de Pierre Assouline

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La République des livres
L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

Un auteur et son éditeur peuvent former une paire, un duo, un tandem mais un couple ? Il y faut la durée, l’intensité et une complicité qui transcende leur intérêt commun dans le pari que constitue la publication d’un livre. Sans oublier, le dernier mais pas le moindre, une certaine solidarité générationnelle. Yvan Leclerc, spécialiste de Flaubert et créateur du site et du Centre à lui consacrés et Jean-Yves Mollier, historien de l’édition, du livre et de la culture, auteur notamment d’une biographie remarquée de Michel Lévy en 1985, n’ont pas hésité à intituler Un couple explosif l’essai qu’ils consacrent à Gustave Flaubert et Michel Lévy. Leur livre est publié naturellement chez Calmann Lévy, seule maison à Paris qui peut se permettre de préciser en page de garde « éditeur depuis 1836 ».

Nés tous deux en décembre 1821 à quelques jours d’intervalle, cela crée des liens. Lorsque ces deux passionnés de théâtre font connaissance à 35 ans, Flaubert est un rentier des Lettres, libéré de l’obligation de vivre de sa plume grâce à l’héritage de son père et le placement judicieux que sa mère fit de sa dot, bien qu’il commença à vivre au-dessus de ses moyens lorsqu’il se mit à vivre à Paris ; la dilapidation est au centre de son œuvre. Il se refuse au « banquisme » comme ces charlatans qui flattent les goûts du public. Il a publié un grand nombre de textes de toutes sortes dans des revues mais Madame Bovary, dont il confie pour la première fois l’édition à Michel Lévy, est son premier roman. Disons qu’il y consent car, dans son idéal de l’art pour l’art (« Je ne vois pas le rapport qu’il y a entre une pièce de cinq francs et une idée ») puisque c’est se prostituer que de publier, un éditeur ne peut être qu’un maquereau. Sa méfiance est grande vis-à-vis de la corporation. Son notaire a d’ailleurs la charge de négocier le contrat.

Libraire-éditeur considéré comme innovateur par ses collections bon marché destinées au plus grand nombre à condition qu’ils fussent « des gens de goût », non seulement dans leur bibliothèque mais dans leur poche, classique pour ne pas dire académique, Michel Lévy se distingue par son éclectisme en publiant aussi bien Dumas, Mérimée, Féval, Baudelaire que Thiers et Louis Blanc ainsi que Labiche et autres dramaturges dans l’air du temps. L’homme fait preuve d’une certaine faculté d’adaptation : orléaniste, il se fait aussi bien à la République en 1848 qu’à l’Empire quatre ans plus tard. Leur relation se délite lorsque Flaubert est convaincu d’être exploité par Lévy :

« Je n’ai point la prétention que la Littérature me nourrisse. Mais c’est bien le moins qu’elle ne me ruine pas » lui écrit-il.

De fait, il ne reçoit qu’un forfait très modeste pour Madame Bovary dont personne ne s’attendait à un tel succès- mais c’était l’usage pour un premier roman. De plus, il estime qu’il n’a pas à se mêler du contenu de ses livres et refuse les illustrations, lui interdisant même de les lire avant la signature du contrat. La dégradation de leurs rapports va crescendo jusqu’à l’explosion, l’éditeur n’en ayant pas fait assez aux yeux de l’auteur pour honorer la mémoire de son grand ami, sa conscience et sa boussole, Louis Bouilhet. Or Michel Lévy n’était pas du genre à publier sans lire ni interférer. Il avait de son propre chef métamorphosé La Révolution, titre d’un manuscrit de Tocqueville, en L’Ancien Régime et la Révolution.

Face à cette résistance, on voit alors Flaubert glisser dans les stéréotypes antisémites, le désignant dans ses lettres non plus par son nom ou sa qualité mais comme « le juif », « l’israélite », « le fils de Jacob », « l’être immonde », « l’enfant d’Israël, « le vil circoncis »… Son éditeur, qui ne croyait pas plus dans son roman si peu romanesque l’Education sentimentale qu’il n’avait crû en son roman carthaginois Salammbô, se voit reprocher leurs commerciaux pourtant annoncés, et concentre sur lui seul son aigreur raciste. En 1872, plein de ressentiment, il se dit « fâché à mort » avec lui. Le voilà mûr pour tomber dans les filets du concurrent, Georges Charpentier. Lucide sur ses propres excès, écoeuré par la vie littéraire, il est bien décidé à ne pas « faire gémir les presses » avant des années alors que le manuscrit de la Tentation de saint Antoine est prêt. Trois ans plus tard, il ira jusqu’à regretter que la mort de Michel Lévy fut si douce.

L’examen de leur lien particulier permet, entre autres, de poser un problème qui n’a toujours pas été résolu depuis que Baudelaire s’en étonnait en 1861 : celui de la propriété intellectuelle. Autrement dit : est-il normal que les droits des œuvres soient revendus lorsque l’éditeur cède son entreprise à un autre sans que leurs auteurs aient leur mot à dire ? Au fond, le couple aura divorcé sur un malentendu faute de s’être rencontré au niveau moral et littéraire, en raison du refus de l’écrivain de considérer son éditeur historique pour autre chose qu’un épicier alors que celui-ci fut un redoutable homme d’affaires à la réussite incontestable. Quel eut été le destin de cette œuvre si l’éditeur n’avait pas empêché l’auteur de réserver Madame Bovary à une élite pour le forcer à l’offrir au plus grand nombre ?

(« Caricature de Gustave Flaubert par Pierre-François-Eugène Giraud, vers 1868 « ; «  Michel Lévy par Etienne-Gabriel Bocourt in Le Monde illustré, 22 mai 1875″)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 134 Réponses pour L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

et alii dit: à

l’histoire du « colporteur juif a été entrtenue par me mythe du juif errant selon un article sur les colporteurs juifs que j’ai plutôt survolé que lu
Enracinement et Errance :
LE COLPORTAGE JUIF EN ALSACE AU XIXe SIÈCLE
Extrait de Regards nouveaux sur les juifs d’Alsace,
Librairie Istra /Editions des Dernières Nouvelles d’Alsace, 1960

I. Les colporteurs de livres hébraïques (1850-1870) d’après les sources d’archives.
http://judaisme.sdv.fr/histoire/historiq/colporteurs/colport1.htm

MC dit: à

Moliere, meulière , la pierre, Bloom. C’est tout de même un pseudonyme de jeune homme. Aurait-il pris si tôt un symbole d’éternité , si tant est que la meulière en soit un? Par ailleurs les comédiens ne sont pas constitués en corporation et peuvent prendre n’importe quel nom. Le problème des Fleury, Champfleury, ne paraît pas se poser pour eux. (Il y a bien, pour rester dans ce lexique, Montfleury, mais c’est le Mounet-Sully de l’époque et par définition inimitable.) L’hypothèse de l’originalité alite d’un nom du au peu de variété des noms de corporation ne tient pas non plus. Le nom de Poquelin tapissier du Roi se prête n’est pas un surnom, et être tapissier du Roi est une charge. Alors? Il resterait à savoir si l’usage du nom de theatre était si généralisé qu’il l’était au moment où écrivent les grands molieristes. Ce qu’on peut dire c’est que certaines troupes ne l’emploient pas pour leur chef, comme Chappuzeau, et d’autres qui circulent en Hollande. Cependant, il est répandu dans la capitale avec l’Hotel de Bourgogne, qui paraît bien avoir importé cet usage. ( Montfleury, Floridor…) On le trouve aussi chez les burlesques avec Mondor et Tabarin, les ancêtres du sketch ! Dans ces conditions, le choix d’un pseudonyme est dans l’air du temps, qu’il s’agisse d’un auteur de roman ou d’un virtuose musical. Là ou Révérend et je crois des Granges exagèrent peut-être un peu, c’est qu’ils projettent le Moliere d’après sur le Molière d’avant. C’est assez net quand on va chercher une caution littéraire , la Polixene, chez un écrivain de roman Molière d’ Essertines, en lui prêtant une adaptation théâtrale dudit roman justement brocardée par Monval comme « une Polixene introuvable ». Reste la deuxième hypothèse : prendre un nom (pas un pseudonyme) qui eut son heure de gloire mais dans une toute autre discipline, la musique. Là ,on a les louanges de Loret, mais Moliere II n’a pas pu écouter Moliere I! Pour autant, si ce choix était prouvé , il témoignerait d’une sensibilité, peut-être d’une éducation musicale. Le seul problème que je vous à cette théorie, c’est aussi la recherche d’une figure paternelle lointaine anticipatrice des comédies ballets. Or les surnoms de comédiens sont rarement des hommages. Cela dit, la Polixene a eu son heure de gloire, le musicien aussi, et le pseudonyme de Poquelin ne se plie pas à la loi générale. Alors « ´Pierre « d’un jeune homme conscient de sa valeur avec équerre ce surnom suppose d’invulnérabilité ? Souvenir d’un jeune lecteur de Moliere d’ Essertines? Detourneur d’un patronyme de musicien? On saura sans doute jamais ,et je choisis de ne pas conclure. Un pseudonyme, en tous cas, qui a traversé les siècles.Tout est possible avec Moliere, surtout quand on l’a vu à l’œuvre, suscitant via Saumaise des Querelles très publicitaires, dont principalement celle de l Ecole des Femmes!

Paul Edel dit: à

Merci Jazzi, moi aussi Panthéon= Mausolée qui dégage du froid. Il est surtout fait pour qu’on remarque le discours du président, notre actuel discoureur de fond, privilège du monarque qui a seul le pouvoir de choisir qui peut y entrer..

MC dit: à

X Il ne vous a pas échappé qu’ Audiberti s’ appuie sur un rapprochement Moliere/ , Mulier, en latin la femme qui vaut les étymologies les plus baroques d’Isidore de Seville! Baron ne serait peut-être pas d’accord, mais c’est un autre problème 😄. Bien à vous. MC

bouguereau dit: à

la passion nest pas une plus noble prison qu’il dirait ledmond dantesse..et à table il faut parler de cul..ça nous met en bonne syntonisation avec les muscles lisses quelle dirait bonne clopine

et alii dit: à

l’épicier!
L’épicier est une figure particulièrement intéressante parce qu’il constitue une profession réelle et qu’il possède également une dimension symbolique qui l’apparente aux types sociaux qui ont été construits par des écrivains, comme le flâneur ou la grisette. À partir du xix e siècle, l’épicier devient le symbole de l’esprit bourgeois, dans le sens négatif du mercantilisme, de l’étroitesse des vues et de l’opposition à l’esprit artistique. Dans un premier temps, il s’agira d’examiner comment les Français peints par eux-mêmesmet en scène cette dimension figurée, et la retravaillent à leur façon. De sorte que la figure de l’épicier n’est plus réduite à l’aspect négatif et caricaturé du bourgeois, mais devient un symbole plus complexe et plus nuancé du citadin moderne. Dans un deuxième temps on verra ce qui l’en est dans les encyclopédies et les dictionnaires sérieux.

6L’article sur l’épicier dans les Français peints par eux-mêmes est rédigé par Balzac et un droit à une place privilégiée dans cet ouvrage. C’est le texte qui ouvre le premier volume du recueil, juste après l’introduction. L’article ne s’y trouve pas par hasard, car comme Balzac tient à préciser au début du texte, l’épicier est une figure importante de la modernité :

9 Honoré de Balzac, « L’épicier », dans Les Français peints par eux-mêmes : encyclopédie morale du di (…)
« À mes yeux, l’épicier, dont l’omnipotence ne date que d’un siècle, est une des plus belles expressions de la société moderne. N’est-il donc pas un être aussi sublime de résignation que remarquable par son utilité ; une source constante de douceur, de lumière, de bienfaisantes ? Enfin n’est-il plus le
https://journals.openedition.org/bcrfj/7422?lang=en

bouguereau dit: à

Merci Jazzi, moi aussi Panthéon= Mausolée qui dégage du froid

c’est pas lfroid le plus génant et vous savez bien qu’y tirer sa crampe ferait de vous..2 ou 3..dé facto des héro nationos..mais c’est le manque courage qui vous glace qu’elle dirait bonne clopine

bouguereau dit: à

c’est comme à jéruzalème les vieilles truies..le courage polo..le courage!

bouguereau dit: à

On saura sans doute jamais ,et je choisis de ne pas conclure

kabloom taccepte de la tribu meussieu courte

D. dit: à

Je suis effaré d’une chose :

Ceux que l’on considère comme de grands philosophes de notre époque ne disent absolument rien (ou si peu) sur la pandémie et ses impacts.

Pourquoi ?!

bouguereau dit: à

Elle n’attente en rien à votre pudeur

une pudeur c’est un peu fait pour ça..comme le critique de critiquer..son hypocrisie sociale est bien sûr souvent trés supérieur a notre naiveté..oui oui oui qu’il attente a ma pudeur qu’elle dirait bonne clopine..le bonheur est dans le crime

D. dit: à

Autre chose regrettable : Blanquer a une barbe alors qu’au départ il n’en avait pas.
Est-ce que ça lui a été bénéfique : absolument pas, c’est évident. Alors qu’il la fasse raser, puisqu’il dut reconnaître ses erreurs.

bouguereau dit: à

Pourquoi ?!

pasque lors des hépidémies ne pospèrent que les mitre..me souviens..me souviens que la truie..la poufiasse..au début de l’épidémie disoit qu’israel étoye sur un vacin..dans les 3 ou 4 semaines

bouguereau dit: à

la mitre ..la barbe..et les chveux lon..honhon..qu’il dirait raoul..et t’as mélkisédèque tout craché..aux chiottes tout ça dédé..aux chiottes!

puck dit: à

ta gueule greubou !!!

D. dit: à

Tu te sers de mes propos à tes fins, Bouguereau. Je ne te le permets pas. Sache-le. Il est question du ministre de l’éducation nationale et de personne d’autre

Janssen J-J dit: à

@ « Faut-il en conclure que la lecture en est prenante demande Janssen J.J »
C’est jzmn qui a posé c-te question, lmd, prenant, passionnant, bof… captivant, oui, OK, c’est mieux. On va pas en faire une minouche.

@ jmb / « son hypocrisie sociale est bien sûr souvent trés supérieur a notre naiveté..oui oui oui »

ben non non non !… c quoi, supérieur ??? ça veut rien dire, si vous précisez pas mieux, hein !

Janssen J-J dit: à

@ « Il ne vous a pas échappé qu’ Audiberti s’ appuie sur un rapprochement Moliere/ , Mulier »,

je dois avouer que ça m’avait échappé un brin… une inattention, sans doute… Il faut dire que l’Audi Bertie, j’aime pas trop cette Voiture, Vincent !… tu m’étonnes … Pousse-toi d’là, Emmanuel Bourde à Loups !

Amanda Lire dit: à

« À mes yeux, l’épicier, dont l’omnipotence ne date que d’un siècle, est une des plus belles expressions de la société moderne. »

Landerneau revividus!

Amanda Lire dit: à

« À mes yeux, l’épicier, dont l’omnipotence ne date que d’un siècle, est une des plus belles expressions de la société moderne. »

Michel-Edouard il est le roi!

DHH dit: à

@et alii
j’ai eu e mains -on me l’avait offert- un ouvrage publié l y deux ou trois ans sur la littérature juive de colportage,
je l’avais lu avec intérêt
je ne l’ai plus et j’ai oublié son titre mais je peux le retrouver si cela vous interesse

et alii dit: à

découverte;
Le violentomètre, l’outil pour mesurer si vous êtes en danger dans votre couple
à joindre PAR L’EDITEUR au contrat

Janssen J-J dit: à

@ je ne l’ai plus et j’ai oublié son titre mais je peux le retrouver si cela vous interesse

non ça ne l’intéresse pas, l’est déjà passée à un autre copie collé pour se faire mousser du colportage… La poussez pas dans les algues, DHH, voyhons donq, l’est + forte que vous en kabbalistique !…

MC dit: à

Relu les formules meurtrières de Werdet façon «  la reconnaissance n’existe pas pour Mr de Balzac » ou tout ce qui existe au point de vue relations doit être utilisé pour la promotion ( l’idée y est, sinon le terme!) de L’œuvre de Mr de Balzac. Idée qui, à la réflexion, rejoint quelque peu celle de Sainte Beuve voyant Les Girardin tourner autour de Balzac « cela me fait l’effet d’une pêche à la Baleine, et j’ai dans l’idée Qu ils me le pêcheront «  L’accusation la plus cocasse de Werdet reste que Balzac aurait bénéficié de negres, « de jeunes journalistes que je pourrais nommer, mais à quoi bon? ». On notera la prudence de la chute. Hors Félix Davin, dont le texte est largement réécrit pour l’avant propos de la Comédie Humaine, Gautier, qui écrit les sonnets de Rubempre, que peut-il rester fors Charles de Bernard, le « continuateur »des paysans ? Si couple infernal il y eut, la rancune après la séparation fut tenace, côté editeur…il est vrai que Werdet, aigri, diminué, n’ avait pas été ménage. Il pensait que les articles de Balzac ne seraient jamais publié par les héritiers. De ce côté là, il eut raison, mais la dernière Pléiade, parue en un siècle où on sait à peine qui fut le Bibliophile Jacob, lui donne tort.

et alii dit: à

DHH
ne vous en faites pas pour moi! je n’ai risqué ce lien que parce que c’était le sujet du fil ; et puis, ici, c’est « le livre,- l’écrit »- qui oblige autant qu’il me semble et non les fixettes de contributeurs trices ; aujourd’hui, j’impute aux antibiotiques ma fatigue (sinon, quoi?) et j’ai quand même à faire!
bonne journée

DHH dit: à

@ JJJ
rien -ou si peu -de Kabbalistique dans ces ouvrages petits romans ecrits le plus souvent en yddish , en fait un pendant dans ces langues vernaculaires de notre bibliothèque bleue

et alii dit: à

où on sait à peine qui fut le Bibliophile Jacob
parlez nous en, MC ! nous apprécions tous vos interventions

moralès sed laisse dit: à

parlez nous en, MC ! nous apprécions tous vos interventions

En message privé svp, nous, ça nous fait reich!

Bloom dit: à

le pays de repli à « klaboom » a l’esprit cool

Vous confondez, dear Phil, pour moi, ce sera Le Pays du long nuage blanc, Aotetaora.

Jibé, alternative au K-çon (mon Dieu, quel K-çon!), l’option satellite chinois. Avec quelques sévices préalables dont mes cousins par alliance ont le secret, cela serait une façon de repeupler les cirques lunaires avec un triste clown, comme le suggérait Haddock.

Bloom dit: à

Ce soir, nous irons fêter Molière, en chemise, sans Panthéon.

Jibé dit: à

« l’option satellite chinois »
bonne idée Bloom, les cons, ça vole en escadrilles, l’y rejoindrait des potes par millions!

Jibé dit: à

il y…

et alii dit: à

merci, renato!
j’ai songé, au précédent fil:vous ne nos avez pas dit si vous avez pris un nouveau chien ; je l’espère pour vous; (je relance en ce moment une « amie » qui m’a promis un chaton et ne me l’apporte toujours pas,et moi qui suis patiente, ,je trouve que ça fait long)
bonne suite

et alii dit: à

vous ne nous avez pas dit

D. dit: à

Vous savez que Boffil est mort, renato ?

D. dit: à

Bofill pardon.

D. dit: à

Je me demande s’il a laissé des instructions quant à sa sépulture. Les architectes font-ils les plans de leur sépulture ? Les pharaons faisaient cela. Ou le faisaient faire.

D. dit: à

Boom, je me demande si vous êtes sérieux quand vous écrivez de telles choses ?

D. dit: à

Je suis effaré d’une chose :

Ceux que l’on considère comme de grands philosophes de notre époque ne disent absolument rien (ou si peu) sur la pandémie et ses impacts.

Pourquoi ?!

Paul Edel dit: à

Court, les rapports de l’éditeur Werdet, (qui finit en faillite et ruiné) avec Balzac ne sont pas tristes. Là encore, un couple explosif. L’éditeur Werdet écrivit : » Je fus brisé par de Balzac dans le but de pouvoir payer ses dettes résultant des dépenses insensées qu’il faisait pour soutenir un luxe princier. «
Ce luxe princier, la prodigalité de Balzac, ses proches, ses amis, le confirment.
En 1831 il avait 30 000 francs or de dettes et en 1847, 247000 francs ! Il achète 31 gilets en un mois, en 1832 la note chez le tailleur est énorme 4039 francs. Il achète 42 paires de gant dans le premier semestre 1836, sans compter le nombre de cannes. Et 5500 francs pour les chevaux en 1832..ce qui est à noter c’est que pour payer ses créanciers, tailleurs, giletiers, bottiers, tapissiers, huissiers, il ne cache pas qu’il allonge ses romans, étant payé à la ligne. Il avoue qu’il a délayé « le Cousin Pons » et « la Cousine Bette » pour compenser la perte qu’il a subi en achetant des actions. Balzac est d’ailleurs honnête quand il proclame dans ses lettres qu’il ne se considère pas comme un artiste mais comme un « fabricant de romans ».
« Je retourne à ma manufacture d’idées » écrit-il à son amie Zulma Caraud. Il calcule tellement qu’en bavardant avec son éditeur Werdet il lui balance : » Voilà bientôt une heure que nous causons de choses inutiles. Vous m’avez fait perdre 200 francs. »
Son éditeur le décrit ainsi : » »toilette ébouriffante fort mal portée avec cette lourde désinvolture si prétentieuse d’un riche marchand de bœufs de Poissy .»

Balzac avait affirmé : « Il faudra que je meure pour qu’ils sachent ce que je vaux .» Bingo.

D. dit: à

Jazzi, j’ai fait lire ton message d’hier à plusieurs bretonnes choisies au hasard mais plutôt bonnnes et, en fait, aucune d’entre elles ne m’a déclaré avoir tapiné dans le bois de Vincennes.
D’où cette question qui se pose inéluctablement : d’où tiens-tu cette information ?

D. dit: à

Pour acheter 31 gilets en un mois, il faut être dérangé. Forcément.

D. dit: à

Après, ça ne nous regarde pas.

et alii dit: à

D, excusez moi, mais vous souvenez-vous qu' »immunité » est considéré par des philosophes contemporains comme un concept-maître de sloterdijk;
tenez-vous ce mot comme une notion fondamentale des pandémies?

D. dit: à

Moi je n’ai jamais de toute ma vie acheté de gilet. Ils m’ont tous été offerts.

D. dit: à

Alors pour vous répondre, et alii, oui, maintenant que vous m’en parlez ça me revient, et oui, après mûre réflexion, je tiebs ce mot comme une notion fondamentale des pandémies. Et des épidémies. Et de toute pathologie infectieuse.

D. dit: à

Il fqut définir avec précision ce qu’est un système mental supra-ethnique et donner des exemples. Et alii ?

D. dit: à

Il faudra un de ces quatre que je fasse un séjour durable dans le champ des exigences excessives des improbabilités immenses.
Pour voir si ça vaut l’coup. Il ne faut rien s’interdire.

et alii dit: à

D, vous n’avez pas lu l’article semble-t-il; celui où P.SL va le plus loin-il parle d’extension ; et de civilisation;(d’humanité aussi) je ne sais s’il y en a eu de plus récent; mais c’est lui qui tient le bon bout, et je ne serais pas étonnée qu’il sorte quelquechose;c’est MANNONI ? SON TRADUCTEUR (un couple?) qui doit le savoir et P.Assouline pourrait l’inviter!)

D. dit: à

Et si ça ne vaut pas l’coup je vousle dirai en toute franchise : réduisez la durée ou même refusez d’y aller.

et alii dit: à

sur philomag:
Mais cela fait plus de dix ans que le philosophe allemand Peter Sloterdijk a forgé une notion d’une rare pertinence, à la fois face au virus et aux défis du changement climatique : celle de « co-immunité ». Que signifie-t-elle? Que pour assurer notre immunité, et donc nous protéger, nous devons accueillir au maximum ce qui vient d’ailleurs, l’autre, l’étranger. Une idée d’avenir face aux tentations du repli en période de crise.

et alii dit: à

à propos d’ethnique:
rappelez vous que P.SL A ETUDIE auprès d’un gourou en Inde qui a tant souffert du covid (Bloom nous avait recommandé un article avec une vidéo terrible)

Janssen J-J dit: à

@ D., Philomagfanzine, c pas la revue de michel d’onfray etallii.com ?

D. dit: à

Écoutez, et alii, très sérieusement j’ai du mal avec cette traduction française et je préfèrerai que vous me donniez la version originale en allemand.

D. dit: à

L’Eglise, épouse du Christ, serait un système mental supra-ethnique ? Allons allons, il nous faut quitter le champ des exigences excessives des improbabilités. Immenses.

D. dit: à

Non JJJ, Hidalgo veut en faire une forêt urbaine. C’est très bien. Même si jazzi n’aime manifestement pas les plantes.

et alii dit: à

Dj’en suis incapable ;voyez avec
1°RENATO qui s’y connait en ordi
2° L éditeur et éventuellement MANNONI

et alii dit: à

Philosophie Magazine est une revue mensuelle de philosophie, publiée en France par la société Philo Éditions2.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophie_Magazine
JE NE REPONDS PAS AUX POTES (sic) de DHH . ELLE ME L’A INTERDIT ! (sic)
ça ne me prive pas !(au contraire)

et alii dit: à

non seulement je ne réponds pas mais je ne m’adresse pas aux « potes » (sic) de DHH ET LES DISPENSE DE s’adresser à moi , tous ;

et alii dit: à

ce n’est pas un « malentendu » et c’est bien plus sérieux qu’un différend;j’ignore si c’est un effet bourdivin ou onfraysien mais je ne chercherai pas d’adjectif comme on a dit sur ce blog, « game is over »

D. dit: à

Serait-il possible d’avoir ici la liste exhaustive de ces potes afin qu’il y ait aucun risque d’erreur ? Car c’est ma crainte.

D. dit: à

Pour qu’ils sachent TOUS à quoi s’en tenir.

D. dit: à

Oh et puis après tout ça ne me regarde pas. Je ne sais pas pourquoi je me mêle de tout cela.

D. dit: à

Chacun ses oignons et les vaches seront bien gardées comme dit le dicton populaire.

D. dit: à

Changeons de sujet, tiens.
Qu’est-ce que tu manges ce soir, keupu ?
Moi du poisson pané.

et alii dit: à

les potes de DHH sont revendiqués par elle comme tels et se recommandent eux/elles mêmes (correspondance privée par exemple, ou « référence » -je précise qu’il n’ya pas si longtemps j’avais recommandé « P.SL » avec « tu dois changer ta vie »
https://journals.openedition.org/questionsdecommunication/2196

x dit: à

M.C., la rêverie cratylienne « mimologique » n’est pas interdite aux lecteurs de Proust, Claudel, Leiris, Ponge et quelques autres, avant ou après eux.
Si elle ne se plie pas aux prescriptions de l’érudition (parfaitement légitimes dans leur ordre, cela va sans dire), et par conséquent ne revendique pas le même type d’autorité, elle a sa fécondité poétique et un intérêt certain, s’agissant des noms d’artiste ou de plume, des pseudonymes d’auteurs dramatiques et de romanciers, eux-mêmes onomaturges.

Jazzi dit: à

Les bretonnes ne tapinaient pas au bois de Vincennes, D, mais autour de la gare Montparnasse où elles débarquaient avec leurs gros sabots. Les unes, telle Bécassine, étaient placées comme bonnes chez nos bons bourgeois parisiens, et les autres finissaient dans les hôtels de passe. C’est historique, demande à M. Court.

Janssen J-J dit: à

onomaturges ?
encore un nouveau gros mot sur cette chaine. Décidément !

Janssen J-J dit: à

@ DHH, voyez bien qu’elle est total barrée, mais que peut-on faire pour elle ?… La renvoyer en Allemagne pour s’y co-immuniser ? Quid ?

moralès sed laisse dit: à

un concept-maître

C’est quoi ce truc?
( On ne sort pas de la « profondeur philo »?

Amanda Lire dit: à

Le concept maître élève la pensée, c’est certain!

Phil dit: à

Les bretonnes ne tapinaient pas

elles donnaient le sein

Amanda Lire dit: à

elles donnaient le sein

Alors que les aveyronnais tenaient les bars et débits de boissons.
Ils étaient les maîtres bouts, gna!

Soleil vert dit: à

En vrac

>Molière : dans le dictionnaire amoureux signé Huster, pas d’entrée me semble t-il pour Corneille

>Décès de Jean Jacques Beineix

et alii dit: à

il y a des femmes qui tapinent en FRANCE? Je ne l’aurais jamais cru ;je croyais que c’etait seulement
les hommes urbains à bicyclette

Phil dit: à

Alors que les aveyronnais

Celles du Morvan donnaient aussi le sein, la Sévigné enthousiaste les compare à des vaches.
Les bretonnes buvaient et tapinaient plus que celles du Morvan, Léautaud les appréciait (pas les buveuses)
Les savoyards avaient aussi des qualités.

D. dit: à

Sloterdjik semble omettre que Dieu agit.
Peut-être n’a-t-il jamais observé cela. Ou a-t-il dressé très vite des écrans qu’il a pensés pour lui sécuritaires. Il s’est coupé. Dieu le laissant libre, il vit coupé de Lui et écrit ce que l’on sait.
Chez d’autres, Dieu peut agir. Ils lui permettent. La rédemption offerte par le Christ, Dieu fait homme, à tous ceux qui l’ont reconnu, au prix d’une souffrance infinie et offerte à eux par pur amour.
Dieu est pour eux un ami et ils essayent de se comporter en ami de Dieu. Il les connaît, connait tout de leur vie, de leurs limites imaginées par eux ou réelles.
Les sacrements de l’Eglise sont une évidence. Dieu agit aussi par ces sacrements. Il pardonne vraiment. Il se donne vraiment en nourriture. Le prêtre agit vraiment en autre christ en renouvellant son sacrifice sur l’autel par la Sainte messe. Tout ce qui laisse à penser autre chose est erreur.
Le prêtre est un homme. Ordonné pour agir en autre christ, ses péchés graves sont encore plus choquants. Les hommes d’église ont plus ou moins gravement péché depuis des millénaires, hélas. Ce qui ne les empêche pas de recevoir le pardon dans le ciel s’ils le demandent sincèrement. Ce qui n’efface pas les très graves conséquences temporelles et l’immense préjudice fait aux victimes et à l’Église, sainte épouse du Christ.

Tout ceux qui penseront ou diront autre chose seront dans l’erreur, par leur ignorance, ou leur manque de foi, ou par leur défiance, ou par leur entetement, ou par leur orgueil, ou par leur amour du monde. David, ascendant de Marie et de notre Seigneur Jesus, David le très grand au sacerdoce royal, tu fus pourtant adultère et meurtrier.

Phil dit: à

Sapré dédé, ne vous pensais compétent qu’en seringues, serinez aussi

Phil dit: à

Tout ça reste à confirmer par M. Court.

Jean Langoncet dit: à

Mr. Synthétique adule tes reins ?

Jazzi dit: à

Surtout que M. Court a été élevé au sein breton !

DHH dit: à

@et alii
je ne vous comprends pas
a propos d’un post que vous envoyez je vous propose de rechercher pour vous le titre d’un livre qui s’y rattache et vous me renvoyez a mes « fixettes » puis au conseils d’un philosophe pour changer ma vie

Janssen J-J dit: à

oui merci pour les nourrices morvandielles allaitantes, elisabeth badinter en faisait grand cas pour illustrer sa thèse de l’inanité de l’instinct maternel… De vieux souvenirs… quoi. Parfois on s sent des affinités de lectures avec d’aucuns…, ils brûlent les étapes.. Mais j’ai pas bien compris l’histoire de Bécassine : elle aurait fait sa pute à l’îlot Chalons, au débarcadaire de la gare, ou quoi ? Espérons que MC mobilisera son mentor à ce sujet, le spécialiste des miasmes et de la jonquille, por clore le chapitre. NOUS sommes désormais tous convaincus par son autorité scientifique et morale sur TOUS les sujets anecdotiques historiques et fictionnels. Oui, surtout etalii qui vérifie toujours ses dires sur l’internet. Bàv au fil-mag !… Tchin @ JL et Bétove-le-Renové-au-Martini !… C’est l’heure, hein !

Janssen J-J dit: à

@ « je ne vous comprends pas » (DHH -> etaltartine) êtes-vous trop lourde pour prendre le bateau où Elle vous mène, DHH, ou bien vous aimez jouer à provoquer les algues proliférantes, coquinette ?
DHH, vous aussi, vous savez parfois animer la galerie quand vous vous y mettez, à faire votre grande naïve !… On rigole bien, du moinsss, moi-j 🙂

Janssen J-J dit: à

c come Mimi P et sa fixette sur PK… Mais pourquoi pas, après tout ? comme dirait jmb, elle a le droit… Suffit de pas cliquer sur ses/ces mochetés, si on veut pas les voir, hein…

Jazzi dit: à

A l’îlot Chalons, au débarcadaire de la gare de Lyon, c’était pas les bretons, JJJ, mais les Italiens !

Janssen J-J dit: à

oui oui la gare de Lyon, jzmn… ttes mes excuses au Parisien libéré de l’emprise du commerce de la drogue et du sexe tarifé dans le 12e… Merci, Mme Hidalgo pour le ménage.

Jean Langoncet dit: à

@Suffit de pas cliquer sur ses/ces mochetés, si on veut pas les voir

Il faut au moins un man-ténia pour permettre à l’hoplite du recoin abyssal de s’élever

Jean Langoncet dit: à

(le premier hoplite du recoin abyssal de l’année)

D. dit: à

Ce soir on est reparti à la hausse en nombre quotidien de cas de covid… presque 330000.
Ce sont les chiffres de la semaine prochaine, mardi, mercredi, jeudi, vendredi qui seront determinants pour faire des projections.
C’est à dire savoir si nous allons sur un plateau légèrement descendant ou bien, et ce serait bien ennuyeux, un plateau qui ne parvient pas à descendre en raison de réinfections rapides.

D. dit: à

Mon idée exprimée ici au printemps 2020 de répandre vontairement et massivement un coronavirus génétiquement modifié pour être très contagieux, mais très peu virulent, apparait de plus en plus judicieuse.
Je suis génial, il faut le reconnaître.
Je m’en fiche d’être génial, mais c’est une évidence.

Jean Langoncet dit: à

Du syndrôme de la dent d’or.
La multiplication des infections serait-elle liée à la multiplication des vaccinations ? Si la vaccination consiste à inoculer le virus pour stimuler les défenses immunitaires, pourquoi un patient inoculé ne serait-il pas contagieux ? Il est en tout cas démontré que la vaccination ne ralentit pas la diffusion du virus ; au mieux réduit-elle les aggravations mortelles

D. dit: à

Mais je ne veux pas du Nobel. En aucun cas.
Ni de la Légion d’honneur que j’ai déclaré sous serment refuser.
Ni du pantheon même en cénotaphe.

Jean Langoncet dit: à

Quant à l’immunité collective, depuis le temps que le virus de la grippe est identifié, pourquoi n’est-elle toujours pas acquise à son égard et faut-il un rappel de vaccin annuel pour s’en prémunir ? Faudra-t-il s’habituer à des rappels trimestriels, quatre par an, pour se prémunir de la covid ?

Jazzi dit: à

Mme Hidalgo n’y est pour rien, JJJ, c’est Jacques Chirac qui a nettoyé ce quartier de grands remplacements remplacements successifs, que j’ai connu dans les années 80, c’était pas triste !

« L’îlot Chalon était aussi un quartier d’immigration, nourri pendant plus d’un siècle par plusieurs vagues différentes : de « quartier italien » à la fin du XIXe siècle, l’îlot devint pendant l’entre-deux-guerres le premier « quartier chinois » de Paris, réputé pour ses salles de ma-jong et aussi quelques petites fumeries d’opium clandestines. Par la suite, des Maghrébins vinrent s’installer et prendre, comme les autres, la relève des petits commerces (épiceries, restaurants, cafés et dépôt d’artisanat destinés au commerce ambulant), qui animaient les rues de Chalon et Hector-Malot. Enfin, à la fin des années 1960, l’îlot Chalon commença à se métamorphoser en « quartier africain » avec une importante immigration de Sénégalais qui occupèrent des hôtels meublés et se spécialisèrent dans le colportage d’objets d’art et de pacotille. »

Jazzi dit: à

« Mais je ne veux pas… »

Tu accepterais quand même que l’on édite tes oeuvres complètes dans la bibliothèque de la pléiade, D ?

Jazzi dit: à

C’est marrant, de tous les films que l’on cite de Jean-Jacques Beineix on ne cite pas mon film préféré : « La Lune dans le caniveau », avec Gérard Depardieu !

Damien dit: à

— Il avoue qu’il a délayé « le Cousin Pons » et « la Cousine Bette » pour compenser la perte qu’il a subi en achetant des actions. Balzac est d’ailleurs honnête quand il proclame dans ses lettres qu’il ne se considère pas comme un artiste mais comme un « fabricant de romans ».– (Paul Edel)

Le génie de Balzac était plus grand que lui. « La Cousine Bette » tirée à la ligne ? C’est énorme ! Beaucoup d’écrivains, pour écrire, font des dettes : pour se résoudre à passer à l’acte. Car, sinon, pourquoi écriraient-ils ? C’est tellement plus amusant de s’acheter des gilets ! Faire des dettes est une drogue : la compulsion d’achat de gilets qui crée le désir foudroyant d’écrire « La Cousine Bette » ! Moi, je comprends assez l’état de délire psychologique dans lequel Balzac a pu être.

MC dit: à

JJJ . Sur le Miasme et la Jonquille,Je ne vois guère que Corbin, qui n’est pas mon mentor. Quelle était la meilleure manière de faire comprendre l’étymologie fallacieuse Moliere Mulier? Le style «  tout le monde sait que «  n’est pas mon genre. Une réponse précise à la personne dont je me doutais que je n’avais rien à lui apprendre, oui.
Quant au Bibliophile Jacob, je l’aime bien pour sa double carrière d’ érudit et de romantique. C’est un homme capable de dresser le Catalogue de la Bibliothèque Dramatique de. Mr de Soleinne, une des plus belles collections de pièces de théâtre qui fut jamais. Ce catalogue fait toujours loi. Et la collection a été partiellement refaite par Rondel. Autrefois dans l’Ecrin de l’ Arsenal, elle se languit à Richelieu, C’est aussi celui qui brode, au moment où Scott est reçu comme un Prince à Paris, ces Soirées de Walter Scott, nouvelles prétendument contées par l’ Écossais, et quelques romans historiques un peu avant Dumas. Il continuera dans cette double veine, de la royauté à la république, alternant walterscotteries et bouquins à la Viollet Le Duc du Moyen Âge au dix-huitième siècle.. Extrêmement fécond, mais d’une érudition parfois romantique, il fera beaucoup pour Molière majoritairement sous le Second Empire et un peu au delà en contribuant avec l’éditeur maître-imprimeur Jouaust à rééditer les pièces telles que les contemporains les lisaient, en s’intéressant et re publiant des pièces très rares dans la petite bibliothèque molieresque, et parfois, en attribuant à Molière des pièces qui ne sont pas de lui ( deux dont le Ballet des Incompatibles, dont l’auteur n’est pas identifié.) Jouaust a dans ce cas précis, pour revenir à l’édition,´ joue sur le nombre des exemplaires . Les chiffres des tirages sont faussement limités.Outre que la chose s’est sue On ne s’expliquerait pas autrement leur nombre sur le marché. Je ne suis pas loin de penser, s’agissant d’un maître imprimeur des plus sérieux, qu’il l’a fait pour la bonne cause. Des les premiers textes, Jacob alias Jules Lacroix endosse cette personnalité et un âge fictif : « Qu’on se le dise, le Bibliophile Jacob a Quatre vingts ans! » Imaginez-vous un jeune écrivain risquant ce coup là ? Enfin, on ne peut faire l’impasse sur le frère , Paul, qui traduit certaines pièces de Shakespeare en Alexandrins, mais co écrit avec Jules les volumes sur les périodes…et peut-être plus? Dans cette famille le Bibliophile se double d’un Bibliothécaire. Le lien avec Balzac est un roman des années 1840 qui, sous prétexte de mettre en scène Guez de Balzac est un règlement de comptes doué forme de roman intitulé « les Aventures du Grand Balzac « , personnage hâbleur et financièrement aux abois. Werdet, qui monte en épingle un article de B qu’il juge dirige contre Jacob,prend bien soin de ne pas évoquer ce roman, bien entendu.

renato dit: à

JJJ, le 6 Écossaises quelqu’un les a demandées !

MC dit: à

Sur les Vierges allaitantes, se souvenir, puisqu’on fait allusion à la Bretagne que le très laïc et très consciencieux Anatole Le Braz ,dans un texte de 1910, entend les vieilles gens designer la Vierge par l’expression pour lui classique de «  Mere-au-lait. Que ces statues se concentrent pour la plupart en Cornouaille bretonne, autour de Quimper. Qu il en subsiste actuellement une vingtaine, sans compter les saintes dérivées , dont la Galloise Ste Gwen aux trois mamelles. Dans ce contexte, on s’étonne moins de trouver un récit de lactation chez une petite mystique du Dix-septième siècle, et, dans les dévotions et les ex-voto, la présence d’une dévotion aux mamelles de la vierge. Il n’est pas niable que cela renvoie à un état ante chrétien dont la pastorale Missionnaire s’est accommodee comme elle l’a fait de l’ Enfer Celtique ou de la divinité chevaline du Roi March…. Je parle de représentation mentale, non de bigoterie. Pour le reste, Ginzburg et sa Nuit du Sabbat reste indispensable. MC

D. dit: à

Jazzi dit: à

« Mais je ne veux pas… »

Tu accepterais quand même que l’on édite tes oeuvres complètes dans la bibliothèque de la pléiade, D ?

Jazzi, j’ai déjà évoqué ici comment utiliser bien les volumes de La Pléïade. Je ne souhaite pas recommencer.

Jazzi dit: à

« Moi, je comprends assez l’état de délire psychologique dans lequel Balzac a pu être. »

En grande partie due aussi à une intense consommation de café.

Janssen J-J dit: à

@ Pour le reste, Ginzburg et sa Nuit du Sabbat reste indispensable.

Réf peu pertinente sur le sujet traité, désolé marc… Quoiqu’il en soit… je préfère recommander l’indispensable Michelet et pourquoi pas vous inviter à replonger dans le Malleus Malleficarum, toujours bon à revisiter, le marteau des sorcières.
Quant aux Vierges allaitantes de l’inconopraphie chrétienne, personne n’en a parlé icite… nous n’évoquions que les nourrices mercenaires du Morvan dépêchées dans l’aristocratie aux 17e et 18e…
Vous lisez mal, et souvent à côté de la plaque à force de trop vouloir placer votre érudition… que je ne conteste pas d’ailleurs, mais enfin…. euh, bref. Voyez, cher Marc… c’est ce que je reprocherai personnellement, vous ne savez pas vous empêcher de l’étalager, mais trop souvent à mauvais escient ou contre emploi.. Corbin, ? bonne référence… dans la lignée des mouvements hygiénistes anti prostitutionnels au XIXe (en réf à l’îlot Chalons et Bécassine…) Etc. Vous suivez le film, ou non ?… Ou la bécasse bas-bretonne vous aveuglererait-elle un brin, telle votre célèbre condisciple, Mona Ozouf ?. Bàv, dir MC/PR.

Jean Langoncet dit: à

et dire que ça remet le couvercle

Janssen J-J dit: à

@ le 6 Écossaises quelqu’un les a demandées

Pas moij en tout cas, je les apprécie bien sûr mais plutôt dans une autre version que celle, un brin poussive je trouve, de fred Brendel… Lui préférer la petite Lucy Caho, comme dirait Marc, si on préfère les fillettes aux vieux beaux, et on a bien raison, c plus agréab à regarder !…

Paul Edel dit: à

Damien, ne soyez pas scandalisé! relisez les lettres et les biographies sérieuses.. les meilleurs feuilletonistes, de Dumas à Dostoïevski, ils ont tous  » tiré à la ligne » à certains moments. .s Dostoïevski écrivant « l’idiot », est obligé de mettre son manteau au mont de piété, …. car il a tout joué sur les tapis verts des casinos et ne sait us quoi faire dans certaines du livre, notamment entre la deuxième et la troisième partie . Seulement un Balzac ou un Dostoïevski qui « tire à la ligne » ça donne des pages assez fabuleuses.

puck dit: à

D. comme Dieu dit : « Dieu est pour eux un ami et ils essayent de se comporter en ami de Dieu. Il les connaît, connait tout de leur vie, de leurs limites imaginées par eux ou réelles. »
 »

D. j’aime bien ce que tu dis, je trouve que c’est beau.

si tu veux écrire la même chose en langage welbec suffit de te mettre en décalage par rapport à toi, ça donnerait un truc du genre :

Comme il n’avait jamais eu d’ami il aimait se dire que Dieu était pour lui un ami, ses efforts pour se comporter en ami de Dieu étaient les mêmes que ceux qui, toute leur vie, cherchent désespéramment à avoir un ami, sans jamais le trouver. Comme tous les amis, tels qu’il se les imaginait, il pensait que Dieu le connaissait, qu’il connaissait tout de sa pauvre vie, même de ces limites qui n’existaient que dans sa triste imagination…

tu vous le genre ? et là vlan tu te suicides.

c’est ça l’effet Droopy, car D. comme il existe un effet kiss cool il existe aussi un effet Droopy.

puck dit: à

« Moi, je comprends assez l’état de délire psychologique dans lequel Balzac a pu être. »
 »

yep ! encore des journalistes qui défendent leur paroisse…

puck dit: à

@Petit Rappel :

Cher Marc, non : mon cher Marc, non mon très cher Marc,
ayant été témoin des maintes attaques que vous avez subies ces derniers temps sur le blogapassou je voulais, par la présente datée du 14 Brumère de l’an de Grâce MMXXII, vous affirmer de tout mon soutien le plus sincère et, compte tenu de votre position stratégique quelque peu isolée, le plus désespéré.
BàV
votre très dévoué puck

puck dit: à

« vous affirmer de tout mon soutien le plus sincère »

moi y en a parler francèsse aussi bien que greubou !

puck dit: à

« les vieilles gens designer la Vierge par l’expression pour lui classique de « Mere-au-lait. Que ces statues se concentrent pour la plupart en Cornouaille bretonne, autour de Quimper. »
 »

évidemment ! tout le monde sait que de « mère au lait » est né le nom de la ville « Merlait » qui a donné ensuite « Morlaix » qui comme par hasard se trouve justement dans les Cornouailles.

et de l’autre côté de la Manche on trouve « mother to milk » qui a donné, par des voies plus biscornues desquelles je n’entrerai pas dans les détails, son nom à la ville de Plymouth.

MC dit: à

Je n’ai placé Corbin que devant votre jeu sur « mon mentor des miasmes et de la jonquille. Croyez que ni la déviation du titre, ni la personnalité que vous paraissiez viser ne m’ont échappé, mais j’ai choisi , là encore, de ne pas entrer dans votre jeu. Je crois comprendre que le fait que l’on me demande ce que je pensais du bibliophile Jacob ne vous plaisait guère non plus. Je ne vois pas pourquoi je me refuserais à repondre, s’ agissant d’un romantique mineur et d’un blog littéraire. Son double profil en plus me paraissait intéressant et en lien avec le thème abordé. Les considérations sur le savoir, c’est bien joli, mais ce qui primé c’est de le faire passer. Encore n’ai je pas repris la question des Mémoires de Werdet sinon dans deux textes qui se sont envolés je ne sais où cet après-midi. J’ignore si vous ecrivez vite, avec vos sigles-logogriphes ( on se souvient d’un SFLV pour la patrie de Julien Gracq) moi , c’est lentement. Quant à l’hapax final, qui au fond vous ravit, j’admets m’ être souvenu du lait plus que des nourrices, et dans la confusion Bretagne Morvan, avoir préféré les vierges nourrices de la Cornouaille au tonton et à son harem du Morvan, version Valmont vingtième siecle.. En ce sens, Ginzburg est une référence pertinente, la Marie-Nourrice étant probablement là Desse-Mere pré-chrétienne.Et tant pis pour l’Immaculee!
C’est une déviation par rapport au sujet de départ, mais c’est une nourrice qui a de l’allure. Quant à penser que j’écris pour placer quoi que ce soit, je laisse cela aux idéologues patentés et au représentantes du «  moins on en dit, mieux c’est « «  inévitables jumelles du « moins on en sait , mieux c’est. » Tant il est vrai qu’une certaine forme d’idéologie préfère ignorer pour régner…À vous. MC

puck dit: à

question « érudition » je sens parfois un peu seul.

puck dit: à

« Tu accepterais quand même que l’on édite tes oeuvres complètes dans la bibliothèque de la pléiade, D ? »
 »

au lieu de te moquer de D. tu ferais mieux de l’aider à publier déjà sa recette assez révolutionnaire de choucroute merguez sur marmiton.org !

Jean Langoncet dit: à

@Quant à penser que j’écris pour placer quoi que ce soit, je laisse cela aux idéologues patentés et au représentantes du « moins on en dit, mieux c’est « « inévitables jumelles du « moins on en sait , mieux c’est. » Tant il est vrai qu’une certaine forme d’idéologie préfère ignorer pour régner…À vous. MC

sainte souvenance de castoriadis en sa retraite bretonne, biberonnant à quiberon ; le désert sans la spiritualité, quoi.

MC dit: à

« L’indispensable Michelet. « Disons que ça reste à lire, mais, lu de trop près et ravigoté au goût du jour,ça donne La sorcière ou la Puissance Invaincue des Femmes, grand succès de vente actuel, mais d’ une pensée très pauvre. Le Mandrou de « Sorcellerie et Possession au Dix Septième siècle « est autrement plus sûrement documenté. Voir aussi l’essai plus recent; « Critique de la Déraison mystique ». Très belles pages sur le Diable et la sorcière en un style lacanien. Le Malleus Maleficiarum a connu plusieurs editions, et il faut savoir de laquelle on parle, mais c’est l’autre ouvrage de Jean Wier en deux volumes, une édition dans la Petite Bibliothèque Diabolique qui nous en dit le plus sur le phénomène sorcier , Bibliotheque dont on rappellera qu’elle a été constituée par des médecins aliénistes. Enfin il me paraît difficile de ne pas tenir compte des apports croisés de De Certeau et de Crouzet même si le second n’aborde pas le phénomène sorcier exclusivement. Là oui, on peut avoir une petite idée de ce qui se joue! MC

Jean Langoncet dit: à

Mr. Synthétique devrait revêtir son déguisement de Davy Crokette et postuler chez bolloré pour servir ses couillonnades ; ne dire que des conneries mais bien les dire, c’est payant

Jean Langoncet dit: à

enfin, bien les dire, c’est impressionner le pecnot qui, soit dit en passant, ne se laisse pas abuser longtemps

Jean Langoncet dit: à

c’est désormais une vieille lune que cette lettre du jeune Ducasse à sa Majesté des lettres elle-même, à propos d’édition :

Isidore Ducasse, dit Comte de Lautréamont (1846 – 1870)

(10 novembre 1868
Cette lettre était glissée entre les pages du Chant premier des Chants de Maldoror dont elle accompagnait l’envoi. Elle porte, de la main de Victor Hugo, le signe « r » indiquant qu’il a répondu. Les lettres de Lautréamont – placé au panthéon des poètes maudits par les surréalistes, pour ses Chants de Maldoror – sont d’une extrême rareté : on n’en connaît que six.)

Monsieur,

Je vous envoie 2 exemplaires d’une brochure qui, pour des circonstances indépendantes de ma volonté, n’avait pas pu paraître au mois d’Août. Elle paraît maintenant chez deux libraires du boulevard, et je me suis décidé à écrire à une vingtaine de critiques, pour qu’ils en fassent la critique. Cependant au mois d’août un journal, la jeunesse, en avait parlé ! J’ai vu hier à la poste un gamin qui tenait l’Avenir National entre ses mains avec votre adresse et alors j’ai résolu de vous écrire. Il y a 3 semaines que j’ai remis le 2e chant à Mr Lacroix pour qu’il l’imprime avec le 1er. Je l’ai préféré aux autres, parce que j’avais vu votre buste dans sa librairie, et que je savais que c’était votre libraire. Mais jusqu’ici il n’a pas eu le temps de voir mon manuscrit, parce qu’il est très occupé, me dit-il ; et si vous vouliez m’écrire une lettre, je suis bien sûr qu’en la lui montrant, il se rendrait plus prompt et qu’il lirait le plus tôt possible les deux chants pour les faire imprimer. Depuis dix ans je nourris l’envie d’aller vous voir, mais je n’ai pas le sou.

Il y a 3 fautes d’imprimerie ; les voici :
Page 7 ligne 10 : au lieu de : si ce n’est ces larmes il faut [lire] si ce n’est ses
Pag ; 16 1.12. Mais l’homme lui est plus redoutable, il faut [lire] mais l’Océan
p. 28. L’antépénultième. Au lieu de il est brave il faut [lire] il est beau.

Voici mon adresse :
Mr Isidore Ducasse
Rue Notre-Dame-des-Victoires,
23 Hôtel : à l’union des nations

Vous ne sauriez croire combien vous rendriez un être humain heureux, si vous m’écriviez quelques mots. Me promettez-vous en outre un exemplaire de chacun des ouvrages que vous allez faire paraître au mois de janvier ? Et maintenant, parvenu à la fin de ma lettre, je regarde mon audace avec plus de sang-froid, et je frémis de vous avoir écrit, moi qui ne suis encore rien dans ce siècle, tandis que vous, vous y êtes le Tout.

Isidore Ducasse

Jean Langoncet dit: à

10 novembre 1868 ?

JiCé..... dit: à

Non !
SAMEDI 15 JANVIER 2022, 5h40

renato dit: à

« Pas moij en tout cas… »

Ai-je dit que la demande venait de vous ? Non, mais, toujours se percevoir comme le centre de l’attention ce n’est pas un brin enfantin ?

JiCé..... dit: à

Renato !
Je ne vous laisserai pas dire du mal de notre Président, bébé Macron, sans protester !

et alii dit: à

pour les gens qui ne supportent pas un « CC »philomag fait une critique des citations de Zemmour sous le titre: »Éric Zemmour : citer, c’est (se) tromper ? »précisé par »Cet exercice médiatique a permis de vérifier un trait spécifique de la rhétorique du polémiste d’extrême droite : » la récurrence des citations. »

c’est une question qui me semble importante compte tenu de l’amplitude qu’elle a prise sur la RDL (et à la quelle j’ai contribué , c’est vrai quoique je sois antizemmour)et que je recommande à tous ceux et celles qui SOUFFRENT DE SYMPTOMES onomaturgiquement généralisés D’identitification ;
tres bon week end

et alii dit: à

précision:hier encore, j’ai rappelé l’importance du concept d’immunité (contre une attaque que je trouvais aveugle) dans l’oeuvre de sloterdijk et ses lecteurs (Derrida, français,-oui, je sais DERRIDA L EGYPTIEN-) l’a souligné à haute voix dans un séminaire, et SLOTERDIJK a fait des conférences en français(entrée libre) à Paris)

bouguereau dit: à

ta gueule la truie

bouguereau dit: à

Emouvant, non ?

horriblement trafiqué..le didi dhubèreman frait bien de « se pencher » sur l’émotion empatique que nous dispense « la machine »bien mieux qu’une madleine..mais voilà lui aussi il marche avec les godillots à frankenchtein pour faire « hominidés »

bouguereau dit: à

Des explications sur ces 1400 LR qui soutiennent Zemmour, Patrice Charoulet ?

la politique n’est pas un sadisme ni un masochisme..c’est le gode ceinture..mais patrisse préfère se pâmer

et alii dit: à

c’est un fait que j’aime les choix de renato (et son ton )et ce fut une manière de le saluer, hier d’envoyer, juste aprèslui,la « camerata de BOSTON DE J.COHEN  » en jouant sur l’homonymie avec son envoi , mais aussi mes souvenirs le J.COHEN QUE JE CITAIS EST CONNU? IL ANIMA A AVIGNON A LA CHARTRUSE UN ATELIER DE CHANT que je suivis après lequel j’ai promené les musiciens en Provence et où j’ai rencontré un couple de professeurs suisses qui avait travaillé à l’atelier;

bouguereau dit: à

moi qui ne suis encore rien dans ce siècle, tandis que vous, vous y êtes le Tout

ce siècle allait bientôt havoir 70 ans..c’est du boulot de pas être hindigne baroz

bouguereau dit: à

« est autrement plus sûrement documenté. Voir aussi l’essai plus recent; « Critique de la Déraison mystique »

faut en fréquenter quelques unes meussieu courte..si michlet est casse couille c’est pas parcequ’il ne s’en est pas frottée..fusse de fausses..que sa « pensée soient trés pauvres » on s’en fout..c’est sa litterature qui na pas le bon flow au phiniche..on en sait davantage sur le catholicisme mettons en lisant nonos quen se tapant des bouquins de théologie..faire trés attention a sa prétention de lettrée msieu courte..sinon ça donne la poufiasse

et alii dit: à

G.DIDI.H, assure aussi des conférences (entée libre )et il en a bavé d’autant plus qu’il est « du bâtiment « par son père!)

et alii dit: à

entréeexemple la grande librairie en face de la Sorbonne (cie je crois)et bien sur beaubourg pour celles que j’ai suivies , et encore musée-zut le nom m’échappe! ce n’est pas Rivoli mais l’expo sur l’empreinte à Beaubourg, c’était lui

bouguereau dit: à

SAMEDI 15 JANVIER 2022, 5h40

c’est un peu tard pour un honnête homme de se coucher..tu fais un sale boulot et tu le fais salment

bouguereau dit: à

SAMEDI 15 JANVIER 2022, 5h40

c’est un peu tard pour un honnête homme de se coucher..tu fais un sale boulot et tu le fais salment

Janssen J-J dit: à

@ /impressionner le pecnot/
anéfé, SVPLF (ça va pas le faire longtemps avec moij…, voir que ça l’a jamais fait !)
@ Evitons le Morvan (de Tonton), tu m’étonnes un brin !…
@ / »toujours se percevoir comme le centre de l’attention, ce n’est pas un brin enfantin ? »/ – Ben voui, on en est tousses là, non ?… à ces enfantillages. Pas vous, RM ? Tchin !
@ MC – …par exemple, Gaby Morlay (mords-les !) était-elle bretonne par hasard, ou morvandielle ? on n’en sait f… rien, et pourtant, très cher Marc, les tôles ont du lait aussi, je vous l’ai déjà dit ! Aujourd’hui encore, nous ne savons que faire des excédents européens, B. doit bien avoir une solution à proposer dans son business-plan…
@ D. – Je vous rappelle que les récalcitrants à la vaccination obligatoire craignent d’engendrer une descendance génétiquement modifiée. Ils ne veulent donc pas prendre ce risque et préfèrent mourir, ou mettre les autres en péril, -ce qu’ils nient-, voire n’être pas « sauvés » contre leur gré par la prise en charge des autorités sanitaires au moment où ils étouffent ou s’asphyxient. Par conséquent, se pose une question légitime à ceux qui, comme vous-même, veulent les forcer sans même les inviter à réfléchir à une « co-immunisation collective ». Donc cher(dear) D. : comment justifier-vous cette attitude ultra répressive et la conciliez-vous avec votre confiance en un Dieu de bonté universelle ?… A qui votre Dieu donne-t-il raison au moment de peser les fautes des uns et des autres dans la balance ? Mettra-t-il les récalcitrants en enfer, et les moutons au paradis ? J’aimerais bien votre avis pour trancher le nœud gordien de cette triangulation de la conscience spirituelle maladive. Cette question taraude tous les sociologues des conflits de normes et de valeurs, vous l’imaginez bien… Merci de ne pas leur répondre, si vous ne comprenez pas le caractère anthropologiquement fondamental de cette question.
@ MC / »j’ai choisi, là encore, de ne pas entrer dans votre jeu (…) Les considérations sur le savoir, c’est bien joli (NDLR/à qui le dites vous?), mais ce qui primé c’est de le faire passer »… MA ce que l’on sache, personne ne vous a jamais rien demandé à ce sujet, sauf que vous donnez à voir en permanence votre inaptitude congénitale à « faire passer », icite… Reconnaissez au moins devoir ne pas vous adresser à des erdéliens assimilables à une bande d’élèves demeurés face à un pseudo pédagogue sans humour, un brin paranoïde et très psycho rigide, sans la moindre capacité à une aimable autocritique de temps à autre. Vous manqueraient-ils, par hasard, ces vrais élèves à éduquer ? Vous auraient-ils désertés dans vos amphithéâtres ou salles de classe, par hasard, comme le firent masœur et maclopine par ex., qui vous aimaient beaucoup mais durent claquer la porte à vos courts (sic) d’histoire régionale, dépitées de n’avoir pas réussi à rendre sensible le bouleau à leurs charmes intellectuels féminins
Bàv (15.1.22@10.03wanadoo.fr)

Janssen J-J dit: à

@ Jzmn, avez-vous remarqué ce Guillaume Charoulet de Rouen, parmi les signataires ???…
Merci pour ce lien somme toute bien instructif
——
Les premiers signataires : Guillaume Peltier (député, vice-président Reconquête !, ex-vice-président des Républicains) ; Laurence Trochu (présidente du Mouvement conservateur, ex-membre du bureau politique LR) ; Sébastien Pilard (conseiller national LR) ; Groën Spike (maire de Saint-Gilles) ; Antoine Diers ; Loup Bommier (maire de Gurgy-le-Château) ; Eddy Casterman (adjoint au maire d’une commune du Nord) ; Baptiste Laroche ; Stefan Milosevic (conseiller municipal de Montgeron) ; Clément Galante (adjoint au maire de Rodalbe) ; Thibault Simonin (conseiller municipal de Bourg-la-Reine) ; Augustin Neyrand (conseiller municipal à Limonest) ; Vincent Dumas (conseiller municipal de Colombier Saugnieu) ; Fabien Lorne (vice-président honoraire aux finances du conseil départemental de la Sarthe) ; Guillaume Cazauran (conseiller municipal de Nemours) ; David Attia (conseiller national LR) ; Antoine Vermeulen (conseiller national, ancien RDJ de Vendée) ; Olivier Delucenay (conseiller national LR) ; Jean-Marc Florand (délégué de circonscription, président de fédération, conseiller national LR) ; Matthieu Louves (conseiller national, membre du comité de la circonscription de Bordeaux centre et ancien RDJ de Gironde) ; Valentin Blelly (délégué régional des Jeunes de la région Centre-Val de Loire, responsable des Jeunes LR du Loiret, délégué de la 6e circonscription du Loiret) ; Nicolas Dumas (ancien responsable départemental des Jeunes Républicains, Seine-Maritime) ; Guillaume Charoulet (conseiller national, élu d’opposition à Rouen) ; Jonathan Jamet (délégué de circonscription, président de fédération, conseiller national LR) ; Frédéric Lacorre (délégué de circonscription LR de l’Indre) ; Jean Sebban (conseiller national LR) ; Pierre-Marie Salle (conseiller national LR) ; Olivier Autin (conseiller national) ; Catherine Gaudeau ; Jean-Marie Salle ; Jacques Maillard ; Olivier Autain ; Victor Azelman ; Danielle Pigene ; Alain Guillon ; Alexandre Lacroix ; Frédéric Lacorre ; Miguel Fimiez ; Thomas Zlowodzki (conseiller national LR, conseiller municipal de Sainte-Geneviève-des-Bois, porte-parole de Droite pour la France) ; Philippe Karsenty (ancien maire adjoint de Neuilly-sur-Seine, porte-parole de Droite pour la France) ; Romain Bonnet (conseiller municipal de Loudun, porte-parole de Droite pour la France) ; et plus de 1 300 autres cadres, élus, adhérents et sympathisants Les Républicains.

bouguereau dit: à

Son mari, lui, massif, poilu, âgé, en polo noir, un vrai taureau, avec bras musclés, cheveux en brosse, rouflaquettes, était penché vers elle pour lui montrer quelque chose qu’il tenait dans la main

tiens jicé..polo y censure même du copié collé..j’avais juss signé ‘dsk poltergeist’ pour qu’il en soit un peu dépossédé..jm’y connais en désenvotment..mais polo il fait le relassepe

D. dit: à

J’écoute souvent le samedi matin « On n’arrête pas l’éco » (nomie), sur France Inter.
Ce matin on y a répété à l’envi que l’économie française n’était quasiment pas altéré e. Ce n’est pas ce que je constate autour de moi, déjà là où je travaille où nos propres activités de janvier sont déjà repoussées d’au moins deux mois en raison d’absences de spécialistes impossible à remplacer rapidement. Des paiements sont différés, aussi des commandes en grand nombre, des plannings habituellement consolidés ne sont même pas encore ébauchés.

La situation dans le tourisme, le spectacle et l’hôtellerie est très altérée. Beaucoup de livraisons retardées de plusieurs jours. Très importante baisse de trafic dans les transports publics, bien supérieure à celle habituelle en janvier. Approvisionnements repoussés, chantiers du bâtiment arrêtés pour certains plusieurs mois faute de livraisons de matériaux, notamment préfabriqués (fenêtres, parements, isolations, couvertures et charpentes). Situation de santé catastrophique avec des médecins généralistes au planning déjà blindé pour tout le mois à venir (il y a deux ans c’était 1 à 2 semaines au maximum pour un généraliste. Beaucoup de mes voisins me disent avoir des petites pathologies (en fait ils ne savent pas si elles sont petites) qu’ils se résignent à soigner eux-même avec les moyens du bord faute de pouvoir consulter. Ne parlons même pas des spécialistes…
L’inflation très importante aussi avec des rémunérations des travailleurs qui ne suivent pas du tout. Cette inflation ayant quand même le mérite d’assainir l’économie mondiale qui reposait en 2019 sur du sable. Beaucoup moins de risque d’effondrement systémique car les choses coutent maintenant ce qu’elle devaient couter en réalité.
Enfin voilà, ça c’est la réalité : si l’économie ne s’est pas effondrée, elle est nettement altérée et il n’est pas certain que cette situation puisse s’améliorer dans les prochains mois, ceci étant très dépendant des graphes du covid. Si nous devions continuer sur un plateau qui peine à descendre et dure des mois, l’économie continuerait de s’affaiblir.

et alii dit: à

quand on va pour chanter à la chartreuse de Villeneuve les avignons https://chartreuse.org/site/
ce n’est pas pour faire intello ;c’est le plaisir d’être ensemble, en « mesure »(regarder sur les videos les musiciens qui se font des clins d’oeil, des sourires des « signes de reconnaissance » !)s’attendre

et alii dit: à

regardez

puck dit: à

« Guillaume Charoulet (conseiller national, élu d’opposition à Rouen) »
 »

???

puck dit: à

« Clément Galante (adjoint au maire de » Rodalbe) »
 »

Rodalbe… quelle ville magnifique que Rodalbe… voir Rodalbe et mourir…

et les rodalbaises, déjà leur nom fait rêver… contrairement aux antibaises.

Phil dit: à

massif, poilu, âgé, en polo noir, un vrai taureau, avec bras musclés,

Weinstein ou prince Androu ?

Soleil vert dit: à

La Pologne ce n’est pas seulement Witold Gombrowicz, mais aussi Stanislas Lem. Relecture du classique Solaris

puck dit: à

non là il faut arrêter de dire des conneries, moi j’ai souvent cité greubou et je ne me suis jamais trompé en le citant !

notamment quand greubou, dans une analyse littéraire comparative et comparée parle de ce qui fait la différence entre Balzac et Welbec…

quand il dit Welbec cet écrivain qui incarna à son époque la fin de la conscience politique et son impuissance, son incapacité à changer le monde. Ensuite greubou revient sur la notion d’engagement politique : un écrivain doit-il simplement constater les dégâts en enlevant au lecteur, pétrifié face au réel réel, tout espoir d’aller vers un monde meilleur, prisonnier qu’il est de cet adage célèbre qui fit la gloire de de Maistre et de tous les antimodernes à sa suite, je cite de mémoire : « avant c’était mieux ! ».
Ah quelle belle inspiration !

et en plus tout ça il le dit en espéranto.

renato dit: à

“avant, c’était mieux !”

Faire plus con comme leitmotiv, c’est difficile.

puck dit: à

en lisant les critiques du dernier Welbec j’ai l’impresion d’une certaine lassitude, il parle de lui comme d’une vieille playstation, un produit devenu obsolète, c’est triste.
si on se livre à une analyse critque de cette crituqe c’est un peu comme si dans ses précédents livres Welbec avait un temps d’avance sur le lecteur, et qu’avec le temps ce lecteur a fait l’expérience du monde de Welbec, et que maintenant, le lecteur ayant un temps d’avance sur Welbec ce qu’il estimait autrefois être une originalité, maintenant ça le gave grave. c’est un phénomène passionnant que de voir, de son vivant, le parcours d’un écrivain semblable à celui d’un téléphone portable.

puck dit: à

à part aux Inrocks où Welbec fait toujours l’objet d’une Sainte Vénération, à ce titre le dernier interview de Welbec aux Inrocks est absolument génialissime.

Amanda Lire dit: à

Son mari, lui, massif, poilu, âgé, en polo noir, un vrai taureau, avec bras musclés, cheveux en brosse, rouflaquettes, était penché vers elle pour lui montrer quelque chose qu’il tenait dans la main 🙂

Vous lisez mal, et souvent à côté de la plaque à force de trop vouloir placer votre érudition… 😉

moralès sed laisse dit: à

On parle peut-être ici de l’érudition exacerbée et superfétatoire de notre savant local?

Janssen J-J dit: à

@ pkt /le lecteur ayant un temps d’avance sur Welbec ce qu’il estimait autrefois être une originalité, maintenant ça le gave grave/

C’est qui, LE LECTEUR ?… Une sorte de puck à l’ère gogène, maybe ?
Pas Passoul en tout k., lui, l’a jamais cru à l’originalité de welbec, il est donc pas gavé grave. En outre, l’est pas très « passionné » par l’obsolescence programmée des téléphones portab’, ni par la recrudescences des vols de sac à mains dans les salles de cinéma. D’après ce qu’on dit. Pouic. Bàv,

lmd dit: à

JanssenJ.J observe que Mimi Pinson propose régulièrement des reproductions de Paul Klee et il ajoute « suffit de pas cliquer sur ses/ces mochetés». Je ne sais pas quelle est l’intention de MimiPinson, pourquoi tel ou tel choix dans l’œuvre profuse de Paul Klee, mais le terme mochetés est de toute façon extrêmement surprenant.
Comment faire confiance à aucun jugement sur quoi que ce soit après cela.

Amanda Lire dit: à

Sûrement Moralès…, mais il y manque la localisation centrale essentielle dans ce corps de gorille à rouflaquettes!

DHH dit: à

Aller faire ‘une nourriture « dans une maison bourgeoise était au 19 eme siecle une pratique courante qui poussait une misérable paysanne morvandelle, dans le mois de la naissance d’un enfant, à partir « faire une nourriture » à Paris ou ailleurs en ville , pour offrir contre rémunération pendant deux ou trois ans à un rejeton bien né , le lait que la nature destinait à son enfant nouveau –né, et probablement aussi lui apporter une attention et une affection dont son propre enfant se retrouvait frustré .
Maintenance de la lactation oblige -,ces femmes pour se presenter à d’eventuels employeurs emmenaient avec elles leur nourrisson ,qu’elles gardaient auprès d’elles pendant leur séjour au bureau de placement parisien ,sorte de marché d’esclaves , où les familles nanties venaient recruter ces femmes .
Puis :,une fois la mère casée ,le bébé, coincé avec plusieurs autres dans un large panier, laissant dépasser juste leurs tête , était ramené dans la ferme paternelle par des matrones spécialisées dans ce type de transport collectif. Il n’était pas rare qu’ils ne survivent pas à ce voyage ; C’était un risque connu et accepté par les mères et leurs recruteurs organisateurs de la filière
Cette pratique installée dans les mœurs d’une bourgeoisie sans états d’âme ne semble pas avoir suscité à l’époque de débats d’ordre ethique comme GPA aujoudhui ,
Pour tant il y a quelque chose de comparable entre le le fait de louer un ventre pour faire fabriquer un enfant , et de louer une femme pauvre ,en vue de lui faire secréter du lait pour un enfant riche, en la faisant renoncer à nourrir et soigner son propre enfant, désormais pour longtemps éloigné d’elle,et en acceptant éventuellement de le laisser mourir
De cette indifférence tranquille devant une telle monstruosité installée dans les mœurs aux débats d’aujourd’hui sur la GPA, constatons un vrai progrès moral qui mérite d’être salué.
Encore que certains esprits chagrins pourraient prétendre a contrario que le schéma de marchandisation qui n’indignait pas autrefois, s’agissant des nourrices ne saurait indigner aujourd’hui s’agissant de la GPA

Janssen J-J dit: à

Personnellement, j’aime beaucoup Lire Amanda… Bàv

@ /notre savant bocal ?/ Vous lisez mal, MSL ! Bàv

bouguereau dit: à

c’est la puissance de la répétition. et celle de la machine. si tu te substitues a elle tu abdiques ton hintelligence..cest elle qui prends tes commandes..subitment tout est moche et t’es bien plus con qu’un balet dans le cul à meussieu courte..et présentment te montrant exemple repoussant tu te promeut caution et propagateur et que même ta vilaine bouche disant le contraire tu te coupes les veins et irrigues de ton sang cette féque niouz que tout décidément était mieux havant

et alii dit: à

OUI? DHH, c’est très intéressant ces histoires de nourrice; je crois qu’on parle aujourd’hui d’assistante maternelle mais je ne sais rien exactement ;et vous?

bouguereau dit: à

s’agissant des nourrices ne saurait indigner aujourd’hui s’agissant de la GPA

lavocate commie doffice s’authorise a vnir ac son pti chien qu’elle dirait térezoune

bouguereau dit: à

mais je ne sais rien exactement ;et vous?

malgré tous les dénis..le communautarisme a smel a goudronner en marche..ein zwei..ein

moralès sed laisse dit: à

Le savant local, ce n’est certes pas vous, JJJ, c’est l’autre inspecteur de grimoires!
( Ne vous prenez pas pour le centre des remarques d’ici, n’ayez pas le melon charentais, une bonne foi pour toute.)
Savant bocal, c’est bien trouvé aussi!

et alii dit: à

J4AI trouvé ça:
Le partage de lait informel désigne le fait pour une mère de partager gratuitement son lait avec une autre sous la forme d’un don ou via l’allaitement croisé (cross nursing) de l’enfant. Pratique ancestrale habituellement réalisée dans un cadre familial ou de l’entourage proche, elle est en pleine augmentation, avec notamment l’apparition, depuis 2010, de réseaux de partage sur internet. Depuis lors, diverses déclarations ont été émises à ce sujet par divers acteurs – organisations professionnelles, religieuses ou de soutien à l’allaitement – sans que s’en dégage une réelle unité.

et alii dit: à

ALLAITEMENT ET SOCIETE

Yvonne Knibielher
Avertissement
L’article qui suit n’est pas le résultat d’une recherche originale, c’est un essai de démocratisation du savoir. Il m’a semblé, en effet, qu’une vue synthétique sur la longue durée pourrait être utile à de jeunes chercheuses féministes, en leur procurant un recul et une sérénité qui parfois leur font défaut. L’ampleur de la perspective conduit sans doute, ici et là, à un déficit de références ; mais quelques références supplémentaires n’ajouteraient pas grand’chose à la « scientificité » du propos. Un autre défaut du texte tient à ce qu’il privilégie la France : l’auteur, historienne française, s’en excuse, et garde l’espoir que, même dans ce cadre limité, quelques remarques d’ordre général seront possibles. Enfin, dernière faiblesse, le parcours prend fin vers le milieu du XXe siècle, parce que l’histoire récente est trop dense et trop complexe pour être résumée. Les lecteurs qui voudraient en savoir plus sur les dernières décennies (en France toujours) pourront lire mes derniers livres : La Révolution maternelle (Perrin, 1997) et Histoire des mères et de la maternité en occident (Presses universitaires de France, coll . Que sais-je ? 2e édition 2002)
https://www.santeallaitementmaternel.com/se_former/histoires_allaitement/allaitement_histoire.php

bouguereau dit: à

dans ce corps de gorille à rouflaquettes!

c’est pas dma faute msieu ljuge « je suis une force qui va » qu’il a dit dsk à son procés..il était envouté c’est certain qu’elle dirait bonne clopine

et alii dit: à

C’est en effet Rousseau, enfant sans mère, père abandonneur, qui s’est fait le chantre le plus éloquent de l’allaitement maternel. Cette fonction n’est plus seulement un plaisir comme au temps d’Ambroise Paré (cité plus haut), c’est le signe d’une sollicitude que rien ne peut remplacer. « Celle qui nourrit l’enfant d’une autre au lieu du sien est une mauvaise mère ; comment sera-t-elle une bonne nourrice ? ». Une femme sensible peut-elle faire nourrir son enfant par une autre ? Peut-elle partager le droit d’être mère, ou plutôt l’aliéner, voir son enfant aimer une autre femme ? « Où j’ai trouvé les soins d’une mère ne dois-je pas l’attachement d’un fils ? Voulez-vous rendre chacun à ses premiers devoirs, commencez par les mères ». Le contact intime entre mère et nourrisson tisse des liens affectifs qui transfigurent toutes les relations familiales et peuvent même régénérer l’Etat. Les douces vertus d’une mère vouée à ses petits imposeront un nouveau modèle de famille et de civilisation.

bouguereau dit: à

Pour Pierre Assouline, Jazzi et PaulEdel

communication entre feldgendarm

bouguereau dit: à

meussieu courte..inspecteur des grimoires..c’est pas mal

Mimi Pinson dit: à

Paul Klee, l’inspiration souterraine et manifeste de l’art moderne américano-européen, des surréalistes aux artistes dits « abstraits ».
Si vous ne l’aimez pas (ce qui est votre droit), n’en dégoûtez pas les autres!
Pratiquement une œuvre par jour, voire plus.

et alii dit: à

je me souviens qu’on avait questionné F.HERITIER
0 PROPOS DE L4ALLAITEMENT. SUREMENT DANS SON centre a-t-elle maintenant une bibliographie et des noms de chercheuses à communiquer

et alii dit: à

héritier;
: Désormais, les gens qui parlent d’humeurs, de substances et d’éléments corporels pensent immédiatement « Françoise Héritier », vous êtes à l’origine de cette découverte ou redécouverte. À propos d’Aristote, je voulais aussi évoquer le sang, le lait et le sperme. On associe ces trois humeurs, pensées de manière très positive par rapport à celles dont on parle moins que sont la salive, l’urine, les excréments de toutes sortes, les larmes. Pourquoi y a-t-il cette dichotomie avec une survalorisation des premières ?
https://www.cairn.info/revue-corps-dilecta-2010-1-page-5.htm

et alii dit: à

r. Les femmes n’ayant pas assez de chaleur ne peuvent pas cuire le sang de la même manière. Tout ce qu’elles peuvent faire, c’est du lait. L’idée est donc que le lait est de même nature que le sperme, mais en est un avatar en dessous : ce n’est pas du sperme parfait.

16M.-L. G. : D’où, après, Galien avec son sang blanchi ?

17F. H. : Voilà. Tout ce qui fait l’homme est déjà dans le sperme, alors que les autres humeurs ne sont pas considérées comme porteuses d’individualité, porteuses de tempérament, selon Galien, porteuses de nom, porteuses d’idéologie. Même l’idéel est porté par le sperme, en plus de la forme humaine, de la vie, du souffle, de la chaleur, de la pensée. La liaison entre les trois grandes humeurs que sont le sang, le sperme et le lait est une sorte d’invariant. C’était un des points qui avait focalisé mon attention lors de l’apparition du sida quand j’ai eu à m’en occuper.
https://www.cairn.info/revue-corps-dilecta-2010-1-page-5.htm

bouguereau dit: à

Si vous ne l’aimez pas (ce qui est votre droit), n’en dégoûtez pas les autres!

tu n’as pas peur..t’otorisant telmentrépétivment de lui..que tu ne lui substitues ta face de babouin

et alii dit: à

. Aussi bien dans mes propres enquêtes, dans les questionnements que j’ai pu faire mais aussi en lisant les textes d’autres auteurs – en l’occurrence, sur ce transfert différentiel, je pense à des auteurs qui travaillaient sur l’islam –, je me suis aperçue de deux choses : l’une qui est extrêmement importante dans les lieux où je l’ai trouvée mais qui n’est pas, je pense, acceptée par tous les islamologues ressort de cette phrase extrêmement forte : « Le lait vient de l’homme. » Elle est, reconnaissons-le, extrêmement intrigante. À mes yeux, elle contient l’idée-force qui permet de comprendre dans la parenté de lait tous les interdits
héritier

et alii dit: à

d’après Héritier F
l’homme apporte à l’enfant le sang par le sperme, sang qui lui vient de son père, lequel le tient de ses aïeux paternels, la mère donnant à l’enfant la matière, les os. Durant les six premiers mois de grossesse, le père, par des rapports sexuels répétés, continue d’apporter par le sperme du sang, de la chaleur, du souffle, du pneuma. Ensuite, lors de l’allaitement, le lait provient du sperme (théorie existant aussi dans le Coran) de sorte que sont interdites aussi les sœurs de lait et toutes les femmes du groupe de la nourrice par exemple.

et alii dit: à

L ‘AUTEUR ET LA DATE/ sur allaitement
A propos de Masculin/Féminin II, Françoise HERITIER
Alice Granger Guitard
19 novembre 2002

puck dit: à

Janssen J-J dit: à

@ pkt /le lecteur ayant un temps d’avance sur Welbec ce qu’il estimait autrefois être une originalité, maintenant ça le gave grave/

C’est qui, LE LECTEUR ?… Une sorte de puck à l’ère gogène, maybe ?
 »

ne l’oublions pas : le critique est aussi un lecteur, un lecteur d’un genre particulier certes, mais un lecteur tout de même.

sinon je n’ai fait que copier coller cette critique de l’express, j’adore faire des copié collé :

https://www.lexpress.fr/culture/livre/aneantir-un-houellebecq-anesthesiant-malgre-les-critiques-survoltees-par-jean-marc-proust_2166079.html

puck dit: à

les copiés collés donnent parfois des choses très amusantes, ex : Jazzi a bien aimé mes 2 premiers pastiches de welbec, il les a trouvés rigolo.

par contre il n’a pas aimé mon troisième pastiche.

en fait ce 3ème pastiche était un copié collé d’un extrait des particules alimentaires.

et alii dit: à

MERCI,PUCK!

Jean Langoncet dit: à

@Ralph Lauren

Autoportrait. Le taureau, c’est le Polo des bois

DHH dit: à

@rt alii
le ne connais sur cette question rien de plus que vous ;je n’ai voulu ici qu’exprimer une indignation d’ordre compassionnel en face dune pratique inhumaine , fruit d’une exploitation de la misere , consistant à exploiter la misere de ces femmes qui acceptaient de priver leur enfant de leur presence et de leur lait pour en faire bénéficier contre remuneration un enfant de riche
La question pour la mere biologique ,et pour son enfant qu’elle n’a pas allaité , des liens de celui-ci avec sa mere mercenaire ,se pose sans doute encore aujourd’hui même si le contexte social a changé .Elle mérite sans doute l’attention des psychologues , mais personnellement elle ne m’interesse pas

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