de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Pascal Quignard en lambeaux

Pascal Quignard en lambeaux

Il l’avoue sans détour : il cherche une autre façon de penser à la limite du rêve considéré comme « une vue fascinée enfouie au fond de chaque corps », au bout du songe tenu pour la « séquence d’images involontaires projetées sur la paroi interne », à la frontière incertaine de l’hallucination. C’est même écrit explicitement dès la page 19 de L’enfant d’Ingolstadt (268 pages, 20 euros, Grasset) qui vient de paraître :

« Je consacre ce Xème tome à l’ « attrait » de tout ce qui est faux dans l’art et dans le rêve ».

Quelques dizaines de pages plus loin, il précise son projet :

« Je cherche à méditer cette allergie humaine à la scène originaire dès l’instant où elle est représentée »

Ses moyens, ses armes sont inchangés : la recherche de l’origine sexuée, de la racine la plus archaïque des hommes comme de celle des mots, ce qui se manifeste déjà dans le travail sur la langue par la quête de l’étymologie, tel un échappé du Cratyle de Platon. Moins une méthode qu’un esprit, lequel se traduit par une déconstruction sans fin et aboutit naturellement à une forme que Pascal Quignard est des rares en France à avoir portée au plus haut, avec une constance telle que cette forme est devenue la signature de sa voix, de son timbre, de son grain : le fragment. Une autre manière de raconter des histoires. Certaines tiennent en quelques lignes, d’autres en quelques pages. A chacune son rythme, sa couleur, sa nécessité qu’il s’agisse de la formation du premier quatuor à cordes du camp de déportation de Terezin, ou des dons cachés de pianiste de Colette. Ou encore, plus personnellement et comment cela pourrait-il l’être davantage encore, du vécu traumatique, de sa trace mnésique et charnelle, du moment où il faillit cesser de vivre il y a quelques années lorsque le mal à l’œuvre lui fit se « séparer » de son sang à l’hôpital Saint-Antoine ;  alors il se sentit tel Abba Achille, l’un des Pères du désert en ses apophtegmes, refusant de de prononcer une certain mot et constatant que celui-ci s’était alors métamorphosé en sang dans sa bouche.Jean Rustin 1

Beaucoup de morts ressuscitent sous sa plume. Ainsi André du Bouchet « offrant dans un état enfantin d’enchantement » ces deux vers à Paul Celan juste avant que le poète n’enjambe le pont Mirabeau et ne se jette dans la Seine :

« Qui me croit absent, il a tort:/ Je ne le suis point, je suis mort ».

Il en est même de récents tel son ami le peintre Jean Rustin, ce qui nous vaut des pages bouleversantes. Il le visitait dans son atelier de Bagnolet en n’oubliant pas d’y apporter son violoncelle car Rustin était aussi violoniste ; Quignard l’aimait, l’admirait ; la tendresse que cet être rare manifestait dans ses silences le chavirait ; comment un homme comme Quignard, qui tient la lecture silencieuse comme la musique extrême, ne le serait-il pas ? cette émotion sourd discrètement dans son adieu qui fait entendre l’écho assourdi de leurs duos de Bach, Haendel, Mozart, Haydn, Schubert, Beethoven (dommage qu’il ne précise pas lesquels). Outre tout ce que leurs univers et leur sensibilité ont en commun (déjà, un certain retrait de la parole), il n’y rien d’étonnant à ce que l’écrivain souligne en la louant l’obstination du peintre ; car s’il y a bien une chose que les deux artistes partagent, c’est cette inaltérable capacité à creuser le même sillon une vie durant nonobstant les aléas de la réception.

On a tellement l’habitude de découvrir sous sa plume des mots de tous sous une définition déroutante (« Pervers : hommes qui se sont méfiés d’une domestication totale ») que même lorsqu’on rencontre ce qui serait chez n’importe quel autre écrivain une coquille ou une faute d’accord (« … âgé de trente et un an, Rancé… »),on se gratte la tête pour se demander s’il n’y a pas une intention derrière, mais non. Ces éclats ne sont pas tous des éclairs. Mais l’opacité de quelques uns ne gâte pas l’intelligence de l’ensemble. Parfois, on se permet de renvoyer ce grand lecteur à de toutes récentes lectures. Ainsi, lorsque, tout à sa quête passionnée de l’intrus il se demande quand est apparue l’idée qu’un corps devenait cadavre, il risque fort de trouver la réponse dans l’impressionnant Le travail des morts (Gallimard) dans lequel l’historien Thomas Laqueur propose une histoire culturelle des dépouilles mortelles. Qu’importe si le sens parfois nous échappe (notamment dans l’usage détourné du mot russe « pogrome », et même si le dictionnaire lui-même rend les armes s’agissant par exemple de « l’instinct de contrectation »). Qu’importe dès lors que la musique envoûte. La poésie qui s’en dégage nous dédommage du doute. De la poésie jusque dans la rencontre inédite de deux mots qui n’étaient pas faits pour se rencontrer : « un hallucinat d’arbre »,  « Jadir du jadis » (au sens d’une force qui surgit en nous), « un intervalle d’effroi », « des tourets de nez », « l’assuétude de la méditation », « notre langue s’engendre », « sa bouche fut quitte du langage », « la main de gloire »– encore que cette dernière expression soit explicitée comme désignant la tache du sperme tombé au pied d’un homme pendu.

gouvernante-jean-simeon-chardin-102-2166-iphoneDes huit volumes de Petits traités qu’Adrien Maeght publia il y a près de trente ans au cycle du Dernier royaume dont le dixième tome paraît donc ces jours-ci, il y a bien une vision du monde dont l’art poétique était exposé dès 1986 dans Une gêne technique à l’égard des fragments (Fata Morgana), son essai sur La Bruyère, le premier à avoir composé un livre de façon systématiquement fragmentaire avec ses Caractères. Son morcellement n’avait rien à voir avec les maximes (bien que Boileau le surnomma « Maximilien »), arguments, grappes de pensées, portraits lus avant et ailleurs. D’Héraclite à Pascal, on ne saura jamais si la fragmentation de leurs pensées avait été conçue comme une cohérence puisque d’autres qu’eux-mêmes les ont ainsi rassemblées. Ses adversaires crurent heurter La Bruyère en lui reprochant des pièces détachées. Quignard en a retenu l’esprit de lambeaux qui ne s’interdisent pas le contraste au risque du hiatus. Dans cet indispensable traité du fragment, il comptait ses bienfaits au nombre de deux :

« L’un de ces bénéfices n’est que personnel ; l’autre est purement littéraire : le fragment permet de renouveler sans cesse 1) la posture du narrateur, 2) l’éclat bouleversant de l’attaque »

Parfois, on se surprend à chercher dans L’enfant d’Ingolstadt le rapport direct d’un fragment à celui qui lui fait cortège bien que souvent tout s’éclaire plus avant ; s’impose alors la cohérence de ce qui apparaissait comme une succession d’irréconciliables. Et après tout, cela n’épouse-t-il pas au plus près la discontinuité de l’opération de penser ? Autant de pages à traquer le faux du monde derrière lequel se dissimule « tout ce qui tombe au sein du monde humain », pleines de contes, pensées, énigmes, légendes et leçons de ténèbres des temps les plus reculés et des contrées les plus éloignées. Pascal Quignard tire le lecteur vers le haut, lui donne de l’ambition, comble son plaisir du texte, quitte à exiger de lui un effort d’attention supérieur à celui accordé au tout-venant littéraire.

« Qui connaît le visage du premier porteur de son patronyme ? »Jean Rustin (4)

Un Blondin pouvait commencer ainsi son premier roman L’Europe buissonnière « Passé huit heures du soir, les héros de roman ne courent pas les rues dans le quartier des Invalides ». Un Quignard, lui, débute ainsi le chapitre XVIII de son dernier livre : « Rares sont les héros de roman dont on peut contempler la coupe en or au musée du Louvre et dont on a conservé le poignard au musée de Darmstadt ». Mais au fond, malgré tout ce qui les sépare, ne sont-ils pas mus par un même élan et ne disent-ils pas la même chose ? La lecture d’un nouveau livre de Pascal Quignard est toujours aussi envoûtante et vertigineuse, car intacte est l’obsession de l’auteur pour les des deux scènes manquantes à notre vue : la scène primitive à l’origine de la conception qui nous a fait, la scène ultime avec les circonstances de l’effondrement, les deux privées d’image comme de témoin.  Mais paradoxalement, plus il gagne en liberté, en détachement, en distance, le creux de l’oreille plein de sons venus des temps archaïques, plus on se sent inclus dans sa famille de papier, heureux de s’y retrouver à ses côtés dans sa nuit, au plus près de son murmure et de sa quête primitive. D’autant que désormais, si le latin se laisse deviner ici ou là, il nous épargne les passages en grec qui laissaient le non-helléniste sur le carreau.

Le titre L’enfant d’Ingolstadt est tiré d’un des chapitres rapportant l’histoire d’un enfant mort contée par les frères Grimm. D’autres auraient pu tout aussi bien faire l’affaire, mais la couverture en eut été moins douce. Là gît le seul regret en refermant ce livre vibrant car habité : le bandeau qui le ceint. Une oeuvre de Chardin intitulée La gouvernante y est reproduite. Une scène de la vie domestique, gouvernante d’une bonne maison conversant avec l’enfant dont elle a la charge, si apaisée qu’elle nous emplit de sérénité. Mais loin, si loin de l’inquiétude, de l’intranquillité, du désarroi des tableaux de Jean Rustin, le peintre qui ouvre ce volume, court dans l’ombre de ses pages, le clôt, irradie les fascinants lambeaux de ce livre, alors que Chardin en est absent. Il est vrai que d’un point de vue d’éditeur, des carcasses d’humains, des êtres souffrants, des sexes béants et masturbés, des corps incarcérés, des âmes à vif, sont autrement plus dérangeants. Comme l’est l’idée qu’une grâce puisse habiter cette humanité disgraciée. Qui veut voir en couverture, et donc avoir chez soi, ce cri, cet effroi, cette douleur, cette souffrance, cette misère et la solitude qui les réunit tous ? C’est pourtant bien de cela qu’il s’agit et c’est pour cela que tant de ces pages nous hantent encore.

(« Oeuvres de Jean Rustin », « La gouvernante, 1739 » de Jean-Siméon Chardin, Tatton Park, Cheschire, UK ; « Jean Rustin en son atelier » photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

1334

commentaires

1 334 Réponses pour Pascal Quignard en lambeaux

Delaporte dit: à

Quand on a la chance, comme Clopine, d’avoir un grand-père résistant, même à la mode de Bretagne, on ne devrait pas venir sur un blog pour assouvir sa haine des « trolls » et traiter tout le monde de ce mot facile mais peu adéquat en général. Le consensus devrait au contraire se faire sur cette figure grand-paternelle, qui a tué deux Allemands, a caché leurs armes, a aidé des juifs à se sauver, etc., et finalement s’est retrouvé dans un camp. Bel exemple de combat pour la liberté à donner à la jeunesse ! Ce glorieux grand-père de Clopine est entré dans l’Histoire, c’est pourquoi il sera beaucoup pardonné à sa descendante (à la mode de Bretagne).

D. dit: à

Un certain rappeur, donc un artiste, nous livre le message suivant :

« Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents,
Écartelez-les pour passer le temps.
Divertir les enfants noirs, de tous ages, petits et grands,
Fouettez les fort, faites le franchement
Que ça pue la mort que ça pisse le sang
Pendus aux arbres dans le vide sidéral
Que ces fruits immondes procurent un spectacle fascinant
Blafards et marrants
Ôtez leur toute vie, qu’ils soient des objets sans vie dès à présent
Possédez les, mettez vos noms sur leurs testaments
Refrain: « Pendez les, Pendez-les tous, pendez les blancs ».
Pas de sentiments, qu’ils meurent tous en même temps
Donnez l’exemple, torturez devant le groupe
Ceux qui sont trop récalcitrants »
Etc…

Il s’agit à l’évidence d’un superbe message d’amour que nous devons apprécier en tant que tel.

Delaporte dit: à

La nouvelle de la semaine, et même, encore, du jour, c’est la reprise des contacts entre la Chine et le Vatican. Le pape a envoyé un sublime message, de haute élévation spirituelle, aux catholiques chinois. Voilà un peuple qui, dans le passé, avec la Révolution culturelle (chère à Badiou), a fait fausse route ; mais c’est un peuple en recherche, aux ressources innombrables, comme le faisait remarquer François, et qui mérite de devenir pleinement catholique, c’est-à-dire de disposer pour lui-même d’une religion magnifique qui réponde à ses attentes. Peut-être qu’un jour, être catholique, ce sera être chinois, et ainsi les grossiers philosophes maoïstes comme Alain Badiou n’auront plus qu’à se convertir au Christ. Voilà l’avenir !

D. dit: à

Notons que les trolls sont infiniment plus dangereux parce qu’ils ne sont pas des artistes.

Delaporte dit: à

En épousant une Chinoise, il se trouve que Houellebecq entre dans cette logique sino-religieuse. Il aurait pu simplement se faire moine ; eh bien, non, il s’exerce à davantage d’humilité encore, il se marie avec une représentante de ce peuple de l’avenir. Comme le disait Coluche, quand on mélange un oeuf, cela devient jaune. L’avenir est dans la Chine et le peuple jaune !

D. dit: à

Si la Chine n’avait pas su contrôler sa démographie par des mesures disciplinaires drastiques, elle ne serait jamais arrivée à ce niveau de développement mon Cher Delaporte. Une leçon à tirer. La Révolution culturelle n’est pas à rejeter d’un bloc, elle contient quelques projets extrêmement judicieux quoique parfois douloureux il est vrai. Et ce n’est pas un communiste qui vous parle ni même un socialiste ni même ce qui serait la lie : un social-démocrate.

Et Alii dit: à

chère judith,permettez que je vous parle c’un poète qui connaissait bien les juifs,qui était polonais et qui avait de l’oreille:Apollinaire;un de ses beaux alexandrins,peu connu est inscrit dansun calligramme ,il y dit que « son souvenir s’accroche
a la proue des polacres en méditerranée »
c’est un date dans cecalligramme où il déclare
moi aussi je suis peintre »;
je je cherche sur wiki et vous l’envoie
(notez qu’il y a aussi les polacres du Gé »vaudan)

Delaporte dit: à

Je suis sûr que dans un prochain roman, Houellebecq nous parlera et de la religion et de la Chine. Il va beaucoup apprendre de sa femme chinoise, il va se mettre à lire des livres sur la pensée chinoise, et le philosophe sinologue, que j’aime beaucoup personnellement, François Jullien… et qui est lui-même catholique et marié à une Chinoise. L’élite de la France est tournée vers la France, et suit le message fondamental du Vatican. Internautes de la Rdl, vous savez ce qui vous reste à faire !!!

Delaporte dit: à

« La Révolution culturelle n’est pas à rejeter d’un bloc »

Je suis bien d’accord avec vous, mon cher D. Ce n’est pas à un flagrant admirateur d’une Ulrike Meinhof que vous devez dire ça !

Delaporte dit: à

Corriger :

« L’élite de la France est tournée vers la Chine… »

D. dit: à

Encore, Delaporte, qu’il faille à mon sens distinguer les FFI des FTP qui ne servaient pas du tout la même cause. Si la France souveraine et chrétienne était le projet des FFI, celui des FTP était l’amalgame avec les soviétiques. À leur de décharge, la relative inculture de nombre d’entre eux faisait qu’ils ne se rendaient pas compte qu’ils étaient manipulés au plus haut niveau par un ennemi secondaire.
Je ne sais pas ce qu’il en était du parent de Clopine.

D. dit: à

Le parquet de Paris a annoncé mercredi dans l’après-midi l’ouverture d’une enquête pour « provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit ».
L’auteur de ces paroles n’a pas été interpellé et incarcéré préventivement. Le gouvernement contrôlant le bon fonctionnement du ministère public en a donc depuis hier l’entière responsabilité devant le peuple français.
Liberté Égalité Fraternité !

Pablo75 dit: à

@ Petit Rappel

« « Vinteuil existe je l’ai rencontré? »
Quant au succès…Proust est là-dessus pour le moins ambivalent.
On attend avec impatience l’enregistrement de référence ! »

Tu insinues quoi?

« Le salon Verdurin passait pour un Temple de la Musique. C’était là, assurait-on, que Vinteuil avait trouvé inspiration, encouragement. Or si la Sonate de Vinteuil restait entièrement incomprise et à peu près inconnue, son nom, prononcé comme celui du plus grand musicien contemporain, exerçait un prestige extraordinaire. » (Sodome et Gomorrhe)

Je te signale que j’ai parlé ici il y a quelques années de la théorie de J.-D. Jumeau-Lafond, selon laquelle c’est la sonate pour piano et violon (dans cet ordre) de Lekeu qui aurait pu inspirer Proust, parce c’est la seule qui n’est pas pour violon et piano (dans cet ordre). Or Proust écrit: « Mais maintenant il pouvait demander le nom de son inconnue (on lui dit que c’était l’andante de la sonate pour piano et violon de Vinteuil)… »

Guillaume Lekeu – Sonate pour piano et violon en sol majeur (1892 )
Christian Ferras & Pierre Barbizet
https://www.youtube.com/watch?v=nP7FVS3YA9E

Pablo75 dit: à

« Plus fort que moi, ce n’est pas tant eux, eux en tant que tels, que ce qu’ils incarnent, je sais bien que la culture n’immunise pas de la bêtise et de la brutalité qui l’accompagne, pourtant je n’y arrive pas, voir Mozart cohabiter à ce point avec la brutalité je n’arrive pas à’y faire… »

Pauvre chou !

Pablo75 dit: à

Le texte antérieur est de Hamlet le Cynique Absolu.

DHH dit: à

@Jazzi 14 h 18
cette indifférence chargée de mepris à l’egard d’un monde ashkenaz ,en fait ignoré, était le propre d’une catégorie particulière de séfarades ,les juifs d’Afrique du nord ,qui ne les connaissaient pas et dont la cécité était totale en ce qui concerne les autres mondes juifs et leur culture et même leur vocabulaire.
En revanche le vrai monde ashkenaz ,celui qu’ils ignoraient, univers de haute culture ne pouvait qu’éprouver un certain sentiment de supériorité par rapport à cette catégorie de séfarade quand il l’ont côtoyée à la faveur de l’arrivée en France des juifs d’Afrique du Nord après la décolonisation .
le gap a été encore plus profond en Israël ou ceux qui y ont émigré des juifs décolonisés appartenaient à un lumpenproletariat souvent analphabète et exclusivement arabophone
tout ceci pour dire que s’il y avait un certain mépris condescendant des deux côtés, ces mépris n’étaient pas symétriques

Delaporte dit: à

« Je ne sais pas ce qu’il en était du parent de Clopine. »

Clopine nous a dit que son grand-père résistant n’était ni communiste ni chrétien. Il était sans doute, toujours d’après elle, libertaire. Il faudrait qu’elle nous en parle davantage, mais elle est pleine de réserve à son propos… Dommage.

DHH dit: à

@ et alii
merci
jolis silhouettes de juifs aussi dans les pages rhénanes d’alcool

Clopine dit: à

Delaporte, votre persiflage à propos du grand’père de Clopin commence à m’agacer, soupir. Si vous étiez quelqu’un d’autre, je pourrais vous proposer, afin de lever les doutes qui, à mon sens, vous poussent dans cette voie de persiflage, (histoire de m’embarrasser ? Ah là là !!!), de me communiquer votre adresse mail via celle-ci : clopinetrouillefou@gmail.com.

Là, je pourrais demander à Clopin, (pour peu qu’il ait du temps à perdre avec de tels enfantillages) de vous communiquer tous les documents en sa possession…

Et je vous rappelle que, d’une, je n’ai parlé de cet arrière grand’père de mon Clopinou qu’à partir d’une discussion autour des propos d’Ariane Mouchkine, propos que j’approuve sans aucune réserve, avec un enthousiasme qu’on m’a évidemment reproché, en même temps qu’on m’accusait d’illégitimité pour avoir une opinion « puisque je n’étais pas personnellement concernée » (par les atrocités de la seconde guerre mondiale).

Que, de deux, je ne souhaite pas m’étendre plus sur le sujet. Comme vous me le serinez depuis, c’est un parent « à la mode de Bretagne », pour moi, ce grand’père par alliance. J’ai des scrupules, moi qui ne l’ai pas connu sinon par les récits de son épouse et de son petit-fils, à le ramener ici, dans cet endroit plein de malveillance, sous la lumière. Qu’il repose donc en paix, mais si, pour que vous me la fichiez, il vous faut des « preuves » de ce que j’avance, alors, acceptez mon marché, et demandez donc à Clopin les documents qui sont en sa possession (notamment les extraits de livres retraçant la résistance dans les Pyrénées)…

Et si le but est simplement de croire me faire « enrager » en parlant de cette malheureuse allusion que j’ai pu faire l’autre jour à ce sujet, eh bien, vous avez à la fois raison et tort. Raison parce que cela commence à m’irriter, et tort parce que je vais adopter la seule position qui tienne ici : me fiche complètement de ce que vous pouvez bien penser de moi.

Phil dit: à

quand dhh joue du Klavier, les phrases respirent le pilpoul tandis que d’autres doivent se contenter de pingpong. me souviens d’une notule du prestigieux passou sur Lévi-Strauss qui professait un aimable mépris pour les juifs arrivés en France après le 17ième siècle (16 pour l’arrondissement).

christiane dit: à

@Janssen J-J dit: 27 septembre 2018 à 14 h 04 min

« Pourriez-vous me donner le lien de chesnel sur powers (l’arbre-monde), ch., »
Sur le blog , il le cite et en parle brièvement :
Jacques Chesnel dit :
26 septembre 2018 à 18:37
1)Paul, demande à cette libraire ce qu’elle pense du dernier opus de Richard Powers « L’Arbre-Monde », roman sur la relation entre la Nature et notre culture et sur la communication entre les arbres… je viens de le terminer, enthousiasmé
2) 27 septembre 2018 à 10:19
à P. comme Paris : il me semble que le livre de Powers se rapproche plus des recherches de Stefano Mancuso sur « les racines de l’intelligence végétale » que de la science-fiction décrite par Simmons
3)Il a très longtemps, Jacky, que je m’intéresse aux arbres, mais dans leurs livres Powers et Mancuso expriment mieux que moi ce qu’on ressent à leur vue ou à leur contact… entoure un arbre de bras et laisse-toi aller à cette expérience unique… et lis le roman de Powers que Christiane est en train de lire. (…)Jacky, j’aime cette énoncé de Rabindranath Tagore :
« Les arbres sont l’effort incessant de la terre pour s’adresser au ciel qui écoute »

Le reste, c’était hors blog.

« Une fois de plus, je vous conseille « trois fermiers s’en vont au bal » (un roman splendide, du même… sur un célèbre photographe américain) »

Bien d’accord, JJ. Je l’ai lu suite à un billet magnifique de Passou sur l’ancienne RDL.
Je n’ai retrouvé que le dernier billet sur Richard Powers (19/03/2013):
http://larepubliquedeslivres.com/richard-powers/

renato dit: à

Dommage, après 12 années de bon travail, ma Conseillère fédérale préférée a donné ses démissions.

Phil dit: à

elle s’occupait de votre déclaration fiscale, dear Renato ?

Patrice Charoulet dit: à

ALEXIS PHILONENKO EST MORT

Alexis Philonenko est mort à Paris le 12 septembre, m’apprend une nécro, signée d’un universitaire, dans « Le Monde » du jeudi 27 septembre. Dans cet article, je lis que George Steiner a écrit qu’ Alexis Philoneenko était « l’une des intelligences les plus astringentes d’Europe ». On ne saurait mieux dire. Il est rappelé qu’il fut reçu premier à l’agrégation de philosophie en 1956 . On rappelle quelques-une de ses livres. J’ajoute qu’il a publié plus de cent livres de philosophie, qui font autorité.
Etudiant à l’Université de Caen dans les années 6O, je souhaitais decenir professeur de français. Ce que je suis devenu. Féru de graphologie, passant , par hasard, dans un couloir du secteur philo, je jetai un œil sur un tableau mural. Une lettre manuscritte retint mon attention. Je fus enthousiasmé par l’écriture de quelqu’un. Je me dis : Quel est l’homme qui a ces qualités-là ? La réponse fut :
Alexis Philonenko. Je voulus vérifier mon impression. J’ai assisté à un cours de ce professeur, d’une matière qui n’était pas la mienne alors. « Mon philosophe » n’était que Nietzsche, en ces temps loin-tains.Je ne fus pas déçu.Je n’ai pas assisté à un cours, j’ai assisté à tous ses cours d agrégation …pendant trois ans, par plaisir.
Cet immense historien de la philosophie n’est passé ni chez Ardisson, ni chez Ruquier, ni chez Mme Ardisson, ni nulle part.
Dans le même temps un petit étudiant en philosophie, qui n’aurait jamais pu devenir agrégé, ni premier ni dernier, pour diverses raisons que je connais, fut maître auxiliaire dans un lycée technique, publia un petit livre, puis cent. Il fut invité chez Ardisson , Ruquier et partout. Il devint le philosophe le plus vendu en France, dépassant en succès de librairie, de très loin, BHL, et Luc Ferry. Son nom ? Michel Onfray.
Je vénère Alexis Philonenko. Onfray est célèbre, comme Halliday, Hapsatou, Ruquier, Drucker,
Hollande ,Hulot et Cohn-Bendit.
Philonenko et Onfray ne sont vraiment au même étage.

Passou dit: à

« @ hamlet :  » le pacte de l’Alhambra qui ordonnait la conversion ou l expulsion des juifs, rédigé en 1460 a éte aboli en…. 1967 «
`Non Hamlet, cette info wikipédia est fausse. Elle se réfère à une décision d’un sous-secrétaire d’Etat du temps de Franco qui avait accordé une dérogation à un séfarade qui voulait la nationalité. Vérifiez : non pas « abrogar » mais « derogar ». Quand on fait exception à une loi, c’est bien qu’elle existe. Ce qu’un roi a fait, seul un roi peut le défaire.

Passou dit: à

Jazzi, Pas encore vu « Un peuple et son roi ». Mais la violence de la critique de Libération me donne envie de m’y précipiter.

Delaporte dit: à

Clopine dit: 27 septembre 2018 à 17 h 39 min

Je suis tout simplement atterré par votre manière de me répondre de manière belliqueuse, alors que mon commentaire était évidemment bienveillant. Vous avez un fichu caractère, Clopine. Toute tentative de dialogue vous hérisse… Vous me faites penser à ce hérisson qui s’était, il y a bien des années, introduit dans notre jardin, qui avait effrayé le chien, et qu’on a eu le plus grand mal à remettre dans la nature. Car comment prendre un hérisson ?

Delaporte dit: à

« Un peuple et son roi » : faut-il y aller, malgré le dénigrement de Libération, entre autres ? :

« Mais le récit du film, sa construction même, semblent contraints par la volonté de bien faire de Schoeller, qui semble tétanisé à l’idée de déployer l’histoire en une fiction qui pourrait faire voler en éclats la vérité au cœur de ses subtilités. Où fabriquer sa fiction précisément, puisqu’on est au cinéma, et en principe supposé porter cette matière au-delà de l’enchaînement de chromos pédagos, d’une story Instagram dispendieuse, d’une bande-annonce à rallonge pour une série de télévision ? »

hamlet dit: à

Jazzi, savoir (connaitre) sans comprendre ce que l’on sait.
Là encore il faut lire Thomas Mann.

Nous connaissons les cantates de Bach, nous avons l’impression de comprendre ce qu’elles disent, si on les fait écouter à un individu vivant au fin fond du monde, n’ayant jamais écouté ce genre de musique, il aura l’impression de la comprendre.

Est ce vraiment le cas ?

pablo connait tout Mozart, il peut nous refiler toutes les interprétations avec leur lien yt, mais a-t-il compris cette musique.

Qu en a t il compris pour dire je vais en parler dans ce lieu que j ai transformé en ring de boxe ?

Qu aurait-il fallu en comprendre pour ne pas avoir la volonté de transformer le monde en ring de boxe.

Pour ma part je suis certain que celui qui comprendrait cette mysique ne voudrait que le monde ressemble à un ring de boxe.

cette musique nous indique un aitre chemin, un chemin qui nous éloigne des rings de boxe pour nous rapprocher de notre humanité, j ‘en ai l’intime conviction, et même si je suis le seul à le penser je sais que j’ai raison.

hamlet dit: à

@passou, elle a été modifiée, atténuée, mais jamais entièrement abolie, jusqu’au concile de vatican2.

hamlet dit: à

@passou, je retrouve cette même info sur les sites en espagnol (pas wiki).
Quelle est la date d’abrogation ? 1864?

Ma foi Si vous avez un lien ou une source sure je suis preneur.

de nota dit: à

Aunque hacía tiempo que existía una comunidad judía en España, el decreto no se revocó hasta el franquismo (por la Ley de 2 de febrero de 1939​); el 16 de diciembre de 1968 el gobierno del general Francisco Franco declaró el Edicto abolido​ y formalmente fue derogado el 21 de diciembre de 1969.​

Trouvé sur le site enlacejudio.

christiane dit: à

Jazzi -13h45
Mais bien sûr que DHH et Lavande ont lu l’infâme commentaire de Clopine du 25 septembre 2018 à 21 h 01 min, mais elles n’ont pas eu envie de lui dire ce qu’elles en pensent, ici. Ce serait désavouer leur protégée… Laisse tomber ! et merci, toi, de l’avoir fait.
Pour moi, elle est pire que LVDB car dès qu’elle est remise en place par l’un de vous, elle joue l’innocente qui regrette ce qu’elle a dit, puis la victime de trolls imaginaire, ou la vieillesse qui la rend incapable de se mesurer ou je ne sais trop quelle invention pour minimiser la noirceur de ses propos. LVDB, elle , assumait sa férocité. Clopine est bien de la même boue que Chaloux et Pablo. Pauvre RDL ! Mais ils savent être, tous les trois, obséquieux vis à vis de Passou quand ils ne se sentent pas très à l’aise…
Quant à Paul Edel, aucune reconnaissance attendue, surtout depuis ce mensonge où il m’a accusée d’avoir révélé en 2015 son nom, ici ! Je n’interviens plus sur son blog mais je lis ses billets de qualité et les commentaires de gens que j’apprécie et qui écrivent chez lui. Par ailleurs, je ne laisserai pas, sans réagir, dire que ses romans sont nuls, que Pablo ne paierait même pas un euro pour en acheter un, que Chaloux les feuillette et que ça lui suffit pour dire qu’ils ne valent rien. Son écriture est de qualité et je ne suis pas la seule à le penser et ces deux-là sont incapables d’étayer leur jugement.
Bonne soirée et merci pour ton courage.

Jazzi dit: à

Votre ami du Masque et la Plume crie au chef-d’oeuvre, les Cahiers du Cinéma disent que c’est une suite de clichées. ça mériterait un billet, Passou. J’aurais des choses à dire…

Jazzi dit: à

Vos avez planqué votre fortune dans une banque Suisse, renato ?

Jazzi dit: à

Tu es une parfaite archiviste, Christiane. Bravo !

Chaloux dit: à

Leur arme c’est la terreur.

Allons, allons, bien sûr que Paimpopol ne peut pas être aussi mauvais que ça, il a son genre, qui peut convenir à certains, moins à d’autres, quelle importance.
Terreur:
Tout ce qui est exagéré est insignifiant.

Clopine, si vous en avez l’envie, ce serait bien que vous continuiez votre lecture commentée. Je suis en train de le lire aussi.

Jazzi dit: à

Merci DHH pour vos explications très claires sur une subtilité complexe du fait d’être Juif ! Y a-t-il des mariages mixtes ashkénazes-séfarades ?

Janssen J-J dit: à

(Surprenants chassés-croisés de jeudi)

sur sa propre chaîne, pauledel dit : 27 septembre 2018 à 12:10 « ce qui fascine dans ce qui se passe sur la RDL, c’est que les deux violents corbeaux s’adressent régulièrement à Assouline sur un ton obséquieux. On constate à la fois l’infamie, la volonté d’humilier les commentateurs et l’obséquiosité à l’égard du taulier.. et ça marche ».

Je me demande s’il n’aurait pu ajouter à la liste des 2 violents corbeaux (ou des 2 zigotos, des 2 cogneurs, des 2 Gaspacho et Naphtaline (sic))…, la célèbre femme de Normandie pour en faire un trio infernal.
@ Ch. // Je viens de comprendre d’où vous aviez exhumé Chesnel, cet internaute n’ayant apparemment pas de blog, contrairement à ce que j’avais cru comprendre, il faut dire que ne n’avais n’avais jamais lu les commentaires de près ni de loin, s’agissant du sartisme. Ce que je viens de m’employer à faire, et constaté, stupéfait, que même passoul y postait. Incroyab’. Les liens tissés entre les deux chaines sont beaucoup plus ténus que je le pensais, je comprends mieux la petitesse de ce monde.
Cela dit, car ce n’était pas mon objet, il a de bonnes lectures ce Chesnel (de bdx ?), qui ne dit toutefois pas grand chose de « l’arbre-monde », alros qu’il vous en impute la lecture. Je lui signale que vous perdez votre temps, ce me semble, comme votre ennemie et rivale intime, à quignardiser de la sorte. Vous avez au moins le mérite commun d’une bonne assuétude au passoulinisme, sous une obscure mais obstinée quête de leadership moral féminin, non ?
Ce que j’en tire pour ma gouverne : pour s’imposer, la férocité compétitive est partout y compris au delà des genres, ce qui est somme toute assez rassurant pour inciter C B à demander un visa pour venir s’établir au pays de la grande litté-ratures 😉

Jazzi dit: à

Houellebecq serait passé de la soumission à Allah à la soumission à Confucius, Delaporte ?

D. dit: à

La soumission à Confucius.
N’importe quoi pourvu que ça mousse et que ça déborde pas. Confucius est l’anti-soumission-même.

D. dit: à

Trouvé sur le site enlacejudotapis.

Oui enfin moi j’ai rien compris.

D. dit: à

ça y est, l’omlette nous fait une passouïte

renato dit: à

C’est le seul Pays où je vote, Jacques.

Cela dit, on peut investir en Suisse et payer ses impôts dans le pays de résidence, mais les vieux préjugés restent incrustés dans la pensée des Européens de l’UE.

D. dit: à

la violence de la critique de Libération

plutôt bon signe

Bételgeuse dit: à

D, est ce que la pensée de Confucius n’a pas eu pour effet que chacun s’accommode de sa condition, la plus humble fut elle? Et ainsi ne pas mettre en péril les tenants du pouvoir politique ?

D. dit: à

Comment qualifier les juifs d’Égypte (Alexandrie par exemple) ?

Bételgeuse dit: à

Séfarades?

Phil dit: à

Bételgeuse, ne pensez-vous pas à Caliméro ? Houellebecq est équipé pour avaler des nouilles chinoises.

DHH dit: à

@Jazzi 20 h 04
oui du moins en France ces mariages sont fréquents; ils résultent statistiquement des hasards des rencontres et ne suscitent jamais de reticence familiale ou autre liée a cette différence d’origine lointaine ;comme sont fréquents d’ailleurs et bien acceptés et entrés dans les mœurs les mariages mixtes entre juifs et chrétiens

D. dit: à

Bételgeuse dit: 27 septembre 2018 à 20 h 35 min

D, est ce que la pensée de Confucius n’a pas eu pour effet que chacun s’accommode de sa condition, la plus humble fut elle? Et ainsi ne pas mettre en péril les tenants du pouvoir politique ?

Je n’ai franchement pas compris la question.
Pourriez-vous reformuler s’il vous plait ?

Chaloux dit: à

@Pablo. D’après le dictionnaire Proust, c’est en 1913, après avoir entendu la sonate pour violon et piano de Franck, que Proust, sur les épreuves de son livre (donc très tard), décide de fusionner deux personnages, Vington, un naturaliste et le compositeur Berget. Franck semble avoir été un homme timide, dominé par sa famille, et c’est le contraste entre son personnage et la musique qui révélait un tout autre homme, plus désespéré et plus violent (je fais de la reformulation, ça va plus vite) qui décide Proust à cette création-fusion.
Et ceci « Proust se mettait dans l’obligation de lui inventer une œuvre posthume qui révèlerait son génie méconnu ».
Quoique considéré comme un compositeur d’avant garde (dont les dissonances dérangent certains membres du petit clan comme les Cottard), il n’est donc avant sa mort pas considéré comme un génie.
« Vieille bête dans la vie et génie à l’insu de tous, se plaisait à répéter Proust pendant l’automne 1913″.

Vinteuil -d’abord Vindeuil- meurt donc bien, s’il est considéré comme d’avant-garde, en génie méconnu, qui ne sera révélé à la longue que par sa fille mettant ses papiers en ordre.

Voici donc ce qui m’intéresse / dans des journaux d’écrivains, dans des correspondances, dans des mémoires : l’image de personnages littéraires ayant connu une certaine notoriété, l’ayant perdue ou n’y ayant jamais accédé. C’est le regard du mémorialiste, de l’épistolier sur le personnage déchu ou demeuré dans l’ombre qui m’intéresse et non une liste de noms.
D’où ma référence à Vinteuil.

D. dit: à

Bételgeuse dit: 27 septembre 2018 à 20 h 38 min

Séfarades?

Eh ben je suis pas sur du tout.

Jean Langoncet dit: à

« Humble dans l’humble fortune, je serai grand dans la grande. Mon coeur honorera toujours le présent et le servira de son mieux. »
Théognis ?
Cela ne me semble impliquer aucune soumission

Jean Langoncet dit: à

Du courage ?

Bételgeuse dit: à

Les katoikois?

Bételgeuse dit: à

Jean, pour moi cela signifie qu’il faut sans se révolter accepter sa condition qu’elle qu’elle soit et servir quand elle y mène, honorer son propre statut , l’accepter comme une charge,un devoir sans chercher dans le passé ou le futur sa raison d’être.

Jean Langoncet dit: à

Pourquoi pas les barbares de l’intérieur pendant que vous y êtes ?
Certainement pas, à moins que vous évoquiez ces colonnes

Bételgeuse dit: à

Quelle qu’elle

Bételgeuse dit: à

Ce sont ceux qui ont un statut de résident.

Jean Langoncet dit: à

Plus généralement ceux qui ne sont pas des « ressortissants »

Chaloux dit: à

« (Il se murmure que cette ombre s’appelle Chaloux, c’est dire) »

Quant à la petite blague de PR, je la trouve un peu… courte. Humour de séminariste. J’en ai connu quelques uns.

Bételgeuse dit: à

Ah bien voilà l’explication du psychisme du petaradant Pp au blog, c’est un homme timide qui ne se manifeste silencieusement qu’en écrivant ici. La guitare, Pablo, vous en jouez toujours? J’espère que oui.

Chaloux dit: à

Phil dit: 27 septembre 2018 à 20 h 38 min

Phil, il faudrait tout de même que Wellbec s’équipe d’un machoir de poche. Finir étouffé par une nouille chinoise serait un peu mesquin pour un si grand homme.

Jean Langoncet dit: à

Fantomatiques

DHH dit: à

@ Jazzi @Christiane
je n’avais pas lu ce post de clopine ; je le découvre.
mais quoi que j’en pense je considère que je n’ai rien à en dire. ma conception de ce que sont les échanges entre personnes virtuelles sur un blog excluant tout registre d’ordre affectif ou passionnel , je ne saurais m’immiscer dans ce qui relève du crêpage de chignon, dont ce post est une des peripeties, et dont je considere qu’il n’a pas à se déployer dans l’espace « commentaires »

Jazzi dit: à

« C’est le regard du mémorialiste, de l’épistolier sur le personnage déchu ou demeuré dans l’ombre qui m’intéresse »

Comma autant de diagnostics de ton cas personnel d’écrivain méconnu, Chaloux ?

Lavande dit: à

Oui Christiane, j’ai lu le commentaire de Clopine.
Non Christiane, Clopine n’est pas ma protégée (Elle n’en a d’ailleurs pas besoin du tout!).
Oui je trouve son commentaire très désobligeant et méchant.

MAIS je me refuse à rentrer dans ce jeu débile de clans et d’influences.
(Clopine me l’a d’ailleurs reproché). Je n’ai pas la moindre envie de faire des recherches dans les archives de la RDL pour savoir qui a dit quoi, qui est le plus insultant, le plus grossier, qui a commencé les hostilités. Chacun ici est assez grand pour se défendre et ces polémiques sont vraiment exaspérantes.
Il y a souvent des extrapolations ou des mauvaises interprétations de bouts de phrases qui engendrent des réactions disproportionnées et ridicules. Parfois c’est une remarque humoristique qui est prise au premier degré et déclenche des protestations « vertueuses ». Quand je vois l’énergie et le temps que certains passent à ce genre d’âneries je suis stupéfaite : n’ont-ils vraiment rien de plus intelligent à faire dans la vie ?
Je pourrais dire pratiquement pour chacun des intervenants ici que parfois ce qu’il écrit m’intéresse, m’enrichit, voire me passionne, parfois ça m’agace, m’ennuie, m’exaspère, me scandalise…Mais en fait c’est bien pour cela que je viens ici.

rose dit: à

Voici donc ce qui m’intéresse / dans des journaux d’écrivains, dans des correspondances, dans des mémoires : l’image de personnages littéraires ayant connu une certaine notoriété, l’ayant perdue ou n’y ayant jamais accédé. C’est le regard du mémorialiste, de l’épistolier sur le personnage déchu ou demeuré dans l’ombre qui m’intéresse et non une liste de noms.
D’où ma référence à Vinteuil.

suis franchement désolée de l’obstinatión que je manifesté, mais je ne comprends pas pkoi (mais est-ce bien nécessaire ?)

Jean Langoncet dit: à

Le Phil de l’ eraignée ?

Bételgeuse dit: à

Phil, C’est de l’humour ou vous moquez vous de mes fibrilles culturelles qui sont insuffisantes à construire un nid où je pourrais comme tout un chacun ici lustrer mes plumes, aerer mes duvets et produire quelques trilles erudites autant qu’enchantetesses quand elles ne seraient pas carrément envoûtantes voire ensorcelantes?

Petit Rappel dit: à

Guillaume Lekeu est mort bien jeune, et je ne crois pas à cette piste. D’autant que pour Vinteuil, alternent les mots Sonate et Septuor. Il n’y en a pas chez Lekeu.
En fait, il n’y a rien que cette éternelle sonate…
Proust, dans sa Correspondance, parle de Saint-Saëns, « musicien qu’il n’aime pas ». Que cela se complique ensuite d’autres références, dont Franck, c’est possible. C’est arrivé pour Elstir ou collisionnent Monet et Whistler. Mais enfin, de l’avis de l’auteur plutôt que de ses exégètes, c’est du coté de Saint-Saens qu’il faut regarder. Proust, qui n’est pas à une contradiction près a aussi écrit que c’était « l’homme qui avait donné la plus belle symphonie depuis Beethoven »…
Christiane
Grace aux fascinants échanges marchéaupuciers ChabloPaloux reproduits sur ce blog, nous savons que Pablo n’achète rien en dessous de trois euros.
Avec un euro, Paul Edel s’en tire donc assez bien.
Bien à vous.
MC

Bételgeuse dit: à

Qui a vu qui nous vient de ces contrées barbares et orientales, Burning?

P. comme Paris dit: à

« DHH dit: 27 septembre 2018 à 14 h 08 min »,

Et malheureusement,
ce furent ces polacks là,
qui vous crient, encore maintenant,
à vous méditerranéens,
« Pourquoi nous ?… « .

Lavande dit: à

C’est amusant, DHH a répondu à peu près en même temps que moi pour dire à peu près la même chose.

Sinon, DHH – 8h38: il existe des mariages juif – chrétien, je suis bien placée pour confirmer !

Jazzi dit: à

L’amitié ne commande t-elle pas de faire connaitre notre point de vue aux intéressées, DHH et Lavande. rose, elle n’avait pas manquer de nous le faire savoir. De façon précise et circonstanciée…

Lavande dit: à

erratum DHH 20h38 !

Bételgeuse dit: à

Y’a aussi des cas où pas de mariage du tout, je suis également bien placée pour en vanter les avantages et déplorer les inconvénients.

Jean Langoncet dit: à

@il existe des mariages juif – chrétien, je suis bien placée pour confirmer !

En cas de pépin, que seraient-ils s’il n’étaient pas civils ?

Jazzi dit: à

(Si j’osais, DHH, je vous demanderais bien si vous-même avait contracté un mariage mixte ou orthodoxe…)

Jean Langoncet dit: à

s’il > s’ils

Chaloux dit: à

Je penche, comme le docte et petit rappel pour le Quintette de Saint-Saens qui est une œuvre tout à fait extraordinaire.

Jean Langoncet dit: à

Bref, même Jazzi peut avoir un pépin

Chaloux dit: à

Rose, parce que je m’intéresse à l’oubli.

Lavande dit: à

Jean Langoncet: uniquement civil en l’occurence.

P. comme Paris dit: à

« Rappellons à notre analphabète que « savoir » signifie, selon le TLF « appréhender par l’esprit, avoir la connaissance complète de ».
Sans commentaires. ».

Qu’un roussin m’appréhende,
j’en appréhende les conséquences.

Jean Langoncet dit: à

Vous avez raisins, Lavande

Jazzi dit: à

Ton intérêt pour l’oubli a le goût amer du tombeau, Chaloux !

Jazzi dit: à

Lavande est capable d’avoir les raisins de la colère, Jean Langoncet !

Jean Langoncet dit: à

On ne suspend qu’à grand peine l’évolution du génie génétique et pourquoi s’y opposer, après tout ? On fabrique des raisins sans pépins (?) et nos problèmes disparaissent avec eux : les pépins n’existent pas en couple

Jean Langoncet dit: à

Comment le divorce est-il envisagé dans les trois grandes religions dites du livres ?

rose dit: à

vous avez raisins Lavande

comme Pépin le Bref ?

Jean Langoncet dit: à

Sur un plan divin, cela va de soi ; car sur la plan civil, chacun et tous connaissent la réponse – ça permet de rapprocher les « hommes de bonne volonté » … Quant à ceux de peu de foi

rose dit: à

épitaphe, et puis par

A vécu comme un prince
Et crevé comme un chien

rose dit: à

épitaphe et puis paf.

dans la mienne, il y aura rose.

P. comme Paris dit: à

« Phil dit: 27 septembre 2018 à 17 h 48 min »

Yo Phil, je vais ressortir le « Tribunal de Shangaï ».

Jean Langoncet dit: à

Les modos se sont emparés de mon clavier ; je n’ai pas la prétention de rivaliser avec les très honorables DHH et Paul Edel, ni avec la toute fraîche venue au club des victimes des correcteurs automatiques, aussi je vous souhaite de passer une belle soirée entre vous
https://www.youtube.com/watch?v=ARtqAgaPML8

rose dit: à

chaloux à 21h40.
ah.
Je vais relire .
moi je m’intéresse au pardon
(à ce sujet,pardon pck je vous en ai fait un flan
, yom kippour du bla bla ; le pardon, cela ne marche pas).

Clopine dit: à

S’il existe une différence entre Christiane et moi, c’est que je n’invente pas des mots qu’elle aurait écrits (« description de fellation ! ») , ni ne donne d’invraisemblables motivations (« me faire passer pour Emmanuelle Béart ! ») à la mise en ligne bien innocente pourtant d’une photo célébrissime.

Et là, c’est vrai que j’ai de la rancune, je l’avoue. Mais si l’on se met deux secondes à ma place, sans doute peut-on comprendre que de telles affirmations me soient parfaitement insupportables : imaginez que l’on vous en fasse autant…

P. comme Paris dit: à

« Car comment prendre un hérisson ? »,

On les mange, crétin.
En robe d’argile avec des pommes de terre en robe des champs, et un noisette de beurre du pays de Bray.

Delaporte dit: à

« Houellebecq serait passé de la soumission à Allah à la soumission à Confucius, Delaporte ? »

C’est de l’humour noir, Jacuzzi ?

Ed dit: à

J’ai une question collective : qui n’est PAS à la retraite parmi vous ?

Chaloux dit: à

Moi.

Chaloux dit: à

Ed, mon chaton, tu tapes dans le mille.

Bételgeuse dit: à

Moi non plus, ce qui de plus reste un problème. J’ai mal aux pieds.

Bételgeuse dit: à

Clopine, décrire une fellation sans en faire une laideur pornographique n’a pas encore été réalisé, ce serait une prouesse littéraire ou poétique. Quelqu ‘un possède-t-il dans son catalogue un, des auteurs qui s’y sont essayé avec brio, talent, génie?

Bételgeuse dit: à

Elle saisit doucement son sexe dans sa main douce et tiède.

Ed dit: à

@Chaloux

@renato

Et comment gagnez-vous votre vie ? Quelle est votre profession ?

renato dit: à

La question serait plutôt : Qui a pris sa retraite ?

Delaporte dit: à

« J’ai une question collective : qui n’est PAS à la retraite parmi vous ? »

Vous aussi, ma chère Ed, plutôt qu’une petite chatte, vous êtes un hérisson, comme Clopine. Vous en prenez la voie. Regardez ce qu’est Clopine aujourd’hui : c’est ce que vous serez dans trente ans. Ce n’est pas une critique, sauf si vous n’avez de grand-père à la mode de Bretagne qui se soit distingué dans la résistance (y compris la résistance au capitalisme).

rose dit: à

écroulée de rire
Delaporte à 16h40
Je constate
1/ que les chinoises sont prêtes à de très gros sacrifices (moi pas)
2/ que wellbec n’a pas emprunté la voie monacal

morte de rire (décidément) à lire
« internautes, vous avez ce qu’il vous reste à faire ».
Et je demanderai à C. comment il a fait pour comprendre si vite qu’ en Chine il n’y a que l’exploitation qui compte et au premier chef, celle de l’homme par la femme ( au second, celle de la laque par le canard).

christiane dit: à

@Clopine dit: 27 septembre 2018 à 22 h 12 min
Mais je n’ai rien inventé. Les deux scènes étaient sur votre ancien blog et vous avez eu tellement honte que vous les avez supprimées.

Delaporte dit: à

Lors de l’instauration de la fin légale du travail, nous serons tous à la retraite. Nous serons tous heureux et de bonne humeur, même Clopine, même Ed. Ce sera le paradis…

Clopine dit: à

Bételgeuse, sur Facebook, il existe un certain « Eric Celoin » (son pseudo entier fut un certain temps « l’âme Eric Celoin », ahahah) qui s’essaie avec honnêteté et un certain talent, ou plutôt un talent certain, à ce genre de littérature.

Mais même lui me met parois mal à l’aise, malgré sa délicatesse et sa vraie recherche de sincérité. C’est dire.

Je suis bien d’accord avec vous : c’est une telle gageure que perso, je ne m’y risquerai jamais – à cause aussi de la vulgarité qui règne à ce sujet dans le cerveau de certains lecteurs… ou lectrice, si vous suivez mon regard !!!

Ed dit: à

renato et Chaloux ne me répondront pas.

Chaloux dit: à

Tokup mon chou.

rose dit: à

je vous ai relu chaloux

pauvre Wellbeck

etc.

salut à tous

christiane dit: à

Et voilà, la VICTIME qui pleurniche ! Oh l’hypocrite !!!
« Et là, c’est vrai que j’ai de la rancune, je l’avoue. Mais si l’on se met deux secondes à ma place, sans doute peut-on comprendre que de telles affirmations me soient parfaitement insupportables : imaginez que l’on vous en fasse autant… »
Mais votre haine a commencé bien avant, dès que je suis apparue sur ce blog en 2008. C’est une immense jalousie qui vous a porté à me dénigrer. Comment ? La reine Clopine n’était plus la reine. Pire que dans blanche-neige… Ah, non, je ne vous plains pas. Vous me donner envie de vomir. Allez aux diables. Il y en a deux qui vous adulent. Profitez-en.

renato dit: à

« Et comment gagnez-vous votre vie ? Quelle est votre profession ? »

2 questions récurrentes. Voulez-vous savoir la taille de mes chemises aussi ?

Ed dit: à

Pendant un temps, je croyais que WGG était le seul à ne pas être à la retraite.

Et je ne critique pas. Je veux juste savoir, sinon la fréquence des commentaires est inexplicable.

Delaporte dit: à

écroulée de rire
Delaporte à 16h40
________________

Je suis parfaitement sérieux.
Aujourd’hui, j’ai commandé sur Amazon plusieurs livres, dont un sur la religieux catholique de François Jullien, une conférence.
J’ai aussi regardé si on trouvait l’abrégé des évangiles de Tolstoï, qu’aimait tant Wittgenstein, et que j’avais déjà cherché en vain. Pablo me disait que ce livre était disponible, eh bien, non. Donc, mauvaise pioche, Pablo.
Quant à vous, mon cher Jacuzzi, potassez un peu la pensée chinoise. Vous verrez que ce n’est pas si débile que ça…

christiane dit: à

@Ed dit: 27 septembre 2018 à 22 h 31 min
Excellent ! les vieux faut les supporter… n’est-ce pas gracieuse Ed ? Donc à part vous…

Ed dit: à

Vous êtes graves. C’est la question la moins privée qui soit. Et j’ai donné ma profession dès mon arrivée. Je trouve ca irrespectueux de s’abreuver des infos données par les autres sans rien dévoiler soi-même.

P. comme Paris dit: à

Et Yop,
bisbilles et castagnettes à la Plancha !.
C’est l’heure de l’apéro.

rose dit: à

suis encore écroulée de rire.
demain, je cherche un psy.

s’il y a bien un regard que je ne suis pas, c’est celui de Clopine.
tu vas droit aux emmerds.

En revanche, quel beau jardín vous avez Clopine ! Sur ce point, je suis admirative.

61 16

Clopine dit: à

Ce n’est pas en répétant un mensonge, Christiane, qu’on le transforme en vérité. Mais le problème, et c’est bien là le noeud de la question, c’est que je vous crois sincère. Ca ouvre en fait un abîme !!!

(je n’ai jamais rien supprimé de mon blog, je l’ai laissé s’éteindre, doucement, et Clopin m’a fait un jour la surprise de le faire publier sous forme « papier » et de le relier. Je le tiens donc à la disposition de tous ceux qui auraient envie de confronter mes déclarations de celles, insensées et pourtant sincères, de la pauvre Christiane ! Ceux-là pourraient se rendre compte que, si effectivement j’ai un jour publié la célébrissime photo d’Emmanuelle Béart (parce que le récit de fellation, là, par contre, cela relève tellement de l’hallucination que je ne peux hélas rien prouver), c’était par jeu,ssans doute pour illustrer un article au second voire au troisième degré, je ne me souviens seulement que cela n’avait aucun rapport avec moi-même.

Mais voilà : le problème est qu’il fallait être un minimum futé pour sourire. Or, ce n’est pas l’intelligence, et surtout l’intelligence des textes, qui caractérise cette pauvre Christiane. Elle prend tout au premier degré, lit avec autant de pertinence qu’une buse en met à voler en rond, et ne sait que répéter à l ‘infini son petit fonds de commerce – une sorte d’obséquiosité onctueuse et basse de plafond.

Je ne devrais pas être aussi « méchante », pensez-vous, bien sûr ; c’est que je suis et que je resterai toujours profondément irritée de ce tour de passe-passe, qui consiste à répéter en boucle une contre-vérité, histoire de s’en auto persuader, au détriment d’autrui bien sûr.

Mais un jour, va, j’aurai plus pitié de vous, Christiane, que je ne suis en colère contre vous aujourd’hui. Parce que vous n’êtes peut-être pas « méchante », vous, (mais vous savez aussi bien qu’un autre être vulgaire dans les insultes, rancunière et couvant doucement des vengeances recuites, sous couvert d’objectivité ahaha !!!) seulement bête, mais alors, bête, si bête !!!

Delaporte dit: à

Je crois qu’on devrait tous faire comme Wittgenstein, lire l’abrégé de Tolstoï. Mais alors, Pablito, vous qui êtes si intelligent, comment se le procurer ?

renato dit: à

Parfois, Ed, il suffit d’ouvrir un link.

Cela dit, ici personne n’est « en » carrière politique, donc si vous volez pratiquer la transparence personne ne vous l’empêche, mais vous ne pouvait le demander aux autres — c’est une question de style…

Ed dit: à

renato
votre commentaire n’a strictement aucun sens. Parler de transparence pour une profession, c’est absurde. Aucun rapport. Ce n’est pas une information d’ordre pivée.

rose dit: à

D à 16h34

oui; il l’a dit. C un message d’ amour et nous n’avons ríen compris à ses paroles. Et puis, il avait seulement l’intención de faire comprendre ce qu’a été l’esclavage.
Le buzz : Samuel Julien a expliqué 1500 vues ce matin et 70 000 ce soir.

Bételgeuse dit: à

ED, Ici écrivent quelques artistes et indépendants du dpectacle, des sueurs, compositeurs je ne sais rien du régime de retraite les concernant. Souvent ces personnes ne s’arrêtent su’obliges car leur métier est aussi une passion font ils ne peuvent se défaire aussi facilement qu’un travailleur moyen ou plus très heureux de pouvoir enfin occuper son temps de vie autrement qu’à le perdre dans une activité qui lui permet d’honorer ses factures et quand sa situation est suffisamment florissante de répondre aux besoins de ses enfants aux études, de s’offrir un carré de campagne où se trouve. Personnellement si ce métier que j’exerce n’était pas si éreintant je pourrais dire que je l’aime bien. Hélas nos conditions étant ce qu’elles sont depuis toujours et c’est de pirecen pire, vous ressortez de l’usine complètement vidée en vous demandant ce que vous avez pu oublier et en espérant ne rien avoir oublié, cassee, ruinée physiquement. Il n’y a guère qu en psychiatrie et encore privée c ‘est â dire exempt de dangereux psychotiques que je n’ai plus souffert de la charge énorme de travail.

renato dit: à

Oups ! volez > voUlez

Bételgeuse dit: à

Auteurs pour sueurs, se ressourcer pour trouver etc, correcteur hasardeux malgré mon attention.

Delaporte dit: à

Je lis sur >nternet que Michel Onfray vient de démissionner de l’université populaire. Il s’en prend aux institutions, non sans raison, mais il devrait plutôt se dire que c’est une résolution pour lui-même, afin d’écrire, enfin, de bons livres.

christiane dit: à

@Petit Rappel dit: 27 septembre 2018 à 21 h 26 min
Cher Marc, oui, encore votre humour bienfaisant. Lisez-vous cette vague de haine lancée ici par Chaloux, Pablo et Clopine ? Tout cela est profondément écœurant et ils se piquent de parler littérature et musique, après leurs ignominies… Ce blog s’enfonce dans la boue et là, je m’éloigne malgré ces présences qui me sont chères dont vous et Jean-Jacques (que chaloux et pablo nomment glu), Jazzi (si courageux), Rose, Pat.V( que chaloux et pablo ont humilié avec délectation à l’aide d’une vieille vidéo. Les lâches !), le doux Renato, hamlet que je connais peu mais qui est si vaillant, Jacques Ch. qui hélas ne peut plus poster ici et si lucide et Passou bien sûr.
Tchao, les amis. Je vous laisse les lâches (qui ne dit rien consent), les menteurs (clopine) et les vulgaires, les injurieux (déjà nommés). Ils vous parleront de musique et de Proust ! Mesdames et messieurs, Bonsoir.

christiane dit: à

Et Bérénice, que j’aimais lire.

renato dit: à

C’est comme savoir qui écrit derrière le pseudo, Ed, dans une conversation courtoise cela n’a aucun intérêt, idem pour la profession.

christiane dit: à

Gisèle, désolée pour nos échanges. Ils s’arrêtent ce soir. Vous aurez placé la barre haute. Veinarde, ne changez pas.

Chaloux dit: à

Christiane, très regardante sur les propos d’autrui, l’est beaucoup moins en ce qui concerne les siens. Elle s’obstine depuis trop longtemps dans de salaces et obs.cènes calomnies (son côté obscur et délirant probablement), visant une femme, Clopine, dont nous connaissons tous la probité. Je trouve que Pierre Assouline devrait sévir et lui enjoindre de cesser.

Ed dit: à

christiane, ce blog n’a aucun sens sans vous. J’ai déjà écrit – et on s’est bien moqué de moi à cause de cela – que vous en étiez un pilier. Je persiste et signe.

hamlet dit: à

jjj 20h08 : excellent ! Les aventures de Gaspacho et Naphtaline, bdx chesnel, aussi la passoulinisation et la quignardisation du monde… excellent !

toutefois je pense que je peux faire mieux que vous ! à une époque j’ai fait mieux que vous, mais plus maintenant, à moins de faire un effort bien sûr.

Delaporte dit: à

Pour fêter les vingt ans du Dîner de con, la chaîne cathodique M6 recherche des cons à interviewer et a lancé une petite annonce dans la presse putride :

« Vous vous sentez parfois con, on vous le dit souvent. Petit, gros, grand, brave, etc. Cherche cons à interviewer pour un documentaire diffusé sur Paris Première. Tournage Paris / non rémunéré », voilà donc ce qu’on pouvait lire dans cette annonce pour le moins originale.

Jusqu’à quels bas-fonds de débilité mentale les médias iront-ils ?

Et Alii dit: à

avez vous vu que Yuval Noah Harari,l’historien israelien, pratique la méditation la méditation Vipassana telle qu’enseignée par S. N. Goenka et ses assistants-enseignants, dans la tradition de Sayagyi U Ba Khin? Qui l’a lu?

Clopine dit: à

Ed, vous avez bien raison de considérer que Christiane est ici « un pilier » et que vous avez envie de sa présence, que je ne saurai contester.

Mais cependant… Imaginez que ce que j’affirme se révèle parfaitement exact. Et imaginez que l’on vous en fasse autant : par besoin de se réparer d’une opinion que j’ai eu tort de laisser trop transparaître, par exaspération devant certaines de mes irritations (dues aux contresens répétés et à certaines attitudes disons aussi dégoulinantes de flatterie que celles des courtisans de Versailles), voilà qu’on balance, au milieu d’insultes peu raffinées, des contre vérités dont on se persuade.

Comment réagiriez-vous, Ed, vous qui êtes hélas entrée dans ce jeu malsain de la Rdl et qui avez répondu à des attaques sournoises avec vivacité,comment réagiriez-vous si on vous attribuait des textes que vous n’avez jamais écrits, et des intentions qui n’ont jamais été les vôtres ?

Cela vous ferait-il sourire ?

rose dit: à

Mais voilà : le problème est qu’il fallait être un minimum futé pour sourire. Or, ce n’est pas l’intelligence, et surtout l’intelligence des textes, qui caractérise cette pauvre Christiane. Elle prend tout au premier degré, lit avec autant de pertinence qu’une buse en met à voler en rond, et ne sait que répéter à l ‘infini son petit fonds de commerce – une sorte d’obséquiosité onctueuse et basse de plafond.

Il n’est pas là le problème, Clopine, il est dans le fait que votre acharnement sur des pointus de détail- mais dites-moi la.vie.vous a donc épargnéd de toutes choses graves, dans cet changement, vous occultez les grandes qualités de christiane :

sa capacité à souvenir, souvent contre vents et marées, et par force 7, un vrai lien conversationnel avec diverses personne

– sa manière unique de relier, non seulement les textes entre eux mais aussi les textes et l’air
– ses citations toujours à bon escient,
– l’intérêt réel apporté aux individus, et ceci se traduire par de beaux portraits d’untel et Intel.
– la mise en oeuvre qu’elle a opéré à diverses reprises pour faire des pas extrêmement positifs vers vous.

En ce moment, Clopine, où mon père part dans des conditions dramatiques pour ma famille qui exploser, je suis confrontée à un secret secret de famille dénié et occulté depuis 45 ans.

Je viens ici, je
ris. Vous êtes mon brin de fraîcheur, ma réjouissance totale.
lâchez prise
faltes la Paix
( ça sert à ríen la paix puisque la guerra revient en pire ensuite).

Moi j’ ai sucé un mec dans ma vie.
C’ était complètement délicieux.
Il m’ a dit c’ est sacré.

Et ce le fut.
Vous ne voulez pas- quand même, j’espère, que je vous le raconte ?

Clopine dit: à

Vous me direz qu’être mal lue est ici chose parfaitement banale et répétée. J’écris « je ne crois pas qu’Hamlet et le Jc qui hantait les lieux sont la même personne ». Monsieur Court lit exactement l’inverse de ce que j’ai écrit. Soupir. On y passerait sa vie, si l’on devait rectifier les erreurs (sincères) de lecture, et les déformations (tout-à-fait volontaires) qui vous sont attribuées par les petits malins qui cherchent à vous discréditer, pour s’amuser de vous…

hélas.

rose dit: à

Bételgeuse

mais quel est ce métier dont vous parlez discrètement ?
Celui que vous avez dit l’ autre Soir?

Bételgeuse dit: à

Ed, Chaloux est entre autres choses musicien professionnel. Vous devriez le savoir puisque vous vous connaissez. Clopine s’occupe d’une ferme et des abeilles pour lesquelles des scientifiques ont découvert que l’emploi intensif de glyphosate détruisait la protection intestinale et les rendait vulnérables à des infections ce qui expliquerait l’hécatombe hivernale ( lire le monde daté de demain et publié aujourd’hui) , ce toxique agirait aussi sur leur sens de l’orientation et des effets seraient également constatés et comptabilisés dans les populations d’enfants très exposés. Court est sans conteste un intellectuel, est il professeur? Pablo nous a confié avoir participé à des rédactions et avoir fréquenté les marchands de tableaux. Rien sur Gisèle, phil, Bloom, Renato, rose, de nota, PatV et tant d’autres.

Clopine dit: à

Hélas, Rose, j’aimerais bien être comme vous. Mais les si nombreuses citations de Christiane, moi je les trouve si souvent complètement à côté de la plaque, pas du tout pertinentes, et ses analyses de textes (quand elle se risque à en faire, parce que souvent ce n’est que paraphrases et expressions d’admirations sans fondement réel) sont généralement foireuses.

par contre, là vous avez raison, elle adore susciter des conversations, et sa manière d’être dans ces moments-là est souvent efficace. Mais hélas encore, elle se met bien souvent, alors, à distribuer des bons points que personne ne lui réclame, mais bon.

Bref, vous aurez compris que je me sens très éloignée de ce que représente Christiane, que j’estime que ses circonvolutions verbales cachent un vide abyssal, et que ses admirations sont souvent suscitées par le reflet de la gloire – plate admiration devant l’homme ou l’auteur célèbre, et éblouissement devant la notoriété de tel ou tel…

Bételgeuse dit: à

Oui rose, après cinquante ans si vous n’avez pas pensé à vous reconvertir c’est assez souvent usant pour ne pas dire un enfer. J’ai opté pour l’intérim jusqu’à 53 ans, c’était sympa et cela me permettait de ne pas me sentir prisonnière, puis ce secteur a connu des difficultés et j’ai été contractuelle pour un établissement privé dans le domaine de la psychiatrie.

rose dit: à

je ne corrige plus ríen
l’ air c’ est l’art.

qui se couche crevée le soir?
c ‘ est moi .
depuis quand ça dure ? neuf mois.

ai écouté Michel Vaujour ce soir, il a traversé pire et s’ en est sorti.
Pas brisé . Et sans la rdl.

Je sais pas, moi, un peu de pudeur.

Ed dit: à

Clopine,

Avouez que le contentieux remonte ! Je ne peux donc juger et avoir la moindre opinion sur cette histoire de récit pornographique que vous auriez publié puis effacé, ou je ne sais trop quoi. Et quand bien même ce fût vrai, il n’y aurait vrÈÈÈÈment pas de quoi s’indigner. J’ai écrit bien pire dans mes fictions.

Bételgeuse dit: à

Clopine, pour Christiane à laquelle je pensais il y a quelques jours , je verrais plus comme une sorte de palimpseste couvrant les œuvres de sa prose. Elle est incroyablement diserte et cela m’apparaît comme un besoin de restitution mais aussi de possession des œuvres qu’elles soient vues, lues.

Clopine dit: à

Rose, vous avez raison, je devrais laisser tomber. Et d’ailleurs, j’ai très très longtemps, vraiment, « laissé tomber ». J’avais un peu de mal à lire les âneries que Christiane pouvait proférer sur tel ou tel auteur, mais, bon an mal, je me contrôlais suffisamment pour simplement hausser les épaules.

Mais elle a eu le tort de m’attribuer des mots que je n’ai pas écrits, en dévoilant d’ailleurs, ainsi, et je pense sans s’en rendre compte, certaines frustrations et une vulgarité de pensée,bref. Et ça, franchement, j’ai beau me raisonner et me dire que « peu me chaut », en fait, cela me chauffe vraiment.

J’ai le tort d’être attachée aux mots que j’écris. Et franchement, sur ce blog, je devrais rencontrer un peu de solidarité sur ce point. Car si nous, les commentateurs d’un blog littéraire, admettons qu’écrire « blanc » peut signifier « noir », ou qu’on peut vous attribuer sans aucun dommage des textes inexistants, autant avouer tout de suite que nous sommes déjà dans le monde si bien décrit dans le « 1984 » d’Orwell : « la guerre, c’est la paix », « la liberté, c’est l’esclavage »…

Bételgeuse dit: à

Pour les abeilles, ce doit être dans les pages scientifiques d’hier puisque le jeudi est consacré aux livres.

rose dit: à

Clopine

C’est votre droit le plus strict de resentir les choses ainsi.
Je constate qu’ elle a fait des pas vers vous je suis témoin.
nous  » vivons » ici ávec des personnalités différentes. à nous de nous rapprocher des gens ávec qui nous avions des atomes crochus.
certaine que j’ aime bcp , je ne leur parle par du tout. Je me tiens à côté d’ eux et Cela suffit à non bonheur.

suis obligée de lâcher prise Sur un sujeto très douloureux. Ne peut- on lâcher
pris e sur des sujets si dérisoires ?
Sans vous juger?
En analyse transactionnelle Cela s’ appelle un élastique.
christiane n’ est que le prétexte de cette douleur là. Elle est juste révélatrice.

Bételgeuse dit: à

Clopine, je n’ai rien lu de cet imbroglio littéraire. Le problème résiduel est une question d’honneur bafoué, Christiane aurait menti peut être a-t-elle mélangé différentes lectures. Peu nous importe. C’est dommage qu’elle parte .

rose dit: à

ce que vous jugez âneries peut ne pas l’ être pour autrui.
ce que vous écrivez vous est ressenti au traversé du prisme de l’ histoire personnelle de chacun .
ai noté déjà, ávec un grand sourire, votre belle capacité à ne plus être à part, un cas à part ; avez- vous noté, vous, que nous sommes plusieurs – ici- à être opposés à l’ idée de compétition ? J’ en ai remarqué trois férocement.

Clopine dit: à

Rose, mais moi aussi j’ai pu faire des « pas vers elle ». En fait, non, c’est un peu plus compliqué, vu que je n’ai jamais éprouvé la moindre envie d’instaurer un quelconque lien entre elle et moi. Mais par contre, j’ai parfois pris sa défense contre la méchanceté des trolls qui, à une période, l’attaquaient sans relâche. Elle n’en a jamais fait autant, d’ailleurs… Mais ce n ‘est pas bien grave.

Et c’est vrai que « les pas » qu’elle faisait vers moi, je n’étais pas franchement disposée à les recevoir. Elle savait pertinemment ce que je pensais d’elle, alors les espèces de compliments qu’elle glissait parfois à mon endroit ne provoquaient chez moi qu’une sorte d’agacement, car je les estimais insincères. Je lui proposais une sorte d' »indifférence cordiale », comme la France et l’Angleterre ont pu, en leur temps, se construire une « entente cordiale ». Mais hélas, je n’ai pas eu la sagesse de me cantonner dans cette indifférence, à la enième grosse connerie qu’elle a proférée sur tel ou tel auteur… Et ça c’est enclenché comme ça, et ça a débouché sur de la colère chez moi.

c’est dérisoire, je le sais, et notre « querelle » à Christiane et à moi, illustre certainement le côté « pathétique » qu’un blog comme celui revêt quelquefois.

Mais je ne suis pas une sainte non plus, morbleu. Et derrière la figure de Christiane, je le reconnais, ce sont toutes ces attaques de trolls, tous ces jugements à l’emporte-pièce, tout ce mépris que j’ai essuyés ici qui remontent aussi.

Bon pour Jazzi et vous, et parce que « les autres » ne méritent pas cela, je m’en vais faire une pause moi aussi.

Ce sera, pour moi qui suis une « femme sans confession », comme un acte de contrition. Pas vis-à-vis de Christiane, mais vis-à-vis du blog, et de moi-même.

A bientôt !

(je reviendrai lire la réponse de Ed, si elle a l’envie de répondre sincèrement à mon interrogation : comment réagirait-elle, si on lui prêtait des propos et des intentions qu’elle n’a jamais eus ? )

P. comme Paris dit: à

« Ed dit: 27 septembre 2018 à 23 h 47 min »

Si vous essayez de remonter jusqu’au col de l’utérus de votre mère, comme Bukowski,
j’suis preneur.
Ah, »p’tain d’saligot » qu’elle me gueule encore dans les esgourdes.

rose dit: à

Bételgeuse

si je ne me suis pas trompée, c’est de l’ ordre du soin, infirmièr, aux enfants.
ai parlé ávec qq colère de Berthe.
soins palliatifs en gériatrie.
Dans ses larmes sur, dans le désordre, son prénom honni, pck la grosse en 14, le patient qui va mourir à qui il faut mettre des photos dans sa chambre, qu’ il be regardé pas tellement sa mort l’ obsède et l’emmerdent ceux qui vont rester vivamos, rire, changer et danseur, et dans l’apitoiement sur elle-même, son métier si difficile,( si peu de distante manifesté), elle m’ a dit
 » j’ aurai 800 euros de retraite par mois. »

Et puis, j’ai écouté le petit m.à NYC
les français pour les satisfaire, faut leur distribuer de l’ argent »

Y a pas une honte quelque part, là, dans le éter de dévouement que vous exercez ?

rose dit: à

chanter

Le métier

rose dit: à

Clopine

Je ne vous demande pas de partir.

nous avons tant d’ attaques à mener sur d’ autres sujets

rose dit: à

vais tenter de dormir.
cette conversatión ávec Clopine m’ a ouvert des horizons. Merci Clopine.
Ríen d’ autre à faire que de lâcher prise.

rose dit: à

non ce n’est pas jouissif.

En lambeaux.
ai lu le Cairn il y a deux matins sur Quignard, Comment se positionne l’auteur par rapport à la littérature ?

de lui, je ne retiens rien, pas même une bribe.

chaloux
Le théorbe est l’ancêtre du violon et quel est votre métier à vous ?

une de mes amies est franco- algérienne. Elle me dit des sourates du Coran. Une, la mort laisse du répit .
Ce que je peux vous dire, c’ est que le froid est déjà installé, bien avant que la mort ne survienne.

À ce jour, je n’ assisterai pas aux obsèques de mon père.
On verra si le répit accordé me laissera ou pas le temps d’ évoluer .

Petit Rappel dit: à

On se souvient ici d’analyses Clopinesques parfaitement hilarantes, (Ah, Edouard Louis!) ce qui,Rose le note bien, devrait inciter à plus de prudence quand la Dame prétend commenter ou juger autrui.
Les Kouglofs de paragraphes à quoi se reconnaît le style Clopinien se multiplient, ces derniers temps. Ils gardent leur caractéristique majeure, une solidité de baudruche et un contenu de poche à venin.
Pierre Assouline évoquait dernièrement un Christiane Bashing. C’est dire combien l ‘auteur à peu à voir avec la littérature et les choses de l’esprit.
Que je sache, Christiane a autant le droit d’exister que le champignon du Pays de Bray. Il est vrai qu’elle n’a pas, elle, de sensibilité bornée par des œillères idéologiques, ce qui, dans ce pays, est toujours un crime aux yeux des Philamintes de département.
MC

de nota dit: à

il nous faudrait être sur ce blog plutôt escrimeur que boxeur,l’on s’y combatrait à fleuret moucheté, afin de ne jamaais blesser.

P. comme Paris dit: à

Vous le dîtes si bien.

rose dit: à

si : j’ai retenu une chute de cheval.
Sans doute le père d’une fille.
Ne sais même pas si le cheval était alezan ou Bai.

du sexe et de l’effroi, rien.
si, le format petit et allongé et la couverture sobre, marronnasse.

de Villa Amalia, la villa, la mer.
Ríen.

Vous me demandez de Víctor, cinq cents détails s’agglutinent. Ne suis pas obsédée par Fantine et Cosette, j’les aime. Éponine aussi.

Et puis je suis allée l’écouter, sa musique et lui et ça faisait secte. La lumière sobre et tout.
Me suis pas laissé prendre.

Hier soir , à la téloche, y avait un film ávec Baye Depardieu et Messaoud (porte-bonjour, porte-chance).
Un lien ténu manos un lien se noue entre Michel et le père de la dass. Depardieu clamar
« tu deviendras Víctor Hugo ».

Eh que fait rose hein sur son petit canapé ?

Elle biche.

rose dit: à

la lumière sombre.
c’était voilà.
la salle dans le noir.
du coup ça faisait louche.

rose dit: à

c’était voulu

rose dit: à

Messaoud porte-bonheur

Ed dit: à

@Clopine

« comment réagirait-elle, si on lui prêtait des propos et des intentions qu’elle n’a jamais eus ?  »

Mal. Je me barrerais, comme je l’ai fait quand Delaporte était vraiment trop insupportable.

Delaporte dit: à

« Un peuple et son roi » : un article plus nuancé dans le Nouveau Magazine littéraire, sans que ce soit pour autant un cri de passion :

« Cette dialectique entre les images du pouvoir (le didactisme) et le pouvoir des images (le symbolisme) sourdait déjà par endroits dans L’Exercice de l’état, mais elle atteint ici un nouveau registre, qui fait du sujet politique un sujet par essence fuyant : les joutes verbales pleines d’éloquence à l’Assemblée nationale, l’aphasie hautaine et désemparée du roi, la clameur informe de la foule expriment chacune à leur tour le désir de retenir enfin, une bonne fois pour toutes, le pouvoir. »

Delaporte dit: à

On pourrait d’ailleurs constater qu’à propos du Nouveau Magazine littéraire, ce journal sera bientôt le dernier support intello de la place ; même le Monde commence à mettre la pédale douce depuis assez longtemps sur les considérations byzantines qui n’en finissent pas. C’est dire que ce nouveau magazine, qui n’a de « nouveau » que le nom, et le rédacteur en chef, et qui n’est qu’une resucée de ce qu’on trouvait dans les années 70 (maudites années stupre), ne fera sans doute pas long feu. Il se verra déserté de manière magistrale par ses derniers lecteurs, zombies ressuscitant des limbes prolifiques d’une intelligentsia en état de mort dépassée. Apparemment, cela amuse certains. Pas pour longtemps.

rose dit: à

petite frappe c’est le mot qui est venu, mais trop de références à son père.

Un ténor du barreau, c’est ce qu’ a dit le médecin de famille prenez un avocat. Le payer avec des cacahuètes ? La mère refuse, y compris la plainte au commissariat. Se faire cambrioler de son vivant, elle présente dans l’appartement et fouiller dans son sac à mains pour savoir ce qui lui reste comme argent, c’est de la maltraitance.
C’est toujours comme ça a-t’il été dit deux fois.
Les mouches à merde, grosses et vertes attaquent avant la mort, pondent, bouffent.

Garder le pouvoir à tout prix et à n’importe quel prix. Sans souci de ce qui se passera
après.

En cela l’obstination est nocive. Y compris pour faire un sommet.
dormí 3 heures.

de Michel Vaujour, ce que j’ai retenu c’est l’obstination.
jamais tout blanc

jamais tout noir

rose dit: à

un jour, vous avez écrit je dormais .
depuis, vous ne dormez plus.

Vous ai rejoint.
mon inquiétude vient du fait que je ne peux plus prier. Sèche comme un figatelli.

DHH dit: à

@ Betelgeuse 22h 45

Voyez su côté de Jean Genet, notamment Notre -Dame des Fleurs sommet du réalisme poétique

Lucien Bergeret dit: à

@ christiane

Ne partez pas!

Laissez dire Clopine qui se dévoile un peu plus à chaque rencontre et haussez les épaules.

Je parierais que Chaloux et Pablo75 sont devenus insupportables à tout le monde.

Chaloux dit: à

Je crois que le problème qui secoue en ce moment les commentaires de la RDL vient en grande partie d’une moyenne d’âge trop homogène. Le contingent ne s’est pas renouvelé, ce qui n’est sain pour personne. L’angoisse du temps qui s’épuise doit être pour quelque chose dans les empoignades sans fin qui ont lieu ici. Nous croyons parler d’une chose et nous parlons d’une autre. Je peux le comprendre. Ce phénomène ira irrémédiablement s’accélérant. Aussi, étant un peu plus jeune que la plupart des intervenants qui aspirent à demeurer entre eux, et ayant toujours eu le respect du grand âge, je vais profiter d’un long déplacement qui commence dans quelques heures pour effectuer, tout comme Clopine, une pause, salutaire pour tout le monde.

Lavande dit: à

Le commentarium de la RDL en lambeaux comme Quignard ?
Heureusement le capitaine est solide: il en a vu d’autres.

Bételgeuse dit: à

Rose, 0h19: je n’ai jamais exercé auprès d’enfants car comme je l’expliquais, de nature rêveuse parfois distraite malgré ma bonne volonté, j’ai redouté bien qu’en possession d’un diplôme être responsable de la mort de l’un d’entre eux comme il est arrivé à cette malheureuse qui en raison d’une erreur causa la mort d’un enfant de deux ou trois ans hospitalisé aux alentours d’une fête de Noël pour une forte fièvre. Erreur de perfusion absolument lethale et irratrapable.Je n’ai exercé qu’auprès d’adultes de tous âges. Non, aucune honte, je n’ai pas choisi ce métier mais d’une indifférence immature à autrui à 20 ans il m’a beaucoup apporté en terme d’humanité et bien qu’à le souvenir de la jeune femme que j’étais alors , je garde en mémoire une patiente atteinte d’un cancer du sein affreux, extériorisé qui nécessitait des pansements quotidiens et qui l’appréciait particulièrement en raison d’une gentillesse qu’elle m’attribuait. Sa tumeur ressemblait à une espèce de chou fleur malodorant et les autres devaient manifester un dégoût que je m’efforcais de dissimuler, elle était si atteinte, condamnée. Elle n’avait pas pris la peine de se soigner et était arrivée là en dernière extrémité.

D. dit: à

Moi je reste mais jusqu’à midi après quoi je quitte ce blog pour une durée de 2 heures 30.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*