologie ? De sociologie ?

Jibé dit: à

Je ne confirme pas, Christiane, si Italo Calvino s’en est inspiré, je ne sais pas. Le vicomte est déchiré par son boulet, il ne le chevauche pas, mais va savoir, l’idée est là.
Ca m’évoque son autre titre de Calvino, Si par une nuit d’hiver un voyageur, où on trouve cette phrase:
« Lire, c’est aller vers quelque chose qui va exister »
joli, non?

Jibé dit: à

un autre titre (pas son…)
scusi

Bloom dit: à

« Si à 60 balais t’as pas ton bracelet électronique, c’est qu’t’es une crapule ratée ! »

Bloom dit: à

Flotte dans l’ether printanier la voix du Gars d’Afi: « Clèves, Zalo! » qu’elle dit. Fout comme ça circule vite, les nouvelles…

Janssen J-J dit: à

Que parie-t-on qu’il ne passera pas une journée au trou, l’ex ? La France est si indulgente avec la corruption généralisée des ses élites prenant à témoin le bon peuple de ruisseler à son exemple.

Si par une nuit… Quelle belle évocation de l’embarquement du voyageur pour la Cythère livresque !
(merci, paupières de grands-ducs pour ce ‘principe d’italocalvinisme’, comme disait MT… Bàv,)

rose dit: à

Non les oies résident aussi dans le Gers.

Gers ande.

et alii dit: à

le titre du monde est effectivement:Le procès des écoutes « n’est pas une vengeance » contre Nicolas Sarkozy, selon le procureur national financier

DHH dit: à

@J3
Ce que dit Delphine Horvilleur sur son statut de rabbin laîc ne devrait pas vous étonner
Pour une raison générale de principe d’abord :
La laîcité c’est la dissociation totale des sphères de la religion et de la vie publique . Ce qui signifie on peut sans déchirement être pleinement citoyen attaché à la laïcité et même militer pour la laïcité , tout en étant profondément et strictement pratiquant ,comme doit l’être un rabbin ou un curé
C’est vrai quelle que soit la religion
Mais cela vous le saviez ,et votre question portait je pense sur la compatibilité d’une vie vouée a la religion avec un statut personnel laîc
Certes si la question mérite peut-être d’être posée pour les hommes et les femmes chrétiens qui’ entrent en religion’ , elle ne se pose pas pour un rabbin
Un chrétien en devenant moine ou prêtre consacre sa vie a Dieu et , en cela, on pourrait considérer qu’ il s’installe en marge du monde des laîcs
.Mais rien de tel pour le rabbin qui n’est pas dans une relation particulière avec Dieu .Sa fonction est celle d’un sage qui connaît parfaitement la loi , sait l’interpréter et l’appliquer a partir de sa familiarité avec des textes ‘(talmud midrash bible) .Son rôle est de mettre cette competence à la disposition de ses ouailles , d’abord par son enseignement et aussi pour les aider à la lumière de ce savoir à resoudre les problemes et les differends auxquels il sont confrontées tant en ce qui concerne leur pratique religieuse que certains aspects de la vie de tous les jours
Dans une synagogue contrairement a ce qui se passe dans une eglise on ne vient pas rencontrer Dieu , mais en parler et s’instruire au sujet des choses de la religion et de la vie ce qui explique qu’ en yddish l’ecole et la synagogue se disent avec le même mot
Et, ce qui était particulieremnt vrai avant l’emancipation des juifs, le savoir faire juridique du rabbin qui organisait les rapports à l’intérieur des communautés, était apprecié même en dehors d’elle. Ainsi dans l’Ami Ffritz, ce roman alsacien d’Erckman Chatrian , l’auteur temoigne de ce rôle de conseil juridique que joue le rebbe du village aussi bien pour les juifs que pour les gentils. Pour l’anecdote on dit que celui qui a servi le modele au rabbin du roman est l’ancêtre de la lignée Debré
Rien dans ces rôles qui isolerait le rabbin de la vie de la cité;dans le cas delphine Horvilleur elle y est d’ailleurs fort engagée à travers son mari maire d’un arrondissement parisien

christiane dit: à

C’est très intéressant, Jazzi, vos souvenirs communs qui ont laissé des traces différentes dans vos mémoires.
Cela donne envie de penser que notre mémoire est sélective et que plus est, elle est pétrie d’imaginaire jouant à part égale avec le réel quand on tente de reconstituer un passé lointain.
Y a-t-il des souvenirs que vous pouvez dire identiques ?

D. dit: à

Oui c’est cela. Elle est pétrie.

et alii dit: à

comme le dit DHH ,on dit en yddish « la schule » (on pense à « shool »;le judaïsme tend à se caractériser par l’étude;
Il va de soi que la Schule occupe une place prépondérante dans la vie de la Communauté comme dans la vie de chaque Juif.
Le fait que pour désigner la synagogue on utilise un mot qui en allemand comme en latin évoque l’idée « d’école », illustre la conscience que l’on avait que ce lieu devait aussi être un lieu d’étude
c’est le seul mot que j’ai entendu dans la maison de mon père dont le père était lorrain et dont presque toute la famille habitait Strasbourg;
http://judaisme.sdv.fr/dialecte/lexique/schule/index.htm

rose dit: à

Non. Prosélyte pour quoi faire ?
Et la liberté individuelle ?
C com si, mangeant de la fougasse, je tenais à vous convaincre que c’est le pain le meilleur.
Et « achetez de la fougasse »

et alii dit: à

j’aime bien cette plaisanterie: » »Er esset e Schule tsammet’m Amemor » -« Il mangerait une schule avec son almemor » : se dit d’un bambocheur qui se livre à toutes sortes de folles dépenses (H. Meiss, p. 9).

D. dit: à

on peut sans déchirement être pleinement citoyen attaché à la laïcité et même militer pour la laïcité , tout en étant profondément et strictement pratiquant ,comme doit l’être un rabbin ou un curé

Vous voulez dire un prêtre catholique ? Bien sûr que non. Certainement pas.
Et le contraire serait inquiétant.
On doit respecter les lois de la République même lorsqu’elle sont iniques, mais certainement pas militer pour la laïcité ou même y être attaché.
Décidément je lis des choses extraordinaires, aujourd’hui. Assenées avec une assurance déconcertante.

D. dit: à

Sans déchirement. Rien qu’ça !
Parce que les lois iniques de la République ne déchirent pas assez Dieu comme ça, sans doute ? Elles en font dès que possible des confettis.

christiane dit: à

DHH,
Ce que vous dites des synagogues et des rabbins est très intéressant. Et surtout la différence avec les églises et les prêtres.
Vous lisant, je comprends mieux certains amis de la communauté juive de Saint-Ouen, à l’époque où il m’est arrivé d’aller deux ou trois fois à la synagogue pour des conférences ou un accueil précédant la fête de Sukkot.
Le seul croyant véritable, profond dans sa foi que j’y ai côtoyé n’était pas rabbin. Lui a pu me faire entrer un peu dans le mystère de la foi juive et m’expliquer ce qui différenciait ce cheminement de celui des chrétiens.
Ce que vous dites est très juste.
Quelques questions…
Pourquoi la place réservée aux femmes est si petite par rapport à celle des hommes ? pourquoi sont-elles derrière un rideau pendant ce qui ressemble à un office ? Pourquoi beaucoup d’entre elles portent une perruque ? À la fin de la prière, tous disent « Amen », comme à l’église. Cela m’a étonnée.

J.L. Beaufils dit: à

Une prose d’ élite, une rose d’élite, Clause!
Une question de vérité, ce qui concerne la croyance.

christiane dit: à

«Lire, c’est aller vers quelque chose qui va exister»
joli, non? »

Quel mystère… Et cela existe vraiment et dure dans la mémoire.

et alii dit: à

rose, avec la fougasse, vous me faites penser qu’on n’a jamais parlé des « pompes à huile » de provence,en général à Noel, je crois ; mais

renato dit: à

Le besoin de chercher des explications à ce qui n’a pas d’autre raison que d’être fait, simplement, sans discussions, avec le minimum de critère ou de critique nécessaire, ressemble à la « self-cleptomanie » : changer à constamment de poches à ses propres objets et dans son propre habit. On s’arrange d’habitude aussi une collection de spécialités morales quelconques, pour la commodité des jugements. Les hommes sont désormais pauvres de sens parce qu’ils se volent eux-mêmes. Ce n’est pas la difficulté de comprendre la vie moderne, qui en est la cause : ils volent des éléments à leur propre personnalité.

renato dit: à

moderne, qui > moderne qui

D. dit: à

Il faut bien se garder d’imaginer que notre République laïque – à laquelle je tiens à mettre une majuscule parce qu’elle a réalisé de grandes choses néanmoins – a pour objectif de défendre les religions. Rien de plus faux. Elle défend la liberté de croire et de penser, ce qui est fort différent.
La République est au contraire constituée et paramétrée pour anéantir à tout petit feu les religions, y compris celle judaïque, et elle y parvient très bien.

Janssen J-J dit: à

@ DHH, merci pour ces intéressants précisions comparatistes dans les manière de servir les différents cultes monothéistes. Permettez moi de vous faire remarquer que je ne posais aucune question à ce sujet mais m’émerveillais de la sagesse de la dame. C’est notre ami D. qui manifestait son incompréhension et indignation habituelled, me semble-t-il !…
Cela n’a au reste pas grande importance sans doute, mais je n’aime pas trop être comparé à ce mangeur de sardines.
Laissez-moi gentiment vous faire remarquer, et très amicalement, que les alsaciens Erkmann et Chatrian étaient bel et bien deux créatures distinctes et non point un seul écrivain, (tout comme le furent les charentais Boileau-Narcejac, etc)… Je précise juste cela pour les enseignants en poste à l’RDL qui l’ignorent bien souvent, tout en vous remerciant d’avoir établi un judicieux parallèle avec LEUR célèbre roman, l’ami Fritz. Mes bien sincères amitiés (sucrées…, oui et alors, lmd ?) bàv,

D. dit: à

Je laisse maintenant à chacun son non-déchirement. Et sa conscience, de façon acessoire.

D. dit: à

Mais moi JJJ, je n’oserai pas vous comparer à une sardine.

D. dit: à

Dans la religion catholique nous avons de grandes saintes dès les débuts du christianisme. Une pléthore. Avec des autels qui leurs sont consacrés dans les églises. Cette année 202o nous célébrions particulière ment Sainte Geneviève. Un exemple parmi mille autre.

Janssen J-J dit: à

@ DHH… Suis allé vérifier, et je vous copie-colle ma précédente intervention, à partir d’un CC d’une réponse de Delphine H (citée entre guillemets)…

Janssen J-J dit: à

« Rabbin laïc ? Cet oxymore était censé rassurer les non-croyants. J’ai sursauté, mais en fait, c’est si juste : mon identité n’est pas univoque. Je suis une femme, un rabbin, et je suis profondément attachée à la laïcité » (DH)

C’est pas mal, ce que dit cette Delphine-là. Je me demande si elle a un chat…
—-

Je n’évoquais que le célèbre chat du rabbin. Et seul comme d’habitude,jzmn avait bien suivi le film, au vu de sa réaction fulguravissante… C’est un remarquable critique de cinéma, est-il besoin de le repréciser ?

et alii dit: à

pour comparer:
Condamné à cinq ans de prison dont trois ferme pour un viol et deux agressions sexuelles commis en réunion, le maire (LR) de Draveil a été incarcéré mercredi en fin de soirée. Son ancienne adjointe, Brigitte Gruel, écope d’une peine de deux ans de prison avec sursis. Les deux condamnés seront inscrits au fichier des auteurs d’agressions sexuelles ou violentes.

Janssen J-J dit: à

@ je n’oserai pas vous comparer à une sardine.

Vous avez fait bien pire, DD, à moinsss que ce ne fût votre célèbre troll malveillant comme un chacal… Et puis, les sardines, pourquoi en faire une morue, franchement, hein ?

D. dit: à

Je n’ai aucun troll malveillant. Qu’est-ce que c’est que ces balivernes ?

FX dit: à

Italo Calvino fut aussi un poète chantant de la prose écrite :

« Ce pickpoète qui vole ses mots à l’étalage du printemps. ».
De quel livre de Calvino est extraite cette jolie perle ?

renato dit: à

P.S. Chez la femme aussi.

Bloom dit: à

En France, les juifs doivent à la Révolution d’exister comme citoyens à part entière.
Zakhor!
Voir Robert Badinter, Libres et égaux 1789-1791.

DHH dit: à

@J3
ils etaient 2 mais ils ne le disaient pas. et se dissimulaient sous ce nom composé
j’aurais eu le sentiment de trahir leur incognito si j’avais ecrit :Erckmann et Chatrian
de mon temps on les lisait beaucoup à l’ecole primaire quand restaient encore vivaces des résidus d’esprit revanchard , a cette epoque où on nous emmenait en rang au monument aux morts chanter de manière totalement anachronique :Vous avez eu l’Alsace et la Lorraine-(qu’ils avaient déja perdues plus de 40 ans avant) mais notre coeur vous ne l’aurez jamais!

Janssen J-J dit: à

@ Gars d’Afi: « Clèves, Zalo! »

« Khadafi : crève, Sarko! » (décryptage possib)

J’oserions point y croire, bl., venant d’un homme tel que vous… Démentez-moi 🙂

renati dit: à

« Ce pickpoète qui vole ses mots à l’étalage du printemps. »

Elle ne me semble pas calvinienne cette perle.

Janssen J-J dit: à

Bien sûr que si, D. mais vous ne contrôlez pas toujours les trolls qui vous usurpent… Facile de se rétracter au moment de passer au confessionnal quarante jours avant la PAC, ou de jouer opportunément de votre oublieuse mémoire. Mais moi, j’ai beaucoup souffert du harcèlement de vos balivergnes, sachez-le ! Je souffre aussi pour vous, tel le cristh en croix abandonné par son pair pour la rémition de nos pêchers et pour la résurrexion de la chaire, et le charabia subséquent.
Bàv,

DHH dit: à

@Jazzi
Si j’ai bien compris vos balades amicales à travers Paris vous ramèneront dans mon quartier, sous les fenêtres de Monica Bellucci, quand les bermudas refleuriront chez Simon

D. dit: à

Patronne secondaire de la France, après Sainte Jeanne d’Arc. Docteur de l’Église.
Répandant une pluie de roses sur ceux qui lui demandent des grâces avec confiance. Quel bonheur que cette petite Thérèse. Dieu l’aimait tant qu’il a fait neiger la nuit de sa naissance au ciel, après de grandes souffrances en communion avec la rédemption intemporelle de Notre Seigneur Jésus-Christ, parce qu’elle lui avait demandé !

Janssen J-J dit: à

si par une nuit d’hiver, je débarque chez Abderrhamane Lounès… je voik :

Il est connu comme « pickpoète qui vole ses mots à l’étalage du printemps », critique littéraire, nouvelliste, journaliste, chroniqueur, romancier, scénariste de « bombes » dessinées, billettiste, dramaturge, sketchman, comédien, réanimateur culturel, parolier, traducteur.

D. dit: à

Ah elle croyait, elle croyait. Pouvait-on, a-t-on pu, être plus croyante qu’elle ?

D. dit: à

Écoutez, JJJ, j’écris de belles choses et vous vous venez les ternir avec des crottes de bique deposées pour ainsi dire consciencieusement. Alors flûte à la fin.

FX dit: à

@ Renati dit : « Elle ne me semble pas calvinienne cette perle ».

Mais si, Renati ou Renato, elle est « calvinonienne » cette perle.
Elle se trouve dans un dialogue entre deux personnages de son tout premier roman » Le Sentier des nids d’araignées ».
Lisez ou relisez le livre et vous verrez.

Janssen J-J dit: à

Cessez de jouer aux foldingues des cours de récré, D., à 45 balais vous avez passé l’âge. Et laissez-moi blasphémer à ma guise avec l’ortog
Bàv,

FX dit: à

C’est A. Lounès qui a piqué cette phrase à Calvino. Je vous le jure.
Lisez le roman de Calvino.

et alii dit: à

Dne nous propose jamais de Dessert ;il ne peut pas comprendre qu’après le Paris Brest de TANGUY Viel,j’aime le Saint Honoré

rose dit: à

Delphine Horvilleur, rabbin.
Chez les.musulmans on appelle cela l’école coranique.
Chez les chrétiens, le catéchisme.

Le but n’est pas d’enseigner un dogme.

rose dit: à

de vos balivergnes, sachez-le ! Je souffre aussi pour vous, tel le cristh en croix abandonné par son pair pour la rémition de nos pêchers et pour la résurrexion de la chaire, et le charabia subséquent.

Janssen J-J

Com c beau.
Vous êtes inspiré.

rose dit: à

Et alii, c vrai, nous avons pmis de parler de la pompe à huile, à Noël, un des treize desserts.

et alii dit: à

Delphine Horvilleur a aussi des enfants et quand la maîtresse a demandé à sa fille ce que sa mère faisait, la gamine a dit que sa mère chantait, qu’elle était chanteuse

D. dit: à

42 depuis novembre JJJ. Vous me vieillissez

rose dit: à

Bon, D., vous tournez en rond, croyé-je.
La saison intermédiaire sans doute.

rose dit: à

D.
Hier au soir, vu les/mes amis italiens.
Il m’a dit, tilali tilala, puis il a rajouté « ce matin je viens de comprendre quelque chose de ma femme ».
Puis, il a éprouvé le besoin de dire qu’ils vivaient ensemble depuis huit ans et demi.

Laissez-vous porter.
Bloumb.
Laissez faire.
Ne cherchez pas à comprendre.
Cela vous tombera sur la tête au moment où vous vous y attendrez le moins.
C com cela que cela se passe.
Je ne sais pas quoi mais bloump.

rose dit: à

Le Saint Honoré, moi aussi.
Avec ou sans crème de marrons au fond sur la pâte ?

renato dit: à

FX, si vous le dites ça doit être vrai, même si la forme ne correspond pas à l’expérience néoréaliste du Calvino de l’immédiat après-guerre.
Mais puisque tout est possible autour de 73 printemps, pourriez-vous me donner une trace afin que je trouve cette perle en italien, car l’origine de « pickpoète », si de traduction il s’agit, me laisse perplexe ?

Bon, mainetenant Dry Martini.

FX dit: à

@ Renato,
Je n’ai pas lu le roman de Calvino en italien ! Je ne sais pas un traître mot de cette belle langue malheureusement.
Mais dans l’édition de poche Folio parue en 2013 dans laquelle j’ai pu lire ce beau livre de Calvino traduit de l’italien au français par Roland Stragliati, cette « perle » en français s’y trouve.

Janssen J-J dit: à

r – je crois qu’il se trompe…, c’étati dans Marcovaldo, ou dans ‘Le corbeau vient le dernier’, si ma mémoire est Palomar…, pas dans le « sentier…

D, – je pardonnerai à votre jeunesse, mais à cet âge-là, on baise au bordel, on va pas à la messe tous les jours…, du moins c’était mon cas quand la rdl était pas née,

r – whiskey soda pour moi (glenfiddish). Tchin !

et ma rôz – (soupir)

FX dit: à

N’oublions pas que traduire c’est réecrire.
Les traducteurs sont des « réécrivains ».

Phil dit: à

l’heure est donnée par le martini de Renato, c’est le prestige du blog à passou.

renato dit: à

Relire Calvino à la recherche d’un « borsaiolo-poeta », donc.

Janssen J-J dit: à

je ne sais pas vous (conne on dit), mais moi, j’ai vu une correspondance assez troublante entre le roman de T. Viel (articoe 353 du C(P)P) et celui d’Erri de Luca (Impossible). Autant admirables l’un que l’autre… Leur avais donné à lire, étudier et comparer les deux à mes étudiants en procédure pénale, histoire de leur montrer comment le droit pénal pouvait servir de fil conducteur à des intrigues romanesques où nous pouvions saisir l’influence d’un contexte historique et juridique particuliers sur la manière de l’implémenter aux situations les plus variées. Quelques-uns, les plus rétifs au droit positif furent emballés par la démarche, et se sont vus recevoir les meilleures notes lors de cet exercice. Et puis, sont retombés dans leur habituelle apathie et la consultation de leurs smartphones, en faisant mine de prendre des notes.

puck dit: à

@ »Je n’évoquais que le célèbre chat du rabbin »

maintenant que nous avons une éminente et intelligente femme rabbin nous espérons voir prochainement sa version féminine.

puck dit: à

@ »Dieu l’aimait tant qu’il a fait neiger la nuit de sa naissance au ciel »

comme phrase c’est beau.

signé : Rachel puck.

puck dit: à

« Si j’ai bien compris vos balades amicales à travers Paris vous ramèneront dans mon quartier, sous les fenêtres de Monica Bellucci, quand les bermudas refleuriront chez Simon »

????

puck dit: à

« Qu’est-ce que j’aurais pas donné pour être présent le 9 décembre 2009 à la Bibliothèque nationale du Pérou à Lima… »

plagiat !!! c’est l’incipit d’un polar de Diego Trelles Paz dont le titre « être le 9 décembre 2009 à la Bibliothèque nationale de Lima n’était un alibi suffisant »

un titre assez long du reste, du coup l’éditeur la fait réduire à « l’Alibi… ».

quant au résumé on peut lire en 4ème de couverture (je l’ai devant les yeux) :

« Un livre où il est naturellement question des livres et des auteurs qui les ont marqués, du statut de la fiction, de l’engagement de l’écrivain et de la nécessité d’être fidèle en premier lieu à ses propres démons fut-ce aux dépens de ses devoirs vis-à-vis de la chose publique… »

et alii dit: à

rose, sans crème ;je me méfie de ma gourmandise!
bon,il fait nuit;j’ai rêvé de stylos à réservoir, plein, detrès beaux stylos,j’avais une boutique à PARIS QUARTIER SAINT MERRI? PRESQUE EN FACE DE L’EGLISE;
demain deuxième dose vaccin-celle qui fatigue!
bonsoir

Didier dit: à

Pour Gigi, cette vieille handicapée désespérée, ces quelques vers pour lui remonter le moral (après sa mort) :

Ce n’était pas la peine
mon pauvre Janssen
de t’ouvrir les veines
pour que ta vie s’éteigne
car tu n’étais qu’un minable
que même la mort dédaigne
alors pourquoi, misérable
t’es-tu donné cette mort vilaine.
Tu aurais pu continuer
à vivre indignement
comme toujours tu l’as fait
sans se poser de questions
mais tu as choisi de crever
à la manière lâche des suicidés.
Ta tombe maintenant est pleine
de mauvaises herbes et de lichens
même pas une fleur ni un chrysanthème
car tes proches, jamais de toi, ne se souviennent
et ta mort comme fut ta vie est vaine.
Pauvre, pauvre Janssen…
La la la la la laaaaaaa…

puck dit: à

j’ouvre donc ce polar de cet auteur de polar péruvien peu connu du grand public et donc facilement plagiable et qu’est-ce que je lis :

« Carmen remonta sa culotte… Choquée par cette violence, humiliée d’avoir été ainsi dégradée et soucieuse de ne pas se voir reprocher tous les torts comme c’est la règle, elle pense éviter le scandale en ne se confiant qu’à son journal intime. Ce n’était qu’une bombe à retardement qui explosera au lendemain de son suicide ! Comme d’hab a famille se désintègrera sous le coup de la révélation, laquelle cristallise tout ce qui la minait souterrainement de longue date et depuis longtemps. »

si ça c’est pas du plagiat qu’on me dise ce que c’est !!!

Janssen J-J dit: à

Bien vu… les biques ont toujours été des animaux consciencieux.
Vous dites beaucoup de vérités à votre insu, à votre âge axial. Savez-vous que vous rejoindrez le ciel à 84 ans, en principe. Vous aurez repris avec Ed., le suite du taulier, vous le méritez. Il en faut tjs pour préparer la relève que disait Nico puis Gerald,… etc. Tchin !

puck dit: à

« Et puis, sont retombés dans leur habituelle apathie et la consultation de leurs smartphones, en faisant mine de prendre des notes. »

et ça c’est le copié collé d’un poème de Houellebecq ! :

Et puis…
sont retombés dans leur habituelle apathie
la consultation de leurs smartphones
en faisant mine…
de prendre des notes.

et alii dit: à

je suppose que c’était l’ECRITOIRE,la boutique de mon souvenir

Janssen J-J dit: à

@ Merci Didier pour cette élégie un brin laborieuse, mais néanmoins prometteuse.

Je remarque une coquille dans le vers suivant, pour votre postérité, il faudrait sans doute corriger :

sans se (TE) poser de questions

Bàv, ma troll adorée, Tchinz,

Janssen J-J dit: à

l’ECRITOIRE ?
est-il toujours un bistrot à proximité de la Sorbonne sur la place, où mes étudiants révisaient, naguère, jzmn ?… J’espère qu’il existe encore, quoique le patron et les employés fussent de sacrés cons, parfois… Se croyaient un brin supérieurs aux sorbognards qui avaient déteint, depuis le temps…

Bloom dit: à

« Le chat du rabbin appartiendra à la famille entière, mais seul son mari connaitra la chatte de la rabbine ».

Raymond de Tolède, cabaliste, Tolède, 13e s.

et alii dit: à

ce que l’on trouve aujourd’hui à l’écritoire (sur la toile)
Envie de sceller une enveloppe ou un faire part avec un cachet de cire à la forme d’une rose ?

Ce sceau à cacheter ovale présente une petite rose entourée d’un cercle ouvragé. Délicate et profonde, la petite rose habillera avec élégance les courriers et autres invitations.

L’étain est une ressource naturelle, non toxique, et totalement recyclable. Le moulage en fonderie de l’étain permet de réaliser un sceau avec une profondeur de relief des pétales de la fleur et une grande richesse de détails.

Sur cette image, le cachet est réalisé en cire naturelle de couleur rouge traditionnel, et rehaussé de doré au tampon encreur. La cire à cacheter et le tampon encreur (doré ou argenté) sont vendus séparément.

Janssen J-J dit: à

Vous ne pouviez pas mieux tomber sur le plagiat de mon poème favori, le (gi) Gi-Paète… Pour l’égaler, il vous faudra mourir tardivement, mais aurez-vous assez de temps de vous hisser à cette hauteur ?
___________
Dans une terre grasse et pleine d’escargots
Je veux creuser moi-même une fosse profonde,
Où je puisse à loisir étaler mes vieux os
Et dormir dans l’oubli comme un requin dans l’onde,
Je hais les testaments et je hais les tombeaux ;
Plutôt que d’implorer une larme du monde,
Vivant, j’aimerais mieux inviter les corbeaux
A saigner tous les bouts de ma carcasse immonde.
Ô vers ! noirs compagnons sans oreille et sans yeux,
Voyez venir à vous un mort libre et joyeux ;
Philosophes viveurs, fils de la pourriture,
A travers ma ruine allez donc sans remords,
Et dites-moi s’il est encor quelque torture
Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts !
_________

Bàv, tchin !

et alii dit: à

Chez les.musulmans on appelle cela l’école coranique.
je croyais qu’on disait Madrassah

Janssen J-J dit: à

@ demain deuxième dose vaccin-celle qui fatigue!

Soyez courageuse, tout va bien se passer, en principe ! Bonsoir.

et alii dit: à

C1: Mbappé voit triple et Paris se venge du Barça, Liverpool se réveille

rose dit: à

La littérature est leur engeance.

et alii dit: à

mon père était parfois prévoyant:un jour à table, il m’a dit:je t’ai fait un cadeau :c’était une place sous terre ,mais je n’ai jamais su où; chez nous il y avait toujours des histoires de caveau , de qui a pris la place de qui (dans le caveau, bien sur) à croire qu’on ne pensait qu’à ça; en tout cas, on en parlait beaucoup

rose dit: à

Christiane

C puisque les cheveux sont grande source de tentation qu’ils se doivent d’être cachés.

Didier dit: à

Elle a changé la Gigi, elle ne s’énerve plus comme avant.
C’est un bon signe ça. Un signe certain d’une certaine sagesse.
Rien de mieux que de l’auto-dérision, de l’acceptation de ses défauts et du nietzschéen Amor fati pour traverser la vie.
Vous n’allez peut-être pas me croire, Janssen, mais je suis plus vieux que vous. J’ai 78 ans et des poussières et bientôt je ne serai que cendres…
Bàv,

et alii dit: à

rose, votre question sur les cheveux d’une femme ,ou la perruque relève des « lois de la tsniout »(pudeur)
La tsniout (hébreu : צניעות tzeniout, tznious ou tznies) est un domaine de pensée et de loi juive, traitant au sens large de la modestie et de la pudeur et, au sens plus restreint, des rapports sociaux et intimes entre hommes et femmes.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tsniout#:~:text=Bien%20que%20tout%20Juif%20soit,diff%C3%A8rent%20entre%20hommes%20et%20femmes.

rose dit: à

Et alii
Mon pâtissier le fait avec crème.
La seconde dose n’est pas affreuse. Vous allez être protégée, bravo. Je démarrerai après vous.
Êtes-vous Astra-Zeneca ?

et alii dit: à

rose, je n’ai pas peur du vaccin;il est nécessaire ; pour la fatigue, on verra; j’adore rester au lit!
nos histoires de patisserie me font très envie ;ce n’est pas raisonnable; j’aime la patisserie ! pas trop crémeuse (et puis on s’en met partout!)quand même ;bonsoir!

et alii dit: à

D, n’oubliez pas què KUSAMA EST VOTRE AÏNEE/
Yayoi Kusama est un nom familier et un artiste pas comme les autres. L’histoire de sa vie, qui implique d’intenses troubles mentaux et émotionnels, est aussi celle de la persévérance: à 91 ans, elle continue de faire des œuvres révolutionnaires et de gagner le public du monde entier.

À travers l’émotion sincère qu’elle imprègne dans chaque œuvre, Kusama fournit un langage partagé qui transcende les frontières. Une partie de son attrait est son honnêteté et sa bravoure, et sa discussion vocale sur les luttes de toute une vie auxquelles elle a été confrontée. Sans titre , une œuvre de 1967 appartenant à la collection du Minneapolis Institute of Art, en particulier, est un bel exemple de la manière dont son travail encourage l’empathie. COURAGE
Yayoi Kusama est un nom familier et un artiste pas comme les autres. L’histoire de sa vie, qui implique d’intenses troubles mentaux et émotionnels, est aussi celle de la persévérance: à 91 ans, elle continue de faire des œuvres révolutionnaires et de gagner le public du monde entier
https://news.artnet.com/art-world/yayoi-kusama-three-facts-1944344?utm_content=from_newscta&utm

Jean Langoncet dit: à

)@c’est aussi ça

Pour l’heure, c’est une tripotée de fausses pattes en épouvantail)

Janssen J-J dit: à

@ Didier / J’ai 78 ans et des poussières et bientôt je ne serai que cendres /

mais non, ne dites pas ça mon Didier : JiCé (et Paul Edel) ont le même âge que vous, et ont encore toute la vie devant eux, une excellente mantule, semble-t-il. Et quoi, le monde aura ses cendres, un jour. En attendant, préparons-nous un bon barbeuc !… JJJ, Il a hâte d’atteindre votre âge. 76 : on peut encore (re)lire tte la collec. des Tintin durant un an, rendez-vous contre !…
Bàv.

et alii dit: à

Dans son autobiographie, Kusama raconte le traitement que lui a fait subir sa mère, une femme au tempérament impétueux qui avait pour habitude de se venger de l’attitude volage de son mari sur la fillette. On comprend alors assez bien le besoin d’indépendance et de force de caractère de la jeune artiste. Ses parents ont ainsi, par leur attitude, contribué à l’aspiration révolutionnaire de l’artiste.

« Au beau milieu d’une famille aussi toxique que celle-ci, la seule chose pour laquelle je vivais était mon art. Et comme je manquais de sens commun dans mon rapport aux gens et à la société, les conflits avec mon entourage se sont aggravés plus encore. La pression mentale et mon anxiété naturelle se faisaient de plus en plus présentes à mesure que les critiques me visaient, et l’avenir commença à me paraître sombre et répugnant3. »
kusama

Janssen J-J dit: à

hélas, même avec deux doses, paraitrait qu’on peut encore contaminer les autres, qu’il a dit not’ play-boy avec un sveu, ce soir…
C’est pad’ d’veine !…. Et l’autre qui m’a demandé : mais alors ça sert à quoi ?. J’ai un brin cané, avant de réfléchir. Me suis dit, té j’vas demander à D., il est si intelligent sur ce dossier. Alors voilà, quid ? J’y réponds quoi ?

D. dit: à

JJJ, ça y’en a vaccinés beaucoup moins longtemps porteur le virus et beaucoup moins y’en a le virus. Ça y’en a compris ?

D. dit: à

Puisque personne ne m’aime, je quitte ce blog.

FX dit: à

Puisque personne n’aime D., je quitte ce blog.

Didier dit: à

Puisque personne n’aime D., je quitte ce blog.

rose dit: à

Eh bé, il n’y aura plus personne. 😥

rose dit: à

D. dit: à
JJJ, ça y’en a vaccinés beaucoup moins longtemps porteur le virus et beaucoup moins y’en a le virus. Ça y’en a compris ?

D
Si vous avez cinq minutes pour m’expliquer pourquoi ma maman vaccinée est bouclée dans sa chambre depuis,,, elle a attaqué hier sa sixième semaine ?
Lorsque je lui ai demandé « de quoi as-tu besoin ? », elle m’a répondu de liberté.

Elle a rajouté « parce que dans cette chambre je me sens en prison. »

rose dit: à

Et alii
M’avez pas dit la marque.
Kusama
Et la force intrinsèque d’avoir eu une enfance heureuse ?

rose dit: à

Bon.
Debout les morts, réveillez-vous.

Bloom dit: à

CONFIDENTIAL

NOTE OF A MEETING ON THE MAZE PRISON PROTEST ON 2 MARCH 1981

1. It was confirmed that one prisoner, Sands, had been refusing food from yesterday. He had today asked to be moved to a single clean cell with bedding and this has been done. Sands is due to receive statutory visit on 3 March from 3 visitors, one of whom has been identified as a journalist for the  »Guardian », David Beresford.

2. In addition to this action Republican prisoners on the  »dirty » protest have indicated that they will be coming off this protest and have asked to be moved to clean cells with beddding. It is expected that 250 prisoners will be in clean cells by tonight and the remainder by Wednesday (…)

Bulletin de santé, 2 mars 1981

ROBERT GERARD SANDS – N0.C/950/77 H.3 BLOCK

Poids: 64 kgs
Tension: 116/70
Pouls: 78
Urine: Albumine nil
Déshydratation: Nil

Etat de santé satisfaisant

D ROSS
Médecin chef
Hopital
Prison de Sa Majesté
Maze
Lisburn
Co Antrim

2 Mars 1981

et alii dit: à

rose, votre maman semble assez lucide pour parler de besoin de « liberté »; et elle peut surement comprendre
qu’avec le covid, tout le monde se sent privé de liberté: vous pouvez lui expliquer sommairement , même si c’est dur pour elle ; la vieillesse nous affecte différemment ! heureusement que tous les contributeurs ne disent pas comme D. .Ne régressons pas! certains considèrent les plus de soixante cinq ans comme des enfants, d’autres tout le peuple français; donc tous logés à la même enseigne dit-on ;essayons un peu de « résister » ,de justifier un « éloge » de la « résistance » courage! courage!

JiCé..... dit: à

PS RECTIFICATIF
« Didier, JiCé (et Paul Edel) ont le même âge que vous, 78 ans » (Gigi, l’immonde visqueuse)

Ne mélangeons pas le vice et la vertu !
– J’accuse 98 ans tout rond, me déplace en fauteuil roulant Rolls-Royce depuis l’âge de 28 ans ayant été amputé des deux jambes par une équipe de saoudiens aux ordres du Divin Barbu, lesquels ont complètement raté mon égorgement.
– Paul Edel, lui, accuse 58 ans, sa photo de blog en témoigne et se déplace par sauts et gambades de rendez vous galants en rencontres intellectuelles savoureuses. Frais comme un jeune dauphin joueur, il mène la vie dont j’ai rêvé : célèbre, gai, cultivé, sachant écrire malgré une nymphette romaine sur chacun de ses genoux, bâbord et tribord, par tous les temps…

Bref, pour résumer, puisque personne ne m’aime, je quitte ce blog. Définitivement !

rose dit: à

et alii dit: à
rose, votre maman semble assez lucide pour parler de besoin de « liberté »; et elle peut surement comprendre
qu’avec le covid, tout le monde se sent privé de liberté.

Et alii
Nous sommes également privés de cinéma, de musées et de théâtre et de restaurant et avons drastiquement rétréci notrz vie sociale.
Mais, vivez-vous dans 13,40 m² plein nord ?
Depuis une semaine et deux jours aujourd’hui, elle prend ses repas ds la salle à manger avrc 5 autres personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
L’espace protégé i-e enfermé, bouclé est situé plein nord au sous-sol.
Faire vivre cela à nos parents est-ce humain ?

Je n’ai pas eu de réponse à ma demande de rendez-vous.
Je n’ai pas de kalachnikov.
Pas même un couteau de cuisine.
Je suis dans le train, nous venons de passer Aix, je l’ai pris à 7h11.
En premier, vais aller chez Bensimon, puis l’opticien puis à lEhpad.
Quatre quart au citron, friandises, radis roses. Cela lui a fait envie hier soir.

Imaginez-moi aux Baumettes.
En même temps, cela donne un sens à ma vie qui n’en a pas.

rose dit: à

Maintenant il est tjrs possible de relativiser en comparant au marture que vit le peuple syrien

« Plainte devant la justice française contre les armes chimiques en Syrie

Des ONG appellent à la création d’un tribunal spécial pour juger les crimes du régime syrien.

Par Stéphanie Maupas(La Haye, correspondance)

Publié aujourd’hui à 07h40, mis à jour à 07h56 

In Le Monde.fr »

rose dit: à

au martyre du peuple syrien

christiane dit: à

Merci, Et Alii, pour ces explications, perruques, voiles, foulards… Même désir de mettre les femmes sous cloche, en public. Vanité des hommes… Ces pratiques religieuses n’ont guère fait évoluer l’image de la femme tentatrice depuis le Moyen âge ! Je ne regrette pas de m’être éloignée de ce monde hypocrite. Mais enfin, merci quand même.

Janssen J-J dit: à

@ Bref, pour résumer, puisque personne ne m’aime, je quitte ce blog.
… ce n’est pas vrai, l’immonde visqueuse (IV) vous aime, vous le savez. Restez avec Elle, est très forte pour consoler les mourants en chaises roulantes de ne point désespérer, mais d’espérer au contraire. Dieu aime toutes ses brebis.
Belle journée à pkl, on nous annonce le beau temps. Carpe diem jissé. Bàv,

Janssen J-J dit: à

Un poète régional vient encore de partir.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_Bec_(po%C3%A8te) – Je ne le connaissais pas. Mais personne ne m’en a parlé. Je le salue à tout hasard, suis sûr qu’il n’a jamais fait de mal à personne sa vie durant, comme tous les poètes.
NB / amitiés au passage à M. Prunier, professeur d’allemand. Aucune nouvelle de notre internaute brésilien, j’espère qu’il n’a pas fait naufrage sur l’Orénoque lors de sa dernière expédition chez les Yanomami.

Jibé dit: à

@Christiane
à dire vrai, ce monde n’est même pas hypocrite: c’est très ouvertement qu’il colle la moitié de l’humanité sous cloche, perruques et voiles étant des illustrations parmi des dizaines d’autres de ce que le patriarcat fait des femmes.
Et ce n’est pas fini, les forces de résistances sont proportionnelles aux forces de libération des mouvements féministes ou autres (voir le livre contre les femmes » d’Abram De Swaan, ed du Seuil -multiples recensions sur le web)
Je l’observe moi-même tous les jours à la fac, à quel point les jeunes femmes les plus douées (ou pas) se font damer le pion par des garçons bien plus sûrs d’eux et moins doués souvent (et c’est un tout petit poste d’observation).

Jibé dit: à

forces de résistance
scusi

Jibé dit: à

Les mâles mettent les femmes sous cloche pour être sûrs de qui est leur descendance, preuve de leur manque de confiance en eux s’il en est… Et de la force des femmes. Seule la mère sait qui est le père. Et ça, c’est insupportable, en régime patriarcal!

Jazzi dit: à

« Y a-t-il des souvenirs que vous pouvez dire identiques ? »

Factuellement, oui, Christiane : une date, un lieu, une personne…
Mais sur le plan mémoriel, jamais !

Un autre exemple, qui m’a fait prendre conscience de ce fait.

Au terme d’un parcours dans le 16e arr., l’automne dernier, nous nous sommes retrouvés sur l’avenue Foch.
Nous nous sommes aussitôt souvenus de la découverte que nous fîmes de cette célèbre avenue, un demi-siècle plus tôt.
Nous avions alors dix-huit ans et venions de rentrer en terminale.
A l’occasion des vacances de la Toussaint, j’avais proposé à Hector de m’accompagner passer quelques jours à Paris.
Je commençais mes premières incursions dans la capitale, en vue de m’y installer dès le bac en poche.
J’y étais déjà venu l’année précédente avec un autre ami.
Je disposais sur place de l’ancienne chambre d’étudiant que mon cousin germain et parrain, plus âgé que moi d’une dizaine d’années, mettait gracieusement à ma disposition.
Devenu assistant réalisateur à la télé au sortir de l’Ihdec, celui-ci s’était installé avec sa compagne dans un petit appartement plus confortable près du parc Montsouris.
C’était une grande chambre claire, située rue de la Reine-Blanche dans le quartier des Gobelins. Avec l’eau courante sur le palier et les WC à la turque entre deux étages. Il fallait aller aux bains publics de la rue Mouffetard pour prendre une douche.
Avant notre départ, j’avais informé, Viviane Clark, une camarade de classe, de mon prochain séjour à Paris. C’était une Parisienne dont le père avait été muté à Cannes. Une belle grande brune à cheveux longs, qui portait souvent des bottes de cuir et cultivait un look androgyne, un mélange de Patty Smith et de Françoise Hardy.
Elle me dit qu’elle y serait aussi et me donna le numéro de téléphone de sa tante, chez laquelle elle résiderait.
C’est ainsi qu’un beau soir nous nous sommes retrouvés sur l’avenue Foch et avons découverts les charmes discrets de la bourgeoisie…
Et bien de cette soirée, Hector et moi avons gardé des souvenirs très différents.
Lui me dit que nous avions été invités à dîner dans l’appartement cossu de la tante de Viviane Clark et qu’en repartant dans la nuit sur l’avenue Foch, un peu perdus, nous avions arrêté un taxi pour lui demander dans quelle direction se trouvait la station de métro la plus proche. Le chauffeur nous aurait indiqué que nous tournions le dos à la place de l’Etoile et que nous nous enfoncions en direction du bois de Boulogne…
Si je me souvenais bien de la grande impression que le somptueux immeuble en pierres de taille et les tapis épais de l’appartement avaient fait sur moi, j’avais gardé un tout autre souvenir de la soirée. Selon moi, nous étions allés tout les trois voir Jacqueline Maillant au théâtre, dans une pièce de boulevard !
C’est ainsi qu’en recollant les pièces fragmentées et complémentaires de notre mémoire nous avons à peu près reconstitué le puzzle entier de cette mémorable soirée.
A la manière des enquêteurs sur la scène du crime !

renato dit: à

La vengeance ce n’est que du temps jeté à la poubelle, et tant pis si cette poubelle c’est de la littérature.

Jazzi dit: à

« Si j’ai bien compris vos balades amicales à travers Paris vous ramèneront dans mon quartier, sous les fenêtres de Monica Bellucci, quand les bermudas refleuriront chez Simon »

Peut-être bien que oui, peut-être bien que non, DHH.
Au gré de nos fantaisies baladeuses.
Mais les Gobelins-Arago-René-Le-Gall est un itinéraire récurrent dans mes parcours.

Soleil vert dit: à

Devant la muraille nrf poésie au Divan.
Nouvelles entrées qui ne m’inspirent pas.

J’effleure un nom connu et aimé, André Frénaud :


Quand je remettrai mon ardoise au néant
un de ces prochains jours
il ne me ricanera pas à la gueule
mes chiffres ne sont pas faux
ils font un zéro pur.

renato dit: à

J’ai repensé à cette futile expression que quelqu’un ici a appelé, sans rire, « education bourgeoisie », et revenu sur des textes majeurs du XXe siècle : Carpenter’s Gothic et La cognizione del dolore, et me suis demandé si cet Monsieur serait capable d’écrire une seule ligne de prose à la hauteur de ces deux bourgeois.

Jazzi dit: à

« l’ECRITOIRE ?
est-il toujours un bistrot à proximité de la Sorbonne sur la place, où mes étudiants révisaient, naguère, jzmn ?… »

Oui, JJJ. Et j’en garde un souvenir ému, chaque fois que je passe devant.
Quelques années avant sa mort, ma mère est venue pour la première fois à Paris, avec ma soeur.
Et c’est à la terrasse de l’Ecritoire que je les ai retrouvées.
C’était étrange de voir ma mère assise à l’ombre de la Sorbonne !

Outre le bistro, il y a en face la papeterie du même nom, dont parle et alii…

et alii dit: à

vaccinée!
le médecin m’a confirmé qu’on pouvait encore le transmettre; et qu’il faut rester bien masqué
bonnejournée

D. dit: à

Les trolls FX = Didier s’en sont donnés à coeur-joye. Rien à voir avec moi.

Paul Edel dit: à

Merci Soleil Vert de rappeler la mémoire d’André Frénaud! Ce fils de pharmacien, fou de Rimbaud et de Dostoïevski fut fait prisonnier en 1940 .Il passe 2 ans dans un camp du Brandebourg. Il fait passer clandestinement des poèmes en France ,dés 1942,textes appréciés et soutenus par Aragon.
Extrait:
« Le Margrave de Brandebourg m’a fait trier du sable
dans les pins
pour le cœur de la bétonneuse
et mon sang de ciment battait jusque dans mes songes
… je suis sur ma pelle, tendu vers le couchant,
Le sable coule de mon visage.
(Extrait des « rois mages » 1948)

Jazzi dit: à

Faute non-avouée ne sera pas pardonnée, D. !

Si je dis « génie bourgeois », ne commettrais-je pas un oxymore, renato ?

renato dit: à

Pas du tout, Jacques. Cela dit, si j’étais vous je réviserai l’histoire européenne, heureusement je ne suis pas vous.

Didier dit: à

D.,
Ne vous inquiétez pas mon cher Dédé. L’Ichthus Jésus vous pardonne.
Faut bien que le Poisson mystique sauve son p’tit Dédé la sardine !

christiane dit: à

C’est passionnant Jazzi votre puzzle-mémoire.
De nombreux romans, jouant sur des voix plurielles laissent ainsi des vérités en suspens et des énigmes non résolues.
Une brume se saisit de notre passé et parfois nous ne savons plus si cela s’est passé ou si nous avons rêvé
.. de toute façon, le passé est révolu et, bonne ou mauvaise mémoire, chaque événement n’est vécu qu’une fois.
Ce qui est important c’est cette joie d’avoir retrouvé ton ami et surtout que vous partagiez tous ces bonheurs de paroles échangées.

christiane dit: à

Jibé,
Oui, certainement… Mais les femmes de ma famille ont depuis trois générations trouvé des chemins de traverse où amour, indépendance, joie de vivre ont construit selon leurs goûts couples ou célibats épanouis. Je crois que les hommes n’ont jamais été si fragiles dans le couple, la famille. Pour ma part, j’ai laissé place à des amitiés solides en ce qui les concerne.

Jazzi dit: à

Oui, Christiane, tous les romanciers jouent sur les caprices de la mémoire et la véracité relative des témoignages.

Jazzi dit: à

Pourriez-vous me citer des exemples et des noms du « génie bourgeois », renato. C’est pour mes révisions et sur votre aimable conseil…

rose dit: à

et alii dit: à
vaccinée!
le médecin m’a confirmé qu’on pouvait encore le transmettre; et qu’il faut rester bien masqué
bonnejournée

Félicitations.

rose dit: à

en eux s’il en est… Et de la force des femmes. Seule la mère sait qui est le père. Et ça, c’est insupportable, en régime patriarcal!

Jibé

Force des femmes bien bafouée.
C ce que disait mon père à chaque fête des pères.
En ses très vieux jours, il avait la larme à l’oeil tout le temps.
G demandé à ma mère s’il fallait le déterrer pour vérifier mon adn, comme Yves Montand.
M’a répondu non, elle est sûre de qui est mon père et c’est mon père.

MC dit: à

Sur les caprices de la mémoire après une nuit trop arrosée, Labiche, in L’ Affaire de la rue de Lourcine!

et alii dit: à

rose cela donne un sens à ma vie qui n’en a pas.
n’exagérez pas ,on ne vous croit pas là, parce qu’on attend tous de vos nouvelles; et que vos « informations » sont précieuses;je vous embrasse si vous le permettez;

et alii dit: à

juif et homosexuel
vous oubliez et poète, et même prof :j’en ai connu un ,très bosseur qui enseigne en fac aujourd’hui: pas en France

et alii dit: à

c’est drôle la presse ne rappelle pas que Sarkozy est l’homme du Latran

et alii dit: à

PRESSEE COMME JAMAIS(billet)oui, cela titille les philosophes ,ce vite vite, et même les restos qui sont des quick
« Accélération
Une critique sociale du temps
Hartmut ROSA
L’expérience majeure de la modernité est celle de l’accélération. Nous le savons et l’éprouvons chaque jour : dans la société moderne, « tout devient toujours plus rapide ». Or le temps a longtemps été négligé dans les analyses des sciences sociales sur la modernité au profit des processus de rationalisation ou d’individualisation. C’est pourtant le temps et son accélération qui, aux yeux de Hartmut Rosa, permet de comprendre la dynamique de la modernité.
Pour ce faire, il livre dans cet ouvrage une théorie de l’accélération sociale, susceptible de penser ensemble l’accélération technique (celle des transports, de la communication, etc.), l’accélération du changement social (des styles de vie, des structures familiales, des affiliations politiques et religieuses) et l’accélération du rythme de vie, qui se manifeste par une expérience de stress et de manque de temps. La modernité tardive, à partir des années 1970, connaît une formidable poussée d’accélération dans ces trois dimensions. Au point qu’elle en vient à menacer le projet même de la modernité : dissolution des attentes et des identités, sentiment d’impuissance, « détemporalisation » de l’histoire et de la vie, etc. L’auteur montre que la désynchronisation des évolutions socioéconomiques et la dissolution de l’action politique font peser une grave menace sur la possibilité même du progrès social.
Marx et Engels affirmaient ainsi que le capitalisme contient intrinsèquement une tendance à « dissiper tout ce qui est stable et stagne ». Dans ce livre magistral, Hartmut Rosa prend toute la mesure de cette analyse pour construire une véritable « critique sociale du temps » susceptible de penser ensemble les transformations du temps, les changements sociaux et le devenir de l’individu et de son rapport au monde.

DHH dit: à

@christiane
je ne sais pas si on vous a dit cette perle du machisme enkysté dans la tradition juive :le hommes dans leur prière du matin remercient Dieu de ne ps les avoir fait naitre femme

renato dit: à

Déjà fait, Jacques, mais vous ne suivez pas le fil.

L’obsolete question du génie je l’ai traitée ici-même il y a quelques jours de la ; mais puissue vous volulez y revenir, disons que ce n’est desormais qu’un problème pour les dernières roues de la carrosse, ce qui semble être votre cas.

Comme dit, essayez d’écrire un ligne de prose à la hauteur des auteurs cités plus haut, puis on verra.

Jazzi dit: à

« les hommes dans leur prière du matin remercient Dieu de ne ps les avoir fait naitre femme »

Comme renato qui me dit : « heureusement je ne suis pas vous », DHH !

renato dit: à

Extra ! entendu proposer Memphis Design comme nouveauté — « c’est tendence », qu’ils ont dit. Je me souviens que c’était dans les années 80 — 1981 – 1987 —, mais c’est bien que finalement les « informés » en parlent. J’attends impatiemment que quelqu’un vient me proposer un tire-bouchon de Mendini comle d’un objet qu’il faut absolument avoir :

https://blogfigures.blogspot.com/2011/02/alessandro-mendini-levatappi_22.html

et alii dit: à

Has Banksy struck again? Some believe that the street-art maestro is behind a piece freshly placed on a wall of the defunct Reading Prison in England, which once held Oscar Wilde. It depicts an inmate escaping. [CNN]

renato dit: à

Pauvre Jacques ! toujours à côté de la plaque.

et alii dit: à

Une œuvre d’art de style “ Banksy ” apparaît sur le côté de la prison de Reading
Par Marseille News .net – 1 mars 2021

avec l’image

rose dit: à

Amen en hébreu se dit Mazel tov, ce qui signifie « quelle chance ! » Ou alors « Enfin ! »

renato dit: à

Pour ce qui est de « heureusement je ne suis pas vous », je ne vise pas le genre mais l’individu, evidemment ; et je maintenant.

rose dit: à

Et alii
Je vous embrasse.
Arzo, pause à la cavane Gnifetti 3647 m avant le sommet du mont rose.

renato dit: à

Vacances en Vallée d’Aoste, rose ?

renato dit: à

Paul Edel et Rome, le soir.

Jibé dit: à

@Christiane
de toute façon, ce sont des généralités, dès lors qu’on parle d’individus, de proches surtout, c’est toute autre chose
Ainsi rose revient-elle à son père et la paternité d’icelui…
Je ne crois pas les hommes si fragilisés, massivement, même s’ils ont affaire à des femmes qui luttent désormais. J’en connais que tout cela fait bien rire.
Moi aussi, on se l’était déjà dit ici, j’opte pour l’amitié avec les femmes, en fait avec deux femmes qui comptent, avec qui le désir n’a pas de place.
C’est extrêmement apaisé, entre nous, je ne connais rien de plus doux ni de plus réjouissant.
Mais bref, le patriarcat, sauf cas individuels, ne faiblit pas tant que ça. Les masculinistes et autres monothéistes judéochrétiens ou musulmans alimentent la machine à reproduire de l’aliénation, les ‘tites filles en rose et les ‘tits gars en bleu, un papa/une maman, le zonage dès la cour de l’école, la sexualité porno etc etc etc

Jibé dit: à

« mon dieu, merci de m’avoir fait naître homme », le mantra juif une fois par jour.
C’est un parmi des millions d’exemples hallucinés de l’autosatisfaction masculine.
Il y a des mères pour apprendre ça à leurs gosses, encore…
On devrait tellement se foutre la paix les uns les autres. Basta.

Jibé dit: à

Amen en hébreu se prononce « amin », rose, et veut dire « que cela soit ainsi »

Soleil vert dit: à

Hommes et femmes, où comment Ursula K Le Guin (une trentaine de récompenses + une médaille « for Distinguished Contribution to American Letters ») changea notre façon de lire la littérature de genre.

https://www.partage-le.com/2018/01/29/8645/

et alii dit: à

non, jbe, ça s’écrit comme ça אָמֵן
pas de « voyelle »i donc c’est bien amen en hébreu
c’est bien le sens de en vérité »
par contre mazel tov veut dire bonne chance
tov c’est bon,bien

et alii dit: à

jbé se prend pour idi amin dada
je crois que Amin(e) est un prénom musulman

et alii dit: à

En arabe, amin signifie « digne de confiance ».

lea levy dit: à

etמזל טוב! mazel (le mot à droite) tov le mot après « et »

et alii dit: à

je supporte bien le vaccin

MC dit: à

JJJ. Ce Baudelaire là est du mauvais Baudelaire. Il fait déjà du Maurice Rollinat! Il est des catastrophes baudelairiennes.. Bien à vous. MC

christiane dit: à

Oui, DHH,
C’est bien triste, risible, dirais-je.
Les religions m’ont largement dégoutée par ce que les hommes en ont fait, s’instituant seuls capables d’être les partenaires privilégiés de Dieu.
Mais sans les femmes leur monde serait stérile, privé de descendance. Alors, ils les ont enfermées, voilées, rendu dépendantes de leur bon vouloir pour rester seigneurs et maîtres.
Pour le sexe certains ont pu se leurrer en cherchant comme fascinés leur double dans un miroir, androgynie rêvée… complémentarité mortifère, gouffre dans lequel ils se sont perdus, souvent. Effroi de la non-séparation. Peut-être ne veulent-ils pas prendre le risque de se laisser entamer, de se dé-sidérer… Quelque chose dans la relation à la mère a dû rendre impossible la rencontre avec une femme, autre.
Bon, passons à autre chose. Il y a longtemps que j’ai renvoyé loin de ma vie ces marques poussiéreuses du patriarcat et ces hommes qui ont fait un autre choix.
Figurez-vous que j’ai pensé à vous, à un de nos échanges enchantés sur « L’Age se L’innocence » d’Edith Wharton parce que je viens de revoir sur Arte le film de Martin Scorsese, « Le temps de l’innocence ».
J’ai donc revu le final, place Fürstenberg, quand Newland Archer (Daniel Day-Lewis,) part sans avoir voulu revoir Ellen Olenska (Michelle Pfeiffer), perdu dans ses souvenirs, croyant l’avoir revue à la fenêtre qu’il scrutait, à cause de la réverbération d’un rayon de soleil sur les vitres.
Edith Wharton a si bien su écrire les élans de liberté de cette femme, bien sûr réprimés, étouffés, par ce monde bien-pensant de la société new yorkaise du XIXe siècle.
Les histoires d’amour impossible sont souvent les plus belles… comme cette relation interdite entre Newland et Ellen.
Je n’ai pu m’empêcher de penser aux films de Jane Campion « Portrait de femme » où Isabel Archer, jeune Américaine, choque son entourage par son esprit libre et aventureux ou à son inverse : « La leçon de piano » où une jeune femme, Ida, parvient à échapper à son mari possessif pour s’éveiller à l’amour et au plaisir des sens.
Mœurs archaïques, soumission… femmes rebelles…
Le temps de relire les œuvres, de revoir des films où l’amour est possible, beau, durable (ou pas) entre une femme et un homme.

christiane dit: à

Jibé,
vous lire me conforte dans le plaisir d’un vrai dialogue.
Quand je disais « fragile », je pensais au problème de l’autorité paternelle et de la réaction des hommes face aux excès de certaines féministes intraitables.
L’homme n’est pas un ennemi pour la femme mais il faut prendre le large…

rose dit: à

In fine mazel tov signifie merci mais c une interjection bien plus proche de quel soulagement.

rose dit: à

 » de se laisser entamer, de se dé-sidérer… Quelque chose dans la relation à la mère a dû rendre impossible la rencontre avec une femme, autre »
Christiane

Je pense comme cela aussi. En rajoutant que se couper des femmes induit de refuser d’évoluer.

rose dit: à

et alii dit: à
je supporte bien le vaccin

Bravo, vous êtes encourageant.
Et la piqûre ?

rose dit: à

On devrait tellement se foutre la paix les uns les autres.

Je plussoie.

rose dit: à

Jibé dit: à
Amen en hébreu se prononce « amin », rose, et veut dire « que cela soit ainsi »

Amin en hébreu
En arabe c’est un prénom masculin
Notre Amen à une nuance près signifie « ainsi soit-il »

rose dit: à

Renato
Non, étais à Marseille.
Pas de vacances depuis août 2019.

Lisais un magasine Rose up sur les femmes ayant surmonté un cancer du sein qui vont gravir le mont Rose, avec une nuit à la cabane avant de gravir le sommet.

et alii dit: à

rose, si le médecin a la main, la piqure du vaccin, c’est à peine si on la sent;ce qui est incertain ce sont les effets éventuels du vaccin lui-même qu’on injecte ;pour moi, rien, ni fièvre, ni fatigue particulière; (or j’ai une constitution qui « réagit »(précédents) il n’y a pas à avoir peur ; la prise de la tension-ancien système de tensiomètre-est bien plus désagréable

Jibé dit: à

je sais etalii, que l’hébreu ne connaît pas les voyelles, mais je sais aussi que ds ma famille, en hébreu, on dit amin; c’était pour évoquer le son pas pour faire le linguiste, que je notais cela pour rose

Jibé dit: à

Christiane, « l' »homme n’est pas un ennemi et il est fragilisé c’est vrai, la représentation symbolique du mâle est affectée; « les » hommes sont si divers au reste…mais l’homme a encore le beau rôle. Nous sommes de toute manière d’accord pour nous exonérer de ce type de rapport dualiste.
Je suis en train d’écouter une émission sur la ménopause, où l’on entend bien les biais culturels et cognitifs associés à cette phase de la vie, le plus souvent péjoratifs. Les femmes savent pourtant qu’il y a de la libération dans ce nouveau moment. Il faudrait que les hommes l’entendent, au lieu de penser vieillesse à ce seul mot. Comme si on était vieux à 50 ans!
Comme homme, mes rides ne sont pas plus profondes ni mon énergie dévaluée parce que j’ai dépassé cet âge…les femmes sont des hommes comme les autres, telle est la conclusion marrante et juste de LSD (Fce culture, ce jour, 17 h). Demain, c’est andropause!!! On va déguster!

renato dit: à

Vengeance voir vindicare.

Bloom dit: à

Quand on apprend une bonne nouvelle, quand on veut féliciter quelqu’un on dit Mazel Tov!
Papa, je vais épouser ….
Mazel Tov, mon fils/ ma fille!

rose dit: à

Ce n’est pas seulement histoire d’ennemi mais de compétition au lieu d’alliance de forces sensiblement différentes. Ce qui mène à deux forces séparées au lieu de conjointes.
Pck, disons en kilo-joules, si chaque force séparée est de 150 kilo-joules, conjointes cela ferait 400. Soit nettement plus que deux isolées qui, si on les additionne feraient 300 kilo-joules.
C ma théorie.
Mais comme l’homme passablement demeuré est dans un système compétitif dans lequel il faut qu’il règne, il rabat la force de sa femme à 75kj et tout le monde est naze.

rose dit: à

Ah, là, ils disaient mes amis juifs « on va changer de jardinier »
Ah et bien mazel tov.

christiane dit: à

Le film de Visconti et la nouvelle de Thomas Mann de « Mort à Venise » planent sur le dernier très beau billet de Paul Edel. Même ambiance ouatée et un peu ténébreuse d’une ville, Rome, crépusculaire, dans une double temporalité où les souvenirs brouillent les impressions du présent du promeneur.

Jazzi dit: à

« dans une double temporalité où les souvenirs brouillent les impressions du présent du promeneur »

Quel copieur, ce Paul !
C’est Paris-Rome…

et alii dit: à

non jibé ne connaît pas les voyelles, :ça,c’est dit de manière simpliste+
« L’hébreu a un système de voyelles variables.
L’hébreu parlé à l’époque ancienne, l' »hébreu structural », en a 8 : i, a, u, et les longues î, ê, â, û, ô. L’hébreu massorétique que nous écrivons en distingue 11: Le « e » audible, les trois voyelles très brèves (hateph) et les 7 voyelles écrites (longues ou courtes). »
bonsoir

Patrice Charoulet dit: à

Boîte mail piratée

Un de mes amis me dit que sa boîte mail a été piratée. Je dis à qui ne sait pas ce que cela veut dire
ceci : le pirate envoie à tous les correspondants du piraté des messages qui se terminent par une demande d’argent. Certains tombent dans le piège.
Cet ami, grâce à un ami informaticien, a découvert d’où venait la tentative d’arnaque.
L’opération venait d’Abidjan. Je crois savoir que d’autres opérations du même genre viennent d’autres pays.
Le ministère de l’Intérieur doit avoir plus d’informations que moi en ce domaine. Il sait, lui, de quels pays viennent ces attaques. Et, à partir des informations dont il dispose, il devrait, à mon humble avis, contacter les autorités des pays concernés, les prier instamment d’enquêter et d’empêcher ces agissements, même si les victimes se trouvent loin de leurs frontières…notamment en France.

et alii dit: à

Seule la mère sait qui est le père.
rose,pas toujours! et quel père? L’IMAGINAIRE OU LE SYMBOLIQUE?

et alii dit: à

merci, idi amin dada:
En hébreu, les diacritiques sont appelés נִיקוּד (translittération : nīqūd ou nikkoud) ou נְקֻדּוֹת (translittération : nəquddōṭ ou nekuddōth), ou plus communément nikkudot ou « points voyelles ».

Il y a eu de nombreuses versions différentes, mais la plus utilisée aujourd’hui a été inventée par les Massorètes (ba’alei masorah), pour compléter l’écriture consonnantale de plusieurs abjads sémitiques (dont l’abjad hébreu, l’abjad arabe, plusieurs variantes araméennes dont le samaritain, des écritures utilisées alternativement pour la transcription de la langue hébraïque).

Les nikkudot sont de petits signes, comparés aux consonnes qu’ils complètent, et ont ainsi l’avantage de pouvoir être directement ajoutés sur un texte n’en comportant pas.

Les étudiants en hébreu, qui ne le parlent pas ou pas encore couramment, font particulièrement attention à ces diacritiques, notamment en ce qui concerne la controverse du tétragramme — écrit נִיקוּדיְהוָה en hébreu. L’interprétation permettrait de retrouver l’ancienne prononciation (authentique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Diacritiques_de_l%27alphabet_h%C3%A9breu

Soleil vert dit: à

Bonjour M Charoulet.

J’espère que vous allez bien.

Jazzi dit: à

rose et Christiane, vous semblez avoir une vision assez négative de l’homosexualité ?

Janssen J-J dit: à

@ PC L’opération venait d’Abidjan.
La filière nigérienne est épuisée depuis longtemps, on déplace les légendes urbaines vers le Sénégal. L’Afrique prédatrice aura toujours bon bon. Mieux vaut parler de ça que de la mafia sark.ozienne, moi j’ai été piraté par elle durant une décennie. AL’hors qu’on ne vienne pa me dire, hein

@MC, OK pour la lourdeur rollinatesque de ce pauvre poème de baudelaire… Pourriez-vous me donner (et à l’rdl) un assortiment de ce qui, chez lui, hors fleurs du mal, trouverait un brin grâce à vos yeux, que je ne puisse pas devoir réitérer pareille bévue. Autant m’élever à votre niveau, et dieu sait que l’apprentissage n’est pas facile. Merci pour votre réponse éventuelle, ma demande est TAF sérieuse, croyez le bien.
Bàv, tchin, c l’heure de l’herbe bleue… ces soir, juste un picon bière prolétaroïde avec de l’absinthe verlainienne, plutôt. Voyez. (2.3.21_ 19.57)

rose dit: à

Jazzi

Oui.

rose dit: à

Patrice Charoulet

On a déjà été piratée par l’Afrique noire.
C un job plein temps là-bas.

rose dit: à

C joli 2-3-2 1

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