de Pierre Assouline

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La République des livres
Saloperie de métier que le nôtre !

Saloperie de métier que le nôtre !

Si l’envie vous prenait un jour de lancer un mouvement littéraire, il ne faut jurer de rien, songez en tout premier lieu à lui inventer un nom de baptême facile à mémoriser, puis à commander une photo qui immortalise ses membres ; le reste (écrivains, livres, éditeurs, théorie, thèses etc) est secondaire. Un label et une image : voilà du marketing bien senti ! Le « Nouveau roman » est, dans ce registre, une réussite exemplaire. Comme chacun sait, cela n’existe pas ; il n’empêche qu’on lui a consacré depuis des lustres d’innombrables articles, études, ouvrages, doctorats, émissions ; pendant très longtemps, les étudiants américains d’est en ouest ont même été persuadés par leurs professeurs qu’il incarnait à lui seul la littérature telle qu’elle se vivait en France ; aux dernières nouvelles, on en trouve encore dans des universités reculées. Nul doute qu’ils seront guettés par l’épectase lorsqu’ils découvriront dans les prochains jours la publication par Gallimard des lettres échangées de 1946 à 1999 par Michel Butor, Claude Mauriac, Claude Ollier, Robert Pinget, Alain Robbe-Grillet, Nathalie Sarraute et Claude Simon sous le titre, devinez quoi, Le Nouveau roman (336 pages, 20 euros) ! Ce qui témoignerait de son existence contre la méchante rumeur répandue depuis des lustres par de mauvais esprits et des langues de vipère que le milieu littéraire aime à réchauffer en son sein.

Ce septuor improbable figurait bien sur la photo historique, appuyé contre le mur de l’ancien bordel qui est le siège historique des éditions de Minuit à Saint-Germain-des-Prés. L’idée de ce cliché revient au photographe Mario Dondero. Le mensuel culturel l’Illustrazione italiana lui avait commandé un reportage sur l’avant-garde littéraire française. A l’époque (rentrée 1959), c’étaient eux. Ils ne passaient pas là par hasard. Le plus extraordinaire est que leur éditeur et ami Jérôme Lindon ait réussi à les réunir pour l’occasion même si on peut s’interroger sur la présence de Claude Mauriac et l’absence de Marguerite Duras (il est vrai qu’elle les commentait à sa manière déjà forcément sublime : « Le Nouveau roman, ce serait plutôt à eux de se réclamer de moi »). Pour l’historienne Anne Simonin, auteure de l’indispensable Les éditions de Minuit 1942-1955 Le devoir d’insoumission (Imec éditeur, 2008), il s’agit sans nul doute d’une image fondatrice :

« Elle n’enregistre pas l’existence du Nouveau roman, elle l’institue, transmuant un ensemble d’écrivains solitaires en groupe-manifeste d’une nouvelle tendance littéraire. Cette photographie est ainsi devenue le symbole de ce qu’initialement prétendait représenter (…) Plutôt que de de déclarations d’intention, de controverses critiques, de textes subversifs, l’ »Ecole du regard » est née de l’objectif d’un appareil photographique ».

Encore fallait-il avoir le talent opportuniste de l’intrumentaliser. Le savoir-faire commercial de Jérôme Lindon (bien qu’il ne fut pas leur seul éditeur), allié au sens stratégique de son conseiller Alain Robbe-Grillet fit le reste. Et comme pour le fauvisme et le cubisme entre autres, on doit leur nom de baptême à l’article d’un critique qui ne les aimait pas, Emile Henriot dans le Monde en 1957. Mais au-delà, quelle réclame pour les éditions de Minuit !

Et voilà que plus d’un demi-siècle après parait le recueil des sept écrivains saisis dans leur épistolat. Quelle affiche que tous ces noms sur la couverture ! et quelle déception déploreront les lecteurs friands d’histoire littéraire… Au moins y apprend-on, sans en être surpris, que Beckett aida Pinget financièrement, ce dernier ayant eu l’amère surprise de voir son manuscrit de Graal-Flibuste refusé par les éditions de Minuit sauf à la réduire de 280 à 200 pages « uniquement pour vendre un livre moins cher »… Les autres verront plutôt dans ces échanges de vues sur leurs problèmes matériels, leurs voyages, leurs conférences, les basses manœuvres des jurys littéraires, les relations avec les éditeurs, les petits bobos de l’âge, leurs lectures et les avanies de la météorologie la confirmation que ce groupe n’en était pas un, que ce mouvement n’avait jamais été constitué, et qu’ils ne s’étaient jamais plus retrouvé ensemble en dehors de cette photo ; le fait est qu’ils n’avaient pas grand-chose à se dire, chacun traçant brillamment son sillon de son côté. On comprend que Jérôme Lindon ait renoncé à faire aboutir son projet de « Dictionnaire du Nouveau roman » écrit par les Nouveaux romanciers même. Ils auraient pu former une famille d’esprit comme les surréalistes et les dadaïstes, mais non, rien.

Les Hussards, comme les avait baptisés Bernard Frank ? Jacques Laurent aurait eu bien du mal à les réunir, Roger Nimier étant mort jeune en 1962, Michel Déon passant son temps en Irlande ou en Grèce ou ailleurs et Antoine Blondin ne décollant pas des stades un peu partout. Pas la moindre photo des quatre ensemble, et pour cause. Quant aux pères fondateurs de la Nouvelle Revue française (Gide, Rivière, Schlumberger, Martin du Gard), s’ils ont bien posé ensemble lors de décades à Pontigny, s’ils avaient beaucoup en commun et qu’ils oeuvraient vraiment à partir d’un projet littéraire collectif, ils ont échappé aux pires néologismes que la postérité aurait pu retenir, de « gallimardeux » à « nrfeux » ; le truculent Henri Béraud les avait bien enrôlés dans un pamphlet fameux au sein de La croisade des longues figures (éditions du Siècle, 1924) en raison de leur austérité supposée ou déduite de leur exigence artistique, mais ça ne prit pas.

Qu’importe que les nouveaux romanciers, en principe les premiers concernés, aient nié avoir eu quoi que ce soit en commun (guère de « nous » dans leurs lettres), ou alors comme nombre d’écrivains en tête à tête, Carrie Landfried et Olivier Wagner, les préfaciers et éditeurs  de cette correspondance croisée insistent en écrivant cette chose extraordinaire :

 « …la question n’est pas, quand on aborde le nouveau roman, de savoir s’il exista jamais, mais à quel point dans l’histoire, on le considère ».

Ca, c’est fort ! Poussée à ce niveau de conceptualisation, l’esthétique de la réception devrait être considérée comme l’un des beaux-arts bien que Robert Pinget parle de l’un de ses textes comme d’un « petit caca » et qu’il craigne parfois, question production littéraire, de « finir caca ». Le même, l’un des plus attachants de cette bande qui n’en était pas une avec Claude Ollier qui sera une découverte pour beaucoup (et donnera envie de se reporter à ses livres), n’en manifeste pas moins une rare lucidité : « Saloperie de métier que le nôtre ! ».

 (« Quand Alain Robbe-Grillet, Claude Simon, Claude Mauriac, Jérôme Lindon, Robert Pinget, Samuel Beckett, Nathalie Sarraute, Claude Ollier tenaient le mur rue Bernard-Palissy » photos Mario Dondero, 1959)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire.

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commentaires

1 450 Réponses pour Saloperie de métier que le nôtre !

et alii dit: à

L’ARCHITECTURE ça M’INT2RESSE Des LE STADE MAQUETTE

Bloom dit: à

les évêques et les grands muftis soient collègues …
lmd, The Nation of Islam est tout autant politique que religieux, alliage typiquement américain.
L’antisémite Farrakhan n’est pas plus mufti qu’il n’y a d’évêques chez les baptistes qui pratiquent une égalité totale entre croyants.

Patrice Charoulet dit: à

TOUT RATA.

Résumé en deux mots du roman de Flaubert « Bouvard et Pécuchet ».

lmd dit: à

Bloom, (oui) je pense que les américains qui se distinguent sont très souvent ultra américains, ils n’y échappent pas ; ce n’est pas pour moi une qualité positive.
Et, s’il vous plait, n’allons pas vanter l’église baptiste, elle n’est pas moins église et néfaste qu’aucune autre .

et alii dit: à

ce JACKSON EST UN HOMME DE 79 ans et apparemment malade (maladie Parkinson) on ne le voit pas continuer de vouloir se pousser avec succès en politique; il est autrement fâcheux (mais pas plus surprenant que ça- et/ou irresponsable qu’il ait été honoré maintenant après les propos qu’il a tenus;il vaut mieux en « prendre acte »que de prétendre l’ignorer ;

Jean Langoncet dit: à

Décidément, la lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil :

« closer dit: à
Goldnagel dans le Figaro Vox:

« C’est ainsi que ce lundi matin le président de la République française décorera de l’ordre de la Légion d’honneur le pasteur américain Jesse Jackson. Nul apparemment n’a donc prévenu Emmanuel Macron que celui-ci avait été considérablement déconsidéré pour avoir nommé New York «Hymietown» autrement dit «Youpinville». Celui-ci est également un ami de Louis Farrakhan, le leader de la Nation de l’Islam, pour qui Hitler est un «très grand homme».

Dans ma chronique hebdomadaire précédente, j’avais relaté que Spike Lee avait les mêmes amitiés admiratives et possédait à son débit le même type de déclaration antijuive ou anti-blanche. » »

Jean Langoncet dit: à

Enfin, moi qui ne suis qu’une chiure de mouche sur le média RDL, de quel droit pourrais-je élever les prétention face à un grand avocat comme Goldnagel, ténor du barreau de Paris de renommée internationale (bi-nationale, au moins) ?

Jean Langoncet dit: à

les prétention > les prétentions

Jean Langoncet dit: à

@et alii dit: à
Masque fraise, miel et huile d’olive pour cheveux plus doux
Appliquez le masque sur cheveux secs, avant la douche, et laissez poser au minimum 30 minutes.

Pour démêler le tout, une bonne tondeuse et la boule à zéro pour toutes

Jean Langoncet dit: à

Quel pointure : « Dans ce cas , je ne suis pas sûr qu’il soit très cohérent de remettre en même temps la Légion d’honneur au raciste antisémite Jesse Jackson à l’Élysée. Quand bien même ne serait il pas blanc . »
https://twitter.com/GWGoldnadel/status/1417582560343994377

Jean Langoncet dit: à

Saloperie de métier, oui

rose dit: à

Le métier de curateur.

« Depuis 2017, celui qui passa douze ans à Libération, avant de diriger Têtu, est le curateur renforcé de M. Jamal, qui souffre de troubles psychiques. En janvier, il s’est même mis en arrêt maladie plusieurs mois pour pouvoir s’occuper de son conjoint, dont les problèmes s’accentuaient. Que savait-il de ses activités ? »

Sans commentaire.

MC dit: à

Je ne crois pas, D, sauf infantilisme, que nous soyons sensé obéir aux premier massacreur de liturgie venu sous prétexte qu’il porte une tiare. Quant au François qui déshonore le nom du poverello, nul et non avenu.
Belle démonstration, Paul Edel, mais que voulez-vous, je n’aime pas le cinéma chaos, et sa lenteur toute scandinave rend ces Fraises bien indigestes.
Parlez moi de Cris, de la Sonate, de la Flute,-par endroits bien mal chantée_ on trouvera des points d’entente. Mais cet interminable pensum, non. Aussi répulsif qu’une représentation de Godot!

Marie Sasseur dit: à

Grande nouvelle pour l’Église et même temps l’affirmation que son message n’est pas celui de l’extrémisme, comme on a pu le voir l’oeuvre avec cette histoire de la pauvre sueur Marie Ferreol.

« Le pape argentin a donc pris la décision de mettre un coup d’arrêt à cette possibilité offerte par Benoît XVI, rendant ainsi la célébration de la messe selon le rite de Pie V pratiquement impossible. De fait, Traditionis Custodes affirme que la messe de Paul VI est «l’unique expression de la lex orandi [«loi de la prière»] du rite romain» et rend le pouvoir à l’évêque diocésain en matière liturgique. À lui de décider ou non s’il paraît opportun d’autoriser la célébration de la messe selon l’ancien missel dans son diocèse.
(…)
Il faut préciser que la forme extraordinaire du rite romain attirait une infime minorité de fidèles, souvent proches de l’extrême droite, au regard du milliard et demi de catholiques à travers le monde. Mais surtout, ce que François déplore dans sa lettre, c’est l’instrumentalisation politique de cette messe par les fidèles et le clergé célébrant selon l’ancien rituel, instrumentalisation «caractérisée par un rejet croissant non seulement de la réforme liturgique, mais du Concile Vatican II, avec l’affirmation infondée et insoutenable qu’il a trahi la Tradition et ‘‘la vraie Église”». François dénonce un «usage déformé» de cette forme extraordinaire qui donne un coup de canif dans l’unité de l’Église, dont il est le garant. L’exemple le plus flagrant est le refus des prêtres traditionalistes de concélébrer avec d’autres prêtres. »

http://www.slate.fr/story/212874/pape-francois-declare-guerre-traditionalistes-encadrement-messe-concile-vatican-rituel

Marie Sasseur dit: à

« Dans ma chronique hebdomadaire précédente, j’avais relaté que Spike Lee avait les mêmes amitiés admiratives et possédait à son débit le même type de déclaration antijuive ou anti-blanche.  »

Ce chroniqueur du Figaro, militant israélien d’extrême droite a des tuyaux de Pegasus, on dirait…

Bloom dit: à

Vous êtes victime d’un complot, Langoncet. Je vous laisse y ajouter le qualificatif, que vous trouverez chez des auteurs bien de chez nous, intégralement uni-nationaux.

Jean Langoncet dit: à

@complot

Merci Bloom, c’est le mot que je cherchais depuis hier soir.

Jibé dit: à

J’ai vu Titane, c’est excellent, rien à voir avec un film d’horreur.
Des scènes d’anthologie. Une danse de pompiers dans un hangar, sombre comme de l’huile de moteur, juste éclairé du rouge des drapeaux. Une scène dans une coloc, l’héroïne en pleine forme, un air de Tarantino. Une cicatrice à la tempe, formée comme un petit cerveau au dessus de l’oreille, stigmate qu’on retrouve à la toute fin du film. L’abandon, la solitude noire, une rencontre déjantée -et l’amour comme un délire, d’un père et d’un enfant. Bande son superbe. Une esthétique qui rappelle Enki Bilal.
je me demande encore comment certains ont pu se dire dégoûtés, on voit plus hard à la télé dans les séries, tous ceux qui ont vu Breaking Bad ou Walking Dead, pour citer deux genres différents, ont vu bien plus trash.
Love is a dog from Hell.

Jibé dit: à

JJJ?
Ca va, cette épaule?

closer dit: à

« Enfin, moi qui ne suis qu’une chiure de mouche sur le média RDL, »

Un éclair de lucidité…

closer dit: à

Un des aspects les plus intéressants de cette affaire Jackson/Coleman de 1984, est qu’il ressort de l’article du WP que Jackson a tenu ses propos anti-sémites au journaliste noir Coleman, car il tenait pour évident qu’en tant que noir, Coleman partageait ses préjugés sur les juifs et qu’il ne risquait pas d’être « trahi ».

Comme dirait Brassens, « la suite lui prouva que non ! »

D. dit: à

Moi non plus je ne suis pas d’accord, Jeannot. De chiure je vous élève à orthoptére Domestique. C’est une belle promotion cependant.

closer dit: à

Le latin est la langue juridique officielle de l’Eglise. Le « motu proprio » qui interdit en pratique l’usage du latin dans la liturgie est lui-même écrit en latin.
Sinon, quelle langue vivante choisir sans faire des autres des langues de seconde zone ? Pour une institution qui se veut universelle, c’est un peu difficile.

Quant à l' »affaire Marie Ferreol » elle a lieu sous l’autorité du Pape François et notre information sur elle est quasi inexistante. C’est totalement invraisemblable.

Jean Langoncet dit: à

Tenez les cadors, à ce sujet, encore une pointure qui se réfère à une autre pointure qui elle-même… : « A lire absolument dans
@Le_Figaro
. Décidément Michel Onfray est un esprit supérieur. Il a tout compris. Bravo Michel !
https://mobile.twitter.com/phdevilliers
L’union des droites est pleine de promesses ; mais avec tous ces génies en son sein ne risque t’elle pas de mourir d’une overdose d’intelligence ?

et alii dit: à

ce matin encore, une femme, aidante, me dit que ça « apporte beaucoup d’amour » les animaux; son compagnon s’est fait tatouer son chien, à la mort de celui-ci (tout ce qui a été essentiel dans sa vie)il a aussi tatoué son prénom à elle; j’ai vu le compagnon(ne pas dire « ami » comme je l’avais fait puisqu’elle m’avait dit « mon copain ») il est d’origine italienne, elle aussi; elle a aussi quelques tatouages ,sur les poignets, mais lui n’a plus une trace de blanc sur les bras et les épaules

et alii dit: à

overdose d’intelligence ?
c’est la cause de l’éloignement de la RDL de Clopine?
OU est-ce parce qu’elle est maintenant « trop heureuse »?

et alii dit: à

QUI PEUT PARLER DU FILM « old » ? trad sur la toile « anormal »

Janssen J-J dit: à

qq news… @ Jibé -> rien de visib’ à l’omoplate d’après la radiog, mais faut attendre encore encore une échographie, vu que l’antalnox et l’ibufetum, s’ils soulagent, ne parviennent pas à calmer cmplmt la doudou persistante,… en attendant un gilet donjoy pour pas fatiguer le bras gauche, et c’est moins facile d’enfiler un masque, vu la 4e vague. – Content que vous ramiez à contre courant pour Titane… J’irai voir… Hier, au festival de Saintes (50e), joie d’entendre du Charpentier, du Carissimi et du Rossi… Belle découverte, le Jephte de Giacomo Carissimi !… https://www.youtube.com/watch?v=dzbOdmiS8-k (ce n’était pas cet ensemble… je mets juste ce lien, pour le cas échéant)… – Lu au repos « Les simples » de Yannick Grannec, un bon petit roman médiéval très informé, qui me dispensera peut-être du film de Verhoeven… – @ jazmn, apprécie vraiment vos fiches de films, on sent à quel point le cinoche vous a manqué depuis quelques temps, vous mettez triples bouchées… @ JL, j’avais un peu oublié de quoi était capable… veux pas croire à un antisémitisme aussi viscéral, sinon que c’te provoc devrait s’atténuer. Tout comme MO, il y a dérapage sur le pape…
Un été de tous les dangers, c’est un peu la mauvaise écume qui reste sur l’rdl, suis néanmoins sûr, B. et rôz/ET que toute l’herdélie prend du bon temps, mais préfère en jouir égoïstement… C’est un peu mon cas… Il est temps que Passoul vienne changer l’air de la chambre confinée. j’espère que vous allez bien, Pierre – @ PE et ses commentateurs, je trouve dommage qu’on ne fasse pas assez de place à von Sidow ou Erland Josephson dans les hommages + ou – acrimonieux rendus à I. Bergman… Je l’aimais bcp ce cinéaste autrefois, donc je ne vais pas me mettre à le huer… Ai toujours gardé bon souvenir des Fraises… Peut-être ne me faudrait-il pas revoir ce film et aller voir son île envahie par le tourisme..
D’une manière générale, il vaut mieux ne pas revisiter les choses, car on est souvent déçu… Bon, mais c’est mercredi 21, il est déjà 11.19, et je dois me sauver… Tout est un peu échevelé/décoloré avec ce beau temps, qui va pas durrrrrrrrrrrer Léticia… Bàv, enjoy in pace !

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…mardi 21 juillet 2021 à 11 h 32 min

…non, rien à écrire,!…

…penser aux conséquences de ce qu’on écrit, en plus,!…des lecteurs refoulés, et autres tarés sous les coupoles du droit chemin, à quatre pattes,…
…collaborateurs – esclaves, à pognons ou véritables  » idiots  » des sectes de partouzes à centimes, pour des catastrophes en devenir.
…des places fortes, pour n’avoir aucune  » jugeotes « , de l’avenir précaire, sauf le pouvoir à rien savoir foutre,!…

…l’Europe, comme du temps du moyen-âge, ou des barbares et romains, l’intérêt – privé – sans public,…aux têtes d’oiseaux des lapins,!…les tartares en devenir,!…
…etc,etc,Go,!…alouettes,…alouettes,!…

Paul Edel dit: à

JJJ.BIEN sûr les grands comédiens de Bergman sont passionnants mais le porte parole de Bergman fut Gunnar Bjorstrand notamment en écrivain égoïste qui néglige ses enfants dans À travers le miroir.et en prêtre qui doute de sa foi dans Les Communiants là il joue le rôle du père de Bergman.a voir et revoir.a sa mort le journal Le monde lui a consacré une necro minable.

Jazzi dit: à

Hier, tandis que nous nous promenions à l’ombre de grands arbres, et que nous rions du scandale et malaise provoqué par « Titane », avec des spectateurs au bord de l’apoplexie, je lui ai demandé s’il se souvenait de la dernière fois qu’un film avait produit un tel effet au festival de Cannes.
Contrairement à moi et à ma mémoire fantaisiste, Hector, qui a une étonnante mémoire factuelle, m’a répondu, aussitôt : « La Grande Bouffe ».
La projection du film de Marco Ferreri, à laquelle nous avions assisté, avait eu lieu le 22 mai… 1973 !
https://www.bing.com/videos/search?q=la+grande+bouffe+film&docid=607995184000814383&mid=26F3E0AD5FA5D7D71B1126F3E0AD5FA5D7D71B11&view=detail&FORM=VIRE

rose dit: à

alors que nous riions (hier).

Rira bien qui rira le dernier.

Lorsque j’ai vu un/une spectateur/trice avoir un malaise lors du dernier spectacle sur scène ds un théâtre parisien de Zouc, pas pensé à rire. Questionnée sur ce qui ds le spectacle était à la source de telle réaction.

Faut-il avoir été maltraité pour rire !

Nota bene : ds la salle, les autres spectateurs étions sous le choc. Mais personne ne riait.

Jazzi dit: à

Mais cette année-là, Hector et moi avions 20 ans, la présidente du jury était Ingrid Bergman et le Palmarès fut le suivant :
Palme d’or (ex æquo) : L’Épouvantail (Scarecrow) de Jerry Schatzberg et La Méprise (The Hireling) d’Alan Bridges
Grand Prix Spécial du Jury : La Maman et la Putain de Jean Eustache
Prix d’interprétation masculine : Giancarlo Giannini dans Film d’amour et d’anarchie (Film d’amore e d’anarchia) de Lina Wertmüller
Prix d’interprétation féminine : Joanne Woodward dans De l’influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites (The Effect of Gamma Rays on Man-in-the-Moon Marigolds) de Paul Newman
Prix du jury (ex æquo) : La Clepsydre (Sanatorium pod Klepsydrą) de Wojciech Has et L’invitation de Claude Goretta
Prix spécial : La Planète sauvage de René Laloux
Grand Prix du court-métrage : Balablok de Břetislav Pojar

La Grande bouffe eut un lot de consolation avec le prix de la critique internationale
https://fr.wikipedia.org/wiki/Festival_de_Cannes_1973

Paul Edel dit: à

JAZZIwojciek Vas est un cinéaste polonais magique et découvre par exemple. L art d être aimée il a réussi plusieurs grands films que je regarde régulièrement car c est un observateur tchekovien et tu verras le rôle de l’alcool dans ses films.ttes émouvant tu trouves des DVD à la bibliothèque polonaise. Regarde sa fiche Wikipedia.on prie tous pour que Pierre Assouline trouve un roman miraculeux pour le Goncourt.mis un cierge à l eglise Sainte Croix

Paul Edel dit: à

Lire Has et pas Vas

closer dit: à

« Mais cette année-là, Hector et moi avions 20 ans, la présidente du jury était Ingrid Bergman »

C’ETAIT MIEUX AVANT !

Jazzi dit: à

Hier, mort à Paris à l’âge de 90 ans, en toute discrétion, de la comédienne Françoise Arnoult.
L’une des dernières fois où elle eut un rôle principal à la télévision, j’étais au scénario…
https://www.imdb.com/title/tt0127984/

closer dit: à

Triste coïncidence, j’ai vu hier un replay dans lequel Françoise Arnoul évoquait le tournage de French Cancan avec Jean Gabin, dont elle avait gardé un souvenir ému.

Adorable et sexy brunette née à Constantine. Encore un cadeau de l’Algérie française.

closer dit: à

Une femme aussi intelligente que sympathique, bien que son attitude condescendante vis-à-vis de Xavier Bertrand me déplaise. Mais c’est dans l’ensemble un plaisir d’écoute…

Langoncet, si vous faites de l’hypertension, je ne vous recommande pas d’écouter Elisabeth Lévy; enfin, c’est vous qui voyez…

https://www.causeur.fr/elisabeth-levy-entretien-eric-zemmour-206350?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=36c907fc64-Newsletter_4_fevrier_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-36c907fc64-57402721

et alii dit: à

, si vous faites de l’hypertension,
attention au sel ! cum grano salis !

et alii dit: à

Hypertension et alimentation : limiter ses apports en sel

L’excès de consommation de sel contribue à une augmentation de la tension artérielle. Lorsqu’on est hypertendu il est important de limiter sa consommation.

Quelle quantité de sel ne doit-on pas dépasser ?

Lorsqu’on est hypertendu il ne faut pas dépasser 6 gr de sel (appelé aussi sodium) par jour ; lorsqu’on souffre d’insuffisance cardiaque la consommation doit être plus faible encore.

Comment faire ? Conseils pour l’alimentation et la cuisine

Il ne faut pas resaler les plats à table, mais aussi limiter les aliments riches en sel (on parle de « sel caché »). Environ 80% du sel que nous consommons vient des aliments eux-mêmes. Les 20% restants proviennent du sel ajouté lors de la cuisson ou dans l’assiette. En pratique ayez la main légère lors de l’utilisation du sel de cuisine ou d’assaisonnement, ne resaler pas vos plats et faites la chasse au « sel caché ». Lorsque vous faites bouillir de l’eau pour des pâtes ou pour du riz,
sel caché :deus absconditus

Jean Langoncet dit: à

Merci Closer. J’ai jeté un œil. Je visionnerai cela en de journée. Éclats de rire en perpective devant tout ce petit monde qui tourne en rond.

Marie Sasseur dit: à

@ »Quant à l’ »affaire Marie Ferreol » elle a lieu sous l’autorité du Pape François »

C’est faux, on a déjà donné les noms des fachos, sur ce blog.
J’espère que François a reçu la lettre de Me Sureau.

Marie Sasseur dit: à

Water closet devrait faire de la course en sac poubelle , avec quelques autres ici. Quelle paix.

rose dit: à

Jazzi

Vous aviez 20 ans ce qui excuse tout.
De votre palmarès, je retiens un titre :

Grand Prix Spécial du Jury : La Maman et la Putain de Jean Eustache.

Pour le reste, tartes, tartines et tartinades.
Ce n’était pas le bon temps, ah ça non.

lmd dit: à

Depuis que les plus récents papes sont obligés d’apprendre l’italien pour se faire comprendre du personnel du Vatican ils se posent la question du latin. 
– Cameriere, dites, est-ce que les gens comprennent le latin ?

Marie Sasseur dit: à

Les langues officielles du Vatican sont l’italien (pour l’État de la Cité du Vatican), le latin (langue officielle de l’Église catholique et langue juridique du Vatican), le français (pour la diplomatie du Saint-Siège (le Vatican est enregistré comme État francophone auprès des organisations internationales) et l’allemand (langue de l’armée du Vatican, la garde suisse pontificale)[1].

Wiki

et alii dit: à

permettez, ROSE,
vous avez oublié;
La « tartiflette au fromage de Herve »11 est une spécialité culinaire belge de la région de Liège
c’est mon histoire belge ,avant que je ne l’oublie!

DHH dit: à

@JJJ
Ouf!vous avez echappé à la fracture!

Un post ici m’a rappelé un souvenir.
C’etait avant le covid ;j’etais chez le coiffeur
A côté de moi une très vieille dame dont le visage me disait quelque chose etait en train de se faire brusher ;
J’ayttendais, interrogative , que la coiffeuse en termine avec elle et s’occupe de moi et peut etre m’apporte un eclaircissement;ce qu’elle fit à ma demande , cette cliente partie.
Et je retrouvai immédiatement dans l’image que je gardais du visage buriné de la vieille dame les traits de la ravissante Françoise Arnoult d’autrefois la merveilleuse interprète de »gens sans importance »

closer dit: à

Pas de quoi Langoncet, rire est bon pour la santé.

Marie Sasseur dit: à

@nous rions du scandale et malaise provoqué par « Titane », avec des spectateurs au bord de l’apoplexie, 

Des invités du maire de Cannes, la plupart de vieilles personnes, bien mises ( en plis), lol.

et alii dit: à

« En thérapie » : une saison 2 avec Suzanne Lindon prévue en 2022
, la jeune comédienne de 21 ans, Suzanne Lindon intègre la série, précise le JDD. La fille de Sandrine Kiberlain et Vincent Lindon interprétera une jeune étudiante confrontée aux répercussions psychiques de la pandémie sur son quotidien.

et alii dit: à

OHOH,P.Assouline, j’apprends comme il faut dire en
vrai français:
« Emprunté au lexique du marketing (pardon, de la mercatique, en version française), c’est l’adaptation littérale »
si on ne peut plus se fier au billet!

Jazzi dit: à

Oui, DHH, vous étiez voisines.
Françoise Arnoult habitait au bas de la rue Mouffetard.

Paul Edel dit: à

Françoise Arnoul. Arnoul.Elle passait souvent le matin devant l’église Saint-Medard au bas de la rue Mouffetard et prenait un café au Petit Saint-Medard, face à « La Bourgogne » de l’autre côté de la fontaine. Elle était souvent habillée en brun automnal, regard vif,elle savait quand on la reconnaissait,élégante,impeccablement coiffée comme au temps de sa splendeur cinématographique, impossible de lui donner son âge.

et alii dit: à

rappel sur Nadeau:
« portrait vif du compositeur Erik Satie qui, selon quelque légende, « n’absorbait que des aliments blancs ».
Le blanc de Satie
par Patrick Roegiers21 juillet 2021

rose dit: à

Et alii

La tartiflette en juillet, voulez-vous ma mort ?

et alii dit: à

une confidence sur mon intérêt à « poursuivre » le blanc:
la peau très blanche est peut-être le « fantasme » dont j’ai très tôt eu conscience ;je viens de regarder les articles sur le maquillage blanc des japonaises (dans certains films) qu’on ne peut pas dire fantomatique, mais ressortant de cette esthétique; je l’ai vu en rêve, et c’est aussi un souvenir prégnant que je pourrais contempler des heures;mais rien à voir, pour moi, avec la notion de beauté; tout avec celle de trouble intime;

rose dit: à

Janssen J-J
rôz et ET attendent sur la sellette l’application de la décision.
Le temps s’éternise.
C mortel.
Pas de bon temps en attendant.

Contente qu’il n’y ait pas fracture. C’eût été galère.

et alii dit: à

rose, aucune urgence !
je ne me souviens pas du film couleur avec une belle princesse japonaise (que j’avais vu en bas de la sorbonne)promenée par ses serviteurs!

D. dit: à

Je ne vois pas pourquoi on ne mangerais pas de tartiflette en été ?! C’est absurde. On est pas obligé de la manger brûlante s’il fait chaud. Ni d’en manger beaucoup. Les gens sont prêts à s’empifrer de glaces souvent indutrielles en été alors que c’est bien pire nutritionnellement parlant qu’une tartiflette de qualité. Bien pire. A cause des mauvais acides gras qu’elles contiennent et surtout du sucre qui va induire le stockage de graisse.

D. dit: à

Quelqu’un m’a fait la leçon une fois au restaurant parce que j’avais commandé du boudin noir à la purée de pois cassés en plein mois d’août. Alors que ce plat est une merveille nutrionnelle, apportant protéines, fer, fibres et peu de graisses au final. Il a fini avec un énorme chocolat liégeois plein de chantilly industrielle. Alors hein.

D. dit: à

Moi je suis pour le latin. Seulement moi j’obéis au Pape, moi. Je passe pas min temps à la ramener pour un oui ou pour un non. On appelle cela murmurer.
Le murmure dans le dos du Pape, c’est un péché, au cas où vous auriez oublié.

et alii dit: à

jazzi, merci d’avoir cherché , et peut-être trouvé!
les dates correspondent ; il faudrait que je voie des images et même quelques scènes qui sait?

Marie Sasseur dit: à

« Moi je suis pour le latin. » 

Oui, moi aussi.

Mais entre ceux comme M. Bertiau (*) qui biaise complètement la notion de culture générale, a des fins corporatistes ( et insulte au passage ce bel enseignement des maths et de la sciences – ceux qui l’ont reçu- qui par essence ont BESOIN du grec et du latin)
et les fachos traditionalistes en séminaire à Ecône, qui réservent le latin à du grandgignol d’église pour militantisme politique,
y’a de quoi le perdre, son latin…

(*)
https://larepubliquedeslivres.com/le-latin-et-la-bourgeoisie/

Marie Sasseur dit: à

Et sa grammaire aussi, du reste, hein.

et alii dit: à

Une expérience menée auprès de trentenaires illettrés, en Inde, met en évidence un phénomène de plasticité cérébrale dans les zones les plus archaïques du cerveau humain.3
« À l’échelle de l’humanité, l’écriture est un phénomène “relativement récent”, explique le journal. La surprise, c’est que l’apprentissage de la lecture a un effet sur des régions du cerveau qui existaient déjà “il y a plusieurs millénaires”, celles qui nous permettent par exemple “de faire la différence entre un lapin et une vipère”.

Tout se passe comme si de nouveaux circuits d’information étaient créés par les synapses, pour permettre “des synchronisations entre les centres de la vision, de l’audition et de la motricité”. Cette découverte laisse à penser que la dyslexie n’est peut-être pas un problème de langage mais un problème de vision. Elle ouvre surtout un nouvel horizon au monde de l’éducation, dans un pays où “un quart des habitants ne sait ni lire ni écrire”, souligne The Indian Express.
Lire l’article original
https://www.courrierinternational.com/article/neurosciences-comment-la-lecture-reveille-le-cerveau-des-adultes

et alii dit: à

hallucinations:
Leur nature si convaincante contribue à expliquer les significations qui ont pu être attribuées aux hallucinations – elles ont même été considérées comme des messages des dieux. Mais lorsqu’il s’est avéré qu’elles pouvaient être le symptôme de maladies mentales telles que la schizophrénie, elles ont commencé à susciter de plus en plus de suspicion. On sait aujourd’hui qu’elles peuvent survenir chez des personnes en parfaite santé mentale. La probabilité d’en avoir augmente après soixante ans. Cinq pour cent d’entre nous vivront une ou plusieurs hallucinations au cours de leur vie. Beaucoup de gens entendent des sons ou voient des formes au moment de l’endormissement ou du réveil. Après un deuil, il est fréquent d’avoir l’impression de voir le défunt. Mais les hallucinations qui révèlent le plus de choses sur le fonctionnement du cerveau sont celles qui surviennent chez les personnes ayant récemment perdu l’un de leurs sens.

J’ai pu moi-même le constater. À 87 ans, ma grand-mère a commencé à avoir des hallucinations lorsque sa vue, qui était déjà mauvaise, a empiré à cause de la cataracte. Ses premiers visiteurs ont été des femmes habillées à la mode victorienne, puis de jeunes enfants. Elle avait ce que l’on a appelé le syndrome de Charles Bonnet, du nom d’un scientifique suisse du début du XVIIIe siècle qui a été le premier à décrire ce type d’hallucinations observées chez son grand-père, dont la vue déclinait. Un jour, alors que le vieil homme était assis à bavarder avec ses petites-filles, il vit apparaître deux hommes enveloppés dans de magnifiques capes rouge et gris. Lorsqu’il demanda pourquoi personne ne l’avait prévenu de leur arrivée, il découvrit qu’il était le seul à pouvoir les voir.

Le cas de Sylvia est similaire. Après une infection de l’oreille ayant provoqué une surdité partielle, elle a commencé à entendre un son similaire à celui que produirait le croisement d’une flûte en bois et d’une cloche. Au début, c’était simplement quelques notes qui se répétaient sans cesse. Puis il y a eu des mélodies entières. “On s’attendrait à entendre un son que l’on reconnaisse, peut-être du piano ou de la trompette, mais ça ne ressemble à rien que je connaisse dans la vraie vie”, explique-t-elle.

Le cerveau confronté à l’inactivité
Max Livesey avait plus de 70 ans lorsque la maladie de Parkinson a détruit chez lui les nerfs qui acheminent les informations depuis le nez jusqu’au cerveau. Bien qu’ayant perdu l’odorat, il a un beau jour senti une odeur de feuilles en train de brûler. Les odeurs sont devenues de plus en plus fortes au fil du temps, allant du bois brûlé à un horrible relent d’oignon. “Lorsqu’elles sont vraiment très puissantes, ça ressemble à des odeurs d’excrément”, précise-t-il. Il lui arrive parfois d’en avoir les yeux qui piquent.
La perte d’un sens n’a pas besoin d’être irréversible pour que les hallucinations surviennent. Avinash Aujayeb était en parfaite santé quand il a fait son trek dans l’Himalaya. “J’avais l’impression d’être immense, le sol était loin de mes yeux, raconte-t-il. C’était comme si je regardais le monde par-dessus ma propre
https://www.courrierinternational.com/article/neurosciences-hallucinations-comment-notre-cerveau-invente-la-realite-qui-nous-entoure

[…]

closer dit: à

« Après étude attentive, le Saint-Père a décidé de rejeter votre supplique. » Le Vatican n’a pas donné suite au « recours » d’une dominicaine de Pontcallec (Morbihan), mère Marie Ferréol (née Sabine Baudin de la Valette), qui s’était adressée au pape François après son renvoi brutal et sans explication des dominicaines du Saint-Esprit »

Le Monde

« Le pape François vient de rejeter la supplique que lui avait adressée mère Marie Ferréol, une sœur de Pontcallec (Morbihan), qui a été renvoyée définitivement de la vie religieuse après trente-quatre années passées chez les Dominicaines du Saint-Esprit. Celle-ci avait adressé au pape un ultime recours – assorti de témoignages de soutien de divers horizons ecclésiaux –, après avoir été, dans un premier temps, exclaustrée de sa communauté pour trois ans par un premier décret du Saint-Siège à la Toussaint 2020, puis finalement renvoyée définitivement de la vie religieuse, avec interdiction de toute vie communautaire, par un second décret, le 22 avril. »

La Croix

Si cette affaire invraisemblable ne s’est pas déroulée sous l’autorité du Pape François, je veux bien me faire moine! Le secret qui entoure cette purge nous renvoie au temps de l’Inquisition.

Quant à Ecône, son séminaire qui a rompu avec Rome n’a rien à voir avec le sujet qui nous occupe et qui concerne des catholiques fidèles au Pape et qui souhaitent pouvoir continuer à célébrer la messe en latin comme permis par Benoît XVI.

Ce Pape semble avoir un vrai problème avec la tolérance.

Marie Sasseur dit: à

@Si cette affaire invraisemblable ne s’est pas déroulée sous l’autorité du Pape François, je veux bien me faire moine! 

C’est cela water closet, et il vous en faudra passer par une  » enquête « aux petits oignons…menée par le nonce et sa bonne…

 » quant à  » etc, pour un gros con qui ne met jamais les pieds à la messe, ni en France, ni ailleurs, s’il veut apprendre le latin il commence déjà par retourner au collège !

Marie Sasseur dit: à

Il y a une procédure au civil en cours pour Marie Ferreol, et là , le tabarnak et sa bonne ( une de l’akademie, comme c’est drôle), sauront ce que  » contradictoire » veut dire.

et alii dit: à

boltanski:
 » Je n’ai appris à mes élèves qu’à attendre et espérer », nous expliquait-il. C’était sans doute cette capacité à vivre le présent et à rêver qui rendait ses œuvres au noir et blanc très doux, si émouvantes, universelles, jamais accablantes de reproches ni d’injonctions trop sévères. »
https://www.pileface.com/sollers/spip.php?article970#forum8554

B dit: à

Vous ne savez rien du latin, Closer? Pas un rudiment à passer dans une phrase comme on placerait du condiment, un cornichon, trois câpres, indispensables à la relever la saveur ?

B dit: à

Lire -en- pour la.

B dit: à

Pas clair affaire Ferreol, si au moins les chefs d’accusation étaient énoncés, là c’est l’obscurité totale. Ça fait penser à l’inquisition comme l’un l’a suggéré.

B dit: à

Réformateur, ce Pape ? alors que sur ce dossier individuel il n’est pas décidé à contrarier les autorités locales, c’est écoeurant, scandaleux,rien n’est justifié ni proposé au grand jour. N’importe quoi la hiérarchie des pouvoirs dans l’Église. 🤘

Jibé dit: à

 » Hier, au festival de Saintes (50e), joie d’entendre du Charpentier, du Carissimi et du Rossi… Belle découverte, le Jephte de Giacomo Carissimi !… »
merci pour le lien JJJ, ça permet de partager ce moment, même si ce n’est pas la même interprétation: c’est un cadeau.
Content que votre omoplate soit non fissurée, on attend la suite avec confiance.

Jibé dit: à

Bergman, un père en cinéma, pour moi, un initiateur. Parmi mes premières grandes émotions, les Fraises sauvages et le Septième sceau. Ces comédiens mis en scène dans le film, comme plus tard la famille Ekdahl dans Fanny et Alexandre portent des interrogations qui sont restées essentielles pour moi sur le rôle du théâtre et la place vitale des théâtreux. Et tant d’autres choses.

B dit: à

La France se situe dans les clous européens pour le taux de vaccinés est ce qu’ailleurs des mesures similaires ont cours? Est ce que juridiquement n’importe qui est habilité à contrôler n’importe qui?

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/pass-sanitaire/covid-19-les-assouplissements-du-projet-de-loi-sanitaire_4709801.html

D’où venaient les propositions abandonnées? Je suis assez d’accord pour le vaccin obligatoire mais là bien qu’il ne faille pas perdre de temps, après les contrôles déplacement, les amendes et sanctions me semblent exhorbitantes.

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/pass-sanitaire/covid-19-les-assouplissements-du-projet-de-loi-sanitaire_4709801.html

Marie Sasseur dit: à

A la course en sac poubelle, on peut voir qu’il y a des retardataires.

Marie Sasseur dit: à

Marie Ferreol c’est un véritable sujet romanesque, comme déjà dit. Mais il faut du talent, et de la culture, surtout pour ce qui concerne St Thomas..

et alii dit: à

pour l’omoplate, bien respecter (et demander!) les consignes des professionnels(kiné! )pour le plus prompt -et définif?-rétablissement sans douleurs

Marie Sasseur dit: à

C’est le moment ou jamais pour le gagnant de la course en sac -cher ducon, remets-toi vite- d’appeler masseur.

Janssen J-J dit: à

le programme d’hier à Saintes, JIbé, une jeune formation très prometteuse :
https://eeemerging.ambronay.org/eeemerging-Academy/eeemerging-Academy-2021-i3574.html
Merci pour les news… suis confiant pour la suite, oui… la prochaine fois, refais la course en sac de jute, sûr que masoeur et rinaldo se joindront, z’M les jeux popu, ces deux là… En voudront pas trop longtemps au pape, un brin paumé en fin de cléricature… N’oublions pas le Laudate si !… c plus important? Tchin à l’anisette 51, Bàv

B dit: à

Marie Ferreol c’est un véritable sujet romanesque, comme déjà dit. Mais il faut du talent, et de la culture, surtout pour ce qui concerne St Thomas

Un bon sujet pour un réalisateur, le scénario est presque écrit, les détails sont croustillants, entre exorcisme et psychanalyse, de quoi développer. Cela nous enverra un peu plus loin que les amours interdites entre une soeur et une novice.

et alii dit: à

The End of the Earth: the Strange History of a Mysterious Being and the Account of a Remarkable Journey , la vision fantaisiste de John Uri Lloyd sur le genre « terre creuse ». Imaginez la descendance du Voyage au centre de la Terre de Jules Verne et une expérience d’écriture automatique par un membre de la cohorte des grignoteurs de peyotl de Havelock Ellis . Maintenant, plongez cette vision dans la paranoïa maçonnique, les théories géologiques marginales et un récit étonnamment sérieux du désir spirituel. Laissez-le vieillir un siècle et alors seulement auriez-vous un texte qui commence à tenir une bougie pourEtidorhpa .

Publié par le pharmacologue de Cincinnati John Uri Lloyd en 1895, le roman présente l’apprentissage psychonautique bien avant qu’Albert Hofmann ne découvre le LSD. En effet, Lloyd est un peu franc , dans des articles de revues scientifiques, à propos de son auto-cobaye. Comme le raconte RJ Smith , Lloyd décrit avec désinvolture évaluer « les sels alcaloïdes de la morphine, de la quinine, de la cocaïne, etc », en laissant des échantillons de chacun se dissoudre sur sa langue. Mais la biographie de l’auteur est tout aussi hallucinante. Il dîna avec Mark Twain, pêcha

jorge rodriguez dit: à

« Mon cher, c’est notre métier, un vrai métier de chien… Vous écrirez et vous écrirez… Et personne, personne au monde ne comprendra, ni ce que vous voulez dire, ni ce que vous avez donné d’effort, de sang, de sueur. Et à la fin vous vous direz : c’est comme si j’avais ramé toute ma vie dans un bateau, sur un fleuve immense, dans un brouillard impénétrable. »

Joseph Conrad, phrase rapportée par Ford Madox Ford

et alii dit: à

suite:
UNE BRÈVE HISTOIRE DE LA BIBLIOTHÈQUE ET DU MUSÉE LLOYD
Fondée dans les années 1870 et actuellement située dans le coin nord-ouest du centre-ville de Cincinnati, Ohio, les origines de la Lloyd Library and Museum remontent à la collection de matériel de recherche acquis par les frères John Uri Lloyd (1849-1936) et Curtis Gates Lloyd (1859 -1926). John avait d’abord besoin de livres et de publications en série sur la chimie pharmaceutique pour l’aider à diriger le laboratoire de HM Merrell and Company. Curtis a pris un chemin différent, cherchant la littérature botanique et mycologique. Cette combinaison d’intérêts a fourni la base du sujet représenté comme l’institution autonome qui est maintenant la Lloyd Library and Museum.

Les frères Lloyd, dont le frère cadet Nelson Ashley (1851-1925), ont passé leur enfance dans le comté de Boone, dans le nord du Kentucky. À l’âge de 14 ans, chaque frère est devenu apprenti chez un pharmacien à Cincinnati et ils sont finalement tous devenus pharmaciens agréés. À partir du laboratoire de Merrell et par le biais de fusions, d’acquisitions et de rachats, la société a été constituée sous le nom de Lloyd Brothers, Pharmacists, Inc. en 1885. John a supervisé la recherche et le développement et Nelson a géré l’entreprise. Curtis a été admis comme associé en 1886.

Soleil vert dit: à

Toujours dans la sauvagerie littéraire : American Psycho

et alii dit: à

suite(et fin)
Le bâtiment actuel de la bibliothèque a plus de 30 000 pieds carrés d’espace et contient maintenant plus de 150 000 volumes de monographies et de publications en série, près de 3 000 pieds linéaires de manuscrits d’archives et environ 3 000 artefacts de musée. Grâce aux soins et à l’attention des trois frères Lloyd,
Lloyd Library and Museum
917 Plum Street
Cincinnati, OH 45202
(513) 721-3707

Soleil vert dit: à

et alii dit: à
The End of the Earth: the Strange History of a Mysterious Being and the Account of a Remarkable Journey , la vision fantaisiste de John Uri Lloyd sur le genre « terre creuse »

Sur ce sujet consulter, Les terres creuses de Joseph Altairac et Guy Costes, qui recense les ouvrages du genre.

(je ne connais pas l’auteur)

Marie Sasseur dit: à

Et François ne  » s’explique » pas( encore en français)
Et je ne peux m’empêcher de penser qu’il a ainsi désigné l’origine du mal. Dont on a au moins deux fervents adeptes ici.

Marie Sasseur dit: à

La parenthèse mal refermée.

Marie Sasseur dit: à

Et François ne  » s’explique » pas( encore )en français.

Marie Sasseur dit: à

Dont on a au moins deux fervents adeptes ici.
Le lourdaud, toute soutane retroussée dans sa chapelle de rite Belzébut du fin fond de sa bretagne,et le gros con de closer , qui n’est pas plus  » catholique » que zemmour.

closer dit: à

Chère B, qu’est-ce-qui vous fait dire que je ne sais rien du latin?

J’ai tout de même quelques rares souvenirs de mes études secondaires…

D. dit: à

Bérénice, aimez-vous le boudin noir à la purée de pous cassés ?

et alii dit: à

NON, avec des pommes, le boudin, vous êtes un hérétique,les pois cassés, c’est délicieux avec des croutons et des lardons

closer dit: à

10 jours depuis le précédent billet !

Faut-il s’inquiéter ?

closer dit: à

Boudin aux pommes, D, évidemment !

B dit: à

Closer c’est suite au post de MS qui laissait entendre que vous n’en savez rien.

D, je déteste le boudin noir, je ne raffole pas du blanc.

B dit: à

En règle générale je ne mange aucun aliment qui rappelle de près ou de loin un phallus. J’élimine andouillettes, saucisses à griller, merguez. Je les introduit uniquement dans les plats d’hiver type potée, lentilles et exceptionnellement avec des pois cassés en purée pour les petites saucisses.

B dit: à

Introduis.

D. dit: à

Oui c’est bon le boudin aux pommes mais plus problématique au niveau nutritionnel en raison de la grande quantité de sucre contenue dans la pomme. Intéressant pour les fibres et les antioxydants, dangereux vis-à-vis du risque de diabète de type 2.

D. dit: à

Ah oui une bonne andouillette AAAAA.
Nous avons quelques points d’accord.

et alii dit: à

d’un maître de DIJON :La chanson du masque
Venise au visage de masque.
Lord Byron.

Ce n’est point avec le froc et le chapelet, c’est avec le tambour de basque et l’habit de fou que j’entreprends, moi, la vie, ce pèlerinage à la mort !
Notre troupe bruyante est accourue sur la place Saint-Marc, de l’hôtellerie du signor Arlecchino, qui nous avait tous conviés à un régal de macarons à l’huile et de polenta à l’ail.
Marions nos mains, toi qui, monarque éphémère, ceins la couronne de papier doré, et vous, ses grotesques sujets, qui lui formez un cortège de vos manteaux de mille pièces, de vos barbes de filasse et de vos épées de bois.
Marions nos mains pour chanter et danser une ronde, oubliés de l’inquisiteur, à la splendeur magique des girandoles de cette nuit rieuse comme le jour.
Chantons et dansons, nous qui sommes joyeux, tandis que ces mélancoliques descendent le canal sur le banc des gondoliers, et pleurent en voyant pleurer les étoiles.
Dansons et chantons, nous qui n’avons rien à perdre, et tandis que, derrière le rideau où se dessine l’ennui de leurs fronts penchés, nos patriciens jouent d’un coup de cartes palais et maîtresses !
Aloysius Bertrand
1807 – 1841

et alii dit: à

Aloysius Bertrand
1807 – 1841
Considéré comme l’inventeur du poème en prose, ce « petit romantique » fut ignoré par ses contemporains. Mais rapidement certains verront dans son œuvre l’originalité de la forme. Baudelaire avouera sa dette envers lui dans un lettre qui servira de préface au Spleen de Paris. Il ne verra jamais imprimé son unique livre, Gaspard de la Nuit, pour cause de mésaventures éditoriales successives. Ses textes sur la ville de Dijon sont restés célèbres.

et alii dit: à

parce qu’il m’est impossible d’écrire « gaspard » sans penser à E de Fontenay
 »
Paraît aujourd’hui, vingt ans tout juste après Le Silence des bêtes, Gaspard de la Nuit, un livre non plus seulement dédié mais consacré à ce frère handicapé. Malgré vos hésitations, vos réticences, vos scrupules, vous avez jugé le moment venu d’écrire sur lui. Pourquoi maintenant, Elisabeth de Fontenay ?
https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/gaspard-de-la-nuit

Jazzi dit: à

Ma chaumière

Ma chaumière aurait, l’été, la feuillée des bois pour
parasol, et l’automne, pour jardin, au bord de la fenêtre,
quelque mousse qui enchâsse les perles de la pluie, et
quelque giroflée qui fleure l’amande.

Mais l’hiver, quel plaisir, quand le matin aurait secoué
ses bouquets de givre sur mes vitres gelées, d’apercevoir
bien loin, à la lisière de la forêt, un voyageur qui va toujours s’amoindrissant, lui et sa monture, dans la neige et la brume !

Quel plaisir, le soir, de feuilleter, sous le manteau de
la cheminée flambante et parfumée d’une bourrée de genièvre,
les preux et les moines des chroniques, si merveilleusement portraits qu’ils semblent, les uns jouter, les autres prier encore !

Et quel plaisir, la nuit, à l’heure douteuse et pâle, qui
précède le point du jour, d’entendre mon coq s’égosiller
dans le gelinier et le coq d’une ferme lui répondre faiblement,
sentinelle juchée aux avant postes du village endormi.

Ah ! si le roi nous lisait dans son Louvre, ô ma muse
inabritée contre les orages de la vie ! le seigneur
suzerain de tant de fiefs qu’il ignore le nombre de ses
châteaux ne nous marchanderait pas une chaumine !

Gaspard de la nuit

rose dit: à

La question est a-t-elle demandé à son frère son accord pour écrire son autobiographie ?

rose dit: à

Vu Annette.
À partir du moment où Simon ♥️♥️♥️est devenu
chef d’orchestre ai commencé à pleurer. Et jusqu’à la fin où je suis sortie dans un torrent de larmes pour acheter mes dix prochains billets
I Love you Ann êtes !

rose dit: à

Qq larmes, pas un torrent. Hé, ho.

Léos Carrax :

En dédicace en fin de film, en tous petits caractères et sur 2 secondes ou moins
À Nastya.
Qui est votre fille.
En démiurge, sous votre métier de réalisateur, vous faites récit de votre histoire.
Quelques points qui ont leur importance :

En mer, par tempête, au-delà de 5 degrés beaufort, l’on se harnache.
Le moindre coup de lame et l’on est par-dessus bord.
Tabarly, Alain Colas n’ont pas été les derniers à en faire les frais.

rose dit: à

Puis :
Non, vous n’êtes pas un bon père.
Il eût fallu aimer la mère, la sécuriser, la bercer.

L’alcool, c’est le prétexte à franchir les barrières. Chaque fois que votre héros tue, il est saoul.

Parce que la première fois, il franchit le pas d’assassin devenir, il n’a plus de limite, Simon ♥️♥️♥️ en fait les frais.

Vous passez sous limite, non silence (lapsus clavii), mais surabondez sur « n’allez pas voir les abîmes », la difficulté -qui à moi me semble terriblement masculine- de se vautrer dans le bonheur en acceptant que la femme en soit la source vive.

Il a fallu que vous cassiez cela en niant farouchement l’état de béatitude dans lequel vous flottiez.

Retrouvant votre sacro-sainte liberté au prix de bien des dégâts.

rose dit: à

Qq précisions :

Oui les filles sont splendides. Non être riche et ivre ne sont pas les conditions sine qua non.
Être moins auto-centré peut-être ?

J’m bien votre parti-pris de l’enfant marionnette, jouet de ses parents, mais qui s’en décolle ?

Quant au suicide, ne vous accordez pas plus d’importance que ce que vous en avez. La décision appartient à celui qui le commet. Et c’est le fruit d’une profonde mésestime de soi conjuguée à une non perspective d’avenir.
Heureux.
Comme ce dont vous n’avez pas su jouir.

Marie Sasseur dit: à

En  » pour », j’ai préféré le commentaire de Barozzi, pour le film Annette.

Jazzi dit: à

A la demande du public, on la remet !

8 juillet 2021 à 9 h 52
« Annette » de Leos Carax, avec Adam Driver et Marion Cotillard.
Après un an d’abstinence exceptionnelle pour cause de pandémie mondiale et un report de mai à juillet, le festival de Cannes a démarré sur les chapeaux de roues : ça crisse déjà sec sur la Croisette !
Et vu les films de la sélection officielle et des sélections parallèles à venir, cela ne risque pas de s’arrêter.
Cinéaste rare et singulier, avec six longs métrages en trente-sept ans de carrière, tous aussi décoiffants les uns que les autres, Leos Carax, anagramme de ses deux prénoms, Alex Oscar Dupont, de son vrai nom, revient sur nos grands écrans après dix ans d’absence, à soixante ans tout rond.
Cette fois-ci, nous avons droit à une comédie musicale dont le livret est signé des Sparks, un groupe californien de légende.
Avec Leos Carax, nous sommes assurés qu’il n’y aura jamais d’unanimité autour de son oeuvre, chez lui on adore ou on déteste.
Et disons le d’emblée, je me range résolument du côté des premiers : pardonnez-moi, mon Père, mais j’ai beaucoup aimé !
« Annette », est un opéra bouffe, un opéra rock, fait pour déranger les biens pensants, qui quitte généralement la salle, furibards.
Au début, c’est féérique, et à l’arrivée on se retrouve en plein film d’horreur.
Il était une fois… un prince du stand up en Hollywood aussi beau ou laid, c’est selon, mais aussi sexy que Iggy Pop, qui rencontra une reine du lyrique, française et tragique à souhait.
Henry et Ann, magistral Adam Driver et exemplaire Marion Cotillard, parfaitement dans son rôle en icône de la bien pensance oscarisée.
Ils filèrent un amour merveilleux, jusqu’au jour où ils eurent une enfant, Annette, sorte de ET venue de nulle part, fille de King Kong et de la fée aux cheveux bleus. Une marionnette en bois, à la rousseur du diable, une véritable Pinocchia.
Et patatras !
Les fans n’aiment pas que leurs idoles soient heureuses.
Lui décroit aux yeux de son public, tandis qu’elle, au contraire, s’élève toujours plus haut.
Les parents se désaiment jusqu’à la haine et projettent leur ego respectif sur la pauvre marionnette, qui n’en demandait pas tant.
Le destin, sournois et tragique, tire les fils…
Splendeur des plans, magie du son, lyrisme de la musique.
Les scènes s’enchaînent, toutes aussi fascinantes que belles.
Ah, la complainte de l’accompagnateur !
Et le duo père-fille final, magistral !
C’est Godard qu’on assassine, l’histoire du cinéma qui défile, David Lynch qui mulhollande à moto et la morale des féministes et des néo conformistes qui dégouline.
Et moi, malgré les 2 h 20 de la projection, j’en redemande et j’applaudis !

Marie Sasseur dit: à

Oui moi aussi, je redemande… Adam Driver.
Dans les deux prochains films de R. Scott, a sortir cette année.

JiCé..... dit: à

Jeudi 22 juillet 2021, 9h04, 24°, temps calme

HUMANISME
Le nom du meilleur humaniste européen actuel ? Celui qui a tout compris ?

Viktor Orban.

Vas y Totor, on est avec toi !!!

Jibé dit: à

le programme d’hier à Saintes, JIbé, une jeune formation très prometteuse :
https://eeemerging.ambronay.org/eeemerging-Academy/eeemerging-Academy-2021-i3574.html

merci JJJ
je repost votre lien pour le plaisir de ceux que ça intéresse.
A ce propos, je suis souvent allé au festival d’Ambronay, j’ai des souvenirs des Arts Florissants qui datent de 20-25 ans, des moments magnifiques, et aussi de toutes petites formations étonnantes, dont j’ai oublié les noms (mais j’ai conservé les programmes, je pourrais retrouver…malgré les déménagements il doit y avoir un carton dédié)
Eviter la main de ma soeur et préférer le kiné, que ce soit votre devise pour quelques semaines!

Jibé dit: à

Le festival d’Ambronay correspond toujours avec la rentrée, aux alentours de mi-septembre la plupart du temps, et il est pour moi indissociable de cette atmosphère d’étangs de la Dombes, bruissant des cris des canards à la passe du soir aux approches de l’équinoxe. Hors du temps.

Janssen J-J dit: à

Mais les étangs de la Dombes…, jibé, ce sont les souvenirs inoubliables des cuisses de grenouilles dégustées dans toutes les auberges du coin… à partir de Villars…,, et puis, d’aiguille en fil, le village de Jujurieux, pays de Charles Juliet… hélas aussi, les horreurs du pèlerinage chez le curé d’Ars…
Magnifiques souvenirs mêlés… d’un temps enfui depuis si longtemps… – « Asséchez moi tout ça ! »… se proposait Grégoire Ponceludon de Malavoy » !…
Belle journée à tous.tes et notamment aux herdéliens de Bourg en Bresse (22.7.21@9.58)

renato dit: à

Quelques larmes comme instrument critique — fantastique, quelques millénaires de réflexions intellectuelles jetés à la poubelle.

MC dit: à

On sétonnait de n’etre pas désigné.
On n’est pas dupe de cers effusions sasseurofranciscainolatriques.
On s’excuse de tenir encore non à la messe de St de ST Pie V, fort ennuyeuse, mais à ces antiennes latines qui ont traversé l’histoire de la Chrétienté.
On rappellera pour memoire que le latin, plus, me semble-t-il que le grotesque italien Berdogliesque, était compris en Palestine au temps de Jésus.Ce qui n’est pas sans lui donner une certaine légitimité, nous semble-t-il.
La belle obstination de certains hiérarques à maintenir contre vents et marées à un Concile de Trente raté n’a d’égale que l’aveuglement dudit Pape, qu’une Sasseur seule promeut au rang de Grand Homme avec l’infaillibilité et la charité qui l’ont toujours caractérisée, rendant sa prose reconnaissable entre toutes…
Bien à vous.
MC

Jazzi dit: à

22 juillet 2021 à 11 h 09.
« Onoda – 10 000 nuits dans la jungle » d’Arthur Harari.
Loin des paillettes de la sélection officielle du festival de Cannes 2021, le réalisateur français qui s’était distingué avec le polar « Diamant noir » (2016) a présenté en ouverture de la section « Un Certain Regard » un beau film d’aventure comme on en fait plus guère, sorti dans nos salles cette semaine (l’occasion pour moi d’étrenner mon passe-sanitaire).
Entièrement tourné au Cambodge, en langue étrangère, Onada nous conte la geste incroyable et pourtant bien réelle de ce jeune officier japonais qui n’a accepté de déposer les armes qu’en… 1974 !
Qualifié de « dernier combattant » de la Seconde Guerre mondiale, le lieutenant Onada avait été envoyé en 1944 sur l’île de Lunang, aux Philippines, pour poursuivre une guerre sans merci contre les troupes américaines.
A la tête d’un petit commando, dont il fut l’ultime survivant, il poursuivit sans relâche, dans la clandestinité de la jungle, la guerrila contre les nouveaux maîtres du monde et leurs alliés locaux, ignorant toujours que l’Empire du Soleil Levant avait signé la capitulation en 1945.
Obéissant aux normes du film de guerre traditionnel, Arthur Harari nous offre de surcroit un film sous forme de fable métaphysique, prétexte à réflexion sur l’esprit de résistance : résistance à l’occupant et résistance à la modernité.
Tel un don Quichotte mâtiné d’un Robinson Crusoé, le soldat-ermite Onada combat jusqu’à l’absurde pour l’honneur perdu de son pays, qui l’avait oublié…
Devenant ainsi, sous nos yeux cinématographiques, un véritable personnage de légende, beau comme un Mishima, mais sans les apprêts du culturisme.
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19592656&cfilm=259606.html

renato dit: à

Connais pas cette affaire Ferreol, mais si j’ai bien compris l’on ne tient pas en compte ici que la question relative à la primauté des églises locales sur églises universelle — ou vice-versa — n’est pas encore tranchée. Pas envie d’aller plus loin que ça, mais il me semble que c’est dans cette perpective qu’il faudrait voir le rejet par le Vatican de la supplique dont il est question.

Jazzi dit: à

Désormais, en me pointant au cinéma, je dois présenter mon ticket d’entrée, mon pass illimité cinéma et la feuille de mon passe sanitaire où figure mon code barre (je n’ai pas de portable).
Cela prend deux secondes.
Et ce matin, sur BFM-TV, j’entends la journaliste déclarer : « Revenons sur les nouvelles mesures sanitaires qui « bouleversent » notre quotidien » !
Pour garder les pieds sur terre, mieux vaut aller au cinéma ou lire un bon bouquin (je me régale à la lecture du « Rouge et le noir » de Stendhal, où sur les pas du héros décodant les us et coutumes de l’aristocratie du faubourg saint-Germain à Paris, je ne cesse de me dire : « Mais Julien Sorel, c’est moi ! »).

Paul Edel dit: à

Jazzi, tu verras la violence de Julien Sorel face aux jurés d’Assise.cette lutte si violente contre la société fermée de la Monarchie de juillet a enchanté Nietzsche.et les figures féminines,si vraies!
Jazzi, tu vois bien que Julien Sorel est d’une susceptibilité maladive. Il est si ombrageux. Es tu comme lui?Moi oui.ce qui me frappe dans ce roman, ce sont les moments d’enthousiasme,d’énergie pure.

Marie Sasseur dit: à

Lourdaud, qui arrive dans son sac poubelle, sous la bannière de sa chapelle de la Bretagne profonde du diocèse lefebvriss qu’il promeut sur YouTube…pour faire la course. Mais la messe en latin, c’est terminé, finito !

MC dit: à

La Messe en latin, c’est fini.
A) On ne vous parle pas de cette messe
b) »C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière »
Judicieuse réflexion de Renato, que, comme d’habitude, notre apprentie Ecclésiologue d’opérette ne commente pas.
se souvenir des rapports tendus entretenus de tous temps entre les « Eglises nationales » et l' »Eglise Universelle ». Ainsi la Pragmatique sanction de Charles VII, pas si bête que d’aucuns veulent ici le dire, ou la menace de schisme brandie sous Louis XIV…

Janssen J-J dit: à

Non juju sorel, c’est pas toi ni RPTV, tout au plus c’est bayle henry… Mais le Stendhal, aurait pas osé faire son Flaubert..
Enfin moi je dis ça…, hein, je c just’une chose : je fais pas masoeur en toukass, non.

Jazzi dit: à

Oui, je sais que ça finit mal pour Julien Sorel, Paul !
Il est susceptible, hypersensible, comme Stendhal, qui lui a survécu.
Et avec l’âge, on se calme…

Jazzi dit: à

Les héros de roman sont universels, JJJ.
Julien Sorel c’est aussi vous et Marie Sasseur en jupons !

Janssen J-J dit: à

J’aime bien quand vous plaisantez, jzmn, z’êtes bin drôle… !

Paul Edel dit: à

Jazzi, c’est Julien Sorel qui survit à Stendhal.

rose dit: à

Quid de la Pragmatique sanction de Charles VII,

Jazzi dit: à

Paul, une question toute personnelle, si tu le permets.
Quand, à l’âge le plus tendre, tu t’es plongé avec délice dans « Le rouge et le noir », celle qui représentait pour toi l’idéal féminin, celle qui te faisais le plus fantasmer, c’était la humble et sage bourgeoise Mme de Rênal ou bien la fière et impétueuse aristocratique Mathilde le la Mole ?

rose dit: à

Marie Sasseur dit: à
En » pour », j’ai préféré le commentaire de Barozzi, pour le film Annette.

Jazzi dit: à
A la demande du public, on la remet !

8 juillet 2021 à 9 h 52
Marie Sasseur à la colle avec Jacques Barozzi.
C »est donc un homme.
L »esprit de corps.
Les seules à blackbouler lorsqu’elles brillent de mille deux, ce sont les femmes ; Christiane en fait les frais.

rose dit: à

Les mille deux ce sont les deux. Les mille deux feux.
Je comprends qu’ébloui on les mette en veilleuse ; pour se rapprocher des vers luisants.

Jazzi dit: à

te faisait…

Jazzi dit: à

Ne soyez pas jalouse, rose.
Il était très bien, très personnel, votre commentaire sur Annette.
J’attends celui sur « Titane »…

Petit Rappel dit: à

Dans la Pragmatique, le roi tape sur la table, se pose en maitre de l’Eglise de France, supprime au passage quelques sources de revenus pour Rome, ce qui a du mal à passer…Abolie sous Louis XU, elle est retablie par le même. La position du Roi en tant que protecteur de l’Eglise de France et maitre de ne pas appliquer les réformes d’un Concile, par exemple avec Trente, que le bon Roi Henri declare accepter mais qui ne sera proclamé à l’Assemblée du Clergé que vers 1620…

Paul Edel dit: à

Jazzi ,très jeune à 15 ans c etait évidemment Madame de Renal qui me fascinait .Et une voisine avec la peau blanche et aux gestes maternels et délicats etait pour moi sa réincarnation Quand elle entrait dans le jardin mon coeur battait.

DHH dit: à

@MC
vous dites que le latin était compris de tous en Palestine au temps de Jesus

En êtes vous sur? d’où vous vient cette information?
je pensais que seules étaient largement comprises et pratiquées dans cet espace, d’une part ,la langue araméenne, langue locale du peuple ,d’autre part le grec de la koiné ,la langue véhiculaire de la méditerranée orientale ,dans laquelle sont écrites notamment les évangiles

Janssen J-J dit: à

@ pr : je pensais la même chose que DHH… quid ?

Janssen J-J dit: à

@ =Christiane en fait les frais=.
Kételle devenue, nonobstant, cette femme fort forte dans l’adversité ?

Janssen J-J dit: à

le motif dans le tapis risque d’être bientôt élimjné à plate couture… (didier decoin).

Janssen J-J dit: à

j’ai entrepris un roman difficile ou obscur. Jean Pouillon nous encourage à en vaincre la prétendue obscurité. J’imagine que toute l’herdélie littérale a réussi jadis ou naguère ce passage à l’acte du rubicon faulknérien… Si je le réussis moi-même, je vous raconterai Absalon, Absalon !… Bàv,
https://www.persee.fr/doc/hom_0439-4216_1997_num_37_143_370306

Paul Edel dit: à

JJJ. Absalon, absalon! c’est prendre la montagne Faulkner par la face nord en plein hiver.

Paul Edel dit: à

JJJ prenez un harnais anti-chutes.

Marie Sasseur dit: à

@ « La Messe en latin, c’est fini.
A) On ne vous parle pas de cette messe »

Tu penses bien, toute cette curaillerie nationaliste identitaire, dont lourdaud un sinistre pitre, qui se fait activiste sur youtube à ses heures, allait se jeter à plat ventre dans la nef, comme ces abrutis utiles de petites entreprises privées, voir celle florissante de la petite- fille du borgne de Montretout, délinquant en chef.

L’ont ils assez déformé ce Credo, en une pantomime haineuse , celle de leur reich pour 1000 ans, Cujus regio, ejus religio.

Maintenant stop, basta a dit Francois. Il etait temps.

DHH dit: à

@JJJ
Vous vous préparez de somptueux moments de lecture
Absalon Absalon me paraît le roman où faulkner atteint le sommet de son art .
il avait longuement ete question ici avec Bloom de ce roman, admirablement traduit, qui magnifie à travers la décadence monstrueuse d’une famille le thème faulknérien de l’agonie du vieux sud blanc

DHH dit: à

@JJJ
j’ai retrouvé ce que j’en disais à Bloom

« Le plus faulknérien de romans de Faulkner au sens où vous avez defini cette œuvre comme centrée sur la psyché brisée du sud profond, c’est pour moi Absalon Absalon ; Avec, pour le héros, cette survie derisoire au monde dans lequel il avait sa place par un enfermement dans un univers clos qu’il s’est menagé hors du temps, sorte de vestige fossilisé de ce monde disparu.
Cet homme habité par les valeurs du sud d’autrefois, celui des plantations et de l’esclavage, où blancs et noirs restaient les uns et les autres à leur place , est devenu un « petit blanc » dans la societé nouvelle,
Et il vit comme une descente aux enfers ses échecs successifs pour s’assurer une descendance de pure race blanche, alors que les enfants qu’il s’efforce d’engendrer à cette fin, naissent de plus en plus noirs :,

D. dit: à

prenez un harnais anti-chutes.

Faut juste être sûr de son point d’ancrage.

Clopine dit: à

Bonjour à tous, juste un mot en cette fin juillet, pour vous recommander la lecture du dernier opus de Jacques Barozzi, « le goût de Jeanne d’Arc ». Cette mince anthologie est sans doute ce qui se fait le mieux dans le genre. La première partie retrace la vie de Jeanne, étape après étape, à travers la voix de ses biographes, et déjà on comprend pourquoi le mythe de la bergère guerrière a fasciné autant des auteurs, et desl plus divers. La seconde partie est encore plus intéressante : la « postérité de Jeanne » revient,à l’aide d’extraits ma foi particulièrement bien choisis, sur ce que les uns et les autres, suivant des points de vue différents, ont exprimé à l’aide et derrière l’histoire de la sainte. Je ne sais si, aujourd’hui, nos auteurs contemporains s’emparent à leur tour de la figure de Jeanne. Mais en tout cas, elle est indissociable de la littérature qu’elle a inspirée. Grâces soient donc rendues à ce petit livre, qui peut se glisser si aisément dans une poche, permettant de se plonger dans une histoire fascinante, celle des mots brodés autour de Jeanne…

rose dit: à

Être sûr de son point d’ancrage.

Se rapprocher des journalistes du Monde.fr et du programme Pegasus. Ils connaissent.

rose dit: à

Jazzi

La jalousie.
J’apprécie énormément votre/vos commentaire/s.
Dont celui sur Annette.
Sur qq.points je diverge : pour moi ce film est une métaphore du couple. Et pas d’accord sur le désamour ds le couple.
Lui -même pas ne l’aime plus, sa dulcinée- sombre dans le sombre.
De toutes façons, ce ne pouvait être un film gnan-gnan.
Elle, elle commence à avoir peur de lui. La suite lui donnera raison.
Lui, est effrayant.
Effectivement.

Bien cordialement Barozzi Jacques.

rose dit: à

Jazzi

Je vais aller voir l’île de Bergman avant Titane.
Cela me laisse le temps de prendre l’armure.

Patrice Charoulet dit: à

HARRY POTTER

J’ai ouvert ma revue télé. Ce jeudi 22 juillet, rien de me tente ce soir sur toutes les chaînes. Je ferai autre chose . Le programme de TF1 est un film « Harry Potter. Je n’en ai jamais vu et jamais lu.
Cela me rappelle quelque chose.
J’ai enseigné le français toute ma vie, en collège et en lycée. Une année, à La Réunion, en 4e, j’avais donné des suggestioins de lecture avant les vacances de Noêl : une douzaine de livres d’excellents auteurs français qui me semblaient bons à lire pour des élèves de cet âge.
Après les vacances, j’ai demandé à mes élèves de me parler sur copie du livre qu’ils avaient lu pendant les vacances. Aucun n’avait lu un des livres que j’avais conseillés. Tous avaient lu un …
« Harry Potter » ! Quel ne fut pas mon étonnement.

Janssen J-J dit: à

merci émil mercis,… J’ai mon beau harnais anti-chute depuis ce matin, joséphine… Facilite pas la lecture de Faulkner, mais y arrive quand même… La face nord de l’Everest hivernal, ça tombe très bien, je crevais de chaud… ! fin du 2e chapitre…, dans ma version française, on ne cause que de ‘nègres’, jamais de noirs… le traduc PC doit pas être mise à jour… Ce roman était dans ma pile depuis que DHH, vous en aviez fait l’apologie, je vous fais une confiance aveugle, j’espère que… merci d’en avoir retrouvé la trace… Confiance, parce que lecteur de bonne volont », je me souviens qu’il m’a fallu relire naguère deux fois le Bruit et la Fureur, (et en plus avec l’aide de Pitavy, un bon introducteur, je crois…, avant d’en assimiler la substance)… Je remercie toutes encourageries, oui, je suis bien encouragé, merci les amicaux de la rdl…
Pour Annette, rôz, soy content que le vous ait plu, moi non, pas du tout, ne suis parvenu à n’entrevoir aucune lueur, hélas… tant pis,.. L’important, c’est vous…! vous savez en tirer q-que chose, c sympa pour lcarax…
Heureux du bel hommage de CT à JB (hello CT ! 🙂 … hélas, chez Leclerc, ils n’arrivent pas à récupérer le petit livre sur Jeanne d’Arc. Mais un jour, j’aurai… Bon je sed laisse, vas m’entamer le 3e chapter. avec mon piolet main droite… puis confection d’une tarte aux prunes-abricots, les fruitiers en sont couverts, et pour l’instant, les étourneaux sont barrés… Ai pu sauver un kilo… Et ce soir 21 h, Benedetta, avec la petite Elfira… ! A plusss,

D. dit: à

Sainte Jeanne d’Arc était une sacrée bonne femme, comme Sainte Geneviève. Mille ans les séparent.

et alii dit: à

un bonjour bonsoir à Clopine -et son fils (et son âne,et son chien ,que je n’oublie pas)

et alii dit: à

au fait, on parle de Masque de grossesse : les précautions pour l’éviter
A l’approche des vacances, quelle femme enceinte ne redoute pas le fameux masque de grossesse (aussi appelé chloasma) ? Entre fausses croyances et bons réflexes, on fait le point sur ces taches

D. dit: à

Il est tout-à-fait anormal et scandaleux que les expatriés totalement vaccinés à l’Etranger et arrivant en France ne bénéficie pas du pass sanitaire et soient refoulés des lieux où celui-ci est exigé, pendant que la racaille fait usage de faux.

D. dit: à

Dites-nous plutôt qui sont ces gens qui n’ont pas l’air cons ?

Jean Langoncet dit: à

De ceux qui annonçaient les yéyés, D

et alii dit: à

PUBLIÉ LE22 JUILLET 2021
De Fantozzi à fantozziano
IL nous inviterait bien à le lire « Fantaisie », le titre de ce film italien de 1975, Fantozzi, de Luciano Salce, que l’on peut voir depuis hier, et pour la première fois, en France

Un poème, Ugo Fantozzi ! minuscule employé (joué par Paolo Villaggio)
d’une société colossale,

qui n’est qu’un numéro matricule, et ne peut, dans un monde figé, sans saveur, cruel, que s’écraser le nez, ou se le faire écraser, à moins qu’il ne tombe dans une bassine de polenta

image cueillie sur le site de Tamasa Diffusion

ou bien… Mais allez plutôt voir le film, une perle d’humour.

Fantozzi ? fantaisie ? ce mot aurait-il un sens en italien ? à tout hasard, consultons les dictionnaires usuels… Il y aurait bien fantòccio : marionnette, poupée, pantin, silhouette de tir (il est vrai qu’il en reçoit des coups, et de toutes sortes, Fantozzi !),

mais nous finissons par trouver bien mieux, et même à mettre dans le mille :

capture d’écran d’un extrait du « Grande dizionario della lingua italiana« , mis en ligne sur le site de l’Accademia della Crusca (un équivalent de l’Académie française)

Ainsi Ugo Fantozzi permit-il la naissance d’un adjectif :
fantozziano =
peureux, gauche, gêné, tragi-comique. Et ça, c’est la marque des grands.

♣ ♣ ♣

* À Paris, nous avons vu ce film au Reflet Médicis,
3, rue Champollion, Paris 5e.

PUBLIÉ LE21 JUILLET 2021
Au menu, code ou ardoise ?
À la terrasse de cette brasserie parisienne comme dans bien d’autres, on ne lit plus le menu ou la carte sur une ardoise ou des feuilles plastifiées, mais on doit poser un mobile multifonction (en langue internationale : smartphone) sur ce « QR code ». Devant notre étonnement, nous qui ne possédons pas ce genre de téléphone, le garçon nous explique que, pandémie de corona oblige, il faut éviter les manipulations.

Pas d’ardoise dans cette brasserie à touristes, donc nous insistons pour disposer tout de même d’une carte sous plastique… que nous consulterons, évidemment, après nous être désinfecté les mains.

« Scannez-moi »… Rappelons que les premiers sens du verbe anglais to scan sont parcourir ou lire rapidement (puis, numériser),

une invite toute contraire à celle de Gréco et bien moins alléchante

paroles de Robert Nyel, musique de Gaby Verlor…

* Au fait, que veut dire QR code ? (Rétablissons la syntaxe française : code QR, mais ça ne nous éclaire guère.) Le « QR code », c’est un quick response code, autrement dit un code à réponse rapide. « Le contenu du code peut être décodé rapidement après avoir été lu par un lecteur de code-barres, un téléphone mobile, un smartphone, ou encore une webcam. Son avantage est de pouvoir stocker plus d’informations qu’un code à barres et surtout des données directement reconnues par des applications », nous explique Wiki’.

Un code créé par Masahiro Hara et Takayuki Nagaya, deux ingénieurs de Denso Wave (filiale de Toyota) en 1994 pour suivre le chemin des pièces détachées dans les usines automobiles.
https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/

et alii dit: à

OBESITE:
C’est peu connu : la plupart des Pharaons égyptiens étaient en surpoids et en mauvaise condition physique.

Les femmes aussi : la reine Hatchepsout, les chercheurs l’ont établi, souffrait d’obésité et de diabète.

Le grand Seqenenrê Tâa a perdu sa fille Mérytamon d’une crise cardiaque foudroyante, elle aussi liée à son obésité.

Le papyrus d’Ebers, un des tous premiers textes médicaux de l’histoire, mettait déjà en garde les Égyptiens contre la mauvaise alimentation !
L’explication vient de leur régime alimentaire. »

Pourtant, si je vous révélais ce qu’ils mangeaient, vous ne me croiriez pas.

A priori excellent pour la santé !
De nouvelles études viennent de prouver que ceux-ci étaient principalement… végétariens.
Les chercheurs, grâce à un procédé nommé « analyse d’isotopes stables », ont analysé les os des momies pour mesurer leur concentration en azote-15.
Puis comparé ce résultat avec les taux d’azote-15 des aliments.

Cela a prouvé que les Égyptiens, Pharaons comme paysans, mangeaient principalement des végétaux.[1]

Le régime végétarien est a priori excellent pour la santé.
Le végétarianisme des Égyptiens était inflammatoire parce qu’il était notamment riche en pain et en céréales.
Une étude du Journal d’archéologie égyptienne raconte que les Grecs anciens surnommaient les Égyptiens les « artophages », ou mangeurs de pain.[2]

Or les céréales, notamment le blé, contiennent des protéines inflammatoires.

Vous connaissez le gluten, qui donne au pain sa texture moelleuse. Il peut « trouer » vos intestins, les rendre perméables, et mener à la maladie cœliaque.[3]
Sources:
[1] Iacumin, P., Bocherens, H., Mariotti, A., & Longinelli, A. (1996). An isotopic palaeoenvironmental study of human skeletal remains from the Nile Valley. Palaeogeography, Palaeoclimatology, Palaeoecology, 126(1-2), 15-30.

[2] Journal of Egyptian Archaeology, vol. 58, 1972

[3] https://www.medicalnewstoday.com/articles/313514

et alii dit: à

je trouve D QUE VOUS ËTES VRAIMENT LEGER

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