de Pierre Assouline

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La République des livres
De quelques fantômes familiers

De quelques fantômes familiers

Qu’est-ce qui nous fait ouvrir un livre plutôt qu’un autre lorsqu’ils sont quelques centaines à se presser au portillon à la rentrée ? La couverture, le nom de l’auteur, le titre, le texte en quatrième de couverture, le résumé, l’absence de résumé qui laisse place à l’extrait, toutes choses qui se condensent en un mot : la curiosité. J’ai ouvert Si maintenant j’oublie mon île de Serge Airoldi (160 pages, 17 euros, L’Antilope) dans le souvenir que m’avait laissé l’auteur, journaliste daxois, ancien de Sud-Ouest, après la lecture il y a quelques années d’un récit exceptionnel intitulé Adour. Il figure parmi les grands livres fluviaux aux côtés de Danube de Magris et En remontant la Marne de Kaufmann. Mais celui-ci n’a pas la forme d’un fleuve. C’est le projet un peu fou d’un écrivain (Airoldi) pris d’une intense curiosité pour Mike Brant, oui, « le » Mike Brant, chanteur franco-israélien, fils de déportés rescapés de la Shoah, né Mosché Brand à Famagouste, qui passa ses cinq premières années sans prononcer un mot (comme Pascal Quignard mais après, ils ont évolué différemment) qui connut un immense succès en France avant de se suicider par désespoir existentiel en 1975. L’auteur avait huit ans. Aujourd’hui, il s’adresse à cette icône des jeunettes. Digressif à souhait mais porté par une langue ailée. A peine une enquête, il préfère survoler et ramener des bricoles de vie en pointillé, ça lui suffit (lire ici un extrait).

Etrange fatum que celui de Mike car après qu’il se soit défenestré, son producteur s’est tiré une balle et son secrétaire s’est jeté sous un train (content de ne pas t’avoir connu, Mike). Airoldi se permet tout. Il convoque de temps en temps la mythologie grecque pour mieux saisir la quintescence de ritournelles mise en images par Guy Lux et Danielle Gilbert. Il en fait un torero échappé des pages de Michel Leiris, un saint Sébastien percé de flèches malgré les tropismes brantiens : amour, soleil et mal de toi ! La vente des biens et des objets du chanteur à Drouot est un moment pathétique.

A l’époque, les chansons de Mike Brant me faisaient rire tellement je trouvais ça mauvais. N’empêche que j’ai pris un immense plaisir à lire ce livre pas prétentieux, sincère et d’une liberté réjouissante. Il m’a touché, ému même, et je me demande encore pourquoi. A propos, son titre est extrait de la chanson Un grand bonheur : « Si maintenant j’oublie mon île/ Si je regrette le soleil/ Et si les brunes ou bien les blondes me sourient…. ». Mais cela, nos fidèles lecteurs le savaient déjà.

Tania Font

En revanche, Jacqueline Jacqueline (352 pages, 20 euros, Seuil), je sais pourquoi je l’ai lu aussitôt après l’avoir reçu. Il se trouve que j’ai connu Jean-Claude Grumberg, que j’ai vu et revu ses pièces (L’Atelier, Dreyfus, Zone libre, Vers toi Terre promise. Tragédie dentaire), que j’ai aimé le retrouver dans des livres tels que Mon père. Inventaire et La plus précieuse des marchandises ou dans les scénarios de Amen, 93 rue Lauriston, Le dernier métro, Le couperet… Et l’on sait bien que même lorsque la vie comme elle va nous le fait perdre de vue, un ami reste un ami.

Un homme vient de perdre sa femme après soixante ans de vie commune. Deux paquets de cigarettes par jour de 15 à 80 ans, forcément, ça laisse des traces. Il avait fini par croire qu’elle aimait ses clopes encore plus qu’elle ne l’aimait, et elle ne démentait pas. Il se souvient : toi fumant, moi toussant. Où qu’il aille le chagrin assaille ce parisien né en 1939, enfant d’un père et de grands-parents raflés devant lui, déportés et jamais revenus, recueilli, protégé, sauvé de même que son frère et le futur mime Marceau par la population de la commune de Moissac (Tarn-et-Garonne). Son absence à jamais, il se refuse à y croire. Sa Madeleine à lui, c’était elle. Pas une rue de Paris, de Cabourg, de Varsovie et d’ailleurs qui ne le ramène à elle.

Ils ont tout vécu, tout traversé ensemble. A commencer par sa dépression à lui, un créateur perclus de névroses dont l’humour, l’ironie et l’autodérision sont les armes fragiles, écrasé par le succès de la pièce de théâtre qui l’a révélé. Deux ans après sa mort, il écrit et lui écrit un hymne à l’amour aussi vrai et déchirant que aussi réussi que la Lettre à D. Histoire d’un amour (Galilée, 2006) d’André Gorz. Manière de rester avec elle car il ne peut se résoudre à vivre sans elle, sa présence et son corps tout près la nuit tant ils furent comme agrafés l’un à l’autre.

Sa femme, il l’aime et l’admire tellement qui n’imagine pas que de tels sentiments ne soient pas partagés par tous ceux qui la connaissent déjà et tous ceux qui la connaitront par le biais de ce récit drôle, impudique et tragique qui, contrairement à tant d’autres ces dernières années, a l’honnêteté de ne pas se faire passer pour un roman. Il reste en l’écrivain quelque chose du tailleur qu’il fut à ses débuts dans son habileté à assembler et coudre ses fragments de mémoire comme autant de pièces de tissu. Bouleversant et bien évidemment autobiographique, le narrateur étant bien le dramaturge qui avance sans masque. Il est rare de voir autant de chagrin se métamorphoser sous nos yeux de lecteur par autant de colère. Un chagrin d’enfant dans un corps de vieillard.

Sorj Chalandon, on le connait bien. On le lit et on le laure régulièrement.  Cette fois, contrairement à son habitude, avec Enfant de salaud (336 pages, 20,90 euros, Grassset) il ne risque pas de pleurer en parlant de son livre en public car il est animé de bout en bout par la colère (lire ici un extrait). Le fils, 35 ans, journaliste envoyé à Lyon pour couvrir le procès Barbie, c’est lui à Libération, évidemment même si ce n’est pas dit, sauf à la dernière page où le pacte de lecture est un peu plus explicite. Le père, c’était le sien mort à 91 ans il n’y a pas longtemps à l’hôpital psychiatrique. Entre temps, le fils aura amené le père assister avec lui au procès. Le roman tisse et noue ces deux destins. Car du père, le fils a toujours entendu par la voix même du grand-père qu’il avait porté l’uniforme allemand pendant la guerre.  Qu’il était du mauvais côté à 20 ans.

En fait, il s’était enrôlé dans l’éphémère Légion tricolore lancée par Pétain puis, selon ses dires, engagé dans la division SS Charlemagne jusqu’à défendre le bunker d’Hitler à Berlin à la veille de sa mort. Ce « salaud de père » (mon père, ce salaud !) est juste un mythomane d’une médiocrité insigne, toujours renvoyé de partout parce qu’il ne faisait pas l’affaire. Un type d’un tel mystère qu’il n’arrive pas à savoir que son fils n’arrive pas à savoir qui habite sa tête. S’il a bien été collabo, après il n’a cessé de mentir pour s’inventer un passé héroïque fut-ce sous un uniforme déshonorant. Le fils découvre tout cela en obtenant son dossier aux archives de la cour de justice et en le confrontant à ses mensonges.

Il sait la vérité mais diffère la cérémonie des aveux. Par moments, on pense à Un bon fils de Pascal Bruckner et à L’Intranquille de Gérard Garouste. C’est aussi saisissant, et d’une écriture parfaitement maitrisée. Cela faisait longtemps que Chalandon n’avait pas si bien accompli son projet romanesque. On reconsidère certains de ses précédents livres d’un autre œil : au fond, son père était le premier de sa galerie de traitres. La matrice de ses antihéros. Il a beau se confesser, ce que son fils lui pardonne le moins, et c’est là qu’il a été le plus salaud, c’est de l’avoir jeté dans la vie sans repères.

(Photo Passou; sculpture de Tania Font)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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1 070 Réponses pour De quelques fantômes familiers

Janssen J-J dit: à

Perso, je préfère les fontaines du XXe arrt. de Paris, et celles des banliues de la petite couronne que j’ai mieux connues. Mais qui les célèbera ? Il est vrai qu’en dehors du périph’, c’est le monde sauvage des « bois sans soifs ». Bàv,

D. dit: à

Les quartiers nord de Marseille sont une chance », affirme Emmanuel Macron sur France Bleu Provence.

Je suis encore une fois entièrement d’accord avec le Président de la République que je trouve néanmoins trop réservé sur un tel sujet. Car non seulement les quartiers nord de Marseille sont une chance mais une chance inouïe, inespérée, pour la France. Il faut oser le dire.
Parce que c’est la vérité.

D. dit: à

Je suis d’ailleurs à la limite de penser qu’on a trop de chance d’avoir les quartiers nord de Marseille. Un cul incroyab. S’en est indécent.

D. dit: à

Ou c’en est.

rose dit: à

Ce n’est pas d’une grande cruauté, ça de dire in petto (content de ne pas t’avoir connu Mike) ?

rose dit: à

. Sa Madeleine à lui, c’était elle.
Et pas Proust, et pas Proust, et pas Proust.

rose dit: à

se confesser, ce que son fils lui pardonne le moins, et c’est là qu’il a été le plus salaud, c’est de l’avoir jeté dans la vie sans repères.

Combien se taillent des costards de héros, amha ?

C’est-y bien mieux, conséquemment, d’être jeté dans la vie avec des repères solidement plantés dont l’édifice s’écroule comme un château de cartes ?

rose dit: à

Pour la dame qui met un pull devant le frigo, souhaitant qu’elle enfile l’anorak devant le co gélo.

rose dit: à

congélo

rose dit: à

Deux défis : n’ouvrez pas le instagram de Laura, marseillaise d’adoption (et conquise, ben ça alors) lorsque vous avez faim car vous allez souffrir.
Défi subséquent : z’avez le droit d’être heu-reux.
Oui.
Happy New Heart.
Et n’essayez pas d’être très minces.

rose dit: à

La jeunesse magnifique que nous avons ! 🙏🥰🍒🐅😀🏕️🦎🦸‍♀️

rose dit: à

Ah. Il y a deux jours, le 02, cela a fait quatre mois que je vis dans mon petit grangeon 🏡 et l’hiver arrive à grands pas. Tatras.

Jazzi dit: à

L’ombre du léZard a été aperçue sur une photo des fontaines du XXe arr. !

et alii dit: à

y a-t-il des fontaines d’eau de source miraculeuse?
bonne journée

Marie Sasseur dit: à

@ »Manifestement, Passou est passé à côté du phénomène Mike Brant. »

Ce n’est pas ce que j’ai lu.

Dans les années 1970/1975, il était difficile de « passer à côté » du hit-parade RTL, ou de deux chaînes de télé obligatoires…
Ce n’est pas tant le fait de ne pas aimer la variété, et l’une de ses stars les plus abouties en terme de produit commercial, à une époque où justement il n’y avait aucune variété culturelle proposée à grande échelle. Et en cela, dire que ces tubes de l’été pouvaient faire rire par leur mièvrerie, ce n’est pas  » passer à côté « , c’est ne pas aimer cette  » musique « . Même si la façon de l’exprimer est assez assez artificielle.

Mais Passou n’est pas passé à côté de cette  » récupération « , et même si Claro s’en défend, dans son article dans  » le monde », ce bouquin d’Airoldi est un prétexte.
Et entre ceux qui ont voulu enfermer ce chanteur, (oui moi c’est sa voix qui a eu un effet hypnotique), dans des textes bidons a rendement commercial, et ceux comme Airoldi qui veulent l’enfermer dans un destin auquel il ne pouvait échapper, fils de refugiés juifs en exil, je ne sais lesquels me debectent le plus, sans doute les seconds d’ailleurs.
On n’ouvre pas un livre  » par hasard », et si c’est le cas, signaler alors, pour les groupies de plus de 8 ans, que la biblio consacrée a M. Brant est déjà bien fournie.

Mais ce chanteur israélien, oui israélien, leur aura apporté sa réponse. Il a choisi la liberté, la sienne.

J’ajoute que j’ai regardé le documentaire diffusé en mars 2021, et je le conseille à ceux qui would be pleased to meet Mike, ou à Passou qui aurait pu, s’il avait su.

https://youtu.be/eGO9sxtkXLs

et alii dit: à

3. La fontaine des yeux à Lunas dans l’Hérault contre les problèmes oculaires
Située sur la route de Saint-Jean de Compostelle, la cité millénaire de Lunas est un lieu de pèlerinage depuis le XIIe siècle. On y vient notamment se rafraîchir à la source de la Fontaine miraculeuse de la Nize qui guérirait les problèmes de vue à condition de se frotter les yeux avec un linge mouillé et d’accrocher ce dernier sur une branche voisine.
https://www.topito.com/top-eaux-miraculeuses-france

Paul Edel dit: à

Rentrée littéraire.Bien sûr,le « cirque » de la Rentrée littéraire,la course aux grands prix d’automne : facile de ricaner face aux têtes de gondole, aux articles qui transforment la critique littéraire en simple machine promotionnelle. Oui on peut sourire de ce mélange automnal de barouf commercial, de polémiques fabriquées, d’enthousiasmes publicitaires mais n’oublions que surgissent de divines surprises dans ce battage médiatique. Soudain, dans la pile des romans proposés, vous prenez un total inconnu : des les premières pages se libèrent de curieuses substances inconnues. Quelques paragraphes se distinguent par une distance, ou une proximité, une insolence, une opulence, une ironie, une élégance, une vérité, des musiques pas entendues, un feu d’artifices de personnages ou de situations .Bref, le texte rayonne, prend feu . Soudain, tel un train dans la nuit, grâce à un mystérieux aiguillage, une prose non domestiquée, mal identifiable, nous entraine vers des paysages inconnus. Les phrases embarquent. Elles s’ouvrent comme une allée forestière, la fête commence, les mots sonnent comme jamais. Une voix ! Quelle voix s’insinue, comme la Jeune Parque de Paul Valery ? elle fait oublier le déferlement promotionnel de certaines pages des magazines. . C’est dans la direction des jeunes romanciers qu’émerge un bouillonnement inattendu et que la lecture, qui séjournait dans la passivité, se magnétise. Difficile à expliquer.. Les bons écrivains ont quelque chose de sauvage, d’inimitable. C’est secret, bizarre, difficile à analyser ce qui anime un texte, et multiplie les affinités avec le lecteur, ce sentiment qu’un livre s’impose à notre espace intime si fortement, que ça ressemble comme une effraction (la mer gelée en nous de Kafka..) et alors on éprouve un sentiment de reconnaissance amoureuse. Un texte nous soumet et porte la toute-puissance d’un rêve.

et alii dit: à

RENATO
Près de deux siècles après la mort de Beethoven, un chef d’orchestre et un ingénieur en intelligence artificielle se sont lancés pour défi de prolonger l’œuvre du célèbre compositeur : grâce à des algorithmes, ils sont parvenus à compléter et à faire réinterpréter, en Suisse, une création inachevée du musicien, possiblement sa dixième symphonie.
courrier international

Marie Sasseur dit: à

Si la rentre litteraire est un  » cirque » accueillons le clown Edel, sur la piste aux étoiles.

et alii dit: à

Please do touch the works: visitors to Prune Nourry’s show can only experience her sculptures using their hands
by Sarah Belmont
art newspaper

Bloom dit: à

Quelqu’un faisait remarquer qu’il n’était ps rare que le discours sur un bouquin soit plus intéressant que le bouquin lui-même.

Jazzi dit: à

Le point commun entre Mike Brant et Passou ?
Ils ont participé, chacun à sa manière, à la guerre du Kippour, en 1973.
L’un chantera pour les soldats blessés du Tsahal, l’autre laissera tomber ses études pour y prendre part, mais se retrouvera finalement à élever des dindons !

et alii dit: à

Bloom, quand on vient après, on bénéficie-ou on est spolié-detoutes les questions et remarques qui nous ont précédés

et alii dit: à

L.Cohen a aussi chanté pour soutenir le moral de Tsahal:
Léonard était venu en Israël comme un juif qui voulait travailler dans un kibboutz et apporter sa contribution.

Et je l’ai entraîné dans la guerre.
https://lphinfo.com/leonard-cohen-grand-sioniste/

JiCé..... dit: à

Samedi 4 septembre 2021, 9h52, 22°, temps calme, ensoleillé

TRAGIQUE

L’un des nôtres, avocat connu, le Dupont-Moretti varois, chef de projet Tourisme à l’Institut, vient d’être accusé par un magistrat stupide (redondance, dit l’accusé) d’avoir enfilé devant un congelé un anorak au Groenland.

Condamnation à venir : travaux d’intérêt général !

Argument imparable de la défense : comment peut on imposer pareille punition à un homme, qui ne sait strictement rien faire depuis ses étude de Droit ?

(…bon ! je vais ranger ma yole….)

Pourmapar dit: à

Janssen J-J dit: à

Connaissez-vous ce blog artistic ?

Héls non.
Le temps me manque.

renato dit: à

«… possiblement sa dixième symphonie. »

Le monde est farci de crétins présomptueux et ignorants.

Janssen J-J dit: à

@ Merci pour ce beau reportage réussi en vingt jours : au vingtième, apparait enfin l’ombre du lézard élégant, devant la fontaine dite de la Réunion. Tout un symbole probablement !…
La signature d’un authentique qui fait sa job jusqu’au bout… Pardon bien pour la périphérie… N’avais pas suivi les travaux du LéZard de 2009. Toutes mes excuses pour ce loupé…. Quid, maintenant ?
@ Je ne sais point trop ce qui ne la « débecte » pas dans sa vie… Celle qu’elle se raconte tous les jours publiquement, ou bien celle qu’elle se vit éperdue, si lamentablement. Personne ne le sait.
@ L’enthousiasme et la générosité juvénile d’un Paul Edel, face aux découvertes automnales. Rafraichissant ! Merci Paul. Mon pb ? J’ai pas la chance d’avoir une pile de nouveautés sous la main et de ne pouvoir la refourguer dans mon immeuble malouin après usage…
@ toujours pas compris l’histoire du congélateur juif… – Pas plus que la guerre du Kippour-. De mon côté 73 : un embarquement pour la mort du Chili d’Allende. Le long martyrologe du pinochisme.
@ On dit du bien du « dernier » Vargas LLosa…, et du très mitigé du « dernier » Richard Ford. Cela m’étonne, mais on verra bien… Ma mère ne lit rien, n’a pas d’opinion particulière sur la RANTRELITERERRE. A qui se fier, alors ?
@ « il n’était pas rare que le discours sur un bouquin soit plus intéressant que le bouquin lui-même ». Je l’ai gros-pensé itou, mais peut-être par formulé, Bl… Si personne ne le revendique, on va dire que c’est moi,… il suffit d’en référer à l’illustration de mike-moshe/dayan-brant… Qui aurait cru à un tel prétexte ?
Bàv (le 4.9.21@10.16)

et alii dit: à

la tondeuse est un symbole de (désir de) domination:
voir le monde !

Jazzi dit: à

4 septembre 2021 à 10 h 25.
« Un Champion » d’Emmanuel Courcol, avec Kad Merad.
Je craignais le pire et finalement j’ai trouvé le meilleur.
A la vue en effet de la bande-annonce sur le thème de la rédemption de taulards par la culture, les bons sentiments affichés du scénario et l’accueil enthousiaste de la critique, j’avais peur de n’être guère convaincu par ce film universaliste « inspiré d’une histoire vraie » !
Quoique passablement cabotin dans la peau d’un acteur en galère, qui n’est pas remonté sur les planches depuis trois ans et survit en animant des stages de théâtre en entreprise ou en prison, Kad Merad trouve-là un superbe rôle à sa mesure.
Entrainant avec lui une troupe de partenaires efficaces (pas si facile de jouer les mauvais comédiens qui progressivement s’améliorent et deviennent franchement bons) et porté par un scénario qui ne ménage pas les effets de surprise jusqu’au coup de théâtre final, je n’ai pas boudé mon plaisir.
Au-dela de son aspect social, un rien politiquement correct, j’ai surtout vu dans ce film un superbe hommage au théâtre et au métier d’acteur.
Doublé d’un bel éloge à Samuel Beckett, dont le « En attendant Godot » se révèle parfaitement bien adapté à la condition carcérale.
Une traduction ou transposition cinématographique doté d’une surprenante trahison : dans cette version, Godot apparait à la fin !
Histoire de redonner un peu d’espoir aux pauvres représentants de la condition humaine que nous sommes.
Un bel hommage aussi à Paris, idéalement représenté ici comme la ville de toutes les libertés…
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19589225&cfilm=277478.html

Janssen J-J dit: à

***J’avais noté que le film s’appelait « Un triomphe » plutôt qu' »un Champion » (du jeûne), et que je devais aller le voir ce soir… Mais j’ai une telle foi en la science de jzmn, que je ne saurais contredire Godot….
Bàv,

Janssen J-J dit: à

@ la tondeuse est un symbole de (désir de) domination :

Exact, pourmapar, je désire dominer le monde des insectes en mon gazon, avec ma nouvelle tondeuse à Cadichon…
Pour le reste, je laisse à Txfl la responsabilité (inconsciente ?) de ses associations mentales avec la Shoah et à ses blagues, genre lourdes, sur les frigo et congélo juifs, qu’aucun goy n’oserait se permettre.
Bàv,

Jazzi dit: à

Oui, JJJ, c’est bien un triomphe, je corrige, merci !

JiCé..... dit: à

FANTOMES FAMILIERS

Le Bébé pérorant à Marseille comme un gamin débile, c’est Louis XVI (sans sa tête) dont les dernières cordes vocales, gaulliennes, susurrent avant la disparition :
« Je vous ai compris, ô mon peuple bien aimé ! »

John B dit: à

Tu tond la pelouse et l’herbe Renay De Sessendre, voilà le message caché, torride de et alii! 🙂

John B dit: à

tu tonds…tu tonds!

D. dit: à

Il y a déjà des zones du périph. largement enterrées, en gros entre porte de St Cloud et la porte Dauphine. Le problème est la sécurité incendie et les trémies d’aération qui concentrent toute la pollution.
Paris a besoin de cette voie de circulation, c’est incontournable, et on ne pourra pas descendre en-dessous de 50 km/h ni bien entendu y faire circuler des cyclistes etc…

Par contre ce qu’il faut faire c’est refuser les permis de construire à moins de 100 mètres et démolir progressivement sur des décennies les habitations existantes à moins de 100 mètres. Et verdir. Ça ça a du sens.

et alii dit: à

une date une rue et
Elle doit son nom à son implantation sous la rue du Quatre-Septembre, ainsi dénommée en mémoire du 4 septembre 1870, date à laquelle Léon Gambetta proclama la Troisième République au palais des Tuileries à la suite de la défaite de Sedan et de la chute du Second Empire.

Comme un tiers des stations du réseau entre 1974 et 1984, les quais sont modernisés en style « Andreu-Motte », de couleur verte avec carrelage plat blanc en l’occurrence. Dans le cadre du programme « Renouveau du métro » de la RATP, les couloirs de la station ont été rénovés le 16 mai 20031.

Janssen J-J dit: à

@ « Paris a besoin de cette voie de circulation, c’est incontournable »,
Un périphérique contournable ? ah bon, ce serait quoi ? -> un pléonasme recouvert, au delà ?…
@ René de ses Cendres ?… tel le phénix moyen ?…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_de_Ceccatty

et alii dit: à

IL Y A de vieilles branches que R DE SECATEUR va venir élaguer

D. dit: à

@ « Paris a besoin de cette voie de circulation, c’est incontournable »,
Un périphérique contournable ? ah bon, ce serait quoi ?

Qu’il est bêêêêête. Un autre périphérique de rayon différent, tout simplement.

D. dit: à

Ce soir c’est merguez.

Jazzi dit: à

Quelques infos sur les fontaines Wallace, et alii, en conclusion d’ouvrage…

D. dit: à

Ce soir je mange des merguez, Jazzi !

D. dit: à

M’en fous. Ce qui m’intéresse ce sont…

et alii dit: à

jazzi, j’ai trouvé un « e » en trop à lavé
« où, selon la légende, le saint aurait lavée sa tête, »
ça fait un très beau site! bravo

D. dit: à

¡ zǝnƃɹǝɯ sǝl …

et alii dit: à

jazzi,
si vous voulez y mettre une autre touche, vous pouvez faire une table des noms propres ordre alphabétique qui peut être répercutée sur la toile sans doute avec votre nom bien sur

Bloom dit: à

Baroz, ppour tes fontaines, tu peux citer le Céline de Mort à Crédit, p. 305 de l’édition Folio:

« Sur les marches de l’Ambigu, là, juste au coin de la « Wallace » elles me revenaient ces conjectures…C’était évident… »

L’édition anglaise, traduite par Ralph Manheim au milieu des années 60, comporte un glossaire avec une entrée « Wallace Fountain »:
‘After Sir Richard Wallace (1818-1890), an English philanthropist who in 1872 donated one hundred drinking fountains to the city of Paris’.
L.F. Céline, Death on the Instalment Plan, New Directions, p. 590.

Bloom dit: à

pour (on attendra un peu pour bégayer)

Janssen J-J dit: à

@ Bl, pour pas trop bégayer sur la suite de Wallace 🙂

Si j’avais fini de tapiner, que c’était une journée perdue, je m’aérais franchement les godasses… Je fumais le mince mégot… Je me renseignais un petit peu auprès des autre , les autres pilonneurs de l’endroit, toujours pleins de rencards et de faux condés…

(je suis pas sûr de la traduction, j’ai pas la meilleure sous la main)

if I was done tapping, that it was a wasted day, I’d really air out my shoes… I smoked the thin cigarette butt… I asked around a bit with the other buddies, the other pounders of the place, always full of dates and fake condés…

Jazzi dit: à

Merci pour votre lecture attentive, et alii. J’ai corrigé.

J’ai un index des noms propres, mais pour l’édition en ligne, sans pagination, c’est problématique…

Jazzi dit: à

Vous lisez Céline en anglais, JJJ ?

rose dit: à

Et alii
Aux dernières remarques faites ici, avais noté à l’extérieur, mais proche du détroit de Gibraltar.
Ce serait en les terres ?

Et alii
Je vide des cartons de bouquins, ai trouvé des merveilles.
De Kessel c’était Une balle perdue, une guerre en 1937 pour libérer les ibères (les Catalans).
J’ai fait la c…..ie de lire la dernière page , les dernières lignes. Alors je l’ai dans le baba, je connais la fin (tragique ; y a pas qu’Aline qui ne reviendra jamais).

rose dit: à

Et alii, l’Atlandide.

rose dit: à

Option sourire Renato 👏🌝♥️

rose dit: à

Ce soir je mange carottes râpées, un oeuf, du thon des olives vertes.

l'ombelle des talus dit: à

@Mais cela, nos fidèles lecteurs le savaient déjà.

Quant à ceux qui négligent cette qualité pour développer celle de fidèles commentateurs, ils sont enfin parvenus à persuader les autres, tous les autres, de fuir le commentarium. Ne plus s’attacher qu’à la lecture du billet et aux prolongements qu’il propose. C’est un aboutissement.

pourmapar dit: à

N’oubliez surtout pas de vous laver les mains, rose.
La salmonelle frétille en ce moment!

janssen j-j dit: à

oui, sa pass’covid mieux chez les brexitt,

rose dit: à

Avant ou après ?

Jean Langoncet dit: à

@Le fils découvre tout cela en obtenant son dossier aux archives de la cour de justice et en le confrontant à ses mensonges.

C’est que les archives ne mentent pas, elles. Mon père ce nazi qui n’endossa même pas l’uniforme de la LVF pour combattre sur le front de l’est ; petit de bout en bout

Jean Langoncet dit: à

(au chapitre des prétextes : Mike Brant est totalement absent de mes références … unlike Joe Dassin)

Soleil vert dit: à

Janssen J-J

Merci pour vos commentaires et encouragements.

Je reviens de la célèbre Palombaggia, très encombrée cette année. Le pin qui tenait la vedette sur les cartes postales s’est effondré.

Marie Sasseur dit: à

@Mike Brant est totalement absent de mes références …

Il fait partie d’une époque où les français qui n’avaient pas de pétrole, n’avaient pas beaucoup de divertissement à proposer non plus,…cheveux longs et idées courtes.

Tres bonne analyse du phénomène par B. Dicale, qui en plus d’illustrer l’actu en chanson à la radio, a commis un dico.

https://www.franceculture.fr/oeuvre/dictionnaire-amoureux-de-la-chanson-francaise

rose dit: à

Et Nana Mouskouri qui chante en hébreu, épatante.

Avant ou après ? Pendant.

Patrice Charoulet dit: à

« 925 personnes interrogées par Internet… »

Tout ce samedi 4 septembre sur les chaînes TV d’info (LCI, Cnews, etc.) toute la journée, un des sujets était le score de 8% qu’obtiendrait Zemmour dans un sondage publié par « Le Parisien » ce matin et que j’avais lu, avec tous les autres chiffres (Macron, Le Pen, Bertrand ou Pécresse , Hidalgo, Mélenchon, Jadot , etc. )Tous les politologues ou presque ont été entendus , sans oublier les toutologues de permanence. Je les ai écoutés.
Je ferai observer que pour l’élection présidentielle à venir Ipsos a l’honnêteté d’informer en tout petits caractères après les chiffres claironnés en plus gros caractères, que l’on n’a interrogé que
« 925 personnes interrogées par Internet… ». C’est peu. Et j’imagine qu’il y a des gens qui ne se servent pas d’Internet. Et des gens qui ne veulent pas répondre. Autrement dit , on débattu sur du sable, à mon humble avis.

Marie Sasseur dit: à

Charoulet, lui aussi est une victime de l’audimat.

Marie Sasseur dit: à

@Si la rentre litteraire est un » cirque » accueillons le clown Edel, sur la piste aux étoiles.

Il est parti à la librairie du coup…

Jazzi dit: à

Clown est un métier très honorable !

Jean Langoncet dit: à

Les Nuits De La Pleine Lune ; le titre ne passe pas. Les modos délibèrent

Janssen J-J dit: à

@ Un bel hommage aussi à Paris, idéalement représenté ici comme la ville de toutes les libertés…

le théâtre de l’Odéon ?… avec son public exigeant sous le charme ?… Esse là, votre conception de la ville de toutes les libertés ?… Pourquoi pas Lyon ?… en tant que ville de l’émancipation carcérale ? Meuh… -Bon, d’accord, c’était un putôt chié film…. dans la série « faut pas rêver, en attendant lbougreau ». – On verse bien une larme comme Jean-Paul… et l’histoire finit bien…
Merci jzmn pour votre chronique incitatrice et temporisée… BN,

Jazzi dit: à

Non, pas l’Odéon, mais la ville du passage à l’acte, sans plus de fouille humiliante au retour, JJJ.
Mais n’en disons pas plus…

Marie Sasseur dit: à

@@@a commis un dico

Pas clair ?

Oui, B. Dicale , par sa passion de la chanson française sait admirablement rendre  » l’ambiance » d’une époque.
Et il ne m’avait pas paru aussi évident, en l’écoutant à la radio, que les années Mike Brant, un intervalle de temps 1970/1975, correspondaient au moment où la société de consommation allait brusquement s’effondrer par un choc pétrolier, le début de la fin de l’industrie française, la pire crise économique depuis la guerre. Alors avec leurs tubes de l’été, M. Brant, Joe Dassin représentaient aussi la dernière illusion d’un été indien, où tout s’arrête, les ennuis aussi…

@@@a commis un dico
Oui, la référence.

https://www.lisez.com/livre-grand-format/dictionnaire-amoureux-de-la-chanson-francaise/9782259229968

Marie Sasseur dit: à

La fin des années Mike Brant, correspond aussi à une époque où un tube phénoménal passait en boucle à la radio.
Il a été utilisé comme bo dans un film dont la dernière scène est inoubliable, et qui a  » imagé  » la fin du franquisme.
Elle s’appelle Jeannette.

https://youtu.be/OlKhUIMqEI4

Marie Sasseur dit: à

Sait pas lire, le lézard ?!

Marie Sasseur dit: à

Le lézard comprend pas ce qu’il lit?
C’est pourtant clair :
« Il ( le tube de Jeannette )a été utilisé comme bo dans un film dont la dernière scène est inoubliable, et qui a  » imagé  » la fin du franquisme. »

Et il passe sa vie au ciné ?!

renato dit: à

« Je suis ici parce que j’ai écrit de la poésie, un produit absolument inutile, mais presque jamais nuisible. »
Eugenio Montale recevant le Nobel

Jibé dit: à

https://wallacefountains.org/about-sir-wallace-and-his-fountains/

Jazzi, Bloom
les fontaines de Wallace représentent des marqueurs d’enfance pour nombre de Parisiens, et même pour moi, mes premières visites, elles sont associées à la ville.
Je n’avais aucun souvenir de l’allusion de Céline, mais bien sûr, un Parisien « de souche » comme Destouches. Forcément.

Jazzi dit: à

J’avais très bien lu, MS, et j’ai apporté justement les précisions qui s’imposaient. Bonne plage !

JiCé..... dit: à

Dimanche 5 septembre 2021, 9h31, 20°, calme et ensoleillé

FOUTAISES

Trois magnifiques éclatent en ce moment sur le blog prestigieux de Lord Assouline !

Les fontaines Wallace de Paris, façon Jazzi
Le courte vie du suicidé par un tiers, Mike Brant
La ruine socialiste candidate, Arnaud le Monte&bourre

Qu’est ce qu’on se marre !….

pourmapar dit: à

Et aucune nouvelle encore du fabuleux essai de Philippe Descola  » Les formes du visible » paru au Seuil?

D. dit: à

rose dit: à

Ce soir je mange carottes râpées, un oeuf, du thon des olives vertes.

C’est pas mal. Pas trop de légumes crus. Donner une part au au cuit. Privilégier le petit poisson au gros et cuit rose à l’arête.

Janssen J-J dit: à

@ SV (Merci pour vos commentaires et encouragements).

Mais c que j’m’en souviens plus !… Étaient sympas au moins, j’espère, hein ?…
Palombaggia en août 2021 ?… c’était pas une erreur, des fois, la foule, toussa ?… Me souviens bien y avoir doré seul sur son sable, le 25 avril 1999, m’étais trempé et nagé longtemps dans son eau un brin fraîche, celle que j’aime…. – De quoi, le pin parasol aurait chu ??? What a pity ! So, remember, friends…
https://camping-palombaggia.corsica/plage-de-palombaggia/
Bàv tous.tes,

Janssen J-J dit: à

Avant le Descola, il y a le farci du nouveau Piketty et du nouveau Rosanvalon, plus abordables et en moins de temps, hein !!!
Mettez nous l’eau à la bouche avec le fabuleux…, pourtapar !
Merci d’avance… Bàv,

pourmapar dit: à

D’abord ne pas lancer des insultes sommaires à l’encan et opposer un « sale relativiste » à un « sale naturaliste »! 😉
( Bon, ce n’est pas votre cas, JJJ.)

pourmapar dit: à

àJJJ.
A propos de Ronsanvalon on peut remarquer qu’il a publié six essais dans la même collection au Seuil!

Jibé dit: à

Le Descola n’est pas arrivé dans mes pénates, l’est en commande.
Rosenvalon, Piketty, y’en a plein les médias, l’Obs par exemple, à se demander s’il est nécessaire de les lire (sauf que, bien sûr, je vais le faire parce que, un peu, c’est mon job). Ce que j’ai lu de Piketty laisse à penser qu’il n’y a rien de bien nouveau sous son soleil.
Sur la méritocratie, les zélites, leur reproduction, Dubet, encore une fois. Et un copain de Piketty, Julien Grenet (cf l’Obs pour première approche). On a la sensation de tourner un peu en rond.
Enfin, il faut voir.

Jibé dit: à

RosAnvalon

pourmapar dit: à

Le Descola reçu en mains mercredi dernier.
Ai commencé par lire l’index des notions, l’index des noms de personnes puis sa conclusion et son Post-scriptum intitulé  » Échafaudages » puis la quatrième partie intitulée SIMULACRES avec une citation de marcel Proust.
Je me suis intéressé tout de go au « naturalisme »…et dire que mes toutes jeunes années universitaires se sont passées à étudier les  » robinsonnades » avec Marie-José Mondzain! 😉

pourmapar dit: à

Par ailleurs la composition de son livre est bien située en final de son lieu de confinement comme nous le signalait Pat V :

Cambridge, octobre 2014 – Le Coy, décembre 2020 (page 626.)

lmd dit: à

….mondiation, agence (action des agents), affine….

et alii dit: à

à défendre la caricature et à s’engager pour la création d’une Maison du dessin de presse et du dessin satirique.
JE SUIS POUR
bonnejournée

Bloom dit: à

Jibé, fontaines Wallace et colonnes Morris, solides jalons d’une urbanité partagée.

et alii dit: à

Il s’agit en réalité d’une patte d’oie, les symboles des « cagots ». Ces derniers sont une population qui a été accusée de véhiculer des maladies à l’époque du Moyen-Âge. Afin d’être séparés du reste de la population, ils devaient porter une patte d’oie cousue sur leurs vêtements.
qu’est ce que c’est que cette histoire?
LA PATTE DES CAGOTS ETAIT JAUNE
différents essais mais au début par l’abbé grégoire
et Francisque MICHEL

B dit: à

Tout de suite le niveau s’effondre, je suis désolée.

et alii dit: à

LE LIVRE CONSAR2 AUX CAGOTS
Histoire des races maudites de la France et de l’Espagne [archive] (1847) ; rééd. 2013 en deux tomes, Ed. des Régionalismes, (ISBN 9782824002545).
DEFrancisque Michel, né François-Xavier Michel à Lyon le 18 février 1809 et mort à Paris le 18 mai 1887, est un philologue et médiéviste français, infatigable fouilleur d’archives qui publia de très nombreux manuscrits du Moyen Âge, et prit position dans la défense des juifs ou des cagots.
on peut y travailler à la BHVP

Janssen J-J dit: à

@ e niveau s’effondre, je suis désolée/// Ne soyez pas !… Vous allez le rehausser fissa, comme toujours, B… par des chemins inattendus suscitant la perplexité, puis la réflexion et enfin l’inflation. Je vous fais trop bien confiance… Belle journée, Votre ami JJJ,

@ …il est nécessaire de les lire (sauf que, bien sûr, je vais le faire parce que, un peu, c’est mon job). /// Oui, nous avons encore un brin de conscience professionnelle, voilà pourquoi… Suis sur la même longueur… Votre collègue JJJ.

@ D’abord ne pas lancer des insultes (…) Bon, ce n’est pas votre cas, JJJ… /// Merci pour lui, lui transmettrai, suis sûr que ça lui mettra du beurre au baume. Votre dévoué JJJ.

@ six essais dans la même collection au Seuil/// Normal, il dirige la collection thématique… Sans luit ? hein, hein !…, Votre explicateur JJJ.

Il fait beau, et le vent sent… comme quand on sort d’une prison de Meaux, même si on n’est toujours pas « libre », ni dans sa tête ni dans son corps… Bàv,

B dit: à

Celle ci 1975, je devais être en seconde, ça passait sur Europe 1, unique source d’info et de musique chez mes parents. Je Me souviens qu’à cette époque je fréquentais une bande d’hirsutes qui n’en avaient que faire. Eux c’était la pop, Roger Daltrey, Éric Clapton, Neil Young, King Crimson, Genesis, Yes, Led Zeppelin, Pink Floyd, Magma…

https://youtu.be/0TncDibFEcI

et alii dit: à

L’Aigle de Meaux »

Ce surnom fut donné à Bossuet au XVIIIe siècle par Voltaire qui voyait en l’évêque de Meaux une personne capable de tenir tête au roi, tout comme l’aigle peut voler face au soleil.

et alii dit: à

Pour les quelques non-anglophones dans la salle, commençons par un point de vocabulaire : en français, « Jewish Cock », titre du premier roman de Katharina Volckmer, pourrait se traduire par « bite juive ». Mais l’éditeur français trouvait que c’était vulgaire et assez peu représentatif du livre. L’option verlan « teub de feuj » a un temps été envisagée. Mais non, décidément, « Jewish Cock » passe mieux. L’anglais apporte un peu de lubrifiant à cette provocation préliminaire. Et c’est surtout la langue dans laquelle l’autrice, de nationalité allemande, a choisi d’écrire.

Née près de Hambourg, en 1987, Katharina Volckmer, qui travaille aujourd’hui dans une agence littéraire, a quitté son Heimat, sa patrie, à l’âge de 19 ans. Direction Londres, où elle a suivi des études de littérature et consacré son PhD à l’écrivain Jakob Wassermann, auteur, en 1921, de « Mon chemin comme juif et Allemand », récit autobiographique dans lequel il s’alarmait de la montée de l’antisémitisme dans son pays. Mort en 1934, Wasserman n’a pas pu voir à quel point le réel avait surpassé ses pires craintes : la nuit de Cristal, les camps d’extermination, la Shoah. En revanche, Katharina Volckmer a grandi avec, en héritage, cette histoire et ce passé criminel. « Je suis née, dit-elle, dans un corps coupable. »
obs

Jazzi dit: à

« fontaines Wallace et colonnes Morris, solides jalons d’une urbanité partagée. »

Tu oublies les pissotières, Bloom !
Comment dois-je prendre votre lien dédicacé, B ?

et alii dit: à

et
MENUS DE D, « imbitable »,ce n’est pas familier?

et alii dit: à

j’ai habité Tarbes:
Une fontaine commémorative à dimension mystique sur la plus ancienne place de Tarbes.
Place Saint-Jean, où au Moyen-Âge se déroulait le marché, tout près de l’église, une fontaine surprenante vous interpellera. Réalisée en marbre de Payolle par Jacques Comas, professeur de sculpture tarbais. La partie supérieure de l’œuvre représente l’ange Saint-Jean. Il surplombe des monstres avec le livre de l’Apocalypse. Une main humaine immense symbolise l’apparition de l’homme dans ces catastrophes.

Une fontaine qui ramène l’être humain à sa condition de mortel et le met face à ses responsabilités. Parce que dans les fontaines, c’est la part de sacré qui s’exprime aussi.
https://www.tarbes-tourisme.fr/je-decouvre/culture-musee-patrimoine/patrimoine/fresques-fontaines-et-street-art/

Janssen J-J dit: à

ah, je me souvenais plus d’henri Clapier 🙂 … Vous inquiétez pas jzm,, B se moquait pas de vous, hein ! au contraire, total respect pour les critik’de film, de le firme du Lézzzzard, elle a …
Bàv2, je me marre ! fait chaud…

Jazzi dit: à

Belles fontaines, à Tarbes, et alii !

Jazzi dit: à

« je me marre ! »

Moi aussi, JJJ. C’est assez juste au-delà de la caricature.
Oui, Henri ChapieR et quelques autres criant au cheffe-d’oeuvre à tout de bras !

Jazzi dit: à

tour

Jazzi dit: à

On dirait que l’été est enfin arrivé ?

pourmapar dit: à

Belles fontaines, à Tarbes

A un jet de Lourdes et de ses miracles, Jazzi!

Mimi Pinson dit: à

Jazzi dit: à

On dirait que l’été est enfin arrivé ?

Vous avez vos lunettes de soleil je suppose? 🙂

Martin Parr. ′′ Venice Beach, Californie. » 1998. Acquis par la générosité de Charles Heilbronn. © 2021 Martin Parr

https://scontent.fcdg1-1.fna.fbcdn.net/v/t1.6435-9/p180x540/240544182_10160475964467281_5864435627269289526_n.jpg?_nc_cat=107&ccb=1-5&_nc_sid=2c4854&_nc_ohc=YZv7Nxin1ZcAX-EbBos&_nc_ht=scontent.fcdg1-1.fna&oh=7f50ac363da9044b2ac375b846c6493d&oe=615A70B8

Jazzi dit: à

Oui, et je ressors mes bermudas, Mimi !

Clopine dit: à

Une fierté qui me reste, c’est que ce n’est pas moi qui ai tué le peu d’enfance qui m’habitait encore. Certes, c’est ce reste d’enfance qui nous fait vivre , mais la mort inévitable quand il a disparu, quand il ne reste plus que ce Jankélévitch appelle la fin sans finalité d’une existence sans issue, est moins difficile à appréhender si ce n’est pas vous qui l’avez provoquée, mais bien le voile rouge du mensonge et de la violence d’autrui.

et alii dit: à

jazzi, j’ai envoyé un lien des fontaines de Tarbes

Jean Langoncet dit: à

@@@@a commis un dico
Pas clair ?
Oui, B. Dicale , par sa passion de la chanson française sait admirablement rendre » l’ambiance » d’une époque.

Puisque le combat contre les Bolcheviks a été perdu ( https://www.youtube.com/watch?v=-_5R2oCjf0E ), nul doute que sur France Cul, les animateurs savent aujourd’hui rendre hommage à la chanson française. Il était un petit navire doit figurer en bonne place dans ledit dico aux côtés de Mike Brant ; miam

et alii dit: à

quelle surprise, Clopine, de vous croiser aujourd’hui;
vous manquez à la RDL qui est pourtant une fille émancipée; que devenez-vous?

et alii dit: à

« Maintenant que j’ai appris à me guérir », a déclaré Guadalupe Maravilla, « je dois enseigner aux autres comment se guérir. » 1 Ce souci de guérison et de soins, façonné par l’histoire personnelle de Maravilla, est le fondement de ses explorations de la sculpture, de la performance et du rituel.

Le travail de Maravilla reflète son propre déplacement du Salvador vers les États-Unis en 1984 2 en tant que mineur non accompagné fuyant la guerre civile. Le travail de Maravilla s’inspire des systèmes de connaissances autochtones et contemporains, mélangeant souvent l’artisanat, les matériaux médicinaux et les plantes avec des objets commerciaux et prêts à l’emploi. Sa pratique est ancrée dans le dessin, comme dans Requiem for my border crossing et my sans-papiers #6 (2016-18). Maravilla crée de grandes installations dessinées à la main inspirées des cartes coloniales espagnoles du Mexique et du jeu salvadorien Tripa Chuca, auquel il a joué lorsqu’il était enfant. 3 Dans le jeu, les lignes que chaque joueur dessine ne peuvent jamais toucher, créant un modèle d’espace qui dépasse les frontières nationales et réimaginant les origines et les géographies de l’artiste.

À l’âge adulte, Maravilla a été traité pour un cancer du côlon, un événement qui a modifié sa pratique artistique pour envisager plus ouvertement les traumatismes et la guérison. Une série clé dans le travail de Maravilla sont ses « machines à guérir », que l’artiste a décrites comme « des sculptures, des sanctuaires et des coiffes ». 4 Disease Thrower #5 (2019) est une sculpture en forme d’autel qui ressemble au squelette d’une bête mythique. Il contient divers objets médicinaux, ainsi que des ornements en métal et des modèles anatomiques en plastique, notamment un sein disséqué et une sculpture cylindrique plus petite en forme de côlon, qui font référence aux expériences de l’artiste et de sa mère avec le cancer.

Le travail de Maravilla propose le care comme une forme de travail politique, en particulier vers la guérison des traumatismes intergénérationnels ainsi que des traumatismes causés par la migration. Il active fréquemment ses objets artistiques à travers des performances et des bains sonores, une expérience méditative où les participants sont « baignés » dans des fréquences sonores destinées à encourager les processus thérapeutiques et réparateurs. Disease Thrower #5 et Circle Serpent (2019) sont utilisés comme instruments dans les ateliers de guérison de Maravilla, souvent organisés exclusivement pour les sans-papiers. Le sommet du lanceur de maladies #5se compose d’un gong sur mesure; dans ses bains sonores, Maravilla joue du gong pour émettre des sons destinés à rajeunir et purifier. De cette façon, les œuvres fonctionnent comme des machines de soins ou de guérison, remplissant une fonction pour le participant ou le spectateur.
https://www.moma.org/artists/131948

Jibé dit: à

« Tu oublies les pissotières, Bloom ! »
certes jazzi, mais il en reste tant que ça?

puck dit: à

« Quelqu’un faisait remarquer qu’il n’était ps rare que le discours sur un bouquin soit plus intéressant que le bouquin lui-même. »

non, moi j’ai dit : il n’est pas rare que le discours sur un discours sur un bouquin soit plus intéressant que le discours lui-même sur le bouquin déjà plus intéressant que le bouquin lui-même.

Jibé dit: à

Clopine: « la fin sans finalité d’une existence sans issue, » Jankélévitch , ou le sens de la formule qui tue.
Savoir si c’est moins dur quand c’est provoqué par le mensonge d’autrui, violence entre toutes terrible, ou par soi-même…je ne suis pas sûr de trancher dans ce vif . C’est toujours provoqué à vrai dire, et toujours par autrui, son mensonge ou sa fureur, sa légèreté ou sa barbarie, ou l’absence, la perte, le manque.
Il y en a, de motifs de désastre! Des ressources contre, aussi.
Come on, mate, les hélicos vont débarquer

puck dit: à

personne ayant vécu dans les années 70 en France n’est passé à côté de Mike Brant, ni de Rika Zaraï dans la mesure où après le premier choc pétrolier plus aucun ancien militaire de Tsahal n’est venu chanter à la télé.

Jibé dit: à

Grâce au léZard, je sais qu’une fontaine Wallace pèse juste un peu moins lourd que ma 2CV d’autrefois, ma première voiture (700kg), la seule que je savais un peu réparer.

B dit: à

Jazzi, c’est sans arrière pensées vous concernant. Ceux là se moquaient des intellos qui à force de penser imbibés de leur culture voient des liens historiques, bien sûr à noter la caricature de l’homosexuel mondain un peu commère.

puck dit: à

quand on a été trahi(e) par une personne en qui on avait accordé toute sa confiance, comme Agot avec son père, le mieux est de se construire un monde de certitudes, ces certitudes permettent de rendre son monde « solide » comme de la pierre, ainsi on ne subit plus le poids du monde, car tout est question d’équilibre entre le monde extérieur et le monde intérieur avec l’objectif d’être capable d’adhérer à ce monde de toutes ses forces de sorte que l’on puisse le dominer à son tour comme a été dominé par lui, du coup je ne pense pas que Jankélevitch soit le meilleur candidat, il vaut mieux des philosophes comme Onfray ou Comte Sponville qui eux ne doutent de rien, alors que Janké doutait de tout.

c’est pour ça qu’Angot, en plus d’être branque comme toutes les victimes d’inceste et aussi une entité construite d’un sensemble de certitudes plus toutes solides les unes que les autres : c’est le seul moyen de survivre.

par contre en tant que lecteur lambda ça peut vite devenir gonflant.

Jean Langoncet dit: à

@la piste aux étoiles

« Il y a des gens qui observent les règles de l’honneur, comme on observe les étoiles, de très loin. »

Victor Hugo

puck dit: à

fin des années 90 un groupe pakistanais s’est formé à Londres, ils s’appelaient CARE (Contemporary Art & Rock Evolutive). Ils avaient fait un tube « Islamabad », les paroles commençaient pas « Islamabad.. Islam i’am bad, i’m so bad… ». La CIA avec le MI5 avaient financé leur album et une tournée aux US, mais le bassiste (trader à la City) avait piqué le pognon pour acheter des actions TWA à découvert juste avant le 11/09. Du coup la CIA a fait le nécessaire : on ne trouve plus aucune trace de ce groupe sur le web, sauf pour les connaisseurs qui connaissent les portes qui permettent d’entrer dans le Dark Web (portes d’entrée bien connue s de tous les amateurs de Zelda et Warcraft) où on peut encore écouter certaines de leurs chansons.

John B dit: à

quelle surprise, Clopine, de vous croiser aujourd’hui;
vous manquez à la RDL

Mais quel bal des faux-culs, on croit entendre Christiane! 😉

Marie Sasseur dit: à

@@@@@a commis un dico
Pas clair ?
Oui, B. Dicale , par sa passion de la chanson française sait admirablement rendre » l’ambiance » d’une époque.

Oui, encore aujourd’hui.

« On est encore loin des chiffres vertigineux de chansons consacrées à Paris, mais il y a à Marseille une fascinante profusion de titres de hip hop qui dessinent un autoportrait social, géographique et culturel de la ville. Saluons la fierté avec laquelle Keny Arkana parle de sa ville et de son rap en 2011.  
 »
https://mobile.francetvinfo.fr/replay-radio/ces-chansons-qui-font-l-actu/ces-chansons-qui-font-l-actu-marseille-et-son-autoportrait-rap_4738223.html

Marie Sasseur dit: à

…vous reste la Marseillaise, lol

John B dit: à

Et alii nous manquerait un peu que ça nous ferait de l’air! 😉 🙂 😉

Marie Sasseur dit: à

L’air et la chanson…

« A l’époque, les chansons de Mike Brant me faisaient rire tellement je trouvais ça mauvais. »

Passou ?

Un petit quizz .

Voici deux extraits de texte, lequel vous fait le plus rire ?

« Un nouveau jour sur la Terre
Nous portera la lumière
Et le soleil brillera
Comme un message d’espoir
Sur un monde sans frontières
Si tu entends ma prière
Tous les hommes de la Terre
Bâtirons l’éternité
Sur une île de beauté
D’amour et de liberté:

« Dans ma douleur amère, je m’adressais au ciel, Cherchant dans la prière l’oubli d’un sort cruel. Soudain je crus entendre les plus divins concerts, Ma voix semblait s’étendre, et remplissait les airs! Puis dans l’azur limpide, les bruits se sont calmés, Et d’un sommeil rapide, mes yeux se sont fermés. »

et alii dit: à

Shaina, 15 ans, poignardée et brûlée vive à Creil : « Ce n’est pas un fait divers, mais un fait de société »ceci est clair; et Clopine en a conscience ;
elle aussi reconnaîtrait , je suppose ,
que comme Pour l’avocate de la famille, cet assassinat « dit beaucoup de choses sur la place des femmes et de la sexualité dans les cités ».
évidemment, cela n’arrange pas les égos erdéliens

renato dit: à

« évidemment, cela n’arrange pas les égos erdéliens »

Il ne faudrait pas tout mélanger : cela n’arrange pas votre égo…

renato dit: à

Voyons si je me souviens :
« On s’ennuie parfois à Rome au deuxième mois de son séjour, mais jamais au sixième, et, si l’on reste jusqu’au douzième, on est saisi de l’idée de s’y installer. »

D’autre part, traduction de « Tintin au Congo » en lingala, le dialecte congolais officiel, non autorisé et illégale :
https://ubu.com/media/text/cc/pdf/Manouach-Ilan_Tintin-Akei-Kongo_2015.pdf

et alii dit: à

non, renato;vous dites que vous vous moquez de ce qu’on vous dit;vous vous trompez de psychologie avec moi;j’ ai trop suivi sans doute ce blog pour ne pas être « fixée » comme on dit sur ses jeux; moi, ça me va de distinguer « fait de société  » ,je ne viens pas chercher ni un chef, ni des amis intimes
bonsoir

et alii dit: à

familier:
eh bien c’est l’idée de « famille »
et ça (sur le monde)Aucune pudeur : on se promène à poil les uns devant les autres, mes copines peuvent passer aux toilettes devant moi. Une famille, en somme. »ce n’est pas l’idée ni le désir que j’en ai

renato dit: à

On ne cherche pas des amis intimes, et al., on les trouve et lorsqu’on les a trouvés on a tout intérêt à le perdre. Ce qui n’a réellement rien à voir avec les egos des erdéliens que, je suppose,jaillissent chacun d’un divers environnement.

Cela dit, ça revient à quoi se tromper de psychologie?

et alii dit: à

renato, eXcusez-moi de ne rien comprendre à que vous avez écrit: »le perdre »:qui, quoi?
c’est ce que je viens de dire:que je ne cherchais pas des « amis intimes » ; vous, vous trouvez à jouer le père la morale au lieu d’améliorer votre manière de vous exprimer en français ; c’est votre question, pas la mienne;

et alii dit: à

à ce que
bonsoir bonsoir

renato dit: à

Bon, « leS perdre », mais le sens ce n’est pas difficile à comprendre même pour un freudien!

et alii dit: à

renato, occupez vous de vos amis intimes comme vous voulez;je ne suis qu’une passante lectrice sur le blog de P.Assouline et mes amis ont d’autres jeux que celui de me dire que je serais « un freudien » ;
amusez-vous bien ; ça suffit;

Patrice Charoulet dit: à

UNE PROPOSITION DE LUC FERRY POUR LA PROCHAINE PRESIDENTIELLE

Sur LCI, ce dimanche 5 septembre, Luc Ferry fait une proposition originale. Il souhaite que Pécresse et Bertrand se rencontrent et se promettent de laisser le mieux placé des deux partir seul à la bataille présidentielle et qu’en cas de victoire,A prenne B ou B prenne A comme Premier ministre. J’espère que Xavier Bertrand et Valérie Pécresse ont écouté l’émission et qu’ils vont se téléphoner au plus tôt pour appliquer la proposition de Luc Ferry.

Jazzi dit: à

C’est parce que j’avais ouvert votre lien, et alii, que je disais qu’il y avait de belles fontaines à Tarbes.

Heureux de découvrir ton commentaire, Clopine, je commençais à m’inquiéter…

renato dit: à

C’est vous et al., qui avez parlé d’amis intimes, ce qui peut induire à croire que c’est votre problème et ça se comprend vu le temps que vous ‘usez*’ ici.

*Détériorer…

et alii dit: à

renato:et merde, vous comprenez!

renato dit: à

… et voilà…

Jean Langoncet dit: à

@Le point commun entre Mike Brant et Passou ?
Ils ont participé, chacun à sa manière, à la guerre du Kippour, en 1973.
L’un chantera pour les soldats blessés du Tsahal, l’autre laissera tomber ses études pour y prendre part, mais se retrouvera finalement à élever des dindons !

L’âge atomique [quelle période magnifique]
https://www.youtube.com/watch?v=0w1aAHJJbvo

Soleil vert dit: à

TV : hier Les neiges du Kilimandjaro, ce soir Chasseur blanc, cœur noir

Jean Langoncet dit: à

@PS : en réponse à la question relative au documentaire sur le Velvet Underground, un twitto m’a confirmé l’existence d’un film réalisé par Todd Haynes. Sortie prévue en novembre. Pourvu que la fin du monde n’intervienne pas avant cette date.

https://www.youtube.com/watch?v=TT87kcc3FbQ

D. dit: à

Je pense que vous racontez n’importe quoi, Langoncet. Comme souvent.
Je viens de taper sous Google « pierre assouline dindons » et je n’ai eu aucun résultat.

Phil dit: à

dé dé, din don, de la farce

Jean Langoncet dit: à

@en réponse à la question relative au documentaire sur le Velvet Underground, un twitto m’a confirmé l’existence d’un film réalisé par Todd Haynes.

Todd Haynes a ses lettres de noblesse. Il est le réalisateur de I’m not there, tout entier consacré à ses visions passionnées de Dylan ; ce n’est pas nécessairement de bon augure pour un film sur le Velvet et Lou Reed qui qualifia, non sans raison, Dylan de « petit juif arrogant » … https://www.youtube.com/watch?v=MFUEofAr9GA

Janssen J-J dit: à

@ Sur Benet le Cagot…
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Avec Hel (et Hana, sa concubine), Le Cagot est dans Shibumi la seule figure qui trouve grâce devant la plume acérée de Trevanian. Du reste, l’écrivain l’inclut dans la liste de ses dédicaces et il fit paraître un ouvrage sous ce nom. Le Cagot est trop bien dessiné pour ne pas avoir eu un modèle local. Ainsi il répond souvent à une question par une autre question, qui pour lui ne peut avoir comme réponse que « oui » ou « non » : par exemple quand Hel, faisant l’inventaire du matériel nécessaire à une exploration souterraine lui demande s’il a emporté la fluorescéine, Le Cagot lui répond par « Est-ce que Franco est un « trou-du-cul » ? ». Son répertoire de jurons bibliques est mémorable : « par les couilles épistolaires de St-Paul ! » ; « par les couilles perfides de Judas ! » ; « par les couilles humides de St-Jean-le-Baptiste ! ». Cependant, il est capable de faire preuve de bonnes manières, et lors d’un grand dîner, sur le point de dire « par les couilles ridées de Mathusalem ! », il remplace instantanément « wrinkled balls » par « wrinkled brow » (front ridé). Par ailleurs, Le Cagot ne perd jamais une occasion d’exprimer sa haine du dictateur espagnol Franco et de sa milice, témoin la déclaration (certainement entendue in vivo et notée par Trevanian) qu’il fait lors du même dîner : « Il y a des années que nous les Basques avons perdu l’habitude de chier le long des routes. Mais on a ainsi privé la Phalange de sa principale source de nourriture… ». À l’opposé de Hel, qui est froid et réservé, le truculent Le Cagot a créé chez les lecteurs anglo-saxons l’association mentale entre Trevanian et Geoffrey Chaucer (cf. le chapitre « Citations ») , alors que pour les lecteurs francophones, il fait penser plutôt à un personnage de François Rabelais, voire du Commissaire San Antonio.

Jean Langoncet dit: à

@Je pense que vous racontez n’importe quoi, Langoncet. Comme souvent.
Je viens de taper sous Google « pierre assouline dindons » et je n’ai eu aucun résultat.

Ne soyons pas naïfs. C’est la Guerre continuée par d’autres moyens, des moyens dissimulés ; n’avez-vous pas lu Carl Philipp Gottlieb von Clausewitz, connarD ?

rose dit: à

Patrice Charoulet dit: à
UNE PROPOSITION DE LUC FERRY POUR LA PROCHAINE PRESIDENTIELLE
Même chose pour le duo Zemmour (5%, un avis de bibi) et Le Pen fille ?
Éviter la dispersion des voix.

Jean Langoncet dit: à

@Éviter la dispersion des voix.

Le candidat unique ; c’est une vision de la démocratie qui finira bien par se passer d’elle

Marie Sasseur dit: à

# »personne ayant vécu dans les années 70 en France n’est passé à côté de Mike Brant, ni de Rika Zaraï dans la mesure où après le premier choc pétrolier plus aucun ancien militaire de Tsahal n’est venu chanter à la télé. »

Pour le monde en général, la principale conséquence de cette guerre fut le choc pétrolier de 1973, quand l’OPEP décida de l’augmentation de 70 % du prix du baril de pétrole ainsi que de la réduction de sa production.
Wiki

et alii dit: à

jazzi, vous m’avez dit que je pouvais être correctrice et je vous ai répondu que corriger n’était pas mon propos;
je veux dire que je crois que P.Assouline a dit sur la RDL qu’il avait « fréquenté » des dindons;tout ça dans la foulée où Clopine a été taquinée rudement pour une histoire à elle de dindons;(ça j’en suis certaine)
jeme trompe peut-être, mais ce serait étrange après votre confirmation;
j’ai appris sur la toile qu’on parlait pour les femmes d’ un cou (ridé) de dindon ou quelque chose de ce genre que j’ignorais jusque là
bonne journée

Marie Sasseur dit: à

Lu: « Pour Passou (qui a obtenu son passeport espagnol) et les dindons, voir le lien »

Ceux qui lisent Pierre Assouline savent que cette information de son engagement volontaire, pendant cette guerre israélo égyptienne, vient de lui-même.

Il n’a jamais été question de dindons d’ailleurs et c’est en réalité beaucoup plus drôle. On pouvait d’ailleurs en plaisanter il y a une dizaine d’années. Beaucoup moins aujourd’hui.

Car aujourd’hui, avec ce  » lien » donné par le lezard, ce prostitué qui fait sa pub sur le blogapassou, on peut se demander si autre chose n’est pas à l’oeuvre.

JiCé..... dit: à

Bien vu !
Pour causer dindons, faut avoir rencontré en salle d’attente vaccination, des dindes…

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