de Pierre Assouline

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La République des livres
Des silences dans le paysage sonore

Des silences dans le paysage sonore

S’il est vrai que l’on gagne toujours à séparer les livres du bruit qu’ils font, ce n’est pas seulement parce qu’il est toujours profitable de mettre à distance la rumeur médiatique. Parfois, avec un recul de quelques années, on saisit mieux  pourquoi on n’a pas aimé un livre. Qu’importe si d’aucuns n’y voient que la manifestation d’une intelligence à retardement. Je l’avoue, j’avais été stupéfait en  2016 de l’accueil enthousiaste réservé à Histoire du silence. De la Renaissance à nos jours (Albin Michel). Alain Corbin, son auteur, est certes un historien parmi les plus éminents, respecté non seulement pour sa carrière universitaire (il a longtemps enseigné à la Sorbonne) mais aussi pour une œuvre remarquée dans le domaine de l’histoire des sens, du sensible, des sensibilités qui comprend notamment de grands livres tels que Les Filles de noce (1978),  Le Territoire du vide (1990),  Les Cloches de la terre (1994), Le Monde retrouvé de Louis-François Pinagot, sur les traces d’un inconnu, 1798-1876 (1998), Le Miasme et la jonquille, Histoire des émotions (1982) etc Autant de recherches souvent pionnières qui privilégiaient la sensibilité aux odeurs, au temps qu’il fait, aux sons des villes et des campagnes.

Comment Alain Corbin (1936) a-t-il pu être l’auteur de cette Histoire du silence qui a tout d’un copier-coller de citations qui se veulent « révélatrices » (ce qui est bien le moins, sinon à quoi bon ?) et d’extraits littéraires enchainés les uns aux autres, à peine liés entre eux par un léger commentaire de circonstance dénué de tout examen critique et de toute contextualisation des œuvres convoquées ? On croirait une anthologie qui ne dit pas son nom. Même si l’on sait son parti pris (placer le ressenti au-dessus de l’analyse, adopter la position du flâneur en privilégiant l’évocation dans son approche méthodologique, focaliser sur les émotions provoquées par le silence), cela ne suffit pas.

On dira qu’il a la carte. Ce qui est également insuffisant pour expliquer l’emballement. On dira aussi que la critique des journaux est le plus souvent le fait de non-spécialistes. Or voici que la revue des Annales, (éditions de l’EHESS/ Cambridge University Press) ce qu’on fait de plus savant, de plus autorisé et de plus expert dans le genre (Histoire et sciences sociales), se penche à son tour sur la question dans une récente livraison ( No 3, juillet-septembre 2017). Elle consacre un dossier remarquable à l’ « Histoire du silence » constitué de deux articles. Inouï tout ce qu’il peut ouvrir comme pistes de réflexion.11 sept susan meiselas

Le premier signé Alexandre Vincent (Université de Poitiers) m’a passionné car, avec tout le respect et la bienveillance dus à un maitre, il déconstruit son livre mieux que je n’aurais pu espérer le faire, en pointant les manques, les défauts, les lacunes. Une vraie lecture critique. Peu de gens le savent en dehors du cercle des spécialistes, mais cette histoire-là rassemble de nombreux chercheurs à travers le monde et le terrain semble plein d’avenir. Alexandre Vincent cite un nombre impressionnant de livres, de thèses, de références en ligne sur le sujet. A commencer par celui qui paraît être leur référent absolu : The New Soundscape (Toronto, 1969) dans lequel le compositeur et musicologue Raymond Murray Schafer consacrait la notion de « paysage sonore » et lançait les Sound Studies, autrement dit :

« champ interdisciplinaire étudiant la production et la consommation matérielles de la musique, du son, du bruit, du silence, et la manière dont ils se sont transformés au long de l’histoire et dans différentes sociétés ».

Même Alain Corbin lui doit quelque chose puisque en 1994, lorsque celui-ci publia ses recherches sur les sons produits par les cloches, il s’y référait, étant entendu que pour les périodes antérieures à l’arrivée des technologies d’enregistrement à la fin du XIX ème siècle, force est de faire confiance aux « prises de sons » rapportées par les archives écrites, et de les interpréter. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il s’en est éloigné depuis puisqu’il l’ignore dans son Histoire du silence, de même qu’il ignore les fécondes analogies dressées par David Le Breton entre les différentes qualités de silence selon les civilisations dans Du silence (Métaillé, 1997).

Au-delà de l’implacable démontage du livre d’Alain Corbin, l’article d’Alexandre Vincent vaut aussi pour ce qu’il révèle du work in progress d’une enquête actuelle sur le silence rituel de la religion publique romaine (Ier siècle avant J.-C./ Ier siècle après J.-C., soit de la fin de la République aux premières décennies du Principat). Cela peut surprendre dans la mesure où l’on se dit qu’a priori, les sources doivent être rares sur la perception sonore dans l’Antiquité. Alain Corbin évoque bien le sujet en rappelant que le silence est essentiel dans la vie intérieure et l’accès au divin mais cela lui parait tellement « aller de soi » qu’il a choisi de ne pas s’y attarder. A croire qu’il prend acte de ce que le silence est la réalité la plus immédiatement compréhensible et qu’il s’y tient. Raison de plus pour y revenir et creuser davantage.  Les textes d’Ovide, Martial, Juvénal, Tacite, Horace, Sénèque, Pline le jeune, Plutarque, Cicéron, Caton, Festus sont convoqués pour cerner le silentium. En deux temps : d’abord les rites divinatoires (prise des auspices) qui exigent que l’on fasse silence absolu afin que le rite s’accomplisse dans la perfection ; puis les sacrifices au cours desquels le silence est bruyant en raison de la voix de celui qui appelle au silence et du musicien qui souffle dans le tibia.

Les perspectives ouvertes par le texte d’Alexandre Vincent enjoignent de ne pas s’en tenir aux émotions, de dépasser les affects afin de contextualiser les silences pour mieux les considérer comme des catégories sonores au sein d’un ample paysage de sons, de bruits et de réalités acoustiques différenciées. C’est ainsi, et uniquement ainsi, qu’ils peuvent être appréhendés dans toute leur richesse, donc dans leur complexité. On ne saurait mieux illustrer (et l’étude consacrée au silence religieux dans l’Antiquité romaine en est une démonstration) l’idée, qu’on ne lassera jamais de ressasser, selon laquelle on gagne toujours à approfondir toutes les nuances du réel. A ne jamais renoncer à expliquer. Le fait est que le recours à l’indicible et à l’ineffable paraît toujours un refuge bien pratique dès lors que l’historien se sent désarmé, qu’il perd ses moyens habituels de compréhension du monde ; ce fut longtemps le cas par exemple s’agissant de la solution finale et de la Shoah, ce qui n’a fort heureusement pas découragé un Raoul Hillberg de chercher le comment, laissant le soin à d’autres, notamment aux philosophes, le soin de trouver le pourquoi.

11 sept larry towellOn dira que l’étude d’Alexandre Vincent est trop spécifique pour en tirer une leçon globale sur la discipline. Or celle qui la suit dans ce numéro des Annales, consacrée par Nira Pancer (Université de Haïfa) aux paysages sonores du haut Moyen Âge dans une démarche méthodologique analogue, offre de semblables perspectives. Reprenant à nouveaux frais des questions posées par les historiens du paysage sonore sur la sensualité auditive, elle en fait émerger la notion de « silencement du monde » étant entendu que toutes les sources doivent être passées au tamis de leur contexte. Depuis Lucrèce, les poètes latins ne goûtent guère le vacarme ; souvent l’harmonie mélodique de la nature (oiseaux, feuillages, cigales …) y est opposée au capharnaüm sonore urbain. C’est vrai avec eux comme avec d’autres sources dès lors qu’elles sont mises en contexte : toute perception auditive est le fruit, ou le produit, d’une construction culturelle. Rien d’indicible là-dedans. Tout n’est pas qu’une question de perception. Certains même sont d’avis que le paysage sonore a plus partie liée avec la civilisation qu’avec la nature.

Contrairement à d’autres, Nira Pancer ne s’est pas contentée des sons de la ville : elle a également exploré ce qui était négligé hors les murailles au motif que la campagne médiévale aurait baigné dans le silence monastique ; elle s’est fixée pour but de comprendre comment une sonographie sacrée s’est substituée au silencement du monde : quand des sons ont disparu, est-ce parce qu’il n’y avait plus personne pour les entendre ? En fait, une bascule s’est produite lorsque les hagiographes, pratiquant une autre sorte de poésie évidemment plus chrétienne, ont promu une empreinte sonore qui a chassé celle, profane, sensuelle, charnelle qui l’a précédée; ils ont ainsi mis en place une toute autre « théologie des sens », véritable métaphore textuelle du silence monacal. Là où cela devient passionnant, c’est quand Nira Pancer montre comment leur rejet quasi unanime de la musique instrumentale, coupable de détourner du sacré et de provoquer des extases faciles, s’est faite au profit de la voix et du chant. Par exemple, cymbales et cymbalistes ont longtemps été écartés au motif qu’ils étaient jugés liés à des rituels hébraïques et des cérémonies dionysiaques. Tout à leur volonté de maitriser le paysage sonore dans leurs Histoires et leurs Vies, les théologiens chrétiens ont été jusqu’à faire taire ce qui, dans la nature profane, leur semblait encore trop païen sinon diabolique ou lié à l’art divinatoire : ululement des chouettes et hiboux etc Gigantesque pet du diable ou terrible tonnerre de Dieu, rien n’est laissé au hasard.

« Les hagiographes pensaient qu’un homme ne pouvait entendre les manifestations divines s’il ne s’était pas détaché de tous les bruits terrestres. Pour que l’oreille du cœur puisse percevoir la réalité divine, il fallait purifier l’oreille charnelle de tous les sons profanes. »

Après avoir constaté que finalement, des théologiens chrétiens du Moyen Âge aux théoriciens contemporains du paysage sonore tous appellent à une purification de l’ouïe d’une manière ou d’une autre, l’auteure se demande in fine si leur besoin métaphysique d’imposer le silence au profane, puis à l’ordinaire enfin à l’artificiel pour accéder à l’essentiel ne serait pas une nécessité de tous les temps. Quelque part dans son étude, elle cite à l’appui  cette réflexion du philosophe George Berkeley, si vertigineuse qu’elle entrainerait dans un débat infini :

« Lorsqu’un arbre s’abat dans la forêt sans personne pour l’entendre, sa chute produit-elle un son ? »

On peut aussi se demander si le bruit est une mauvaise chose en soi, mais n’allons pas trop loin non plus car j’entends déjà la voix de Fernand Raynaud évoquant dans un sktech demeuré fameux les profonds dilemmes qui agitaient la nuit son beau-frère philosophe, et concluant : « Pendant ce temps-là, moi, la nuit, je dooooors…. ».

(« Les silences du 11 septembre » photos Alex Webb, Susan Meiselas, Larry Towell)

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commentaires

978 Réponses pour Des silences dans le paysage sonore

Et Alii dit: à

Crainte et Tremblement (Frygt og Bæven) est un essai du philosophe danois publié le 16 octobre 1843 sous le pseudonyme de Johannes de Silentio (Jean le Silencieux).

rose dit: à

la parole est d’argent
et le silence est « dors »

une main ... dit: à

 » toute perception auditive est le fruit, ou le produit, d’une construction culturelle. Rien d’indicible là-dedans. Tout n’est pas qu’une question de perception. Certains même sont d’avis que le paysage sonore a plus partie liée avec la civilisation qu’avec la nature. »
4Exact.
Tout comme la notion de paysage est une construction par la culture – au double sens de ce terme – de l’ homme.
Passionnant sujet Passou.
Merci.

Jazzi dit: à

C’est gentil de me donner le sommaire détaillé d’un futur goût du silence, qu’il ne me reste plus qu’à proposer à qui vous savez, Passou !

renato dit: à

«Lorsqu’un arbre s’abat dans la forêt sans personne pour l’entendre, sa chute produit-elle un son ?»

Le son d’une seule main il vaut mieux l’entendre résonner sur la joue d’un autre.

Jazzi dit: à

Les photos d’illustration nous laissent sans voix…

Jazzi dit: à

Du silence dans le commentarium, c’est pas mal non plus !

l'ombelle des talus dit: à

@Le son d’une seule main il vaut mieux l’entendre résonner sur la joue d’un autre.

d’ici à ce qu’il tende l’autre joue

Et Alii dit: à

chut:je crois que la première occurence est dans un laaz de Rachi de Troyes

DHH dit: à

@et alii
vous êtes sans doute un familier du talmud et vous connaissez les mots du français vernaculaire qui émaillent les commentaires de Rachi ;mais si vous les désignez de leur nom savant Laaz je ne sais pas si les commentateurs moins familiers que de l’histoire et des écrits de ce vigneron comprendront de quoi il s’agit

l'ombelle des talus dit: à

@chut:

les « religieux laïcs » sont si diserts …

DHH dit: à

correction ;moins familiers que vous

Janssen J-J dit: à

@ personne pour l’entendre, (GB)

Comment ça, « personne » ? Et les autres arbres ? Et les animaux de la forêt ? Et les insectes,et les oiseaux ?… Toute cette faune et flore, cet humus, qui hurle de douleur et propage sa panique, ses alertes devant semblable chute ? Comme si la surdité humaine devant la plainte de l’arbre qui s’abat ou que l’on abat, s’accompagnait d’une incapacité à même imaginer la possibilité, la certitude d’autres perceptions auriculaires, visuelles, tactiles ou odoriférantes du vivant…
Quelle tristesse que ces sentences ressassées de ces philosophes poussiéreux !…

Et Alii dit: à

chère DHHle soin vous était laissé de proposer une explication;wikipedia offre aux curieux celle-ci
L’usage du terme est fréquent dans la glose judaïque, où les commentateurs médiévaux ont recours, à la suite de Rachi, au vocabulaire courant de la langue locale avec transcription en caractères hébraïques pour expliquer un terme hébraïque ou araméen épineux de la Bible ou du Talmud.
Les gloses les plus célèbres sont celles de Rachi, qui transcrit volontiers certains mots d’ancien français en caractères hébraïques. Ces laazim sont au nombre d’environ 1500 dans son commentaire de la Bible et d’environ 3500 dans son commentaire du Talmud3.
il y a un bonne bibliographie d’approche

DHH dit: à

et alii
il y a aussi un appendice sur le sujet des gloses , très bien documenté, dans le petit volume consacre à Rachi dans la petite collection historique du judaïsme publiée chez albin Michel

DHH dit: à

il y a aussi le silence cosmique qui glace d’effroi l’homme en lui faisant prendre conscience de sa petitesse de grain minuscule jeté dans le vaste univers…. ce que, comme chacun sait, Pascal a beaucoup mieux dit

Chtimimi dit: à

Si la parole était d’argent et le silence d’or, le cri du cœur serait alors un diamant multicolore.

Jacques Prévert

Passou dit: à

De rien, Jazzi. Superbe idée que « Le goût du silence » ! Précipitez-vous à bas bruit.

Bételgeuse dit: à

21h14 l’ombelle, oh, cela à mon avis bien que recommandé ne sert à rien de tendre l’autre joue, bien qu’inscrit dans les lignes evangeliques, les corrigés n’obtiennent jamais rien de plus que la satisfaction des tarés actuellement ,remplaçant les maîtres d’un systeme esclavagiste puis feodal puis de nouveau esclavagiste ou exploiteur jusqu’à la perversite actuelle , qui autrefois jouissaient de l’injustice infligée assortie des violences et châtiments qui y étaient associées en estimant que ces êtres châtiés , réprimés, soumis, opprimés étaient une sous espèce corvéable à soumettre dans le but de pérenniser un ordre social qui joignait l’utile à l’agréable, et autorisait les castes au pouvoir quelle qu’en soit la charge ou le pouvoir attenant à soulager des pulsions irrépressibles et comme inscrites si ce n’est dans le droit dans une nature profonde et soutenue par les institutions. Comment avec de telles ascendances ces maîtres auraient ils réussi à se défaire de ce qui apparaît aujourd’hui comme moyens au service d’une domination qu’un sang autorisait sans pour le moins déranger l’ordre d’une conscience fut elle intelligente . Il vit maintenant toute une communauté de malfaiteurs appartenant à toutes les strates de la société qui recourent encore cette violence avec ou sans modifîcation des formes, les pas vus pas pris et ceux qui peuplent nos prisons soit qu’ils sont carrément dangereux, nuisibles et fruits d’un système qui les multiplient comme les pains d’un miracle anti social . Les pas vus sont souvent equipés d’avocats et d’un système de défense qui très souvent les exhonerent de la poursuite judiciaires quand ils ne sont pas utiles à la consolidation du système existant ou couverts. Nait on monstre , criminel ou le devient on, et si oui, qu’elles seraient les causes de ces mutations quand les individus ne sont pas porteurs d’anomalies transmises héréditairement ou quand ils ne sont pas prédéterminés ou produits d’une éducation qu’elle soit considérée comme une panacée ou le pire qui puisse s’observer jusqu’à reproduction du modèle défaillant. Pas lu JJ Rouseau no Bourdieu. Ceci pour les zones dites civilisées et occidentales.

Bételgeuse dit: à

L’ombelle, je vous avoue que de vagues soupçons me feraient vous classer parmi les psychopathes qui sont si souvent habiles bien qu’extremement malhonnête d et pervers, les deux qualités s’alimentant l’une et l’autre dans un mouvement perpétuel.

Bételgeuse dit: à

A moins que je me trompe et que ma paranoïa dûment alimentée me fasse vous confondre avec Jean Langoncet. Dans ce cas , changez l’adresse des destinataires. Vous presente des excuses , dans ce cas.

Delaporte dit: à

Le culot monstrueux de Polanski, qui va mettre en scène l’affaire Dreyfus, et s’identifie au capitaine pour l’affaire de viol dont il EST l’auteur, à la différence de Dreyfus qui était innocent :

« Roman Polanski avait notamment souligné en 2013 être intéressé par l « ‘insistance avec laquelle les médias (et) l’Armée » n’avaient pas voulu « admettre leur erreur » dans cette affaire, y voyant un écho à sa propre histoire. » (HuffingtonPost)

Bételgeuse dit: à

Encore désolée, Jean Langoncet, pour la méprise. Clopine a sur ce point raison, les pseudos et interprétations alimentent une paranoïa qui brouille nos réceptions.

Bételgeuse dit: à

Delaporte, encore RP, combien de violeurs abuseurs batiffolent tout en étant repèrés sans qu’aucune menace ne vienne déranger leurs basses œuvres. Et qui vous dit que son traitement de l’affaire Dreyfus a pour origine ce point obscur de sa biographie .

Bételgeuse dit: à

Le bidouillage, le son mais pas la puissance. Il faut bien dire aussi que beaucoup de bruit pour rien est le titre d’une pièce de théâtre .

D. dit: à

J’ai passé le week-end en congrès et une conclusion s’est imposée, partagée par la majorité des participants :
le transport aérien ne peut absolument pas continuer tel qu’il est actuellement sinon nous allons droit dans le mur et le choc sera immense, tant sociologique qu’économique qu’écologique.
C’est dès à présent qu’il faut entamer la décroissance du secteur aérien et il faut pour cela des mesures fortes des gouvernements parce qu’il ne décroitra pas seul.
Les fait inéluctables sur lesquelles cette conclusion s’appuie sont l’augmentation croissante du cout du pétrole dans la décennie à venir et la saturation des aéroports déjà presque atteinte. Il n’existera aucune énergie de substitution avant de nombreuses décennies.
C’est dès maintenant qu’il faut accompagner et piloter la décroissance accélérée de ce secteur qui malheureusement au niveau mondial pèse des centaines de milliards de dollars.

Bételgeuse dit: à

22h53 remplacer le et fruits d’un système par ou fruits d’un système.

Bételgeuse dit: à

23h47 absolument d’accord mais sans qu il soit permis à ceux qui n utiliseront pas leur part comme pour le carbone de revendre à bon prix le quota accordé sinon cela ne changera rien et ouvrira à un nouveau traffic.

Bételgeuse dit: à

Oui tout est affaire de business comme l exploitation du ventre des femmes pauvres ( les nursery en Inde) pour permettre à des plus favorisés d obtenir un enfant. Une nouveau genre de exploitation géré par des sociétaires prospères.

Claudio Bahia dit: à

@ Comment ça, « personne » ? Et les autres arbres ? Et les animaux de la forêt ?
nous avons un nouveau Saint François d’Assise.
c’est mon saint préféré.
je pense aussi à Jacques Prévert: …et toutes les choses vivantes se mettent à hurler…

Claudio Bahia dit: à

l’ombelle des talus
c’est complètement fou; depuis toujours je voyais quelqu’un signer « l’ombrelle des talus » car l’ombrelle je connais; c’est aujourd’hui que je constate enfin que je lisais mal (mauvaise vue) et qu’il s’agit d’une ombelle, bien sûr inconnue de moi. alors je suis allé voir… intéressant

Bételgeuse dit: à

Claudio, si l’ombelle est un des nombreux avatars de lvdlb , ce qui à mon avis correspondrait à son goût pour le blanc avec en son centre une pointe de rouge, les jeux de mots dont elle se joue subtilement, elle tenterait
ainsi de brouiller ( in fine) de me semer en placardant un titre des Ramones qui eux fontnt partie du répertoire de Langoncet. Si ma première hypothèse était exacte cela confirmerait les méthodes et le fonctionnement de ce type de profil que je classe parmi les psychopathes et dans son cas doctorés. C’est une des fleurs qui pour moi symbolise le souvenir d’un des mes premiers émois amoureux, le jeune homme dont j’étais éprise m’avait livré ce nom botanique . Toujours regretté que nous nous fussions brouillés. https://books.openedition.org/pupo/2991?lang=en

une main ... dit: à

Le silence est un bruit, c’ est pourquoi on ne l’ entend pas. Mais il existe bel et bien.

Et Alii dit: à

exemple d’oxymore:silence assourdissant

Et Alii dit: à

Méthode Tomatis
Présentation
Applications thérapeutiques
En pratique
Formation
Livres, etc.
Sites d’intérêt
Références

Présentation
La méthode Tomatis est une méthode basée sur la « rééducation de l’écoute ». Elle s’adresse aux personnes (enfants et adultes) aux prises avec divers problèmes de voix, d’écoute, d’apprentissage ou de communication. Parmi les troubles les plus souvent traités, on retrouve le déficit de l’attention, les retards d’apprentissage, l’autisme, la dyslexie, les problèmes de motricité et de langage et les difficultés d’apprentissage de langues étrangères.

Alfred A. Tomatis, oto-rhino-laryngologiste, fut le premier à observer, vers 1950, que « nous chantons grâce à nos oreilles ». Il avait remarqué que les travailleurs d’usine ayant une perte d’audition avaient fréquemment aussi des distorsions dans la voix. Il avait aussi noté que les chanteurs d’opéra ayant des troubles de la voix pouvaient subséquemment souffrir d’une perte auditive. Ce phénomène fut ensuite vérifié scientifiquement et nommé « effet Tomatis ».

Et Alii dit: à

L’écoute est peut-être l’activité la plus discrète qui soit. C’est à peine une activité : une passivité, dit-on, une manière d’être affecté qui semble vouée à passer inaperçue. Quelqu’un qui écoute, ça ne s’entend pas.
J’ai pourtant rêvé d’une archéologie de nos écoutes musicales : une histoire de nos oreilles de mélomanes, de maniaques de mélodies en tout genre.
J’ai voulu savoir d’où elles me venaient, ces oreilles que je porte et que je prête. Quel était leur âge ? Que devais-je, que pouvais-je faire avec elles ? De qui les tenais-je, à qui en étais-je redevable ?
szendy histoire de nos oreilles

Et Alii dit: à

La musique, art du silence ? Peter Szendy approuve : « S’il y a de la musique, c’est parce qu’il y a du silence. Le silence ponctue la musique. » Ainsi, lors de nos moments d’écoute intense, ce désir de garder un petit fragment, sorte de trésor d’auditeur, est un moment de surdité. « Le moment que je retiens, c’est le moment où je ne me laisse plus porter par le flot musical. » Ecouter de la musique, c’est donc aussi le désir de se dire « il me restera ça » pour reprendre le titre de l’album de Grand Corps Malade.

Jazzi dit: à

L’écoute me semble être plutôt action, Et Alii ; la lecture aussi, qui établit un lien silencieux (mais rien n’interdit de lire à voix haute) entre l’auteur et le lecteur ! Rien de passif, car il ne s’agit pas de subir…

Pablo75 dit: à

Tiens, il suffit que je m’absente 4 jours du blog pour qu’il s’y déclenche une tempête (dans un verre d’eau). Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon ici ça sentirait le cadavre !!

Quelques réponses pour réactiver ce site et réveiller quelques masos qui n’auraient rien à dire si on ne les provoquait pas…

Pablo75 dit: à

christiane dit: 27 septembre 2018 à 10 h 38 min, etc

Et voilà que Mme J’aimetout nous fait une crise de paranoïa aigüe en deux temps, deux mouvements, un ca.ca nerveux provisoirement définitif.

Elle se déboutonne, notre Mme Tout-est-bon-dans-le-cochon-de-la-culture, elle se prend pour une héroïne qui cache un grand résistant face à la Gestapo:

« Hamlet, quel courage que le vôtre. Seront trainés dans la boue par Chaloux et Pablo tous ceux qui vous apprécient et oseront le dire. Leur arme c’est la terreur. Effrayer tout commentateur qui oserait soit être à vos côtés… »

Et elle nous joue la pamphlétaire: « mépris », « haine », bassesse », « ignominie », « infâme commentaire », « férocité », « boue », « vague de haine », « profondément écœurant », « ignominies »…

On n’est plus dans la République des livres, mais dans la Terreur de 1794 après la Première république… Passou est prié d’appeler son site: « La Terreur des livres ».

Elle écrit « Pauvre RDL ! » en pensant « Pauvre RDL sans moi! » et se prend pour Maurice Clavel à la TV:

« Je vous laisse les lâches (qui ne dit rien consent), les menteurs (clopine) et les vulgaires, les injurieux (déjà nommés). […] Mesdames et messieurs, Bonsoir. »

Peut-on être plus ridicule que cette pauvre christiane que Rose a si bien décrite:

« ce n’est pas l’intelligence, et surtout l’intelligence des textes, qui caractérise cette pauvre Christiane. Elle prend tout au premier degré, lit
avec autant de pertinence qu’une buse en met à voler en rond, et ne sait que répéter à l ‘infini son petit fonds de commerce – une sorte d’obséquiosité onctueuse et basse de plafond. »
(rose dit: 27 septembre 2018 à 23 h 32 min)

renato dit: à

Bon, j’aurais tout entendu ! Que cela plaise ou pas aux intellectualisant l’écoute est une activité.

Il y faudrait plutôt que les intellectualisant réfléchissent à la question de l’action volontaire. Si je voyage en train et je ferme les yeux le paysage disparait, mais le rythme du train reste présent — et ne pas oublier que le rythme du train a donné le rythme du blues.

Pablo75 dit: à

La co.nnerie du semestre:

« les cantates de Bach […] si on les fait écouter à un individu vivant au fin fond du monde, n’ayant jamais écouté ce genre de musique, il aura l’impression de la comprendre. » (hamlet)

Voilà la preuve que Mr. Wikipédio n’a jamais écouté une seule cantate de Bach.

« pablo connait tout Mozart, il peut nous refiler toutes les interprétations avec leur lien yt »

Si Mr. Wikipédio, n’étant pas sourd, était mélomane, il saurait qu’on ne peut pas « refiler toutes les interprétations avec leur lien yt » parce qu’il en manquent 90 %.

Et après cet abruti nous explique, avec son ton de faux-cu.l habituel, un ton de prédicateur prêchant l’abstinence sexuelle tout en ayant déjà rendez-vous avec sa pu.te préférée, que comprendre Bach ou Mozart est incompatible avec la castagne verbale, ignorant tous les grands pamphlétaires mélomanes, et surtout les deux les plus violents: Bloy (« Le Messie de Haendel au Trocadero.[…] Je suis revenu, ivre de magnificence. […] Seconde audition du Messie de Haendel au Trocadéro. Je reçois une des impressions les plus fortes que puisse me donner jamais l’art de la musique. Je ne sais pas s’il existe quelque chose d’aussi parfaitement beau que cet oratorio du maître allemand si mal connu jusqu’ici, mais je sais bien qu’aucun sermon, même d’un saint, ne pourrait m’émouvoir autant, me pénétrer à une telle profondeur. La tendresse infinie dans la majesté absolue, voilà ce que j’ai senti, ce que je sens encore à l’heure où j’écris. Pourrai-je l’oublier jamais ?  » – Bloy. Journal, 1910) et Rebatet, qui a écrit une très intéressante « Histoire de la musique » (malgré ses quelques commentaires antisémites).

Écoutons notre philosophe de la musique, qui essaie, malgré son analphabétisme et sa surdité, de contester en quelques lignes Schopenhauer, le penseur qui a le mieux parlé de la musique et qui adorait la boxe verbale contre les hamlets de son époque:

« Qu en a t il compris pour dire je vais en parler dans ce lieu que j ai transformé en ring de boxe ? Qu aurait-il fallu en comprendre pour
ne pas avoir la volonté de transformer le monde en ring de boxe. Pour ma part je suis certain que celui qui comprendrait cette mysique ne voudrait que le monde ressemble à un ring de boxe. cette musique nous indique un aitre chemin, un chemin qui nous éloigne des rings de boxe pour nous rapprocher de notre humanité ».

Et à la fin, élevant sa co.nerie au niveau du grandiose, il écrit : « j ‘en ai l’intime conviction, et même si je suis le seul à le penser je sais que j’ai raison. »

Mais quel crétin !!!!

Et Alii dit: à

Il est également possible que Selah soit une notation musicale signifiant un repos aux chanteurs et/ou instrumentistes qui ont interprété les psaumes. Si c’est vrai, alors à chaque fois que Selah apparaît dans un psaume, les musiciens s’arrêtaient, peut-être pour prendre une respiration ou pour chanter a cappella ou laisser les instruments jouer seuls.

Mais Suzanne Haik-Vantoura, musicologue, n’est pas du même avis. Elle suggère que Selah n’est pas une notation musicale. Elle pense que le mot fait partie des paroles et comme amen à la fin de la prière, Selah souligne l’importance ou la réalité de ce qui a été dit.

Beaucoup de gens aujourd’hui ne sont même pas familiers avec ce mot et pourtant, dans la Bible, le Seigneur utilise “Selah” deux fois plus souvent que “Amen” et trois fois plus souvent que “Alléluia”.

Les deux mots Amen et Alléluia sont aujourd’hui reconnus comme termes internationaux. Il est étrange que le mot Selah, qui est utilisé dans plus de 25% des psaumes, soit à peine connu par la plupart des gens.

Malheureusement, étant donné que l’étymologie et la signification précise du mot sont inconnues, nous ne pouvons que spéculer sur son utilité dans les textes sacrés.
https://www.anguillesousroche.com/mysteres/selah-mysterieux-biblique-de-signification-inconnue/

rose dit: à

pablo75 à 10h50

c’est pas moi ; ne salissez pas mon pseudo, vous prie-je

Bételgeuse dit: à

Cher Pablo, quand je ai découvert inopinément les cantates j’étais par la force des choses abstinence sexuelle depuis près de vingt ou plus années, je ne suis absolument pas cultivée en matière de musique et celles ci m’ont enlevée à ce monde bas et vil , je pense aussi que cela n’a rien à voir avec mes circonstances personnelles. Quant à qui vous faites votre ennemi je n’ai jamais compris qu’il prêchait pour l’abstinence, enivrez vous, le refrain est connu. N’en rajoutez pas, Hamlet est un personnage sympathique bien qu’on puisse ne pas toujours être d’accord avec chacun, pourquoi lui en voulez vous à ce point qui vous mène à vous rendre antipathique parce que tranchant, définitif et toujours à vouloir occuper une position qui se veut vérité unique et bstsillant pour ce qui ressemble à un bastion qui devrait rester selon vous indiscutable.

Pablo75 dit: à

Janssen J-J dit: 27 septembre 2018 à 20 h 08 min
(Surprenants chassés-croisés de jeudi)
sur sa propre chaîne, pauledel dit : 27 septembre 2018 à 12:10 « ce qui fascine dans ce qui se passe sur la RDL, c’est que les deux violents corbeaux s’adressent régulièrement à Assouline sur un ton obséquieux. On constate à la fois l’infamie, la volonté d’humilier les commentateurs et l’obséquiosité à l’égard du taulier.. et ça marche ».

Je croyais avoir vu le comble du ridicule avec christiane et hamlet, mais non, il y a encore bien pire: la jalousie féroce de J.P.Amette envers Pierre Assouline, déjà visible dans les exigences de star du pleurnichard Edel pour qu’il censure ici les commentaires négatifs le concernant. On sent dans l’esprit mégalomane d’Amette, une épaisse couche d’accusations et reproches contre Passou qu’il n’ose pas
exprimer. Alors il le fait indirectement, l’accusant d’aimer la supposée « obséquiosité » à son égard de Chaloux et moi, qui est un fantasme de notre écrivassier cacochyme, puisque tous les deux on ne se prive pas de reprocher à Passou les erreurs de ses textes (voire de certaines de ses phrases de ses interviews en espagnol).

Ce qui le rend fou de rage c’est aussi le fait de ne plus pouvoir venir sur ce blog sans se faire moucher. Ce nullard venait ici pour avoir un peu plus de « visibilité » que dans son blog, où il s’em.merde copieusement, le pauvre, avec sa petite cour de minables qui le considèrent un Maître du Roman Contemporain, alors qu’il n’est qu’un journaliste à l’esprit provincial, le genre de gratte-papier qui commence un
article sur un auteur en énumérant ses prix, ignorant encore à son âge que dans 99 % des cas, les prix littéraires ne prouvent que la nullité d’un écrivain (voir les listes des récompensés).

Amettedel, comme hamlet ou christiane (Janssen J-J, lui, il est tellement insignifiant qu’il n’a même pas droit à ce titre) est un faux-c.ul de première catégorie. Je me rappelle qu’au début de l’année, lors de la crise d’hystérie enragée de Blabla-Widerganger contre le dernier livre de Passou, « Retour à Séfarad », crise qui a duré plusieurs jours, notre Grand Romancier Universellement Connu Mais Déjà Définitivement Oublié, Edelamette, dit la Andouille de Saint-Malo, avait posté plein de messages et pas un seul pour dire à son grand ami Blabla qu’il
déco.nnait, alors que visiblement, étant en pleine crise de folie furieuse, il disait n’importe quoi. Et encore moins, évidement, il a défendu le livre de Passou, qu’il avait déjà lu.

Pablo75 dit: à

Dans ce blog il y a deux grands pourvoyeurs d’informations plus fausses encore que celles des indépendantistes catalans:

« le pacte de l’Alhambra qui ordonnait la conversion ou l expulsion des juifs, rédigé en 1460 a éte aboli en…. 1967 »
(hamlet, dit Mr. Wikipédio)

« @ hamlet : » le pacte de l’Alhambra qui ordonnait la conversion ou l expulsion des juifs, rédigé en 1460 a éte aboli en…. 1967
«Non Hamlet, cette info wikipédia est fausse. Elle se réfère à une décision d’un sous-secrétaire d’Etat du temps de Franco qui avait accordé une dérogation à un séfarade qui voulait la nationalité. Vérifiez : non pas « abrogar » mais « derogar ». Quand on fait exception à une loi, c’est bien qu’elle existe. Ce qu’un roi a fait, seul un roi peut le défaire.
(Passou dit: 27 septembre 2018 à 18 h 18 min)

« el gobierno del general Francisco Franco declaró el Edicto abolido y formalmente fue derogado el 21 de diciembre de 1969 »
(de nota)

Voilà la « fiabilité » en béton armé des arguments de notre historien analphabète. Encore un exploit pour son cv.

« Pas à Pontaud-Combault [sic] en tous cas, faut dire qu’il y a une école vétérinaire là-bas, pas loin de la rue JG, on a plus de savoir-vivre. »
(Janssen J-J)

Encore un cré.tin qui vient ici pour dire n’importe quoi, non seulement sans vérifier ce qu’il affirme, mais en le disant avec une assurance totale.

(Sache, pauvre nouille, qu’il n’y a que 4 écoles vétérinaires en France: Nantes, Toulouse, Lyon et Paris).

Bételgeuse dit: à

Pute, crétin, Mr wikipedio, connerie, faux cul , est ce que l ‘on peut penser que ce vocabulaire nous rapproche de votre humanité, Pablo?

Pablo75 dit: à

Erreur de manipulation: je remets ici les messages que j’ai envoyé dans l’ancien post.

@ Clopine

Il y a aucun doute que « Lucien Bergeret » est hamlet. Il sort de la boîte toujours au bon moment, toujours pour renforcer ce que hamlet dit – comme « x », autre de ses pseudos (même jeu entre les deux – quand on attaque « x » c’est hamlet qui répond).

Ce type est une ordure moral… multiple

Pablo75 dit: à

Delaporte dit: 29 septembre 2018 à 15 h 40 min

Comment peut-on comparer le Christ à une terroriste athée et antisémite qui prônait la haine et « la guérilla dans les métropoles », c’est à dire l’assassinat pur et dur, pour arriver à « la reconstruction internationale de la politique prolétarienne » !!

C’est de plus en plus clair: Delaporte est un troll du Diable.

Bételgeuse dit: à

Allez Pablo, vous êtes le plus fort, si cela pouvait vous calmer. De nota a précisé la réponse d’Hamlet et alors pas de quoi en faire tout un fromage, b d m. A la fin, vous êtes chiant.

Pablo75 dit: à

une main … dit: 1 octobre 2018 à 10 h 05 min

« Le silence est un bruit, c’ est pourquoi on ne l’ entend pas. Mais il existe bel et bien. »

C’était la co.nnerie de la journée.

Retournons la phrase pour rendre visible toute sa bêtise: « Le bruit est un silence, c’est pourquoi on l’entend. Mais il n’existe pas. »

« une main … », ex « une main diligente, patiente et avisée » m’a l’air d’être Pat V (il a oublié de changer de tics en changeant de pseudo).

Bételgeuse dit: à

A pinailler tout en vous refugiantvdanscdes chapelles pour des querelles alors que le monde est à feu, à sang et soumis à des catastrophes . Vous restez là à faire de vos guerres de salon un apex. C’est ridicule, dérisoire, désopilant.

Pablo75 dit: à

@ D.

« la saturation des aéroports déjà presque atteinte. »

À Roissy, que j’ai fréquenté ces derniers jours, aux heures de pointe il décolle ou atterrit un avion tous les 30 secondes.

Une autre statistique surprenante: la moitié des presque 70 millions de passagers par an de Roissy sont en transit.

Bételgeuse dit: à

Et s’il était chef d’orchestre et pas des moindres sur penseriez vous de son silence?

Pablo75 dit: à

Cela dit, occupons-nous maintenant de l’essentiel:

« Quelque part dans son étude, elle cite à l’appui cette réflexion du philosophe George Berkeley, si vertigineuse qu’elle entrainerait dans
un débat infini : « Lorsqu’un arbre s’abat dans la forêt sans personne pour l’entendre, sa chute produit-elle un son ? ». »
(Passou)

Cela rappelle la si belle phrase de je ne sais plus qui: « Un arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui pousse. »

« Après avoir constaté que finalement, des théologiens chrétiens du Moyen Âge aux théoriciens contemporains du paysage sonore tous appellent à une purification de l’ouïe d’une manière ou d’une autre, l’auteure se demande… »
(Passou)

Et elle a oublié les mystiques? Ce sont eux qui ont parlé le mieux du silence – les mystiques de toutes les religions, qui disent tous les mèmes choses parce qu’ils décrivent tous les mêmes expériences.

« Si tu veux entendre en toi la parole éternelle, mystérieuse et confidentielle qui t’est dite dans un chuchotement secret, au plus intime de ton âme, il faut qu’en toi et autour de toi tout orage soit apaisé. »
(Jean Tauler)

« Le silence est la demeure de la parole rayonnante, dans laquelle brûle l’amour. »
(Dialogues avec l’Ange)

Pablo75 dit: à

Et à propos des mystiques et du silence, le sublime duo « Jesu, der du meine Seele » de la Cantata BWV 78 de Bach, qui lisait les mystiques et qui ne nous a pas laissé, hélas, son opinion sur le silence:

Par Teresa Stich-Randall & Dagmar Hermann & Felix Prohaska

https://www.youtube.com/watch?v=ujLK28Nlmq4

Pablo75 dit: à

Les grands poètes connaissent bien le silence aussi:

« La tarde se contempla desde el monte
fijada con aplomo en el silencio.
Silencio tan continuo da al espacio
tersura de materia, calma limpia,
profundidad de cauce donde fluye,
visible río largo, la corriente
del tiempo… »

(Jorge Guillén)

Pablo75 dit: à

rose dit: 1 octobre 2018 à 12 h 05 min
pablo75 à 10h50
c’est pas moi ; ne salissez pas mon pseudo, vous prie-je

rose dit: 27 septembre 2018 à 23 h 32 min

Mais voilà : le problème est qu’il fallait être un minimum futé pour sourire. Or, ce n’est pas l’intelligence, et surtout l’intelligence des textes, qui caractérise cette pauvre Christiane. Elle prend tout au premier degré, lit avec autant de pertinence qu’une buse en met à voler en rond, et ne sait que répéter à l ‘infini son petit fonds de commerce – une sorte d’obséquiosité onctueuse et basse de plafond.

Et Alii dit: à

à cette interpellation de Karl Marx : «Le révolutionnaire doit être capable d’entendre pousser l’herbe»,

Pablo75 dit: à

@ Bételgeuse

Bételgeuse dit: 25 septembre 2018 à 9 h 03 min

Pablo, occupez vous de vos fesses. Merci.

Applique-toi le conseil… (ne perds pas ton temps à écrire sur moi, je ne te lis pas).

une main ... dit: à

Retournons la phrase…

Pablo se croit à la mi-carême, la face de la crêpe en eut été changée.
L’ envers n’ est jamais l’ endroit, c’ est comme le t’ es beau de la Beauté.
Comment lui faire comprendre?

DHH dit: à

Etonnant que personne n’ait encore mis sur le fil la célèbre phrase de Pascal à laquelle je faisais allusion, en la paraphrasant laborieusement dans mon post:
« le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie »

Bételgeuse dit: à

Pablo, je crois , comme le verbe l’indique je n’en suis pas certaine, qu’une main diligente c’est Christiane qui a réagit en donnant ce lien sur Diderot et son impossibilité à écrire ce qui fait la beauté des natures mortes de Chardin en réponse à ce que je pensais de ces longs commentaires couvrant oueuvrent lues et vues. Il est rarement question de musique dans ses interventions. Je ne suis pas d’accord avec votre opinion bien que les commentaires de Christiane peuvent paraître envahissants et complaisants aux yeux de certains cependant elle ouvre sur des réponses qui peuvent être contradictoires sans pour cela chercher à en faire un  » bas de plafond » qui nous rapproche une fois de plus de votre sens de l’humanité.

Pablo75 dit: à

@ une main …

Ta phrase est aussi idiote à l’endroit qu’à l’envers.

Bételgeuse dit: à

Pablo, vrai, vous devez souffrir de frustration sexuelle ce qui a pour effet de vous rendre méprisant et agressif. Ce qui n’est pas mon cas. Les fesses sont encore désirables etcsibje n’en usent pas c’est faute de trouver un accord qui me conviendrait. Et je ne suis pas vénale pour entretenir un commerce qui ne proviendrait pas d’un sentiment, d’un désir partagés.

Bételgeuse dit: à

Mes fesses, et si je n’en use pas.

Bételgeuse dit: à

Excité de service et borné, ce Pablo, qu’est ce qu’il fiche ici si c’est pour refuser tout ce qui ne se conforme pas à ses idées arrêtées.( sic).

Pablo75 dit: à

« …à cette interpellation de Karl Marx : «Le révolutionnaire doit être capable d’entendre pousser l’herbe»… »
(Et Alii)

Donc, selon Marx on ne peut pas être sourd et révolutionnaire…

D. dit: à

Pablo75 dit: 1 octobre 2018 à 12 h 56 min

@ D.

« la saturation des aéroports déjà presque atteinte. »

À Roissy, que j’ai fréquenté ces derniers jours, aux heures de pointe il décolle ou atterrit un avion tous les 30 secondes.

Une autre statistique surprenante: la moitié des presque 70 millions de passagers par an de Roissy sont en transit.

Merci bien, Pablo. Mais je n’ai pas besoin de statistiques, je maîtrise parfaitement ce dossier.

Jazzi dit: à

Tu déformes la réalité, Pablo, ou confonds clopine et rose ?

Clopine dit: 27 septembre 2018 à 23 h 05 min
(…)
Mais voilà : le problème est qu’il fallait être un minimum futé pour sourire. Or, ce n’est pas l’intelligence, et surtout l’intelligence des textes, qui caractérise cette pauvre Christiane. Elle prend tout au premier degré, lit avec autant de pertinence qu’une buse en met à voler en rond, et ne sait que répéter à l ‘infini son petit fonds de commerce – une sorte d’obséquiosité onctueuse et basse de plafond.

D. dit: à

Un minimum futé comme jazzi la fouine

Pablo75 dit: à

@ Rose

C’était donc une citation le début de ton post (rose dit: 27 septembre 2018 à 23 h 32 min)? Excuse-moi alors, mais comme les mots n’avaient pas de guillemets j’ai cru que c’était toi qui répondait à quelqu’un.

Si cela fait quelques siècles que les guillemets ont été inventés, c’était pour éviter des malentendus comme celui-là.

Jazzi dit: à

« le silence est une chose relativement maniable pour le philosophe qui le considère sous forme de concept. De Heidegger qui pensait que le silence était le seul mode authentique de la parole… à Kierkegaard qui écrivait – le plus sûr des mutismes n’est pas de se taire mais de parler. Il en va autrement dès qu’il s’agit de la littérature… […] Comment faire entendre, dans toutes les acceptations du mot, qu’un homme est plus un homme par les choses qu’il tait que par les choses qu’il dit ? »
ALBERT CAMUS in « Le Mythe de Sysiphe »

Delaporte dit: à

« C’est de plus en plus clair: Delaporte est un troll du Diable. »

Pablito m’accuse d’être le Diable ; cela m’évoque un passage de Marc, chapitre 3, 22-30 :
__________________________________

Les scribes, qui étaient descendus de Jérusalem, disaient : « Il est possédé par Béelzéboul ; c’est par le chef des démons qu’il expulse les démons. »
Les appelant près de lui, Jésus disait en parabole : « Comment Satan peut-il expulser Satan ?
Si un royaume se divise, ce royaume ne peut pas tenir.
Si une famille se divise, cette famille ne pourra pas tenir.
Si Satan s’est dressé contre lui-même, s’il s’est divisé, il ne peut pas tenir ; c’en est fini de lui.
Mais personne ne peut entrer dans la maison d’un homme fort et piller ses biens, s’il ne l’a d’abord ligoté. Alors seulement il pillera sa maison.
Amen, je vous le dis : Dieu pardonnera tout aux enfants des hommes, tous les péchés et tous les blasphèmes qu’ils auront faits.
Mais si quelqu’un blasphème contre l’Esprit Saint, il n’obtiendra jamais le pardon. Il est coupable d’un péché pour toujours. »
Jésus parla ainsi parce qu’ils avaient dit : « Il est possédé par un esprit impur. »

Jazzi dit: à

« L’énigme se révèle à qui sait réserver le silence au sein de la parole »
ESCHYLE

Pablo75 dit: à

@ Delaporte

Je ne t’accuse pas « d’être le Diable » mais d’être « un troll du Diable ».

Tu es si mégalo que tu confonds un petit employé subalterne avec le Grand Patron?

Delaporte dit: à

Je ne t’accuse pas « d’être le Diable » mais d’être « un troll du Diable ».

Crétin sirupeux, lis au moins l’extrait de l’évangile que j’ai proposé, et qui coïncide avec tes affabulations ineptes, pauvre cloche !

Janssen J-J dit: à

@DHH « le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie » Bien sur, DHH nous avions tous rectifié, mais pour ma part, pas poussé + loin cette pascalinade angoisée alors que j’ai toujours éprouvé de la joie. Pascal effraué avait été conduit à émettre un pari. Pas nous. Lui ne pouvait pas entendre le bruit de la conflagration originaire de BB, vu qu’il était dépourvu des outils conghitifs et matériels adéquats. Aujourd’hui on sait entendre le bruit de fond et ses manifestations constantes dans notre univers depuis le BB… Non, l’effrayant, pour moi, c’est l’impossibilité de concevoir des plurivers. La ‘messe en si’ me sidère, elle me tait, provoquant du silence ébahi et ravi.

@C B : les oiseaux bruissent (le savent-ils ?) sans trop se soucier de st françois ou d’olivier messiaen https://www.youtube.com/watch?v=iBt-_dvS3Z4 Yvonne Loriot avait une belle voix, que ne réussit jamais à égaler son homonyme ailé à beau plumage. Et pour cause…

Jazzi dit: à

« combien désiré combien doux
ce murmure trop ténu
auquel je donne voix
en me creusant
dans mon silence »

Charles Juilet in « Ce pays du silence »

Chtimimi dit: à

S’imposer silence par dévotion au langage, c’est aussi comme sous-entendre que les mots sont facteurs de dévoiement.

Louis-René des Forêts – Ostinato

closer dit: à

« Teresa Stich-Randall & Dagmar Hermann & Felix Prohaska »

Sublime interprétation Pablo…c’était avant que la vérole baroqueuse ne pourrisse toute la musique antérieure au 19ième (et même quelquefois postérieure…). Je ne vais pas me salir les oreilles avec le Harnoncourt que tu as mis en lien.

(soyons justes, William Christie, ce n’est pas mal, voire beau…)

Jazzi dit: à

Juliet, pardon !

PerleDeCulture dit: à

« des outils conghitifs » « Pascal effraué » « des plurivers » « Charles Juilet »

closer dit: à

Aznavour est retourné dans l’Arménie céleste…Paix à son âme.

Bételgeuse dit: à

D, que ne maîtriserez vous pas ?

Delaporte dit: à

A propos de « silence », il y a le beau roman de Vercors « Le silence de la mer », sur la résistance. Le silence est puissant, il résiste mieux que la parole. Aussi bien, rares sont ceux qui savent utiliser vraiment la parole. Jésus est quelquefois silencieux (comme devant Pilate), mais quand il parle, sa parole est plus forte que le silence des hommes. C’est pourquoi, me semble-t-il, toute prière devrait se faire en silence, afin d’être mieux entendue de Dieu. Ce n’est pas facile.

Pablo75 dit: à

@ Delaporte

Quand on est capable de comparer le Christ avec une terroriste athée et antisémite qui prônait la haine et « la guérilla dans les métropoles », c’est à
dire l’assassinat pur et dur, c’est qu’on est un professionnel du blasphème.

Toi tu es un type très louche, de plus en plus au four et à mesure que tu envoies des messages, ça sent la secte ésotérique du type satanique. Ton passetemps favori doit être de faire des messes noires…

Janssen J-J dit: à

14.07, t’en a oublié, mon PDC,… la fout mal,

Bien sur
angoisée
Yvonne Loriot
Yvette Horner
Perle de culture et Aubade d’oiseaux

Janssen J-J dit: à

ô Charles !… Non, passa, passoul !
ça devait bien t’arriver… bien sûr, mais quand même, pas si tôt, hein !…

Pablo75 dit: à

@ D.

Tu en penses quoi des blasphèmes de Delaporte? Tu ne sens pas derrière ses mots la secte satanique, toi qui connaît l’ésotérisme?

Delaporte dit: à

« Tu en penses quoi des blasphèmes de Delaporte? »

Pablito, ce ne sont pas des « blasphèmes », évidemment, c’est au contraire un cri d’amour puissant vers l’humanité souffrante. Mais vous, Pablito, âme égoïste et bornée, vous ne savez pas ce qu’est l’amour. Seule la haine vous fait tenir debout, car vous êtes un être amer, un raté de la vie, une raclure de bidet. Vous étiez bien destiné à recontrer Juan Rulfo dans un Beaubourg désert, et l’écrivain ivre mort ne vous a même pas adressé un mot ! Pauvre Pablito ! Couillon !

Et Alii dit: à

michaux:jours de silence

Et Alii dit: à

Henri Michaux se réservait chaque semaine un jour de silence consacré à la méditation. De ces jours sont nés les neuf poèmes de ce recueil. Il y explore des voies aussi récurentes dans son oeuvre graphique : expérience du vide, du silence, de l’ailleurs ; rupture avec la parole pour atteindre une autre parole.

D. dit: à

Calmons-nous et rendons hommage au grand Charles Aznavour qui vient de nous quitter.

Janssen J-J dit: à

@14.28 Nous vous apprécions tous, Jz, mais perso, je suis toujours (ou du moins souvent) un peu gêné par vos remarques. Car en toutes circonstances, y compris les plus funestes, vous ne perdez jamais le nord de votre tropisme pro gay life. Cette chanson de CA sur ma solitude chez maman, est-elle encore vraiment d’actu, même si elle put paraître courageuse en son temps ? Vous oubliez qu’elle en a pourtant exaspéré plus d’une.e qui ne supportaient pas de tels clichés, y compris de la part d’un hétéro !

Et Alii dit: à

Paroles de la chanson Tais-toi Marseille par Barbara

Janssen J-J dit: à

silence, on tourne !

DHH dit: à

@Et alii
Pour vous et peut-être d’autres , un constat intéressant
Vous signalez une occurrence du mot français silence dans les gloses de Rachi. Si c’est exact, cela signifie que cet emprunt au latin « silentium « -récent puisqu’il n’a subi aucune des altérations phonétiques qui ont marqué au cours des siècles antérieurs le passage du latin parlé au français parlé – était déjà installé dans la langue parlée au temps de Rachi soit au 11 -ème siècle
Or le dictionnaire étymologique de la langue française de Bloch Warburg note que le vocable est attesté dans la langue française pour la première fois au 12eme ; ce qui signifie que les historiens de la langue n’ont pu trouver le mot dans un aucun des documents antérieurs écrits en français auxquels auraient eu accès, documents nécessairement rares en ces siècles où l’essentiel de ce qui s’écrivait s’écrivait en latin et où la langue parlée laissait encore peu de traces écrites
Ainsi ,en en se référant uniquement à ces rares textes écrits entièrement en langue française et écriture latine, les historiens n’ont pas pu repérer la présence du mot « silence » dans la langue avant le 12 -ème siècle, et ont de ce fait raté leur datation de l’apparition du terme, alors qu’il était déjà présent dans le français parlé du 11 -ème siècle ,ce qu’ils auraient découvert ,s’ils s’étaient aussi réfèré aux bribes de langue française écrites en caractères Rachi éparses dans les marges du talmud

Et Alii dit: à

JE CRAINS VOTRE SILENCE, ET NON PAS VOS INJURES.RACINE

Bételgeuse dit: à

13h55 on note chez vous une attache à la hiérarchie.

Et Alii dit: à

non,DHH,pas au mot silence vousetes trop pressée de me faire un reproche!patience!

Jazzi dit: à

« michaux:jours de silence »

Maurice Blanchot aussi s’y entendait dans l’écriture du silence, Et Alii !

Jacques R. dit: à

Un grand silence dans le paysage sonore : mort d’Aznavour

raymond dit: à

La demande formidable d’un député:
Le député Legendre a demandé à la convention lors de la révolution d’interdire la musique instrumentale, celle-ci étant sans paroles; on ne savait pas ce qu’elle voulait dire… (voir Claude Manceron). Je songe que l’assemblée a alors dû émettre un silence qui a reposé tout le monde durant cette période bruyante située entre la royauté et l’empire.

Janssen J-J dit: à

@14.32 (D.) Le grand Charles n’attend plus,

Jacques R. dit: à

Très déçu moi-même par le livre de Corbin, très en-dessous de ses productions antérieures.

DHH dit: à

Pour dire le silence Yourcenar écrit: » on entendrait les larmes couler »

Jacques R. dit: à

C’est Léo Ferré, je crois, qui évoque la musique du silence, dans une chanson célèbre ( » C’est extra », si je me souviens bien).

raymond dit: à

Léo Ferré (c’est extra):

Et dans la musique du silence
Une fille qui tangue et vient mourir

Jazzi dit: à

Tu t’agaces pour pas grand chose, JJJ. On peut voir aussi dans mon hommage à Charles Aznavour, un remerciement posthume pour avoir rendu, dans les années 70, un peu de dignité aux travellos de la Cage aux folles ou de la Grande Zoa de Régine. Film et chanson non dénués de tendresse aussi…
Ce n’est pas ma chanson préféré du grand petit arménien, mais il y en a tellement !

Delaporte dit: à

« Le silence est un ami qui ne trahit jamais. » Confucius

La Chine est d’actualité, et Confucius, précurseur de Mao Zedong, aussi. La Révolution culturelle, qui fascine tant Alain Badiou. Le rapprochement avec le Vatican, qui opte pour le courant majoritaire et étatique, afin d’intelligemment préserver des chances pour l’avenir. Décidément, la Chine est plus que jamais la pierre angulaire de notre modernité. Relisons le Petit livre rouge !

Delaporte dit: à

J’ai moi-même lu le Petit livre rouge, mais pas dans une édition imprimée en Chine populaire, l’exemplaire célébrrissime avec la couverture rouge en plastique. Quelqu’un que je voyais souvent à une époque, et qui était dans la plus sombre misère pécuniaire, en possédait un, je lui ai proposé de me le vendre, mais il a finalement préféré le conserver. Cela lui rappelait agréablement sa jeunesse maoïste. On a les nostalgies qu’on peut, et qui ne sont pas à vendre.

Jacques R. dit: à

Un historien peut-il écrire une histoire du silence qui soit autre chose qu’un recensement de ce que d’autres en ont dit ou en ont fait ? C’est, en somme, ce qu’a fait Alain Corbin. Une fois cette tâche accomplie, le reste est silence, pour l’historien. Aux poètes, la parole sur le silence.

Lavande dit: à

Oui Delaporte, « Le silence de la mer  » est un livre qui m’avait beaucoup impressionnée quand je l’avais lu, adolescente. Quand on pense que c’est le premier livre édité par les Editions de Minuit (dont Vercors était un des deux fondateurs).
…le silence obstiné de ses hôtes, un silence au creux duquel apparaît toute « la vie sous-marine des sentiments cachés, des désirs et des
pensées qui luttent ».

Janssen J-J dit: à

@Tu t’agaces pour pas grand chose, JJJ.

Meuh non, c’est parc’que je vous aime bien, vous le savez, et parce que vous vieillissez bien, d’ailleurs. Mais quel est donc le secret de vote longévité et de la stabilité de votre humeur ? Je ne crois cependant pas que vous réussirez à faire voeu de silence, même à bas bruit. Vous êtes tel le silencieux incoercible, le bavard de chez LR des Forêts, tel.

@ Comment peut-on confondre, r. et cl. ? Elégance de la réaction mesurée de r. et silence éloquent de CT. Pour le moment.

@ Pourquoi recopier 5 interventions guerrières déjà inscrites sur le fil précédent ? Peur de pas être entendu après 4 j. de silence tonitruant ? Que chaque masochiste soit en manque de la distribution des bons points de l’orphelin ? Avhons eu chaud.

@’vous n’aurez pa ma haine’ ne signifie pas qu’on veuille vous pardonner, mais tout simplement qu’on ne vous ressemblera jamais.

Petit Rappel dit: à

Heureuse université de Poitiers qui avait déjà Thierry Favier!
Je ne vois pas bien en quoi l’articulation de la musique et du silence pose problème à certains, l’un rendant possible l’autre. On imagine pas une vocalise infinie, ou un instrument jouant sans pause, ce serait du « On achève bien les Musiciens »…

Janssen J-J dit: à

@ On a les nostalgies qu’on peut, et qui ne sont pas à vendre

et moi, j’ai surtout la nostalgie de la beauté de la révolution khomeiniste, puisque, en soi, toutes les révolutions sont belles pour notre cher Ulricke Delaporte. Et l’onde de choc provoquée celle-ci est l’horizon indépassable de notre temps. Dieu-Al.lah akb.ar merci !

Et Alii dit: à

mystique hindoue

Le silence ne consiste pas à fermer la bouche; c’est un éternel discours. L’état qui transcende la parole et la pensée, c’est mauna.

Lavande dit: à

A la fin d’un spectacle et surtout d’un concert, j’aime beaucoup un petit moment de silence avant les applaudissements, comme si on se donnait le luxe de rester encore sous le charme avant de se reconnecter à la vie réelle.

renato dit: à

À propos du silence, pour les italophones.

Stupro

Quando i polsi si afflosciano
sotto la stretta
e le scosse del torace
si acquietano

quando la gola si sgonfia
le cosce smettono di fare resistenza
ginocchia cadono di lato
piedi non scalciano più

quando il mondo continua a girare
mentre esala l’ultima implorazione

il gelo prende il sopravvento

soltanto abbandono
della propria umanità
felice scontrosa viva

abbandono
per volare lontano

mentre la carne viene martellata
consumata
digerita

Barbara Herzog, travaille au Sportello Protezioni Internazionali où elle soutient aux réfugiés et au demandeurs d’asile ; collabore au projet contre les mutilations génitales féminine.

https://pin.it/zzpbwadbybbkmx

Janssen J-J dit: à

Retour aux moutons du bercail :

@ « il déconstruit son livre mieux que je n’aurais pu espérer le faire, en pointant les manques, les défauts, les lacunes. Une vraie lecture critique »…

Parfois -rare-, on est ému par ce type d’aveu qui échapperait à la plume du tôlier de la rdl. Hélas, passé ce bref moment de stupeur, on se dit que, décidément, non. De quoi ? Passoul, en contraste, ne se livrerait depuis toujours qu’à de fausses lectures critiques sur son blog ? Est-ce ce qu’il nous faudrait entendre ? Que nenniche. Qui pourrait croie à cette légère autocritique ? Tout cela n’est que trop réfléchi et calculé pour être véritablement honnête. Franchemet : s’appuyer sur l’autorité de l’obscur A. Vincent pour dégommer Corbin, affirmer qu’on trouverait chez cet aimale paltoquet des arguments définitifs pour nous convaincre de la daube de ce dernier bouquin (après avoir pris soint d’encenser les autres)… voilà qui me sqemble plutôt, comment disent-ils/elles ?… bas de plafond, non ? Ne s’agirait-il pas, en défiitive, d’humilier Corbin dont chacun voit bien poindre la sénéscence relative, sur les plateaux de télévision notamment, à un moment où il n’aurait plus rien à prouver ?
Or, faire passer ce djeune et obscur poitevin V.A., pour un « maître » à passou et s’en prendre à Corbin, c’est vraient rendre un tès mauvais service au premier. Risque de jamais s’en remettre.
http://sha.univ-poitiers.fr/dpt-histoire/les-enseignants-chercheurs/les-enseignants-chercheurs-titulaires/vincent-alexandre/
Franchement, moi j’aime pas trop ça. Non, vraiment pas. Désolé.

renato dit: à

OUPS ! où elle soutient LES réfugiés et LES demandeurs d’asile

PerleDeCulture dit: à

tôlier / croie / aimale / soint / sqembl / défiitive / sénéscence / vraient

PerleDeCulture dit: à

un tès mauvais

Janssen J-J dit: à

15.34 @ Un historien peut-il écrire une histoire du silence qui soit autre chose qu’un recensement de ce que d’autres en ont dit ou en ont fait ?

Eh bien oui, Monseiur J. R. !… Et Corbin en savait quelque chose puisqu’il avait lui-même réussi l’exploit de donner vie à Pinagot, à partir de rien, càd du silence qui entoura la vie de cet homme de peu, resté sans traces de lui-même.
Alors… qu’on vienne pas maintenant lui tomber à bras raccourcis, c un peu fort de kafé quand même ! Un peu de compassion ou d’empathie avec les scientifiques qui déclinent, que diab’ !

Janssen J-J dit: à

@16.25, voui, je suis aussi guetté, et j’ai hélas une atelle sur un doigt qui me joue pas mal de tours en ce moment. En outre, la fl. de me relire. Merci de me faire remarquer tout cela, c’est bien précieux de vous avoir.
Dommage que vous n’ayez rien d’autre à f. de votre journée, c un brin pitoyab’. Mais sachez que j’irai jusqu’au bout, sans correcteur artificiel, ne vous en déplaise. Vous allez avoir de + en + de boulot, hélas.

Et Alii dit: à

. Pour le dire autrement, le silence dans notre société est transgressif. La psychologisation des analyses en est un symptôme : il existe une telle détresse sociale aujourd’hui, que les patients préfèrent les réponses, le soutien, l’aide du coach au silence de l’analyste.
idem

Et Alii dit: à

. Il existe des silences meurtriers, parce que certains mots n’ont pas été prononcés.
idem

poussière dit: à

ne communiquer qu’en copié-collé est-ce une sorte de silence ?

Janssen J-J dit: à

@ les patients préfèrent les réponses, le soutien, l’aide du coach au silence de l’analyste

Il y en aurait à dire au sujet du silence de cet ageanu, euh… de l’analyste derrière son divan ou son bureau, en face du patient analysant… Même Mme Dufourmantelle n’était pas toujours une agnèle en son genre.
Mais ça nous emmenerait trop loin dans le scabreux, epicépalesujé.

D. dit: à

Taisez-vous un boeuf, Betenice ?

PerleDeCulture dit: à

ageanu / agnèle = fautes d’atèle

poussière dit: à

laissons les mouches voler librement

la main ou Pat V le tic dont fait mention Pablo75 je crois bien que c’est celui de mettre un espace après l’apostrophe mais peut-être le savez-vous déjà

Janssen J-J dit: à

@ ne communiquer qu’en copié-collé est-ce une sorte de silence ?

et tu veux faire quoi de plus, téléphoner à tous les internautes de la rdl tes messages et tes remarques peut-être ? les skypiser ?
T’es obligée de passer par l’écrit veuille ou non, de copier-coller ou de plagier, si tu veux te faire entendre, c’est toujours de l’écriture. On peut sentir du bruit et de la fureur dans toute écriture. Le silence, c’est quand quelqu’un se barre définitivement d’icite. Et là, ça a du sens, et ça fait franchement du bien ! pour tout le monde… et surtout pour la personne concernée, j’espère pour elle. L’emm.; c’est quand elle rapplique au bout de 4 jours par ex, vu que l’en peut pu d’hurler dans son aéroport intestinal 🙂

poussière dit: à

googlez comme vous voulez effarouchés !

renato dit: à

Et lorsqu’il est question de silence voilà l’escroc qui se pointe avec son « analyse ».

Pablo75 dit: à

Janssen J-J dit: 1 octobre 2018 à 16 h 13 min

Quel niveau mental il faut pour écrire que Passou critique « Histoire du silence » pour humilier Corbin !! Il y a 2 ans et demi j’avais vu Corbin dans La Grande Librairie et, très intéressé par le livre, j’étais allé sur le net après le programme pour savoir un peu plus sur lui. Et j’avais lu plusieurs critiques du même type que celle de Passou, qui m’avaient enlevé toute envie de le chercher.

Tous des humiliateurs de Corbin, donc. Et mentant sur la nature du livre, y compris les nombreux clients d’Amazon déçus par lui.

Alain Corbin à La Grande Librairie
https://www.youtube.com/watch?v=S1xF22VbzC4

Pablo75 dit: à

« Le silence, c’est quand quelqu’un se barre définitivement d’icite. Et là, ça a du sens, et ça fait franchement du bien ! pour tout le monde… et surtout pour la personne concernée, j’espère pour elle. L’emm.; c’est quand elle rapplique au bout de 4 jours par ex, vu que l’en peut pu d’hurler dans son aéroport intestinal  »
(Janssen J-J )

Je comprends maintenant pourquoi Chaloux t’appelle « Gigi la visqueuse » (avant, ne te lisant pas, je ne faisais que le supposer).

Comme j’imagine que dans le texte que je cite tu parles de moi (tes textes sont visqueux, gluants, équivoques, ambigus, incertains, louches, élusifs) je te défie de trouver le texte où j’ai dit que je partais d’ici définitivement. Étant occupé ailleurs, j’ai posté mon dernier message ici jeudi (Pablo75 dit: 27 septembre 2018 à 17 h 10 min) avant, donc, l’orage de bêtise lourde qui s’est abattu sur cet endroit. Et que je sache, ta copine christiane est la seule qui a dit qui partait définitivement d’ici. Me confondre avec elle est un signe inquiétant de myopie mentale.

Je savais que tu étais l’un des grands « producteurs » de co.nneries sur ce blog (co.nneries que tu essais de dissimuler derrière la viscosité de ton style d’adolescent jouant aux espions), mais je crois qu’aujourd’hui tu as dépassé les bornes.

Ton cerveau a l’air épuisé. Tu devrais le mettre au repos en relisant la série complète des Oui-Oui.

Pablo75 dit: à

Avan, Delaporte était un type poli, très patient, très didactique. Quand on l’insultait ou on le provoquait il ne répondait pas ni aux insultes ni aux provocations, préférant expliquer
encore une fois ses théories saugrenues en bon « chrétien », donnant l’exemple.

Maintenant, depuis qu’on a découvert son manège sur ce blog, il perd les pédales, il oublie qu’il est chrétien et il imite Blabla-Widerganger: « couillon », « raclure de bidet », « seule la haine vous fait tenir debout »…

Pourquoi ce changement? Parce qu’en comparant le Christ avec une terroriste athée, en blasphémant publiquement de la sorte, il est allé trop loin dans sa mission cachée sur ce blog qui est celle de déconsidérer le christianisme, en montrant qu’un soi-disant « chrétien parfait » comme lui défend le terrorisme, la guérilla urbaine, les assassinats d’innocents prônés par son idole, la terroriste antisémite Ulrike
Meinhof. Derrière sa façade, on a vu le suppôt de Satan que s’y cachait.

C’est la vielle tactique de la désinformation ésotérique. D’où les répétitions constantes des mêmes idées, martelées avec une constance de fou, comme si c’étaient des pubs.

Il va de soi que le personnage de Delaporte n’est qu’une marionnette de quelqu’un ici qui connaît l’ésotérisme satanique et ses techniques occultes de propagande, en plus d’avoir des connaissances en guerre psychologique.

Il s’amuse à faire des expériences dans ce blog ou c’est un vrai pratiquant de messes noires?

Pablo75 dit: à

Avant,

Delaporte dit: à

Mon pauvre Pablito, vous croyez qu’on va se fatiguer encore à vous répondre ?

D. dit: à

Tudor i fait pas de bruit au moins sauf quand i ronfle.

Pablo75 dit: à

@ closer

« soyons justes, William Christie, ce n’est pas mal, voire beau… »

Je ne connais pas sa version de la cantate BWV 78. J’ai cherché un peu sur Youtube sans la trouver. Tu aurais un lien pour l’écouter?

Pour moi le meilleur interprète actuel de Bach est Masaaki Suzuki, et de loin. Son intégrale est une merveille. C’est un disciple de Koopman, mais qui ne tombe jamais dans les délires des baroqueux. J’écoute ce duo magnifique (« Wir eilen mit schwachen ») dans sa version en ce moment: c’est moins beau que dans la version mythique de Prohaska (les voix sont beaucoup moins belles), mais c’est très beau quand même.

Il suffit d’écouter le début de la Passion St.Jean dirigée par Suzuki pour se rendre compte que c’est le plus grand interprète de Bach vivant.

https://www.youtube.com/watch?v=SiKgrevzT-g

Pablo75 dit: à

@ Delaporte

« vous croyez qu’ON va se fatiguer encore à vous répondre ? »

C’est qui ce « on »?

Pablo75 dit: à

« Son intégrale est une merveille. »

Son intégrale des Cantates.

Delaporte dit: à

C’est qui ce « on »?

A votre avis, débris psychosomatique ?

Pablo75 dit: à

Plus Delaporte écrit ici et plus on voit ses cornes, ses pieds fourchus et sa queue…

Vade retro, Delaporte !!!

Bételgeuse dit: à

15h49 nan mais là pour les classiques c’est que le public n’est pas tout à fait certain que ce soit fini, alors il hésite quelques secondes avant de suivre le premier qui clapclap, je préfère les pluies d’applaudissements qui font partie de mon point de vue du concert et qui pour certains enregistrements ne veulent pas finir, quelle beauté ! On s’en trouve comme arrosé et transporté par l’élan collectif de gratitude.

Bételgeuse dit: à

Delaporte, vous habillez vous en Prada?

Et Alii dit: à

on observe aussi une minute de silence en hommage…

Et Alii dit: à

Le 25 octobre 1919, à la veille du premier anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918, est votée une loi relative à la commémoration et à la glorification des morts pour la France au cours de la Grande Guerre, adoptée par le Parlement et promulguée par le président du Conseil des ministres et ministre des Affaires étrangères Raymond Poincaré. Cette loi est à l’origine de la minute de silence, pratiquée pour la première fois le 11 novembre 1922. Auparavant, on sonnait les cloches et tirait le canon10.WIKI

Jazzi dit: à

ça vient d’où la minute de silence, Et Alii ? C’est plus laïc que religieux, non ?

Bételgeuse dit: à

Et alii, il y a aussi le silence complice, le silence coupable, le silence éloquent.

Jazzi dit: à

La réponse a été plus rapide que la question !

l'ombelle des talus dit: à

@ Claudio Bahia dit: 1 octobre 2018 à 0 h 46 min

L’ombelle ne fait pas d’ombre, elle fait de l’ombe ; c’est plus doux, même si tout finit en chardons

Jazzi dit: à

C’est donc typiquement français, Et Alli ?

Jazzi dit: à

Mais il n’y a pas de silence orgasmique, Bételgeuse !

Bételgeuse dit: à

Débris psychosomatique…si vous persévérez dans l’effort ce blog va devenir un centre de recherches en insultes. Chacun viendra y chercher ce qui lui manque pour être odieux sans insulter la politesse.

Bételgeuse dit: à

Di, Jazzi, il y a des silencieuses et des silencieux, surement des pudiques ou introvertis ou soucieux, dans la pire des éventualités à, dese pas blesser la frigidité de l’autre qui ne jouit pas. Nous ne sommes pas tous demonstratifs. Il y a aussi ceux qui préfèrent écouter que produire des cris , des chuchotements, des hurlements, des murmures, des râles, un chant au mieux.

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