de Pierre Assouline

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La République des livres
Effacer un pays du visage de la terre

Effacer un pays du visage de la terre

Si l’invasion russe de l’Ukraine vous interpelle, vous mobilise, vous révolte et même si elle vous intéresse sans plus, faites un pas de côté inattendu, allez voir ailleurs et vous y découvrirez que le plus subtil géopoliticien de toute cette crise est celui qui n’a a priori aucune qualité pour s’en prévaloir n’étant ni militaire, ni diplomate, ni journaliste, et encore moins commentateur en continu ou expert multicartes. Ce petit bonhomme de 61 ans, qui fait penser au Dustin Hoffmann de Midnight Cowboy lorsqu’on voit sa silhouette brinquebalante s’avancer au loin sur le pont de Brooklyn, est l’un de nos plus singuliers traducteurs littéraires- également poète, écrivain, éditeur.

Il s’appelle André Markowicz, de mère russe et de père français d’origine juive polonaise ; et après avoir passé son enfance à Léningrad chez sa grand-mère maternelle, il vit quelque part entre Paris et Rennes et travaille avec la traductrice et écrivaine Françoise Morvan. Résistants de longue date aux assauts et au boycott des indépendantistes bretons dont ils ne cessent de dénoncer les thèses, ils ne craignent pas davantage un débordement de l’armée russe dans leur coin de Bretagne.

Considéré comme un cas dans un milieu qui s’est longtemps invisibilisé et qui sort de l’ombre, du silence et du retrait depuis peu afin notamment de conquérir le droit si légitime de voir le nom du traducteur apparaitre sur les couvertures de livres, Markowicz s’est fait connaitre à la fin de l’autre siècle lorsqu’il a proposé à Hubert Nyssen, patron d’Actes sud, de retraduire Dostoïevski au motif que les traducteurs avaient été dans le contre-sens en conférant une élégance si française à cet auteur si brutal.. Non pas Crime et châtiment ou les Frères Karamazov mais toute son œuvre. Tout ou rien. Soit 45 volumes repris en cinq volumes dans l’ordre chronologique d’écriture.

L’éditeur a mis son goût du risque en accord avec le grain de folie du traducteur et ils se sont serrés la main. Le résultat fut un chef d’œuvre (même si rien ne le rend fier comme sa traduction d’Eugène Onéguine, le roman en vers de Pouchkine) qui fit évènement et lança la carrière de Markowicz dans l’édition ainsi qu’au théâtre – et pas seulement pour adapter à la scène les grandes pièces du répertoire russe (Le Révizor, Boris Godounov, tout Tchékhov …), mais aussi quatorze pièces de Shakespeare.

Son monde, ce sont les imaginaires romanesque, théâtral, poétique que la langue russe transporte depuis des siècles. Et il s’autorise de cette intime connaissance, de ce vieux commerce avec cet univers, pour expliquer, disséquer, raconter en toute subjectivité mais avec des accents de vérité uniques dans notre paysage médiatique ce qui se passe en Ukraine et en Russie depuis le 24 février. Le fruit de ses réflexions est permanent en libre accès sur le blog qu’il a ouvert il y a des années sur « facebook.com/andre.markowicz » (4,9 K amis), « lieu sans lieu » dans lequel il tient son journal extime d’écrivain. Foutraque mais tellement vivant, passionnant, informé, argumenté, digressif à souhait.

Manifestement, Poutine n’est vraiment pas son cousin mais le peuple russe demeure son ami le plus cher et la Russie le pays où la poésie est la vie même. Dès qu’un vent mauvais s’est levé en Europe et aux Etats-Unis pour ostraciser et annuler artistes et créateurs russes des scènes occidentales, les morts comme les vivants, lui qui a toujours refusé la moindre accointance avec les organisations et institutions reliées au pouvoir russe s’est insurgé afin que l’on ne fasse pas payer à la culture d’un peuple la politique impérialiste de son dictateur. Depuis bientôt neuf ans qu’il tient ce blog, il avait déjà consacré nombre de chroniques au régime, sa corruption généralisée et son culte de la guerre. Toutes choses qui annonçaient la suite même s’il reconnait aujourd’hui :

« C’était tellement gros que je ne l’avais pas vue ».

Son arme, mise au service d’une indépendance d’esprit et une liberté de ton sans égale, c’est sa connaissance de la langue russe. Il en use avec la même vigilance pour dénoncer cette « guerre d’annihilation » que pour démonter l’idéologie panslaviste, nationaliste et judéophobe de Soljénitsyne. Il n’y a que lui pour aller débusquer l’origine du mot « russophobie » si prisé du dictateur sous la plume d’un auteur fasciste. Il n’a de cesse de stigmatiser le clan mafieux qui s’est emparé des rouages de l’État à la fin de l’autre siècle. Celui-ci représente selon lui «  le point le plus abject de déchéance de l’histoire russe ». Mais n’allez pas croire qu’il se contente d’accuser : il livre régulièrement à ses lecteurs des informations, des détails, des choses vues glanées par les réseaux de terrain qu’il consulte en permanence, l’agence de presse officielle russe RIA-Novosti, la télévision officielle où les Ukrainiens et leurs alliés ne sont même plus traités de « nazis » mais de nazikis (nazillons) assez pervers pour mettre en scène leur propre bombardement de leur propre population (!), aussi bien que les commentateurs russes en exil, les services postaux de Biélorussie piratés par des dissidents, la Deutsche Welle en russe (« les informations de la télé allemande en langue russe — qui sont d’un très très haut niveau), ceux des réfugiés en exil (le site « Gulagu.net » de Vladimir Ossetchkine par exemple) sur la terreur ordinaire et la peur qu’elle engendre. A lui seul, Markowicz fonctionne comme une petite agence de presse qui se révèle comme l’indispensable complément aux reportages des journalistes. Nécessairement subjectif par vocation et par tempérament et c’est tant mieux. Ses colères réchauffent le cœur, ses analyses bousculent les prudences:

« Le déni du Krelmin des accusations de crimes de guerre, sa rhétorique et son lexique qui sont ceux de la langue du IIIème Reich… : il y a là un saut que j’appellerai ontologique. Quelque chose d’absolument irréparable… C’est la Russie qu’il faut dénazifier »

S’il s’autorise une analogie historique, c’est avec Budapest 1956, parce que les gens ont résisté et qu’ils se sont battus. S’il trouve un modèle à Poutine, c’est le tsar Nicolas 1er. Et s’il faut à tout prix trouver un précédent, il ira le chercher du côté de Kœnigsberg, rasée en 1945, ses habitants massacrés, chassés et remplacés par des Russes avant qu’elle ne devienne Kaliningrad. Une ville totalement russe. Si nécessaire, il n’hésite pas à corriger les traductions approximatives de la presse. Ainsi dans cette conversation téléphonique interceptée entre deux officiers russes en Ukraine :

« – J’avance, mais je n’ai pas eu le temps de « nettoyer ». – Ce n’est pas « nettoyer » qu’il faut, reprend l’autre, c’est стереть с лица земли ». Ça veut dire raser complètement, mais le mot à mot est plus parlant : effacer du visage de la terre ».

Et par ce réflexe de traducteur, ces mots de poète, vous ne les lirez nulle part ailleurs. Difficile de ne pas dresser d’analogie avec le travail auquel se consacra Victor Klemperer (1881-1960) auteur de LTI, la langue du IIIème Reich (traduit par Elisabeth Guillot, 375 pages, Pocket), ces fameux carnets d’un philologue publiés pour la première fois en allemand en 1947, puis en français en 1996. Klemperer (qui est un cousin du chef d’orchestre) tînt clandestinement son journal intime entre 1933 à 1945, et n’y mit bon ordre qu’au lendemain de la guerre. L’air de rien, avec l’humilité et la vigilance qui le caractérisent, il a écrit au jour le jour, de la prise du pouvoir par Hitler à l’écroulement de son régime, une fascinante chronique de l’intérieur des effets du nazisme sur la langue allemande. Nulle réflexion sur le totalitarisme ne peut faire l’économie de ce document de première main, LTI (Lingua tertii imperii autrement dit la langue du troisième empire). Un authentique manuel de résistance écrit par un paria qui réussît à conserver sa liberté intérieure en observant, en étudiant et en gravant dans sa mémoire les évènements tels que la langue allemande, réquistitionnée et contaminée, les relatait dans un pays où dans la vie quotidienne, «  »Heil Hitler » » tenait lieu de «  »Bonjour » ».    

Pendant douze ans, il n’a cessé de noter, ne fut-ce que pour ne pas sombrer. Mais il l’a fait en philologue clandestin, puisqu’il était contraint de travailler le jour en usine. Persuadé que la langue est plus que le sang, il suit les émissions de radio et épluche les journaux, faire-parts de décès, brochures et communiqués militaires, ne rate pas un discours, écoute les conversations et note, note, note encore tous les signes de la novlangue nazie : émigré, camp de concentration, organiser, organisation… «  »Expédition punitive » » est le tout premier mot qu’il ait ressenti comme exprèssément nazi. Il fut suivi par «  »cérémonie officielle » » (Staatsakt), «  »coventriser » » (coventrieren, c’est à dire raser une ville comme à Coventry), le glissement de «  »suite de domestiques » » à «  »personnel d’une entreprise » » (Gefolgschaft) et tant d’autres, finement analysés, à l’image des prénoms chrétiens alors mal vus, ou de «  »aufziehen » » (monter) qui a pris dans la bouche des nazis un sens à la fois laudatif et résolument péjoratif. A partir de 1942, on ne dit plus «  »déportation » » mais «  »évacuation » ».

Ce que Victor Klemperer a fait clandestinement avant de le révéler au grand jour des années après, André Markowicz le fait jour après jour en ligne au creux de la guerre sémantique qui se superpose à celle des bombes. Autres temps… Quand d’autres s’ingénient à se tromper dans leurs prédictions géopolitiques, eux décryptent le présent et l’avenir totalitaires là où ils s’inscrivent déjà sans attendre : dans la langue.

( « Ukraine, 2022 » Photo Emilio Morenatti ; « André Markowicz et Victor Klemperer », photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Actualité, vie littéraire.

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commentaires

1 163 Réponses pour Effacer un pays du visage de la terre

Marie Sasseur dit: à

« Ce que Victor Klemperer a fait clandestinement avant de le révéler au grand jour des années après, André Markowicz le fait jour après jour en ligne au creux de la guerre sémantique qui se superpose à celle des bombes »

Great.

Et sinon, la communauté russe a-t-elle d’autres idées pour organiser la résistance et mettre un terme à un génocide ?

Jazzi dit: à

Papier maousse costaud, Passou !
(à relire, car bcp de coquilles…)

et alii dit: à

déjà sans attendre : dans la langue.
merci, oui, ne pas remettre au lendemain (n’importe les chants)ce qu’on peut -doit- faire le jour-même

et alii dit: à

Nulle réflexion sur le totalitarisme ne peut faire l’économie de ce document de première main, LTI (Lingua tertii imperii autrement dit la langue du troisième empire). Un authentique manuel de résistance écrit par un paria qui réussît à conserver sa liberté intérieure en observant, »
l’indispensable !le maître des maîtres! n’hésitez plus

B dit: à

MS, je crois que tous dans la communauté sont équipés de panoplie de Batman. Y’a plus qu’à.

Marie Sasseur dit: à

@ »Si nécessaire, il n’hésite pas à corriger les traductions approximatives de la presse. Ainsi dans cette conversation téléphonique interceptée entre deux officiers russes en Ukraine  »

Que ne le fait-il pour les renseignements militaires, dont le chef vient d’ete viré,,plutôt que la presse

Car cette subtilité sémantique, « poétique », entre  » nettoyer « , « raser complètement », et  » effacer le visage de la terre « , aura sûrement échappé aux cryptos, art militaire,
que les russes manient très bien.

« Au tout début de la Guerre froide, l’Union soviétique dut se doter d’un moyen infaillible de chiffrer les messages qu’elle envoyait à ses alliés. C’était une tâche colossale: la clé du précédent chef-d’œuvre de la cryptographie, la machine à chiffrer allemande Enigma, avait été trouvée. Non seulement tout nouveau système de communication se devait d’être inviolable, mais il devait en outre pouvoir fonctionner dans des langues aussi diverses que le polonais, le hongrois, l’allemand, le roumain, l’espagnol et, bien entendu, le russe. L’Union soviétique avait besoin d’une merveille technologique.

Est alors arrivée la machine Fialka («violette» en russe).  »

https://www.slate.fr/story/178587/fialka-machine-cryptage-services-secrets-sovietiques-secret?amp=

JC..... dit: à

Afin que la Russie démocratique et populaire de Vlad l’Empailleur puisse lui créer son Reich à lui tout seul, bien propret, une WWIII me semble absolument nécessaire.

Si possible nucléaire…

Par bonheur, cela semble être en cours, une question d’années de paix, de tolérance, et de joies diverses.

et alii dit: à

La Langue ne ment pas
Le film de Stan Neumann est adapté des journaux de Victor Klemperer, écrits de 1933 à 1945 à Dresde. Victor Klemperer, professeur à l’université de Dresde, est un des rares Juifs allemands à avoir survécu en Allemagne pendant toute la durée du régime hitlérien. Il doit sa survie au courage de sa femme Eva, aryenne selon les critères nazis. La guerre finie, ils retrouvent leur maison à Dresde, désormais en zone d’occupation soviétique. Pendant toute cette période, Victor Klemperer, linguiste, a étudié l’évolution de la langue nazie. Dans son journal, il note que son «travail sur la langue était un moyen de légitime défense, il n’avait rien de scientifique. [Il] moissonnait sans plan préconçu, tout ce qui passait à [sa] portée, au hasard de [ses] lectures, des émissions de radio, des discours beuglés par les haut-parleurs». Son journal est aussi un des témoignages les plus précis
https://www.lesyeuxdoc.fr/film/411/la-langue-ne-ment-pas

Marie Sasseur dit: à

Serieux, je pense qu’ A. Markowicz est en train de rater un rôle historique de premier plan. C’est ça qu’il devrait faire, s’engager au service traduction des armées de l’O.t.a.n. Cela aurait vraiment de la gueule, et sa postérité litteraire enfin reconnue.

Plutôt qu’un rôle a contre-emploi, a gratter du papier en cachette.

Cela dit, j’aime bien A. Markowicz, j’ai vu un de ses spectacles sur scène, du Shakespeare.

Janssen J-J dit: à

Nouveau papier d’autant plus bienvenu, cher Pierre A., que j’ai récemment apprécié le travail de ce traducteur André Markowicz dans une mise en scène surprenante des frères Karamazov, où Sylvain Creuzevault l’associa étroitement à son travail. Peut-être AN pourrait-elle aller revisiter les « souvenirs de la maison morte » qui, avant Markowicz, avaient à mes yeux été fort mal traduits…, de sorte enfin à réussir à pénétrer l’univers du grand Fiedor, qui sait ?
J’ai été surpris au début que vous le définissiez comme un brin ultracrépidarianiste à l’égard du présent conflit russo-ukrainien…
Merci en tout cas pour le lien de son blog dont j’ignorais l’existence. Vous donnez à voir le personnage comme un personne sympathique et foutraque, tout pour me plaire…
S’agissant du rappel du travail de Viktor Klemperer, il aurait été juste et équitable de citer le titre des deux tomes de ses mémoires… Et de ne pas oublier de rappeler qu’en tant que juif, il réussit à rester en Allemagne grâce au courage, à l’intelligence, aux ruses et aux prouesses de son épouse aryenne, indéfectiblement anti-nazie.
Mais il en est d’héroïques russes comme VK jadis en Allemagne nazie, qui sur place aujourd’hui, défient un Poutine par la seule aide fraternelle qu’ils apportent aux victimes ukrainiennes de la barbarie présente.
Bàv,

et alii dit: à

Le Jour de la Terre fut célébré pour la première fois le 22 avril 1970. Aujourd’hui, plus d’un milliard de personnes dans 193 pays passent à l’action chaque année dans le cadre du Jour de la Terre. Au fil des ans, le Jour de la Terre est devenu le mouvement participatif en environnement le plus important de la planète.

B dit: à

MS, si je puis, -sa postérité enfin assurée f, je crois qu’il est encore en vie.

B dit: à

D, j’ai mis un lien sur le billet précédent qui pourrait vous intéresser. C’est technique mais peut être connaissez vous déjà le site.

Bolibongo dit: à

Ah, mais Jazzi vous avez un compte facebook!?

B dit: à

Personnellement, le jeu ne m’intéresse strictement pas bien que nous soyons aussi ici présents pour jouir des avantages liés à l’échange cordial entre participants. Interville revisité sans Guy Lux.

Jazzi dit: à

Et pourquoi n’aurais-je pas de compte facebook, Bolibongo ?
Et aussi bien d’autres comptes sur d’autres réseaux sociaux…

Bolibongo dit: à

Mais je trouve cela bien sympathique, Jazzi!
( En allant voir celui de Markowicz…)
Déjà plus de 5000 amis pour ce dernier, la coupe est pleine!

et alii dit: à

Boris Cyrulnik : « Les Occidentaux croient qu’on peut raisonner Poutine ; je crains que ça ne marche point »

Jazzi dit: à

Le meilleur c’est celui qui en veut le plus.

Pour le job à l’Elysée, indéniablement c’est Macron.
Marine Le Pen serait la première à être la plus emmerdée si elle était élue !

Pour l’Ukraine, la détermination des résistants est plus forte que celle des envahisseurs…

Alexia Neuhoff dit: à

Eh oui, la langue est politique. Et cela depuis bien longtemps. Eh oui, les régimes autoritaires ont toujours essayé de contraindre la langue. C’est même un des marqueurs des fascismes.

cneffpaysages dit: à

Merci Passou, – pour cet excellent billet !

pourmapar dit: à

 » Le pouvoir qu’exerce le discours religieux repose sur un constat, valable également pour un discours totalitaire, à savoir le besoin de croire qui fait appel aux sentiments qui correspondent aux souhaits les plus profonds des hommes. Il faut en rechercher la source, nous dit Freud, dans le sentiment de dénuement et de détresse de l’enfant ainsi que dans la nostalgie d’un père dont il attend protection.

Ces discours s’appuient sur une croyance qui ne requiert pas de justifications et qui assure la cohésion des collectivités qui y adhèrent. Car, ce ne sont pas des individus mais des masses auxquelles ils s’adressent, masse totalitaire, foule religieuse, et ils utilisent des procédés souvent similaires pour assurer leur force de persuasion et leurs effets pragmatiques. »
https://www.cairn.info/revue-topique-2006-3-page-125.htm

Marie Sasseur dit: à

« Avons-nous assez navigué »

La dernière fois qu’on a vu A. Markowicz, ce n’est pas sur le pont de Brooklyn, mais sur le pont du Georges-Philippar…

Il faudrait à ce sujet, faire une petite recherche sur toutes les occurrences russes dans le roman  » le paquebot ».
Anyway, m’étant assurée qu’A. Markowicz avait bien traduit « Oblomov », Oblomov à considérer comme un véritable héros en période de confinement ou comment vivre sur un divan, je lis par hasard: Oblomov l’anti- Stakhanov.

Comme le second est plus connu, il fallait, toutes affaires ensoleillées cessantes, en ce premier jour de grand octave…y aller voir.

Bien m’en a pris. Comment forger un néologisme sur un mensonge, art soviétique de la propagande :

« Né en 1905 dans un village du sud de la Russie, Alexei Stakhanov sait à peine écrire, n’ayant fréquenté l’école «que trois hivers». En effet, il a passé toute son enfance et son adolescence «à labourer les champs, garder le bétail; il n’était pas rare que la famille mange du cygne ou de la poix mélangée à des cerises». Afin de fuir la famine, le jeune Stakhanov s’engage dans les mines de charbon du Donbass ukrainien. Il promet alors à ses sœurs de «revenir sur un cheval blanc».

En réalité, son fameux record relève de la mise en scène: une idée du responsable de la mine pour se faire avantageusement remarquer. Stakhanov a été choisi pour jouer le rôle du héros parce qu’il avait le profil parfait: jeune, costaud – 185 cm pour 105 kilos –, Russe, paysan. Mais il s’est fait aider par deux collègues qui étayaient la galerie à mesure qu’il extrayait le charbon, ce que les autorités ont toujours caché: habituellement le mineur devait étayer lui-même sa propre galerie, ce qui lui faisait perdre un temps considérable. Aussitôt pourtant, les honneurs pleuvent sur Stakhanov: il reçoit dès le 3 septembre un appartement meublé, son salaire est décuplé, il est admis comme membre du Parti communiste sans l’indispensable examen de passage.(…)

Dès 1936, la famille Stakhanov reçoit le droit de s’installer à Moscou et le mineur obtient un poste de haut fonctionnaire au Ministère du charbon, puis est nommé député du Soviet suprême. Avant d’attirer négativement l’attention: ses voisins – des personnages importants de la nomenklatura – se plaignent régulièrement de Stakhanov, qui joue de l’accordéon et chante des chansons d’ivrogne toute la nuit. Lors d’une bagarre à l’Hôtel Métropole, il brise une vitrine et perd, dans une autre rixe, sa veste avec toutes les décorations officielles épinglées ainsi que sa carte du parti. «Souvent, il recevait à la maison des paysans de sa région ou des ouvriers pour lesquels il avait réussi à débloquer des allocations au ministère», raconte Violetta. On imagine en effet l’ambiance.(…)

Stakhanov connaîtra une mort absurde: dans l’hôpital psychiatrique où il est interné en 1977 pour des troubles cérébraux, il glisse sur des épluchures de pommes et se tue en heurtant de la tempe le coin d’une table. Qu’importe: aujourd’hui encore, la petite ville de Kadievka, où le fameux record fut établi, et rebaptisée Stakhanov, s’enorgueillit d’être la seule localité au monde à porter le nom d’un ouvrier. »

https://www.letemps.ch/societe/vraie-vie-stakhanov-racontee-fille

Marie Sasseur dit: à

Aïe aïe aïe ,ce billet mélange des genres, et au détriment des Ukrainiens, par un tour de passe passe pseudo historique hors de propos, reductio ad hitlerum et klemperer, ne me plaisait pas du tout, mais là, je dis le dis tout net, l’exercice a ses limites !

La Russie vue de Bretagne, ou l’inverse, c’est édifiant l’histoire de ce couple militant :

« Et petit à petit, il injecte des éléments de langage faisant des Bretons des nationalistes, quasiment des néo-Nazis, et des anti-sémites. »

https://mobile.abp.bzh/53233

Pas bravo, ni merci pour ce billet a classer dans une rubrique rdl qui manque:  » les amitiés « .

Marie Sasseur dit: à

@ »Résistant de longue date aux assauts et au boycott des indépendantistes bretons dont il ne cesse de dénoncer les thèses, le couple ne craint pas davantage un débordement de l’armée russe dans son coin de Bretagne. »

Tu parles d’un asterix de Brooklyn et de sa falbala.
Serieux, entre la propagande soviétique et celle de st germain dans les prés, je me demande si tout cela ne fait pas le jeu de tata facho du clan breton.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…lundi 18 avril 2022 à 14 h 40 minutes.

…la simplicité conviviale !…en être abusée.

…il reste une logique, d’un commun accort,!…les antagonistes,!…

… » on est trop nombreux, pour la planète,!…  »

…conclusions,!…des prétextes pour éliminer tout les gens possible,!…à tord ou a raison,…

…tout le monde s’en fout,!…le nucléaire ou à neutrons, des bombes partout,!…

…nous revoilà, à  » la planète des singes « , qui de tous, est le plus riche vivant,…

…même incompétent, nous voilà! sans services publics,!…terrer avec ou sans joies,!…

…avec nos merdes de Pubs, a revoir,!…
…de haut & de court,!…tous pendus, avec rien à se foutre,!…etc,!…

…destins miniatures,!…comme des dieux escrocs ou débiles mentaux,! les gains, les lucres,!…sur les économies sociales par des politiques, pour faire des misérables partout.

…jamais rien, à instruire,…chacun son savoir faire, et ses secrets en tout,!…
…Universités pour corrompus à tout,!…
…le pouvoir tout seul,!…etc,!…
…tu l’à , ma côte en valeur dans l’art,!…

…être pris, à son propre jeux des profits, qui croit prendre est repris à rien foutre,!…
…rien à vendre,!…à de pure  » idiots éternels « ,!…échec et mat,!…
…etc,!…Go,!…
…à la pêche aux moules,!…moules…moules,!
…on s’en fout,!…etc,!…

et alii dit: à

D’emblée, en des termes discrets mais sans appel, Laurence Kahn prévient qu’il ne saurait être question, s’agissant des effroyables dégâts que le nazisme a pu causer dans le champ psychanalytique, de se limiter à ce que le titre de son livre pourrait laisser croire, à savoir l’évocation de l’exil auquel furent contraints les analystes juifs d’Allemagne et d’Autriche, lesquels ne furent du reste pas toujours si bien accueillis aux États-Unis qu’on le laisse souvent entendre, et cela sans compter ceux qui furent assassinés par les nazis.
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2018/10/09/fossoyeurs-langue-kahn/

Soleil vert dit: à

Papier instructif comme toujours

MC dit: à

Françoise Morvan s’est attelée à la publication, remarquable à bien des égards du maitre d’Anatole Le Braz, François Luzel, soit une quinzaine de volumes de contes. Ce que le très celtisant anthropologue Donatien Laurent n’avait pu finir, capté par les carnets de collecte de La Villemarqué, dont il tira sa these, partiellement publiée.
Elle a aussi réglé des comptes, notamment avec le professeur Per Denez, et sur la trajectoire idéologique de l’indépendantisme breton entre 194O et 1945.
Et pour cela, elle est en effet boycottée par les librairies bretonnantes, même modérées, qui n’aiment jamais qu’on leur rappelle ce passé là.
Ce boycott, plus de dix ans après, dure encore.
De là à la traiter de Falbala, comme certaine « chercheuse ridicule », il y a un abime que même ses ennemis ne franchissent pas. Pour le mari, je ne sais à quel texte il est fait allusion. Je ne parle que de ce que je connais. Contrairement à d’autres.
MC

et alii dit: à

voici un dernier texte , l’ultime oui, communiqué par la fille de l’auteur, connu;
« Depuis quelques mois, il règne dans les débats une violence qui suggère que l’on aurait oublié les expériences totalitaires du XXe siècle et la fragilité inhérente de la démocratie. L’écrivaine Yael Pachet nous a envoyé l’ultime texte de son père, Pierre Pachet, essayiste, enseignant et intellectuel antitotalitaire, mais surtout écrivain de l’intime, disparu le 21 juin.
par Pierre PACHET, Ancien membre du comité éditorial de la Quinzaine littéraire, puis de la revue en ligne En attendant Nadeau.
publié le 11 juillet 2016 à 17h51 »
https://www.liberation.fr/debats/2016/07/11/la-pensee-qui-manque_1465556/

renato dit: à

La gouverneure de la banque centrale russe admet : « Les sanctions frappent l’économie. La période pendant laquelle l’économie peut vivre des réserves est limitée. Les sanctions auront désormais un impact plus fort sur l’économie russe. Nous n’essaierons pas de faire baisser l’inflation à tout prix ». Mais le dictateur se ment à lui-même et minimise : « Le blitz économique de l’Occident a échoué ».

Marie Sasseur dit: à

C’est effectivement très étonnant de pourfendre les dérives d’une langue, ici une langue russe supposée unifiée et corruptible, par analogie avec la langue allemande sous le nazisme, sans insister sur la dimension exclusivement politique qui est le fait de l’utilisation d’une langue à des fins de propagande,
et en MÊME TEMPS, d’attribuer à une langue régionale les mêmes travers, alors qu’elle ne devrait pas sortir du registre du folklore.
C’est en tout cas le point de vue d’asterix et de falbala, tous deux œuvrant pour une conception de la langue dans un ETAT-NATION, dont ils sont le pur produit de l’akademie. Surtout madame.

Bref des voisins à fuir, les mêmes qui vont sans doute voter le pen de Bretagne et faire disparaître l’enseignement des langues régionales pour cause de danger séparatiste.

Marie Sasseur dit: à

D’ailleurs que pense Markowicz de la langue ukrainienne ?

Marie Sasseur dit: à

C’est certainement la langue d’un séparatisme, pour falbala.

bouguereau dit: à

»Heil Hitler » » tenait lieu de « »Bonjour » »

tu voudrais pas qui sdisent chalome toudmême..les nazi havaient dlumour juif et ça plait pas à lassouline..faut arrêter d’ête sectaire..on est en 1950 herr bramar

bouguereau dit: à

Ça veut dire raser complètement, mais le mot à mot est plus parlant : effacer du visage de la terre

ça a été traduit ça et là et quoi à l’a peu prés dans la presse?..on a suffisamment compris..les américains disait du vietnam qu’il fallait « le renvoyer à l’âge de pierre »..pas la peine de finasser

bouguereau dit: à

ls s’inscrivent déjà sans attendre : dans la langue

poutine cause fluentli la bombe par dessus nos tête lassouline..c’est malheureux la référence est pas brillante mais c’était l’époque des casuistes linguistes..c’est comme ça que herr doktor gluxman a percé : la rhétorique atomique..poutine a un genre patois de 4 ou 5 mots..pourquoi chercher plus loin et sfaire plus de mal

bouguereau dit: à

ils ne craignent pas davantage un débordement de l’armée russe dans leur coin de Bretagne

b!coz la bombe qui coze a sa place..r!menbeur le face a face avec macron quand il dit a poutine que la france est une puissance nucléaire..le seul moment où poutine semble un peu présent..pourquoi taiwan chie dans son froc? pasque les méricains defende leur territoire..et pourquoi les f35 dans l’otan..pour vende une « opérabilité »..et ça coute des blinde l’opérabilité..le « et » le undzoweiteur..est dans la pogne de l’américain..c’est pas pasque t’as raqué que ça sfra comme c’est écrit..c’est plus compliqué meussieu le suisse..meussieu lallemand..messeiu le polonais..comment dire « vous pouvez pas comprende »

Bloom dit: à

Hommage mérité rendu à André Markowicz, grand traducteur et homme courageux, par ailleurs très au fait de littérature ukrainienne, qu’il a lu en russe (cf. l’émission consacrée à Taras Chevtchenko sur FC – https://www.franceculture.fr/emissions/poesie-et-ainsi-de-suite/poetes-d-ukraine).

En écho au « momument » Klemperer paraissent ces jours-ci deux livres capitaux: ‘Témoin jusqu’au bout’, une lecture du ‘Journal’ et de ‘LTI’ par George Didi-Huberman et ‘LQI, notre langue informatisée’, de Yann Diener qui règle son compte à la langue informatique qui envahit & déshumanise tout.
Comme l’écrivait Klemperer, l’esprit du temps s’inscrit dans la langue – réflexion toujours aussi pertinente aujourd’hui.

B dit: à

Heil Hitler » » tenait lieu de « »Bonjour » »

EM quand il a été élu a prononcé cette phrase: Le travail émancipe. Je ai pas trop aimé à cause de la proximité avec cette autre célèbre phrase : Le travail rend libre. On ne peut pas le soupçonner de neo-nazisme cependant le système qu’il défend, Le capitalisme tel qu’il fonctionne aujourd’hui me conduit à rapprocher ce système, par sa production de misère, de morts, son indifférence en regard des conséquences humaines et environnementales globales avec en plus toutes les technologies qui permettent la surveillance des différents groupes, d’une sorte de nazisme. Le fin, le profit, justifie les moyens, les inconséquences, l’absence d’évolution dans certains pays les soudant au moyen âge quand ce n’est pas l’ignorance totale des peuples primitifs attachés à leur culture et territoires. Et partout l’or côtoie sans vergogne la pauvreté, de nouvelles formes d’esclavagisme voient le jour, mafias et trafiquants blanchissent leur argent monstrueux dans les paradis fiscaux pour ensuite irriguer l’économie licite comme des affluents grossissent le débit du fleuve.

bouguereau dit: à

… » on est trop nombreux, pour la planète,!… »

jicé il est surnuméraire..mais voilà..y fra pas un effort et il fra levra pas lpetit doigt pour être un bon révolutionnaire..on peut compter que su soi qu’il dit keupu

bouguereau dit: à

pour ensuite irriguer l’économie licite comme des affluents grossissent le débit du fleuve

..c’est a se chter das la rivière avec une meule au cou béré..ou sans culotte selon qu’on a dla concience politique ou pas

bouguereau dit: à

mais le mot à mot est plus parlant : effacer du visage de la terre ».

restra son cul..sans tête..sans tête c’est quand même moins bien qu’elle dit bonne clopine..on slasse

Marie Sasseur dit: à

@Hommage mérité rendu à André Markowicz, grand traducteur et homme courageux, par ailleurs très au fait de littérature ukrainienne, qu’il a lu en russe (cf. l’émission consacrée à Taras Chevtchenko sur FC.
__________

Un grand merci, oui, pour ce Poète déjà signalé sur ce blog, traducteur, korrigan sympathique et plein d’humour.

Eugène Guillevic :

https://books.openedition.org/puv/7306

bouguereau dit: à

l’esprit du temps s’inscrit dans la langue – réflexion toujours aussi pertinente aujourd’hui

« tout nous échappe mais faisons mine d’en ête les organisateurs »..c’est de coquetèle kabloom..havec petit four

Marie Sasseur dit: à

« homme courageux »…

Patience, à c’train-là, bientôt A. Markowicz sera un dissident , bunkerisé dans un pavillon, se protégeant de farouches pécheurs bretons.

bouguereau dit: à

blah blah blah..petit biznèce

bouguereau dit: à

– Toi tu es quoi toi? Hein? Toi qu’est-ce-t-y est toi? Nardim amouk

– Silence Loktar!

– Ou est le Kapov Bramard? Je ne dirai rien Moeller

– Le 3eme Reich et les idéologies nazis m’ont toujours rendu… dubitatif

– C’est marrant c’est toujours les nazis qui ont le mauvais rôle

– Nous sommes en 1955, Herr Bramard

– On peut avoir une deuxieme chance

– Merci Vous devriez l’attacher colonel

– Ça suffit Loktar! Tu te tais ou je te tais

– Vous etes toléré ici, toléré

bouguereau dit: à

..gros biznèce

Jean Langoncet dit: à

@EM quand il a été élu a prononcé cette phrase: Le travail émancipe. Je ai pas trop aimé à cause de la proximité avec cette autre célèbre phrase : Le travail rend libre. On ne peut pas le soupçonner de neo-nazisme cependant le système qu’il défend, Le capitalisme tel qu’il fonctionne aujourd’hui me conduit à rapprocher ce système, par sa production de misère, de morts, son indifférence en regard des conséquences humaines et environnementales globales avec en plus toutes les technologies qui permettent la surveillance des différents groupes, d’une sorte de nazisme.

La confusion mentale fut l’arme par excellence du KGB et de toutes les dérives sectaires d’emprise

Phil dit: à

Mona Ozouf confiait récemment que son père, mort jeune, eût sûrement fini extremiss Breton, collaborateur.. etc. Etrange aveu tardif confié à la prose vigilante du Monde de Birnbaum.

Jean Langoncet dit: à

@La confusion mentale fut l’arme par excellence du KGB et de toutes les dérives sectaires d’emprise

Vladimir Poutine a décoré lundi 18 avril une brigade accusée d’avoir participé aux exactions de Boutcha. Et ce trois jours seulement après que le maire de Boutcha, Anatoli Fedorouk, a annoncé que plus de 400 corps au total avaient été retrouvés dans sa ville depuis le retrait des troupes russes.

Bloom dit: à

tout nous échappe mais faisons mine d’en ête les organisateurs

Justement, rien n’échappa à Klemperer, le boug, contrairement à…

Bloom dit: à

Quelqu’un ici a-t-il visité le « Centre spirituel et culturel orthodoxe russe de Paris (mélange significatif) », quai Branly (sous protection policière depuis qu’il a été tagué).
Qu’est-ce qui se trame derrière les épais murs de ce bunker à coupoles trop lisses pour êtres honnêtes, construit par Bouygues?

m'enfin dit: à

Une atmosphére de luxe iconique sous surveillance policière Un tres bon souvenir de chants(monastère de Valam?) de la liturgie slavonne…

B dit: à

La confusion mentale fut l’arme par excellence du KGB et de toutes les dérives sectaires d’emprise

Jean, cette phrase est transgressive. Quant au capitalisme, celui de la Chine compris, nous n’avons pas encore découvert de système concurrent. Il est de plus en plus perverti mais si votre réponse se moque, vous avez raison. Il faudrait des livres et des livres d’analyse d’économie politique pour explication illustrée et acceptable. Je ne suis pas compétente. Les marchands, le temple, c’est une vieille histoire.

Jazzi dit: à

« Quelqu’un ici a-t-il visité le « Centre spirituel et culturel orthodoxe russe de Paris »

J’ai visité récemment ce nouveau monument apparu dans le paysage parisien, Bloom.
Beau bâtiment, tout neuf, un peu beaucoup clinquant et doré, à la manière orthodoxe, mais qui m’a paru passablement déplacé en bordure de Seine…

B dit: à

Bloom, ce n’est pas une ambassade. Les lieux devraient pouvoir être fouillés si des doutes existent.

et alii dit: à

« Fécondité de la terre et Le Visage de la Terre » sont deux textes fondateurs de l’agronome allemand Ehrenfried Pfeiffer, l’un des pionniers de l’agriculture biodynamique et biologique.
« Fécondité de la terre », paru en 1938, présente une méthode pour conserver ou rétablir la fertilité des sols, et invite à considérer la ferme comme un organisme vivant, diversifié et autonome.
Paru quatre ans plus tard, Le Visage de la Terre montre comment, par l’observation du paysage et de la végétation, il est possible de diagnostiquer la qualité des sols et les dégradations dont ils font l’objet

Petit Rappel dit: à

C’ est très possible, Phil. Ce qui est sûr c’est que Yann Sohier, par l’image qu’elle en donne, avait dépassé le bretonisme assez ordre de d’le Braz et du Congrès Celtique. Est-ce que cela veut dire qu’il tournait dans l’entourage de Mordrel? Elle ne le dit pas., mais Mordrel avait fait le même chemin. Une occasion a été ratée dans les années 1920 d’intégrer la langue bretonne à la république. Les membres des congres celtiques croyaient qu’il suffisait du premier conflit mondial pour avoir droit à la reconnaissance linguistique de la république. Leurs descendants devront se contenter d’un breton de faculté. Un bémol : en 1920 Le Breton était majoritaire par le nombre de locuteurs, Entre temps, la situation a changé même si les ecoles bretonnantes le maintiennent en vie. Et il y a toujours des extrémistes, même si peu lus.

Jean Langoncet dit: à

Le 18 avril 2022 à 20H52

Des navires russes sont actuellement bloqués dans la mer Méditerranée en raison de l’intervention turque dans le conflit. Dès le quatrième jour de la guerre en Ukraine, la Turquie a fermé les détroits de Dardanelles et du Bosphore à tous les navires de guerre, notamment les navires russes.

Une manoeuvre qui empêche Moscou de remplacer le croiseur Moskva, qui a coulé jeudi au large d’Odessa, dans la mer Noire. Les deux autres croiseurs dont elle dispose, à savoir le Maréchal-Oustinov, rattaché à la flotte de la mer du Nord, et le Varyag, de la flotte du Pacifique, sont donc bloqués depuis des semaines en Méditerranée.

Il leur est impossible de franchir les détroits vers la mer Noire en raison de l’interdiction turque, annoncée le 28 février. Ce jour-là, quatre bâtiments russes, dont ces deux croiseurs, attendaient le feu vert des autorités turques pour emprunter les détroits et rejoindre le Moskva en mer Noire. Le passage leur ayant été refusé, ils sont restés en Méditerranée.

«Des bâtiments militaires russes venus d’Extrême orient et de la flotte de la mer du Nord sont depuis plusieurs semaines en Méditerranée, s’ils avaient pu franchir les détroits, la situation aurait été toute autre », explique au Monde un diplomate ukrainien en poste à Ankara, soucieux d’anonymat.

Pour en savoir plus sur la situation de la flotte russe, vous pouvez lire cet article de notre correspondante en Turquie, Marie Jégo : pourquoi la Turquie est devenue l’arbitre du conflit en mer Noire
https://www.lemonde.fr/international/article/2022/04/18/la-turquie-arbitre-du-conflit-dans-la-mer-noire_6122623_3210.html

Bonne soirée les loukoums

Bloom dit: à

Ce n’est pas tant les lieux per se, B, mais le personnes. J’ai eu affaire à des responsables de ‘centres culturels et scientifiques’ russes.
Très affables, ‘tout à apprendre’ de nos méthodes…pommade et lubrifiant en tous genres…
Dans « soft power », il y a « power ».

Le lieu est effectivement assez improbable, Baroz, d’autant plus qu’il occupe un emplacement où se trouvait autrefois…météo France…Ca ne s’invente pas.

Bloom dit: à

leS personnes

Jean Langoncet dit: à

Incidemment, pourquoi refuser à l’UKraine qui en manifeste la volonté les moyens lui permettant de fermer son ciel aux bombardements criminels de l’agresseur russe ?

rose dit: à

Le premier détroit permet de passer de Méditerranée en mer de Marmara.

rose dit: à

Le second détroit du Bosphore permet de passer de la mer de Marmara à la mer Noire. Il longe Istanbul, traverse précisément car Istanbul s’étale sur deux rives, orient et Occident, les stambouliotes sont ses habitants.

rose dit: à

Nous devrions tous sortir et gueuler Non à la guerre. Non à la guerre.

Jazzi dit: à

DANIEL RONDEAU

Istanbul, entre deux mers et deux continents

« Le Bosphore a ses contemplatifs, ceux qui s’enivrent de l’ensoleillement des eaux, assis sur la pierre des berges, ou aux terrasses des cafés, il a ses promeneurs, qui marchent le long du rivage et règlent leur pas sur les remous. D’autres le regardent de loin, les heureux, de nuit comme de jour, sur le plein écran de leurs fenêtres, ou bien de leurs terrasses, dans des appartements en hauteur, à Cihangir ou à Ortaköy. certains méditent leurs déplacements dans les rues d’Istanbul, de telle sorte que la nudité des flots puisse leur sauter tout à coup à la figure, dans l’encadrement d’une de ces ruelles plongeantes qui découpent des rectangles de gelée bleue et phosphorescente entre les verticales des immeubles.

La force d’attraction du Bosphore peut empêcher de regarder ailleurs. On délaisse la muraille, et l’on se rue sur le Bosphore. La muraille, c’est le temps immobile, le gris, le fermé. Le Bosphore, c’est l’espace, le fluide, le bleu, l’ouvert. (…)

Le Bosphore ou passage du bœuf est un détroit sinueux qui sépare l’Europe de l’Asie. Ce nom de passage du Bœuf lui vient de la déesse Io qui, changée en vache, avait franchi le détroit à la nage. Les Byzantins et les Turcs l’appelaient le Détroit (Stenon et Boğaziçi). Sa longueur, à vol d’oiseau (des bandes de petits oiseaux noirs ne cessent de le survoler en rase-vagues dans les deux sens), est de vingt-neuf kilomètres à l’entrée de la Marmara, cinq quand ses eaux se mêlent à celles de la mer Noire. Son lit est incliné vers la mer Noire, sa profondeur moyenne est de soixante mètres (avec quelques fosses à cent vingt mètres). Le courant, changeant selon les heures du jour, tire sa puissance des forces contraires qui la traversent. Un violent flux de profondeur, quand il arrive dans la Marmara, fait remonter vers le nord les eaux de surface. Le mouvement général du Bosphore, tout en hésitations, en ruptures, en repentirs, le jette dans huit directions différentes, et lui dessine une silhouette toujours en zigzag, festonnée de caps, de golfes, d’échancrures, d’alvéoles et de coudes, où se brisent les remous. »
(« Istanbul », NiL éditions, 2002)

rose dit: à

Gueuler Non à la guerre. Non à la guerre.

Moij. ne peux pas aller sur Facebook.

rose dit: à

« C’était tellement gros que je ne l’avais pas vue ».

Tout ce qui est très gros, on ne peut même pas l’imaginer. Alors, on le subit de plein fouet.

Phil dit: à

Merci M. Court pour les précisions. M. Ozouf semblait en effet assurée sur la pente suivie, sans nommer les acteurs de son temps.

Marie Sasseur dit: à

Je découvre absolument sidérée toute une histoire dont on ne pouvait légitimement se douter, tant l’enjeu paraît pichrocolin, mais surtout concernant un traducteur d’apparence inoffensive, et estimé pour ce travail de traducteur.

Et pourtant, outre le lien proposé précédemment, qui met mal a l’aise tant la haine semble être moteur, voici l’avis tout aussi pondéré d’un reporter engagé, qui aime et la Russie et l’Ukraine et la Bretagne, sur un couple infernal.

Sidérant, vraiment.

https://bernardgrua.net/2021/08/05/andre-markowicz-brittophobie-morvan/

Marie Sasseur dit: à

« Jacobinopitheque » si ce n’était que cela, pour dire ce parisianisme qui se dit cultivé et ne propage que de la crédulité, celle d’une réalité fantasmée.

Non, vraiment, ni bravo, ni merci pour ce billet.

B dit: à

Sidérant, vraiment.

Oui, vraiment sidérant, de quoi casser quatre pattes au canard. Cela fait un peu potins de quartier et guéguerre de village, non? L’important est de constater que cette eau( château d’eau voir Bretagne) alimente votre moulin. Ici, ils marchent aux vents, de loin on les prendrait pour des géants.

JC..... dit: à

MARDI 19 AVRIL 2022, 5h56, 13°, temps dégagé

ET DIEU, DANS CE BORDEL ?

Déjà Dieu en trois personnes, c’est difficile à admettre pour les adeptes du Barbu, du Crucifié et du Saint-Esprit blanche colombe, mais que le dieu des orthodoxes soit au service exclusif de KIRILL, Patriarche de Moscou et de toutes les Russies, et de PUTIN justifiant totalement l’invasion criminelle de l’Ukraine, alors que le dieu des catholiques romains est lui pour la paix, comme le prie le Pape FRANCOIS, c’est à n’y rien comprendre !

Chaque pays en guerre dans l’Est a son dieu, redevenu dieu des guerriers ! Un pour la Paix, un pour la Guerre ! Grand écart religieux, complètement débile.

Alors, Dieu ! Tu te décides ou non ? De quel côté tu es ?….

rose dit: à

Quelles que soient leurs compétences, aux deux, je trouve cela effrayant de revenir sur ses terres natales et de sabrer la population qui y vit son on est issue.
Peut-être émigrer dans le Morvan ?
Trouver un endroit où l’on est chez soi, heureux, calme, en bon voisinage, aimé, comme mon chat.

rose dit: à

qui y vit dont on est issue

JC..... dit: à

ET DIEU, DANS CE PASTIS ?

De quoi souffrent les croyants soviétiques orthodoxes de l’Est ? D’un passé génétique, laissant des traces terribles. Lequel ? Ils ont été baptisés et ont vécu toute leur vie dans la Vodka, liqueur à l’alcool frelaté !

Par opposition, les hommes du Sud de l’Europe ont été baptisés dans du Pastis ou de l’Ouzo !

Et le résultat au fil des siècles est sans appel : les premiers ont l’esprit dérangé irrémédiablement par la vodka, alors que les seconds, bien au contraire, sont l’exemple à suivre sur les chemins de Sagesse et de Paix…

renato dit: à

Enfin JC, si je ne fais erreur, à un moment des hommes on dit : « Faisons un dieu à notre image, selon notre ressemblance ». Comment voulez-vous donc que ce machin prenne une décision ?

Paul Edel dit: à

Merci Renato pour le lien avec Radu Lupu,qui vient de disparaitre. Ce pianiste laisse quelques magnifiques enregistrements de Schubert et une splendeur de sonorité.

Jazzi dit: à

« Alors, Dieu ! Tu te décides ou non ? De quel côté tu es ?… »

Tu crois qu’entre Macron et Le Pen il a choisi l’abstention, JC ?

JC..... dit: à

Jazzi, on voit bien que tu es Cannois…

Jazzi,

Dieu se préoccupe du Patriarche Kirill, du Pape François … c’est son domaine le divin sous toutes ses formes. A haut niveau.

Le Bébé et la Fille, ce sont sous-merdes politiques qu’il laisse au Peuple, pour amusement, distraction, parlottes vaines et sondages bidons !

B dit: à

MS, ‘u l’article de libération. Le couple ne devrait pourtant pas ignorer que la transformation de Rennes est assez courante et atteint d’autres villes. Qu’il s’installe à Nantes, ils en seront satisfaits. Les régionalismes existent et ont des revendications communes dont la sauvegarde de la langue. Ensuite, peut être ne savent ils plus vivre ailleurs que dans un milieu de lettrés et accepter une certaine simplicité des échanges des gens qui n’en sont pas. Quel est le terme adéquat pour qualifier un échange dont le contenu n’a que peu d’intérêt mais qui a pour but d’établir momentanément le contact ?

JC..... dit: à

« Quel est le terme adéquat pour qualifier un échange dont le contenu n’a que peu d’intérêt mais qui a pour but d’établir momentanément le contact ? » (B)

Babillage d’adultes.

Jazzi dit: à

Mais qu’est-ce donc qui définit le Cannois, JC, le différencie des autres ?
Bref, de quel particularisme serait-il le nom ?

bouguereau dit: à

« Quel est le terme adéquat pour qualifier un échange dont le contenu n’a que peu d’intérêt mais qui a pour but d’établir momentanément le contact ? » (B)

une french letère?..hawhawhaw

bouguereau dit: à

« Alors, Dieu ! Tu te décides ou non ? De quel côté tu es ?… »

mit uns..it’s chilling hin kabloom..tcheers..hawhawhaw

bouguereau dit: à

« Faisons un dieu à notre image, selon notre ressemblance ». Comment voulez-vous donc que ce machin prenne une décision ?

en or 24 carat il fait ta votation..hawhawhaw

bouguereau dit: à

Non, vraiment, ni bravo, ni merci pour ce billet.

un chinois s’installe à sinmalo..en 6 mois c’est un consanguins alcoolique..dmande à polo si c’est dl’hébreux

bouguereau dit: à

tape ordinateur quantique et sécurity rénateau..au lieu de draguer le canal en face de chez toi à l’aimant pour sortir la vieilles meules de ta jeunesses..avec laquelle t’as écrasé cette pov vieille

Jazzi dit: à

« un chinois s’installe à sinmalo.. »

Impossible pour un Cannois !

JC..... dit: à

« Mais qu’est-ce donc qui définit le Cannois, JC, le différencie des autres ? Bref, de quel particularisme serait-il le nom ? » (jazzi)

Ne penses pas que j’évite une réponse directe en te donnant une solution régionale tout à fait praticable à jeun : demande à un Niçois ce qui différencie un Cannois d’un Niçois, par exemple !

bouguereau dit: à

Bonne soirée les loukoums

pisque t’as l’air de connaites les militaires et de causer fluentli le ballet chiotte langoncet..dmande leur donc si c’est mieux que poutine puisse réunir ses soldats en plombs et ses bateaux..plutôt qu’il s’ennerve a envoyer péter une bombe sur odessa..moi qui cause que le racine et le corneille..je suis dans l’bleue..

Marie Sasseur dit: à

De l’hébreu ? Ohff, c’est comme dire qu’asterix de Brooklyn et falbala causent breton comme ils causent en latin d’église, la magie de Brocéliande.
Une dévotion, ptdr.

bouguereau dit: à

demande à un Niçois ce qui différencie un Cannois d’un Niçois, par exemple !

makarelle..des suisses..que des prétentieux

bouguereau dit: à

« C’était tellement gros que je ne l’avais pas vue ».

Tout ce qui est très gros, on ne peut même pas l’imaginer. Alors, on le subit de plein fouet.

pépèpe rozy..nous au mi16..et nos collaborateurs les gros becs dla cia..o l’a vu vnir gros comme une maison..hon a des preuves..dailleurs on avait décidé de les laisser parler « sans filtres » havant..tu sais pourquoi? pour connaitre la décision dun con suffit dmander aux cons..et en matière militaire attation..on a des calibes de berta hors de leur gonds rozy que même shakespeare il dirait que t’as intérete a mette le casque lourd

B dit: à

JC, je pensais sans le retrouver à phatique. Le fonction phatique du langage que j’étends un peu, il est vrai, si l’on s’en tient à la définition. Entre êtres de la même espèce, humaine en l’occurence, l’échange vise aussi à véhiculer un peu de chaleur, du désir de toucher l’autre et d’entrer en contact sans avoir forcément des formules d’alchimiste à communiquer.

https://www.cnrtl.fr/definition/phatique

lmd dit: à

Voulant me mettre un peu au parfum d’une littérature Russe moins datée que celle des écrivains barbus chevelus, j’ai lu il y a quelques mois Le Maitre et Marguerite de Boulgakov, traduit par Markowicz . Traduction heureuse et sans défaut apparents (mais comment savoir).

J’ai suivi le lien vers le site de Bernard Grua qui est censé flinguer Markowitz.
Comment faire confiance à quelqu’un qui développe si largement sur son site cet amas de préoccupations imbéciles : Contrôlez, corrigez et optimisez votre réputation numérique
https://bernardgrua.net/2022/01/16/e-reputation-serp-seo-indexation-creation/

Jazzi dit: à

« ce qui différencie un Cannois d’un Niçois »

Sable fin et gros galets, JC !

Paul Edel dit: à

y’a toujours un bar planqué dans n’importe quel rafiot de Saint-Malo Bouguereau, je confirme. Avec Chouchen, et Pommeau , parfois calva mais uniquement du Domfrontais et bu dans un banc de brume. Quand j’apporte une bouteille de Grappa, le bateau tangue puis se balance dans un grand silence.

Marie Sasseur dit: à

@Comment faire confiance

Faut pacifier.

Jean Langoncet dit: à

@dmande leur donc si c’est mieux que poutine puisse réunir ses soldats en plombs et ses bateaux..plutôt qu’il s’ennerve a envoyer péter une bombe sur odessa

No comprende l’ukrainien la petite frappe du Kremlin ?

Jazzi dit: à

Pour un lecteur francophone, va t-il être désormais impossible d’accéder à la littérature russe sans le truchement de Markowitz ?

Jazzi dit: à

« Le marcionisme est le populisme des riches et des retraités »

De plus en plus gâteux l’Emmanuel Todd, et alii !

Jazzi dit: à

marcronisme…

Jazzi dit: à

Ce qu’il faudrait créer à Saint-Malo c’est un festival international du film chinois !

Jazzi dit: à

Vu, hier, lundi de Pâques, « A Chiara ».
Un gentil portrait d’une fille de mafioso calabrais ou l’amour problématique d’une gamine de 15 ans pour son père.
La salle à la Bastille était pleine comme un oeuf, plus un fauteuil de libre !

MC dit: à

Reprenons ces arguments qui vous hérissent B. Oui il est exact qu’il y avait encore à la fin des années 1978 une mentalité «  nous les Rennais «  assez desagreable pour qui n’en était pas. Il est exact que la Place des Lices est un marqueur de la ville, un endroit apprécié, un marché connu. Il ne l’est pas moins que l’ Adn de la ville, depuis le démantèlement du Parlement de Nantes est celui d’une ville échappant au clivage breton/français, artistement développe ailleurs par qq indépendantistes vivant de mythistoire.. Et ceci parce que ville de pouvoir de la Monarchie puis de l ‘ État. En ce sens FM a le droit de s’étonner de voir fleurir des panneaux en breton, Elle se trompe cependant de responsable en incriminant la municipalité. Le fait dérive de la Charte Culturelle Bretonne délivrée sous un certain VGE, Comme il a fallu nommer des lieux qui n’existaient pas du temps des ducs, des aberrations ont été commises via un Breton administrativo- facqueux dont les absurdités existent. Écrire Kevrenn pour hôpital comme à Brest par exemple. Forger Théâtr pour Theatre, etc, Ce qui est dit de « la Rue de la Soif » et de la fermeture des « Nourritures Terrestres » est malheureusement exact. Faut-il rappeler l’assassinat à coup de poignard de ce jeune homme dans ladite rue ?Qu’il y ait dégradation n’est pas niable.? A noter que le titre n’est pas une trouvaille du couple, à Brest , la Rue de Siam avait il n’y a pas si longtemps ce surnom là.
Je formulerai une hypothèse. Il est des gens à qui l’attentat contre Versailles a donné des envies de meurtre vis-à-vis de l’autonomisme breton , dont on a un peu oublié le passé terroriste et explosif. ( du plastiquage de la statue de Rennes avant guerre, à celui de l’émetteur de Roc-Tredudon, entre autres) Il est fort possible que Francoise Morvan en soit marquée . J’ai connu des gens hauts placés dans un secteur que je tairai qui étaient convaincus d’une prochaine indépendance de la Bretagne vers …1976. Ceci pour dire que ces années furent anxiogènes pour qui pensait un peu. L’urbanisme rennais n’est effectivement pas toujours une réussite,cela dit, depuis le grand incendie, seul le centre Dix-Huitième et l’extension Dix-neuvième subsistent de la vieille ville, si on excepte la place des Lices. Je ne vois pas ce que FM vise là, la tour, la Maison de la Culture étant intégrées malgre ou à cause leur aspect 1970-1972. La gare peut-être ?😉. Je ne prendrai position ni sur les supposées sympathies trotskystes, qui sortent d’un torchon qui la plupart du temps ne cite aucune source verifiable. C’est comme ça que Sasseur conçoit le journalisme. Tout ce que je puis dire est que la feuille de chou indépendantiste qui y ressemble le plus me paraît bien loin des préoccupations du couple Morvan. L’assimilation à une secte des Ecoles Diwan est un vieux poncif qui n’est pas de Madame Morvan. Je pense qu’elle le reprend suite à la controverse avec Denez, celui-ci ayant, à ce que j’ai compris, fourni des contes de Luzel dans une version bretonne que nous n’avons pas, ceci pour une maison qui , on le sait maintenant, alimente ces écoles. Christian Troadec est une personnalité clivante,mais qui a su faire quelque chose de sa ville , et gueuler quand il le fallait.C’est le mouvement neo- bonnets rouges avec lequel on règle ses comptes. Au total tout cela n’est pas bien mechant, et Fouquier-Tinville Sasseur devra trouver mieux, elle qui devient subitement passionaria d’une langue qui , de Maunoir a Luzel en passant par la Villemarque et Le Gonidec, n’a jamais cessé d’être réinventé, voire fantasmé, et réinventé de tous bords, du breton langue mère de toutes les autres, ça c’est La Tour d’ Auvergne, au sabir administratif bretonnant de nos jours, en passant par le lifting façon La Villemarque, ou «  les mots bretons se hérissèrent de K comme des mâchicoulis «  . Bref, on en a vu, on en voit, et on en verra d’autres. Kenavo! MC

bouguereau dit: à

t’hésite entre la kalash et le surin?..faut savoir encaisser baroz..il y a beaucoup de vrai..en même temps..en même temps hon l’encule

MC dit: à

Les propos de FM sur Diwan: à supposer qu’ils soient d’elles et aient été tenus, comme tout le reste, bien sur. L’ Albert Londres de MS ne me dit rien qui vaille.

bouguereau dit: à

la petite frappe du Kremlin ?

chef oui chef

renato dit: à

« Marcionisme »… Marcion de Sinope, peut-être ?
— voir la différence entre le Dieu de la Loi de l’Ancien Testament et le Dieu de miséricorde du Nouveau Testament —

bouguereau dit: à

Sasseur devra trouver mieux, elle qui devient subitement passionaria d’une langue

voilà polo..térezoune essaie dse faire phatique par devant et par derrière..et meussieu courte répond comme loberchtourmfureur que le smoltolc hénnerve au plus haut des points..halors qu’on devrait montrer l’exempe

Jean Langoncet dit: à

@chef oui chef

Le subtil libérateur de la Crimée ; touche en deux mots aux ukrainiens

bouguereau dit: à

porte parole des militaires..des victimes..marchand de canon..libérateur..et nonobstant bobdilane..haprés tout t’es ptête turc..et fier!..et enfant dputing c’est bien ton droâ langoncet..mais tousse coping hattation

Marie Sasseur dit: à

Le  » breton » du blogapassou, sacrisstix, ne connait que la Bretagne « administrative », comme falbala a qui il fait des zieux de braise.
Enfin, comme tous ceux qui voient Rennes comme St Peterbsoug, une ville nouvelle à conquérir.

Des sacrés doryphores, ces gaziers.

Jean Langoncet dit: à

À part leur prêter la mise en scène de cadavres de civils et de prétexter que les frontières ne servent qu’à faire la guerre, tu fais bien peu de cas des ukrainiens et de la défense de leur pays souverain, agressés avec une violence inouïe par un régime criminel ; de qui te fais-tu le porte parole ?

Marie Sasseur dit: à

Le voilà acoquiné avec une trotskiste melenchonniste , maintenant, ptdr

Marie Sasseur dit: à

@A lui seul, Markowicz fonctionne comme une petite agence de presse qui se révèle comme l’indispensable complément aux reportages des journalistes. 

C’est tellement gros, qu’on n’a rien vu venir, non plus .

Jean Langoncet dit: à

@et nonobstant bobdilane

Tout ce qui contrarie tes cases mentales préétablies et bien rangées est suspect

Jazzi dit: à

A propos de Rennes, pas un mot sur le quotidien et les éditions Ouest-France, MC ?

bouguereau dit: à

je tairai qui étaient convaincus d’une prochaine indépendance de la Bretagne vers …1976

je me souviens..me souviens meussieu courte d’une colo voile en bretagne..3 minabes bateaux pour 30..mais bon..le directeur havait fait venir un bretonnant pour une veillée..il nous avait emballé..toudincou il met le turbo et fait le laius politisant..on samusait pasque le directeur faisait la gueule..et toudincou le directeur lui parle de centrales nucléaires machins..et l’ote dans une envolée incontrolée.. »ils ont qu’a toutes les mettre dans le nord..toudfaçon c’est déjà moche et il pleut encore plus qu’ici »..le directeur etait phumasse..lui s’excusait n’étant pas au courant..et nous on se marrait comme des bossus..une vraiment bonne veillée..instructive pis tout

Jazzi dit: à

Le film « A Chiara » de Jonas Carpignano nous dépeint, avec empathie, le quotidien d’une famille de petits bonnets de la mafia locale calabraise. La très discrète et efficace ‘Ndrangheta, spécialisée dans le trafic de cocaïne.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%27Ndrangheta

Marie Sasseur dit: à

Je me souviens que j’ai appris la mer à Plonovez.

Jazzi dit: à

On apprend pas la mer, c’est la mer qui nous prend, MS !

Jazzi dit: à

Il serait pas un peu sexiste, Renaud ?

Il chante : « C’est la mer qui prend l’homme, mais elle prend pas la femme,
qui préfère la campagne… » !

Marie Sasseur dit: à

Quand d’autres battent la campagne.

On se souviendra longtemps de Markowicz,maintenant, mais peut-être pas comme il se doit.

J J-J dit: à

Plovezet en fut métamorphosé, jadis, par une équpe de l’Edgar Morin. Longue vie à lui, qui devra encore subir de se coltiner à un duel scabreux. Quelle misère : tétoua et naj !

Bloom dit: à

Ce matin sur F Musique, émission matinale en hommage aux deux pianistes remarquables qui viennent de nous quitter, Nicholas Angelich et Radu Lupu. Restent leurs interprétations, pour l’éternité.

Marie Sasseur dit: à

C’est drôle cette erreur qui vient loin de l’enfance, lire Plonévez.

Janssen J-J dit: à

j’aime bien ses histoires de colonies de wacances, rares mais pleines d’ensaignement sur ce qui le rapproche des autres vieux hair des liens.
c un bon gars, jmb, s’pa alesquiaNe, on le sait depuis longtemps, hein… (et il se marc au vit !)
Bàv,

racontpatavi dit: à

La salle à la Bastille était pleine comme un oeuf, plus un fauteuil de libre !

Paris est une ville pleine de ritals, Jazzi!
(Et sa banlieue aussi.)
J’achève le Porca miseria de Tonino Benacquista de chez gallimard.
Ce bouquin se lit rapidement en petits chapîtres mais toujours un peu de l’image qu’on attend de l’italien après « Les ritals » de Cavanna ou « Spaghetti » de Gérard de Coetanze encore chez Gallimard.
Je préfère « Italiques « de G. Borgeaud à tout dire.

racontpatavi dit: à

Gérard de Cortanze

Jazzi dit: à

Et le monde est plein de pizza, rcptv !

Jazzi dit: à

« j’aime bien ses histoires de colonies de wacances »

Ouais, mais celle du boug manquait de Q, JJJ !

et alii dit: à

et ne pas confondre avec
Igor Markevitch est un chef d’orchestre et compositeur, né le 27 juillet 1912 à Kiev en Ukraine et mort le 7 mars 1983 à Antibes. Il fut naturalisé italien en 1947 et français en 1982.
bonne journée

Jazzi dit: à

Ni avec Stevan Markovitch, de l’affaire du même nom, et alii !

et alii dit: à

merci, jazzi, de ne pas « augmenter » vos posts d’ un « et alii » compulsif et maniaque ; trouvez vous autre chose ou quelqu’un d’autre ,SVP

Marie Sasseur dit: à

19 avril 2022

Effacer une ville du paysage de la terre.

C’est fait, plus de 20 000 tués, et une ville rasée.
Souvenez-vous de Marioupol.

renato dit: à

« La Russie accuse l’Occident de faire durer les hostilités », il voudrait quoi au juste le criminel qui squatte le Kremlin ?

Jazzi dit: à

« trouvez vous autre chose ou quelqu’un d’autre, SVP »

C’est que dans le contexte actuel de retour de la guerre et de compétition stratégique tant militaire qu’économique, les tentatives de recherches d’alliances n’ont sans doute jamais été aussi cruciales au sein de la RDL, et alii !

Janssen J-J dit: à

@ celle du boug manquait de Q
mais non, à cette époque de préadolescence, l’était encore pusso comme tout le monde… Ce n’est que bien plus tard qu’il comprit sa destinée, comme poutine et ferdine. Et qu’il sût en tirer une filo perso au sein de l’EN. Votez blanc, jzmn, vous ne le regretterez pas, croyez-moij. Et n’allez pas regarder le duel demain soir, risqueriez au final d’aller voter pour Mari(n)e et Sa(nièce), comme annidalgho. Bàv,

renato dit: à

Pour ceux qui refusent le mot génocide à propos de l’action russe en Ucraine : Putin, parlant de la solution finale de la question ukrainienne, l’a appelé en utilisant l’équivalent russe de Endlösung, ce qui rappelle précisément la solution finale proposée par les nazis contre les Juifs lors la Conférence de Wannsee.

bouguereau dit: à

@ celle du boug manquait de Q
mais non, à cette époque de préadolescence, l’était encore pusso comme tout le monde…

q et pucelage ne sont pas synonime..daccord havec freud ça a pris une tournure -sacrément- et -spécialment- qu’il dirait poutine -sinistre-..au moins on partage ça les homos et les hétéros

Jazzi dit: à

J’ai bien compris que le vote blanc était chez vous une demi mesure pour favoriser, même pas inconsciemment, l’élection de Marine Le Pen, JJJ.
Ce n’est pas ma démarche.
Je ne regarderai certainement pas le débat, mais voterai, sans état d’âme, pour Emmanuel Macron.

bouguereau dit: à

Pour ceux qui refusent le mot génocide

macron a raison et tu as tord tête de fion de couyon de rénateau..ça se refuse pas..spèce de suisse de nazi drogué

rose dit: à

Le texte :
« C’est pas l’homme qui prend la mer
C’est la mer qui prend l’homme, ta-ta-ta
Moi, la mer, elle m’a pris
Je m’souviens un mardi…
etc  »
Le texte littéral.

bouguereau dit: à

sans état d’âme, pour Emmanuel Macron

subrepticment tu veux signifier que macron pourrait haussi t’en donner hune..tu dvrais copiraïter comme térezoune..ça vaut des sous..pas ton a^me attation..personne y donrait un clou

rose dit: à

Quel est le terme adéquat pour qualifier un échange dont le contenu n’a que peu d’intérêt mais qui a pour but d’établir momentanément le contact ?

Socialiser.

rose dit: à

Et un clou rouillé ?

renato dit: à

Avant de jouer avec une a-langue, ce dont t’es incapable, commence par comprendre ce que les gens disent (et éventuellement en bonne traduction), Sac à Bière.

rose dit: à

demande à un Niçois ce qui différencie un Cannois d’un Niçois, par exemple !

Les olives noires.

Jazzi dit: à

Oui, rose, mais et alii ne veut socialiser avec personne.
A l’exception de Bloom ou renato, avec lesquels elle veut bien pratiquer le monologue interrompu…

rose dit: à

Fonction phatiqie.
Pourquoi pas vocalises tant qu’on y est ?

rose dit: à

phatique.
De vocaliser à roucouler, y a qu’un pas à franchir entre draguer la voisine plutôt que le canal.
La vieille meule, y a ben longtemps qu’elle est au clou.

bouguereau dit: à

« augmenter » vos posts d’ un « et alii »

baroz mine du bitcoin sur le dos de la truie..c’est dla palpation hilégal d’hintérét qu’il disent rénateau et ses friends du monde entchier

Jazzi dit: à

Les olives ne sont pas plus vertes de l’autre côté du fleuve Var, rose !
Moi qui suis le rejeton d’un Cannois et d’une Niçoise je sens bien une grande différence entre les deux mais je ne saurais trop comment l’expliquer.
Le premier est sans doute plus cosmopolite et le second plus patriotique ?

rose dit: à

Et alii n’est pas mutique, jazzi, ce qui est essentiel, puisque tout ce qui est tu tue.

Marie Sasseur dit: à

« Mona Ozouf confiait récemment que son père, mort jeune, eût sûrement fini extremiss Breton, collaborateur.. etc.  »

C’est après que falbala a fait une tribune dans le monde libre, où elle a convaincu la fille de Sohier, que son père était un fasciste.

Cette dame, plume de Mélenchon sur les langues minoritaires ? semble avoir beaucoup de problèmes, je trouve.

Elle a écrit un roman.
Prenez le temps, ça vaut son pesant de pouding breton.

https://francoisemorvan.com/censure/wikipedia/

rose dit: à

Jazzi
Moij suis rejetonne d’un italien et d’une espagnole, mélange détonnant. Commence à peine à me calmer.

rose dit: à

ires ? semble avoir beaucoup de problèmes, je trouve.

Elle a écrit

Oui.
C’est le fait de reni-er sa bretonnitude. Plus facile d’être corse. Même sur le continent, à l’île d’Elbe ou à Saint Hélène, tu ne renies rien.
Ita est cela n’est jamais bon de reni-er ses racines.

rose dit: à

Hey, le pudding breton c’est du far.

Bouguereau
Je mettrai le casque. Semaine prochaine.

et alii dit: à

Né en Argentine de parents ukrainiens, juifs originaires d’Odessa1, il passe son enfance et son adolescence à Buenos Aires, où il fait ses études de médecine et de psychiatrie, à la faculté de médecine de l’UBA2. Il se forme à la psychanalyse, notamment avec Enrique Pichon Rivière3. Il est admis comme membre associé de l’Association psychanalytique argentine (APA) en 1954 et comme membre titulaire en 1957. À l’issue de sa participation au 19e congrès de l’Association psychanalytique internationale à Genève, en 1955, il décide de quitter l’Argentine et de continuer sa formation psychanalytique en Europe. Il poursuit d’abord ses activités à Paris, en 1957, puis à Londres où il demande une supervision à Melanie Klein. Il effectue avec Herbert Rosenfeld à Londres une nouvelle tranche de psychanalyse.4. C’est plus tard qu’il se rapproche de la pensée de Wilfred Bion, une autre rencontre essentielle dans son parcours, dont il suit le séminaire durant les années 1960, puis qu’il fait venir pour des séminaires en France plus tard, alors qu’il exerce lui-même comme psychanalyste à Paris, à la fin des années 1960, jusqu’en 1978.

Il est membre de la Société française de psychothérapie psychanalytique de groupe (SFPPG), et en est le président de 1990 à 19945.

Salomon Resnik a exercé principalement comme psychanalyste à Paris. Il a également mené une activité de psychanalyste à Venise où il a travaillé avec de nombreux praticiens dans des groupes de formation et de supervision.6.

Il est notamment connu pour ses travaux originaux sur la psychose dont il fait une analyse de la communication et du langage dans l’ouvrage Personne et psychose (2000). Espace mental (1994) et Temps des glaciations (1999) sont ses deux autres ouvrages importants.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Salomon_Resnik

Marie Sasseur dit: à

La même, éditée par Wikipedia.

Décidément quelke histoire, ce rififi au pays bigouden tourne au crêpage de chignon où des Anonymous luttent pied à pied contre le folklore breton qu’ on leur impose.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7oise_Morvan

rose dit: à

Eh. Trop de far.
Manque de phare.
Bises

rose dit: à

Elle est nommée Folkloriste par XIII from Tokyo.
Ce ne serait pas not’bouguereau XIII from Tokyo.
Tain’j’,les embaucherais bien pour ranger du bois.

rose dit: à

Ce s’rait pas not’bouguereau XIII from Tokyo ?
À tout hasard ?

Janssen J-J dit: à

@ J’ai bien compris que le vote blanc était chez vous une demi mesure pour favoriser, même pas inconsciemment, l’élection de Marine Le Pen

*** décidément jzmn, vous ne comprendrez jamais rien… à ma (semi) conscience, et à la politique politicienne en général… Entre elle et moij, ce n’est pas une affaire de Q, comme entre vous et Macron, voyez, disons le ainsi…
Car, eh bé, si on en est là, ça en doit long sur la qualité de votre passion pour le cinéma et la littérature des alter…
Bàv, cher ami,

Marie Sasseur dit: à

Il faut réparer une injustice criante qui saute aux yeux à la lecture de Wikipedia, qui comme on le sait faut et défait des renommées.

Billet
 » Considéré comme un cas dans un milieu qui s’est longtemps invisibilisé et qui sort de l’ombre, du silence et du retrait depuis peu afin notamment de conquérir le droit si légitime de voir le nom du traducteur apparaitre sur les couvertures de livres, Markowicz s’est fait connaitre à la fin de l’autre siècle lorsqu’il a proposé à Hubert Nyssen, patron d’Actes sud, de retraduire Dostoïevski au motif que les traducteurs avaient été dans le contre-sens en conférant une élégance si française à cet auteur si brutal.. »

Il serait injuste de ne pas ajouter le nom de madame, pour presque tout le reste.
Un cas !

Jazzi dit: à

André Markowicz et Françoise Morvan, un couple d’intellectuels aussi flamboyants aujourd’hui que ne le furent en leur temps Sartre et Beauvoir !

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