de Pierre Assouline

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La République des livres
Pour saluer Daniel Cordier

Pour saluer Daniel Cordier

Cet homme-là, j’ai vis-à-vis de lui une dette inestimable et je ne cesserais de l’honorer, elle donc lui. Un jour, il m’a offert une phrase. Ca n’a l’air de rien et pourtant, cela peut suffire à engager une vie. Surtout si cette phrase en contient beaucoup d’autres lesquelles, reliées entre elles, constituent une vision du monde. De ce cadeau une amitié est née. Elle a duré une quinzaine d’années et s’est achevée à la suite d’un malentendu mais qu’importe.

En 1989, Daniel Cordier, qui vient de s’éteindre à l’âge de 100 ans, était inconnu du public. Seuls le connaissaient une poignée d’historiens de la Résistance et des survivants des réseaux et des mouvements qui s’en souvenaient à peine (Cordier relevait de « l’intendance » diront certains non sans mépris, autant dire le petit personnel qui ne saurait avoir voix au chapitre), et quelques experts en art contemporain. Les deux mondes qui avaient été successivement les siens pendant et après la guerre : après être entré dans la clandestinité comme secrétaire de Jean Moulin, il avait promu nombre d’artistes alors méconnus (Dewasne, Dubuffet, Matta, Gabritschevsky, Tinguely, Titus-Carmel, Dado, Réquichot, Bellmer …)  dans la galerie qui portait son nom et qu’il avait ouverte dans ce but, tenue à bout de bras pendant huit ans (la donation d’une grande partie de sa collection au Centre Pompidou en est le reflet). Après quoi il se retira et profita de la vie sans jamais renoncer à l’intérêt pour la peinture de son temps, en parfait amateur et connoisseur dans l’acception la plus noble des termes.

Il avait si bien mis ses jeunes années à distance (seule exception : sa déposition au procès de René Hardy en 1947 lui reprochant sa responsabilité dans l’arrestation de Moulin à Caluire) que l’Histoire l’avait oublié en retour. Les chercheurs ne sollicitaient pas sa mémoire et lui ne s’en plaignait pas car il avait tourné la page, ne se sentant vraiment pas une âme d’ancien combattant pour avoir trop souffert dans sa jeunesse de la mémoire pesante de « ceux de 14 ». Jusqu’à ce que la guerre le rattrape dans les années 70. Participant à un débat des « Dossiers de l’écran », une émission-phare de la télévision de l’époque, il fut stupéfait par les accusations proférées en direct par Henri Frenay, co-fondateur du mouvement de résistance Combat, contre « Jean Moulin l’agent crypto-communiste » allant jusqu’à insinuer qu’il avait été un espion soviétique, qui seront suivies par des insinuations sur sa prétendue homosexualité en un temps où cela pouvait encore discréditer une personnalité publique (« Mais enfin, souriait Cordier en me racontant l’épisode, c’était un homme à femmes et moi, quand j’avais 22 ans, je couchais avec des garçons de mon âge, pas avec un vieux de 43 ans ! »). Il quitta l’émission assommé et s’en voulut de n’avoir pas su ni pu réagir comme il convenait pour défendre son patron contre la calomnie. Le scandale éclata mais, à titre personnel, le choc fut tel qu’il le décida à consacrer sa vie à réparer l’outrage.

Il s’immergea dans les considérables archives qu’il avait conservées, ce qu’il s’était bien gardé de faire jusqu’alors, et écrivit des milliers de pages sur « le patron ». De cette entreprise rare et remarquable (Jean-Louis Crémieux-Brilhac est l’autre exception qui confirme la règle) où un acteur de l’histoire immédiate s’en fait l’historien sans que cela tourne à des Mémoires, sortit Jean Moulin. L’inconnu du Panthéon, trois volumes que les éditions Lattès publièrent de 1989 à 1993. Un monument et pas seulement par la taille. Un chef d’œuvre dans l’ordre de la biographie historique. A la parution du premier volume, ayant pu le lire sur épreuves des semaines avant, je fus sidéré par la richesse, l’originalité, la densité, la nouveauté de son travail. Et pour cause : il se basait tant sur sa mémoire d’hypermnésique obsédé par le détail et sa vérification, hanté par le spectre de l’anachronisme, perfectionniste jusqu’à remettre bien plus que cent fois sur le métier, que sur des archives sur lesquelles nul n’avait travaillé comme il l’avait fait (lui seul était en mesure de décrypter quantité de messages qu’il avait lui-même cryptés sous l’Occupation).

Tous les journaux postulèrent pour obtenir l’exclusivité de sa première grande interview et s’il me l’accorda pour le magazine Lire, c’était parce qu’il avait lu la biographie que j’avais consacré à Daniel-Henri Kahnweiler, le marchand des cubistes… « Comme ça, on parlera aussi de ce grand bonhomme ! ». Il m’invita à le retrouver à Biarritz où il résidait alors. Notre entretien commença vers 10h pour s’achever vers 17.00. Et pendant toutes ces heures, il ne cessa de parler, de raconter, de se remémorer, d’analyser, sans précipitation mais avec une précision qui me laissa pantois car son propos était toujours d’une grande densité. Bien qu’il fut plus âgé que moi d’une trentaine d’années, il en ressortit en pleine forme, prêt à poursuivre si nécessaire, notamment sur l’histoire de l’art et sur sa passion de la littérature, et moi, exténué.

L’homme, dandy d’un raffinement vestimentaire très anglais dans le contraste des couleurs, reflet d’un tempérament provocateur, se révéla certes prolixe, bavard, intarissable, digressif, sans en faire des tonnes sur le romantisme de la clandestinité ni chercher à se mettre en avant, démystifiant tout ce que cette activité avait pu avoir d’héroïque en montrant bien qui étaient les soutiers de la Résistance, mais passionnant, d’une intelligence aiguë et d’une mémoire phénoménale. Et tellement attachant car si libre. Nous nous sommes revu, écrit, téléphoné par la suite. J’ai naturellement lu tous les livres qu’il a écrits par la suite notamment ses remarquables mémoires de guerre Alias Caracalla (Gallimard, 2009) et Les Feux de Saint-Elme (Gallimard, 2014), ses souvenirs d’adolescent gidien découvrant sa sexualité et son irrésistible attirance pour les garçons dans le pensionnat catholique où il était élève. Mais j’en suis resté à « la » phrase qu’il avait prononcé lors de notre toute première conversation car elle était de nature à gouverner, engager, dominer une vie : la sienne, la mienne et celle de tant d’autres. Elle n’a l’air de rien, cette phrase. On la dirait banale. Et pourtant, elle me poursuit depuis des années.

C’était à l’été 1942. Daniel Cordier, 22 ans, engagé dans la France libre dès juin 1940, tout à sa haine du maréchal Pétain à qui il ne pardonnera jamais de s’être couché en signant l’armistice au lieu de continuer le combat, venait de passer plusieurs mois à être formé aux techniques du Renseignement par le BCRA en Angleterre. Après y avoir suivi une spécialisation en transmissions radio (codage, décodage etc), il fut parachuté en France, en zone libre près de Montluçon, pour servir de radio à Georges Bidault, alors l’un des chefs du mouvement Combat. Sauf qu’à l’arrivée, le jeune homme vit son affectation modifiée et il retrouva secrétaire d’un autre dirigeant de la Résistance dont « Rex » était le pseudonyme (et dont il apprendra bien plus tard qu’il s’appelait Jean Moulin). Le soir où il lui fut présenté, le « patron » l’emmena dîner dans un restaurant de la place Bellecour et lui demanda de raconter sa vie.

Alors deux heures durant , Cordier lui raconta son jeune passé d’activiste : antisémite, antiparlementaire, anticommuniste, antidémocrate, antirépublicain, antimaçon… Nationaliste au point de promettre le poteau d’exécution à Léon Blum dès la fin de la guerre mais guère plus tendre vis-à-vis du « traitre Pétain » coupable d’avoir  baissé les armes. Issu d’une famille de la grande bourgeoisie négociante bordelaise, animateur d’un Cercle Charles Maurras et responsable des Camelots du roi, peu avant de trouver un bateau pour l’Angleterre à défaut de l’Afrique du nord, il en était encore à briser les vitres des magasins juifs de sa ville à la tête de son petit groupe de nervis. Durant tout le récit, Rex/Jean Moulin ne dit mot. Puis il lui confia :

« En vous écoutant, je me rends compte de la chance que j’ai eue d’avoir une enfance républicaine ».

Et en faisant quelques pas dans la rue, cet homme qui allait devenir le plus recherché de France à la fois par la police de Vichy et par la Gestapo, celui à qui l’on doit d’avoir unifié les mouvements de résistance derrière le général De Gaulle, ce haut-fonctionnaire radical-socialiste, préfet d’Eure-et-Loir révoqué et mis en disponibilité par Vichy, l’engagea comme son secrétaire particulier (secrétaire : homme du secret) ; il lui témoigna une absolue confiance dans la clandestinité en lui confiant la tache de le remplacer en son absence auprès des mouvements pour leur distribuer l’argent de Londres et les consignes du chef de la France libre. Est-il besoin de préciser que tout alors les opposait, qu’ils étaient aux antipodes l’un de l’autre par leur éducation, leurs convictions, leurs valeurs ?

Me croira-t-on si j’avoue que, plus encore que la fameuse formule sur la république des lettres, « la » phrase de Jean Moulin, ligne de vie qui contient tellement de choses, évoque, raconte, cristallise bien plus que ce qu’elle énonce, a inspiré il y a quinze ans le nom de baptême de ce blog ?

(« Daniel Cordier » et « Jean Moulin sur une façade à Chartres » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire.

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commentaires

1 187 Réponses pour Pour saluer Daniel Cordier

Marie Sasseur dit: à

Du buffet.

Bof, je préfère encore l’histoire du marchand d’art P. Berger avec le très grand Bernard Buffet.

JiCé..... dit: à

Lara,
Tu ne représentes rien, absolument rien, pour nous autres les diplômés, les managers, les conseillers sanitaires, l’élite, les vioques de ce Club !

Remercie le génial Assouline d’être curieux de tout, y compris de toi, pauvre limande !

Bien à Vous
(…essaie de rester propre sur toi, en attendant la mort …)

bouguereau dit: à

(…essaie de rester propre sur toi, en attendant la mort …)

ma mère de ma mère..et dire que pendant ce temps là baroz paralléle à son balcon est sous le soleil qui darde perpendiculaire

bouguereau dit: à

havec térezoune tant que ça salit pas les draps ça pisse pas loin

bouguereau dit: à

Il ne cherche même pas à vendre puisqu’il est dégagé de tout besoin matériel par la fortune familiale

..bon..faut pas trop en faire..djougachvili il parait qu’il se versait 2 salaire de prolo..qu’il avait un coffre et qu’on y a retrouvé des bouteilles de vodka et des trophés d’anniversaire fait par des ouvriers zingueurs..’au bon pti père’ etc..

Marie Sasseur dit: à

J’ajoute à ton intention que pour te faire passer le goût de la gloriole avinée, et à l’occasion pouvoir te refaire faire un dentier, tout neuf, j’ai ce qu’il faut à la maison.

bouguereau dit: à

l’uxoricide est une circonstance aggravante du meurtre

y’a polémique étymologique désinclusive hinteressante sur le mot..d’admi à malpoli jusqu’à franchment incorrect..lacte assassin de ‘féminicide’ bien que sans charge historique sonne pas terribe non pus..lacadémie devrait se creuser sacrénom..et peut être consulter fourniret? comme aurait dit baroz

bouguereau dit: à

Et toi connard quel que soit ton pseudo , tu es identique à toi-même

..donc à quoi bon en changer térezoune..vdqs

Petit Rappel dit: à

Hamlet, la Seconde République-1848-1851- ,ne peut être tenue responsable de la Guerre de 1914… Merci à Pat V de ses compléments iconographiques.

Sur le BCRA et l’affaire Maurice Dufour, illustrée dans les Mémoires du Général comme un trait de la perfidie anglaise, un tout autre son de cloche dans DDay Girls, de Sarah Rose (non traduit, Crown, New York, 2019) voué à la Résistance Féminine au SOE. Il apparaît que Passy et Wybot se seraient lourdement trompés.
MC

Lara dit: à

JiCé est à la Rdl ce que Jean-Marie Bigard est à l’humour. Un goujat de pacotille. Un misogyne de poche. Un mufle en miniature et aussi un nabot sans queue.

Marie Sasseur dit: à

Courtaud quand il cause dans le poste au conditionnel, on se demande si c’est du lard, ou du lard.

Lara dit: à

Marc Court,
Arrêtez d’enquiquiner Marie Sasseur, c’est ma copine, sinon, sinon, sinon… Vous aurez affaire à moi. Attention !
Retournez à vos vieux parchemins et vos poussiéreux manuscrits et cessez de jouer au clown pédant.

Marie Sasseur dit: à

Courtaud, juste bon à faire glousser des poules avec quelques persiflages et quelques insinuations, sur yt, et à poser ses crottes ici, ferait bien de se mettre à la bonne page. Il y en a qui bossent.

https://books.openedition.org/pur/49006

Pablo75 dit: à

@ Pat V

Tu aimes Dubuffet?

JiCé..... dit: à

Lara,

Tu es dynamique, certes, soi-disant amusante, certes…mais en dehors des clous.

Par pitié, pense à toi ! Tu as besoin d’un toit, d’une mentule pétillante, de cacahuètes aux hormones. Ne cherche pas à nous faire rire en RdL ! nous avons ce qu’il faut….

Bien à toi, chère guenon liftée !

et alii dit: à

Même si le passionné de l’art brut a totalement échoué dans son désir de non-reconnaissance en tant que peintre, ses écrits féroces et concis, à l’image de son autobiographie (inédite) qui couvre 84 ans en 79 pages, ne lui ont pas – encore – valu la notoriété d’écrivain qu’il ne souhaitait pas.
https://next.liberation.fr/livres/1995/10/26/dubuffet-pas-commode_148317

JiCé..... dit: à

Mille zexcuses, Lara pour ce putoiment

Bien à Vous

et alii dit: à

Imprimer
JEAN DUBUFFET , WITOLD GOMBROWICZ
Correspondance
Collection Blanche, Gallimard
Parution : 24-10-1995
«Non, non, cher Dubuffet, et non et non ! Vous êtes en pleine folie ! Et je suis heureux de pouvoir attraper le taureau par les cornes. Car vous êtes la culmination, l’apogée d’un rêve anarchiste et nihiliste qui travaille depuis longtemps la peinture (surtout française).»

«Et voilà, mon cher Gombrowicz, où, cette fois, vous m’atteignez, où le bât blesse. Mais à quel prix votre victoire ! Au prix de vider votre être, vous le voyez bien, en même temps que le mien, de toute substance propre – de l’être même. Au prix de vous dénier, en même temps qu’à moi, aucune existence.»

et alii dit: à

Dubuffet et Gombrowicz – Le Mondewww.lemonde.fr › Archives
26 févr. 1971 — Dubuffet et Gombrowicz … comprend la correspondance de l’auteur avec Bruno Schulz, Josef Czapski, Arthur Sandauer et Jean Dubuffet.

et alii dit: à

PORTRAIT DE L’AGONISTE: GOMBROWICZ **
JEU, STRATÉGIE, PASSION (DE L’ENTRE-DEUX)

par Dominique Garand
Université du Québec à Montréal

Je me crée par l’œuvre. D’abord je combattrai,
et après j’apprendrai ce que je suis. (T, p. 75)

Pour bien cerner l’agonistique de Gombrowicz, il faut d’abord se dégager d’un certain nombre de lieux communs légués par la grande tradition pamphlétaire du dix-neuvième siècle. Lorsqu’il est question d’«écrivains de combat», à qui pensons-nous en effet? À Bloy, à Péguy, à Bernanos, à Vallès, à Courier… L’existentialisme, il est vrai, Sartre et Camus en tête, a considérablement renouvelé l’ethos du combattant en l’articulant sur des positions philosophiques mieux définies. Aux imprécations contre ces scandales permanents que sont la Tyrannie, la Corruption, l’Injustice et la Décadence (les majuscules sont de mise dans ce discours qui tire son effet d’une essentialisation et d’une personnification des forces du Mal) a succédé, chez les existentialistes, la critique matérialiste des pouvoirs idéologiques qui abrutissent l’être humain et créent des inégalités sociales. Il reste que chez les «réactionnaires» comme chez les «progressistes» prévaut l’exhortation, en vue d’un monde meilleur, à une transformation de l’agir humain et des valeurs qui soutiennent l’organisation sociale.

Les questions culturelles sont aussi à l’ordre du jour puisqu’à travers elles se mesure la situation morale et intellectuelle d’une communauté. Cela donne lieu, du côté des pamphlétaires d’arrière-garde, à des appels à la conversion qui font suite à la dénonciation en règle de la misère spirituelle et du mensonge où sont tombés les artistes qui ont succombé aux erreurs du siècle. Chez les existentialistes, par contre, l’accent est mis sur la liberté et l’on s’en prend aux produits de l’idéologie bourgeoise pour mettre en valeur les œuvres qui subvertissent cette dernière, ou qui tracent la voie d’une émancipation, d’une sortie de l’aliénation. Dans ce tableau sommaire, il faut aussi ménager une place au surréalisme qui a développé un style polémique particulier qui conjugue de manière provocatrice le ludique et la violence exacerbée, l’élitisme et la pensée révolutionnaire, la liberté créatrice et le dogmatisme
http://www.vox-poetica.org/t/articles/garand.html

Lara dit: à

JiCé,
Excuses acceptées.
Et maintenant, va te coucher ou plutôt couche-toi, mon joli puant putois.

Marc Court dit: à

Mise au point.
Je n’ai pas nommé le personnage qui joue au cas psychiatrique, et qui manque si cruellement sous cet avatar et de style et d’humour.
Je n’attache aucune importance, depuis que je fréquent ce site, aux arguments ad hominem qu’on peut brandir contre moi.
Je constate qu’il est facile de rejouer, à coups de liens, la bataille de livres qui égaie le Lutrin.
Cela signifie-t-il qu’on les a lus? Pas nécessairement.Il faudrait parler d’un maniement infantile de l’argument d’autorité, façon «  »ta parole est disqualifiée, puisqu’il y en a, je cite « qui bossent là dessus ».

Grand bien leur fasse, mais une accumulation de titres et d’auteurs ne témoigne pas a priori de leurs qualités, sauf à en faire une synthèse, qui serait intéressante, que le sujet du jour appelle, mais… que notre vulgarisatrice (?)se garde bien de faire, elle qui n’a pas lu Cordier!

Je préfère donc être modeste et analyser un ouvrage que j’ai lu, au demeurant bien documenté, plutôt que de pratiquer du saupoudrage de titres, art dans lequel on est dans le cas présent expert.

Pour le reste, c’est l’examen des sources qui fait comprendre comment les choses se passent, et tant pis si mes manuscrits vous paraissent vieux et leur commentateur pédant.Pour être rigoureuse, »Lara » il vous faudrait traiter des mêmes noms d’oiseaux les commentateurs des archives du BCRA . Mais rigueur et trollisme ne sont pas compatibles…
Je clos là.
MC

renato dit: à

Enfin, bouguereau ! l’uxoricide — du latin uxor, épouse —, ce n’est pas seulement un feminicide, c’est le meurtre d’une personne qui t’a donné sa confiance et avec laquelle t’as conclu un pact d’assistance mutuelle.

Marie Sasseur dit: à

@Je n’attache aucune importance, depuis que je fréquent ce site, aux arguments ad hominem qu’on peut brandir contre moi..

C’est bien Courtaud, on ne va pas non plus passer la soirée sur vos bassesses.

Marie Sasseur dit: à

Quant aux manuscrits de l’église du curé de Paimpol, réservez en la primeur à votre auditoire, qu’on a vu plutôt proche du dernier sacrement, en fait.

Jean Langoncet dit: à

@c’est le meurtre d’une personne qui t’a donné sa confiance et avec laquelle t’as conclu un pact d’assistance mutuelle

Une manière de rompre le contrat plutôt que de l’exécuter qu’il dirait Vito (peu familier du code civil des français)

renato dit: à

Rompre un contrat ? il y a le divorce… ou pas ?

Marie Sasseur dit: à

@Je n’attache aucune importance, depuis que je fréquent ce site, aux arguments ad hominem qu’on peut brandir contre moi.

Ce n’est pas du tout mon cas, par respect pour tous ceux avec qui j’ai une interaction sociale.

Alors vos appels à la meute, couard que vous êtes, lorsque pris en flagrant délit d’insulte à l’intelligence, et de mensonge, vous comprendrez Courtaud, que ça n’est jamais passé,
et que ça ne passera pas.
Faites bien la différence entre ad hominem et ad personam.

Lara dit: à

Marc Court,
Votre mise au point me paraît plutôt une mise au coin.
Me prenez-vous pour l’une de vos étudiantes ou quoi ?!
Vous n’allez quand même pas me coiffer d’un bonnet d’âne et me clouer au pilori-coin-coin, hein, !!!
Trêve d’admonestations. Point de remontrances.
Allez gronder ailleurs et fichez-moi la paix.
Marc Court ou la prétention faite homme.

Jean Langoncet dit: à

@Rompre un contrat ? il y a le divorce… ou pas ?

Oui. Et depuis peu, sans devoir former une requête en exception devant le Saint Siège, par consentement mutuel, alors que cette modalité était prévue dans les projets de code civil dès avant 1804.

Marie Sasseur dit: à

Maintenant Courtaud, si vous n’êtes pas en mesure de comprendre que lara est le 36eme pseudo du connard, qui ferait mieux d’aller se faire soigner, ne faites pas honte une minute de plus, à l’akademie.

rose dit: à

Renato
avec laquelle t’as conclu un pact d’assistance mutuelle.

Pour le meilleur et pour le pire.
Là, ils ont atteint le pire.
Et l’homme n’a pas lu Camus. Ce qui l’aurait bien aidé.

Lara dit: à

Marie Sasseur,
T’es complètement barjo-cinglo-follo-dingo-névro-dépressio-zinzino-bête.
Et moi qui voulait faire copine-copine avec toi.
Tant pis pour toi car la Larapuckdexterhamlet ne sera plus jamais avec toi.
Pauvre de moi…

bouguereau dit: à

monsieur courte fait lcourtois qui s’essaie de sen tenir aux blazes térezoune..et toi la grognasse qui fait mine de pas l’havoir compris..et boum c’est l’hincommunicabilité

bouguereau dit: à

c’est pas pasque baroz s’est cassé qu’y faut régresser les aminches..

bouguereau dit: à

C’est bien Courtaud, on ne va pas non plus passer la soirée sur vos bassesses

ça srait chrétien térezoune..

bouguereau dit: à

Mais rigueur et trollisme ne sont pas compatibles…
Je clos là.
MC

..halors qu’il allait justement se confier

Marie Sasseur dit: à

Cela dit Court, sauf erreur, a part morand sur ce fil , vous n’avez rien à commenter à propos des livres de D. Cordier ?

Peut être demain ?

bouguereau dit: à

c’est le meurtre d’une personne qui t’a donné sa confiance et avec laquelle t’as conclu un pact d’assistance mutuelle

certainement rénateau..ce que je veux dire il y a meurtre et ses circonstances.. aggravantes/atténuantes..est il besoin de l’essentialiser par un mot?..comme aurait dit baroz reconnait le

bouguereau dit: à

il faut esprimer tes regrets havec plus de conviction térezoune..dis par exemple ‘mes paroles dépassent souvent ma pensée ce qui fait que je passe pour une salope meussieu courte’..tu enchaine pas une petite phrase par ‘toute petite déjà ma mère me le disait..’ et meussieu courte va débriser c’est obligé

B dit: à

Marc Court ou la prétention faite homme.

Ce n’est pas mon ressenti pourtant je ne peux pas sentir les prétentieux. Court nous fait part de son savoir, le ton employé n’est pas celui d’un passeur qui veut se faire valoir, déployant ses connaissances pour écraser les lecteurs ou briller d’un feu dont il aurait expressément besoin pour se sentir exister aux yeux d’autrui. Son domaine est peu commun. Faut il lui reprocher?

et alii dit: à

renato, pour vous je me dédis parce que me revient imparfaitement le souvenir d’une formule de P.LEGENDRE sur les contrats;je cherche un peu sur internet et trouve cet article:
Le droit et toute sa rigueur [article]
sem-linkPierre Legendre
https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_1977_num_26_1_1391
bonsoir

Jean Langoncet dit: à

@c’est pas pasque baroz s’est cassé qu’y faut régresser les aminches

L’incompatibilité d’humeur était un motif de divorce dans les projets de code civil révolutionnaires ; il ne l’est toujours pas aujourd’hui, semble-t-il. Mais quid de l’incompatibilité de genre ? (fallait-il coucher avant le mariage pour en avoir le coeur net ?)

Jean Langoncet dit: à

il > elle

bouguereau dit: à

« la » phrase de Jean Moulin, ligne de vie qui contient tellement de choses, évoque, raconte, cristallise bien plus que ce qu’elle énonce, a inspiré le nom de baptême de ce blog ?

en amérique y’a des pubs à l’école rénateau..’le gras le sucre c’est la vie’..mais pas le pinard ni le cul..y’a discrimination qu’elle dirait bonne clopine..qu’est ce quune henfance républicaine ?

Nabila dit: à

(fallait-il coucher avant le mariage pour en avoir le coeur net ?)

nan mais il vaut mieux essayer quand même, question de raccord, de tuyauteries, d’arrêter mmétiers.

Jean Langoncet dit: à

Du statut civil des fiancé(e)s, nabila ?

bouguereau dit: à

L’incompatibilité d’humeur était un motif de divorce dans les projets de code civil révolutionnaires

divorce par ‘consentement mutuel’..vive la république vive la franche qu’il dirait jicé

Jean Langoncet dit: à

@divorce par ‘consentement mutuel’

Par opposition au divorce qui implique un coupable et l’intervention d’un juge, c’est un progrès … des millénaires en attestent

bouguereau dit: à

et l’intervention d’un juge

comme disait lrénateau y’a contrat..et si tu veux faire passer le sujet à l’avocat des affaires..t’es ratatiné clodo qu’il dirait sarkozy..faut faire gaffe!

Jean Langoncet dit: à

Eh bien, régressons encore un peu qu’il dirait Rex qui a ses entrées là où il faut.

B dit: à

Langoncet, vous passez de l’âne au coq sans qu’il soit bien possible de relier les questions de droit, d’engagement au billet ou aux plaisanteries . C’est à quel sujet exactement?

B dit: à

Un peu de courage et de franchise, Langoncet, dépassez le stade du subliminal grotesque, alignez vos arguments pertinents afin d’ éclairer votre communiqué, merci.

B dit: à

Capté sur un tout autre thème cette pensée de Rachmaninov, la musique suffit à emplir une vie mais une vie ne suffit pas à la musique. En replay sur Arte.

rose dit: à

Rex qui a ses entrées là où il faut

Au Panthéon ?

B dit: à

Rex, est ce que ce n’était pas l’enseigne de cinémas dans un autre monde? Après vérification ils en existe encore. Il y a aussi les Vox. En région parisienne, les Utopia avec une programmation sympa.

Patrice Charoulet dit: à

« Il faut en France beaucoup de fermeté et une grande étendue d’esprit pour se passer des charges et des emplois, et consentir ainsi à demeurer chez soi et à ne rien faire : personne presque n’a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité, ni assez de fond pour remplir le vide du temps sans ce que le vulgaire appelle les affaires. Il ne manque cependant à l’oisiveté du sage qu’un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s’appelât travailler. »
La Bruyère, Les Caractères

et alii dit: à

je n’ai pas de fixette!
Pierre Legendre étudie la question immémoriale de l’humanité de l’homme. L’homme est l’animal doué de parole. Ce don n’est autre que sa blessure : la parole le sépare de l’« ordre naturel », elle jette un trouble dans la nature et en lui. L’homme entre et vit dans l’ordre langagier. Le monde humain, dans sa complexe organisation, naît de cet ordre-là.
http://www.actu-philosophia.com/Pierre-Legendre-Lecons-X-Dogma-Le-visage-de-la/

Jean Langoncet dit: à

@B dit: à
Langoncet, vous passez de l’âne au coq sans qu’il soit bien possible de relier les questions de droit, d’engagement au billet ou aux plaisanteries .

Merci, B, ma biographe de circonstance ; je ne méritais pas ces précieux développements.

B dit: à

Pas de quoi. Si vous disposiez d’un instant pour faire la lumière, je n’ai toujours pas compris comment relier quoi à qui, qui à quoi, quoi à qui.

B dit: à

Quoi à quoi. Au temps pour moi.

B dit: à

Et alii, j’ai jeté un oeil et trois neurones au lien précédent qui donne une idée de la densité et complexité de la pensée de Pierre Legendre. Comme vous avez remarqué j’aime les raccourcis, diriez vous que l’homme est un animal surnaturel?

D. dit: à

Si vous jetez trois neurones aussi inconséquement, Chère Bérénice, combien va-t-il vous en rester ?

B dit: à

Des millions meurent chaque jour à un avec très précoce, trois, quatre ans. Après c’est un holocauste et comme j’en suis au pré-Alzheimer depuis longtemps, loin de moi l’épargne.

Jean Langoncet dit: à

1881 : droit de réponse ; Kodak ; Cerruti

Jean Langoncet dit: à

@droit de réponse

Wiki says: « Le droit de réponse permet, en France, à toute personne, physique ou morale, « nommée ou désignée » dans un média de faire publier sa version des faits.

Marc Court dit: à

Merci B, mais il n’y a pas que cette étude très (trop) visible. J’ai travaillé sur une période qui va du Dix Septième au Dix Neuvième siècle, incluant aussi bien, entre autres, Corneille, l’image des héros du Moyen Age, le Père Hugo et ses Tables, Auguste Comte, ou le libertinage à travers Bussy et tout récemment Madame de Murat. On ne sait toujours pas, je crois, sur quoi travaille MS…
Bien à vous.
MC

rose dit: à

Bonjour à tous,

Après 18 jours de fermeture, l’Ehpad dans lequel est ma mère rouvre ses portes aujourd’hui.
Depuis le 11 mars, je ne l’ai ni touchée, ni embrassée, ni prise de mes bras.
Pierre Haïk après une carrière fulgurante est atteint par la maladie d’Alzheimer.
Ai appris jeudi après-midi lors de notre groupe de parole France 04 Alzheimer que cette maladie efface les autres y compris le diabète. C’est à dire que l’on n’est plus malade. Je demanderai des précisions la prochaine fois.
Hier soir,après le repas, à 18h20 ma mère est enfermée ds sa chambre, ai fait faire à ma mère le mini mental state examination. Elle a eu 27 sur 30.
La dernière fois, il y a 18 mois,elle avait eu 26 sur 30.
Le 20 novembre, je lui ai fait faire le portrait chinois. Étonnant. Je la découvre et l’admire.
Hier soir elle a su soustraire sept de cent, cinq fois et je lui ai dit citron clé ballon et après quelque temps elle a su répéter citron clé ballon.

Je voudrai une plage très longue et blanche de sable comme le sont les argentines, être pieds nus, seule autonome et solo comme je le suis de nature et marcher le long des heures entières.
J’aurai connu le renouveau de l’amour et le désir des corps, mais j’aurai choisi l’indépendance absolue et intransigeante.

Ai écouté Daniel Cordier à Pau, trois ans avant qu,’il ne nous quitte. Il est dur de la feuille mais clair de l’esprit. Dit de lui je suis solitaire.
Belle vie de l’avoir traversée en conservant totalité de sa vie intellectuelle. De son raisonnement. De son intelligence.
Beau choix de se battre pour la mémoire de Rex durant une trentaine d’années de sa vie.
Un homme accompli.
Admiration,

rose dit: à

Au hasard, Bahia blanca, puis porto Santa Cruz.

Marie Sasseur dit: à

@On ne sait toujours pas, je crois, sur quoi travaille MS…

Court, ca change tous les jours, plus sérieusement,si des enjeux qui dépassent ma petite personne me permettaient de dire pour qui, avec qui, et pourquoi, je le ferai bien volontiers.
Vous pourriez je pense être assez bluffé d’apprendre que je travaille pour le bien.

Gare de Lyon. Bangkok. RTL. dit: à

Je paierais cher pour en savoir plus sur ce « malentendu ».

Jazzi dit: à

INVENTAIRE N° I : Ma galerie présidentielle

23 NOVEMBRE 2020

J’ai grandi sous de Gaulle détenait fermement les rênes du pouvoir.
A l’adolescence, je m’étais forgé des convictions de gauche, tendance marxiste-léniniste, sans jamais toutefois adhérer au PC.
En 1968, j’ai défilé avec les maoïstes et autres gauchistes pour demander bruyamment le départ du général.
Le respect envers le personnage historique viendra plus tard.

J’ai eu vingt ans à Paris sous Pompidou et moi aussi je lui avais demandé : « des sous ! »
Je le trouvais plutôt moderne et bon enfant.
Je le vis grossir à vue d’oeil sur les écrans de télé et les photos de presse et je fus surpris par sa mort soudaine, trois ans avant la fin de son septennat.

Je n’ai pas voté ensuite pour Giscard, trop bourgeois et libéral à mon goût.
J’ai apprécié néanmoins quelques unes de ses réformes, même si la majorité à dix-huit ans pour moi venait trop tard !

J’ai aspiré à l’arrivée de Mitterrand mais en fus très vite déçu.
Ses tendances tout à la fois machiavéliques et pharaoniques me l’avaient rendu antipathique et je n’ai pas pleuré à son départ.

J’avais aimé Chirac, maire de Paris.
Moins, le Chirac président.
Son immobilisme et sa prudence d’alors, l’avait fait comparer, à juste titre, à l’un de nos anciens rois fainéants.

J’ai été peiné pour Sarkozy, cocu avant même d’être élu.
J’ai compati à ses migraines et n’ai pas partagé la haine que partout il suscitait, fort heureusement tempérée par son nouvel amour pour une belle italienne.

Je n’avais pas souhaité l’élection de Hollande, porteuse de trop de déceptions annoncées pour ceux-là mêmes qui l’avaient élu.
Plus technocrate qu’homme d’état, il fut parfait dans l’inauguration des chrysanthèmes par temps de pluie.

J’ai applaudi à la prise du pouvoir par Macron, qui consacra l’implosion des vieux partis traditionnels et fit barrage aux candidats situés aux extrêmes de l’échiquier politique.
Après un début jupitérien, il essuie depuis lors tempête sur tempête…

Je souhaite bien du courage au prochain président !

Jazzi dit: à

de Gaulle QUI détenait

Marie Sasseur dit: à

Le mal entendu pour ce à quoi je suis assez sensible, commence à la minute 29, de l’interview de D. Cordier, lors de son intervention à Pau. Paris « désert » en 43, c’est qu’il s’était passé des choses avant…

Marie Sasseur dit: à

Bof, s’il y en a qui en sont a l’inventaire, c’est que ça sent le sapin. En outre les héritiers en seront pour leurs frais. Vaut rien à la revente.

Marie Sasseur dit: à

J’ai retenu une phrase du procès Daval. Elle ne cesse de me faire réfléchir, car elle dit plus que ces quelques mots:: une explication n’est pas une excuse.

JiCé..... dit: à

Lundi 23 novembre 2020, 8h08, 10°

Dans l’esprit de « Sous les pavés, la plage », je sortirai volontiers un « Sous le tapis, la dette ».

Plus de 50 ans de plage, le farniente ça se paie, chers compatriotes soixante-huitards !

et alii dit: à

renato, j’ai retrouvé l’expression que P.LEGENDRE nous fit apprendre et qui a droit ç une page wiki:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pacta_sunt_servanda
et s’abandonnait au plaisir d’ironiser en répétant:
L’article 1103 du Code civil français y fait une référence expresse : « Les contrats légalement formés tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits. »2.
comme les erdélien-ne-s ont des histoires entre eux,je ne me mets pas sur les rangs et les quitte ravie

Marie Sasseur dit: à

Le dr Lecter, en revanche travaille à saper. Faux socrate de bazar, et vrai manipulateur.

JiCé..... dit: à

Dans le fond, on peut tenter de répondre à la légitime question
« Pourquoi avons nous perdu toutes les guerres depuis que la France se bat contre les méchants? »
plutôt que d’inventer un roman national idiot et mensonger, plutôt de glorifier des Cordier, et autres Moulin ou grands héros morts, eux qui sauvent la mise de la majorité attentiste qui ne bronche pas !

Me vient à la bouche le constat irréfutable :
« Parce que les Français, peuple de sots, de faignasses, de couilles molles, sont incapables de réfléchir au delà du lendemain, car ils tremblent terriblement à l’idée de ne plus pouvoir jouir tranquillement à rien foutre ! »

Irresponsabilité totale…

JiCé..... dit: à

Ce qui fait que l’Europe est allemande.

Passou dit: à

Gare de Lyon, A l’occasion, feuilletez le chapitre sur l’écharpe de Jean Moulin dans « Rosebud »…

et alii dit: à

requichot s’est suicidé

et alii dit: à

Ah, il en était parfaitement conscient, parfaitement ! Parce qu’en parlant d’un autre ami, qui avait fait une tentative de suicide – je me rappelle que ses mots ont résonné dans mes oreilles le jour de sa mort à lui – il a dit : « C’est vache de se louper ! »
En fait, Réquichot pensait qu’il était plus facile d’être une souris qu’un homme. Un jour, il y eu cette histoire à Hérouval ¹⁰ : un chat jouait avec une souris, et j’ai réprimandé le chat qui est venu vers moi – c’était un chat apprivoisé – et qui a abandonné la souris. Aussitôt, un corbeau a plongé sur elle et j’ai dit à Réquichot : « C’est très difficile d’être une souris. » Et c’est là qu’il m’a dit : « C’est encore plus difficile d’être un homme ! »
Et Réquichot disait aussi à propos de son œuvre – pour laquelle il nous a laissé des documents explicites et très beaux – qu’il lui impor
https://www.dado.fr/bernard-requichot

bouguereau dit: à

Ce qui fait que l’Europe est allemande

elle est continental jicé..les gagnants la ramènent trop qu’il dit kabloom..et puis qu’il fasse de la yole de mer..lavnir est aux panzers et aux 4×4 quelle dit merquèle

bouguereau dit: à

Plus de 50 ans de plage, le farniente ça se paie, chers compatriotes soixante-huitards !

payer ses dettes c’est trop s’henrichir..par yavé restons modeste et pauvres jicé

christiane dit: à

et alii dit : « merci, chers contributeurs de vos cours, conseils, leçons : vous vous donnez trop de peine dont je ne suis pas le vrai destinataire ; j’espère que celui ci s’y retrouvera »

« Quelqu’un est resté longtemps sans travailler.
Il fait un retour sur lui-même et réintègre ses anciens desiderata. Il en retrouve toute une série déjà mis en forme, et découvre sous ces travaux sa signature. Il fait des recherches. Personne ne sait rien de l’existence de cet auteur. Peu à peu, il accepte l’idée qu’il s’agit de lui. Composer un personnage uniquement de citations ! L’importance que j’accorde à ces histoires de fantômes. Le destin noue ensemble les êtres qui se touchent, qui ont quelque chose à se dire. Un amour rendu à l’exaltation par la séparation. »

« Journaux » de Robert Musil (Seuil) tome 1 – traduit par Philippe Jaccottet.

bouguereau dit: à

Les gens sont bien plus beaux qu’ils croient

sils sont beau au prorata d’ête con..t’es apollon keupu

bouguereau dit: à

Je souhaite bien du courage au prochain président !

..sans toi..comment veux tu!

bouguereau dit: à

J’ai retenu une phrase du procès Daval. Elle ne cesse de me faire réfléchir, car elle dit plus que ces quelques mots:: une explication n’est pas une excuse

..spinoza disoit que c’était le début du pardon

bouguereau dit: à

Wiki says: « Le droit de réponse permet, en France, à toute personne, physique ou morale, « nommée ou désignée » dans un média de faire publier sa version des faits

d’ête proprio ça aide..surtout quand que c’est quune poignée de gars libre d’entreprende

bouguereau dit: à

l’écharpe de Jean Moulin

daniel il kiffait les vieux rideaux..

bouguereau dit: à

j’ai défilé avec les maoïstes et autres gauchistes pour demander bruyamment le départ du général

..un sauvageon ce baroz

Marie Sasseur dit: à

Moi a la place Gare de Lyon, je resterais tranquille a faire de Bouddha à Bangkok.

puck dit: à

bouguereau dit: à

j’ai défilé avec les maoïstes et autres gauchistes pour demander bruyamment le départ du général

..un sauvageon ce baroz
 »

j’aurais plutôt dit une Grosse Ordure Morale de Stalinien Maoïste, mais bon après on peut se tromper…

puck dit: à

greubou moi la République je m’en tape : je suis un anarchiste, je n’ai jamais voté…

ni Dieu ! ni Maitre ! in Astrology we trust !

puck dit: à

heureusement qu’il a pas dit « En vous écoutant, je me rends compte de la chance que j’ai eue d’avoir une enfance dans l’Action Française ».

sinon le blog de passou il s’appellerait l’Action Française des Lettres.

J.L. Beaufils dit: à

N’OUBLIONS PAS QUE DANIEL CORDIER FUT AUSSI UN GALERISTE ET COLLECTIONNEUR EXEMPLAIRE.
Bravo pour l’hommage national qui est rendu à Daniel Cordier aux Invalides !
Hommage pour le grand résistant au nazisme …Mais qu’il faudrait, je pense, compléter par un hommage à celui qui a su résister ensuite au totalitarisme artistique d’Etat , et offrir une alternative à celui-ci…. Car c’est bien cet art qu’aimait Cordier qui fut considéré comme « dégénéré » par les nazis et que les sbires de l’appareil culturel d’État d’aujourd’hui ne considèrent avec guère plus d’aménité…
Alors oui, une grande exposition au Centre Pompidou de la collection Daniel Cordier serait la bienvenue, même si elle contrevient à l’idéologie esthétique maintenue encore en place et contre toutes justice, morale et raison.(…)
Il y a eu, en 1989, une timide expo intitulée « Regard d’un amateur » d’une partie de cette collection, car il fallait bien exprimer quelque petite gratitude après que Daniel Cordier ait fait donation au Centre Pompidou de quelques 500 œuvres d’ artistes majeurs parmi lesquels :
Jim Amaral, Dieter Appelt, Arman, Bernard Bazile, Hans Bellmer, Pierre Bettencourt, Julius Bissier, Brassaï, Aristide Caillaud, César, Gaston Chaissac, Philippe Comar, Robert Combas, Dado, Thierry De Cordier, Fred Deux, Jean Dewasne, Jean Dubuffet, Erró, Öyvind Fahlström, Claire Falkenstein, Yolande Fièvre, Eugène Gabritschevsky, Dominique Gauthier, Georgik, Simon Hantaï, Hans Hartung, Hessie, Horst Egon Kalinowski, Hundertwasser, Karen, Joël Kermarrec, , Kline, Michel Lablais, Augustin Lesage, Matta, Michel Meurice, Henri Michaux, Roland Michenet, Manolo Millares, Robert Morris, Michel Nedjar, Louise Nevelson, Christian d’Orgeix, Alfonso Ossorio, Robert Rauschenberg, Bernard Réquichot, Reutersward, Yves Reynier, François Rouan, Friedrich Schröder Sonnenstern, Bernard Schultze, Charles Simonds, Souki Sivalax, Richard Stankiewicz, Takis, Tàpies, Jean Tinguely, Gérard Titus-Carmel, Ursula, Nicolas Valabrègue, Claude Viseux, Joel-Peter Witkin, Wols, Christian Zeimert et beaucoup d’œuvres d Art premier. ,
Souvent je me demande ce que peuvent bien voir les sbires agités de l’intellect du ministère, directeurs de FRAC, conseillers de DRAC, etc. ,quand ils regardent par mégarde une œuvre de Dado, de Caillaud, de Sonnenstern, de Bettencourt, de Wols, de Fred Deux, de Tapiès, de Fahlström……s’ils en éprouvent quelque émotion ou battement de cœur..
« Les peintres sont la vraie famille d’un marchand de tableaux […]. Je ne crois pas que l’on puisse parler de la peinture autrement qu’avec son cœur, et le cœur de chacun étant unique, autrement que par la confession. Le spécialiste et le profane ne sont pas mieux outillés l’un que l’autre quand il s’agit de faire partager leur admiration ou leur dégoût pour les objets mystérieux qui percent le ciel de notre sensibilité : les tableaux. »(…) « le danger pour un marchand de tableaux qui aime la peinture est de devenir un commerçant, de perdre tout contact avec ce qui a été à l’origine de son entreprise : l’amour de l’art. » écrivait Daniel Cordier en 1964) »
( Extrait du compte fb de P. Souchaud.)

puck dit: à

J.L. Beaufils dit: à

N’OUBLIONS PAS QUE DANIEL CORDIER FUT AUSSI UN GALERISTE ET COLLECTIONNEUR EXEMPLAIRE.
 »

non seulement on ne l’oublie pas, mais en plus c’est la seule que l’histoire retiendra de lui.

d’ailleurs il y a 30 ans ce même article à passou aurait déclenché des polémiques politiques.

aujourd’hui il déclenche des papotages sur les peintres.

et tout ça grâce à Jack Lang : in Painting we Trust !

Pat V dit: à

J.L. Beaufils dit: à

N’OUBLIONS PAS QUE DANIEL CORDIER FUT AUSSI UN GALERISTE ET COLLECTIONNEUR EXEMPLAIRE.

On ne peut que partager cet avis mais en nuançant et préciser que le cœur aussi, s’apprivoise!

Pat V dit: à

aujourd’hui il déclenche des papotages sur les peintres.

et tout ça grâce à Jack Lang : in Painting we Trust !

Il serait intéressant de préciser votre assertion Monsieur Puck.
Merci!

J.L. Beaufils dit: à

 » Si vous voyez de la peinture nulle, il faut le dire! »
Daniel Cordier.
Mais :  » j’ai tout dépensé en achetant des tableaux. »
Daniel Cordier.

puck dit: à

Pat V dit: à

aujourd’hui il déclenche des papotages sur les peintres.

et tout ça grâce à Jack Lang : in Painting we Trust !

Il serait intéressant de préciser votre assertion Monsieur Puck.
 »

mon assertion ?

c’est juste que d’un point de vue sociologique, la culture a comblé chez l’individu moderne cette béance attachée à la fin d’une conscience politique.

pour le dire autrement dans nos sociétés la culture a pris la place de la politique, ç’aurait pu être la religion, ou autre chose.

et si on regarde les choses d’un point de vue historique, ce tournant a eu lieu avec Lang.

what do you think about that ?

Pat V dit: à

ç’aurait pu être la religion,

Il me semble que la religion a été remplacée par l’art, déjà par le commerce des reliques et des indulgences!
On a même aujourd’hui une religion d’art, d’Etat…depuis Lang.

Pat V dit: à

le commerce des reliques

Usage lucratif du faux et spéculations internationales, déjà!

puck dit: à

Pat V dit: à

ç’aurait pu être la religion,

Il me semble que la religion a été remplacée par l’art, déjà par le commerce des reliques et des indulgences!
On a même aujourd’hui une religion d’art, d’Etat…depuis Lang.
 »

et donc nous sommes bien d’accord.

Pat V dit: à

 » Passer de tuer du boche à ouvrir une galerie à franfort! » Daniel Cordier dans son entretien posté en lien sur ce blog par moi-même.

Même ce galeriste atypique, non officiel, que fut D. Cordier n’a pas résisté de passer de la résistance républicaine à l’art comme religion rédemptrice bien qu’il fut profondément et il faut y insister, un hérétique!

puck dit: à

« On a même aujourd’hui une religion d’art »

et culture : art et culture comme nouvelle religion attachée au progrès social.

d’où Trump et tous les autres (Erdogan, Pourtine, Orban etc…) qui ne représentent plus des conflits politiques mais des conflits culturels.

d’où ces sociétés scindées en deux mondes qui ne parlent plus la même Lang : y a ceux qui suivent et ceux qui sont largués.

et tout cela ce n’est plus de la politique, mais juste de la culture, que de la culture.

Lang a cru que la culture pouvait rassembler, en fait elle est devenue la source de nouveaux clivages.

Pat V dit: à

et donc nous sommes bien d’accord.

Oui.

Brinqueballe dit: à

Pat V dit: à

le commerce des reliques

Usage lucratif du faux et spéculations internationales, déjà!

Un cheveux de la tête à Mathieu…et une dent de la mâchoire à Jean!
( Faux!)

Pat V dit: à

 » Si vous voyez de la peinture nulle, il faut le dire! »
Le contraire est vrai aussi.

( Ma réponse tardive ( sorry) à Pablo75 à propos de savoir si j’aime ou non la peinture de Jean Dubuffet.)

Pat V dit: à

Lang a cru que la culture pouvait rassembler

Enhaurme question, Puck!
Déjà différencier art et culture, surtout s’il s’agit d’une pratique sélectionnée de fait par l’État!
Mais là, on sort de notre domaine Daniel Cordier.

DHH dit: à

Je me demande comment vont se passer les opérations d’attribution du Goncourt cette année avec la fermeture de Drouant
A –ton prévu une visioconférence par Zoom ,où chacun des jurés, installé chez lui à sa table de salle a manger, en face de ses commensaux virtuels, dégustera avec eux , dans ce moment de convivialité numérique, le menu «enpackagé» à son intention par Drouant, qu’il aura récupéré en clic et collect?

Bloom dit: à

Si l’art est un marché, le cinéma une industrie,
le livre serait-il un produit artisanal?

Pat V dit: à

Voilà un exemple d’une pratique ultra contemporaine d’un art cypto religieux, dans lequel une fleur massue est le substitut d’un cierge qui casse des voitures au sens symbolique et pratique du terme.
Jusqu’à l’iconoclasme qui déjà fut l’enjeu d’un concile au VIII ème siècle!
( Remarquons que l’état sous la forme de sa policière indulgente et complice, protège cet iconoclasme de trottoir!)
https://www.youtube.com/watch?v=-gd06ukX-rU&feature=share&fbclid=IwAR0qxqaMEkP8M2CJuDl5-OJVqRcBPaVtwdSalA_DB5QjHz2ZVOjURE2I_ro

https://www.youtube.com/watch?v=-gd06ukX-rU&feature=share&fbclid=IwAR0qxqaMEkP8M2CJuDl5-OJVqRcBPaVtwdSalA_DB5QjHz2ZVOjURE2I_ro

puck dit: à

Pat V dit: à

Lang a cru que la culture pouvait rassembler

Mais là, on sort de notre domaine Daniel Cordier.
 »

pas vraiment, si on suit la logique de passou : l’un dit « je suis content d’avoir eu une enfance républicaine » et passou en tire le nom de son blog « la République des livres ».

on voit là comment s’opère le glissement d’un concept politique (la République est strictement définie par la politique) à un concept culturel : la République des Livres, qui en soi ne veut strictement rien dire.

Soleil vert dit: à

Giscard publie « Loin du bruit du monde ».
Un roman dont le véritable thème dit Bernard Pivot dans le JDD, est la chasse à l’éléphant – et j’ajouterai un remord tardif pour ce genre de pratique.
Certes le personnage n’est pas le romancier, mais tout de même :
https://www.lejdd.fr/Politique/Le-roman-des-chasses-de-la-Republique-204991-3102674

A la limite de l’ex président, j’essayerais l’uchronique « La victoire de la grande Armée ». Mais là … non

gisèle dit: à

@ DHH. Bonjour, excellente question…Si Drouant ne pratique pas le « clic & collect,et a fermé son piano, je recommande Ducasse, oui, Alain, qui a racheté des bistrots, notamment « chez Allard », en bas du bd Mich’ tout près de la grande fontaine. Il propose des casse-croute, en clic, tout imprégnés d’esprit estudiantin, sur nappe à carreaux, et une pointe d’insoumission, mais sans lâcher les bretelles, cela va de soi. A moins que vos talents culinaires, avérés, ne proposent aux jurés un plat fait maison…Attendons ! Bonnes lectures, à vous ( je trie des factures et pas seulement pour la rime, las, lasse)

Bloom dit: à

« Loin du bruit du monde »

Franchement, il ne s’est pas foulé, l’éditeur.
Déjà, en 1874, Thomas Hardy publiait ‘Far From the Madding Crowd’…

Phil dit: à

Coup de mou sur le prestigieux blog à passou depuis le départ de Baroz, même Sasseur est rôtie. Personne pour dire si Cordier a couché avec Hervé Vilard comme Green avec son fils adoptif, la littérature n’est décidément plus ce qu’elle était.

gisèle dit: à

@ et alii,( avant que vous ne partiez ?)
J’ai lu l’article du « monde » auquel vous aviez renvoyé, à propos de l’Art Brut. Très précis et passionnant. Je n’ai pas lu la correspondance entre Dubuffet et Gombrowicz, mais j’ai lu (et je posséde) la correspondance entre Dubuffet et Pierre Bettencourt, ainsi que plusieurs textes de Bettencourt, personnage aux dons multiples. Daniel Cordier avait exposé ses oeuvres -tableaux surtout- dans sa galerie, dans les années -60.
Merci pour les références,j’achète « dubuffet-Gombrowicz. .Il est fait allusion à Bruno Schultz,à l’ironie dévastatrice, mais je connais mal ses oeuvres illustrées.

Jibé dit: à

« d’ailleurs il y a 30 ans ce même article à passou aurait déclenché des polémiques politiques.

aujourd’hui il déclenche des papotages sur les peintres. »

c’est vrai, puck, mais il y a trente ans, à une époque où tout est tellement énervé et plus que rapide, c’est il y a trente siècles! On a dû changer d’époque dans cette génération, non?

D’ailleurs Daniel Cordier, 100 ans. C’est tout dire.

bouguereau dit: à

Bruno Schultz

du modlé..dla gueule folklo..dla fesse bien frottée dcul dmarmite..dlartété kunst comme on aime quil aurait dit gueubèls

Jibé dit: à

@ »depuis le départ de Baroz, » … il suffit que je sorte 24 heures, je reviens, plus de Baroz?

bouguereau dit: à

Personne pour dire si Cordier a couché avec Hervé Vilard comme Green avec son fils adoptif

il font rien qu’à s’copier les uns les autres

bouguereau dit: à

le livre serait-il un produit artisanal?

si havec le scrapbouc ya les sucettes à lanis..il peut le dire

gisèle dit: à

@ Phil, très mauvaise langue, Hervé Vilard couche dans un presbytère, entouré de jardins fleuris,cadre pastoral !
Vous étiez plus inspiré en parlant, il y a peu, de l’excellent « répliques » consacré à la biographie de Paul Morand, qui offrait des vues différentes de celles ici développées; émission parfaitement maîtrisée. J’avais précédemment renvoyé au discours de l’Académie, cela n’avait accroché personne; bien fait pour ma pomme. Au fait, il était expliqué la raison du veto de De Gaulle, « Gaulle » pour l’étincelant Morand.

bouguereau dit: à

le menu «enpackagé» à son intention par Drouant, qu’il aura récupéré en clic et collect?

ça m’rappelle le coli dnoel des vieux dans mon patlin..y’avait pas dsucette à lanis mais un paquet de caramel mou..jme souviens bien

bouguereau dit: à

On a même aujourd’hui une religion d’art, d’Etat…depuis Lang

quel chiffon rouge ctaffure..t’enlève l’opéra le cinoche..les bouquins..les musées et y reste à peine de quoi achter la vazline a la villa médichi mais toujours de quoi faire causer gratos keupu pédreau et rénateau

bouguereau dit: à

déjà par le commerce des reliques et des indulgences!

le traffic des reliques date des grecs et des romains..les indulgences?..payées d’avance à l’époque..toujours a hair djizeus le keupu

bouguereau dit: à

pour le dire autrement dans nos sociétés la culture a pris la place de la politique

..tout ça pasque vu tes talents ramsès y t’aurait pas mis à la peinturlure mais à la pompe à merde..rétrospectivement ça t’met vénére

renato dit: à

bouguereau, tu n’a peut-être pas observé que dans ce passage n’ai pas causé — étant donné les causeurs cela aurait été stupide de ma part.

bouguereau dit: à

je suis un anarchiste, je n’ai jamais voté…

dis qut’es un trouducu keupu et qu’en effet ‘personne peut dire qu’ça sert a rien’

JiCé..... dit: à

« Je suis content d’avoir eu une enfance républicaine », ça ne passe pas !

Il faut seulement être content d’avoir eu une enfance…bordel de cul de naine vérolée ! Qu’est ce que vient faire la république là dedans ? Risible ! Désolé mais je glousse de rire parmi les poules amusées.

Marie Sasseur dit: à

« Je me demande comment vont se passer les opérations d’attribution du Goncourt cette année avec la fermeture de Drouant »

Je propose un truc sportif, le snacking.(*) Cocher sur l’attestation : déplacement pour un Concours, mettre à la place: drolaxrlebt pour un Goncourt.

(*) L’histoire du manger-en-marchant commence dès l’aube de l’humanité avec la cueillette. Il en reste quelques fraises des bois, des cerises et des pommes sauvages grappillées lors de nos promenades. 
https://www.snacking.fr/actualites/communaute/3251-Manger-en-marchant/

Marie Sasseur dit: à

Ca me fait penser, Danone vient de licencier un paquet de monde . Ça tombe mal.

Pablo75 dit: à

» Si vous voyez de la peinture nulle, il faut le dire! » Daniel Cordier
J.L. Beaufils dit:

Impossible, dans la peinture abstraite, savoir laquelle est nulle. Nulle selon quels critères objectifs? Le seul critère objectif c’est l’argent qu’on paie pour elle. Des tableaux abstraits merdiques, comme ceux de Dubuffet ou de Tapies, étant très chers, ils sont obligatoirement très bons. C’est l’argent qu’on donne pour un tableau qui fait sa valeur, pas ce qu’il y a sur la toile. La valeur de l’oeuvre d’art abstraite réside, donc, en dehors d’elle. On imagine si en littérature c’ était le contexte qui faisait la valeur du texte.

J’attends (assis) l’analyse marxiste du marché de l’art abstrait fait par le Pétomane, alias Puck-Puck le Co-co. L’analyse du fait qu’un objet merdique se transforme en oeuvre d’art grâce au miracle de l’argent.

Moi, cela fait plus de 30 ans que je cherche quelqu’un qui me l’explique, mais aucun « croyant » de la Religion de l’Abstrait a daigné le faire. Tous ceux que j’ai interrogé sont restés muets devant ce problème métaphysique.

Je me rappelle qu’un soir, visitant avec ma femme une exposition de toiles archi-nulles d’un américain dans une salle immense de Beaubourg et ayant dit plusieurs fois, sans baisser la voix comme font les croyants dans ce genre de cérémonie: « Mais quelle merde ! Quelle nullité ! Il faut être con pour admirer ça ! » et autres exclamations de ce genre, qui faisaient se retourner les autres rares visiteurs de l’exposition, me regardant l’air réprobateur, un vieux au crane sans le moindre poil et très bien habillé, alors que nous on était habillés comme si on allait aux Puces, s’est approché de nous et m’a dit, tout bas et en souriant: « Vous n’aimez pas l’art de votre époque? ». Je lui ai répondu: « Je l’adore. Mais ça c’est de la merde. De la merde chère, mais de la merde quand même. Vous aimez ça, vous? ». Le type m’a répondu ce que tous ceux qui ne se sont jamais posé des questions hétérodoxes sur l’art et ont toujours avalé ce qu’on leur disait d’avaler, répondent dans ce cas-là: « Je trouve cela intéressant ». On a commencé à discuter et le type est resté muet, avec un regard de plus en plus ahuri, devant mes objections. Visiblement il ne les avait jamais entendues ou lues dans les 50 ans de visites à des musées, galeries et expositions qui nous avait dit qu’il avait derrière lui.

Un de plus.

Phil dit: à

entouré de jardins fleuris

Dear Gisèle, la symphonie pastorale n’est heureusement pas audible pour tout le monde. Capri, c’est pas fini, à vous sasseur d’os

Moralès sed laisse dit: à

Des tableaux abstraits merdiques, comme ceux de Dubuffet ou de Tapies

Rien d’abstrait dans les tableaux de Dubuffet, bien au contraire!

Marie Sasseur dit: à

On dirait que l’infect a pour moi des attentions de clébard reconnaissant.
On va laisser les keufs vider son disque dur…

J’irai faire un tour, un de ces quatre matins, sur ce chemin de la liberté provençal, familier de Jean Moulin.

B dit: à

Phil dit l’infect du blog apassou, il me semblait que peut être à côté de vos amitiés littéraires coupables vous auriez amorcé un virage à option verte, me trompe-je ? Que faudrait il défendre de plus précieux, irremplaçable et nécessaire que notre écrin? Pour qu’y gambadent toutes sortes d’animaux politiques. On prendrait soin d’éliminer les nuisibles qui mettent en danger de façon évidente d’autres espèces.

Pablo75 dit: à

Très belle récolte de perles sur la culture et la politique pour ma Collection d’Automne-Hiver de Perles Desborels S.A. (surtout celle de Lang comme le grand penseur qui a eu l’idée lumineuse de mettre la culture à la place de la politique).

Merci, Pétomane.

(À ce rythme-là, je pourrais avoir bientôt une « Encyclopédie de la Pétomanie » faite sans le moindre effort d’imagination).

Phil dit: à

B(érénice), Gaudeant bene nati

Marie Sasseur dit: à

Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, c’est déjà ça.

Marie Sasseur dit: à

Qu’il ne supporte pas les insultes le visant, c’est une chose.
Pour moi, c’est la même chose. Une question d’éducation.

et alii dit: à

hors sujet:j’ai écouté aujourd’hui une video de Zag:
Ce que l’Universel a de particulier, qui se termine par l’évocation du travail d’un ethnomusicologue (très connu)sur les pygmées aka et les préjugés;
zag est un lecteur interprète de Legendre;il connait bien tous les problèmes de traduction ,et de grammaire, linguistique (et signale ses références) ; c’est donc très instructif de l’accompagner, et les « articulations « de sa pensée ne sont pas masquées par des propos étrangers à son sujet ;
bonne suite à tous

lmd dit: à

«Nulle selon quels critères objectifs?» demande-t-il à propos de la peinture « abstraite ». Mais pour la peinture figurative, quels sont les critères objectifs ? Depuis longtemps (toujours?) ce sont les artistes eux-même qui reconnaissent et découvrent les artistes et pas les amateurs se croyant plus ou moins cultivés ; le voilà le critère, et qui n’a pas du tout besoin d’être objectif.

bouguereau dit: à

pédreau collectionne les perlouses..c’est son droa

bouguereau dit: à

Pour moi, c’est la même chose. Une question d’éducation

suffit que les ricain disent que matzneff tire plus vite que clint et térezoune bombe

bouguereau dit: à

keupu se multipliant les pseudo se troue le cul d’autant..chais pas si tu calcules..

bouguereau dit: à

(À ce rythme-là, je pourrais avoir bientôt une « Encyclopédie de la Pétomanie » faite sans le moindre effort d’imagination)

..copie d’écran

Marie Sasseur dit: à

Presenter un programme social d’il y a 70 ans, une urgence d’après-guerre comme « remède « , – les Ricains ont ensuite prefinancé les  » soins « – me fait penser a Hollande, qui a 13% d’opinion favorable, était tout content de se voir offrir un vieux livre oublié, je crois qu’il s’appelait le contrat social. Une blagounette

bouguereau dit: à

50piges aprés lourloupe est copié tout partout..hévidemment les artiss contemporains le citent tout a la fin de leur interview a sidney ou hk..que pour les critiques qui vont temporiser dans leur papier en disant art total..basilique..préhistoire..

Pablo75 dit: à

«Nulle selon quels critères objectifs?» demande-t-il à propos de la peinture « abstraite ». Mais pour la peinture figurative, quels sont les critères objectifs ? Depuis longtemps (toujours?) ce sont les artistes eux-même qui reconnaissent et découvrent les artistes et pas les amateurs se croyant plus ou moins cultivés ; le voilà le critère, et qui n’a pas du tout besoin d’être objectif.
lmd dit: à

Putain, le niveau !!

(Attention, Pétomane, un nouveau fabricant de Perles sur le marché – et dangereux, vue la taille de celles-là !!)

puck dit: à

bouguereau dit: à

je suis un anarchiste, je n’ai jamais voté…

dis qut’es un trouducu keupu
 »

pedro vous voyez : greubou il dit que les anarchistes qui n’ont jamais voté sont des trouducus !

là c’est moi qui le dit : c’est la tête pensante du blogapassou !

puck dit: à

là c’est PAS moi qui le diS

puck dit: à

pedro vous savez quoi : si je recopie toutes les conneries que vous nous pondez sur l’anarchie et l’astrologie hé ben greubou il va m’insulter.

alors que vous il a peur.

puck dit: à

pedro le truc que je préfère c’est quand vous demandez à l’un « et Dubuffet tu l’aime toi? » ou à l’autre « jouer Chopin au piano ça doit être difficile non ? »

limite c’est triste.

puck dit: à

greubou ça te dérange pas au moins que je t’ai appelé « la tête pensante » du blogapassou ?

comme je sais que t’es d’un naturel modeste je voudrais pas te mettre mal à l’aise.

puck dit: à

pedro vous savez pourquoi je vous aime pas ?
parce que j’aime pas Flaubert.
et quand je vous lis ça me fait penser à Homais.

puck dit: à

greubou c’est dur d’apprendre à écrire en espéranto ?

puck dit: à

désolé mais « République des Livres » c’est ce qu’on appelle un « mlange des genres ».

parce que les livres c’est un truc, et la République c’en est un autre.

et ce mélange je suis désolé mais on le doit à Jack Lang, avant lui c’était juste pas imaginable.

Marie Sasseur dit: à

Encore un procès où le général de Gaulle est convoqué, a l’insu de son plein gré.

« C’est une affaire que le général de Gaulle aurait qualifiée d’affaire de cornecul et dont on essaye de faire une affaire d’Etat »

Au départ je pensais que bismuth est le nom commun qu’on découvre en cours de chimie. Mais non. C’est un nom propre.

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2020/11/23/faux-depart-au-proces-pour-corruption-de-nicolas-sarkozy_6060822_1653578.html

puck dit: à

Sasseur, je peux te poser une question : tu crois qu’en dehors des livres y reste d’autres trucs qui soient encore concernés par la République ?

Pablo75 dit: à

Pétomane, parle-nous de la métaphysique de la culture chez Jack Lang, dit le Diogène de la Place des Voges.

Moralès sed laisse dit: à

C’est quoi ça? La face cachée de la lune?

Si ça l’est, c’ est du figuratif boudiou! 😉

et alii dit: à

ROSE?VOUS QUI ËTES LA SPeCIALISTE DES EMOJITATIONS,
voyez la lettre de philomag et gagnez!
 » J’ai commencé avec Hobbes : 🧔🏻🐺🧔🏻, continué avec Descartes – 🤔✊🏻, et encore🚶🏾‍♂️😷. J’ai continué avec 🔪🗡💣🧨 👣 💪🏾 de Nietzsche, avant cette profonde sentence d’Alphonse Allais : ☕️😴 🌴🌳🌲 👣. Attention, je ne vous donne pas les réponses. Envoyez-les moi, par mail (philemojis@philomag.com) ou sur les réseaux à l’aide du hashtag #philemojis, et je me ferai un plaisir d’expédier un beau cadeau à celle ou celui qui a tout bon et qui enverra ses réponses en premier !

Patrice Charoulet dit: à

LE COVID , TF1 & NOS DROITS

Dans le JT de TF1, que j’écoute assez distraitement le soir en faisant autre chose, il y a un petit moment curieux : le présentateur donne la parole à une jeune dame très souriante aux yeux bleus, prénommée Garance. Elle répond aux questions du présentateur, dans le contexte COVID, sur « nos droits ». A-t-on le droit de…?Parfois c’est oui, parfois c’est non. On est prié de croire ce souriant oracle.

Je préférerais, de beaucoup, savoir, que mes droits sont tous indiqués dans le Code pénal et le Code civil.

puck dit: à

Pablo75 dit: à

Pétomane, parle-nous de la métaphysique de la culture chez Jack Lang, dit le Diogène de la Place des Voges.
 »

cher ami, merci pour votre intérêt, ma foi, dans un premier temps, il me semble, à moins que ce soit dans un deuxième temps, auquel cas nous reviendrons ensuite sur le premier, il me semble donc falloir répondre à la question genr sujet bac pendant confinement covid : l’art est-il possible sans (conscience) politique ? ou pour le dire autrement peut-il exister une conscience de l’art dans un contexte apolitique ?

hé bien ma foi, pour y répondre, il faut d’abord définir les termes du sujet : qu’est-ce qu’art et qu’est-ce que le politique, et ceci rapidement en revenant la définition première donnée par le grec citoyen d’Athènes.

bon, ceci fait, il faut développer : d’abord la thèse en disant oui c’est possible en s’appuyant sur des auteurs comme Platon, Kant ou Nietzsche, et ensuite une antithèse en s’appuyant sur le dossier de sa chaise et sur Hegel ! Parce que Hegel est important sur cette question, et avec Hegel s’agit pas de faire le malin sinon vlan ! ça part en vrille, car il vrai Hegel n’avait pas envisagé l’art sous l’angle du placement financier, et justement parce qu’il pensait au politique, à partir de là hop ! on en déduit que l’art sans politique consiste à faire des placements financiers et hop l’histoire d’Hegel est bouclée !

une fois que cette histoire est réglée hop! on passe à la conclusion ! qui, je le rappelle ici consiste à répondre à la question première par une autre question du genre qui impressionne le correcteur, du genre globale sur le devenir d’une humanité chez qui la conscience politique a totalement disparu et où il ne reste plus que des tableaux, des peintres et des musées.

et la palce des Vosges dans tout ça ? je pense qu’on peut la caser dans l’antithèse, Hegel penseur allemand, et pour aller en Allemagne il est évident qu’il faut passer pales Vosges et là la résidence d’un ministre de la culture sur la place du même nom prend tout son sens, dans un étant de l’être enclin à la pensée allemande, je pense que ça règle le problème de la place des Vosges, il me semble.

faut demander à greubou c’est lui notre métaphysicien.

puck dit: à

« Je préférerais, de beaucoup, savoir, que mes droits sont tous indiqués dans le Code pénal et le Code civil. »

en fait Covid c’est juste une abréviation de Code civil un truc genre anagramme.

faut demander à Jazzi c’est le roi de l’anagramme.

puck dit: à

et alii j’ai trouvé celui de Hobbes ! c’est quand il dit « le loup est un homme pour le loup ».

puck dit: à

Elle répond aux questions du présentateur, dans le contexte COVID, sur « nos droits ».
 »

c’est faux ! elle y répond après une pause pub : sur les mutuelles « c’est la MAAF qu’elle préfère… » « sur le bonheur, l’homme cherche le bonheur, il a enfin trouver avec le parfum di Giorgio, pour les hommes qui cherchent le bonheur » – « partir, découvrir de nouveaux horizons… c’est possible avec la nouvelle Audi 300e électirque à partir de 380 euros par mois » – « être unis, unir les peuples à travers le monde, unir les générations… c’est possible avec le nouveau iphone 10! »

et après la blonde aux yeux bleus parle des droits et des devoirs.

rose dit: à

et alii dit: à
ROSE?VOUS QUI ËTES LA SPeCIALISTE DES EMOJITATIONS,
voyez la lettre de philomag et gagnez!
» J’ai commencé avec Hobbes : 🧔🏻🐺🧔🏻
l’homme est un loup pour l’homme
, continué avec Descartes – 🤔✊🏻,
je pense donc je suis

merci

rose dit: à

et alíi

encore🚶🏾‍♂️😷
tais-toi et marche (une variante des totos et son papa tais-toi et mange, ou encore tais-toi et nage)

rose dit: à

🔪🗡💣🧨 👣 💪🏾 de Friedrich Nietzsche,
L’homme a besoin de ce qu’il y a de pire en lui s’il veut parvenir à ce qu’il a de meilleur. (aidée par la toile)

rose dit: à

Alphonse Allais : ☕️😴 🌴🌳🌲 👣

Et alii

il est mort à 34 ans, je le sais depuis hier, et cela me fait beaucoup de peine. Je passe.

Je le remplace par cui-ci de Harriet Beecher Stowe

B dit: à

🚶🏾‍♂️😷 le covid en marche .👣 💪🏾 Le surhomme. Avant le sabre l’épée le goupillon?

B dit: à

Rose, championne du décryptage.
Puck, vous êtes en surchauffe sur la place des sapins.

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