de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

Un auteur et son éditeur peuvent former une paire, un duo, un tandem mais un couple ? Il y faut la durée, l’intensité et une complicité qui transcende leur intérêt commun dans le pari que constitue la publication d’un livre. Sans oublier, le dernier mais pas le moindre, une certaine solidarité générationnelle. Yvan Leclerc, spécialiste de Flaubert et créateur du site et du Centre à lui consacrés et Jean-Yves Mollier, historien de l’édition, du livre et de la culture, auteur notamment d’une biographie remarquée de Michel Lévy en 1985, n’ont pas hésité à intituler Un couple explosif l’essai qu’ils consacrent à Gustave Flaubert et Michel Lévy. Leur livre est publié naturellement chez Calmann Lévy, seule maison à Paris qui peut se permettre de préciser en page de garde « éditeur depuis 1836 ».

Nés tous deux en décembre 1821 à quelques jours d’intervalle, cela crée des liens. Lorsque ces deux passionnés de théâtre font connaissance à 35 ans, Flaubert est un rentier des Lettres, libéré de l’obligation de vivre de sa plume grâce à l’héritage de son père et le placement judicieux que sa mère fit de sa dot, bien qu’il commença à vivre au-dessus de ses moyens lorsqu’il se mit à vivre à Paris ; la dilapidation est au centre de son œuvre. Il se refuse au « banquisme » comme ces charlatans qui flattent les goûts du public. Il a publié un grand nombre de textes de toutes sortes dans des revues mais Madame Bovary, dont il confie pour la première fois l’édition à Michel Lévy, est son premier roman. Disons qu’il y consent car, dans son idéal de l’art pour l’art (« Je ne vois pas le rapport qu’il y a entre une pièce de cinq francs et une idée ») puisque c’est se prostituer que de publier, un éditeur ne peut être qu’un maquereau. Sa méfiance est grande vis-à-vis de la corporation. Son notaire a d’ailleurs la charge de négocier le contrat.

Libraire-éditeur considéré comme innovateur par ses collections bon marché destinées au plus grand nombre à condition qu’ils fussent « des gens de goût », non seulement dans leur bibliothèque mais dans leur poche, classique pour ne pas dire académique, Michel Lévy se distingue par son éclectisme en publiant aussi bien Dumas, Mérimée, Féval, Baudelaire que Thiers et Louis Blanc ainsi que Labiche et autres dramaturges dans l’air du temps. L’homme fait preuve d’une certaine faculté d’adaptation : orléaniste, il se fait aussi bien à la République en 1848 qu’à l’Empire quatre ans plus tard. Leur relation se délite lorsque Flaubert est convaincu d’être exploité par Lévy :

« Je n’ai point la prétention que la Littérature me nourrisse. Mais c’est bien le moins qu’elle ne me ruine pas » lui écrit-il.

De fait, il ne reçoit qu’un forfait très modeste pour Madame Bovary dont personne ne s’attendait à un tel succès- mais c’était l’usage pour un premier roman. De plus, il estime qu’il n’a pas à se mêler du contenu de ses livres et refuse les illustrations, lui interdisant même de les lire avant la signature du contrat. La dégradation de leurs rapports va crescendo jusqu’à l’explosion, l’éditeur n’en ayant pas fait assez aux yeux de l’auteur pour honorer la mémoire de son grand ami, sa conscience et sa boussole, Louis Bouilhet. Or Michel Lévy n’était pas du genre à publier sans lire ni interférer. Il avait de son propre chef métamorphosé La Révolution, titre d’un manuscrit de Tocqueville, en L’Ancien Régime et la Révolution.

Face à cette résistance, on voit alors Flaubert glisser dans les stéréotypes antisémites, le désignant dans ses lettres non plus par son nom ou sa qualité mais comme « le juif », « l’israélite », « le fils de Jacob », « l’être immonde », « l’enfant d’Israël, « le vil circoncis »… Son éditeur, qui ne croyait pas plus dans son roman si peu romanesque l’Education sentimentale qu’il n’avait crû en son roman carthaginois Salammbô, se voit reprocher leurs commerciaux pourtant annoncés, et concentre sur lui seul son aigreur raciste. En 1872, plein de ressentiment, il se dit « fâché à mort » avec lui. Le voilà mûr pour tomber dans les filets du concurrent, Georges Charpentier. Lucide sur ses propres excès, écoeuré par la vie littéraire, il est bien décidé à ne pas « faire gémir les presses » avant des années alors que le manuscrit de la Tentation de saint Antoine est prêt. Trois ans plus tard, il ira jusqu’à regretter que la mort de Michel Lévy fut si douce.

L’examen de leur lien particulier permet, entre autres, de poser un problème qui n’a toujours pas été résolu depuis que Baudelaire s’en étonnait en 1861 : celui de la propriété intellectuelle. Autrement dit : est-il normal que les droits des œuvres soient revendus lorsque l’éditeur cède son entreprise à un autre sans que leurs auteurs aient leur mot à dire ? Au fond, le couple aura divorcé sur un malentendu faute de s’être rencontré au niveau moral et littéraire, en raison du refus de l’écrivain de considérer son éditeur historique pour autre chose qu’un épicier alors que celui-ci fut un redoutable homme d’affaires à la réussite incontestable. Quel eut été le destin de cette œuvre si l’éditeur n’avait pas empêché l’auteur de réserver Madame Bovary à une élite pour le forcer à l’offrir au plus grand nombre ?

(« Caricature de Gustave Flaubert par Pierre-François-Eugène Giraud, vers 1868 « ; «  Michel Lévy par Etienne-Gabriel Bocourt in Le Monde illustré, 22 mai 1875″)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

1134

commentaires

1 134 Réponses pour L’écrivain et son éditeur forment-ils un couple ?

Bloom dit: à

Bloom, à propos de Kipling, il faudrait nous en dire plus,

Il vieillit mal, vanina, à cause de ce différentialisme essentialiste de chantre de l’Empire : Eat is East, West is West, and never the twain shall meet…, que l’on retient plus volontiers que ce qu’il écrivit à Cecil Rhodes: « England is a stuffy little place, mentally, morally and physically ». On serait maintenant tenté de voir dans cette détestation un primum mobile de la colonisation…

Pour moi, surnagent Kim, grand roman d’aventure et d’espionnage qui incorpore sa connaissance de l’Inde et de ses marges, ses merveilleuses Histoires vraies (Just So Stories), et quelques poèmes comme If (hélas…), The White Man’s Burden, Recessional, Mandalay, pour leur valeur documentaire.
Je trouve son style effectivement souvent « turgid », indigeste, ampoulé et précieux.
Comme le dit un de ses biographes plutôt dénué d’empathie, « What happens in a Kipling story is hard to remember afterwards – the telling is what counts: an exact comment on his narrative power » (Kingsley Amis, Rudyard Kipling and World, 1975).
Dans son dernier ouvrage, Passou, qui connait bien son histoire, éclaire avec précision l’une des plus grandes tragédie intimes de cet homme finalement très seul et solitaire…

et alii dit: à

comme je voulais rappeler à CLAUDIO clarice lispector
(naturalisée brésilienne), je songe à Antoinette FOUQUE éditrice:

D. dit: à

Tu vas voir, Jazzi, une fous Zemmour au pouvoir, nos frontières, seront bien mieux gardées.

Bloom dit: à

une fous Zemmour au pouvoir

‘UN fou Z….’, oui.
C’est la main de Dieu. Tremblez, D.!
Ahahaha!

D. dit: à

Tu manges le croupion du poulet, Puck ? Moi oui et c’est très bon. Peut-être le meilleur morceau, avec le solilaisse. Mais bio. Sinon il y a le risque qu’on lui ai foutu des antibiotiques dans le cul et là il faut éviter.

D. dit: à

N’arrêtez surtout pas de faire ahaha à la façon de Clopine, Bloom. Cela vous va très bien.

Jazzi dit: à

« nos frontières, seront bien mieux gardées »

On aura à nouveau de bonnes bretonnes pur beurre pour tapiner dans le bois de Vincennes, D. ?

et alii dit: à

le solilaisse parce que « le sot l’y laisse  » dit-on:
il parait que c’est le morceau du cuisinier: qui le rend efféminé!

D. dit: à

Pourquoi, c’était le cas avant ?

et alii dit: à

DEVINETTE/
La cathédrale Saint-Tugdual de Tréguier renferme un ensemble de 48 stalles dont le contrat est toujours conservé aux Archives Départementales des Côtes-d´Armor (2 G 364 et 2 G 456). Ce document, très rare, donne des indications précieuses quant à la commande et à l´exécution de ces stalles. Daté de 1508, il décrit les exigences, iconographiques principalement, des chanoines trégorois qui passèrent contrat avec deux artisans de la ville, Tugdual Kergus et Gérard Dru. Ce dernier est probablement un artiste d´origine rhénane comme l´indique la consonance germanique de son nom. Les thèmes et le style qu´il développe sur ces stalles, mais aussi sur un retable de cette même cathédrale, est par ailleurs caractéristique de cette région.

Réalisé de 1508 à 1512, cet ensemble fut remanié au cours du 17e siècle, époque où les dorsaux ainsi que quelques stalles furent supprimés. Plusieurs scènes représentant principalement des sodomites furent « purgées » à cette même époque. Au moment de la Révolution et un an avant que la cathédrale ne soit transformée en « Temple de la Raison », les chanoines réussirent à cacher leurs précieuses stalles chez certains habitants de Tréguier, les sauvant d´une destruction quasi certaine.

D. dit: à

Alain Minc se prononce en faveur de Pécresse, ce n’est certainement pas lui rendre service, mais en effet, comme elle, il fait feu de tout bois.

Les états de service de Monsieur Minc peuvent être consultés, notamment, sur Wikipédia.

Edifiant.

Jean Langoncet dit: à

(Dans quelle mesure la révolution industrielle serait-elle l’antithèse de la révolution française ? – merci pour vos pistes éventuelles )

Bloom dit: à

il y a le risque qu’on lui ai foutu des antibiotiques dans le cul et là il faut éviter.

Que dire d’une telle prose, fou de Z…?
Sinon qu’avec l’avarié varois, vous D. tonnez…
Un peu de tenue, svp.

MC dit: à

Une représentation d’un miracle facétieux. Celui de la Lavandière dont le linge trempé dans le lavoir s’allonge démesurément par la volonté de St Yves, jusqu’ à ce qu’elle le prie d’ arrêter. Une photo dans Skol Vreizh, » les Chemins de St Yves ». Moralité : St Yves lave plus blanc ,et rend votre linge plus long ! Je doute que ce relief soit rhénan… Bloom, je confonds peut-être mais est-ce que cette détestation de l’Angleterre ne vient pas du fait que la deuxième Madame Kipling était Americaine…

Bloom dit: à

Scottish Tory leader says Boris Johnson should resign after PM admits attending No 10 lockdown party

Fin de partie.
Un jour ou l’autre, les bouffons sont démasqués et apparaissent pour ce qu’ils sont.
Les questions au PM tout à l’heure sur SkyNews, un grand moment de jubilation linguistique.

Extrait de l’intervention du député travailliste gallois Chris Bryant. Music to the ears.

« How stupid does the prime minister think the British people are?
So, the prime minister didn’t spot that he was at a social event. That’s the excuse isn’t it? Come off it.
(…)
…this shower of shenanigans.

Would it not be absolutely despicable if, in the search for a scapegoat, some junior member of staff ends up losing their job, but he kept his? »

Trado sur DeepL.

et alii dit: à

j’apprends
la Lex hortorum, coutume italienne du XVIe siècle qui invitait les sujets d’un prince à se rendre dans ses jardins pour en découvrir les plaisirs.
voilà ce que notre lézard doit proposer pour etre éligible comme on dit sur la toile!

Bloom dit: à

Bloom, je confonds peut-être mais est-ce que cette détestation de l’Angleterre ne vient pas du fait que la deuxième Madame Kipling était Americaine…

Je ne crois pas, MC; n’oubliez pas qu’il était Anglo-Indien (britannique né en Inde) et qu’il ne fut jamais aussi heureux qu’à Bombay ni aussi malheureux que dans la famille d’accueil où on le colla pouir qu’il fasse ses études, à Southend on Sea, dans une maison qui « sentait l’aridité et la solitude ». Marque indélébile sur la conscience de ce jeune garçon déjà hyper-réceptif, et cela malgré les vacances chez à Fulham, à jouer avec les enfants Burne-Jones et les jolies filles de William Morris…

bouguereau dit: à

How stupid does the prime minister think the British people are?

c’est la question que shakespeare il aurait dit

bouguereau dit: à

Un jour ou l’autre, les bouffons sont démasqués et apparaissent pour ce qu’ils sont

..haw haw haw quelle fait la reine

bouguereau dit: à

Alain Minc se prononce en faveur de Pécresse

les français sont hintelligents qu’il dit dédé..machallah

bouguereau dit: à

Mais bio. Sinon il y a le risque qu’on lui ai foutu des antibiotiques dans le cul

las de pic..mais faut surtout enlver les glandes à graisser les plume dédé..et c’est pus souvent fait

bouguereau dit: à

Et puis songez aux soirées animées que nous pourrions passer auprès d’un feu de bois !

le bon temps de playboy et giscard

et alii dit: à

c’est en voyant le mot scottish écrit par BLOOM que soudain j’y pense et me souviens:
« L’écossaise est un terme qui désigne plusieurs formes de danse au cours des siècles. »

Au départ, le terme désigne la contredanse anglaise en deux colonnes. Au xixe siècle apparaît une nouvelle danse « écossaise » de bal, la scottish.

Beethoven, Schubert, Chopin, et Kling ont composé des écossaises.
peut-etre renato voudra-t-il bien choisir la musique? MERCI

DHH dit: à

@jazzi
A propos de la faune du bois de Vincennes ,un souvenir
Avec ces mêmes eleves,ceux dont l’ai parlé plushaut, j’ai eu l’occasion d’assister a une audience en correctionnelle ,ans laquelle étaient impliquées deux de ces malheureuses, que vous évoquez . Celles-ci ,qui travaillaient apparemment en independantes, offraient leurs prestations dans une ambulance d’occasion, amenagée à cet effet, et proprieté de l’une d’entre elle:
Misere materielle, misere morale, misere sexuelle, tant des prostituées que de leur pitoyable clientele demandeuse des passes expeditives à bon marché ,; Tableau ,ravageur qui se mettait en place ,,détail sordide âpres détail sordide , au fil de l’interrogatoire et de la maigrelette plaidoirie d’une timide avocate commise d’office
Le probleme qui valait à l’une des prostituées d’être inculpée tenait aux conditions dans lesquelles elle mettait à certains moments son lieu de travail à la disposition de son amie .Soupçonnée de le faire contre rémunération, elle encourait une condamnation pour proxénétisme, grief de son inculpation . Si ce prêt était amical ,il n’en était rien
C’est ce que plaidait l’avocate, demandant une relaxation qui permettrait aux deux amies de poursuivre leur activité dans les mêmes conditions en toute licéité
Nos gamins étaient consternés et envahis de pitié

D. dit: à

Il y a aussi les petits pois ecissai, et alii.

D. dit: à

écossais, pardon. Les petits pois.

et alii dit: à

il y a des danses en couple!
COURS DE DANSE EN COUPLE POUR ADULTES
Vous avez toujours rêvé d’apprendre à danser, de pratiquer une danse à deux, d’inviter un(une) partenaire à danser, de vous défouler sur les pistes de danse ?

Ici c’est sans complexe, en toute simplicité et pour toute la famille !

Ze Art studios est l’école de danse Parisienne spécialisée dans les danses de couple. L’école a été créée par Emilie caille, 5 fois championne de France de danses latines en compétition. Elle a dansé pendant plus de 25 ans en amateur puis en compétition. Après avoir expérimenté plusieurs types de danse dès son plus jeune âge, la danse classique, le modern jazz, et enfin la danse de salon, elle décide de se spécialiser dans les danses de couple et d’ouvrir son studio en 2008.

bouguereau dit: à

Rares sont les auteurs qui mettent en question la valeur de leur texte. si c’était aussi simple que le rapport prolétaire-patron!!!

qu’il suffit de traverser la rue pour en trouver un autre..ou que lécrivain serait comme marx lespérait lhomme qui s’accompli..seigneur et maitre de son oeuvre: celui à qui on ne dépossédrait plus son travail..jusqu’au moment où lediteur en ferait une valeur marchande

Jean Langoncet dit: à

@C’est ce que plaidait l’avocate, demandant une relaxation qui permettrait aux deux amies de poursuivre leur activité dans les mêmes conditions en toute licéité

Qu’auriez-vous plaidé, vous ? Tant du côté de la défense que du côté du ministère public ?

Jean Langoncet dit: à

@la maigrelette plaidoirie d’une timide avocate commise d’office

A quelles conditions soumettriez-vous les droits de la défense ? A quelles conditions soumettriez-vous le droit d’ester en justice ?

et alii dit: à

La danse du couple
La danse du couple – hachette – 9782818501078 –

Auteur : Danièle LAUFER , Serge HEFEZ
Editeur : Hachette
Collection : Pluriel

bouguereau dit: à

Nos gamins étaient consternés et envahis de pitié

..à leurs enfants pas de leçon particulière..car tu sais que trop que c’est une scie des jugments de la prostitution en france..le boulanger qui accepte en toute conscience largent d’une pute est en droit français un maquereau

Jean Langoncet dit: à

Je ne doute pas que cette sordide réalité vous a permis d’expliquer à votre groupe de jeunes élèves les enjeux les plus communs auxquels l’état de droit permet de répondre au quotidien, au nom de valeurs universelles

Jean Langoncet dit: à

Nota : une plus large expérience du trinbunal correctionnel vous aura peut-être permis de mesurer combien de brillants diplômés, de ceux qui suscitent votre admiration presque aveugle, n’échappent à de sordides affaires. Je suis plein de compassion …

Bloom dit: à

The Conservative MP William Wragg, chair of the public administration and constitutional affairs committee and a vice chair of the backbench Conservative 1922 Committee executive, has joined those saying Boris Johnson should quit.

Une fois lancée, la torpille conservatrice ne s’arrêtera pas. Elle a déjà dézingué Thatcher.
Elle poussera BJ vers la porte.
Triste fin. Juste fin.

Petits joueurs, les LR n’ont pas eu ce courage avec le bon maitre de Sablé. Très forts pour karchériser les autres, très faibles quand leurs écuries empuantissent le pays.

Jean Langoncet dit: à

En France, le principe d’égalité devant la loi signifie qu’un Madoff et ses montages financiers foireux puisse être jugé par la même juridiction et selon les mêmes critères que les deux prostituées du bois de Vincennes et leur ambulance affectée à d’autres services que sanitaire ; question subsidiaire : à s’en tenir à ces deux exemples, lequel est le plus préjudiciable à l’intérêt général ?

puck dit: à

l’ambulance ?

puck dit: à

on gagne quoi si on a bon ?

et alii dit: à

Pierre Legendre, La Passion d’être un autre. Étude pour la danse / De la Société comme Texte. Linéaments d’une anthropologie dogmatique

puck dit: à

« C’est ce que plaidait l’avocate, demandant un laxatif qui permettrait aux deux amies de poursuivre leur activité dans les mêmes conditions en toute licéité »

???

puck dit: à

Legendre parfait !

le 12 janvier c’est la fête des belles mères.

et alii dit: à

La Passion d’être un autre. Etude pour la danse
Pierre Legendre
La danse est la forme la plus animale de ce que nous appelons art.

Déchiffrer le discours muet des corps danseurs et, dans le cas occidental, repérer jusque dans les chorégraphies ultramodernes l’anatomie mystique signée du marquage chrétien, tel est l’exercice.

En cette affaire – affaire d’inconscients aussi -, s’agitent les questions de la pratique cérémonielle et d’un vaste enchaînement de références au Sexe fabuleux. Les danses s’inscrivent comme proclamations mythologiques du sens, au cœur d’une légalité sociale.

Ce livre a inauguré une voie d’étude sur la danse et les systèmes chorégraphiques, à la croisée des chemins pour l’anthropologie : esquisse déjà d’une anthropologie dogmatique.
https://www.seuil.com/ouvrage/la-passion-d-etre-un-autre-etude-pour-la-danse-pierre-legendre/9782020048972

puck dit: à

c’est la question que shakespeare il aurait dit
 »

checspire il connaissait que les réponses, jamais les questions !

puck dit: à

« un vaste enchaînement de références au Sexe fabuleux »
 »

j’ai déjà dit que je veux pas parler de mon intimité ! chui trop pudik.

puck dit: à

« qu’il suffit de traverser la rue pour en trouver un autre.. »
 »

ouai et c’est comme ça qu’on se mange un vélo, une trottinette ou un bus !

j’ten filerai des konsayes à greubou…

faut l’enfermer c’est un dangé pubik.

Patrice Charoulet dit: à

HORS SUJET

Je signale que le rapport de Gérald Bronner sur les fake news vient d’être mis en ligne. N’hésitez pas à le télécharger (c’est gratuit) et à le lire.

Jean Langoncet dit: à

@HORS SUJET

je rachète les droits des esclaves blancs à bon prix ; signalez vous comme vous pouvez

D. dit: à

En fake news, certains ont osé dire début 2020 que le masque était superflu. Incroyable. Des noms ?

Jean Langoncet dit: à

(Are You Happy Being A Schmuck?)

Jean Langoncet dit: à

@www.http://youtu.be/G9e1gICybDM. est financée entièrement ou partiellement par le gouvernement russe

franchier le mur du çon demeure chez certains un événement qui rassemble

D. dit: à

Vous avez quelque chose contre l’information, Jeannot ?

D. dit: à

Pourtant je ne vous ai jamais senti une âme de dictateur.

Jean Langoncet dit: à

(le premier connarD. de l’année)

Jean Langoncet dit: à

bonne nuit les conversateurs

Jean Langoncet dit: à

@on gagne quoi si on a bon ?

Le droit de faire un tour en ambulance avec DHH

Jazzi dit: à

Le droit de faire un tour en compagnie du léZard au square du Vert-Galant, l’occasion d’évoquer les origines de la capitale française !

Jazzi dit: à

Vu hier « Ouistreham », un savoureux cocktail humanitariste en forme d’éloge aux techniciennes de surface, composé pour un tiers par Florence Aubenas, un tiers par Emmanuel Carrère et un tiers par Juliette Binoche.
Sucré, pas mal sucré aux bons sentiments de gauche…
Dois-je en parler dans ma prochaine chronique cinématographique ?

Soleil vert dit: à

puck dit: à
Legendre parfait !

le 12 janvier c’est la fête des belles mères.

C’est pas le 24 Aout ?

D. dit: à

Moi je n’aime pas les fêtes.

Jibé dit: à

Bloom , »So, the prime minister didn’t spot that he was at a social event », c’est sûr: dans le monde de BoJo on ne fait pas la différence entre une party et un rendez-vous de travail, faut admettre. Comme certains chez nous, il vit sur une autre planète.
Donc n’a pas validité à gouverner ceux qui vivent en bossant, faisant fort bien la différence entre trimer et boire un coup.

D’accord avec vous sur Kipling, écrivain de l’empire et du pire. Je mesure moins bien que vous la qualité du style en anglais, mais dès qu’on le compare -je ne parle que du style, du phrasé- avec un de ses contemporains, y’a pas photo. Si Disney n’avait pas mis en image le Livre de la Jungle, K ne serait plus là sauf pour l’extrême droite (il y a encore des gens qui ont le « tu seras un homme mon fils » placardé en gothique au dessus de leur cheminée, je l’ai vu -preuve que je fréquente des bars sans savoir de quelle obédience ils sont!)

DHH dit: à

@langocet
j’aurais plaidé comme elle l’inanité du grief ; les juges ont probablement eté d’accord et surement decidé la relaxe,
Et tout ce monde , avocats, procureur, juges,tribunal s’est sans doute , en toute bonne conscience, félicité de de ce jugement pétri d’une humanité ,qui leur fait honneur, et grâce auquel la justice de notre pays a permis à ces travailleuses de continuer en toute sérénité, à vivre leur vie de stakhanoviste des passes ,sans l’épee de Damocles d’une inculpation pour proxénétisme

Bloom dit: à

Jibé, rappel salutaire de la récupération des talents du chantre de l’Empire par les descendants de la BUF.
Heureusement, Lyndsay Anderson et son « If » à lui ont rendu leur deux lettres de noblesses à la conjonction. No ifs and buts!

Jean Langoncet dit: à

Puisque vous assistiez à l’audience, plutôt que de faire de ce cas une critique gratuite pour alimenter un préjugé de laxisme de la justice, quelles ont été les réquisitions du parquet ? Vous êtes vous ensuite procuré le jugement pour vous assurer de sa motivation ? Ces éléments auraient pu concourir à l’éducation de votre groupe d’élèves

lmd dit: à

À propos de cette audience jugeant de jeunes prostituées, au lieu d’en discuter les conditions, tenants et aboutissants, il faut plutôt regretter que tous ceux qui sont ou ont été enseignants dans les lycées français ne soient pas en mesure de dire que comme DHH, ils ont amené leurs élèves voir comment ça marche.

Jean Langoncet dit: à

L’un est supposé conduire à l’autre, sinon, à quoi bon ?

JiCé..... dit: à

JEUDI 13 JANVIER 2022, 10h42,7°, temps calme

Branle bas de combat !

Je viens de virer de mon boudoir à cuvette WC les photos d’Heidegger et Arendt, nazi/juive, pour les remplacer par celles de Zemmour/Knafo, juif/énarque.

On modernise !

Tous les deux Heidegger et Zemmour cultivent le goût des gamines : 35/16 ans pour Heidegger/Arendt, 63/28 pour Zemmour/Knafo. De sacrés pédophiles ! ça nous change des gérontophiles incompétents, amoureux de mémés bien entretenues, sous tout rapport !

et alii dit: à

bonjour:
Le prince Charles a chargé sept artistes de premier plan de peindre des portraits de survivants de l’Holocauste en hommage à la génération vieillissante. Les portraits seront dévoilés au palais de Buckingham vers la fin de ce mois.

Les artistes établis participant au projet incluent l’artiste féminine vivante la plus chère Jenny Saville , Clara Drummond, lauréate du BP Portrait Award , membre original des Young British Artists Stuart Pearson Wright, et les peintres Paul Benney , Peter Kuhfeld , Massimiliano Pironti et Ishbel Myerscough. , selon la BBC .

« Alors que le nombre de survivants de l’Holocauste diminue malheureusement mais inévitablement, mon espoir constant est que cette collection spéciale servira de guide supplémentaire », a déclaré le prince Charles à la BBC , ajoutant que les portraits serviraient également de rappel des « jours les plus sombres de l’histoire ». .  »

La plupart des survivants de l’Holocauste présentés dans les portraits ont plus de 90 ans. Ils ont été emprisonnés dans des camps de concentration pendant leur enfance et vivent en Grande-Bretagne à l’âge adulte.

Les survivants représentés incluent Anita Lasker-Wallfisch, une musicienne de 96 ans issue d’une famille juive allemande qui a joué dans un orchestre de prisonniers du camp de concentration d’Auschwitz, et a ensuite été détenue dans le camp de Bergen-Belsen en Allemagne. Son portrait a été peint par Kuhfeld. Benney a peint Helen Aronson, 94 ans, une survivante de l’emprisonnement de Juifs dans le ghetto de Lodz en Pologne occupée par les nazis.

Les peintures, qui seront présentées à la Queen’s Gallery du palais de Buckingham du 27 janvier au 13 février, et au palais de Holyroodhouse à Édimbourg du 17 mars au 6 juin, devraient rappeler non seulement l’un des chapitres les plus sombres. dans l’histoire, mais aussi pour montrer « l’interdépendance de l’humanité alors que nous nous efforçons de créer un monde meilleur pour nos enfants, petits-enfants et générations à naître », a déclaré le prince Charles, ajoutant que ce monde devrait être « un monde où l’espoir l’emporte

et alii dit: à

Coyle se souvient avoir parcouru les galeries avec Dennis Coker, chef principal de la tribu indienne Lenape du Delaware, lorsqu’ils se sont arrêtés devant une peinture de 1840 de l’artiste de la Hudson River School, Robert Walter Weir, intitulée Indian Captives, Massachusetts 1650 .

« Avant, nous avons construit le contexte en disant qu’il a été peint près de 20 ans après l’ écriture du dernier des Mohicans , mais nous ne dirions pas que c’était à l’époque où la traînée des larmes se produisait », a déclaré Coyle, expliquant comment Coker a apporté une nouvelle analyse par faisant ressortir la symbolique d’une bûche sciée figurant dans l’œuvre.

« C’est ce qui arrive aux autochtones, leurs territoires de chasse sont abattus », a observé Coker.

« Ce n’est tout simplement pas quelque chose que j’aurais vu en regardant la peinture », a déclaré Coyle, expliquant comment la collaboration avec les communautés autochtones locales a enrichi la compréhension du musée de sa collection.
https://news.artnet.com/art-world/art-museums-native-american-art-2058622

bouguereau dit: à

il faut plutôt regretter que tous ceux qui sont ou ont été enseignants dans les lycées français ne soient pas en mesure de dire que comme DHH, ils ont amené leurs élèves voir comment ça marche

tu veux faire pitché en commis d’office

Jazzi dit: à

DHH, il y a prostitution et prostitution.
La situation des prostituées nigériennes du bois de Vincennes, victimes d’un réseau maffieux de passeurs, n’a rien à voir avec celle des prostituées indépendantes du bois de Boulogne, qui témoigne dans ce film dont j’ai récemment parlé.
D’après celles-ci, la responsabilisation pénale du client a eu pour conséquence la ruine des travailleuses traditionnelles du sexe au profit des réseaux clandestins maffieux…

bouguereau dit: à

ça nous change des gérontophiles incompétents, amoureux de mémés bien entretenues, sous tout rapport !

..rappel à la loi dlavocat du diabe..le procés en béatification avorte dans les chiottes

et alii dit: à

avez vous déjà été dans une « rage room »:
Souvent, les gens choisissent la chanson Office Space Song (The Still de Geto Boys) et décident de casser une imprimante.

À chaque coup, vous sentirez lentement le stress se libérer de votre corps, et un poids lourd se soulever de vos épaules.

« Beaucoup de gens arrivent après une journée de travail stressante. Lorsqu’ils partent, ils sourient jusqu’aux oreilles. »
Ce concept est également connu sous le nom de « DestructoTherapy ». Le principe est le suivant : vous entrez dans une salle sécurisée et surveillée avec un tas d’objets que vous pouvez casser. Vous mettez un équipement de protection de la tête aux pieds
Que peut-on casser dans une Rage Room ?
Vous pouvez détruire les déchets électroniques tels que les moniteurs d’ordinateurs, les tours de PC, les ordinateurs portables, les claviers, les imprimantes, les télécopieurs, les téléviseurs et tout autre appareil électronique auquel vous pensez. Les articles de cuisine tels que les assiettes, les bols, les bouteilles, les tasses, etc. Certaines salles de rage proposent également de fracasser les voitures ! Tout ce à quoi vous pouvez penser sera très probablement cassable dans une chambre de la colère.
https://www.karnage-club.fr/cest-quoi-une-rage-room/

bouguereau dit: à

un paquet bifton dans ma poche vaut mieux que dsitribution de bonbon aux petites fiyotes qu’il rappel maitre baroz..

et alii dit: à

La thérapie de destruction peut être une activité solitaire ou quelque chose que vous faites avec d’autres. De nombreuses salles de rage proposent des soirées de rencontre ou des formules de fête pour que vous puissiez casser des choses avec votre ami, votre conjoint ou même un collègue ! Il y a un sentiment de camaraderie qui émane de casser des choses ensemble.

De nombreux patrons reconnaissent le stress qu’ils imposent à leurs employés et se sont tournés vers les activités des « rage rooms » comme un exercice sain de consolidation d’équipe. Vous et votre équipe pouvez enfin prendre cette imprimante qui ne fonctionne jamais dans une chambre de crise et lui donner un peu de votre esprit !

Bloom dit: à

Jibé, vous auriez peut-être une serrure Godrej foireuse en magasin, pour installation immédiate sur la porte des gogues de l’invariant varois, histoire qu’il coule seul dans sa fosse, comme le commandant vichyiste du sous-martin Poncelet au large du Gabon en novembre 1940?

et alii dit: à

conseiller le titre du prochain roman:
adrénaline!

bouguereau dit: à

n’en fais rien jambon..kabloom veut rien que te confiner en ton chalet de necessité

et alii dit: à

l’adrénaline
. C’est une amine sympathomimétique à action directe, ayant des effets aussi bien sur les récepteurs alpha que bêta-adrénergiques

bouguereau dit: à

Moi je n’aime pas les fêtes

ne pas aimer le décor n’empéche pas le bon acteur de faire de son mieux pour donner son tesque dédé..

Patricce Charoulet dit: à

HORS SUJET

 « Cioran, considérant la suite de merveilles inventées par la France depuis mille ans, lui accorde le droit de se reposer. De mon côté, j’ai décidé très tôt qu’il ne fallait pas se laisser impressionner par la décadence. J’ai cherché, enseigné et écrit pour faire revivre, au moins par la mémoire, quelques siècles de fécondité française. J’ai été jusqu’à apostropher l’État français et le sommer de faire passer toujours notre patrimoine et notre langue avant le soutien servile aux divertissements de masse. »
(Marc Fumaroli, 2017)

Bloom dit: à

kabloom veut rien que te confiner en ton chalet de necessité

« …where he belongs. » (Hollbrook Jackson, To-Day)

racontpatavi dit: à

Dois-je en parler dans ma prochaine chronique cinématographique ?

Non, certes pas, on connait la zizique, zizi!

DHH dit: à

@ M. Langoncet
Deecidement je me fais mal comprendre
;je ne critique pas le laxisme de la justice
ce que je voulait dire c’est qu’en prenant au cas precis cette decision justifiée elle resound certes leur probleme immediat de ces pauvres gamines ,mais pas leur vrai probleme qui ne releve ,certes pas des juges

Amanda Lire dit: à

Langue on sait,
enfin je comprends son pseudo!

D. dit: à

Oui rien à voir avec l’engoncé.

D. dit: à

Ni avec lent gond c’est, par ailleurs.

Jean Langoncet dit: à

DHH, le laxisme est-il un humanisme ?

JiCé..... dit: à

« je ne critique pas le laxisme de la justice » (DHH)

Moi non plus !
Je l’approuve, même….

On est magistrat parce qu’on sait, instinctivement, qu’il faut prendre son temps pour être « juste »… avec les criminels puisque les victimes sont hors-jeu.

racontpatavi dit: à

Dois-je en parler dans ma prochaine chronique cinématographique ?

Non! Comme de tes pérégrinations parisianistes, tout le mode s’en fout.
( Mais tu fais bien de les écrire pour continuer de te faire la main.)

Jazzi dit: à

On devrait plutôt parler de l’hypocrisie de la loi et de la justice, qui ne voulant pas voir le problème, ne le règle pas mais l’aggrave. Comme ce fut le cas en fermant les maisons closes hier, ou en pénalisant le client aujourd’hui !

Jazzi dit: à

Là, je viens juste de finir de me faire la main sur la Lutèce Gallo-Romaine, RCPTV !
Pour ceux que ça t’intéresse…

et alii dit: à

vous êtes lents à sortir de vos gonds: « time is out of joint »

et alii dit: à

« The time is out of joint » (le temps est hors de ses gonds)

bouguereau dit: à

Mains tendues vers l’impossible avec Didi-Huberman

« comme jai dit » « comme j’ai écrit »..c’est eutèreli hindigent

bouguereau dit: à

tout le mode s’en fout

baroz a bien raison de sassoir sur le monde..ce qui nte tue pas un jour te raportra ptete des thunes..chte lsouhaite

bouguereau dit: à

On est magistrat parce qu’on sait, instinctivement, qu’il faut prendre son temps pour être « juste »… avec les criminels puisque les victimes sont hors-jeu

c’est un statut inamovibe qu’il dirait jambon dans ses chiottes..

bouguereau dit: à

Comme ce fut le cas en fermant les maisons closes hier, ou en pénalisant le client aujourd’hui !

..faut pas trop faire bouger les statuts..sinon chsais pus ou j’ai foutu mon gode ceinture quelle dit bonne clopine

Jean Langoncet dit: à

@On devrait plutôt parler de l’hypocrisie de la loi et de la justice, qui ne voulant pas voir le problème, ne le règle pas mais l’aggrave

Au pays de Spinoza on l’a bien compris. Il n’y a plus de misère, le système judiciaire est superflu pour régler ces questions et on n’y fait plus que du lèche vitrine sous l’oeil bienveillant de la police.

Alexia Neuhoff dit: à

Pas plus tard que cette nuit, j’ai rêvé d’une vieille dame, très digne, valétudinaire, assez frêle d’apparence, disons… Madeleine Renaud dans ses vieux jours, le genre Bonne Maman confiture attendrissante à qui l’on prendrait le bras pour l’aider à traverser la rue ou porterait le cabas… puis la même, retirant l’aiguille de son chapeau pour vous transpercer le flanc et vous balancer quelques rosseries, mine de rien, en toute innocence… disons Tsilla Chelton dans ce film de 1990 dont le titre m’échappe… voyons… Tatie quelque chose. On me dit que j’aurais ri pendant mon sommeil.

Amanda Lire dit: à

le genre Bonne Maman confiture attendrissante

Si c’est Andros, il y a de l’homme macho là-dedans! 😉

et alii dit: à

merci racontpatavie pour les vidéos séminaires sur la main

moralès sed laisse dit: à

Si c’est Andros, il y a de l’homme macho là-dedans!

Mais c’est du rabougri bouguereau dans le texte, ce truc, qu’elle dirait bonne maman!

Amanda Lire dit: à

Mais c’est du rabougri bouguereau dans le texte,

En plus clair, c’est sûr!

et alii dit: à

ALEXIA? VOUS AVEZ sans doute aimé « Harold et MAUDE
5Harold et Maude (Harold and Maude) est un film américain réalisé par Hal Ashby sur la base d’un scénario de Colin Higgins, et sorti en 1971. Il a pour interprètes principaux Bud Cort (Harold) et Ruth Gordon (Maude

DHH dit: à

@jazzi

C’est l’ hypocrisie que vous dénoncez je voulais mettre en évidence avec ce post :
régler un problème apparemment au benefice , des justiciables, en refusant de voir la grande injustice qu’on accepte implicitement

Jean Langoncet dit: à

La doctrine du péché originel permet-elle d’appréhender la notion juridique de mauvaise foi ?

DHH dit: à

la vieille dame indigne est un film ancien et magnifique qui ne repasse plus ;même pas a ma connaissance a la television
il donne de la chair a la nouvelle maigrelette de Brecht dont il est une adaptation ,qu’il enrichit en la transposant dans la lumiere de Marseille , avec ce que cette localisation apporte de couleur aux lieux aux caracteres aux comportements ,aux ambiances
je crois que c’est pour ce film qu’a été composée la chanson de jean Ferrat(celle des pas inutiles) ;du moins ces avec ce film que je l’ai entendue pour la premiere fois

DHH dit: à

« Harold et Maud » ,un film qui doit particulièrement émouvoir Emmanuel Macron

Jean Langoncet dit: à

Incidemment : « Dans les cas prévus par la loi, la juridiction de jugement peut ordonner un suivi socio-judiciaire.

Le suivi socio-judiciaire emporte, pour le condamné, l’obligation de se soumettre, sous le contrôle du juge de l’application des peines et pendant une durée déterminée par la juridiction de jugement, à des mesures de surveillance et d’assistance destinées à prévenir la récidive. La durée du suivi socio-judiciaire ne peut excéder dix ans en cas de condamnation pour délit ou vingt ans en cas de condamnation pour crime. Toutefois, en matière correctionnelle, cette durée peut être portée à vingt ans par décision spécialement motivée de la juridiction de jugement (…) »
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070719/LEGISCTA000006181732/

Bloom dit: à

DHH, le ton franchement baba cool de Harold et Maud ne correspond pas vraiment à l’ethos du premier des premiers de cordée. Et puis Harold n’épouse pas Maud. C’est Oedipe qui épouse sa mère, si je ne m’abuse…

vedo dit: à

A propos du péché originel, le bon mot de Jacques Juillard, (de mémoire), « La gauche ne crois pas au Péché Originel et la droite ne croit pas à la Rédemption ».

et alii dit: à

O.K. mais vous avez des titres comme
Le Péché originel de la psychanalyse. Lacan et la question juive
Gérard Haddad
Le présent livre donne la raison, jusqu’à présent occultée, du schisme de 1964 qui a irrémédiablement divisé le mouvement psychanalytique. La cause de cette rupture, Lacan la désigne du nom de « péché originel de la psychanalyse », péché en ceci que « quelque chose dans Freud n’a jamais été analysé » : son rapport au judaïsme. Or, insiste Lacan, « remonter à cette origine est tout à fait essentiel si nous voulons mettre l’analyse sur ces pieds ».

En reprenant tous les textes qu’il consacre à question juive, mais aussi en révélant des informations inédites sur le très secret commerce de Lacan avec la culture biblique, l’auteur dévoile, avec humour et conviction, l’ampleur de ce « péché originel » qui n’aurait rien de véniel. Il pose aussi cette question : dans sa propre confrontation au judaïsme, Lacan ne se serait-il pas à son tour fourvoyé, entraînant dans l’impasse ses disciples ?
https://www.seuil.com/ouvrage/le-peche-originel-de-la-psychanalyse-lacan-et-la-question-juive-gerard-haddad/9782020912532

Damien dit: à

« Harold et Maud » ,un film qui doit particulièrement émouvoir Emmanuel Macron

Un excellent film américain des années 70, je crois. Le sujet en était à la base un jeune homme qui était obsédé par le suicide, et qui mettait en scène avec un art consommé ses différentes fausses tentatives — jusqu’au moment où il recontre une femme âgée et en tombe amoureux. Ils ont ensemble une bouleversante histoire d’amour, jusqu’au jour où, coup de théâtre, la vieille femme se suicide, mais pour de bon. Tout ceci rappelle-t-il Macron ?

et alii dit: à

les gens qui n’ont pas risqué leurs « questions » et leurs solutions sur des divans seraient bien inspirés de ne ne pas se faire valoir par une identification à des psychanalystes qui ont traversé les histoires « des écoles » et leur ont survécu

Janssen J-J dit: à

@ ‘cocktail humanitariste en forme d’éloge aux techniciennes de surface, composé pour un tiers par Florence Aubenas, un tiers par Emmanuel Carrère et un tiers par Juliette Binoche’.

anéfé inutile d’en dire plus, jmn, et de faire une fiche pour ça. Perso, je ne me f… nullement de votre travail sur les films, les jardins et les squares, j’apprécie de les visiter sur votre site régulièrement. Il suffit de cliquer sur votre nom ou de ne pas le faire… et surtout nul n’est obligé de se montrer désobligeant envers cette entreprise gratuite, intéressante pour les futures générations digital natives, d’oublieuse mémoire, isnt’it, rptv ?
…Dans le roman de MH, la figure la plus réussie des personnages est incarnée par la méchante garce, une journaliste nommée Isly, qui ressemble à s’y méprendre à l’une des nôtres.
AN, vous avez bien compris la fonction des rêves de Raison dans ce roman, on peut se laisser aller à dépeindre les siens de temps à autre ici, car ils sont tout autant la réalité des erdéliens (Tatie Danielle, je crois).
**Flammarion n’a pas bien fait son job, il a laissé passer des fôtes dont l’une, récurrente, que nous n’avons cessé de vilipender depuis des années (cf… autant pour moi, p.320). C’est vraiment agaçant, à considérer le prix du bouquin…!
Une fake de dernière minute : le Véran aurait fait à sn tour un saut dans la pandémie – c’était bien la peine de se dénuder devant la France entière.
Cela dit, l’EN est perturbée aujourd’hui, et je vois qu’on recrute à tour de bras sur le bon coin pour aller occuper les enfants et ados gratuitement dans les collèges et lycées. Je ne sais pas ce qu’en pense MH, il ne s’est pas prononcé sur ce point, il faut dire que la pandémie est derrière son histoire, ce qui la rend délassante.

et alii dit: à

obert Samacher a exercé comme psychologue de secteur psychiatrique (Maison-Blanche) et a enseigné comme Maître de conférences à l’Université de Paris-7 (Denis-Diderot), psychanalyste, élève de Solange Faladé, il est actuellement le Directeur de l’École Freudienne, qu’elle a fondée en 1983 suite à la dissolution de l’École freudienne de Paris. Son nouveau livre La psychanalyse, otage de ses organisations ? : Du contre-transfert au désir d’analyste [1]
[1]
Samacher R., La psychanalyse, otage de ses organisations ? : Du…, part de la place du contre-transfert dans l’histoire de la psychanalyse pour comprendre ce qui se passe dans les sociétés d’analystes depuis le début et qui pourrait se passer autrement.

2Le shibboleth du contre-transfert est le fil conducteur de ce livre dont l’auteur nous dit qu’il a une fonction de révélateur des points de désaccord entre psychanalystes [2]
[2]
Ibid p. 106.. Un schibboleth est une épreuve difficile qui fait juger de la capacité d’une personne. En hébreu figure im1 est une phrase ou un mot qui ne peut être utilisé – ou prononcé – correctement que par les membres d’un groupe. Lorsque Jephté, chef des hommes de Galaad, eut défait les Éphraïmites et pris les gués du Jourdain, de nombreux fugitifs voulurent traverser le fleuve. « Quand un fuyard d’Éphraïm disait : « Laissez-moi passer », les gens de Galaad demandaient : « Es-tu éphraïmite ? » S’il répondait « Non », alors ils lui disaient : « Eh bien, dis « schibboleth » ! » Il disait « sibboleth », car il n’arrivait pas à prononcer ainsi. Alors on le saisissait et on l’égorgeait près des gués du Jourdain. » Avec ce concept clinique, il y a de l’exclusion en jeu. L’auteur nous rappelle que pour Sigmund Freud, la compréhension des mécanismes qui font le rêve constitue le schibboleth qui doit différentier le vrai psychanalyste de celui qui se prétend tel sans l’être [3]
[3]
Ibid note 1 p. 106..
Il y a du contre-transfert dans la cure psychanalytique comme réaction au transfert du patient. S’agit-il du transfert de l’analyste comme on parle du transfert du patient ? La cure psychanalytique est un mixte de transfert-contre-transfert bien difficile à démêler, un espace tiers entre le transfert du patient et celui de l’analyste. Croire que cela se passe uniquement dans le transfert ou le contre-transfert est une illusion qui conduit à des exclusions par rapport à ce qui se passe dans la clinique psychanalytique. Si le shibboleth du contre-transfert est mal prononcé, c’est un meurtre qui risque d’avoir lieu, depuis sa découverte par Sándor Ferenczi, à travers les vicissitudes de sa cure avec Freud, et d’autre part, la procédure de la passe, que Jacques Lacan institua au sein de l’École Freudienne de Paris, en énonçant sa Proposition du 9 octobre 1967. Les transferts entre analystes priment l’analyse du transfert-contre-transfert qui est l’objet du contrôle individuel ou de groupe.

4Une institution peut-elle être analytique ? L’expérience de l’inconscient renvoie au dessaisissement de l’analyste et de l’analysant, à une perte irréparable, au manque, à la castration, au vide inaugural avec le refoulement originaire comme l’explique l’auteur à la suite de Solange Faladé et au repérage du Réel. Pour lui il peut y avoir une institution analytique dans certaines conditions contrairement à ce que pense Moustapha Safouan. C’est un pari sur la vie de groupe et de l’espoir. Mais une institution peut-t-elle vraiment être analytique ? Ou ne vaudrait-il pas mieux dire qu’une société d’analystes n’est pas analytique en soi mais que dans certaines conditions, quelques-uns des groupes qui la composent peuvent le devenir. Le devenir cela signifie, qu’ils ne le sont pas d’emblée parce qu’il y a un dispositif, mais que certains groupes peuvent faire advenir de l’analytique. C’est une question de désir, de ce désir de l’analyste dont nous parle l’auteur à la suite de Jacques Lacan. Le désir de l’analyste, c’est aussi le désir de quelques-uns. Il y a du collectif dans le singulier, de l’historique dans l’actuel. On ne peut pas vraiment saisir le désir de l’analyste. Il faut tout recommencer, mais plus ou moins à chaque séance, avec chaque nouveau patient.
https://www.cairn.info/revue-cahiers-de-psychologie-clinique-2018-2-page-245.htm

Jazzi dit: à

Marie Sasseur, renato et vous, JJJ, êtes bien silencieux ces derniers jours sur la RDL.
En pleine lecture du « anéantir », paru en librairie le 7 janvier ?
Faut-il en conclure que la lecture en est prenante ?
Merci pour votre fidélité amicale au léZard.

bouguereau dit: à

C’est Oedipe qui épouse sa mère, si je ne m’abuse…

ça rgarde pas lpopulo

bouguereau dit: à

« La gauche ne crois pas au Péché Originel et la droite ne croit pas à la Rédemption »

..y’a les damnés de la terre et ceux qui bouffent du caviar au kilo
tout pour les uns rien pour les autres
c’est pas juss qu’il disait frédo

Jazzi dit: à

Toi aussi tu lis le dernier Houellebecq, le boug ?

bouguereau dit: à

Merci pour votre fidélité amicale au léZard

amicale..ça veut dire que ça s’enculent pas

bouguereau dit: à

non baroz

bouguereau dit: à

du rabougri bouguereau dans le texte

si c’est que dans le texte ça n’engage pas..comme sarkozy je suis un homme d’action..le texte j’en fais des confettis!

bouguereau dit: à

Le parangon de la vieille dame indigne

pas d’esthétisation baroz..drh surjoue aussi son age

et alii dit: à

alors soit, le retour à M.H ,via « la mauvaise foi » selon Sartre: »La théorie de la mauvaise foi pose une thèse très forte sur l’existence : l’homme est un être plein de néant, mais il veut être l’être. La mauvaise foi renvoie à ce déchirement de la condition humaine, prise entre une liberté angoissante (néant) et une chosification réconfortante mais mystificatrice (être).
https://la-philosophie.com/mauvaise-foi-sartre
et on sait que Sartre n’était pas freudien (lacanien) comme se disent ceux qui se prétendent thérapeutes sur ce blog; sans le souvenir de travail en cartel !

bouguereau dit: à

Si c’est Andros, il y a de l’homme

c’est pas mal le rabougri

et alii dit: à

maintenant, cette comédie de « thérapeute », ce n’est plus un « malentendu »:c’est devenu un différend ou un contentieux entre ces prétendus thérapeutes (c’est sur ordonnance qu’après analyse, mon médecin m’a prescrit des antibiotiques) et moi

DHH dit: à

@Jazzi
une somme passionnante cet inventaire illustré des espaces verts parisien …..et un peu deprimante :je croyais connaître Paris et j’avais tort tant vous m’avez fait découvrir de lieux que je ne connaissais pas ou que je n’avais sus regarder

renato dit: à

Non, Jacques, je ne lis pas anéantir, il est déjà dans la pile, mais la lecture, ce sera juin ou juillet. En ce moment, je suis sur L’Adone du Marino — pour la énième fois.

Jean Langoncet dit: à

@comme sarkozy je suis un homme d’action..le texte j’en fais des confettis!

De la propagande par le fait : le reprise individuelle de stricte observance, c’est à dire pour bibi le bracelet et pour le géant le ballon

Phil dit: à

je croyais connaître Paris et j’avais tort

saprée dhh, en route pour une quatrième piquouze

racontpatavi dit: à

J’ai regardé les posts de Jazzi, c’est sympathique, intéressant, concerné et il n’y a rien a dire de négatif mais on a plutôt le désir d’y aller voir lorsque l’on en a personnellementenvie.
Nous avons le loisir de nous promener nous aussi dans une nature citadine et cela nous contente en ce moment. Prendre des photographies aussi et les partager sur le web aussi.
Bàv JJJ.

closer dit: à

Je crois que c’est la première fois que je vois notre bonne Mamie envoyer spontanément une pique à quelqu’un…Mais Macron est une bonne cible.

MC dit: à

Cette histoire de place méridionale ayant pu inspirer Moliere ressemble comme une sœur, l’authenticité en moins, à celle de Moliere à Pezenas observant les ridicules locaux dans le fauteuil du Barbier Maître Gely. Si la seconde est attestée, là première n’ a pas d’existence hors, je le crains, la Dépêche du Midi.

et alii dit: à

merci, MC;j’ai trouvé cette annonce un peu « louche » ; mais c’est plus intéressant que vous la nourrissiez de ce qui ne devrait pas passer pour un « usage local » ;

MC dit: à

La dessus ´Pierre Bonvallet, » Molière de tous les jours » ou Molière par les anecdotes, les fiables et les autres…

Bloom dit: à

Molière, encore un pseudo.
Voltaire, Stendhal et Pierre Dac itou.
Sans parler de Johnny & Dylan.

D. dit: à

Amanda Lire dit: à

Mais c’est du rabougri bouguereau dans le texte,

En plus clair, c’est sûr!

Comment faites-vous les caractères gras, Amanda ?!

D. dit: à

J’aime bien les caractères gras parce que ça me fait penser aux 🍟 frites 🍟. Miam.

Amanda Lire dit: à

Molière, encore un pseudo.

Françoise Frontisi-Ducroux, Du masque au visage.
Aspects de l’identité en Grèce ancienne, Paris, Flammarion, 1995, 192 p., bibliographie, index et illustrations.

L’idée-force de ce livre et qui en fait un évènement intellectuel est que le masque dans la culture grecque ne cache pas le visage de celui qui le porte mais au contraire sert à l’identifier, à le révéler. Le masque est un visage, et le terme désignant l’un et l’autre est le même : to prosopov. Tel est le point de départ de ce travail.
Le pseudo comme un masque grec!

DHH dit: à

@Vedo
merci de votre post sous le fil précédent

Jazzi dit: à

Ne soyez pas déprimée, DHH, apprendre Paris est toujours une fête !

et alii dit: à

@soleil vert, la lettre de philomag ce soir avec une itw de Lacan sur la SF
Les jumeaux paradoxaux ont à leur actif une brève interview de Jacques Lacan sur la science-fiction dans laquelle le maître énonce – cela vaut son pesant de caramels mous – : “Personne au monde ne peut parler de la science-fiction, en dire quoi que ce soit de sensé et d’intelligent. Sauf peut-être, à la capturer avec mes ronds de ficelle qui n’enferment qu’un trou. C’est en quoi un vrai, un beau rond de ficelle est très difficile à fabriquer, plus encore qu’un discours. D’ailleurs, ce rond de ficelle est même mythique, et la science-fiction n’en est pas loin, puisqu’on ne fabrique nulle part au monde des ronds de ficelles fermés. Et nulle part, on ne fabrique de la science-fiction.” C’est beau comme un oracle de Delphes. » bonsoir

et alii dit: à

@Claudio sur Philomag
Jean-Marie Durand publié le 13 janvier 2022 4 min
Des appels récents, y compris de la part d’Emmanuel Macron, à faire du vaccin contre le Covid un « bien public mondial » à ceux invitant à faire de l’Amazonie « un patrimoine commun de l’humanité », jusqu’aux gestes de la communauté des makers dotés d’imprimantes 3D élaborant des modèles de visières pour pallier l’absence de masques au début de la pandémie, les « biens communs » hantent notre actualité politique. Plusieurs livres actuellement en librairie saluent leurs vertus, et se penchent sur leur nature, leur histoire, leur gestion et leurs effets sur nos sociétés. Petit tour d’horizon.

Ressources gérées collectivement, ce qu’on appelle les communs ont été remis sur le devant de la scène sociale depuis une dizaine d’années, notamment grâce aux travaux de l’économiste Elinor Ostrom, prix Nobel 2009 de sa discipline. Des jardins partagés aux « tiers-lieux », des plateformes numériques de services aux logiciels libres, des modes de production et de distribution d’énergie organisés en commun aux habitats conçus de façon coopérative, partout dans le monde, des mouvements contestent l’appropriation par des oligarchies, étatiques ou privées, de ressources naturelles, d’espaces publics, de connaissances ou de réseaux de communication.
https://www.philomag.com/articles/quelles-sont-les-vertus-des-biens-communs?utm_source=Philosophie+magazine&utm_campaign=3a4556d44d-newsletters_COPY_03&utm_medium=email&utm_term=0_dee8ebacdf-3a4556d44d-217926025

Amanda Lire dit: à

Vous devriez un peu vous sortir des mailles du filet mag, et alii!

et alii dit: à

Mathias Wargon : « J’en veux aux Philippot, Dupont-Aignan, Raoult, pas aux non-vaccinés »
Vaccin, Omicron, hôpital… Avec son franc-parler habituel, l’urgentiste déplore « la présentation de la science dans les médias » et fustige le discours des « rassuristes ».
expresshttps://www.lexpress.fr/actualite/sciences/mathias-wargon-j-en-veux-aux-philippot-dupont-aignan-raoult-pas-aux-non-vaccines_2165930.html?m_i=aZVGMX7oi4rfnb62NnTtJPK9p2blSLEVq3ZZe5EPCoB_Ug6jsGj29i9aSiQ3tZyBKqgMsJHMQSZaNswXXvA3PWDWZNBdgD&#xtor=EREC-5240-[NL_le_debrief]-20220113&m_i=Erml%2Bt2c0c5CZvAiJgEV5wXl3ZtYTjd%2BfurlyEQz5E_dKqlw2gdfL4hWggAViANkYq_GBBaYyd8BSobozFgSU2Fzruq7XV&M_BT=626038538462

et alii dit: à

Autre différence : Georges Pompidou ne s’adressait pas aux Français, mais sermonnait plutôt le jeune Chirac. Aussi, cette phrase n’a pas été prononcée en public, elle apparaît pour la première fois dans un livre publié en 2000, Arrêtez d’emmerder les Français ! (éd. Plon) écrit par le journaliste Thierry Desjardins, ancien directeur général adjoint du Figaro.
sur express

Janssen J-J dit: à

@ Faut-il en conclure que la lecture en est prenante ?
« Prenante », c’est bien l’adjectif qui convient pour moi, pour les autres, je ne sais pas… J’ai beau résister, il m’a vaincu, une fois de plus, remué à un point d’identification inimaginable, trop fort, son Paul Raison, ce salaud !… On l’oubliera vite, comme les autres, mais sur le moment, tu peux pas le lâcher, et qu’on vienne pas me faire croire que c’est pas dégoût professionnel qu’on le lit, hein… Ils préféreraient être accusés de masochisme plutôt que de reconnaître du génie…
Du coup, j’ai moins de besoin de la rdl, ce qui ne veut pas dire que j’abandonne vos jardins dont je suis si loin désormais… Un coup de blues, aussi, n’est pas à exclure, je crois que rôz a délibérément pris le large, elle me manque un brin. Mais ses raisons sont les siennes, et nul ne peut les juger… Vous avez eu la dent dure, jzmn, avec elle, et je crois qu’elle en a été blessée.
Bàv, à tous ceusses qui restent icite et s’accrochent en gloussant à la perspective de Z. ou de MLP au 2e tour des EP… (pour mettre un peu de piment dans la triste existence de l’RDL ?)…
Faut dire aussi que les rapports de Flaubert/Lévy, ça peut pas déplacer les masses non plus, même la sasseur n’a pas grand chose à ramener comme fraise… Peaufine son papier sur la défense de Ouéwelb ? y’a qu’à croire…
(le silence des bêtes/EdF, 1998). Hein ?

MC dit: à

Un pseudonyme, Molière, plutôt deux fois qu’une! Mais s’agit-il, selon Révérend Du Mesnil, du souvenir ébloui d’une lecture du Roman Polixene, d’un certain Moliere d’Essertines, qu’ aurait lu ou vu jouer, selon R du Mesnil le jeune Poquelin? Le point faible est qu’on a jamais trouvé l’adaptation théâtrale dont du Mesnil postule l’existence. Ou faut-il penser à un virtuose oublié, le musicien Moliere, que Loret le gazetier de la Fronde mentionné dans sa Muse Historique? Pour boucler la boucle, les « Aventures de Mademoiselle Henriette Sylvie de Moliere » relèvent plus de l’utilisation d’un nom devenu illustre et des Memoires apocryphes que d’un réel lien avec le dramaturge. Que ce pseudonyme là puisse renvoyer au roman précieux et à la musique est prémonitoire, vu la satire du premier, et l’utilisation dans les Comédies ballets de la seconde….

x dit: à

Audiberti y entendait « moglie » et écrivait : « Molière veut surtout dire femme » (dans Les enfants naturels).

JiCé..... dit: à

VENDREDI 14 JANVIER 2022, 5h12, 7°, nuageux mais paisible

Devant le succès que rencontre le billet de Maître Passouline à propos de la conjugalité, j’invite ce dernier à nous proposer un autre sujet appelant les commentaires réfléchis des mélomanes littéraires.

Par exemple, pourquoi avoir supprimé la peine de mort en France, appliquée seulement aux victimes ?

renato dit: à

Joel Coen, The Tragedy of Macbeth avec Denzel Washington & Frances McDormand.

et alii dit: à

Le Boston Camerata est devenu indépendant et association à but non lucratif en 1974.

De 1969 à 2008, l’ensemble est dirigé par Joel Cohen, qui reste actif en tant que directeur musical honoraire2.

Depuis 2008, la direction artistique de l’ensemble est assurée par la chanteuse d’origine française Anne Azéma3,4.
https://www.dailymotion.com/video/x1qwlfk

Jazzi dit: à

« Vous avez eu la dent dure avec elle, et je crois qu’elle en a été blessée. »

Si c’est le cas, j’en suis navré, JJJ.
Je lui ai seulement dit, à plusieurs reprises, que je trouvais sa relation avec sa mère malsaine. Et qu’elle s’y enlisait, au lieu de profiter des bonnes années de retraite qu’il lui reste.
Entre ami(e)s virtuels, ne peut-on pas échanger nos points de vue et donner notre avis, en toute franchise, avec ou sans masque ?

Bloom dit: à

MC, j’ai cru comprendre que Molière, c’est « meulière », la pierre (même prononciation à l’époque) tant étaient nombreuses les carrières et la mode au pseudo « naturel » dans les corporations, du type Fleury, Champfleury,etc. Qu’en dites-vous?

La candidate de la droite a proposé de panthéoniser le Géant, alors qu’il est l’un des rares Français universellement connu et admiré, qu’il a sa propre maison, la Comédie française, et sa langue, celle de lui-même, quoiqu’on pense de l’appellation.
Que de contresens sur le rôle du Panthéon, censé préserver la mémoire de ceux que l’on risquerait d’oublier, sans parler de la méconnaissance de la règle qui veut que l’on n’y fasse entrer que des personnalités contemporaines ou postérieures à la Révolution…

Jibé dit: à

« Jibé, vous auriez peut-être une serrure Godrej foireuse en magasin, pour installation immédiate sur la porte des gogues de l’invariant varois »,

hélas non, Bloom, pas plus qu’hier je n’en ai une ce matin, le cas est hors limites, il faut bien le dire; rien n’est étanche à la konnerie. Un caisson sous-marin peut-être.

Jibé dit: à

« Heureusement, Lyndsay Anderson et son « If » à lui »
oui, je me souviens de ce film, ce final de fou. On n’ imagine pas, Bloom, que nul ne s’y risque aujourd’hui, c’est tellement pas plein de bons sentiments. La colère est priée d’être dans le strict cadre du respect de tous désormais, ce qui la rend muette ou, éventuellement judiciaire, bien cadrée en tout cas.

Janssen J-J dit: à

@ le succès que rencontre le billet de Maître Passouline à propos de la conjugalité,
—-
il aurait sûrement mieux fait de s’appesantir sur le message d’espoir de la renaissance possible de l’érotisme d’un couple asexuel formé par Paul/Prudence au moment de la lutte finale du héros… mais aussi de son émouvante rencontre avec sa nièce…, il aurait pu s’appesantir sur la délivrance du couple d’Aurélien sortant de la prison de son enfer conjugal avec Indy, Aurélien emportant avec lui le rayon de miel de la petite Maryse…, Ou bien encore aux souffrances et bonheurs d’une chrétienne Cécile dévouée à la cuisine et à son mari Hervé, notaire au chômage reconverti en assureur… Il aurait pu méditer sur les conjugalités des hauts fonctionnaires d’Etat (la belle-soeur), celle d’un ministre sérieux en mœurs et en amitié, que les S-R n’auraient jamais pu faire chanter politiquement par la queue. Il aurait pu méditer sur la fonction des rêves du héros dans le séquençage de son avancée en dépression et en résurrection, à partir de l’isoloir… Ou méditer encore sur toutes ces luttes invisibles et enragées dans les institutions de prise en charge de la vieillesse contre la tyrannie d’une bureaucratie aveugle, où il faut percevoir la coexistence d’attitudes morales, immorales et amorales en gris camaieux… tout comme dans les services spéciaux capables d’en appeler aux services des nerds et autres hackers pour le défense légitime de la nation, au sein des cabinets ministériels où on se soucie encore de l’intérêt général et de l’éventuelle légitimité des passe-droits, au sein du monde connivent du journalisme politique, et surtout au sein de toutes les alcôves des classes moyennes de la petite bourgeoisie conservatrice qui doute et souffre en silence.
De la tristesse et de la joie de vieillir enfin, dans la solitude, l’approche de la mort redoutée et de la splendide consolation d’une plongée dans les romans de Conan Doyle, pour oublier son malheur …
____
***Le déchainement de violences et de haine non pas suscité contre le roman « anéantir », mais contre la personne de l’écrivain…, voilà ce dont nous avons été abreuvés depuis le début de l’année 22… Du contenu du roman lui-même, les critiques littéraires ne nous ont strictement rien appris, ni surtout de la façon dont il a pu pénétrer et travaillé son lecteur attentif…
Entre nous, j’explore, je déplore et j’implore quelque chose d’inédit chez MH à l’obscurité dépressive, les bons sentiments, des rais de lumière d’optimisme, la nécessité de croire en quelque chose (une nouvelle littérature généreuse à la portée de tous, peut-être, qui sait ?)
Bàv (14.1.22@9h11)

Janssen J-J dit: à

@ j’espère me tromper jzmn, que là ne serait pas vraiment la cause de sa défection… Bien sûr vous avez raison… sur le principe de dire vraiment ce qu’on pense des gens qui ont notre sympathie, personnellement, j’ai souvent tort de ne point y arriver puis de le regretter,
Bàv

bouguereau dit: à

jj qui essaie de concurencer drh dans la simagrée..ptête qu’un pélrinage a jéruzalème..?

JiCé..... dit: à

« rien n’est étanche à la konnerie. » (Jibé)

Elle s’y connait, la limace ! Elle en est imbibé depuis toute petite, la trainée pratiquante !

bouguereau dit: à

Un caisson sous-marin peut-être

cqui est hénrevant c’est qu’au fond jambon..à toujours raison

Jazzi dit: à

Après les jardins aristocratiques des XVIIe et XVIIIe siècles (1), le léZard de Paris a achevé sa recension historique, géographique, artistique et naturaliste des jardins publics du XIXe siècle de la capitale (2). Le XIXe siècle finissant, comme chacun le sait, à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Un moment déterminant de l’histoire des jardins de Paris ! Aussi aborde-t-il plus sereinement les deux derniers volumes concernant les jardins du XXe siècle : les jardins des années 1930 (3) et les jardins contemporains (4)…

bouguereau dit: à

Si c’est le cas, j’en suis navré, JJJ.

dans paris intramuros grace a sainte genviève on sait rester poli..au delà..c’est lucifère

bouguereau dit: à

et qu’on vienne pas me faire croire que c’est pas dégoût professionnel qu’on le lit, hein… Ils préféreraient être accusés de masochisme plutôt que de reconnaître du génie…

chte dmandrai pas qui sont ces « ils »..sauf hune espérience kapitale et originel dont jvoudrais tfaire part..avant de tu t’autorise en juge et victime : jai commencé ma carière de lecteur sans vraiment de mentor..guidé par mes « gouts »..donc j’ai lu beaucoup de merdes..bien populaire qu’il dirait meussieu courte..et jen ai gardé souvent un souvnir bien précis..du plaisir cher ami du plaisir..pas de culpabilité..pas même rétrospectif non..ce souvnir et une des source de presque tout de mon pti savoir

Jazzi dit: à

Pas de Molière au Panthéon sans La Fontaine. Et ils sont très bien en plein air au Père-Lachaise !

et alii dit: à

évidemment, je n’ai ,pas fait remarquer à Judith que sa méthode affecte son orthographe enfin, voici un titre à propos de différend -(malentendu thérapeutique erdélien)qu’elle lise LYOTARD

bouguereau dit: à

Par exemple, pourquoi avoir supprimé la peine de mort en France, appliquée seulement aux victimes ?

bien que les stats n’existent pas..beaucoup des condamnés au trés longues peines et surtout incompressible sont pour..ils disent que c’est surtout la démocratie qui se protège..enfin sa bonne conscience est à ce prix..il y en a même qui interviouvé poussent la reflexion plus loin..en disant qu’on peut même croire qu’il tiennent des propos de scandale..comme des hommes libres..et que leur avis de toute façon ne « comptent » pas

Phil dit: à

…comme des hommes libres

Djoconovax s’est dit pareil, le pays de repli à « klaboom » a l’esprit cool

bouguereau dit: à

@ le succès que rencontre le billet de Maître Passouline à propos de la conjugalité

c’est juste parceque ce « partenariat »n’est pas -necessaire- quil parait juste de devoir touver un autre mot..-couple-..
je rappelle que flobère dit n’en avoir point réelment besoin de ce rapport social de production..ni pour vivre ni même surtout pour écrire..comment dire..homais c’est lui

et alii dit: à

LYOTARD DIFFEREND
« a réflexion part de la polémique relative à l’existence des chambres à gaz (Faurisson, Vidal-Naquet). Elle s’étend lentement à la question du différend en matière de réalité, d’être et de temps, de devoir et de politique. Le différend est un conflit qui ne peut pas être tranché équitablement faute d’une règle de jugement applicable aux deux argumentations en présence. Peu à peu se dégage l’idée des “ phrases ” comme seul objet de la réflexion, des régimes divers (montrer, ordonner, raisonner, connaître, etc.) selon lesquels elles sont formées, et des genres de discours qui déterminent les fins en vue desquelles elles sont enchaînées (savoir, enseigner, être juste, séduire, etc.). Les régimes de phrases entre eux, les genres de discours entre eux sont hétérogènes. Il n’y a pas de langage en général, et pas de sujet qui userait du langage. Le problème est donc : si l’on ne peut éviter les conflits et si l’on ne peut éviter d’enchaîner une phrase sur une autre, – si donc on ne peut ni être pacifiste en matière de phrases, ni être indifférent, comment se guider par rapport à l’événement qui est l’occurrence d’une phrase ?
Le contexte de ce livre est le “ tournant langagier ” des philosophies occidentales et le déclin des métaphysiques universalistes (dont le retrait du marxisme et la “ crise de la théorie ” sont des aspects). Il ne s’agit de rien de moins qu’établir une pensée qui soit à la “ hauteur ” de la “ post-modernité ”, celle-ci conçue non pas comme l’abandon du projet moderne, mais comme une autre figuration de l’être et du phraser.
Lecteur possible : n’importe qui, s’il n’est pas pressé de conclure ; le livre concerne les philosophes, les historiens, les linguistes, les anthropologues, les politologues, les économistes.
http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-Le_Diff%C3%A9rend-2181-1-1-0-1.html

et alii dit: à

DHH sur « différendt:différent:c’est évident on peut penser à tintin:les dupond, dupont!
le narcissisme des petites différences, puisqu’elle répète qu’elle est « la seule »!

et alii dit: à

a conférence prononcée par Jean-François Lyotard en 1980 au colloque de Cerisy, intitulée « Discussions ou : phraser “après Auschwitz” [2]
[2]
Jean-François Lyotard, « Discussions, ou : phraser “après… », ainsi que les chapitres du Différend qui s’y rapportent [3]
[3]
Jean-François Lyotard, Le Différend, Paris, éditions de Minuit,…, réfléchissent l’événement et la réalité d’Auschwitz. On pourrait dire qu’ils représentent l’expression de ce moment où la philosophie de Lyotard réalise ce qui s’est passé à Auschwitz. Non que le philosophe n’en fut pas préoccupé auparavant. Dans l’entretien avec Jean-Michel Salanskis publié dans la revue Traces en 1983 [4]
[4]
Jean-François Lyotard, « Sur Le Différend. Entretien avec…, Lyotard déclare avoir été préoccupé par ce nom depuis très longtemps, en avoir été obsédé, d’une façon liée à sa vie la plus personnelle, ajoutant : « Donc en ce sens, je suis sous la gouverne de ce nom, depuis très longtemps, justement parce que je n’y suis pas d’origine, n’est-ce pas, parce que d’origine, j’ai au contraire été élevé dans l’absence de tout cela, que je ne l’ai rattrapé si je puis dire que plus tard [5]
[5]
Ibid., p. 11.. » Lyotard marque ici la façon dont le surgissement de ce nom, comme ce qui doit être pensé, est l’effet différé d’une préoccupation personnelle lancinante et corrosive, dans l’après-coup elle-même d’une amnésie historique, celle de son temps dans le milieu qui fut le sien.
https://www.cairn.info/revue-revue-d-histoire-de-la-shoah-2017-2-page-293.htm

et alii dit: à

mais bien sur je n’exclus pas Dolorès:
Dolorès Lyotard
Biographie
Maître de conférences en littérature française. Ancienne directrice de programme au Collège international de philosophie, enseignante à l’Université du littoral « Côte d’Opale » (en 2003). Épouse de : Lyotard, Jean-François (1924-1998).
https://www.lagalerne.com/personne/personne/dolores-lyotard/800603/

Janssen J-J dit: à

@ jmb / chte dmandrai pas qui sont ces « ils »..sauf hune espérience kapitale et originel dont jvoudrais tfaire part..avant de tu t’autorise en juge et victime

m’enfin, jmb on est pareils tous deux, on a eu la même expérience… c’en est même indécent (et la connasse va dire qu’on est le même, moij EST pas un autre!)… « Ils » ?… c’étaient les « critiques littéraires » sur les supports papier ou en ligne, Passoul, PE/JPA ou MC/PR (qui ne sont certainement pas les plus pires, loin de là)… et toute la clique de ces journalistes écrivains qui s’instituent en directeurs de conscience de l’actualité littéraire, se croyant légitimés à démolir nos très bons romanciers, pour bien d’autres raisons, à l’évidence’ que le strict contenu de leurs bouquins. A relire le post de Passoul sur MH après ma lecture du roman, je mesure l’incroyable distance de ressenti entre nous, ma couche de naïveté de lecteur et la couche de l’hypocrisie sociale de son statut. Je le plains sincèrement…
Quant à vous, jmb, j’apprécie depuis toujours vos rebonds drolatiques sur les commentaires des erdéliens, c’est votre marque de fabrique. Et, par dessus tout, ces rares moments où vous osez livrer ici quelque chose de personnel, par delà votre pudeur naturelle. Qui me confirme, comme AN, dans ma bienveillance irrationnelle à votre égard. Voili voilou… Et surtout, ne soyez pas gêné par cette remarque d’estime publique. Oubliez-là bien vite. Elle n’attente en rien à votre pudeur, croyez le bien. Bàv,

et alii dit: à

puisque Michel LEVY EST ISSU D’une pratique de COLPORTEUR!
j’ai lu sur wiki que
En 1727, les colporteurs de presse doivent obligatoirement savoir lire et écrire. En 1757, un édit les punit de la peine de mort s’ils diffusent de manière clandestine des livres n’ayant reçu aucun privilège ou frappés d’interdits, et, en 1793, la Convention nationale les place sous une stricte surveillance.
bonne journée
je prête l’oreille aux rumeurs qu’on me colporte directement

JiCé..... dit: à

« A relire le post de Passoul sur MH après ma lecture du roman, je mesure l’incroyable distance de ressenti entre nous, ma couche de naïveté de lecteur et la couche de l’hypocrisie sociale de son statut. Je le plains sincèrement… » (Gigi)

Je le plains aussi ! Il est comme çà à cause de l’hypocrisie sociale de son statut…

On va faire une cagnotte populaire pour l’aider ! Envoyez vos dons ! A JiCé Poste restante Porquerolles. On va le sauver !

Tous ensemble ! Tous ensemble, ouais !

Paul Edel dit: à

A propos du Panthéon, Jazzi, on sait que le monument de Soufflot a d’abord accueilli des révolutionnaires. Mirabeau fut le premier à y entrer en 1791, mais aussi à en sortir, victime de disgrâce. Marat, Lepeletier et Dampierre ont aussi subi le même sort. Ces révolutionnaires, entrés, puis ressortis du Panthéon, sais-tu dans quels cimetières sont -t-ils placés aujourd’hui ? Plus de la moitié des 77 « grands hommes » entrés au Panthéon l’ont été sous l’empire napoléonien, entre 1806 et 1815, pour la plupart des militaires et des dignitaires, aujourd’hui oubliés.
A propos de Flaubert et de l’antisémitisme,
Quand il apprend la mort de Lévy, voici ce qu’écrit Flaubert : » Non, je ne me suis pas réjoui de la mort de Michel Lévy, et même j’envie cette mort si douce. N’importe ! Cet homme-là m’a fait beaucoup de mal. Il m’a blessé profondément. Il est vrai que je suis doué d’une sensibilité absurde ; ce qui érafle les autres me déchire. Que ne suis-je organisé pour la jouissance comme je le suis pour la douleur ! »
Je n’ai évidemment pas relu ces jours derniers toutes les pages de la correspondance de Flaubert traitant de ses rapports avec son éditeur, mais j’aimerais qu’on me donne avec précision les dates des lettres dans laquelle Flaubert manifeste son antisémitisme .L’antisémitisme est évident chez G . Sand, lettres et romans compris, mais j’ai beau feuilleter la correspondance en pléiade. Je ne trouve pas. Il faut donc que j’achète le texte sur ce « couple explosif » dont parle notre hôte.

Jazzi dit: à

Le Panthéon m’a toujours glacé, Paul. Je l’ai visité en arrivant à Paris dans les années 1970 et n’y suis jamais retourné, me contentant de le regarder de l’extérieur… Les révolutionnaires expulsés ont dû finir à la fosse publique, aucune trace dans les cimetières parisiens actuels.

lmd dit: à

Faut-il en conclure que la lecture en est prenante demande Janssen J.J à propos de la lecture d’anéantir de M.H.. J’ai entendu Emmanuel Carrère dire qu’il venait de lire ce livre en deux séances ininterrompues de lecture. Ouf.
Je me souviens d’avoir une fois tiqué sur l’adjectif “passionnant“ un peu trop facilement utilisé par l’une ou l’autre à propos de lectures, d’articles ou même de commentaires.
C’est l’occasion de causer de tels adjectifs.
Je pense que l’adjectif captivant convient bien. Le défaut principal que j’imagine à ce livre, anéantir, c’est d’être trop gros. Si j’étais captivé cela me couterais cher en temps, en autres plaisirs ou régals.
Je sais lire en mangeant, le journal appuyé sur la carafe ; mais pas les vrais livres.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*