de Pierre Assouline

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La République des livres
Paul Morand, un homme méprisable mais quel écrivain !

Paul Morand, un homme méprisable mais quel écrivain !

Enfin, « la » grande biographie de Paul Morand (1888-1976) ! Encore que on aurait pu survivre sans elle un certain nombre d’années de plus. Car s’il y a bien un auteur dont l’œuvre nous intéresse davantage que la vie, c’est bien lui. Un cas d’école, un de plus. Rassurez-vous, on ne vous fera pas le coup des deux Morand, le bon et le mauvais- l’affaire Céline a de longue date épuisé le procédé. D’ailleurs, dans son Paul Morand (478 pages, 24 euros Gallimard) qui parait dans quelques jours, Pauline Dreyfus (1969) est bien trop fine mouche pour verser dans ce travers. Sa dette, prévient-elle d’emblée, ne s’adresse qu’à l’écrivain car elle est purement« esthétique » ; pour autant, elle ne cèle rien de ses faits, actes et écrits et de son ascension dans un milieu social qu’elle connait bien.

Je l’avoue, je ne suis pas entré vierge dans ce gros livre dense, bourré de références mais écrit au galop, effet renforcé par le choix du présent de l’indicatif, jusqu’à rendre léger et invisible l’effort documentaire. De Morand, j’avais quasiment tout lu, dans des éditions originales dénichées chez les bouquinistes des quais de Seine ou aux Puces de Saint-Ouen, dès l’âge de 20 ans. Depuis, mon admiration pour l’incomparable styliste, modèle étincelant pour tant de ceux qui se piquent d’écrire, ne fut jamais entamée par ce que j’avais pu découvrir du personnage au cours de mes propres recherches pour les biographies de Jean Jardin et de Gaston Gallimard ou pour des articles de fond sur les écrivains pendant la guerre. Il faudrait lire tout écrivain en se gardant de ne jamais porter de jugement moral sur l’attitude de l’homme derrière la plume. On pourrait croire que l‘énumération qui suit a été choisie à dessein ; elle est pourtant continue et récurrente dans la biographie de Pauline Dreyfus et tant pis si cela aboutit, probablement contre son vœu, à un portrait à charge.

Alors, Paul Morand ? Un homme dépourvu de qualités humaines, lâche et méprisant, mufle avec les femmes, cynique avec les éditeurs, opportuniste avec tout le monde, ingrat jusqu’à la déloyauté avec ses amis, incapable de la moindre empathie avec ce qui n’est pas lui, d’une cupidité sans limite et d’une vénalité qui n’a jamais désemparé, bourgeois qui thésaurise jusqu’à son dernier souffle, le cœur sec, dépourvu de tout sens moral, prêt à tout pour jouir d’un honneur convoité, le dégoût des autres très sûr, de la morgue et un mépris de classe à revendre, une aversion profonde pour les enfants inexistants dans toute son œuvre à l’exception de la nouvelle Feu Monsieur le duc (il n’eut de cesse de rejeter Jean-Albert de Broglie, petit-fils de sa femme, laquelle l’avait recueilli jeune orphelin). Pour le dire avec la délicate métaphore qui lui est chère (« Une de ces merdes juives qui ont besoin d’autrui pour exister » écrit-il dans une lettre à propos de Bernard Frank), le fameux jugement jeté par Napoléon à la figure de son ministre lui va comme un gant : « De la merde dans un bas de soie ». Encore que Talleyrand, lui, c’était quelqu’un. Mais Paul Morand ?

On a l’habitude de l’enrôler dans la fameuse brochette des écrivains du Quai d’Orsay : Paul Claudel, Jean Giraudoux, Alexis Leger/Saint-John Perse… Ce qui est un mythe dénoncé par Pauline Dreyfus car il n’a pas fait carrière dans la Carrière : il y a laissé la trace et le souvenir éphémères d’un médiocre diplomate, ambassadeur en tout et pour tout durant quarante-deux jours dans des conditions qui ne sont pas à son honneur que ce soit à Bucarest ou à Berne, dilettante revendiqué dont l’activité ne fut gouvernée que par un goût effréné de la mondanité. Rien ne l’aimantait comme la fréquentation des altesses, des titres et des grandeurs d’établissement. Un petit monde superficiel et vain. Paul Morand y fit merveille très tôt par son entregent, la clé pour y pénétrer. Sauf que, contrairement à d’autres ambitieux à leurs débuts dans le monde, ce qui leur était un moyen chez lui est devenu une fin. Jamais il n’est sorti de ce microcosme où il s’est épanoui en ne cessant de courir le cachet pour n’avoir jamais eu les moyens de ses goûts (vint un temps où la fortune familiale de sa femme s’était évanouie). Même sa maitresse en titre (May de Brissac) a un pedigree très gratin. D’ailleurs, entre autres révélations, Pauline Dreyfus avance que c’est elle, plus encore que sa femme, qui est à l’origine de la radicalisation politique de Morand à partir de 1935 et de son basculement vers l’admiration pour les régimes autoritaires, les nationalismes, les promesses de la nouvelle Allemagne et la dénonciation de la décadence à l’œuvre en Europe. Hitler n’était pas vraiment son genre de beauté car tout de même, il exagérait un peu, mais Mussolini… Ses convictions ? Il n’en a même pas. S’il choisit de se ranger aux côtés de Laval au début de l’Occupation, c’est par pur opportunisme. Il en sera récompensé en 1942 avec le poste de président de la commission de censure cinématographique.

Intelligent, vif, cultivé, polyglotte, il avait tous les dons mais qu’en a-t-il fait ? Giraudoux était son précepteur ; Proust, qui s’était toqué de lui, l’avait adoubé en préfaçant Tendres stocks mais jamais ne l’influença, et pour cause : l’auteur de la Recherche travaillait, creusait, remettait cent fois sur le métier, ne cessait d’approfondir quand Morand, homme du premier jet, ne songeait qu’à produire « un bruit de castagnettes ». Ce qui a souvent poussé le milieu littéraire à le rapprocher de son grand ami Cocteau ; une erreur d’appréciation car, pour superficiel et léger que cet artiste complet ait pu paraitre, il travaillait énormément comme en témoigne sa production multiforme (romans, films, tableaux, dessins, poèmes…) alors que Morand, qui avait tant de facilités, dédaignait le travail et l’effort à l’égal de travers méritocratiques. De toute façon, il avait un poil dans la main et rien ne lui aurait fait renoncer à la satisfaction de ses plaisirs immédiats : le luxe, le confort, la rareté, un certain hédonisme et un vrai dandysme, l’achat compulsif de puissantes automobiles, la conquête de toutes les femmes. Sur ce chapitre-là, Pauline Dreyfus brosse le portrait convainquant d’un enfant unique choyé par les femmes, à la recherche perpétuellement insatisfaite de consolations, qui avait épousé une femme de sept ans plus âgée que lui avec laquelle il n’eut bientôt plus guère de relations sexuelles et qui tenait le registre de ses innombrables liaisons successives, en mère maquerelle et rabatteuse. Princesse Soutzo par son premier mariage, née Hélène Chrisoveloni, elle était si obsédée par la pureté de son sang grec, et si durablement et pathologiquement antisémite, que cela en devenait suspect. La biographe révèle en passant quelques ellipses narratives dans le CV de « l’aristocrate roumaine » née en fait dans le ghetto de Galati (Moldavie) d’un père banquier levantin et d’un grand-père usurier…

Dès Ouvert la nuit, il trouve la note juste : vitesse, densité, brièveté. Pas de gras, une écriture à l’os, un rythme syncopé. Ses formules, jamais gratuites, font mouche. Lorsqu’il fait connaissance de Jean d’Ormesson, il le résume d’un trait qui lui restera : « Un écrivain mis en bouteille au château ». Du genre à remercier Edmonde Charles-Roux pour l’envoi de son nouveau livre par ces mots : « J’aime votre virilité ; vous n’avez pas le style clitoridien, si vous me permettez ». Le succès confirme son coup d’essai. Son genre, ce sera la nouvelle. Pas étonnant qu’il ait consacré un portrait au maître Maupassant et qu’il ait dirigé avec succès une collection de nouvelles chez Gallimard. S’il s’en éloigne, c’est le plus souvent pour le meilleur (la chronique où il excelle) parfois pour le pire (le roman – L’Homme pressé n’est pas ce qu’il a fait de mieux). Souvent sa paresse l’emporte sur ses facilités. Pour la série de ses portraits de villes (New York, Bucarest, Londres…), il rétribue des nègres (Jean Jardin, Georges Cattaui) chargés d’enquêter, de constituer une documentation et de rapporter des anecdotes à sa place. Lui-même se dit trop flemmard pour se lancer dans une saga à la Buddenbrock. C’est une grande sagesse de connaître ses limites. Lui se sait sprinteur et non marathonien. Mais un bon contrat peut facilement avoir raison de son souffle court.

L’allure de Chanel, œuvre de commande qui demeure son plus grand succès commercial, vaut moins pour ses qualités littéraires que par la vista du portraitiste. Après tout, le cas échéant, il n’hésite pas à être le fournisseur des fournisseurs (La Grande Maison de blanc, entre autres) en publiant des textes de commande publicitaires sous leur enseigne. Peu d’écrivains y auront cédé comme lui quand il ne les aura pas sollicités. Pas du genre à résister à une telle tentation lorsqu’elle est bien dotée. A l’Institut, il n’avait pas seulement légué une grande partie de sa bibliothèque mais aussi une forte somme d’argent destinée à doter un prix Paul Morand. Romain Gary, premier lauréat, jugea préférable, en tant que juif et que gaulliste, de décliner l’honneur en 1978, manière de mettre en accord ses actes et ses idées ; le prix échut donc pour sa première édition à JMG Le Clézio.

On peut avoir des hauts-le-cœur en examinant des archives et Pauline Dreyfus, qui en a vu d’autres, reconnait que ce fut son cas à un moment de son enquête biographique. Il s’agit entre autres des dizaines de pages consacrées dans le Journal intime de Morand au projet de la fille sa maitresse d’épouser Simon Nora, un Juif. Manifestement, ce que cela inspire au couple d’anciens amants est si abject que la biographe décide de ne pas en faire état et d’évacuer définitivement de la biographie le personnage de May de Brissac. Car on s’en doute, c’est sur l’antisémitisme de son héros que le biographe d’un tel personnage est attendu au tournant. En principe, pour lui comme pour d’autres (Kipling, Heidegger etc), ces choses-là ne s’écrivent pas, du moins pas publiquement. Il faut laisser passer le temps, le délai de prescription imposée aux archives, pour y voir enfin clair. Dans le cas de Morand, il n’y avait guère que France-la-doulce (1934), satire des milieux du cinéma cosmopolite à Paris, qui avait fait tiquer tant la charge était féroce, mais enfin, cela se voulait justement une satire- même si les Allemands, qui s’empressèrent de la faire traduire, la publièrent sous le titre Le camp de concentration du bon Dieu… Pour le reste, des remarques par ci par-là. Jusqu’à la parution il y a quelques années du Journal inutile et de la correspondance avec Jacques Chardonne et Roger Nimier. Là au moins, c’était clair. Il n’est guère de pages où ne coule son fiel à l’endroit « des Juifs et des P.D. ». D’autant plus cruel qu’il le fait avec l’ironie dévastatrice et l’art de la pointe qui sont sa signature. Pauline Dreyfus alourdit le dossier car elle a eu l’autorisation de fouiller dans son Journal de guerre Londres-Paris-Vichy 1939-1943 (qui parait également ces jours-ci chez Gallimard, 1025 pages, 27 euros) ainsi que dans l’ensemble du fonds Morand à la Bibliothèque nationale et aux archives de l’Académie française. La biographe tord le cou à un lieu commun selon lequel sa femme avait rendu Morand antisémite. En fait, bien qu’il fut servi de ce côté-là entre sa femme et sa maitresse en titre, il n’avait besoin de personne.

L’étude de sa correspondance sur la durée montre bien que la haine des Juifs lui a été un oxygène de sa jeunesse à ses tous derniers jours. Bien sûr, et comment ne pas donner raison à sa biographe, au début il est surtout le produit de son temps et son milieu- mais à force de le répéter on en vient à oublier ou ignorer qu’au même moment, il en est d’autres, du même milieu et de la même génération, qui ont su se soustraire à cette mentalité et à ces préjugés ; puis s’y superpose tôt le ressentiment de l’écrivain qui ne parvient pas à se faire élire sous la coupole alors que Maurois né Herzog, lui… ; le pacifisme d’un munichois enthousiaste qui voit un fauteur de guerre en tout Juif ; l’angoisse d’un bourgeois qui craint que le Front populaire favorise l’arrivée au pouvoir de judéo-bolcheviques ; mêlez le tout à la crainte du lendemain d’un parvenu qui se sent menacé dans son ascension sociale et sa réussite mondaine… Voilà comment on en vient à considérer en permanence « les youpins » non plus comme des êtres humains mais comme « des asticots » ou « des microbes ». Sous l’Occupation, l’antisémitisme devient chez lui « une grille de lecture », le tamis par lequel il interprète toute déclaration. Pourtant, l’aigri en lui s’est apaisé depuis qu’il fraye avec le pouvoir, qu’il est reçu par les nouveaux maitres. On le voit souvent avec Louis Darquier de Pellepoix, un fanatique nommé à la tête du commissariat aux questions juives pour remplacer un fonctionnaire jugé trop mou. Il est aux premières loges parmi ceux qui savent ce qui se passe, d’autant que Darquier, qui tient scrupuleusement registre des rafles, convois et déportations, se confie volontiers à lui. « L’opinion est choquée des mesures contre les Juifs mais une fois ceux-ci partis, personne n’y pensera plus » note-t-il. Et la confidence de Benoist-Méchin (« les Juifs n’ont pas idée de ce qui va leur arriver… ») ne l’ébranle pas davantage. C’est peu dire qu’il est indifférent au sort des populations traquées. Bien plus tard à la télévision, sans se départir d’un accent très gratin assez obscène en l’espèce, il dira avoir crû qu’on les envoyait au STO comme les ouvriers. Dans des wagons à bestiaux ? Avec leurs vieillards et leurs enfants ? Décidément, le cynisme jusqu’au bout.

Nommé ambassadeur de France en Roumanie afin de prendre le large quand ça se gâte, il met son poste à profit non seulement pour y freiner l’activisme de la France libre, mais pour tenter de récupérer les biens de sa femme, de se livrer au trafic de devises et à des spéculations financières incompatibles avec son statut. Lorsqu’il finira par abandonner son poste, il n’en prendra pas moins soin d’affrêter un train rempli de sa garde-robe et des fourrures de sa femme, de meubles, de tapis et des trois cents bouteilles de champagne conservées dans la cave de l’ambassade pour les diners officiels. Un collabo ? Certes mais trop habile à se faufiler entre les gouttes et trop désinvolte pour qu’on puisse vraiment lui faire porter le poids d’une quelconque responsabilité politique. De la race des collabos mondains, ceux qui arrivent toujours à s’en tirer par l’étendue de leur entregent et par la solidarité de classe. Les collaborationnistes les vitupéraient ; Céline les avait en horreur, quand bien même ces « canailles » eussent-elles fait « jazzer » la langue. D’ailleurs, l’écrivain en Morand fut à peine réprouvé à la Libération. Mais placé hors-course par la distance (il s’est exilé en Suisse) et par l’air du temps (l’existentialisme), il retrouve les Juifs comme boucs-émissaires idéaux : à qui d’autre attribuer son absence de reconnaissance littéraire dans la France des années 50-60 ? Mais le temps n’y fera rien et, malgré la récupération par les Hussards, il mourra en auteur pour happy few. On dira que l’homme a fait du tort à l’écrivain et puis voilà.

Pauline Dreyfus date de la parution de Milady un tournant décisif dans son œuvre. Le fait est que ce récit à l’écriture classique et au statut improbable, à mi-chemin entre la nouvelle et le roman, est l’un de ses grands livres. De même que Fouquet ou le soleil offusqué, Venises ou encore le Flagellant de Séville qu’elle juge étrangement « laborieux ». Qu’importe, tout cela est affaire de goût. Cette passionnante biographie est à citer en modèle pour sa pénétration, sa clarté, sa nouveauté, sa richesse et surtout son honnêteté. Tout en admirant son héros, Pauline Dreyfus ne renonce jamais à son esprit critique ; elle est tout sauf inconditionnelle, jamais dupe du personnage ; elle va jusqu’à livrer aux lecteurs qui ne partagent pas ses vues de quoi augmenter et argumenter leur mépris de l’homme derrière l’auteur. Mais s’il est un point sur lequel on ne la rejoindra pas, c’est sur le bouleversement qu’elle prête à Morand dans l’histoire de la littérature. « Il a révolutionné le style littéraire » écrit-elle au motif que Céline, qui lui a véritablement révolutionné la langue, avait loué chez Morand celui avait su la faire « jazzer » ; elle y revient plus loin : « Ce que Morand a tenté avec ce récit d’une facture inédite, c’est une révolution littéraire » écrit-elle à propos de Rien que la terre, quintescence de son art poétique puisqu’y sont exaltés les voyages, la vitesse et la modernité. Désolé mais non, il n’a rien révolutionné du tout, pas plus que Proust et d’autres de ce calibre : des Rabelais, des Céline et des Joyce ne courent pas les rues et encore moins les cocktails. Ce sont des exceptions. Il ne suffit pas d’être brillant, à l’occasion brillantissime. Les nouvelles et les chroniques de Paul Morand ne sont rien d’autre, quand elles le sont, et c’est déjà beaucoup car il demeure un maître dans son domaine- malgré les artifices (lire ici la critique de Fin de siècle par Pascal Pia).

Au fond, outre sa passion pour son épouse Hélène (le nazisme fait femme jusqu’à son dernier souffle) son existence aura été gouvernée par le goût de l’argent et l’idée fixe de son admission à l’Académie française. Mêlé très tôt à l’avant-garde artistique, il s’en était coupé pour s’enivrer dans la mondanité. Etant ce qu’il fut, il ne pouvait donner autre chose que ce qu’il donna. On peut toujours spéculer sur l’œuvre qu’aurait pu être celle d’un homme aussi comblé de dons et qui fut assez lucide pour savoir qu’il les avait gâchés. Un homme méprisable, mais quel écrivain !

(Photos Man Ray et Henri Cartier-Bresson)

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commentaires

1 647 Réponses pour Paul Morand, un homme méprisable mais quel écrivain !

Marc LAUDELOUT dit: à

…Pour certains, ce doit être terrible tout de même de voir tous ces grands écrivains (Morand mais aussi Drieu la Rochelle, Céline et tant d’autres) reconnus à leur juste valeur et honorés dans ce panthéon miniature qu’est la Bibliothèque de la Pléiade. Le camp du bien n’est pas forcément celui de la littérature…

B dit: à

3J, celui-ci correspondrait mieux à son standing et aux moyens de ceux qui l’invitent ou aux siens si en féministe convaincue elle place un point d’honneur à régler l’addition. Mais foin de commérages!

Marie Sasseur dit: à

@ »…Pour certains, ce doit être terrible tout de même de voir tous ces grands écrivains (…)reconnus à leur juste valeur et honorés dans ce panthéon miniature qu’est la Bibliothèque de la Pléiade. »

Reconnus par la maison Gallimard ?

On peut aussi citer un diplomate, auquel la collection prestigieuse a taillé un costard très étriqué… Oui, his name was Romain. Romain Gary.

Jazzi dit: à

Être antimilitariste renato, c’est être contre l’armée, non ? C’est une opinion, malheureusement irresponsable face à certains faits…

Marie Sasseur dit: à

Il faut saluer les maires de Franxe, nombreux, principalement de droite, qui manifestent et prennent des arrêtés, certes voués à l’annulation, pour défendre la liberté d’entreprendre, et dénoncer des mesures arbitraires au profif des marchands en gris de petits pois.
Et en même temps :
On ne va pas féliciter les pétitionnaires du samedimanche, dont l’action corporatiste aboutit à : plus aucun livre nulle part.

Marie Sasseur dit: à

Lol, France, marchands en gros de petits pois…
Ce soleil qui m’aveugle.

Janssen J-J dit: à

Oui, Marc Louboutin, le petit célinien d’à la petite semelle, pour moi c’est terrib’ de voir ça !… J’y suis accoutumé, notez le bien. Je lis pas tous les GRANDS écrivains, je les trie. J’en lis beaucoup de petits, moins compromis, genre Cioran… grand admirateur d’Hitler dans sa jeunesse, par exemple. Suffisent à mon éthique personnelle qui est celle du « camp du bien » en lithé-ratures. En général, voui. Le « camp du bien », comme chez Benoit Hamon ou Alice Coffin, etc.
(camp l’est-ce bien ?… lequel n’est guère, au vu et au lu, qu’une pâle déclinaison tardive du roman prophétique et blasphématoire de la King Kong Theory, de notre amie Virginie).
Bàv
Bàv,

Marie Sasseur dit: à

Si l’extrême droite rexiste belge vient donner des leçons éditoriales en France, c’est une mauvaise histoire.

Marie Sasseur dit: à

Ils arrivent toujours avec des courbettes flatteuses, j’ai remarqué.

Marie Sasseur dit: à

Ça recycle beaucoup, a la pleiade.

Chaloux dit: à

« camp du bien »

Hurkhurkhurk!

renato dit: à

Être antimilitariste ce n’est pas conspuer l’armée, Jacques, mais ce sont des choses pour vous difficiles à comprendre. P. ex., mon père, pacifiste et antimilitariste s’est porté volontaire afin que la guerre finisse et il a servi dans le détachement de reconnaissance. Mon grand père maternel antimilitariste cachait les résistants et sa fille bravait les contrôles des fascistes pour leur amener le manger dans la montagne. Contrairement à ce qui croient les gens superficiels, être antimilitariste ne signifie pas ne pas respecter les militaires, mais peu importe : ici il y en a beaucoup qui se prennent pour de s gens kultivés et civilisé sans vraiment l’être.

Marc LAUDELOUT dit: à

…A cette Marie, on a envie de lui répliquer : « Et ta sœur ? ». Suffirait-il d’apprécier des écrivains dits de droite pour être taxés d’extrémiste et, pourquoi pas, de rexiste ? Le rexisme est mort en 1945 et la nostalgie n’est plus que l’apanage de groupuscules dont je ne fais pas partie. Pour le reste, j’invite les lecteurs de ce blog à juger sur pièces : http://bulletincelinien.com/

Marie Sasseur dit: à

« Ecrivains très de droite ? »

Mais morand est un produit socialiste, national-socialiste.

et alii dit: à

A Dictionary Takes Us Through the Fascinating History of Symbols
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D. dit: à

Ce ne sont pas les écrivains qui sont honorés, mais leur génie.
C’est tout. Point barre.

renato dit: à

… choisissez de faire du grec ancien en troisième.

Alexia Neuhoff dit: à

@Janssen J-J
Bravo !

et alii dit: à

« Toute la littérature grecque débute par une épidémie. L’Iliade débute par une scène où le dieu Apollon est en colère contre les Grecs. Durant la guerre de Troie, il envoi d’une peste terrible. Cette punition – le mot punition en grec le mot en grec signifie peste – signe véritablement le début de toute littérature grecque. Œdipe de Sophocle commence aussi par une la ville frappé par la peste. Personne ne sait pourquoi, le roi est donc appelé pour résoudre l’énigme. Pour les Grecs, la peste est une punition de la sphère divine. Je préfère ne pas penser à la pandémie actuelle comme une punition, mais en fait, on pourrait croire que la façon dont elle est traitée ici, aux États-Unis en particulier, suggère que nous souffrons à cause des actions idiotes de quelqu’un… »
Daniel Mendelsohn
https://www.franceculture.fr/emissions/linvitee-des-matins/prendre-la-tangente-avec-daniel-mendelsohn?actId=ebwp0YMB8s0XXev-swTWi6FWgZQt9biALyr5FYI13OpVgbqTOoeKQh7JKoFLC2fE&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=618560#xtor=EPR-2-%5BLaLettre30102020%5D

Jazzi dit: à

« ici il y en a beaucoup qui se prennent pour de s gens kultivés et civilisé sans vraiment l’être. »

Pourquoi ne pas vous contenter d’argumenter sans insinuer ou dénigrer, renato.
D’ailleurs, mon commentaire ne s’adressait pas exclusivement à votre « pisser de rire à l’idée de saluer un quelconque drapeau ».
J’ouvrais et généralisais le débat.
Au nom de nos sacrés saintes libertés individuelles que ne lit-on pas.
Il est des réalités qui doivent nous conduire à repenser les problèmes.
Que n’a-t-on pas entendu, surtout du côté des beaux esprits de la gauche, contre l’introduction des caméras de surveillance et contre la création de polices municipales !

Hier, j’ai vu le patron du bistrot niçois, voisin de la basilique, chez qui la femme d’origine brésilienne est venue se réfugier avant de rendre son dernier souffle, venir déposer des roses aux victimes du jeune islamiste. Il a évoqué avec beaucoup d’émotion, de dignité et de sagesse le souvenir de son copain et client qui avait en charge l’entretien et la surveillance de l’église et a appelé les musulmans de France et d’Europe à se lever contre ces actes terroristes.
Aidons-les !

renato dit: à

En effet la peste ce n’est pas une punition en soi, mais le devient par la manière de la percevoir et en conséquence des actions qui découlent de la volonté de se protéger des dégâts qu’elle produit.

À Milan, Via Gian Giacomo Mora, la tristement célèbre colonne qui inspira Alessandro Manzoni — Histoire de la colonne infâme —.

renato dit: à

“J’ouvrais et généralisais le débat.”

Vous ouvriez à quoi ? enfin, peu importe.

Janssen J-J dit: à

@ jzmn; J’ai lu tout Sade dans ma jeunesse après l’alerte Gilbert Lély… Et ce furent ses discours contre dieu qui me bottèrent le plus… Et les 120 journées où j’ai tout appris du Q. Pour le reste, c’était très vite fatigant.
Bon, que Sade soit pleiadisé aujourd’hui, hein… Bofl, c le pb de gallimard, pas le mien.
Ce qui m’attriste surtout, c’est le ridicule pamphlet d’Onfray contre Sade… Un tournant s’est produit dans ma défiance à son égard. J’ai alors compris qu’il ne l’avait pas lu ou de manière vraiment partiale… Et pourquoi Onfray a fini par s’imaginer être entré dans le « camp du bien » en « chevalier blanc » à rebours de toute la philo strucuraliste et déconstructiviste des années septante, devenue le « camp satanisé du mal »…
Voili voilà, mon bon jzmn,
Bàv

Jibé dit: à

Waouh, je ne viens pas deux jours et je retombe sur la tronche de Paul Morand…
Heureusement JJJ n’est pas parti, il avait l’air tout déconfit fatigué l’autre soir, ni Jazzi, ni d’autres (je laisse en suspens, tout le monde s’en fout)
mais pas de …JiCé? Joie.
A part ça, je ne suis jamais passé par amazon pour un livre, une fois pour des cartouches d’encre, mais le click and collect n’est pas pratiqué par ma librairie, Le Tramway, pas encore
et ne remplacera pas le sourire avec ou sans masque des deux libraires
J’ai ma pile, d’avant le jour fatal. On en est au septième mois quand même, depuis le 17 mars, avec des mesures d’urgence et un égaiement manifestement absurde à l’été.
Et je ne m’y fais pas.

de nota dit: à

je crois que personne ici n’aura signaler la parution toute récente de l’essai de Gisèle Sapiro » peut-on dissocier l’oeuvre de l’auteur »?
Le général de Gaulle a écrit » quand un écrivain a du style, ce qu’il dit a peu d’importance » est-ce une vacherie? Enfin, pour ce qui est du romanesque cosmopolite, je préfère Larbaud à Morand…

de nota dit: à

signalé!!!

Jibé dit: à

Bien d’accord, JJJ, moi aussi j’ai lu les 120 mais les autres, Justine par ex, me sont tombé des mains, répétitifs. Pénibles. Mais comme vrai esprit rebelle, le marquis! Avec les risques, la vie misée comme sur un tapis de jeu, quel écrivain, et quel homme!

Jazzi dit: à

« Vous ouvriez à quoi ? enfin, peu importe. »

renato ou l’art de la fin de non-recevoir !

Jazzi dit: à

« je crois que personne ici n’aura signalé la parution toute récente de l’essai de Gisèle Sapiro » peut-on dissocier l’oeuvre de l’auteur »? »

Je l’ai aperçu l’autre jour qui faisait une conférence-signature à la librairie des Cahiers de Colette, dans le Marais, de nota. Quand j’ai vu le titre du livre je me suis dit quel marronnier et j’ai poursuivi mon chemin !

Janssen J-J dit: à

il faut essayer l’accommodement raisonnab. Je pense que la notion vécue d’antimilitarisme en Suisse, dans un pays qui a toujours pratiqué la conscription citoyenne obligatoire, et mise en pratique dans les époques troublées, n’a rien à voir avec son homologue française. Laquelle s’inscrit plutôt dans une tradition anarchisante, rebelle et râleuse, plutôt qu’ idéologique. Depuis Valmy, les françois avaient su à quoi s’en tenir des boucheries et des saignées. Ils disaient tous, plus jamais ça, mais la plupart partaient la fleur au fusil pour se venger du boche. Les actes de résistance individuelle comptèrent pour du beurre, et en 17, les mecs qui voulurent désobéir furent abattus comme des traitres et des chiens.
Je crois pas qu’on puisse vraiment comparer les notions, les pratiques, les contextes de l’antimilitarisme. Donc, encore une fois, on part sur de mauvaises bases de discussion. ou de DEBAT… Je m’refermons c’te parenthèse. Mes escuses pour l’immixion, r. et jzmn.

Bàv, et pour honorer le beau Sean Connery (90 b).

et alii dit: à

erdéliens, »encore un effort »

louis-ferdinand lévy dit: à

Renato modifie le sens des mots au gré de ses humeurs, comme je ne sais plus quel personnage d’Alice. L’antimilitarisme (en France) c’est dire merde à l’armée et au drapeau, et Cabu, ce con de Cabu, en était un parfait exemple. Nihilisme de beauf soixante-huitard qui a fini par se retourner contre son auteur, un beau matin de janvier 2015. Qui aurait cru que le créateur du Beauf, qui fit « ses premières armes » lors de la guerre d’Algérie, se ferait buter par un Arabe, comme un vulgaire Dupont-Lajoie ? C’est aussi ça, l’hybris. Il aurait mieux fait de lire les tragiques grecs plutôt que de déconner dans Charlie.

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, j’ai vu le patron du bistrot niçois,
moi itou, mais à la télé, seulement,je n’étais pas à Nice. Il m’a mis les larmes une seconde… Je me suis dit: « t’es trop sentimental, mon pauv’ jean-jacques ». Cela dit, je suis persuadé que 99,5% des musulmans de france pensaient comme ce brave homme. Et cela me rend optimisss… J’attends juste que les représentants du culte muslim s’engagent publiquement un brin plus beaucoup que de fermer leurs mosquées en signe de protestations. Epices, c’est tout !

***Sur le réfugé suisse Vincent Larmaan (Jean-Marc Dupuis), il est temps de dénoncer une méchante imposture !
http://silicium.blogspirit.com/alternative-sante/

renato dit: à

Puisque je suis libertarien, fils d’un liberal sociale, vous trouverez sans peine à quel antimilitarisme je me refere, Jacques.

Incidemment, l’un des plus rigoureux antimilitaristes que j’ai connu est un cammarade d’internat, aujourd’hui à la retraite, qui a été general des Carabiniers.

Chaloux dit: à

En lisant le souvent agaçant mais tout de même informatif livre de Charles Dantzig – (de son vrai nom Patrick Lefebvre, – mon pseudonyme, quand je serai grand, sera Gaspard-Aloÿs Hambourg de la Baltique), ce monsieur qui a eu longtemps une coiffure mimant à s’y méprendre le bicorne des suisses d’églises-, Remy de Gourmont, Cher vieux Daim, je tombe sur cette phrase qui n’a pas d’âge:

Quand il a confiance en Dieu, il faut que le soldat sache bien que Dieu est toujours du côté du plus fort. Dieu sourit aux victorieux. Ces propos seront tenus pour impies, j’en ai peur, encore que telle ne soit pas leur intention, mais le moyen de ne pas tenir la guerre pour un épouvantable école de scepticisme.

Rémy de Gourmont.

bouguereau dit: à

L’antimilitarisme (en France) c’est dire merde à l’armée et au drapeau, et Cabu, ce con de Cabu, en était un parfait exemple. Nihilisme de beauf soixante-huitard qui a fini par se retourner contre son auteur, un beau matin de janvier 2015. Qui aurait cru que le créateur du Beauf, qui fit « ses premières armes » lors de la guerre d’Algérie, se ferait buter par un Arabe, comme un vulgaire Dupont-Lajoie ? C’est aussi ça, l’hybris

c’est fumier mais ça composte bien..le militarisme est un pilier du temple et t’en es une belle gargouille..et c’est ton droit

bouguereau dit: à

baroz..la laicité c’est pas que sfaire enfiler dans la sacristie haprés havoir sifflé lvin dmesse et tapé dans les troncs

bouguereau dit: à

en cas d’exposition au virus, le port du masque est un moyen de protection efficace et plus le masque est filtrant, plus il est efficace

..le port de la culotte n’est pas hobligatoire qu’elle dirait bonne clopine

Chaloux dit: à

J’ai un peu de mal à comprendre que conspuant Morand, on prenne parti pour Biden. Rien qu’à consulter son pedigree, on deviendrait trumpiste. La gauche, pour laquelle j’ai voté pendant trente ans, c’est vraiment de la merbe. Le camp du bien, dirait Gigi la visqueuse.

bouguereau dit: à

Ce ne sont pas les écrivains qui sont honorés, mais leur génie.

..dédé y veut mettre morand à bouillir qu’il dirait dirphiloo

bouguereau dit: à

ton camp c’est les tinettes et la cuisine mon larbin..reste « à demeure »

bouguereau dit: à

Non, mais… Ce n’est pas un machin peticon qui peut donner de leçons, qu’il épuise son pak de six et qu’il vomisse se préjugés ailleurs

rénateau..bon chien chasse de race

bouguereau dit: à

Je pense que la notion vécue d’antimilitarisme en Suisse, dans un pays qui a toujours pratiqué la conscription citoyenne obligatoire, et mise en pratique dans les époques troublées

hurkurkurkurkurkurk..qu’il dirait kabloom

bouguereau dit: à

Enfin, pour ce qui est du romanesque cosmopolite, je préfère Larbaud à Morand…

..charlot il a dit et quand qu’on en a pas ça fait mal

Chaloux dit: à

ton camp c’est les tinettes et la cuisine mon larbin..reste « à demeure »

Ah, face-de-phion-de-boumou-de-nanus-horribilis-Nadine, qui disait autrefois, ici même : »miroir, mon beau miroir »? Vraiment de ta condition à toi, fils d’ivrognes, taulard récidiviste, pataugeant dans la betterave à sucre, qui en a vraiment une, de condition, celle de larbin de l’extrême droite…

Jouis donc de ta collection!

Hurkhurkhurk!

Jean Langoncet dit: à

@..le port de la culotte n’est pas hobligatoire qu’elle dirait bonne clopine

Inciter à mieux le porter partout où il est obligatoire et proposer les bons (efficacité variant de 30 à 40% selon le modèle ?).
Cocorico : https://www.leslipfrancais.fr/

renato dit: à

Le militarisme, qui n’a rien à voir avec le pacifisme (d’où : « mon père, pacifiste et antimilitariste »), étant une série d’attitudes politico-idéologiques qui visent à asservir la vie politique, les fonctions et les relations socioculturelles à une puissance militaire, il devient facile de comprendre pourquoi on peut être antimilitaristes.

Si plutôt qu’avec de polémistes à la petite journée an avait affaire ici à des lecteurs rigoureux l’exemple que j’ai porté (« mon père, pacifiste et antimilitariste », etc.) aurait suffit pour comprendre sans passer par Alice comme un con.

louis-ferdinand lévy dit: à

Mon papi par-ci, mon papa par-là… Et vous, qu’avez-vous fait à part brasser du vent entre Peshawar et Katmandou ? Votre génération de boomers, toujours très forte pour juger à distance les errements des autres, s’exonère à bon compte de ses responsabilités dans la situation présente.

Quand on prend fait et cause pour les migrants qui nous envahissent, foutent le feu à nos églises et nous assassinent, on est un con pas moins impardonnable que Morand de mon point de vue. Mais c’est toujours plus délicat de faire son propre examen de conscience que celui des autres, n’est ce pas.

bouguereau dit: à

fils d’ivrognes, taulard récidiviste

..un self made man qu’il dirait rénateau pour encore haugmenter mes mérites

puck dit: à

« ici il y en a beaucoup qui se prennent pour de s gens kultivés et civilisé sans vraiment l’être. »

là je suis d’akord ! il n’y en a pas « beaucoup » il y en a « beaucoup trop » !

sauf que dire de soi-même qu’on est kultivé et des autres autres qu’ils ne le sont pas n’est pas le signe d’une personne cultivée.

du coup si un individu cultivé l’est assez pour ne pas se considérer lui-même comme cultivé comment peut-il dire des autres qu’ils ne sont pas ?

à moins que cet individu ne reconnaissent les individus qui n’ont aucune culture au fait qu’ils revendiquent eux-mêmes leur culture, mais juste leur arrogance et leur manque de modestie ?

c’est hyper compliqué, on tourne en rond…

greubou t’as une idée toi qui aussi cultivé qu’un champs de betteraves ?

renato dit: à

Le pauvre louis-ferdinand lévy c’est le type qui ne sait pas suivre le fil et brasse les insultes pour réussir à exister — un autre écrivain manqué ? —.

puck dit: à

peu importe… comme dit renato.

toutes façons vous n’y comprenez rien.

puck dit: à

bouguereau dit:..un self made man qu’il dirait rénateau pour encore haugmenter mes mérites
 »

peu importe.

renato dit: à

Voilà, la petit leçon de Dexter qui nous manquait cruellement !

puck dit: à

bouguereau dit: ..le port de la culotte n’est pas hobligatoire qu’elle dirait bonne clopine
 »

peu importe.

renato dit: à

petit > petitE

puck dit: à

renato, parce que vous n’en donnez pas vous des leçons ?

c’est l’impression que vous avez de vous ?

comment vous définiriez-vous renato ? comme un type intelligent et civilisé ?

assez pour dire à une personne qui vient annoncer ici qu’il vient de perdre son fils que vous savez ce que c’est de perdre un être cher car votre chien vient de mourir ?

c’est ça la culture et l’intelligence renato ?

renato dit: à

Peu importe Dexter, car ici on peut refaire le monde, certes, mais le monde ne se laisse pas refaire.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…samedi 31 octobre 2020 à 15 h 15 min.

…qui veut trop, pour soi-même; en définitive il travaille pour les autres, sans se l’imaginer,!…

…s’occuper de ses affaires – propres, un dilemme difficile à accomplir,…tout évolue.

…puisque avec les particules A.D.N. des parents  » officiels « , et les contraintes évoluer entre générations, beaucoup se retrouvent, dans la vie, avec des goûts d’aristocrates,  » sans chemises sans pantalons « , sans blasons à quatre quartiers,!…
…il reste des Q,!…à tout bouts de champs,!…

…enfin, pourvu qu’ils héritent, d’un parent de souche industriel, pour faire ses  » affaires « , au mieux, des prévisions,!…

…chevaliers remettons nous, aux tables d’eau, pour garder nos esprits clair à nos remises en questions,!…

…vivre pour vivre, dans le confort et le bonheur,!…la veine éternelle,!…

puck dit: à

« ici il y en a beaucoup qui se prennent pour de s gens kultivés et civilisé sans vraiment l’être. »

renato : ça c’est une phrase de donneur de leçon.

vous voyez la différence ?

Chaloux dit: à

..un self made man.

boumou croit que « un self made man » signifie « branleur ». Vous voulez dire « il pleut », dites « il pleut ».
Pauvre boumou, au banquet des prétentions, tu n’es pas infortuné convive!

Hurkhurkhurk!

Jazzi dit: à

Sean Connery a retrouvé le chaos originel, comme dirait renato !

renato dit: à

“assez pour dire à une personne qui vient annoncer ici qu’il vient de perdre son fils que vous savez ce que c’est de perdre un être cher car votre chien vient de mourir ?”

Ce fut juste le contraire, Dexter, car mon chien est mort après non avant le fils de notre ami, comme quoi vous aussi vous lisez à la va-comme-je-te-pousse.

Janssen J-J dit: à

@ machin1, une fois de plus Gigi la visqueuse tenkhule tokupl, c’est Hamon qui parle du ‘camp du bien’ et coffin du ‘camp lesbien raisonnab’?. Cela dit, on n’est pas à une nuance imputationnelle près, quand on veut rester aveug… et de mauvais foie.
Faut dire qu’on est étonné de rin à la rdl avec les dékçus du socialissss de markon, récemment virés en convergences trump/chevènement, c clair ! On se demande ce que vient faire bidène, làd-dans.

@ r., vous prenez trop souvent la mouche face aux enfoirés qu’en valent point la peigne et vous lisent mal.

@ CT, cela dit, icite, tout le monde passe son temps à faire semblant de pas se comprendre, alors que tout le monde est transpirant depuis qu’on s’enkhule en faux d-ébats. Les filles préfèrent rester sur leur kant-à-soie…, sauf intéressantes exceptions. Sont mieux éduquées, même derrière leurs anonymats, restent polies, y compris dans leurs coruscantes obscurités. Je les envie souvent. Plus profondes, plus pénétrables, mieux invaginées… mais elles z’aiment de – en – les vrais hommes féministes, hélas. Préfèrent rester seules, ou entre elles. Car on les déçoit toujours, et du coup, après tentatives de sécessions et diverses pulsions séparatistes de leur part, les gars finissent par se mett’pédés, par réalisme, vengence ou dépit. Restent pourtant nostalgiques de la prétendue harmonie antérieure avec leurs amoureuses. Voilà où nous en sommes rendus, à la veille de la catastrophe finale, je pense.
Bàv toutes, à bintôt.

puck dit: à

greubou il est pas prétentieux ! il est bien pire que prétentieux, bien pire que méprisant, pire que tout, une raclure n’ayant aucun respect pour les autres, une pourriture faite homme.

mais peu importe.

renato dit: à

Donc hamlet, avant de pondre vos petites réflexions, respectez les faits est la chronologie.

puck dit: à

renato : vous savez bien, ici il y en a beaucoup qui se prennent pour de s gens cultivés et civilisé sans vraiment l’être.

renato dit: à

On peut ne pas être kultivé est respecter les faits et la chronologie, Dexter, ce n’est vraiment pas difficile.

puck dit: à

renato, désolé je ne savais pas que votre chien était mort après.

puck dit: à

et moi aussi je sais ce que c’est que perdre un être cher : j’avais un hamster auquel je tenais beaucoup.

puck dit: à

peu importe le monde est comme il est et personne ne le changera.

Jazzi dit: à

Je viens de remonter le fil et sur Sean Connery je suis pour le coup en retard d’un TEE. Coiffé au poteau par JJJ et renato. Je crois que sur la fin il était devenu alzheimer ?

renato dit: à

Oui, Jacques, Sean Connery souffrait depuis longtemps de la maladie d’Alzheimer.

Janssen J-J dit: à

on se demande bien pourquoi le gros jissé-du-matin se fait appeler heureux lévy-du-soir, comme s’il avait mal à son philosémitisme célinien. Meuh !

Chaloux dit: à

Gigifacedeq, je n’ai jamais été macroniste. Tu peux vérifier. Toutes les pièces sont consultables ici même. Pauvre con. Quant à Chevènement, il a bien tourné .

une fois de plus Gigi la visqueuse tenkhule tokupl

Ca m’étonnerait, Gigi la visqueuse, avec ta vieille b… molle, comment tu vas faire?

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Une fois de plus.

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Chevènement : bien MAL tourné.

renato dit: à

D’ailleurs, Jacques, Monica Vitti aussi souffre d’une maladie dégénérative et ça depuis ses 69 ans.

Je me souviens d’une fake news du Le Monde à propos de sa mort — pourtant elle est encore vivante (89 ans) —.

Jibé dit: à

louis-ferdinand lévy, c’est mékilékon?
moi qui croyait l’avoir paumé enfin…

Bloom dit: à

Le camp du bien n’est pas forcément celui de la littérature…

Heureusement, il y a de la TRES grande littérature qui ne pue pas la collaboration, de l’Afrique du Sud au Japon en passant par l’Égypte et l’Inde. Et même en français.
Vous vous imagijez confiné avec pour seule compagnie la prose de ces sbires qui léchaient avec délices les bottes allemandes…de quoi solliciter d’urgence les services de Guy Montag!

Bloom dit: à

imagijez> imaginez — Jean Bafouye

Jibé dit: à

« Sean Connery souffrait depuis longtemps de la maladie d’Alzheimer »
est-ce bien utile de le savoir? Ca plombe ceux qui restent et ça ne les regarde pas
ou alors ça nous regarde tellement au fond de nos yeux angoissés qu’on aimerait ne rien en savoir…enfin je, pas on.

Jibé dit: à

La littérature n’a pas de camp, c’est un autre marronnier ce débat…l’oeuvre, l’auteur, le camp du bien…pouf, pouf pouf

rose dit: à

« Chaloux dit: à
En lisant le souvent agaçant mais tout de même informatif livre de Charles Dantzig – (de son vrai nom Patrick Lefebvre, – mon pseudonyme, quand je serai grand, sera Gaspard-Aloÿs Hambourg de la Baltique), »
C très joli, je vous nomme

Bienvenue au monde Monsieur Gaspard-Aloýs Hambourg de la Baltique.

Janssen J-J dit: à

Je vous propose un quizz sur les oiseaux, comme txfl les aime (les corbeaux) et comme CT les aime (les quizz). Pour nous détendre un brin, ce samedi après-midi.

A quels oiseaux, correspondent les gazouillis suivants ? (passereaux et rapaces communs)
NB / pour répondre, mettre votre réponse en face du chiffre en copié collé.

1 ziwitt
2 schilpdieb
3 tststti-titt-si-si-tsitt
4 zck zck
5 gué-gueg gaik-aik
6 tchi-hé tsri, reck-ek i-guip
7 schak-kerak shaik shaik
8 di u di u sip sip sip sirr
9 couc-ouc, Ha ha rahaha
10 hu hu ho hu hu kou houit
11 craic-craiai-ou-riai – crai-t-steraic
12 kè-i-kè-i-guai-guai toc-toc
13 kirik-gui-gui-ki-aik
14 gué-gué-gué
15 klu-uh-kou-oui

A bintot, (solution p. 406 – ne trichez pas !)

Jazzi dit: à

« est-ce bien utile de le savoir ? »

Pourquoi pas, Jibé ?
Je crois que c’était aussi le cas de Jacques Chirac, mais on n’en parlait pas.
Le comble, c’est que c’est lui, en tant que président de la République, qui avait fait de l’Alzheimer une cause nationale !

Janssen J-J dit: à

@ comment tu vas faire?

Tokup larbignat machin-chose, laisse-toi faire, tu verras, ouvre toi un max, tu seras pas déçusse.

rose dit: à

Marie Sasseur dit: à
@ » Et ta sœur ? »

Elle tient la route.

Écroulée de rire.
La soeur, cémoi.
Nous tenons la route avec enthousiasme de surcroît.

rose dit: à

1 ziwitt mésange charbonnière.
2 schilpdieb le rossignol.
3 tststti-titt-si-si-tsitt la mésange bleue.
4 zck zck la buse
5 gué-gueg gaik-aik le geai.
6 tchi-hé tsri, reck-ek i-guip le vautour fauve.
7 schak-kerak shaik shaik l’aigle de Bonelli.
8 di u di u sip sip sip sirr l’hirondelle des cheminées.
9 couc-ouc, Ha ha rahaha le coucou.
10 hu hu ho hu hu kou houit la hulotte, chouette.
11 craic-craiai-ou-riai – crai-t-steraic le (noir des montagnes) choucas.
12 kè-i-kè-i-guai-guai toc-toc le pic épeiche.
13 kirik-gui-gui-ki-aik
14 gué-gué-gué
15 klu-uh-kou-oui

Je sèche sur les autres.

Jazzi dit: à

JJJ, à la place des noms d’oiseaux on peut mettre le pseudo d’un commentateur ?
Auquel cas je mets une option sur le 14 !

renato dit: à

Pour le chant des oiseaux je devrais trouver une traduction car, p. ex, le coq en it. chante “chicchirichì” tandis qu’en fr. c’est “cocorico”.

Chaloux dit: à

laisse-toi faire, tu verras

Pauvre Gigi la visqueuse, tellement facile de te mener au caniveau que c’en est déconcertant.
Commence par essayer de b… convenablement ta vieille correctrice à fesses rouges, laquelle durement fessée par le petit B., ça la changera d’herbage…

Hurkhurkhurk!

Janssen J-J dit: à

ça y est, l’Herdélie qui commence à discutailler avant de jouer ! tuwois bin qu’on y’arrivera jamais…

@ rôz : 3 de justes !… Je dis pas encore lesquels… mais fortiche quand même, car c pas facile, hein !…

SOLUTIONS… à 19 HEURES

Chaloux dit: à

il y a de la TRES grande littérature qui ne pue pas la collaboration

Naïveté, j’écris ton nom.

de nota dit: à

Jazzi, Gisèle Sapiro est une femme séduisante, la comparer à un marronnier est tout à fait déplacé!

et alii dit: à

Nadia Comăneci (prononciation roumaine [ˈnadi.a koməˈnet͡ʃʲ]Écouter, mais généralement prononcé [na.dja kɔ.ma.nɛ.tʃi] en français) est une gymnaste roumaine, née à Onești le 12 novembre 1961.

bouguereau dit: à

Le comble, c’est que c’est lui, en tant que président de la République, qui avait fait de l’Alzheimer une cause nationale !

tu confonds tout baroz..le particulier et le général..le comble n’est pas qu’il y ait des defenseurs de la laicité trés croyants..des généraux qui se foutent éperdument des unes de charlie sur les morts au mali..que morand soit aussi lu par des cons comme mon larbin

bouguereau dit: à

de quoi solliciter d’urgence les services de Guy Montag!

chais pas si ça c’est pas un comble kabloom

bouguereau dit: à

Tu peux vérifier. Toutes les pièces sont consultables ici même. Pauvre con

..mon larbin il écrit son nom et il dit qu’c’est pas lui..ça c’en est un maous de comble..mais peu himporte qu’il dirait keupu

et alii dit: à

GISÈLE SAPIRO
La guerre des écrivains 1940-1953
Pourquoi certains écrivains ont-ils collaboré sous l’Occupation quand d’autres choisirent de résister et d’autre encore d’embrasser la cause d’un pétainisme triomphant ? Loin de l’approche classique, qui voit dans chaque prise de position l’aboutissement logique d’une histoire singulière, Gisèle Sapiro montre, au long d’une démonstration implacable et fortement documentée, que les attitudes politiques des uns et des autres furent avant tout fonction de la place qu’ils occupaient dans le champ littéraire, autrement dit que les clivages politiques s’éclairent à la lumière des querelles littéraires, des rivalités entre générations, des divergences entre moralistes et tenants de l’art pur. Autrement dit encore, que rien de ce qui se joue sous l’Occupation n’est étranger aux querelles littéraires d’avant-guerre, que rien de ce qui se jouera ensuite n’est compréhensible sans la guerre.
La première partie du livre traite des logiques littéraires de l’engagement des écrivains, à partir d’une enquête statistique et d’une étude des débats sur la « responsabilité de l’écrivain ».
La deuxième analyse la façon dont se sont comportées quatre institutions : l’Académie française, l’Académie Goncourt, La NRF, le Comité national des écrivains (CNE). Véritable chronique au jour le jour des querelles littéraires de la France en guerre, elle met en scène petits et grands écrivains, vieilles gloires et jeunes ambitions, passions et sentiments en tous genres. Le tout fondé sur un dépouillement systématique de fonds d’archives peu exploités ou fermés jusque-là.
Enfin, la troisième partie se concentre sur la restructuration du champ littéraire après la Libération, marquée par la constitution de la « liste noire », l’Epuration et les

bouguereau dit: à

greubou il est pas prétentieux ! il est bien pire que prétentieux, bien pire que méprisant

mais non..tien prends jibé..il dira ‘j’ai rien compris je mangeais une cracotte’..et à celle là..ajoute ‘peu importe’..ça frait lbrui du zozio a rosy qui sfait bouffer par le chat

Chaloux dit: à

Vieille merbe sèche de boumou, cette blague est plus que centenaire, comme l’âge réel de ton cerveau.

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

greubou il est pas prétentieux ! il est bien pire que prétentieux, bien pire que méprisant.

C’est la force désespérée de son complexe d’infériorité (tout à fait légitime en l’occurrence).

Janssen J-J dit: à

le coq n’y est pas, et c pas vraiment un passereau ni un rapace, et en principe les italiens entendent les mêmes sons. Les transcriptions sont transfrontalières, même les zébreux peuvent jouer.

Chaloux dit: à

Paul Morand 1940.

Mardi 6 aout 1940.
(…). X, qui a chez lui beaucoup de livres intéressants, les vend en ce moment par nécessité à une bouquiniste des quais qu’il connaît depuis longtemps. Il me parlait tantôt, d’après elle, de quelques auteurs qu’on peut considérer comme morts littérairement, personne ne les demandant plus, Carco, Pierre Benoît, Mac Orlan, Paul Morand, périmés, démodés, illisibles, n’intéressant plus personne. On vend toujours Duhamel, Mauriac, Maurois.(Au Mercure, Duhamel, toujours grande vente). Un auteur qui a une grande cote, en ce moment : Vallès. On vend de lui tout ce qu’on veut.

Paul Léautaud, Journal littéraire, tome 3, 1940-1956, page 147.

renato dit: à

Le coq ce n’était qu’un exemple, Janssen J-J.

Bloom dit: à

chais pas si ça c’est pas un comble kabloom

Ah, le Boug, c’est du cousu main un nom comme ça:
– Guy, pour Guy Fawkes, le méchant artificier ‘papiste’ de la Conspiration des poudres de 1605 ourdie contre l’Ecossais féru de magie noire Jacques I & dont on brûle tjours l’effigie en paille ou chiffon tous les ans le 5 novembre en l’Angleterre protestante.
– Montag pour l’autodafé de Nuremberg, natürlich.

Ca se saurait s’il fallait être une ordure pour écrire la pourriture humaine et réciproquement.

Janssen J-J dit: à

@ Ça se saurait s’il fallait être une ordure pour écrire la pourriture humaine et réciproquement.

Y’en a qui le savent point. Moi en tout cas, je vois pas trop la réciproque.

renato dit: à

louis-ferdinand lévy serait JC ?! Tenir en compte que hors provoc JC n’est pas si con.

et alii dit: à

remarquez renato que je vous ai mis un coucou « français » et non celui de Cziffra hongrois ;
MAIS AVEZ VOUS DES COMPTINES EN ITALIEN PEUT-ËTRE?

Bloom dit: à

Ça se saurait s’il fallait être une pourriture pour écrire l’ordure humaine et réciproquement.
QED, 3xJ!

puck dit: à

et alii : comment se comportent les institutions ?

ce qu’il manque dans l’article de passou, pourtant long.

on ne peut pas dire d’un type qu’il est méprisable sans essayer de comprendre comment ce type méprisable devient académicien et diplomate.

à moins de prendre l’académie française pour des cons.

y’a un chainon manquant, surtout pour un historien.

sinon, ce genre d’article ne sert à rien.

louis-ferdinand lévy dit: à

Je te retourne le compliment, vieux bouffon libertarien. Cette blague…

Bloom dit: à

louis-ferdinand lévy serait JC ?! Tenir en compte que hors provoc JC n’est pas si con.

Mais non, c’est la reine d’Angleterre, qui réalise la tâche finale de sa séquence de FLE.

Janssen J-J dit: à

Prenons cet exemple, bloom, histoire de…
Lucien Rebatet for instance : « les décombres ». Bon, voilà un célèbre best-seller écrit sous l’Occupation. Ce type étant une ordure, chacun conviendra bien que ce bouquin fut et reste une horreur littéraire, à travers le temps. La causalité est très facile à établir.
Considérons, du même, son Histoire de la musique. ON nous dit qu’elle « fait (toujours) référence ». Or, c’est là une même horreur littéraire, quand on voit le sort qu’il y est réservé à nos braves célèbres compositeurs, genre Mendelssohn, Ravel, Gershwin, Halévy ou Meyerbeer. Et il en faut du courage pour ne pas se boucher le nez en lisant leurs notices. On va bien essayer de me rétorquer que pour d’autres musiciens équivalents à ceux-ci, la « science » (?) de Rebatet est toujours précieuse et parfaitement objective. Or, non, elle ne l’est point. En aucun cas ! Et on a vu comment les lecteurs du fils Littell ont fait un sort à cette histoire de la musique dans ses Bienveillantes. Son histoire de la musique dont on nous REBAT les ouïes depuis des plombes ne VAUT strictement RIEN. Inutile de la lire, elle est définitivement entachée de la merdre dégoulinante de la plume de son auteur. Parce qu’elle émane d’une ordure antisémite. Or, la défécation de ce qui s’imprime sur le papier d’une pourriture humaine ne sera jamais rien d’autre que le fruit de son ordure. La causalité reste absolument la même et inversement.

Jibé dit: à

Jazzi dit: à

« est-ce bien utile de le savoir ? »

Pourquoi pas, Jibé ?

je crois que c’est un truc entre moi et moi, ça m’angoisse de vieillir
« la vieillesse c’est pas pour les mauviettes » disait parait-il Bette Davies
Serais-je une mauviette? Va savoir, maintenant que ça vient…

Jibé dit: à

« louis-ferdinand lévy serait JC ?! Tenir en compte que hors provoc JC n’est pas si con.

Mais non, c’est la reine d’Angleterre, qui réalise la tâche finale de sa séquence de FLE. »
Vous mettez toujours dans le mille, Bloom, j’aurais dû y penser, au FLE de la queen!

L’Ecosse a perdu un de ses nationalistes, ça ne va pas la dévaster, la queen en tout cas, puisqu’il est question d’elle by the way.

Janssen J-J dit: à

quod erat demonstranbloom ?…

Mais qu’a-t-il démontré au juste ?

renato dit: à

Une comptine italienne, et alii.

“Ambarabà ciccì coccò
tre civette sul comò
che facevano l’amore
con la figlia del dottore;
il dottore si ammalò
ambarabà ciccì coccò!”.

Trad.
Ambarabà ciccì coccò
trois chouettes sur la commode
qui faisaient l’amour
avec la fille du médecin ;
le médecin tomba malade
Ambarabà ciccì coccò.

Il s’agit d’une comptine qui a été censurée dans 18 pays à travers le monde pour son contenu obscène. Cependant, il est toujours transmis aux enfants italiens des jardins d’enfants sous forme clandestine.

Il y a un important corpus critique à propos de cette comptine qui joue sur des curieuses ambiguïtés — une chouette est une fille facile, tous les enfants italiens le savent, là nous en avons trois, donc une chose à quattre entre filles. Apprise vers mes trois ans.

puck dit: à

Jibé dit: La littérature n’a pas de camp, c’est un autre marronnier ce débat…l’oeuvre, l’auteur, le camp du bien…pouf, pouf pouf
 »

non non pas pouf pouf du tout : en France morale et littérature ont toujours marché ensemble, c’était le cas il y a 200 ans, 100 ans et c’est encore le cas aujourd’hui.

aujourd’hui c’est peut-être pire : si on se rend compte qu’un écrivain est par ailleurs un type méprisable il se retrouve avec des pétitions sur le dos pour l’interdire, des pétitions lancées par d’autres écrivains qui se posent en censeurs (cf le cas de Richard Millet).

« la littérature n’a pas de camp » c’est juste une affirmation à la con qui ne veut rien dire.

Jibé dit: à

« Tenir en compte que hors provoc JC n’est pas si con »
ah ça…jamais remarqué…renato, jamais…

Jibé dit: à

« la littérature n’a pas de camp » c’est juste une affirmation à la con qui ne veut rien dire. »
ben en fait, c’est un peu ce que je voulais dire, un marronnier, un lieu commun,
une affirmation à la con, la littérature est récupérée, récupérable, etc etc, elle n’a pas de camp en soi, elle a des censeurs et des utilisateurs, voilà

Jazzi dit: à

C’est-à-dire que JC n’est jamais hors provoc !
C’est son charme.
C’est à lui seul, notre Charlie Hebdo à nous, mais de droite…

Janssen J-J dit: à

@ ce qu’il manque dans l’article de passou, pourtant long (pukt)

Essayer d’écrire ) la next time : ce QUI manque dans l’article, etc.
Merci de votre futur effort pour nous autres, les profs de français astreints au port du masque lundi matin, lors notamment de l’hommage à notre collègue d’histo-gé SP, réduit à une minute de silence sous le regard compatissant de parents d’élèves veillant au grain de l’EN.

louis-ferdinand lévy dit: à

Je suis celui qu’essuie. Les plâtres, la vaisselle… et le nez des morveux, petits et vieux.

renato dit: à

Je me souviens Jibé d’avoir parlé avec JC du Ring par Boulez, de jazz, et de quelques lectures avec profit — je ne vous cache pas que moi aussi j’ai parfois envie de piser sur le gazon pour emlerder les papillons.

Jazzi dit: à

Et sur le docteur qui tombe malade, que peut-on en dire, renato ?

Pour des enfants de 3 ans, les chouettes et la fille du docteur jouent entre elles. Plus tard, ils glisseront du jouer au jouir…
C’est un bon principe d’éducation !

Bloom dit: à

L’Ecosse a perdu un de ses nationalistes,

Ca va booster les humeurs, Jibé. J’ai passé une année à Aberdeen with the quains and the loons, dans une nation autrement plus solidaire que south of the border. I wish them well.

Jazzi dit: à

Bette Davies avait des couilles, Jibé.
C’est pas le moment de vous lamenter sur votre propre sort.
La mort s’affronte debout !

Bloom dit: à

notre Charlie Hebdo à nous, mais de droite…

Tu fais commencer la droite au RN, Baroz. T’es la reine de la glisse.

Janssen J-J dit: à

Bon comme promis, 19h, je donne les résultats à rôz, grande gagnante de la compétition du quizz du jour à l’ehpad de l’rdl.

(Je vous copie-colle, rôz):

1 ziwitt mésange charbonnière. /HIRONDELLE DE CHEMINEE
2 schilpdieb le rossignol. / MOINEAU DOMESTIQUE
3 tststti-titt-si-si-tsitt la mésange bleue./ OUI
4 zck zck la buse / Le ROUGE GORGE
5 gué-gueg gaik-aik le geai. / La LINOTTE COMMUNE
6 tchi-hé tsri, reck-ek i-guip le vautour fauve /le GOBE-MOUCHE GRIS.
7 schak-kerak shaik shaik l’aigle de Bonelli./ La PIE COMMUNE
8 di u di u sip sip sip sirr l’hirondelle des cheminées / Le POUILLOT SIFFLEUR.
9 couc-ouc, Ha ha rahaha le coucou commun / OUI
10 hu hu ho hu hu kou houit la hulotte, chouette./ OUI
11 craic-craiai-ou-riai – crai-t-steraic le (noir des montagnes) choucas./ La STERNE naine
12 kè-i-kè-i-guai-guai toc-toc le pic épeiche./Le GOELAND pygmée
13 kirik-gui-gui-ki-aik / Le Faucon pèlerin
14 gué-gué-gué / Le BUSARD St Martin (désolé, jzmn) cf. https://www.oiseaux.net/oiseaux/busard.saint-martin.html
15 klu-uh-kou-oui / Le petit duc
Je sèche sur les autres.

Séchez vos larmes, rôz, vous avez gagné le ‘Dictionnaire amoureux de l’inutile’ de François et Valentin Morel (entrée : « Quizz ornithologique »).
Bàv,

Jazzi dit: à

« on ne peut pas dire d’un type qu’il est méprisable sans essayer de comprendre comment ce type méprisable devient académicien et diplomate. »

D’autant plus qu’il a légué toute sa fortune à l’Académie française, puck…

renato dit: à

À trois ans l’enfant italien sait que la chouette représente une fille facile, Jacques, on lui a dit. La signification de fille facile on l’apprend plus tard, évidemment.

Le docteur qui tombe malade. Dans une société conformiste — signification de la commode ; il y a un passage de Gadda à propos des biens (la dot) à ce propos (La Madone des philosophes) — ce n’est pas facile de découvrir que sa fille est lesbienne.

et alii dit: à

PERSONNE NE PARLE ENCORE DE LYON,j’étais à peine éloignée de l’ordi qu’on me l’a commenté;et de retour , je trouve dans le monde;tout le monde est inquiet

bouguereau dit: à

notre Charlie Hebdo à nous, mais de droite…

l’hestoire du crapouillot est hintéresante..et le dessin de droite n’est pas que mauvais bien sur

bouguereau dit: à

la littérature est récupérée, récupérable, etc etc, elle n’a pas de camp en soi

comme ça tu récupères l’ensoi..hum beaucoup de contradiction dans tes concert de cracottes jibé..et on étsétéra fait un bruit de baroz sur toile ciré

bouguereau dit: à

La mort s’affronte debout !

hon croirait du chirac tatant dlaloyau par derrière au buffet dla gare

renato dit: à

« Je suis toujours mal à l’aise avec le concept de « dire la vérité » comme si nous … connaissons la vérité et n’avons qu’à éclairer les autres … La recherche de la vérité est un … effort sans fin … essayer de nous libérer de contraintes imposées par … les dogmes, l’irrationalité … et de nombreux autres obstacles. »

Chomsky

Jazzi dit: à

Bel oiseau, le busard, JJJ !
Et pas si inutile ce quizz…

Pour les oiseaux du blog, il n’y a pas un corbeau pour et alii ?

bouguereau dit: à

C’est-à-dire que JC n’est jamais hors provoc !
C’est son charme

un jour..un jour il fra son coming aout baroz

bouguereau dit: à

je ne vous cache pas que moi aussi j’ai parfois envie de piser sur le gazon pour emlerder les papillons

hon dirait une bande de faizan des annes 50 qui phinit à la mondaine rénateau..faut faire gaffe

renato dit: à

“La mort s’affronte debout !”

Faut voir, beaucoup meurent dans un lit. L’un de mes amis est mort assis dans son fauteuil en lisant le journal.

bouguereau dit: à

Serais-je une mauviette? Va savoir, maintenant que ça vient…

la mort ça s’affronte en bouffant des cracotte et havec des couches jibé..et tu dis ‘toi ta gueule térezoune..djeust call me duguesclin »

Chaloux dit: à

Personne ne dit que L’histoire de la musique de Rebatet « fasse toujours référence », comme le croit cette pauvre Gigi à qui il manque une case. C’est un texte littéraire de haute qualité, lu par des connaisseurs, aussi amusant qu’il est injuste et subjectif.

Ajoutons que même s’il s’agissait d’un texte universitaire, ce qui est évidemment très loin d’être le cas, il aurait très peu de chances de « faire référence » un demi-siècle après sa publication. La pauvre Gigi glisse sans cesse dans sa crétinerie congénitale. A croire qu’elle aime ça. Mais peut-être les fesses rouges de sa vieille traductrice le sont-elles aussi, en partie, congénitales…

Hurkhurkhurk!

Chaloux dit: à

Or, la défécation de ce qui s’imprime sur le papier d’une pourriture humaine ne sera jamais rien d’autre que le fruit de son ordure.

Ensuite, ce gros tas de Gigi vous dira que je suis obsédé par le t. du c. Il s’oublie, à plus d’un titre…

Hurkhurkhurk!

Jazzi dit: à

« Or, la défécation de ce qui s’imprime sur le papier d’une pourriture humaine ne sera jamais rien d’autre que le fruit de son ordure. »

Je dois dire que là il a fait fort le JJJ, Chaloux !

Chaloux dit: à

Il doit tremper sa plume dans ses cabinets.

rose dit: à

Janssen J-J dit: à
les résultats à rôz, grande gagnante de la compétition du quizz du jour à la rdl.

1 ziwitt /HIRONDELLE DE CHEMINEE
2 schilpdieb / MOINEAU DOMESTIQUE
3 tststti-titt-si-si-tsitt la mésange bleue./
4 zck zck / Le ROUGE GORGE
5 gué-gueg gaik-aik / La LINOTTE COMMUNE
6 tchi-hé tsri, reck-ek i-guip /le GOBE-MOUCHE GRIS.
7 schak-kerak shaik shaik / La PIE COMMUNE
8 di u di u sip sip sip sirr / Le POUILLOT SIFFLEUR.
9 couc-ouc, Ha ha rahaha le coucou commun /
10 hu hu ho hu hu kou houit la hulotte, chouette./
11 craic-craiai-ou-riai – crai-t-steraic / La STERNE naine
12 kè-i-kè-i-guai-guai toc-toc /Le GOELAND pygmée
13 kirik-gui-gui-ki-aik / Le Faucon pèlerin
14 gué-gué-gué / Le BUSARD St Martin cf. https://www.oiseaux.net/oiseaux/busard.saint-martin.html
15 klu-uh-kou-oui / Le petit duc

Superbe cadeau, merci Janssen J-J : le Dictionnaire amoureux de l’inutile’ de François et Valentin Morel (entrée : « Quizz ornithologique »).

rose dit: à

« la littérature n’a pas de camp ».
il était écrit
« La littérature n’a pas de quant à soi » ce qui a une signification autre.

Jibé dit: à

bouguereau dit: à

Serais-je une mauviette? Va savoir, maintenant que ça vient…

la mort ça s’affronte en bouffant des cracotte et havec des couches jibé..et tu dis ‘toi ta gueule térezoune..djeust call me duguesclin »

excellent, bouguereau, je suis ok 100%, vous me remettez les boyaux de la tête ds le bon sens

Jibé dit: à

« Bette Davies avait des couilles, Jibé. »
ça oui, Jazzi, c’était une grande dame, une seigneure!

Dans un des villages dont je suis originairs, on enterre les gens debout face à la mer.
La mort s’affronte comme n peut, alzheimer est maître avant nous, et avc aussi, etsetera
C’est la vieillesse qui s’affronte, je l’aborde, faut que je m’habitue, et même à ce qui précède
Vieillir c’est un marathon,il faut choper le rythme, connaître les passages les plus durs, devenir ivre de fatigue et de joie, réapprendre à avoir besoin des autres, à écouter et réfléchir avant de l’ouvrir, comprendre ce que veut dire faire un pas de côté et ce que ne veut pas dire réussir sa vie ou la rater, ce n’est pas en ces termes là que ça se pose etsetera (sic)
C’est l’heure du cognac je dirais.
Cheers!

Jibé dit: à

fautes de frappes, scusi, avant même le cognac!

Jazzi dit: à

« Ensuite, ce gros tas de Gigi vous dira que je suis obsédé par le t. du c. »

Euh, là je crois que c’est moi qui t’en ai fait le reproche, Chaloux…

Jibé dit: à

Je me souviens Jibé d’avoir parlé avec JC du Ring par Boulez
d’accord, renato, d’accord, on n’a pas les mêmes souvenirs (je me souviens d’acoir vu l’Or du Rhin, seulement l’Or du Rhin, par Boulez et Chéreau, Bayreuth 77, pendant mes études, avec une place offerte par mon père qui détestait Wagner, trois autres comparses étaient allés voir chacun une des trois autres oeuvres. Grand,grand grand moment )

Chantal dit: à

la nuit tous les chats sont gris enfin pas tous, mon voisin propriétaire animateur du musée d’art fantastique semble avoir oublié la pandémie et a commis un petit délire. Nous on a encore droit de circuler, de lire et de faire des balades nature de jardiner et tricoter.

De quoi se changer un peu les idées : https://www.facebook.com/michel.dircken/videos/10224509062944227

Chantal dit: à

la nuit tous les chats sont gris enfin pas tous, mon voisin propriétaire animateur du musée d’art fantastique semble avoir oublié la pandémie et a commis un petit délire. Nous on a encore droit de circuler, de lire et de faire des balades nature de jardiner et tricoter.

De quoi se changer un peu les idées : https://www.facebook.com/michel.dircken/videos/10224509062944227

Chaloux dit: à

Jazzi, tu peux parler, dans ton genre… Rien de grave, d’ailleurs, j’apprécie tout de même l’équilibre de ton sens de l’injustice…

Jazzi dit: à

Moi j’ai assisté à la dernière mise en scène de Chéreau, Jibé : sa mise en terre au Père-Lachaise, sous la pluie…

renato dit: à

Je parle justement du Ring du centenaire, Jibé, la production Boulez — Chéreau en 1976. Si mon souvenir est bon, JC a assisté à la représentation de 77.

puck dit: à

Jazzi dit: D’autant plus qu’il a légué toute sa fortune à l’Académie française, puck…
 »

tout à fait mon jazzounet !

du coup je comprends pas ce titre de passou, il aurait dû titrer son article :

« Morand, un homme généreux, et quel écrivain ! »

moi ce monde j’y comprends plus rien.

puck dit: à

renato dit: « Je suis toujours mal à l’aise avec le concept de « dire la vérité » comme si nous … connaissons la vérité et n’avons qu’à éclairer les autres …  » (chomsky)

ça m’étonne pas de lui, en fait parle pour lui : il n’a jamais dit ses vérités, mais toujours la Vérité, comme le pedro.

du coup il pense que c’est pareil pour les autres : il n’imagine pas une seconde que chacun n’a que ses propres vérités, mais jamais la Vérité.

puck dit: à

comme passou quand il titre « Morand un homme méprisable ».

on peut pas balancer des qualificatifs aussi définitifs, ça ne peut être qu’une partie de la vérité, comme l’ont rappelé Jazzi et dirfilou.

Morand était un type complexe, comme tout le monde.

le problème c’était sa maitresse : non seulement elle piquait les mecs des autres, en plus elle a même réussi à faire un antisémite de ce type aussi bon et généreux à l’origine, tu parles d’une greluche…

D. dit: à

Il faut quand même dire que Morand avait une détestable pensée fasciste en dépit de son génie.

D. dit: à

Elle vous excite, renato, Bette Davis ?
Moi je me méfie des bonnes femmes à grands yeux. Je préfère les petits yeux et les gros seins. Je le dis très franchement et en toute vérité.

D. dit: à

J’ai rêvé de toi cette nuit, Jazzi.
J’en suis encire tout retourné.
Tu veux que je te raconte ?

rose dit: à

Chantal
Votre lien ne s’ouvre pas. Faut-il être sur facebook.

« Cela me remet les boyaux ds la tête ds ke bon sens. »

Avant, il y a nombre d’années de cela, un avait une préeminence forte pour le cetveau ds la tête.
Celui-ci s’est transformé en boyaux.

rose dit: à

le cerveau.
A laissé place aux boyaux.

Jazzi dit: à

« Bette Davis jeune »

Une vraie fausse-ingénue, renato.

Jazzi dit: à

« le cetveau ds la tête s’est transformé en boyaux. »

C’est-là que se digèrent toutes les informations que nous recevons, rose !
Jibé pense probablement que l’homme est un roseau digérant ?

Jazzi dit: à

« Tu veux que je te raconte ? »

Vaut mieux pas, non !

puck dit: à

@Il faut quand même dire que Morand avait une détestable pensée fasciste en dépit de son génie.
 »

Oui, bien sûr, mais les humains sont des êtres tellement complexes ; dans toutes nos actions cohabitent à la fois la part la plus sombre mais aussi la part la plus lumineuse d’eux-mêmes. La création artistique ne naît-elle de cette complexité. Découpez-donc en deux votre compositeur ou votre écrivain pour ne garder de lui que l’homme bon et généreux et vous n’obtiendrez que la moitié de son œuvre ! Un grand penseur a écrit : « L’homme a besoin de ce qu’il y a de pire en lui s’il veut parvenir à ce qu’il a de meilleur. » La beauté d’une œuvre, voyez-vous, n’est que l’expression du désir de parvenir à une réconciliation entre ces entités opposées dont nous sommes faits. Chaque œuvre dévoile une parcelle de Vérité. Mais cette Vérité ne tombe pas du ciel, elle exige une contrepartie. Cette contrepartie est la prise de risque de l’artiste. Chaque réalisation artistique représente une mise en danger de son auteur. Si le créateur accepte de courir ce risque alors son œuvre nous dévoilera une Vérité. Si à l’inverse, le créateur, par peur, refuse de prendre ce risque son œuvre n’atteindra jamais cette Vérité. Voilà pourquoi nous ne devons avoir de cesse de louer l’admirable courage des artistes qui osent assumer cette prise de risque !Ne faut-il pas voir à quel point la littérature propose toute la richesse de ses moyens pour nous aider à plonger dans la multiplicité de nos identités. Seul l’art nous permet d’entrer dans le jeu de cette complexité. Il y parvient essentiellement par un processus de dévoilement ! Le mensonge nous éloigne de la beauté tandis que la Vérité nous en rapproche. Bien sûr, cette Vérité n’est pas toujours facile à dire, ni à entendre, elle constitue toujours une prise de risque et une mise en danger de l’auteur…

puck dit: à

je déconne.

renato dit: à

Seulement la vraie chair, D., parfois une sculture, mais pas le corps en photo et peinture.

https://pin.it/3YePlXR

renato dit: à

L’intestin est notre deuxième cerveau, rose.

Jibé dit: à

JiCé était à la représentation de 77?
Non? L’aurais-je croisé? Nous étions nombreux, mais pas tant de Français que ça,…Je ne me rappelle pas du jour exact, de juillet c’est sûr, Chéreau si fragile au milieu de la scène venant saluer, en smoking (Boulez le rejoignant après), les sifflets de colère et les cris, certains le conspuant (majoritaires) et d’autres le défendant, on était pas loin de se battre.
On m’avait traité de sale Français. J’étais logé chez l’habitant, rue Karl Marx!
Et le Rheingold, que c’était beau!

bouguereau dit: à

je déconne

c’est ça..fais nous croire qut’as des courtjus

bouguereau dit: à

On m’avait traité de sale Français

..t’avais encore vomi partout..haprés c’est nous qui prend qu’y dirait dédé

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