François Sureau entre en Seine
Il y a des livres qui en font trop- et on peut passer la semaine à chercher l’adjectif qui qualifierait au plus juste leur auteur. On se retient de lui dire, sur le ton de Joseph II s’adressant à Mozart à l’issue de la création de L’Enlèvement au sérail : « Trop de mots, mon cher Sureau, et trop de noms ! ». Mais je ne suis pas plus empereur que commanditaire. Juste un lecteur admiratif de la manière de cet écrivain singulier, au talent protéiforme, capable de nous donner à lire de magnifiques romans tels que L’Obéissance (2007), Inigo (2010), Le Chemin des morts (2013) notamment, lesquels se distinguaient, entre autres qualités, par… leur économie, leur concision, leur sécheresse ! On dira à juste titre que chaque livre d’un même auteur appelle sa propre forme, son expression particulière.
L’Or du temps (848 pages, 27,50 euros, Gallimard), paru à la veille du confinement, exigeait-il pareille abondance, un tel débordement, ce flot ininterrompu de choses vues, entendues, vécues ? En tout cas, ce n’est pas André Breton, sous l’aile duquel François Sureau place son récit, qui le lui a demandé (« Je cherche l’or du temps » avait-t-il fait graver sur sa tombe). Ni son projet qui l’a exigé. Ayant pris acte qu’une grande partie de sa vie (1957) s’était déroulée sur les bords de Seine, il s’empara de la coulée grise et verte afin de lui faire cracher ses secrets, réels, imaginaires ou fantasmés. Autant d’étapes, autant de récits. De la source sur le plateau de Langres à Rouen en passant par Châtillon, Troyes, Méry, Bray, Samois, Evry, Ivry…
A chaque arrêt, des livres, des tableaux, des poèmes, des films, des personnages ressurgissent. Tout un magasin de madeleines ! Le plus étrange est qu’il se doit donné pour guide un artiste mystique du nom d’Agram Bagramko. Il y revient sans cesse, c’est son héros récurrent, tant et si bien que, familier ou ignorant de l’histoire du mouvement surréaliste, on est fondé à se demander s’il ne s’agit pas d’une invention et d’un jeu entre lui et lui-même, intime conversation avec son double imaginaire- mais c’est bien sûr ! à force de « il aurait pu y être… », « il a failli le rencontrer… ».
Cela nous vaut de longs portraits aux développements imprévisibles du général Mangin en prototype du colonial qui avait érigé le patriotisme en absolu, ou des rapprochements bienvenus entre le Ceux de 14 de Maurice Genevoix et la série Band of Brothers. La dérision est coruscante (ah, « le veston de haine » de Paul Morand…) et l’autodérision n’est jamais loin chez ce colonel de réserve de la Légion étrangère (cent jours par an pendant une quinzaine d’années) qui synonymise les médailles comme « le fer-blanc de l’honneur »- quel autre écrivain de sa génération peut-il bien évoquer le scaferlati, tabac de troupe autrement dit gris ou gros-cul ? Ou encore se pencher sur « la malédiction de la faillite » qui guette tout commerce sis sous les arcades des jardins du Palais-Royal (l’ancien auditeur du Conseil d’Etat a dû passer ses déjeuners à étudier le phénomène). Ou se souvenir que le Paris littéraire de l’entre-deux-guerres avait surnommé l’abbé Mugnier « Saint Vincent de Poule » en raison de sa proximité avec les pêcheresses.
Il fait peu de cas de l’actualité, ce dont on ne le blâmera pas ; à peine fait-il écho à un combat personnel qui lui est cher, tout à sa défense passionnée des libertés face à la puissance écrasante et laminante des institutions, de quoi le défaire un peu de son image sabre&goupillon encore que son anticléricalisme perce ça et là dans sa détestation de « ceux qui prétendent parler à la place de Dieu », donc à l’occasion d’ une remarque en marge d’une réflexion sur les antidreyfusards :
« …. Ceux-là pensaient que l’absence de preuve sérieuse de la traitrise ne pesait pas lourd face aux intérêts de la défense nationale, tout comme aujourd’hui l’on soutient que les garanties judiciaires devraient s’effacer devant les impératifs de la lutte contre le terrorisme, ou même, plus largement, devant le souci de sécurité que manifestent les contemporains.
Il n’y a que lui (et peut-être Barozzi l’arpenteur, deux fous de Paris) pour remarquer au fronton d’un bâtiment parisien situé à l’angle du boulevard de Port-Royal et de la rue du Faubourg Saint-Jacques l’inscription gravée dans la pierre du porche : « Liberté, égalité, fraternité, maison et école d’accouchement ». A ranger parmi quelques menus mystères : le marquis de la Chesnaye de la Règle du jeu orthographié à maintes reprises « Cheyniest » allez savoir pourquoi. Parfois, on devine pourquoi il sollicite la réalité afin de la faire mieux coller à ce qu’il veut raconter : ainsi fait-il de La Femme rousse de Georges Sim l’un des premiers Maigret de Georges Simenon alors que le commissaire n’y est qu’ébauché ; seulement voilà, l’écrivain avait fait halte à Samois ; de même interprète-t-il ses nombreux déménagements comme « la poursuite d’un réconfort qui ne venait pas » alors que cela correspondait tout simplement à des changements de vie, de pays et de situation familiale…
De même on s’étonnera de lire chez le dernier des fumeurs de pipe (« un instrument de réglage, par rapport au monde. Ça m’aide à le tenir à distance, pour conserver mon équilibre ») des jugements péremptoires qui devraient sidérer n’importe quel lecteur de bon sens, à savoir que « Simenon n’a pas su créer de personnages » (à moi, Dieudonné Ferchaux, Maurice de Saint-Fiacre, Betty, Walter Higgins, Joris Terlinck, Lucien Gobillot, Labbé, Kachoudas, M. Hire, Norbert Monde, Charles Alavoine, Jonas Milk, Louis Cuchas, Bébé Donge, Hector Loursat et tant d’autres !), que « on oublie sans peine les personnages de Joyce et de Céline » (au secours, Bloom, Courtial des Péreires et Bardamu !) et même que « ceux de Proust me sont toujours apparus faibles, et la Recherche toute entière comme une galerie de seconds rôles, Oriane de Guermantes, Swann et Verdurin ne différant guère de la délicieuse femme de chambre de la baronne Putbus » (manifestement, la fréquentation de la Seine provoque des dégâts aux effets inattendus). Seulement voilà : il est de ces écrivains dont même les excès et les contradictions ont une capacité de séduction et d’emballement quand chez tant d’autres, elles nous exaspèrent.
C’est peu dire que François Sureau abuse de la digression : d’un des beaux-arts, il fait un sport de compétition. Tant et si bien qu’après avoir commencé un chapitre, on ne sait déjà plus pourquoi il nous a entrainés dans tel hameau paumé. Un prince de la divagation tant c’est mené d’une écriture ailée, ce dandy tendance catho fana mili à-sa-manière nous menant par d’improbables chemins de traverse comme seuls des esprits réellement indépendants en sont capables. Seulement, on le sait bien, l’abus de formules nuit gravement à la santé d’un texte (« La guerre est une porte qu’on force, en soi-même et hors de soi-même »). L’effet s’annule de lui-même dès lors qu’elles s’accumulent. Son récit est si cultivé, si implicitement référencé en l’absence de toute référence explicite, que non seulement il nous asphyxie parce ce trop plein mais que, émaillant ses histoires d’innombrables noms d’auteurs cités sans leur prénom ni leur qualité, d’une ellipse à l’autre, il doit supposer que tout le monde les connait.
C’est là que le bât blesse, dans ce à quoi cette narration profuse et précipitée aboutit : une gênante sensation d’entre-soi – et ce qu’elle exprime : une absence totale de souci du lecteur. Ainsi lorsque par exemple, évoquant Racine il rappelle ce « qu’écrit Picard » sans rien dire d’autre de Raymond Picard qui s’opposa à ce sujet à Roland Barthes au cours d’une querelle qui défraya la chronique des Lettres pendant un an… Idem pour « Angelier », « Cabanis », « Waresquiel » que tout lecteur bien né est supposé connaitre et, partant, comprendre dans l’instant la place dans le paragraphe. C’est à se demander s’il écrit pour être lu. D’autant plus regrettable que l’on ne compte plus, tant il y en a, ses pages éblouissantes de finesse dans le jugement, d’intelligence critique, de rapprochements inattendus, de sensibilité écorchée, d’élans chevaleresques, d’ouverture à l’Autre et de souci de l’étranger.
« Il faudrait aussi s’entendre sur le sens de grandeur, qui nous est gâté par une sorte de romantisme. La grandeur dont parle Sainte-Beuve ne se traduit pas par des réussites éclatantes, elle n’est pas marquée par l’orgueil et ne se propose même pas à l’admiration. C’est la grandeur véritable de celui qui a renoncé à se raconter des histoires sur lui-même et qui a mis toute sa confiance en Dieu. C’est une grandeur intérieure et largement invisible. Il n’y en a pas d’autre qui vaille »
Cette idée de la grandeur irradie secrètement toutes ses discrètes évocations de la présence tutélaire de son grand-père dit le professeur M., grand médecin, ancien combattant gazé dans les tranchées, résistant quand il fallut l’être, son modèle, son héros. Une impression trop hâtive le ferait cataloguer comme un bavard irrépressible, une main à plume que rien n’arrête, d’autant qu’il en rajoute encore dans de longues notes en bas de pages qui ont dû faire hurler les préparateurs de copie chez son éditeur. A-t-il pour autant trouvé l’or du temps qu’il aura cherché partout où l’a mené son moi innombrable sur les traces d’un voyageur imaginaire ? Son livre ne figurera pas dans mon anthologie imaginaire des pérégrins fluviaux aux côtés du Kauffmann de la Marne, du Jullien de la Loire, de l’Airoldi de l’Adour, du Magris du Danube… Qu’importe au fond puisque, de toute façon, dans L’or du temps le fleuve n’est qu’un prétexte.
N’empêche que malgré ces reproches et ces réserves, on ressort épaté de la lecture de ce livre d’un fou capable de s’offrir en nos temps trop raisonnables le luxe d’une telle folie. Epaté par ses pages sur Bernanos, Bloy, Rachi, Nadja, Port-Royal-des-champs, le monastère de la Grande Chartreuse, son unique Foucauld qui prend bien un « d » à la fin et non un « t », entre autres, épaté mais épuisé, asphyxié par la noyade. Au fond, l’adjectif que l’on cherchait pour le qualifier, c’est lui-même qui nous le fournit dans les toutes dernières lignes de son monstre :
« Mon livre est pareil à la Seine, il s’écoule et ne tarit pas ».
C’est un pastiche de l’Apollinaire d’Alcools. Mais le mot essentiel y figure. Il dit bien le meilleur et le pire de ce Sureau-là : intarissable.
(« Square du Vert-Galant et Pont-Neuf, Ile de la Cité, 1951 », photo Henri Cartier-Bresson : « François Sureau » photo Elodie Grégoire)
968 Réponses pour François Sureau entre en Seine
Rose,
Au débutdu confinement, je suggérais ici que nous faisions une expérience naturelle qui permettrait de savoir si l’argument de Pascal, si souvent cité, « Tout le malheur des hommes… » était fondé (ou du moins son interprétation habituelle). Nous avons fait le test. Rien de plus faux. La réponse se trouve, notamment, dans les EHPADs. On trouve des personnes qui après avoir été isolées, ne reconnaissent plus certains de leur proches. Nos interactions constantes avec d’autres nous sont physiologiquement indispensables. Penser de même –à l’autre bout de la vie– aux enfants-loups. Je le mentionne à vous puisque vous écrivez beaucoup sur votre mère et que moi-même, j’ai une tante centenaire dans un EHPAD.
A PROPOS DE BENITIER? SAVIEZ VOUS QUE L’Église de Climatologie ouvre ses premiers confessionnaux en Allemagne
L’Église du Réchauffement Global Anthropogénique fait un pas supplémentaire vers sa confirmation définitive comme mouvement religieux
ENVIRONNEMENT SUJETS DE SOCIÉTÉ 17 FÉVRIER 2012
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L’Église de Climatologie ouvre ses premiers confessionnaux en Allemagne
L’Église du Réchauffement Global Anthropogénique fait un pas supplémentaire vers sa confirmation définitive comme mouvement religieux
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La « protection du climat » devient officiellement une religion : on commence à ouvrir des confessionnaux en Allemagne.
Par Luis I. Gómez
Après l’établissement de la nouvelle doctrine religieuse sur le changement climatique et la protection du climat, l’Église du Réchauffement Global Anthropogénique a fait un pas supplémentaire vers sa confirmation définitive comme mouvement religieux : la confession et l’instauration du sacrement de la pénitence et de l’absolution.
Sous les auspices de divers ordres écologistes, vient de naître Klimaretter.info, le premier confessionnal virtuel de l’Église du Réchauffement Global Anthropogénique. Bien entendu, vous pouvez vous rendre à n’importer quel centre du culte pour réaliser votre confession :
Si vous vous sentez particulièrement pécheur, le mieux serait de recourir à une position de respect, de repentir, d’humiliation :
Après avoir confessé avoir ingurgité 300 grammes de viande de bœuf, violant le commandement « Tu n’émettras pas ni ne provoquera l’émission de méthane », qui avait été transformée et transportée avec comme conséquence l’émission de CO2, ce qui porte atteinte au commandement « Tu n’émettras ni ne provoquera d’émission de CO2 », non seulement vous vous sentirez mieux : vous recevrez l’absolution du prêtre de l’Ordre d’Al Gore qui se trouve dans le confessionnal.
S’il ne se trouve pas près de votre domicile un lieu de culte adéquat, vous pouvez réaliser votre confession (logique, par les temps qui courent !) directement online. Votre confession, rendue anonyme comme il se doit, sera ensuite publiée dans klimaretter.info en guise d’exemple face aux autres pécheurs ! L’Ordre Militaire des « Klimaretter » (qui sonne presque comme Tempel Ritter) restera vigilant face à toute tentative de blasphème et/ou d’hérésie.
musées :
A Museum Dedicated to Miniature Architectural Models Opens in Tokyo
https://www.thisiscolossal.com/2016/08/a-museum-dedicated-to-miniature-architectural-models/
je voudrais signaler à J.Barozzi un article de P.SLOTERDIJK que je n’ai pas encore relu en entier sur le terme de « religion » : j’avais été frappée lorsque je lus chez P.S « si vous voulez savoir ce qu’est u ne religion, fondez en une »
bref, ce n’est pas si « simple » :voici l’article que j’ai trouvé, prise de scrupules à l’égard de son travail de lecture de la « bible »:
in Peter Sloterdijk, Tu dois changer ta vie
Trad. de l’allemand par Olivier Mannoni, Paris, Libella Maren Sell, coll. ess-docum, 2011, 645 p.
Tanguy Wuillème
» Cela reviendrait à affirmer, avec Peter Sloterdijk, que la religion n’existe pas, n’a jamais existé, qu’elle est une invention chrétienne qui a pris fin aux alentours de 1900. Il faut s’entendre sur les mots et aller au cœur de la thèse de l’ouvrage : les religions ne sont pas un système de croyances, ni même une mise en forme ou en sens du social, elles ne sont que « des systèmes d’exercices anthropotechniques interprétés plus ou moins de travers, ainsi que des corpus de règles destinées à se former soi-même au comportement intérieur et extérieur » (p. 124) ou, dit autrement, « des systèmes d’exercices symboliques et des protocoles permettant de réguler le commerce avec les stresseurs supérieurs et les puissances “transcendantes” » (p. 129).
2Outre le fait que cette définition élimine des siècles de controverses de sociologie religieuse (pour aller vite d’Émile Durkheim à Marcel Gauchet), elle parvient toutefois à saisir ce qui conduit les modernes à vouloir se débarrasser d’un bagage culturel devenu bien encombrant et trop endurant. Pour Nietzsche, le christianisme ne désignerait pas la « religion » mais un rapport ascétique au monde, une forme malheureuse de l’ajournement de la vie, de l’orientation vers l’au-delà et des démêlés avec les faits séculiers. Il faudrait faire une histoire du mot latin « religio », littéralement le « soin » chez les Romains, qui fût une aubaine sémantique pour désigner les soldats de Rome, les pieux-fidèles de César, jusqu’à ce que saint Augustin parle de « vera religio ». Le Moyen-Âge parlait seulement de religion pour désigner la vertu des croyants et la forme de vie des ascètes, la Réforme usa du mot pour dénoncer le catholicisme et les Lumières généralisèrent la notion pour en faire une constante anthropologique et classer le méli-mélo des confessions.
3Que la religion n’existe pas, qu’elle ne soit qu’un complexe d’actions intérieures et extérieures, d’exercices spirituels et physiques, Peter Sloterdijk le repère dans la facilité qu’ont certains opportunistes à en inventer une nouvelle : on trouve des analyses révélatrices sur Ron Hubbard et son Église de Scientologie et sur ce qu’on dénomme aujourd’hui les « religions séculières » (surtout le sport). Le premier venu peut devenir un entrepreneur de religion à partir de deux postulats : la vraie religion ne serait pas encore née et on aurait un nouveau contenu bien plus salvateur à faire advenir. N’est-ce pas ainsi qu’ont été initiées toutes les religions ? Dès lors, il suffirait de remettre en place, quitte à les parodier, les structures institutionnelles existantes par ailleurs, confirmées par l’histoire. Ainsi la religion apparaît-elle sous ses deux formes comme un système de la verticalité : soit elle est du côté de l’offre, transmission de haut en bas, de Dieu aux hommes (position catholique) ; soit elle obéit à une logique de la demande, où l’on répond aux besoins de la foule, on a le tournant démocratique des pratiques protestantes. »
comme j’ai donné un exemple tout à l’heure d’une telle invention (climatologie), voici le lien de PS
https://journals.openedition.org/questionsdecommunication/2196
voilà la citation de Peter SLOTERDIJK que je cherchais comme emblématique de son questionnement sur ce qu’est une religion: » la manière la plus efficace de montrer que la religion n’existe pas est d’en mettre une au monde soi-même. »
il l’a redit souvent et c’est quand même essentiel à son travail de philosophe
et qu’on ne me dise plus que je recommanderais, sans scrupules, des inconnus :
Professeur à l’université de Karlsruhe, Peter Sloterdijk est considéré comme l’une des grandes figures de la philosophie contemporaine. Une grande partie de ses ouvrages est publiée dans la collection « Pluriel », notamment Le Palais de cristal, Bulles (Sphères I), Globes (Sphères II), Écumes (Sphères III) et Colère et Temps.
remarque:j’ai entendu débattre plusieurs fois Sloterdijk etj’ai lu ses livres avec le plus vif intérêt;jetrouve sur la toile un débat avec Morin:
« Peter Sloterdijk : Comme vous, je crois qu’il y a toutes les raisons de ne pas jubiler du relatif succès des écologistes aux dernières élections européennes. Il faut garder notre scepticisme.
Edgar Morin: Le problème du message écologique est qu’il rend uniquement compte des dégradations extérieures visibles. Or, les dégradations intérieures, dues à notre civilisation, ne sont pas visibles. Elles sont toujours vécues sur le plan individuel et formulées sur le mode “Je ne dors pas” ou “Je suis déprimé”. On cherche des réponses personnelles plus ou moins valables : psychothérapies, psychanalyses, yoga… Et on ne prend pas conscience que ces deux mal-être, le visible et l’invisible, sont les deux faces d’un même problème qui résulte du processus de notre civilisation. Il faut que l’écologie politique entre dans une perspective plus globale. Le rapport à la nature est un enjeu qui doit également transformer notre rapport à nous-même, à notre société et à l’altérité.
PS : Je dois dire que ce qui m’a attiré vers vos ouvrages, c’est précisément qu’une nouvelle complétude s’y profile. Après la débâcle de la gauche avec l’affaire du détournement d’avion vers Mogadiscio, en 1977, et le suicide de la bande à Baader, l’Allemagne en avait fini avec les illusions. C’est à cette époque que notre pays a vécu une renaissance de la pensée écologique qui était née, chez nous, autour de la Première Guerre mondiale. Rudolf Bahro, un dissident est-allemand, a alors écrit quelques livres qui ont fortement inspiré une nouvelle gauche. Notamment un ouvrage qui se présentait comme la matrice d’un nouveau courant de pensée écologique, Die Logik der Rettung (la logique du sauvetage). Toutefois, en tant que penseur postmarxiste, Bahro n’a pas su poser la question autrement que dans la terminologie de la révolution. Or, ce qui m’a beaucoup intéressé dans votre nouvelle approche, c’est le fait que vous ayez remplacé le terme de “révolution” par celui de “métamorphose”.
http://www.collegium-international.org/fr/presse/88-presse/179-etat-d-urgence-dialogue-entre-peter-sloterdijk-et-edgar-morin.html
« Le grand roman de Balao »
Cet hommage humoristique d’Apollinaire parait bien s’appliquer à Gaston Leroux et son Balao, sorte de King Kong avant la lettre qui sème une mémorable panique au quartier latin. Jolie révérence.
Année LvB, Concerto pour piano n 3 op.37 :
23.7 — 7.13
Jeudi 23 juillet 2020, 9h34
Je suis tout à fait d’accord avec notre cher Président MACRONASS au sujet de l’appellation « incivilités » concernant des faits mineurs comme le meurtre d’un flic ou la mise à mort d’un voisin à coup de barre de fer !
Ne dit on pas dans les milieux concernés que la Shoah ne fut qu’une « incivilité » de masse, ciblée…?
et alii dit: à
remarque:j’ai entendu débattre plusieurs fois Sloterdijk etj’ai lu ses livres avec le plus vif intérêt
Elle a tout lu, tout bu, tout su!
Comprendra-t-elle que son intérêt n’est pas forcément le nôtre?
Que l’intérêt particulier n’est pas universel?
Emplâtrons ce blog, semble-t-elle écrire et faire!
non hot pepper, c’était destiné à J.BAROZZI qui me questionna sur « la religion » et comme ce « motif »réapparait dans le billet, et que Sloterdijk a enseigné, et publié et débattu sur la religion, j’ai dit à J.Barozzi que c’était aujourd’hui une des meilleures sources pour éclairer sa terminologie,d’autant que la toile abonde en références précises et que la précision ne gâche rien ce que rappelle le billet;il y a plus qu’assez de charlatans sur des problèmes sensibles pour notre société en ce moment, comme les infos l’attestent
hot pepper, nul ne vous autorise à dénigrer SLOTERDIJK comme étant une marotte personnelle ou de français-es; d’autant qu’il n’est pas français mais un des meilleurs connaisseurs de la culture française
hot pepper, je vous signale que Sloterdijk En 1975 il soutient une thèse sur la philosophie et l’histoire de l’autobiographie2 à l’université de Hambourg.
Vendredi 23 juillet 2020 à 11 h 06 min.
« Né à Jérusalem (et toujours vivant) » de Yossi Atia et David Ofek.
Réalisateur, scénariste et interprète du film, Yossi Atia, coréalise avec David Ofek un premier long métrage autour d’une idée originale et d’un personnage attachant, celui de Ronen, guide touristique à Jérusalem.
Face aux guides traditionnels de la ville sainte, qui se cantonnent généralement à l’histoire officielle, Ronen, jeune homme pataud et mélancolique, propose aux visiteurs un circuit organisé essentiellement autour des lieux d’attentats de la rue Jaffa. La première rue au monde en cette spécialité, comme il aime à leur rappeler.
Il n’accepte dans son groupe que des étrangers, au prétexte que « les Israéliens veulent toujours avoir raison », et, contrairement aux autres guides, refuse de se faire payer.
Des visites très élaborées, où il n’hésite pas à faire jouer aux touristes le rôle de victimes, leur distribuant des téléphones portables pour qu’ils puissent appeler leurs proches et leur dire qu’ils vont bien suite à un… attentat ! Il les soumet aussi à un questionnaire, du genre : « après une explosion dans un bus ou une fusillade dans un café, peut-on aller aussitôt prendre un pot avec ses amis ? »
Au fil de ces visites répétitives, où se distingue un fort contingent d’asiatiques, dont un gentil étudiant japonais, venu étudier la Bible sur les lieux-mêmes de la naissance du Livre, on remarque qu’il saute régulièrement une plaque commémorative et qu’il est souvent pris de sueurs froides.
Parallèlement, Ronen, qui doit s’occuper de son père, cloitré chez lui, et qui avoue avoir perdu récemment sa mère, « d’un cancer », précise-t-il, ne semble pas avoir de problèmes financiers : il partage un appartement avec son meilleur ami, qui tarde toujours a lui donner sa part de loyer. Ce dont Ronen ne semble pas se formaliser.
C’est alors qu’à la cocasserie de situation du film, le spectateur subodore plutôt assister à un acte de résilience de la part du héros.
Un Woody Allen triste et un peu grassouillet, qui ne semble pas disponible lorsque, contre toute attente, une ravissante visiteuse tombe amoureuse de lui !
Aussi finit-on par se demander quel est le sens véritable de cette histoire, qui nous apparait inaboutie, mais qui malgré ou à cause de ses maladresses ne manque pas d’un charme singulier…
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19586107&cfilm=273943.html
Jeudi et non vendredi…
@BB,
(suite de mon commentaire d’hier.)
J’ai lu des essais d’un théologien jésuite, Joseph Moingt, Dieu qui vient à l’homme / Du deuil au dévoilement de Dieu, (Le Cerf), qui ne font pas l’unanimité mais qui m’ont fait réfléchir. Un des meilleurs connaisseurs de toute la tradition théologique chrétienne, l’ouvrant sur l’histoire, les sciences humaines, dans un esprit de grande liberté.
D’après lui, le diable n’existe pas, les miracles de Jésus non plus. Quant à la résurrection du Christ, il n’y en aurait « aucune preuve historique ». Ce qui n’empêche pas Joseph Moingt d’y croire car, dit-il, « la foi ne s’encombre pas de preuves ».
Les discours théologiques de la modernité y sont présentés comme l’étude d’une mutation récente dans le dévoilement de Dieu, d’un Dieu qui « sort » de la religion pour se manifester dans la réalité profane de Jésus où la divinité se rend « inconnaissable » . Des penseurs et savants chrétiens, blessés par l’attitude de l’Église à leur égard, l’ont quittée pour exercer la liberté de penser et de parler qu’elle leur refusait. Lui écrit…
Faire passer Dieu par où Jésus est passé, donc par la souffrance et la mort…
Pour lui, les premiers écrits chrétiens, valorisent l’Évangile comme enseignement éthique, exempt de tout législation religieuse, mettant en valeur le véritable amour, la liberté d’une foi critique, l’effacement des frontières et des inégalités.
Il se rapproche des pensées de Paul mais aussi de celles de Jean et voit la personne du Christ comme révélateur du Verbe de Dieu.
Jésus ? un homme qui attendrait lui-même et annonce une révélation à venir, au-delà et en dehors de toute religion, un homme tourné vers le futur de Dieu.
Je vois que vous n’avez pas répondu à mon précédent commentaire… Disparition ou métamorphose ?
el alii, croyez bien que l’on ne vous a pas attendu pour lire ce philosophe qui » suscite tout votre intérêt ».
Très à la mode il y a une quinzaine d’année, il semble s’essouffler depuis…
méfiez vous hot pepper:le billet met en garde contre les jugements inconsidérés sur des auteurs; lire et /ou relire avec décalage un auteur , quand c’est un philosophe par exemple qui a une expérience « médiatique » comme Sloterdijk(télévision) permet non seulement de réactiver sa mémoire (certains erdéliens se plaignent de la leur)mais de vérifier si leurs analyses résistent à l’épreuve comme une réflexion sur la politique à partir de ses expressions dans la colère. La colère devient le moteur de la politique, après la question des gilets jaunes des en France ou des statues déboulonnées, soit pour revenir au billet sur »la liberté »;et maintenant ça suffit ; trouvez un autre interlocuteur !
Merci, et alii, mais je préfère retourner aux sources.
Moi aussi j’aimerais bien pouvoir aller étudier la Bible, sur place : Jérusalem, Galilée, Judé…
trouvez un autre interlocuteur !
Une autre manière de m’intimer de fermer ma gueule alors que vous bouchez le trou des commentaires ici bas sur ce blog?
Que vous ne rentrez même pas dans l’analyse des problématiques développées par ce philosophe qui fut à la mode à cause de votre citationnite aiguë,c’est une chose, mais une autre est de nous embarasser la plancher avec vos liens qui enferment sur n’importe quel prétexte.
Qui dit bulle, dit sphère, goutte, y voir aussi et pourquoi pas d’ivoire encore!
Votre démon de l’analogie peut exceller en poésie, j’approuve entièrement, mais pas dans le domaine du suivit des idées. C’est alors de l’emplâtrage!
rentriez
L’effet visuel de votre citationnite aiguë :
trouvez un autre interlocuteur c’est ni plus ni moins dire que je ne discuterai de rien sur ce blog avec personne,et que j’ai des interlocuteurs trices; j’ai saisi J.Barozzi de questions de terminologie qui sont discutées et disputées, et ce sans juger de sa mémoire sur les auteurs spécialistes et des personnes auxquelles ils s’adressent, collège de France, télévision , ou blogs ; j’ai à faire ailleurs maintenant;
Comme à fort justement dit Chesterton, « peu importe où va l’eau, l’important est qu’elle n’aille pas dans le vin ».
j’ai à faire ailleurs maintenant;
Ferrailleur, ferrailler!( Avec le goût pilon..)
Bon appétit et alii.
@ « ne fut qu’une « incivilité » de masse, ciblée »
… plutôt entendu causer d’un « détail de l’histoire »… expertise issue d’un autre triste janissaire (que l’on va bientôt saluer à la RDL ?) sans doute…, comme dirait jissé aux zamendes, hi hi hip-pourrav.
@ Merci pour le CR de ce film que je verrions point, je ne crois pas qu’il passera dans ma contrée.
@ La thèse de Sloterdijk mérite d’être relue. J’apprends qu’il fut un pote de Rüdiger Safranski… Savaient à quoi s’en tenir tous les deux sur Kant et le reflux des Lumières en Germanie.
@ hier soir, le petit Martin, enfant unique et sage, intelligent, de dire de lui-même : « oui, je me sens différent des autres garçons, je n’aime pas jouer à leurs jeux. Je suis comme L ». – « C’est ton copain d’école ? » – « Oui, on s’entend bien tous les deux »…
Admirable verbalisation de ce gamin. Six ans, et bien parti dans la vie, le calme petit Martin qui joue tout seul, lit beaucoup, et s’invente des histoires toute la journée. Trimballé entre le papa et la maman séparés depuis ses trois ans, mais qui apparemment respectent leur gosse tel qu’il est, se culpabilisant un brin sur son avenir. « Mais non, n’ayez pas peur, leur avons-nous dit »…
@ « une autre est de nous embarasser la plancher avec vos liens qui enferment sur n’importe quel prétexte ».
J’ai réagi longtemps de la même façon. Et fini par comprendre qu’elle avait un besoin quotidien de lutter contre la panique possible de sentir advenir une dégénérescence sa mémoire très farcie. Son besoin compulsif de réactiver ses souvenirs intellectuels et professionnels par une recherche de liens frénétiques préside à une double fonction : 1 – se convaincre qu’elle a bien « gardé toute sa tête » et sait encore « gérer sa mémoire » grâce à la toile, d’une… Et 2 -, essayer d’exister et de se distinguer des autres erdéliens, en récusant en permanence leur « légitimité » à l’interpeller OU BIEN en actant d’une bienveillance condescendante à l’égard de la « souffrance intime » de celzéceux qui veulent bien s’en ouvrir…, une façon de montrer une image compassionnelle que celle de la pure agressivité drapée contre ses ennemis imaginaires, alors que les erdéliens sont tout au plus agacés de sa « folie douce » (ce qui n’est pas là un diagnostic porté sur le personnage).
[à quoi bon répliquer en anticipant ce qui ne va pas manquer d’advenir à côté de la plaque de beurre ?]
…
bàv, poivre chaud.
Chesterton ?…
Toujours suspecté qu’il avait sans cesse essayé de recoller des morceaux incompatibles entre eux. Cette citation me prouve rétrospectivement avoir vu juste, r.
Pauvre Gigi ! Quel idiot utile…..
Hot pepper un simple geste du doigt vous débarrasse des post et des commentaires qui vous hérissent …souriez vous êtes filmé
JJJ, le petit Martin ressemble à Fédal le rêveur, qui lui-même me ressemble…
ce sont lres erdélien-nes qsui se plaignent de leur mémoire; ils ont oublié surement qu’ils disaient quece blog est un blog « lacanien » et « de prestige » -qu’est-ce que ça veut dire, de prestige? il y en a qui ont dit « on a des femmes » :ils les vendaient,les louaient? pour faire la claque? pour des baptêmes comme marraines de promotion canapé? C’est quoi le fameux « niveau » requis par Clopine?
celui des ateliers philo pour enfants dont me parla mon amie ce matin ;ou des toupies de dame instit ET >ses frères-bro en bandes ou non avec ou sans ficelles ?
y en a assez de votre compréhension bouchée (à l’émeri dit-on)
bonne journée entre vous
Le vin allait jadis à vau-l’eau avant d’arriver à bon port à Paris !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Halle_aux_vins_de_Paris#:~:text=Construite%20au%20milieu%20du%20XVIIe%20siècle%20sur%20le,siècle%20pour%20construire%20le%20campus%20de%20Jussieu%20.
occuplez de vos ivresses:
L’expression, apparue en 1897, « être bouché à l’émeri » trouve son origine dans un procédé utilisé pour boucher les bouteilles de manière étanche. Cette locution est employée dès 1818 pour désigner des bouteilles dont le goulot et le bouchon ont été polis à l’émeri (matière granulaire à base d’alumine utilisé pour polir les cristaux, les pierres et les métaux précieux). Ce procédé permettait d’ajuster parfaitement les bouchons aux goulots et de fermer hermétiquement les flacons.
en atelier philo, pour enfants, on leur a parlé d’
Aristote et de la perfection (sic)
occupez vous;
je ne sais rien du prochain livre de Sloterdijk sur l’érotisme;
il y a des comportements dont la logique m’echappe:
Comment peut-on consacrer tant de temps à venir parler de choses compliquées à des gens trop bêtes pour les comprendre et avec qui des lors le dialogue n’est pas possible pour un esprit averti ?.
Et pourquoi les renvoyer si vertement à leur néant intellectuel par un refus méprisant de tout échange ultérieur qui se présente comme un claquement-provisoire -de porte , alors qu’ils n’ont manifesté aucune intention d’initier cet impossible dialogue
Grande sagesse DHH!
Le problème c’est que notre collègue rdl, avec sa citationnite aiguë n’explique rien mais nomme, renomme et surnomme (Lacan, récemment par exemple)et s’anime d’une surenchère sur ses propres citations ( le phénomène bout de ficelle, selle de cheval..)dans un monologue quasiment autistique.
Un lien est plus ou moins utile et peut se justifier mais pourquoi l’accompagner d’un plâtras de copier/coller à la va vite?
Globes,
Bulles,
Ni le soleil ni la mort,
trois titres de notre fameux philosophe.
Mais en quoi sa philosophie est centrale et innovante et alii?
Dernières nouvelles du prix Méditerranée
« L’écrivain et artiste-peintre marocain Mahi Binebine est le lauréat du Prix Méditerranée 2020 pour son dernier roman « Rue du pardon » paru aux éditions Stock, ont annoncé lundi les organisateurs.
Mahi Binebine était en lice pour le 35ème prix Méditerranée aux côtés de Sylvain Coher avec son roman « Vaincre à Rome », paru aux éditions « Actes Sud » et Yasmine Khlat avec son roman « Egypte 51 » paru aux éditions Elyzad.
Le prix sera remis à l’auteur le 3 octobre au cours d’une grande cérémonie à Perpignan, ont précisé les organisateurs.
En plus du prix principal décerné à Mahi Binebine, le prix Méditerranée « étranger » est revenu à l’écrivain italien Giosuè Calaciura pour son roman Borgo Vecchio.
Roman vif, sensuel, chaleureux et pétri d’humanité, Rue du pardon, paru l’an dernier, est une ode au féminisme des Marocaines à travers le portrait de Hayat, enfant mal-aimée d’un quartier pauvre de Marrakech, qui découvrira les chemins de la liberté par la danse et le chant des “chikhats”, ces femmes souvent victimes de préjugés à cause de leurs mœurs libres.
Le roman de Giosuè Calaciura, paru aux éditions Noir sur Blanc/Notabilia, traduit de l’italien par Lise Chapuis, finaliste du dernier prix Femina, raconte le destin de deux enfants de « Borgo Vecchio », un quartier pauvre d’une ville qui ressemble à Palerme.
Fondé en 1985 par le Centre méditerranéen de littérature et parrainé notamment par la ville de Perpignan, le Conseil départemental des Pyrénées-Orientales, la Ville du Barcarès, et la région Occitanie, le prix Méditerranée récompense chaque année plusieurs ouvrages traitant d’un sujet en lien avec la grande bleue.
L’an dernier, Le 34ème prix Méditerranée a été attribué à Jérôme Ferrari pour son roman » A son image » (Actes-Sud) et le prix Méditerranée « étranger » à l’écrivain italien Marco Balzano pour » Je reste ici « traduit par Nathalie Bauer (Philippe Rey).
Au palmarès de ce prestigieux prix on retrouve des noms illustres comme Jules Roy, lauréat 1989 pour ses « Mémoires barbares » (Albin Michel), Tahar Ben Jelloun en 1994 avec « L’homme rompu » (Le Seuil), Hector Bianchotti en 1996 pour son œuvre « Ce que la nuit raconte au jour » (Grasset), Edmonde Charles-Roux en 2001 pour « L’homme de Marseille » (Grasset), Jean-Paul Mari en 2002 pour « Il faut abattre la lune » (Nil Editions).
Créé en 1992, le prix Méditerranée « étranger» a eu pour principaux lauréats Ismaël Kadare pour « La pyramide » en 1993, Boutros Boutros Ghali en 1998 pour « Les chemins de Jérusalem » et, en 2002, le grand écrivain italien Umberto Eco pour « Baudolino » (Grasset). »
Mais les lauréats n’iront pas à Perpignan, comme nous en avait informé Passou !
« Trois écrivains, lauréats du Prix Méditerranée 2020, boycottent la cérémonie au motif qu’elle se tient à Perpignan,… t.co/WC0g49msGA »
prestige et laqcanien sont des cjitations de erdéliens qu’ils n’ont pas expliquées :qu’est-ce que ça veut dire?
J.BAROZZI m’a posé une question avec les mots religion foi, croyance; pourquoi à moi ?Je ne suis pas son amie, ni à lui, ni à personne; je ne parle pas non plus des rabbins de ses amies, lorsque cela ne me semble pas à propos de digresser,et je n’impute à personne des pensées ,des souvenirs et des faits qu’il n’a pas formulés ou manifestés devant moi, en cors ou en conférence:je ne suis pas psychologue, ni écrivain; je vais en écouter; je crois que ce blog est fondamentalement POLITIQUE et pratique strictement l’entre-soi; en accusant les autres à tort et à travers;je considère que questionner l’autre sur ses croyances peut-être aussi impudique que raconter ses amours régulières ;je cite des choses publiées quand elles se rapportent au thème et aux questions du billet ou amende une formulation , traduction qui a déjà été
interprétée par des auteurs qualifiés par leurs études et publications, ou en signale lues dans la presse commune ;
SLOTERDIJK a été invité à BEAUBOURG (avec SOLLERS ) son oeuvre est connue; il parle bien le français; ici son oeuvre sur « la religion » dont parle Barozzi était à propos ; et il a été attentif aux débuts de l’écologie en EUROPE qui est d’actualité ; son prochain livre est annoncé;pour un homme « à bout de souffle »! les medias ont leurs stratégies pour mettre « en scène » des auteurs;et ça c’est une autre chose;
vous êtes franchouillards, presque xénophobes, et votre entre soi fait fuir les mieux intentionnés ;
caractérisez votre groupe et tout le monde comprendra: et ce que sont vos prétentions « féministes », » intellectuelles , et politiques;
présentation du journaliste:Quel futur pour les sociétés humaines? Quelle est le sens de l’érotisme ? Comment définir le moi ? Autant de questions que se pose l’essayiste et philosophe Peter Sloterdijk pour qui l’exercice philosophique consiste à suivre ses intuitions intellectuelles afin de bousculer la pensée de son époque.
c’est la question ressassée de l’après ;le philosophe se montre soucieux de la terminologie dans sa réponse:C’est seulement dans une abstraction erronée que l’on peut parler d’un ‘’individu’’, mais en réalité, il n’y a que des couples».je le cite parce qu’il sait le poids des mots, y compris lorqu’il dit: »« Je suis en train d’écrire un livre que j’appelle ‘’un roman érotique’’. (…) ça touche le problème de l’intériorité de l’érotisme »
c’est tout ce que les erdélien-nes ne supportent pas ; ce n’est pas une raison suffisante pour « cancel » l’auteur
s’i_l échappe aux erdélien »nes qu’ils elles pratiquent l’entre soi,qu’il ne leur faut que du sud au dessous de LYON? QUE C’est leur CORPS politique , c’est triste!
Fallait-il y aller ou pas ?
https://www.msn.com/fr-xl/northafrica/other/prix-méditerranée-boycott-de-mahi-binebine-pour-éviter-une-récupération-par-l-extrême-droite/ar-BB16xCAB
LES ERDELIENS SONT UN EXCELLENT EXEMPLE DE LA « CANCEL CULTURE »
Ce Peter Sloterdijk …. A quoi peuvent bien servir (pour les autres) ces crillailleries? Pour un vrai philosophe, voir Frédéric Worms, dont le nom a déjà été mentionné ici. Remettre la pendule à l’heure.
ce sont les erdélien-nes qui parlent de leur »moi » et même leur « vrai moi »!
pour ma part je ne m’intéresse pas aux gens qui débitent des cours d’anatomie et de pathologies de femmes sans les avoir apprises dans la clinique professionnelle
Pour un vrai philosophe, voir Frédéric Worms,
Vedo en précieuse ridicule!
Le très bergsonien Worms comme on en fait plus! 😉
qu’est ce qu’un vrai philosophe?
PECHE pas tout à fait au hasard sur le blog de JEAN CLET MARTIN ? le strass de la philosophie!
« Au fond, la question est peut-être celle-ci : la démocratie a-t-elle à faire à l’autre ? A l’altérité de l’autre ? Ou seulement à la socialité du socius, à son « insociable socialité » ? »[1].
Jean-Luc Nancy.
j’ai dit « clinique professionnelle »:quand le médecin a vu mon pied gauche(!) tout enflé, il a aussitôt su de quoi il s’agissait et que c’était assez banal à mon âge,la clinique c’est ça ; »au lit » du patient;
jean clet martin a une page wiki qui commence par:
Jean-Clet Martin, né le 26 février 1958, est un philosophe français1.
Agrégé de philosophie, docteur en philosophie, titulaire d’une habilitation à diriger des recherches, il a été directeur de programme au Collège international de philosophie de Paris (de 1998 à 2004). Il crée le site Strass de la philosophie, participe à de nombreuses revues (Multitudes, Chimères, Trafic…) et dirige la collection « Bifurcations » aux Éditions Kimé
@ « Quel idiot utile ». Il en faut bien et… j’assume.
@DHH, j’ai osé prononcer le qualificatif « d’incurable » en parlant de moi-même récemment. Et je vois comment il gît aussi sous votre remarque à l’égard de cette internaute en outre « renversante » et « consternante » (des qualificatifs plus neutres et polysémiques… sait-on jamais).
Il faut bien s’en accommoder et zapper un max.
jusqu’à nouvel ordre, je ne dirais pas que l’écologie est quelque chose de simple; ni le « féminisme »; mais c’est ce dont les erdélien-ne-s opinent que ce soit parce que c’est l’actualité politique pour tous les citoyens; leur signaler des textes , des auteurs qui valent bien ce qui résulte de leurs connivences est plus utile pour eux qu’une discussion de mauvaise foi, comme ils affectionnent de pratiquer leurs échanges;
Précieuse ridicule ou James Bond? Il faudrait choisir. 🙂
@j;barozzi :
Judas in Dictionnaire des assassins, Paris, Calmann-
et toujours JCMartin:
Un christ au-delà des temps chrétiens, in Pourquoi nous ne sommes pas Chrétiens Paris, Dir. A. Jugnon, Max Milo, 2009Lévy, 2012.
cela dit, si « la dépression » et le »féminisme « étaient des choses « simples » on se demande pourquoi, Clopine , après avoit été si « conseillée, endoctrinée,traverse maintenant telles épreuves
📲—🛀📻—🎒[ (👔👖👞👓)+(📷💻🎷) ]—🐕—🚖 🚄—🙏
et alii, le passage à l’émeri consiste au contraire à dépolir un verre poli.
Un papier de verre fin (environ 200) le fait très bien pour un coût modique.
merci,D,mais ça ne me concerne pas, je me souviens des années (?)où les « petits malins » se faisaient une cate d’identité sur du papier émeri;je sais ce que c’est
une carte d’identité
@ DHH / HOT PePPer. Vous avez dit « impossible dialogue » à propos de ET ALii. Pensez-vous qu’elle recherche le dialogue ? Il y a une seule logique, la sienne. Pourquoi fréquenter assidûment ce blog ? et d’autres, peut-être …parce qu’elle en a besoin, vraisemblablement. Sa présence ne me gêne pas;le seul mystère qui m’intrigue: son usage intempestif du point-virgule…
« plâtras de copiés-collés » Je n’en suis pas si sûre, cela peut procéder d’une forme de cohérence particulière.
Depuis 6 mois je lis peu, et je poste aussi peu, je ne m’attarde que très peu auprès d’ ET Alii, je prends mon plaisir avec les livres pour enfants qui se déploient dans tous les sens,véritables kaléidoscopes. Heureuses lectures pour vous, au soleil.
gisèle, vous êtes « gentille » ;je m’attarde surtout à des termes et expressions qui me semblent significatifs du billet ; significatifs comme instructifs, incitant à des souvenirs , ou proposant une exploration; ainsi le musée de maquettes au japon ; j’allais à beaubourg voir les maquettes d’architectes et il y avait une librairie galerie à Paris qui exposait des maquettes d’archi;
du côté des blancs manteaux ,en face du square où je m’asseyais un moment à regarder jouer les enfants;les maquettes, ça me passionnerait presque et ce peut être vrai pour d’autres; à preuve un musée.
cela peut procéder d’une forme de cohérence particulière.
Mais c’est certain, Gisèle!
On accumule des tas de liens comme l’art contemporain empile des tas d’objets. Cela était structuré du temps d’ Arman par exemple, mais désormais c’est le n’importe quoi qui prédomine dans cette forme de présentation foutoirs.
Une critique d’art collationne ces « tas » académiques, déjà plus de deux cents, c’est ce que l’on enseigne dans les écoles d’art officielle.
Non, la cohérence on la trouve plutôt dans les travaux assez foutraques des artistes dits » bruts ».
d’art officielle= officiel
GISELE? Pourquoi discuter avec des gens qui vous assènent qu’ils sont surdoués en psychologie, en philosophie, en cuisine, en judaïsme , en érotisme,
en expériences de la vie , toujours à se comparer, du tour de taille à la longueur du majeur ou de l’index;des gens qui déclarent nullissimes ou vaniteux des professeurs inlassablement curieux et féconds; ils ont dit: OK. ce n’est peut-être pas une affaire de logique?
Je me souviens de mes premières lectures sur l’écologie dans LIBE? EN Allemagne justement; j’ai continué de suivre , sans « mordre » et maintenant, je trouve que c’est très important ;les discussions
dans la presse m’ont convaincue avec leurs exemples, puis les analyses des philosophes; je ne dirai pas que je suis compétente pour animer un débat mais je ne suis plus ignorante de l’enjeu ;
A condition de ne pas succomber à cette mythologie de l’Art Brut ou le fou remplace le bon sauvage, puisque censé etre exempt d’influences.
Un artiste comme Lesage, auquel je n’ai pas attendu la présente exposition du Musée Maillol pour m’y intéresser, est dans cet entre-deux_là. Il y a toujours une influence quelque part, qu’elle vienne de l’Institut Métapsychique, ou du psychiatre…
A bientôt.
MC
il me semble <qu'il faut donner des exemples en interprétations comme en création;
j'avais un jour attiré l'attention d'une erdélienne d'un intérêt des juifs pour l'écriture, les lettres;hier comme elle parlait de toupie, j'ai évoqué les toupies offertes aux enfants pour une fête;
ils apprennent donc en jouant , et non seulement des lettres inscrites sur la toupie, mais un récit d'histoire; cette erdélienne ne m'a pas crue lorsque j'ai signalé cette importance des lettres, de l'acronymie, toute une symbolique attachée à cette pratique ;le jeu de la toupie est un exemple dans l'histoire, j'ai vu les enfant jouer, acheté une toupie à mon fils et c'est moi qui ai appris!
il est vrai qu'un exemple n'est pas une discussion, mais il peut en être l'amorce;
Ce soir je mange du jambonneau au lentilles.
Avec de la moutarde violette.
Dans le cadre de l’été apprenant…
j’ajoute pour cette dame qui s’intéresse à l’art que
la calligraphie hébraïque s’est même spécialisée en micrographie connues et enseignées comme art pour « le livre »
renato dit: à
📲—🛀📻—🎒[ (👔👖👞👓)+(📷💻🎷) ]—🐕—🚖 🚄—
C’est un nouveau devoir de vacances ?…
[(sous les pavés la plage) + (maigret découvre l’internet)] = laissons les chiens aboyer quand passe la caravane, wouarf ! ?
juste pour « la preuve » on pouvait voir à PARIS lalou ;là une annonce à Bruxelles
MASTER CLASS DE CALLIGRAPHIE HEBRAIQUE
SEP ’16
30
DANS LES LOCAUX DE CHIR HADACH
ATELIER
Par Frank Lalou
Frank Lalou est auteur de nombreux livres d’exégèse biblique et auteur de toutes les méthodes de calligraphies hébraïques chez des éditeurs francophones
Journée découverte de la calligraphie hébraïque
La Maison de la Culture Juive en collaboration avec Gaelle Szyffer a le plaisir de vous inviter aux MASTER CLASS DE CALLIGRAPHIE
renato, traduisez SVP, je ne me suis pas mise du tout à ça;merci
une micrographie médiévale
http://classes.bnf.fr/ecritures/images/2/n145.jpg
@ HP / d’art officielle= officiel
les écoleS d’art officiELLES.
Celles de l’hardbrutal sont souvent plus offiCIEUSES.
(l’idiot utile au cétoine doré).
@ je ne me suis pas mise du tout à ça
Really astonished
Téléphone-maison-radio (ET, la soupe aux choux).
C’est un message caché pour les extraterrestres, hein, renato ?
sur la toile un article sur les rites juifs comme rites textuels; »corps textes, textes corps »
https://www.persee.fr/doc/hom_0439-4216_1994_num_34_129_369693
Le Court qui nous sort sa leçon plutôt niaise sur l’art brut…
Et alii, faut il porter l’étoile de David pour rejoindre la confluence qui a chaque billet devient lisible ici. Raz le cul. Vous êtes complètement cinglé, à mes yeux ( verts mer du nord).
D, vos menus sont incompatibles avec la saison. Crudités, tapas, sorbets, fruits de saison, melon, pastèque, pêches et brugnons. Ou alors maso, ou peut être est ce un message à caractère informatif😮?
A Grenoble un chirurgien a pu sévir sans etre inquieté supportant dignement je crois un peu moins d’une centaine de plaintes (plus de 70), avec infections, amputations, deces. L’omerta regnerait sur ce monde que nous ne serions pas autrement surpris. C’est scandaleux.
@une micrographie médiévale
Un calligramme en lettres carrées ?
L’article qui précède
Pour le chirurgien, un article dans Le Monde du jour ou:
B il n’est pas nécessaire d’^tre juif pour jouer avec une toupie que des juifs aient plus souci d’instruire leurs enfants que certains médecins de soigner leurs patients comme leurs cas le requiert , c’est un fait et vous avez alerté sur la question des thérapeutes ; gardez votre psychiatrie pour vous ; on a vu dans quelle épreuves cette thérapie avait conduit Clopine;
comme leur cas
Exclusif. Le prix Nobel de littérature J.M.G. Le Clézio signe un texte pour s’opposer à la Seine à Vélo
😁
Le Clézio connaît en fait très bien cet ancien chemin de halage, où il s’est souvent promené lors de ses visites à la famille Gallimard et pour lequel il a une affection toute particulière, héritée de son grand-père, lui-même venu s’aventurer ici. J.M.G. Le Clézio est d’ailleurs l’un des 82 adhérents d’ACBS. Patrick Modiano, autre Nobel de littérature (2014) édité chez Gallimard, est lui aussi un soutien de l’association.
Le passage de la Seine à Vélo au plus près du fleuve agite et divise la commune de Pressagny-L’Orgueilleux depuis plusieurs mois. Une première association, Pressagny en Seine, dont le nouveau maire Pascal Mainguy est un sympathisant, a été créée au printemps 2018. Elle réclame essentiellement le renforcement des berges le long de l’itinéraire. L’ACBS, fondée en novembre 2019, est moins enclin au compromis et défend « l’idée d’un tracé alternatif préservant la faune et la flore, mais aussi la dimension humaine, historique et esthétique des lieux ». Claude Franck et son association ont d’ailleurs introduit, en mars, deux recours, « toujours à l’étude », devant le tribunal administratif de Rouen (76). La première procédure cible l’arrêté d’utilité publique du projet. La seconde s’attaque directement à l’enquête environnementale.
Meme lien
Et alii, votre phrase est elle correctement construite? Si oui, pouvez vous reformuler pour m’éclairer. Je ne suis pas juive mais votre enseignement me sera des plus utiles pour comprendre votre dernier post.
Et alii, vous savez ce que tous disent, n’est ce pas, du côté des atteints.
Il arrive aussi, et alii, que les psychiatres eux-même ne tournent pas rond . Il faut encore savoir à qui confier sa psyché .
JE ME DEMANDE SI LES GENS qui viennent afficher ici leurs mensurations , la couleur de leurs yeux , les lignes de leur nez et toutes considérations anatomiques ne font pas basculer ce blog dans un genre érotique que je trouve peu compatible avec ses revendications de « prestige » ; non que je cherche le prestige, mais l’esprit du bordel, comme disait l’autre BB m’ennuie; question de goûts qui ne se discutent pas
bonne soirée
L’incompétence se vend encore assez bien, les exemples abondent, elles est meme remboursée , par contre elle ne s’ achète pas. Il y a des praticiens qui jamais ne seront doués et la connaissance ne peut rien pour eux.
B? JE NE VOUS DEMANDE RIEN; occupez vous de vos affaires, je ne me confierais surement pas à un-e erdélien-ne;
Passou, bonsoir, j’ai bien réfléchi à ce passage :
« Le plus étrange est qu’il se doit donné pour guide un artiste mystique du nom d’Agram Bagramko. Il y revient sans cesse, c’est son héros récurrent, tant et si bien que, familier ou ignorant de l’histoire du mouvement surréaliste, on est fondé à se demander s’il ne s’agit pas d’une invention et d’un jeu entre lui et lui-même, intime conversation avec son double imaginaire- mais c’est bien sûr ! à force de « il aurait pu y être… », « il a failli le rencontrer… ». »
Déjà , il ne s’agit pas d’un artiste » mystique ». Mystère, à la rigueur.
Il est le nécessaire médium pour donner corps à ce qui serait resté un pur esprit. ( intelligent, érudit, mais chez qui le doute est purement intellectualisé…)
Un colonel, de la légion en plus, n’a guère de moyen d’humaniser . C’est un magnifique artifice.
Je vous demandais simplement si votre syntaxe et votre ponctuation étaient correctes. Votre post reste pour moi incompréhensible, et il me semble que vous attendez d’être compris. Si non, que faites vous là. Je ne suis pas pour l’ingérence ,et votre vie si elle ne croise pas
mon périmètre ne m’intéresse que pour ce que vous communiquez.
@ et à lui pour le précédent.
et alii.
B? JE NE VOUS DEMANDE RIEN; occupez vous de vos affaires, je ne me confierais surement pas à un-e erdélien-ne;
Pauvre cloche?. Espérons que vous ne soyez pas nuisible ou dangereux en plus de manquer de courtoisie et du sens élémentaire du respect et de la politesse.
et il me semble que vous attendez d’être compris
il vous semble mal : vous comprenez ça au moins?
FICHEZ MOI LA PAIX :vous comprenez ça aussi?
Je n’avais pas l’intention de vous déranger, votre phrase est elle correctement construite?
Si vous écrivez pour un autre but qu’être lisible et compréhensible achetez vous un tableau noir ou blanc, archivez vos pérégrinations.
Et alii, votre phrase est elle correctement construite? Si oui, pouvez vous reformuler pour m’éclairer. Je ne suis pas juive mais votre enseignement me sera des plus utiles pour comprendre votre dernier post.
Non?
@ « Une impression trop hâtive le ferait cataloguer comme un bavard irrépressible, une main à plume que rien n’arrête, d’autant qu’il en rajoute encore dans de longues notes en bas de pages qui ont dû faire hurler les préparateurs de copie chez son éditeur. »
Pas tant que ça Passou.
Si ces » preparateurs » ont découvert au détour d’une note de bas de page, que M. vaut pour Maurice…
I tak dalej, czy twoje zdanie jest poprawnie skonstruowane? Jeśli tak, czy możesz to przeformułować, aby mnie oświecić. Nie jestem Żydem, ale twoje nauczanie będzie dla mnie najbardziej przydatne w zrozumieniu twojego ostatniego postu.
… « accoucheur », dit-il.
B vos histoires de levrette, de mer du nord, et de correcteur ne m’intéressent pas ; cherchez l’amatrice avec plus de tact
Les oublis de ponctuation étaient intentionnels? Quant à Clopine, mal lui en a pris de déposer ici ses problèmes, avec vous en amplificateur, quel désastre communicationnel. Je vous laisse à vos tentatives d’intimidation.
Est ce une version acceptable de votre pensée?
B il n’est pas nécessaire d’^tre juif pour jouer avec une toupie.
Que des juifs aient plus souci d’instruire leurs enfants que certains médecins de soigner leurs patients comme leurs cas le requierent , c’est un fait et vous avez alerté sur la question des thérapeutes ; gardez votre psychiatrie pour vous ; on a vu dans quelle épreuves cette thérapie avait conduit Clopine;
quelles épreuves. Excusez, j’ai oublié de corriger.
Mon pauvre Passou, ces baltringues que vous traînez ici…
Bonne soirée.
et alii, combien se laissent encore abuser par votre prestance vieillissante?
Vous allez manquer la fin du feuilleton.
B dit: à
D, vos menus sont incompatibles avec la saison. Crudités, tapas, sorbets, fruits de saison, melon, pastèque, pêches et brugnons. Ou alors maso, ou peut être est ce un message à caractère informatif😮?
–
Vous récitez bien votre leçon sans l’avoir comprise.
Comme il fallait s’y attendre : pas de protéines animales. C’est pourtant ce qui est le plus important pour une femme de votre âge, en passe de se démineraliser.
Continuez à manger des fruits en quantité en négligeant la ration protéique animale et vous faites une fracture du fémur avant dix ans. Je vous le garantie. Vous omettez également les légumes cuits, très importants car beaucoup plus digestes. Ils peuvent être mangés froids. Les « crudités » ne doivent représenter qu’une certaine part du régime alimentaire, et certainement pas la première.
Quant aux sorbets c’est très bon mais c’est une des pires choses qui soit au niveau alimentaire. Cela doit rester très occasionnel.
Ils sont bourrés de sucre, favorisant le pic d’insuline et donc le diabète, de plus ils sont acides et perturbent beaucoup la digestion en raison de leur température.
Préférez de très loin une crème glacée de qualité, très peu sucrée et fondante.
renato, c’est trop dur !
Gisèle, je puis témoigner que l’on peut dialoguer avec et alii. Tout comme avec Marie Sasseur. Une fois que l’on a pigé le coup, il suffit seulement de ne pas les contrarier au départ…
Il est essentiel aussi de consommer beaucoup d’omégas-3. Donc maquereau, sardine, anchois au moins deux fois par semaine, beurre de vache ayant pâturé, éventuellement huiles végétales de colza, noix bien que ce soit moins assimilable que les acides gras des petits poissons gras qui sont le trésor numéro 1 de l’alimentation humaine dont on ne parle jamais assez.
D, je mange des oeufs, du fromage, je vous du lait. Mon squelette est parfaitement libéralisé. L’exercice physique diminue la perte calcique, plus d’exercice physique, moins d’ostéoporose .
Les oeufs c’est très bien. Bravo.
Fromage moins bien. Viande, poisson ?
il suffit seulement de ne pas les contrarier au départ…
Oui, en effet, ils sont tout deux chatouilleux, susceptibles, orgueilleux et menteurs, un peu cinoques.
De moins en moins , plutôt flexi.
@il suffit seulement de ne pas les contrarier au départ…
Mais avant tout, d’être open minded.
Par exemple ,on m’a vanté, par plus tard qu’hier, la poutargue.
Ca a l’air parfaitement dégueu. Mais je vais essayer de goûter.
@ Et Alii, merci de votre réponse- je vais y réfléchir, enfermée derrière les volets clos
« gentille » moi ? bizarre cette qualification. Chacun a ses raisons ,évidentes ou cachées, de participer à un blog.Je ne lis pas les posts des erdéliens pour les juger, sur leurs connaissances, leurs idées ; plutôt pour me « divertir », sortir d’un « moi » fatalement étriqué, et découvrir l’autre et les autres à travers le tamis de l’écriture. Poncif à la fois banal et pompeux !
L’espace du blog c’est aussi l’espace du jeu ,irremplaçable.
Il me semble que vs avez parlé de calligraphie, passionnant.
l’enlèvement au sérail ne nous pas valu des turqueries dommage.
bonsoir
Je ne sais plus qui a parlé ici de la Coupe d’Or d’Henry James, en le taxant de son meilleur livre… Je suis en plein dedans et difficile, de part le style plutôt alambiqué (mauvaise traduction ?) et sa construction, d’y prendre du plaisir… La chaleur, peut-être.
Quant au message crypté de R. :
je crois bien qu’on l’a appelé quand il était sous la douche en train d’écouter la radio.
Du coup il a fait son sac (entre parenthèses tout ce qu’il y a mis) et a conduit son chien en voiture, puis en train vers une destination qu’il n’indique pas, en remerciant le ciel que tout se passe bien !
Facile…
… pour que… tout se passe bien.
Mon souhait le plus sincère !
Mangez-vous assez de poulet, Bérénice ?
Mangez-vous assez de poulet, Bérénice ?
En effet, Chantal L !
Mais moi j’ai pas fait champollion en langue morte…
(sinon, l’adresse en Suisse on la connait !)
bonsoir et alii & Co, au plaisir. Et si vous êtes comme vous le prétendez une femme, n’oubliez pas votre vitamine D, si Travelo je ne sais pas trop que vous conseiller. Pour le reste, une chaire universitaire, vous aurez droit à des cours magistraux, à un auditoire servile et attentif.
Oui, D, je les plume moi même.
@ Jazzi. OK ,j’ai lu votre remarque. Je n’avais pas dit qu’il était impossible de dialoguer avec Et alii, mais que ,elle (ou il) n’en voyait pas forcément l’impérieuse nécessité.
Coté ciné, j’ai vu et revu « Phantom thread » de Pal Anderson avec D Day Lewis; plaisir absolu. Un chef op’ hors pair, des cadrages d’une t.
grande subtilité , qui donnent au film tout son sens.Le couturier dévorateur,tout est perversité; idée géniale, le claquement sonore des talons de la soeur ,Cyril. Après coup, j’ai pensé au couple E. Thomson /a.Hopkins (Ivory). Ds « le fil caché » Elle se prénomme « Alma » tout un programme…
En priant le ciel… pour que…
Plutôt.
Il fait vraiment trop chaud pour réfléchir.
J’ai, Jazz, juste bien regardé les images !
Je retourne à ma Coupe d’Or !
(à partir de combien de pages on laisse tomber ?)
François Sureau parle-t-il du confluent entre la Seine et L’yonne à Montereau?
MS, doit le savoir et j’aimerai éclaircir ce point avant d’acheter ce livre qui me tente bien.
@ jzmn, il suffit seulement de ne pas les contrarier au départ
Au départ ??? C’est quand le départ, au juste ???
J’ai tout essayé, mais n’arrive à rien avec cette tactique… Je vous observe et vous analyse… j’en ai conclu que vos succès n’étaient pas tellement probants sur le moyen terme : vous resterez voué aux sarcasmes homophobes et sexistes, dès qu’il leur plaira d’avoir un pet de travers… (et c + de 10 fois/jour, en moyenne).
Enfin brefl, suffit d’avoir la foie (sans l’e d’morue), hein !
Marie Sasseur dit: à
@il suffit seulement de ne pas les contrarier au départ…
Mais avant tout, d’être open minded.
Par exemple ,on m’a vanté, par plus tard qu’hier, la poutargue.
Ca a l’air parfaitement dégueu. Mais je vais essayer de goûter.
Z’êtes très fort ; jamais osé.
et d’ailleurs, il vaut mieux préférer la poutine à la poutargue.
https://www.lesinrocks.com/2019/02/16/style/food/poutine-le-plat-populaire-quebecois-devenu-tendance-parisienne/
…quand on est « closed minded », évidemment et seulement si.
@ jzmn, Pour la solution du rébus, je ne connais pas l’adresse de la solution en Suisse. Pouvez-vous la donner au vulgaire, les non happy few, merci ?
lorsqu’il a été jugé que c’était du snobisme d’être polyglotte, j’ai rappelé un autiste diplomé de philo, de sciences po des langues o langues rares et étranger d’origine :
Josef Schovanec
et les erdéliens, qui causent de leur moi, leur vrai moi!, ont maintenu leur caractérisation, leur jugement de snobisme des polyglottes, et ont continué de se considéré victimes harcelés :non ça ne me contrarie pas, ça m’écoeure et je ne veux pas discuter avec ces gens, si savant-e-s soient-ils elles qui prêchent l’empathie et l’amour de l’autre et jettent ainsi la pierre; mais n’ont aucune pensée ou sont d’ordinaires bourreaux mais se jugent exceptionnels d’autant que parmi ces autistes diagnostiqués, certains sont victimes de traitements durant leur vie foetale;alors non merci, non merci à ces gens qui ont tout compris ; ils ont dit, ils savent ce qu’est le snobisme, ils elle sont « psychologues », alors non merci, ces gens m’écoeurent parce que je leur ai mis schovannec sous le nez, et ils disent copié collé ou lien pourri, alors qu’il est très connu!donc non, je veux avoir la conscience tranquille d’avoir indiqué
un livre, un article bien informé; bien écrit, par des professeurs connus et respectés mais je ne veux pas me faire insulter parce que je ne les reconnais pas comme des autorités
bonsoir
se considérer
je veux dire qu’avec cette manière de juger un « schvannec », j’ai donné un exemple de ce qui a été nommé « la banalité du mal »
Josef Schovanec (né le 2 décembre 1981, de parents tchèques, à Charenton-le-Pont) est un philosophe, écrivain français et voyageur autiste, militant pour la dignité des personnes autistes.
Après une scolarité difficile, il obtient une maîtrise à Sciences Po Paris, puis un doctorat en philosophie et sciences sociales à l’EHESS. Il est hyperpolyglotte, puisqu’il parle plus de sept langues dont l’arabe, le persan, l’hébreu et l’amharique. Il découvre d’autres cultures et partage ses découvertes pendant, entre autres, sa chronique sur Europe 1, « Voyages en Autistan ». Il est l’auteur de quatre ouvrages biographiques et récits de voyages abordant la question de l’autisme, dont son autobiographie Je suis à l’Est !. Il réalise aussi des traductions, et tient des chroniques écrites et orales lors d’émissions de radio. Il joue un rôle récurrent dans la série télévisée française Vestiaires, depuis la 4e saison.
et évidemment, en commentaire du billet de l’orientation du blog pour l’autobiographie
jazzi
mara (des bois) lucas, ophélie, naomi etc. sont des soignants attentifs et normaux. Lorsque la possibilité leur en est donnée, et ceci est rarement, ils se regroupent au milieu des vieux dont ils s’occupent. Ils ont pour consigne de se la boucler, de très peu converser avec les familles et guère plus avec les résidents.
Donner la douche est plus fréquent que démerder, quoique je ne le sache pas ; ma maman est autonome, toilette, repas & déplacements, ce qui n’a pas empêché un psychiatre expert de la classer en GIR2, psychiatre lui-même assommé à coup de canne par un autre de ses patients. De quoi doit-il se venger ce type là ?
Les aides -soignants sont très jeunes ; ils viennent là par choix, je ne sais pas ce qui les motive. Une française originaire du Sénégal fort sympathique à qui je pense on a donné des consignes de silence car elle a changé du tout au tout (c’est l’armée l’EHPAD de ma mère) m’a expliqué comment elle est venue ici.
Elle faisait un métier – je n’ai pas trop saisi lequel, puis une de ses amies lui a demandé de s’occuper de sa mère à son domicile, car elle était atteinte de la maladie d’Alzheimer, et jusqu’à son décès elle s’est occupée de cette personne âgée. Elle a tellement aimé faire cela qu’ensuite elle a passé un concours pour devenir aide-soignante elle l’a réussi première et là depuis un mois maintenant elle est embauchée dans l’EHPAD où a été placée ma mère contre son gré et sans être consultée.
Apparemment les africaines ont un don pour remplir la fonction d’aidantes. Peut-être lié à la générosité et à l’affection. Ma mère l’a aidé e à s’intégrer en lui demandant de faire son lit avec elle et en échange cette dame a emmené ma mère mettre la table avec elle. Tout le monde dit d’elle qu’elle est adorable. L’autre jour, j’ai dit à ma mère « quand je pense que tu vis avec des grandes négresses (elles sont magnifiques, une seconde porte des talons hauts vertigineux et est superbe) et pas avec moi !!!! ». Je dois ravaler ma gourme.
christiane
gardien de phare ; loger dans une de leurs maisonnettes face à l’océan Pacifique
https://images.app.goo.gl/qhBAxZbP5rhj2TMg8
Surexposition de cette histoire familiale ; je pense cela vital. Et finalement banal : la banalité du mal. Le lien sur le pouvoir mis en ligne par et alii ; le long lien était extrêmement éclairant.
Il me semble que seul le glaive de la justice peut interrompre des attitudes délirantes qui si elles ne sont pas stoppées conduisent à la mort.
Lorsque parfois vous exprimez avec grande pudeur les liens qui vous rattachent à vos enfans et petits enfants, il est fort roboratif de croiser tel équilibre qui transparaît également dans votre refus des concessions à la laideur et aux déséquilibres, privilégiant art, et littérature pour nourrir ce qui vous constitue.
Mimi Pinson,
Si vous croyez que ce livre a une vague relation avec le fleuve « Seine », gardez votre argent. Pour répondre à votre question, facile avec le livre en Kindle: on pianote « l’Yonne », et hop, 2 références. Rien sur ce que vous cherchez. A moins que cela ne soit ceci:
« Sur le pont de Montereau, un bas-relief de la statue équestre de Pajol, oeuvre de l’un de ses fils, mpontre la charge célèbre et qui ne servit à rien. Le 3e régiment de hussards y avait joué le plus grand rôle. Ce régiment existe toujours, et l’étendard portant le nom de Montereau a flotté à Kaboul lorsque j’y servais, jetant ses notes claires dans le bourber de sable et de fuel de la guerre industrielle ». Rien à voir avec l’Yonne.
et sauf erreur l’un des importants professeurs de philosophie de Schovannec a été Heinz Wismann que je vous avais signalé avec son livre « penser entre les langues « (dont Tobie Nathan écrit « À la fois autobiographique et retraçant le parcours intellectuel, mais aussi affectif d’un chercheur, d’un érudit et d’un penseur — c’est-à-dire quelqu’un qui propose des idées — pas n’importe lesquelles, des idées assises à la fois sur ses expériences de vie, parfois très intimes, sur son parcours universitaire et les entreprises auxquelles il a participé, sur un regard singulier sur la vie sociale et politique — un chercheur ! »
vedo dit: à
Mimi Pinson,
Merci beaucoup vedo pour ces précisions, c’est très sympathique de votre part!
…jeudi 23 juillet 2020 à 22 h 51 min.
…
…entre autres; de la conception globale du commerce,…
…
…même si on s’est tromper, dans le choix ou et la qualité de toute sa marchandise, à tout points de vue,…même de politique au public.
…face aux concurrences et civilisations,!…
…bien,!…il faut bien » l’écouler « , avec astuces diverses,!…même avec des corruptions de participations diverses, surtout si la marchandise est colossale et ou obsolète,!…
…
…prions les seigneurs, pour des oies pleines et gaver,!…
…C.Q.F.D.
le lien NATHAN WISMANN
https://tobienathan.wordpress.com/lectures/%E2%80%A2-entre-les-langues-heinz-wismann/
A votre service, Mimi Pinson, si vous avez une autre question. Vous me faites découvrir que ce n’est pas la Seine qui coule à Paris, mais l’Yonne.
eh bien moi, si vous me permettez ROSE? J’ai dit à une de ces très belles femmes noires ‘d’où êtes vous , Madame, parce que vous êtes très belle » elle m’a dit qu’elle était des comores mais qu’on la prenait souvent pour une sénégalaise ; je savais qu’elle accepterait volontiers que je lui demande et depuis elle me dit bonjour quand on se croise; elle est magnifique, d’un port altier, mais nullement dominateur, un regard très doux et le visage tout en finesse; c’est la beauté même
…jeudi 23 juillet 2020 à 23 h 10 min.
…
…Oui,!…en tout temps, on se fait soi-même, entre monts et merveilles,!…des autres,!…
…
…Oui,!…depuis le temps, de part tout les films et théâtres des connaissances, aucun personnage, ne joue mon rôle dans cette existence,!…
…
…tout est frigorifié, aux montages préétablis en miroir, de nos grandes histoires du seul pouvoir du capital, en somme,!…
…
…ni saint, ni dévot,!…le pouvoir rendu pratique,!…sans décimations,!…
…
vedo dit: à
Rose,
Au débutdu confinement, je suggérais ici que nous faisions une expérience naturelle qui permettrait de savoir si l’argument de Pascal, si souvent cité, « Tout le malheur des hommes… » était fondé (ou du moins son interprétation habituelle). Nous avons fait le test. Rien de plus faux. La réponse se trouve, notamment, dans les EHPADs. On trouve des personnes qui après avoir été isolées, ne reconnaissent plus certains de leur proches. Nos interactions constantes avec d’autres nous sont physiologiquement indispensables. Penser de même –à l’autre bout de la vie– aux enfants-loups. Je le mentionne à vous puisque vous écrivez beaucoup sur votre mère et que moi-même, j’ai une tante centenaire dans un EHPAD.
Vedo
ma mère m’a dit il y a deux jours (elle avait un problème dentaire ; j’ai sollicité de l’emmener faire les soins chez son chirurgien dentiste qui la connait bien et a son dossier médical, elle a été emmenée ailleurs chez le chirurgien dentiste de l’EHPAD, la dirlo m’a dit « on se charge de tout ») elle m’a dit » ils essaient de couper l’attachement ». Nos attaches. Elle m’a dit encore « une seule chose tu ne peux jamais me demander c’est de m’acclimater ; je ne m’acclimaterai pas ».
Aujourd’hui, 23 juillet 2020 c’est la fin du cinquième mois passé dans cet EHPAD dans lequel ma mère a été jetée avec une violence incommensurable sans être consultée, ni prévenue, ni son accord. Se profile désormais la même violence face à elle et face à moi que celle vécue au moment de la mort de mon père. Un déchaînement morbide dont j’essaie d eprotéger ma mère et qui me glisse dessus car j’ai atteint le calme, la tranquille indifférence et mis la distance.
Résister ainsi implique de cotoyer la mort, pour ma mère qui continue de lutter pour le désir de vivre mais se décourage chaque soir que dieu fait et pour moi qui double bouclier vivant sais désormais que je suis face à une tentative d’assassinat.
Pour votre tante centenaire, j’espère qu’elle a donné son accord et pour vous rssurer on peut être centenaire et chosir la collectivité de vie car la solitude semble insurmontable.
Toutefois, la réalité des faits tend à prouver que maintenir son autonomie à l’extérieur des murs est plus salvateur qu’intra-muros : un homme de 75 ans, rentré de son plein gré, en confinement de quatorzaine obligé m’a dit son grand doute d’avoir fait le bon choix en rentrant là. Il se croyait libre, en cinq jours, il a vu les barreaux et les interdictions, et cela ne fera que s’accentuer. Il a déjà vendu sa villa. Il croyait entrer dans une pension de famille et bien non, ce n’est pas le cas.
Bien cordialement, vedo
Ainsi que l’a noté christiane plus haut l’intérêt est de comprendre ce fonctionnement des EHPAD vers lequel nous sommes allés à grande allure pour faire machine arrière et en inventer d’autres, fondamentalement différents.
et alii
moi j’ai demandé à la seconde si elle portait touours des talons très ahuts comme ça dehors et elle m’a répondu oui. Je ne sais pas si celle aux talons est également sénégalaise. La première écrit aussi des livres sur les animaux d’Afrique. Ces deux femmes respirent un rès bel équilibre faisant leur métier avec une espèce d’allégresse. Ma maman aime beaucoup la première. Je suis jalouse. Elle me dit votre maman est un ange.
Je ne plaisante pas, Bérénice.
Vous devez manger du poulet de qualité.
Environ une livre par semaine.
« C’est au moment d’entrer dans Paris que la Seine disparaît. Elle se réduit aux dimensions d’une Bièvre, d’un filet souterrain. L’histoire, la vie, la littérature et les monuments se sont émancipés d’elle. Le fleuve n’est plus qu’un décor pour romances tardives, un motif de chansons. Il n’explique rien, ne comprend rien. Personne n’a jamais parlé de civilisation séquanaise comme de civilisation danubienne. En France le fleuve ne compte guère, ni même le Rhône ou le Rhin. À peine une voie de commerce, l’occasion d’une peur, celle des Normands ou des Teutons. C’est encore plus vrai de la Seine. En amont ou en aval de Paris, on peut avoir l’illusion du contraire, dans la ville du Graal, au travers de la Bourgogne du chancelier Rolin, à l’abri des arcs effondrés de Jumièges. À aucun moment cependant ne rencontrera-t-on l’un de ces riverains érudits chers à Patrick Leigh Fermor, prompts à tout expliquer par la magie d’un fleuve dont les rois, les écrivains et ministres semblent appartenir à la faune, aussi bien que les merveilleux esturgeons du Danube, le Wels ou le silure géant. Dans Paris, aucun doute n’est plus permis. La Seine n’a pas d’importance. C’est une occasion, un prétexte, un meuble comme les autres. »
Elle avait disparu du livre bien avant. Un « prétexte »? Au moins c’est plus honnête que le titre qui pourrait en tromper certains ou certaines. Et en descendant la Seine–enfin, on l’a a peine vue– on est déjà à Paris à page 174 (sur 800 pages), et rien après Paris, pas de Seine après Paris?
Oh et puis après tout je m’en fous. Faites comme vous voulez.
Rose, pour ma tante il n’y avait pas le choix. Elle conduisait encore à 98 ans et filait en haut des escaliers mais un AVC l’a arrêtée. C’est maintenant une autre vie. On pourrait écrire un roman sur elle–dont je ne serais pas tout à fait absent. On le lui avait dit, souvent. Malheureusement elle n’a pas laissé de notes. Bon courage!
ne soyez pas jalouse rose, réjouissez vous au contraire que ces femmes s’entendent bien , et que votre maman trouve de la sérénité et du bien être
maintenant ; on le sent quand même qu’on est âgé-e-s avec une conscience qu’on se rapproche de la fin, la
mort, et on cherche un peu de « paix » avec notre entourage pour finir;même si on ne le dit pas expressis verbis; vous devez être vous même plus tranquille de voir ainsi votre maman et ça sera de mieux en mieux:temps de s’apprivoiser;
bonsoir rose!
vedo, dites voir le neveu, vous avez hérité du caractère intrépide de votre tante? et que n’écrivez vous un peu ?
ROSE? VOUS ET VOTRE MAMAN AVEZ TOUTES LES DEUX RAISON
c’est vrai que même les gens qui deviennent âgés ont des sursauts de vie extraordinaires, désirant gagner quand ils jouent et risquant même de tricher en se fachant , ou encore des femmes d’une coquetterie triomphante, avec lunettes noires,chapeau , et maquillage; mais c’est aussi vrai que les aidants cherchent à « casser » les attachements: mais c’est ce qu’on voit sur la RDL où pour peu que X se voit en grand aidant thérapeutique de Y, X essaie de séparer Y de ce qui a fait sa vie, « famille » et occupation comme la musique,( le piano, un centre d' »études ») au nom du sacrosaint transfert, de l’échange, du partage!
et à tous les coups , cette interprétation systématique passe très mal, et échoue et Xdit que Y EST méchant-e, ne veut pas partager,dialoguer, est cinglée (en termes psys, c’es ce qu’on appelle transfert négatif, contretransfert )que voulez vous rose , le pouvoir ce n’est pas rien quand même dans les « familles » ,pension ou pas: bonsoir
@jazzi, je remarque juste sur blog de T.NATHAN WIZMANN (dont j’ai donné le lien pour vous surtout , et votre travail; Nathan est au moins trilingue !)
un commentaire : »Historienne des religions et en particulier du judo-christianisme je recommande chaudement cet ouvrage. Heureuse de découvrir ainsi le blog de Tobie Nathan que je vénère… Catherine Poujol »
LE « JUDO CHRISTIANISME »:c’est quand même un beau lapsus;on a envie de lui demander quelle ceinture!
Vendredi 24 juillet 2020, 5h15
RDL CIRCUS
X est impolie
Y est irrespectueux
Z est indéfini
Passou est immobile, habillé de rouge, dompteur détaché de tout, aimant ses bêtes par habitude…
@et rien après Paris, pas de Seine après Paris?
F. Sureau écrit dans ce premier tome, qu’ il travaille à la suite.
A l’ heure qu’il est , il ne doit plus être très loin du Havre.
J’ai cru voir que cette suite paraîtrait avant la fin de l’année ?
# « facile avec le livre en Kindle: on pianote « l’Yonne », et hop, 2 références. »
Ça a l’air tellement facile que ça dispense de lire le bouquin didon.
Kindke permet de faire des recherche par mot-clé et de faire des copier-coller, sans donner aucune référence de page ?
Comme tous ces copier-coller allacon de vedo rien, quand il veut faire des tests à l’aveugle.
Enfin, F. Sureau ne pensait certainement pas à ces lecteurs du 3ème type.
Car à la fin de son récit, on trouve un index des noms de lieux et de personnes, comme dans tout ouvrage de référence.
Vendredi, 24 juillet 2020 6h10, heure de Paris.
Bonnes vacances Renato!
Année LvB, Sonate pour violoncelle n 4 en ut , op 102
24.7 — 6.44
Trad.
📲—🛀📻—🎒[ (👔👖👞👓)+(📷💻🎷) ]—🐕—🚖 🚄—🙏
Appel en entré — bain écoutant la radio — preparé le bagage [vêtements et lunettes de secours + camera, laptop, instruments (on m’attendait à Basel pour une jam] — chien, taxi, train — salutations.
…
Nous nous sommes beaucop amusés. Maintenant je suis à la gare, à 7.13 j’ai un train pour rentrer. Une recette avec poutargue suivra.
… molto più, Renato
Moi, je vais preparer mon petit attirail de plage pour demain. Au parasol portable, j’y ai ajouté un dossier multi-position. Si ça continue, je vais devoir embaucher un porteur, lol.
Bonne journée.
…replay vendredi 24 juillet à 7 h 54 min.
…jeudi 23 juillet 2020 à 22 h 51 min.
…
…entre autres; de la conception globale du commerce,…
…
…même si on s’est tromper, dans le choix ou et la qualité de toute sa marchandise, à tout points de vue,…même de politique au public.
…face aux concurrences et civilisations,!…
…bien,!…il faut bien » l’écouler « , avec astuces diverses,!…même avec des corruptions de participations diverses, surtout si la marchandise est colossale et ou obsolète,!…
…
…prions les seigneurs, pour des oies pleines et gaver,!…
…C.Q.F.D.
…replay vendredi 24 juillet à 7 h 57 min.
…jeudi 23 juillet 2020 à 23 h 10 min.
…
…Oui,!…en tout temps, on se fait soi-même, entre monts et merveilles,!…des autres,!…
…
…Oui,!…depuis le temps, de part tout les films et théâtres des connaissances, aucun personnage, ne joue mon rôle dans cette existence,!…
…
…tout est frigorifié, aux montages préétablis en miroir, de nos grandes histoires du seul pouvoir du capital, en somme,!…
…
…ni saint, ni dévot,!…le pouvoir rendu pratique,!…sans décimations,!…
…
renato dit: à
Trad.
📲—🛀📻—🎒[ (👔👖👞👓)+(📷💻🎷) ]—🐕—🚖 🚄—🙏
Appel en entré — bain écoutant la radio — preparé le bagage [vêtements et lunettes de secours + camera, laptop, instruments (on m’attendait à Basel pour une jam] — chien, taxi, train — salutations.
…
J’adore. Comme le jeu littéraire durant le confinement ****.
Nous nous sommes beaucop amusés. Maintenant je suis à la gare, à 7.13 j’ai un train pour rentrer. Une recette avec poutargue suivra.
Bonnes vacances.
La poutarge, me vois pas.
judo-christianisme
Troisième Dan. Ceinture noire. Karaoké/karateka.
Yamamotokadératé.
Cher mounsieur J.D,
c’est bien parce que vous êtes une des rares personnes à évoquer encore « le Bavard » ,un des livres de ma vie quand même assez longue que j’ai relu il n’y a guère, que je vous souhaite de bonnes vacances;je me permettrai néanmoins une question que je ne crois pas « féministe »comme les remarques que vous avez essuyées sur ce blog, tout au plus celle d’une vieille dame qui ne s’est pas donné les moyens d’être la plus indigne de son temps, et ne met même pas de bleu sur ses cheveux ,
quelle différence y a-t-il entre un bavard intarissable , et un bavard compulsif?
BaV !
et alii dit: à
ne soyez pas jalouse rose,
Et alii
La commandante en chef de l’armée appelle ma mère Mamoune et la touche devant moi alors que je n’ai ni le droit de l’embrasser ni celui de lui prendre la main.
Et vous voudriez que je ne sois pas jalouse ?
Des doudous sénégalaises, je le suis moins. Elles font leur métier avec affection et dévouement ainsi que j’ai effectué le mien. Néanmoins que ma mère vive avec ces jeunes et magnifiques négresses me suffoque mais je gère. Je nage et je respire.
et alii dit: à
ne soyez pas jalouse rose
Et alii
» risquant même de tricher en se fâchant »
Une des nounous sénégalaises, se plaint à moi (se plaignait, désormais elle m’évite soigneusement) que lorsqu’elle joue aux dominos avec ma mère, celle-ci triche pour gagner et est mauvaise perdante.
Ma mère répond « ben oui, je n’aime pas perdre. »
Et alii, cher Bb
quelle différence y a-t-il entre un bavard intarissable , et un bavard compulsif?
Vous pouvez tenter de remplacer bavard par source… Voir si c’est éclairant.
Nous nous sommes beaucop amusés. Maintenant je suis à la gare, à 7.13 j’ai un train pour rentrer. Une recette avec poutargue suivra.
C’est le chiasse-neige sur ce blog?
Espérons qu’il n’aie pas oublié le papier toilette!
( J’avais écrit touillette, la poutargue suivra…)
@ Drillon ou les limbes du Pacifique : « une fois réussie cette épreuve probatoire ». Je sais pas trop pourquoi, mais ces deux mots accolés me grincent les dents matinales.
Pour le reste, des haïkus (sic) plutôt plaisants.
@ « Négresses », un syntagme politiquement correct, à condition d’y rajoute le qualificatif de « vertes ».
Bàv,
Troisième Dan. Ceinture noire. Karaoké/karateka.
Yamamotokadératé.
M’enfin rose, on est ps dans un parc à bébé ici, non?
@ r.
Bonne session !… Cela dit, vos salutations iconiques ressemblent trop à un doigt d’honneur. Et cet humour pré-estival ne me plait qu’à moitié.
un parc à bébé,
Pour y faire son rototo, sa rosita et atatalii!
@ j’y ai ajouté un dossier multi-positions
Excellent pour le kama-sutra sur la plage, surtout s’il y a un porteur spécial. Bonne bourre, ma soeur !
Gir2, ça classe déjà dans la grande dépendance, mais c’est rien à côté de la rosse qui doit être au moins reformee P5…
Non, ce dossier multi-position permet de lire, sans faire de l’haltérophile…😝
Sureau, si tu lis ça…
… haltérophilie. Parce que je ne voudrais pas dire mais 800 pages, c’est pas du poids plume.
Pourtant…, la RDL entière vous imaginait bien ainsi, ma soeur 🙂
https://www.youtube.com/watch?v=IXGRC2w_FDo
Inutile de m’envoyer des liens YT, pour les 8 heures qui viennent.
Bonne journée.
rose, votre maman triche, sa nounou se plaint à vous:tant mieux ! c’est que vous êtes intégrées dans un « processus de vie » comme on souhaiterait ce blog plus souvent;pensez bien que les aidants-soignants reçoivent une formation spécialisée (sur les gens âgés) et reçoivent des consignes même sur ma manière de plaisanter pour que la vie en collectif soit vivable pour tout le monde, que ça ne dégénère pas avec des vaisselles qui volent dans la figure,des empoignades, des insultes;il y a aussi des gens méchants-même les femmes bien sûr, et en temps de covid ,avec les nouvelles à la télé, il faut « gérer » tout ça, prévenir les effets catastrophiques; même P.Assouline a cette question sur le blog!isn’t it?
Jusqu’à présent tout va bien… la plage n’a pas encore produit son énervement.
On ne note aucune « rosserie » trop grave, mais ça pourrait ne pas durer.
En attendant le deuxième beignet au sureau qui devrait être plus digeste, en principe.
Bàv, bonsoir.
Gill and Djone (soyons sérieux?)
@ 8 heures qui viennent
8 heures de kama-sutra avec Sureau sur les plages de Seine ? Ben mon ieux !… Bon pied, Bonneuil !
j’ai déjà bavardé avec des soignants -aidants sur leurs formations(il y a même des « mentalistes » ) leurs parcours, et leurs relations entre « elles » dans un univers de travail très hiérarchisé quasi « militairement »
entretien d’un mentaliste sur la toile:
« Christophe n’a pas de pouvoir surnaturels. Comme une poignée de personnes dans le monde, il est mentaliste. Est-ce qu’il existe quelque chose qu’il ne puisse deviner ? « Non. Tout est possible. Il n’y a pas de limites », assure-t-il, simplement. Depuis 1999, il exerce ce métier un peu étrange, mal connu du grand public, qui cristallise fantasmes et passions. Popularisé par la télévision, il évoque dans l’imaginaire collectif des pouvoirs magiques, des capacités hors du commun, voire le pouvoir de manipuler. Pourtant, ce quarantenaire n’a rien d’un magouilleur ou d’un tricheur. Il parle de son métier avec beaucoup de sérieux et d’éthique. Etre mentaliste, c’est « décrypter l’autre et comprendre comment il fonctionne. »
@ Etre mentaliste, c’est « décrypter l’autre et comprendre comment il fonctionne. »
J’en connais un qui pourrait peut-être vous aider à vous brinqueballer. Qu’en pensez-vous, chère madame atalii ? (NB/ si vous vous apprêtez à répondre à cette proposition par une insulte, abstenez-vous, merci. Restez zen, comme ma soeur).
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