Légumes des jours

sevré trop longtemps de la Puck attitude…
hello Puck !

Passion simple. Pas vu, qu’en dire ?
Je constate que souvent, les femmes, qui baisent pour baiser, sont mal vues. Les plans Q étant l’apanage des hommes.
Bien difficile de changer les normes.

« On aurait pu nous épargner la fontaine Ste Avoye, 4e. »

Je comprends bien, JJJ.
Mais je tâche de faire un inventaire complet des fontaines décoratives de Paris (environ 300) et celle-ci est particulièrement représentative de la fragilité de ce singulier patrimoine : près de la moitié des fontaines ne sont plus mises en eau et sont très abimées, voire dégradées.
C’est un peu le but de mon travail et de mon blog.

Demain, le léZard vous promènera à travers les fontaines du 5e arr., celui qui compte le plus grand nombre de fontaines…

Rose, moi je suis preneuse d’éventuels plan Q même en ajoutant G, mais pas avec n’importe qui.

B dit: à

Rose, moi je suis preneuse d’éventuels plan Q
 »

greubou !!!!!!!!

je crois que je t’ai trouvé enfin une occasion de relaxer tes 2 neurones qui te servent à réfléchir.

Puck, maladie auto-immune, les plaquettes se desagrègent, du coup les disques souffrent, au dernier stade si vous n’y prenez garde, c’est le platane, le marronnier, le fossé .

Gratinés, les commentaires sur le blog de Philippe Bilger, JJJ !

brave soldat puck. Moi, la nostalgie m’a amené ici et j’ai vu que Jazzi parlait de passion simple

La nostalgie de La République du Cinéma.

VOYAGE AU CINEMA

J’ai la télé. Ma femme avait rajouté Netflix. Elle achetait « Télé Câble Sat » (« le plus complet :
140 chaînes »). Je continue après son décès. La télé, c’est bien : On est bien assis. On peut zapper.
On règle le son. On peut éteindre. Et faire autre chose , si rien ne plaît.
Je n’étais pas allé au cinéma depuis des années. Or, ce samedi, sur le blog de Philippe Bilger, ancien magistrat (avocat général en cour d’appel), et qui a un blog que je lis régulièrement, je vois un éloge très chaleureux d’un nouveau film «  Bac Nord ». Le blogueur explique pourquoi ce film est un des deux meilleurs films sur la police française. J’écris sur son blog : « Vous m’avez convaincu. J’irai voir ce film. » Après avoir mangé, ce midi, je veux m’informer. Dans ma petite ville il n’y a plus qu’un seul cinéma ( à plusieurs) salles. Je veux téléphoner pour leur demander le programme. Dans l’annuaire pages blanches et l’annuaire pages jaunes, je ne trouve rien. Qu’à cela ne tienne. Je décide d’aller a pied jusqu’à ce cinéma. A l’entrée, un vigile demande le pass sanitaire. Je lui demanche s’il peut me donner le programme des films. Je lis. Plusieurs films. Miracle ! Il est 14h et le film « Bac Nord » sera diffusé à 14h15. J’achète un billet : 7euros 50 . J’entre dans un salle vide : deux personnes sont là quand même. J’attends. Des lumières sur les murs à droite et à gauche m’éblouissent. A 14 h 15, sur l’écran une vingtaine de publicités et les prochains films . Ce qui me semble insupportable, outre les lumières murales latérales qui n’ont toujours pas été éteintes, c’est le volume sonore. Les personnes âgées parfois deviennent sourdes. Ce n’est pas mon cas. Le bruit me semble insoutenable. Je me dis que la prochaine fois, j’apporterai des boules Quies.
Enfin le film commence à 14h20 et, par bonheur, les lumières murales s’éteignent. Je m’apprête à voir un excellent film, ce qui me console.
Tout m’a vite déplu. Le bruit n’a pas été baissé tout d’abord. Je vois des choses violentes. Des délinquants ridiculisent trois policiers. On a l’impression de voir une police impuissante. Cela m’a mis sans arrêt très mal à l’aise. J’ai voulu sortir plusieurs fois. J’ai tenu une demi-heure. Et je suis rentré chez moi.
Je ne pense pas retourner au cinéma dans les prochains mois.

Patrice Charoulet

Une petite verveine, peut-être ?

zappe toi raclure de keupu

« C’est mort et ça ne sait pas », un des premiers San Antonio. Titre délicieux qui peut se révéler délicieusement idoine.

dard était ferdinokifant kabloom..décidément..

Passion simple je n’ai pas lu ,je n’ai pas vu ;En revanche j’ai lu du même auteur l’0ccupation qui decrit les affres de la jalousie qu’inspire a celle ci la brute russe déjà présente dans Passion Simple
Et si j’ai bien compris le livre que j’ai lu et celui que je n’ai pas lu traitent du même sujet c’est l’histoire d’une femme qui a dans la peau un type qui n’est pas du tout son genre
Et cette histoire serait trangressive en cela que s’y trouve niée une idéee recue selon laquelle une passion feminine ne peut reposer sur de la sexualité à l’etat brut , découler d’une relation bestialement primaire , mais doit proceder aussi d’une communion d’un autre ordre ,d’une connivence affective ou intellectuelle, d’échanges autres que charnels
L’inverse nous surprend moins c’est même un theme littéraire et cinématographique banal je pense par exemple Swan et Odette ,à la Veille Maitresse de Barbey d’aurevilly, à Nana au couple Gabin Bardot dans « En cas de malheur « «

L’homme robinet et la femme fontaine ont de beaux eau’nfants.

DHH, il est possible qu’un metteur en scène montre finalement l’inverse de ce qu’écrivait l’auteur du livre. Comme motivation de la femme, je ne crois pas à l’instinct sexuel brut dans le film

dans un journal, un C.R.dont je me souviens; il était question du test de Rochas ; au parfum surement

Patrice Charoulet

Bravo ! 🥰👏😇

DHH

Tristes poncifs.

je crois que DHH met sur la piste en laissant planer le motif de la jalousie à travers des échanges de propos sur le sexe

L’horreur du non désir, est ce qu’il faut lire un désir qui ne trouve pas de réponse, rejeté, écarté par « l’objet » désiré à cause de l’âge du sujet desirant ou l’absence de désir, sa disparition ? Cette dernière situation n’est pas horrible , le ressenti dépend un peu de la vie et des expériences qui peuvent être à l’origine d’une nostalgie. Évidemment pour ceux et celles qui ont connu le désir en continu, intense, passionné et heureux, cela peut etre douloureux. Pour les hommes qui eprouvent du désir en vieillissant la medecine leur a donné viagra, ça leur premet de prolonger leur parcours d’amant. Il est certain qu’une misère sexuelle liée à l’âge après une vie trépidante et chargée, emplie de désirs et d’amours peut paraître bien triste et vidée d’intérêt .

Bon, étant donnée l’ambiance d’ici ce soir, avant que Yuja Wang me prenne dans les mailles du Concerto for piano and orchestra in D minor, K. 466 :

https://youtu.be/HCTunqv1Xt4

(Festival de Lucerne)

www.http://youtu.be/bO3H0-VyEfg

et pourquoi castrais tu donc ici rénateau

« Et cette histoire serait trangressive en cela que s’y trouve niée une idéee recue selon laquelle une passion feminine ne peut reposer sur de la sexualité à l’etat brut , découler d’une relation bestialement primaire , mais doit proceder aussi d’une communion d’un autre ordre ,d’une connivence affective ou intellectuelle, d’échanges autres que charnels »
si c’est ça, DHH, car je n’ai pas lu non plus Passion simple, c’est une ignorance crasse de la diversité des femmes, autant attirées que les hommes par le sexe « bestial » ou par la romance, les deux ou encore autre chose. Je ne vois pas pourquoi on associerait femme et sentimentalité, vraiment pas. Du coup, la transgression est juste celle des règles en vigueur dans une culture machiste.

Car l’association femme/ sentimentalité permet de maintenir la fiction multiséculaire de la nunuche victimisée et exploitée parce que, précisément, elle l’accepte de toute antiquité puisque c’est dans sa nature.
Or en réalité elle ne l’accepte pas, on l’y soumet de force et de culture -comme on l’habille en rose et comme on lui fait porter des vêtements qui conviennent au regard des hommes (seyants, dit-on ici, décent dit-on là). Madame Ernaux enfonce une porte féministe heureusement déjà ouverte, qu’il convient de ne pas laisser se refermer, mais de là à parler de transgression. Je suis d’accord avec vous, c’est un peu fort.

décentS

Madame Ernaux enfonce une porte féministe heureusement déjà ouverte

non mais frinchmin..

@ GP… le 23 juin 1975 vers 20 heures au 11, rue Simon-Crubellier, 17e.
Ai cru comprendre après maints efforts, que le Mode d’emploi de la VIe contenait une morale : en profiter au max comme d’une aventure unique, d’abord en te lui donnant un sens très précis ; ensuite, en menant ton projet à terme en dépit des adversités extérieures ; enfin, te l’assumer pleinement en tant qu’agent et acteur de ta vie…
C’est ce que fit Bartlebooth, voilà, qui mourrut ce jour là sans avoir pu l’achever… : « il décida un jour que sa vie tout entière serait organisée autour d’un projet unique dont la nécessité arbitraire n’aurait d’autre fin qu’elle-même »… T’en souviens-tu de ce projet louf, toi qu’a tout lu ?…
Non, moi j’en ai jamais eu, j’avais pas la richesse suffisante ni son imagination… Et surtout, je n’ai jamais cru que ma vie eut une valeur propre… Cela dit, les contraintes que je me suis mises (?) en matière d’intellect et d’affect, ça, je ai à peu près bien connues… Ce sont celles de Winckler, le lecteur de W. qui envia la vie de Bartlebooth.
(21.8.21 @ 19.01 – Fin de Georges Perec…, déjà si vieux, si loin et pourtant si présent, il aurait eu 85 ans cette année – Remembrance).

ça c’est transgressif:
https://www.youtube.com/watch?v=mirKfHfWGos

JJJ
« en profiter au max comme d’une aventure unique », c’est ça je pense aussi, le thème de la Vie mode d’emploi. Perec avait eu une enfance qui le rendait capable d’aller à l’essentiel. La vie se justifie du fait de se vivre. pas besoin d’envolées mystiques. J’ai adoré ce livre. Je ne sais pas si je devrais le relire ou rester sur mon souvenir.

Parce que la sentimentalité serait associée ou associable à la nunucherie? La transgression, vous avez raison, intéresse les interdits. Que les femmes se libèrent du rôle que les hommes ont fixés pour elles et qu’elles se comportent à égalité pour leur sexualité est dans certains pays une liberation, dans d’autres un crime. Mais il vaut mieux vivre cachées pour vivre sans,subir une opinion qui malgré l’évolution des mentalités en est encore à qualifier de salopes les femmes libres, du moins certaines tandis que les hommes sont des don Juan. Cependant il parait que la jeune génération ne s’embarrasse pas de tout ça, elle consomme, elle vit sans se poser ce genre de questions, fast food si entente et carpe diem.

La vie se justifie du fait de se vivre. pas besoin d’envolées mystiques

d’un écrivain?..jibé en razmote..attaquant sous les radars

@pas besoin d’envolées mystiques

Envolés les catalogues et les bons de commande ; pour aller à l’essentiel il suffisait, autrefois, de s’en tenir au lavoir municipal, à son paquet de bonux-main et à la part d’inconnu qu’il renfermait

Une autre dimension

Moi je trouve reposant de vieillir (j’aurai 60 ans dans un an)jibé.

C’est drôle, en vous lisant ici, vous en paraissez bien quinze de plus!

JJJ  » je crois qu’on s’en sortira jamais de ce vieux débat, à moins d’avoir vécu le transgenrisme intégral, éprouvé du désir et/ou de l’indifférence à l’égard des partenaires des deux sexes »
alors là je suis d’accord, c’est bien ce qui m’énerve dans les lieux communs. On n’en sortira pas, à moins d’une bascule culturelle, pas demain la veille, ces choses là se passent fort lentement.
(Ce que dit B, en prônant le « vivons cachées », qui signifie que la route est longue et qu’en attendant, des femmes font avec, histoire d’avoir la paix.)

15 de plus? z’êtes ben bons vous deux.

… et SMS, 15 ans de moins que ses 50… M’aurait étonné qu’elle l’aurait pas ramenée des vagues de sa méduse … Ouf, l’est toujours en vie… Est heureuse, a eu sa touche avec HLT sur sa playa… !
Bàv,

à prix…( je l’ai donc pris!) 😉

@acheté à une excellente amie, neuf à pris réduit, car entre temps Eric Marty avec lequel elle est amie de longue date lui avait envoyé un exemplaire gratos dédicacé.

Une critique marxiste de la plus-value est ici indiquée (ne pas confondre toutefois travail et mérite)

(; > )

Elle aurait pu vous en faire cadeau, l’excellente amie. Les gens sont radins ou bien ne voulait elle pas signifier par là qu’entre vous l’amitié n’allait pas encore jusqu’au cadeau. Mais peut-être aussi connait elle des difficultés économiques et sociales, tout le monde est atteint. Ou alors, c’est comme pour la psychanalyse, il faut payer.

@JIBE

vous avez raison
le terme transgressif avec sa connotation morale etait inadapté pour indiquer un changement des mentalités
d’ailleurs si j’en juge par les conceptions et les comportements de mes petites filles ,les filles d’aujourd’hui vivent leur sexualité comme depuis toujours les des garçons
une remarque :vous etes bien trop jeune pour vous sentir vieux;c’est ce que je dirais à mon fils qui a presque votre âge

@l’écrivain qui attends son linge..écrit..il s’envole pas lui

En effet, on en voit des paquets qui attendent de décoller, malgré les moyens mis à leur disposition ; fort opportunément, l’industrie de l’habillement a su s’adapter

je vous rappelle:
LIVRES
Penser avec les oreilles
Penser avec les oreilles, François Noudelmann, Max Milo, 2019, 252 p., 21,90 €.
et si vous aviez une difficulté , n’oubliez pas:
PROUESSE MÉDICALE EN BELGIQUE
Elle se fait greffer une oreille sur le bras
c’est une histoire belge, certes mais des travaux confirmés:
https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Elle-se-fait-greffer-une-oreille-sur-le-bras-785106
bonsoir

pour l’histoire de la confirmation,voyez
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/orl/une-militaire-americaine-recoit-une-greffe-d-oreille-cultivee-sur-son-avant-bras_123885

excuses:
. F. Noudelmann propose ses propres vues sur cette « lecture avec les oreilles », et situe plus largement son propos dans le cadre du développement des sound studies en Amérique du Nord. Si ses interprétations et analyses sont discutables, elles visent davantage à encourager l’essor de ce type d’études et à ouvrir des champs d’investigation qu’à en donner une idée arrêtée.
https://www.scienceshumaines.com/penser-avec-les-oreilles_fr_41636.html

La promotion relativement récente – du moins en France – des sound studies à la dignité académique constitue le signe de l’intérêt ponctuel sinon tardif que le monde de la recherche accorde au sonore [1]
[1]
Le laboratoire Cresson faisant figure de pionnier dans le…. Au demeurant, pourquoi et à quel titre le sonore devrait-il constituer la matière d’un domaine de recherche autonome ? Quel est le périmètre et quelles sont les frontières de ce champ ? Se définit-il par un type de questionnement, des concepts, des objets ou un type d’approche ou de méthodologie spécifique ? Pourquoi le son a-t-il, du moins « à première vue » et par comparaison avec l’image et la culture visuelle, tardé à s’imposer comme objet à part entière ? Il est bien entendu impossible de traiter de manière approfondie une telle question, tant la littérature mobilisable sur le sujet est vaste et l’analyse du phénomène complexe. Toutefois, je voudrais souligner la place originale que peuvent occuper les sound
notez:labo cresson
https://www.cairn.info/revue-de-la-bibliotheque-nationale-de-france-2017-2-page-21.htm

Parce que pour critiquer, questionner des points de vues, réflexions, analyses, il faut payer? Les pauvres se taisent, les emprunteurs à des bibliothèques aussi. Vous défendez l’ idée d’un débat payant?

21 août 2021 à 20 h 40
« Bac Nord » de Cédric Jimenez, avec Gilles Lellouche, Karim Leklou, François Civil et l’aimable figuration d’Adèle Exarchopoulos.
Dieu sait que j’adore le cinéma mais j’ai horreur d’être enfumé !
Ici, le réalisateur est un habile joueur de bonneteau.
Notez que l’on est prévenu dès le générique : « Ce film est inspiré d’une histoire vraie, mais reste néanmoins une fiction »
« Tu la vois la carte de la vérité, elle est là, là et là, et tu ne la retrouveras jamais ! »
C’est avant tout une histoire d’hommes, principalement de policiers, où les cailleras sont présentés en bloc, sans distinction, et les deux femmes, la fliquesse et l’indicatrices, sont réduites au minimum syndical.
Entre les consignes contradictoires et prudentes de leur supérieur hiérarchique et du préfet de police, trois sympathiques flics, qui croient encore à leur métier, se donnent les moyens pour traquer, vaille que vaille, les principaux dealers d’un quartier chaud de Marseille.
Il leur faut absolument trouver 5 kilos de cannabis par leurs propres moyens pour obtenir un tuyau capital d’une gamine visiblement bien informée.
Une fois en possession du renseignement tant attendu, ils déclenchent alors une spectaculaire guerre : effets visuels appuyés et musique assourdissante assortie à l’issue de laquelle on ne déplorera miraculeusement aucun morts.
Splendide victoire, qui rejaillit sur toute la BAC locale, son chef, le préfet et remonte jusqu’au ministre.
Jusqu’à ce que le film bascule soudain dans une sordide guerre des polices et que nos trois pieds nickelés, abandonnés par tous et cuisinés par l’IGN se retrouvent en prison.
A la fin du film, il ne reste plus au spectateur, particulièrement secoué et désenchanté, qu’à rejoindre les Gilets jaunes sur leurs ronds-points, à manifester avec les antivax et voter pour les candidats de l’extrême droite.
Pas d’autres choix possibles.
Que ce film soit présenté en compétition au festival de Cannes, même hors compétition, est une aberration…
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19589937&cfilm=274530.html

@ jibé, en réalité je ne faisais que citer le titre d’un pote pour qui la formule avait du sens
https://www.babelio.com/livres/Ollivier-La-Vie-commence-a-60-ans/178201
J’étais tombé dessus lors des miens 60, et il m’avait redonné du courage le bougre, à l’heure où je pleurais la désertion du ‘démon de midi’… Cela dit, 60… ou autre, ça veut pas dire grand chose, j’en conviens bien… Et pi, on se fait à tout, j’ai remarqué que le désir ne passait plus toujours par la pratique du sexe… Et qu’un désir sans pratique « facile » était bien plus intense et durable qu’une passade hygiénique, tarifée ou autre…
Mais bon, j’enfonce des ouvertures, c ça qui m’énerve un brin… C’est juste pour rassurer les chalands qui auraient du mal à re-joindre les rockers des sixties ou seventies…
http://stones-stories.over-blog.com/2018/05/patti-smith.html

Merci Jazzi de cette superbe critique contradictoire.
L’oeil d’un expat.
Essentiel pour comprendre la réaction du journaliste irlandais.

Merci Cédric Jiménez d’avoir laissé de côté les comoriens, et les malgaches dont bon nombre sont intégrés et travaillent.

La chance que nous avons d’avoir un cinéma de grande qualité !

Drôle de moeurs, vous avez raison, B.

On peut être un ex attaché culturel et très con, Bloom!
Acheter un livre et puis recevoir APRES le même dédicacé, que faites-vous du premier? On le donne ou on le revend!
C’est tout simple.
Petit mec à l’esprit étroit et revanchard d’une époque qui a exercé le pouvoir et qui a fait son temps.

@On le donne ou on le revend!

On le donne moyennant une sole de Douvre façon meunière sans demander qui la cuisine, pourvu que ce soit sans avoir à s’attabler. Bonne soirée à tutti

et m’a rétrocédée celui acheté trop tôt.

Ouf.
On a eu très peur.
Pck les gens qui vendent leurs exemplaires dédicacés gratuits, ça craint.

la sexualité à l’état brut , découler d’une relation bestialement primaire.

C’est.cela que je conteste.

Pourquoi la sexualité à l’état brut serait-elle bestialement primaire ?
Serait-ce la pierre d’achoppement ?

Quant au désir, pourquoi serait-il nécessairement obscur ?

Jazzi, ce film raconte l’histoire d’un pote avec qui j’étais à l’école primaire dans un quartier de Saint Antoine.

et je peux te dire que la réalité a été bien plus dure pour lui.

après si tu n’aimes pas les films qui donne une image du vrai monde tu sais quoi Jazzi ? tu prends le train et tu vas passer 2 semaines dans une des cités de Marseille Nord et on reparle à ton retour.

Celles qui par chance ou par hasard rencontraient un amant qui leur révélait le plaisir physique en étaient d’autant plus passionnément amoureuses.

Closer

J’inverse cette assertion pour qu’elle me corresponde.
Et aussi ce n’est pas l’amant qui révèle. Cela se fait à deux.

Maintenant, pourquoi ce ciment là ne suffit pas à harmoniser la relation et la faire durer, je ne sais pas.

Et je ne crois qu’une femme balance un homme.car il la laisse de marbre. Je crois que c pck avec icelui, elle ne peut pas faire aboutir ses projets.

Nous ne sommes pas sortis de l’auberge.

@après si tu n’aimes pas les films qui donne une image du vrai monde tu sais quoi Jazzi ? tu prends le train et tu vas passer 2 semaines dans une des cités de Marseille Nord et on reparle à ton retour.

keupu ou le judaïsme des Lumières ; le pendant du père Massoud, un mec d’avant-garde qu’il aurait dit Villon. Bon, j’y go

Bon, j’y go > Bon, frères humains, j’y go

Jean Langoncet dit: à

keupu ou le judaïsme des Lumières
 »

Jeannot tu arrives parfois à voir des choses où il n’y a pas de judaïsme ?

ça t’arrive ? sinon il faut voir c’est quoi le nom quand on a passé cap au dessus de l’obsession ?

putain d’obsédés de juifs à con !

racontpatavi dit: à
Eric Marty :

https://www.youtube.com/watch?v=seCXBnM4KBs
Éclairant.
Sur la violence.
Etc.

La maman et la putain de Jean Eustache 1973.
Aujourd’hui, le papa et le putain (et Madame, le chien).

Je n’irai pas voir + loin, mais c ô combien passionnant la théorie du genre.

Un point reste choquant (à mes yeux : ex : Billal Hassani, Conchita Wurst et alii (pardon et alii) et je n’en sais rien). Ce point est quel est la part de l’enfant et celle d’un ou de l’autre parent en ce qui concerne le changement de sexe de l’enfant ?
En Suède, on commence à s’affoler.

Nota bene :
Drillon en parle bien des séparations qui transforme n’y les anciens amants en naufragés.

Les naufragés de l’amour.
Amen.

L’amour russe, chaud bouillant

https://www.leparisien.fr/faits-divers/un-de-nous-deux-mourra-guillaume-persecute-depuis-4-ans-par-une-femme-erotomane-21-08-2021-47YHQCQTK5FGNJNXBWGEBL76NE.php

DHH
nous sommes donc tout à fait d’accord. On observe de vrais changements, dépendant de facteurs culturels profonds et divers.
(Quant à votre remarque, elle est marquée au coin du bon sens, je vieillis et c’est comme ça depuis mes origines, et puis c’est tout.)

@dès qu’il y a une vacherie à sortir…

Voyage au bout de l’inuit

Rose, pour en revenir à l’amour, Gainsbourg: l’amour physique est sans issue.
Brassens: 95 fois sur cent, la femme s’e…. en baisant.

Témoignages qui oscillent entre confiance et constat plutôt pessimiste.
Ensuite je crois que pour sceller une union, les attentes diffèrent, nous n’avons pas tous les mêmes. Certaines femmes, aussi, se satisfairont d’un porte feuille avantageux en faisant une concession à leurs ou une de leurs attentes. Certains hommes ont besoin en plus d’une satisfation sexuelle, d’une tendre harmonie, d’une complicité intellectuelle (qui de plus puisent dans des natures diverses ) de satisfaire un ego exigeant ceci, cela que l’autre doit être ou posséder . Ce peut être la même chose pour les femmes qui ne se lieront qu’à certains profils. Ne pas oublier l’élément social, économique qui je crois prend part dans nos attirances et attachements. On peut être sincèrement intéressés ou sincères mais séduits par une position sociale ou une caractéristique chez l’autre , cela concerne aussi les hommes. Il faut un terrain d’entente et celui ci est composite et correspond à l’espace d’intersection de deux personnalités. Ne pas oublier que des études révèlent aussi un besoin de sécurité chez la femme , sûrement plus important quand elle même n’est pas très assurée, ce que d’aucuns verront comme héritage du machisme, du patriarcat, et de la domination des hommes bien que l’esprit de domination existe aussi chez des femmes.

Rose, votre Boutade, les quartiers nord, renvoie à Florence Aubenas qui en pratiquant l’immersion s’est approchée au plus près de la conditions de femmes ordinaires, les femmes de ménage.

Enfin, pour les croisés en goguettes, il reste la figure emblématique de Jean-Baptiste Botul pour donner un peu d’élan à leurs essais

Aurai bien aimé lire l’analyse de Brighelli, qui vit son deuil tranquille et a viré son blog en « maintenance blog ». Comme Anne-Lise Roux. Disparition.
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22 AOÛT 2021 DERNIÈRE ÉDITION
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Brighelli: le bonnet d’âne de Blanquer?
22 MAI 2020 PAR CLAUDE LELIÈVRE BLOG : HISTOIRE ET POLITIQUES SCOLAIRES
Dans Marianne, Jean-Paul Brighelli interroge: «Qui veut le scalp de Jean-Michel Blanquer?» et lui offre en couvre-chef les saillies qu’il réserve habituellement à son blog judicieusement intitulé: «Bonnet d’âne». Dirait-il tout haut ce que certains pensent tout bas?
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Jean-Paul Brighelli s’est en tout cas surpassé en matière d’ânerie dans cet article paru dans l’hebdomadaire Marianne de cette semaine. Par exemple cette affirmation qui laisse pantois : « lorsque madame Vallaud-Belkacem détruisait de fond en comble l’école , le collège et le lycée- en un an ». Au moins deux contre-vérités pharamineuses en moins d’une ligne (il faut le faire! salut l’artiste!) car le ministère de Najat Vallaud-Belkacem a duré plus de deux ans (d’août 2014 à mai 2017) et elle n’a en rien touché au lycée durant tout ce temps. C’est vérifiable et incontestable. Mais Jean-Paul Brighelli est au-dessus de tout cela de toute éternité, en pur produit de  »l’élitisme républicain » qui sait tout sur tout de façon aussi péremptoire qu’approximative voire carrément fausse.

Comme il dit encore dans cet article: « non, nous ne sommes pas tous égaux, figurez-vous ». O que oui, Jean-Paul Brighelli: surtout s’il s’agit d’être  »amis de la vérité »!

A propos d’amis, certains disent que l’on a les amis que l’on mérite. En l’occurrence, on peut s’inquiéter pour Jean-Michel Blanquer. Il y a encore peu de temps, la popularité du ministre de l’Education nationale était la plus forte – et de loin – parmi les électeurs qui avaient voté Emmanuel Macron à l’élection présidentielle, puis nettement en-dessous parmi les électeurs de François Fillon, et ceux de Nicolas Dupont-Aignan (dont Jean-Paul Brighelli était le  »conseiller éducation »).

Si on en juge par le dernier tableau de bord mensuel des personnalités politiques  »IFOP-Paris Match- Sud Radio » , le taux d’opinions favorables à Jean-Michel Blanquer est désormais plus haut parmi les anciens électeurs de François Fillon (63%) que parmi ceux d ‘Emmanuel Macron (57%) et se situe à 53% pour les anciens électeurs de Nicolas Dupont-Aignan (étant entendu qu’il est de 36% pour l’ensemble des sondés).

Signes que les perspectives ne lui apparaissent pas bonnes, Jean-Paul Brighelli se fait grinçant voire menaçant.

Grinçant auprès de ceux qu ‘il pensait faire partie de sa mouvance: « dans l’hypothèse où Blanquer ne succéderait pas à Banquer [sic,  »Banquer banco »?], les syndicats (qui ont sonné du cor pour chasser le ministre , y compris ceux dont on aurait pu attendre qu’ils appuient son combat contre les pédagos) devraient se méfier ». Menaçant vis à vis des hauts fonctionnaires de l’Education nationale qui ont fait paraître une tribune dans le  »Café pédagogique » contre le ministre de l’Education nationale : »le prochain ministre […] réglera quelques comptes en suspens – à commencer par ces  »hauts fonctionnaires » traîtres à leur fonction, dont le ministère a les noms, figurez-vous ». On le voit, Jean-Paul Brighelli adore la formule péremptoire dominatrice voire méprisante : « figurez-vous »!

Mais méprisant voire offensant, il l’est surtout envers la grande majorité des enseignants. En réponse à la tribune des  »hauts fonctionnaires » qui reprochent au ministre de l’Education nationale de distribuer « des guides au mépris de leur expertise », Jean-Paul Brighelli répond tout de go: « ah, quelle belle expertise que celle de ces enseignants qui, en trente ans, depuis la réforme Jospin, ont laissé le niveau s’effondrer de façon si visible ». Puis, en point d’orgue, ce morceau d’anthologie typiquement » brighellien » revisité et revivifié dans le contexte actuel (et d’autant plus significatif): l’enseignement  »en distanciel » plébiscité ces derniers jours par une foule de profs [sic] qui refusent de reprendre le collier, permettrait, si on le pérennisait, d’économiser 80% des 850000 enseignants. Il suffirait d’évaluer finement ce qui a été fait pendant ces deux mois de confinement, de privilégier ceux qui ont vraiment travaillé à maintenir le niveau de leurs élèves, et de virer les autres – tous les autres qui ont besoin d’être présents pour faire de l’enseignement diversifié, de la classe inversée, des sorties scolaires et autres lubies de pédagogues qui n’ont pas renoncé à ne rien foutre en laissant l’élève construire ses savoirs tout seul » ».

Trente ans de déshérence totale avons-nous vécu ds l’éduc-nat.
En // avec les cités marseillaises des quartiers nord.
Cela a commencé avec Mitterrand, sous Jack Lang avec les accords Coupet (?).
Trente ans, nous y sommes : écoles privées, cours privés etc. École publique touchée-coulée.
Renoncement en // à la dictée, à la grammaire, à la mathématique. Et nos élèves, blacks et beurs qui, s’ils ne brillaient pas en EPS, ah le foot pour sortir par le haut, et les jeux olympiques maintenant, roulaient en Mercédès à 19 ans, se retrouvaient aux Baumettes à 20, puis, ou se prenaient une balle à 21 et cramaient ds le coffre arrière d’une bagnole sur l’A55 au-dessus de l’Estaque, ou bien se rangeaient des gangs ds l’arrière-pays et se fondaient une petite famille, au mieux de leur avenir.

Apprécie

En trente ans, ai vu la mutation totale du quartier de la Calade et ses alentours.
Jusqu’à l’inauguration de l’école de la seconde chance à Bernarbo, dans les anciens abattoirs.
Ai d’abord connu le bar-tabac de l’angle, qui sautait.
Puis, le boucher qui se suicidait. Couvert de dettes, accroc au jeu.
Puis la boulangerie qui fermait
Puis, l’Intermarché de derrière la ferme où on on vendait encore du lait qui a vécu sa lente dégringolade, d’enseigne en enseigne, pour finir en lideul avec les denrées ds des cartons posés par terre et plus de vigiles maousse costauds que de caissières exangues.
J’ai vécu surtout les marseillais, mes grands-parents et leurs voisins : la lente et tenace émigration au delà de Niolon, vers Carry le rouet, Sausset les pins. La désertion de leur ville natale. Sauf pour de rares, dont mes grands-parents et leurs voisines immédiates étaient.

La Canebière transformée en Alger la blanche et Soleïman me disant, « ici c’est pareil qu’Alger », commençant à dealer à Noailles et établissant ses bases après être arrivé en France clandestinement, en traversant la Roumanie et en passant par Milan.

Ma mère et moi descendant vers la grande poste dans le quartier en contrebas de la porte d’Aix, et nous retrouvant à croiser un vieil arabe qui, sous nos yeux, déboutonna sa braguette et agita son sexe fripé et ridicule sous mes yeux ébahis.
Ma mère, au-dessus de toute laideur, qui ne voyait rien et me disait hier qu’elle n’avait pas de malice.

Marseille, mon amour, ma ville natale.

rétrocédée
—
Comme Hong Kong à la Chine pop, en grande pompe; « redonner », c’est trop « peuple ».
Comme quoi, pas besoin d’être attaché Q pour être con comme une valise sans poignée. Et infoutu de raconter une histoire. Pseudo idoine, s’il en est. L’avait pas vu venir venir le coup du boomerang…? Vraiment trop bête, le revenant du 75.

« Massoud, le rebelle assassiné
par Olivier Weber

En librairie le 2 septembre 2021
12 euros / 104 pages

…See More »

See more…

Christophe de Ponfilly

Extrait de l’ouvrage Grand reportage Les héritiers d’Albert Londres – Editions Florent Massot présente – 2001

http://professionlavie.blogspot.com/2012/09/christophe-de-ponfilly.html?m=1

IGPN

Pour retrouver le Marseille… et les Marseillais, lol.

https://youtu.be/kfSQkZuIx84

Jean Langoncet

Dispensée de quoi ?

« Pour retrouver le Marseille…  »

Yes, tout bientôt.

« Actuellement, le domaine est ouvert au public, et plus particulièrement aux groupes scolaires. L’association Andromède, propose des activités dédiées à l’astronomie, comme des séances de planétarium, des visites d’expositions, et même du grand télescope. On peut également assister à des conférences ou participer à des observations de la lune et du soleil. Une très bonne sortie à proposer à vos enfants si vous effectuez un séjour à Marseille en famille. »

https://www.marseille-tourisme.com/decouvrez-marseille/culture-et-patrimoine/sites-et-monuments/le-palais-longchamp/

Joséphine Baker au Panthéon !
C’est désormais acté et certain !

Rose, oublié deux éléments déterminants pour ce qui peut séduire, importants. Le milieu culturel, la culture _ l’art, la pratique de l’un d’eux. On remarque que souvent les paires se trouvent et s’assemblent dans le milieu où elles évoluent. Les couples trop dissociés sont frequemment voués à l’échec. C’est aussi une histoire d’intelligences et de sensibilités proches et complémentaires.

Quand Massoud était invité au Quai d’Orsay (où il fit se pâmer les conseillères Asie de Védrine), avant de prendre la parole au Parlement européen…

https://www.nouvelobs.com/politique/20010403.OBS3196/massoud-l-etrange-absence-de-l-elysee.html

Idoine

Je l’m ce mot, je l’m, je l’m.

Je vais te me le l’emmener avecque moi pour descendre le Yukon.
Me vois dire aux moustiques-tigres : eh les moustiques -tigres idoine, du champ, du balai.

Louis Feuillée né natif de Mane 04300 a été nommé chef responsable du grand télescope astronomique de Marseille par le roi.
Louis XIV ?

@ bloom

Quand BHL s’invente une amitié militante de vingt ans avec le commandant Massoud

https://www.lexpress.fr/culture/livre/extrait-exclusif-massoud-cet-ami-recent_820182.html

Dimanche 22 aout 2021, 8h50, 24°, calme

RIONS, MES FRERES…

Joséphine Baker va entrer au Panthéon
Bob Dylan est, lui, Prix Nobel de littérature

Ces deux choix sont particulièrement ridicule ! Et vous verrez qu’il va se trouver des imbéciles pour approuver ces décisions tout à fait stupides.

Et bcp d’amoureux.

Dès qu’ils rentrent, c fini.

Toutes des négresses entourée de ceintures de bananes.

Pour la rentrée littéraire, on prend les mêmes et on recommence ?
—
Laisse tomber, Baroz, c’est le même filet d’eau tiède chaque année. Même le Sorj offre une resucée de thèmes éculés en exploitant sa couverture du procès Barbie.
Aux dernières nouvelles, l’imagination est toujours confinée.

ce livre est,(légumes oblige) Pelures d’oignon (Beim Häuten der Zwiebel),une autobiographie

Je ne suis jamais retournée dans la ville où je suis née;
j’aimerais bien pouvoir dire je suis la seule à ne jamais être retournée

Mais dans quelle ville êtes-vous donc née, et alii ?

Voulez-vous rejoindre le groupe des amis de Georges Simenon sans avoir à payer des droits d’auteur à son fils ?
https://www.facebook.com/groups/1628106334057442/

Jibé est un imbécile !
Nous nous en doutions…..

Rentrée littéraire. Il y a quand même 75 premiers romans français à découvrirb et parmi eux peut-être un futur Nimier, Blondin,Duras, Ernaux, ,Gracq, Huguenin,Guerin,Beck, Marcel Aymé, etc etc.. qui devraient passionner ceux qui ne supportent plus les mêmes têtes d’affiche, de Angot à Dugain.
.Allons allons!!! un peu de curiosité!

Plutôt que vilipender le Merdistan et ceux qui n’ont pas fait ce qu’il fallait quand il était temps, il convient, aujourd’hui, d’obtenir que les Afghans et les Afghanes menacées soient immédiatement accueillies en France, sans conditions.
(et sinon, on appellera Josephine Baker à la rescousse)

La banane gagnante à tous les coups! 😉

Nom d’une banane! 🙂

https://extraordinairebanane.fr/wp-content/uploads/2019/03/Capture-768×505.jpg

La banane célèbre :

https://extraordinairebanane.fr/wp-content/uploads/2018/05/andy-wahrol-banane-300×300.png

La banane la plus chère du monde :

https://fr.le360.ma/lifestyle/video-a-120000-dollars-il-mange-la-banane-la-plus-chere-au-monde-204119

UN COMPROMIS, C’EST UN ENGAGEMENT POLITIQUE

Nous exigeons que les bananes de Baker soient joséphinement panthéonisées elles aussi, car elles sont le pont naturel entre l’Europe frigide et l’Afrique dansante !