de Pierre Assouline

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La République des livres
Paul Morand, un homme méprisable mais quel écrivain !

Paul Morand, un homme méprisable mais quel écrivain !

Enfin, « la » grande biographie de Paul Morand (1888-1976) ! Encore que on aurait pu survivre sans elle un certain nombre d’années de plus. Car s’il y a bien un auteur dont l’œuvre nous intéresse davantage que la vie, c’est bien lui. Un cas d’école, un de plus. Rassurez-vous, on ne vous fera pas le coup des deux Morand, le bon et le mauvais- l’affaire Céline a de longue date épuisé le procédé. D’ailleurs, dans son Paul Morand (478 pages, 24 euros Gallimard) qui parait dans quelques jours, Pauline Dreyfus (1969) est bien trop fine mouche pour verser dans ce travers. Sa dette, prévient-elle d’emblée, ne s’adresse qu’à l’écrivain car elle est purement« esthétique » ; pour autant, elle ne cèle rien de ses faits, actes et écrits et de son ascension dans un milieu social qu’elle connait bien.

Je l’avoue, je ne suis pas entré vierge dans ce gros livre dense, bourré de références mais écrit au galop, effet renforcé par le choix du présent de l’indicatif, jusqu’à rendre léger et invisible l’effort documentaire. De Morand, j’avais quasiment tout lu, dans des éditions originales dénichées chez les bouquinistes des quais de Seine ou aux Puces de Saint-Ouen, dès l’âge de 20 ans. Depuis, mon admiration pour l’incomparable styliste, modèle étincelant pour tant de ceux qui se piquent d’écrire, ne fut jamais entamée par ce que j’avais pu découvrir du personnage au cours de mes propres recherches pour les biographies de Jean Jardin et de Gaston Gallimard ou pour des articles de fond sur les écrivains pendant la guerre. Il faudrait lire tout écrivain en se gardant de ne jamais porter de jugement moral sur l’attitude de l’homme derrière la plume. On pourrait croire que l‘énumération qui suit a été choisie à dessein ; elle est pourtant continue et récurrente dans la biographie de Pauline Dreyfus et tant pis si cela aboutit, probablement contre son vœu, à un portrait à charge.

Alors, Paul Morand ? Un homme dépourvu de qualités humaines, lâche et méprisant, mufle avec les femmes, cynique avec les éditeurs, opportuniste avec tout le monde, ingrat jusqu’à la déloyauté avec ses amis, incapable de la moindre empathie avec ce qui n’est pas lui, d’une cupidité sans limite et d’une vénalité qui n’a jamais désemparé, bourgeois qui thésaurise jusqu’à son dernier souffle, le cœur sec, dépourvu de tout sens moral, prêt à tout pour jouir d’un honneur convoité, le dégoût des autres très sûr, de la morgue et un mépris de classe à revendre, une aversion profonde pour les enfants inexistants dans toute son œuvre à l’exception de la nouvelle Feu Monsieur le duc (il n’eut de cesse de rejeter Jean-Albert de Broglie, petit-fils de sa femme, laquelle l’avait recueilli jeune orphelin). Pour le dire avec la délicate métaphore qui lui est chère (« Une de ces merdes juives qui ont besoin d’autrui pour exister » écrit-il dans une lettre à propos de Bernard Frank), le fameux jugement jeté par Napoléon à la figure de son ministre lui va comme un gant : « De la merde dans un bas de soie ». Encore que Talleyrand, lui, c’était quelqu’un. Mais Paul Morand ?

On a l’habitude de l’enrôler dans la fameuse brochette des écrivains du Quai d’Orsay : Paul Claudel, Jean Giraudoux, Alexis Leger/Saint-John Perse… Ce qui est un mythe dénoncé par Pauline Dreyfus car il n’a pas fait carrière dans la Carrière : il y a laissé la trace et le souvenir éphémères d’un médiocre diplomate, ambassadeur en tout et pour tout durant quarante-deux jours dans des conditions qui ne sont pas à son honneur que ce soit à Bucarest ou à Berne, dilettante revendiqué dont l’activité ne fut gouvernée que par un goût effréné de la mondanité. Rien ne l’aimantait comme la fréquentation des altesses, des titres et des grandeurs d’établissement. Un petit monde superficiel et vain. Paul Morand y fit merveille très tôt par son entregent, la clé pour y pénétrer. Sauf que, contrairement à d’autres ambitieux à leurs débuts dans le monde, ce qui leur était un moyen chez lui est devenu une fin. Jamais il n’est sorti de ce microcosme où il s’est épanoui en ne cessant de courir le cachet pour n’avoir jamais eu les moyens de ses goûts (vint un temps où la fortune familiale de sa femme s’était évanouie). Même sa maitresse en titre (May de Brissac) a un pedigree très gratin. D’ailleurs, entre autres révélations, Pauline Dreyfus avance que c’est elle, plus encore que sa femme, qui est à l’origine de la radicalisation politique de Morand à partir de 1935 et de son basculement vers l’admiration pour les régimes autoritaires, les nationalismes, les promesses de la nouvelle Allemagne et la dénonciation de la décadence à l’œuvre en Europe. Hitler n’était pas vraiment son genre de beauté car tout de même, il exagérait un peu, mais Mussolini… Ses convictions ? Il n’en a même pas. S’il choisit de se ranger aux côtés de Laval au début de l’Occupation, c’est par pur opportunisme. Il en sera récompensé en 1942 avec le poste de président de la commission de censure cinématographique.

Intelligent, vif, cultivé, polyglotte, il avait tous les dons mais qu’en a-t-il fait ? Giraudoux était son précepteur ; Proust, qui s’était toqué de lui, l’avait adoubé en préfaçant Tendres stocks mais jamais ne l’influença, et pour cause : l’auteur de la Recherche travaillait, creusait, remettait cent fois sur le métier, ne cessait d’approfondir quand Morand, homme du premier jet, ne songeait qu’à produire « un bruit de castagnettes ». Ce qui a souvent poussé le milieu littéraire à le rapprocher de son grand ami Cocteau ; une erreur d’appréciation car, pour superficiel et léger que cet artiste complet ait pu paraitre, il travaillait énormément comme en témoigne sa production multiforme (romans, films, tableaux, dessins, poèmes…) alors que Morand, qui avait tant de facilités, dédaignait le travail et l’effort à l’égal de travers méritocratiques. De toute façon, il avait un poil dans la main et rien ne lui aurait fait renoncer à la satisfaction de ses plaisirs immédiats : le luxe, le confort, la rareté, un certain hédonisme et un vrai dandysme, l’achat compulsif de puissantes automobiles, la conquête de toutes les femmes. Sur ce chapitre-là, Pauline Dreyfus brosse le portrait convainquant d’un enfant unique choyé par les femmes, à la recherche perpétuellement insatisfaite de consolations, qui avait épousé une femme de sept ans plus âgée que lui avec laquelle il n’eut bientôt plus guère de relations sexuelles et qui tenait le registre de ses innombrables liaisons successives, en mère maquerelle et rabatteuse. Princesse Soutzo par son premier mariage, née Hélène Chrisoveloni, elle était si obsédée par la pureté de son sang grec, et si durablement et pathologiquement antisémite, que cela en devenait suspect. La biographe révèle en passant quelques ellipses narratives dans le CV de « l’aristocrate roumaine » née en fait dans le ghetto de Galati (Moldavie) d’un père banquier levantin et d’un grand-père usurier…

Dès Ouvert la nuit, il trouve la note juste : vitesse, densité, brièveté. Pas de gras, une écriture à l’os, un rythme syncopé. Ses formules, jamais gratuites, font mouche. Lorsqu’il fait connaissance de Jean d’Ormesson, il le résume d’un trait qui lui restera : « Un écrivain mis en bouteille au château ». Du genre à remercier Edmonde Charles-Roux pour l’envoi de son nouveau livre par ces mots : « J’aime votre virilité ; vous n’avez pas le style clitoridien, si vous me permettez ». Le succès confirme son coup d’essai. Son genre, ce sera la nouvelle. Pas étonnant qu’il ait consacré un portrait au maître Maupassant et qu’il ait dirigé avec succès une collection de nouvelles chez Gallimard. S’il s’en éloigne, c’est le plus souvent pour le meilleur (la chronique où il excelle) parfois pour le pire (le roman – L’Homme pressé n’est pas ce qu’il a fait de mieux). Souvent sa paresse l’emporte sur ses facilités. Pour la série de ses portraits de villes (New York, Bucarest, Londres…), il rétribue des nègres (Jean Jardin, Georges Cattaui) chargés d’enquêter, de constituer une documentation et de rapporter des anecdotes à sa place. Lui-même se dit trop flemmard pour se lancer dans une saga à la Buddenbrock. C’est une grande sagesse de connaître ses limites. Lui se sait sprinteur et non marathonien. Mais un bon contrat peut facilement avoir raison de son souffle court.

L’allure de Chanel, œuvre de commande qui demeure son plus grand succès commercial, vaut moins pour ses qualités littéraires que par la vista du portraitiste. Après tout, le cas échéant, il n’hésite pas à être le fournisseur des fournisseurs (La Grande Maison de blanc, entre autres) en publiant des textes de commande publicitaires sous leur enseigne. Peu d’écrivains y auront cédé comme lui quand il ne les aura pas sollicités. Pas du genre à résister à une telle tentation lorsqu’elle est bien dotée. A l’Institut, il n’avait pas seulement légué une grande partie de sa bibliothèque mais aussi une forte somme d’argent destinée à doter un prix Paul Morand. Romain Gary, premier lauréat, jugea préférable, en tant que juif et que gaulliste, de décliner l’honneur en 1978, manière de mettre en accord ses actes et ses idées ; le prix échut donc pour sa première édition à JMG Le Clézio.

On peut avoir des hauts-le-cœur en examinant des archives et Pauline Dreyfus, qui en a vu d’autres, reconnait que ce fut son cas à un moment de son enquête biographique. Il s’agit entre autres des dizaines de pages consacrées dans le Journal intime de Morand au projet de la fille sa maitresse d’épouser Simon Nora, un Juif. Manifestement, ce que cela inspire au couple d’anciens amants est si abject que la biographe décide de ne pas en faire état et d’évacuer définitivement de la biographie le personnage de May de Brissac. Car on s’en doute, c’est sur l’antisémitisme de son héros que le biographe d’un tel personnage est attendu au tournant. En principe, pour lui comme pour d’autres (Kipling, Heidegger etc), ces choses-là ne s’écrivent pas, du moins pas publiquement. Il faut laisser passer le temps, le délai de prescription imposée aux archives, pour y voir enfin clair. Dans le cas de Morand, il n’y avait guère que France-la-doulce (1934), satire des milieux du cinéma cosmopolite à Paris, qui avait fait tiquer tant la charge était féroce, mais enfin, cela se voulait justement une satire- même si les Allemands, qui s’empressèrent de la faire traduire, la publièrent sous le titre Le camp de concentration du bon Dieu… Pour le reste, des remarques par ci par-là. Jusqu’à la parution il y a quelques années du Journal inutile et de la correspondance avec Jacques Chardonne et Roger Nimier. Là au moins, c’était clair. Il n’est guère de pages où ne coule son fiel à l’endroit « des Juifs et des P.D. ». D’autant plus cruel qu’il le fait avec l’ironie dévastatrice et l’art de la pointe qui sont sa signature. Pauline Dreyfus alourdit le dossier car elle a eu l’autorisation de fouiller dans son Journal de guerre Londres-Paris-Vichy 1939-1943 (qui parait également ces jours-ci chez Gallimard, 1025 pages, 27 euros) ainsi que dans l’ensemble du fonds Morand à la Bibliothèque nationale et aux archives de l’Académie française. La biographe tord le cou à un lieu commun selon lequel sa femme avait rendu Morand antisémite. En fait, bien qu’il fut servi de ce côté-là entre sa femme et sa maitresse en titre, il n’avait besoin de personne.

L’étude de sa correspondance sur la durée montre bien que la haine des Juifs lui a été un oxygène de sa jeunesse à ses tous derniers jours. Bien sûr, et comment ne pas donner raison à sa biographe, au début il est surtout le produit de son temps et son milieu- mais à force de le répéter on en vient à oublier ou ignorer qu’au même moment, il en est d’autres, du même milieu et de la même génération, qui ont su se soustraire à cette mentalité et à ces préjugés ; puis s’y superpose tôt le ressentiment de l’écrivain qui ne parvient pas à se faire élire sous la coupole alors que Maurois né Herzog, lui… ; le pacifisme d’un munichois enthousiaste qui voit un fauteur de guerre en tout Juif ; l’angoisse d’un bourgeois qui craint que le Front populaire favorise l’arrivée au pouvoir de judéo-bolcheviques ; mêlez le tout à la crainte du lendemain d’un parvenu qui se sent menacé dans son ascension sociale et sa réussite mondaine… Voilà comment on en vient à considérer en permanence « les youpins » non plus comme des êtres humains mais comme « des asticots » ou « des microbes ». Sous l’Occupation, l’antisémitisme devient chez lui « une grille de lecture », le tamis par lequel il interprète toute déclaration. Pourtant, l’aigri en lui s’est apaisé depuis qu’il fraye avec le pouvoir, qu’il est reçu par les nouveaux maitres. On le voit souvent avec Louis Darquier de Pellepoix, un fanatique nommé à la tête du commissariat aux questions juives pour remplacer un fonctionnaire jugé trop mou. Il est aux premières loges parmi ceux qui savent ce qui se passe, d’autant que Darquier, qui tient scrupuleusement registre des rafles, convois et déportations, se confie volontiers à lui. « L’opinion est choquée des mesures contre les Juifs mais une fois ceux-ci partis, personne n’y pensera plus » note-t-il. Et la confidence de Benoist-Méchin (« les Juifs n’ont pas idée de ce qui va leur arriver… ») ne l’ébranle pas davantage. C’est peu dire qu’il est indifférent au sort des populations traquées. Bien plus tard à la télévision, sans se départir d’un accent très gratin assez obscène en l’espèce, il dira avoir crû qu’on les envoyait au STO comme les ouvriers. Dans des wagons à bestiaux ? Avec leurs vieillards et leurs enfants ? Décidément, le cynisme jusqu’au bout.

Nommé ambassadeur de France en Roumanie afin de prendre le large quand ça se gâte, il met son poste à profit non seulement pour y freiner l’activisme de la France libre, mais pour tenter de récupérer les biens de sa femme, de se livrer au trafic de devises et à des spéculations financières incompatibles avec son statut. Lorsqu’il finira par abandonner son poste, il n’en prendra pas moins soin d’affrêter un train rempli de sa garde-robe et des fourrures de sa femme, de meubles, de tapis et des trois cents bouteilles de champagne conservées dans la cave de l’ambassade pour les diners officiels. Un collabo ? Certes mais trop habile à se faufiler entre les gouttes et trop désinvolte pour qu’on puisse vraiment lui faire porter le poids d’une quelconque responsabilité politique. De la race des collabos mondains, ceux qui arrivent toujours à s’en tirer par l’étendue de leur entregent et par la solidarité de classe. Les collaborationnistes les vitupéraient ; Céline les avait en horreur, quand bien même ces « canailles » eussent-elles fait « jazzer » la langue. D’ailleurs, l’écrivain en Morand fut à peine réprouvé à la Libération. Mais placé hors-course par la distance (il s’est exilé en Suisse) et par l’air du temps (l’existentialisme), il retrouve les Juifs comme boucs-émissaires idéaux : à qui d’autre attribuer son absence de reconnaissance littéraire dans la France des années 50-60 ? Mais le temps n’y fera rien et, malgré la récupération par les Hussards, il mourra en auteur pour happy few. On dira que l’homme a fait du tort à l’écrivain et puis voilà.

Pauline Dreyfus date de la parution de Milady un tournant décisif dans son œuvre. Le fait est que ce récit à l’écriture classique et au statut improbable, à mi-chemin entre la nouvelle et le roman, est l’un de ses grands livres. De même que Fouquet ou le soleil offusqué, Venises ou encore le Flagellant de Séville qu’elle juge étrangement « laborieux ». Qu’importe, tout cela est affaire de goût. Cette passionnante biographie est à citer en modèle pour sa pénétration, sa clarté, sa nouveauté, sa richesse et surtout son honnêteté. Tout en admirant son héros, Pauline Dreyfus ne renonce jamais à son esprit critique ; elle est tout sauf inconditionnelle, jamais dupe du personnage ; elle va jusqu’à livrer aux lecteurs qui ne partagent pas ses vues de quoi augmenter et argumenter leur mépris de l’homme derrière l’auteur. Mais s’il est un point sur lequel on ne la rejoindra pas, c’est sur le bouleversement qu’elle prête à Morand dans l’histoire de la littérature. « Il a révolutionné le style littéraire » écrit-elle au motif que Céline, qui lui a véritablement révolutionné la langue, avait loué chez Morand celui avait su la faire « jazzer » ; elle y revient plus loin : « Ce que Morand a tenté avec ce récit d’une facture inédite, c’est une révolution littéraire » écrit-elle à propos de Rien que la terre, quintescence de son art poétique puisqu’y sont exaltés les voyages, la vitesse et la modernité. Désolé mais non, il n’a rien révolutionné du tout, pas plus que Proust et d’autres de ce calibre : des Rabelais, des Céline et des Joyce ne courent pas les rues et encore moins les cocktails. Ce sont des exceptions. Il ne suffit pas d’être brillant, à l’occasion brillantissime. Les nouvelles et les chroniques de Paul Morand ne sont rien d’autre, quand elles le sont, et c’est déjà beaucoup car il demeure un maître dans son domaine- malgré les artifices (lire ici la critique de Fin de siècle par Pascal Pia).

Au fond, outre sa passion pour son épouse Hélène (le nazisme fait femme jusqu’à son dernier souffle) son existence aura été gouvernée par le goût de l’argent et l’idée fixe de son admission à l’Académie française. Mêlé très tôt à l’avant-garde artistique, il s’en était coupé pour s’enivrer dans la mondanité. Etant ce qu’il fut, il ne pouvait donner autre chose que ce qu’il donna. On peut toujours spéculer sur l’œuvre qu’aurait pu être celle d’un homme aussi comblé de dons et qui fut assez lucide pour savoir qu’il les avait gâchés. Un homme méprisable, mais quel écrivain !

(Photos Man Ray et Henri Cartier-Bresson)

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commentaires

1 647 Réponses pour Paul Morand, un homme méprisable mais quel écrivain !

renato dit: à

Selon vous, Dexter, est-il acceptable que des gens sur lesquels vit votre pays perdent leurs affaires en virant en même temps leurs personnels, seulement parce que quelques je-m’en-foutistes, plutôt réactionnaire qu’autre chose, ont une conception égoïste de la vie en société ?

Janssen J-J dit: à

@(accessoires et restes, Arthur)…

Les librairies Markon sont des commerces non essentiels, sauf les fnarc. Et La Compagnie.

Mon rooftop sur mes rollmops, un cheval d’empire

@ jmb, tu pourrais-tu pas faire dégager puck ? Je négocie très mal le parasitisme des affects.

=> A bintôt, j’vas à la soupe… ast’heure.

JiCé..... dit: à

Un homme de bon sens sera, ni-à-la-fois antisémite, ni-à-la-fois islamophobe, ni-à-la-fois psychorigide, par Héraclite !

Toutes ces conneries, qui conduisent à trouver MORAND « homme méprisable », sont vieilleries de vieux cons, dépassés depuis belle lorette.

Essayons de soulager ceux qui en sont victimes….

Bloom dit: à

@Vedo
Je trouve que les libraires ne font pas assez d’effort pour s’adapter. (Je suis peut-être mal informé). Mais en France au moins, avec un prix du livre régulé, ils peuvent faire face à Amazon. Site internet bien fait, instructif, vente par correspondance, etc..

Le site de Shakespeare and co. est très bien fait et permet de commander tout type de livres en anglais.Ce que je vais faire un peu plus tard aujourd’hui:
– The Little Virtues, Natalia Ginzburg
– Intimations, Zadie Smith
– The Abstainer, Ian McGuire

BàV

Bloom dit: à

@Et si en plus, coup de pot, vous êtes juif, pédé et communiste, alors là, c’est le tiercé gagnant, dans l’ordre d’arrivée !
Vive les juifs ! Vive les pédés ! Et surtout, n’oubliez pas, n’oublions jamais, vive les juifs pédés !!! Sans eux, la Fronce ne serait plus tout à fait la Fronce.

vieilleries de vieux cons, dépassés depuis belle lorette.
Essayons de soulager ceux qui en sont victimes….

qu’il dit jissé chiédssus.

et alii dit: à

le locataire est de topor et polanski!

puck dit: à

« Je négocie très mal le parasitisme des affects. »

kèle chauchauthe suila.

puck dit: à

« @ jmb, tu pourrais-tu pas faire dégager puck ? »

gigi la visqueuse cherche des hommes de main pour virer le keupu du blogapassou…

je vous rappelle qu’il y en a eu des insulteurs plus coriaces qui ont voulu faire dégager le keupu, résultat c’est eux qui ont dégagé.

on dit merci qui ?

j’ai pas raison Bloom-Bloom hautain prétentieux pétomane de la gauche caviar ?

D. dit: à

Ce confinement commence à ressembler à une vaste foutaise. Ce matin dans Paris tout semblait comme d’hab en dehors des cafés bel et bien fermés.

D. dit: à

n’empêche que si le nombre de lits en soins intensifs en France était de 12 mille au lieu de 6.000 il n’y aurait besoin de confinement.

Peut-être bien mais n’empêche que les milliers de jeunes salopards qui se baladent ostensiblement sans masques et ont fait des fêtes clandées avaient eu une once de dignité, il n’y aurait pas eu besoin de confinement non pus.

Janssen J-J dit: à

et la pablo ibèrne s’est troqué du patronyme de l’ex pétomane qui n’en peut plus mais…, devait avoir honte du vieux 75 parti habiter dans le 57, pour mieux revenir icite composer ses insanités et défrayer lacronique de ma soeur. Quelle bande de scélérats confinés. Vont avoir plus de temps à lire leurs morand’ries et autres chauchaut’ries roland-barthesiennes. Sava défoncer, vive les confignements.
Bàv,

bouguereau dit: à

Ce matin dans Paris tout semblait comme d’hab en dehors des cafés bel et bien fermés.

c’est l’hobservateur havec son gros nez au dessus du mask qui tue le chat en cherchant haprés dédé..c’est kantique qu’il dirait keupu

bouguereau dit: à

Un homme de bon sens sera, ni-à-la-fois antisémite, ni-à-la-fois islamophobe, ni-à-la-fois psychorigide, par Héraclite !

c’est le quantique des quantique qu’il dirait keupu

bouguereau dit: à

Et c’est tout à fait possible, avec un peu finesse..

Et de courage…

mon larbin parle des absents havec la sagesse et le détachment que donne sa condition..eunuque

bouguereau dit: à

On ne sait pas si les belges vont être mangés à la sauce aligotée française

c’est fautif..sans e attation..c’est pasque aligoté c’est un faux ami..comme souvent les belges ferdom

Marc Court dit: à

Je ne vois pas ce qui permet de dire, sauf à se livrer à des Filatures,si oui ou non Hamlet ou Christiane n’a lu qu’une »version Grand Public » de L Homme sans Qualités.
On se perd en conjectures sur ce qu’elle peut-etre: Un Musil en Bibliothèque rose????
L’une ne pouvant pas se défendre, et l’autre aux abonnés absents, on a guère que la joie malsaine de Chaloux pour conforter l’accusation d’un Renato qu’on a connu plus rigoureux dans ses démonstrations.
Ainsi va la RDL dans ce qui est le sport national Français, la délation plus ou moins justifiée. En marge de Morand, nul doute qu’ elle s’imposait

bouguereau dit: à

c’est la vieille histoire de l’érythème culier de mon larbin au sujet de ses leoto meussieu courte..dlalourde l’avait moqué sur son édition pour petit..expurgé..depuis il trépigne..mains sur la tête culotte baissé..forcément dlalourde parti il a oublié de forclorer sa punission qu’il dirait keupu

et alii dit: à

the History Center of Olmsted County has returned once more for a sequel to last year’s wildly popular Creepy Doll Contest. It is Spooktober, people, so get good and scared. There’s plenty of time to sleep when you’re dead, which you will be after these dolls kill you.
https://hyperallergic.com/593173/introducing-the-haunted-dolls-of-olmsted-county-because-2020-cant-get-any-creepier/?utm_campaign=Week%20in%20Review&utm_content=20201030&utm_medium=email&utm_source=Hyperallergic%20Newsletter

bouguereau dit: à

la délation plus ou moins justifiée

..quelqu’un pourrait il hempécher allah de tout voir qu’elle dirait bonne clopine..

et alii dit: à

pour Rey
sur caricature:
Autrement dit, une charge. « Charger », « caricare » à l’origine, c’est « entasser sur un char ». De « charger » à « charrier », la démarche est assez normale. Il aurait donc charrié ce dessinateur qui, dans un milieu laïque n’imaginait pas qu’il allait incendier une partie du monde par médias interposés.

renato dit: à

Déjà, Marc Court, je n’ai pas écrit « version Grand Public » mais « résumés-grand-public » ce qui se déduit sans peine par la narration de l’un et de l’autre — laquelle, incidemment, a admis ne l’avoir pas tout à fait lu —.

Cela dit, si vous écrivez Dexter, c’est Puck qui vous repond — ou hamlet, c’es selon… selon quoi ? peu importe —.

renato dit: à

laquelle autre

Janssen J-J dit: à

@ MC / « on n’a guère que la joie malsaine de Chaloux pour conforter l’accusation d’un Renato qu’on a connu plus rigoureux dans ses démonstrations »…. padbol75, ozamiandisque ou jicé, delaporte…, toussa, c’est un peu la même constellation mafieuse, lâche et délatrice qui se plante des plumes de picpoulokul pour mieux se pâmer de morand au fin fond du CDBF de leur chèvrefeuil.
Je pense que ma soeur, du revenuniversel, n’en fait pas toujours partie. Loin de nous,
Ch. et TGW, aimants sipés.

Marie Sasseur dit: à

A quoi bon aller farfouiller chez un fervent bloyesque ?

Pour lire cela ?

« Tout destinait Morand à reposer au côté de sa femme Hélène au cimetière orthodoxe de Trieste, «veillé par cette foi orthodoxe […] une religion par bonheur immobile, qui parle encore le premier langage des Évangiles». »

Ach, il faut relire cette beauté nihiliste qui enveloppe le cimetière de Trieste, mâtinée de vapeurs de romantisme schleuh, au soleil finissant. Après l’enflure, le déluge.
Des Évangiles de morand, aussi « orthodoxes que ceux de matzneff.

Phil dit: à

La France littéraire est bien mûre pour un recon-confinement prolongée, aucune buse ici qui n’a dénoncé l’homme sans connaître l’auteur, sortez faire pisser le caniche mérinos avec l’autorisation préfectorale du comité d’épuration.
Indeed dear passou qui tentez de distiller la qualité Morand depuis la fondation de votre prestigieux blog, vertigineuse décadence de vos lecteurs à ventre mou, sûrement moins ignorants que la soldate sasseur assommeuse de liens gogol, Berthelot connu par toutes les concierges hungaro-roumaines, que sévèrement farcis par les fatwouawoua à la deashash insinuante en zeugmas pour circulaire de ministère qui débusque les lecteurs d’un Tulard, fils de nazi bon teint.
Aux jeunes âmes qui s’aventureraient sans l’ausweiss aragonais hors de la ripaille littéraire, la peste chinoise plombeuse de vieux capitalistes leur est moins risquée que l’égorgement sous la statuaire gothique, il faudrait tout de même distribuer quelques bonbons Morand dessalés de biographie biaisée, because no more notules on the topic, don’t you think so ? villes, cosmopolitisme, histoire, au moins trois des considérables mamelles de Morand auxquelles devraient téter le landernau à l’esprit clair. Son « New york » ne vaut plus rien, écrasé par l’esprit weurld traitre senteur, Bucareste pour sa couverture à volutes roumaines parue chez Plon, allure chanel d’un cadeau de lettré à sa femme en 1935, les deux « Londres » tamisent encore un des meilleurs portraits en français de la cité et ses inhabitants. Revenir inlassable aux « Ouvert Fermé la nuit », derniers échos en prose de fvélin supérieur du feu des nations liquidées par la guerre et les diplomates bouché-er-s et c’est pas fini comme caprice des deux. Morand dirait du prestigieux blog comme du Congo décolonisé, « en moins de dix ans, l’Afrique retourne au gorille ».

J.L. Beaufils dit: à

Est-ce que le micro marche?
On ne sait jamais sur ce blog.

J.L. Beaufils dit: à

 » 1 km autour de son logis c’est court de la corde pour passer l’ hiver. Chantal.

Tout le monde ne peut pas être une chèvre à monsieur Seguin!

J.L. Beaufils dit: à

Paul Morand n’aurait-il pas un nez plutôt bourbonien?

J.L. Beaufils dit: à

Comme nouvel intervenant, qu’est-ce qu’on se sent seul sur ce blog!

Marie Sasseur dit: à

L’infect morandise. Disons qu’il singe son mentor. L’usage du bien écrire en moins, évidemment.

Marie Sasseur dit: à

@qu’est-ce qu’on se sent seul sur ce blog!
Bof, un fake de plus ou de moins, au point où certains veulent faire plonger ce blog…

Janssen J-J dit: à

@ JL Gendre,

« Dear colleagues, Once again, and until at least 1st December, our country is facing a period of lockdown, although not quite in the same conditions as those that prevailed in the Spring, as announced by the President of the Republic and the Prime Minister.
It is essential for both the activities of the CNRS and scientific life to carry on. More than ever, the world needs science to overcome this crisis. The CNRS, its laboratories and services will remain open and accessible, subject of course to the measures that will be implemented by our host partners, with whom we work hand in hand towards common goals.
As explained by the Prime Minister, ‘research activities must continue, either by means of remote working whenever possible, or on-site when distance working is not feasible’.
Those who need to travel to their workplace will be provided with the necessary paperwork, duly signed by the heads of their respective units (laboratories, regional offices, departments and other services). Each unit will be responsible for adapting its working conditions to its own specificities and constraints, with particular attention paid to PhD students. In any case, reinforced hygiene protocols that have been in place over the past few months (use of masks and hand sanitiser, ventilation, social distancing etc.) will have to be strictly observed.
I kindly ask those who will work remotely during this lockdown, and especially vulnerable staff, to register their status in the Agate system, as was the case in the Spring.
All events and conferences that involve the presence of the public must be postponed. All missions outside of Europe, save for a few exceptions, are prohibited.
Finally, may I ask you to check the information and instructions that are regularly updated on the Intranet system, and in particular the FAQ that feature in the instructions and advice section.
We will come out of this crisis, but we must be patient, civic-minded, and show solidarity.
Look after yourselves, your loved ones and your teams.
Kind regards,
A. P.
CNRS Chairman & CEO
——–
mais non : vous n’êtes pas seul, J.L. Beaufils, voyez (j’espère que ce n’est pas votre vrai nom, sinon vous êtes mort, icite ça pardonne pas, les pseudos sont obligés, que l’dirait M. Patrice Charoulet, de Dieppe) !

NB / Rien compris au message trop crypté de dirfil. Est-il oui ou non dans le camp Morand ? Pourtant, oui, nous sommes tous des spécialistes de son œuvrette.
Bàv, Comment réussissez-vous à vous crocheter à cette galère ?

Chaloux dit: à

La joie saine du coucourbitacée… La prose de ce demeuré illisible de Gigi la visqueuse… Tout un programme. On me permettra de leur préférer Morand.
Quant au boumou, inutile de d’être grossier, de lui lancer « va te faire enc… », suffit de lui dire, « jouis de ta collection »!

Joie de l’ehpad jamais n’est fade!

Hurkhurkhurk!

Janssen J-J dit: à

@ certains veulent faire plonger ce blog
Ah bon ?… mais qui voudrait se shier sa branche, ma soeur duconne ?

Chaloux dit: à

J.L. Beaufils dit: à
Comme nouvel intervenant
.

Deviens copain avec bouguereau. Malgré son mètre 57 et ses 48 kilos, il est affectueux comme un boxeur poids-lourd, et il a plein d’accessoires. Tu vas voir, tu vas te sentir beaucoup moins seul très rapidement!

Après, c’est vrai, tu risques de ne plus pouvoir t’assoir, mais tu verras, il parait qu’il y a d’excellentes rééducations!

Hurkhurkhurk!

bouguereau dit: à

Rien compris au message trop crypté de dirfil. Est-il oui ou non dans le camp Morand ?

du camp..grossier personnage!..dirphilou c’est la vestale

et alii dit: à

entre cocktail et queue de pie ,on ne trouve pas son oiseau aujourd’hui
bonsoir

bouguereau dit: à

L’infect morandise. Disons qu’il singe son mentor. L’usage du bien écrire en moins, évidemment

même térezoune subodore quelque fumet supérieur..la gorette renifle la truffe

bouguereau dit: à

« en moins de dix ans, l’Afrique retourne au gorille »

..pour térezoune..c’est du trop long!

bouguereau dit: à

Bof, un fake de plus ou de moins, au point où certains veulent faire plonger ce blog…

allons..une parthénogénesie de keupu..qui plomberait

J.L. Beaufils dit: à

Deviens copain avec bouguereau.

Mais on ne comprend rien à ce qu’il dit ce bouguereau et surtout à qui il s’adresse.
Qui est-ce ce dirphilou?

J.L. Beaufils dit: à

Et keupu, donc!
C’est le dahu du blog ou quoi?
( Et hélas,on ne se sent pas moins seul!)

J.L. Beaufils dit: à

Bouguereau, on dirait un petit sec et nerveux, tout en trique, comme un dénommé Bloom d’ailleurs.
Vraiment je vais quitter ce blog aussi vite que j’y suis entré!
Ciao!

J.L. Beaufils dit: à

En plus je n’aime pas Paul Morand…
Re ciao!

renato dit: à

On trouve de temps en temps ici un vieux schnock qui joue le nouveau venu juste avant de partir et ciao ! Reviendra-t-il caché derrière un nouveau masque ?

vedo dit: à

@Bloom
En effet, le site de la librairie est très bien fait. Tout à fait ce que l’on peut souhaiter. Merci. Je suis à plus de mille lieues, mais je ferai quelque chose pour apporter mon soutien.

Marie Sasseur dit: à

La manif’ pour tous

« Monsieur le Président de la République: M. le Président de la République,faisons le choix de la culture en rouvrant les librairies – Signez la pétition ! http:// »

Puisqu’on vous dit qu’à la Fnac c’est ouvert.

C’etait bien une entreprise socialiste, non ?

Clopine dit: à

‘tain, finalement, les mesures sur le confinement sont ici superfétatoires.

Tous les commentateurs de ce blog sont en fait des confinés volontaires, et ce depuis… perpète… Allez, avouez, vous les hiboux façon vieille chouette, genre Marc Court quoi, qui hantez ce blog . Le confinement, vous le pratiquez de toute façon, et depuis… pfouu… : tant vous avez peur de sortir dehors…

Marie Sasseur dit: à

Y’a que la clop’ internée volontaire, qui sauve la mise…🤣

renato dit: à

« … peur de sortir dehors… »

Comment pouvez-vous affirmer perentoirement cette votre illusion ? Que savez-vous de mes mouvements quotidiens ?

Marie Sasseur dit: à

Dernière minute . Finalement les libraires  » independants » préfèrent que les lecteurs soient les dindons de leur collaboration…

« La gronde des librairies indépendantes et de tous leurs soutiens depuis le reconfinement ce vendredi matin a porté ses fruits. Au moins en partie. À l’issue d’une réunion qui s’est tenue cet après-midi à Bercy, il a été décidé que les rayons livres des Fnac et des hypermarchés fermeraient dès ce vendredi soir et ce pendant une durée d’au moins 15 jours »

Janssen J-J dit: à

@ Tous les commentateurs de ce blog sont en fait des confinés volontaires

Sauf toi et moi, CT !… nous c involontaire, hein, une longue histoire de cocufiage provincial qui aurait mal tourneboulé, ça arrive des fois, voire à Parissss, pas en faire un drame, on s’en remet toujours, moi du moinsss 🙂 Gardons la têthaute, restons dignes. Approfondissons Marcel !
Bàv,

renato dit: à

Le Paul Edel nouveau est arrivé.

puck dit: à

sûr que j’ai lu l’Homme sans Qualités ?

j’ai pris un cours de lecture rapide, je l’ai lu en 15 minutes, c’est un livre qui parle de Cacanie et d’un homme sans qualités !

non mais des fois…

puck dit: à

« Le Paul Edel nouveau est arrivé. »

pour le bojaulay va falhoir encore attendre three weeks qui dirait Bloom.

puck dit: à

« vous les hiboux façon vieille chouette, genre Marc Court »

si ça cépa de l’amûre comme il dirait le joni.

« Quand tes cheveux s’étalent comme un soleil d’été, et que ton oreiller ressemble aux champs de blé… »

c’est beau comme du rimbo.

puck dit: à

« en moins de dix ans, l’Afrique retourne au gorille » ..pour térezoune..c’est du trop long!

ta raizon grebou ! un goriye samé que 5 heures en jet privé pour retourner en Afrique

renato dit: à

Si la covid-19 nous sauve de la récurrence du « bojaulay » nouveau ce sera déjà ça de gagné.

Marie Sasseur dit: à

@ » 5 heures en jet privé pour aller en Afrique »

Tout a fait. Avec Air France. Speriamo.
Et un peu plus de 24 heures, maintenant, pour atteindre les huit Béatitudes…

https://www.jesuschristsavior.net/Mount.jpeg

Je ne vous salue pas. Aucun d’entre vous.

puck dit: à

Marie Sasseur dit: Je ne vous salue pas. Aucun d’entre vous.
 »

Par la mère apprenant que son fils est guéri,
par l’oiseau rappelant l’oiseau tombé du nid,
par l’herbe qui a soif et recueille l’ondée,
par le baiser perdu par l’amour redonné,
et par le mendiant retrouvant sa monnaie….

Je vous salue, Marie.

Bloom dit: à

Dear Phil, je peux difficilement faire plus que vous renvoyer à l’article que Pierre Joannon, Consul honoraire d’Irlande à Nice, a commis sur les rapports entre votre protégé et « l’île des saints et des savants ».
On y trouve la réponse à ma petite devinette: il s’agissait de Sir Roger Casement, protagoniste du médiocre roman de Vargas Llosa, Le Rêve du Celte.
Bonne lecture.

Janssen J-J dit: à

@ dirphilou c’est la vestale

Ranimerait les braises uraniques de l’Herdélie moribonde ???? Aurait quel âge, au just ?

Marie Sasseur dit: à

@Aurait quel âge, au just ?
Celui d’une génération identitaire , pour qui c’est pas naître qu’il leur eût fallu.

puck dit: à

liste des trucs que le covid fait ou fera perdre :
– l’odorat
– le gout
– les pédales
– le moral
– le boulot
– la vie
– la confiance dans les politiques
– la confiance dans les scientifiques
– la paix sociale
– l’équilibre budgétaire
– la cohésion européenne
– le politiquement correct
– le sang-froid
– la démocratie
– le débat public
et encore un tas de trucs.

du coup à côté le bojolay c’est pénis.

Marie Sasseur dit: à

« ça arrive des fois, voire à Parissss, pas en faire un drame, on s’en remet toujours, moi du moinsss  »

C’etait donc ça.
Une paire de cornes grosses comac…

Tu m’etonnes que ça passe crème, cet exil au pays des chèvres.

D. dit: à

tant vous avez peur de sortir dehors…

…il aurait été difficile de sortir dedans. On fait c’qu’on peut. N’est-ce pas ?

puck dit: à

« …il aurait été difficile de sortir dedans. »

sicé possib dent la téory quantic déquantic qui dirait greubou.

sufi de voir le shah de chrodineguére.

Marie Sasseur dit: à

« M.Antoine Gallimard, ayant-droit de Paul Morand. »

Lol

puck dit: à

D. tu connais l’histoire du chat de Schrödinger ? c’est l’histoire d’un chat, plutôt sympa au demeurant, qui un jour s’est livré à une expérience sur son maitre Erwin : il l’a enfermé dans son bureau et il a éteint la lumière, là il a appelé tous ses potes chats du quartier, ils regardaient par la fenêtre, pendant ce temps le chat d’Erwin allumait la lumière et éteignait la lumière en appuyant si vite sur l’interrupteur qu’il arriva un moment où Erwin se retrouva dans deux états d’une parfaite superposition où il était là et il n’était pas là, les chats applaudirent à la fenêtre devant ce miracle et tous rentrèrent chez eux.

c’est de là qu’est née la fameuse théorique de ce chat qui au final s’est fait entuber par Erwin en se l’attribuant. et voilà ! maintenant tu mourras un peu moins bêtes du covid en respectant en peu plus les chats.

Marie Sasseur dit: à

Ah ben ça Passou, on comprend mieux ce compliment un peu anachronique.

Bref, ça devient irrespirable, ici.

puck dit: à

Marie Sasseur dit: Bref, ça devient irrespirable, ici
 »

problèmes respiratoires ? faut consulter très vite !

Marie Sasseur dit: à

@problèmes respiratoires ? faut consulter très vite !

T’inquiète, le geste barrière à un totalitarisme éditorial , ça vaccine contre ces servilités indignes.

Janssen J-J dit: à

@ de cornes grosses comac…

de quoi ?… des grosses connes comme dudur-charbichou ? Toujours ces histoires de cocues provinciales, elle had’ère… la bayadère des vaudevilles du vendredi !
Fait toujours mouche, fly-tox ma soeur, tu m’b-hétonnes, 🙂

Marie Sasseur dit: à

@ de cornes grosses comac…
de quoi ?

De chèvre de Charente Poitou.
Tu as été cocu ? La belle affaire.

Au moins une de sauvée. 😝

puck dit: à

et si le FN passait aux prochaines élections ?

Chaloux dit: à

Tu as été cocu ? La belle affaire.

Tout à fait probable. Gigi la visqueuse a un style à n’avoir pas eu d’érection suffisante depuis le départ du général de Gaulle. Pour le reste, c’est vrai, il est très suffisant.

Hurkhurkhurk!

puck dit: à

il écrira quoi passou comme article ?

Janssen J-J dit: à

@ Play liste farcie :
l’ode au rat ; le goum ; l’ospédale du larzac ; le mors allii ; le bulot cendré ; la vite Rouna ; la défionce des es polico-scientifiques ; lappé sozial ; le déséquilib’ du bridget «  »koikilencroûte » » ; la contusion européenne de SZ ; le politically uncut ; le sans-froid sang-dent ; la démoka rassie ; le débat racé.
J’en passe et des jean-michel,
Bàv,

Chaloux dit: à

Et très insuffisant.

puck dit: à

de cornes grosses comac…
 »

non, on va pas encore reparler de Flaubert !

puck dit: à

Janssen J-J dit: l’ode au rat
 »

encore un clone du greubou ?

greubou t’es pire qu’un couple de lapins !

puck dit: à

le génie de Trump : réussir à placer une majorité de juges anti progressistes qui bloqueront toutes les initiatives progressistes des démocrates : pour ceux qui pensaient que Trump était un imbécile, ça c’est du grand art.

Chaloux dit: à

J’aime bien Trump, je le trouve amusant. Et je ne trouve pas Biden (affaires du fils, confusion mentale etc.) tellement plus rassurant. Trump me manquerait s’il quittait la scène politique, comme une série TV qui s’arrêterait trop tôt.

Jazzi dit: à

« tu m’b-hétonnes »

Vous voulez dire qu’elle vous fait bander raide, JJJ ?

Bloom dit: à

Merci 3X.
Comme dans d’autres pays dysfonctionnels, le pire n’est jamais certain aux US. Le passage « Well-supported arguments, some of them in this magazine, have made the case that Trump fits the diagnostic criteria for psychopathy and narcissism. » me fait penser à l’excellent A First-Rate Madness, de Nassir Ghanemi, étude de psychiatrie politique consacrée, entre autres à Sherman, Roosevelt, Kennedy, Ghandi, Churchill…

Bloom dit: à

3J, bien sûr, je pensais à vos ex…

Janssen J-J dit: à

excellent DE NOTA BENE !… viens de tomber sur le sketche de dumayet – piéplu sur l’autre chaîne littéraire (à la sortie : « j’entre en Russie »).
mdr à la dernière image… Vaut le détour, guilleri !…

Brinqueballe dit: à

« Que savez-vous de mes mouvements quotidiens ? »

Ça pue,ça pète et ça sent le tabac.

Janssen J-J dit: à

@ jzmn (?)…, bander mou, plutôt… depuis le départ de la Générale, Yvonne de Charlot, la célèbre plongeuse de Bollywood, ma soeur…, hein !

Brinqueballe dit: à

renato dit: à

Si la covid-19 nous sauve de la récurrence du « bojaulay »

Encore un spécialiste de la courante à la raie!

rose dit: à

puck dit: à
Marie Sasseur dit: Je ne vous salue pas. Aucun d’entre vous.
»

Par la mère apprenant que son fils est guéri,
par l’oiseau rappelant l’oiseau tombé du nid,
par l’herbe qui a soif et recueille l’ondée,
par le baiser perdu par l’amour redonné,
et par le mendiant retrouvant sa monnaie….

Je vous salue, Marie.
Pleine de grâce, le Seigneur est avec vous

D. dit: à

Ce soir je baise.

D. dit: à

Ouarf. Et vous l’avez cru.

Marc Court dit: à

La Chouette d’Athena, Vara, je crois n’est-elle pas jusqu’à nos jours, chère Clopine, l’emblème de la sagesse?
Bien à vous.
MC

Jean Langoncet dit: à

@Parfaite carcasse de canard gras achetée ce soir 2,40€

En ce cas, on dit une Demoiselle de canard (comme le bec des bons masques aux endroits critiques)

renato dit: à

Ça m’a plutôt surpris, D. : « Tiens, je me suis dit, il transgrsse sur la distance physique ! »

et alii dit: à

renato, ce sont des chaussettes swag

et alii dit: à

 » Quand la nuit voile le jour, ces rapaces nocturnes au plumage doux, au bec crochu et aux puissantes serres, planent dans les airs dans un vol silencieux. Ils chassent ordinairement les nuisibles mais dévorent parfois les oiseaux endormis qu’ils prennent au dépourvu dans les ténèbres. Cependant, s’ils viennent à se montrer pendant le jour, ils sont aussitôt assaillis par ces derniers qui ont la Chouette et le Hibou en horreur. Animaux de compagnie des sorcières, on redoute leurs cris inquiétants et leurs gémissements qui présagent souvent une mort prochaine ou la stérilité. On dit qu’ils connaissent les secrets et les mystères de la nuit et qu’ils ont le pouvoir d’apporter aide et protection dans les ténèbres. Associés à la magie noire, ils prennent, parfois, l’apparence d’un démon. Autrefois, ces oiseaux de mauvais augures étaient cloués aux portes des masures pour conjurer le mauvais sort. Les plumes du Hibou sont utilisées dans les cérémonies rituelles et cet animal rempli la fonction de psychopompe. Quant à la Chouette effraie au plumage pâle et aux yeux noirs, sa présence est liée aux fantômes et aux apparitions. On la nomme la Dame blanche. Jadis, on prétendait que le Hibou avait quelques vertus surprenantes. Si l’on mettait son cœur et son pied droit sur une personne endormie elle avouait tous ses méfaits et répondait à toutes les demandes qu’on lui faisait. On dit encore aujourd’hui qu’une omelette aux œufs de cet oiseau est un remède souverain contre l’ivrognerie. Quand un Hibou ulule après le coucher du soleil, il prédit du beau temps. Ces oiseaux à l’apparence sage et réfléchie qui semblent méditer sur leur perchoir sont les symboles de la connaissance et de la vigilance. La Chouette est l’oiseau de Minerve, déesse de la sagesse et des arts de la guerre. Mais avant tout, ce qu’il faut voir dans les Chouettes et les Hiboux, c’est leur utilité. Ils font bonne guerre aux insectes et aux rongeurs nuisibles à l’agriculture, qu’ils dévorent en grande quantité ! »
http://zimzimcarillon.canalblog.com/archives/2012/06/17/24520017.html

JiCé..... dit: à

Samedi 31 octobre 2020, 5h29, 13°

« Alors, Paul Morand ? Un homme dépourvu de qualités humaines, lâche et méprisant, mufle avec les femmes, cynique avec les éditeurs, opportuniste avec tout le monde, ingrat jusqu’à la déloyauté avec ses amis, incapable de la moindre empathie avec ce qui n’est pas lui, d’une cupidité sans limite et d’une vénalité qui n’a jamais désemparé, bourgeois qui thésaurise jusqu’à son dernier souffle, le cœur sec, dépourvu de tout sens moral, prêt à tout pour jouir d’un honneur convoité, le dégoût des autres très sûr, de la morgue et un mépris de classe à revendre,
…/…
alors que Morand, qui avait tant de facilités, dédaignait le travail et l’effort à l’égal de travers méritocratiques. De toute façon, il avait un poil dans la main et rien ne lui aurait fait renoncer à la satisfaction de ses plaisirs immédiats : le luxe, le confort, la rareté, un certain hédonisme et un vrai dandysme, l’achat compulsif de puissantes automobiles, la conquête de toutes les femmes. » (Pierre Assouline)

Dieu me pardonne, mais ces qualités-là j’ai le plaisir de les partager. Elles me semblent tout à fait sympathiques, Morand les assumaient, et je lui rend l’hommage qu’il mérite : un homme vivant ses passions sans croire aux fadaises humanistes.

Que l’on m’explique en quoi elle rendent cet homme méprisable !

Ah oui, l’antisémitisme ? une convention de l’époque comme il y en a toujours partout et toujours…et comme on en trouvera toujours à ériger, des shoah, des goulag, des laogaï puisque l’homme est ainsi fait : un mammifère foldingue et arrogant !

Morand tu as bien vécu !

Marie Sasseur dit: à

« Sur la couverture jaunie, ces quelques mots: « Legatia Franceza » – ambassade de France. Depuis plus de soixante-dix ans, ce dossier dormait dans les archives des services secrets roumains. Tout juste déclassifié, il raconte l’activité de la « légation française » pendant la Seconde Guerre mondiale et, plus particulièrement, le rôle néfaste joué par son ambassadeur, un certain… Paul Morand. 

En juillet 1943, l’écrivain est nommé « ministre de la France » en Roumanie par Pierre Laval, alors chef du gouvernement de Vichy. Un choix contesté d’emblée: « Les membres de la légation française sont à la fois inquiets et curieux, car ce ministre est connu pour être un opportuniste, passé subitement de social-démocrate à nationaliste, à la solde de Doriot », écrit un mystérieux « Gaull », espion à la solde des Roumains.  

Le 3 août, une nouvelle note pose le décor: « Paul Morand est un sincère collaborateur du maréchal Pétain; il est peu probable qu’il puisse collaborer avec les membres de la légation française, qui sont contre la politique de Pétain. » De fait, sa mission est claire: « mettre au carré les Français trop libres pensants de Roumanie », résume « Gaull », le 27 août. Le lendemain, le nouvel ambassadeur arrive à Bucarest, accompagné de sa femme, une riche Roumaine d’origine grecque, Hélène Chrissoveloni. 

Très vite, le ton monte, et l’antisémitisme de l’écrivain affleure. Le 19 octobre, « l’homme de Vichy » s’en prend au directeur de l’Institut français, Jean Mouton. « M. Morand a demandé une statistique sur la fréquentation des éléments juifs aux cours et à la bibliothèque », écrit l’espion roumain. Puis Morand demande qu’on interdise l’accès des lieux aux juifs. « Mais M. Mouton a déclaré qu’il ne pouvait pas recevoir ces ordres », précise l’agent. L’altercation prend fin grâce à l’épouse de l’ambassadeur: « Elle a invité M. Mouton à boire un thé, et M. Morand a retiré ses ordres. » 

« Morand fait le jeu de la Gestapo »

Au fil des mois, le fossé ne cesse de se creuser entre Morand et son personnel. Surnommé « von Paulus », du nom du maréchal allemand battu par l’armée russe à la bataille de Stalingrad, l’ambassadeur fait saisir un récepteur grâce auquel le personnel consulaire écoute Radio Londres. Il s’en prend aussi à un diplomate qui procure des passeports à des juifs et à des prisonniers de guerre évadés.  

Une note, datée du 14 février 1944, révèle la tension qui règne alors dans l’ambassade : « Le ministre Paul Morand a demandé un rapport secret au gouvernement de Vichy pour remplacer le premier conseiller Spitzmuller et l’attaché militaire, le colonel Lafaille, suspectés d’être des partisans du général de Gaulle. Les cercles de la colonie française s’en sont offusqués. Paul Morand est accusé de faire le jeu de la Gestapo. » 

Dans les jours qui suivent, Paul Morand rentre en France. Cherche-t-il un appui? Le 15 mars, l’espion roumain alerte ses supérieurs: Morand revient à Bucarest « avec des pouvoirs spéciaux et des instructions pour arrêter l’action des Français libres ». Mais l’auteur de L’Homme pressé n’en viendra pas à bout. « Bien qu’une sommation ait été faite au nom du gouvernement Laval, ils ont refusé de présenter leur démission », rapporte l’espion, le 6 avril 1944. Quelques semaines plus tard, Morand quitte Bucarest et parvient à se faire nommer en Suisse. Il évite ainsi l’opprobre après la Libération »

C’est juste pour dire à Passou que son glissement sémantique  » activistes » paraît fort déplacé !

Marie Sasseur dit: à

« parvient à se faire nommer en Suisse. Il évite ainsi l’opprobre après la Libération »

Et on connait la suite, la vie de château , les plaisirs de la vie, quoi.

B dit: à

Ah oui, l’antisémitisme ? une convention de l’époque comme il y en a toujours partout et toujours…et comme on en trouvera toujours à ériger, des shoah, des goulag, des laogaï puisque l’homme est ainsi fait : un mammifère foldingue et arrogant

Il aurait pu s’écarter du pouvoir dont il ne pouvait ignorer la collaboration diligente. Il a adhéré sans le dire à cette fameuse tuerie industrielle en y apportant de plus sa caution d’intellectuel connu et entendu. Je ne comprends pas comment sous prétexte que les lâches ont toujours existé il faudrait lui pardonner la sienne, de plus assise sur un souci de confort, de luxe et de mondanités. Traiter par dessus la jambe l’ombre qui planait sur ce régime, il s’en est présenté de nombreux qui ont profité de l’aubaine pour des raisons différentes. Profiteurs, arrivistes, antisémites jaloux et envieux, abrutis

Qu’il n’ait aimé que lui en feignant d’ignorer le sort des juifs, des communistes, des opposants, des tziganes. Des homosexuels, des handicapés gazés, qu’il ne se soit pas mis en retrait bien au contraire en prêtant sa plume pour des discours édifiants réussit en dépit de son talent de littérateur à le percevoir en collaborateur habile à se tenir dans l’entre deux. Le propre de l’homme cultivé et intelligent me semble de pouvoir rester libre ou s’affranchir des dogmes, des courants quand ils visent à annihiler une portion non négligeable de l’humanité au moins pour continuer par respect pour soi même de lui appartenir dignement. Estimez vous que toutes idéologies soient digérables et qu’après coup on puisse passer les compromissions aux oubliettes? Comme si c’était rien, un détail dans le parcours de l’homme? Un peu facile mais au point où nous en sommes, après tout, pourquoi pas. Ce qui est mis en cause n’est pas tant l’oeuvre que chacun reste libre de decouvrir que l’homme et l’éternel débat sur la dissociation entre l’homme et son oeuvre. Faut il pardonner au prétexte de la qualité du texte, de la peinture? Je n’ai lu Qu’ouvert la nuit, aurait il donné de son engagement pétainiste et autres faits rapportés une trace littéraire honnête? Pardonne t on à d’autres les massacres, les répressions, leur compromissions, leurs erreurs d’appréciation ayant conduit ou ordonné à la mort d’hommes et de femmes. Les sphères du pouvoir politique dominant sont troubles, par ambition et facilité s’en approcher, participer et ensuite attendre une reconnaissance totale? Vous plaisantez?

Marie Sasseur dit: à

Samedi 31 octobre 2020, 6h33, 2eme jour de reconfinement.

JiCé..... dit: à

« Bérénice, une femme admirable, mais quelle naïveté ! »

Janssen J-J dit: à

Un papier qui décoiffe ce matin., ma soeur.
Merci de nous l’avoir déniché à l’Express…, Parfois, vous avez la main heureuse, faut dire ce qui hait. Bàv à Bahia !

Janssen J-J dit: à

Merci B., pour cette mise au propre de vos propos parfaitement recevables sur la sinistre engeance consacrée par la RDL. J’observe qu’il n’a pas beaucoup de défenseuses, à juste titre… Et sa biographe va devoir publier une deuxième version amendée, à la lumière de l’épisode Vichy et des archives roumaines de la Securitate.

Par ailleurs, on va devoir redébattre de l’essai de B. Hamon sur le RU. Il a pris le temps de peaufiner son projet politique depuis un an et demi. Il est devenu plus solide.
https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-du-week-end/l-invite-du-week-end-31-octobre-2020
ex Delaporte va pouvoir nous faire son come-back en Herdélie. A moinss qu’il ne soit plus d’accord… Hein !

NB / Heureux que les mômes soient interdits de visite chez les gens pour récolter des bonbecs à l’occasion de cette conn… de fête commerciale venue des States.

Bàv,

Soleil vert dit: à

Janssen J-J dit: à
Un papier qui décoiffe ce matin., ma soeur.

Oui excellent papier qui montre bien que Morand était un activiste et pas seulement un « antisémite dans l’air du temps »

Morand Von Paulus mdr

puck dit: à

Marie Sasseur dit: les plaisirs de la vie, quoi.
 »

vrai que devenir académicien et ambassadeur après avoir été collabo ça doit être jouissif : ça confirme l’idée qu’on se fait de la connerie humaine.

B dit: à

Bérénice, une femme admirable, mais quelle naïveté ! »

C’était une provocation, néanmoins, elle permet de rendre audible la défense du littérateur(Phil qui classe son dossier politique pour quantité négligeable et insignifiant ) et le procès en règle du collaborateur.

Janssen J-J dit: à

voir cette gueule de con autosatisfaite, apparaître en casoar tous les matins ! quelle épreuve (chapeau à bas) « Morut, t’as bien vécand », kidiljissé du matin. Viv’ment dimanche, au bout de la jetée du débarkhader de pkrl, con en finisse un brin !

Bàv

puck dit: à

3j why ? j’adore cette photo, ce regard, ce sourire qui semble dire : « je vous ai bien eu bande de cons ! »

B dit: à

ne s’adresse pas qu’aux plus démunis, mais serait perçu par tout le monde.

Pas d’accord, pourquoi ceux qui n’en ont pas besoin le percevait? C’est n’importe quoi, pour accroitre leur capacité d’épargne? Donner un peu plus d’argent de poche à leurs enfants, maintenir l’écart entre les pauvres et ceux qui ne le sont pas? Embaucher un domestique, un jardinier, une cuisinière?

Janssen J-J dit: à

allons bon D. Vous réagissez trop vite sans prendre le temps de réfléchir, de contextualiser,de vous pénétrer des propos d’Hamon… Lisez le bouquin à la fnac sans l’acheter, d’abord : par ex, vous verrez que la femme au foyer d’un grand bourgeois de Neuilly a besoin, elle aussi, d’un RU minimal de 750 euros, comme tout le monde, pour sauvegarder sa dignité.
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ B (oups)

depuis que D. a failli baiser Morande hier au soir, l’est pu le même.

B dit: à

Percevaient. Ou s’offrir un peu plus d’entrées à l’opéra Garnier,au théâtres Champs Élysée, acheter le collection Gallimard, des Pleiades au complet, sans compter que Hamon avait livré des comptes d’apothicaire dans sa première mouture. Il faut évidemment tabler sur l’augmentation de l’imposition des ménages moyennement aisés, aisés, ce qui fait qu’au bout du compte alambiqué qu’il donnait, cet argent issu d’un hypothétique RU pour les non pauvres aurait vaguement accru le revenu de ces ménages.

Janssen J-J dit: à

@ jzmn. Normal…,
JT (49 ans) a un peu plus de bouteille et de plomb dans la tête que EM (43 ans).
Epice, ‘l’art des accommodements raisonnab’, la France sait pas trop ce que ça veut dire, à cause du dogmatisme de l’article 1 de la C° gaulliste. Cela dit, faudrait pas trop se désolidariser de notre bon président. Car Recepp Erdogan finirait par nous le déstabiliser (en cours de géopolitique, qu’ils nous ont dit). Bàv,

B dit: à

Jazzi, est rappelée également une réflexion de J Chirac à propos de sa vision de la liberté d’expression. Elle ne justifie en rien les crimes commis par cette secte néo nazie que représente la mouvance islamiste . Des fanatiques, des cinglés . Un peu dans le genre de ceux qui ont sévi sous l’inquisition. Qu’ils apportent la preuve de l’existence de Dieu, ils n’en sont pas une ou alors leur Dieu et son représentant et porte- parole autrement appelé prophète sont les suppôts du malheur sur terre, soit Satan pour les chrétiens et qui est son contraire. Ils se livrent à un dévoiement de l’Islam. De toutes manières même sans caricatures ils s’en prennent aux chrétiens, d’Orient, aux Coptes. Des salopards d’un nouveau genre.

et alii dit: à

sur « conversation » des femmes s »attaquent aux couleurs du racisme:

Les bronzées

Cléa et moi-même sommes journalistes pour The Conversation depuis quelques années, maintenant. Elle est en charge de la rubrique Politique et Société, tandis que je pilote la rubrique Culture. Toutes les deux, nous avons observé un phénomène étrange et récurrent, qui ne manque pas de nous faire sourire : dans le cadre professionnel, il arrive que l’on nous confonde. Certes, nous sommes toutes les deux des femmes, dans la même tranche d’âge. Certes, nos prénoms se finissent en « a ». C’est vrai, nous avons quelques points communs. Mais on nous confond aussi, évidemment, parce que nous sommes toutes les deux « issues de la diversité ». Zannad et Chakraverty – nos patronymes – ça dénonce tout de suite une histoire d’immigration, qui recouvre en fait des réalités très différentes.

Fortes de nos points communs et de nos divergences, nous avons eu envie de lancer un projet au long cours, avec la complicité des chercheuses et des chercheurs qui travaillent sur le terrain. L’objectif ? Rendre compte, à travers un dossier mensuel décliné en plusieurs formats, des réalités des discriminations de toutes sortes et du racisme en France, aujourd’hui.

Le postulat de cette série, c’est que nous sommes tous responsables de l’évolution des mentalités, à condition de déconstruire nos préjugés et de comprendre les mécanismes à l’œuvre dans le racisme systémique. Cette prise de conscience pourrait nous aider, individuellement et collectivement, à entrevoir des solutions concrètes. Les universitaires nous mettent sur la voie, en partageant les résultats de leurs enquêtes et de leurs travaux de recherche les plus récents.

Le dernier samedi de chaque mois, jusqu’en mars 2021, nous vous donnons donc rendez-vous avec une Grande Conversation dédiée à la série « Les couleurs du racisme ». À chaque fois, nous vous proposerons un article long format, un décryptage visuel, un podcast.

Aujourd’hui, on se penche sur le racisme « bienveillant », pour comprendre comment l’humour, l’admiration ou une apparente légèreté peuvent reconduire des clichés et empêcher la connaissance de l’autre. Anne Zhou-Thalamy (ENS) fait le point sur la racialisation des personnes d’origine asiatique ou perçues comme telles en France ; Erick Cakpo (Université de Lorraine) analyse un extrait du film Princesse Tam-Tam, avec Joséphine Baker dans le rôle-titre, tandis que Carole Reynaud-Paligaud (Université Paris 1 Panthéon Sorbonne) lit et analyse un extrait du Roman d’un spahi de Pierre Loti.

Bonne lecture,

Sonia Zannad

Cheffe de rubrique Culture

Les représentations sur les valeurs, le travail ou encore les compétences des personnes d’origine asiatique s’inscrivent dans une forme de racialisation ‘positive’ mais ne sont que le résultat d’un système discriminatoire qui radicalise l’altérité de ce groupe minorisé. FRANCOIS GUILLOT / AFP
« Ah ces Chinois, ils travaillent dur ! » : quand le racisme se veut « bienveillant »
Anne Zhou-Thalamy, École normale supérieure (ENS) – PSL

«Ce que j’admire moi vraiment chez les Asiatiques, c’est qu’ils sont là pour travailler et ils s’intègrent grâce au travail. On devrait s’en inspirer.».

Décryptage

Une image du film “Princesse Tam Tam”, avec Joséphine Baker. Youtube
Auto-essentialisation : quand Joséphine Baker retournait le racisme contre elle-même
Erick Cakpo, Université de Lorraine

Joséphine Baker s’est approprié les stéréotypes associés à sa couleur de peau dans un jeu de paradoxes oscillant entre acceptation et détournement des représentations imaginaires européennes.

Podcast

Illustration du Roman d’un spahi, édition de 1936, éditions Calmann-Lévy. Illustrateur : Charles Fouqueray.
Podcast – aimer l’objet de son mépris : Pierre Loti et les amours coloniales
Carole Reynaud-Paligot, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Lecture et analyse d’un extrait du « Roman d’un spahi » de Pierre Loti par une historienne spécialiste des processus de racialisation.
La Grande Conversation du week-end : Les couleurs du racisme

je sais que les corbeaux passent pour des oiseaux TRES INTELLIGENTS merci

et alii dit: à

POSTER SUR LES OISEAUX
L’oiseau le plus intelligent du monde : le corbeau
L’oiseau le plus intelligent du monde : le corbeau Le corbeau: Est-ce l’oiseau le plus intelligent du monde? Pourquoi? Quelles sont ses compétences et ses capacités pour être considéré comme intelligent? Sans aucun doute, c’est l’un
https://sexadodeaves.com/vlog/fr/loiseau-le-plus-intelligent-du-monde-le-corbeau/
https://sexadodeaves.com/vlog/fr/loiseau-le-plus-intelligent-du-monde-le-corbeau/

puck dit: à

Jazzi dit: Justin Trudeau serait-il un lâché et un collabo »

Justin a raison, et le mot « collabo » est malvenu.

certains ont effectivement comparé la critique de ces caricatures au silence face au nazisme : c’est débile !

l’idée de la caricature fonctionne quand on est face à des personnes qui ont un minimum de jugeote.

alors que là c’est comme vouloir expliquer à un chat que c’est pas bien manger des souris.

ces gens ne comprennent aboslument rien de ce qu’on leur dit, d’où le mot « inutile » employé par Trudeau.

et effectivement : c’est INUTILE !

fallait juste y penser avant.

c’est comme Morand : le problème ce n’est pas lui c’est ces gens qui l’ont nommé académicien et ambassadeur, ces types étaient les derniers des cons, mais pas Morand qui est resté fidèle à lui-même.

faut pas inverser les problèmes !

JiCé..... dit: à

ON A TROUVE PLUS CON QUE GIGI LA VISQUEUSE !

« L’archevêque de Toulouse Mgr Robert Le Gall a affirmé vendredi 30 octobre que «la liberté d’expression a des limites» et qu’«on ne peut pas se permettre de se moquer des religions, (car) on voit les résultats que cela donne». »

Compliment Bobby le Galeux ! Bienvenue au Club, vieille merde !…

puck dit: à

hier on a arrêté à Lyon un type qui se baladait avec un couteau avec l’intention d’égorger des gens.

quand les flic l’ont interrogé il a répondu qu’il entendait la voix d’Allah lui demandant de faire ce qu’il allait faire.

et voilà ! il y a eu un moment dans l’histoire de ce pays où l’on a fait entrer des centaines de personnes qui entendent la voix d’Allah, comme Jeanne d’Arc.

qu’est-ce qu’on y peut ? rien !

puck dit: à

parce que c’est pas les caricatures de Charlie Hebdo qui auraient empêché Jeanne d’Arc d’entendre des voix.

face à des gens qui entendent une voix venue du Ciel plus rien ne fonctionne, et tout le monde est niqué.

puck dit: à

et ça faudrait que quelqu’un prenne du temps pour aller l’expliquer aux types de Charlie Hebdo parce que, malgré ce qui leur est arrivé, ils n’ont l’air de l’avoir encore compris.

pour le coup les plus cons dans l’histoire c’est eux ! parce que cette bande débiles profonds ils ont l’air très long à la détente si je puis me permettre d’employer ce mot.

bouguereau dit: à

Compliment Bobby le Galeux ! Bienvenue au Club, vieille merde !…

c’est une tarde venue..l’hélu..la mieux compostée c’est keupu

JiCé..... dit: à

J’ai souvent entendu une voix venue du Ciel qui me conseillait du haut de sa bienveillance céleste, une voix à fort accent séfarade de Celui qui était pour moi jusqu’à hier UN DIEU. Son nom ? Pierre Assouline !

Pourquoi la liberté d’expression est absolument nécessaire, y compris pour se gausser de toute divinité, pour être, tout simplement ! Pour être entier !

Aussi je n’hésite pas à crier au Ciel debout sur ma trottinette à hydrogène :
« Divin Passou ! Ton mépris pour Morand est plus léger que celui que ton billet actuel a généré en moi, à ton sujet.
Ton mépris pour MORAND est méprisable, Assouline ! Amen »

bouguereau dit: à

Justin Trudeau serait-il un lâché et un collabo, Alexia Neuhoff ?

justin c’t’un pov garçon qui sait même pu causer la france..à chaque fois qu’il s’y essaie croyant qu’il peut..il s’y fait moquer sa mère..pense à la tienne baroz..elle elle devait savoir cque c’était que la laicité c’est pas une bible dans un tiroir qu’on a le droit attation..de laisser fermer..sans suplément..honte..hontatoi

bouguereau dit: à

ne dites pas ‘Ton mépris pour MORAND est méprisable’ dites ‘par la volonté de yavé il est biodégradable’

bouguereau dit: à

Morand tu as bien vécu !

pour te remercier de lui havoir fait une belle jambe il va zombifier hun peu à alouïne en sonnant à la lourde de kabloom pour lui dmander des bonbons..pasque les fleurs c’est périssabe

JiCé..... dit: à

AGIR

Nous autres, humanistes laïcs de bidet laïc d’hôtels de passe républicains, nous devons nous servir des dernières inventions technologiques de brouillage : la substitution d’écoute.

Ainsi, le terroriste venu des sables orientaux ou des terres africaines entendra en lieu et place de la Voix du Chamelier lui ordonnant de tuer le plus possible des mécréants, un autre message chanté, traduit bien évidemment.

Exemple ?!

AH LE PETIT VIN BLANC

Voici le printemps
La douceur du temps
Nous fait des avances
Partez mes enfants
Vous avez vingt ans
Partez en vacances
Vous verrez agiles
Sur l’onde tranquille
Les barques dociles
Au bras des amants
De fraîches guinguettes
Des filles bien faites
Y a des chansonnettes
Et y a du vin blanc

Refrain
Ah, le petit vin blanc
Qu’on boit sous les tonnelles
Quand les filles sont belles
Du coté de Nogent
Et puis de temps de temps
Un air de vieille romance
Semble donner la cadence
Pour fauter, pour fauter
Dans les bois, dans les prés
Du côté, du côté de Nogent

Suivant le conseil
Monsieur le Soleil
Connaît son affaire
Cueillons, en chemin
Ce minois mutin
Cette robe claire
Venez belle fille
Là, sous la charmille
Soyez bien gentille
L’amour nous attend
Les tables sont prêtes
L’aubergiste honnête
Y a des chansonnettes
Et y a du vin blanc

Ah, le petit vin blanc
Qu’on boit sous les tonnelles
Quand les filles sont belles
Du coté de Nogent
Et puis de temps de temps
Un air de vieille romance
Semble donner la cadence
Pour fauter, pour fauter
Dans les bois, dans les prés
Du côté, du côté de Nogent

À ces jeux charmants
La taille souvent
Prend de l’avantage
Ce n’est pas méchant
Ça finit tout le temps
Par un mariage
Le gros de l’affaire
C’est lorsque la mère
Demande, sévère
À la jeune enfant
« Ma fille raconte
Comment, triste honte
As-tu fait ton compte?
Réponds, je t’attends »

Ah, le petit vin blanc
Qu’on boit sous les tonnelles
Quand les filles sont belles
Du coté de Nogent
Et puis de temps de temps
Un air de vieille romance
Semble donner la cadence
Pour fauter, pour fauter
Dans les bois, dans les prés
Du côté, du côté de Nogent

Car c’est toujours pareil
Tant qu’y aura du soleil
On verra les amants au printemps
S’en aller pour fauter
Dans les bois, dans les prés
Du côté, du côté de Nogent

bouguereau dit: à

J’aime bien Trump

rien de sa condition ne lui est étranger à mon larbin

B dit: à

Et puis je le répète, la condition des femmes sous ce régime traditionnel ou extrémisé resterait à actualiser bien que les moyens pour donner la mort par arme blanche soit elle aussi
ancrée dans une tradition ancestrale. Cependant ils ne crachent pas sur l’informatique, la technique en général, sur les kalachnikovs, en bons croyants, il serait logique de les voir y renoncer. On est d’aujourd’hui ou on ne l’est pas. Il faut choisir, idem pour les soins dont ils ont besoin, qu’ils soient soignés comme au Xeme siècle après Jésus Crist, soit quelques siècles après l’avènement de leur prophète irrépresentable (selon le mode de vie d’alors et l’avancée des sciences de ce siècle lointain) et dont nul n’a le droit sous peine de mort de plaisanter, ceci pour plus de cohérence. D’ailleurs, jusqu’à présent, pour les sciences dures, ce qui ne se voit pas n’existe pas. D’où les recherches incessantes pour perfectionner les outils de recherche diagnostic. Dieu quelque soit le nom que les hommes lui donnent existe t il? Philosophiquement, non, et ce n’est pas ces guerres à cellules cancéreuses disséminées qui prouvent le contraire. Pourquoi pas Assad à l’origine de tant de desastre et misère humaine, plus facile de s’en prendre à des êtres sans défense, quel courage.

Bloom dit: à

Contre le jivarisme de service, l’histoire d’Earl Warren et de sa Cour (1953-69).
Assez sale type que ce Earl Warren, nommé par Eisenhower en 53 : figure de l’establishment républicain, anticommuniste fervent, partisan de l’internement des Japonais pendant la Seconde guerre mondiale…
Rien ne laissait présager que ce trois fois gouverneur de Californie allait se révéler un des présidents de la Cours suprême la plus progressiste de l’histoire des EU, notamment dans la lutte contre les discriminations et la ségrégation raciale, avec des arrêts comme Brown vs. Topeka Board of Education (1954), Green v. School Board of New Kent County (1968). D’autres arrêts célèbre sont rendus, comme Engels vs; Vitale (1962) qui interdit les prières dans les écoles publiques et Griswold vs. Connecticut, qui reconnait qu’il existe un droit implicite à la vie privée dans la Constitution.
Et on ne parlera pas de son rôle en tant que président de la commission d’investigation sur l’assassinat de Kennedy.

Se fier aux jivaros, alors qu’il est possible à tout moment de s’offrir un surcroît de réflexion? Quelle erreur!

et alii dit: à

mécréants,onne dit plus kouffar?

Alexia Neuhoff dit: à

Monsieur Trudeau est ce qu’il est : canadien. Il s’exprime en tant que tel.
à JJJ : je reviens -sauf erreur- de vos terres saintongeaises. J’ai séjourné dans un charmant moulin au milieu des marais doté d’un excellent restaurant gastronomique. Le gourmet que vous semblez être doit le connaître.

renato dit: à

Jules César a dit que « les hommes se soucient davantage de ce qu’ils ne peuvent pas voir que de ce qu’ils peuvent voir », on pourrait ajouter que cela explique la quantité de crètins qui habitent le monde.

Cela dit, en France le blasphèmé n’est pas puni par la loi, donc les Français peuvent blasphèmer s’il veulent. Normalement les autres devraient respecter cette particularité curieuse ; mais bon, les monothéistes sont particulierement intollerants, surtout ceux qui sont sous la botte de personnages innommables qui cachent leurs comportements arbitraires derrière la religion.

Pour ma part, je trouve l’esprit-charlie moins intelligent que l’esprit-caserne, mais ce n’est qu’une question de gouts.

Jazzi dit: à

Quand j’ai dit ici que je n’étais pas sûr que l’initiative de Carole Delga, la présidente de la Région Occitanie, de publier les caricatures de Charlie hebdo sur les façades des bâtiments publics de Toulouse et Montpellier soit une bonne idée, je me suis fait traiter de lâche et de collabo.
Heureusement que les gens sont moins cons que l’on croit et cette manifestation a été un échec. Il y avait plus de journalistes et de flics que de public.
L’urgence est à l’action pour le vivre ensemble, pas à la division et à la haine.
Je pensais avant tout à mes petits neveux et nièces qui, comme Maïewenn, ont du sang arabe dans leur ADN.

et alii dit: à

M.Mécréant est le nom d’un traducteur de japonais:

SHIGA NAOYA
Errances dans la nuit
Trad. du japonais, préfacé et annoté par Marc Mécréant

Collection Connaissance de l’Orient (n° 117), Série japonaise, Gallimard

bouguereau dit: à

Heureusement que les gens sont moins cons que l’on croit et cette manifestation a été un échec. Il y avait plus de journalistes et de flics que de public

la religion a le populisme dans le sang baroz

bouguereau dit: à

Je pensais avant tout à mes petits neveux et nièces qui, comme Maïewenn, ont du sang arabe dans leur ADN

l’enfer est aussi pavé de tes bonnes hintentions baroz

bouguereau dit: à

Pour ma part, je trouve l’esprit-charlie moins intelligent que l’esprit-caserne, mais ce n’est qu’une question de gouts

l’antimilitarisme et le respect au drapeau est haussi une donné de l’hestoire du blasphème rénateau..pour hun italien c’est trés dur a comprende

bouguereau dit: à

Monsieur Trudeau est ce qu’il est : canadien. Il s’exprime en tant que tel

pépèpe..à quebec..canada..hon sait cqu’est la poutine s’rouler a poil dans la neige..et la laicité « française »

Jazzi dit: à

Résistance ou incivilité, on enregistre un fort mouvement de frondes généralisées partout en France contre les mesures de reconfinement ?

et alii dit: à

j’ai rappelé je Japon de mécréant comme une vieille chouette-renato je crois qu’on le dit encore en italien, si je me fie à ma nièce italienne- puisque vous avez pu lire dans l’article sur la chouette d’Athena que l’auteur avait écrit un article(persée) « grece et japon  » dans Beaux arts et comparait la chouette aux netsuke

renato dit: à

Les Kafir sont aussi une pauplade, les derniers païens de l’Hindoukouch. Je me souviens qu’ils m’ont bien accueilli lors de mon voyage en Afghanistan et Pakistan. Très civilisés, contrairement à leur voisins d’une sauvagerie sans pareil.

et alii dit: à

l’auteur des articles quej’ai évoqués est
Autres activités
Archéologue, historien de l’art, enseignant

Sujets d’étude
Peinture de vases grecs, terres cuites grecques, antiquités grecques, antiquités orientales (élamites, assyriennes, hittites)

Carrière
1874-1877 : École normale supérieure
1877 : agrégation de lettres (reçu quatrième)
1877-1880 : École française d’Athènes
1880-1882 : maître de conférences de langue et de littérature grecques à la faculté des lettres de Rennes ; fouilles de Myrina, en Asie Mineure, avec Salomon Reinach et Alphonse Veyries
1882-1883 : maître de conférences de langue et de littérature grecques à la faculté des lettres de Toulouse
1883 : docteur ès lettres

https://www.inha.fr/fr/ressources/publications/publications-numeriques/dictionnaire-critique-des-historiens-de-l-art/pottier-edmond.html

renato dit: à

« l’antimilitarisme et le respect au drapeau est haussi une donné de l’hestoire du blasphème »

Toujours en retard d’un TEE notre petit célinen. Déjà seulement à l’idée de saluer un drapeau je ris à me pisser parmi ; et je suis antimilitariste depuis les lontains années 60 sans me cacher derrière le blasphèmé comme un con qui se cacherait derrière son dieu ou sa « laïcité ».

Non, mais… Ce n’est pas un machin peticon qui peut donner de leçons, qu’il épuise son pak de six et qu’il vomisse se préjugés ailleurs.

Janssen J-J dit: à

@ Aleskia, Merci, vous avez très bon goût aussite. A l’abbaye de Maillezais, dans le Marais P., vous le savez, les croque-morts ont fêté récemment leur banquet annuel. Ce qu’on a pu s’y gourmer, vingt dieux !… Faites-vous allusion itou aux terres de l’Enard ?
____
@ Machin4 : ON A TROUVE PLUS CON QUE GIGI LA VISQUEUSE !
¿Cómo es posible?

Jazzi dit: à

Conspuer l’armée ou la police n’est pas non plus une bonne idée, renato.
Il a fallu quelques minutes à la police municipale, armée, de Nice, qui a payé un lourd tribu le 14 juillet 2016, pour intervenir et empêcher un plus grand carnage !

Janssen J-J dit: à

@ mes petits neveux et nièces ont du sang arabe dans leur ADN.

Eh bé, êtes allés vite en besogne avec Chedli B., dites dong !
(je plaisante comme vous, hein, n’y voyez pas à malle-…poste).
Bàv2,

Janssen J-J dit: à

@ un fort mouvement de frondes généralisées partout en France

Résultats en 2022 => : Markon réélu, haut les mains & koikilencroûte !

B dit: à

J’ai séjourné dans un charmant moulin au milieu des marais doté d’un excellent

Faudrait-il prendre cela pour parole d’Évangile. Comme d’autres ici qui par leur parcours incroyable ont sejourné partout et rencontré tant de monde, j’ éprouve parfois des doutes quant à la véracité des différentes expériences rapportées. Je me demande si à défaut d’être contaminés par l’extrémisme religieux, cette république n’abriterait pas en son sein d’éminents mythomane graphomanes à leurs heures, ceci sans vouloir mettre en question l’inestimable esprit de partage qui nous anime.Quand ce ne sont pas des espèces de paraboles symbolistes lourdes de secrets laissées à l’interprétation et qui nous poussent à nous prémunir du délire qui pourrait en découler. Un peu pathogène ce blog, tout de même. Auriez vous gardé un souvenir des spécialistes maison, de la carte, du menu, pour nous mettre l’eau à la bouche et nous faire sombrer dans les affres de l’envie?

B dit: à

spécialités.

Clopine dit: à

Dites, les erdéliens, comment pourrait-on faire pour soutenir nos librairies ? Le gouvernement ferme les rayons livres des grands magasins (fnac, etc;) mais il semble toujours possible de se faire livrer via amazon.

Bref, ce qui est en train de se passer est dégueulasse pour nos amis libraires.

Je rappelle que le blog s’appelle « la république des livres ». Pas « la république des livres confinés ».

Je pense qu’il faut organiser la gronde. Je propose que des voix éclairées, comme celle de notre hôte, soient entendues. Faire jouer les réseaux pour qu’une dérogation soit obtenue pour les librairies de quartier, avec attestation dérogatoire spécifique, et que nos écrivains les plus célèbres fassent état de cette proposition sur les chaînes télé, les réseaux sociaux, et interpellent en prime les politiques.

De toute urgence…

Dites, Pierre Assouline, ça aurait-il du poids, si les jurés Goncourt, comme un seul homme, se positionnaient en ce sens et pèsent de toutes les façons possibles sur les politiques ?

Quelqu’un a une autre idée ?

organisons la résistance : la république des livres doit justifier son titre, non ?

renato dit: à

Où et quand j’ai conspué l’armée ou la police, Jacques ? Il faudrait aporendre à vous tenir aux fait. Les faits étant donnés, être antimilitariste et rire à l’idée de saluer en bout de tissu c’est mon droit. Est-ce que ce blog est vraiment frequenté par des lecteurs ?

Janssen J-J dit: à

@ etalii, txfl, je suis un vieux kafîr parmi les kouffars de l’Herdélie…, vu que je nie des choses pas propre chez Morand tout en sachant qu’elles ont réellement existé.
Tuwois l’genre de dilemme, muslim !…

Jazzi dit: à

« Quelqu’un a une autre idée ? »

Il suffit de ne pas passer par Amazon, Clopine. Ce que je n’ai jamais fait…

rose dit: à

« Pour ma part, je trouve l’esprit-charlie moins intelligent que l’esprit-caserne, mais ce n’est qu’une question de goûts »

Il en faut pour tous les goûts. G une excellente adresse à Marseille, proche des calanques pour le goût de la Légion.

Privation de la liberté, pas d’argent de poche, privation des biens. On y mange bien.

louis-ferdinand lévy dit: à

Dieu n’est matière à plaisanterie que dans nos contrées blanches et civilisées, pour des millions de musulmans dans le monde et certains pays islamiques, le blasphème est un crime passible de la peine de mort par décapitation.

Nous avions fini par oublier, dans notre bêtise et notre arrogance, ce que le mot blasphème veut dire et toute la violence qu’il recouvre. L’islam nous le rappelle avec sa cruauté habituelle, qui n’a rien d’étonnant pour qui connait la vie jalonnée de crimes et d’assassinats du Très Saint Prophète Muhammad (que la paix soit sur lui).

Ce que dit la loi française sur le sujet n’a aucune importance, pour une raison assez simple : les islamistes se foutent de ce que dit la loi française.

Il y a blasphème : 1° dès qu’un islamiste considère qu’il y a blasphème, 2° dès qu’un islamiste est prêt à assassiner quelqu’un pour blasphème. C’est assez simple à comprendre. Et il va falloir l’intégrer très vite , au risque de perdre la tête…

Bon appétit.

rose dit: à

j’entends une autre voix « ,ah le petit vin blanc. »
Un blème : sois les tonnelles chute des feuilles ; nous n’abordons pas le petit printemps mais le grand automne.

B dit: à

Clopine, l’attribution des prix a été reportée pour ne pas léser les librairie. Je crois qu’en offrant des gants à usage unique en plus des masques obligatoires , la réouverture serait possible. Cela ferait de la matière en plus à recycler. Je ne comprends pas pourquoi certains petits commerces comme le fait remarquer un journaliste du monde doivent rester fermés, cordonniers, fleuristes …

Jazzi dit: à

« rire à l’idée de saluer en bout de tissu c’est mon droit. »

Bien sûr, et dire que ce n’est pas forcément une bonne idée, c’est le mien renato !

Janssen J-J dit: à

@ « Un peu pathogène ce blog, tout de même ».
Ne lui répondez pas, Alexia ! B. nous fait sa sainte-#metouche, en réalité elle voudrait en savoir plussss sur vos agapes saintongeaises. L’est rusée, hein !…
Je lui conseillerai çui-si, c la classe et le patron est superbe : https://www.moulin-de-chalons.com/fr Bàv,

rose dit: à

sous les tonnelles.

Clopine

Ayant dû opérer un choix cornélien, ai soutenu mon horticulteur préféré avec trois balconnières de chrysanthème. Qui au printemps a eu très peur.
Il a augmenté ses prix de 60 cents soit une augmentation annuelle de 8,4 %.
Lui n’a pas trop de Q d’avoir une femme pareille, accro aux sous. Mais il semble content.

Le libraire on verra après l’horticulteur.

rose dit: à

chrysanthèmes

Jazzi dit: à

N’oublions pas que le Chevalier de la Barre a perdu la sienne (de tête) pour n’avoir pas voulu ôter son chapeau au passage d’une procession religieuse à Montmartre, louis-ferdinand lévy !

renato dit: à

Il y a vraiment une limite de comprennette ! Personne nie votre droit, Jacques, mais j’aimerais que vous vous teniez aux faits : je n’ai conspué rien ni personne.

B dit: à

Nous avions fini par oublier, dans notre bêtise et notre arrogance, ce que le mot blasphème veut dire et toute la violence qu’il recouvre. L’islam nous le rappelle avec sa cruauté habituelle, qui n’a rien d’étonnant pour qui connait la vie jalonnée de crimes et d’assassinats du Très Saint Prophète Muhammad (

Version détournée du texte et politisation de la religion pour créer des clones tueurs
Nous ne vivons pas sous le régime de la charia quand bien même ces tarés veulent l’imposer et n’ont que faire de notre mode de vie et de nos lois. Y’ en a même ici qui ne croient en rien ni personne. Iraient ils s’attaquer à des personnalités bardées de défense . Proies faciles pour faire régner une terreur. Il faut dire qu’avec des exemples exemplaires comme celui du meurtre de Khashoggi diligenté en haut lieu, ils ont de bons modèles progressistes. Au mpindre désaccord, à la moindre critique, vous êtes bon pour un procès( la Turquie d’Erdogan qui n’adhère pas à cet extrémisme ) ou sans procès la mort , au mieux une fatwa.

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