de Pierre Assouline

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La République des livres
Pour saluer John le Carré

Pour saluer John le Carré

D’abord rendre hommage au maitre. Non du roman d’espionnage mais du roman. David Cornwell alias John Le Carré, qui vient de mourir à 89 ans d’une pneumonie, dans les Cornouailles où il vivait une grande partie de l’année, en était un depuis la parution de L’Espion qui venait du froid (1963). En un peu plus d’un demi-siècle, il a construit un monde, un univers, une œuvre qui prolongent ceux de ses propres maitres Joseph Conrad et Graham Greene, et dans un genre différent Dickens et Balzac. A deux reprises ses lecteurs ont pu craindre qu’il ne rangeât définitivement sa machine à écrire : lorsque le mur de Berlin est tombé et avec lui l’intérêt du public pour les ambiances de guerre froide, leurs enjeux politiques, les paranoïas ordinaires des gens du Renseignement des deux côtés ; et lorsque l’écrivain a commencé à atteindre « un certain âge ».

Lorsque s’écroula le « mur de la honte » vu de l’Ouest et « le mur de protection antifasciste » vu de l’Est, en 1989, nombre de lecteurs à travers le monde eurent en effet une pensée émue pour lui, l’imaginant soudain réduit au chômage technique. Qu’allait devenir leur écrivain de chevet si le symbole même de la guerre froide disparaissait ? C’est dire s’il passait pour son chroniqueur le plus attentif. A défaut de se recycler, il s’adapta. Fidèle à ses fantômes sans cesser de se colleter au contemporain, il creusa son vieux sillon de l’antiaméricanisme et de l’insupportable inféodation politique du Foreign Office à Washington. Que faire de la trahison sinon la réactualiser ? D’autant que cet éternel tourment le poursuit depuis l’enfance. Une mère qui l’abandonna jeune ; un père joueur, séducteur, escroc, criminel, manipulateur, griveleur, mythomane. Son enfance a baigné dans l’esquive, le secret et la tromperie. Il est vrai qu’il était à bonne école. Pour l’enfant, ses parents étaient un mystère ; ils le sont restés pour l’homme au soir de sa vie. Tout romancier est un menteur. Celui-ci étant l’un des plus grands, on peut donc en déduire qu’il fut un grand menteur.

Le mensonge, c’est la clef, il n’y en a pas d’autres, on ne se lassera pas de le répéter.  N’empêche : qu’il fustigea les grandes banques, les hommes de lois, les laboratoires pharmaceutiques, les multinationales ou les fauteurs de guerre en Irak, c’est toujours l’Oncle Sam qu’il désignait du doigt. Un exclusivisme que l’on a dit naïf, ingénu, à sens unique. A quoi il répondait invariablement dans ses livres que ce sont les financiers qui mènent le monde et que sont-ils sinon américains ? Le conflit israélo-palestinien, la politique des Etats-Unis en Amérique latine, l’effondrement soviétique, la montée de l’ultralibéralisme, la question des migrations : rien de tel que cette œuvre de fiction pour déciller tous les bernés, les pigés, les illusionnés de la géopolitique. Dans ses articles publiés dans la presse anglaise, ses colères ressemblaient à s’y méprendre, par leurs accents et par leurs arguments, à ceux de certains de ses personnages. Il y dénonçait « le délire absolu » de « ce suicide collectif » qu’est le Brexit, vomissait les conservateurs à commencer par Boris Johnson « à l’ignorance crasse » et ne ménageait pas les travaillistes, vouait Trump et Poutine aux gémonies ou accablait les multinationales du médicament ou de la technologie pour leur maxi-profit- sans faire pour autant de ses romans un brûlot politique.

« L’ennui avec vous, les espions, et ceci n’a rien de personnel, c’est que vous êtes infoutus de reconnaitre la vérité même quand vous l’avez sous le nez. Ce qui rend très difficile la tâche de vous défendre. « 

Toujours est-il que L’héritage des espions (traduit de l’anglais par Isabelle Perrin, comme tous ses livres depuis 2011, après avoir longtemps œuvré de concert avec sa mère Mimi Perrin à rendre fidèlement « du Le Carré » en français) témoignait de sa maitrise de son art à 86 ans. Comme un défi éblouissant lancé à l’idée reçue selon laquelle lorsqu’il pénètre dans le troisième âge, un romancier voit son imagination s’assécher, ses personnages devenir trop lourds à porter. Passé l’âge dit fatidique, il a écrit dernières années sans que sa plume ne faiblisse Un homme très recherché, Un traitre à notre goût, Une vérité si délicate, L’Héritage des espions, Retour de service ainsi que, hors-fiction (encore que, parfois, on a pu se demander…) ses mémoires Le Tunnel aux pigeons… Les derniers temps, ses héros n’étaient pas fatigués, juste mélancoliques, à commencer par George Smiley, la légendaire figure du « Cirque », expert en missions tordues. Ils dressaient le bilan sur une tonalité un rien désenchantée. En se retournant sur la jeunesse de ses personnages, il nous révèlait quelque chose de la genèse de son monde intérieur ; et on n’imagine pas qu’un historien puisse jamais explorer l’affrontement Est-Ouest de ces années-là sans commencer par s’y plonger.

Le Carré n’était pas seulement un romancier d’espionnage, catégorie littéraire dans laquelle il s’est laissé enfermer en haussant les épaules parce qu’il la jugeait « genre par excellence de la guerre froide », mais un grand écrivain tout court, à l’égal de ses maîtres Joseph Conrad et Graham Greene. Et qu’y a-t-il de plus universel que le mensonge ? Reconnaissons-lui le génie de l’avoir transcendé en le déployant sur le terrain de la loyauté, de la duplicité, de la trahison, de la manipulation (on découvrira ici avec profit le grand entretien qu’il accorda à L’Express en 1969)

La complexité des situations, qui a souvent dérouté ses lecteurs avec son lot d’agents dormants et de taupes réveillées, de désillusions chahutées et de loyautés contestées, n’était pas un obstacle – même si certains agents racontent parfois des salades à vous en rendre végétarien ! Ca tient, comme dans ses grands romans des années 80, car sa virtuosité est intacte. Cela ne va pas de soi lorsqu’un créateur a inventé un monde si personnel, si connoté à sa manière propre, qu’il donne l’impression d’avoir créé ses propres poncifs. Le tout est d’admettre que le temps est venu de s’en débarrasser. Ce qu’il a fait sans pour autant se moderniser en s’aidant des béquilles narratives de la technologie (textos, ordinateurs etc) ; au contraire même puisque l’un de ses personnages en revient au bon vieux papier, et même à la casserole pour décacheter les enveloppes à la vapeur comme à l’autre siècle car « c’est devenu plus sûr ».

Simplement, sa langue se faisait plus limpide sans s’être pour autant asséchée et sans que la complexité des personnages n’en souffre. Les récits y gagnaient en nervosité ce qu’ils perdaient peut-être en profondeur. Moins de détails (paysages, décors, vêtements etc) mais qu’importe : on est de plain-pied dans l’histoire dès l’entame et on y reste jusqu’au bout car les dialogues et les portraits sont au poil. Ce n’est pas une question de suspens, comme chez Patricia Highsmith par exemple, mais d’empathie, de familiarité, de convivialité avec des gens qu’on ne voudrait pas quitter sans savoir comment ils s’en sortiront.

Le Carré vouait une telle passion à la culture germanique, contractée dès son séjour étudiant en Suisse alémanique, qu’aujourd’hui encore il jouit d’un plaisir sans égal lorsqu’il lit un livre en allemand plutôt qu’en anglais. Littérature, poésie, politique, histoire, qu’importe, il prend tout et de toutes les époques. Et pour lui avoir un jour fait remarquer que ses dialogues étaient parfois alambiqués, je l’ai entendu m’objecter :

 « Même quand je parle ou j’écris en anglais, par réflexe, je pense en allemand et je place le verbe à la fin, ce qui, en effet… ». 

C’est d’ailleurs en Allemagne que tout avait commencé. A Berlin où l’agent du MI6 trouva un pseudonyme qui ne tournait pas rond, son regard ayant été happé par l’enseigne d’un magasin alors qu’il était assis dans l’autobus. Afin de ne pas contrevenir à l’obligation de réserve de son service, il en fit son nom de plume l’année même de l’édification d’un mur entre les deux Allemagnes, et l’inscrivit en tête de deux polars qui passèrent inaperçus, puis du manuscrit très berlinois de L’Espion qui venait du froid. Ce qui frappe chez lui, c’est son intelligence, pas redoutable tant elle est généreuse, partageuse, empathique, mais travaillée par le doute perpétuel, pour le meilleur et pour le pire. Alors, l’espion en lui ? Tout au plus un garçon de courses du renseignement britannique qui rendit de menus services, suggère-t-il avec un sens consommé de la litote.

« Un microbe dans la hiérarchie du monde secret » 

Ainsi résumait-t-il son activité de 1956 à 1964. On n’en saura pas davantage sur la nature exacte du travail accompli au sein du SIS (Secret Intelligence Service ou MI6), en sa qualité d’agent de renseignements. Sa loyauté n’est pas à géométrie variable : ayant promis dès son engagement de n’en rien dire, il s’y sent tenu plus d’un demi-siècle après, tant légalement que moralement, même si l’on pourrait imaginer qu’il y a prescription, tout de même. Mais tout semblait le ramener à la guerre froide. Mais pour autant, à ses yeux, « l’ours russe » n’avait jamais désarmé, son orgueil demeurait intact et son appétit d’empire, inentamé. Lui avait tout de suite senti que la fin du communisme n’entraînerait pas la fin de la menace russe. Il n’avait pourtant effectué que deux séjours en Russie (1987 et 1993) mais cela lui fut suffisant pour voir juste.

 Ses souvenirs sont à son image : discrets, courtois, pleins d’humour, légers. Parfois édifiants, souvent instructifs, toujours passionnants. On y retrouve les caractéristiques de ses romans, à commencer par un inouï don d’observation des comportements des gens dans leurs habitudes, leurs apparences, leur langage. En voilà un qui maîtrise le grand art du détail. Ce qu’on n’y retrouve pas, et l’on ne s’en plaindra pas, c’est la sophistication de leur architecture narrative et la complexité de leurs situations ; car en l’espèce, elles n’avaient pas lieu d’être. Ses Mémoires sont conçues dans l’esprit d’une conversation avec le lecteur. Mais qu’on ne s’y trompe pas : sous le masque de l’humour, la peur ne l’a jamais quitté. Elle nourrit sa réflexion ininterrompue sur le statut de la vérité dans la mémoire. Il est vrai qu’à 16 ans, son père l’envoyait chercher ses clubs de golfs oubliés dans un palace sans lui préciser qu’étant parti sans payer la note, l’adolescent risquait gros.

Ses romans sont le fruit de la rencontre son expérience et son imagination. Au fond la somme de ses contradictions. Le monde de l’espionnage, et la question récurrente de sa moralité, n’auront été que le décor de son œuvre, et la guerre froide son cadre. Il n’avait pourtant effectué que deux séjours en Russie (1987 et 1993) mais cela lui fut suffisant pour voir juste. En vérité, sa grande affaire, ce fut le mensonge. Ce qui fait de lui non un romancier d’espionnage, genre littéraire dans lequel il s’est laissé enfermer en haussant les épaules, mais un grand écrivain tout court, à l’égal de ses maîtres Joseph Conrad et Graham Greene. Rien ne pouvait le comblait comme d’être loué pour ses qualités de conteur.

Un autre fil rouge relie les personnages de son œuvre : l’abandon, et comment en serait-il autrement pour celui que sa mère a abandonné, lui et Tony, son aîné de deux ans, le gardien de son frère, alors qu’ils dormaient à poings fermés, sans un mot d’explications, fuyant un mari invivable et dangereux qui de surcroît la battait ? « Une opération d’exfiltration bien organisée, exécutée selon les scrupuleux principes de compartimentation » jugera plus tard l’espion. N’empêche qu’il ne lui a jamais pardonné à cette femme qui ne lui prit la main qu’une seule fois, et encore, avec un gant. Une fois parvenu à l’âge adulte, il l’a retrouvée après bien des recherches mais ses explications furent vaines. Les portraits qu’il trace de ses parents sont sans concession ; mais malgré tout, il conserve pour ce père si imprévisible et vibrionnant à « la tête hypothéquée , personnage chu d’un chapitre de Dickens, une tendresse, parfois haineuse et sans pardon, mais une tendresse tout de même, surtout lorsqu’il l’entendait au bout du fil, des sanglots dans la voix, lui réclamer encore et encore de l’argent, et même un pourcentage sur son œuvre puisqu’il s’en considérait d’une certaine manière à l’origine.

D’ailleurs, il lui arrivait souvent de vendre à un prix déraisonnable à des amateurs des livres de son fils qu’il dédicaçait : « Signé le Père de l’Auteur » ; et quand des lecteurs les présentaient à John le Carré, celui-ci rajoutait : « Signé le Fils du Père de l’Auteur ». Il n’empêche que lorsqu’il acheva l’écriture d’Un pur espion (1986), pur chef d’œuvre autour de la figure envahissante de son père, la catharsis fut telle qu’il pleura toutes les larmes de son corps. En se retournant sur son parcours, il tient que l’espionnage et la littérature ont partie liée :

« Tous deux exigent un œil prompt à repérer le potentiel transgressif des hommes et les multiples routes menant à la trahison ».

John le Carré aurait mérité dix fois que l’un de ses romans soit couronné par le jury du Booker Prize, l’équivalent britannique du Goncourt (sans parler du Nobel, mais il est vrai qu’il ne sait pas chanter) ; quand bien même ses éditeurs ne les leur ont jamais envoyés, obéissant ainsi à son propre refus de postuler, les jurés se seraient honorés en le distinguant ; ils étaient libres de leur choix et rien ne les en empêchait. Aujourd’hui, c’est trop tard. Si cela advenait, on dirait : « Cette année, on a donné Le Carré au Booker Prize ! »

Le Voyageur secret, Une paix insoutenable, Le Directeur de nuit, Notre jeu, Le Tailleur de Panama, Single & Single, La Constance du jardinier, Une amitié absolue, Le Chant de la mission, Un Homme très recherché, Un Traitre à notre goût, entre autres. Autant de romans de qualité et d’inspiration forcément inégales, tournant parfois au procédé, si foisonnants qu’ils pouvaient de temps à autre donner le sentiment de la confusion, mettant en scène des personnages discrets aux motivations complexes, de pathétiques membres de l’establishment hantés par des tourments existentiels, rongés par la culpabilité, mais tenant toujours sa ligne en moraliste dans un inimitable tremblé du réel qui constituait le nœud d’histoires indénouables. Il mettait tant de subtilité à échafauder son jeu de dupes qu’il parvenait à faire de l’esprit de finesse un art de la complexité. La zone grise était vraiment son territoire. En l’explorant, ne jamais oublier cette forte pensée d’Oscar Wilde qu’il avait placée en épigraphe d’un de ses romans : 

« Quand on dit la vérité, on est sûr, tôt ou tard, d’être découvert. »

 

(Photos de Horst Tappe et D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature étrangères.

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commentaires

825 Réponses pour Pour saluer John le Carré

Jazzi dit: à

Les thèmes majeurs dans l’oeuvre cinématographique et théâtrale de R W Fassbinder ne m’apparaissent pas particulièrement compatibles avec ceux de Christa Wolf, vanina. L’inspiration du munichois, outre l’homosexualité, le porte à s’interroger sur la persistance du nazisme chez les petits bourgeois allemands, telle sa propre mère.

Jazzi dit: à

De « marraine » à « marâtre » il n’y a qu’un pas, et alii.

et alii dit: à

oui, mais « marraine » c’est une huître reine!

D. dit: à

Les Marenne Oléron ont une forme évoquant le losange si mamemoire est bonne.

D. dit: à

Moi les huîtres j’adore ça mais je ne peux jamais en manger parce que mon chat n’aime pas ça. Alors je me rabats sur des langoustes.

D. dit: à

Et toi Jazzi, les hiitres ? Jes sais qu’à la base t’es pas trop moules.

D. dit: à

Ce que je préfère encore c’est la tête de veau sauce ravigote.

Jazzi dit: à

Encore une idée reçue, D !

J’aime les moules (frites), les huitres, les tourteaux mayo et bien d’autres crustacés. si tu veux m’inviter à déguster un plateau de fruits de mer, je suis ton homme !

Bloom dit: à

Werner = Garnier et Fassbinder = tonnelier
Cooper signifie aussi « tonnelier ».
Pas la même époque (ni la même sensibilité) donc pas de risque de voir Jacques Tonnelier jouer dans un film de Garnier Tonnelier…

Jazzi dit: à

« la tête de veau sauce ravigote »

Là, non merci, de même que pour les tripes ou l’andouillette !
En revanche, pour les rognons sauce madère-Bloom c’est oui aussi et les oeufs en gelée-Barbara ou les pâtées en croute itou.

D. dit: à

Je veux bien t’inviter un de crs, quatre, Jazzi. Enlève juste Je suis ton homme, et tout devrait bien se passer.

D. dit: à

La Morteau n’est pas mal mais très fumée.
Comme la Montbéliard. J’ai d’ailleurs des difficultés à faire la différence entre l’une et l’autre.

D. dit: à

La Morteau n’est pas mal mais très fumée.
Comme la Montbéliard. J’ai d’ailleurs des difficultés à faire la différence entre l’une et l’autre.

Bloom dit: à

Extrait du message de fin d’année envoyé par le rédacteur du ‘Guardian Weekly’ à ses abonnés :

(…)
Welcome to the final edition of the Guardian Weekly of a tumultuous year. With just a fortnight to go until the 1 January deadline, the UK and EU remained locked in talks this week to try to get a post-Brexit trade deal over the line. In the big story, Observer political editor Toby Helm and Tom Wall ask how on Earth it has come to this (…)

I’m afraid it behooves me to pass on a warning from our publishing and subscriptions team that due to Britain’s departure from the EU on 1 January it is quite likely that delivery of the magazine may be delayed for readers in the European Union. We’re hoping that any disruption to our services will be minimal but please bear with us. We will, of course, ensure that any complaints are delivered straight to one B Johnson, 10 Downing St, London…

Thank you for being with us in this extremely strange and sad year.

Happy Christmas, happy new year and stay safe. (…)

Abonné à ce magazine depuis la fin des années 70, je sens qu’il va m’être difficile de résister à la tentation de me fendre d’une missive à l’attention d’« un certain B Johnson ».

Bloom dit: à

rédacteur en chef…

Jazzi dit: à

« Abonné à ce magazine depuis la fin des années 70 »

ça fait combien en livres sterling, Bloom !

JiCé..... dit: à

GEOMETRIE NON EUCLIDIENNE

Bourré, le Carré est rond …

et alii dit: à

L’huître, de la grosseur d’un galet moyen, est d’une apparence plus rugueuse, d’une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C’est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l’ouvrir : il faut alors la tenir au creux d’un torchon, se servir d’un couteau ébréché et peu franc, s’y reprendre à plusieurs fois. Les doigts curieux s’y coupent, s’y cassent les ongles : c’est un travail grossier. Les coups qu’on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d’une sorte de halos.
À l’intérieur l’on trouve tout un monde, à boire et à manger : sous un firmament (à proprement parler) de nacre, les cieux d’en-dessus s’affaissent sur les cieux d’en-dessous, pour ne plus former qu’une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l’odeur et à la vue, frangé d’une dentelle noirâtre sur les bords.
Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d’où l’on trouve aussitôt à s’orner.

Francis Ponge

JiCé..... dit: à

On perd son temps (précieux) à causer de ce fada carré, oublié de tous !

JiCé..... dit: à

Et alii

L’ouvrage (non édité) : « Comment ouvrir une huitre ! » aurait fait un flop, tant il conduit à la Clinique de la Main la plus proche.

Pitoyable Ponge…

Bloom dit: à

ça fait combien en livres sterling, Bloom !

Excellent value for money, Baroz. C’est ce qui compte.

et alii dit: à

0 PROPOS D’OLeRON/
L’écrivain Pierre Loti est enterré depuis 1923 dans le jardin de la maison de ses grands-parents, suivant la tradition de ses ancêtres huguenots. Cette maison se situe à Saint-Pierre, mais selon les volontés de l’auteur, on ne la visite pas, contrairement à sa maison rochefortaise, transformée en musée.

renato dit: à

Aimez-vous la saucisse au couteau, D., ?
— cuite à la poêle avec romarin, échalote, gousse d’ail, vin blanc sec —

vanina dit: à

Effi Briest tiré d’un roman de Fontane est une bien belle réussite de R.W.Fassbinder, qui avec la magnifique Hanna Schygulla, était capable de tout. Mais je ne veux pas avoir raison, et suis à mon aise dans le contradictoire, fondamental dans tout échange, et bien plus fertile que la coérence . Quant à la persistence du nazisme et la persistence des liasons dangereuses chez la DDR, un petit air de famille ne circule-t-il pas dans les environs…

Une amie m’a envoyé une photo de son balcon tout fleuri, un vrai jardin de Noel, avec des couleurs si belles, toute une palette de verts et des blancs, elle est une artiste du monde végétal, qui célèbres ses triomphes malgré tout et pour les yeux de tous.

et alii dit: à

sur Loti
On cite cette anecdote : devant écrire à Victorien Sardou (qu’il n’aimait pas), il adressa la lettre à « Victorien Sardi, Marlou-le-Roi ». Comme il avait fait suivre sa signature de la mention de son grade, il reçut en réponse une carte libellée de ces mots : « à Monsieur Pierre Loto, capitaine de vessie »14.

vanina dit: à

@ JJJ

un formidable connaisseur de romans de gare,d’élite,d’outre-mer, compliments.
Mme. Fisher est connue aux Etats-Unis et
objet de culte pour les gastrophiles.
Un grand père qui aimait Rossini et la
bonne cuisine prenait ses repas dans un
resto qui se nommait « Al Sollazzo Gastrico ».
Autres temps, autres moeurs.

Jazzi dit: à

16 décembre 2020 à 14 h 55

Hier, après une délicieuse sieste, je suis parti vers 15 h 30, sous un beau soleil d’hiver, pour une première balade déconfinée, les mains dans les poches, vides de tout ausweis.
Désirant me désenclaver au plus vite, j’ai pris le tram à la porte Dorée.
Je suis descendu à la station Avenue de France, où je suis monté aussitôt dans le 89, en début de ligne.
Assis à la droite du chauffeur, je pouvais bénéficier d’une vue dégagée.
Au passage, j’ai jeté un coup d’oeil au MK2 Bibliothèque, désert.
Puis nous avons contourné la gare d’Austerlitz, belle enclave Napoléon III, sise désormais au coeurs des derniers bâtiments futuristes du quartier Rive Gauche.
Nous avons longé le jardin des Plantes, la mosquée de Paris, Censier et avons grimpé la montagne Sainte-Geneviève jusqu’au Panthéon.
Je suis descendu devant les grilles du jardin du Luxembourg, où une gardienne en tenue m’a empêché de pénétrer : ils fermaient !
J’ai donc suivi les grilles, de l’extérieur, constatant au passage que la fontaine Médicis, sous caisson, fait l’objet de travaux de rénovation.
Après l’Odéon, j’ai pris à droite, la rue Tournon, puis à gauche, la rue Saint-Sulpice, jusqu’à la place du même nom.
De là, j’ai regagné Saint-Germain-des-Près par la rue Bonaparte.
Coupant par la place de Furstenberg, j’ai rejoint le rue de Buci, tourné à gauche dans la rue de Seine et suis allé voir la boutique de photos Roger-Viollet dont Passou nous avait annoncé la réouverture.
https://twitter.com/i/web/status/1335952254751436804
Juste après, j’ai découvert que la statue de Voltaire n’était plus sur son socle.
La cloche du dôme de l’Académie française a alors retentie.
Sur les quais de la Seine les bouquinistes étaient fermés.
Je suis allé m’assoir au milieu du Pont des Arts, où j’ai fumé voluptueusement une cigarette face au Pont Neuf.
La nuit était tombée. La Samaritaine, les arches du Pont Neuf, et dans le lointain le sommet des tours de Notre-dame, qui se refait une beauté avec l’argent parvenu du monde entier, étaient éclairées à giorno.
Une odeur de feu de bois remontait des péniches amarrées à quai et les flonflons d’un orphéon se faisait entendre dans le lointain.
Je me suis dit que c’était bien là la ville que j’aimais et où probablement je mourrai.
Je suis reparti vers le Châtelet en suivant le Louvre, du côté du fleuve.
Arrivé au Pont-Neuf, j’ai retraversé la Seine jusqu’au square Henri IV, d’où parvenait l’intrigante musique.
A la proue du jardin, une quinzaine de jeunes musiciens : essentiellement des cuivres, une batterie et deux tambours jouaient des airs endiablés, d’avant couvre-feu, en dansant, devant une dizaine de spectateurs tout aussi trémoussants.
Ensuite, j’ai traversé la place Dauphine, enclose et triangulaire, où une dizaine de joueurs de boules disputaient une partie de pétanque en silence.
J’ai longé la Conciergerie, en passant devant la porte où Marie-Antoinette a entamé son ultime parcours parisien.
Ah ! Paris éternel et toujours recommencé…

Jazzi dit: à

vanina, l’adaptation du Berlin Alexanderplatz de Döblin par Fassbinder est pal mal non plus.
Et le Querelle de Genet, étonnant et testamentaire !

rose dit: à

Merci pour la balade Jazzi,

rose dit: à

(qu’il n’aimait pas), il adressa la lettre à « Victorien Sardi, Marlou-le-Roi ». Comme il avait fait suivre sa signature de la mention de son grade, il reçut en réponse une carte libellée de ces mots : « à Monsieur Pierre Loto, capitaine de vessie ».

rose dit: à

D
. J’ai d’ailleurs des difficultés à faire la différence entre l’une et l’autre.

La taille & la couleur.

Petit Rappel dit: à

A propos des influences prêtées charitablement au travail de Louise Gluck, se souvenir de ces lignes d’ un dramaturge sans illusion quant à ce travers:  » On m’ a comparé à Eschylé , a Shakespeare, à La Villemarque. On ne pourrait pas me lire pour ce que je vaux ,! ( Je cite de mémoire mais c’ est à peu près ça!.) Bien a vous. MC

vedo dit: à

Pêle–mêle: d’abord merci à Assouline, en autres pour la remarque sur JLC et l’allemand. La première phrase de La Métamorphose ne sonnerait pas comme celle de “Also sprach Zarathustra” (Strauss), (https://www.youtube.com/watch?v=Szdziw4tI9o), s’il n’y avait pas le verbe en dernier mot, renforcé par antérimes des deux mots précédents. La description de Bonn me paraît surtout refléter JLC et son monde. Je ne reconnais pas “mon” Bonn, une ville particulière, certes, mais surtout une ville avec une excellente université, d’une longue tradition, une influence française non négligeable-depuis la Révolution, avec en plus une active minorité protestante, en bonne entente. La directrice musicale de la chorale principale avait élevé chacun de ses enfants dans l’une des deux religions, de manière alternée. (Je recommande l’Oratorio de Noël à la Kreuzkirche). Il me semble que pour chacun, une ville est surtout ce qu’on y fait. (J’y ai passé plusieurs séjours). Christa Wolf: a aussi écrit un livre très intéressant, “Ein Tag im Jahr 1960-2000”, 30 pages pour chaque 27 septembre. Et sur l’atmosphère de la DDR, la référence me paraît être “Der Turm” (pour ceux qui en ont temps et endurance).

MC dit: à

Rose La blague LotiLoto ‘se trouve aussi chez Fourest avec , dans une parodie de sonnet orientalo-decadent  » Ces lotus fiers d’ avoir Loti pour génitif »

Sardou, auteur de melos bien faits survit par Madame Sans Gene et le livret de Tosca . Combien peuvent en dire autant parmi ses pareils? Un tableau a Carnavalet montre son intérieur. un véritable décor de theatre historique à soi-seul. Je crois, et alibi, que cette représentation des défunts passe nécessairement par des crises de l’ imaginaire. Dans la légende très connue de la Ville d. Us Dahut- Ahes, avant d’ être la fille maudite de Gradlon, devait être plus proche de la Banshee qui a le pouvoir de descendre dans l’ Enfer liquide des Celtes, que de La Princesse idiote qui noie sa ville Dieu sait pourquoi ». En revanché les récits des marins qui montrent sous l’ eau une ville où on continue à vivre d’ une vie amoindrie, mécanique,, récits qui n’ ont pas eterefaitssous leromantisme ou amplifiés dans l’ entre eux guerre, renvoient a un fonds beaucoup plus ancien’.. On pourrait évoquer aussi la crise spirite des années 1853, sur fond d’ industrialisation massive et de déchristianisation des élites On pense toujours a Hugo, mais on oublie que les triomphes de Kardec ont lieu devant des foules ouvrieres et que le spiritisme touche une bonne partie de la societe » je passe sur la parenthèse neo-druidique et républicaine, qui ne mord que dans quelques milieux’ , fondée qu’elle est sur le texte des Triades de Taliesinn , censé résumer, bien que Gallois et bar disque, l’ enseignement gaulois et druidique. C’ est la doctrine de la mort Metempsychose. Sa plus illustre victime reste l’ historien Henri Martin.Le choc de 1870 enraie le développement spirite, qui renaît avec les oripeaux scientifiques autour de l’ Institut Metapsychique’ Ce n’ est plus le sort des morts, mais la possibilité d’obtenir en laboratoire des faits justifiant la survie des morts qui prime’. La revanché viendra après 1918 lorsque les Esprits écriront des volumes entiers ( Les Lettres de Pierre a Madame de. J ,par exemple . . Mais aussi, d. outre tombe, Kardec et. Hugo en méforme versificattoire! Il n’ est pas impossible que les temps où nous vivons instaurent de nouvelles images, vu le choc que représente la privation de la vue du corps et son ensevelissement en catimini. Bien a vous’. MC

m

Paul Edel dit: à

Vedo, vous avez raison de signaler « Un jour dans l’année » de Christa Wolf qui n’a pas connu beaucoup de lecteurs en France. Et bien sûr, pour ceux qui s’intéressent à la RDA il faut lire « La tour » de Uwe Tellkamp roman qui en dresse un inventaire panoramique impressionnant.

et alii dit: à

Ainsi, quand en 2007 il a été rapporté que Kollek était un agent britannique du nom de code Scorpion qui avait donné des informations conduisant à l’arrestation de ses compatriotes juifs, de nombreux Israéliens ont été choqués. En tant que Scorpion, Kollek aurait rencontré des agents du MI5 et aurait divulgué des informations sensibles conduisant à l’arrestation de dizaines de combattants Irgun et Lehi par les Britanniques.
https://www.tabletmag.com/sections/history/articles/teddy-kollek-yitzhak-ben-aharon

Clopine dit: à

Hors sujet 1 : j’ai visionné le montage de la voix off de « Tant qu’il y aura des pommes ». J’avais une amie (non au courant des tenants et aboutissants du film) à côté de moi… Pendant que je me disais « bon sang, ce que la première partie est longue, va-t-on vraiment réussir à garder le public attentif avec une première partie aussi verbeuse et dense, pendant autant de temps ? », l’amie en question elle, semblait ravie. Elle n’a pas décroché pendant tout le temps du visionnage, et a trouvé ça « super », à la fin…
Du coup, j’ai bon espoir que ce malheureux film, qui s’est mangé le covid, la séparation de Clopin et moi, plus le départ de Westley le troisième larron de Beaubec Productions, aboutisse enfin. Et même qu’il soit réussi… Comme un enfant mal parti qui arrive tant bien que mal à grandir, et qui finalement s’épanouit tout aussi bien qu’un autre…

Hors sujet2 : mon fiston m’a offert le livre de Lahire sur Kafka, « éléments pour une théorie sur la création littéraire ». Première constatation : la langue y est limpide. Deuxième constatation : ça ne devrait pas trop plaire aux érudits de la Rdl !

rose dit: à

Georges, pas Caroline Fourest
PSEUDO-SONNET
ASIATIQUE ET LITTÉRAIRE

L’extrême-orient s’européanise de plus en plus : l’Inde, le Japon, la Chine, la presqu’île Indochinoise dévorent aujourd’hui nos romans et nos brochures.
Télesphore Coulaud, juge de paix.

Emmi les hauts roseaux, les rotangs et les joncs que
réfléchit l’étang mauve où nagent les cyprins,
la frêle Hadja-Sari, Fille des mandarins
au teint jaune citrin navigue dans sa jonque ;

la salangane vole, effroi des moucherolles[1]
à son nid de fucus, potage expectatif ;
un friselis frivole affole les corolles
des lotus fiers d’avoir Loti pour génitif.

on entend miauler un tigre dans les jungles.
Or, de ses doigts menus que terminent des ongles
pointus Hadja-Sari, princesse de Bangkock

avec un geste mièvre et des mines jolies
feuillette, abandonnant la rame à ses coolies
un roman très-cochon que signa Paul de Kock.

rose dit: à

>Marc Court
le com qui précède

rose dit: à

« A propos des influences prêtées charitablement au travail de Louise Gluck, »

En même temps, il y a une curiosité des « ancêtres ». Marie N’Diayé par exemple dit ne pas quitter Fauklkner sur sa table de nuit.
Le style personnel est une autre étape.

rose dit: à

Jazzi

je ne peux pas répondre une semaine avant Noël.

D. dit: à

Moi j’ai jamais vu de ma vie une moucherolle effrayée. C’est des conneries tout ça, ces bêtes-là n’ont peur de rien, prêtes à tout oser.

Bloom dit: à

Faulkner semble être très apprécié des auteures noires. Tout comme Maire Ndiaye, Toni Morrison le tenait en très haute estime; elle disait qu’il avait parfaitement compris la condition et la psyché des Noirs du Sud profond. Et il est vrai que le personnage de Nancy Mannigoe dans « Requiem pour une nonne » n’aurait pas déparé un roman de l’auteure de Sula…
Faulkner, source inépuisable de puissance et de vertiges, créateur d’un monde qu’il a cartographié et animé des passions les plus complexes.

renato dit: à

Dans sa postface à Le proces (1973) édité par Adelphi, Roberto Calasso parle de l’écriture de K. comme d’une écriture efficace par sa simplicité. Par ailleurs, on parle de cette caracteristique de l’écriture de K. — lecteur de Walser* — depuis un bon bout de temps déjà.

*Selon Max Brod, Kafka riait en lisant Walser — il avait particulierement aprecié Jacob von Gunten. Ça devait être sa relation au texte, car nous savons que, « en lisant le premier chapitre du Procès à ses amis, Kafka riait au larme ».

renato dit: à

Balise oubliée, fatigue, donc :

… aprecié Jacob von Gunten. Ça devait être sa relation au texte, car nous savons que, « en lisant le premier chapitre du Procès à ses amis, Kafka riait au larme ».

et alii dit: à

Yossi et le Mossad
Un ancien espion israélien décrit sa vie et son travail dans les années 60 et 70
PAR
ROBERT ROCKAWAY
 » Il a sorti quatre passeports: deux des États-Unis et un chacun du Costa Rica et de la Grande-Bretagne. Chaque passeport avait sa photo, mais sous un nom différent. Ses passeports américains avaient la même image, mais des noms différents. Je lui ai demandé comment il les avait. «Très simple», dit-il. Et il m’a décrit comment il l’a fait. J’ai été étonné de voir à quel point cela semblait facile. Dans sa jeunesse dans les années 1960, Yossi avait été un agent du Mossad, l’agence de sécurité nationale d’Israël. Après avoir quitté l’agence, il est devenu un associé du Mossad. Yossi a expliqué qu’un associé du Mossad est quelqu’un qui n’est officiellement pas un agent, mais une

Au début des années 1960, Yossi vivait en Italie. Il était alors un agent du Mossad. À l’époque, Mohammed Hussein Heikal était le rédacteur en chef du journal égyptien Al-Ahram . Ce journal était la voix de facto du gouvernement égyptien dirigé par Gamal Abdel Nasser. En 1957, Nasser installa son ami de longue date et confiant Mohammed Heikal comme rédacteur en chef du journal. Le Mossad a élaboré un plan sur la manière d’obtenir des informations sur les sentiments et les pensées personnelles de Nasser à propos d’Israël auprès de son plus proche confident, Heikal. Le plan impliquait d’enlever secrètement le frère de Heikal, qui vivait en Italie, et de le faire passer clandestinement en Israël. Une fois en Israël, ils pourraient l’utiliser pour faire pression sur Heikal afin de leur fournir des informations sur Nasser.

https://www.tabletmag.com/sections/arts-letters/articles/yossi-and-the-mossad

D. dit: à

Les contaminations ont fortement augmenté aujourdhui. Hélas. Nous sommes assez probablement au début d’une troisième vague.
Il faut montrer du doigt, et désormais avec une beaucoup plus grande sévérité, le relachement très important dans le port du masque, particulièrement en extérieur en milieu urbain.

D. dit: à

Mais aussi en entreprise où beaucoup de travailleurs n’acceptent pas de jouer correctement le jeu.
Les contaminations en entreprise sont pourtant très importantes numériquement.
La contamination en extérieur en milieu urbain est quant à elle très largement sous-evaluée. Joggeurs, cyclistes, trottineur et beaucoup de piétons dont enfants sans masques générant des autoroutes de contamination.

Marc Court dit: à

Rose merci pour le Fourest, je ne l’ avais pas sous la main. Qui se souvient de Paul de Kock, écrivain léger et des plus vendus alors, dont , selon cette mauvaise langue d’ Eugène Jacquot, dit de Mirecourt, Pie IX lui même aurait été un lecteur indulgent et assidu? Bien à vous. MC

et alii dit: à

renato:
e jour de Noël 1989 après la chute du mur de Berlin, Leonard Bernstein a dirigé l’Orchestre philharmonique de Berlin dans la neuvième symphonie de Beethoven, avec son décor de l’ Ode à la joie de Friedrich Schiller :

Joie, incandescence immortelle!
Fille d’Elysée!
Ivre de feu de ta présence
Vers la terre de ton temple, nous venons …
«Freude» – Joie – est le sujet de l’ode de Schiller, mais Bernstein a substitué le mot «Freiheit» – Liberté – dans son interprétation festive de l’œuvre. Cela correspondait à l’occasion, mais il rendait également hommage à Beethoven lui-même, salué comme le compositeur de la liberté par des écrivains trop nombreux pour être cités.
https://www.tabletmag.com/sections/arts-letters/articles/beethoven-freedom-250

rose dit: à

Pour Beethoven, joyeux anniv.
🥳🍾🎂🥂🚧🎁

D. dit: à

Où est passé Chaloux nom de nom ?!

Ort dit: à

Paul de Kock a une postérité, il n’est que de voir les occurrences de son nom cité à la diable dans les romans français de tout le XIXe, et pas seulement: Dostoïevski! Même Ulysse!
Il est un peu comme ces moulages de Pompéi: ces corps depuis longtemps envolés en poussière, mais qui ont conservé une réalité en creux d’autant frappante que par le vide, laissé dans la roche volcanique figée autour d’eux. Qu’il reste ainsi, pétrifié, ce bon de Kock, et que Dieu me garde de la tentation de vérifier un jour ce qu’il vaut, au risque de faire perdre au frêle fantôme son évanescente poésie… D’ailleurs Molly Bloom, toujours de bon conseil, est bien de mon avis.

– L’avez-vous fini ? demanda-t-il.
– Oui, dit-elle. Il n’y a rien de bien folichon dedans. Croyez-vous que ce soit son premier qu’elle aime tout le temps?
– Je ne l’ai jamais lu. En voulez-vous un autre?
– Oui. Un autre de Paul de Kock. Quel coquin de nom il a.

D. dit: à

Moi aussi j’adore les pâtés en croûtes.
Je ne pensais pas que nous pouvions un jour nous rejouidre spirituellement, Jean. Je suis ému. Vous aussi je présume.

Janssen J-J dit: à

Pour RenatoM, constant jardinier, joyeux anniversaire 🥳🍾🎂🥂🚧

B dit: à

Paul de Kock a une postérité, il n’est que de voir les occurrences de son nom cité à la diable dans les romans français de tout le XIXe, et pas seulement: Dostoïevski! Même Ulysse!

Quelle élégance pour un auteur dont le nom évoque quand même un peu le bacille de la tuberculose, en gros et de loin.

Suis actuellement en zone presque blanche, aussi cela me dissuade de tenter de communiquer par delà les tours et les vallées qui me séparent de votre réjouissante compagnie. A très bientôt.

rose dit: à

Bon anniversaire Renato Maestri🌞⭐🌹❄️🌈🍒🎂🎈📽️📚🇨🇭⭐🌞

rose dit: à

B
Et Éducation Européenne, on le garde pour l’an que ven ?

renato dit: à

Un brin en avance — aujourd’hui -7 —, mais merci pour vos vœux.

et alii dit: à

Aldrich Hazen Ames est un citoyen américain né le 26 mai 1941 à River Falls1 dans le Wisconsin. Officier de la CIA depuis 1962, il est devenu entre 1985 et 1994, date de son arrestation par le FBI, une « taupe » pour le compte du KGB soviétique puis du Service des renseignements extérieurs de la fédération de Russie (SVR). Le 28 avril 1994, il est condamné à perpétuité pour espionnage. En 2019, il était incarcéré à l’« Institution correctionnelle fédérale de Terre Haute (en) »2, dans l’Indiana.

Janssen J-J dit: à

Où est passé Chaloux nom de nom ?!
Faites pas semblant, tout le monde sait que Loucha-c-Voux ! L’autre a épousé ma soeur. Accordent leurs violons au piano. Bàv 🍒

Janssen J-J dit: à

Je ne parviens pas à faire mon tri de Betty, il faut essayer de sauver les gens de leurs fourvoiements. Repliés et sectarisés, ils sont très malheureux dans leur tête. Les inviter à la veillée de noël, par exemple, ne pas les laisser sur le trottoir. Les ramener chez eux ou leur offrir à dormir dans nos beaux draps, que sais-je. Bàv,
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/je-ne-lui-parle-plus-elle-est-complotiste-quand-le-covid-pousse-a-faire-le-tri-dans-ses-relations-20201216

et alii dit: à

En 1932, les Américains William Beebe et Olis Barton atteignent les 900 mètres à bord de leur « bathysphère » ; en 1960, le professeur Auguste Piccard développe le Trieste, lui permettant de décrocher le record de plongée profonde à 10 900 mètres dans la fosse des Mariannes (Pacifique).

En utilisant des submersibles habités, ces pionniers ouvrent la voie à l’exploration des grands fonds. Ces appareils seront ensuite développés et utilisés à des fins scientifiques.
video
https://theconversation.com/a-plus-de-1-000-metres-sous-leau-des-observatoires-pour-etudier-la-richesse-de-locean-profond-147036?utm_medium=email&utm_campaign=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%2016%20dcembre%202020%20-%201814017635&utm_content=La%20lettre%20de%20The%20Conversation%20France%20du%2016%20dcembre%202020%20-%201814017635+CID_c497d93fc0f8f71a390c466cf283bef2&utm_source=campaign_monitor_fr&utm_term=plus%20de%201%20000%20mtres%20sous%20leau%20des%20observatoires%20pour%20tudier%20la%20richesse%20de%20locan%20profond

closer dit: à

« On ne peut point ne pas songer à Paul de Kock quand on évoque Belleville, ses grisettes amoureuses et ingénues, ses petits employés épris de farces et de bonnes et franches lippées, Belleville qui était alors une banlieue de Paris, avec des tonnelles et des guinguettes, où, le dimanche, s’esbaudissaient les jeunes gens en liesse. Paul de Kock avait à Romainville — à deux pas de là — sa petite propriété, et il célébra Belleville en écrivant un roman exquis : La Pucelle de Belleville. » wki

et alii dit: à

de mieux caractériser la distribution des espèces à l’échelle des individus – notamment à travers le projet de science citoyenne, « Espion des grands fonds » et la reconstruction en 3D de la cheminée hydrothermale active appelée « Tour Eiffel ».

Marc Court dit: à

Se souvenir d’ un auteur ´ne signifie pas une survie de ses œuvres. Je ne vois que le Cocu, son grand succès sous Louis-Philippe,que l’on édite jusqu’aux années 1950. Joyce a pu se contenter de lire ses Mémoires, traduits et parus en anglais chez Léonard Smithers, 1869. ( « Memories written by myself «  , comme il se doit Bien à vous.

MC

et alii dit: à

Le super espion Lance Sterling et le scientifique Walter Beckett ont des personnalités radicalement opposées. Lance est relax, cool et il a du style. Walter est … tout l’inverse. Certes, il n’est pas très à l’aise en société mais son intelligence et son génie créatif lui permettent d’imaginer les gadgets impressionnants que Lance utilise sur le terrain. Alors qu’une mission tourne mal, Walter et Lance vont devoir unir leurs forces. Si ce duo excentrique ne parvient pas à s’entraider, le monde est en danger.
Titre original Spies In Disguise
Distributeur Walt Disney Studios Motion Pictures France
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CRITIQUES SPECTATEURS
selenieselenieMembre du Club 300 Allociné
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3,0 Publiée le 27 décembre 2019
La réussite est que le film reste bel et bien un film d’espionnage suivant un cahier des charges idéal du parfait film d’action et d’espionnage avec les ingrédients nécessaires et attendus du genre. Par contre, on peut rester un peu en retrait sur des gags très pipi caca redondants, ce qui restent évidemment très efficaces pour les plus jeunes. Les plus grands apprécieront un vrai travail sur la mise en scène. Plans et cadrages créatifs …
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littleplayer77littleplayer77
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3,0 Publiée le 5 janvier 2020
Plus les années passent et plus on a l’impression d’avoir fait le tour des films d’animation un peu décalés sur l’espionnage. Dans « les incognitos », Blue Sky ne propose rien de vraiment original ni de transcendant, les ressorts comiques sont tous connus et si les premières minutes laissent penser à un film plus mature, il n’en est finalement rien. L’ensemble reste malgré tout efficace …
Le cinéphileLe cinéphile
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3,0 Publiée le 23 décembre 2019
Les Incognitos est un divertissement sympathique à défaut d’être original. Parfait pour les fêtes de Noël. https://mondocine.net/les-incognitos-lcritique-du-film/
Nico FNico F
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3,0 Publiée le 4 janvier 2020
Sympa .. ça part pas mal . mais àa devient un peu brouillon . Mais il n’en reste qu’on passe un bon moment . Un film pour les plus jeunes par contre118 Critiques Spectateurs
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SECRET DE TOURNAGE
Doublage
Lance Sterling est doublé par Will Smith. Les réalisateurs voulaient créer le héros le plus cool qui soit : « Notre rêve est devenu réalité quand il a accepté de s’engager dans l’aventure. En tant qu’acteur, il a à coeur d’incarner et de raconter une histoire et de faire le meilleur film possible » explique Nick Bruno. Troy Quane renchérit : « il faut un certain charisme et quand on regarde la définition de charisme dans le dictionnai… Lire plus
Note d’intention
Si Les Incognitos s’inspirent des films d’espionnage, ce n’est pas pour autant une parodie. L’équipe voulait rendre hommage à ce genre et s’amuser en intégrant un pigeon à l’intrigue. « Ce qui était formidable dans le scénario et qui rendait l’idée de Walter aussi géniale, c’est que les pigeons sont vraiment des créatures extraordinaires et constituent une parfaite couverture. On les trouve dans toutes les villes du monde. Personne ne fait attenti… Lire plus
Jeu de couleurs
Le chef-décorateur Michael Knapp a mis au point une symbolique des couleurs dans laquelle les oranges et jaunes représentent le travail d’équipe et la communauté. Une nuance de turquoise chaude incarne l’Agence, tandis qu’une nuance froide de bleu indique l’isolation. Enfin, le rouge pointe le danger.
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https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=248797.html

COMMENTAIRES

et alii dit: à

Parfois surnommé « la pucelle de Tonnerre » ou « l’amazone du jour », Charles Geneviève d’Eon de Beaumont, alias le chevalier d’Eon, était l’un des espions les plus célèbres de Louis XV. Réputé pour son goût prononcé pour le travestissement, il a vécu habillé en femme pendant 32 ans. Retour sur la vie de l’un des personnages les plus brillants et les plus contradictoires du 18e siècle.

et alii dit: à

Le Secret du Roi est le service secret du roi Louis XV. Il est l’héritier du cabinet noir du cardinal de Richelieu et l’ancêtre du BCRA et de la DGSE. À sa création en 1722, le roi Louis XV en confie l’administration au cardinal Fleury, qui restera aux affaires pendant vingt années1. Successivement dirigée par le prince de Conti, Jean-Pierre Tercier et le comte de Broglie, cette diplomatie secrète, employant trente-deux personnes, visait à contrôler les ministres et à augmenter l’influence de la France à l’Est.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Secret_du_Roi

et alii dit: à

Il est officiellement présenté à la cour de Versailles le 23 novembre 1777. Vêtu d’une robe à panier noire, il provoque de nombreux rires dans l’assemblée, peu habituée à ce genre de spectacle. Cet homme travesti aux bras velus qui monte les escaliers quatre à quatre et s’assoit les jambes écartées devient rapidement une véritable attraction que tout le monde s’arrache.
c’est le premier manspreading!

Jazzi dit: à

« Où est passé Chaloux nom de nom ?! »

Et le boug et Marie Sasseur et Pablo75…

Jazzi dit: à

« Où est passé Ch.aloux nom de nom ?! »

Lui, il est interdit d’antenne, D. Mais le boug, Marie Sasseur et Pablo75 ?

Jazzi dit: à

Vous ferez-vous vacciner à la fin de l’année ou allez-vous attendre un peu ?

Jazzi dit: à

Casanova était persuadé que le chevalier d’Eon était une femme, et alii.

et alii dit: à

désigne le bureau secret entretenu dans des temps de funeste mémoire à l’intendance générale des postes, et dont l’infâme spécialité consistait à amollir les cachets et à violer le secret des correspondances privées. Les serviteurs de la monarchie se firent longtemps un jeu de ce crime, qu’ils exploitèrent largement pour perdre de bons citoyens, complaire au roi et à ses maîtresses et grossir le nombre des victimes de la Bastille. Cette inquisition de la police ne tomba qu’avec la royauté, et l’on eût dû croire qu’elle n’avait
le cabinet noir sur wiki

et alii dit: à

casanova se trompait!
Le chevalier d’Eon s’éteint finalement le 21 mai 1810 et la vérité éclate au grand jour lors de sa toilette mortuaire : Charles Geneviève d’Eon de Beaumont était bel et bien un homme.

et alii dit: à

macron aurait été diagnostiqué positif

Jazzi dit: à

Comment as-tu fait pour faire passer le nom interdit en fraude, D. Tu serais pas un peu espion, toi aussi ?

Jazzi dit: à

« macron aurait été diagnostiqué positif »

Ce genre d’information au conditionnel est indigne de vous, et alii !

et alii dit: à

wiki résume:
Le chevalier d’Éon n’est pas homosexuel ni bisexuel car on ne lui connait aucune aventure39. On pense généralement qu’il est uniquement travesti, son plaisir sexuel, le travestisme, consiste simplement à s’habiller en femme, et n’a pas besoin d’un partenaire sexuel, le regard des autres (ou le sien) lui suffit. Ce penchant est appelé l’éonisme en référence à d’Éon.

et alii dit: à

c’est dans le monde:
Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19
Le président de la République est porteur du coronavirus SARS-CoV-2, a annoncé l’Elysée jeudi.

renato dit: à

Casanova n’était qu’un con, et al., par ailleurs un mauvaise exemplaire d’italien, car réalisme nada : il a vu un type habillé en femme et il est resté à la surface — il faut toujours s’assurer de la nature des gens. Cela dit, il passait pour grand baiseur — enfin, c’est lui qui le disait.

renato dit: à

Chaloux s’est probablement mis en veille.

et alii dit: à

éonisme:brève page wiki:
Une sorte d’hérésie chrétienne du xiie siècle en Bretagne par le prédicateur Éon de l’Étoile.
Un goût pour le travestissement comme le pratiquait Charles de Beaumont, chevalier d’Éon : le travestisme. Le terme est aussi utilisé pour l’autogynéphilie.

renato dit: à

Suite à Casanova baiseur mythomane.
Ce qui ne fut pas le cas de Niccolò III d’Este dit le Coq de Ferrare dont les exploits sont entrés dans l’imaginaire collectif par les témoignages de tiers : « di qui e di là dal Po tutti figli di Niccolò ».

et alii dit: à

Le général Montholon, compagnon de captivité de Napoléon Ier, rapporte les propos suivants, qui auraient été tenus par l’Empereur lors d’un dîner à Sainte-Hélène35 :

« La violation du secret des lettres date, en France, du règne de Louis XIV; mais c’est sous Louis XV que fut établi le cabinet noir de l’administration des postes. Je n’ai rien changé à son organisation, j’ai seulement mis à la tête un homme d’une extrême probité; et je n’ai laissé aucun de mes ministres pénétrer ce mystère infernal. En résumé, c’est une mauvaise institution, qui fait plus de mal que de bien. Il arrive si souvent au souverain d’être de mauvaise humeur, fatigué, influencé par des causes étrangères à l’objet soumis à sa décision! et puis les Français sont si légers, si inconséquents dans leurs correspondances comme dans leurs paroles! J’employais le plus souvent le cabinet noir à connaître la correspondance intime de mes ministres, de mes chambellans, de mes grands officiers, de Berthier, de Duroc lui-même. Que de fois j’ai surpris le secret de leur dégoût
je crois que Montholon a un square (carré) à Paris

Jazzi dit: à

« Le président de la République est porteur du coronavirus SARS-CoV-2, a annoncé l’Elysée jeudi. »

Là, c’est mieux, et alii.

Eon et Casanova étaient des Européens avant la lettre, renato. Con, mauvais italien, c’est un peu court et totalement subjectif. L’avez-vous lu au moins, il écrivait un français sensiblement meilleur que le votre ou le mien…
Le sexe du chevalier d’Eon était tellement problématique et si peu évident qu’il a fallu une autopsie pour le définir. Aujourd’hui, il serait probablement transsexuel et en aurait changé…

Jazzi dit: à

Pour l’histoire des jardins de Paris, il suffit de me demander, et alii.
Le square Montholon est l’un des 24 squares aménagés par le préfet Haussmann conformément à la volonté de Napoléon III.

SQUARE MONTHOLON 1863
9° arr., rue La Fayette, rue Mayran, rue Rochambeau, rue Pierre-Semard, M° Poissonnière ou Cadet
La rue La Fayette, ouverte en 1823 à l’est du faubourg Poissonnière sous le nom de Charles X et rebaptisée après la révolution de 1830, fut prolongée vers l’ouest par Haussmann jusqu’au faubourg Montmartre (1859) puis jusqu’à la chaussée d’Antin (1862).
Entre les rues des Faubourgs Poissonnière et Montmartre, ce nouveau tracé amputa une partie de la rue de Montholon, du nom du président du Parlement de Normandie qui avait fait élever, par François Soufflot, dit le Romain l’hôtel situé 23, boulevard Poissonnière (1775), qui existe toujours mais a été surélevé au XIX° siècle.
En 1862 furent créées les trois rues qui bordent le square – la rue La Fayette constituant le quatrième côté –, aménagé par Alphand en 1863 au centre d’un bel ensemble architectural Second Empire et lui-même bien représentatif de son époque avec ses massifs plantés à l’anglaise.
La construction d’un parking souterrain en 1970-1971 a complètement modifié l’aspect de ce jardin qui a été recomposé à cet effet avec une terrasse surélevée sur dalle. Les deux beaux platanes datent du square d’origine, tout comme la grille en fonte très ouvragée d’époque Louis-Philippe. La sculpture en marbre par Lorieux, la sainte Catherine 1908, est dédiée “A l’ouvrière parisienne”, qui célèbre sainte Catherine chaque 25 novembre.

et alii dit: à

. Par exemple, pendant les auditions de la Commission Church, le 24 septembre 1975, le sénateur Frank Church a révélé l’existence d’un programme d’espionnage du courrier que la CIA a maintenu de 1953 à 1973. De nombreuses personnalités politiques telles que Richard Nixon, Edward Kennedy et Martin Luther King étaient ainsi surveillées 72. En cette période de Guerre froide, cet espionnage visait particulièrement le courrier en provenance du bloc de l’Est, qui n’était d’ailleurs pas en reste en la matière. Jaurès Medvedev s’est plaint de la façon dont sa correspondance internationale était ainsi censurée. Selon lui, un lettre ordinaire en provenance d’Angleterre, qui serait parvenue à Moscou en trois ou quatre jours avant la Révolution, mettait entre neuf et vingt-et-un jours pour arriver à destination à la fin des années 196022. À la même période, les deux états allemands se livraient également à un espionnage postal réciproque73.

L’expression « cabinet noir » reste fréquemment employée dans les milieux politiques et journalistiques, mais généralement dans le sens d’une officine secrète utilisant des méthodes plus ou moins illicites ou immorales destinées à protéger des politiciens, et souvent à nuire à leurs rivaux ou opposants.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cabinet_noir

renato dit: à

« Européens avant la lettre » c’est beaucoup dire, Jacques, il cherchait désespérément un lieu où chrecher. Quant à ecrire le français mieux que moi, il y en a une chiée et un petit tas qui y arrivent. Bon, si con ne vous plait pas je peux rectifier : crètin.

et alii dit: à

Le colonel Rose Mary Sheldon est la grande spécialiste mondiale de l’espionnage et des activités de renseignement dans l’Antiquité. Elle enseigne à l’Institut militaire de Virginie, aux États-Unis.

Peut-on appliquer le concept ­moderne d’espionnage à la ­réalité de la Rome antique ?

Oui, je pense. Les espions ont toujours existé, ils sont aussi vieux que l’humanité : nous sommes curieux par nature, nous voulons savoir ce que fait le voisin. Ce comportement éminemment humain a été transposé à l’échelle des États dès que des États se sont formés. Les peuples antiques n’employaient pas exactement le terme d’« espionnage » et ne disposaient évidemment pas des technologies modernes. Ils avaient néanmoins besoin de savoir ce que l’ennemi pensait et préparait. Leur survie en ­dépendait.
https://www.books.fr/rose-mary-sheldon-romains-amateurs-a-cote-dhannibal/

et alii dit: à

Les espions romains n’écrivaient pas leurs Mémoires ! Mais on trouve quelques exemples, comme Fabius Caeson – que son frère, le consul ­Quintus Fabius Maximus, envoie espionner les Étrusques déguisé en simple ouvrier agricole. Et même Tite-Live mentionne l’emploi d’éclaireurs, notamment dans les guerres contre les Samnites, au IVe siècle (1).

Justement, vous montrez dans votre livre que ces guerres contre les Samnites ont ­entraîné la première révolution de l’espion­nage romain.

et alii dit: à

, Hannibal est sans doute l’un des plus grands maîtres ­espions de l’Antiquité. Hannibal a hérité du vieux savoir-faire carthaginois. N’oublions pas que c’est à son père, Hamilcar Barca, qu’on attribue l’invention d’une des premières formes de correspondance secrète. On rapporte qu’il écrivait des messages sur une tablette en bois que l’on recouvrait de cire fraîche afin de la faire passer pour une tablette vierge (d’habitude, le message était inscrit dans la cire). Mais Hannibal a porté cet art à son sommet. Grâce aux espions qu’il avait à Rome, à un réseau de communications efficace et à une reconnaissance du terrain minutieuse, il en savait toujours beaucoup plus sur les Romains que les Romains n’en savaient sur lui.

closer dit: à

Qu’est-ce-qui te dit qu’ils ne sont pas aussi censurés, JB?

« On » a peut-être voulu faire une grand purge, dans l’esprit des purges staliniennes des années trente…

et alii dit: à

A short history of the contemporary French secret and security services. Cold War, international terrorism, economic intelligence: the French secret and security services have had to adapt themselves over the past sixty years to an evolving international situation and to organise themselves in accordance with these changes. The services have nevertheless preserved their respective roles as they inherited them from the foundational period of the Second World War. Since that time the actions they have carried out have always adhered to the national mission determined by the French government.
https://journals.openedition.org/rha/1843

et alii dit: à

. Avec Vienne, Berlin devient la plaque tournante de l’espionnage en Europe. En France, le Parti communiste accuse la DGER d’être une police politique dirigée contre lui. Le 22 septembre, la présidence du Conseil décide de transférer au ministère de l’Intérieur le service de censure postale et de contrôle des communications, dépendants jusque-là de la DGER. Deux mois plus tard, le général de Gaulle est confirmé dans ses fonctions de chef du gouvernement provisoire, auquel participent cinq communistes. Lors du Conseil des ministres du 28 décembre, il est décidé de dissoudre la DGER pour la remplacer par le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE). Maintenu sous le contrôle des services du président du Conseil et sous la direction du colonel Dewavrin, le SDECE est chargé de « rechercher à l’étranger tous les renseignements et toute la documentation susceptibles d’informer le gouvernement ; détecter et signaler aux administrations intéressées les agents des puissances étrangères dont l’action serait susceptible de nuire à la défense nationale ou à la sûreté de l’État ». Constitué en majorité de militaires, de socialistes et de gaullistes, le SDECE apparaît comme l’héritier du BCRA. Son maintien, alors que la paix est rétablie, obéit à une double inquiétude : la menace communiste et le réarmement de l’Allemagne.

Jazzi dit: à

« il en savait toujours beaucoup plus sur les Romains que les Romains n’en savaient sur lui. »

Ils ne l’ont même pas vu venir avec ses éléphants, et alii !

On peut à la limite reprocher à Casanova d’avoir introduit en France la loterie nationale, renato. Inspirée par le jeu de la Pyramide et importée d’Italie, dite aussi là-bas « la taxe sur les imbéciles » !

rose dit: à

et alii dit: à
c’est dans le monde:
Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19
Le président de la République est porteur du coronavirus SARS-CoV-2, a annoncé l’Elysée jeudi.

Dslée, j’ai ri: ah,ah,ah.

C laid mais j’ai quand même ri.

et alii dit: à

a vous!
S A T O R R O T A S
A R E P O O P E R A
T E N E T or T E N E T
O PE R A A R E P O
R O T A S S A T O R
This word square is one of the oldest unsolved cryptograms in the world. Efforts to discover a solution for the sator-formula date as far back as the fourteenth or fifteenth century. The Bibliothèque Nationale in Paris possesses a manuscript of Byzantine origin with an attempt at a translation (see Seligman, Satorformel, (no. 813), p. 174). Serious modern investigation of its origin and nature began in 1881 with Köhler’s
https://www.academia.edu/8270114/THE_SATOR_REBUS_AN_UNSOLVED_CRYPTOGRAM

Janssen J-J dit: à

@ closer, Ils ont été avertis à la fin novembre par la rdl qu’ils allaient « l’être ». Ma soeur, toujours élégante, annonça qu’elle allait se mettre en retrait jusqu’à la fin de l’année en faisant croire qu’elle allait à la neige espagnole ou finir sa pile de livres.
De fait, ON leur aura donné un délai de probation avec un retour possible l’année prochaine à certaines conditions. Seul Machin1 aurai été averti qu’il avait pris « perpète ».
D’après ce qu’ON croit savoir.
Quant à jmb, non, il est toujours là, il n’aurait jamais été inquiété. ON lui aurait simplement demandé de diminuer la fréquence des godes c. et de ses enkuleries. Nou savons constaté que le conseil avait porté. L’onomatopée en h.u.r.k. etcetera ne passe plus la barre non plus.

NB/ J’ignore si je suis covid-positif19, 75 ou 57, en l’absence d’un dépistage dument pratiqué. En revanche, je certifie être séronégatif au HIV. – Je pense me faire vacciner contre le virus du covid dès que j’entrerai dans les catégories de populations utiles, c’est-à-dire pas avant l’été prochain, au doigt mouillé. En attendant cette date, j’espère faire un usage intelligent du masque de protection en société.
J’imagine devoir mourir bientôt, mais ne voudrais pas que ce soit à cause de cette pandémie. Il y a des morts un peu plus nobles.
(Pardon pour les 59000 victimes de mon pays, je n’entends pas blesser leurs proches inutilement, ni aucun erdélien…, mais vu qu’on nous demande notre avis sur cette chaîne, hein !.., je donne le mien. Comme dirait jzmn : « onvapasmentir ».
Bàv,

Jazzi dit: à

« pas avant l’été prochain »

Courageux mais pas téméraire, JJJ !
Il serait plus « noble » de se porter volontaire et être piqué dans les premiers ?
J’attends d’autres réponses avant de me prononcer…

rose, il n’y a pas de quoi rire, c’est sans doute Brigitte qui le lui a refilé !

et alii dit: à

Espions d’hier et d’aujourd’hui
Books 2017/7-8 (n° 84)
Pages : 108
Éditeur : Books

et alii dit: à

je vais me reposer:
FAIRE SON LIT AU CARRÉ : QU’EST-CE-QUE C’EST ?
L’expression au carré chez les militaires désigne la façon dont les soldats doivent faire leur lit, une tradition apparue avec l’instauration du service militaire en 1978. Cette technique classique est aussi pratiquée dans les hôtels et dans les hôpitaux. Il s’agit de faire en sorte que la literie soit bien disposée, sans surépaisseurs ni plis gênants et inesthétiques.

Jazzi dit: à

« une tradition apparue avec l’instauration du service militaire en 1978 »

Moi j’ai pourtant fait mon service militaire en 1975-76. J’ai pas rêvé !

renato dit: à

Certes les Romians ne l’avaient pas vu venir avec ses éléphants, mais lui il n’avait pas prévu que les Romains se seraient deplacés au passage de ses éléphants, ce qui l’a envoyé droit dans le mur.

et alii dit: à

rose:
C’est pour rapprocher des points de vue, légitimes de part et d’autre, que le dispositif Saede (Service d’accompagnement, d’écoute et de dialogue éthique), qui n’existe pour l’heure et depuis peu qu’en Nouvelle-Aquitaine, est lancé ce vendredi. « L’idée est de trouver une solution concrète et partagée pour apaiser les souffrances », expose Jean-Michel Bruel de France Assos Santé, le collectif d’associations d’usagers qui déploiera ses bénévoles pour agir en médiateurs sur les dossiers. « L’anonymat sera garanti, il y aura de permanences et une possibilité de laisser un message », ajoute le Pr. Jacques Lagarrigue, responsable régional de l’Espace de réflexion éthique qui complétera les « binômes » par ses propres troupes. Il reconnaît dans un euphémisme que les cas de conflits qui lui remontent sont « loin d’être peu fréquents ».

Réunions, médiations, les bénévoles auront la délicate tâche de « trouver des adaptations individuelles », pour les visites par exemple, « qui respectent les responsabilités collectives » des Ehpad. Un vrai sacerdoce, d’autant que va venir le temps du débat sur la vaccination avec les familles.

SANTÉ
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SOCIÉTÉ
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Comment contacter le Service d’accompagnement, d’écoute et de dialogue éthique ?
Le Saede est joignable ou par mail à l’adresse saede.occitanie@gmail.com ou par téléphone au 0801 902 303 à partir du vendredi 18 décembre.

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rose dit: à

1798
c’est Napoléon qui eût l’idée et Jourdan qui l’exécuta.
On les appelait les conscrits.

rose dit: à

Jazzi

non, Brigitte visite les hôpitaux. C Ferrand qui lui a refilé.
Il est tellement mignonnet qu’il va nous dire  » Français, françaises, je m’occupe encore de vous ! ».
Qu’il s’en sorte, hein.

et alii dit: à

rose,
C’est pour rapprocher des points de vue, légitimes de part et d’autre, que le dispositif Saede (Service d’accompagnement, d’écoute et de dialogue éthique), qui n’existe pour l’heure et depuis peu qu’en Nouvelle-Aquitaine, est lancé ce vendredi. « L’idée est de trouver une solution concrète et partagée pour apaiser les souffrances », expose Jean-Michel Bruel de France Assos Santé, le collectif d’associations d’usagers qui déploiera ses bénévoles pour agir en médiateurs sur les dossiers. « L’anonymat sera garanti, il y aura de permanences et une possibilité de laisser un message », ajoute le Pr. Jacques Lagarrigue, responsable régional de l’Espace de réflexion éthique qui complétera les « binômes » par ses propres troupes. Il reconnaît dans un euphémisme que les cas de conflits qui lui remontent sont « loin d’être peu fréquents ».

Réunions, médiations, les bénévoles auront la délicate tâche de « trouver des adaptations individuelles », pour les visites par exemple, « qui respectent les responsabilités collectives » des Ehpad. Un vrai sacerdoce, d’autant que va venir le temps du débat sur la vaccination avec les familles.

rose dit: à

Il y a des morts un peu plus nobles.

Pas au piolet, Janssen-JJ, pas au piolet.

MC dit: à

Curieux ces propos de Napoléon sur le Cabinet Noir quand on sait que sous son règne , les documents interceptés sont fréquemment reproduits dans des brochures relatant des succès divers telle une intox des services anglais qui a marché, dans l’ affaire Moreau, des lettres de chouans illustres, et d’autres du maître- espion et très opportuniste Roques de Montgaillard. Dans la volière de la Noblesse d’ Empire, les Montholon sont bien plus anciens que beaucoup d’autres. En fait, que la quasi totalité. L’ Empereur , sans illusion, refuse sagement une filiation apocryphe avec une famille homonyme originaire de Florence, dont les mémoires seront opportunément réédités par Buchon sous la restauration.’

rose dit: à

les cas de conflits qui lui remontent sont « loin d’être peu fréquents ».

Réunions, médiations, les bénévoles auront la délicate tâche de « trouver des adaptations individuelles », pour les visites par exemple, « qui respectent les responsabilités collectives » des Ehpad. Un vrai sacerdoce, d’autant que va venir le temps du débat sur la vaccination avec les familles.

Et alii

loin d’être peu fréquents c une litote ; cela signifie courants.

J’attends ma mère son point de vue, puis je vais m’opposer à ce qu’elle soit vaccinée.
Cet aprem, son aînée la visite.

Jazzi dit: à

Et votre mère, rose, volontaire ou pas ?
Hier, au journal de TF1, une vieille dame très distinguée, enveloppée dans un plaid à carreaux, manifestement en pur cachemire, à laquelle le journaliste avait posé la question, probablement dans un ehpad, a répondu, face à la caméra : « A mon âge je n’ai guère à perdre, mais je serais plus jeune j’attendrai un peu… »
Je me suis dit, tient, la mamie nous conseille la prudence !

Janssen J-J dit: à

@ vous êtes un sacré gredin, vous l’jzman
« Il serait plus « noble » de se porter volontaire et être piqué dans les premiers ? »
C’est une question ou une affirmation,n == même si je sens bien l’ironie sur un rebond ? J’ai néanmoins le sentiment que vous me suggérez de me faire vacciner le premier, mais que de votre côté, vous attendrez de vous déterminer après avoir consulté l’herdélie ! J’hallucine ou je rêve ? Voulez-vous attendre que je vous suggère mes résultats dés la fin de janvier ?
Pour votre info. Je me suis porté canidat pour le vaccin antigrippe. On m’a renvoyé chier sur les roses, dans toutes les pharmacies circonvoisines… Jai demande à faire partie des volontaires pour celui du covid. Mon nouveau médecin de campagne référent (j’ai eu du mal à le trouver !) m’a regarde, halluciné, avec l’air de dire : « mais vous êtes tarés, vous les parisiens… Mais mon pauvre monsieur Janssen, le pays sera pas prêt avant la fin de l’année prochaine… Et nous, on n’a n’a encore reçu aucune consigne de notre Ordre, ici. Bn maintenane, si vous avez les j’tons, eh ben débrouillez-vous tout seul, mais franchement je trouve que vous êtes pas prioritaire »
Voilà jzmn où j’en suis… Et vous, toujours aussi faux-cul… Le grand homme de la vérité, qui prêche toujours la morale aux autres sans se l’appliquer à lui-même… Parfois, je trouve que vous puez un brin le bobo parisien par tout ce qui est le plus exécrab. chez lui. Feriez bien d’aller habiter dans un pays du tiers-monde pour y sentir le goût d’une vraie pandémie et écrire des vers à ce sujet !
Je suis vénère là, et pourtant, suis patient, hein…

Bloom dit: à

Christopher Marlowe est sans conteste l’espion le plus talentueux de la littérature anglaise. Mauvais garçon patenté, athée invétéré, il est expulsé des Pays-Bas pour avoir tenté de mettre en circulation de fausses pièces d’or, avant de se faire poignarder à 29 ans par Ingram Frizer dans une taverne de Deptford lors d’une querelle concernant le règlement d’une douloureuse…
Du niveau des grandes pièces du Barde, Le Docteur Faust, Tamerlan , Le Juif de Malte, Édouard II et le fragmentaire « Massacre at Paris », sur la Saint Barthélémy, où Henri de Guise, modèle de machiavélisme et de cruauté, qui occis Pierre de la Ramée accusé d’avoir trahi Aristote…

Bloom dit: à

Pas de « qui »
où Henri de Guise, modèle de machiavélisme et de cruauté, occis Pierre de la Ramée accusé d’avoir trahi Aristote…
Pas de quoi…

Jazzi dit: à

On se calme, JJJ.
J’ouvre un débat d’actualité, qui nous est tombé sur le rable plus tôt que prévu.
Vous êtes le premier et le seul jusqu’à présent à y répondre sur la RDL.
J’en prends bonne note et réagis à ma façon.
Pas de quoi en faire tout un fromage !
Oui, je m’interroge.
Passé 65 ans, il me semble que je pourrais bénéficier en priorité du vaccin ?
Et je comptais justement sur ce débat, cette réflexion en commun, apparemment impossible, pour assoir ma décision : attendre prudemment ou y aller franco ?
D’autant plus que outre l’aspect sanitaire, la question comporte des enjeux politiques (pas brillantes les réactions des leaders des partis politiques français !) et des enjeux économiques très importants.
Difficile d’y voir clair ?
Les Américains et les Britanniques ouvrent le bal. L’Europe répond d’une seule voix que nous emboiterons le pas collectivement très prochainement.
Voilà tout.
Est-ce l’effet de ces deux derniers confinements, suivis de couvre-feux, qui électrise à ce point l’atmosphère ?
Je viens de m’apercevoir que je viens d’être censuré sur le blog de Paul Edel, alors que je vous répondais, avec humour, sur une certaine madame A, ainsi qu’à Margotte sur les femmes d’écrivains.
Un peu d’humour et d’autodérision ne fait de mal à personne !
Je trouve ça navrant et il n’est pas près de me revoir chez lui…

B dit: à

je certifie être séronégatif au HIV. –

Et ça vous sert à quelque chose? Moi pareil mais d’aucun usage, d’aucune jouissance, d’aucun plaisir avec homologue négatif masculin. Voudriez vous que nous copulassions? On ne sait jamais, des fois que vous soyez doué.

B dit: à

Jazzi, la France comme d’autres états d’Europe vieillit, vous n’imaginez pas ce que représente la tranche 65 dans notre pyramide. Les prioritaires seront âgés de plus de 80 ou 85? avec ou sans facteurs de comorbidité. Ca fait déjà beaucoup de doses.

Jazzi dit: à

« je certifie être séronégatif au HIV »

D’une élégance rare !

et alii dit: à

oui, quand je pense au ton de D quand j’ai dit que je ne me sentais pas partante pour le vaccin:quel toupet,ce « prioritaire » !

Jazzi dit: à

« Les prioritaires seront âgés de plus de 80 ou 85 ? »

S’il en reste encore, B, les derniers seront achevés avec les fêtes de Noël !

Jazzi dit: à

« quel toupet,ce « prioritaire » ! »

Décidément, vaccin ou pas vaccin, on ne pourra pas en parler entre nous ! C’est comme pour l’affaire Dreyfus, jadis ?

Bloom dit: à

La santé des autres ne me semble pas être un sujet digne d’humour.
La sienne, oui, comme dans le cas du Wilde Oscar qui à propos de l’horrible papier peint de la chambre où il gisait malade, disait: « One of us will have to go ». Ou alors Reiser, qui, apprenant qu’il avait le sida se réjouissait à l’idée de ne pas mourir d’un cancer…La grande classe.
Trop de gens, trop de proches touchés par cette saloperie, directement et indirectement à cause de cette saloperie…

et alii dit: à

l’aristocratie d’Orsenna n’a pas cru se prémunir assez en imposant la plus étroite sujétion des cadres militaires au pouvoir civil : depuis des temps très reculés, les plus nobles familles ne pensent point déchoir en déléguant auprès d’eux leurs jeunes hommes dans des fonctions qui touchent de fort près aux pratiques de l’espionnage, et dont l’effet a été longtemps d’étouffer dans l’œuf toute tentative de conspiration armée. Ce sont là les yeux célèbres de la Seigneurie : leurs pouvoirs mal délimités, mais en réalité toujours officieusement étayés par le poids d’un grand nom et le crédit d’une ancienne famille, leur laissent en général l’initiative la plus étendue, même au

Jazzi dit: à

« Décidément, vaccin ou pas vaccin, on ne pourra pas en parler entre nous ! »

D’autant plus que selon les derniers sondages la France, une fois de plus, semble coupée en deux : 50/50 !

et alii dit: à

le groupe NILI/
Nili est le nom d’un réseau d’espionnage de Palestine créée en 1915 durant la Première Guerre mondiale, avec le soutien des Anglais, et qui se donne comme but principal l’espionnage des Turcs au service des Britanniques. Les fondateurs et leaders du Nili sont originaires des implantations du Yishouv et issus de l’organisation des Guidonim. On compte parmi eux Aharon Aaronsohn, sa sœur Sarah Aharonson, son jeune frère Alexander Aharonson, Avshalom Feinberg, Yossef Lishansky et Naaman Belkind. Ces derniers ont dans l’idée que l’aide apportée à l’armée britannique, postée en Égypte et en route vers la Palestine, contribuera à la victoire des Anglais contre les Turcs et les Allemands, et qu’à l’issue de la guerre, les Juifs pourront ainsi obtenir la Palestine de la part des Britanniques1,2.

et alii dit: à

NILI
Nili(נילי) sont les initiales de « Netzakh Israël Lo Yeshaker » (נצח ישראל לא ישקר) (« L’éternité d’Israël ne ment pas »), verset tiré du Livre de Samuel I (15/29).

et alii dit: à

on a quand même des raisons de se dire que Macron sera soigné sérieusement

lmd dit: à

On se demande pourquoi John le Carré a mis au-dessus de sa cheminée le grand portrait d’une poule en train de couver ?

D. dit: à

Macron testé positif. Mais on ne nous dit pas à quoi ?

Janssen J-J dit: à

@ C’est pas faute que D. ait averti le président de faire attention, mais les gens ne veulent jamais écouter les judicieux conseils culinaires de la RDL !

@ Je me calme, et suis désolé de votre réaction à l’égard de paul edel, du coup je lui ai mis ce message, ne sais pas s’il l’a gardé : « Janssen J-J décembre 17, 2020 à 2:5 Il ne faut pas censurer Jazzi Cabanis.. Chacun a son humour propre. Et comme il aime ce blog, du coup il est profondément vexé et menace de s’exfiltrer (…) ».

@ Ben quoi… d’une rare élégance ? Je suis séronég-HIV depuis mon dernier test en 1984. On va pas s’mentir… So what ? Et je viens de dépasser mes 65 aussi, tout comme CT. Je n’en tire pas un DROIT A ETRE PRIORITAIRE en province, mon vieux !… C’est quoi ça ? Ni d’ailleurs prétendre à devenir l’étalon de ces centenaires qui n’auraient plus rien à copulassier avec les gorilles ou autres petits juges en talons aiguille. Un bras saint. Je sais pas faire avec un masque vaginal sur la bite.

@ l’herdélie. Je crois que le confinement général va finir par faire bouger les lignes de la cervelle des un.es et des autres. On va tous finir par y laisser la fortune carrée. Hein…
Bàv,

et alii dit: à

Un espion d’hier et de demain – Poche
Robert Littell
Natalie Zimmermann (Traducteur)
sauf erreur, Little a rencontré à Vienne T.Kollek, le maire de Jerusalem et fondateur du Mossad que j’ai évoqué plus haut

et alii dit: à

excuses:ce n’est pas Little qui a rencontré Kollek, c’est Philby qui a rencontré KOLLEK à VIENNE

D. dit: à

Al-Sissi ? Il aurait le cocvid aussi ?!
J’y crois pas.

D. dit: à

Et Benalla ?

et alii dit: à

En effet, c’est sur eBay que le site The Phoblographer a découvert une « bague appareil photo » mise aux enchères à près de 20 000 dollars (16 780 euros). Un appareil d’espionnage fabriqué par le KGB, l’agence de renseignements soviétiques. Si les bijoux d’espionnage sont plutôt courants pour les services secrets, cet appareil de prise de vues peut nous interpeller par sa beauté.

Fait d’or massif 14 carats, l’anneau pèse environ 44 grammes et est décoré de fines gravures. Côté appareil photo, la bague dispose d’une ouverture variable, d’un obturateur à guillotine et d’un support de film capable d’accepter des pellicules au format 8 mm. Habilement placée, l’optique donne l’impression d’être une pierre précieuse au centre du bijou, ce qui renforce la discrétion de l’objet. Sur eBay, le vendeur précise que l’optique est en parfait état : elle n’a pas de rayures ou de champignon, elle n’est pas voilée et son ouverture fonctionne bien.

D’après le Los Angeles Times, il n’existerait que deux appareils de ce type dans le monde, l’autre ayant été vendu aux enchères chez Christie’s pour 22 400 dollars (18 800 euros). De quoi en refroidir plus d’un, malgré la beauté de l’objet. Si vous avez pour projet de devenir espion ou êtes un collectionneur d’objets rares, vous savez ce qu’il vous reste à faire

Bloom dit: à

On se demande pourquoi John le Carré a mis au-dessus de sa cheminée le grand portrait d’une poule en train de couver ?

Un grand sentimental?
Un supporter de l’équipe d’Orpington?
La couverture dont a toujours besoin un bon espion?
Un certain mauvais goût anglais?

Personnellement, je ne trouve pas très heureuses les statues qui parsèment son jardin (vues dans l’émission de Busnel)

Each to his own.

Jazzi dit: à

Lors de ma promenade solitaire d’avant-hier -hier j’étais en compagnie de mon vieil ami Hector à Montparnasse, je n’en ai pas parlé car il veut que je sois discret avec lui, bien qu’il ne vienne jamais sur la RDL)-, avant-hier donc, j’ai croisé, rue de Seine, où les trottoirs sont particulièrement étroits, un jeune homme, grand, blond, bien découplé, qui avançait vers moi, sans masque (pas le masque baissé, mais sans aucun masque visible). Comme il voyait que je le regardait, il a bombé le torse, m’a dévisagé avec ostentation, et a poursuivi sa route fièrement, mi flatté et un rien arrogant. Tient, un militant anti masque, qui affirme publiquement son opinion, ai-je pensé.
Au moins, me suis-je dis, celui-là parait plus pacifique que les anti vaccins qui, eux, menacent de morts les médecins pro vaccins.
Et moi, pauvre innocent qui voulait ouvrir un débat sur la question, faut-il que je sois tarte !

Jazzi dit: à

Je le regardais…

Jazzi dit: à

moi qui voulais… Je est un autre ou Jazzi n’est pas tout à fait moi !

et alii dit: à

markov :te »sté à la méthode du parapluie:
Georgi Ivanov Markov (en bulgare Георги Иванов Марков) (Sofia, 1er mars 1929 – Balham, Londres, 11 septembre 1978) est un dissident bulgare, auteur de romans et de pièces de théâtre, assassiné par les services secrets bulgares en 1978.

Il travaillait comme romancier et dramaturge avant de s’enfuir de la Bulgarie en 1969, alors État communiste dirigé par le secrétaire général du Parti communiste Todor Živkov. Après son départ vers l’ouest, il devint journaliste pour la BBC World Service, la Radio Free Europe fondée aux États-Unis, et la Deutsche Welle allemande. Il critiqua de nombreuses fois le régime communiste bulgare à la radio, et c’est sans doute pour cela que le gouvernement aurait décidé de le faire assassiner avec l’aide du KGB1.
page wiki

et alii dit: à

le nom de code de Markov était « l’errant »

Jazzi dit: à

JJJ, je ne revendique aucune priorité. Je m’interroge et me demandais si à 65+ j’étais prioritaire. B me répond que pour les priorités c’est 80 ou 85 ans. Pour une fois que je suis trop jeune, je ne vais pas bouder mon plaisir !
Mais sérieusement, contre cette « guerre mondiale », on peut se demander ce qu’il convient de faire, en dehors du fait de se protéger et de protéger les autres ? Faut-il y aller (au vaccin) ou s’abstenir, prudemment ?
Quand au problème du tiers monde et de l’Afrique, on n’en entend pas beaucoup parler.
Mais pas besoin d’aller si loin. Voir les conditions d’hygiène dans lesquelles vivent, à nous portes, les migrants, les SDF, les travailleurs immigrés…

Janssen J-J dit: à

(hier) Jazzi dit: à La forme du Grand Paris change plus vite, hélas, que le cœur d’un mortel. Avec mon vieil ami Hector, nous avons pour tradition d’inaugurer les nouveaux moyens de transport parisiens. Ainsi avons-nous embarqué à 16 h à la gare Saint-Lazare sur la portion de la ligne automatique 14 dont les quatre nouvelles stations la relie désormais à la mairie de Saint-Ouen, permettant du même coup de désenclaver la problématique ligne 13.

(aujourd’hui) Jazzi dit: à

Lors de ma promenade solitaire d’avant-hier -hier j’étais en compagnie de mon vieil ami Hector à Montparnasse, je n’en ai pas parlé car il veut que je sois discret avec lui, bien qu’il ne vienne jamais sur la RDL)-,

Le pauvre Hector…, sait plus avec qui il se promenait dans Paris, Jacques est devenu un autre !
Il s’est pris pour un Maspéro accompagné d’une Anaïk Frantz (ou Daisy de Galard) sur le Roissy-Express.

NB / tous les posts évoquant depuis ce matin les turpitudes de cha.lou.peries et consorts ont été réintégrées par la grande mansuétude du robot de la rdl, àj uste titré révolté par les diktats de son maître à son tour démasqué 🙂

rose dit: à

Jazzi dit: à
Et votre mère, rose, volontaire ou pas ?

Je vais le lui demander de vive voix, et vous donnerai sa réponse. Je lui dirai ensuite seulement ce que je ferai moi.

rose dit: à

« La sienne, oui, comme dans le cas du Wilde Oscar qui à propos de l’horrible papier peint de la chambre où il gisait malade, disait: « One of us will have to go ». Ou alors Reiser, qui, apprenant qu’il avait le sida se réjouissait à l’idée de ne pas mourir d’un cancer…La grande classe. »

Bloom

Desproges Pierre aussi la grande classe !

Plutôt Élie Semoun : « je ne veux pas vieillir », suivi de « je ne veux pas mourir ». Ça c’est de l’honnêteté.

et alii dit: à

L’AP-HP met fin aux fonctions du Pr Christian Perronne, lui reprochant des propos « indignes »
L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris lui reproche notamment d’avoir affirmé que les malades du Covid-19 représentaient une aubaine financière pour les médecins. OBS
méfions nous des histoires de pompes,avec ou sans talons plutôt être pompette avec des bulles ! et sans attendre NOEL .IL Y A VA DE NOTRE DIGNITE

et alii dit: à

Katalin Kariko est une scientifique à l’impressionnante humilité. Méconnue et marginalisée, ce sont pourtant ses travaux sur l’ARN messager qui ont ouvert la voie au vaccin contre le Covid-19. Elle raconte son parcours et la présence aussi indéfectible qu’indispensable de son mari auquel elle rend hommage avec humour. OBS
MEFIONS NOUS DE JUGER

renato dit: à

Même si on ne veut pas ça arrive, il faut donc être con pour dire « Je ne veux pas… ».

Clopine dit: à

Pour alimenter ton débat, Jazzi, voici mon opinion : j’ai une tendance naturelle à croire et à vouloir suivre les avis scientifiques. Or, sur la vaccination en général, ces avis sont tous convergents, et favorables à la vaccination. Surtout quand on pense aux grands fléaux, la tuberculose, la variole, etc., que la vaccination a vaincu… J’ai des amis (enfin, j’avais, dans ma vie d’avant) un tantinet « khmers verts » qui sont contre la vaccination. J’ai toujours estimé que leur pratique (falsifier les documents scolaires pour éviter la vaccination à leurs enfants) s’appuyait en réalité sur le fait que les autres enfants étaient, eux, vaccinés. Donc le risque n’était pas grand… Mais dans certains pays d’Afrique, du Tiers-Monde, une telle position n’est plus tenable, et ressemble fort à une sorte de « luxe occidental » (une population majoritairement vaccinée, ce qui permet à quelques exeptions de ne… pas risquer grand’chose).

En tout cas, moi qui viens pile poil d’atteindre le seuil des 65 ans fatidique, je m’en vais me faire vacciner le plus tôt possible… Et je serais finalement plutôt pour en faire une sorte de préalable (par exemple, réouvrir les salles de spectacles et les lieux culturels, mais les réserver aux spectateurs munis d’une attestation de vaccination… C’est juste un exemple, pas taper, s’il vous plaît !)

D dit: à

Jazzi, je parle très sérieusement.
Il faut évidemment se faire vacciner dès que possible et assortir cela d’une méditation sur la chance que nous avons de bénéficier de traitements médicaux préventifs d’une maledie qui tue et invalide gravement et durablement dans bon nombre de cas.
Je n’arrive pas à comprendre qu’autant de gens en soient à se poser la question.
Quel degré d’inconscience atteint à se croire à l’abri de cette maladie à nombreus cas graves et mortels ! En prévention des risques, rien n’arrive jamais jusqu’à ce que ça arrive. Les gens refusent de le comprendre.

D. dit: à

Clopine a parfaitement raison.

MC dit: à

Euh, pardon mais j’ ai pu constater que les messages passaient mal chez PE cet après-midi, et ce qu’on s’ est presse d’ appeler censure est peut-être tout simplement un dysfonctionnement! Bloom «  I am Cinna , Lucius Cinna, the poet! – Kill him for his bas verse! Kill him for his bas verse! ». Le Barde a aussi de l’ humour…

et alii dit: à

clopine, je suis pour la vaccination, bien que j’aie eu de gros ennuis classiques, à la suite d’un vaccin de polio adolescente ; il n’a plus rien;
cela dit il vaut mieux pour la covid laisser choisir son médecin , avec toutes les « données:lui pour le genre de vaccin, nous sur notre « santé » (allergies ,maladies etc) allez courage à tous

Petit rappel dit: à

«  j’ ai des amis, un tantinet khmers verts, qui sont contre la vaccination ». Je me demande si l’ écologie ne sert pas de camouflage à un comportement sectaire façon témoins de jehoverie, etc…,

C.P. dit: à

Jacques, si ceci servait à quelque chose :

Que d’embrouilles ! J’ai été a-symptomatique positif, je me suis isolé et suis maintenant négatif, avec immunité acquise… mais pour combien de temps ?
Je serai vacciné le 4 janvier : mon médecin référent (qui l’est déjà) est certain de recevoir une centaine de doses Pfizer le 2 janvier, sorties du « gros » congélateur et encore efficaces pendant trois jours à -20 degrés. J’aurai à fournir une décharge et à justifier de mon âge.
Je ne comprends rien aux hésitations, me faire vacciner me paraît un devoir envers mes proches et envers tout le monde… bien qu’il y ait encore des doutes touchant les risques de port transmissible malgré le vaccin. Et enfin, que sont les rebonds d’allergie par rapport à ça ?

Au passage, je n’ai pas répété que « The Constant Gardener » et « The Mission Song » -que j’ai beaucoup aimés- ne sont PAS des ‘romans d’espionnage ». Pierre Assouline aurait pu le souligner plus nettement.

Bloom dit: à

Pour le bon goût anglais en matière de sculpture et de land art, Bloom !

Oeuf corse, Baroz. Constable, Turner, Sickert & Ben Nicholson sont des amis de presque 50 ans. Sans parler des architectes néo-gothiques (Burgess et Pugin notamment) et des arts & crafts du camarade Morris.

Je parlais évidemment du public, pas des performers. Mais tu n’as certainement pas vécu outre-Manche, ni passé des étés à rendre visite à des dizaines de petits Français séjournant dans des familles anglaises ou galloises…Crois-moi, les intérieurs britanniques valent leur pesant de Coleman’s Mustard (couleur comprise)!

renato dit: à

Moi, qui suis tellement mauvais que les virus préfèrent aller voir ailleurs*, cette année je me suis vacciné contre la grippe saisonnière et dès que ce sera possibile, je me ferais vacciner contre la covid-19 avec le nouveau vaccin me semble conceptuellement plus intéressant.

*Jamais pris une grippe ni des vacheries comme l’asiatique !

renato dit: à

Oups .
vaccin me semble — vaccin — QUI me semble

Bloom dit: à

Le Barde a aussi de l’ humour…

Et comment, MC, et pas que dans ses comédies (
je n’ai jamais autant ri qu’en voyant La Nuit des rois). Même dans Macbeth où la noirceur est brièvement par la scène où le geôlier disserte sur le « mal français » et l’intempérance!
L’auto-dérision semble être une des constantes de l’éthos anglaise – pensez à John Cleese (Archie) dans ‘Un poisson nommé Wanda’:

Archie: Wanda, do you have any idea what it’s like being English? Being so correct all the time, being so stifled by this dread of, of doing the wrong thing, of saying to someone, ‘Are you married?’ and hearing, ‘ My wife left me this morning,’ or saying, uh, ‘ Do you have children?’ and being told they all burned to death on Wednesday. You see, Wanda, we’re all terrified of embarrassment. That’s why we’re so… dead. Most of my friends are dead, you know; we’ve these piles of corpses to dinner (..)

Janssen J-J dit: à

@ rôz, sur « l’homme foudroyé », de blaise c., il s’en dit pas mal de trucs dans un numéro HS de cette revue que je ne connaissais point. Juste pour info. Pour l’instant, aime pas trop cet écrivain bourlingueur, garde un mauvais souvenir de « l’or », durant ma jeunesse. Y suis jamais revenu… veux bin faire amende honorab’ sur vos conseils. Verrai.
https://www.cairn.info/revue-roman2050-2019-2.htm
Bàv,

B dit: à

Ben quoi… d’une rare élégance ? Je suis séronég-HIV depuis mon dernier test en 1984

Nous pouvons conclure que depuis ce test vous n’avez pris aucun risque. 36 ans de sexualité sage ou préservée, vous devriez demander une décoration. La médaille du mérite. Je crois que celle de l’ennui est à l’étuve.Néanmoins, avec 80 bouquins plus par ans comme vitesse de croisière, je me demande s’il vous reste du temps pour les petits fours.

et alii dit: à

Cendrars est surtout un très grand poète

C.P. dit: à

Bloom, c’est parfaitement juste. Même le torrent de critiques insultantes proférées par Timon à l’acte IV, scène 3 de « Timon of Athens » comporte des moments de haut comique que Peter Brook, notamment, avait réussi à mettre en valeur aux Bouffes du Nord en 1974. Grand souvenir de sa troupe internationale d’alors.

Paul Edel dit: à

MC, merci de votre allusion au dysfonctionnement de mon blog, c’est arrivé plusieurs fois et je l’ai dit.. mais pour Jazzi?oui,aujourd’hui j’ai censuré Jazzi.
Je m’en explique sur mon blog.

Jazzi dit: à

JJJ, je sais bien que l’on n’a plus d’horloge, mais l’inauguration de la ligne 14 c’était il y a trois jours. Avant hier j’étais seul, voir le CR. Et hier, à nouveau avec Hector à Montparnasse. Décidément, vous avez l’art d’embrouiller les choses !
Aujourd’hui était aussi un autre jour…
Sinon, je ne lirai pas les explications de Paul Edel, j’ai envoyé son blog depuis mes favoris directement à la corbeille.
Le covid (que je n’arrive pas à écrire au féminin) sert aussi à faire le ménage…
Miracle, le débat à pris forme et ma décision d’aller me faire piquer dès que possible se précise !

puck dit: à

perso je suis POUR la vaccination, une vaccination pour tous, même pour les virus.
sinon c’est du deux poids deux mesures.

Nicolas dit: à

Il va se faire vacciner Patrice Charoulet ?

et alii dit: à

internet nous apprend que
L’expression « guerre froide » a été employée pour la première fois par le prince Juan Manuel d’Espagne, au xiv e siècle, pour désigner l’interminable conflit qui opposait alors les Rois Catholiques aux Maures d’Andalousie. Non certes qu’il ne fît pas couler le sang.

et alii dit: à

selon Slate
C’est le 19 octobre 1945 que le terme est utilisé pour la première fois pour caractériser la situation du monde et des États-Unis après la Seconde Guerre mondiale (il avait déjà été utilisé pour décrire la politique d’Hitler en 1938). C’est dans l’essai You and the Atom Bomb (Vous et la bombe atomique) que George Orwell théorise la «Guerre froide» en spéculant sur l’impact géopolitique d’avoir une arme telle que la bombe atomique à sa disposition:

«On peut déduire que les Russes ne possèdent pas encore le secret de fabrication de la bombe. D’un autre côté, le consensus de l’opinion est qu’ils la possèderont dans quelques années. Donc nous avons devant nous la perspective de deux ou trois monstrueux supers-États, chacun possédant une arme qui pourrait faire disparaître des millions de gens en quelques secondes, divisant le monde entre eux.»

L’auteur de La ferme des animaux ou de 1984 estime alors que ces pays seront en «état permanent de “guerre froide” avec [leurs] voisins». Une telle situation pour l’écrivain mettrait un terme «aux guerres de grandes envergures au coût de prolonger indéfiniment une “paix qui n’est pas une paix”».

Le terme a ensuite été popularisé par le journaliste américain Walter Lippman, qui fit une série d’essais sur le sujet, et l’homme d’État américain Bernard Baruch.

En savoir plus: Monde Société George Orwell Russie urss Etats-Unis histoire

et alii dit: à

Slate:
C’est ainsi qu’a débuté, comme le raconte le Guardian, le scandale des «spy cops», des «flics espions» chargés de surveiller divers groupes militants, principalement de gauche, et dont les pratiques font aujourd’hui l’objet d’une enquête publique outre-Manche. Car Mark Kennedy n’était que le dernier d’une longue liste de policiers (au moins 139), hommes et femmes, ayant infiltré plus de 1.000 groupes politiques depuis la fin des années 1960.

D. dit: à

Je n’arrive pas à croire que Chloux ait pu partir. Il reviendra. Je l’ai lu dans les astres.

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