de Pierre Assouline

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Nager et nager encore, de l’ivresse électrique au nirvana

Nager et nager encore, de l’ivresse électrique au nirvana

Ne demandez jamais à un nageur compulsif pourquoi il nage. C’est encore plus vain que de demander à un écrivain pourquoi il écrit. Le nageur ne peut même pas se rabattre sur la réponse définitive de George Mallory lorsqu’on lui demandait pourquoi il voulait gravir l’Everest (« Parce qu’il est là »). Le nageur va d’un bord à l’autre de la piscine toucher des carreaux de faïence, retourner au point de départ, recommencer encore, compter les carreaux au fond du bassin avant de compter les virages, enfiler les séries, et ainsi de suite jusqu’à épuisement durant son entrainement plusieurs heures par jour. Ce qui à la réflexion n’est pas plus absurde que de pousser un ballon puis de courir après. Sauf qu’on ne s’y amuse pas autant. Encore que nager en pleine mer favorise les rencontres inopinées en l’absence de ligne d’eau.

Nager est tout sauf ludique. On y acquiert sens de la résistance, faculté d’obstination, goût du dépassement de soi ; pour les nécessiteux, la résilience y est favorisée ; pour ceux qui ont du mal à habiter leur corps, la natation offre une réconciliation ; pour tant d’autres elle permet de réaliser un rêve d’harmonie intérieure, une douce sensation de grand vide, une capacité inouïe de se mettre à l’écoute de soi pour une fois loin du monde, hors d’atteinte. Autant la nage que la natation. Exactement ce que l’on ressent à la lecture de Nages libres (153 pages, 17 euros, Equateurs), doux recueil de 22 textes brefs qui sont autant de nouvelles (mais le genre est, on le sait, invendable en France, aussi l’éditeur ne précise rien et on le comprend). L’auteur Lucas Menget a été un jour grand reporter mais nageur toujours. Dès qu’il perçoit le clapot d’une piscine, il la cherche et saute dedans ; dès qu’il devine au loin les rouleaux d’un océan, il court et saute dessus. Le plus souvent, il nage à domicile, dans le Finistère nord, dans le fol espoir de capter cette fameuse « ivresse électrique » évoquée par Michelet dans La Mer (1860). Il admire ces retraités réunis au sein de clubs très actifs et qui se donnent pour rituel de se retrouver tous les matins toute l’année sur le rivage pour plonger dans une eau souvent glacée (et pas seulement le 1er de l’an sur la plage de Nice). Parmi ces cénacles de papys et mamys résistants, celui des « Ours blancs de Biarritz » ou celui des « Bonnets rouges de Locquirec » parait bien persuadé qu’il n’est pas de meilleure hygiène que la baignade en eau froide, vieille pratique qui remonte au début de notre ère tant elle avait, déjà, la réputation d’être bénéfique pour la circulation et la respiration. On ne brûle pas seulement davantage de calories : le nombre de globules blancs augmente et les défenses immunitaires s’accroissent.

On y apprend des choses surprenantes : qu’au XIXème siècle, la plupart des marins ne savaient pas nager ; que Benjamin Franklin, oui, le rédacteur de la Déclaration d’indépendance, n’est pas seulement l’auteur d’une théorie de la natation qui fait référence mais aussi l’inventeur des palmes et plaquettes, ces dernières étant bricolées avec des morceaux de palettes de peintres. L’auteur passe, sans prendre le temps de se sécher, de la piscine de l’hôtel Hamra sous les bombes à Bagdad, à l’invention du désir de plage par le photographe du bonheur français Jacques-Henri Lartigue.

Un chapitre m’a comblé particulièrement car il rend justice à un livre et au film qui en a été tiré- les deux aujourd’hui oubliés : « The Swimmer », nouvelle de John Cheever parue en 1964 dans The New Yorker, suivi par The Swimmer (Le Plongeon), réalisé par Frank Perry (mais terminé par Sydney Pollack) sorti en 1968 avec le très athlétique (et pour cause : un ancien acrobate de cirque) Burt Lancaster. L’histoire d’un homme en maillot de bain surgi d’une forêt du Connecticut qui plonge dans la première piscine venue, celle de riches amis heureux de le retrouver, et qui décide sur sa lancée de rentrer chez lui en nageant de piscine en piscine et de jouir de ses rencontres… ; mais au-delà de son aventure aquatique aussi excentrique que captivante, c’est à une critique de la vanité du rêve américain que les auteurs se livrent dans la traversée de cet univers de piscines privées. Lucas Menget a eu la bonne idée de relire et revoir les deux œuvres en parallèle et il a relevé la présence d’une scène si bouleversante dans le film, mais qui n’existait pas dans la nouvelle, qu’elle lui met les larmes aux yeux : rencontrant un petit garçon triste et solitaire assis au bord d’un bassin vide, le nageur le prend par la main, l’emmène au fond et lui apprend à nager en lui mimant patiemment tous les gestes avant de lui confier :

 « N’oublie jamais, petit, que quand tu nages, tu es le capitaine de ton âme »

Quelques écrivains sont convoqués ici ou là : Albert Camus dès l’épigraphe pour son évocation de « la mer chaude » dans La Mort heureuse, ou l’immonde Paul Morand pour ses pages éblouissantes sur les bains de mer et cette réflexion : « La mer n’a pas d’âge, couverte de rides, elle les perd aussitôt ». Sinon, par moments le ton de Lucas Menget fait penser à celui d’Olivier Frébourg dans La Grande nageuse (Mercure de France, 2014) et celui de Christian Authier dans De chez nous (Stock, 2014), deux bijoux d’écriture fluide et douce qui signalent une même famille d’esprit.

Récemment, le Journal de nage (Seuil) de Chantal Thomas nous a rafraichi avec bonheur et mélancolie ; et on peut déjà révéler (mais pas plus) qu’à la rentrée, Julie Otsuka réserve de belles surprises aux amateurs dans La Ligne de nage, traduit de l’anglais à paraitre chez Gallimard ; la romancière américaine y note par exemple que lorsqu’on nage longtemps, « vous ne savez plus où finit votre corps et où commence l’eau, la frontière s’estompe entre vous et le monde. C’est le nirvana »– ce qui ne va pas de soi lorsqu’on passe l’essentiel de son temps en allers-retours  » au fond d’une boite en béton géante ». Mais à la réflexion, hormis le classique, incontournable, unique et scintillant classique du genre Héros et nageurs (réédité par Nevitaca en 2019) de Charles Sprawson, les livres sur les nageurs, la nage et la natation sont assez rares. Non que celle-ci soit peu inspirante mais elle résiste à la transposition littéraire. Difficile d’écrire quand on a la tête sous l’eau et les bras occupés.

Avant Nages libres, le dernier choc dans le genre remontait à 2012. Certains s’en souviennent peut-être, dans La Traversée de la France à la nage (25 euros, 716 pages, Pol). Pierre Patrolin donnait une preuve d’amour pour la littérature, ses pouvoirs d’enchantement, son explication du monde, une fiction où tout est vrai. Le narrateur de ce livre hors-genre aux allures de récit traverse la France, Massif Central avec le reste autour, à la nage tous sens aux aguets. Une course d’obstacles (rapides, goulets, barrages) que ce voyage dans la France plutôt qu’un voyage en France. Il observe les chemins de halage, hume les berges, écoute la rumeur du monde, s’imprègne de la nature, regarde les gens, toise les péniches. Les merles babillent, les mésanges zinzinulent, les bécasses croulent, les crapauds coassent et le nageur nage. Ainsi va la France vue du fleuve. Au début, on se demande combien de temps il va tenir ; non pas physiquement mais littérairement ; car c’est souvent monotone et donc nécessairement répétitif, en dépit de la diversité des régions traversées ; et pourtant le courant nous emmène, nous emporte et nous capture jusqu’au bout.

Des lecteurs rameront certainement avant de renoncer à mi-parcours et de couler. Ils ne sauront jamais ce qu’ils ratent. Rarement la France nous aura paru aussi agréablement profonde. Une France sans chichis, sans politique, sans médias, sans embarras. Une France rêvée peut-être, mais une certaine France. Celle des chambres d’hôte, des gîtes d’étape, des écluses, des auberges qui ne se poussent pas du col, des bistros à flippers, des bar-tabac qui vendent de tout en vous du donnant du Monsieur tout en vous appelant par votre prénom. Hôtel du Lac, hôtel des Beaux-Arts, hôtel des Platanes, hôtel Terminus, le Repos du Pèlerin, et mon préféré, l’hôtel des Demoiselles Coiffées…

 Le narrateur se laisse aller, ce dont on ne saurait le blâmer car ses aventures entre barrages et vallées ont de la grandeur. Gide disait qu’il faut toujours se laisser aller à sa pente, pourvu que ce soit en montant. Ce qui est le cas. On voit passer le cirque Roger-Lanzac à Aiguillon. La nuit, il rêve qu’il marche dans un désert brûlant. Enfin un écrivain qui mouille sa chemise ! Le nageur solitaire raconte et décrit au présent de l’indicatif. Son regard géologique emprunte à Julien Gracq pour l’art du paysage et à Roger Caillois pour le toucher des pierres. Son lexique végétal est d’une étonnante richesse. Il lui arrive de croiser des humains, du genre sac à dos, casquette et canne, randonneurs essoufflés aux souliers lourds. Pas le moindre dialogue pour autant. Quelques propos rapportés, des signes, des traces, de quoi se faire son petit cinéma portatif et il repart pour son road movie aquatique. Patrolin patrouille ainsi pendant des dizaines de pages, que dis-je, des centaines de pages, protégé par sa combinaison de plongée. Sereinement, tranquillement, ardemment, passionnément, indifféremment, selon les circonstances où la météorologie, les couleurs de l’eau et l’harmonie des lieux ont leur part, autant que son niveau d’épuisement.

Car ce n’est pas sans danger ; notre héros prend des risques. On ne sait trop où il va, ce qui est au fond sans importance. Aussi loin que l’on aille, ce n’est jamais qu’à la recherche de soi. On croit se rappeler qu’il s’est fixé la frontière belge comme objectif, mais là ou ailleurs… Voici la Meuse qui glisse plus qu’elle ne coule, le bassin de l’Oise par la Vesle. Voici la Garonne. Voici la Loire. Voici l’Aisne. Des aulnes, des peupliers, des saules, des frênes, des roseaux. Voici le Quercy. Et là, la Truyère, ses gorges et ses barrages. Il nage aussi en ville, ce qui nous vaut des moments émouvants page 537 : nageant dans une rue, il perçoit la musique de la famille à l’heure du dîner, les enfants qui rient dans leur chambre, la mère qui les appelle, des bruits d’assiette qu’on pose sur la table, les informations à la télévision ; et lui qui croise un rat souriant et rase les murs. Il nage en forêt et dans les bois. Quand le fleuve n’a plus de rives, il nage dans le paysage tel un peintre marchant dans le motif. Il nage pour avancer, fouette l’eau de ses jambes, d’une brasse économe.

Il nage en brasse coulée. Il nage sur le dos, se laissant tirer par le courant et par son seul compagnon de voyage, qu’il appelle affectueusement « mon baluchon », sac étanche qui contient sa carte de crédit, ses allumettes, ses chaussettes de laine, ses clés. Ce baluchon est si incarné qu’il en devient le Sancho Pança de ce Quichotte en slip de bain. Le narrateur nage des palmes aux pieds mais pas aux mains alors que des plaquettes feraient l’affaire. Il dit n’avoir le sentiment d’être vraiment mouillé que lorsqu’il sort de l’eau, ce qui ouvre des abîmes de perplexité. De toute façon, à peine sorti, il a hâte de reprendre l’eau. Lorsqu’il n’est pas dans l’eau, il est au bord de l’eau. Il faut un grand effort pour qu’il aille jusque chez Proxi se ravitailler, même s’il avoue souvent guetter les villages et espérer une boulangerie. Pas de lecture signalée si ce n’est, dans un bistro, celle d’une affiche promotionnelle pour le dernier numéro de Tracteurs, passion et collection annonçant un beau dossier sur « De Troyes à Vierzon en SFV 302 ». Il s’arrête dans des endroits où l’on n’aurait pas idée d’aller mourir : Loures-Barousse, Montréjeau, Granges-sur-Lot, Castelmoron, Port d’Agrès, Pierrefiche, Châtillon-Coligny, Entraygues, Sainte-Livrade auprès desquels Montargis, c’est New York.

 Le nageur est un solitaire dont les civils sur la berge s’imaginent qu’il s’ennuie, alors que, comme le coureur, il écrit dans sa tête, s’invente des mondes, dresse le bilan de sa vie, imagine le passé et revisite le futur. Et parfois, rien. On n’est pas chez Maupassant. On est chez personne d’ailleurs tant cela ne ressemble à rien de connu ou répertorié dans nos catalogues. Cette histoire, rapportée d’une écriture douce et fluide, est fascinante. D’autres s’y seraient noyés.

(« Burt Lancaster dans The Swimmer » photo D.R.; « A Noël, le froid n’arrête pas les « Ours blancs de Biarritz » photo D.R. ; « Le toulousain Léon Marchand, champion incontesté des Mondiaux de natation à Budapest tout récemment » photo Attila KISBENEDEK : « Nageur dans la Seine » photo D.R. )

P.S. du 13 juillet : « En attendant Nadeau » consacre son hors-série d’été à « Nager »...

Cette entrée a été publiée dans Essais.

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commentaires

1 279 Réponses pour Nager et nager encore, de l’ivresse électrique au nirvana

rose dit: à

Elle n’a pas trouvé un petit perdreau de l’année pour lui foutre les bons codes ?
C’est inouï, ça.
Et la solidarité au boulot ?

rose dit: à

Vu de Chine, la vie, c’est autre chose que la Chine vue de France.

J J-J dit: à

Copernic, ta mère, qu’ils ont dit… en tournant, les derviches rappeurs.

rose dit: à

De nos braves intellectuels, écologistes et féministes.

rose dit: à

Ta mère en tongs devant Prisu.

Et un mec, décanillé depuis, qui t’interpelle « eh rose. Prisu c’est fini depuis 1978. »

rose dit: à

Ta mère, depuis 44 ans devant Prisu, en tongs, qui attend que tu sortes.

Jazzi dit: à

« En vérité, je vous le dis… », qu’il disait le révolutionnaire Jésus !

rose dit: à

Qui attend patiemment.

Et qui t’a dit l’autre jour, avant Ennio « oui, et chacun y va de son cinéma. » (I-e depuis la mort du père).
Et moij répliquant que pmp, je ne fais pas de cinéma.
Mais qu’il est hors de question que quelqu’un le remplace.

pourmapar dit: à

Voir la haine déclenchée par Simon Leys quand, l’un des premiers, il a remis en cause le maoïsme universel de nos braves intellectuels !
Oui, Jazzi.
Mais la vérité de Dieu est une croyance, pas une vérité.
Reprenez l’admirable essai de Jacques Bouveresse que j’ai cité ci-dessus.
Il nous parle de  » littéralisme  » qyui consiste à croire que ce que dit la science ne devient intéressant et profond qu’une fois retranscrit dans un langage littéraire et utilisé de façon « métaphorique », un terme qui semble autoriser et excuser presque tout? Au lieu d’un « droit à la métaphore », on devrait parler plutôt d’un droit d’exploiter sans précaution ni restriction les analogies les plus douteuses, qui semble être une des maladies de la culture littéraire et philosophique contemporaine.

et alii dit: à

Et la solidarité au boulot ?
rose, c’est souvent ce que je pense, et rappelle à des personnes qui ne sanent que dire »on s’en fout »,mais sont les premières à chercher à se faire « remplacer » et en viennent à débiner les autres ;
tout ,’est pas « possible » même si j’en imagine un qui veut faire « réciter »: »impossible n’est pas français » (petite phrase prêtée à Napoléon

et alii dit: à

savent
et »Napoléon leur répond alors : « comment ? Impossible ! Je ne connais point ce mot là ! »

Jazzi dit: à

« Mais la vérité de Dieu est une croyance, pas une vérité. »

Sans compter le célèbre : « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà… », pmp !

et alii dit: à

le coup d' »impossible » serait de la faute à Balzac!

et alii dit: à

wiki dit que Zemmour aurait pris pour devise la fameuse petite phrase!

Patrice Charoulet dit: à

JULIEN BENDA, PASCAL ENGEL, PASCAL ORY

Je signale une émission conçue par Régis Debray et consacrée à « La Trahison des clercs » de Julien Benda. Les deux invités de Régis Debray seront Pascal Engel et Pascal Ory. Ce sera le mercredi 13 juillet de 11h à midi sur France Culture.
Au passage, je signale aussi que le philosophe Pascal Engel a un blog intitulé « La France byzantine ». Or, on le sait , « La France byzantine » est le titre d’un autre livre de…Julien Benda

Pablo75 dit: à

Pourquoi « andouille » ? Parce que je ne crois pas à l’astrologie
Patrice Charouet dit

Encore une preuve que tu es une andouille (et grosse): tu ne comprends pas ce que tu écris toi-même. Tu n’est pas une andouille (et grosse) parce que tu ne crois pas à l’astrologie, mais parce que tu as écrit que quiconque parlait d’astrologie méritait le mépris le plus complet (pas ton mépris, ce qui ne serait pas très grave vue ta qualité d’andouille, mais le mépris de tout le monde). Ou dit de façon plus claire encore (avec les grosses andouilles il faut prendre toute sorte de précautions): pour toi ce que tu ignores complétement mérite le mépris le plus complet. Ce qui veut dire que tu te considères le parfait exemple de ce que les gens bien doivent être, penser et ignorer. Autrement dit, dans la Chine de la « révolution culturelle », si bien dénoncée par le grand Simon Leys, tu aurais été le Parfait Maoïste capable, au minimum, de casser à coups de marteau les mains des pianistes classiques.

Jazzi dit: à

Que Zemmour retombe dans l’oubli, et alii !

D. dit: à

La monnaie Euro vit ses dernières semaines.

D. dit: à

C’est bon, l’andouille.

Janssen J-J dit: à

@ jzm, cette image frelatée de la naissance de l’univers dans le parisien libéré, ça ne me fait pas plus d’effet que si je voyais la tronche d’étaliie pour la première fois. Pourquoi ?… Parce que c’est au-delà de mon entendement visuel et cognitif… donc, ça n’existe pas ! C’est une infox, une de plus, le bigbang d’allii ! Dis-nous pas le contraire, hein, toi que t’as toujours CRU aux rimages du cinéma et même que t’aurais voulu être l »acteur » messager venu d’avant le big-bang pour nous apporter la bonne nouvelle de l’explosion à venir. !

et alii dit: à

Que Zemmour retombe dans l’oubli,
je serais bien d’accord avec ce voeu,mais cela m’étonnerait qu’il en aille ainsi;

et alii dit: à

à propos de « viande », de science,
le monde prévient:
Les autorités sanitaires confirment le lien entre cancer et nitrites dans la charcuterie
L’Agence nationale de sécurité sanitaire préconise de réduire l’exposition de la population aux produits utilisés pour transformer et conserver la viande.

renato dit: à

Ce que les intellectuels maoïstes n’avaient pas compris, c’est qu’en se tenant aux objectifs de la bande des quatre (des cinq selon Simon Leys qui y inclut Mao) il auraient été les premiers à finir en un champ de travail (et pas vraiment Au bord de l’eau) — con buona pace de Maria Antonietta Macciocchi, Philippe Sollers et autres petits bourgeois des lettres.

et alii dit: à

boli bongo a du travail sur la planche :
Au cours des dix dernières années, des chercheurs ont trouvé des preuves que les plantes étaient capables de communiquer.
un article sur les champignons sur le mot juste en anglais! travail de Andrew Adamatzky, du Unconventional Computing Laboratory à l’Université West England, à Bristol, explique qu’il a commencé à effectuer des recherches sur le langage chez les champignons par pure curiosité.!

et alii dit: à

sur Books, un article sur la musique de films:
« our convaincre de l’importance de la musique de film quelqu’un qui en douterait, il suffit de lui faire visionner un film sans sa bande originale, disait le compositeur David Raksin. Priver un film de sa musique le mutile presque toujours de manière fatale. Beaucoup de gens retiennent mieux la musique d’un film que les noms du réalisateur et des acteurs, et la reconnaissent facilement : qui n’identifie pas en quelques mesures le grand thème d’Autant en emporte le vent, composé par le prolifique Max Steiner, celui du générique des James Bond, imaginé par John Barry, ou les accents de la cithare d’Anton Karas sur lesquels s’ouvre Le Troisième Homme ? »
signé:
Michel André, philosophe de formation, a travaillé sur la politique de recherche et de culture scientifique au niveau international. Né et vivant en Belgique, il a publié Le Cinquantième Parallèle. Petits essais sur les choses de l’esprit (L’Harmattan, 2008).

Bolibongo dit: à

des recherches sur le langage chez les champignons

Et hop, un coup de champ mignon et ça repart! 🙂

Cela vaut aussi pour le « champ de travail », où la guillerette cueillette des coquelicots! 😉

et alii dit: à

le livre:
A History of Film Music (« Histoire de la musique de film ») de Mervyn Cooke, Cambridge University Press, 2008

Patrice Charoulet dit: à

@Pablo

Galimatias double.

et alii dit: à

« Non à la frontière maritime », « EU hors de l’Ulster » ; « Le Protocole nord-irlandais annule l’Accord du Vendredi Saint ». Ces graffitis, qui se sont multipliés sur les murs des quartiers nord-irlandais début mars 2021, traduisent bien le malaise grandissant qui gagne la communauté loyaliste. Sa frustration et sa colère s’articulent autour de l’accord signé en 2019 entre le Royaume-Uni et l’UE, et se concentrent tout particulièrement sur la section qui concerne l’Irlande du Nord. Si le sens profond de ces graffitis peut sembler quelque peu obscur aux regards extérieurs, il est écrit dans un langage que la plupart des Irlandais, et surtout des Nord-irlandais, parlent couramment. En effet, depuis cinq ans, le Brexit fait régulièrement la une des journaux et domine les conversations politiques

honneur de blog dit: à

Patrice Charoulet dit: à

JULIEN BENDA, PASCAL ENGEL, PASCAL ORY

Bravo!

renato dit: à

La version de Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères :
« Après l’escalade de la crise ukrainienne et le déclenchement d’une violente confrontation hybride avec la Russie, Washington et ses alliés se trouvent dangereusement au bord d’une confrontation militaire ouverte avec notre pays, ce qui signifie un conflit armé direct entre puissances nucléaires. »

Sont-ils conscients d’avoir envahi un pays, que ce sont eux qui ont déclenché la « violente confrontation », ou pas ?

rose dit: à

La science se reprend tout le temps.
Dieu, stable, lui, ne se reprend pas. Tu l’as, tu le gardes.

renato dit: à

Dieu ? Qu’en est-il de son soi-même d’avant son invenction ?

rose dit: à

curiosité.!

et alii dit: à
sur Books, un article sur la musique de films:
« our convaincre de l’importance de la musique de film quelqu’un qui en douterait, il

Ce qui est dingo, c’est le savoir, tu vois le film différemment. Hier, j’ai regardé le western spaghetti avec les explications d’Ennio dans les oreilles.

Je vais retourner le voir, de la rangée du fond, où j’ai ma place.

rose dit: à

D’avant son invention ?

Invictus, Renato.

Damien dit: à

Certains maoïstes parisiens ont travaillé en usine avant d’entrer dans la clandestinité. Tous n’étaient pas des tir-au-flanc, comme les intellectuels que vous citez, maoïstes d’opérette. Par exemple, Olivier Rolin était un vrai maoïste, rien à redire. Il a eu du mal à s’en remettre, d’ailleurs. Je n’ai jamais accroché à sa prose, par exemple. — J’ai lu le Petit Livre rouge avec délectation, et, plus récemment, un extraordinaire texte d’Alain Badiou sur la révolution culturelle chinoise vue de l’intérieur. Je ne suis pas maoïste, mais que faire d’autre sinon admirer ? Un jour, nous serons tous jaunes (c’était la hantise de Céline). Quand vous mélangez deux oeufs, cela devient jaune. Jean Yanne en avait fait un film prophétique, « Les Chinois à Paris », qui n’a rien perdu de son actualité. Un jour, ça se réalisera. Allez ! Apprenons le mandarin ! On apprend le chinois aux écoliers, déjà, dans certains lycées. Vous voyez…

renato dit: à

Maria Zakharova ou le désastre de l’éducation communiste.

JC..... dit: à

Damien, il faut consulter…

D’URGENCE !

renato dit: à

William Ernest Henley Invictus

Out of the night that covers me,
Black as the pit from pole to pole,
I thank whatever gods may be
For my unconquerable soul.

In the fell clutch of circumstance
I have not winced nor cried aloud.
Under the bludgeonings of chance
My head is bloody, but unbowed.

Beyond this place of wrath and tears
Looms but the Horror of the shade,
And yet the menace of the years
Finds and shall find me unafraid.

It matters not how strait the gate,
How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate :
I am the captain of my soul.

Janssen J-J dit: à

Complotisme

A la critique assez saumâtre d’un bouquin passionnant allant plutôt à contre-courant du sens commun, celle de Giry, les auteurs ont raison de se défendre sur le point précis qui m’importe le plus… Et je le dis d’autant plus volontiers sans connaître ces auteurs, que leur chapitre conforte assez ce que j’ai assez souvent constaté autour de moi… D’où, ma tendance à « adhérer » à leur thèse par ailleurs remarquablement documentée sur le ‘complotisme politiquement actif’.
________
(CC de leur réponse à Giry) « Un chapitre entier est consacré aux aspects politiques du complotisme, ce que J. Giry note également, et nous ne cessons d’indiquer que dans sa structure active, le complotisme est un accessoire puissant d’idéologies et de motivations d’ordre politique, que ce soit d’ailleurs le fait de minorités ou de puissants ».
____
https://laviedesidees.fr/Dieguez-Delouvee-Le-complotisme.html

Bàv,

Jazzi dit: à

« Créée pour le premier film de la saga, « James Bond contre Dr No » (1962), la version de la musique de Monty Norman ne convainc pas les producteurs, qui demandent à John Barry (mort en janvier 2011), monument des musiques de films (« Midnight Cowboy », « Out of Africa », etc), de la retoucher.
Ce dernier avait ensuite revendiqué la paternité de l’œuvre, mais en mars 2001 Monty Norman a gagné un procès en diffamation contre le Sunday Times, qui l’avait attribuée à John Barry. Monty Norman avait fait condamner le journal à 30 000 livres (48 000 euros à l’époque) de dommages et intérêts, pour cet article paru en octobre 1997. »

Jazzi dit: à

« Un jour, nous serons tous jaunes »

L’hépatite nous guète et nous aurons des petites quéquettes, Damien ?

Janssen J-J dit: à

@ Damien, il faut consulter… D’URGENCE !

cette formule euphémisée et apparemment polie signifie en réalité : allez chez un psychiatre, car vous racontez n’importe quoi et délirez grave, vous êtes à moitié frappadingue !… -ce qui est plus clair, direct mais moins poli… » Je dois le préciser pour celzéceux qui ne comprennent pas d’emblée cette formule passe-partout comme ce fut longtemps le cas pour moi, ou continueraient à comprendre, telle ma voisine : « consulter ?… mon horoscope » ?
___
De rien, merci, Bàv.

rose dit: à

Dieu ou le boson de Higgs.

rose dit: à

I am thecaptain of my soul.

No soul.

Pablo75 dit: à

Un jour, nous serons tous jaunes (c’était la hantise de Céline). Quand vous mélangez deux oeufs, cela devient jaune. Jean Yanne en avait fait un film prophétique, « Les Chinois à Paris », qui n’a rien perdu de son actualité. Un jour, ça se réalisera. Allez ! Apprenons le mandarin ! On apprend le chinois aux écoliers, déjà, dans certains lycées. Vous voyez…
Damien dit: à

Tu dis vraiment n’importe quoi… La Chine a des problèmes énormes devant elle, pour avoir le temps et l’argent d’aller s’occuper du reste du monde. Si l’économie chinoise n’explose pas en plein vol dans les prochaines années cela sera un miracle. Aucune dictature, d’ailleurs, ne pourra jamais résoudre le problème économique d’assurer à 1,4 milliards de personnes le progrès social (ce qui veut dire une croissance de plus de 6% par an pendant des décennies). Et le régime communiste actuel dépend entièrement de cela. Les bulles de crédit (notamment immobilière) et la corruption sont gigantesques en Chine. Et n’oublions pas que la Chine a déjà mangé son pain blanc: maintenant les Américains et l’Europe vont la considérer comme une future ennemie et arrêter de l’utiliser comme usine du monde. Avec le covid et la guerre d’Ukraine l’Occident a enfin compris qu’il ne fallait pas être économiquement dépendant des dictatures.

Un seul exemple de l’incompatibilité à long terme des régimes totalitaires avec le progrès économique:

Los programas de vigilancia interna de China benefician a los espías extranjeros
El rechazo al cifrado hace que las redes del país sean vulnerables

https://www.lavanguardia.com/internacional/20210427/7305547/programas-vigilancia-china-benefician-espias-extranjeros.html

Jazzi dit: à

« No soul. »

A chacun ses contradictions, rose !

Pablo75 dit: à

@ Damien

Si tu veux t’informer sur la Chine, un excellent site:

https://asialyst.com/fr/

Tu pourras y lire des articles comme:

« À son tour, l’Europe prend ses distances avec la Chine »

« Puissance militaire : entre la Chine et les États-Unis, qui a l’avantage ? »

Pablo75 dit: à

Un petit reportage qui en dit long sur la situation économique réelle de la Chine:

« Visitez la plus grande ville fantôme du monde !
La ville de Ordos en Chine est totalement déserte. Cependant, la police continue de surveiller les rues, les cantonniers de nettoyer les voies de cette ville de plus de 80.000 Km2. »

https://www.youtube.com/watch?v=s23Gse_gOm0

rose dit: à

Et l’Afrique noire ? Comment va t’elle se sortir de la Chine tutélaire qui pille ses richesses ?r

lmd dit: à

Bolibongo au Mucem : «Broderie de lumière!
Alors que cette architecture était taxée ici même, sur ce blog, de bétonnée» .
votre appréciation, n’est guère pertinente dans la mesure ou ces broderies, justement, sont en béton ; et d’autant plus que personne, que je sache, n’a parlé d’architecture bétonnée.

Pour le reste des commentaires, trop de conneries déversées à la foi pour ne pas de lever de là.

rose dit: à

Difficilement compréhensible que Paris ait été choisie pour les prochains JO alors que Ordos possède toutes les infrastructures nécessaires, mais pas de ballon.

rose dit: à

Trop de conneries déversées à la foie, à Foix.

Jazzi dit: à

Chaque fois que je tombe sur la photo de Burt Lancaster dans « The Swimmer », en ouverture du billet, j’ai l’impression de voir une illustration de film porno gay !
Faut-il que moi aussi je consulte ?

D. dit: à

« ça m’en touche une sans faire bouger l’autre »

a révélé le président de la République française au sujet de la honteuse affaire des « Uber files ».

–> Qu’a-t-il voulu dire ? Que sont donc ces mystèrieuses choses qui bougent ou au contraire restent immobiles ?

D. dit: à

En tout cas moi je serai depuis bien longtemps déjà installé à Chaville et il ne faudra pas compter sur moi pour financer le gouffre olympuque abyssal, estimé au minimum à 7 milliards, mais qui dépassera très certainement les 10.

D. dit: à

Pablo, peut-être, devra payer ces conneries.

D dit: à

Vous aurez remarqué que j’ai écrit olympuque, c’est parce que mon ami Puck me manque beaucoup.

rose dit: à

Puck va revenir avec Sergio lorsqu’ils auront fini d’être mourus.

rose dit: à

Nous aurons consulté d’ici là. Pour moij.ce seront les fiches horaires SNCF. L’équivalent du psychiatre pour Damien. Même prise de tête.

Jazzi
Contradiction ou paradoxe ?

DHH dit: à

bouleversante emission sur la rafle du Vel d’hiv et la precedente,celle du billet vert ;même si on savait tout de la dimension historique de l’évenemnt venmnt avec ses héros et ses salauds les témoignage de ces vieilles personnes qui revivent devant a camera ces instants cruciaux de leur enfance apportent un relief nouveau à notre connaissance de cet innomable
j’ai eu en main un petit livret edité par la PP en vue d’une exposition qui mysterieusement a ete annulée au memorial de la shoah sur le r^le de cette administration dans cet evenement monstrueux
et cet opuscule contient les fac similé des iverses instructions prepareespat les fonctionnaires compétents pour que le crime se deroule dans les meilleures condition d’efficacité .
Consternant de formalisme et de precision administrative .
je pense qu’on doit retrouver ces documents cela dans l’exposition qui vient de s’ouvrir sur le sujet au Mémorial.
Nil obstat désormais puisque Mitterrnd est mort et que Bousquet son grand copain ,l’organisateur du carnage a ete opportunément assassiné sans avoir parlé devant une cour d’assisses

rose dit: à

DHH

Que la mémoire vive.

renato dit: à

Comme espoir nous avons vu mieux.

renato dit: à

PS à propos de Brasilia

et alii dit: à

après -midi ailleurs! et la RDL ne me manquait pas, ni mon ordi , j’ai respiré ouf! j’ai eu d’autres nouvelles , (pas précisément puisées dans la presse, -pas encore- mais de difficultés sur lesquelles je voulais être éclairée -eh oui, ça arrive que des personnes soient « au courant » de ce qui se « joue » , et qu’elles interviennent dans les décisions à prendre , -et que ce ne soit pas du « complotisme » bref,le boulot! – bonne soirée, tres bonne soirée!

Janssen J-J dit: à

Viscosités…
1 inutile de « consulter »…, passoul a voulu vous faire une bonne manière, pour une ouaf !
2 ah bon ? puck a mourru, et on nous avait rien dit ? Mais quand ça ?
3 un parisien iérique du 7-5 n’avait pas compris qu’un dieppois de souche du 7-6 se moquait de luij. Etait trop fort dans l’esquive collet-monté-pincé, un vrai Renard, ce jules !
4 le président Chirac avait évoqué ses testicules, D., ce que beaucoup de prudes français n’avaient pas compris au Veld’Hiv, n’étant pas affligés du même syndrome cyclopédique.
5 je vois que l’on a également regardé cette émission sur les conseils de R. Bl. WGG aussi, l’a regardée. Ce faisant, il accélère l’écriture de son roman-manifeste : « d’Auschwitz à Kiev, d’un traumatisme fantomatique l’autre » (nb / Les bonnes feuilles en exclusiv- à l’RDL, just’avant la rentrée littéraire 2023, d’après une rumeur persistante).
6 en même temps et à la fois, Brigitte avait perdu la foi eut les foies à Foix. S’en est bien remise depuis.
Bàv, les méduses démédulées & médusées,

Janssen J-J dit: à

@ SV, vous trouvez qu’on a gagné au change entre miss marple et james bond, au comparatif de la 2e image ? 😉

Soleil vert dit: à

Ca offre plus de détails mais c’est vrai on ne voit toujours pas celui qui a allumé la mèche.

Janssen J-J dit: à

@ estimé au minimum à 7 milliards, mais qui dépassera très certainement les 10.

Je parie puteaux pour 17 myards, économie de guerre oblige, et koikilencroûte !… On pourra payer, nous autres les ménages de chaville et de l’IdF notamment, avec tout ce qu’on a accumulé comme économies depuis la kovid. Va falloir les crashter pour les Jeux, vu qu’avec les futurs attentats programmés un peu partout juste avant leur lancement, aucun fanclub en fanzone ne viendra s’y aventurer en touriste curieux… Il fallait pas !

Jean Langoncet dit: à

@Les chinois à Paris

Chez eux, ils ont la mémoire courte. Les dirigeants actuels y veillent, mieux que leurs prédécesseurs. Un événement qui ne s’est jamais produit, disparu des livres d’histoire s’il y fut jamais évoqué, effacé de la mémoire d’un milliard et demi de pékins moyens

Tank Man – Tien An Men 1989 (on peut creuser)
https://www.youtube.com/watch?v=HxaqkzuGuM8

Janssen J-J dit: à

@ Trois milliards d’années lumière. L’origine de la vie, etc…

Pmp, j’admirerai toujours l’ivresse enthousiaste des exaltations poétiques de Christiane chavirée de vertige en son vaisseau interstellaire. Comme un Arthur Rainbow warrior, elle est sans crainte à la différence d’autres poltrons face à l’effroi des profondeurs de l’infini.
Et je me sens un peu sentimentale comme notre amie… seulement, j’essaye de ne point trop confondre une année-lumière avec une année humaine, ni les datations de la naissance de la « vie » autour de notre minable petite étoile située dans notre minable petite galaxie lactescente…
Heureuses épouses, on ne se soucie point de (sa)voir qui allume la mèche, il nous suffit d’ appuyer sur un bouton de Higgs et la fée clochette apparaît pour venir nous réchauffer le grangeon !
Bàv, SV et Chr.,

renato dit: à

« L’actrice iranienne Marzieh Vafamer a été condamnée à un an de prison et 90 coups de fouet pour son rôle dans le film Mon Téhéran à vendre, qui relate les difficultés rencontrées par les artistes en République islamique. »

Monothéistes sauvages ! on peut le dire ou pas ?

racontpatavi dit: à

Dieu, stable, lui, ne se reprend pas.

Rose, vous reprendrez bien un verre?

Patrice Charoulet dit: à

SUR FRANCE CULTURE CHAQUE MATIN DE 11h à MIDI , Régis Debray invite chaque jour deux spécialistes pour présenter les livres qui de 1900 à 1945 ont eu un poids décisif : livres de Gide, Kafka, Benda , Breton, Césaire, Malraux, Zweig…. Ne pas rater ce rendez-vous. Régis Debray introduit et conclut chaque émission avec une grande perspicacité.

Patrice Charoulet dit: à

Thomas Legrand, éditorialiste politique sur France Inter chaque matin, est invité par Pujadas ce mardi sur LCI avec deux ou trois autres .
Sa veste est ouverte pour laisser voir ce qui est en-dessous, à savoir « ORTF ». Est-ce une façon de protester contre l’annonce de la suppression de la redevance par le gouvernement ? Est-ce pour faire de la pub à la masion qui le fait vivre ?
L’étrange est que Pujadas ne lui a rien dit. D’autres à l’avenir vont-ils venir chez lui avec sur le ventre « RTL », « Europe 1 », « Le Point », «L’Express »…. ?

Janssen J-J dit: à

vous surinterprétez, charoule, à partir de la société du spectale… un grand livre que debray devrait méditer pour son profit personnel. Bàv,

pourmapar dit: à

Régis Debray introduit et conclut chaque émission avec une grande perspicacité.Patrice Charoulet.

Peut-être aussi avec une virevolte langagière un peu trop primesautière. Cela se distingue nettement dans l’introduction à l’œuvre de Julien Benda.

Jean Langoncet dit: à

@un grand livre que debray devrait méditer

En attendant, c’est rose qui a rencard avec l’homme de l’Atlantide et pas vous

J J-J dit: à

de quoi, JL ?

rose dit: à

8 à l’écrit.
11 à l’oral.

Mes prévisions loin de la réalité ! Pffff.

rose dit: à

Vu Petite fleur de Santiago Mitre, juin 2022.
Melvin Poupaud éblouissant.

Cela commence léger et drôle :caricature ‘ormale de la vie de couple dans son ennui mortel.
Elle tente de maintenir la flamme inaliénable. Lui ne voit la flamme qu’en enfer. Alors il passe à l’acte et cela pimenté leur vie de couple.

Moij.entre le voisin Petite fleur et sa femme, j’aurais choisi sa femme.

https://www.instagram.com/reel/Cf4KDacI8hK/?igshid=YmMyMTA2M2Y=

rose dit: à

Pimente.
Sauce piquante.
J’aurais souhaité qu’il etranglasse le gourou pour de vrai.
Où on apprend que les envies de meurtre quotidienne sont banales et ne nécessitent pas de thérapie.

La vraie petite fleur, c’est celle-ci.
https://youtu.be/REYLNs0rh-g

Ce film est une fable qui voudrait nous faire avaler ce qui ne passe pas. Ita est, le quotidien.
Lui a beau se faire le chantre de -je ne vais pas spoiler, suis sortie en doutant.

Jean Langoncet dit: à

@Chaque fois que je tombe sur la photo de Burt Lancaster dans « The Swimmer », en ouverture du billet, j’ai l’impression de voir une illustration de film porno gay !
Faut-il que moi aussi je consulte ?

Oui, vous aussi. Pas de quoi socratiser Platon en son Atlantide, cependant

Janssen J-J dit: à

pourtant vous vous étiez défoncée, r… ! La petite g. vous a peut-être menti sur sa volonté d’en découdre avec son père et de le punir. Je sais bien qu’il faut se tenir éloigné des parendélèves, pas entrer dans leurs histoires, mais quand m^me. En toukaj, il faut rebondir…, Ckoi cette histoire du rencard avec l’homme de l’atlantide ? une infamie diffamatoire de la part d’un fâucheux ?

rose dit: à

Les envies quotidiennes ici hebdomadaires.
En sortant, ai vécu un moment difficile.
Suis partie chez moi, y avait une fiesta, suis retournée en ville.
Une guêpe était bloquée sous une sandale d’enfant sur un verre de grenadine.
3 filles trentenaires.
Je leur ai dit gentiment :elles m’ont répondu que c’était fait exprès.
Au bout de 15 mn, durant lesquelles j’ai souffert, la guêpe était ensuquée, une des trois a récupéré la sandale. La guêpe avait cessé de voleter elle a vérifié qu’elle était bien là puis elle l’a crashée sur le sol.
Je lui ai demandé « vous l’avez tuée »? M’a répondu « oui, c’est pour ‘e pas qu’elle me pique ».

Me suis levée et suis rentrée chez moi.

Janssen J-J dit: à

ah OK je viens de comprendre, platon, l’atlantide, la sodomcratie, etc… sont tordus, tous CPD, rz*, non ? si en + passoul s’y met, où va t on platon ?

rose dit: à

Défoncée.
Suis hyper déçue.
Elle m’a dit « j’ai fait du mieux que j’ai pu, et je n’ai pas été traumatisée ».

Mais d’où sortez-vous une histoire pareille ?
pourtant vous vous étiez défoncée, r… ! La petite g. vous a peut-être menti sur sa volonté d’en découdre avec son père et de le punir.

Il n’y a rien de tout cela en jeu.
La lune se lève, je dois m’apaiser.

Jean Langoncet dit: à

@de quoi, JL ?

Il existe une vie en dehors de Marx sous toutes les coutures ; et peut-être même en dehors de la Bible

Bonne soirée aux bloguiateurs péplumesques, chicaneurs présocratiques et assoiffés

Janssen J-J dit: à

@ je ne vais pas spoiler,

qq »1 peut-il m’espliquer ce que cela veut dire…, je rencontre de + en + . Mais pas charoule ni etaliiiiii, SVP. Merci. Bonsoir.

Janssen J-J dit: à

Mais d’où sortez-vous une histoire pareille ?
—-
chacun se brode son film sur les autres au fur et à mesure de fragments d’autobiog disparates laissés par les internautes, lesquels s’accumulent sur un même sujet… C’est le mien, de film, ne m’accablez pas et n’en prenez nul ombrage, c que je prends très au sérieux tout ce que je lis des erdéliens, et je fantasme, je voudrais tant les aider dans leur évident malêtre au quotidien… Or, j’ai tant de maladresses. Je demande pardon à ceux qui vous ont offensée et vous prie en retour de bien vouloir me délivrer du mal qu’une amour ignorée me fait souffrir que j’en porte l’âme déchirée jusqu’à mourir… Voilà, cédit ! Bonsoir.

Jazzi dit: à

« rose dit: à
8 à l’écrit.
11 à l’oral. »

Et combien vos leçons particulières à sa fille ont coûté au père, rose ?

D. dit: à

Depuis quand Brigitte en a-t-elle touché une sans faire bouger l’autre ?

D. dit: à

bon.

Après 20 annèes passées sur ce blog, j’ai décidé de le quitter pour me retirer dans les hauts sommets d’un endroit qui restera secret et où internet n’existe pas.

D. dit: à

Ne pleurez pas. Ce n’est pas si grave, même si je vais vous manquer terriblement.

rose dit: à

D.
Bravo !

Et tenez-vous éloigné des glaciers.

rose dit: à

J J-J
Je ne vous accable pas.
C moi même pour l’instant qui le suis.

rose dit: à

Rose, vous reprendrez bien un verre ?

Mix orange et citron pressés. Pas top.

Obstinez-vous, vous n’en tirerez rien.

Bloom dit: à

Les résultats du Bac français sont mauvais pour de nombreux élèves, si cela peut vous consoler, rose. Les élèves n’aiment pas la littérature telle qu’elle leur est enseignée. Aussi, on leur assène une grammaire à l’aide de notions universitaires à la mord-moi le nœud, qui flattent l’ego d’IG flottant dans l’apesanteur d’un monde fantasmé d’où ils canardent le monde partagé.
Car ce pays offre de plus en plus un paysage de désolation quand on regarde ses hôpitaux et ses écoles.
Mais Macron est fier de lui, il plastronne.
J’ai honte pour lui.
Mauvais trip.
Quand t’es dans le désert…

rose dit: à

Obstinez-vous lorsque je parle de dieu (a minima) à me dire encore un verre. Vous n’obtiendrez de ma part aucun reniement.
C’est dit.

Chaque fois que vous me salissez, vous vous salissez.

JC..... dit: à

MERCREDI 13 JUILLET 2022, 5h21, 23°, calme et tranquillité

AVEU

Ce matin, je n’ai rien à dire en RdL.

Dire que je n’ai rien à dire ne me coûte pas, bien au contraire. Franchise se fait rare de nos jours !

N’hésitons pas. Ne rien dire est un signe fort de paix intérieure. Exprimez vous en ne disant rien. Absolument rien.

Le rôle de muet est splendide à jouer.
Taisons nous !
Tous (et surtout, toutes…)

renato dit: à

En disant que vous n’avez rien à dire, vous dites quand même quelque chose.

JC..... dit: à

« En disant que vous n’avez rien à dire, vous dites quand même quelque chose. » (renato)

Exact, cher renato ! Je m’y suis mal pris…je n’y avais pas pensé ! Je me tais, now.

Patrice Charoulet dit: à

Monsieur Souillot

Le nouveau patron de FO s’appelle Monsieur Souillot. Je le vois à la télé. Il parle assez mal. Mais il a une boucle d’oreille à l’oreille gauche et une boucle d’oreille à l’oreille droite. C’est un bon début.
En attendant les tatouages, les piercings et le katogan.

Janssen J-J dit: à

messie… il y avait bien pensé et anticipé pareille réaction, car il est tel comme Jankélévitch, ce philosophe qui n’avait rien à dire mais le disait beaucoup mieux, les mouches y trouvant toujours leur compte orgasmique.
Taisons-nous et regardons une fois encore la « super lune du tonnerre » en son périgée. Ce sera peut-être la dernière fois.
____________
(Q : Qu’est-ce à dire ? / R : Juste une pleine lune, mais plus visible et plus spectaculaire, puisqu’elle apparaîtra 14 % plus grande et 30 % plus brillante, se trouvant alors au plus proche de la Terre. Une Super Lune se produit lorsque l’orbite de la Lune est la plus proche (périgée) de la Terre en même temps que la lune est pleine. Et cette nuit, la Lune sera située à 357264 km de notre planète. On l’appelle familièrement «super lune du tonnerre», (ou plus savamment, « phénomène de périgée-syzygie »), car elle apparaît en cette période de juillet, la plus chaude et la plus orageuse de l’hémisphère Nord.
_____________
Bàv, (13.7.22_9.20)

Bloom dit: à

Nager (été 2022) : en mer d’Irlande, avec Derek Mahon

Baignade, Comté Wicklow

La seule réalité est le flot perpétuel d’énergie vitale.
— Montale

Embruns, endurance crustacée,
rafale d’ozone
une fois encore tu reviens
sur ce rivage éblouissant,
vers ses chauds ruissellements utérins,
ses chocs et chahuts à faire battre le cœur.

Un bref spasme et tu glisses
dans les remous sifflants
amas d’étoiles, kelp°, goémon,
algues glissantes, mousse, écume,
intime billebaude
à l’étroit dans ce bouillonnement.

La douce lèvre d’eau, la douce main,
appel insistant de l’origine,
l’ondulation, le ronflement sensuels
des thalles et frondes,
une fois encore tu nages ici
vif comme un gène mutant.

Les esprits du lac, de la rivière,
de l’étang forestier président
paisiblement sur des eaux jamais
troublées par vents ou marées ;
et la piscine municipale, tranquille,
n’est que pour les craintifs –

absente l’énergie de vagues nées du vent
là où ne s’agrippe pas la bruyère marine,
absente la monstrueuse déferlante,
mue par la violence des âges
surgissant le mufle baveur
pour te noyer dans ses tréfonds.

Parmi les galets, une conque blanche
usée par flux et reflux,
crâne ensablé vieux
comme les siècles, repose
dans le froid et la solitude
là où luit l’attraction lunaire ;

mais aujourd’hui tu tangues et tournes
dans l’eau marine comme si,
créatures de sel et de plancton,
nues sous le soleil,
la vie n’était qu’un rêve éveillé
et ça la seule vraie vie.

Traduction : Claude Grimal

°J’aurais traduit ‘kelp’ par ‘varech’.

Disparu en octobre 2020, Derek Mahon était une des grandes voix d’Irlande du Nord. Issu d’une famille de la classe ouvrière protestante belfastoise, il a fait ses études à Trinity College, Dublin et à la Sorbonne. Après avoir enseigné à Belfast, il a choisi de quitter la Province pour s’établir dans la République, à Kinsale, joli port de plaisance du comté de Cork, afin de conserver sa liberté de parole à l’époque des ‘Troubles’.
Comme feu mon ancien collègue à Friends’ School, Lisburn, le génial Brian McClinton, disparu récemment, il incarnait une autre façon d’être irlandais, loin des surdéterminations identitaires meurtrières & mortifères.
https://www.irishtimes.com/obituaries/2022/07/02/leading-light-of-the-humanism-movement-in-northern-ireland/

closer dit: à

EM prononce en public une grivoiserie que Chirac réservait à un auditoire privé…Ridicule une fois de plus.

Janssen J-J dit: à

@ jzmn (le goût de la nage)
Suis toujours frappé par la concordance des thématiques des critiques littéraires prétendant nous parler d’un non objet (censément, la nage qui n’aurait que très peu inspiré la littérature), tout en découvrant « simultanément » et « tout à coup », à quel point elle y abonde. A croire à une entente préalable pour « truster » un oligopole, pratique formellement interdite pas la communauté européenne. Pour preuve, en attendant l’achèvement de la série… Mais pourquoi et comment la RDL aurait-elle donné le coup d’envoi ?
Encore un nouveau mystère (complot) à élucider, jzmn ! Un avis, peut-être, à défaut d’une enquête approfondie à Paris-SGdP ?
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/07/13/feuilleton-nage-1/

Janssen J-J dit: à

@ charoulet KM. Peu importe la laideur des boucles d’oreille de fredéric souillot, l’essentiel est qu’il ressemble à un vrai métallo moustachu et qu’il modernise l’apparence de notre condition ouvrière réformiste, hein !
(Il est vrai que ce monde-là peut toujours crever…, il ne vous concerne pas vraiment) !
Bàv,

Bloom dit: à

En 1976, emporté par le courant au large de Malibu, Cat Stevens, le chanteur anglais d’origine chypriote et suédoise, grand consommateur de drogues dures, est sur le point de se noyer quand il demande à Dieu de la ramener vers la plage. Miraculeusement redirigé vers le rivage par un courant contraire, il se convertit à l’islam dans les semaines qui suivent et devient Yusuf Islam.
Plus tard, il se prononcera en faveur de la fatwa lancée par Khomeini à l’encontre de Salman Rushdie et adoptera des positions radicales avant de revenir à une plus grande modération et de se remettre à chanter.
Qui a passé du temps outre Manche au début des années 70 sait que ses chansons formaient la bande son du film…

Amanda Lire dit: à

Jadis et nagère…
Bonjour!

JC..... dit: à

« EM prononce en public une grivoiserie que Chirac réservait à un auditoire privé…Ridicule une fois de plus. » (closer)

Ridicule ? Le mot est faible, pour ce bébé cérébralement déficient. Il faut consulter* !
VITE !

*Pas les électeurs, camarades ! Les spécialistes des viennoiseries primales.

et alii dit: à

la photo de KAFKA : P.Assouline précise:
(Photos National Library of Isarel et Sagi Bornstein

et alii dit: à

« Je sais nager comme les autres, seulement j’ai une meilleure mémoire que les autres, je n’ai pas oublié le je-ne-sais-pas-nager de jadis. Mais comme je ne l’ai pas oublié, savoir nager ne m’aide en rien et je ne peux donc pas nager » Kafka
https://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article1901

et alii dit: à

Le 2 août 1914, Kafka écrit dans son journal : « L’Allemagne a déclaré la guerre à la Russie. Après-midi piscine. » Il est (rela­tivement) célèbre, cet « après-midi piscine »

et alii dit: à

 » vos écritures je vous ai lue, j’ai nagé de Saint-Benin à Saïgon il se pourrait donc bien que ce livre ait commencé de s’écrire un été 42, dans une caserne de l’infanterie coloniale de Casa. »

Never(s)
Titre de l’éditeur : Never(s)
De Frédérique Berthet

et alii dit: à

Beckett dans Le dépeupleur. J’entends par ce rapprochement avec Le dépeupleur de Beckett indiquer le caractère assez beckettien d’un des récits courts de Kafka Le grand nageur, caractère suggéré par Deleuze lui-même dans son Kafka (Éd. de Minuit, 1975, p. 48, note 25).

Amanda Lire dit: à

Se noyer dans un verre de Kafka!

Amanda Lire dit: à

Se noyer dans un verre

C’est pire que de boire la tasse!

et alii dit: à

POUR SIMON LEYS QUAND MËME/
Le nageur des chutes de Lü-leang
Posted on 15 août 2014 de Thierry Soutan / 0 Comment
Le nageur des chutes de Lü-leangConfucius admirait les chutes de Lü-leang. L’eau tombait d’une hauteur de trois cent pieds et dévalait ensuite en écumant sur quarante lieues. Ni tortues ni crocodiles ne pouvaient se maintenir à cet endroit, mais Confucius aperçut un homme qui nageait là. Il crut que c’était un malheureux qui cherchait la mort et dit à ses disciples de longer la rive pour se porter à son secours.
http://le-blog-du-flow.fr/2014/08/15/le-nageur-des-chutes-de-lu-leang/

Janssen J-J dit: à

On commence à la connaître par cœur cette notation de son journal al FK : car quasi tous les jours, on y a droit, icite… Pffft.
Qui nous retrouvera plutôt la notation de Georges Friedman dans son journal de 39-40, celle du 10 mai 40, par exemple, ou autres…, pittoresques, malgré l’anxiété des pages qui sourdent et taraudent le fond ?

Bolibongo dit: à

Cela dit, s’envoyer le breuvage de et al au goulot?…

( De l’eau tiède.)

Janssen J-J dit: à

@ jissé. A partir du moment où une saillie privée est tombée dans le domaine public, on ne voit pas au nom de quoi les crétins qui la refourguent avec un clin d’oeil appuyé seraient ridicules.. Comme si les crétins de ce blog s’en privaient eux-mêmes ! Certes, à défaut d’en proposer de meilleures, on peut toujours départager les petits des grands chefs d’Etat. Or Chirac téflon n’en fut pas un…
Je ne me souviens plus trop de ce qu’avait proféré une grande des nôtres à propos des anglais, restée célèbre durant quelques temps. On en attend la nouvelle… Nb, ans le registre couillu, on avait eu raymond barre : « m’enfin, il y eut bon nombre de juifs innocents !… » – Bàv,

et alii dit: à

SURNAGER N’A PAS ATTENDU LES SUR MULOTS POUR ËTRE DANS LE DICTIONNAIRE
1. [Qqf. suivi d’un compl. prép. sur] Se maintenir, rester à la surface d’un liquide. Synon. flotter1, nager; anton. couler2, s’enfoncer, sombrer2.Au moment le plus furieux de la tempête, je vis, surnageant sur les eaux, avec des efforts désespérés, une tête énergique aux cheveux hérissés (Lautréam., Chants Maldoror, 1869, p. 207).Pour reconnaître dans la pratique la fraîcheur d’un œuf, on le plonge dans l’eau salée à 10 pour 100: frais, il plonge au fond; non frais, il surnage (Macaigne, Précis hyg., 1911, p. 234).
− P. métaph. À la ganterie et aux lainages, une masse épaisse de chapeaux et de chignons barrait les lointains du magasin. On ne voyait même plus les toilettes, les coiffures seules surnageaient (Zola, Bonheur dames, 1883, p. 492).
− En partic. [Le suj. désigne un liquide] Rester à la surface d’un liquide plus dense. Les liquides condensés dans le barillet se superposent d’après leurs densités: le goudron se rassemble au fond, l’eau ammoniacale surnage (Quéret, Industr. gaz, 1923, p. 115).
2. Au fig. Se maintenir, subsister au milieu de ce qui passe, s’oublie, disparaît. Synon. survivre.Faire surnager et soutenir au-dessus de l’oubli (…), ne fût-ce qu’un fragment d’une langue quelconque que l’homme a parlée et qui se perdrait (…), c’est servir la civilisation même (Hugo, Misér., t. 2, 1862, p. 191).Rome a fini avec l’idéal romain. La Chine surnage encore? L’Islam, ce cas extraordinaire, existe dans les conditions les plus singulières à travers les dominations, toutes les races (Valéry, Lettres à qq.-uns, 1945, p. 86). cnrtl

et alii dit: à

mais pour « déménager »?
INUTILE DE FAIRE VOTRE Ménage!

Jazzi dit: à

« et lui qui croise un rat souriant »

Ni la souris ni le rat ne sourient !
(j’ai pas grand chose à dire mais je le dis quand même)

Janssen J-J dit: à

elonmusk renonce à twiter, et toute la planète en est comme effrayée (8 myards d’âmes) : que va devenir mon appli ? – La Russie veut bombarder les champs de blés ukrainiens pour affamer le monde et desserrer les taux, car elle a plus d’un tour dans son sac. Mais les bien gavés disent qu’il ne faut plus dépendre de ces pays-. La solution de la RDL ?… qu’elonmusk renonce à s’envoyer en l’air, et donne ses 44 myards aux peuples malnutris. En échange de quoi, le fisc européen fermera les yeux sur ses turpitudes.

Janssen J-J dit: à

D. a toujours été un internaute cohérent avec son syndrome abandonnique. Merci RM de lui en être gré, de ne point l’akabler. Il est si fragile, Take ker !…

Janssen J-J dit: à

@ etalii : cette nuit, un fâcheux voulait me convaincre de pétitionner contre la décision de la cour suprême américaine, et de me faire l’apologie du droit à l’avortement, comme quoi il avait été toubib lui-mêmle et savait ce qu’était la détresse des femmes. Etc… Et il insistait alors que je le suppliais de me faire signer son papier… Et je regardais ma montre au volant de ma bagnole, pour lui faire comprendre que j’allais rater mon rencart chez le toubib pour le renouvellemnt de ma pilule du lendemain.. Il bloquait la bagnole continuant à me débiter… Alors je lui crachais mon venin : va donc te faire éventrer, pauvre avorton : Puis je me suis reveillé en nage, il était 6.27.
Cela dit, je n’ai pas grand chose à rajouter ni à dire à l’rdl. Mais je dois me dégourdir le mulot et m’étirer les orteils avant le bain de midi. Bàv,

Bloom dit: à

A défaut d’y nager, j’ai mis un doigt dans l’Indus, au confluent du fleuve et de la rivière Kaboul.
Photo espiègle qui figure à côté de celle où j’arrivons à pied par Lachine, au Québec.

‘Heureusement, il y a l’Indus l’Indus, l’Indus’ (paroles sujettes à variation, sur l’air d’une célèbre pub pour surgelés)

et alii dit: à

a vos rêves!
psychanalyste pour enfants René Spitz (1887-1974) a fait état de nombreux rêves d’enfants où ils se voyaient nager avec volupté dans une mer immense. Et même si ces enfants ne savaient pas nager réellement, la sensation de joie était centrale. Pour lui, il n’y a pas de doute que ces rêves sont une réminiscence nostalgique de la vie intra-utérine et du liquide amniotique. Et l’on retrouve le même lien dans les rêves de nager faits par les adultes.

Bolibongo dit: à

Se réveiller en nage!

Bolibongo dit: à

Elle se croyait faire la planche en mer, elle se réveilla dans son pipi!

Janssen J-J dit: à

la photo espiègle manque, dommage, pmp j’ai souvent longé le canal de Lachine en vélo à Montréal, mais ne suis jamais allé aux pays du soleil levant, les surgelés Indus ou Bramapoutre m’ont toujours fait reculer au dernier moment. Bàv, boby !

et alii dit: à

La rivière Ganges représente l’accès au Nirvana, donc la grande majorité des croyants ne se préoccupent même pas du froid a une température moyenne de six degrés Celsius ? ni le degré de pollution de ses eaux, car chaque baignade élimine un péché.

Les pèlerins hindous préfèrent se baigner à Varanasi, l’endroit le plus putride sur le chemin. Lorsque le Gange atteint cette ville, la plus sacrée de l’Inde, elle est recréée le long de trois kilomètres de parcours urbains.
https://www.mediacritik.com/danger-de-se-baigner-gange-plus-dun-million-de-bacteries-fecales-une-tasse-deau/

D. dit: à

j’ai mis un doigt dans l’Indus

et alii dit: à

ça commença comme ça:
Comme le raconte le site iO9 «lors d’un matin d’août 1921, alors qu’il passait l’été en famille, dans une retraite, au Canada, Roosevelt, en train de faire du bateau, plongea (ou tomba, selon les récits) dans la Baie de Fundy. Pendant les deux semaines qui suivirent, il éprouva une paralysie qui commença par ses jambes pour s’étendre à sa poitrine».

Bloom dit: à

Les pèlerins hindous préfèrent se baigner à Varanasi

Désolé de briser l’ambiance, mais ce fleuve est dégueulasse, déjà en temps normal, avec les crémations et les égouts, c’est pas reluisant, mais c’est encore pire depuis une quinzaine d’années.
Voir la photo de la Yamuna, qui ‘baigne’ Delhi.
https://www.geo.fr/environnement/inde-la-yamuna-riviere-sacree-se-couvre-dune-mousse-toxique-207009

Les images d’Epinal n’ont plus court. Le ‘moine en chef’ des pèlerins hindous de Varanasi, qui est aussi le PM de l’Uttar Pradesh, Yogi Adityanath, est un assassin islamophobe aux tendances génocidaires (on le voit reluquer le Q de Macron sur une photo du Monde prise en 2018 lors de la visite présidentielle).

Bloom dit: à

Je conçois aisément que vous n’en ayez que Brahmafoutre, 3j. J’y fus pour bosser, comme autrefois dans les Ardennes, sur les bords de Meuse, dans le plus étrange(r) de tous les pays qu’il me fut jamais donné de fréquenter, transi jusqu’aux os dans la froidure brumeuse d’un de ces hivers qui poussa le Rimbaud à leur préférer Aden et les déserts caillouteux de l’Abyssinie malheureuse.
The horror. The horror.

J J-J dit: à

@ un doigt dans l’Indus (ou dans le D.)
… il voulait dire un finger dans l’anus, mais il n’aime pas expliciter les mauvais jeux de mots, il préfère les suggérer… Sauf que d’aucune.s icite ont la comprenette lente, et il n’y a pas de petits seins, même charoule préfère les gros ! (je mets l’émoticone, des foik… 😉

Janssen J-J dit: à

oui, j’aime bien votre Brahmafoutre, RB… Merci du rebond, vos voyages n’ont sans doute pas toujours été des parties de plaisir… Comme quoi, parfois vaut mieux rester chez soie, et même pas chercher à voir Aden Arabie. En ce moment, je m’encaserne au frais, la janikule est partout… Bàv, et bon courage, où que vous soyiez, n’allez pas attraper du mal, hein !

Bloom dit: à

Merci de votre sollicitude, 3J. La petite famille a appris à survivre aux hautes températures. En revanche, je crains un peu pour notre ami John Maxwell, qui a prévu de rouler intensivement en Occitanie ces temps-ci pour continuer à alimenter en images le doc qu’il faut boucler pour le 20e anniversaire de son Nobel.Le gaillard est solide, mais tout de même…
Le monde à l’envers, les antipodes chez les propodes…

Patrice Charoulet dit: à

Réflexions sur une émission

J’avais vanté sans la connaître une émission diffusée sur France Culture le mercredi 13 juillet de
11h à midi. Pour quelles raisons ? Car c’ était une émission qui surviendrait dans une série
conçue par Régis Debray consacrée à plusieurs livres qui ont eu de grands effets de 1900 à 1945 .
Car dans chaque émission deux spécialistes reconnus sont invités. Car le livre dont il serait parlé était « La Trahison des clercs » de Julien Benda, et que j’apprécie l’auteur et le livre. Car, un des deux invités, Pascal Engel , philosophe, tient un blog dont le nom est « La France byzantine », titre de l’un des livres de Benda.

Je viens d’écouter attentivement cette émission, qui m’a paru très utile pour faire connaître Benda à ceux qui l’ignoraient . Ce livre sera peut-être lu par plus d’un auditeur. Grand merci donc à
Régis Debray, comme aux deux invités Pascal Ory, historien et académicien français, et à Pascal
Engel.

Regret. Pascal Engel a lu tous les livres de Julien Benda et a même écrit un écrit sur Benda. Pascal Ory nous l’a dit : il a (re)lu ce livre avant de venir , pour pouvoir en parler! Quels que soient les mérites de Pascal Ory, cela faisait une sacrée différence dans les propos. Pascal Engel est un vrai connaisseur de Benda. N’y avait-il pas un autre spécialiste de Benda?Le choix de cette émission étant de faire parler et penser deux spécialistes du livre du jour, il me semble donc que le choix de Pascal Ory n’a pas été bon.
,

MC dit: à

Il y a un curieux roman de Julien Benda qui se nomme « l’ Ordination ». MC

Patrice Charoulet dit: à

« L’ordination » était en lice pour le Goncourt et n’a pas été couronné.

et alii dit: à

une noyade énigmatique:
. Le roi Louis II de Bavière est déclaré mort. Son corps a été repêché dans les eaux du lac de Starnberg, situé à 20 km au sud-ouest de Munich, un peu après 22 h 30 et, malgré une réanimation d’une heure, l’ancien souverain âgé de 40 ans n’a pu être ramené à la vie. A ses côtés, un autre homme s’est noyé. Il s’agit de son psychiatre, le docteur von Gudden, à qui il avait demandé de l’accompagner en promenade, peu après 18h.

Janssen J-J dit: à

@ RV, vous êtes tjs apparemment en lien avec JM Coetzee… La classe… ! Merci pour ces bonnes nouvelles, donc il bosse toujours, mais trop… Faudrait pas qu’il se chope un avc en provence ou en espagne cet été… Que 2022 soit le journal de son année noire comme il en fut en 2008.
Dites lui qu’il se ménage, on s’en fait pour lui, à la RDL ! Bàv,

Janssen J-J dit: à

(oups) @ RB… que 2022 ne soit PAS le journal de….

et alii dit: à

voilà pourquoi, quand l’ai pris mon fils dans les bras et que nous nous sommes baignés dans un lac ,il m’a tapé sur la tête en criant « tout seul »;
son père m’avait fait le coup de me taper sur la tête dans l’eau; mais je ne l’ai pas laissé (mon fils)
maintenant c’est un nageur accompli; toutes eaux!

et alii dit: à

Nager entre deux eaux »

Cette expression date du XIVe siècle. En marine, lorsqu’un bateau navigue entre deux eaux, c’est qu’il est ballotté par les courants. Il doit arriver à maintenir le cap malgré tout. Il s’agit donc ici d’une métaphore pour parler d’une personne indécise.

et alii dit: à

Johnny Weissmuller, né János Péter Weissmüller le 2 juin 1904 à Freidorf (en) en Hongrie1 (actuelle Roumanie)N 1 et mort le 20 janvier 1984 à Acapulco au Mexique, est un nageur olympique américain, cinq fois médaillé d’or aux Jeux olympiques et longtemps recordman du 100 m nage libre, ainsi qu’un acteur de cinéma, célèbre pour avoir incarné le personnage de Tarzan à douze reprises durant les années 1930 et 1940.
À l’âge de neuf ans, Johnny Weissmüller contracte la poliomyélite3,N 2. Son médecin lui suggère de pratiquer la natation pour aider à vaincre la maladie. Johnny guérit et continue à pratiquer ce sport où il excelle.

Johnny Weissmuller en 1924.
Afin de pouvoir participer aux Jeux olympiques de Paris, en 1924. Johnny Weissmüller se fait passer pour son frère cadet,

et alii dit: à

johnny W
représentant pour une marque de piscine7 et sa santé s’étant fortement dégradée au fil des années, il finit sa vie interné dans un asile psychiatrique, où, paraît-il, il faisait retentir le cri de Tarzan10. Johnny Weissmüller est mort d’un œdème pulmonaire, à l’âge de 79 ans9.

et alii dit: à

Lorsqu’un lac glaciaire est long et étroit, en forme de doigt, situé dans le fond d’une vallée glaciaire et est issu de l’érosion glaciaire au niveau d’une alternance de roches plus meubles, il est qualifié de rubaniforme. C’est le cas des lacs Windermere, Washington et Ullswater.

Jazzi dit: à

Le léZard est retourné dans le Hong-Kong de la fin des années 1980 : dépaysement esthétique garanti !

Phil dit: à

Qui lit encore Benda ? Gide vieillissant attirait plus d’auditeurs que Benda. Weissmüller aurait bien pu jouer Lancaster, ou l’inverse. Né dans la Banat, dear etalii, ceci dit pour updater vos considérables fiches. Les bains Gellert, première piscine à vagues d’Europe dans les années 30, sont aujourd’hui moins luxueux que les bains Rudas situés à un jet d’obus turcs.

Jazzi dit: à

Un homme qui admire le cul de Macron ne peut pas être vraiment méchant, Bloom.
Je demande la photo !

et alii dit: à

vos considérables fiches.
je n’en ai pas, Phil, c’est plus vite fait;mais une bonne mémoire, ça ,oui; tenez, ma première montre bousillée parce que je ne l’avais pas enlevée pour me baigner; qu’est ce qu’on m’a engueulée!

Phil dit: à

ça ,oui; tenez, ma première montre bousillée

Indeed, « what a proof »

et alii dit: à

il y a peu, je faisais rechercher un fabricant de piscines pour qu’il s’intéressât à la santé (mentale surtout me dit-on ) de son père qui présentait sa progéniture comme tres fortuné (il était domicilié dans la région de Vence) j’ignore si l’on a réussi à reconstituer la famille disloquée;je sais juste que le père ne se rétablit pas et qu’aucune personne n’est bien volontaire pour lui venir en aide;

et alii dit: à

ce nageur est Konrad Lorenz:
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Jazzi dit: à

« Qui lit encore Benda ? »

Quelques vieux vicieux comme Charoulet, Phil !

Jazzi dit: à

« je faisais rechercher »

Je ne vous imaginais pas en donneuse d’ordre, et alii i
Et on vous obéi ?

Jazzi dit: à

« vos considérables fiches.
je n’en ai pas, Phil, c’est plus vite fait »

Bravo, et alii, moi de même… tout dans la tête (heureusement que le boug est en vacances…) !

et alii dit: à

je faisais rechercher » rien n’indique que j’aie « donné un ordre »;
c’était à peine une suggestion et j’ai même supposé qu’on me contrôlait moi sous couleur de vérifier une « information »

et alii dit: à

plutôt que « vérifier »: « confronter » des informations, eu égard à l’urgence éventuelle pour les intéressés (et je n’étais pas du nombre de ces derniers)

et alii dit: à

« donner des ordres » il y a une question de « position », et plus philosophiquement parlant d' »autorité »

Amanda Lire dit: à

il me semble donc que le choix de Pascal Ory n’a pas été bon.

On ne vous le fait pas dire, Patrice!

et alii dit: à

quand le chauffeur à ses côtés s’est effondré sur lui, mort : crise cardiaque. Heinrich a eu la présence d’esprit d’appuyer sur le frein. Hannah en tremble encore. Elle se réfugie avec lui en juin dans sa maison d’été pour nager et marcher dans la forêt. « Rester loyal envers le réel à travers vents et marées, c’est bien ce que réclame l’amour de la vérité ainsi que la gratitude d’avoir été mis au monde », écrit-elle à Jaspers. Elle travaille magnifiquement et transforme deux conférences en essais. La vérité et la politique, depuis l’aube de l’humanité, n’ont jamais fait bon ménage. Est-il de l’essence même de la vérité d’être impuissante et de l’essence même du pouvoir d’être trompeur ? Et une vérité impuissante n’est-elle pas aussi méprisable qu’un pouvoir insoucieux de la vérité ?

et alii dit: à

excuses ,je n’ai pas nommé Arendt que tout le monde a reconnue

Marie Sasseur dit: à

« L’aînée, c’est Colombe, journaliste et écrivaine à qui l’on doit, entre autres, « Val de Grâce », « La Réparation » ou encore « Deux Petites Bourgeoises ». La cadette, c’est Marine, qui est illustratrice. Les deux sœurs Schneck ont signé l’un des plus jolis livres du moment, « Paris à la nage », un guide ultra-documenté sur les piscines parisiennes, commencé en août 2020 après le premier confinement. Un ouvrage qui allie la plume effilée de Colombe et le joli coup de crayon de Marine. Pendant plus d’un an, les frangines ont nagé dans toutes les piscines municipales de la capitale, véritable terrain d’observation qu’elles ont prolongé en découvrant les quartiers alentour. Une étude à la fois initiatique et sociologique d’un univers particulier, une plongée dans une certaine intimité, qui leur a permis d’en apprendre beaucoup sur les autres, et tout autant sur elles. »

Jazzi dit: à

Une sale gueule, en effet, Bloom.
Difficile de dire cependant qu’il regardait les fesses de Macron.
On sent plutôt dans son regard patibulaire une envie de lui régler son compte !

Jazzi dit: à

« NAGER 30 MINUTES LIBÈRE AUTANT D’ENDORPHINES QU’UN ORGASME ! »

Il y a une quarantaine d’années, j’ai publié un reportage complet sur les piscines parisienne dans « Libération ».

Damien dit: à

Je n’avais pas trop aimé le vide sidéral de « Swimming-pool », vieux film d’Ozon vu à la tévé. Par contre, « Peter von Kant » est excellent, une vraie réussite, avec un acteur principal, Ménochet, remarquable, une parfaite Adjani aussi. Tout n’est pas réussi, mais certains moments sont très intenses sur le plan artistiques (l’interview du jeune devant la caméra par exemple). De manière générale, sans doute qu’Ozon tourne trop et ne travaille pas assez. Fassbinder tournait beaucoup, mais ça lui réussissait à chaque coup, lui. Dernière remarque : c’est un peu dommage qu’Ozon ait modifié, pour l’adapter, le scénario originel. Ce qui me frappe aussi, c’est que Ménochet ressemble à Fassbinder, et qu’on se rend compte que le cinéaste allemand, par sexe interposé, s’est extrêmement bien traité dans cette histoire, se donnant le beau rôle jusqu’au masochisme de certaines répliques…

Jazzi dit: à

Tout a fait d’accord avec toi, Damien.
Mais ne pas oublier l’étonnant Stefan Crepon, dans le rôle de Karl, le mutique et masochiste assistant de l’odieux et capricieux Fassbinder alias Peter von Kant…

Jazzi dit: à

« le cinéaste allemand, par sexe interposé, s’est extrêmement bien traité dans cette histoire, se donnant le beau rôle jusqu’au masochisme de certaines répliques… »

C’était déjà le cas dans « La loi du plus fort », où il campe le gentil prolo exploité par les odieux bourgeois.

Jazzi dit: à

Fassbinder, sensible et midinette, pouvait être maso ou sadique, selon l’humeur et les convenances.
D’une certaine manière, Ozon lui rend hommage à travers les deux personnages masculins du film : Peter von Kant et Karl.

MC dit: à

Ne soyons pas méchant sur la production littéraire de Colombe Schneck, écrivaine au pire sens du terme. Et inclinons-nous bien bas devant la tripotée de romancières qu’on nous inflige : Amélie N, Delphine Le Vigan, Berest, Etc, Etc….

Jean Langoncet dit: à

Actualité en Mer Noire et une pensée vers Ulysse le Subtil

Les Ukrainiens ont assuré, mardi 21 juin, avoir obtenu une « victoire significative » sur l’île des Serpents. Dans la foulée, la Russie criait à la propagande et assurait avoir facilement repoussé une « nouvelle tentative folle de débarquement » sur ce petit bout de caillou situé en pleine mer Noire, à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest d’Odessa.
https://www.france24.com/fr/europe/20220626-guerre-en-ukraine-l-%C3%AEle-des-serpents-ce-petit-bout-de-terre-devenu-crucial-en-mer-noire

MC dit: à

Benda a tout de même trouvé , le temps d’un titre, le concept de Trahison des Clercs, auquel fait suite la France Byzantine.La question serait plutôt qui l’a réellement lu? MC

renato dit: à

Île aux serpents.

JL, votre info date du 25 ou 26 juin ; le 30 les ukrainiens ont libéré l’île — la Russie a annoncé le retrait de ses forces militaires (Tass).

et alii dit: à

au cours de l’été, Francis se fracturera l’épaule, en plongeant dans la piscine d’un hôtel. Et quelque temps plus tard, rappelle Michael Cody, il se tire dessus, dans une tentative de suicide maladroite. Le voici alors affublé d’une nurse, Dorothy Richardson, chargée de le veiller et de l’empêcher de boire frénétiquement.

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